Le Miroir. Publication hebdomadaire
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Le Miroir. Publication hebdomadaire. 1918/10/20. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter utilisationcommerciale@bnf.fr.
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DERRIERE PHOTOGRAPHIE DU PRESIDENT WILSON L'ARBITREDELAPAIX Le président Wilson a répondu à la note du prince Max de Bade. Sa réponse n'est peut-être pas œIIe que l'on altewUit Hntin, mais ellejustifie la fjHHlwianr des Alliés dans la sagesse du frand leaderaméricain.
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LES RÉFUGIÉS REVIENNENT AU PAYS DES RUINES
HabitantsdelaSommeetduPas-de-Calais rentrant dans leurs villages dêtnUts.
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Apeinelestroupesalliéesont-ellesdéfinitivementchassél'en- de nos villageois et de le cein de tene nos paysans pour nemi de Ieua vinaumqpe les «à ils mot ahF,«à as 8111: lm nuage hmm et a& envahis svKcxtent de **twr "**Coptes ilsontsouffert. Etcomme paraitfa»wiinfimmi le lien détroit Ken n'est fins tmcbautqpe cet aanr pononé Oum«bequiOEsdt &au cà est est b&rawe-~
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LA GUERRE Jeudi 3 octobre. résultats D'importants — troupesdans la région ont été acquis par nos de Saint-Quentin. Poursuivant l'ennemi en retraite, elles ont pénétré dans la ville jusquau canal, puis elles ont rejeté les Allemands sur la rive est. Sur le front de la Vesle, les Allemands ont été contraints d'abandonner les plateaux entre l'Aisne et la région de Reims. Nous avons occupé Maisy et Consevreux, Meurival, Ventelet, Bouvancourt, Trigny, Chenay, Merfv. Saint-Thierry, Pouillon, Thyl. 2.100 prisonniers ont été dénombrés. Nous avons capturé une vingtaine de canons, dont dix de gros calibre. En Champagne, la 4e armée a accru ses avantages. Nous avons atteint les abords sud de ChaHerange. Les Anglais ont progressé à l'est de Levergies, enlevé Joncourt, Estrées, chassé l'ennemi des hauteurs au sud du Catelet, brisé des contre-attaques entre Cambrai et la Sensée, avancé à l'est de Tilloy et aux environs de Blécourt. En septembre, les troupes britanniques ont fait66.-300 prisonniers et capturé 700 canons. En août et septembre, elles ont fait 123.618 prisonniers et pris 1.400 canons. Les Anglo-Belges ont progressé vers Hooglede et Roulers. Lestroupesbritanniquesont enlevé Ledeghem, sur la ligne ferrée de Roulers àMenin, et franchi la Lys, entre Werwicq
et Commines.
Damas, avec 7.000 prisonniers, est tombée aux mains du général Allenby. Vendredi 4 octobre. — Sur le front au nord de la Vesle, nos troupes ont pris Loivre. Dans la région de la Neuvillette, une vio-
lente contre-attaque allemande n'a pas obtenu de résultat. En Champagne, les combats engagés la veille se sont poursuivis. Nous avons pris Challerange. Les Allemands ont essayé de nous rejeter du bois au sud-est d'Orfeuil. Par trois fois. leurs assauts ont été brisés. Nous avons conservé nos gains et infligé de lourdes pertes à l'ennemi. Le chiffre des prisonniers faits par nous s'est encore accru. Les Allemands ont dû entreprendre un repli étendu de leurs lignes à la suite des échecs qu'ils avaient subi sur le front britannique. Depuis Lens jusqu Armentières, ils évacuent leurs positions retranchées qu'ils tenaient depuis les débuts de la guerre de position. Sur le front de repli, nos alliés ont atteint la ligne Cité-Saint-Auguste, Douvrin, est de la Bassée, est d'Aubers, ouest de bois Grenier. l'ne attaque ennemie a échoué au nord de Cambrai. L'offensive anglaise se poursuit au nord de Saint-Quentin.
