Le Petit Parisien. 01/05/1931

Le Petit Parisien (Paris)

Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France

Le Petit Parisien (Paris). 01/05/1931.

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LE PARLEMENTLe Le ministre de l'Air repart en avion ROUMAIN LES MANŒUVRES AERO-NAVALES DE TOULON

centenaire de la légion étrangère LES

LES ADEPTES

EST DISSOUS Dans

Mais avant de partir, M. J.-L. Damesnil tient à compléter les déclarations qu'il nous a laites sur son voyage en Afrique

Les manoeuvres

aéro navale»

Pour n'avoir point l'ampleur du voyage qui vient de s'achever. celui qu'entreprend actuellement le ministre n'en offre pas moins un très réel intérêt.

Accompagné de M. Riché, soussecrétaire d'Etat; du général PoliMarohetti, son chef de cabinet militaire du capitaine de frégate Hue, en sous-chef du cabinet militaire part ministre le tout quatre avions 30, pour Marignane, ce matin, à 5 h.

Durée du trajet quatre heures. Le ministre et son escorte trouveront à Marignane le général de division de Goys, commandant des forces aérienLes avions nes, qui se joindra à eux. directement ministériels se rendront

à

Toulon.

Après avoir rendu visite au viceamiral Pirot, préfet maritime, M. J.-L. Dumesnil prendra place à nouveau à bord de son avion et assistera aux manceuvres aéro-navales qui se déroulent en ce moment aux environs de Toulon. il participera à ces manœus'y trouvres mêlé aux 200 avions quidéveloppevent déjà. Il suivra leur ment le temps qu'elles dureront et renpeut-être quelques jours trera à Paris, aussitôt après, car il a rapporté. de son précédent voyage un travail considérable qu'il est impatient de réaliser.

Des aviateurs

qui font tous les métiers

L'inspection que je viens de faire des escadrilles militaires de l'A. 0. F. et du Maroc, me déclare le ministre qui reprend ainsi l'entretien au point où il l'avait laissé le soir de son m'a complètement satisarrivée

fait.

Ces braves gens que sont les avia-

teurs font tous les métiers. Ils assurent les reconnaissances et surveillent les confins et la région saharienne. Je suis allé les voir sur les terrains les plus avancés. Ils jouent là un rôle

considérable en ce qui concerne les différents transports utiles et notamment en assurant l'évacuation des maladea sur les hôpitaux. Leur mission essentielle, en collaboration avec le service géographique, est de dresser la carte des régions peu connues. Les photos qu'ils rapportent, ainsi que les croquis que prennent les observateurs, sont ensuite utilisés par les cartographes.

Tant en A. 0. F. qu'au Maroc, nos aviateurs militaires jouent auprès de la population un rôle d'animateurs dont les effets sont déjà extraordinaires. L'aviation civile et touristique va se développer dans toute l'Afrlque de façon prodigieuse. Tous les colons éloignés des centres sont décidés à posséder un avion personnel.

Dans un avenir très proche, les agriculteurs et les commerçants africains prendront leur avion pour franchir 200 kilomètres, comme les cultivateurs de la métropole montent en voiture pour se rendre au marché. Des clubs d'aviation se sont créés dans toutes les villes. On a la foi et si mon exemple y a été pour quelque chose, j'en suis très sincèrement heureux.

Comme je vous l'ai déjà dit, les aviatant en A. 0. F. qu'au teurs civils bénéficieront des facilités Maroc que les militaires ont créées on ne compte pas moins de 300 terrains d'atterrissage en A. 0. F. et le même nombre au Maroc.

qui

A

ont conversé hier par téléphone

Les liens déjà si étroits et si cordiaux qui unissent la France à sa sœur latine la Roumanie ont été encore resserrés hier par l'inauguration des communications téléphoniques directes entre Paris et Bucarest. C'est le Président de la République en personne qui a tenu à établir cette liaison nouvelle entre les deux capitales et il l'a fait avec d'autant plus d'empressement et de plaisir que cela lui a permis, pour la première fois, d'échanger de vive voix des vœux avec le souverain de la nation amie, le roi Charles II. Il est à peine besoin de souligner que cette conversation entre les deux chefs d'Etat a été empreinte de la plus grande cordialité. La communication était d'ailleurs en tous points parfaite et ils en ont profite pour se donner mutuellement l'assurance des sentiments de confiance profonde et d'inaltérable amitié que les deux peuples entretiennent l'un pour l'autre.

même.

à droite

A

Edouard

M. Sfaixandean

MAs.

COLONIALE

Le mariage a eu lieu hier de Mlle Le métro des Boulevards Gladys Dupuy. fille du regretté directeur du Petite Parisien. M. Paul Dupuy, séna- qui desservira l'Exposition coloniale teur, chevalier de la Légion d'honneur, sera inauguré le 5 mai décédé en 1927, et de Mme. née Browne, officier de la Légion d'honneur, avec le La municipalité de Paris inaugurera prince Guy de Polignac. fils du prince mardi prochain 5 mai, à 16 h. 30, le Henri de Polignac, décédé, et de la prin- prolongement de la ligne métropolitaine n° 8, établi sous les Boulevards cesse, née Polignac. qui reliera la station RichelieuEn présence d'une très nombreuse assis- et à la porte de Charenton, offrant Drouot tance, en l'église Notre-Dame-de-Grâce ainsi un moyen de transport rapide de Passy. la bénédiction nuptiale fut don- pour l'Exposition coloniale. née par Mgr Suhard, archevêque de Reims, qui transmit la bénédiction du souverain pontife.

DIMANCHE APRES-MIDI Les témoins étaient pour la mariée M. Jean Dupuy. son frère, et M. Pierre au stade de Colombes Dupuy, son onde, directeur général du Petit Parisien; pour le marié le duc de se disputera tons la prisidence de Polignac et le marquis de Polignac, ses M. DOUMERGUE oncles.

•> LA FINALE DE LA A l'issue de la cérémonie. Mme Paul Dupuy a donné une brillante réception.

COUPE DE FRANCE Le Petit Parisien s'associe à la joie des deux familles et adresse aux jeunes époux DE FOOTBALL de bonheur. souhaits tous ses

C'est à Bucarest qu'aura lieu Je suis vraiment très toucbé; re- la conférence de la Petite Entente L'émotion du ministre

la |

«natrlèm* page t» COWTB «.o prend le ministre, des encouragements La conférence des Etats de la Petite qui me sont venus de tous côtés pen- Entente s'ouvrira à Bucarest le 3 mal.

UN CAS DIFFICILE dant et à la suite de mon voyage. Je M. Marinkovitch et Benès seront à remercie spécialement la presse, tou- Bucarest samedi soir.

O»«»h«»ii »– pu BAnosS OIII1T

Un jeune vagabond

pour grivèlerie blesse d'un coup de feu

l'agent qui l'arrêtait

Dans tous les milieux et dans tous les mondes, parmi ceux qu' Le gardien, qui est né dans la pleurent un être cher et ceux qui Creuse comme son agresseur, est dans un état grave possède la curiosité de l'au-delà Condamné déjà trois fois pour Lyon, 30 avrll.

La situation politique en Roumanie vient de subir, au cours des dernières vingt-quatre heures, des changements aussi importants qu'ils étaient faciles à prévoir. Le nouveau président du Conseil, M. Jorga, qui avait hier convoqué les Chambres en session extraordinaire, a profité de la première séance pour prononcer, avec l'agrément du roi, la dissolution du Parle- Le monument élevé à la mémoire des légionnaires et été inanguré hier ment et pour fixer aux premiers jours En haut à gauche, le sculpteur droite, le général qui commande les régiments de la letton Le docteur Eckener et M. J.-L. Dumesnil pulaire et l'élection des membres du Sénat.

Sidi-Bel-Abbès, dans l'Orante, ont Dans milieux débarqué, les nationaux-paysans, ces jours derniers, des détajours disposée à servir les grands inLa Chaumeix de M. chements des cinq régiments d'infanréception térêts de la nation, et je suis particu- dont les représentants constituaient terie et du régiment de cavalerie de la lièrement reconnaissant au Petit Pari- l'immense majorité de l'Assemblée, il légion étrangère. Ces délégations, veà l'Académie française sien de m'avoir aidé, par sa grande semble qu'on avait au dernier monues du Levant, d'Indochine, du Maroc, diffusion, à propager les idées qui me ment espéré éviter la dissolution en de Tunisie, assistent actuellement aux faisant cabinet Jorga accueil au fêtes du centenaire de cette arme un passionnent. relativement sympathique.

Il était d'élite. Et les anciens légionnaires Le ministre est réellement ému. Il sont venus nombreux participer à bien évident que le nouveau me dit la sentation profonde que lui pourtant cette cérémonie du souvenir, qu'orgatrouverait, à gouvernement très se fait éprouver la qualité de l'accueil a nisa avec soin le général Rollet, ancien qu'il a reçu à son retour, de la part brève échéance, dans l'impossibilité de commandant du l«r étranger, premier général chargé du commandement de du public, de la part d'organisations gouverner avec la Chambre actuelle et qu'il serait fatalement amené à protous les régiments de la légion. comme' I'Aéro-GJub et l'Institut colo- céder à appel Le monument aux morts de la légion, un au pays. nial, de la part du préaident du N'était-ce pas la majorité nationaleconstruit en marbre sur une assise de Conseil, de la part surtout du Présigranit, est édifié dans la cour du quaren effet, qui avait, il y a dent de -la République qui, pendant paysanne, Vienot, un des colonels tier Vienot semaines, provoqué la crise plus d'une heure, a tenu à se faire quelques du 1" étranger, fut tué au siège de renversant M. Manoilesco. derCe en globe Sébastopol un raconter le beau voyage. en bronze rapderechef nier faisant partie de la -légionnaires pelle que les venus des En dehors des questions d'aéro- nouvelle combinaison, où il détient un pays les plus divers se sont battus nautiques qui sont. de ma compétence des principaux portefeuilles, comment glorieusement sur tous les continents directe, j'ai pu, me dit encore M. J.-L. la Chambre, pour la grandeur de la France, que sans se déjuger, auraitDumesnil, me rendre compte de notre elle ils venaient servir. volontairement lui accorder maintenant pu sa Quatre légionnaires de bronze, vêtus oeuvre colonisatrice dans les divers confiance ? N'est-ce pas d'autre part des uniformes de la création, c'est-àgouvernements de l'Afrique occiden- M. Maniu lui-même, et non le roi, dire de la conquête de l'Algérie, des tale ainsi que des résultats de l'effort comme l'ont dit certains télégrammes, de campagnes coloniales, de la guerre créateur de la France, en collabora- qui a empêché le succès de la combi1914-1918, montent la faction devant tion avec le gouvernement chérlfien naison mise finalement les plaques dorées où sont inscrits les pied par sur Maroc. au pays où se battit la légion.

M. Titulesco en exigeant la radiation Œuvre du scuplteur Ch.-H. Pourquet, Survoler le Maroc en cette saison, non seulement de M. Manoilesco, mais le monument, sobre de lignes, parfaic'est survoler un immense jardin où de M. Argetoiano, qui y figuraient tement exécuté, rappelle le sacrifice pas une terre n'est en friche, où les tous les deux ? Comment supposer des milliers d'étrangers qui, anonymecultures sont fort belles et pleines de que cet ostracisme allait quelques ment, vinrent à Bel-Abbès « en prenpromesses Les villes paraissent gran- jours plus tard se transformer en un dre pour cinq ans » et, un peu partout, dir à vue d'oeil. C'est un pays de fée- solide appui ? en Algérie, au Mexique, en Crimée, en Italie, en Allemagne, à Madagascar, rie.

M. Jorga et ses collaborateurs ne au en Chine, au Tonkin, en Tunisie, Et vous comptez, au retour de s'y sont pas mépris et ils ont préféré tombèrent France, Syrie, Maroc, en en Toulon, entreprendre encore un éclaircir la situation en consultant le relever. plus pour ne se voyage ? électoral.

Le drapeau de la légion porte sur Oui, je me propose de me rendre corps MM. Chaumeix A qui cette consultation, que l'an(à gauche) et Madelin ses plis, inscrite en lettres d'or, cette devise en Algérie et en Tunisie pour inspec- cien ministre de Roumanie à Paris, c Valeur et discipline. » Les la deuxième page.)

(Voir à légionnaires de 1931 ont conservé les ter l'aviation que j'ai déjà, vue à titre M. Antonesco, nous déclarait avanttraditions de leurs aînés, et cela malpersonnel, alors que je n'étais pas mi- hier inévitable, sera-t-elle favorable ? gré toutes les campagnes entreprises nistre de l'Air. « BOURSE ET FINANCE» JULLIEN Albert pour les détourner de leurs devoirs de Un autre voyage aura ensuite pour Arrivés à Bel-Apbès, dans la soldat.

EN CORRECTIONNELLE objet lâ Syrie, dont j'irai inspecter Allemands cour du quartier Vienot, Norvégiens, (La suite la troisième page.) l'aviation.

Italiens, Russes, Belges, Et quand partirez-vous, ? page.)

(Voir -à la Anglais, etc., oublient leur première deuxième Echanges de sur le projet nationalité ils ne sont plus que des vues Le plus tôt possible: Car et je légionnaires. Des hommes que conduide coopération européenne vous l'ai déjà dit mon métier de sent des hommes ministre de-l'Air comporte une part Et cela, ils ne l'oublient jamais. de travail de bureau, mais.il,comporte Le plan constructif de coopération A Ain-Sefra, il y a quelques années, lè aussi devoir de me rendre partout économique, élaboré sur l'initiative de venue donune troupe ambulante était Parmi les représentations. des où c'est utile. En participant à l'acti- M. Briand et qui sera présenté le ner faisait colosse artistes, remarse un vité des aviateurs, dont je suis le 15 mai prochain à la réunion de la briseur de numéro de par son « ouer chef, je suis en mesure de me rendre commission européenne, a fait ces deret C'était de la troupe l'as chaînes ». compte personnellement des moyens niers temps l'objet d'une étude très l'imprésario le payait fort cher. La les plus efficaces d'assurer l'expansion attentive de la part des divers déparveille du départ des artistes, le détaaérienne française. Et c'est quelque tements intéressés. chement de la légion étrangère, en garnison à Aïn-Sefra, ayant organisé chose, croyez-le.

Ce plan, inspiré d'un véritable esune retraite aux flambeaux, la clique, Léon FARAUT. prit européen et qui sera opposé, comclairons, fifres, tambours passa devant me on sait, au projet. austro-allemand la baraque foraine en jouant la marLe mariage de M"e Gladys Dupuy d'union douanière, est maintenant au che de la légion. point dans ses grandes lignes.

Le « briseur de chaînesécouta et du prince Guy de Polignac Nos représentants dans les capitaavec une émotion qu'il ne parvint pas à dissimuler. Le lendemain, abandonles intéressées de l'Europe Centrale r.ant sa situation de vedette, il se préet Orientale ont été chargés d'en exsentait à la caserne de la légion et poser la teneur et de recueillir les avis contractait un rengagement de cinq des gouvernements auprès desquels légionnaire, repris par la Ancien ans. ils sont accrédités. Ces contacts perde la vie passée, il n'avait pu nostalgie résister à l'appel du vieux refrain de mettront de coordonner les divers points de vue et d'aboutir au projet son arme.

Et les exemples de légionnaires redéfinitif qui sera exposé dans quinze venus, après quelques années de vie jours à Genève par M. Briand. civile à Sidi-Bel-Abbès, sont nombreux, si nombreux que les effectifs des régiments étrangers ont atteint un chiffre M. Doumergue et le roi Carol A gauche M. Oustrie qui dépasse toutes les prévisions.

Les oeuvres urgentes Le ministre a laissé sa pipe s'éteindre. J'ai bien remarqué qu'il s'en était

aperçu depuis un instant. Pour la regarnir et la rallumer, il s'accorde une pause. Deux bouffées. Deux volutes bleues qui montent légères vers le plafond et M. J.-L. Dumesnil poursuit Mon voyage en Afrique a été rapide. Je voudrais si je puis ainsi m'exprimer réaliser les créations aéronautiques dont j'ai reconnu la nécessité à la même vitesse que j'ai voyagé. Ce balisage du Sahara, toutes ces installations à mettre en place pour que la ligne Alger-Madagascar puisse être praticable dans les conditions que je vous ai indiquées sont choses très urgentes. Leur exécution sera entreprise dès que le projet de lot que j'ai déposé aura été discuté et approuvé. Et dans le même temps qu'on accomplira ces travaux, on installera les transversales qui permettront, partant de l'Afrique, de rejoindre, vers l'Asie, notre ligne aérienne d'Extrême-Orient.

Il y a là toute une étude à faire. En l'entreprenant, je m'inspirerai des grands intérêts de la nation et des constatations que j'ai pu faire moi-

F

roi, a préféré faire appel au pays La lutte électorale entre les partisans du cabinet et les nationaux paysans, maintenant dans l'opposition, paraît devoir être acharnée

A peine de retour de son grand

voyage en Afrique, M. J.-L. Dumesnil reprend l'air. Ce matin, à 6 heures, au moment où le Petit Parisien sortira des presses, le ministre de ''Air sera en route pour une nouvelle expédition. Et, dès que ce second raid sera accompli, il en effectuera un troisième, puis un quatrième.

Si le grand chef de l'aéronautique se propose de passer son temps dans le ciel, il va rendre fort malaisée la tâche des reporters. Pour l'interviewer, il nous faudra, à mes confrères et & mot, le poursuivre en avion afin d'essayer de le joindre aux atterrissages.

C'est la réflexion que je me faisais, hier soir, quand, introduit dans le cabinet ministériel pour réclamer la suite des déclarations promises avanthier, je trouvais M. J.-L. Dumesnil prêt il. partir, tout comme dans la nuit du 4 au 5 avril.

DU SPIRITISME

Impossibilité de gou. verner avec la Chambre actuelle, le nouveau président du Conseil, M. Jorga, avec l'agrément du

aéro-navales de Toulon

LYON

OU SE RECRUTENT arrêté

fntimiiiMiuitiintiiiiHniitiMHHiiiiniiiinMiiiMiinMtiiiiiiiiMiiiiiiiiniiiiiitiiiiiiiiiinitiiiittiiiiiiiiiitfiitiiiiiiiintiiiiiiiiiiiiiiiiiiiini

Il va cette fois assister anx manœavres

MYSTERES DE

I>es. noirs de la Guinée française répètent devant leurs paUlottes les danses

«a'il» présenteront le jour de l'ineuguration

(De notre envoyé tpicial vol, le jeune malfaiteur était Léon Croc sorti de prison en janvier dernier S'il y a des spirites fanatiques, fi y a aussi des « antispirites passionnés si passionnés qu'ils finiront, s'ils n'y prennent garde, par créer à leur tour une mystique. antispirite!

L'un d'eux me disait, à propos de l'affaire Caraès, qu'il n'y a, pour s'occuper de spiritisme, que des escrocs ou des « poires », et il ajoutait, en parlant de la dernière catégorie

La seule question qui se pose,

c'est de savoir si l'on devient spirite parce que l'on est piqué ou si l'on piqué > parce que l'on est devient spirite

jugement est un peu simpliste, et la classification qui le précède est sans doute injuste. Mais il est certain que, d'une part, la fréquentation du monde invisible' n'est pas sans danger pour l'équilibre des cerveaux faibles, et que, d'autre part, il arrive bien souvent que l'on soit conduit au spiritisme à la suite du bouleversement mental provoqué par la perte d'un être Ce

L'agent l'auquel

cher.

La guerre fut l'occasion, pour le Un jeune homme, presque un enfant, spiritisme en général, et singulière- enveloppé dans un paletot de cuir ment pour le spiritisme lyonnais, d'une fauve, s'asseyait hier, un peu avant nouvelle et riche floraison. Le recrudans la salle du restaurant Crétement des adeptes trouva un aliment midi, 33, boulevard Bourdon, et se facile parmi les malheureuses qui moux, servir à déjeuner. Lorsqu'il eut pleuraient leurs maris ou leurs fils, faisait son repas, c'était l'heure de la tombés sur les champs de bataille. achevé affluence et les clients étaient Maintenant encore, les cercles spirites grande Il put donc disparaître disvoient surtout venir à eux des femmes nombreux. crètement et quand la fille de salle, qui portent le deuil d'un enfant.

Berthe Fossey, lui apporta son Qu'elles s'accrochent désespérément Mlle à l'amère et suprême joie de commu- addition, atteignant 14 francs, elle

constata que le jeune convive était niquer avec le mystérieux abtme où parti sans payer.

Incident presque banal, que déplora le. patron, mais auquel il ne songeait déjà plus lorsque, vers 15 h. 30, son employée, qui s'était rendue chez elle, revint, en courant, lui dire Je viens de voir le client de midi; il est sur la place de la Bastille, au. près des hercules.

Eh bien dit M. Crémoux, pré* venez un agent. « Suis-moi au poste » Mlle Fossey, retournant sur la place de la Bastille, requit alors le gardien Jean Pasquier, du IV'. arrondissement, originaire de Genouillat (Creuse), et demeurant 1, rue de Trétaigae, où sa femme est concierge.

Elle lui désigna, dans le cercle dés curieux assemblés autour d'un her. cule forain, le jeune homme au. paletot de cuir, qui fut discrètement appelé à l'écart.

Tu es. parti sans payer du restaurant où madame t'a servi ? demanda l'agent.

Assez penaud, le gosse avoua. Puis il dit à la servante Tenez, laissez-moi partir et ,J*

vous donnerai cette bague.

Je n'ai pas besoin de bague, c'est le patron qu'il faut

payer.

Donnez-lui mon paletot de cuir fut précipité celui qu'elles pleurent. en garantie, proposa alors le jeune Si c'est homme. quoi de plus respectable L'agent intervint alors, paternelleune illusion ne berce-t-elle pas douceM.

et

SI™»

Conan Moyle

?.

ment leur chagrin ? Il n'y faut toucher qu'avec la plus précautionneuse prudence et se garder des railleries faciles la douleur d'une mère n'est jamais ridicule. Celui-là seul est sacrilège, qui exploite ce sentiment et l'avilit en le monnayant, comme le font certains prétendus spirites, dont les les mères douloureuses sont parfois les

ment.

Cela ne s'arrange pas comme ça. dans la rue, dit-il; tu as fait une bêtise, suis mois au poste et le patroa

viendra t'y retrouver.

Tous deux partirent, prenant le boulevard Henri-IV, pour aller au commissariat du quartier de l'Arsenal.

L'agent tenait par la manche droite victimes. son jeune prisonnier, qui semblait réL'influence de Conan Doyle signé. Mais soudain, alors qu'ils arriEn même temps que la guerre et vaient au coin de la rue Jacquesses hécatombes, l'influence de sir Arthur Conan Doyle eut une grande part dans l'épanouissement du spiritisme à Lyon, au cours de ces dernières années. Le créateur du subtil Sherlock Holmes est responsable de la conversion au spiritisme d'une foule de ses lecteurs.

Un des hommes qui connaissent le mieux l'âme lyonnaise me déclarait

L'influence de Richet, de Croxkes, de Lombroso sur le recrutement des adeptes du spiritisme ne fut rien, ou peu de chose, auprès du culte de Conan Doyle. Le fait qu'un personnage si intelligent et si populaire à la fois, qu'un cerveau si déductif ait cru aux esprits a entrainé ses lecteurs à y croire.

C'est qu'il y a, auprès de ceux ou de celles qui viennent au spiritisme pour y chercher une illusion consolatrice, ceux qui sont ou qui se croient curieux de sciences inconnues et nouvelles. Eux aussi sont parfois la proie de farceurs intéressés.

Tout dernièrement, une dame veuve et riche qui appartient à la haute bourgeoisie lyonnaise et qui habite Le jeune Durain et, derrière, le gendarme dans les beaux quartiers, déposait une Fourmenterauxet le garde républicain Bodot plainte contre sa cuisinière, qui lui avait extorqué certaines sommes d'ar- Coeur, le captif, plongeant sa main gent dans des circonstances curieuses. gauche dans la poche de son veston, en retira furtivement un browning, La cuisinière et le fantôme dont il appuya le canon sur la poitrine Cette veuve, qui se pique de prati- de l'agent. II lâcha un coup de feu; le quer les sciences occultes, avait décou- gardien chancela, desserra son étreinte vert que la cuisinière en question était et s'écroula, en disant à la fille de un excellent médium. Ravie de sa trou- salle affolée vaille, elle se prit à converser journelJe suis tué, madame. lement, par l'intermédiaire de ce Le jeune meurtrier, à toutes jam· médium des fourneaux, avec l'ombre bes, avait déjà traversé le' boulevard de son mari défunt. Le fantôme joua Henri-IV et s'enfuyait, lâchant au bientôt un rôle important dans le hasard un second coup de feu. ménage un rôle plus important, Poursuivi et rejoint dit-on, que de son vivant. L'on se mit à y parler couramment de « Mon- La première détonation avait attiré sieur comme s'il eût été présent, et l'attention des passants et notamment Monsieur > dictait sa volonté par du garde républicain Bodot, de la le truchement de la cuisinière-médium. caserne Tournon, du gendarme FourIl ne dédaignait point de s'occuper menteraux, du contrôleur de la S. T. même des petits détails de la maison, C. R. P. André Prieur et d'un machiet cette sollicitude paraissait fort liste de cette même compagnie, Martouchante à la veuve, qui ne faisait cel Gaillard.

Ils comprirent brusquement le rien sans le consulter. L'esprit de Monsieur » allait jusqu'à dicter, drame en voyant s'enfuir le jeune chaque jour, les menus des repas. Les homme et se lancèrent tous quatre esprits sont si taquins que Mon- à ses trousses. Il se sauvait par la rue sieur ordonnait fréquemment de Jacques-Cœur et allait atteindre la faire du veau aux carottes ou du jam- rue Saint-Antoine lorsqu'une auto, bon aux épinards, que la veuve ne tournant court, faillit l'écraser. En se pouvait souffrir. mais que la cuisi- rejetant en arrière, il buta contre le nière aimait beaucoup! rebord du trottoir et tomba assis.

Déjà ses poursuivants arrivaient. D (La suite d la deuxième page.)

leva vers eux son arme, mais n'eut "'pas le temps de s'en servir; le contrôleur Prieur l'étourdit d'un coup de poing sur le crâne, tandis que les au-

tres désarmaient

le meurtrier.

Les mesures préventives Les prises par le préfet de police

L'éloge

mystères de Lyon

de Clemenceau sur cette terre, était plutôt l'Académie à désincarnant, extrêmequant aux

SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE

BOURSE ET

NOS ÉCHOS

FINANCE

EN CORRECTIONNELLE

Aujourd'hui

La foule, maintenant, s'amassait. pour la journée du ier mai « Monsieur », qui, La flamme du Souvenir sera ravivée pat R. A, L. 811' et montrait pingre, les S», Elle grossit- durant le parcours jusse fr. lait fixé à 1 50 le litre. prix du est Le devenu, en se qu'au commissariat de la rue JulesLorsque, le 28 novembre dernier, le Vente de charité Ecole des apprentis et banquier Albert Oustric était arrêté, jeunes ouvriers de Notre-Dame-de-NazaCousin et ceux qui avaient arrêté le Un service d'ordre très important ment généreux, du moins c'était uniquement pour cette affaire, reth, 7, rue Blomet. petit misérable eurent fort à faire interdira toute manifestation, tout gages de ses serviteurs. C'est ainsi Salon de 1931, Grand Palais. « annexe de Bourse Expositions que, chaque mois, il augmentait ceux Ce fut la partie essentielle du alors déclaréeDepuis pour le protéger contre les coups qu'il rassemblement ou cortège sur la ,de Matériel la mission Dakar-Djibouti, de lors, le temps a et Finance. donner, cuisinière, qui il faisait la à Trocadéro.

