Le Miroir. Publication hebdomadaire
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Le Miroir. Publication hebdomadaire. 1918/02/03. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter utilisationcommerciale@bnf.fr.
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PRÉSIDENT
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DU CONSEIL VISITE, AVEC LE GÉNÉRAL GOURAUD, UNSECTEUR EN CHAMPAGNE M. Clemenceau, président du Conseil et ministre de la Guerre, s'est rendu il y a quelques jours sur le front. Le Voici Parcourant un secteur de Champagne, le matin de bonne heure, suivi du général Gouraud.
UNE FLOTTE COMMERCIALE NAIT AUX ÉTATS-UNIS
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Nouveaux chantiers de construction de Newark. La oose du r---.-& &.&.y",.Les Etats-Unis qui font un commerce si intense avec l'Europe, prendrelaconstruction intensive des chantiers des bateaux. Voici, à Newark, possédaient avant la flotte .IL
pas, guerre, une commerciale ne importante. Leurs ports étaient surtout visités par des navires anglais, français et allemands. Nos alliés viennent d'entre-
où l'on commence, en séries, des steamers en acier tère de5.000 tonnes. Au-dessous, M. John Hunter du minisde la Marine, posant le prémier rivet du premier navire.
LA GUERRE -
du -
Jeudi 17 janvier. la rive droite de la eUSe, les Allemands Sur ont attaqué nos posibois Le Chaume, sur un front de l()() mètres environ. L'attaque, briséepar Bos teux, s'est dispersée. Quelques fractions dans qui avaient réussi à prendre pied élément avancé, en ont été rejetées aussitôt. En .Lorraine, nos troupes ont réussi une Incursion dans les ennemies de la région de?donviller etlignes ramené une quarantaine de prisonniers, un officier. Canonnade dont vive Alsace, entre la assez en p. fhur et la DoUer. Macédoine, actions d'artillerie assez '%-I"'esde part et d'autre de la boucle de la Cernl-l'atrouilles ennemies repoussées sur le front serbe. (lartUle front britannique, activité habituelle .Ia chute de neige paralysé l'activité a aeneuue. Pn a été toutefois appareil ennemi abattu
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arttUene.
En Palestine, />a'est'nc,l'aviation britannique a ('xecuté des raidsl'aviation britannique. réussis sur l'aérodrome enlleni •-Jeuhl' au sud de Haïfa. ériLsalèm Patrou'^es Jj erusalem. dans le secteur de 1-e hol11banlement fait du que les port de Yarniouth a
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Allemands ont coûté la vie à
quatre feiiiiiepersonnes. a lancé un ultimatum à la Roumanie. janvier. — Activité d'artillerie Saint-Oneiitin, dans le secteur de asonS-d(.-Champagne ainsi que régions l'ouest des Monts. (lalis dans la Sular^•ve(\roitede Meuse,imepatrouille Surlarivedroite de la Meuse, une patrouille alleIuande qui tentait d'aborder nos petits la région de Samogneux a été l ISlrsée ( par nos feux. ,aIonne (secteurà l'est de la tranchée de des Eparges), exécuté un cour de Illain qui oldélUent nous a penllis de pénétrer pro ,kurIncursion dans les positions allemandes. faite, nos troupes sont rentrées iiusl«S„T dans leurs lignes. Sur le front britannique, incursion des roupesennemies nord-ouest de SaintQuentin" au d'un coup de main de nos alliésdansSuccès la même région. J,artIllerie belge contrebattu efficacea lentplusieurs batteries ennemies actives (anslesrégions mude Nos alIiés de Ramscapelle et de Dixont canonné les tranchées ennemi5S ainsi nneml que des fermes occupées par bordure le de l'Yser. Sur front macédolùen, activité d'artillerie la Italiens boucle de la Cerna. ont résisté victorieusement une poussée" autrichienne. Ils ont fait b-r(lelburdes aburedes pertes à l'ennemi et ont jo11commente prisonmers. hU'nal,officielL un article du Frenidenblatt, îiongroî du gouvernement austro"lui Pfend à partie Bülow et les paugernJ^stes et soutient Kuhlmann, menacé Parle Partl militaire allemand.