à
Samedi 5 octobre. — Des combats violents sont engagés dans la région de Saint-Quentin; entre Lesdins et Sequehart, où l'ennemi oppose une très forte résistance. Plus au sud, nous avons pris pied sur la voie ferrée à l'est de Saint-Quentin et progressé en combattant à l'est du faubourg d'Isle. Nous avons fait 100 prisonniers. Au nord-ouest de Reims, nous avons enlevé Corinicv nous bordons le canal entre Consenvreux et la Neuvillette. En Champagne, violente bataille. Nous avons élargi nos gains dans la région au nord de Somme-Py. Nos troupes se sont emparées de la crête du Blanc-Mont et de la ferme Iedeah, à cinq kilomètres au nord-ouest de Somme-Py. 2.800 prisonniers ont été dénombrés. Les Anglais ont attaqué de Sequehart au canal, au nord de Bony, sur un front de treize kilomètres. Ils ont pris Remicourt Wrancourt, faisant plusieurs centaines de prisonniers, atteint les usières deMontbrehain et les hauteurs au sud de Beaurevoir. Ils ont forcé le passage du canal de l'Escaut a, Gouy et au Catelet, s'emparant de ces deux
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et
dépassés. Nous occupions le village de PontFaverger, sur la Suippe. Sur 1Ames, nos éléments avancés ont abordé la crête boisée au nord de la rivière. Plusieurs centaines de prisonniers ont été faits.. Au sud de l'Ailette, les Italiens ont pris Soupir et son parc. Au nord de Saint-Quentin, nous avons progressé à l'est de Lesdins. Les Anglais ont pris Montbrehain, en y capturant 500 Allemands. L'ennemi a vainement essayé de rentrer dans ce village. Beaurevoir a été également enlevé. Le total des prisonniers dans cette région est de 1.000. L'Allemagne,l'Autriche et la Turquie ont envoyé des messages à Wilson pour lui offrir d'entamer des pourparlers sur la base de ses derniers messages.
villages et des hauteurs à l'est, en faisant un grand nombre de prisonniers. Nos alliés ont occupé Armentières. L'ennemi a été chassé de Lens. Le prince Max de Bade devient chancelier allemand. Dimanche 6 octobre. — Nos troupes ont pris une part active à la dure bataille engagée au nord de Saint-Quentin. Nous nous sommes emparés du Chardon-Vert, au sud de Sequehart, et de plusieurs bois fortement organisés. Plus au sud, nous avons pris pied dans Les-
dins et enlevé Morcourt.. L'ennemi a contreattaqué violemment à plusieurs reprises. Tous ses efforts ont été brisés. Nous avons fait 400 prisonniers et pris 4 canons lourds. En Champagne, les troupes franco-américaines ont remporté deserieux avantages. Sur notre gauche, nous avons poussé nos lignes à plus de quatre kilomètres au nord dAuberiveet huit kilomètres au nord-est de Somme-Py jusqu'à Arnes. Nous avons conquis les villages de Vaudesincourt, Dontrien. Saint-Souplet, les bois de la région de Grand-
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Bataille au nord de Mardi 8 octobre. Saint-Quentin, entre Morcourt et Sequehart. Nos troupes ont enlevé Rémancourt, la ferme Tilloy et plusieurs bois organisés en points d'appui. L'ennemi a résisté avec une furieuse énergie sans pouvoir enrayer l'avance de nos Bellois. troupes, qui ont conquis le terrain pied à pied, Plus à l'est, nous avons progressé jusqu'aux faisant plusieurs centaines de prisonniers. abords de Saint-Etienne-à-Ames et pris pied Au nord de Reims, nous avons atteint la sur le plateau d'Orfeuil. Le village de ce nom Suippe en de nombreux points. Les arrièregardes allemandes ont résisté sur la rive sud et a été enlevé, nous avons évacué Challerange. Les Anglais ont progressé aux' abords de contre-attaqué à plusieurs reprises. Nos Cambrai. troupes les ont refoulées en leur infligeant Le repli de l'ennemi se poursuit dans le sec- des pertes sanglantes. Nous tenons les lisières sud d'Aguilcourt, et teurs Lens-Armentières. Les éléments britanniques avancés ont atteint Wavrin Erquin- le village de Bertricourt, au nord de la Suippe. Plus à droite, nous avons forcé le passage de la ghem, à l'ouest d'Haubourdin. La dernière attaque effectuée sur le front rivière et pris le cimetière de Pongivart, ainsi belge a donné à nos alliés 10.500 prisonniers, que Saint-Masmes et Hauvine, au nord de dont plus de 200 officiers, 350 canons. 