Salon des humorisétat h., recevait. C'est en assez triste passé. Les autres inculpés ont été mis 15 la discours de réception voie publique gratifications. d'importantes Cercles des Gooutre, de glace. sous Palais tes. en qu'il parvint au commissariat, tandis est Oustric Et si liberté provisoire. en mairie du du XIII-, bel ins Beaux-arts et Cela aurait pu durer longtemps Coupole de M. André Chau' resté seul à la Santé, c'est sans doute XIII». Ecole de papeterie, cartonnage, que l'on transportait sa victime à Trois avions survoleiont Paris et la ainsi, et la crédulité de la veuve serait meix, reçu par M. Louis Madelin à d'autres malversations qu'il doit attri- etc., 12, place des Vosges. L'Art franl'Hôtel-Dieu. banlieue et, s'il y a lieu, signaleront demeurée entière, si la cuisinière, un çais indépendant, 89, rue La Boétie. buer cette rigueur. Vaille que vaille Un passé déjà lourd draappelé d'anciens combattants été hier M. André Chaumeix Réunions reçu a ce procès de Bourse et Finance, T. S. F. les « mouvements » des jour qu'elle avait bu, ne s'était vantée, par de Rivoli.

10i, 20 h.

30. rue Interrogé d'abord par M. Fiard, a gnns,60e B. C. P., 21 h.. 21. rue Réaumur. dans le voisinage, de ses supercheries. après-midi à l'Académie française. Il hier à la 11' chambre correctionnelle, manifestants grandes des début adopté dès l'allure le c'est secrétaire du commissariat, puis par La veuve se fâcha, renvoya la ser- y succède à Georges Clemenceau; Institut de journalisme de Paria M. Rayd'escroquerie. affaires Au d'une conférence ,tenue, les homdonc à celui-ci sont allés Danès, le meurtrier cours mond Blain « Les grands principes du M. commissaire, vante infidèle, avisa la police, mais ne que appelés. cinq Les prévenus après-midi, à sont hier préfecture Onze journalisme travaux pratiques », 18 h., la de exposa tout d'abord son passé, déjà Police, dans le cabinet de M. Jean renonça pas pour cela aux tables mages du récipiendaire, qui fit de son principaux ont pris place devant le 33, rue Tournefort. oui-ja lourd. aux illustre prédécesseur le portrait sui- président Gaultier le président pla- Banquets Cercle Arts et Lettres, 19 h.

Chiappe, les détails des mesures tournantes, aux Anciens du vant boulevard du Temple.

31, 1911 à Saint-AgnanNé le 5 août cide et fin du procès Hanair. On vit des plus sivères, prises pour parer transes médiumniques.

20 h" Jemmapes, automobile groupe près-Crocq (Creuse), Poger-Adrien g tout désordre dans la journée du Ce que le nom de Clemenceau tout d'abord s'asseoir Henri Rochette.

Dans lea quartiers, 8, rue Danton. tous Durain avait subi, le 20 mars 1928, 1" mai. ont été arrêtés. évoquera toujours pour tous les Fran- A son côté s'assit Marcel Thorel. et, Courses à Enghien, à M heures. mondes dans les tous une première condamnation pour vol, Tous les centres industriels et les çais, c'est l'énergie invincible du chef plus loin, Armand Meunier. Sur un Les personnes de la « société dont de gouvernement qui prit le pouvoir à autre banc, devant les travées de gau- M. Gaston Doumergue s'est fait où l'on pourrait tenter de à Guéret, à trois mois de prison avec chantiers les ouvriers ne chômant pas l'engouement pour l'occultisme peut l'époque la plus tragique de la guerre che, s'installa Albert Oustric, vêtu de représenter hier après-midi par le gésursis. Le 9 septembre 1929, le tribu- débaucher les abords des salles où se tiendront s'expliquer par le besoin d'utiliser et qui conduisit son pays à la victoire. noir, élégant et pâli, et dont le regard néral Audibert, de sa maison militaire. nal correctionnel d'Arras le condam- et A côté d'Ous- à la cérémonie funèbre d'incinération meetings seront étroitement sur- leurs loisirs, n'ont pas le monopole de Lorsque vous avez souhaité qu'il fût a la dure teinte de l'acier. àait, pour vol encore, à quatre mois des monocle, tric, beau et portant à de veillés. ne Maixandeau. dit d'Orval, faisait André des restes du prince Chandaburi, frère vous avez eu cœur curiosité de l'au-delà. Les cercles des vôtres, de prison. Un an plus tard, à Douai, Des forces de police seront réparties cette pas le séparer, dans votre admiration tre de désinvolture. Les six autresmondans tous lyonnais existent les spirites pré- du roi de Slam. il se voyait gratifié d'une troisième 1 sur les points où pourraient se porter quartiers et dans tous les mondes. Ils et dans votre reconnaissance, des chefs M. Briand a reçu, hier après-midi, qui venaient de triompher venus, P. Bloch, Maurice Drieu, Léon les manifestants, notamment sur les militaires condamnation, à huit mois. où, dans Bedel Croix-Rousse Pourille, Freedland, Maurice foisonnent à la Jean M. Politis, ministre de Grèce à Paris. bataille.

Et lui. vieil Sorti de prison au début de jan- Grands Boulevards et aux abords du des logements misérables, l'on peut sur les champs de s'installèrent Joanny Lagneau et sur indifféCirque d'Hiver, lequel sera entouré de homme puissant et solitaire, vier, il était revenu chez son père, res- barrages haillons rent à tous les honneurs, lui qui a les bancs d'habitude réservés au public. M. Briand a reçu, hier matin, médiums des d'agents. rencontrer en taurateur à Aubervilliers, 71, rue du Tout cortège sera rigoureusement qui mettent en transes avec autant écrit avec une superbe fierté que perM. Adan Manrique Rios, chargé d'afFinance Bourse et se « voici faires du Guatemala, qui lui a remis Fort. Mais il le quitta quinze dispersé. Aucun rassemblement ne sera de facilité de sonne n'avait le pouvoir de lui donner avale l'on un verre que Dès début le de l'audience, autre sans jours. ses lettres de créance. toléré sur la voie publique. une récompense, il a compris votre préambule, le président Gaultier beaujolais. fait Je ne pouvais pas m'entendre Les troupes seront consignées prêtes Il y a, dans un autre quartier ouvrier pensée. Votre unanimité a été l'expres- appeler M. Doyen, l'expert bien connu, Le Comité France-Amérique donné a au premier appel. Toutes de Lyon, un balayeur municipal qui sion même du sentiment national. avec ma belle-mère, dit-il. Je voulus alesintervenir dans grandes l'affaire qui de dîner l'honneur diplomatique ses exposera en un 1917, des à la fin de brigades police municipale Quand vinrent, de la travailler comme garçon de café, mais à la cherchant visiblement lignes, du ministre Caballero de Bedoya, seront renforcées par la garde républi- a fondé un cercle spirite dissident, heures deux fois tragiques, heures dif- rendre pour tous aussi claire que pos- M. je n'ai pas trouvé d'emploi. J'ai vécu caine, Paraguay, et de Mme Caballero de Bemobile, ainsi que par détaché de la Fédération lyonnaise, à ficiles et heures de doute, Clemenceau sible. la garde doya. M. Charles Guernier, ministre comme j'ai pu. Aujourd'hui, sans les inspecteurs des renseignements la suite de certaines divergences de fut l'homme à qui le chef de l'Etat, Dans 1927, de le courant domicile, sans argent, je suis allé généraux et de la police judiciaire. commence des P. T. T., lui a souhaité la bienl'art et la manière de conver- M. Raymond Poincaré, prit l'initiative vues sur l'expert, plaintes sont plusieurs parve- venue en rendant hommage à sa haute déjeuner sans payer.

Trois avions surveilleront la capitale ser avec les esprits. Ce balayeur de remettre le pouvoir, avec l'assentiémanant de personnes culture intellectuelle et scientifique, au parquet, Pourquoi avoir tiré sur l'agent ? et la banlieue afin de pouvoir signaler deviendra peut-être un jour le grand- ment de toute la France, qui lui faisait nues sur la foi de renseignements trou- puisée dans notre pays. le terrible honneur de lui confier la qui, demanda le commissaire. par T. S. F., à la préfecture, les points prêtre d'une religion nouvelle. vés dans Bourse et Finance, ont acquis charge de son salut. des manifestants se concentreraient Je ne sais pas pourquoi j'ai tiré, où dites valeurs Rochette. Un déjeuner a été offert hier matin des valeurs Partout règne le mysticisme, sous Cette grande époque est encore préDes agents seront alors dit le jeune meurtrier: c'est instinc- inopinément. information ouverte, suivie par le comité d'études franco-polonais Une transportés automobiles le masque de la curiosité scientifique. sente à toutes les mémoires. La guerre de perquisitions aetétéd'enquêtes. camions en Les sous la présidence de M. Joseph Bartif. endroits indiqués. qui n'ont qu'une culture a durait depuis trois ans. L'ennemi, qui documents saisis ont permis d'établir Des aux gens thélemy, membre de l'Institut, en Il ajouta d'ailleurs qu'il portait D'autre part, des voitures munies de peine primaire sont soudain possédés n'était pas arrivé à battre les armees ont fonctionné les diverses l'honneur de M. Alexandre Lednicki, constamment sur lui son browning, postes de T. S. F., seront réparties dans par la soif ardente de pénétrer le alliées, essayait de ruiner le moral dé comment président de la section polonaise du journal. .toujours armé avec trois cartouches. différents secteurs de Paris et de vertigineux mystère de la mort. Cette la nation par l'espionnage, la propa- sociétés patronnées par ce été créé au comité paneuropéen.

Bourse et Finance a découl'exploitation des perfide, gande Mais c'est la première fois que banlieue.

Dès la première heure, M. Chiappe fausse science les attire et les séduit. ragements, des illusions et des incons- mois d'août 1925, et déposé par Thorel. jal tiré sur quelqu'un, conclut-il.

Consultation gratuite pour votre indéQuand ils y ont goûté, ils ne peuvent ciences, qui devenaient des complici- Mais le véritable fondateur était frisable. général directeur M. Guichard, Paul et Service spécial créé par Dans ses poches, on trouva égale- de la police municipale, parcourront s'en passer. Ils usent de ce jargon tés. Clemenceau parut. Il dit ces seuls Maixandeau, lequel connaissait f o r t 7, rue des Pyrament un paquet de cigarettes fraiche- Paris et sa banlieue afin de vérifier la emphatiqueet pédant qui donne à leurs mots « Je fais la guerre. » Et il la fit. bien Rochette. L'association de ces D. Simon, spécialiste, quelques cheAdressez mides.

Paris. deux hommes se lit sur simple convenment entamé, probablement une ou bonne exécution dps mesures d'ordre phrases une apparence ésotérique dont Que de rudes labeurs conseils vous seront utiles. tion verbale. Des locaux de la rue veux. Ses deux heures avant le drame, et sur devant assurer la liberté du travail des ils se gargarisent avec une sorte de Réaumur, dont disposait Thorel, de•Fenveloppe duquel il avait ironie ouvriers et employés des grands ate- sensualité.

UNE REVUE COMPLETE DE année, à il suffi cette Pendant a une vinrent le siège de la nouvelle société, L'AMEUBLEMENT,c'est usines. liers importantes et écrit, alors qu'il était que vous des mots Les vivants se nomment « incar- mission. Que de lourdes journées Que « Bourse et Finance », qui faisait le présente le catalogue du ce BUCHERON expulsés « rudes labeurs Que de résolutions démarchage et publiait un journal. Par •Bans doute attablé dans un café, ces Des agitateurs arrêtés ou nés > ou « réincarnés », tandis que deprendre il vous le sort dépendait L'en- la suite, l'affaire émiara rue Geoffroy- 1G, rue de Rivoli. Demandez-le,courrier. mots La vie est belle. » Depuis quelques jours, déjà, les ser- les morts sont des « désincarnés a. Il trevue de d'où adressé gratuitement par Doullens, où se décide le Marie, où elle s'installa en payant un sera Roger Durain a été envoyé hier vices de la préfecture de police sur- est très à la mode d'écrire « trance » commandement unique, l'affaire du loyer annuel de 75.000 francs. soir au dépôt. veillaient tout particulièrement divers (à l'anglaise) au lieu de t transie ». Chemin des Dames, Paris sous les Thorel était l'administrateur, pourA l'Hôtel-Dieu, l'état du blessé est agitateurs communistes. volontiers des avions et sous le canon, les assemblées s'appellent esprits Les l'expert Doyen. Maixandeau était suit jugé fort grave. La balle a pénétré Hier et avant-hier, une trentaine de « entités mystérieux Les inquiètes, mililes chefs coups impatientes et le technicien, le directeur financier. qui distribuaient des tracts dans la région précordiale et s'est militants, Et menacés à l'avant des agissent muraille sont raps taires qui « Plus tard, à la suite de conventions été appré- dans la des affiches, ont collaient ou émotions qui vraisemblablement des logée au-dessus du hendés. Ils ne seront remis en liberté Il y a l' astral », les incupéra- par les contre-coups nouvelles, Maixandeau devint, en fait. l'arrière haletant, les tourmentent l'employé de Thorel. La comptabilité, du blessé « ouiLa vie n'est les pas en que cette nuit. cœur. tions r, les ectoplasmes s, amés'épuisent, les qui troupes effectifs et incomplète au début, typtologie danger immédiat, mais il fut déclaré Quatre révolutionnaires étrangers ja' », la ». Quand on pos- ricaines dont il faut hâter l'arrivée, la fragmentaire 1926. Le but s'ordonne s'organise et Intransportable par les médecins lors- ont été reconduits la frontière. D'au- sède un peu de vocabulaire, on peut, au Russie écroulée, l'horreur des semaines de l'entreprise était le enplacement des à Paris prix de milla difficultés, parvenir à sombres qu'on envisagea de le faire conduire, tres qui se disposaient à venir refoulés. les journal faisait Clemenceau suit tous lesquels le titres, pour du leT mai ont été C'est événements. Toujours debout parmi de la publicité. illuminés. dans la soirée, à la Maison de santé à l'occasion les chez s'introduire Maixandeau était censé Colonies des décision du ministre Par l'aide des gardiens de la paix. j'espère pénétrer, à tant de tempêtes, il demeure le chef. diriger cet organe en réalité, c'était l'Intérieur, et sur la ainsi que et du ministre depréfet plus mauvais jours de mars 1918, Rochette qui y jouait le rôle d'inspirade police, un d'une recommandation toute particu- Aux proposition du télégraphie à Lloyd George ces seuls teur et qui écrivait les articles imporDURAIN AVAIT VOLÉ agitateur Indochinois se livrant à la lière, chez une excellente personne ilmots « Nous sommes forts et sûrs tants. C'était, en d'autres termes, une LE PISTOLET A SON PERE propogande dans les milieux coloniaux. qui prétend être en relations perma- du lendemain. » Il tient dans ses mains affairs Rochette, mais avec un Rochette nentes avec le paradis terrestre.

Une personne de l'entourage immé- N'guyen-Van-Tao, membre du comité raidies la direction de toutes les affai- qui se tenait dans la coulisse. parti communiste, a été diat de la famille Durain a pu nous central du il la tient jusqu'au bout, jusqu'à Le mécanisme financier donner quelques renseignements sur le conduit à Marseille et sera rapatrié LE DRAME DE LA RUE TROYON res, juscomplète de l'Allemagne, défaite la immédiatement. jeune meurtrier. qu'à l'armistice qui consacre la vie- Bourse et Finance proposait la gesElevé par ses grands-parents dans Hier matin, M. Desnodts, membre du toire. Alors, il annonce la triomphale tion de portefeuilles, des opérations Les époux Lepère à Rouen la^Creuse, le jeune homme, issu d'une comité central du parti communiste, et nouvelle à la Chambre. Il l'annonce groupées, des ordres de Bourse surveildes du syndicat secrétaire (dép.

Parisien.)

Garcia, M. Petit honorable, suivi 30 avril n'a jamais famille fort Rouen, Sénat. Puis il rentre au ministère lés et publiait une cote. Le service des les bons conseils et l'exemple du tra- chauffeurs, ont été arrêtés.

Aujourd'hui, un inspecteur de !a au de la Guerre et il s'assied, comme pliant démarcheurs y était très exactement vail donnés par ses parents.

Poursuite contre le journal l'Humanité sûreté, chargé d'enquêter sur le séjour pour la première fois sous le poids de organisé. Des rapports quotidiens arriIl commença par voler dans la caisse L'Humanité ayant invité ses lecteurs des époux Lepère à Rouen, s'est rendu si grandes choses. vaient à l'agence, qui, lorsqu'un « client paternelle, par faire des fugues. Puis à venir manifester devant le Cirque dans cette ville. Le propriétaire de découvert, n'hésitait pas sérieux la puis hautaine La Répuretraite mort de la place 11 commit divers larcins, volant notaml'hôtel de Bordeaux, à lui dépêcher un inspecteur .générale d'Hiver, le parquet a chargé M. Peyre, blique, qui, jusqu'ici, avait déclaré ment une bicyclette. traiter. Des succursales d'instruction, d'ouvrir Une infor- n'avoir jamais vu M. Lepère, a avoué Un instant Clemenceau a formé le chargé de M. Durain père continuait à héber- juge installées à Lille, Lyon, été avaient mation contre le gérant de la feuille lui-même direction la garder de projet avaient femme dernier et ger de temps à autre son fils, lui four- communiste, Tours sa et le capital en avait et que ce M. Clercy, pour provoca- bien Président de Limoges de devenir affaires des et établisnissant de l'argent de poche. passé dans son deux jours versé par Thorel. attroupements,délit prévu par sement sains remplir de fiche. La pro- la République. Mais il n'était pas d'hu- été en partie Le jeune Durain avait réintégré le tion aux Tels sont fes moyens. Le but est loi du 7 juin 1848 et dont l'article 6 priétaire de l'hôtel du Départ, rue meur à faire campagne pour obtenir domicile paternel y a quelques se- la tout aussi simple. L'agence une peine de un à trois mois Verte, sera interrogée de son côté sur la magistrature suprême, qu'il aurait d'ailleurs maines. H y a quinze jours, après avoir prévoit Bourse même la si Finance » jetait son dévolu d'emprisonnement, et provo- le séjour exercée à sa façon et que, pour cette ic à nouveau volé une somme assez im- cation n'est le couple fit chez elle. que affairé et passait un contrat d'effet. suivie pas il pouvait accepter, mais non sur une raison, portante à son père ainsi que son re- D'autre part, depuis Lepère est Mme On sait que d'inssyndicat qui en tenait le marle M. Benon, juge d'années de combats' avec Tant volver, il avait disparu et était allé demander. établissehospitalisée dans samedi un truction, a été commis, hier pour ou- ment charitable. C'est là que l'inspec- avaient d'ailleurs accumulé d'innombra- ché. Aux termes de ce contrat, Maixanhabiter en hôtel. une grande vrir une enquête contre inconnu pour teur de police a pu t'interroger. hostilités. illus- deau et Thorel achetaient Tant de services bles titres à un prix fixé de provocation de militaires à la désobéistres dans les derniers mois avaient quantité le voyage opération, prépaMais cette sance. de la reconnais- d'avance. le poids rendu Goffic pesant M. Le neveu de d'un Mort gré, était M. Peyre, gré à rée de plus tard réaliSur mandat de un comde qui craignait à Parlement sance un saisi, sée en Bourse, de façon d créer un M. Dumesnil missaire de la police judiciaire a 30 avril (d. Petit Paris.) lui devoir trop. Beaucoup commenLe journal Bourse et Finance hier après-midi, à l'imprimerie, le Saint-Brieuc, Louis Le Gofflc, neveu de çaient à ne pas lui pardonner d'avoir couTa. lançait alors l'affaire dans le public et numéro spécial édité par l'Humanité M.M.Charles Le Gofflc, de l'Académie remporté la victoire. Il ne s'étonnait les valeurs ainsi placées étaient un Le ministère de l'Air communique pour le 1" mai. vient de mourir à Guingamp, pas de la faculté d'oubli démocratique, certain temps prônées et soutenues. française, l'information suivante Paris dans des taxis II y aura à l'âgé de soixante et un ans. Le dé- dont l'ingratitude est la forme la plus L'agence, en effet, touchait une risM. J.-L. Dumesnil, ministre de l'Air, général de disgracieuse, sinon la plus innocente. tourne importante, mais à condition vient de recevoir de M. le résident Un assez grand nombre de chauf- funt avait été conseiller Du jour au lendemain, l'homme qui général de France au Maroc le télé- feurs de taxis ont décidé de ne pas Guingamp et maire de cette ville. les titres ainsi écoulés ne revinsété tout ne fut plus rien. Il ren- que avait journée de traaujourd'hui perdre une suivant sent pas à se déprécier sur le marché, gramme Il n'avait chez lui mot.

Eckener tra le Dr C'est J.-L. Dumesnil reçoit sans un M. des sortir de et vail garages. pendant les premiers mois. moins au « A l'enthousiasme soulevé par votre ainsi connaîmoment attendu pour ce Compade pas chauffeurs la les fois la comtaission touchée, la vaque magnifique randonnée aérienne parmi néant quoi la politique Une de tout à tre qui avait à Paris Le de l'Air, ce ministre générale des voitures ses gnie leur vendue était abandonnée à son les populations françaises et indigènes (Renault, Franklin, Il faite. retourna est Chaumié, direcrue côtés argenté) M. Emmanuel et vert et ceux C'est-à-dire qu'elle tombait. rouge, du Maroc, vous pouvez mesurer aujour- de la chambre dont il aimait sort. appartement à dans hier civile, des loueurs de l'aviation son syndicale teur reçu a Les d'hui la joie éprouvée par tous à la d'automobiles de place de 2' classe 16 heures le Dr Eckener. qui lui a été les livres, dans son jardin dont il aimait comparses de cette affaire sont précisément les hommes qui ont facinouvelle de votre heureuse arrivée au à Il savait que toutes les actions lité la création les conseiller Clodius, l'habitude. présenté M. à roses, rouleront par comme de ces cours fictifs.

Bourget. « cohortes de vagues qui Oustric, personnellement, sont ces d'Allemagne. l'ambassade comme avait cédé loin « Au nom de S. M. le sultan, comme bruyamment et soulèvent EcDr .le au entretien de Au cet se actions de la Borvisk française. en mon nom personnel et en celui de L'expédition Citroën Centre Asie kener cours la mer seule 124.000 tandis aboutissent, voix qui vive de que à renouveler tenu dont était propriétaire. Le réquisia il tous nos compatriotes, permettez-moi ténue sur le toire définitif, à ligne demeure, de l'expression une ministre reconsa au Téhéran en parlant de ces de. vous exprimer à nouveau les sentiest arrivée à Il pouvait regarder avec fierté donnée rivage. l'assistance naissance en pour valeurs Rochette n, assure que plu« ments de fierté que nous avons ressen1929, à Cuers-Pierrefeu, au dirigeable la trace de son passage elle ne s'effa- sieurs elles valent aujourd'entre tis en applaudissant la magnifique La mission scientifique et artistique qu'il commandait et pour l'accueil que cera pas elle est dans la mémoire d'hui que le poids du ne Les défenpapier. prouesse réalisée avec le concours du Citroën Centre-Asie a expédié à la lui ont réservé les autorités aéronau- d'un peuple entier. lesquels s par contre, parmi célèbre Costes, et qui ajoute une belle date du 29 avril le câblogramme sui- tiaues françaises.

Puis ce sont les dix années de seurs, Gaye, Bizos, Dominique, Paul MI' page à la gloire des ailes françaises. vant M. d.-L. Dumesnil l'a vivement féli- « retraite hautaine », et c'est la mort. Pierre Masse, Guillain et Rambaud, 20 Tigre le franchi le Signé Saint.

Après avoir Lucien » cité de l'essor donné par lui à la science € « II avait gardé la gerbe fanée, souve- assurent que si certaines de ces valeurs de plaine la dans entrer avril, du dirigeable et, apres l'avoir remercié nir sacré des combattants. Il la voulait ont pu être pour Il a envoyé en réponse le télégramme soufHées les autres Mésopotamie, nous avons bivouaqué en de sa courtoise visite, s'est entretenu près de lui, jusque dans la tombe. Plus se comportent«normalement encore. Les suivant Perse, puis fait route dans les hautes lui des questions relatives à la de onze années avaient passé le bou- débats, que, seuls, des initiés pour« Je suis infiniment sensible à votre vallées de l'Iran jalonnées de vestiges avec coopération aérienne internationale. télégramme. Je vous serais reconnaisquet était toujours là Quoi de plus raient utilement suivre, porteront, au millénaires. sant de bien vouloir remercier S. M. le beau pour accompagner celui qui par- cours d'audiences successives sur ce col Assasultan des sentiments qu'elle veut bien Nous avons campé près du passés André Tardieu M. tait ? Dans ces petites fleurs de point délicat. Eugène Quinche. à puis dabad, nous sommes je de m'exprimer charger et France, depuis longtemps séchées, se vous Hamadoan le 25 avril, où vous Vichy mai le à présidera 9 avons nous gratià d'agreer vive prie nouveau trouvaient rassembles les symboles Imma documentation. précieuse recueilli l'agriculture vous-même de le Congrès et une 13° tude pour l'accueil que mortels de tout ce qu'avait aimé le Téhé28 à arrivés hier Nous sommes tous nos compatriotes du Maroc m'ont vieillard puissant qui mourait, de tout Vous aurez chez vous, gratuitement réservé ainsi qu'à mes compagnons de ran, survolés par les avions de l'esca- M. André Tardieu présidera, le 9 mai ce qui fait cortège à sa mémoire, de à drille persane, venue notre rencontre. prochain, à Vichy, le banquet de clô- tout ce qui domine et élève la condiroute. sans attendre, les dernières congrès de l'agriculture tion humaine, la terre natale, l'hé- = nouvelles séjour de Je conserve mon au Toutes facilités pour nos travaux ont ture du « du Petit Parisien » Maroc une admiration sans réserve été données par le gouvernement per- française, congrès national et profes- roïsme et la poésie. téléphonant de 10 heures i Dans sa réponse au récipiendaire, san, qui nous a réservé l'accueil le plus sionnel des associations agricoles de ..pour l'oeuvre réalisée dans le protectorat France, qui s'ouvrira le 7 mai dans M. Louis Madelin a retracé la carrière par l'union étroite des populations fran- cordial. matin à 1 heure du matin çaiaes et indigènes et qui ouvre cha- Nous pensons quitter Téhéran le cette ville. l'Ecole Chaumeix André M. norde à Provence 99-09 A cette occasion, le ministre de male, le palais Farnèse, ses trente I que jour des espérances nouvelles de 4 mai. progrès et de prospérité. l'Agriculture prononcera un important Suis l'hôte du ministre de France. de journalisme.

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Connais pas Brusquement, le magistrat s'écriait tout d'un trait Pourtant, c'est bien lui qui vous avait donné l'ordre de faire disparaître Fortuné Bidon.

Nostradamus sursauta comme s'il avait reçu un coup de poing dans le il creux de l'estomac. et pâlissant. articula d'une voix devenue lourde, hésitante Je ne comprends pas Et tout en s'efforçant de reprendre bonne contenance, il artlcula C'est Fanny qui vous a taconté des

même hausu. une seconde chaise, à la distance de teur, mais à une certaine celle qu'occupait Nostradamus. Ainsi que cela se fait toujours en pareil cas, l'un des inspecteurs qui accompagnaient les prévenus se plaçait entre eux, prêt à intervenir au cas où une discusion trop violente risquerait de les jeter l'un contre l'autre.

M. Richard demandait au Dogue Vos nom, prénoms, âge, profession, nationalité, etc.

Pas si vite, pas si vita grommelait l'hercule. D'abord moi, quand j'ai rien pas les main? libres, je ne peuxsavoir voulez dégoiser. Et puis, si vous qui que je suis. cherchez. Ça vous donnera de ''occupation. Maintenant que je suis fait. je me fiche du reste. et bien que j'aie très faim, je n'ai pas table. envie de me mettre dire pourquoi vous Même pour me

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répliquait l'homme à la mâchoire d'acier.

Vous en êtes bien sûr ?

Aussi sûr que je vous vois.

Pourtant, déclarait le directeur, vous avez eu avec elle un entretien le jour où Bidon est venu à la baraque.

