Le Nouvelliste d'Indochine. 02/10/1938 by Président AALEME

Le Nouvelliste d'Indochine. Hebd. pol. économ. littéraire

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Le Nouvelliste d'Indochine. - Hebd. pol. économ. littéraire. 1938/10/02. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter reutilisationcommerciale@bnf.fr.

Au Conseil Colonial

de Cochinchine

Fakirs; fumistes et Cie

Echos et Nouvelles C'est samedi prochain quee Solange sera célébré le mariage de Mlle Sussière, la charmante fille de Mme et M. Bassière, Administrateur des Services Civils, avec M. François Gennardi, Administeur-Adjoint des

Où un docteur

Un Français mange

s'offre à confondre

bonzesse qui jeûne})

en moyenne quatre bananes

par an

soir

ÉDEN

S.C. La bénédiction nuptialeleur sera Du 28 Septembre au 4 Octobre donnée à la Cathédrale de Saigon, On pense bien que va bonzesse L'histoire de la bonzesse Dieude Samedi 8 Octobre, à 17 h.30 De tous les produits de nos coloLa nécessité de terminer les tra- leurs intérêts avec conscience" DiSu Minh de Minh bonheur fait démagogie.» le nos concontenta d'en ne se nies, la banane est certainement par. pas Nous présentons nos meilleurs frèresa vaux avant la fin de la semaine a ceux qui l'ont fait avec caisser quelques-uns dont missive annamites cette répondre. Agricoles, Serviees sans mi plubudget des Au obligé les conseillers à siéger ceux ayant conquis — et cela aux futurs époux et nos félici. s'en gaussent, quoique les principaux Une lettre parut le lendemain dans yeux pris dans un laps de temps relativement sieurs jours de suite matin et soir. l'Office du Riz en a encore un tations à leurs familles. les journaux histoire songent de dont acteurs cette voici ne un passage Nous ne donnerons pas un compte- bon coup. Cet office rend des ser. court — une place marquante sur le du i tout s'amuser. Mais le pas marché intérieur français. rendu de ces séances, notre numé- vices certains, mais on y travaille à 0$0 lui-même est spectacle assez avec co. en snffirait longue ecbéance puis Bien que les statistiques découet son gros ro n'y Nous vous proposons un petit pas nous allons es. brale bon inspiré et BAROUX, Junie ASTOR casse. Il aurait Lucien qu'il i échappe nos Con. ragent quelquefois par leur aridité, sayer seulement de tirer quelques défaut, c'est budget examen: consentons à nous Courteline. vous Franchini M. garColonial, Conseil ve Au étant du ressort seillors, son conclusions de ces longs débats. der chez nous 100 jours en vous lais- il est des cbiffres éloquents qu'on et Marcel SIMON l'histoire Vous connaissez une vivacité coutuélevé Gouvernement s'est satisfaction du général. avee s'abstenir citer. sa de peut Nous avons vu avec sant la latitude de manger, de boire ei ne jeune bonzesse de Bentre, du nom de nouvelles les fausses mière contre C'est ainsi qu'en 1932, la France les conseillers annamites s'efforcer vété. satisfaire à vos besoins la nuit entre Le budget des Services Du 5 au Il Octobre institutrice avant Dieu de Minh. et la propagées suscep27.331 tonnes de presse n'importait par de faire du travail constructif, ne né. sinaires a fourni l'occasion à M. 20 heures et que heures du En matin. touchée par la grâce, malade dehors de gligeant aucun effort pour attirer Franchini de réduire à néant certai- tibles de porter le trouble dans la d'être laps de temps, vous de. bananes provenant de ses colonies ce l'excerveatf de du (au protestation visait propre Cette sens population l'Administration l'attention de sur nes légendes qui ont la vie dure, rester absolument immobile com- — soit environ 12% de sa consom. vrez 15e du 7e décidé jour qui pression) dans Indochinoise au Presse a popula- concernant laSociété des Courses. la c Il des problèmes intéressant me Diau Minh. Si vous réussissez à le mation. un jeûne faire, tion pauvre. Ces conseillers ont été Il a indiquéque la Société, outre son numéro du Lundi 26 Septembre mois dernier, d'observer Devant En 1937, elle en importait 17J.525 nous vous considérerons eomme durant 100 jours. sa le Bouddha souvent d'excellents conseilleurs et qu'elle alimente le budget pour une avait mis, en gros caractères, le sous- complet elle vivant,,. tonnep. portant ainsi à plus de 98 apposa un placard ainsi si on leur reproche de s'être répétés, somme considérable, fait vivre plus titre suivant:«M. Edouard Daladier maison, la part de ses domainesd'outre-mer ils doivent avoir pensé que, pour en. de 600familles, mais que le Conseil avertit le Reich que la France a libellé avec Le pari n'était pas difficile à tenir dans son marché bananier. DIETRICH, Marlène foncer un clou dans le coffre-fort d'Administration, lui, ne touche pas pris toutes les dispositions néces. Appel au secours à tous les diri- etle bonze s'apprêtait à y répondre On voit, par ces simples indications administratif, il faut faire équipe et un sou, que ses règlements, son saires pour voler au secours des geants desreligions. Jesuismalade lorsque surgit un fait nouveau. portant sur cinq annéec, qu'un déet Robert DONAT j du revenir souvent au même travail. déjà mais morte suis je activité, ses recettes, ses dépenses Tcbèqnes cerveau, bouché métropolitain progressiveNous n'aurions pas mentionné cette moncorps Nous excepterons de cette consta- sont contrô!és minutieusement. ici centjours. est resté étendu a répondu aux efforts ment Un docteur iutervient affaire, qui aurait pu être une sim. Pouvez-vous me rendre la vie tation le conseiller Nguyen-phan- Quant à dans les colonies par les consentis ceux qui ont voulu at- ple eireur d'interprétation, si M. Long, peu préoccupé ae ses mandats teludre Le Dr Le-van-ngoo,demeurant à planteurs et les exportateurs on le Président de la Société Neumann dont on connait la frénésie Quelques médecins se présentèrent depuis qu'il est frotté de sophismes d'ailleurs 1938 compte pour sur une pour satisfaire des ran- au 4 pilpoul » et son rédacteur M. mais devant ce cas un peu particu. Bentre, vint certain jour de la se. importation de 178.000 staliniens. M. Long se déplace des Courses, Il ne tonnes. personnelles, aller, ils s'en Le « pape » maine dernière n'ont responsable lier, préférèrent pu déclaré voir la patiente. En conviendrait cependant Cbâu qui s'est dans l'espace avec de longs discours cunes pas que ce même aborder la semelle de ses sou- de cette interprétation, n'avaient caodaïite de Bentre Nguyen ngoc partant, il laissa dans la main de où les termes sont choisis, les phra- liers, —o—o—o— fasse iilusion chiffre lusse à penet dit.il. tenté l'impossible, c'est à dire justi. Tuong se dérangea en personne et cette dernière un petit mot ses polies ou fleuries, mais qui ne Du 30 Septembre ser que notre consommation a fait au 6 Octobre après une ardente prière adressée au laissent rien dans l'esprit de l'audi- La forte conviction qui se dége. fier cette rédaction. Si VOUI voulez' q u'un plein. être humain son Ce n'est pas un déshonneur que Dieu à l'Œil Unique, ne fut pas plus teur. Rien ne se révèle en hauteur, geait des paroles de M. Franchini a demande je vous Dieu à sauve, rester auprès En heureux. Qaelques jours après. confesser une erreur. pour une banane un en profondeur, en largeur, tout est Impressionné l'auditoire. de vous trois jours et trois nuits. /e poids comptant second s'applique, moyen discuté 100 grammes, 178,000 écrivit message Minh sous-titre principal objectif Le superficiel. Son un fait d'être M. Ballous vous galant homme Ensuite promets l'A.R.J.P. nous a l'attaché qui de radio de un fruits disent-ils, au consommés par 42 c'est pas de discuter le budget, mais avec tonnes et de me conduire correctement à votre millions de Français représentent « Sauvez-moi par un miracle. Jean GABIN, un cours vétérinaire à propos des fait dire par M. Daladier à Dita PARLO. de donner la leçon aux Gouverneurs chevavx en. Faites de telle sorte qu'en vivant je ne égard. Cecipour vous rassurer. couvrir faisant de courses, bananes ioute 4 viron du Reich d'babitant militaire tête medessus eux « que Pierre par FRESNAY, et par Si au contraire vous voulez êtregué- et 1 Indochinoise par l'Arabe ou l'An. sure militaire prise par le Reich, mangerai plus jamais, comme je l'ai ! par an tout simplement. C'est l'adversaire glais, VonSTROHEIM, plusieurs jours. Quant à la rie par un Bouddha, je n'insiste plus, l'Annamite par le Tarbais ou correspondrait de sé- fait depuiselle intégral de toute collaborationfran. mesure une de le voit, le Comme elle marché loin est on veut me sauver, si ne CARETTE, MODOT etPECLET que ce soit le curité la part du Gouvernement science co-annamite, encore qu'il s'en dé- le Syrien, à moins La bonzesse a répondu qu'elle ac- d'avoir épuisé toutes ses possibilités médicaments des employer doit successives que saillies contraire, fende, ce qui le rend plus dangereux évoquées ces le technicien Ballous français » ceptait son intervention sous la con- et l'on pourrait envisager sans incoûtant un sou seulement. » On de par traduction la cette voit, le dition encore. suivante quatre autres fem- convénient une consommation dounous ayant un peu détraqué l'enten, information en sous-titre est libre, Les conditions, comme on le voit, mes assisteront à l'expérience jour ble ou triple qui ne ferait que nous On oppose parfois aux longueurs dement. très libre. devenues un peu plus diffi- et nuit auprès d'elle et le docteur. rapprocher, sans l'égaler, de la con. des Conseillers annamites la discréfaire étaient voulu avait Ualadier Si M. déclaré l'adversaire M. Ben s'est famille ayant affirmé, sous' Ces femmes seront choisies parmi sommation de certains pays étran. ciles, La tion des Conseillers français, mais des chevaox puisqu'ils était qu'il l'Allemagne font plus connaître à ne la foi du serment, que la jeune fem- les sectes religieuses annamites. il ne faut pas perdre de vue que les gers, l'Angleterre par exemple Tcbé. de la voler été à remplacés prêt avant mangé depuis la secours au plupar rien guerre, la n'avait attend On réponse du praticien. problèmes qui sont soulevés intéresme coslovaquie, il aurait convoqué l'Am. sieurschevaux à vapeur. quelques médecins Mais d'ores et déjà, on peut annon. Annales Coloniales) Du 3 au 5 Octobre yopaiation annamite à raison des acal impour et' nonson at- eurent lajouffcf Le budget de l'Hydraulique agrico- bassadear do Reichseulement de venir 100. curiosité la de 76 voir. si les cent jours de jeûne voulu Spécifions qu'il s'agit de médecins cer que taché militaire. Il a dépassés sont Le budget de la police a été voté lenous a valu l'intervention de M. spécifier sans encombre par la que les mesures militaires de formation européenne et tous se bonzesse, une nouvelle Combot dont on connaît l'opposireligion versans discussion. France n'étaient que retirèrent sceptiques sur le prétendu M. Nhuan a discuté un petitcon- tion aux projets des ingénieurs. Il prises par àlacelles le jeune jour femme cette ra avec prises par l'Alle- jeûne de la bonzesse car le pouls de avec C'est flit survenu entre notables et agents demande le creusement de deux ou répliques peut être dé- la malade battait à une cadence ré- comme (c papesse., fallait qu'il en et pas ne magne M. Darrigade Francesca sûreté. posé trois BERTINI grande dé. le section se dénouement escompté de cette de la a canaux à 1 opérait France la moduire sa que gulière. abracadabrante histoire. — K, une colle à M. Nadaud en évoquant versant dans le Golfe de Siam. et Samson FAINSILBER bilisation générale. Simple précau. d'une voix très douce, le contrôle 11 ajoute qu'il n'a pas l'intention tion vis de responsabilités vis des 0*0 (de l'Opinion, 30 Octobre) postal. de prochaines présenter élecse aux Du guerre. 