200 l'Arnes. mortiers de tranchées, 600 mitrailleuses. Les Anglais ont fait 400 prisonniers aux On donne pour faite l'abdication du tsar de environs dAubenchelauxBois, 34 autres Bulgarie. dans le secteur d'Oppy. Ils .ont établi des postes sur les passages du Lundi 7 octobre. — les troupes allemandes, canal au nord d'Aubencheul-au-Bac et à sous la pression des forces franco-américaines, l'ouest d'Oppy. Une autre patrouille a pris se replient sur le front de la Vesle et sur le front un poste allemand à l'est de Berclau. de Champagne. Le front de recul est de quaMercredi 9 octobre. —• Dans la région de rante-cinq kilomètres Reims a été d'abord dégagé, le fort de Bri- Saint-Quentin, diverses opérations locales, mont, le massif de Moronvilliers, occupés, puis, entreprises pour améliorer notre front, ont la poursuite continuant, nos soldats ont fran- donne des résultats. 700 prisonniers ont été chi le canal de l'Aisne, dans la région de Sapi- faits. Sur le front de la Suippe et de l'Arnes, la gneul, atteignent les abords dAguilcourt. Plus à l'est, ils approchaient Auménancourt résistance de l'ennemi ne s'est pas ralentie. Sur l'Arnes. une forte contre-attaque nous a le-Petit. Puis Nogent-l'Abbesse et son massif étaient repris momentanément le village de SaintRtienne, mais nous l'avons reconquis peu aprèsenfaisant 100 prisonniers. Plus à l'ouest, nous avons enlevé, après un combat acharné, un système fortifié qui défendait les abords sud d'Isles-sur-Suippe et avons atteint les abords de Saintcombattant attribuons trois prix en nous aux Etienne-sur-Suippe. MEILLEURES PHOTOS DE GUERRE Nos détachements ont brisé en deux endroits le passage de la rivière dans la région dAuménancourtle-Petit. Nous nous sonunes emparés de Berry-au-
à
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TOUS LES MOIS
1.000 fr., 500 fr., 250 fr. A la fin des hostilités nousdkemuODSdesprix
30.000 francs importants dont un dé
Bac. Les Anglais ont avancé leur ligne sur un front de quatre milles au nord de la Scarpe. Ils ont pris Biache, Saint-Vaast et Oppy, en
0 fr. autotal: 86.750 francs
faisant plus de 100 prisonniers et en capturant un certain nombre de mitrailleuses. Des combats de patrouilles ont eu lieu au nord-est d'Epinoy et au nord Aubencheul aux-Bois. Nos alliés ont progressé dans ces deux localités. Une division navale française est entrée dans le port de Beyrouth. M. Wilson a répondu par l'intermédiaire de M. Lansing et du ministre de Suisse à l'offre Max de Bade. Il demande des précisions sur deux points : io L'Allemagne acceçte-t-elle les propositions des messages présidentiels, ou entendelle simplement discuter sur leur application? 20 Le chancelier parle-t-ilaunomduG.Q,G. ou du peuple allemand M. Wilson ne parlerad'unecessationdeshostilités à ses alliés que lorsque les territoires envahis auront été évacués par les armées
de Prix =====
Le turc par Talaat pacha a démissionné. Il y aurait un cabinet Tewfik.
Rappelons qu'au 30 septembre 1918,nous avions déjà attribué
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Prixde
fr.
15.000
Prixde 1.000fr. de 500fr.