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insistant sur la nécessité d'accroître les effectifs militaires. Il a constaté que ni Kuhlmann ni Czemin n'avaient encore répondu à son précédent discours ou an message deM. Wilson. Des troubles dus à la situation alimentaire ont eu lieu à Vienne et dans plusieurs autres villes de-l.Autriche.
Dimanche 20 janvier. — Actions d'artillerie assez vives en Champagne, dans la région d'Auberive et sur la nve droite de la Meuse,
au nord de Bezonvaux. Sur le front britannique, activité d'artillerie en Artois et en Flandre. Sur le front belge, lutte d'artillerie entre Nieuport et Dixmude. L'artillerie de nos alliés a effectué des tirs de destruction sur des organisations défensives ennemies au sud de Dixmude. Un avion allemand a été abattu par une batterie antiaérienne au nord de Kyppe. En Macédoine, actions dartillerie réciproques dans la région de Monastir et dans la boucle de la Cerna, où nos tirs ont provoqué l'incendie d'un dépôt de munitions. L'aviation britannique a exécuté plusieurs bombardements sur la voie ferrée de Doiran et dans la région Petric-Sérès. Les Italiens ont refoulé des troupes autrichiennes qui les attaquaient sur la basse Piave. Les grèves autrichiennes ont pris une très
grande extension. Elles affectent spécialement les usines de guerre et visent à protester contre le rationnement alimentaire excessif et contre la prolongation de la lutte. La Constituante russe s'est réunie et a élu président M. Tcherllof, socialiste minimaliste. Lundi 21 janvier. — Nous avons repoussé aisément deux coups de main ennemis, l'un dans la région au sud-est de Saint-Quentin, l'autre au nord de CourteconSur le front britannique, l'aviation a montré de l'activité. les aviateurs alliés ont jeté des bombes sur divers objectifs à terre, y compris un long convoi, qui a subi de nombreuses pertes vérifiées. Trois appareils ennemis ont été abattus en combats aériens et un quatrième par les feux d'infanterie un cinquième a été abattu, désemparé, par les canons spéciaux. Sur le front italien, canonnade en plusieurs secteurs. Nos alliés ont réussi un coup de main, faisant prisonniers un officier et deux soldats. L'artillerie italienne a dispersé des transports et des patrouilles ennemies dans les environs de Stabiozzo et de Grave.
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NOTRE
CONCOURS DE JANVIER Voici les résultats de notre 33e Concours Mensuel de Photographies de Guerre : 1er
prix (1.000 francs)
:
L'EXPLOSION D'HALIFAX PHOCanonnade intermit— Nenquelques points du front. TOGRAPHIÉE A10 KILOMETRES Nos feux. 19 janvier.
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ont dispersé des détachements tentaient d'aborder nos lignes eglon "Ilstetit, Pagle, à l'ouest de l'Oise. deux coups de main enneniis intes tent sur nos Petits postes de la région des Un restés sans résultat. V11 avîrwnsont S canonsallemand a été abattu par le tir spéciaux. britannique, aucun événement B aut frosIgnaler.
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r at ome. activité d'artillerie à ,, te du Vardar et dans la : salIt' rlon du Pr°Qiie UeS^ a Cerna 1)ans la ennemIe a été Clae grenade.
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réciboucle
Skumbl, mie reconnaisrepoussée après un combat
Photo parue en pages 8 et 9 de notre n° 216, portant la date du 13 janvier. 2e
Prix (500 francs)
LA GROSSE BERTHA QUI BOMBARDAIT DUNKERQUE Photo parue en pages 8 et 9 de notre n" 217, portant la date du 20 janvier.
3e
Prix (250 francs) :
NAVIRE AÉRIEN
CONTRE NAVIRE SOUS-MARIN f:UIOn!lad,e le cw. Italien. le et engagement d'infanterie sur Dans les trois derniers jours, Photo parue en page 7 de notre n° 216, portant la date chiffeGS Pnsonniers niontiia faits par nos alliés du 13 janvier. environ. devantw 500 ')I-ge
a fait un nouveau discours délégués des Trade-Unions, en
Les résultats de notre Concours de Février seront publiés dans notre n° du 3 Mars.