9 Octobre Ensuite le chapitre de l'Enseigne- tions coloniales. On regrettera commode Un bonze bon méhabitude, & peu Neumann, M. son ment a donné lieu à de nombreuses paysan sensé, judicieux, dont les in- connaît totalement l'intelligence des interventions. On sait combien la terventions savoureuses étaient ap- Saigonnais. La grande publicité faite autour de population indigène s'interesse à ces préciées et qui toujours évité raison. de avait donc a Franchini M. cette histoire parvenait aux oreilles questions d'écoles élémentaires, pri- taire de la peine à ses collègues. d'un bonze de Mytho. Ilse rendit à avec maires, complémentaires et seconmalade. Elvire voir POPESCO, Bentre du budget aller la des Travaux A propos pour daires. M. Franchini est interveM. Francliint, qui D'un publics, refuse geste quelque peu théâtral, Victor BOUCHER, de question se discuter une nu pour 'celle-ci pancarte énergiquement il enleva la devenir un soldat à de que supéles études principe concernant Jules BERRY, Meg LEMONNIER. M. Schneyder, passablement fati- avait affichée* devant sa demeure rieures. Il a reproché à l'Adminis- Mussolini, demande à l'Administration André LEFAUR des bâti. gué par ses fonctions de Chef de signifiant par là son intention de Le Bureau Central du Tourisme tration Centrale comprenez Paris de réserver la constructionentreprea Indochinois, 22, Rue Lagrandière à et Pierre LARQUEY la Cochin- répondre à l'invite de DieuMinh. force parchemins, sans ments administratifs aux du Gouverneur Cabinet — de donner maison et, à Saigon, fait savoir aux personnes envisager leur utilisation, ce qui neurs français et annamites. Et, tout chine, va prendre la direction de la Puis il pénétra dans la dernière de monde traita cette le compris approuvé. haute désireuses de se rendre à l'Exposiet voix, a province de Baria. Il a rempli ses nous vaut des envieux, des aigris, Enfin le budget dans son ensemble fonctions absorbantes et délicates à simulatrice. tion-Foire de Hanoi (6 au 27 Nodes opposants à la cause française. adopté, dimiuué avoir 1938) qu'il a reçu du Comité ici vembre est apiès La famille de la malade dût le chasla satisfaction de tous. sera remplaLa question de l'enseignement pro- et ajouté les Conseillers Cartes de légitimation. des parce que cé par M Dufour, Chef dela province ser et, comme il refusait de partir, fessionnel a retenu longtemps les avalent Phnotu-Penh -Au grands sud des plus dépensé qu'ils dont le prix est de 2 Cartes, Ces peu de Rachgia, dont on connaît déjà les notables, alertés, employèrentla lacs du Cambodge, dans la province Conseillers et particulièrement le n'avaient reçu, et est sfrrété à la som. l'urbanité et la compétence. pias'res, leur donnent droit, outre manière forte pour l'amener à la de Pursat, existe départ définitif du Directeur de la me de 17.5C0.000$. colline de une 10 bons d'entrée gratuite à impomarà maison commune. Là il tint à faire bre, le Pnom-ThmarKeo, qui fait Flottille et du Matériel mécanique. à des réductions importantes sition. Du Vendredi 30 Septembre Vendredi, ce fut la séance de clôun grand discours sur la crédulité partie du massif montagneux des On a déploré unanimement la déd'hôtels. tarifs Chemins de sur les des gens et comme, ma foi, il n'avait Cardamomes. Ce marbre, appelé fer. signation d'un officier mécanicien ture qui comportait la désignation au Jeudi 6 Octobre Compagnies Navigation de marijus. l'écouta commissions, l'exa. on des diverses fait puis à tout tort, pas appelé de France et ne connaissant Henry GARAT On nous annonce la naissance de qu'au « marbre de Pursat » time, où un membre de sa communément moment rien des besoins et habitudes locales. men des vœux à présenter à l'Admi. Tu-Qo, pagodite teintes tendre de est une hebdomadaire politique et nistration. et Jeanne AùBERT claires et variées qui se présente gélittéraire dont le Directeur politique famille vint leprier de rentrer. A une séancesuivante, une motion dans Le Président Chieu prononce le sera M. Nguyen-van-Sam. néralement à fleur de terrain. Natua été déposée comprenant la signa- speech de clôture auquel le Gouverrellement, très tendre et facile à ture de 18 Conseillersfrançais et anNos meilleurs vœux à Tu-Do, qui Polémique répond en remerciant Pagès travailler, il durcit à l'air, de sorte namites demandantau Gouvernement neur signifie, Liberté. leur croyons-nous, Conseil de du membres les l'extraire il faut se servir général désignation, au poste du que pour collaboration. loyale d'explosifs afin d'atteindre les couMais la bonze ne se tint pas pour Directeur de la Flottille, du sous-diavec 1 session close. est baitn. Dansunelonguelettre adressée ches profondes. Monique ROLLAND recteur actuel. olfiQer 27ansmécanicien 1 La lui-même et depuis dans cet aux journaux annamites, il dit, en On ne compte que peu d'artisans et Robert ARNOUX organisme, où il a rendu tant de serLa villa à Dalat de feu M. Heumann substance, parlant à la bonzesse professionnels à Pursat. Ce sont les Un rire aux éclats ! vices. qui avait été vendue à la Binque de Bouddha n'a jamais enseigné de indigènes, cultivateurs pour la pluLa vraie gaîté française l'Indochine sera à nouveau vendue jeûner pour aller au Nirvana. Celui qui part qui, au fur et à mesure des On se demande ce que vient faire ARRIVEES le Gouvernement général dans cette 1 le 4 novembre, Mme Peux ayant op- Vous a donné ces fausses notions est commandes et au gré de leurs loisirs, 1 posé une surenchère du sixième. La un mauvais plaisant. nomination. Il est plus que probable viennent travailler au ckef-lieu. Un DE FRANCE aiguillée à Voyant mise prix fixée 17,8509. Département à ites le est interest oncore sur atelier d'outillage leur est ouvert et que que Vous une mauvaise Voie, j'ai voulu vous ra- la Résidence de la province leur Le Sphinx, vers le 3 oct. (M.M.) venu. La République des camarades, c'est comme le veau d'or, ça ressusmener sur le bon chemin. Mais n'al- distribue chaque année à peu près Le Bangkok, ver& le 8 oct. (C.R.) par lez-pas me dire qu'un jeûnecomplet gratuitement des blocs de marbre L'Athos II, vers le 7 oct. (M.M.) cite toujours. deplusieurs jours permet une faible qu'elle fait extraire. Nous approuvons vivement les De l'ANNAM et du TONKIN Tran-trinb-Trach contre Les procès personna comme vous de sivre encore. conseillers qui sont intervenus pour de Pursat n'est La montagne pas Le Claude Chappe, Indochinoise etl'Alerte, ont la Du Vendredi 30 Septembre tenter de réparer une erreur et une vers le 5 oct. (M.M.) industriellement. Le transexploitée été seulement évoqués la rapide barre et nouvelle, Padaran, 9 (C.R,) attrayante, le Cap Le grosseinjustice. oct. vers port des blocs se fait à dos d'homme, Le G. G. Van Vollenhoven, renvoyés A quinzaine, on ne nous dit au Lundi 3 Octobre le vers inaccessible carrière étant l'impossibilité de A propos la aux pour pas pourquoi. Il est à remarquer Stan LAUREL MâOGEB que Mme le Gouverneur de la Cochinchine éléphants et aux charrettes. Jadis, 7 oct. (S.A.M.IJ tousles procès de la P. 1. som- feuilles et Olliver HARDY d'assister à certaines séances, M. PaPursat devaient, CHINE brent dans les remises ou dans le téraires.coloniales et des revues lit- les populations deleur du JAPON la De Under l'Université graduatede gès souverain une indiqué au Conseil Colonial chaque année, à dans maquis de la procédure. de d'Oxford Gazette Notre confrère La Le Chenonceaaa, le (M.M 7 affectée marbre prestation « en oct. vers que des travaux urgents se rappor. c » Les avocats sont, pour la P.I. Me Hué., publiera des « Lettres de Fran- aux ateliers royaux. Le Yangtsé, vers le 7 oct. (M.M.) tantauxcomplications européennes ex-professeur dea Ecoles Beriitz Bernard, pour l'Alerte, Me O. Sar- ce » par avion, de M. Pham-van-Ky. l'avaientretenu. Cela n'a pas encore De SINGAPORE Les artisans indigènes, quoique Nous présentons à ce remarquable phan rautet pourlapartiecivileMe Couget, M. satisfait Nguyen Long qui 7 heures 5 de Renseignements à avec écrivain et poète, nos meilleurs sou- amateurs, n'en sont pas moins très ha- LeG.G,Merlinvers a gratifié le Conseil d'un intermina 6 oct. (S.A.M.1,) Sohier Saigon Antonio MORENO la doués 18, à d'un inné de biles haits Capitale et de bon séjour dans la sens ble discours horizontalcompliqué de rue décoration.L'Ecole d'Art Phnomde des Lettres, où il trouvera, nous en et James FINLAYSON pauses à effet et de regards supéactuelle, possède, à l'heure Penh DEPARTS lettrés certain, des une rieursjetés dansaux quatre coins de la salempressommes Une désopilante aventure sés à l'introduire dans les meilleurs sectionde marbriers qui tend à amé. lequel discours nous rele, et des deux fameux compères liorer et à propager une meilleure Nous sommes avisés du départ en milieux littéraires. trouvons tous les dadas de M Long.Pour FRANCE » technique de la sculpture de marbre France de M. Pham van Ky. Ulrec. la présenee du Gouverneur qu'il et à faire revivre la tradition Khmère Le Chenonceaux, vers le 9 oct (M.M.) teur de la Gozette de Hué, et délicat tient à fasciner de son regard enigDu Mardi 4 au Jeudi 6 Octobre dans le choix des sujets. Cette Ecole Le Forbin vers ie3 oct. (C.R.) pcète que lesSaigonnais connaissent matique, l'élargissement du collège bien. auteur de * Une voix sur la forme ainsi des moniteurs qui, à leur Le Yangtsé, vers le 9 oct. (M.M.) Harry BAUR et SIGNORET électoral que le Département ne 1 LESÛUVEUJSTE Le Cap Padaran, vers le Il oct. (C.R.) formerldes élèves à dans tour. auront Voie J, de « Hué Eternelle J, du s'empressepas solutionner, l'imVendredi, nne messe de requiem dans pot sur le revenu, les soldes indic Rite Vivant » ; cette dernière œu- a été dite à la Cathédrale de Saigon leurs ateliers. Pour l'ANNAM et le TONKIN liaes, et surtout la pensée du Goo. 1 vre est un curieux drame mystique pour le repos Mme R. de l'âme de Les généralement sujets imisont Le Claude Chappe vers le 9 oct. (M.M.) en vers que M. Ky avait eu l'ama- Granges,mère de Mme Boyer, épouse téa des bas-reliefs verneur, qu'il veut connaître tout chez Mohllmetl. Dente et figurines d'Ang. Le bilité de nous faire parvenir ces du PremierPrésident Ala Cour d'Ap- kor. Ils entière. Quelle prétention 1 Sphinx, vers le 5 oct. (M.M.) ontété également adaptés à LeBangkok, derniers. jours M. Long s'apparente à M. Blum, vers le 12oct. (C.R.) îsmaël, pel, et décédée huit jours aupara- la demande des Européens et à leurs rue Catinat, 179, avec, des moyens plus restreints M. Pham-van-Ky s'abandonne à vant. commandes. Pour la CHINE et le JAPON quand même. ,'" l'attire remplie impérieuse vocation des qui La était Cathédrale une Saigon,en avec l'Hôtel A cette sortie, le Gouvernenr Pa. Lors de la dernière foire de Hai- L'JItla.. II, vers le 9oct. (M.M.) vers les cénacles littéraires de la nombreux amis et connaissances de PALEY Nathalie Ville Lumière. Ajoutons que notre nos estimés concitoyens. phong, les produits de cet artisanat gès s'est donné la peine de répondre Pour SINGAPORE Jn film grandiose et émouvant poète a l'intention de poursuivre ses Nous présentons à Mme et A M. le local ont connu un grand succès et Continentel. pour enfin conclure à l'adresse de : 1 Premier etudes' la Sorbonne (Section des M. Long « Lesélecteurs sauront dis. Président nos bien sincères le Gouverneur Brévié a fait à l'ate. Le G. G. Patquisr, yen le 3 oct- Il la gloire du Maréchal Lyautey .1 Lettres) qu'il collaborera des i et condoléances. lier de Pnrsa^une commande. (S!A!I\4,I,) cerner les Conseiller*qui ont défendu grand pacificateur du Maroc