41 41 Prix 41 Prix
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soit,
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impériales. cabinet présidé
L'OFFENSIVE DEL'ARMÉE GOURAUD A CONTRAINT
vu dumont Blond. - Le mont Haut et le mont Blond
Le inontCornillet,
Les victorieuses attaques menées depuis la mi-septembre par
les troupes du général Gouraud, en collaboration avec les forces américaines, surle front de Champagne, ont contraint l'ennemi a un repli général vers la Suippe et vers l'Arnes. -
Cehu-ci abandonnant, en. toute hâte, ses positions redoutables. fortifiées depuis quatre ans et défendues avec un acharnement qui ne sest jamais démenti un seul jour, a dû battre en retraite surune étendue de45 kilomètres. -
0
LES ALLEMANDS A ÉVACUER LA RÉGION DES MONTS
Blockhaus allemand situé au sommet du mont Blond
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hur actutll?, la ville de Reims est complètement dégagée.
Lî fort de Brimont, le massif de Moronvilliers et toute la région des monts : le mont Haut, le mont Blond, le mont Cornillet, eont entre nos mains. Nos avant-gardes, tenant étroite-
ment le contactavec les arrière-gardes ennemies, ont dépassé la ligne générale Oraiavilie, Bourgogne, Cernay-les-Reims, Beine, Bétheniville. Nous avons franchi la Suippe dès le 7 octobre et nous bordions àce jour les rives de l'Arnes-
LES CONSÉQUENCES DE LA BATAILLE DES FLANDRES
Vues prises dans le secteur d"Ypres à Roulers au cours de l'avance alliée L'attaque menée le 28 septembre par le groupe d'armées des Flandres, sous les ordres de S. M. le roi des Belges, nous avait donné, en 48 heures, toute la côte des Flandres. Elle a été suivie depuis lors par une série d'actions de détail qui ont eu pour but
d'en dégager les abords et de nous asseoir sur le terrain conquis. Ces opérations ont permis de gagner 24 kilomètres en profondeur sur un front de 40 kilomètres et de prendre à l'ennemi 10.500 prisonniers, 350 canons, 200 mortiers et 600 mitrailleuses.
VUE PANORAMIQUE DE LA VILLE DE SAINT-QUENTIN
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Heoeogreptir jcrietnicprise à Wiwritiiifihftdk 1er octobre. ii<(jpiiliH hiMM^I«nilrTt~tilT'iKfiM'TIIffififffnÉir~ QptatiBmuflÎEiria»êmfpiiwtiKirr»anÔKfact bs Mmàm aL- tulk% hm 8IÏ8Is t - , ce lun«!—!,ht^Mpafafas,ètfentrifiFifrt hpnrèifaB puma& un le cmaitude Safari. Ele tnt tnwwt. pwfrès 888! kw aimoduaim, a été- ijrragL Oa ac Ktmnca ps à Saintr- dm&rébt uk r~~ & bdont- àmina
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PAR QUELS HOMMES ET QUELLES VOIES FURENT TRANSMISES LES NOTES DES EMPIRES CENTRAUX A WASHINGTON
Carte montrantles trajets suivis par les offres de négociations de paix adressé au président Wilson par l'Allemagne, IAutriche-liongrie et la Turquie
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où elle emprunta le câble sous-marin jusqu'à Talleborg. De la Turquie firent télégraphiée à Berne, de Berne à Paris, de Paris à Brest. Là, elle ee- Talleborg elle fut trsnsmise par voie de terre à Stockholm, de lUmamUr simultanément an présidentWilsonpar l'intermédiaire des prunta le câble sous-marin jusqu'à Halifax, d'où elle fut Oe Stockholm gouvernementschargés de leursintérêts auxEtats-Unis, un armistice par voie de terre à New-York et de New-York àWashington. La5eIl sous-marin à Kristiania. De Kristiania elle futexpédiée par câble à New-York d'où elle fut télégraphiée à Washington. La général et l'ouverture de négociations de paix. La note allemande fut autrichienne fut expédiée par le télégraphe à Berlin, de Berlin à Le 5 octobre, l'Allemagne, rAutriche-Bongrie et
1-
note turque emprunta le câble jusqu'à Gibraltar, en panant par le Pirée et Malte. De Malte elle parvint par voie de terre à Madridet de Madrid à Lisbonne. De Lisbonne eUe fut câblée à New-York par les Açores. De New-York elle gagna Washington par voie de terre.