Qu'est-ce qui vous a raconté ça ? s'écriait Fanny en surgisMof à sant tout coup.

Et laissant éclater toute l'indignation qui la galvanisait, elle s'écriait En voilà assez! Nous allons bien voir si vous osez dire devant moi que vous ne connaissez pas cette bergère-là.

Je vous ai vus lui causer tous les deux, même que vous vous êtes cachés de Non

Richard prit dans un dossier une autre photo qu'il présenta à Nostrapot damus. une reproduction de celle que ARTHUR BERNÈDE le C'était Furet avait rapportée de Marseille et qui représentait Méphisto en train d'hypnotiser Fanoche.

A la vue de cette image, l'illusionniste, bobards.

Fanny? malgré tout son empire sur lui-même, moi des narines. frémissement Oui, Fanny Palmarèds. la belle eut un QUATRIEME PARTIE Chameau s'exclamait le Dogue, comme s'il flairait 1'approche du danger. Arabia. blême, contandis Nostradamus, que LA REVANCHE DE L'AMOUR Mais se ressaisisqaut aussitôt, il réM. Richard, refusant de se prêter à dans centrait toute sa rage son regard. pondit d'un air indifférent la diversion tentée par l'il lusionniste, Ça se peut que je sois une chareprenait, enserrant celui-ci dans un Connais pas VU] (suite) BiFortuné assassiner voulu avez meau, s'écriait M. Ri- cercle d'où Il lui était impossible de don ?. soulignait le directeur de la Palma.ripostait la fille de la mère Vous mentez Le mystère vivant Cette femme, en effet, n'est s'évader D'un ton empreint cette fois d'une chard. » Mais en tout cas, moi je n'ai Alors, pourquoi. avez-vous voulu Police judiciaire. que Fanny Palmarède. C'est-à. la biague. certaine sécheresse. M. Richard repre- autre de c'est tué ni volé personne. et peutD'abord, jamais ça, assassiner ou plutôt faire assassiner J'al dire votre partenaire.

Nostra nait l'assassiner. être bien que tous deux vous ne pourpas voulu Excusez-moi, monsieur, reprenait Fortuné Bidon.- par votre ami le m'avait Je vous engage à ne pas persé- vivement de faire demandé lui riez pas en dire autant peur. de Bordeaux? à vérer dans une attitude qui ne peut regardé. l'inculpé, ie n'avais pas bien Dogue poule. du plat faisait qu'il C'est bien à toi d'accuser les rapport sa Comprenant qu'il s'enlisait de plus creusé ?. aviez autres qu'aggraver votre cas, qui déjà n'est glapissait le prestidigitateur Ce trou que vous très n'est Nostradamus devenu très nerLa photo ressemplus, pas en » bluff hors de lui.

Du fameux. pas Et puis ce costume la change veux, s'écriait Ce chèque que vous vouliez lui Je sais ce que tu vas dire s'écriait » Les faits sont établis. De compli blante. je abord lui.demandez-le premier Eh bien! tellement qu'au ne Fanny que j'ai été condamnée à cinq taire signer ?. cité avec votre pensionnaire ou asso- l'avais de le Dogue faites venir reconnue.

Mirai, pas C'est lui qui raconte ça. Mais fau- ans de réclusion. Mais étals innocié, Ie Dogue de Bordeaux, vous avez direcdécidait Richard qui le M. l'homme ? reprenait Bordeaux.

Et drait la preuve. Y avait pas de témoin. cente 'attiré Fortuné Bidon dans un guet- teur. finir. hâte d'en avait ?. Puisque je vous dl; que c'était Alors Que tu dis ricanait le Dogue. apens. afin de le faire disparaître. et dfable ? après, Dogue de habillé Ueux le qui minutes Celui rigolade.

Pas vrai. vieux est la en Oui. je le dis. martelait la allé de mon pour cela après avoir cherché à lui soutirer Est pénétrait, conduite de d'autre.

Bordeaux la Il o'y en Nostra ce ?. sous mère Palma. pas a la francs. mille cinquante matatenant ? cabinet direcdeux dans inspecteurs, le reconnaissez, Parbleu d le s'empressait Et appuyer que vous avec une conviction véhémente, Enfin, vous vous expliquerez avec poignets.

Son torial. les mnnsieur Non. menottes l'illusionniste. aux ajuutait elle le juge d'instruction et en présence poché, complètement refermé, lui Si ma mère était morte, je le jureC'est ce qu'établira l'Instruction, Pourtant. c'est un de vos amis.- oeil d'un avocat. géants donnait d'un de l'air Mais ces monsRichard. de observait M. rais sur sa tombe. Heureusement, elle Je ne me souviens pas. avant x Je n'ai pas à vous interroger sur difs Cyclopes qui. n'ayant qu'un trueux Voyons. M6phisto vous envoyer au Dépôt. i'ai une ques- se porte bien. Elle est même un peu là, le fond de l'affaire, mais simplement œil du front, forgeaient milieu les la pôvre! Et, pom moi. vous êtes deux Cette fois. Nostradamus pinça les au tion à vous poser. sur certains faits qu'il m'importe de lèvres, foudres Jupiter. de qu'elles fut craignait Et. M. Richard canailles. deux bandits. deux. s'il levant, s'en ne comme se ^connaître. n'avait paroles Le Furet à lui-même Magda échapper quelques photo de Assez! interrompait M. Richard. placer la laissassent pas reparu sa Copyright 0y Arthur BernBde 1931. Traduc- imprudentes. suite, Bordeaux., Car Dogue de le Dogue faisait entendre dea sous les yeux du Richard faisait ?'

Richard.

M. asseoir Dogue le Vous reconnaissez cette femme grognements menaçants et NostrartaEh bien ? tncitait M. tlon et reproduction Interdites en tous pays.

M.

Alors, je n'arrive pas trop comme mus se ramassait sur lui comme pour les cheveux sur la soupe. bondir sur son accusatrice. contraire, j'aUais t'envoyer Au s'élevait, Furet Mais la voix du chercher. annonçant Pas possible Voici, d'ailleurs, un témoin qui va Attends-moi là une seconde !«. mettre tout le monde d'accord Et s'effaçant, U laissait apparaître ou plutôt viens avec moi.

Où m'emmènes-tu ? l'aviateur du Bourget, le brave Laurent., Chez mon patron.

Interloqué de trouver qui, tout se Pour y faire quoi ? mêlé tout à coup à une au¡¡41 imporTu vas voir tante opération judiciaire, s'avançait, quelque Et c'est ainsi que le Furet, qui avait à main, et la peu sou chapeau faisait pénétrer son ami dans plan, embarrassé de sa personne. son arrivait-il ainsi du directeur de la Police le cabinet Comment le pilote à judiciaire. juste à temps pour aider la police Patron attaquait le jeune détecdébrouiller un coin du mystère? voici M. Laurent, le pilote dont tive. quelques Nous allons l'expliquer en je vous ai parlé. Voudriez-vou3 tu1 mots la photo de la dame en quesLorsqu'un Instant auparavant Mirai montrer tion ?. était sorti pour aller quérir le Dogue Approchez, m o n s i e u r, invitait de Bordeaux, quelle n'avait pas été sa qui avait repris place M. Richard, surprise en apprenant que l'aviateur devant son bureau.

Pierre Laurent demandait à lui parler Laurent le rejoignit. dans un grand pour une affaire urgente et grave.

Nostradamus et le Dogue de se demandait le jeune silence.

Ali! à cent Bordeaux, inspecteur. est-ce qu'il m'aurait re- lieues de bien qu'ils fussent vérité, la n'en soupçonner péré ?. l'autre, pas moins l'un comme Et moi qui, justement, allais le avaient l'impression que l'intervention de ce convoquer. ça tomba à pic allait être fâcheuse personnage Tout de suite, il envoyait chercher nouveau eux.

Laurent. Dès que celui-ci l'aperçut, il pour Quant à Fanoche, %l\e attendait la s'écriait suite des événements avec l'impatience Ça y est, c'est bien lui. le Furet honnête témoin qui est pressé de Eh! oui. c'est moi! faisait le limier d'un voir la justice s'areomplir.

Mais comment diable as-tu bien pu Reprenant la photo de Magda, M. Rtsavoir ?. chard. que le Furet avait rejoint, la Laurent ne lui donna pas le temps présentait à Laurent. d'achever.

Reconnaissez-vous cette femme! portrait dans J'ai vu ce matin ton demandait-il. le Petit Parisien, déclarait-il. Tout de A peine avait-il fixé son regard sur suite je me suis dit « Mais c'est ) image (le la belle Magda qu'il s'excla-

çà.

mon Brevih de Marseille. C'est pas mait Ma poule du Bourget possible que deux types se ressemblent vérije suis venu Mais se reprenant aussitôt, Il rectia ce point. Alors.» fier. et pyis voità! Tu ne m'en veux nait Excusez-moi, monsieur le dlreo pas trop?. (d suivre.)

Mais non, mon vieux teur, je voulais dire.

DANS LA RÉGION

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La Chine

La dissolution

du Parlement roumain SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE

Notre correspondantde Bucarest, qui a toujours été très objectif, nous télégraphie que l'atmosphère politique paraît actuellement, à Bucarest, favorable au nouveau gouvernement. C'est également l'impression que nous avons recueillie hier auprès des diverses personnalités roumaines qui se trouvent momentanément à Paris et qui appartiennent à des partis différents.

D'après elles, les deux groupes libéraux (nuance Duca et nuance I3ratiano) feront campagne avec le cabinet. Il en sera de même des partisans du Dr Lupu.

En ce qui concernle les nationauxpaysans, s'ils ont gardé, en Transylvanie, toute leur influence, il semble qu'ils aient, en revanche, sensiblement perdu dans le vieux royaume de Roumanie.

Le cabinet est donc susceptible de trouver, de ces divers côtés, un assez grand nombre d'alliés. Il ne faut pas oublier, enfin, que le système électoral roumain donne à la majorité des avantages considérables. 20 des aièges sont, eut effet, accordés en surnombre au parti qui réunit 40 des voix.

Il se pourrait donc que la campagne électorale qui va s'engager, et qui sera conduite, du côté gouvernemental, par des hommes ayant la popularité du professeur Jorga et l'habileté manceuvrière de M. Argetoiano, soit particulièrement dure pour M. Maniu et ses amis, qui auront, en outre, à se défendre contre les attaques des libéraux et des fidèles paysans du D' Lupu.

On peut s'attendre, en tout cas, a ce que la lutte soit, de part et d'autre, écharnée.

Quant aux dangers de la dictature, contre laquelle le roi protestait, hier encore, en recevant les journalistes de la Petite Entente, le fait qu'on va procéder sans tarder, conformément à la Constitution, à un appel régulier au pays, parait faire justice des infor-

mations répandues récemment à ce sujet dans la presse mondiale.

LA SEANCE DE CLOTURE Bucarest, 30 avril (dép. Petit Paris.)

La séance d'ouverture de la session extraordinaire du Parlement roumain a eu Peu ce matin. M. Jorga. président du Conseil a lu le décret de convocation, puis la séance fut ajournée à cet après-midi.

Dans cette seconde séance, M. Jorga exposa un programme d'économies, de rationalisation de l'administration et d'adaptation aux nécessités économiques actuelles.

Il termina par la lecture du décret de dissolution du Parlement.

Les élections ont été fixées au 1" juin pour la Chambre et au 4 juin pour le Sénat. Les nouveaux corps législatifs sont convoqués pour le 15 juin.

UN NOUVEAU MINISTRE M. Jules Hatjegan, recteur de l'université de Cluj, a été nommé ministre de Transylvanie sans portefeuille. Il sera probablement le futur ministre du Travail, car l'on songe à diviser l'actuel ministère du Travail et de la Santé en deux départements distincts.

En ce cas, le Dr Cantacuzene garderait le portefeuille de la Santé.

UN DOUANIER DU MOR8

CONOAMNEAMORT

à nouveau menacée POUR MEURTRE BE SA FEMME des horreurs Il t'avait tuée dans un accès de jalousie de la guerre civile La lutte s'organise contre la

dictature de Tchang Kaï Chek Changhai, 30 avril.

DE

NOTRE CORRESPONDANT PARTICULIER

la veille de l'ouverture de la Convention nationale, la Chine se trouve, encore une fois, menacée d'une grande guerre civile, après six mois seulement de tranquillité relative.

Les genéraux cantonais se sont prononcés avant-hier pour Hon Han Min, détenu depuis deux mois, et pour le général Lit Chi Sen, ancien gouverneur de Canton et grand chef de la clique du Kouangsi. détenu depuis deux ans.

Les généraux cantonais ont fait alors alliance avec les généraux du Kouangsi, rebelles à Nankin depuis deux ans, et leurs armées forment une masse compacte qui va devenir maîtresse de toute la Chine méridionale.

Le général Tchen Ming Tchou, homme de confiance de Tchang Kaï Chek et président du gouvernement provincial de Canton, a dû se réfugier en toute hâte à Hong-Kong.

Les chefs cantonais prétendent s'opposer à la dictature de Tchang Kaï Chek et demandent que les leaders civils du Kuomintang, Hou Han Min et Wang Ching Wei, reprennent la direction du gouvernement.

La défection de Ho Ying Tching ministre de la Guerre L'affaire la plus grave, c'est l'attitude du ministre de la Guerre, le général Ho Ying Tching, le meilleur général du Kuomnitang après Tchang Kai Chek, lequel commandait dans la province du Kiangsi une armée de 200.000 hommes chargée d'exterminer les armées communistes. Or Ho Ying Tching est entré en correspondance avec Hou Han Miel et. paraît-il, il a télégraphié à Tchang Kaï Chek l'invitant à libérer immédiatement Hou Han Min. Si Ho Ying Tching avait pu tourner sa puissante armée contre Nankin, le gouvernement n'aurait pas pu résister. Tchang Kaï Chek, averti, a réussi à faire entourer le quartier général de Ho Ying Tching, à Nantchang. au nord de la province du Kiangsi, et à faire désarmer sa garde. Ho Ying Tching serait encore à Nantchang. On ignore si son armée engagée dans le sud du Kiangsi, et qui lui était très attachée, va s'incliner. Si cette armée consent à servir le gouvernement qui possède l'argent, suprême argument pour les soldats, la plupart du temps mal entretenus et non payes, Nankin pourra alors facilement inter dire l'accès de la vallée du Yang-Tsé aux Sudistes cantonais et kouangsinais.

D'autre part, Tchang Hsue Liang, maître de la Mandchourie et suzerain du Nord, est arrivé aujourd'hui par avion à Nankin pour conférer avec Tchang Kaï Chek. Tchang Hsue Liang offre son appui au gouvernement, Georges Moresthe.

A

alors qu'elle allait être mère

Douai, 30 avril (t!p. Petit Parisien,) Le 28 décembre 1929, le préposé des douanes Valère Navez, trente-deux ans, étant veuf et père d'un enfant, épousait Mile Marthe Sauvage, directrice de l'école des filles de Cousolre. Le nouveau ménage, disposant d'un vaste appartement dans le bâtiment de l'école, le partagea avec la mère et la sœur de la jeune femme.

L'union ne fut pas heureuse, Navez devint jaloux et brutal, faisant à son épouse des scènes quotidiennes, allant jusqu'à la chasser de chez elle en pleine nuit alors qu'elle allait être mère. Le jour où la directrice d'école manifesta l'intention de se séparer de son mari, celui-ci lui déclara que si elle réalisait ce projet il y aurait une balle pour elle et une autre pour lui.

Dans la nuit du 12 au 13 décembre,

industrie textile confirme sa décision d'abaisser les salaires à partir du 11 mai

Le consortium de

ouvrier franco-belge, en accord avec la Fédération nationale du textile et la C. G. T., se déclare hostile à cette mesure Lille, 30 avril (dép. Petit Parisien..)

Le comité

Le conflit du textile de RoubaixTourcoing amènera-t-il une nouvelle grève générale ? On peut le craindre.

Jusqu'ici, comme on le verra ci-dessous, les parties restent toujours eur leurs positions, les patrons étant décidés à opérer le 11 mai une réduction de 10 0/0 sur les salaires et les ou-

AfSNJE La fermeture hebdomadaire

des boulangeries

S'associant aux vœux plusieurs foinexprimés par les chambres syndicales de ta boulangerie de l'Aisne. le conseil général vient de demander que la fermeture hebdomadaire des boulangeries ait lieu le lundi et non le dimanche.

On reconstitue, à Saint-Quentin, le crime do la rue de* Blancs-Boeufs On a procédé hier, à Saint-Quentin, à une reconstitution du crime de la rue des Blancs-Boeufs. Fourniva). l'assassin, fut conduit devant le débit Barthayre, qui forme l'angle des rues de Villebols-Mareull et des Btancs-Bœufa. Un agent de la sûreté, ayant endossé la veste ensanglantée du malheureux Lemue. simula ce dernier sortant du débit.

En présence de MM. Ramain, procureur de la République Petaa'iautt, juge d'instruction: Vaillant, greffier, et de la police, l'assassin simula son geste criminel, puis indiqua le terrain vague où Il jeta le rasoir sanglant avec lequel Il venait d'égorger Lemue.

Selon ses explications, Lemue aurait été égorgé du premier coup, et c'est ensuite, en voulant ae protéger, qu'il aurait reçu deux autres coups au bras gauche. Le coup fait, Fournlval aurait suivi la rue de Villebois-Mareuil, s'y serait débarrassé de l'instrument du meurtre. aurait gagné la rue d'isle. puis la cité Saint-Lazare. Puis Il revint sur les lieux, parlant aux enquêteurs et offrant même son aide pour placer la victime sur un brancard.

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vriers étant résolus à répondre à cette mesure par l'abandon du travail.

Le consortium de l'industrie textile de Roubaix-Tourcoing a communiqué ce soir la note suivante Nous prévenons tôt abonnés que toute « La commission intersyndicale pat??t(ïtt<te de changement d'adresee doit tronale, réunie aujourd'hui, a pris Xre aceompac" de la dernière Oattde connaissance d'une lettre écrite par tu Journal et de i franc pour trais de les syndicats ouvriers et elle a en'etmpresott de nouvelles bandes. tendu rendu des le compte entrevues le douanier tuait d'un coup de fusil sa femme qui lui aurait dit « Ce soir, tu qui ont eu lieu entre les déluès de Dans le foyer d'une locomobile peux encore coucher ici, mais demain ces derniers et son secrétaire générât. posée M. Ley question A tu t'en iras. Puis il prenait la fuite. au par une on trouve un obus non exploaé On l'arrêta le lendemain alors que, ha-, cours de l'entrevue du 29 avril, les délé- Un chauffeur de locomobile. M. Jules rassé de fatigue, après avoir battu la' gués du syndicat cégétiste avaient Corbeaux, service de M. Quéquignon, campagne à bicyclette, il dormait au répondu nettement que la grève géné- cultivateur au à Grugies, se préparait à allupied d'une meule de paille. rale serait déclarée si les patrons main- mer sa machine lorsqu'il aperçut dans le De mauvais renseignements sont tenaient leur décision de diminuer les foyer un obus non explosé qu'il retira avec fournis au point de vue professionnel salaires. Les pourparlers ont donc mal- autant de précaution que de h&te. Il d'un obus autrichien de 77, ensur l'inculpe qui était l'agent le plus heureusement échoué sur la question s'agissait muni core son détonateur et. sans principale. Dans ces conditions et pour doute, trouvéde dans mal noté dénia capitainerie. la campagne environA l'audience, l'accusé rejette la res- les raisons majeures déjà longuement nante. ponsabilité du drame sur sa belle- expliquées, la commission intersyndicale L'explosion de cet engin n'eût pas manmère. patronale se trouve dans l'obligation de que de provoquer des dégâts considérables Elle a « empoisonné mon mé- maintenir sa décision de diminuer les et eût sans doute fait des victimes. La gennage comme elle avait « empoisonné salaires et de la mettre en application darmerie enquête.

Des crêpes de chine, le ménage de mon beau-frère. Si le 11 mal.

V!C SPR AtSNE. la A suite du tir j'avais été seul avec ma femme, nous A ce communiqué, le comité franco- traditionnel de l'abat-oiseau, le jeune Raydes toiles et voiles de soie belge du textile a répondu par une mond Parvitte fut proclamé roi pour 1931 ne nous serions jamais disputés.

Les jurés n'ont pa-j jugé cette expli- affiche placardée ce soir et dont voici par la compagnie d'arc. Celle-ci a ensuite aux prix de fabrique cation suffisante et ils ont refusé tes quelaues extraits renouvelé son bureau comme suit MM. circonstances atténuantes à t'accusé <: Devant le coût actuel de l'existence Drouard. connétable; Caqueret, capitaine; milliers de femmes ont écrit lieutenant; Desuot, sous-lieutenant: qui a été condamné à mort. et l'augmentation continue des denrées Aumin, D aux fabricants de la nouvelle secrétaire Ferreux et Klein, memde première nécessité, la décision pa- Vigny, bres. soie Wassili pour les féliciter tronale est une atteinte au droit de de leur belle création. Si vous estivie des ouvriers Depuis 1920 les salaiEURE-ET-LO mez qu'ilil est intéressant de payer res sont toujours restés bien en dessous des index de la commission officielle le tissu d'une robe 125 francs, au du coût de la vie. La réduction des salieu de 300, vous devez à votre tour Mort inexpliquée d'un charretier l'opération disqui fera laires n'est pas connaître la soie Wassili.

Madrid, 30 avril <<Mp. Information), paraître le chômage Le charretier Pierre Chàtaigner, trente celui-ci la est Il est formellement garanti que les Le ministre de l'Intérieur. M. Maura, résultante de l'anarchie dans la pro- et un ans, au service de M. Huet, cultiva& Nobleville, de Civry, jolis crêpes de chine ou crêpes ayant déclaré, au sujet de la forma- duction et d'une sous-consommation teur commune tion du gouvernement de la généralité provoquée elle-même par l'insuffisance conduisait un tombereau lorsque, au passatin, tissés dans cette riche mad'une automobile, il s'affaissa. La catalane, que les facultés du pouvoir des capacités d'achat des travailleurs. sage tière sont lavables, intachables à fut instantanée. On ignore s'il a été central ne se délèguent pas et que les Même en supposant que l'industrie mort t'eau. Ils ne se "cassent" pas et ne par le timon de sa voiture ou si Chambres constituantes auraient le doive piétiner un moment, les bénéfi- heurté l'automobile a été cause de l'accident. Le se déforment pas. On peut les teindernier mot, le colonel Macia a fait ces des années passées permettent aux parquet de Chartres a ordonné l'autopsie. dre et tes nettoyer sans aucun risparaître cette nuit une note disant patrons d'attendre sans dommage des Roi pourvoit cotation se en qu'une telle affirmation avait produit jours meilleurs. Les travailleurs, eux, que. Seul, un expert est capable de Robert Roi, l'assassin de M. et Mme les distinguer de soieries vendues une impression étrange et que l'on ne n'ont pas cette possibilité. Le comité Klein, tailleurs a Courville, la que cour pouvait croire qu'elle interprète la franco-belge du 'extile.

80 frs le mètre. Pour pouvoir les complet d'Eure-et-Loir d'assises condamné, mera pensée du gouvernement provisoire de cord avec la Fédérationennationale acdu credi. à la peine capitale, a signé son pourla République espagnole. textile et la C. G. T., se déclare opposé voi en cassation.

Le colonel Macia s'en tient au pacte à une diminution des salaires. Derrière Jules Topart et Georges Foucault, de Saint-Sébastien, stipulant que le le comité franco-belge, la classe ou- condamnés pour incendie volontaire, le statut de la Catalogne fera l'objet d'un vrière unanime agira selon les circons- premier é la réclusion perpétuelle, le second & sept ans d'interdiction de séjour, ont pris plébiscite entre toutes les municipal! tances. » la même décision. tés de la région.

Les syndicats libres, de leur côté, M. Maura a précisé hier sa pensee publient un manifeste demandant que L'infanticide de Soret-Mouttet à M. Marcellino Domingo. les pouvoirs publics interviennent pour est acquittée Les ennemis du régime, a-t-il dit, rechercher un arrangement qui évite- Une veuve de quarante-quatre ans, Célesl'ont dngurée en vue de créer des rait la grève générale et sauvegarderait tine Lallemand, ouvrière d'usine à Sorelconflits que la loyauté du gouvernement la paix sociale.

Moussel, comparaissait, hier, devant le jury provisoire vis-à-vis de la Catalogne, et d'Eure-et-Loir, sous l'incutpatioin d'infanréciproquement, a rendu, rend et ren- LES ACCIDENTS DE LA ROUTE ticide. dra impossibles.

L'accusation lui reproche d'avoir donné

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La question catalane en Espagne

la mort à t'entant issu des relations coupables qu'elle entretenait avec son gendre.

LES OPERATIONS A LES CONSEILS Mais elle avoue seulement avoir caché le corps dans un buisson.

CONTRE LES REBELLES Je ne l'ai pas tué Il a succombé tandis que j'étais en syncope, dit-elle. n'ont d'ailleurs relevé à Neuilly-sur-Seine,ayant dé- Les médecins Lisbonne, 30 avril (dép. Havas.) Un discours de M. de commerce de violence, mais ils admettrace dans les Côtes-dtt-Nord rapé sur la route mouillée, a heurté aucune Le mmistm de. la Marine, commanl'hypothèse de l'étouffement. tent dant les forces gouvernementales qui M. de Chappedelaine a ouvert la ses- l'avant d'une autre auto conduite par Après réquisitoire de M. Hugot, substiopèrent contre Madère, a télégraphié sion du conseil général des Côtes-du- M. Pabricot. agriculteur à Vimory (Loi- tut du procureur de la République, et au chef dttgouvernement que tes ope- Nord par un discours dans lequel il a ret). Ce dernier, qui était accompagné plaidoirie de M* Ganot. le jury a rendu un rations ont commencé avec un plein déclaré que l'agriculture était au pre- de sa femme et de ses trots enfants, a verdict d'acquittement.

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GENERAUX Une auto se jette contre une autre Melun, 30 avril (dép. Petit PmWstett.)

A Chailly-en-Bière, une auto conduite Chappedelaine par M. Pierre ThMtier, représentant de

succès et qu'un détachement de troupes mier rang des préoccupations du gou- été blessé assez grièvement par les ALLUYES. Alors qu'il travaillait dans ré- vernement et montré que, malgré les éclats du pare-brise, ainsi que son flla de battage, M. Amlot, trentePhilippe, une quatre Les autres sistance et sans ans. occu- six entreprise coo- difflcultés qui l'assaillent, la France depère de six enfants, demeurant à ans, été contusionnés. n'ont pants que La réponse italienne est imminente pération des navires de guerre. meurait un Etat privilégié.

Bonneval, la tête serrée dans une a eu Les forces gouvernementales ont ocLe ministre monde, poursuivit le de Londres, 30 avril (dép. Petit Parisien.) cupé à paille.

Il tué presse sur le coup. a les positions prévues d'après le la Marine marchande, souffre d'une crise Un militaire avion capote Le gouvernement italien a fait con- plan des opérations. de production et de sous-consommation. naître au Foreign Office que sa réprès de Pontoise Notre gouvernement. à Rome, à Genève, 07.SE ponse aux dernières propositions na-!

REVOCATIONS partout où se discutent les grands intérêts vales françaises serait conçue sur la mondiaux, poursuit un meiiieur Deux blessés AUTRECHES. M. Louis Oger, adjoint, même base que les contre-propositions Le Journal officiel publie un décret des forces économiques ey )e rajustement été élu maire, en remplacement de M. britanniques qui furent communiquées révoquant les fonctionnaires civils et de la production agricole et de la pro- Un avion du 34' d'aviation, piloté aNocq, démissionnaire, et M. Delville a été industrielle.

Perrard, qu'accompasamedi dernier a-: gouvernement fran- militaires mêlés aux mouvements ré- duction le sergent par nommé adjoint. heureuse de ce problème gnait l'adjudant Verdière, survolait çais. Une démarche similaire a été volutionnaires de Madère et des estLaliéesolution Un incendie s'est déclaré BEAUVAïS. intimement au maintien de la paix faite auprès du Quai d'Orsay, mais le Açores. dans le garage de M. Lenorhier, 17 heures, le territoire de l'autre nuit. vers à et l'union des Etats d'Europe qui fait Grisy-les Plâtres, à 10 kilomètres Calais.