M. Breloque a disparu

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Le Chevalier

sans armure

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La Grande illusion

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Cartes de légitimation pour la foire d'Hanoi

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LE CLAN DES OURS

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le grand Pertinax, dont les arsitait à jooer le rôle de suicide ticles sont dignes en ce moment Pierre TAITTINGER, par par persuasion, que lui a réser. de l'Histoire, laissait, dans sa DéputédeParis. vé la France, sa «fidèle alliéeD, dernière correspondance, percer Les échos ci-dessous ont été empruns'indigna, à sujet ministres crainte qui une ce ne tés notre confrèreparisien«Aux un de nos Tandis que les Français se que l'aviation ravagerait les vil Ecoutes » du 17 Septembre. paraît-il, au Conseil de lundi. me paraît pas vaine si je me On connatt l'aimable fantaisie que demandent avec anxiété si le les et les villages de l'arrière, masfie accord fournis renseignements plein Il était en avec aux reflète certaines de ses informations, cauchemar des années sanglan- sacrant femmes, enfants, vieilaussi ne tes donnons-nous qu'avec les celui de nos confrères du Midi par certains familiers de nos caImaginez un concile de chats. tes réservesd'usage. Toutefois l'écho va recommencer, tandis que lards. La guerre n'est plus une binets heure ministériels. Il est ten.intitulé « La rencontre » est curieuseDes chatsfaisantlachattemite. De qui dénonçait à la même certains fous malfaisants sont lutte loyale entre deux armées, ment prophétique, puisque, il anla Tchécoslovaquie comme la tant pour le gouvernement franbonhommes De Litvide chats. la nonce, douze jours avant, rencontre prêts à précipiter leur Pays deux forces, c'est une rivalité seule ennemie de la Paix. Une çais de rejeter sur le gouvernequi s'est produite le Jeudi 29 Septemnoff chair Kallontai, à bien en dans le gouffre d'une guerre montrueuse dans l'hécatombe. bre, des quatre hommes politiques qui telle inconscience dans le re. ment anglais la responsabilité bien ils glissent et nourris, décident de la paix ou de la guerre. sur sans merci, pour je ne sais franco-britannique décondésastre L. N. national du est A quoi celà peut-il mener 1 noncement : de petites jambes alertes sans quelles idéologies fumeuses, qu'il ne cède pas à la tentation. certant. bruit, sans gestes, sans faux-pas. peut-être n'est-il A rien, sinon la destruction inutile de le Rhin Sur pas Controverse Mais d'heure en heure, le A la vérité, le gouvernement de l'Europe. Ils ne sont jamais ni trop en détruire certaines illusions sur pays se rend mieux compte de de Londres commençait de M. Henri de Kerillis arrivait Le discours de Hitler a. comme avance, nUtrop en retard. Ils les résultats possibles d'une Est-il possible, dans ces donl'étendue du désastre, de la comprendre quand celui de en coup de ventauPalais-Bourbon conséquence, une recrudescence ditions, d'envisager la guerre ne sont nulle part; et ils sont guerre. quand fut il les entouré jourperdit la lourd'activité si Paris lui dans par les chantiers pèse qui où sur menace s'agitentles 278.000auvriers dont partout. Quand ils vous croi. A cet égard, il me paraît ccutile», la guerre «nécessaire»? Léon Blum, pacifiste résolu, nalistesen quête d'interviews. demeut désormais. Nos jour, Le directeur de L'Epoque il a été question à Nuremberg, sent, leur regard s'évade sans extrêmement dangereux d'aller Non. Il n'y a plus de guerre défaiéchapper nationalistes soupir laisse prétendument ce naux développa sa thèse, à savoir Bien entendu, le dernier tâcheron effort. Ils ont du jésuite et du chercher des exemples dans possible que celle d'un Pays patriote n'entendésastre, qu'aucun tiste préparé qui ont ce luttant pour son indépendance que nous devons soutenir les en a la tête enflée. Sur le Rhin, brave homme, de l'inquisiteur l'Histoire. Je sais très bien Quoi souffrance sont dra « peine lire. sans que en Tchèques contre vents et marées, les ouvriers ont dressé des palis- et de la dame de charité, tout font contre l'envahisseur. C'est la qu'il pendant les siècles Les advienne. des la conséquences ridicules. cédions sades lesquelles exigences guerre formule Maginot. Une barrière car, si nous sont inscrits, cela si bien mélangé, si bien sur aux aux échappatoires de énormes. Hitler, loin, les Sudètes lettres était le seul moyen capable de après ce8, slogans: en Europe et en ce en plus intelligents d'entre eux, iront l'autre dans fondu infranchissable. l'un formidable. qu'on Un Führer — Une seraientdautres minorités dautres « Un Reich — donner proba'j peuples La exploila possibiFrance. est qu'Hitler guerre aux prévoyant va s'y aisément, lorsqu'ou Cela décourage toutes lestennations menacées volonté Neuf-Brisach, trompe qui seraient A des et ». lité de Mais dans des réaliser leur dans écartée. unité blement à fond tarvictoire sans ter sa qu'ainsi nous n'aurions évité un ouvriers alsaciens ont riposté est averti. le cadre de leurs fonctions na- tatives. telles moi, conditions qui montrer que danger que pour encourir.d'autres en dressant un grand panneau Sepourrait-ilqu'ils der, le supplient de se Pour ma part, je n'en vois conspirent turelles. Ensuite, elle fut le palier Ils ne le connaissent n'ai cessé de lutter pour la paix, de plus en plus grands, Jusqu'au portant ces trois mots « Liberoù, en dépit de ce que Hit. té — Egalité — Fraternité ». parfois contre la paix ? Se pour- seul moyen d'écarter le péril de pas d'autre, car un conflit pas ottils le connaissent trop. qui depuis bien des années lui jour 1er adit à Nuremberg, il passerait Cela rappelle l'épogue où les Ja- rait-il qu'ils souhaitent, même certaines coalitions et de cer- mondial ferait en quelques mois 11 a sa Bible. Mein Kampf, qui avais fait d'avance le sacrifice Alsaciens Lorrains, cobins du plantaient au milieu et aux aux rêve, de détruire les bases taines alliances et à d'autres de l'Europe un tel charnier qu'il en lui impose de ruiner la France de ma vie, je n'en puiséprou. Son collègue Deschizeaux l'in- pont de Kehll'écriteau historique d'une société pour la recons moments l'Angleje joie et de merci à que sens on a pu dire, comme n'y aurait plus de place que me ver l'inscription «Ici commence pour avoir sa avec terrompit : : truire à la manière soviétique-en en 1866, que si la France était pour les vautours, les détrousle pays de la liberté.» terre et asseoir enfin sur le partagé entre un lâche soulageJ'aime mieux attendre. supprimant radicalement les op- intervenue par les armes au seurs de cadavres etles pillards — ment et la honte. » monde sa domination. Noue verrons quand il nous atposants. On a peine à le croire. moment de Sudowa, elle n'aurait venus des steppes asiatiques. Léon Blum a raison de douter taquera. Le chef de la propagande On ne le croit pas. La guerre aujourd'hui ce n'est allemande mérite la plus haute que la paix imposée par Hitler pas conuu Sadan. Et. en atrendant, vous acC'est parce qu'on ne le croit Cet exemple de Sadowa est plus la conquête, ce n'est plus distinction honorifique de l'Em- à MM, Neville Chamberlain et cepterez tous les coups de pied L'offensive pro-allemande imposée à pire hitlérien. A Londres et à Daladier soit solide. Si la France au. derrière qu'il vous donnera ? pas qu'on les laisse à plaisir souvent repris à propos de l'af- la correction sévère de Cité Paris, plus cyniquement encore et l'Angleterre ne sont pas dis- M. Deschizeaux protesta : mettre partout de lentes mines faire des Sudètes. Je le ceois un Prince ambitieux ou à une jour éclatent à mauvais, et je vais dire pour- Nation menaçante, c'est la desqui pourtant L'article à Paris qu'à Londres, ses agents posées à faire droit à toutes les Il ne s' agit pas de cela du sensationnel Timet un — truction brutale, sauvage, de d'Hitler de revendications préconisant la sécession des ter- la stupeur générale. C'est parce quoi. des et dit-il. permission la gouveravec nements français et anglais. Mussolini, dont les journaux — Si, si, il s'agit de cela, ri- ritoires sudètes n'est qu'un épi- qu'on ne le croit pas qu'ils La guerre d'aujourd'hui n'a tous les trésors de la civilisaparticulièrement caractéris- s'implantent partout, tétus et tion, l'écrasement des villes, parfois avec leur approbation, réclament déjà Nice, la Savoie posta M. de Kerillia, Eh bien 1 sode de plus rien tique de la grande offensive commun avec celles des églises, des musées, des h6voulez-vous avis net ? faudra Corse, leur tout Führer la il bien de travaillé le mon et silencieux volontaires bien et toute ont pour du siècle passé. Alors, que les pitaux, des ponts, des chemins menée en ce moment par la Cité pied Des de derrière, découdre coups au jour, dans et allemand. Il a dépensé gros, en un la guerre, je suis en faveur de la thèseallemande. 1 cette magistrale leçon de silence pertes en hommes étaient rela- de fer, des greniers à grains, éviter pour conditions Winston ? M. mais ce qu'il a obtenu est sans quelles A la suite de, la publication reçue à petites doses quotidien- tivement minimes, c'étaient le des prêt à en recevoir personnellecentrales électriques, des prix—la capitulation pure et Churchill a déclaré hier aux ment autant qu'on voudra, et en de cet articje., c:I-.. l.:"prèa midi jnes en vingt anuées du plus plus souvent desirmàom de mé- adductions d'eau, c'est 16IDMM* euUne dangeréox des régimes. GarIls tierqui' atf battaient, tandis que simple de la France et de (,AI- journalistes anglais qui lui ren- plein jour, sur la place de la Con- tn~m**t M. Chambètrlailft des innocents, c'est l'enfer M. Dawson; direc- savent cre Mais je corde de Litvinoff entrevue taire avec Les encore veux Rien de ne d'un daient visite seul « se gouvernegleterre — dans le reste du Pays la vie de Verdun à Paris, à Lille, à coup. du Times, lui demanla Francel qu'on donne pour à teur en Kollontai pas à ments britannique et français en passant par la normale continuait. Industries, moins. der de ne pas persévérer dans Rouen, à Lyon, comme à Colobarbe Sokoline de barbe cette choisir à désréle avaient entre bien Ah 1 je sais ce que commerces, agriculture fonc- gne. Wiesbaden, à Nuremberg, sa campagne. Néanmoins, dèsle ils ont lendemain, le Times revena t à qui semble un linceul à secrets. tionnaient normalement, et la pètent, avec une complaisance honneur et la guerre la charge dans un second article Ils savent se taire — de Lit- guerre, malgré les deuils et les à Munich, à Hambourg, à Lonrésignée, attristée, les porte-pa- choisi le déshonneur et ils autires. à Douvres, et à Praguer Le frein qui, s'il était moins dur dans la vinoff à Kollontai, de Kollonront la guerre. » qu'elle role de notre gouvernement ruines a toujours engenr forme, était tout aussi catégori-j C'est ça la guerre. Ce n'est des dernier secrétaires, Je ne suis pas entièrement L'Intelligence Serviceanglais tai au l'Angleterre pour la première drés apportait quand des même dans fond le le précéque que fois va prendre desengagements d'accord avecM. Winston Chur- est en possession de renseigne- dent. Cet article a été rédigé des secrétaires qui ne sont pas fruits qui, misen balance avec plus la stratégie de Napoléon, Foch ou de Franchet d'Esperey. ments de source sûre qui auto* sous l'inspiration de M. Monta- souvent les mêmes comme s'il les sacrifices consentis, les en Europe centrale I Assez de chill. Les gouvernements fran- risent à penser que Hitler, s'il gu Norman, gouverneur ide la existait là-bas, à Moscou, quel- justifiaient, C'est le déchaînement de la desfariboles bouffonnes qui tour- çais et britannique n'avait pas devra l'aventure. lance dans Bangue d'Angleterre,un des trus- ques trappes ou quelques outruction, y a-t-il au monde une nent au tragique, messieurs 1 cette fois à « choisir entre la se dernière jusqu'à la de En est-il même aujour- seule chose qui compter tees du Times et ami du Dr bliettes pour ceux qui pour. en vail'e la L'Europe centrale est à présent guerre et le déshonneur ». Ils minute avec - l'opposition de la Schacht, le chef d'orchestre de d'hui ? Non, mille fois non. peine? Qu'on le dise. et et qu'on à Hitler et il va s'efforcer de eussent pu encore, selon moi, Reichswehr. l'offensive germanophile en An- raient trop en savoir. Nous en avons eu un petit aperDerrière eux derrière leurs çu avec 1914, mais il ne faut nous dise le résultat d'une pa-* nouer conversation avec Staline contenir Hitler, s'ils avaient Du général Beck à l'amiral gleterre. alsilhouettes massives de bour- pasoublier qu'il y a 25 ans reille hécatombe. Qu'on nous pour régler son sort. Là-bas, montré plus de courage, plus Raeder, le grand état-major dise même s'il y aura un vainlemand est unanime à affirmer de bureautranquilles geois cebx qui nous aimaient nous d'intelligence politique, s'ils ou qu'à l'aviation n'en était encore regardent en pleurant, ceux qui avaient usé pour cela de tous gue le Reich ne pourrait supqueur et un vaincu. Les tombe* consciencieuxqui crates ont saupoids d'une Une balbutiements timides. des le toguerre porter té le pas. une ombre plane et des guerre aujourd'hui serait la des- même glorieuses ne sont tonnous baissaient en riant et en les moyens de pression qu'ils tale. Pourquoi ces omissions jours que des tombes, et les avaient à leur disposition. De- A Nuremberg, fantômes du diccelle nous montrant le poing. crient systématique avant totale truction et ruines les plus émouvantes sont Je Nuremberg, ils comme seront-ils 11 n'est pas bien sûr, même, main, où en Le discours de Hitler contenait tateur sanglant ont soutenu ceux de ses de tous les Pays participant au l'image de la mort, et non l'esLéon victimes. que l'alliance franco-anglaise plains le gouvernement qui cette thèse devant le Fuhrer une allusion fort nette àleM. Les conflit. automatiques armes chef de poir de la vie. .« résiste au Sedan diplomatipue succédera à celui de Daladier. « Nous nous faisons forts de Blum, qu'il appelait cela les combattants faucheraient Et qui, peut-être est-ce liquider les Tchèques en trois la communauté juive Emile BURÉ. qui vient d'être infligé à l'Anséance, quand Litvipoff rompt comme des mouches, tandis Pierre TAITTINGER. semaines, aurait dit le général en officielle suppriLa traduction (L'Ordre, 21 sept.) Pertinax, France. à la gleterre et Beck aunom de ses collègues, délibérément ce passage, de enfin ses lourds silences pour ma mais nos garanties ne peuvent même que le nom de Pierre Cot, parler au nom deson pays, leur aller au delà. » qui fut pudiquement nommé « un donne cette voix dure et méToujours selon les rapports de ancien ministre ,JI.., tallique, cette voix forcée qui l'Intelligence Service, leurs réserfait cingler les mots et siffler ves trouvaient leur raison partijusqu'aux virgules. culièrement dans le fait que, Z.ïiJD guoi qu'en puisse dire Hitler, les Alors, par la vertu d'où ne Pourquoi pas? ~:':~I.:j+,:;:!:;';;'¡:~~1: ,,', ,.':' fortifications de la « ligne Siegsait quelle effroyable magie, le ::,..,iH;~ir:~gK~;< fried » sont encore extrêmement "141 M. Herriot avait reçu du parti délégué des Soviets, le commis;. rudimentaires et qu'un effort de quelques mois ne .peut se com- nazi une invitatiqn à assister au saire du Peuple aux Affaires Nuremberg. Etrangères, fouille l'apathie ocparer avec l'assiduité de l'effort Congrès de dit le d'où naquit la ligne Magjnot. président cidentale d'où L'invitation. ne sait qu'elle de la Chambre, était fortcorrecte. ironique cruauté venue d'Asie Mais me demande, en vérité et fait retentir le Palais de la pour guelle raison elle m'a été adressée. Je ne mis pas précisé- Paix. d'une sournoise invite àla La rençontre lutte. Son masque courtois et ment un admirateur de Hitler. Peut-être voulait-il avoir papelarddeRaminagrolinss'aniQue dira M. Chamberlain à l'occasion de vous rencontrer, dit me. Et de l'Europe à la Chine Hitler quelgu'un. en passant par la mystérieuse envahisses la TchéSi voir, vous S'il veut me — que ne Afrique, la Dame de l'Ariana — coslovaquie, la France, fidèle m'invite Berchtesgaden il à t ou écoute, subjugée, ce Don Juan à ses engagements et au souci à Lyon ? vient il deladiplomatie lui faire sacour de sa sécurité, se rangera, avec gue ne ,,; beaucoup d'autre, nations, dont à coups de trique ! l'Angleterre, premier DOUANE rang au de la nation attaquée. OPÉRATIONS en CHANTAUS. aux côtés Allez-vous être l'homme qui au. TRANSIT 1 vingt valu la millions à mort ra i. ISSgUV^aSŒ d'êtrea humains ? Réfléchissez. Et. pour l'aider à réfléchir, NONCE M. Chamberlain lui proposera ',i!J d'Espagne Rue 63, ûenie chex Mohamedune rencontre à quatre Hitler, SAIGON M- Neville Chamberlain, MussoItmgel,1791ruëCêtinët, lini et M. Daladier, ce dernier représentant la Tchécoslovaquie. Sdgori,«nfêCêl'Hétêl On élaborera un nouveau statut TOUS TRANSPORTS de l'Europe, sans plus tenir DEMENAGEMENTS » CÊnHrmiël compte, du traité de Versailles et du traité de Trianon. -:"';:"";:"';':"--, ":. ,: --- ,,° ju n. i.mi,i .IL mu -'- I u

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NOUVELLES DE FRANCE ET DE L'ETRANOER -

L'heure de la destinée Allemands les pour des Sudètes

— —

par Léon BLUM.