DEUX FRÈRES ENNEMIS UNIS DANS LA SOUFFRANCE
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PERCÉ DE CAMBRAI A ST-QUENTIN LEFRONT EST
Tommies progressant à l'abri d'un talus - Abri de mitrailleurs allemands La percée des Britanniques, à gauche, des Américains, au centre, et des Français à droite s'accentua de telle façon dans la journée du 9 octobre qu'il devint impossible à l'ennemi de semaintenir dans Cambrai. Les Britanniques entrèrent dans
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la ville. L'avance entre Cambrai et St-Quentin fut telle que l'ennemi abandonna plus de 12.000 prisonniers. Voici io des tommies progressant à l'abri du talus du canal de St-Quentin ; 20 une chaudière d'usine qui servit de bouclier aux allemands.
SUBMERGÉE SOUS LE FLOT DES ARMÉES ALLIÉES
Triple réseau de fils barbelés de la ligne Hindenburg. - Un couloir souterrain l'on désigne sous le nom générique de ligne Hindenburg est en réalité un ensemble de fortifications comprenant, en France, plusieurs échelons successifs. La ligne Hindenburg proprement dite passe ou plutôt passait à Lens, à l'est d'Arras Ce que
et s'infléchissait ensuite vers ta Catelet. Elle est actuellement disloquée par la prise de ce dernier point, par l'avance britannique autour de Cambrai et, enfin, par l'abandon de Lens et d'Armentières auquel l'ennemi a dû finalement se résigner.
LA UGNE HINDENBURG CRAQUE
DE
TOUTE PART
Un observatoire de la ligneSiegfried.-Tranchée bétonnée de la ligne Brunehilde Du Catelet à Moj s'étale la ligne dite Siegfried, sur laquelle les coups de bélier pleuvent en ce momeat, assénés. par les années Byng,Rawlinson et Debeney. Le massif de Laon, citadelle que les armées Berthelot etMangin écornent lentement,etlemassif
de Moronviffiers lui servent de traits-d'union avec la ligne Brunehilde, que pilonne l'armée Gouraud et dont les derniersprolongements dans l'Argonne et dans la Meuse ont été sérieusement entamés par les braves troupes du général Pershing. >
L'ARGONNE DANS AMÉRICAINS PROGRESSENT LES
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allemands blessés de débarquement Yanks montant aux lignes. - Ils assistent au mais ils nont
Bousculés dans le Nord par les armées alliées, placées sous le haut commandement de Sir Douglas Haig, les Allemands oppo-
empêcher désespérée résistance pour Champagne sent en une l'armée Gouraud et la première armée américaine de progresser
pu sur les chemins de Rethel et de Vouziers; empêcher nos troupes de gagner du terrain, pendant que les vaillants soldats de Pershing rejoignaient ceux de Gouraud à Lançon, menaçant ainsi les fameux défilés de Grandpré.
CAVALERIE BRITANNIQUE EN ACTION DANS LE NORD
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Patrouille decavalerie se dissèniklant dm& le lit d'un ruisseau LesAnglaisdoiventunelargepartdeleurssuccèsauxmagnifi- valiers les pTus gnnés aaïkadans nèi fues prouessesaccomplies par leur cavalerie- Agissant, tantôt touskscsmhatsfai, depuisle il anft dernier, ont été fcrris rartffloiefasBWt, Fr nas îIKH an f8Ias adresses entxe Dimancheet Saintfiiiit estafettes, taIIIIIIIt a. Kiwnn avec sNtiadeflflafllne tHeFartiBn», taÉât
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Albanie, qui surDurazzotraid dernier, septembre fin contribué un puissamment La marine et raviatioa italienne ont furent coulés autrichiens vaisseaux Des succès. plein navires eut Des dOrient. un ansuccès des opérations de rarmée l'escadre alliée Voici incendiés. baraquements nombreux améde et de quelques unités de la flotte guerre italiens, appuyés par après hydravions raid. des le retour Durazzo et partant tentèrent, pour en ricaine et par un grand nombre d'hydravions,
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