On parvint, malgré mand, de document italien ne sera remis à Pa- Un autre décret dissout les unités l'objet de nos constantes rue au les flammes préoccupat)ons. dévoraient la toiture, à qui Ponta-Detgaa.

Funchal, de militaires Pour suivre son destin, le pays peut nord-ouest de Pontoise, lorsque, remarris et à Londres que dans un jour ou les voitures grâce prompts sesortir aux réorganise les avoir Angra do Heroismo et confiance en M. Pierre Lavât, le jeune' quant un ralentissement dans le régime deux. s'élèHéau dégâts fut enrayé.

Les le cours chef dès qui, débuts, au à s'est classé ses troupes d'infanterie en garnison du moteur, le pilote voulut atterrir. mille de francs.

A dizaine vent une premier rang par des coups de maître.

Horta.

L'union agricole des syndicats conféen évitant un chemin, il heurta un N'a-t-il pas fait voter le budget A temps Mais, qu'il n'avait pas aperçu et l'ap- dérés de Beauvais et des environs, orgaen équilibre en t'espace seulement de talus MANIFESTATION DE SOLIDARITE! et nise pour aujourd'hui une réunion qui se quelques semaines. barrant la route aux pareil capota. & 10 h. 30 salle de la bourse du EN ESPAGNE propositions démagogiques qui menaçaient Les deux occupants, dégagés des tiendra La commission des affaires étrangères travail.

Le soir & 20 h. 45, au théâtre munide nous faire perdre le fruit d'un redresse- débris de l'appareil, ont été transportés tchécoslovaque approuve la façon de Madrid, 30 avril Mëp. Hava$.) fête du travail sera marquée par cipal. la financier ment 3i chèrement acheté. dans une clinique de Pontoise. Leur une manifestation artistique.

Les étudiants de l'université de Mavoir de M. Benès A l'hommage que je rends à M. le pré- état n'inspire d'inquiétude. pas Un ouvrier boulanger.

CHANTILLY. drid. arborant les étendards républi- sident du Conseil, vous me permettrez Prague, 30 avril (dép. Havas.) dix-huit ans. au Thibault Fernand M. ont fait une manifestation de- d'associer M. Gaston Doumergue, ce grand La commission des affaires étran- cains, à motocyDaguet' suivait de M. service Un fait chute citoyen, qui. après avoir rempli avec un autre une l'ambassade de Portugal. s'est lorsqu'il Connétable du gères de la Chambre a terminé le débat vant la clette rue patriotisme éclairé e, une haute conscience faire ainsi, Ils voulu, agissant ont près de Montélimar & sa automobile survenant en jeté contre une sur l'exposé de M. Benès. et tous les savoir qu'ils étaient de cœur avec leurs le mandat qui lui était échu, emportera le fracture gauche.

Relevé comune avec partis tchèques et slovaques, aussi bien camarades portugais qui ont entrepris respect et les regrets unanimes de ses concipliquée de la jambe gauche, le jeune toyens. de la coalition gouvernementale que de j Deux tués homme a été transporté à l'hospice Condé. l'opposition, ont approuvé la façon de la lutte contre la dictature.

Montélimar, 30 avril (d. Petit Paris.)

Alpes-Maritimes.

Le conseil a voir du ministre des Affaires étran- j sés Un adressé félicitations à avion militaire, qui évoluait aucommisla SEINE-ET-MARNE gères sur l'union douanière et le plan Les négociations commerciales sion d'enquête l'aérodrome Montélimar, dessus de indépende la haute pour de M. Briand, tandis que les Ailedance qu'elle apporte à sa tâche et for- a fait une chute cet après-midi, à Un congrès d'anciens combattants mands voient dans l'accord entre vont être bientôt reprises mule le vœu qu'elle puisse mener jus- 15 heures, à la suite d'une perte de Vienne et Berlin une base propice pour Bucarest Berlin à Fontainebleau et Pntre qu'au bout son œuvre d'épuration et vitesse, à 200 mètres au nord-est de la collaboration européenne. l'aérodrome. salubrité Le mécanicien de pilote et le L'Union des groupements seine-et-marpour la défense de l'éparLe D' Kramar a fait remarquer Parisien.j 30 (dép.

Petit à bord été tués Berlin, avril qui trouvaient nationale. ont d'anciens combattants et victimes de la nais se gne d'une façon particulièrement frappante La Guette de Vo.M le organise un grand congrès départeles Corréze.

Sur la proposition de guerre sur coup. annonce que l'impossibilité pour la Tchécoslovaquie négociations germano-roumaines. me- MM. Labrousse, Spinasse mental à Fontainebleau tes 2 et 3 mai.

Rouby, et le d'approuver « que l'Autriche soit sucée nées tout d'abord à Vienne et inter- conseil Dimanche à midi, banquet salle du ConL'avion Paris ))a demandé au Parlement de jusqu'à la moelle par l'Allemagne x. « servatoire américain, rue Royale & le 11 avril, vont reprendre « s'opposer à toute modification du 15 h.

30, remise officielle de la croix du fait forcé car c'est cela que vise l'union écono- j rompues atterrissage un ince3h'rment a Bucarest. mode actuel de scrutin pour l'élection cambattant membres des sections avec mique. En Allemagne, il règne un ''légation allemande partira La ven- des députés a et souhaité « l'heureux L'avion Paris, qui avait quitté Braz- le concours aux des fanfares du 7l* d'artillerie, courant militariste qui se communi- dredi de Berün sous la conduite du doc- développement de la république espa- zaville hipr à destination de Leanda, du d'artillerie et la batterie du 46' querait bientôt à l'Autriche incor- teur Posse, a Commerce d'infanterie. du du ministre gnole dans liberté la paix la et été pris porée. une tornade et contraint de l'Industrie. Les principes qui ont Drame. Dans son discours prési- d'atterrirdans Témoin de la mort d'un camarade L'union douanière, a dit l'orateur, et un terrain montagneux. à l'entrée en négociations n'ont dentiel, M. Léon Archimbaud, député. L'appareil sur n'est point un premier pas vers l'Union présidé est fortement endommagé il ne la signale que le lendemain changé aujourd'hui. L'Allemagne s'est exprimé en ces termes européenne, comme le prétend la diplo- pas prête et! écrasé le d'atterrissage train s'est En sortant d'un café de Saint-Marttna accorder des tarifs préféSi. dans le domaine de la politique J'hélice est tordue. matie allemande et autrichienne. L'Au- est Chennetron. et un ouvrier agricole. Alfred rentiels à la Roumanie pour l'orge extérieure, nous avons la grande joie de triche devrait nécessairement devenir le L'équipage indemne tenter est et Rigoudeau, trente-deux va ans, voulant monmaïs ainsi que pour quelques autres saluer la jeune République espagnole. de réparer avec des pièces de rechange trer son agilité & l'esclave de l'Allemagne qui, de 1924 à produits camarade, grimpa son agricoles. nous constatons avec amertume que nos demandées à Léopoldville.

1929, a dépensé 39 milliards de marks pylône électrique un sur en bordure d'une voisins d'Italie mènent toujours contre la réserve Cette faite est sous promesse Lorsqu'il fut mare. parvenu au faîte, une pour de nouvelles installations et déve- de l'attitude que prendront le Canada, France la même campagne de dénigrement L'accident a eu lieu à 60 kilomètres flamme jaillit. L'imprudent tomba dans lopper la rationalisation. Cet énorme l'Argentine et les Etats-Unis qui ont et d'injures. Nous. Dauphinois, nous au sud de ThysviIIe (Congo belge). la mare. avions appareil n'attend que d'être animé par eu de cordiales relations Témoin de cet accident, son camarade, des traités de com- avec lestoujours Piémontais. nous ne pouvons que Un hydravion capote à Hyères nommé le capital américain et français pour avec l'Allemagne Tesarz, alla tranquillement se coumerce comportant la clause de la na- déplorer cette attitude. D'autre part, t'acensuite étouffer toute vie économi- tion cher à la ferme et ne parla de l'accident la plus favrisét et qui lui livrent cord douanier de l'Autriche et de t Attele lendemain matin. L'autopsie du que que. En outre, l'Autriche oublie que. les mêmes denrées que la Roumanie. magne est l'événement le plus Un blessé grave que cadavre a été ordonnée par le parquet.

1919. par l'union douanière, l'Allemagne se! On croit que de ce côté les difficultés nous ayons eu & enregistrer depuis Hyères, 30 avril (cMp. H<tMM.) Maleré ces nutcs noirs qui -amoncellent. rapprocherait de la frontière de la pourront être Nn-Uement aplanies.

Une fillette tuée par une auto faudra Il vienne d'exercices, bien le jour où Au appareil du Yougoslavie, d'où elle délogerait les que cours un Il reste également à déterminer t'im- la Société des nattons, ayant A son service centre d'Hyères, piloté par t'enseigne A Battiy-Carrois. une ftllette de quatre exportations autrichiennes. Dans ces portance concessions que la Rou- une force armée Internationale. sera la de vaisseau de Gail, a capoté en rade ans. la jeune Marie Jakubow, qui jouait conditions, il semble certain que l'Au- manie estdes à faire à t'Attemagne véritable Assemblée de tous les pays du d'Hyères sur la route départementale devant le d'Ayguade. plage la triche envisage l'union douanière du sur le tarifprête sur domicile de ses parents, a été renversée produits Industriels. monde; ce jour-lA la paix sera enfin une L'officier été sauvé trois civils. point de vue politique. La Tchécoslo- La Roumaniedes par automobile pilotée par M. Louis a réttttA par une possède tarif dont Il légèrement blessé.

L'appareil est Verbist, électricien il Nangis. La malheuest vaquie commettrait un suicide si elle beaucoup de positions un sont véritable- Seine-Inférieure. Le conseil géné- très endommagé. enfant été tuée reuse a sur le coup. adhérait à l'union austro-allemande. ment prohibitives et l'Allemagne de- ral a voté la motion suivante mande ici des réductions très consi- Le conseil général. considérant qu'il importe plus que jamais de réaliser, con- La assassins Mortelette et Lamothe Modification de l'ordre du jour dérables.

Il est possible qu on envisage la fixa. formément aux paroles récemment prononsont gradét par le chef de l'Etat. l'union «des de la commission de la S.D.N. tion d'un contingent pnur les produits cées Une auto volée des esprits et des cours a en vue roumains, mais cette méthode ne sau- intérêts, la paix à l'intérieur et & l'extéOn recherche un filou qui déroba devant Les jeunes chenapans Mortelette et rait s'appliquer au% exportations alle- d'assurer pour l'union européenne rieur. fait conftance restaurant de Nemours une automobile gouvernement pour un au qui assassinèrent le chauf- appartenant mandes de produits fabriqués. pratiquer une politique de large union et Lamothe, à M. Chaulet, propriétaire à de concorde entre Français et pour after- feur de taxi Bourzeix. ont été avisés Vérac (Gironde). et tenta, sans succès, de La satisfaction des milieux italiens mir. sans faiblesse et sans abandon. la patx hier matin, à la prison de Beauvais, la vendre à un garagiste de Montgeron Transcaucasie de L'effroyable séisme Rome, 30 avril (dép Petite Parisien.) du monde, au maintien de laquelle la Ré- par le procureur de la République, que puis à un autre de VlIieneuve-Saint-Georges. puhttnue française n'a cessé de consacrer la peine de mort prononcée contre eux La décision du secrétariat de la Société des nations de modifier Londres, 30 avril (dép. Petit Pari,sien.! sesIl efforts par la cour d'assises de l'Oise est com- ATHIS MONS. A la suite d'un désacà M. Gaston Doumergue, Paré- muée l'ordre du jour de la commission Le séisme de Tranacaucasie. annoncé stricntadresse en celle des travaux forcés à cord avec la forte majorité du conseil mude la République, l'hommage de sa perpétuité.

Président de la Répu- tticipat, MM. Marius Paqueraux et Antoine d'étude du projet d'union européenne par 1(- Petit Pari,sien a fait d'effroya- respectupuse reconnaissance pour !'émi- blique leur le accordé leur grâce. Denis viennent d'adresser au sous-préfet ayant hies afin de permettre à l'U. R. S. S. et à ravages. nente et patriotique sagesse qu'ii n'a cess de Corbell leur démission de maire et Mortelette Lamothe près ont simple- d'adjoint.

Geryusinsk. et Dans le district de la Turquie de prendre part aux trade mettre si heureusement au service des plus hauts intérêts de la nation française ment remercié le magistrat sans manivaux du début, suscite une impres- de 20.000 personnes se trouvent actuelM. Adolphe Pruron, trente fester la moindre émotion. Maintes et CHATOU. sion favorable dans les milieux Ita tement sans abri et de nombreux habidemeurant 44, avenue du MaréEnfin l'assemblée a adressé son salut fois. un ans. ils avaient confié à leurs gardiens chal-Foch. a été renversé et blessé par une liens. tants ont péri dans les villages de cordial à la République espagnole et l'espoir d'être graciés. Cette nouvelle automobile. Il a été transporté à l'hôpital Le Lavoro Fasrista fait ressortir que témoigné en dehors de toutes préocSaint-Germain. cette décision évite de grosses compli- int été complètement rasés. cupations politiques, sa gratitude à ne les a donc cas surpris outre mesure. deHYRt-GAKf.AK. Des cambrioleurs région cations politiques car ie-refus d'adhéOn peut en dire autant de ta Alphonse XIII pour l'aide personnelle introduits, sont par une fenêtre restée rer à la thèse formulée *par M. Litvi- dE' Megrinsk où tp séisme a atteint des qu'il a apportée, pendant la guerre de UNE BELLE PERFORMANCE se ouverte, dans le logement des époux Paré. nof aurait pu engager les gouverne- proportions terriflantes.

1914-1918. aux populations françaises 158, boulevard du Raincy. Le bruit réveilla Les secours sont activement nrgani- envahies et aux combattants prison- POUR AVION SANS MOTEUR M. Paré qui. bien qu âgé de soixante-quaments de Moscou et d'Ankara à se torze ans, mit les malfaiteurs en fuite. ses à Tiflis, en Géorgie et dans l'Erivan niers de guerre. retirer de la conférence.

Ceux-ci 30 Radin.) ne purent emporter que quelques Darmstadt. avril (dép.

Ce journal remarque d'autre part, où les victimes se comptent par mitobjets d'une valeur d'une centaine de francs t'air hier, pilote Gronhoss a tenu que le délégué de l'Italie au sein de la tiers. De son côté. le gouvernement CM*M<mc*.

Le résident général de à Le SAtNT-MttHEt, StJR-OKGE. Demain, bord de son avion sans moteur, de ouverture de la fête commission des douze s'était déjà envoie des commissions spéciales et un France a inauguré officiellement le mode la gare avec jeux exprimé dans le sens de la décision nombreux personnel médical dans tou- nument commémoratif de la construction 16 heures à 21 heures. Il a atteint une divers; dimanche, concert par la fanfare altitude de 1.750 mètres. de la grande jetée du port.

Th. V. et matinée dansante; le soir, grand bal. qui vient d'être prise. tes les régions sinistrées.

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LES CONTES DU « PETIT

CAS

DIFFICILE!

La captivité de Napoléon

â Sainte-Meiie

par Edmond CLERAY

sera évoquée

être les redevances que payaient les nombreux visiteurs du tombeau et de la maison de )'Empereur. Le salon où

Napoléon était mort se trouva transformé en moulin à orge, la chambre à coucher en écurie, l'appartement de Gourgaud en étable et toutes les autres

constructions n'allaient pas tarder à disparaître.

Napoléon III se préoccupa de mettre un terme à cette situation. Ayant obtenu de la reine Victoria la cession des quatorze hectares qui nous intéressaient, il envoya à Sainte-Hélène le capitaine de génie Masselin, avec mission d'effectuer les travaux de réfection de Longwood et du tombeau. L'officier flt de son mieux et réussit, au cours des vingt-deux mois qu'il passa dans file, à. rétablir une partie des édifices dans la forme où ils étaient au moment de la mort de l'Empereur. Mais Il ne put tout reconstituer et actuellement encore il n'y a guère que la ferme dans laquelle résidait l'empereur qui soit encore debout.

Grâce aux plans et aux croquis je possède, poursuit M. de Laque chouque, j'at fait reproduire sous forme de maquette toute les habitations qui avaient été affectées à Napoléon et à sa suite. M. Georges Colin, qui, depuis 1917, exerce à Sainte-Hélène les fonctions de conservateur m'a beaucoup aidé dans ma tâche en me fournissant toutes les précisions qui me manquaient Il déplore comme moi l'état pitoyable dans lequel est laissé le peu de constructions qui font revivre à SainteHélène le souvenir de Napoléon. N'ayant personnellement aucun logis pour s'installer avec sa femme, M. Colin est obligé de coucher dans la chambre de

Pour sûr que c'est plus noir, réponLe père Buchot, un petit vieux sec tout blanc, s'était assis dans l'anticham- dit Buchot. Mais pour vous dire c'que bre de la clinique, sur le banc. adossé au c'est.

Bon. Et plus bas. lA OÙ est mon mur. Des clients s'y alignaient déjà, des gens du chef-lieu, qu'ils ne connaissaient doigt ?

Où qu'est vot' doigt ? point une vieille dame en mitaines. et II y avait là, en caractères encore ma- Le capitaine Lachouque, qui a préparé grosune femme avec un petit garçon à brimjorés. RCYHO, etc. cette intéressante manifestation, nous ses lunettes dont les pieds boueux et Oui. doigt. où est mon balants s'essuyaient tantôt sur la jupe expose son projet ben Eh de celle de la vieille dame. tantôt sur mon bon monsieur, j'vois sa ben encore des lignes, et puis des tràits, mère.

Sur les pentes montmartroises, où Buchot venait consulter pour les yeux. et comme qui dirait un rond. mais c'est Joseph Bonaparte, à la tète de quelDepuis cinquante-deux ans qu'il était itou. ques dragons et avec l'aide du propriéDiable murmura M. Tillier. C'est taire du Moulin de la Galette, résistait, tailleur, à Saint-Firmin, il avait eu le 1814, à l'assaut des Russes, un petit temps de les user. Mais c'était seulement plus sérieux que je ne pensais. Et il chan- en hôtel s'élève qui frappe le passant par depuis quelques mois que son fils et sa gea ses verres mobiles. originalité.

Une façade étroite an son bru. dans la boutique où son nom s'étava vous falloir de gros verres. grises chargée de ferronnerie C'est-il plus cher ? demanda le père pierres lait. sur la porte, avec un beau paraphe, manière la des castels du moyen âge. a Buchot en levant la tête.

Conf ection enseigne pour cette des pierres et des ferGrimpant le long sous Ne vous inquiétez pas, rassura M. rures, des lierres et des vignes vier'gea Hommes, Dames et autres. avaient remarqué dans son travail de regrettables in- Tillier. Et regardez bien devant vous. Là. augmentent encore, s'il est possible, la cidents de couture. Il avait toujours, pour- Et i! indiquait une ligne dont les let- note de sévérité de cette façade.

Ce petit hôtel austère est un musée. tant, la même place, la meilleure, assis tres, NLTAVR. mesuraient trois bons C'est un temple consacré aux souvenirs les jambes croisées « en tailleur sur centimètres au carré. militaires et à tout ce qui fut la gloire Là. qu'est-ce que vous voyez ? l'établi, le jour de gauche, et des mains Napoléon.

II se trouve dans le décor de Le père Buchot avança la tête avec une qui lui convient, qui ne tremblaient pas. bien qu'elles fusdans la partie de l'ansillonvolonté évidente bonne tension et prodigieusement et une noueuses cien maquis que la commission du sent il l'intelligence dont disposait. de Et à extrême voici Vieux-Paris a réussi à défendre contre de énormes. veines que. nées Buchot, le dit M. Allons, fièvre de transformation dont archifils trouvé la Buchot avait voyons. plusieurs reprises, seul tectes et terrassiers parisiens sont afflidans l'ouvrage de son père des poches si docteur. A cinq mètres, et sortant depuis ces dernières années. La rue l'Empereur étrangement cousues que la main ny dans la rue, et cousant de votre métier. gés de l'Abreuvoir, qui a, en effet, conservé Il faudrait qu'un terme fût mis à pouvait pénétrer à moins d'effraction et il est impossible que vous ne puissiez son caractère séculaire se devait d'abri- cette situation et que les communs qui des boutons placés de telle sorte qu'ils de- voir ) rassemblées abritaient la suite de Napoléon fussent précieuses reliques ter les Buchot hochait la tête capitaine vaient éternellement demeurer inaccessiM. Lachouque, en dispo- reconstruits au plus tôt. par j'vois j'dis Pour point voir, collectionneur boutonnières. que érudit leurs nibilité, bles à pas fervent et En dehors des maquettes, des crod'abord des qu'admiraY même était traits Buchot militaire point. temps père comme ça Timidement en a quis et des cartes fournis par M. Lacar Napoléon. doigt) d'autres passionné de les dessinait du teur il dit (et et fils lui peutavait irritable chouque, nombre de reliques napoque. son de le culte Tous qui connaissent dans il dessina de découra(et ceux léoniennes Sur provenant de Sainte-Hélène lunettes. ton comme ça nouveau un être, des qui ont capitaine, l'ancien tous ceux c'est ?. n'en l'air). dire à l'Exposition coloniale. Le géqu'il Mais quoi figurent répondu pour vous geant. le vieux avait conférences écouté lu oeuvres ses ou ses neral Mariaux, gouverneur des InvaVoyons, insista M. Tillier, regardez ont avait pas besoin, puisqu'il voyait toujours c'est l'estime plus vive et la lui pour lides, qui a constitué, lui aussi, une prébien le coq du clocher et même l'heure bien à cette distance, avec des lettres justice. cieuse collection des souvenirs de vous devez lire ce Les recherches patientes, intelligentes Napoléon, se fera certainement un sous le coq. Il avait fallu. pour l'inquiéter de cette dimension, du rece- qui est écrit. Autrement. et heureuses de M. Lachouque étant plaisir de la mettre à la disposition sur sa vue. la visite en fanfared'un lunettes Le Buchot. derrière à père stopsujet venues à la connaissance des organisa- des organisateurs de l'Exposition. Tous ses veur de l'enregistrement au de coloniale de Vin- les descendants des derniers compaverres mobiles, avait levé les yeux avec teurs delel'Exposition page jadis le triompheétenduBuchot père collectionneur s'est vu invité gnons de Napoléon prêteront, eux aussi, par mé- stupéfaction, des yeux bleu passé d'une cennes, que celui-ci avait à exposer à Vincennes, dans une salle les objets qu'ils possèdent. M. Colin, de garde à un gousset devenu. ainsi. parfai- sincérité insoupçonnable. la section rétrospective, la reconsti- son côté, a obtenu du gouverneur briLire. que vous dites ? Mais, mon de tement hermétique. Buchot fils et sa femtution de la vie de Napoléon à Sainte- tannique de l'ile le prêt d'une desserte Alors, qu'il lire. n'sais bon point du monsieur, je obtenu vieux alors Hélène. me avaient de la salle à manger de l'Empereur. prit au petit jour le train de 5 heures pour quoi qu'vous voulez que j'fasse avec vos C'est par le peintre de la Nézière, un compe annuellement une moyenne i des artistes attachés à l'Exposition et deOntrois aller à la sous-préfecture demander une lettres ? cents visiteurs de toutes les l'Abreuvoir, être, de les qui Tillunettes, trouve Et, levé, il en*eva M. s'étant de rue clinique se débarquent à Sainte-Hélène la qui lunettes nations de à paire M. Lachouque mitoyen, voisin chason que les reprit Longwood soigneusement, et le tombeau de voir son lier. l'oculiste. pour posa été signalé organisateurs de a aux mêmes visiteurs se dignité.

Si l'Empereur. ces Buchot n'était pas sans inquiétude peau et sa canne et sortit avec même l'Exposition.

Et c'est le par à Vincennes ils y verront, Edmond CLERAY. quand la porte s'ouvrit et que M. Tillier moi-même été rendent excellent artiste j'ai que avec étonnement, une reconstitution lui nt signe. Ce cabinet avec des drapeprésenté à l'ancien capitaine. plus complète que ce qu'ils beaucoup CONSEIL SUPERIEUR Certains pourront être surpris qu'une ont pu voir dans l'île ries. une espèce de télescope avec une AU île

a l'Exposition coloniale

Il

britannique figure dans une exposi1 Vous DES CHEMINS DE FER Ce n'est pas I'î!e Sainte-Hélène qui figurera à Vincennes, explique mon ami de tt traction automobile de la Nézière, c'est la partie française L'utilitation v'ous êtes ?. cette île. Car et cela peu de aur rail pour l'exploitation des lignes de Tailleur à Saint-Firmin.

Français savent le la partie de file à faible trafic là.

Napoléon Mettez-vous vécut Bon. et celle où sur laquelle de supérieur chemins des Le conseil il il fut enterré en 1821 (en tout quatorze L4, c'était un petit tabouret où des ministère hier réuni fer s'est au la fenêtre, s'assit, tournant le dos à sans Travaux publics sous la présidence de hectares) sont devenues territoires français. Cette cession d'un territoire lâcher son chapeau ni son bâton.

M. Albert Mahieu, sénateur, et a pour- britannique & une nation étrangère Et alors ? dit M. Tillier. qui s'était suivi l'étude des économies à réaliser la seule que l'Angleterre ait jamais assis en face de lui. Vous y voyez mal ? dans l'exploitation des grands réseaux .faite nous été gracieusement conPour ce qui est d'voir mal, dit le ainsi que des économies qui pourraient sentie par la areine Victoria en 1858, résulter de la simplification des règle- la demande de Napoléon III. Dans cesà père Buchot, je n'peux point dire ça. Ainsi ments actuellement en vigueur, certai- conditions, la partie française de je vous vois très bien. comme vous êtes. dispositions de ces réglemente Sainte-Hélène peut figurer à l'Exposides devant moi, avec le nez et la bouche aussi. nes correspondant plus aux nécessités tion coloniale française. clo- ne du le l'heure j'vois et coq techniques ni aux besoins écono- Nous voici chez M. Lachouque. comme cher à p'têt ben des cent met' de moi. miques.

L'escalier gravi, un escalier dont la Et de près ? dit M. Tillier. Parmi les propositions d'économies, rampe Afnsi est surchargée de selles, De près ? Ben p'têt pas comme au- les réseaux ont envisagé, pour l'exploi- d'étrters, de mors, de brides et d'épeou à moyen rons des époques les plus significatives trefoué. pour sûr. Mais tout d'même tation des lignes à faiblel'autobus, trafic, l'utilisation de de notre histoire militaire, voici le j'abats mon ouvrage de tailleur tout camion, de l'automobile sur rail et du de musée. d'piM'arrive Des étagères appliquées conj'étais quand jeune. à d'une longue comme l'automotrice; suite la tre les offrent une véritable c'est rare. discussion, il a paru au conseil supé-, expositionmurs <}uer à côté. ben sûr. mais de casques avec et sans Quel âge avez-vous ? rieur que, pour obtenir de ces organi- chenille, de shakos, Ainsi et sans pluné- met, de cuirasses avec Dans les soixante et dix passés, mon- sations nouvelles tout le rendement étincelantes, de cessaire, il fallait aller beaucoup plus troupiers de taille réduite qui montrent sieur le docteur, loin en leur assurant toute la souplesse tes uniformes portés Bon. Regardez là-dedans. par les soldats et la liberté nécessaires; par ce moyen, de Napoléon au milieu de cette armée Et M. Tillier lui colla contre l'œil non seulement on peut réduire les dé- lilliputienne: l'Empereur, dans sa droit l'extrémité d'un télescope dont lui- penses, mais on doit aussi accroître légendaire capote grise etdrapé entouré d'un recettes. même obtura d'un oeil l'autre bout. Puis lesD'autre brillant état-major. des En avant murs, part, sur les lignes où la formant f le 6t. au commandement, regarder en fréquentation garde d'honneur, comme une faible. le des est trains haut, en bas. à gauche, à droite. Il répéta conseil a reconnu possible d'avoir un des cuirassiers, des dragons, des grel'examen pour l'œil gauche, murmura des règlement d'exploitation simplifié. Il est nadiers, des voltigeurs, grandeur nahypermétrope, astigmate en effet inutile de prévoir sur ces li- ture et en grande tenue des drapeaux, mots étranges prescriptions et sujé- des armes de tous les types, des tonneet dit au père Buchot très inquiet, en gnes les mêmes tions que sur les lignes à grand traûc. lets de cantinières, des épaulettes forlui désignant un autre petit tabouret Le conseil supérieur a estimé, una- ment, de ci de là, des panoplies décoraMettez-vous là. le-dos à la lumière. lement, et instructives. que le programme d'économies tives Posez votre chapeau et votre canne.