J'ai écrit la lettre suivante

«Je suis partouh

un Chef allemend des Sudètes « Vous vous trouvez aujourd'hui devant une décision de

votre attention sur la gratitude curieuse et sur l'humiliation qu'on a inf'igé à vos amis autrichiens. Mais ce qui est en jeu aujour. d'hui est une chose beaucoup plus grande qu'alors. Si vous repoussez ce que l'E at tchèque peut vous accoider comme maxi. mum en face de la menace allemande et si vous vous décidez à

M. M,USSOLINI

parle au peuple -

Le P. S. F.

par le Professeur F. W. FOERSTER.

Les engagements trabis

UN NOUVEL ÉPISODE

—xox—

En rentrant d'un voyage en Espagne, nous avons trouvé un très volumineux courrier. Dans le fot des lettres qui nous ont (té adressées nous en avons retenu une. Son importancen'échappera à personne. Le signataire, viceprésident du P.S .F., est le meilleur avocat de M. le colonel comte de la Rocque, chef du Parti social français. Cet avocat est dépu'é. Ce député jouit de l'estime générale à la Chambre. Dans sa lettre il est peu aimable pour

italien

Le cabinet de Prague a pour- lisme* totalitaires, mais n'est suivi sa délibération pendant pas disposé à s'incliner devant Nous attendions un discours toute la journée d'hier. Sa ré- leurs entreprises, S'il était ré- politique. nous avons en simpleextrémité, qu'il es- ment à Gorizia ponse est arrivée à Paris dans duit à cette une exaltation de les la puissance italienne et de l'homla soirée. A l'heure où j'écris. saierait de prévenir par tous défendre l'in. me italien. on n'en connaît pas encore la moyens, il saurait teneur. Aucun analyse officielle dépendance du 801 national, Ce n'est d'ailleurs pas nous qui n'en a même été communiquée. l'indépendance de toutes les na- nous inscrirons en faux contre la la signature proposition que pendant les vingt Cependant, je ne crois pas tions couvertes par de la France. Il Cette motion a dernières années le destin a toubeaucoup dans mes me tromper jours »té propice à l'Itatie. L'Italie Mais, majorité. la votée été par conjectures sur son contenu. Le était déjà une grande natioD, avant réconnais, les tels que je ses 1914. elle est, depuis, devenue tchécoslovaque

sachent former b'oc et constituer

l'Europe. Ce n'est pas à M. Mussolini qu'on apprendra la' valeur de

l'Afrique et de cette mer intérieure qu'est la Méditerranée placée entre trois continents, et de ces positions de la Proche. Asie qui permettent encore aux nations européennes de maintenir les grandes masses asiatiques et de contrô'er la plus grande part des richesses de trois coatineete. Mais que ces nations et ces empires— et l'Italie encore une fois en est ne — se quereIJeDI, que les plus forts visant à l'hégémonie cherchent regorgement ou la mise en servitude des antre*, et voilà perdus non seulement paix et le bonheur des peuplee, mais le rempart commun, mais la pci". sance qui ne saurait être que

pottée historique mondiale. 1 .'agit aujourd'hui de sauver le véritable esprit allemand dans le monde d'unecatastrophe mortelle. Vous vous rendez compte que le choix de la fausse route, à cet céder, gouvernement ne pour ainsi dire, vos re. dacteurs avaient dû emp'oyer un empire et un paissant empire. instant, vous ccûterait la vie propositions les anrepousse vendications pas autonomistes au des moyens minimes — car vous tous et précipiterait la cause Troisième Reich et à permettre il demande, des formules encore plus calé Avec mais glo-françaises allemande dans l'abîme de la ma elle n'est pas riche — elle a réagoriques. abus politique la leur éclai: c'ssements des pour monavant tout, Jédiction et de la destruction. En lisé une œuvre immense. Et M. limites du diale paugerma. sans et une discussion. D'autre part. cette heure décisive vous serfz Le texte que je viens de rap- Mussolini a raison de dire qu'elle deviendra nisme, votre pays ne prêts, sans doute, à écouter sans présence du litige sou- peler définit toute la politique a aujourd'hui des frontières sûres. en le champ bataille de d'une Dorsay, mais Dorsay ne lui saura préjugés un Allemand qui dans que levé par l'Allemagne, il évoque du Parti. C'est cette politique et qu'elle est forte « sur terre, nouvelle mondiale. Cela, guerre mauvais gré de inexacaucun ses cette affaire pense tout autrement qu'il a con- du Parti qui a été défendue sur mer et dans les airs comme traité d'arbitrage le Et il c'est certain est aussi I titudes de fait plus de cerqui que pas elle ne le fut jamais »i que vous tous et a la convic- tain ofsacrifice le le depuis Locarno journal. allégations tendancieuses. clu que que vous dans avec chaque jour ses son tion ferme que c'est lui et non frez à votre l'expan. pays avec Reich, gouvernement modé- Il ajoute que ce peuple, dont dont le été défendue Hitler, séducteur et non conducet Elle avec a du Troisième Reich ce sel'élément individuel est un « bloc teur de tous les Allemand*, qui sionutile la répu. Une lettre après officielle allemand, même crois, le je ration, et, avec sani aux Allemands des de métal solidementtrempé », s'il commune. représente la vraie tradition alle- ra même après diation Locarno de a expri. était appelé à d'antres épreuves, gesse. Le «Populaire On voudrait croire que M. Mus. mande basée sur plus de mille Sudètes ni au peuple allemand Reproduisonsla lettre en ques. l'Anschiuss, toujours l'ardente entier. reconnu sans nulle défaillance a n'hésiterait pas une minute. Sans solini, si profondément italien tion ans d'histoire allemande et confirla validité. Je sais bien que M. volonté de paix du Parti non doute. Aucun peuple digne de ce qu'il soit, songe à l'Europe. Namée, toujours à nouveau, par tous Sous la habilement choiforme Au contraire,leTroisième Reich Neville Chamberlain a déjà fixé seulement il s'est gardé d'entra- nom n'hésite lorsque sa vie on son poléon y songeait bier, qui la vc. lesgrands hommes de notrepeuple. d'une sie Er. quê « e » vous pour- à demain jeudi honneur sont en jeu. Mais n'em- yait dans l'avenir « républicaine ou battu et brisé et votre pays nouvelle vi sera il même appuyé, il mais sa Je voudrais faire réflé. a depuis a plusieurs temiines ver, vous M à la- cosaque ». Et après tout. Napopêche que si « l'épreuve uni à la folie du Troi- suivez Hitler. chancelier — s'il s'est site les chir, d'abord, sur ce que j'ai sième P.S.P. toutes de essayé au provoquer une campagne eontre le quelle fait allusion M. Mussolini léon voyait assez clair elle a — sera pr s dans les Cette campagne ne pet t aboudéclaré à deux de vos dépttés filets Reich précautions, démarles toutes devait se présenter, tout l'héroïs- bien failli être cotaque, l'Europe ; Cependant, la Grande-Bretade la malédiction et tombequ'à qui m'ont visité à Berne, au mois divis'ons tir exaspérer « ces et ia France ne pourraient ches, toutes les initiatives qui me du peuple italien et des autres mais elle s'est faite républicaine ra dans le mépris et la destruc- entre nationaux gne de novembre 1918, et ont deman. tion, dévous peuples n'empêcherait pas la cul si l'on définit la république un sort inévitable de tous ceux plorez veus-même. que refuser au gouvernement pouvaient faire barrage à la ture dé mon intercession, à Paris, en qui portent inefficapas Les européenne de s'effondrer gouvernement non héréditaire nom d'Allemand. Mais lui avait Parti le débat le faveur du rattachement de leur Pouvez-vous le douter calomnies tchécoslovaque guerre. imcg!nées contre cona dans le sang et l'Europe affaiblie elle a même nuancé depuis une ? Certaine- ces en Reich allemand. mandat de Rocque dû donné auraient pourtent vous tradictoire qu'il réclame sans aussi pays an ne pas de passer à d'autres continents le quinzaine d'années son tempérament vous soupçonnez la puissao. démontrer qu'en lançant contre violer les principes élémentaires s'incliner devant toutes les en- commandement du mond. ment républicain de que'que chose « A ces Messieurs j'ai dit, à ce inépuisable de l'Empire britan. dir det imputations géants ptn près, cequi suit < Pendant nique. Hitler aussi en a un soup- ses du droit naturel el du droit treprises des dictatures totali- M. Mussolini ne se lasse pas de de spartiate * on ne s'épouvantera désunit mens or gères pas on ne plus de huit cents ans vous avez çon et craint une nouvelle guerre Elles ne le pourraient taires et de faire respecter la répéter à l'Italie nouvelle qu'elle point de cette dureté voulue, de politique. S. le P. F de mais risque on ; vécu en communauté étroite avec sur deux fronts et outre-mer est une Italie « dure, volontaire, ce retour aux origines, si le Des. le P. F. et certains pas sens commettre — je m'étais signature de la France. S. crier entre M monde slave. Sans cesse vous mais, depuis longtemps, il a per. guerrière ». Sans doute des chefs tin veut nous donner un jour sur bons Français des danl'avertissed'en donner permis rancunes donné du allemand et du le contrôle des forces qu'il a sang avez Me permettra-t-on, par sur- comme lui répétaient cela an temps quelque bel horizon bien découvert absorbé dans vos veines du sang déchaîné ; il ne peut plus en ar. gereuses. Est-ce là ce que vous ment — la plus sérieuse impru- croît. mot personnel ? Le de la guerre du Péloponèse et des — tous les peuples de la prèsKofre un cherchez? est campagne Toute •lave. votre histoire est une rêter le développement. Vous et assemblés — nne fêtc de dence. directeur politique du cc Popu- conflits qui suivirent, à Thèbes ou qu'île histoire germano-slave, tous vos vous seuls le pouvez encore en aussi malfondéetfti'inoppo turc. Il serait insupportable que laire à Sparte, voici une pièce de deux la Fédération" dons se sent développés par les refusant, en cette heure ultime, Au lieu de citt à l'appui d'un le » a été deux fois le chef mille quatre cents ans. Et puis Mereprochera-'.on de me dégouvernement tchécoslovaque du gouvernement. A la tribune relations intimes avec le monde de le suivre et en acceptant les procès de tendances des lettres Athènes, vaincu Sparte et &yant plein de oriental. Vous y êtes absolument propositions tchèques. Vous n'avez qui re prouver t r en vous devriez fût placé devant le « fait accom- et dans son cabinet avec l'appro- Thèbes ayant vaincu Sparte, tourner d'un présent dans l'uto. indispensablescomme trait d'union pas à craindre la revanche de rechercher deuxcht ses: I' Si da a pli », non plus par le chance- bation du Parti, du Parlement parut le Macédonien qui vainquit misèrespour me roa!erdans l'idée pie ? Pas d'utopie L'Université allemande au milieu Hitler. II sait qu'en cas d'un acte les élections passées le P. S. F. lier Hitler, mais par la Granfor- tout et fit de la Grèce une pro. d'une Europe fédérale. Chaque du peuple tchèque en est un sym. de violence contre la volonté du a favorisé les chef. radicaux. 2. de-Bretagne et la France. Il el du pays, il a renouvelé année qui passe le crie plus haut mellement le solennité des en- vince de la Macédoine. bole plein d'espoir. Pourquoi peuple allemand des Sudè le Sisa propagnende présente les particulièrement insup- gagements d'assistance mutuelle L'autre jour, M. Mussolini, qui aux habitants d'une presqu'île vousnoyerdans œergermanqte? dernier Anglais germanophile soutient, les excuse, les ménege serait portable qu'une telle position qui liaient la République tché- est lami des Hongrois, soutenait toute ravagée de méchants, délires: Vous ne ponve z que perdre votre serait aux côtés de l'Etat tchéco- de façon suspecte. fût prise par la France, signa- coslovaque à la République volontiers leur thèse et, tant qu'il l'union ou la mort. place dans le monde slave sans slovaque-allemanddes Sudètes.. Sur lepremi r pointvous auriez obtenir, en échange, dans le monde d'assistance française. Me blâmera-ton de y était, celle des Po'onais, non d'un pacte taire de été contraint constater que nod'ailleurs par hostilité contre les Pierre DOMIN.QUE. 9 germaniqueune place conforme à tchécoslovaRépublique qui la telle décision Une avec se« tre parti, résolumentantimarxiste, les avoir gardés par-devant ma Tchèques — il s'en défendait jusvotre individualité et à votre his- rait, réponse même temps, une n'a jamais fait élire un tadical que, mémoire ? S'étonnera-t-on que tement — mais par dédain de natoire. Au contraire, pour mettre bien en de traitement méritée que contre un candidat marxiste. en valeur votre individualité vous vos camarades au j'éprouve, aujourd'hui, comme tionaliste pour un Etat artificiel autrichiens par les Je crois les partis pas que ne naserez gênés dix fois plus que dans Prussieni-qui gouAernent épar. de dégradation en (je résume ses propos) à l'inté stntiment adoptée Dans motion un auxquels préféla par votre tionaux va le cadre de J'état actuel des choses, gnerait à votre se battaient six nadéjà rieur duquel la destruc- rence<iertprocédé différemme t le parti à la fin de été qu'ils ont constatant pays Cong. ès son tions. Il demandait le pléb scite On vous mettra de cô!é sans vous tion totale et peuple allemand ni que votre atprobation, dans au esprit dans leur LeSOUVELUSTE en me pour tout le monde et souhaitait, de Royan — il n'y a guère plus trahis remercier et vous ne serez qu'une mortelle avec le les rencontre U lusion, fais une je libérer tout cas auxqu' a colonie impuissante de la grande de trois mois le passage qui disant qu'ils l'auraient pêut-être si i'ai bien compris, monde en l'obligeant, nous ait manqué. du reste cotrepriseallemande ce qui voulait être libre, prêt à Vente chez Mohamecl. dans son propre intérêt, à une concernait la Tchécoslovaquie été dans leur lettre? Save la même et donner, et sur Sur le second point je puis vous était rédigé « Tout cela je n'ai qu'à vous orientation nouvelle de toute sa aJjirmer en ces termes Léon BLUM. la Drave, la clef des champs à os discours, s il Ismaël, 179, rue Catinat, que ne le répéter aujourd hui en attirant politique européenne. européeaaes, les tribus toutes français veut ménagent pas plus que vous-mê« Le Socialisme (Le Populaire, 21 sept.) à Saigon, en face l'Hôtel Tout peut se défendre, bien sûr, me ou que M. Abel Bonnard, les la paix, même avec les impériajustes cr tiques aux Modéré., con. et ce sysème-là comme un antre, Continental. damment < n tous temps et en tous pourvu que, libérées, les tribus lieux les cliés du marxisme, les européennes, grandes et petites, mauvais cheJ. qui ont abandonné la France a M. Léon Blum, les politiciens qui, ayant de leurs mains eréé le Front populaire et ENSOUT D'ACIER démantelé la France, tel tent ta , divement et timidement de redresNEnj AISEMENTTRANSPORTABUS. ( ser ions tes avouer lesfautes dOrit j PUNI EXTRÊMESIMPLICITÉ. ~--~T ils furent complices. ft'UMfONCTIONNEMENTAUTOMATIQUE. Peut-être aussi vous était-il loisible de chercher à connaître D'UNEStCUltiTÉGAOTANTIE, notre doctrine et à comprendre notre tactique. L' ut e et l'autre nous interdiraient d'accepter le « Front de la Liberté P où M. Jacques Doriot a égaré son parli