Un combat naval s'est livré entre le crosear de bataille allemand Gœben, le croiseur léger Breslau, des destroyers ennemis et une force navale anglaise, à l'entrée des Dardanelles. Le Breslau a été coulé, le Gœben a pu s'enfuir, fortement avarié, et il a été s'échouer à la pointe de Nagara, où il a été attaqué par les aéroplanes de la flotte. Les Anglais ont perdu le monitor Raglan et le petit uionitor N° 28, l,eiiine a procédé à la dissolution de la Constituante. Mardi 22 janvier. — En Argonne, un coup de main effectué dans les lignes ennemies, au Four-de-Paris, nous a permis de ramener une quinzaine de prisonniers et trois mitrailleuses. Activité des deux artilleries sur la rive droite de la Meuse, et, en Alsace, dans la région du Smlel et de rHartmannswillerkopf. Dans la journée du 20, trois avions allemands ont été abattus, dont deux par le tir de nos canons spéciaux En outre, quatre appareils ennemis sont tombés dans leurs lignes à la suite de combats avec nos pilotes. Les Belges ont repoussé une patrouille ennemie qui s'avançait en radeau vers un de leurs postes avancés de la région de Ramscapelle.
Rencontres de patrouilles allemandes et belges dans la région à l'ouest de la forêt
d'Houthulst.
Un avion allemand de bombardement revenant de Dunkerque a dû atterrir près de Bulstamp. les quatre passagers, dont un officier, ont été faits prisonniers. En Macédoine, l'ennemi, après une violente préparation d'artillerie, a prononcé sur nos positions, à l'ouest du Vardar, une série d'attaques qui ont échoué complètement. Sur un seul point, l'ennemi avait pu pénétrer dans nos tranchées bouleversées. Il en a été chassé aussitôt par une vigoureuse contreattaque des troupes helléniques. Combat de patrouilles sur le front italien. Mercredi 23 janvier. — En Champagne, un coup de main ennemi à l'ouest de la ferme
Navarin n'a donné aucun résultat. Dans la région d'Auberive, nos patrouilles ont ramené des prisonniers. Sur le front britannique, des tentatives de coups de main ennemis ont échoué à l'est d'Ypres. En Palestine, des patrouilles anglaises ont effectué des opérations avec succès dans la région de la côte, faisant des prisonniers. Les aéroplanes britanniques ont renouvelé leurs raids de bombardement sur les camps ennemis et les dépôts de marchandises qui se trouvent près dela station du chemin de fer, à 3 kilomètres à l'ouest de Samarie (Sebasdige). Un aéroplane ennemi a été descendu hors de contrôle. Une machine anglaise a dû atterrir dans les lignes turques, mais elle fut détruite par son pilote et l'observateur avant l'arrivée des soldats ottomans. Dans le Hedjaz, on signale toute une série dopérations heureuses des Arabes. Au nord de Maan, ils ont enlevé Jouf et Dorovich, tuant 80 Turcs et faisant 200 prisonniers. Un canon de campagne et deux mitrailleuses ont été capturés. Des coups de main ont été effectués avec succès contre la voie ferrée du Hedjaz, au nord de Maan, vers Chadir.el Hadj et Tell Chalun. C'est sur des mines britanniques, à l'entrée des Dardanelles, qu'a coulé le Breslau et que s'est avarié le Goebeiz. Les Anglais ont fait 172 prisonniers. Le comte Seidler, président du Conseil autricliien, a prononcé un discours à la Chambre de Vienne. Il a refusé de promettre aux Tchèques l'indépendance de la Bohême. Trotski déclare que les négociations de Brest-Litowsk ne peuvent aboutir, à raison des velléités impérialistes manifestées par les Austro-Allemands. La conférence ouvrière anglaise s'est ouverte à Nottingham.
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LES TROUPES ANGLAISES EN PALESTINE CONQUISE
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ServicephotographiquedeForméeanglaise Convoi en marche, prisonniers, la mairie deJaffa et la remise en état d'un nuits
Au cours de la campagne de Palestine, les Turcs qui, aux Dardanelles et en Arménie avaient soutenu leur réputation de soldats courageux, n'ont pas paru offrir à nos alliés la résistance qu'on pouvait attendre de leur part. Depuis la prise de Jérusa-
lem, les troupes du général Allenby ont encore avancé le vers nord. Voici un convoi de ravitaillement de ces troupes dans le désert des prisonniers turcs évacués la maison municipale de Jaffa et des soldats vidant un puits comblé par l'ennemi.