Au milieu de la salle, une table ronde était les réseaux soumis par encore InBuchot s'était posé comme chez le pho- suffisant et qu'il fallait obtenir de nou- sur laquelle des cartes, des croquis et des photos ont été disposés à notre tographe. le corps bien droit, en céré- velles compressions de dépenses. intention. monie, ses' mains veineuses étalées sur Une roue d'un canon provenant de d'une Les auto occupants les genoux. c Quoi qui m'veut encore l'épopée napoléonienne est suspendue pensait-il. Le docteur lui avait planté sur j écrasée contre an mur Des ampoules électriques plafond. au le nez une monture de lunettes où il la quittent singulière hâte sertissent ses rayons et en font un avec une avait placé deux verres mobiles, comme adéquat. lustre des sous dans un appareil à jetons. L'inL'autre nuit, vers 3 heures, une auto- Plus éloquents qu'une biographie, ces dex impérieux. il lui désignait au mur mobile venait s'écraser contre le mur détails, je l'ai pensé, suffiront à vous maison de la rue Saint-Lazare, représenter le capitaine, un gaillard une affiche couverte de dessins et de si- d'une près de Pon- qui, pour nous recevoir, a revêtu la à Saint-Ouen-1'Aumône. l'affiche d'optique de la vue norgnes petite veste de toile blanche garnie de toise. male à cinq mètres.

Lorsque les voisins, réveillés par le boutons d'or qu'il portait au temps, Fixez bien le cadran qui est en bas, vacarme, vinrent pour porter secours point très lointain encore, où il servait. dit M. Tillier. Qu'est-ce que vous voyez ? aux occupants, ils s'aperçurent que Assis à côté de nous, devant ses carComme qui dirait des rayons de roue. ceux-ci avaient delà disparu. tes et ses documents, M. Lachouque immatriculée le voiture Dans la sous répondit Buchot avec assurance. nous explique son projet.

Gris 7 plaque Je veux montrer aux visiteurs de n" 7.997-RE. et portant une au Bien! Et de quelle couleur ? de l'Eglise, 68, de M. Morgane, l'Exposition dans quelles conditions rue nom Noir ? 7 deux à trouva véridiques vécut à l'Empereur Paris, casque on ne Oui, comme qui dirait gris-noir, d'la quettes et un béret. On croit que cette Hélène. On sait généralement,Saintepourbelle étoile anglaise chinée, quoi 1 auto dut être volée suit-il. que l'Empereur vécut ses cinq années de captivité à. Sainte-Hélène Et vous ne voyez rien d'autre 1 comité Le dans la ferme de Longwood, que la nouveau iMista M. Tillier.

Compagnie des Indes avait fait édifier du Non, j'vois point les aiguilles de FAMociatioc générale des étudiants 1755. en cadran. C'est point comme sur l'cadran Autour de cette ferme des construcétudiants générale des L'Association du clocher. Là, comme j'vous l'disais. tions sommaires furent hâtivement ériParis a procédé hier à l'élection gées Oui, ça tient à ce qu'ici il n'y a pas de pour servir de logement à la suite été élus comité.

Ont d'un nouveau de Napoléon le grand maréchal Berd'aiguilles, interrompit M. Tillier, et auDroit: MM. Cervonl, Dents. Fabre, Laqu'esthaut. trand, le général Gourgaud, de Monthodessus, dans le haut, tout en bès, Leproux.

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Et il désignait la première ligne de Pégourier Salle. la navita et Vignali et la domesticité, en Sciences politàques M. de lettres, MRT'V, etc.. offerte en épreuve GourSortais, Ziegler de MM. Sciences: tout une cinquantaine de personnes.

Jouxtant ces bâtiments dont l'ensemcez, Quedrue. aux clients.

P. C. N. MM. L'Hoir et Lavedan. ble affectait la forme d'une croix, des Euhl. 6t Buchet en regardant avec Pharmacie MM. Soutat et Monnier. très grands, où l'Empereur jardins des dirait application. F vois comme qui Lettres MM. Damtens. Garnier et Bri- avait lapas faculté de se promener. points et des lignes. Mais t'peux pas vous zard.

Il advenu, ajoute M. de Lachouest Eeaux-Arts M. Margeraud. dire c'que c'est.

Section dentaire MM. Tertois, Pierel. que. que quelques mois après la mort Et en dessous ? 7 la ligne en dessous ? 7 Section le docteur Netter de Napoléon, la Compagnie des Ind''s, de toMWMne grosse lumière.

Entrez, entrez, mon brave vous appelez ?

Buchot Emile.

tion française.

Le vœu des organisateurs de l'Exposition du domaine français de Longwood serait que leur initiative eût pour conséquence le rétablissement rapide de tous les bâtiments dans la forme où ils étaient pendant la captivité de l'Empereur. Ce vœu, qui est celui de la grande majorité des Français, est trop légitime pour qu'il ne soit pas exaucé.

S'ENQUÊTE A LA COMMISSION

SUR L'AFFAIRE OUSTRIC M. Louis Marin, président de la commission d'enquête sur l'affaire Oustric, a réuni hier matin, au PalaisBourbon, quelques-uns de ses collègues, en vue d'examiner les constatations qui ont pu être faites au cours des vacances de Pâques par les rapporteurs spéciaux dans certains dossiers d'affaires financières.

C'est ainsi qua M. Rucart a donné des explications complètes sur les avances consenties par la Banque de France à la banque Oustric.

Une discussion s'est ensuite engagée une délésur la question de savoir si rendrait à commission gation de la se entendre la frontière italienne pour M. Gualino.

Aucune décision n'a été prise à ce sujet, les commissaires présents estimant qu'il convenait de laisser à la commission tout entière le soin de se

prononcer définitivement.

Les mêmes commissaires se réuniront à nouveau ce matin afln de poursuivre leurs délibérations et d'arrêter la liste des témoins qui seront entendus à partir de lundi prochain, quand la commission reprendra régulièrement ses

Feuilleton du Petit Parisien, 1"-5-31 Sa vie est en danger. On veut t'assas-

siner.

Dinah tressaillit et dévisagea MarieRose d'un air étrange.

Oui. Dinah, d'autres veulent assassiner mon fiancé comme vous avez voulu tuer ma fille! Considérez les affres, le désespoir d'une femme inforConduisez-moi auprès de lui tunée roman inédit et je vous pardonnerai tout, oui, tout. même la tentative d'empoisonnement Lisette.

EVE PAUL MAKCUEKtTTB surGeorges d'Azyl parut frappé de tttuetlt été comique effarement Son peur.

Il se circonstance. en toute autre ahuri, XXV (suite) tourna vers sa femme, comme L'Idole Noire pour lui demander conseil. mais ce Ce n'est pas une raison pour res- qu'il vit t'épouvanta. de Dinab était celui de untnutite.ntGeorKCS Le visage Une Indicible cruauté se atvèrement- Tu connais ma pen- la Méduse. traits. C'était L'tnah A j'heure actuelle. peignait dans tous sescabinet sée secret noire du bien l'Idole serait aucune fortune n'est sûre et il marquait maintenant sur Indigne qu'un jeune homme solide et La peur se pâte, atroce de bronze la face peur une Caro bien bâti comme t'est restât sans qui tordait la bouche, chavirait tes rien faire. faisait palpiter les narines Dic&h ne répondit pas. Elle regar prunelles. la de la bête traquée qui entend peur dait depuis un moment, par la fenêtre, l'hallali un spectacle qui l'absorbait entière- sonner Dinah essaya de faire feront ment. Tout à coup elle se dressa, toute Quelles sont ces divagations ? pâle, le visage décomposé, dans un cria-t-elle en reculant vivement. Dans mouvement de fuite. but voudrais-jedu mal à votre fille? que!

Qu'as-tu, Dinah ? demanda son C'est insensé délirant marmon mari. effrayé.

La réponse lui fut fournie d'une ma- nait Georges.

Vous avez essayé d'empoisonner alêre inattendue par l'irruption dans Lisette pour voua venger de moi, pour la pièce d'une jeune femme éfhevetée me faire payer l'amour que Pascal qui n'était autre que Marie-Rosé voué. répéta Marie-Rosé, qui se Georges, je viens implorer votre Lm'a redressa et parut soudain grandie dans justice, de justicière, mais vous attitude » Je désire voir Pascal sans retard. son expierez ce crime et vous n'échapperez Copyright by Eve Paut-Marguerftte 1931. pas au châtiment. Rendez-moi Pascat Traduction et reproduction interdites en Il est toute ma vie avec ma fille. Je n'ai plus que lui au mondetous pays.

!)

as!

par

te)'' -i.ct

Une seconde, Dinah parut touchée.

Une émotion fugitive détendit son visage affreusement convulsé. Mais ce ne fut qu'un éclair. Endurcie dans sa haine et dans ses crimes, elle hurla, telle une furie Vous ne le verrez pas Je voua barrerai le chemin de mon corps. 8'it le faut

moment, la porte s'ouvrit avec fracas et l'on vit paraître Arnold Brackford soutenant Pascal, épuisé, livide, qui s'avançait en boitant, appuyé se jeta sur une canne. Marie-Rose fiancé contre la poitrine de son en poussant un cri de bonheur Vous vivez Pascal murmurat-elle, défaillante de joie Le jeune homme la pressa sur son coeur.

Marie-Rose le flt asseoir sur un canapé et s'installa auprès de lui, le A ce

visage illuminé: Mon amour, vous ne souffrez pas trop de votre blessure? Asseyez-vous Cette double apparition parut terrifier Dinah. Son regard alla de l'un à t'au

tre, interrogateur.

Arnold déclara

L'inspecteur Réchoux et moi venons d'arrêter, après Bob Lory, Louis Saintra?. à la métairie. au moment où celui-ci s'apprêtait à venir au château pour donner la mort à M. de Charlanne.

Et. se tournant vers Dinah Oui. madame, votre étève vous avait dérobé un peu de ce fux-siphonia des Antilles, que vous cultivez dans votre serre, que vous expérimentez sur les oiseaux et les chiens et dont t'extrait agit si curieusement sur le oœur. ce poison qui causa la mort de Pierre d'Azyl et faillit, Il y a quelques

lyonnais.

escroc des étrangers les

ses

fjHf

da.

révocation.

L'astucieux filou a été rapidement INVENTIONS NOUVELLES identifié il se nomme Willy-Edouard Menke, quarante ans, né à Anvers, Choix de brevets récemment délivrés il) déjà condamné à Paris, trois fois pour MOmHXBBRU ft.-rtectioncemtintt sux pan&*Itnc* SCCKEL de signa))Mtion. escroqueries. Recherché depuis pour nettux E.LZBS et & embrayage par inclinaison. envoyé d'autres méfaits, il a été au Procède de liquêfaction dp chtore. EKtMOFtt

C'

Médaille d'or des belles actions et des épidémies

AU

La médaille d'or des belles actions est décernée à titre posthune à M. Pitard (Stéphane), instituteur à Châteaurenault, mort victime de son dévoue- Maires ment.

La médaille d'honneur des épidémies en or est décernée a Mme Meerts, née Corne (Jeanne), agent des services hospitaliers à l'Hôtel-Dieu, morte victime de son dévouement.

lle Congrès national

des allocations familiales et des assurances sociales

semaines déjà, entrainer la mort de Dinah a souhaité la mort de Pierre ? 7 balbutia Marie-Rose, atterrée.

Pourquoi ?

Louis Saintraz nous a révélé tes mobiles de vos crimes, ajouta Arnold.

C'est faux cria Dinah, hors d'elle. Ne le crois pas. Georges. Il meat Malheureusement pour vous, madame, continua Arnold implacable. Bob Lory, actuellement enfermé à la Santé, et Louis Saintraz, pris sur le fait, et que les gendarmes emmènent en ce moment à la prison de Clermont, ont fait des aveux complets qui vous accablent.

Quels aveux ? demanda Dinah, agressive.

Pousse par vous et secondé par Arlette de Gèvres, Bob Lory, se servant du nom des Brackford. que vous avait révélé le testament du comte Charles. attira, sous un faux prétexte, le docteur Pierre d'Azyl à son bar, 13 bis, rue Fontaine. Bob Lory. aidé de Louis Saintraz, qui étourdit d'un coup de poing Pierre d'Azyl lorsqu'il entra dans la chambre rouge. pratiqua, sur vos ordres, une piqûre mortelle au bras de votre beau-frère. Dans le bar, les nègres, inconscients du crime qui ae perpétrait à l'étage supérieur, chantaient à tue-tête le refrain haitien Zntt<!oT pmyo mange' petit motM. Vous avez été l'instigatrice du crime, son auteur véritable Ce n'est pas vrai hurla Dinah.

Dinah a voulu la mort de mon mari ? répéta Marie-Rose atterréa.

Pourquoi ? Dans quel but ?

Oui, dans quel but ? répéta la mulâtresse en bravant Arnold du regard.

«

JOURNAL OFFICIEL »

Loi portant ouverture d'un crédit de 400.000 francs pour faciliter l'orgaEtsation du Salon international du livre de la zone o, par Je&mne Uoystê

de notre immense ville, où les vendeuses de violettes voisinent avec les Gobseck du marché aux puces. où l'ambiance même suinte l'humour aigre, le drame et l'idylle malgré tout c'est du Jehan Rictus

exprimé au crayon par une nature instinctive qui tient surtout à être vraie et ignore les formules avec humilité.

P. Guastalla, un de nos graveurs en Pour ta première fois, le comité central vogue, est à l'honneur chez Marcel Guiot des allocations familiales et le comité cen- où, parmi ports méridionaux et coins trât des assurances sociales organisent en champêtres, il nous offre le régal d'une commun un congrès dont les travaux se- jolie série de têtes féminines, spécialité ront consacrés, non seulement comme les précédentes années à la question des allo- de cet artiste. Les planches portant les

Lisette

courses

dépôt.

cations familiales, mais aussi à celle des assurances sociales.

Les travaux du congrès, qui attirent chaque année un nombre croissant de particfpants, revêtiront donc cette fois une importance particulière et semblent devoir être suivis par une assemblée encore élargie.

La manifestation s'ouvrira te 11 mal, & 9 h. 30, sous la présidence du maire de Reims, entouré des présidents de la chambre de commerce, de la Société tndutrieile et des Caisses de compensation de la région.

Pour tous renseignements sur le procongrès et la participation à ces gramme M. Tillier. prés du tableau. désignait et M. Maulvault, reprenant possession de l'ile. utilisait diverses du manifestations, on peut s'adresser Mardi prochain, le comité éltra son Longwood comme exploitation agricole au comité central des aUoeattona famiune autre série de lettres plus grandes, dont les revenue principaux devaient ttates. 31, rue Guyot, Paris (XVII'), DLVATB. etc. bureau.

<6.

tions Rieder) s'avère une parfaite réussite et indispensable pour l'étude des Maîtres catholiqaes de Provence. Enfin, fameux collectionneur américain Barnes, Les Hermétiques. Durancamp et le Mehon (Pennsylvanie). annonce, de sa Degaine. Maquettes et esquisses de main. un livre important sur les Primitifs pour t'Exposition de Vincenne*.

On sait que M. Baraes possède Paysages de la zone et modèles de français. un des plus célèbres ensembles de pein- Le bonhearettentréavecia "petite dote" Montparnasse. Livres d'art ture moderne des Etats-Unis.

VAtDERPYL. c Depuis trois ans, ma femme et On parlera promoi t»us faisons usage des Sels Krusbablement plus tard chen. Ma femme avait des troubles Un belge des Hermétique$ du digestifs qui lui causaient des syncosiècle, nom xx* pes nerveuses dont elle souffrait beaud'école qui comimalaises coup. Depuis remploi de vos Sels, ces racolait ont disparu et elle mange de prendra aussi bien tout. les cubistes d'hier faire profiter Moi, j'avais une dépression nerpour que certains peintres veuee avec manque d'appétit, maux de d'aujourd'hui et dont tête, insomnies. J'avais dû cesser mon Cossio «tuyaux» aux qui ex- de travail. J'ai donc essayé les Sels actue!lement Kruschen.

Depuis, j'ai retrouvé de la pose Georges Bernvigueur chez et j'ai repris mon travail, un pénible, toute la journée debout. heim est un par- L'astucieux personnege opérait dans travail à prendre chaque matin fait exemple. Deux les galeries du musée du Louvre et Je continue petite dose et je la recommande ma choses caractérisent disparaissalt à amis. enjeux tous les mes avec Nu de doe, par général ces nouJ. M. avenue Félix-Faure, Lyon.

Edouard Dégaine en veaux venus une Sa dernière dupe est un employé des Les Sels Kruschen contiennent six de palette économie qui, rarement, dé- postes allemand et son dernier sels naturels. scientifiquement dosés et passe les tons éteints et un dessin rendu CI racolé un inspecteur de police combinés pour agir sur tous nos orgavolontairement confus par la suppression nes. Ils purifient et fortifient le sang, qui t'arrêta partielle, l'interruption ou la superposition favorisent la digestion, assurent 10 des contours propres aux objets formant bon fonctionnement du foie, des reins Employé des à postes Munich.

M. Siet de l'intestin. Grâce aux Sels Krusdans le motif. Par exemple, une composi- gismond Schreiber, âgé' de trente chen, toutes les fonctions se font réguans, tion. vous découvrez une main tenant une était à Paris villégiature.

72, lièrement, ainsi que le veut la nature, venu en pomme dont le globe traverse arbitraire- rue Bonaparte, uniquement 'pour visi- et vous vous sentez rempli d'une parment les doigts, qui disparaissent aux der- ter les musées. faite sensation de force et de bienII y a quelques jours, il lia connais- être. Commencez dès demain à prennières phalanges, excepté le pouce celui-ci, à son tour, coupe le cercle du sance, au musée du Louvre, avec un dre votre « petite dose chaque matin. fruit en ligne droite avec quelque habi- homme de haute taille qut se présenta Vous serez surpris de ce qu'elle fera étant le comte de Garroy, do- pour vous. Sels Kruschen, toutes pharleté, cela peut créer une sorte de mystère comme micilié à Bruxelles, officier dans macies 9 fr. 75 te flacon, 16 fr. 80 en même temps qu'un jeu d'arabesques l'armée belge, ayact été attaché à la le triple flacon (suffisant pour quatre d'aspect assez décoratif, mais qui n'a que commission intera!!Iéc en Allemagne. à cinq mois). peu à voir avec ce que l'on entend en Le comte vanta ses hautes tetations et Occident par un tableau. affirma être détenteur de tous les des champs de courses. Il affir- tM H! Hôtel des Alpes, plein centre therAlexandre Calder, autre représentant de secrets mal, 50 lits, conf. mod.. culs. sotgn. mait jeu les gagner gros au avec galela hermétisme, à montre Rcstmes.

Depuis 35 fr. W. MUXEL, propr. cet nous <: tuyaux qui lui étaient donnés jourpeut'pousser infirie Percier que l'on nellement sur les meilleurs chevaux. loin la simplification du sujet. Pour prouver plus niment ce qu'il avançait, il Il jongle avec le fil de fer et se spécialise exhiba au fonctionnaire allemand des MA TROISIÈME ENTREVUE dans les essais d'équilibre, ce qui finit par chèques de 10.000 et 15.000 francs remis des amis pour jouer aux courses. être plus amusant qu'énigmatique, mais par Il est toujours très agréable de causer Finalement, le comte de Garroy proserait, nous pensons, beaucoup mieux à sa posa à M. Schreiber avec le docteur Rocchietta, le savant de parier lui, pour place dans un magasin de jouets que dans afin de lui permettre avec le gain réa- distingué qui a créé le Proton, parce vingt ans qu'il fait bénélisé, à coup sûr, de payer tous ses frais que, depuis une galerie d'art. l'humanité acier de cette merveilleuse I de voyage et de séjour à Paris. découverte, il ne cesse d'étudier les Connant dans cette alléchante prorésultats obtenus Royale), A la Renaissance (rue par le Proton dans nous messe. l'Allemand remit une somme cas les plus divers en apparence. revenons aux tableaux, aux tableaux assez importante au Bete. Tous deux lesJ'ai voulu embarrasser le savant'ai agréables, quelquefois flns de coloris, et se rendirent le lendemain sur un distingué en lui demandant si le Proton dont l'auteur, M. Durancamps, a du goût, hippodrome. A l'issue de la réunion, le pouvait avoir action sur t'enfant de la science et beaucoup de penchant comte annonça triomphalement à avant même sa une Cette réponse naissance.

M. Schreiber qu'il avait déjà magné curieuse faite métier. fut pour son me 9.000 francs. Il lui donna rendez-vous le Une de Proton est essentiellecure « du rafndans le sens Mais plus encore, soir même dans un grand café des ment favorable à t'entant avant sa nement chromatique, s'imposent, à la gale- Boulevards pour lui remettre l'enjeu naissance avec cette seule particularité rie Briant (32. rue de Berri), les œuvres et le gain. qu'elle commence par profiter à. la mère d'Edouard Dégaine, qui, appartenant à L'Allemand y attendit vainement qui transmet à l'être qu'elle porte belge. Comprenant alors qu'il un sang plusainsi l'ordre pictural auquel nous devons les l'officier pur et plus riche. s été. joué, il a. la avait porta plainte Les jeunes femmes qui prennent du François Boucher et l'adorable Renoir, police judiciaire.

Proton pendant leur grossesse sont change en mélodieuses intimités, avec une L'inspecteur Delacour, chargé de re- étonnées d'être bien moins incommomême palette prenante et nuancée, non chercher l'escroc belge, dont il avait dées par les troubles si fréquents et 51 seulement nus, portraits et natures mortes, un signalement assez précis, apprit gênants qui rendent leur longue attente mais égaiement des neiges et des verdures. qu'il s'était rendu coupable d'autres souvent si fastidieuse. En tout cas, leur D'un esprit essentiellement français, ces vols identiques au préjudice d'étran- santé générale ne laisse plus rien à désigers visitant le musée du Louvre, no- rer et elles mettent au monde de jolie morceaux, de modestes dimensions, offrent tamment de Hollandais, d'Anglais et d'ailleurs des traces très précises d'une d'Allemands, dont il parlait couram- poupons sains et bien portants. Ce résultat doublement favorable n'a rien continuité technique qui, invariablement, ment la langue, puisse surprendre puisque les sels Hier, vers 16 heures, l'inspecteur De- qui prouve l'authentique personnalité. de fer que contient le Proton enrichistacour qui, une fois de plus, faisait une le sang de la mère en globules visite. intéressée au musée du Louvre, sent et l'enfant qui reçoit ce sang en A la galerie Zak, deux femmes peintres, reconnut dans un homme de forte car- rouges profite. Les cellules nerveuses de ta desquelles Mlle Simpson rure le pseudo-comte de Garroy, ar- mère, sont abondamment un peu dis- rêté pourvue' devant contemplation taun en facture grâce contient ciple de Laprade phosphates le aux que avec sa représentant chevaux bleau plusieurs Proton, phoephates organiques les fait ressortir le mâle et galopant. L'inspecteur s'arrêta, lui en crayeuse et floue, cellules de l'enfant en profitent. Ennt, Andrée Lévy.

Mlle travail de sain aussi, devant ta toile. Le comte ne les toxines des tissus de la mère étant Chez Billiet, on a réuni la maquette et tarda pas à lui adresser la parole, puis facilement éliminées grâce aux iodurea les esquisses de la fresque dont Louis Bou- a proposer de le faire bénéficier de ses que contient le Proton, le sang que de courses. reçoit l'enfant est extrêmement pur. quet a été chargé pour orner le salon tuyaux M. s'était présenté Delaéour, qui comd'honneur du musée permanent des colo- me industriel suisse, feignit d'hésiter Je me suis empressé de répondre au savant « Soyez certain que mon pronies qui fera d'abord partie des édifices à accepter cette aimable proposition. chain enfant sera protonisé avant sa de l'Exposition de 1931. D'après les feuH- Finalement, il proposa au Belge de se naissance. !f lets accrochés aux cimaises du 30. rue La- rendre dans un café pour parler plus H.-P. DE BRCN7.

Boétie. il s'agit ici d'une oeuvre de beau uorement et tut remettre un omet ae 20, rue Lesueur. Paris 1.000 francs pour tenter sa chance. style -et de fort personnelle conception.

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LE JOURNAL DES RETRAITÉS

de mai 1931.

Loi complétant la loi du 15 juiUet 1922 et les lois postérieures relatives au rajustement des rentes des mutilés du travail.

1, me de t'ÂBurat-Routtin, Paris-150 Renseigne et défend les pensionnes de l'Etat, des départements et des communies, pour toutes les questions les concernant. Le Jonmal des Retraitée parait deux fois par mois. le 5 et le 20.

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NOUVEAU MT mÉCAmUE BM7P<MfT

MALADES

Vous espériez ainsi hériter des dix millions laissés à Pierre par son père, dont un testament, découvert et subtilisé par Louis, à l'insu de Georges, dans le secrétaire du feu comte Charles d'Azyl, vous avait révélé l'existence.

Non, non, non Ce n'est pas vrai cria Dinah, devenue blême.

Mais Arnold, impitoyable. poursuivit son réquisitoire Voua ignoriez que Pierre eût une fille, donc une légataire. Les journaux, le lendemain de la mort de Pierre, vous apprirent l'existence de l'enfant. C'est alors que vous avez essayé d'envoyer à Lisette, par Arlette de Gèvres, des bonbons empoisonnés. N'ayant pas réussi, vous avez attiré la mère et l'enfant à Longpré, pour supprimer plus

commodément Lisette.

Marie-Rose et Pascal écoutaient, bouleversés, ces terribles révélations.

C'est par intérêt, Dinah, que vous avez tenté d'empoisonner ma fille ?. précisa Marie-Rose, horrifiée.

Mensonges cria Dinah.

Vous n'aviez pas prévu que Caro s'éprendrait de Marie-Rose, mais vous avez favorisé cette Idylle, continua Arnold. Marie-Rose, espériez-vous, mariée à Caro, serait devenue votre complice inconsciente.

Dinah Ot front encore, mais son visage se décomposait à vue d'oeil et son assurance l'abandonniit.

Calomnie bégaya-t-elle.

Vous avez naturellement pensé, pour l'enfant, au poison qui vous avait si bien réussi une première fois pour le père Taisez-vous

Je vous défends de m'imputer de pareilles intentions (tt la mulâtresse.

et BLESSES

Vous pensiez avoir réduit votre cousin Pascal de Charlanne en esclavage. Vous ne supposiez pas, dans votre orgueil, qu'il pût s'éprendre de MarieRosé, touché par son infortune et pressentant les périls qui l'entouraient. Vous n'aviez pas prévu qu'il l'aiderait à sauver sa fille?.. Espériez-vous donc le garder de force après t'avoir rendu innrme ?

Ces paroles tirèrent Dinah de son accablement C'est vrai, je croyais à ton amour.

Pascal, dit-elle, je croyais pouvoir compter entièrement aur toi. je croyais que tu m'appartenais. Tu m'as trahie Mais tout le reste est faux Je n'ai empoisonné personne, ni Pierre, ni

de Louis, que vous avez versé cinquante mille francs à Louis Saintraz pour sa complicité dans le meurtre de Pierre.