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L'une et l'autre nous interdisent de nouer avec le parti radical ou ses chefs une allianéequi seiait contraire à notre objet essentiel : réconcilier sur un terrainneutre et sur un terrain neuf des Français de toutes origines politique?, définir et fonder avec eux l'Etat social et national qui seul peut arrêter la décadente de la France. Je sais, monsieur Doreau, que vous naimez pas le P.S.F. Qn massure que voire tipparttna^ie politique vous incline à nous combattre. Je suistûr pourtant que vous aurez laloyauté d'insérer ma lettre sarisrettrd et sans coupures. Dans cet espoir je vous prie d'agréer, mo~sicur, l'assurance de

Imm.RSEN ;

messentiments très distingués.

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Peul ÇREYSSE,

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Une aspect du drame tchécoslovaque

Non, Hitler

n'est pas

en Alsace

Aujourd'hui, on connaitra Il y a ses agents, on les CODDott, les décisions de M. Chamberlain Mais leur propagande demeure sans effet MarcelFSPIAU.

L'indignation publique précipite la reprise du procès Hines

par

La foule ne cesse de manifester anglais sa gratitude au «premier

Existe-t ilen IAlsace un mouvement de sympathie hitlérienne ? Et ce mouvement est il d'une importance te'le que l'on puisse s'en alarmer ? Il nous a paru que le mieux était de faire sur place les sondages qui s'imposaient. Notre collaborateur Marcel Espiau s'est donc rendu en Alsace, a parcouru tout le pays et voici

on a eu tort. Elle ne groupait

AU PAYS DU RACKET-ROI

-- 00--septembre.

New York, 14

autour deErnst que ces Alsaciens de fraîche date, « colons » ou * fils de colons », que Bie. marckrépanditenAlsace et en Lorraine au lendemain de la guerre de 1870 pour résorber l'esprit français des autochtones. colons i tous « Tous ces

Espoir sur l'Europe

—

Certains, trop pressés de conclure, annonçaient bruyamment que le procès du Racket des Nombres était renvoyé aux calendes transatlantiques. Onavait Parie, 17 Septembre. — La grossir au moment où M. Netrop tôtproclamé la défaite de foule, qui statioonait aux abords ville Chamberlain regagne sa voi. « l'Arge exterminateur du Gang » de l'aérodrome, se pressa avec turr, accompagné par le secré. tant d'enthousiaste vigueur vers taire particulier du roi, plus de en soulignant qu'à l'issue de la le premier ministre que les poli. cinq mille personnes étaient masdernière audience le leader défouir palais l'écarter le la durent devant frasées cemen pour repassèrent mocrate de Tammany Hall avait ces «étrangers yer un passage à la voiture, der. se précipita vers l'auto et l'en, les impressions qu'il rière les vitres de laquelle M. toura de si près qu'elle l'immoen rapporte : la frontière lorsque celle ci, été acclamé par un quarteron Harlem, Neville Chamberlain saluait et agi. bilisa un long moment, pendant Si nous en croyons certaines en 1918, fut rétablieauRhin ! d'agents électoraux de tait sa main gantée. que les acclamations tnmnItnenM; campagnes de presse présentées ils sont, par l'arme et par le à la conscience aussi noire que Londres. — M. Neville Chamberlain, premièr minitire britannique, les hourrahs emplissaient l'esl'épiderme. tandis que* Thomas a pris mercredi soir une décision héroïque et géniale en proposant allemands Dans Whiteball, plusieurs mil. et sujets éclat les de n'ont services pro- sang, et planade. Visiblement ému pai avec Chancelier Hitler de le rencontrer jeudi. Le Führer a immédiateétait au hué vioEdmund Dewey liers de curieux bordaient le trot- cette cordiale manifestation d'une pagandedu DrGœbbels auraient rien à voir avec nos admirables ment accepté et parti à 8h.35 de Hesion M. Chamberlain a renénergules mêmes maintenu police la lemment toir, par par très exceptionnelle popularité, lf en accompli dans les départe- populations alsaciennes et lorcontré à16 heures le ChancelierAdolf Hitler. Puisse de cette entrevue montée et par des renforts arrivés premier ministre répondait sortir une paix durable. y par ments du Haut-Rhin et du Bas- raines' qui, pendant quarante mènes. de la banlieue camion tout en Cette manifestation est dans Voici, M. Chamberlain partant pour Paérodrome, à droit. de lentes inclinaisons de la tête Rhin d'inquiétants l'administration années, applaudit de monde ravages. sous au passage ce des gestes de main. l'ordre normal des choses. 11 y le Chancelier Hitler. rapide du Premier ministre auprès et Ainsi est né un grave malen- l'empire, résistèrent victorieusemois que, pour cette plaiLe retour à Londres de M. Ne tendu. Bien des a un de qui était assis lord Halifax. influence à leur ethnoloinf or- ment gens peu Chamberllnn n'a pas rompu ville santerie quotidienne, les amis Street, Downiog Dans où la culturelle. gique més de la et question ne sont pas complet gardé autour du politicien-gangster ont mofoulen'avait pas accès, Mrs Cham. le silence loin de croire qu'il y a des AlsaBerchtesgaden de l'entretien Leurs manifestations de cc d'au. bilisé la fine fleur de la racaille berlain attendait son mari sur le comparables ciens hier soir, Sudètes auccn jourd'hui à Berlin ou ailleurs, qui peuple le Branx, Flushing aux Je ne pouvais pas faire Pecora. Si Hines avait le malseuil du numéro 10 ; quand il fui ce soir comme — officielle information permel n'attendent q ue ne qui de et la venue descendu d'auto, elle passa son poursuivait-elle, ne sont qu'uu et les slums, en bordure de la mieux, ni autre chose. heur de revenir devant eux. il préciquelque connaître de avec «leur Seiss Inquart, pour se pro- trompe-l'œil destiné aux artifi- Cinquième Avenue. bras sous le sien avec une émouLe District attorney a été serait impitoyablement condam* déclaratiot de la les termes sion — vante simplicité et ainsi posa gra- faite M. Neville noncer ouvertemeut. ces de la Deutscher Schulzbund à Fübrer le plus explicite, plus catégorique né aux 27 ans de prison qui sont par devant les photocieusement Cela serait une grosse mal. et des V. D. A. (Verein des 2.479.000 francs de frais aussi. Le petit Tom uous a réu- le maximum des peines qu'il graphes. Une fois de plus, la petite Chamberlain, encourt. Il reste vraisemblable que ce honnêteté que de laisser s'affer- Deutschtum im Aussland) qui de procédure nis pour nous dire porte noire se referma sur sen secret ; derrière elle, M. Neville déclarations ont été d'une nettetf mir cette contre-vérité. Certains nous ont dit groupe la propagande destinée Je suis que la raison du — Par scandale s'amle contre, Chamberlain s'entretenait déjà et d'une nature telles que le Pre, Tout ce qui touche à l'Alsace aux provinces perdues en 1918. Nous n'avons pas entendu mistrial n'est pas judiciaire, — d'ailleurs, qui, Tous heure. britannique— plifie d'heure en avec les membres du cabinet rts- mier sensible au cœur des cc Ces 1 Alsaciens » sont les trop est mfds politique. On voulait attein- celle fameuse question sur le Racécouter était parti pour treint. rnco Français à journaux consacrent les ce n'ayons mêmes que ceux qu'Hansi cadre, en moi. le républicain. Mes ket de la Volaille, qnand l'allor. pour nous que jugi plus proposer a pour que tard, — plus de colonQuelques instants longues de con- ricaturait avant la guerre d'un déni de justice effet, point, le souci de venir eadversaires ont fait une fausse ney général l'a,soi disant, posée urgent et en nécessaire lord Raacimaa, arrivé, lui, par d'abondants commentaiet à ses'co'Jègnc trô'er ces graves informations crayon courageux, et où ils nes manœuvre. Le procès va repfftl- au témoin Lyon Boston. Croydon, était reçu par le premier apporter lui-même fait l'issue qu'à du cabinet. Le qui nousoffraient vision d'une nous apparaissent, malgré le res. dre, incessamment. Je nechan- Etlesplusnombreux d'ajouter ministre. des journal important plus de sa conversation, M. N ville province de chrz Le nous sous la costume régional dont. Hia sepa- Etats-Unis, le New York Times. gerni rien aux chefs d'inculpa- ingénument Chamberlain a décidé de rappeler turbulente attention du et de raient, comme les parfaits couNous avons bien entendu la lion que j'ai présentés. C'est M. Chamberlain momentanément, à Loadrecr, lord — de périphrases sert ne se pas suffisants, que I question, mais du diable si nous surceux-là, Ronciman incite k penser que, leur donner leur vrai volume. sins du très teutonesque cc pro trop chez dures roi pour dire, entre autres Certes, à Munich, au bout de fessor Knatschké ! » connaissant désormais la véritab't Hines sera condamné. Je ne le pensions qu'une question si simple démocracandidat vérités, l'Allemagne vis-à-vi; au position de Ludwigstrasse, nous ne saulâcherai pas avant qu'il ne soit — alors qu'on nous avait tant * Au cours de la soirée, on apprit de la question tchécoslovaque, i la qu'il Ferdinand Pecora, te, a entré à Sinq-Sirg. Il *< bien- parlé, déjà, d'autres crimes d'abord que M. Neville Chamber. désire connaître avec autan* rions oublier qu'il y a, sous les sera, faute commis très grave, tôt. de nouveau, devant le bench. « une de la pouvait servir de prétexte à lain avait décidé la réunion pour d'exactitude les vues profonde, portiques « florentins Est-ce à dire cependant que — profonde de jugeerreur demain matin du cabinet britan. du gouvernent:nt de Prague. Feldherrnhalle,l'inscription«Sei- leur propagande d'aujourd'hui une Je vous le jure 1 Mon inculpa- un arrêt du procès 1 Ce juge Pe( prof ound mislake in ment a niqur, puis qu'il allait être ce délivrez nous 1 » que l'au. soit inexistante Non. gneur, tion est aussi irréprochable juri- cora. décidément, est un curieux innévltable qu'en l'ab é'ait Il judgemenl) soir mêmr, à 9h 30, rrçu au palais ». diquement que moralement. J'ai guy sence de tont élément certain d'in. teur a voulu être un cri poussé de Burkingham par le roi. Tribune, Mais New-Yord Herald à Le on en a, mon sens, formation, les rumeurs les plu! aussi bien par l'Alsace que par Enfin, l'ami, le confident, le mis trois ans à la bâtir. Les éditorial énormément exagéré dans effets sensationnel, un Les Londoniens que toutes ces diverses et même les plus contra. les autres parties qui ont cessé plus grandsjuristes — que j'avais serviteur fidèle de Dutch Il valu circula mieux juge-président le soient mises dictoires eut peut-être regrette démarches, réunions et visites in. « que en de figurer en 1918 sur la carconsultés, avant d'attaquer le Schultz nous a honorés d'une elleb Quelqueelunes d'en're téressent soudain très vivement, tion. silence derrière abrité certain* présoit se un passer sous les te de l'Allemagne, et entièrement déclaration, qui est bien telle ne se laissent pas de tenter leur semb'ent absolument dénuées dl Allemands considèrent que juridique pour arrêter la nommé Hines l'ont l'ignorance texte actes et dans tenir comme approuvée. Dès qu'un juge anti- qu'on pouvait l'attendre, d'une chance d'apercevoir au passage fondement. Cependant, parmi ce) procédure publique certains ». personnages celui qu'ils appel'ent, dans leur les qui ont tendance à persister, terres irrédentes. Tamminy sera désigné, le pro- *cyniqun fripouille », comme s'indignent Et tous contre qui. Alsace, de mettent ce'le selon trop laqcellr ce en cœurs et dans leur cris «the good il faut relever cès reprendra. J'y travaille nuit l'appellent les New-Yorkais. Mais c'est là une incription old Chamberlain ». Ils étaient à le Fubrer aurait parlé à son inter. sentimentale complaisance à recueillir, non magistrat, qui joue non seule- et jour. Nous Cette vedette du crime politipurement ger- point peut-être des mots d'or- ment avec la justice de son pays, nous retrouverons DowaiD. Street quand le premier locuteur britannique d'une revi. bientôt, tous. dans l'enceinte de que nous a d'abord entretenus ministre parfitpour son audience; sion desfronhères actuelles de 1? manique de laquelle pas un dre, mais certains l'argtnt des mais avec encore encouragela Cour Suprême. Le seul absent de. Coot-ball, de courses de seul Alsacien, en retour, ne ils étaient aux grilles du palais de Tchécoslovaquie. Car contribuables. vingt-neuf les destinés à jeter ments étrangers Buckingham pour le voir arriver. celui qui voulaitm'en chas. chevaux et de base-bail 1 Puis, sera Cette revision serait faite par semblait partager l'esprit. judiciaires du jours de débats dans les le trouble esprits. éclatant de rire, le colossal en M. Neville Chamberlain, qui les soins des grandes puissance! ser. coûtent, déjà, M. Hines leur Et procès cela vrai est si Ils s'y appliquent. Cela est que était en smoking, est aussitôt in. occidentales. D'autre part, il est officiel- forgeron, vraiment frais et rose, 000 67 de la totale dolHitler l'inalui-même, sentant visible. besogne Mais leur somme est troduit dans la salle d'audience Les mouvements de population! lement annoncé que, même si arrogant et brutal, conclut où il fut reçu par le roi qu'il mit qu'elle entraînerait seraient con- nité de certaines espérances, laborieuse. Leur perfidie est lars 1 Soit deux millions quatre au moment de la campagne élecLe seul homme qui m'em. — dix neuf soixante. mille chancevisite publiquement cent à plusieurs trop criante encore malgré leur au trôlés par une commission inter. écarta au courant de sa torale. il est aux prises avec poisonne en ce moment, ce n'est lier Hitler, nationale. reprises d'Alsace de ce qu'il prudence, pour avoir l'audience francs James J. Hines, Dewey sera pasl'avorlonDewey, c'estHitlerI Dans heure et les problèmes des mi- de ceux qu'ils voudraient toules milieux politiques L'audience dura une L'intégrité de l'Etat tchicoslo. appela le seul candidat désigné le Wby dind't he push me off the quart. cher. Leurs efforts restent stéri- et judiciaires, plus que partout Congrès républicain du 28par vaque dans sa nouvelle nmegéo norités. sept, front pages of the papers ? Cet Pendant que le souverain et graphique serait ensuite garantie. ailleurs, les protestations sont Berlin les. Mais voiciqu'à « l'Alcomme l'autorité morale et po- animal-là n'a pas réussi à me ainsi, s'entretenaient ministre les son violentes jugements impiet sacien 1 émigré Robert Ernst, Yves MORVAN. Cela, é'ait nécessaire de litique la plur puissante du remplacer, comme leader, aux la foule, au dehors, ne cessait de les toyables contre serviles cc grand chef de la propgande ledire tout de suite, premières pages des journaux 1.car c'est Pecora, qui ne dépare pas la G. 0. P. pangermaniste, flanqué d'Etti. faire injure à l'Alsace toute Après celle-là, — n'est-il pas de Hioes Le cynisme collection de faux magistrats ghoffer, un écrivain plus turbu- entière que d'imprimer DES ÉTABLISSEMENTS com. dont la Justice américaine n'a J'ai, par ailleurs" interrogé vrai — on peut tirer l'échelle. lent que talentueux, a organisé me il a été fait, sans HeDry MALRIC. une les jurés. Tous sont scandalisé.déjà. souffert trop que » une manifestation « à la mémoi. réaerve essentielle, aku'Hitter (Le Journal) par l'attitude du juge Ferdinand des Alsaciens-Lorrains tomre est en Alsace>. Dewey reprend la lutte bés dans les rangs de l'armée Il n'y est pas, il ne saurait Les allemande de Ferdinand Pecora a donné armes ». SINGAPORE TIF-NTSIN PNOM-PENH SAIGON A,.DC. ; PARIS Strasbourg et la croix de Lor y être. ta aux journalistes une interview Buvez les Rhums TROUVEREZ