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DES ORNEMENTS DUSTSÉPULCRE OFFERTS AU KAISER
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Objets sacrés enlevés avant l'arrivée des Anglais et envoyés à Guillaume TT-
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---.¡u en Guillaume Il fit en Palestine un voyage qui ressemki *f°rt à la cavalcade chamarrée d'un cirque, il voulut toucher 1 CœUf de ses bons amis les Turcs et leur oftrit à Utinople, une importante fontaine en marbre blanc. Les
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Turcs ont-ils voulu lui rendre la politesse l'initiative estou elle imputable aux Allemands?. Toujours est-il qu'avant l'entrée triomphale du général Allenby à Jérusalem, partie une des ornements sacrés du S* Sépulcre été envoyée au Kaiser. a
UN ASPECT DE LA CONFÉRENCE DE BREST-LITOWSK
Au bout des tables, désigné par une croix, est assis le ministre von Kuhlmann Nous avons publié dernièrement une série de photographies de la conférence pour la paix tenue à Brest-Litowsk. Voici un document représentant une séance de la deuxième conférence, avaient les délégués sait On décembre. mois de russes que au
demandé le transfert des pourparleis de Brest-Litowsk à Stockholm. Von Kuhlmann s'y opposa énergiquement. On le voit ici présidant une séance à laquelle assistent les délégués de l'Ukraine. Les Russes sont facilement reconnaissables à leurs uniformes.
LE
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VOL DE LA CLOCHE D'UN DE NOS VILLAGES --
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Cedocument constitue la preuve d'un fait qui s'est répété souvent depuis 1914
ous savions
sont
gênés pour les Allemands ne se pas que P"ler dans la France envahie tout ce qui présentait une valeur quelconque à leurs On a raconté notamment qu'ils enleyeux. velient les cloches de nos églises pour en fondre le bronze. Voici
:
c'est une phofrançais au moment tographie allemande prise dans de la descente de la cloche. Un soldat se tient sur celle-ci. Au-dessus on en aperçoit trois autres occupés à filer la corde.
assertion un document qui vient prouver cette unvillage
LE SECTEUR OCCUPÉ PAR LES TROUPES FRANÇAISES P? CORPS EXPÉDITIONNAIRE SUR LE FRONT TRANSALPIN
.-.-.-.
lete
Lombardie-eltre éltre 1 M C'est en une région rude, dans les montagnes qui dominent la plaine de Grappa et le Monte Tomba, que nos soldats défendentle sol n' os allié. le l de nos alliëq t e so ni, .-- - une vue panoramique, qui donne une iml'est, avec les soldats britanniqùes du général Plumer. Cele5ecte s® e presque ~,oupresque, -- ---- ----. Voici une carte, ou plutôt partout et pas apparence de boyaux. Les troupes marchent saules rares et gris. Aux alentours, ni cultures, ni pression assez complète du pays dans lequel combattent les soldats de la France, sur les flancs et sur les sommets des montagnes italiennes. A l'ouest, ils sont en jonction avec les troupes du général Diaz; à
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habitations, ni qui s'étend de la Piave au Monte Gr-appa, et qu'on appelle à découvert, dans un paysage hostile et glacé.. La routes. D'ailleurs, Piave Surnerne,au d'une couche épaisse, laneige recouvre uniforméde la Piave, est l'un des plus rudes du front transalpin. Le trol-roulesurun creux de la vallée, est d'aspect farouche. Elle ment le sol. Où est-il le beau soleil d'Italie dont rêvaient nos soldats ? rappelle en rien les aspects du terrain de combat français. Pas de de cailloux, entre des rives escarpées plantées de Où le beau ciel latin ? Où l'azur "implacable chanté -,! par les poètes!
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UN FROID TERRIBLE PRIVE L'AMÉRIQUE DE CHARBON
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Convoi frayant New-York. à Arrivage de charbon passage se un -
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--c d'autant plus aux Etats-Unis que l'hiver spéciaux pour briser cette glace et permettre aux bateaux chara été particulièrement rigoureux. Les difficultés de ravitailler bonniers de décharger leur cargaison. Voici des péniches se diriLe charbon manque
New-York ont encore été augmentées du fait que le port a été entièrement pris par la glace. Il a fallu faire appel à des navires
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geant vers les docks. Au-dessous, une scène fréquente dans les villes de la côte Est, la ruée des pauvres vers un train de charbon.