Le lucre a perdu votre métayer Bob Lory, lui, a touché soixantequinze mille francs Montrez-moi cette dénonciation cria Dinah, essayant encore de faire

front.

Arnold ne répondit pas et reprit, le visage tourné vers le parc L'heure du châtiment a sonné pour vous, madame Vous allez être arrêtée, empoisonneuse J'aperçois, dans t'avenue, l'inspecteur de poHce suivi de ses hommes.

Je suis perdue s'écria DinaJï, devenue livide.

Elle sortit en courant du salon, avant Lisette Georges écoutait en tremblant, qui:! les .spectateurs de cette scène Dinah, l'évidence vous j extraordinaire fussent revenus de leur Hélas accable, murmura tristement Pascal. .stupeur. Georges d'Azyl paraissait La déposition de votre complice, frappé d'hébétement.

Louis Saintraz, qui se trouve à l'heure C'est donc vrai ? tM.tbutia-t-U actuelle sous les verrous de la priscn hagard. Ma femme est une criminelle ? de Clermont, est malheureusement for Par cupidité, elle a causé la mort meUe. dit l'Américain. Nous possédons. de Pierre. elle a souhaité Mile de Lien outre, les lettres que vous avez écri- sette ? C'est monstrueux, c'cst incontes à Arlette de Gèvres, à Bob Lory, cevable et qui constituent un accablant témoiExhortez-ta aux aveux et au repengnage contre vous. tir, dit doucement Arnold en poussant Ennn. t'analyse des feuilles du Georges vers la porte. C'est sa seute faux-siphonia. saisies dans votre serre, chance de salut ne laisse aucun doute sur la nature Marie-H.ose, éperdue d'horreur, se du poison que vous prépariez, en pressait contre Pascal, qui la consolait secret, dans te cabinet de l'Alchimiste. avec des mots tendres, ce poison expérimenté sur Sidi, votre beau février, et sur l'infortuné coHbrt Au aortil du salon, Georges d'Azyl, Ce même poison qui a tué Pierre, vous l'idée 0-affronter sa femme. fut pria à t'avez administré à Lisette, qui serait tremMement nerveux. Etait-i! poamorte sara l'intervention de Pascal. d'un quelques secondes eussent C'est faux hurla Dmah, reprise sible àque bouleverser de fond en comble suffi de frénésie à se voir confondue de ta qu'il la conception se faisait de Dinah? sorte.

Nous savons, car l'interrogatoire (A suivre.)

Pourquoi le dessin animé.?

"THE

BXC

HOUSE"

Vous rappelez-vous les fameuses « Histoires sans paroles » de Caran d'Ache 9 Ne contenaient-elles pas dans !'<BM/ nos actuels dessins animés t Dès lors, pourquoi ces devers sont-ils devenus une spécialité étrangère Pourquoi n'avons-nous pas de dessins animés signés Poulbot, Guérin, Marcel Capy, Marée! ArMae, etc.? Pourquoi nos maisons d'éditions Me font-elles pas appel à nos humoristes afin de nous

deasiner ces charmantes fantatsies qui font désor.nais partie de tout spectacle de l'écran F. Notre talent est-il donc moins spirituel que celui du voisin, notre humour moins propre ce genre de réalisations' N'est-ce point plutôt parce qu'il est moins «MTett.r de les acquérir au dehors Ayant pris, en effet, Mt:s avance cotM<r(tb!e et standardisé en quelque torts sa fabrication. d'étranger défie révotté, dtms ta actuellement la concurrence et sem- M. André Berley, forçat Mm a Thé Big grand versten française du tïe décourager <Ms produoteurs. Mais House tout ceda n'est pas une raison 1 Du temps du c muet on avait accou<Mtte de nous servir même antienne. il n'empêche que, du jour où certains n'ont pas reculé ce sont décidés, tZsLa'est pourquoi nous devant la dépense! espérons fermement qu'un jour prochain un groupement d'artistes et de producteurs se constituera aux fins de doter l'écran /rtHtcats de cette forme d'art cinématographique qui peut tout dire avee rien et jongler si heureusement avpc l'intelligence des enfants, petits et grands 1.

Que de choses, en effet, l'on peut tttcÏMre en ces turbulentes martOMMettes Que de jolies synthèses Que de fulgurants raccourcis 1 Il est certain que le fabuliste de génie qui osera pareille entreprise au pays de Jean de La Fontaine est assuré de rencontrer mieux qu'un succès d'estime.

Mais, pour qui réfléchit au travail de bénédictin que représente chacun des bandes ainai dessinées; pour qui songe au nombre de talents que doit posséder un te! compositeur trtuosité artistique, observation, seust6tH:ë, humour, sens du montage et du rythme et, désormais, celui de la st/ttcroM<ssHoM il n'est pas douteux que cette branche du film nécessite

t

des spécialistes singubièrement <M?ertis. Je crains fort qu'il ne faille un long apprentissage et une parfaite cronnaissance du studio et du !aoor<ttoire. C'est pourquoi j'imagine que le fameux Pat SMHtfOM, père des preM.<ers Félix le Chat et créateur du genre, a dû rôder longtemps dans tes il travaillait usines à sans doute en quadité de dessinateur.

Très certainement, l'idée a dû lui t-etr en démarquant, au profit de son petit bonhomme illusoire, certains pas/Sages des films de Charlot.

Dommage qu'une si riche matière fantaisie soit actuellement le lot d'artisans, merveilleux, certes, mais totalement' dépourvus de mesure, d'int'eKttOM véritable, voire de quotidienne chsen'attOM. Pour un dessin animé qui cum,mence bien (avec ces riens de véritë creMes sur le M/ /) que d'au-

Moes où

tres <3'M< sot)t!M-pt!t dans et le coctSMftr Nous en arrivons d déplorer que tant de labeur et de talent soient gaspillés en pure perte, alors' que pullulent les foZis thèmes, les poétiques légendes, les vivants /atta divers C'est pourquoi nous aimerions voir à t'osMt)re les ?tMmorMt« de chez nous, persuades quilg sauraient y apporter autre chose, partcwHerewettt notre mesure

omour du vrai.

et note

Maurice RUET.

CRITIQUE

CINEMATOGRAPHIQUE

Le film a pour titre les Quatre Vaga- géant pour contenir une telle foule. On bonds, mais ces vagabonds sont cinq, danse pendant qu'on navigue. Le divercomme les trois mousquetaires étaient tissement n'est peut-être pas d'un goût quatre. Du moins, musiciens sans enga- partait, qui consiste à faire dédier comme gement, ces < quatre reconnaissent-ils, des mannequins les femmes d'une société sinon comme chef. comme le plus adroit choisie, pour mettre aux enchères la valse d'entre eux, !eur camarade Pierre. Ils lo- que l'é1ue de ce concours accordera au gent ensemble, au dernier étage d'une plus offrant, pour une oeuvre de charité. vieille maison, mais ils ont une bonne fée Madame Satan éclipse naturellement toutes dans une voisine. Marie, une jeune fille ses rivales et elle captive particulièrement qul habite cette maison avec son vieux son mari, qui ne la reconnait pas, mettant grand-père et qui, en tout bien tout hon- là beaucoup de bonne volonté. car le masneur, met un peu d'ordre dans leur mé- que ne cache guère son visage.

C'est au moment où il va savoir quelle nage de bohèmes. Elle est le sourire de leur misère, que leur jeunesse leur fait est cette mystérieuse enchanteresse que supporter philosophiquement. se produit la catastrophe attendue. Le zeppelin Un jour qu'ils se sentent un grand apest pris, soudain, dans une tempête. pétit, difficile à satisfaire. ils prennent le Il a des remous alarmants, son enveloppe parti d'a'ter chanter dans les cours, en commence à se déchirer. C'est la panique s'accompagnant de chimériques instru- parmi les danseurs et les danseuses. ments. Hs expérimentent ainsi une chan- L'anxiété du salut fait oublier les choses son composée en l'honneur de Marie. sentimentales. Que tenter? Les invités à Bonne idée, car les sous pleuvent, pluie ce bal, qui Rnit par un désastre, ont recours bienfaisante en leur détresse. Mais il y a à des parachutes et se précipitent dans !e mieux. Un impresario a écouté ces chan- vide. Ce n'est pas très émouvant, parce teurs et il a songé à les engager pour que, bien qu'ingénieux, on sent le truquage (On ne pouvait d'ailleurs exiger, pour secomposer un numéro de music-hall.

Les voici dans la joie et pouvant faire couer les nerfs des spectateurs, que les de beaux rêves. C'est joyeusement qu'ils acteurs se risquassent dans un danger prétendent donner une leçon au gérant de réel.) Plus impressionnante est la brisure, la maison qui poursuit Marie de ses im- en deux morceaux, du zeppelin, et la chute portunes assiduités. Ils se répandent dans du monstre aérien en flammes. Ces images l'escalier et s'amusent à l'effrayer par un ont dû. assurément, être laborieusement semblant de fantastique. Le gérant, affolé, obtenues, avec beaucoup de virtuosité se hâte de regagner son appartement. technique, mais nous avouons ne pas les Mais, soudain, on entend un grand cri trouver bien réjouissantes. Ce qui est là on accourt et on trouve le vieux galantin un jeu fait un peu trop penser au terrible accident de Beauvais. Le ntm. du assassiné.

La police intervient. On a vu les jeunes moins, ne montre pas de victimes !es débris du zeppelin sont tombés dans un gens dans l'escalier. Le crime ne peut tac. On imagine bien que, après avoir être imputé qu'à l'un d'eux. C'est, malgré par de telles transes, le ménage ses dénégations, le plus robuste, Pau), qui passé est accusé et va être arrêté. Pierre a vu Brooks sera désormais le ménage le plus dans les yeux de Marie son désespoir uni.

000 c'est qu'elle aime Pau!. Pierre. lui aussi, Dans la plaisante note aime Marie, mais il comprend qu'elle a est A la hatdeur. donné son coeur à un autre. Eh biea autre film américain dont on n'a donné pour lui épargner une grande douleur, il qu'une version sonorisée, ce qui est plus sera un héros du dévouement. On ne sau- loyal que !e système consistant à faire rait t'être davantage il se dénonce, à parler en français par des voix anonymes la grande surprise de ses compagnons. tes acteurs qui s'expriment en anglais.

Ce sont les aventures d'un vendeur de comme le coupable.

Pendant qu'il est en prison, ses amis magasin de chaussures, Home, que son débutent au music-hall. C'est !e succès. amour pour une jeune fille, Mary, jette presque la fortune. Mais le succès les dans d'extravagantes péripéties. Il l'a suigrise et Paul délaisse la tendre petite vie jusque sur le bateau qui va l'emmener Marie, qui se désole de son abandon pour en Californie, ne peut plus descendre à la grâce capiteuse d'une danseuse. Pierre, temps et, voyageur sans bi!let, est forcé recourir à toutes les ruses pour se au cours d'une confrontation, apprend cet de cacher.

C'est, notamment, dans un sac posécroulement du bonheur de la jeune fille.

Ce n'est plus de jeu. Il voulait bien se tal, bientôt emporté par un avion, et, par sacrifier pour que Marie fût heureuse. Si malchance, ce sac tombe sur un building elle ne l'est plus, ce sacrifice est inutile, en construction. Situation plus c élevée il a dépensé vainement son héroïsme. Il que n'eussent rêvé les ambitions du parvient a s'évader. Marie comprend à pauvre amoureux 1 Ce n'est pas au figuré hauteur t. ce qui, quel point il t'aimait, lui qui. pour lui évi- qu'i! se trouve < dans ce moment critique, l'oblige à toutes ter une peine, risquait une lourde condamnation. On suppose bien qu'i* sera sortes d'acrobaties comiques. Il aura bien récompensé de son abnégation. D'auteur! gagné le droit de faire à Mary une débien reçue. on a fini par découvrir le véritable auteur claration C'est du crime. C'est la gouvernante du vieux une farce copieuse, dans le goBt libertin qui a tué celui-ci pour se venger, bien américain, où Harold Lloyd atteste abondante. une bonne fois, de trop d'humiliations. sa verve Jacques VtViEN. On ne jurerait pas que cette donnée offre la plus stricte vraisemblance, mais te film a du mouvement il mêle de t'émotion (pour les spectateurs qui ne tiennent pas absolument à ce que cette émotion soit d'une qualité rare) à de la gaité. On y entend une chanson, qu'on fredonnera en sortant du spectacle. car elle est entrée dans les oreilles, et Simon-Girard mène J'action avec de fanant et le romanesque nécessaire. Il faut de ce romanesque pour expliquer te dévouement, exceptionnel, de son personnage.

45

le disparu de

Le journaliste TortorM (M. Jacques Va.rennes) cherche le Ynot de l'énigme avec l'électricien Olive (M. B<MtU

AU CINÉMA

4

DES CHAMPS-ELYSÉES 118,

Champs-Etysée

Semaine

FRANÇAIS -o- MAILLOT-PALACE (métro Maittot). dont les matinées permanentes attirent, de 2 h. à 7 h.. les amateurs de beaux films parlants et chantants, passe cette semaine ]'œuvre célèbre !'Homme qui assassina, avec Marie Be!I et le Mécano de da <?drate, joué par Buster Keaton. Soirée à 8 h. 45.

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Permanent de midi à 1 h. 30 du matin Av. midi 30. apr. 23 h. 30. pr. red. 10 fr.

AU 13 ER TPA t.AC E

PRINCESSE

la

Maurice Yvain est devenu plus invisible que l'homme dépeint par Wells. Essayez donc de le rencontrer dans Paris Gageons que vous n'y parviendrez pas. et pour cause.

Le compositeur de Pas SMT lit bouche est du matin au soir au studio Tobis. & Epinay, où il ajoute pour le film des Coméuies aimées quelques airs lnédits c'est ainsi que la scène qui se dérouie dans le bureau des dactylos américaines exigeait une musique spéciale propre à souligner la cadence des claviers. Maurice 000 Yvain a trouvé des notes tout à tait perMadame Satan, film américain, comsonnelles pour souligner l'humour de toudoigts tes ces dactylos aux en mouvement. une histoire intime, et finit Voilà un compositeur qui. opérant lui- mence comme même, montre qu'il ne traite pas le cinéma par tout un déploiement d'artifices de mise en parent pauvre du théâtre. au contraire. en scène. On s'est demandé quelle catastrophe on pourrait bien présenter a récran, après tant d'autres. Les catastrophes sont une spécialité des cinéastes d'outre-Atlantique. Hélas 1 la vie réet'e en offre un certain choix it faut donc croire qu'on table sur un plaisir du public à voir reproduire des événements dont le tragique l'a ce-

Madeleine, Soyons gais.

Faramonnt, A la hauteur (H. Lloyd).

Aubert-Palace, les Anges de l'Enfer.

Olympia, le Masque d'Hollywood.

Max-Hcder Pathé. Ma cousine de Varsovie.

MariTanx-Pftthé, Dactylo (Marie CHory).

Gaumont-Théàtre, Un trou dans le mur.

Elysée-Gaumont, les Quatre Vagabonde.

M&rny, perm. Ch. Chaplin d. Lum. ville.

CoUsée, Jean de la Lune.

Moulin-Rouge, le Roi des resquilleurs.

Ermitage, Madame Satan.

Chté Ch.-Elysées, Princesse, & vos ordres, Vtctor-Hnco, Désemparé. Méphisto.

Electric-Palaee, le Tampon du capiston. tmpérM-Ftthé, Feu mon Oncle.

Capucines, Chemin du Paradis.

Miractes. 3 h.. 9 h., l'Afrique vous parte.

Rialto, la Prison en folie.

Maillot-]Palace, m., s., Homme qui assassina.

Omnia-Pmthé. Désemparé, Méphisto.

Caméo, David Golder.

Foties-Dramatiques, Princesse, à vox ordres.

Agricult., Athlète incomplet. Nosferatu.

Arttic, le Réquisitoire.

Cinéma Panthéon, Whoopee (en anglais).

Cigale, Toute sa vieCarillon, Cendrülon de Paris, Charlot.

Boxy, le Spectre vert.

Lona, Lopez le Bandit (parlant).

A VOS

ORDRES! Jean Kemm est revenu lundi d'Alsace où U a tourné les derniers extérieurs du Juif po!<MMK dont il va entreprendre le montage immédiatement. C'est Harry Baur qui est le principal interprète de ce nouveau grand film parlant français.

LA CIGALE-CINEMA

Marcelle CHANTAL

TOUTE SA VIE Sur scène

Jamin et Jac)tMn, duettistes 1. J., mat à h.

CETTE SEMAINE le grand magazine de

pendant. dans la vérité, profondément

THEATRE MARIGNY

reertn

(HAPU

publie

ému.

VOS ORDRES une déliciense opérette LES QUATRE VAGABOMDS un drame émouvant AU PAYS DU SCALP nu documentaire sur la vie des Indiens de PAmérique du Sud complets Un roman Des arttSfilms cles d'actualité Des échos Le courrier des lecteurs

PRINCESSE,

Angela Brooks est une femme qui s'occupe avec soin de sa maison. Avec trop de soins peut-être, car son mari, Bob, ne la trouve pas assez coquette et s'est épris d'une certaine Trixie. qu'it trouve plus attirante. Ah il faut à Bob de 'a coquetterie ? En ce cas. Angela montrera, pour ramener à elle son infidèle époux, qu'elle en a. elle aussi, toutes les ressoarces Passons sur quelques incidents un peu vaudevillesques sans être extrêmement ingénieux. C'est dans un bal. sous le masque et dans le costume d'une élégante diaMadame Satan qu'elle jouera blesse grande partie. sa Or le bal est donné à bord d'un zeppelin. qui doit être un zeppetin tout à fait

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A<afwtdu matin Spectacle permanent ds 13 AeafM à 30 A«tr<< « de Minuit On peut 7onef pour la 8 h. et pour les deux Mo'n<<f< du Dimanche

COURRIER DES THEATRES. SPECTACLES ET CONCERTS CHOSES ET GENS OE THEATRE quand des détails de mœurs occidentales actuelle. L'interprétation est animée d'un gent. Le plaisir de le remuer lui fait un ne seraient pas très compréhensibles pour excellent mouvement auquel n'est pas peu délaisser sa jeune femme, chez qui un public indigène. Des auteurs classiques. étranger l'orchestre de M. Gressier. Et on ne t'aurait pas cru tout d'abord il EXOTISME Molière, qui. au delà des particularités, citons les voix agréables de MHe Laplace. y a des aspirations sentimentales. Cette Danseuses cambodgiennes, javanaises. a peint des caractères se retrouvant sous charmante Clairette: Mlle Detéduze tyrannie de l'argent fait oublier à Richard chanteurs laotiens, comédiens annamites. toutes les latitudes, est le plus goûté. Le (Lange). Mite Lejeune (Amaranthe) de que c'est par amour qu'il voulait être comédiens malgaches arrivent peu à peu gouverneur général de l'Indochine, M. Pas- M. Poix. vif et gai Pomponnet M. d'Aur- fastueux. Aline, peu à peu, se détache de le baryton franc met en relief lui et elle va chercher ailleurs la petite à Paris pour préparer .leurs représenta- quier, qui s intéresse à ces tentatives, nous lec, dontd'Ange Pitou; M. Duvaleix (La- 6eur bleue dont elle avait révé. tions. L'exotisme sera en faveur cette an- disait récemment qu'il avait vu une repré- le rôle

née. Mais où serait-il plus opportun qu'àà sentation du Bourgeois gentilhomme fort plaisante et même très réussie. Dans le une Exposition coloniale Les rites du théâtre indigène sont à peu modeme, id y a ea un essai d'adaptation près immuables; pour le théâtre indochi- de Cyrano de Bergerac.

Il serait évidemment curieux de pouvoir nois notamment, les acteurs emploient !e compte de la manière dont le ton de la mélopée, coupée par de grands se rendre de nos écrivains dramatiques a passé. coups de gong. Souvent, ils ont des mas- génie conquérant pacifique, trait d'union entre ques, et c'est a!ors par une sorte de balan- des races, dans un théâtre st différent du cement du corps qu'its expriment les sentiP. G. ments des personnages qu'ils interprètent. nôtre.

Leurs gestes, quand on est un peu familiarisé avec leur jeu, deviennent expressifs.

Un peu avant l'ouverture de l'Expos4tion de Marseille, il y a six ans. nous GMTe-LYQUE. La Fille de Madame assistâmes à une répétition de la troupe ttcot, de Lecocq. qui était venue d'Extrême-Orient. Le diC'est une manière de soixantenaire que parait-il. de célèbre la Gaité en reprenant cette gailrecteur cette troupe renommée. expliquait la des raison mouvements. larde « forte en gueule >. descendante nous souvent assez lents. de ces artistes, qui directe de ce type glorieusement dessiné récitaient de longs rotes, ces sortes de depuis le xvur* siècle, la < dame de la rondes d'un personnage autour de son Halle Opérette essentiellement française, image partenaire, et, avec cette initiation, nous faire idée des qualités de la vie facile et d'élégance gracieuse pouvions nous une de l'expérience de et ces acteurs une fois qui laissa échapper à Bismarck ce mot tes conventions admises. Le théâtre anna- représentatif c Je hais cette petite chose. mite est tout traditionnel et exploite quel- parce qu'elle est terriblement française.

Clairette, bien campée sur le; hanches ques thèmes légendaires. La richesse et 'origlnalité des costumes tiennent une large l'opulente Lange, Pitou. Pomponnet. les part dans ces représentations. perruques htondes et les hussards d'AuMais il est un autre genre de spectacle gereau. nous tes retrouvons sans surprise. qui serait piquant pour nous. parce que mafs avec une joie renouvelée. tant leurs OOM le comprendrions mieux et qué nous attraits demeurent familiers et persuasifs. pourrions le suivre en ne nous contentant Il est très superflu de redire les saines pas du plaisir des yeux. Depuis quelques vertus de cette musique, de ces couplets années, des troupes 3nnamites se sont dont les mérites sont autant de réactions prêtées à une évolution des vieilles cou- contre la vogue déjà refroidie des inepties tumes et se sont attaquées à notre réper- cosmopolissonnes et des escobarderies nétoire classique, voire parfois moderne. groïdes.

Elles jouent ces pièces traduites dans leur Insistons donc seulement sur le goût langue et. d'aventure. un oeu modiflées décoratif qui préside à la présentation

Prennes Représentâtes

rivaudiére). M. Valès (Louchard), ainsi que l'appoint diligent des choeurs et du brillant baidet mené par Mlle Jane Hotder.

Ch .TENMC. THEATRE DU GYMNASE. Richard, com<die en trois actes de M. A. Fabre-Luce.

Jadis, dit dans cette comédie A*ine Romange à un ardent jeune homme qui l'aime. une belle demandait à ua preux. pour qu'il lui prouvât sa passion, quelques exploit, comme d'escalader une tour à cheval. On demande aujourd'hui à un amoureux d'attester la solidité de son attachement en gagnant beaucoup d'argent.

U n'y a pas, pourtant, que cupidité dans cette réponse d'Aline à Richard en réclamant de lui, pour le croire, un effort tout moderne, eMe entend s'assurer de la force de ses sentiments. Mats peut-on le deviner Richard, opérateur de cinéma, part donc, ayant devant les yeux la séduisante image d'Aline, pour l'Amérique. Il y fait une fortune qu'il perd, mais on le suppose toujours millionnaire, et il a du crédit.

Quand il avoue sa ruine à Aline, celle-ci ne parait pas dépitée. Elle lui dit qu'il s'agissait d'une épreuve à son égard et que, ayant de très favorable} dispositions pour lui, elle ne se fût aucunement mons'il eût insisté. trée cruelle Cependant. Richard ne peut plus accepter la pauvreté. Sur les conseils d'un ancien portier d'hôtel devenu son secrétaire, il se lance dans toutes sortes d'affaires dans lesquelles il se montre un intermédiaire avisé. Il gagne des sommes considérables.

II a épousé Aline, qui t'aide & Muffer.

Mais ii a pris goût à' la conquête de l'ar-

BemiM., 9 h., Maltre Bolbec et son mari. cipaux rotes féminins des Conte8 d'Bo/ Pigalle, 9 h.. Plus Beaux Yeux du monde. mann seront tenus, dimanche soir, par Palais-Royal, 8 h. 30, la Viscosa (de Rip). Mmes Garcia-Frappa, Andrée Cortot et Antoine, 8 h. 45, ta Chalne.

Letta Ben Sedira. A leurs côtés, M. NeBouffe-FarMienB, 8 h. 30, le Rot Pausole. queçaur chantera le rôle d'Hoftmann La !t[!chodière, 8 h. 45. le Sexe faible. distribution de l'opéra fantastique d'OffenApollo 8 h. 45, Balthazar. bach sera complétée par MM. Latent.

Athénée, 8 h. 45, Pierre ou Jack Roussel, Le Prin. Azema et Mme Suzanne Ed.-VH, 8 45, M. de Saint-Obin (J. Berry). Duman.

Madeleine, 9 h., Frans Hais.

L'Avare reparattra sur -o- ODEON, Avenne, relâche. l'affiche, ce soir, avec MM. Raymond GiFoUes-Warxm, 8 45. Sans tamb. nt tromp. rard, Roger C:atrva). Chamarat, BaconIl semble que devraient se trouver là tes Ambassadeurs, reiâche. net, Gauthfer Sy'ta. Harry-James, Bryonne, 8 46, Louis XIV, opérette (Dranem). Charpentier. Paul Oettly, Aubeleau Mmes éléments d'une assez forte comédie par Seata, Satnt-Geores, 9 h., Tout va bien.

Simone Suzanne Germaine Viovy, Courtal, cette transformation que détermine l'ar- Nouveautés, 9 h., la Revue (Elvire Popesco) Duard et Janine Press. Le spectacle sera gent chez Richard et chez des personnages Comédie Champs-Elysées, 9 h., Siegfried. complété par l'Epreuve, que joueront MM. 9 h.. la Machine rouge.

Guy Parzy. Georgss Cusin, Baronnet de son entourage. Mais. si des détails ont Grand-Gnignal, Daunou, 9 h.. Kiki.

Mmes Paulette Marinier, Germaine Cavé de la saveur d'observation, les caractères Michel. 9 h., Cette vieille canaille. et Blanche Dars.

Arts, 8 h.

Charrette 45, la de dessinés pommes. netteté sont ne pas avec une qui -o- TH. ST-GEORGES. Pour attendre relâche. permet de s'intéresser autant qu'il le fau- rotinièro, le complet rétablissement da Mme HuMathurtni), 9 h., Palais-Bourbon.

DuOtos, MM. Benoît Léon guette drait à cette évolution. Cette sorte d'indé- Montparnasse. 9 h., Beau Danube rouge. Deutsch ex Jacquea-Aibert et ont décidé d'in8 h. 46. Atlas Hotel. cision du début pèse sur la pièce qui. bien Atelier, dimanche les représentasoir terrompre Tr.-Renmrd, 9 h., Jumeaux de Brighton. bien de tions de Tout continuer au l'esprit et de dépensé, que y soit a paru un Studio Ch.-Etya., 9 15. le Chant du berceau. Th. St-Georges va représentations de Kiki, les Comœdfa, 9 h. 15. Pour avoir Adrfenne. peu froide. la théâtre dont carrière Daunou au se Mme Alice Cocéa a sa grâce habituelle. Bataclan, 8 30, Saltimbanq.(Régine Chaales) trouver Interrompue & cette date par va suite Fontaine, 8 h. 45, l'Amour à la blague. de contrats antérieurs.

On eût pu souhaiter, toutefois, qu'eue fit Th. Eldorado, 9 h., Agence Probitas.

Rappelons que la -o- POTINIERE, comprendre davantage la petite âme in- Ctnn; 8 h. 45. Dégourdis da la Il*.

Qui reste fixée répétition générale de S 30. Tire-au-Flanc (P. DarteuH). quiète d'Aline. Mais est-ce sa faute, et Uéjazet, Terne), 8 h. 30, Mauricet, Doumel, P. Darty au vendredi 8 mai. en soirée.