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raine voisinant surle fond du décoravec la croix gammée, n'indiquaient-elles point pour les auditeurs quels sentiments véritables Reich nourriseaità l'égard des provinces qui nous avaient été dérobées après le désastre de Sedan ? Pire en. core sur l'estrade, deux jeunes filles : en costumesde Lorraine et d'Alsacienne semblaientimprimer d'une façon plus forte lafidélité denosprovinces du Reich hitlrien ! 000

(A.L,l.)

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ce de cette manifestation, me disait Strasbourg une impor-

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brave Robert, tout de

Dans le taxi qui les emmenait petite Aliette. je n'ai pas été rapidement vers le Luxembourg, sans remarquer l'intérêt qu'elle Philippe ne se lassait pas de con. portait à M. l'Inconnu. J'avais Chez Worth, la recherche du parfois les blouses, qui forment templer sa compagne. Aliette, malencontreusement laissé échapbeauté Lessoins détail nouveau qui retient œU, ainsi des draperies duplus gra. cette Aliette si chérie, elle était per quelles étaient tes idées sur en automne sa fiaDcée, elle l'aimait. Il en le mariage. Qu'avais-je fait là sans nuire à la ligne, est carac- cieux effet. Les ornementsscintillants sont arrivait à douter de son bonheur, C'est bien simple téristique. J'ai beaucoup aimé la au fond, i- Les cheveux le à maîtres. Eu croire impossible après j'avais bordeaux les CDtOUstrass, pierreries, fait deux malheureux. Toi de drap Quand on rentre de vacances, bordure grand lamentables cabochans qu'il de perles, tubes ou jours venait de tu te cloîtrais et l'on n'entendait manteau de fourrant un les cheveux ont besoin spéciaux. vivre. Il avait peur de faire un plus parler de toi que par le docen ciselée avec art. Du reste, paillettes, c'est un ruissellement ! surtout si on a pris des bains de rure les modèles de fourrure sont Même sur desrobettes de jour, rêve, et de se retrouver brulqUt- teur ou ton valet de chambre. mer qui dessèchent inévitablement magnifiques. La loutre orne de en simple lainage, dont la veste ment replongé dans la triste Elle ne me parlait que de ton le cuir chevelu et rendent la nombreux ensembles ou indignité, de tes défauts, de la man- ajustée fait un ensemble discret, réalité. chevelure lourde de mate. teaux, par larges bandes. Le loup nous voyons, dès la vesteenlevée, Les deux jeunes gens ne par- façon ridicule dont tu lui avais Le cuircheveludoittout d'abord et le lynx, laient pas. ils se tenaient simple. menti. enfin, il était toujours particulièrement clairs, un rutilement merveilleux. avoir de la graisse pour ne pas donnent des cols énormes J'ai beaucoup aimé les fleurs ment la main, qu'avaientils besoin question detoi. Quand elle croêtre.encore plus desséché par le descendent en suite tout lelong qui des en diamant remplaçant les boutons de mots pour se comprendre yait que je ne l'observais pas, lavage employez pour cela de devants en parures somptueuses. sur les fermetures. Leur présenceet la certitude qu'ils une sombre tristesse s'emparait l'huile de ricin que vous faites A côté des charmants ensem. La ligne des robes du soir, en avaient de s'adorer l'un l'autre d'elle, ilne fallait pas être grand bien pénétrer, Le mieux estde le bles pour la rue, dont plusieurs veloursousatin,estunpeu 1900,cor. suffisaient à les rendre ineffable. clerc pour s'apercevoir que vous faire le soiravant de vous coucheret sont verts, on représente des rigée par des réminiscences 1880. ment heureux. aimiez de toutes vos forces. de laisser l'huile dans les cheveux robes de lainage simple rehaus. Corsages serrées, jupes longues à Mais le taxi s'arrêta devant les vous Robert s'interrompit un instant, pendant la nuit. Mettez un essaie. sées de minutieuses broderies ampleur grande du rejeté grilles Philippe jardin, arrière, et ou en et passa sa main sur son front. main sur la tête pour ne pas d'effets bicolores. Les assemblages souvent pouf. Aliette descendirent, Des robes et se diri. avec un Pourtant, reprit-il, je ne graisser l'oreiller. — de la lerrasse, étudiés, tulle noir, très brodées de bandes gèrent vers rubis et de tons sont à l'endroit m'en suis pas aperçu tout de suite, Le lendemain, on se lave les noir, bordeaux et cardinal, carou- ou de raies pailletées, semblent même où ils avaient fait connais. j'avais probablement d'autres cheveux soigneusement avec un bier et inviter à la valse. Bruyère a choisi sance. Le jeune homme pressa le idées en tête. Je tyrien. vous demande champoing qnine contient pas Les rose collection décolletages d'hiver coude de sont moins pour sa sa compagne en murmu. pardon d'avoir prolongé votre une d'alcalis. On humecte d'abord dénudants de couleurs saison dernière. gamme qui lui est rant que la martyre. les cheveux et on verse un peu de Je personnelle Chérie de jupes à nombreuses 1 part quelques Il y a tnis jours, quand je remarque « champoing tout en massant bien. montées moutarde Elle leva sur lui ses yeux fus certain de votre mutuel et tabac, ce ne sont qne les hanches et non à amour, Les champgiDgs sans alcalis ne la taille. sur de jeux de Quoiqu'il doux, dons. des et si ait sombres entre terrenuances, y mo. j'eus grande conversation une donnent pas d'écume ou très peu dèles étroits, la plupart des robes cuite, bordeaux, bourgogne, porto Aliette, Robert étaii assis, il leva à et j'arrivais à lui se avec pendant le premier lavage. Mas. du soir sont excessivement larges. caroubier, carmélite. leur approche et, tendant la main faire admettre la vérité. sez bien les cheveux et rincez. L'élément moyen âge côtoie le Un gros succès est allé aux en. à Philippe, lui dit gentiment « Le reste a été tout seul, j'avais Recommencez exactement de la Second Empire et les splendeurs sembles tricots faits à la main. en me permettre.-mon pris rendez-vous ce matin avec même manière, vous aurez a'ors de Byzance. — Veux, En laine souple velue et ou en soie cher Philippe, de t'adresser toutes ton père, et je lui ai raconté que une forte mOUlle. Rincez bien Mainbocher reste fidèle à la mate, ils seront faciles et agréa- mersvives et affectueuses félicita. tu avais l'intention de lui faire pour qu'il ne reste plus de savon, haute élégance qui le caractérise. bles à porter. tions à l'occasionde tes fiançailles une petite plaisanterie, il n'a pas mettez un peu de vinaigre dans Sa collection présente des lignes matelàssès jouent un grand avec Mile AUctte. Quant à vous, résisté an plaisir de t'attraper Les l'eau. très personnelles. Dès le début, rôle dans mademoiselle Aliette,vous connais. lui-même, et voilà, 2' Le teint ans. j'ai été frappée de la largeur des si bien toutelesla collection, Philippe remercia chaleusement manteaux que sez des sentiments à cet égard, pour Quand le hâle de l'été a dispa- emmanchures pour les robes, et les ensembles de jour ou du Vais.je fin son ami, son fidèle Robert, à qui savoir le de mot pour r.!!:? taches quelques — .'Ci; V souvent ru. il reste soir. Une jupe très en forme, rai- l'histoire, de la merveilleuse his- il devait son bonheur, mais il ne brunâtres très laides on peut les die par le matelassage, est pré- toire ? dit Philippe après avoir put s'empêcher de questionner enlever avec le masque de ohoge citron et quelques gouttes d'eau. sentée Mais Robert, ce que tu étais par-dessus une culotte de remerciéson ami. Il parait que — suivant: mélangez en parties Etendez le masque sur le visage drap noir à poignets de velours c'est toi qui détiens la clé de venn me dire un jour égales de la farine d'avoine et du qui été préalablement Robert répondit, sans lever les lavé et Jabélia, Voilà qui fera le bonheurI l'énigme. a son, délayez cela avec du jus de laissez ce masque jusqu'à ce qu'il des frileuses court vêtues. yeux : Eh bien, asseyons-nous. soit entièrement sec. Ensuite,lavez — — Imagination, mon vieux ,.., Pour le soir, de magnifiques Avant de serais je commencer, le visage avec un savon bien doux robes de velours pure imagination. noir, froncées Philippe, don. heureux, tu me Puis il se leva, tendant la main de crème grasse très amples, ont des arabesques nés des détails surque et I ilet neenduisez-le le beau pays aux jeunesgens,etprit congé d'eux faut surtout pas omettre la de strass, légères, lègères. que tu as visité dernièrement, j'ai en disant crème, car le citron dessèche for. tement la peau. 04.L.I.) nommé la Belgique japonaise. — Vous devez avoir des quantités de choses à vous dire, et Philippe rougit Ro- ma présence vous gêne un peu. — Je te demande pardon, bert. j'étais malheureux, et je ne ne protester pas, ce serait uniquement par politesse, ce n'est souhaitais voir personne. pas de mise entre nous. En jour, aussi beau je un ne — Il s'éloigna à grands pas, écrapuisfaire autrementquede par. donner. Maintenant je sensque tu sant sur son cet!, une larme grilles d'impatience de connaître qu'un moucheron, un grain de les raisons de tes fiançailles in poussière, peut-être, y avait fait Vous vous souvenez du cas néseraient privés de lumière extrémis, je vais satisfaire ta légi- naître. Lucien BORNERT. pathétique de la petite Hélène ou bientôt fermés à jamais, com- time curiosité. Colan ? HélèneColan est cette me il fallait s'y attendre, le jury pouponne infortunée, atteinte vota l'intervention.