LES PROGRÈS DE LA CAUSE FÉMINISTE EN RUSSIE
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Les téléphonistes reprennent leurs places.
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Le vote de la première femme
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La révolution, russe a fait faire un grand pas à la cause du poste téléphonique à Petrograd où, à peu, les employées peu représentant document féminisme. Voici un la première femme sont rappelées. Après la prise du téléphone les Bolchevikis, par l'occasion à de l'élection votant des membres de l'Assemblée les femmes s'étaient mises grève et des soldats les remplaen constituante il fera époque dans l'histoire russe. Au-dessus, un çaient. On dû les rappeler tant le service était mal assuré. a
APRÈS LE RÉCENT BOMBARDEMENT DE MOSCOU
Une salle du palais Nicolas sur lequel tira l'artillerie lourde
-Illrsdescollisions entre Maximalistes et Junkers, les combats ont étéptûs violents
et plus sanglants à Moscou qu'à Petrograd. Les Junkers sont les aspirants des écoles militaires. Ilsfirent Preuve
un courage à touteépreuve, mais durent plier devant
les partisans de Lenine, ceux-ci bombardant la ville avec de la grosse artillerie. Il y eut, rien qu'à Moscou, deux mille tués et plus de trois mille blessés. Beaucoup de monuments ont été très endommagés comme le palais Nicolas où cette photo a été prise.
INHUMATION D'OFFICIERS MAXIMALISTES A KIEV
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dun sanglant combat entre révolutionnaires outils furentt,,A=
Cest au cours
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tivant guerre nous éprouvions déjà quelques difficultés à saisir les nuances qui séparaient les Russes adversaires de 1ancien régime. C'est bien pis depuis la révolution qui nous a prodigué toutes les déceptions et toutes les désillusions. Un fait
--.,., semble certain, c'est que les partis russes qui voulaient la paix ---
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a tout prix, installent pour longtemps la Russie dans la civile. Voici, en pleine rue de Kiev, la fosse de plusieurs guerre officiers maximalistes tués au cours d'une collision avec des cosaques.
L'AMIRAL BEATTY REÇOIT AMÉRICAIN UN AMIRAL
Les „ &-
un des amiraux de la flotte américaine
IlUsle
de l'Atlantique placée commandement en chef de l'amiral Mayo, l'amiral a rendu visite dernièrement, dans les eaux anglaises, 41»* Qiural Beatty, le jeune chef de la grande flotte britannique.
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f arméeanglaise. deux chefs à bord du navire amiral anglais. Le départ de l'amiral Benson Service photographique de
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Les voici à bord du vaisseau amiral i, amiral Benson 2, amiral Beatty. Près d'eux se trouvent les amiraux sir John de Robeck et sir Hughe Evan-Thomas. La seconde photographie représente l'amiral Benson prenant congé du chef de la flotte anglaise.
AFFAIRÉ
AVIATEUR ANGLAIS COMPTANT TRENTE-SEPT VICTOIRES C'est le jeune capitaine Philip Flechter Fullard qui a été récemment blessé au cours d'un combat et que l'on voit ici sur son lit.
LES MARCHANDS ITALIENS FONT DE BONNES Tout au moins avec les soldats anglais et français du corps l'armée anglais expéditionnaire. (Service photographique de
UNE ARRIVÉE DE RAPATRIÉS EN GARE D'ÉVIAN A intervalles irréguliers, les convois de pauvres gens rapatriés par la Suisse se succèdent. Il en est arrivé quelques centaines à Evian.
RUSSES SUPPRIMANT LES STATUES DE L'ANCIEN RÉGlrdf: Voici, à Kiev, devant la mairie, le socle qui supportait la statue de l'ancien ministre Stolypine. Les révolutionnaires la jetèrent à terre.
POSTE DE PIGEONS VOYAGEURS SUR LA LIGNE DE FEU Protégé par des sacs à terre, ce poste peut envoyer à l'arrière des messages importants. (Service photographique de l'armée anglaise.)
LACHAUDIÈRE DU PAQUEBOT
ALLEMAND"POMMERtlIl
allemand Lors de l'entrée en guerre des Etats-Unis, les équipages internés là-bas sabotèrent ainsi les chaudières de. leurs naflreS-