Régine ChMtes n'est-ce pas piutot celle de l'auteur ? Montr., 8 30, Tombeau s. Arc de Triomphe. o- BATACLAN. dans Faut. les Saltimbanques.

3 à U fr.

M. Paul Bernard, dans les parties du rôle 1 Nouveau-Théâtre, relâche.

DI chantera La semaine prochaine.

Mazzet où Richard est amoureux fervent, est fort 1 Gobelins, 8 h. 30. la Tour de Nesle.

Werther en français pour la première fofs à son aise; il l'est moins en affairiste AUJOURD'HUI. Théâtre 9 h.. à Parts.

-o- TH. ECLAIRS (au th. St-Georea). débridé. M. Michel Simon compose pitto- première du Sacrement, comédie en trois C'est demain, à 3 h., qu'aura lieu la actes et quatre tableaux de M. Léon Le- deuxième resquement, dans la note juste, un avare monnier. représentation des .AftOttt'e de Trianon-Lyrtque. 8 h. 30 première lady Hant<K<Mt, de Fernand Nozière. s'offre qu'au plaisirs rabais. qui ne (a ce théâtre) des Trois JfMaues, livret de ses M. Louvigny. comédien sûr, tire tout ce M. Charles Méré, musique de M. Isidore Lara Ternes, 8 h. 30, première (à ce LA MUSIQUE qu'il peut tirer de la figure de l'ex-portier de théâtre) du Cabaret des Deux-Anes Mond'hôtel se livrant à de vastes opérations. trouge, 8 h. 30. première (& ce théâtre) du Deux représentations exceptionnelles de Tombeau soit* l'Arc de Triomphe.

MUe Maria Fromet a de la gentillesse. eotttte de France (Musique de Nouées) seront données les 10 et 13 mai. en soirée.

Paul GMfSTY. Mme Marthe Ne3poulous; au théâtre de la Ga!té-Lyrique. Cette -o- OPERA. MM. ViiiabeHa. André Pernet, Cambon œuvre a déjà remporté de très grands sucMUes Simone Rouard Montfort et seront cès à Orléans et Pottitri! à l'occasion des retanhe. opéra, soir les interprètes principaux de fêtes de Jeanne d'Arc. Français, 8 h. 45, le Monde où t'en n'ennule. demain Fau3t. la Brouille.

SPECTACLES ET CONCERTS Butterny.

Le Opéra-Comiqae, 8 n. 30. Madame .0- COMEDIE-FRANCAJSE. Monde où l'on /l'ennuie sera donné ce soir Odénn, 8 h. 30, l'Avare, l'Epreuve. eité-Lyriqtte. 8 h. 30, FiDe de Mme Angot. dans les costumes d'époque avec le con- Folles-Bergère, 8 h. 30, t'Usine à fotiea.

Trttnon-Lyriqne, 8 h. 30, tes Trois Masques. cours de MM. Dessonnes, André Brunot. Concert Mayol, 8 h. 30, Vive le nu Pierre Bertin. Dorival. Chambreui). de Ri- Palace, 9 h. 15. la Revue argentine.

Châtelet, S h. 30, Sidonie Panache. goult. Lucien Dubosq. Pierre Faubert, Le Empire. Revue mIniature de Witiy Pantzer.

Variétés, 8 h. 45, le Roi. Pt-St-Merttn.S30. Femme nue (Y.de Bray) Goff, Robert Vidatin. Marcel Dufresne Cas. de Paris. 890, Paris q. remue (Baker).

Mmes Suzanne Devoyod. Marie BeU. Ca- Européen, 3 h.. 9 h., Fréhel, GarM Gobsy. therine Fonteney, Jane Faber. Nizan. Ma- Fourmi, m. e.. Leardy. Verly. le Crochet 9 h., Richard.

Gymnase.

Sar&h-Benth., 8 30. la Dame aux camélias. deleine Barjac. Tonla Navar. Jeanne Sulty. Pizetta (12. Ste-Anne), Il h..PizeUa.Maurieet Henriette Barreau et RousseL Nêdrano, 830: mat. jeudi. sam.. dimanche.

Moado. 8 h. 30, la Vie parisienneAmbigu. 9 h., Gégène le Régulier.

-o- OPERA-COMIQUE. Les trots prttt- CoHnm. dan?e. mat. et soir.: attractions.

h., 8 30 et tte la nutt Mnete de ctres du MoaUn-Ronjfe.4 h. min. r<mtasio, concert, attractions, danses.

Mac-Ctty-Ba!, t. 1. s., 9 h.; dim. mat. 3 h.

B*t W<tgr*m, vendredi. sam.. dim. et f6t. una-Fark, 9 h.. dancing.

Jardin d'Acclim., entr.. 2 fr.; enfanta, 1 fr.

Palais Pompéien, réouverture en octote.

Pour les adieux de la -o- PALACE. troupe argentine, cinq dernières représentations de gala de Btt<'ttos-A!/rs en Jolies, la triomphale revue avec les deux grandes vedettes Gloria Guzman, Sof!a et Bozan. et les seize beautés créoles. Faut. à part.

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EMPIRE M) NOUVEAU PROGRAMME

Pour la première fois à l'EMPIRE

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miniature La revue

10 NUMEROS INEDITS

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Matfré )')mportance du spectacle de Wt"y PM)'-r. te t<-t; d«

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Une proposition humoristique de statut centaine personnesl'application, seraient indispensa- A TRAVERS lE MONDESRNSFIL Les brouillages PROGRAMMES DE LA JOURNÉE pour assurer projet humoristique ondes courtes de la radiodiffusion d'être vient Chambres, La construction du sur Radionouvearc francs trouvons alors de

bles les contrôles, et le reste du qui soumis aux nous que 2.000.000 de sauraient à peine suffire pour payer les indemnités, sans compter les services régionaux de province et donc départemenfrancs (et nous sommes au-dessous de la

Toulouse.

Les deux pylônes de 120 mètres qui doivent soutenir l'antenne Il est regrettable de trouver dans la LES PRINCIPALES du nouvel émetteur de Radio-Toulouse bande dite de Washington, 40 à EMISSIONS FRANÇAISES viennent d'être achevés. m. 80, le poste portugais CT 1 AA m.) € POSTE PARISIEN. Situés au sommet de la colline où 41 qui énorme à plage Paris couvre une 9 heures. émission de photographies d'aos'élève le château de Saint-Agnan, à et brouille ainsi tous les essais des vérité.) tualité. mètres d'altitude, ils sont parfaite- amateurs. Ce poste semi-officiel se Songeons chacun 243 rire sans que Un député, humoriste sans doute, vient sible qualité d'Etat ment à tel point qu'ils sont trouve à Lisbonne, il n'est point à 19 h. 25, disques et Informations. entre postes en de nos postes « nationaux » coùte ou dé- visiblesdégagés de déposer sur le bureau de la Chambre et postes privés. à très grande distance dans la classer dans la catégorie amateurs: en 20 heures, concert. Musique de jazz par chaque de 5.000 jour minimum pense région un environnante.

De divers côtés, il apparaît nettement francs. Nous effet, il travaille avec plusieurs kilo- le < Crickett Smith's Bayai Box Bsnd » et un nouveau projet de statut de la radioobtenons les 16 ainsi pour Cette disposition sera certainement watts, tandis que les amateurs n'uti- miss Mabel Mercer, avec le concours des diffusion. Ce projet, dans son ensemble, que le rédacteur du projet de statut n° la France 80.000 X 365 très favorable à une excellente propa- lisent que 100 watts au maximum géné- Publication» FrmncU-Dsv. apparaîtrait sérieux si l'on n'y constatait 4.751 ne connaît point en détail. en des- postes alloués àtotal Sweet Jennie Lee (W. Donaidson) de 29.200.000 francs. gation des ondes radio-électriques. jours, soit un ralement. une quantité de considérations qui font, sus et en dessous, la question sous son I*. faut aussi Radio-Toulouse Mirande. Pour- D'autre part un poste parisien de SwinginR tu a Hammoch (P. Wendllng) considérer que les frais de véritable fin de lecture, l'aucomprendre On effet, aspect. peut, en que en com- recouvrement des taxes, contrôles, suivant son plan de diffusions régiona- broadcasting est également assez per- Hère cornes the son (H. Woods) Bempa- les, Radio-Toulouse teur a écouté et déposé sans p!us réfléchir prendre l'intérêt général à sa manière. piers, effectuera le sa- turbateur. En effet, entre 30 et 50 mè- ching for the mena (1. Berlln) What gond circulaires, cartes, etc., pour l'Ins- medi 9 n'est il humoristique. mais à projet guère mai, 21 heures, certain que cette ma- titut national de radiodiffusion la retransmis- tres, il n'est point rare de compter huit am 1 wlthout yon (M. Ager) Chrerful litun des et sion de la soirée qui aura lieu au à neuf réglages sur lesquels on reçoit ne earfui (H. Warren) l'Il util) belong to En effet, nous lisons dans ce projet de nière soit véritablement la bonne tout radiophiles atteindraient facilement théâtre municipal de Mirande et qui ses émissions. qui devraient demeurer you (N. H. Brown) It happeaed In Monquinze pages, y compris l'exposé des mo- dépend par quel bouf de la lorgnette on la avares somme de 800.000 a été organisée par le Radio-Club de sur 61 mètres. Les amateurs pestent terey (M. Wayne) Oh Paris (R. Penso): tifs, que chacun de nos départements regarde l'avenir. et même la situation soyons francs. Nous obtenons donc ainsi une l'Astarac avec le concours du syndicat chaque jour contre la mauvaise synto- Tou're drlvlng me crazy (W. Donaldson) Soldler on the ebett (S. Myers) Moonlight d'initiative du Gers. pourra avoir son poste émetteur. régional. présente. nie du poste en question Le projet 4.751 se présente avec les somme globale de dépenses de 30 millions.

Nous trouvons sur ce document, fort C'est la municipalité préside qui on the Colorado (R. A. Ring): WAy (Devistandis que nous n'avons qu'au maximum recommandations de Coots). certains cette nouvelle manifestation radiophogroupe- une recette de 23 millions amusant en son ensemble, des preuves de RADIO -INFORMATIONS Et il ne nique qui débutera 21 h. 15 à 22 h. 30, c La Chanson f ranallocution une par l'incompétence de l'auteur d'un tel projet. ments, dont plusieurs sont restés assez faut oublier l'amortissement des du maire de Mirande. point çaise populaires dans le monde de la radio», avec le concours de Fradio, Le projet n° 4751 ne parle qu'à mots peu des émetteurs machines et Mlle Le Mtsslane, Mlle Suzanne Dambreval, nombre des auditeurs que nous phonie d'autres, tels la C. G. T., le synen Allema- Sofia.

Bien que la Bulgarie ne posla dicat n'avons couverts de la « monopolisation fait point Mehams. intervenir ici.

Le nombre des auditeurs aile- sède guère encore de radiodiffusion, tout gne. des agents des P. T. T., etc., resradiodiffusion il préfère au monopole Une s'élevait fin d'exermands 1" entreprise qui octobre dernier Savez-vous, one-step (Albert Chantrier) trouve possesseur d'un récepteur doit cependant au en tés fidèles à un idéal. illuminé, ne voient d'Etat la « nationalisation », mais sup- bien à acquitter 3.241.725. taxe qui s'élève à 55 francs Ce déficit chiffre L'Amour de ma mie (Marinier-Bosc) Je une de cice 7 millions minimum accuse un environ un bon qu'en la monopolisation ou la et chaque année et pour une pour accroissement 16.781 donné simplement les de t'ai tout mon coeur (Vallier-Buzelincelui du prime purement et émis- nationalisation. C'est annuellement est vouée à la faillite. C'est sur lampe nouvelle du récepteur.

Voilà affaire là d'opinion. une 1" juillet.

Bosc) Marche des petits Pierrots (Hérossions des postes privés, trouvant que seuls donc de pourquoi nous considérons (et la majorité formule d'imposition progressive. politique. n'est de la Callarius-Bosc), interprétées par Fradio et ce Commission des perturbations radio- Varsovie. pas !es postes d'Etat sont aptes à radiodifdes Français sera de notre avis) que le La nouvelle station polo- Quand technique du réalisable même chemin, valse (Vinni phoniques de la V. D. E. L'Associaon fait fuser. et à réaliser? de Varsovie a une puissance de Scotto) Ce projet, établi certainement « pour projet de Raoul Aubaud est une proposi- tion des électriciens allemands dont naise bonnet de Snzon (Fleu'e cent 160 kw et est entendue normalement sur Notre député a certainement reçu de rire prévoit la humoristique, tion. dire rigny-Mathé) La pour Boutique de frivolités ne pas l'abréviation « V. D. E. jouit d'une galène dans un rayon de 400 km. suppression d'un de nos davantage certains « intéressés (Millandy-Waldin) projet tout prêt. postes à grande longueur La Brise (Pothlerrenommée mondiale a déjà accompli Londres. La Compagnie Baird vient de d'onde, prévoit faire démonstration Un publique téléGuttinguer), de Interprétées pas Mlle Mlsslane; de statut demeure so- depuis quelque temps un excellent traune puis, ne connaissant que par ouï-dire !a poste international à grande longueur lide seul projet un vision Collseum de Londres.

Les images Quand Pedro chante, au tango (Trémolo) dans n'a hébase ensemble, vail lutte dans la question point contre les perturba- n'étaient pas plus nettes qu'auparavant et C'eat et pour tous ceux qui sur sa son d'onde, un poste également international (Parrissë-de nature Buxeull) ma considèrent la radiodiffusion dans le sens tions radiophoniques. Elle vient de dé- tendaient toujours à tourner sur elles-mê- Ohé les petits bateaux (Groffe-Ebltnger) sité à déposer ce super-projet n° 4751. à ondes courtes pour les colonies. et le qu'on la doit comprendre le projet étu- cider la création d'une commission qui, mes. Cependant le public s'enthousiasma C'est toi, c'est mot, c'est Il est amusant de lire les considérations monde entier, réseau d'une dizaine de dié nous (Bénechun la collaboration entre la radiodif- de cette démonstration au cours de la- Dumont), interprétées formant l'exposé des motifs de ce statut. postes puissants régionaux à double émiset déposé par M. Germain-Martin par par Mlle Suzanne fusion et les électriciens, tâchera d'éli- quelle on fit défiler sur l'écran de projec- Dambreval le seul Valse On est qui met du Paradis (Base) du réel. repré- sion simultanée. et, en réseau plus fin, de en concurrence artis- miner, autant que faire se peut, les tion des personnalités qui furent très bien pour rire. y trouve Quand s'est aimé comme nous (Lenoir); sentant le passé, du possible, de l'impos- petites stations départementales destinées tique et travaille dans l'intérêt de tous à perturbations radiophoniques en Alle- reconnues. Il convient de rappeler que Sur le on vieille banc de la église (de Soutterla vulgarisation de la radiodiffusion fran- magne. L'objet de cette commission est notre ami, l'ingénieur français Barthélemy, sible. même du comique et du ridicule aux informations locales. réalisé Mario) Les Petit.. Enfants (Raoul Saler). ces jours derniers, en public, des Le signataire du projet nouveau rapL'abonnement (?), dit le projet du jour, çaise et nationale sans avoir à demander principalement technique et non pas aexpériences sensationnelles et sincères de interprétées par Mehams; Nuits caressantes budget secours et protection » juridique. télévision. pelle fox-trot (H. de Bozi). sans sourire que notre radio- serait de 10 francs pour les postes à ga- au Cours Huit cents motrices et tram- RADIO-PARIS perturbations contre les radio- Leipzig. diffusion n'a point été jusqu'à maintenant lène, 50 francs pour les postes à lampes.

P. JACQUES. (1.724 m. 1).

12 a phoniques.

La Société de radiopho- ways ont été munis, à Leipzig, d'un appa- Hérodiade (Massenet) prise au sérieux, et il conclut « Il faut Une taxe de 10 Tannhœuser Rles lampes reil destiné à éviter les perturbations ra- Wagner); les serait sur l'Etat allemand organise quatre diophoniques Animaux malades de la peste donc prendre la radiodiffusion au sérieux appliquée à la production. Ceci parait L'inauguration du poste colonial nie de de causées les trolleys. Les (La Fontaine): trois jours, durant lesquels résultats obtenus ont par cours Gaston (Bonlncontro-Bousété excellents. Les lui donner la statut qui parfait. et mais?. un assure quades conférences quet) On danse données a Vienne (Weezel) J' sont L'inauguration officielle du poste lutte sur la parasites, s'ils n'ont pas été entièrement suis content, content lité de la nourriture tntellectuelle et artis(Heinz-Bouaquet) Admettons une minute que le nombre colonial de Pontoise contre les perturbations. Les supprimés, ont été cependant réduits dans Griserie (Bosc) le Joyeux lieu vers le chefs aura Trompette diffusée l'impartialité tique des « volontaires radiophoni- des proportions considérables, de telle sorte (Allier). des propriétaires de postes à galène soit 7 mai. Les essais ont lieu chaque aux masses et qu'ils constituent plus une gêne appré- 13 h. des idées politiques, philosophiques et so- de cela rapporterait au neuve! soir sur 25 m. 50. II convient de féli- ques » disséminés dans toute l'Allema- ciable. ne le Rossignol en amour (Coupereçoivent ainsi bonne formagne ciales qu'elle répand dans des mitlions de institut le total de 2.000.000 de francs citer le personnel technique des P.T.T., une (Scarlatti) Quatuor rin) Sonate corNew-York.

La radio et l'aviation, qui des tion et pourront, plus tard, appliquer qui ré majeur demeures. collaboration (Mozart) la Havanaise MM. Magny en le nombre maximum actuel des propriéen avec les symboles sont de l'activité moderne, dans la pratique les connaissances forment l'objet, (Saint-Saëns) les Rosés d'Ispahan En ce qui est des millions de de- taires de postes à lampes étant de 400.000. et Bordères a terminé ce premier acquises. en Amérique, d'une nou- (Gabriel Faurê)SoirPrélude et Sarabande poste à colonial ondes courtes pour velle législation spécialement prévue pour (Debussy) Interludium in modo antico meures », quand il n'y a pas plus. chez la somme He 20.000.000 de francs serait la date prévue d'autre part, Leçons de musique les cas nouveaux qu'elles posent au point (Glazounoff). radio. le second par nous. de 600.000 auditeurs radiophiles payée par les radiophiles lampistes, soit poste construit par la S. F. R. sera Dans plusieurs pays on commence à de vue juridique.

18 h.. et Juliette (Gounod) au maximum, il semble difficile que ceux- un total de 22.000.000 de francs. Si l'on également terminé pour l'ouverture de se rendre compte que la radiophonie Toulouse. Le bal des Petits Lits roses l'Ombre (F.Roméo de Flotow) Carmen (Bizet) ci soient dispersés dans « des millions de considère que les 400.000 lampistes écou- notre Exposition coloniale. Souhaitons a aussi pour tâche très importante a été retransmis par Radio-Toulouse, pré- Faust (Gounod) Tartuffe (Molière) la au public radlophile cette fête de Mascotte (Audran) la Poupée de Nuremdemeures D'autre part. le signataire du tent chacun avec un poste comportant en maintenant que les programmes soient l'augmentation des connaissances mu- sentant charité et agrémentant le reportage de berg (A. Adam). sicales des radiophiles. C'est pourquoi nombreuses nouveau projet n'oublie pas d'ajouter moyenne trois lampes, on peut considérer de bon goût et de bonne qualité. de tous les artistes h. 30, communlqué agricole. Causerie de nombreuses sociétés de radiophonie qui défilèrentinterviews qu'il faut préserver la radiodiffusion de que le remplacement des lampes usagées la passerelle d'argent. sur18 l'apprentissage sur agricole, par M. Beckediffusent des conférences sur les œu- Mais Dehorter, parleur inconnu, demeure rlch, chef adjoint du tous les méfaits dune propagande confes- se fera à ".a cadence de 50 0/0 au maxiservice de la mainvres des compositeurs, conférences le seul apte aux radioreportages vivants. d'œuvre et de l'immigration agricoles au sionnelte, politique ou d'intérêt particu- mum. et par an, soit en compte rond illustrées d'une audition musicale des Toulouse.

A l'occasion du grand ministère de l'Agriculture, Résultats Les dss postes-secteur des familles (fruit de lier.

150.000 lampes qui peuvent et doivent 10, agricole qui a eu lieu à Toulouse courses. d'expérience), fab. française. Radio morceaux en question interprétés par concours ans Le projet 4.751 réclame non une radio- être valorisées sur la base de 35 + 60 Alterna, 184, r. de la Convention, Paris-15'. un orchestre, un pianiste, ou reproduits du 21 au 26 avril, de nombreuses retrans19 h., causerie coloniale par M. Georges ont été effectuées par P.adio-Tou- Hardy, directeur de l'Ecole coloniale. « La phonie d'Etat, mais une c chose de la = 95 2 = 47,50 x 150.000 = 7.125.000 par un phono. Le poste de Koenigsberg missions louse. en particulier les discours qui ont sens général de l'Exposition coloniale. émettra hiver cet aussi un cycle de été prononcés à cette occasion par le mi- Cours d'anglais. nation > sous la formule « nationalisa- de vente au public, sur laquelle l'institut Postes récepteurs et émetteurs, matériel profess. leçons et pièces de musique amat. détach. An Pigeon sous la direction du nistre de l'Agriculture, M. Tardieu et dition a, ce qui correspond sans doute aux national de radiodiffusion « pourrait > Voyageur, 211, h" Ouverture des Hirondelles; Sous bd Saint-Germain.

Paris-7'. professeur Muller-Blateau. verses autres personnalités du monde agri- un20ciel (?) recevoir, à raison de 10 0/0, y comformules employées en Russie. bleu; la Dame au domino; la Dancole.

L'émetteur onde de courte Rio de aur de Tanagra (Henri Hirschmann).

En France, il semble que ces formu- pris les nouveaux radiophiles, une somme Vésuvite, monolampe, Europa, radio-sec- Janeiro.

Londrea. Dans les feuilles destinées seuse Depuis quelque temps, Rio 20 h.

30, résultats sportifs; chronique des les barbares ne sont point applicables. La d'environ 1.000.000 de francs. Nous ar- teur, alimentation totale. Art et Technique, de Janeiro possède prochain recensement anglais, on relève divertissements au émetteur et spectacles par Erik Nie!un sur demande suivante « Etes-vous possesrivons ainsi au total de 23.000.000 de 15, rue Henrl-Monnier, Paris-9«. chronique de Dorin; la Petite bohème onde courte. Ce poste expérimental la concurrence seule engendre le « mieux sen seur d'un appareil récepteur radiophonl- (Henri Hirschmenn). émet 31 75 tous et c'est à ce titre que le projet « sérieux francs. les jours de sur m. que ? » C'est un nouveau moyen de dénomLe P. 4 à lampe écran et bobin.

TOUR EIFFEL (L44b m. 8).

18 h. de façon plus précise le nombre total et juste de M. Germain-Martin répon- Nous prenons la base divisée par deux, Amo. merveillx Les Aliment. totales Et. Renard et 22 à 24 heures T. N. G. On peut, par- brer 30, 15 h. chroniques diverses. des amateurs radiophiles. fois, bien L'administrarecevoir les émissions en tion française dait pleinement et entièrement aux néces- en cotant la lampe normale à 35 francs Molroux, 11, rue Trianon. le Perreux (S.).

18 h. 45. journal parlé Europe. y songera au prochain reLa direction du poste radiophosités propres à aider au développement et la lampe basse fréquence à 60 francs, censement national, actuellement, 20 h. 30, le Comte de Luxembourg (Fr. la car N. B. Les firmes admises dana cette nique de Birmingham a conçu le projet France officielle et administrative Ignore Lehar): et au progrès de la radio, sans empê- soit 90 francs pour les deux lampes.

Dolorès (Waldteufel); Valse romannous ont soumis leur matAriet,' de retransmettre, à l'avenir, ces émis- encore légalement » l'existence de la (de tique Séverac-Chapelier) Valse chrocher la question de la concurrence pos- Si maintenant nous considérons qu'une rubrique qui a été essayé avec succès en laboratoire. sions.

Radio

LA P R OPOS 1T1

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N°

4.751

de

un

Maisons recommandées

matique (B. Oodard)

le

comité fédéral du spectacle La limite d'âge des fonctionnaires Un ivrogne se suicide des services actifs après avoir vainement tenté reçu par M. Pierre Laval va être portée à soixante ans de tuer un de ses voisins

Le comité national de la Fédération des travailleurs du spectacle a sus- Le conseil d'Etat, réuni hier aprèspendu, hier, ses travaux pour permet- midi en assemblée générale sous la tre à une délégation de se rendre à la présidence de M. Théodore Tissier, a présidence du Conseil. adopté, sur le rapport de M. Gasquet, La délégation, qu'accompagnaient maître des requêtes, le projet de déMM. Lenoir, secrétaire adjoint de la cret portant réglement d'administraC. G. T.; Dumanois, Chaussade, de la tion publique pour l'application de l'arC. T. L; Henri Clerc, maire d'Aix-les- ticle 8, paragraphe 3 de la loi du Bains, représentant des maires des 14 avril 1924, en ce qui concerne la villes saisonnières; Colas, maire de fixation des limites d'âge des fonctionDeauville, a exposé à M. Laval la situa- naires et employés civils des services tion du personnel des spectacles. actifs.

M. Cesbron, secrétaire de la fédération, Jusqu'ici ces fonctionnaires étaient a expliqué la menace qui pèse sur tous mis à la retraite soit à cinquante ans les artistes en général et sur les musi- (police, douane, etc.) soit à cinquanteciens, en particulier, du fait des bud- cinq gets restrictifs prévus pour la partie Le ans. nouveau décret fixe la limite artistique de ces établissements. d'âge à soixante ans, toutefois la limite M. Clerc, après avoir souligné la ramenée à cinquante-huit ans d'âge est solidarité qui existe entre ses mandants et les artistes, s'est efforcé de pour les fonctionnaires suivants brigadiers chefs, bridémontrer que la situation nouvelle Agriculture gadiers palefreniers du service des et allait avoir une repercussion telle sur les recettes des salles de jeux que la naras suppression des taxes apporterait un Finances brigadiers et sous-brigabénéfice en même temps qu'elle per- diers, patrons et sous-patrons, préposés mettrait de sauver les intérêts des et matelots des douanes artistesJustice gardiens et surveillants de M. Laval a semblé partager l'opinion l'administration pénitentiaire des délégués, mais il a réservé l'avis Intérieur Sûreté générale comdu ministre des Finances. de tous grades et commissaiLa délégation a rappelé que la missaires res-adjoints de police municipale, spéproximité de l'été mettait dans l'obli- ciale mobile, et ou non la quagation d'agir vite pour prévenir le lité d'officiers deayant judiciaire 2° police désastre qui menace tous les travail- police d'Etat secrétaires de police, leurs du spectacle.

NOUVELLE DÉCOUVERTE DE M. WARRINGTON -DAWSON

UNE

M. Warrington-Dawson,

attaché spé-

cial à l'ambassade des Etats-Unis, chargé, par M. John Rockefeller de recueillir, en France, tous les documents de nature à permettre la reconstitution de la ville de Williatnsbourg, ancienne capitale de la Virginie, vient de découvrir, dans les archives du ministère de la Guerre une nouvelle liste de quarante-deux français, morts à Williamsburg, entre le 28 septembre et le 31 décembre 1781.

Aucun des noms figurant sur cette liste et parmi lesquels on trouve celui du capitaine de Satur, du régiment de Picardie, n'avait été, jusqu'à ce jour, signalé.

Un jeune Portugais voulait égorger un Polonais On le désarme à temps Une querelle provoquée, croit-on,

amoureuse, mettait par une rivalité après-midi, dans un hier prises, aux de à La-Boétie, l'angle chantier, rue GesErnesto Martino l'avenue Percier, teira, âgé de dix-sept ans. manoeuvre. de nationalité portugaise et demeurant 13, allee de Chalets, et l'ouvrier polonais Henri Wassilewsky, trente ans, domicllié à Puteaux.