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Voici trois modèles très seyants. Le plus petit, qui est déjà très en vogue, rappelle un chapeau d'équitation du vieux temps avec

son bord relevé très haut et sa

plume. Le grand chapeau marin est bordé avec an large ruban de gros-grain, et le troisième mo. dèle, un sombrero gris, a un gland artistiquement fabriqué, qui tra. verse le haut du chapeau, -.

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d'un çancer/t l'œil. pour laIl y a six mois de cela. six quelle on dut choisir entre la longs mois pendant lesquels mort et la cécité. Non opérée, l'enfant, martyre de maux in. elle ne pouvait vivre opérée, nombrables, cessa pas de elle resterait aveugle. souffrir. Les chirurgiens auxMise en demeure de se pro quels on l'a confiée à nouveau redoutent cette fois, nous dit on. noncer — le mot, ici, n'est-il la mère optait, une issue fatale. Ainsi, dans pas atroce ? après quel affreux débat, pour l'espoir de la sauver aura-t-on prolongé supplice d'une brève la première solution. existence faite de douleurs sans Cela luivalait tant de lettres fin. de reproches, et si véhémentes, Que pensent, à présent, ceux de la population new-yorkaise, laconstitution quilacondamnèrent à vivre?

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événements ont eu sur les finances publiques. Sitôt approuvés par le Conseil de Cabinet et le Conseil des Ministres Mardi, ils seront déposés sur le bureau de la Chambre. - Les milieux autorfsés précisent Jeudi. deur d'insister auprès de son que le Parlement entendra Mardi Gouvernement pour un nouvel une communication du Gouverne- Bruxelles. — A la suite de effort d'arrangement à l'amiable. ment sur la situation internation, l'amélioration de la situation inM.Bonnet, en liaison avec M. aie. Une discussion interviendra ternationale considérable la Bel. Daladier qui, de son côté, confé. éventuellement sur cette question, gique a décidé de remettre l'ar. raitavec l'Ambassadeur des Etats. mais on ne prévoit aucun autre mée sur le pied de paix. Près de Unis sur le second message du sujet de débat pour cette séance 300.000 hommesseront ainsi ren. dus à leurs foyers. Président Roosevelt, rédigeait des exceptionnelle. Berlin. — Le D.N.B. annonce instructions adressées à l'Amque les délégations d'Allemagne bassadeur de France à Berlin, à Bruxellei et de Belgique à Ber. M. Bonnet pensait qu'une déUn sont transformées en ambas. marche directe auprès du Chansades. celier Hitler pourrait avoir que!. Paris. — La Fédération des que efficacité et estimait essentiel Garibaldiens de l'Argonne et les que les demandes du Fûhrer ayant été accordées par le mémorandum anciens volontaires itatiens de préoccupé Daladier s'est de anglo-français, il aurait été ab- M. l'armée française, sous la présila démobis'effectuera surde d'engager un conflit général l'ordre où dence du Capitaine Marabine, a Général avec le adopté un ordre du jour disant sur des divergences relatives à lisation, d'accord des dates d'occupation du terri. Gamelin. Les dispositions sont que les Garibaldiens se sont tou. prises pour la libération de cer. jours et fermement refusés à toirc des Sudètes. M. Bonnet donnait également tains échelons. admettre l'éventualité d'un conflit démobilisation sera progrès-1 franco.italien. des instructions à l'Ambassaduur La de France à Londres de deman. sive, à mesure que s'accentuera la Ils n'ont pas cessé d'être cer. der à Lord Halifax d'envoyer détente internationale et compte tains, jusqu'à la dernière minute, des instructions à l'Ambassadeur tenu de l'âge et de la situation de qu'une heureuse initiative empê d'Angleterre à Rome pour que le famille des intéressés. cherait cette lutte fratricide. Ils restitution do adressent publiquement au peu. Par contre, la Les sentiments du Conseil ont Duce intervienne auprès du Füh. été interprêtés au nom de ses col- rer en faveur du maintien de la matériel et des animaux réquisi- ple français l'expression de leur tionnés s'ctfeciuera rapidement. fraternité indissoluble. Ils espè. lègues par M. Chautemps que M, paix. Jeudi, après avoir reçul'AmbasDaladier a remercié. Il a demanrent qu'une ère réparatrice eteonsdé que M. Bonnet soit associé au sadeur d'Angleterre,M. Mussoli. tructive s'ouvrira dans le cadre témoignage qui lui était adressé. ni téléphonait à l'Ambassadeur d'une Europe réorganisée et paciIl a été décidé de convoquer d'Italie à Berlin de téléphoner au fiée. les Chambres pour Mardi. Chancelier Hitler. Berlin.— La Cie Lufthansa fait Au Conseil des Ministres, M. A 14 h. 15 M. Vou Ribbentrop savoir que l'avion transatlantique Lebrun a associé M. Bonnet à recevait M. François Poncet et postal D. N. 80, ayant quitté Na. l'hommage rendu à M. Daladier lui transmettait une invitaiion tal pour Backhurst, a disparu. et a tenu à le féliciterpersonnelle. pour M. Daladier de se rendre à Des recherches ont immédiatement. M. Daladier, dans son expo. la conférence des quatre à Mument été entreprises. sé, avait également souligné la nich dont M. Hitler acceptait le ** part importante du succès obtenu projet comme MM. Chamberlain et Mussolini. qui revenait à M. Bonnet. Budapest. — Le Général Fis. Berlin.—Lestroupesallemandes, cher, chef d'iitat-Major général Général du Von sois la conduite de l'armée hoogroise, a donné sa Leebe, ont traversé à 14 heures démission pour raison de santé. la frontière germano-tchécoslova** * Le 29 Septembre on apprenait que dans la forêt de Bohême et ont commencé l'occupationdela Ire Hanoi. que le Chancelier Hitler envisa. Hier au soir a eu — geait la mobilisation générale. zone en vertu de l'accord du 30 lieu à Hanoi un exercice de déSeptembre, Conscient du danger, M. Cham. fense passive qui a consisté à d'occupades L'entrée dans berlain, zones un message person. l'extinction de l'éclairage public Sudètes des militaires tion est nel émouvant, avait averti M. et au camouflage de l'éclairage jusqu'à nouvel ordre interdite Bénès des menaces du Fübrer. Paris,— Il y a lieu de penser privé. A 20 h. l'Ambassadeur bri. que le Parlement sera saisi Mardi aux Fersonnesvenantd'Allemagne. L'exercice a été exécuté sans tannique communiquait à M. Bon. des projets financiers dont le Leur survol est également pro. signal particulier entre 19 h. 30 et net copie du message. dépôt se trouve nécessité par les hibé. Les réfugiés sudètes fron. 20 h. 15. D'une manière générale taliers ne sont pas soumis à cette la population observé la consia interdiction. volonté et disci. bonne gne avec pline. Partout l'ordre a régné. Aucun incident ne s'est produit. Un deuxième exercice est prévu prochainement et sera annoncé par les sirènes. senti à désespérer de la paix, estimait que tout devait être mis sn œuvre pour éviter la crise. Recevant à 22 heures l'Ambassa. deur britannique qui lui remettait une longuenote du Gouvernement britannique, il a prié l'Ambassa.

La démobilisation

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M. Bonnet

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Pologne menace

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LaChambredesdéputés est convoquée Au Conseil

des Ministres ——a——

Pans,"1er Octobre, (A.R.I.P). Le Conseil des Ministres s'est réuni à 18 heures et s'est terminé hier à 19 heures. M. Lebrun a interprété le sentiment du pays pour remercier

M. Daladier de son patriotisme

éclairé et vigilant et le courage civique avec lequel il a assumé et rempli sa grave et délicate mission qu'il a menée à bonne

l'occupation des zones sudètes

A chacun sa part

a exposé les ciations de Munich et les condi.

fin. M. Daladier

Les Allemands ont commencé

négo-

députés se réunira mardi

tions dans lesquelles avait été

établi l'accord qui assure en Europe le maintien de la paix. Le Conseil, à l'unanimité, s'est associé à M. Lebrun pour adresser à M. Daladier ses félicitations et ses remerciementsles pins chaleureux pour l'effort décisif qu'il a fait dans l'intérêt de la France et de la paix.

--00--

TURF.

Réunion du 2 Octobre 1938

TABLEAU COMPARATIF DES PRONOSTICS DE LA PRESSE

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INOUVELLISTE. COURSES 1 KimPhang.

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Varsovie.— La Tchécosiova. '1 quie a acceptédeTaoSner entière et pleine satisfaction à la note Les problèmes uropéene polonaise pour le transfert de la polonais Paris, 1 région de Teschen — en La détente interna. — Cieszyn — à la Pologne. L'éva. tionale provoquée par l'accord de transfert réale seront cuation et 1 Munich sera mise à profit pour lisés en 10 jours à partir du 2 hâter la solution des divers Octobre. prob'èmes européens qui se posent actuellemant, Certains sont antérieurs à la conférence de Munich camme l'Affaire d'Espahne. Diverses indications recueillies à Munich laissent croire que M. Mussolini a voulu étendre la por. tée de la conférence et ajouter Londres.— Des permissions en à son programme les autres ques. nombre limité seront accordées tions. Le peu de temps dont les quaaux territoriaux de la D. C. A. et de la défense côtière, mobilisé. tre hommesd'Etat disposaientet Lundi. le manque de préparationde leurs mobilisés entretiens les ont limité à la réaréservistes Les n'ayant pas rejoint leur dépôt ont lisation de l'accord destiné à em. Le Pbostào froid est on goûter délicieux été avisés de considérer l'ordre de pêcher un conflit. VWVWWVWVWWVVWWWV^WWVV mobilisation comme suspendu. Pendant la séance de travail M. DuffCooper, Premier Lqrd officiel lçs quatre cbefs de Gou. de'l'Amirauté, a donné sa demis, vernement et leurs collaborateurs sion. II a justifié sa démission ont eu l'occasion de mettre au par sa profondedésaprobation de point des projets dont certains la politique étrangère que pour. prendront corps dans un avenir suit et parait devoir pour. prochain. Ztplupwfdirkdaàw sont immédiats suivre le présent Gouvernement. Les problêmes ai»reconstituant Lephuptàmmi d'enthousiame Lt phiexquis dé. scènes Tchécoslo. Des ceux ayant trait à la des déjeuner. lirant se sont proiuites à Londres vaquie. J Quant an rôle que la Commisà l'occasion du retour de M, SORS ttHANTILLOlY DVOI FRANgO D'UNI Chamberlain, mission internationale doit jouer, il est considérable. C'est elle qui doit fixer avant le 10 Octobre les limites où les troupes allemandes devront arrêter leur occupation. .111!11lllllllliliimnfiftliillnmmC'est elle qui doitspécifier quelles sont les régions où le plébiscite aura lieu. C'est elle qui organi. Tout en gardant une attitude des Sudètes est le prélude d'une Rome. — M. Mussolini a été sera les opérations du plébiscite. dépend la plus mesurée, la Hongrie attend expansion de l'Allemagne vers accueilli à son retour de Munich C'est d'elle enfin que de toute s questions qui également que le sort de ses mi. l'Est. par un peuple enthousiaste. Il s'est solution borné à déclarer «Camarades, pourraient surgir à. propos de norités soit réglé. « Si ceci s'approche de la vél'accord de Mu. de l'application La garantie allemande et ita- rité, écrit M. Steed, comme je le nous avons vécft des heures mé. nicb. lienne des nouvelles frontières crois depuis longtemps, n'avonsmorables à Munich, Nous avons allemanL'entrée des troupes de la Tchécoslovaquie dépendent nous pas l'obligation de nous as. travaillé pour la paix et la justice. donner des doit principe de ce double règ lement. ne en N'est-ce pas là l'idéal du peuple surer que les Allemands des SaGou. le difficulté, lieu à aucune italien ». dètes obtiennent un réel droit de vernement ayant donné son adhélibre disposition d'eux-même* sion à l'accord de Munich. Mais En Autriche le plébiscite au. il est évident que des questions rait abouti à une majorité contre de politique intérieure tchèque lerattachement au Reich s'il ne peuvent surgir d'un moment à s'était déroulé'sous la terreur. l'autre et modifier la situation qu'il a montré une large Londres. — M. Wichkham alors Londres. — Les préparatifs looale. majorité dans l'antre sens. 11 ne de défense contre les attaques D'autre part la question des Steed. publiciste bien connu, étu- faut pas que cette procédure se aériennes ont coûté durant lader- minorités polonaises et hongroi diant aujourd'hai dans une lettre reproduise en Tchécoslovaquie. nière quinzaine 16 miJUOIude li. ses en Tchécoslovaquie appel. au «Times» la portée du principe Sile transfert de tout ou parvres. Le coût total desprépara, fe une rapidesolution. Dès de» Self détermination» et le sens tie de la région des Sudètes est tifs militaires sera d'environ 30 hier la Pologne a pris une attitude véritab'e du mot, cite les passages nécessaire il doit s'opérer au momillions. menaçante qui été jugée sévère- d'un article publié par un AUe. yen d'un choix écrit individuel et mand des Sudète dans un journal secret et dans A la réunion des « Lloyds rement à Paris. une amosphère Underwriters les compagnies M. GeorgesBonnet reçu suisse suivant lequel plus de 50% dépourvue de terreur. S'il n'en d'assurances ont dressé tu baré. l'Ambassadeurde Pologne et les des partisans de M. Henlein ne est réductions modalités d'une discussion ont désiraient pas le rattachement an tionpas ainsi la a Self déterminame temporaire à apportera non lapaix matt Rlida. l'iuuMxiondes territoires I un flaire*t 1

Divergences

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Une opinion

Nouvelles-diverses

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Social Fonds de Reniement mis à la diapositioa de la alaCiae Franco-Chinoiie (contrat degérance Chine de la Banque Industrielle de

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La Chambre des

en France et Angleterre

En vue de la démobilisation

*1 7 BUVEZ BUVEZ VINH-HAO

autorisée

Les curiosités

Alan

de ta science allemande

Seeger, notre frère d'Amérique par Paul GALLAND.

par Georges GOYAU, de l'Académie Française.

Récemment M. Jean Zay, Ministre de l'Education nationale et M. William Bullitt, Ambassadeur des Etats-Unis, ont inauguré Bléraneourt un pavillon à la mémoiredes volontaires américains tombés le sol de France. Dans ce pavillon se trouvent, entre autres reliques, celles qui rappellent le jeune poète américain Alan Seeger.

sur qui fut la un passé cc racial gloire de homogermanicus » ce démenti doit cesser. Le naA New York, le 22 juin 1888, vieille Terre où s'est transplanté Le 4 juillet 1916. à l'heure H, veloppe de chair d'une âme mazisme l'exige et la science Alan Seeger. le caporal de la Légion Alan gnifique. une mère eut un fils allemande » l'exige, Seeger s'élançait, à la tête de ses Ce destin — le destin de Guy. Dans cette métropole du né11 voit ses jeunes compagnons hommes, « Ce n'est qu'en étant Allepour reprendre à l'en- nemer — le fait nôtre tout à ses yeux français le quitter pour aller au mands, disait encore Nietzchede goce, un enfant, dès queformes découvrir les et rude devoir. Ces insouciants sont vahisseur lesruinesqui représen fait et pour toujours. peuvent Mort, il continua de servir. ses compatriotes, qu'ils pensent les couleurs dès son intelligence, devenus des hommes. Leur tran- taient levillage de Belloy-en-SanCe don qu'il nous fit de sa pouvoir distinguer entre les va- est capable d'ajuster des pensées quille fermeté lui semble un terre, morceau paysan de sa tervieentraîna dautres dons. leurs et lesnon-valeurs dans le sur ses perceptions, fait commer- divin cadeau. Il les envie. Mais re d'adoption. C'était, de rêves et passe contrat avec n'est il pas leur frère, de li par une merveillense Lorsque les Etats Unis entrèdomaine historique ce n'est ce même race spirituelle ? N'est il coïncidence, l'anniversaire de rent dans la lice, les poèmes dront et adhéreront il attend qu'alors qu'ils pourraient décou. l'Idéal. d'Alan Seeger furent lus dans Il a reçu cette faveur de vivre, pas digne, lui aussi, de souffrir ? 11 dépendance Doy. d'eux une foi qui sera comme vrir les véritables valeurs. » si prèaet loindu tumultemer« Comme il était pâle — note les bureaux de recrutement, dans Ils sont à peine hors de son éclose de leur sang. a0a cantile. dansune île de la vaste horizon qu'il décide de les sui un de ses camarades — sa haute les réunions publiques, dans les justice de fer !» , A vrai dire, L'Allemagne du haut Moyen baie ouverte sur l'immensité,aux vre. D'une plume ferme, le poète silhouette se détachait sur le écoles. tendances ces Le même honneur luiaété. ces Le prophétisme de Nietzsche d' un monde que les signe cette vert des champs de b'é. d'état civil : fond ne sont pas absolument nou- Age se montrait plus perspicace, avant-postes prose il était le plus gran d de la sec jours ci. décerné. p)urlecinquana vainement poussélecrid'alar- velles au delà du Rhin. Si nous plus accessible à des conceptions routes marines relient à un autre un engagement à la Légion étran- tion, la tête hiute, le regard fier. tième anniversaire de sa naissanmonde. Peu lui importe le trafic gère. me, Ouvrez certain livre de nous reportons la série d'ou. plus humaines, Lorsqu'elle s'es- transatlantique. Les navires Je le voyais courir la baïonnette ce. Dans toutes les classes de ne M. Paul Lamberty, publié à le front, des Au misères sont au canon. Bientôt il disparut. » France. nos enfants ont ente..du vrages par lesquels M. le baron sayait, dans le vieux poème in- sont, pour lui, comme les nuages lot de celui qui rêva de combats. Klagenfurt, et qui s'intitule Durant la nuit, on l'entendit cette voix d'outre-tombe qui les Seillère s'est illustré comme his- titulé Héliand, à raconter en que les oiseaux de l'aventure. leurs charges d'épopée. chanter de vieilles Chansons instruisit de la « haute camaraUne contribution à la mise à A 12 ans. on l'emmène vivre conduites avec torien philosophe des courants vers les grandes scènes dt les clairone. leurs françaises. Au petit jour, on le derie » de * ceux qui, combatpar l'écart de l'enseignement étran- contemporains, Mexique, dans décor. Au autre un d'acier, l'histoire froissements évangélique, elle ne deux civilisations aux nous y retrouveretrouva, muet pour toujours, tant pour le bien d'autrui, nous superposées escrimes ger : Ex Oriente lux 1 Vous y rons certains écrits qui, à la pouvait se défendre de la tentaC'est la leurs gestes pathétiques. couché sur - le sol reconquis. On-- enseignèrent la dignité d'être lui relèvent leurs beautés, tantôt lisez qu'en une très ancienne fin du dix-neuvième siècle, tion de prêter au Christ, con- accommodées, tantôt demeurées guerre des taupes et dos oiseaux l' enterra, un peu plus loin. dans hommes llsaprirent comment" ou au Germanie vivaient des hommes- début du vingtième, élevaient se poursuit mono- un petit cimetière, parmi des pour que d'autres générations ductenr de ses douze Apôtres, contradictoires- Il prend con- de nuit. Ellefois en fois plus cruel- vieux de Chez Nous lumières, et qu'ils furent les faveur du germanisme des tone et cent puissent - dans les ans à venir, Europe latine détact quelques attitudes, avec une quelques re. les dans la boue, le le, et Mais libres de oppression et dela mefallait qu'il fût plus sang premiersreprésentantsde la civi- vendications singulièrement im- allures, marquée. Déjà la Muse l'inspire. ténèbres. On bat lesquelles il par pas on intimement encore mêlé à la glè- nace — posséder un plus rîche sem. ne se lisation. hommes-lumières, se prévues, et réclamaient la il homme, revient Jeune Veilaux s'écrase, blait be française. Le canon fouisseur héritage de bonheur, il marcha s'apparenter, en certaines entre anonymes. qua. Etats-Unis. A l'Université de lant ou dormant; on attend son éparpilla répandirent sur toute la terre lité d'Allemands ce qui restait de l'en- à cet heroïque martyre. » pour nombre minutes, aux Fiihrers germains Harvard, il confronte imaD'eux sont issus les Grecs et de d'avance. de enterré ses mort, tour personnalités historiques de l'époque mérovingienue; de ginations avec la réalité des les Egyptiens, les Perses et les étrangères à l'Allemagne. Mais Comme il doit souffrir lepoète chef de la troupe apostoli- textes. 11s'alimente du miel amasce Etrusques ; ils furent les pères Connaissez cette âme qui s'est cet audacieux effort pour l'an- que, le poète, à certains mo. sé par tant d'abeilles. Dans les de tous les arts la lumière, nexion germanique de certaines ments, parlait et nos chansons fixée sur un sommet : d'un chef vieilles épopées comme GOUVERNEMENT GÉNÉRAL DE L'INDOCHINE il apprend une histo re elle n'est pasvenue del'Orient, gloires de fermes fut là Ce geste, que, an« nettement exotiques, de bande. plus belle idéalisée, la imbrisable la vraie. chaîne de c'est eux que l'Orient en fut1 n'aboutissait à rien de plus. que neaux Mais, en dépit de cette demi- 1 tombe en vain le coup Ion où redevable. U a 24 ans quand il touche Guillaume de 11, qu'à germanisation de la figure du au temps France.11s'est à un guement prémédité, caeurs dignes la terre de •% TROISIEME EMISSION 1938 suggérer quelques paradoxales Christ, l'Allemagne du haut tel point préparé à cette eacale. de l'honneur et de l'épreuve, maintenir les Car voici qui devient plus synthèses; elles étaient lentes Moyen-Age veillait, dans cette qu'il lui suffit de quelques mois nous aidâmes deà l'Aisne. » à exercer une influence dansle épopée, à ne point défigurer le pour pouvoir chanter dans la lignes le long pittoresque encore ces Alle4 séries de 200.000 billets de 1 piastre Racine. en de langue domaine Il alors l'honpolitique. évangélique proprement elle mands de la préhistoire, ils message « ne connut pas accepde la balle qui Telle fut formation d'Alan la tue, mais neur » furent — retenez votre impresPour qu'en dépit de leur tait que le Dieu qu'elle avait du froid qui meurSeeger, poète et paladin. « l'épreuve sion de surprise — les précur- absurditéelles eussent enfin une adopté fût le Dieu de tous les PREMIÈRE SÉRIE DEUXIÈME SÉRIE trit les poumons. Le Août,.. drame 1914. grand elle voulait l'aider seurs des Juifs.Oui, des Juifs répercussion sur le terrain na- hommes Notre air pyrénéen lui rendit N° 000.000 à 199.999 éclate, dont les épieodes se N" 200.000 à 399.999 leurs douze tribus devançaient tional et même international, il dans ses conquêtes elle le por. joueront 4705 lots 4.705 lots en mille décors de la santé. Il repartit. Navait-il païens d'au-delà tait du aux les douze tribus juives.Juifs est, a fallu l'avènement de l'hitlérisJ'ai rendez-vous dit l'univrri. « avec pas Tirage à Hanoi Tirage Hanoi de Vistule. Niémen la la d'aprèsM. PaulLamberty, un mot me. Le national ou mort. premier socialisme » Le acte déroule se* le 12 Octobre 1938 Cette le 9 Novembre 1938 antique Allemagne, dans d'origine gothique, c'est-à-dire a trouvé dans ces élucubrations Et la mort vint au rendez vous. péripéties de sang sur cette 4000 1lot de 4.000 1lot de germanique. C'est un nom go- philosophiques l'occasion de sa ferveur de néophyte, avait le 1.000* 8 lots de 8lots de 1000 l'Allethique, aussi, que le nom de faire régner l'Allemagne, même sens du christianisme 16 lots de 500 16 lots de 500 Jésus, un nom gothique que le préhistorique, sur l'ensemble de magne hitlérienne est menacée 80 lots de 80lotsde 100 100 l'humanité les défaites de 1918 de le perdre. nom de Christ ! 200 lots de 50 200 lots de 50 (j,L.I.) Et M. Paul Lamberty est con- furent en contradiction avec 400 lots de 400lotsde 25 25 (Reproduction, mêmepartielle, vaincu que sur les bancs des cette vocation de l'Allemagne ; 4.000 lots de 4.000 lots de 10 10 Universités allemandes s'assoient elles furent un démenti à tout interdite). de diligents étudiants qui, tôt ou TROISIÈME SÈRIE QUATRIÈME SÉRIE (Forges, Ateliers & Chanlïers d'Indochine) tard, avec la protection du Dieu Electro-domestiques N° 400.000 à 599.999 N'g 600.000 à 699.999 N' 20141 — Quai de la Marne, Saigon allemand, retrouveront, parmi Téléphone A Appareils T* H 4.705 lots 4.705 lots les inscriptions runiques, les Toutes applications Tirage à Hanoi , Tirage à Hanoi de l'Electricité noms des douze tribus germai1 Pompet le 4 Janvier 1939 le 7 Décembre 1938 * pour tous usages * 55 nes d'où sortit le peuple d'Israël. U L M E N Accumulateur*Voitures T.S.F. f Motopompes, Electropompes 1lotde 4.000$ Mais à la différence de Saint 4.000 t 1 lot de 1 'Ise. Battene. fixes et marins, à essence etdiesel Moteurs « Renault 8 lots de Paul qui, dans son Epître aux 1000 1.000 8 lots de aa Romaina, annonçait le salut 16 lots de 500 16 lots de 500 Machines à glace « "MÉTAL" "METAL" Ampoule. safuLAMPES 80 lots de 100 futur d'Israël moyennant 80 lots de 100 (brevet Audiffren-Singrûn) 200 lots de 50 200 lois de 50 ture résipiscence. M. Paul Lamde stérilisation d'eau filtration de Matériel et 400 lots de 25 400 lots de berty se montre impitoyable pour 25 Ba > Installation d'eau potable pour plantations Moteurs DIESEL 4.000 lots de de 10 le péebé que les Juifs ont com10 S U L Z fi SU 1. 4.000 lots d'air Compresseurs Pompes » tous usages mis contre leur qualité d'AlleSI pourcanots sampans Propulseurs * mands : l'Allemagne hitlérienne > Standards téléphoAppareils et ne saurait avoir pour eux les nique. pour tous usages I Tout miséricordes que leur promet j Avertisseurs d'Incendie et pour Matériel Rien ne saurait m'empêcher, écrivait Nietzsche en son livre « Le cas « Wagner", de devenir ici insolent et de crier aux Allemands quelques terribles vérités. Qui donc le ferait, si ce n'était pas moi Je parle de leur imprudence en matière historique ; avant tout, ilsveulent être Allemands ; avant fout, ils veulent être race. Etre Allemand est un argument ; l'Allemangne au-dessus de tout est un principe. Ces Germains avec leur

bien curieuse, qui ponctue lafin de son volume « seul., celui qui a le même sang que moi comprendra mon livre.» On dirait qu'essoufflé par un tel effort, il en vient à douter de la valeur scientifique de ses hypothèses mais il a confiance que ceux qui ont le « même sang quelui-unsangauthentiquement nordique- compren.

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lemande qui vivait sur les bords dela Sprée. ce n'est poiut là, pour les Juifs, un titre à son indulgence ; sa science raciale est prête à justifier contre eux tous les ostracismes. M. Paul Lamberty avoue, en une ligne

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