Soudain, profitant de ce que le

Polonais avait le des tourné, Gesteira, tirant de sa poche un rasoir, se précipita sur lui. Fort heureusement, un ouvrier français, Alphonse Delalande, domicilié 6, passage Albert-Leblanc, bondit sur le Portugais et réussit non maîtriser. sans mal à lecommissariat de l'Europe Conduit au secréinterroeé Poirier, M. oft il fut Dar été dangei -i. ^er a en-

la

voyo au dépô'

ou:, tentative de meurtre.

inspecteurs de sûreté de tous grades, gradés et gardiens de la paix, agents spéciaux.

Par contre quelques dérogations sont prévues en faveur de certains autres fonctionnaires.

Est fixée à soixante-deux ans la limite d'âge des inspecteurs généraux de classe du ministère de l'Air, des officiers et maîtres de ports maritimes nommés avant le 1" janvier 1909, éclusiers, pontiers, barragistes et autres agents inférieurs de la navigation Intérieure et ports de commerce, maitres et gardiens de phares et fanaux.

Est fixée à soixante-trois ans la limite d'âge des directeurs des services agricoles, professeurs d'agriculture, inspecteurs et inspecteurs principaux, gardes généraux, adjudants de surveillance des écoles forestières, brigadiers et gardes domaniaux. Ces fonctionnaires dépendent du ministère de l'Agriculture.

Enfin, la limite d'âge est reculée jusqu'à soixante-cinq ans pour les inspecteurs généraux de Il* classe du ministère de l'Air, les inspecteurs du contrôle de travail des agents de chemins de fer dépendant du ministère des Travaux publics et les inspecteurs divisionnaires du ministère du Travail.

A titre exceptionnel. si les nécessités du service l'exigent, un fonctionnaire pourra être maintenu en activité pour une durée d'un an au delà de la limite d'âge fixée pour son emploi par un décret délibéré en conseil des ministres et publié au Journal Officiel.

FETES ET RÉUNIONS

La troisième journée de la Semaine coloniate, organisée par le comité national né de l'initiative de l'Institut colonial français, était consacrée à la jeunesse des écoles.

A cette occasion, M. Barrioulet, directeur de l'Offlce du protectorat français en Tunisie, a fait à la Maison de la mutualité une conférence projections cinématograuculpation de phiques suravec l'œuvre de la France en

Coulommiers, 30 avril (dép. Petit Par.)

Le hameau du Poncet, commune de Pommeuse, a été, la nuit dernière, le théâtre d'un drame rapide.

Condamné en police correctionnelle, l'an dernier, à une peine de prison pour vol de faisans au préjudice de M. Léon Châtelain, cultivateur, l'ouvrier maçon, Fernand Chevalier, vingt et un ans, personnage vindicatif, violent et s'adonnant au surplus à l'ivrognerie, avait voué une haine farouche à son voisin.

Plusieurs fois déjà, sous l'influence de la boisson, il l'avait menacé de mort.

Hier, vers 21 h. 30, étant ivre à nouveau, il se présenta dans une attitude menaçante chez les époux Châtelain.

Pensant désarmer sa colère, le cultivateur lui donna à boire; l'autre accepta, mais, en se retirant, il proféra de nouveau des propos inquiétants Je veux mourir, dit-il, mais toi, tu mourras aussi.

Rentré chez ses parents, Chevalier, obéissant à son idée fixe, s'empara de son fusil et de plusieurs cartouches cachées dans son lit. Il revint frapper chez M. Chatelain, qui s'était mis au lit et l'invita à sortir. N'obtenant pas de réponse, l'irascible individu tenta de forcer les volets. Il n'y put parvenir.

M. Châtelain s'était levé entre temps et avait pris son fusil dans l'intention de défendre fermement sa vie et celle de sa compagne.

Chevalier, ayant alors renoncé à entrer, tira un premier coup de fusil dans la fenêtre fermée, en direction du lit. Les plombs traversèrent les volets et les vitres. Mme Chatelain, seule, fut légèrement blessée à l'oreille.

L'ivrogne s'éloigna alors et s'en fut dire adieu à ses parents affolés, puis il sortit de nouveau dans la rue, toujours criant et chantant, tira un second coup de fusil en l'air et, avec une troisième cartouche, se fit sauter la cervelle. La charge, pénétrant par la bouche, sortit par les yeux. Les voisins, accourus, ne relevèrent qu'un cadavre défiguré.

La gendarmerie de Coulommiers a procédé aux constatations d'usage.

La Nouvelle Ecole de la paix On connaît l'activité de la Nouvelle Ecole de la paix qui, patronnée par tous les délégués de la France A Genève, a ouvert ses portes au mois de novembre der-

nier,

bis, quai d'Orsay, pour se consacrer à l'étude objective des problèmes internationaux et à l'enseignement des travaux de la Société des nations.

Au cours de l'année scolaire qui s'achève, les plus hautes personnalités du monde politique européen ont pris la parole à l'école, où leurs thèses et points de vue ont été discutés au cours de débats contradictoires. Une large diffusion a été assurée ces leçons et exposés. Cependant la direction de la Nouvelle Ecole de la paix a estimé qu'il était du plus haut intérêt de faire connaître plus directement encore l'oeuvre de la France à la Société des nations. A cet effet et avec l'agrément de M. Roustan, ministre de l'Instruction publique, elle va mettre au concours entre les écoles normales d'instituteurs 32 bourses de séjour et d'études à Genève pendant la session du conseil en septembre.

La Nouvelle Ecole de la paix commence ainsi un effort de pédagogie pratique, par le voyage et l'exemple, dont elle espère pouvoir étendre ultérieurement les bénéfices aux lycées et collèges. et tient à la disposition de tous les renseignements concernant le premier concours.

73

Une soirée de gala au profit de l'Œuvre Une veuve poursuivait de la transfusion sanguine d'urgence celle qui fut sa rivale en 100.000 fr. de dommages-intérêts j L'Œuvre de la transfusion sanguine c d'urgence d'utilité publique, reconnue », Devant la première chambre du tri- a été créée, il trois ans, en collabobunal civil de Versailles a été appelée, ration étroite y a l'Assistance publiavec hier, une affaire peu banale les techniciens de la pour que La veuve d'un surveillant général j que, transfusion puissent disposer à tout d'une école de redressement demandait moment d'un nombre suffisant de par l'organe de MI Guérandel à l'andonneurs de x présentant àj sang cienne amie de son époux, 100.000 fr. tous égard les garanties nécessaires. de dommages-intérêts, arguant que sa Pour n'être pas arrêtée dans son rivale avait reçu, à maintes reprises, élan, et pouvoir continuer à faire face à du défunt des dons prélevés sur les des dépenses toujours croissantes, la biens de la communauté.

Transfusion sanguine d'urgence orgaAprès une spirituelle réponse de nise le 10 mai, à 21 heures, sous la préM' Pierre de Bussac, le tribunal a dé- sidence de M. Blaisot, ministre de la bouté la veuve qui, cependant, a obtenu, Santé publique, soirée de gala où si l'on peut dire, une satisfaction seront présentésune le merveilleux fllm d'amour-propre. Estimant, en effet, Tempête le Blanc, eet un mont sur que le délit d'adultère était établi, conférence filmée du professeur sans conteste possible par le dossier, Bernard, membre de l'AcadémieLéon de les magistrats ont accordé à la veuve médecine, la transfusion sanguine. sur une indemnité de 1.000 francs.

Plusieurs artistes connus prêteront leur Les indemnités de chômage concours.

Au sujet de cette œuvre admirable, dont le fonctionnement déjà sauvé pour les familles nombreuses des centaines d'existences,a M. Mourier, directeur général de l'Assistance publiOn sait que les récents décrets rela- que, a fait la déclaration auivante tifs aux indemnités de chômage verLa Société de la transfusion d'ursées par les fonds municipaux et dé- gence, dont le conseil scientifique est partementaux subventionnés par l'Etat composé des professeurs Gosset, Couavaient fixé le taux de l'allocation à velaire, du professeur agrégé Lévy7 francs par jour, plus un supplément Solal et du docteur Tzanck, médecin de 3 francs par jour pour la femme et des hôpitaux, a pour but d'effectuer pour chacun des enfants de moins l'intervention sans délai et dans les de seize ans. Mais l'indemnité totale meilleures conditions possibles. A cet pour une famille était limitée à 18 francs effet, et d'accord avec moi, douze cenpar jour. tres ont été créés dans les hôpitaux Au cours de la discussion du budget de mon administration et particulièredu Travail, M. Georges Pernot, pré- ment dans les services d'accouchement sident de la Fédération nationale des où l'éventualité de l'hémorragie est parassociations de familles nombreuses, ticulièrement fréquente. Les résultats avait fait ressortir l'injustice d'une obtenus sont tels que la progression telle limitation. M. Pierre Laval avait des transfusions ne s'est pas promis de rechercher une formule plus démentie et l'onsanguines compte plus, à équitable et le maximum de l'alloca- l'heure actuelle, le ne nombre de vies hution journalière vient d'être définitive- maines sauvées par cette intervention. ment porté aux taux suivants peu même dire que la mort par Chômeur ayant à sa charge sa femme On hémorragie est devenue rarissime dans et un enfant 13 francs. les services d'accouchement.

Chômeur ayant à sa charge sa femme (On trouve pour le gala des places de et deux enfants 16 francs.

150 francs à 10 francs chez la princesse Chômeur ayant à sa charge sa femme de Faucigny-Luclnge, 64, avenue Marceau, et trois enfants 19 francs. et au Théâtre des Champs-Elysées.)

Chômeur ayant à sa charge sa femme et quatre enfants 22 francs.

L'extension de la carte de priorité Chômeur ayant à sa charge sa femme et cinq enfants et plus 25 francs. à la Seine-et-Oiseet à la Seine-et-Marne En aucun cas ce total ne peut excéder la moitié du salaire augmentée du Le comité d'action sociale des anciens montant des allocations familiales en combattants et victimes de la guerre a fait usage pour la profession et la région. déposer un projet tendant à ce que la carte

LA SAISON DE PARIS Une importante délégation des principaux groupements des commerces de luxe de Paris a été reçue par M. Maurice Petsche.

Les délégués ont exprimé au soussecrétaire d'Etat aux Beaux-Arts, la nécessité d'intensifier la saison de Paris, en la prolongeant par des manifestations artistiques et sportives d'un intérêt exceptionnel, afin de retenir le plus longtemps possible, dans la capitale et en France, les visiteurs étrangers. Le sous-secrétaire d'Etat a promis aux délégués de leur réserver son entier concours.

NAVIRES

MOUVEMENT DES

Amérique du Nord.

Pour New-York. les 6, 8 et 13/5 via le Havre.

Amérique du Sud. Pour Valence, Mmeria. Dakar, Rio de Janeiro, Santos.

Montevideo et Buenos-Ayres, le 5/5 via Marseille.

Amérique Centrale et Antilles.

Pour la Havane et Vera-Cruz, le 21/5 via SaintNazaire.

de priorité soit valable dans les départements de Seine-et-Oise et Seine-et-Marne.

Il a fait également déposer un projet de loi tendant à transformer l'allocation du combattant en pension définitive réversibilité sur la tête de la veuve ou avec des orphelins.

L'Action sociale contenant ces deux projets sera adressée gratuitement à tous qui en feront la demande, en joignantceux un timbre pour la réponse, à M. Nino Depret, secrétaire général du C. A. S. A. C, Char-

fleurs (DeHbes-Soyer) le Beau Danuh bleu (J. Strauss) Valse de {'adieu (Cho pin) Valse triste (Sibélius) Dollarwai fier (Léo Fall).

21 h. 30, Voilà

mai. Mais voilà 1 revu comique.

PARIS P. T. T. (447 m.). 8 h.. Infoi mations.

12 h., chronique de la vie. Intellectuelle e sociale chronique du tourisme disque: 12 h. 30, compte rendu depuis Perpigna de la cinquième étape du Tour de Franc.

17 h., causerie c L'actualité scientl tique ». par M. Tabard < Le royaume de diables par Mlle Willette i Le Carr, bodge d l'Exposition par Mme Grostier Ceux qui sont morts pour la patrt c annamite ». par Mme Chlvas-Baron.

18 h., causerie par M. Paul Rives. d Radie Bureau International du travail Journal de France.

19 h. 30, chronique Juridique, par M« An dré Saudemont. avocat à la cour musiqu enregistrée.

20 h., compte rendu depuis Nîmes d l'arrivée de la cinquième étape du Tour d France: chronique touristique, par M. Lai salle causerie c Education sexuelU sanitaire et morale de la jeunesse pa

Jourda gala radtophoniqu Paramount.

21 h.. la Robe rouge, comédie en quatr actes de Brieux.

Mme Gracia

RADIO-1.. L.

(869

20 h. 30. concert.

m.).

12 h. 30

t

RADIO-TOULOIJSE (365 ni.). 12 h.

Un petit mot d'amour (Grothe): Recuerdo Un beso Malevage (Blanco) Danse me

cabre (Saint-Saëns); l'orgue (Loréal); Vc l'Ajacdenne (Costa) cero (Tessarech) Réve d'amour (Sohertzinger) Clair d lune sur V Aliter le Virtuose (Fétras) Zuger Chrigel (Hagen).

17 h. 15. le Couronnement de la muse d peuple (Charpentier) Il fallait y penst (Sylviano) Un brin de Paria (Poussigiie) Ça n' se fait plus (I)arlay) Elle a de petites chaussettes (Scotto).

18 h., danse Moonlight lanè, vah (Green) Paya d'Hawai, valse (Roland) Every note and then l'm in love you, fo (Titsworth) le ZêpMr (Hubay) la 6or, taine d'Aréthu8e (Szymanowski) Dans slave (Dvorak) Berceuse écossais (Schwab) Musette (Léojac) Fleur d misère (Spencer) la Monteria (Guerrero) Douce France (Démon) Valse pot pour (Weber); la Cwarine; la Mousmêe (Ganne) 19 h. 15, Carmen (Bizet) Manon (Mu

senet).

ET ETRANGERES

LANGENBERG (472

12 h. 10

et

23 h.,

concert.

m. 4).

7

b

13 h., tournoi de la Coupe Davis, Aile magne-Atrique du Sud concert Rttc celles divines (Hans Sejdl); Menuet (Moss kowski); Ballade (Stransky) -.Donna Juaniti ouverture (Suppé) la, Traroiatu (Verdi) Suite italienne (May) ,3érénade pour vie Ion (Edg. Guernet) Burlesque (Poot) l Jouet de Sa Majesté (Kœnigsberger).

DAVENTRY NATIONAL (1.554 m. 4).

h

12 h., 13 h. 30. 16 15. concert 21 h. 30, Une suite de Bach (arr. G. Wil

Sicilienne (Boccherinl)

iams)

de Dardanue (Rameau).

DAVENTRY REGIONAL (398

Rigaudo

m 9).

Trois Jours (Lotter) le Trèfl (Myddleton) Madame Butterfly (Puccini Petite Suite moderne (Rosse).

14 h. 15, Un jour de mai (Haydn): Cha chotement dans la foret (Cztbulka): MerrU England (German) Valse des fleur (Tschaïkowsky) Petnture des bois (Fiel cher).

19 h. 26. Plymouth Roe (J. Ansell); i Domino mauve (Cuvillier) Valse lent (Mericanto); l'Abeille (Schubert); le Padat de Puck (Fenn Leyland).

20 h., la Fanfare (Powell) Sérénad espagnole (H. Brown) le Colibri (Drla) Souvenirs de ballades (Baynes); Séleetio d'opéras de Sullivan (arr. Ord. Huwe) Rondo (Mozart) Frédérique (Lehar).

21 h 10. le Carnaval d'Aise; Seconde 8ym Valse du pas des phonie (sur un drame de Paul Claudel).

13 h..

La chambre des mises en accusation A L'EXPOSITION COLONIAL! de la cour de Lyon M. Daugaard-Jen»en et M. Wamb»r[ descendra lundi dans la mine ont rendu visite au maréehal Lyaot»; de Roche-la-Molière Le maréchal Lyautey, commissaire gént rai de l'Exposition coloniale, a reçu htt A la suite de la catastrophe minière la visite de M. Daugaard-Jensen. directeu de Roche-la-Molière, une instruction de l'administration du Groenland à Ce judiciaire avait été ouverte et s'était penhague, commissaire général du Dane terminée par une ordonnance de non- mark à l'Exposition coloniale, accompagn lieu. Le syndicat des ouvriers du sous- de M. Wamberg, conseiller général à 1 anl, par organe de il" Henry Torrès légation du Danemark à Paris, commïssair et Blumel, de Paria, avait interjeté adjoint. maréchal Lyautey a reçu également 1 appel de cette décision et l'affaire a DrLe Heymann. commissaire général d été transmise à la chambre des mises l'Union Sud-Africaine l'exposition. en accusation de la cour de Lyon.

Les automobiles de la « Croisière noire Les magistrats de cette cour ont Les voitures automobiles qui ont effectu ordonné un supplément d'information. la randonnée transsaharienne connue sou Et, afin de se prononcer en toute con- le nom de la Croisière noire, ont été trans portées à Vincennes, où elles seront expc naissance de cause, ils ont décidé de sées dans l'enceinte de l'Exposition. descendre eux-mêmes dans le puits où L'accè se produisit l'accident. Ce transport de Pour ire rendre à l'exposition. justice aura lieu lundi, en présence des de l'exposition sera facilité par de non: défenseurs, des propriétaires et des breux moyens de transport qui la relieron au centre de Paris techniciens de la mine.

Métro.

Un écho

de l'affaire Koatiepov en correctionnelle Au cours de l'enquête sur la disparition du général Koutiepoff, les noms de deux émigrés, M. Popoff et le colonel de Roberty furent prononcés. Un journal russe de Paris, la Renaissance, s'empara de cette rumeur et mit en outre en cause le général Diakonoff.

Ce dernier protesta et obtint que la Renaissance insérât une lettre rectificative, dans laquelle M. Popoff et le colonel de Roberty étaient appelés des Mais cette « Blancs authentiques ». rectification parut accompagnée de commentaires que le général Diakonoff ne voulut pas accepter. Il assigna donc M. Semenoff, directeur de la Renaissance, ainsi que les gérant et propriétaire du journal.

C'est ainsi que l'affaire se présentait hier devant la 12' chambre correctionnelle. M. Semenoff affirma que, longtemps avant la disparition du général Koutiepoff, M. Popoff lui avait paru « suspect ». Il avait réservé son opinion quant au colonel de Roberty.

Alors la soeur du colonel de s'écrier: Mon frère est si peu agent des bolcheviks qu'il a été fusillé par eux S'il avait fait partie du Guépéou, j'aurais considéré que je n'avais plus de

frère A huitaine, M" Marc Gonin, Jean

Erlich et d'Hubert plaideront pour leurs clients respectifs.

Ligne 8 Porte d'AuteuU-Inve République Bastille Port Dorée-Porte de Charenton. Ligne 1 Porte Maillot Palais-Royal-Bastille-Port de Vincennes. Ligne 6 Etoile-Denfert Rochereau-Italie-PlaceDaumesnil-Nation.

Autobus et tramways, à destination de 10 Porte de Plcpus. Service régulier AU (gare Saint-Lazare), AY (gare d Nord), AZ (Neuilly-Sainte-Foy), 81 (plac de la Bastille), RV (rabatteur de la port C, de Vincennes); service facultatif (porte d'Asnières), CC (porte de Clichy) CI (gare des Invalides), CL (porte de 1 Villette), CM (porte d'Orléans), CN (port de Neuilly). CV (porte de Versailles).

Porte de Reullly. Service facultatif RB (rabatteur bateaux).

3" Porte de Charenton. Service régulier E (Madeleine), 13 B (Louvre); service spé cial facultatif S 91 (gare Montparnasse) 40 Porte de la Demi-Lune. Service régu lier 3 B (Louvre); service spécial facul tatif S 30 (place Blanche).

Porte de Vincennes. Service « Port de Vincennes-Porte de Picpus » assur par la ligne RV. Service régulier 6 (Repu blique-Louvre), 20 (Champ de Mars), 2 (gare Saint-Lazare), 114 (Châtelet), 118 (Ré publique). 123/124 (porte de Saint-Cloud) BA (Opéra).

Bateaux. Service régulier. Descendn au ponton du pont National.

Le campement maure de l'A. O. F. Quatre chameliers maures et leurs mon tures, de fins méhara hauts sur pattes sellés de la rhala, en usage en Mauritanie viennent d'arriver à Vincennes.

Le pavillon ayrien est achevé.

Les tra vaux de construction de la section de Etats du Levant sont terminés, ainsi qu. l'installation intérieure. Le commissariat d. cette section n'attend plus que les dernière caisses d'objets décoratifs qui seront ml en place ces jours-ci.

L'art nèare section de l'A. B. F. Une importante conférence a eu lieu hâd à la section de l'Afrique Equatoriale FraS çalse. sous la présidence de M. Mirabel directeur de l'agence économique de l'p E. F. Les dernières dispositions ont 6 prises pour permettre au public d'exact ner à loisir les collections de l'art nèg9 exposées au pavillon de l'A. E. F. lldes

Opéra

la

Le monument au poète André Rivoire Rappelons que les Amis du poète André Rivoire ont formé le projet d'élever sa mémoire, dans sa ville natale Vienne (Isère), sur la place qui porte son nom, un monument dû au sculpteur Jean Boucher, ami du poète.

Un comité s'est constitué à Vienne. Le comité de Paris vient de se constituez à son tour, sous la présidence de M. Mau- Les affectations dans les formation* rice Donnay, de l'Académie française. trettes (Seine-et-Marne).

Les souscriptions doivent être adressées motorisées de la cavalerie à M. Robert Delaunay-Bellevllle, trésoFAILLITES. Nathan Rosenzweig, rier du Comité. 42. avenue Foch. Paris. fonds de commerce de commissionnaire en Le ministère de la Guerre communique marchandises sous la dénomination Uni- Un concours de dames sténo-dactylos Les jeunes gens nés en juillet, août, sepversel Export », 20 rue Richer. tembre, octobre, novembre et décembre Charles Weiner, commerce de pelleterie en gros, 1910. et les sursitaires des classes précé au ministère du Travail 25, rue du Caire. dentes. Incorporablea en octobre 1931, désiLouis Bonvlcclni, entreprise de bâtiment à Antony, villa du Un concours va être ouvert pour cinq reux d'accompLir leur service militaire dan!

Maroc, avenue du Petit-Antony. emplois moins de dame eténo-dactylo- une formation motorisée de la cavalerie el Alphonse Groseiller, entreprise de menuiserie graphe àaul'administration centrale du mi- possédant les aptitudes nécessaires poui à Ivry, 42, boulevard Louistemoine. nistère du Travail et de la Prévoyance être affectés à un de ces corps de troupe Désiré Droesbeke, commerce de chem'nées sociale. conduite des autochenilles, conduite des mo en marbre, 41, rue de la Paix à Choisy-le Les épreuves commenceront le 8 juin tocyclettes, mécanique en automobile oi Roi. Société < Madame Frances au 1931. en motocyclette, devront adresser avant le capital de 50.000 fr, couture et modes, siège Les demandes d'admission seront reçues mai une demande au ministre de it social à Paris. 5. cité Paradis.

Société jusqu'au 14 mal inclus.

Guerre (deuxième direction, bureau de la Parisienne d'ébénisterie sanitaire, cap. Le programme et les conditions d'admis- cavalerie). accompagnée de toutes pièces 300.000 fr., fabrication d'accessoires en sion au concours eeront adressés aux can- justificatives utiles (copie des brevets et bois pour Installations sanitaires, siège didates qui en feront la demande au Bu- permis de conduire, certificats dm en» social rue du Cardinal-Mercier. ployeurs). reau du personnel, 127, rue de Grenelle.

FAITS DIVERS LES COURSES

VIE SPORTIVE

LA

La Coupe de France de football

Les accidents de la rue

organisée par la F. F. F. A. Mme Marie-Thérèse Leaage, habitant d'Orléans, est renversée et bles93, Petit le du Parisien avenue » sée avec concours « par une roue qui s'était détachée d'une automobile.

Montpellier vainqueur en 1929 Rue Ordener, Mme Luise Bèllio, quajouera la finale contre le Club Français tre-vingt-trois ans, habitant 29, passage est renversée par un taxi.

Longtemps les succès en footb.ll Doudeauville, Lariboisiére. furent l'apanage des clubs du Nord, de Quai de la Loire, une automobile renParis, de Lyon, de Normandie.

M. Jean Maufeu, deumeurant 86, rue verse Depuis quelques années, les équipes de Meaux. Saint-Louis. du Sud-Est se sont classées au tout Rue Pierre-Charron, Mlle Jeanne Colpremier rang, affirmant d'incontesta- letier, vingt-trois ans, dactylo, 9, place des bles progrès, grâce à la venue chez eux Ternes, est renversée par une auto. A d'internationaux français et étrangers, Beaujon.

Un taxi renverse, place de la Concorde grâce aussi aux splendides qualités de' le cycliste Goron. 4, rue du Canalsoupiesse, de vitesse, de détente des Saint-Denis.Robert A Beaujon. athlètes du Midi. de Villiers, Mme Marie PelLe Football Club de Sète, l'Olympi- letier,Avenue soixante-cinq ans, 20, rue de Trocque de Marseille, après avoir longtemps qu'eville, est renversée par un taxi. A Beaumanifesté d'une grande supériorité, ont jon. été éliminés de la Coupe de France et, Le jeune garçon s'est-il suicidé ? dimanche, au stade de Colombes, c'est A la suite d'une réprimande de sa mère, le « onze » des Sports Olympiques de »,!&.

Georges Bon, quinze ans, a disMontpellier qui jouera la finale conttè parujeune du domicile familial, 126, rue de le Club Français, en présence de Paris, il. Saint-Dente.

Or. hier matin, son ii'M. Gaston Doumergue. veston contenant ses papiers d'identité Vainqueur du tournoi en 1929, demi- a été retrouvé quai de Seine, même locafinaliste l'an dernier, le S. O. Montpel- lité. On craint que le jeune garçon ne se lier a fait grande impression cetté sort jeté l'eau. saison.

On arrête des distributeurs de tract* Son équipe, formée en grande partie arrêté, hier, aux portes d'usine d'étudiants et d'anciens universitaires. situéesa dans les XIX' et XX». arrondissepratique un jeu très mobile, très scien- ments, des individus porteurs de tracts, tifique, exécuté toujours avec une verve et qui les suspendaient par de petites ban» deroles aux fils aériens. impétueuse.

L'Union Sportive Boulonnais*e, Tombés d'une péniche et noyé* l'Amiens Athletic Club, l'A. S. de CanHier, vers 19 heures, en face du n° 43, nes durent s'incliner devant la fougue quai de Jaret, Augustin Delcourt, dix-sept des Temple, Hormus, Huc, Cros, Rolhabitant la péniche Ostende, et Ferans. ..hion, Boutel, Dedieu. nand Allard, treize ans. dont les parents Le vieux Club Français, présidé de- occupent la péniche Delbruae, sont tombés puis quelques jours par M' Annet Ba- accidentellement à l'eau et se sont noyés. dal, du barreau de Paris, aguerri par Le cadavre de Helcourt a été repêché les pompiers; celui du jeune Ailard ses rudes rencontres, se soucie peu de par n'a être retrouvé. pu l'ardeur endiablé des Méridionaux qui se lasser devant une dépourrait vite Par suite de l'explosion, d'un réchaud fense d'une extrême vigilance. gaz, Mme Voxiakoinsky. habitant Par leur jeu calme, persévérant, les de Tolbiac, est sérieusement brûlée.

Parisiens ont réussi à battre Marseille, rue Cochin. la tactique était Excelsior et Nice On trouve pendu la rampe de l'escar excellente, elle leur a donné confiance lierd'un grand hôtel du boulevard Raspail, pour rivaliser avec les virtuoses (le au 7' étage, le veilleur de nuit; Lucien

On

Montpellier.

LE CIRCUIT DU NORD Epreuve éliminatoire en vue de Paria-Straabourg organisée par VU. F. M. avec le concours du « Petit Parisien Sur le circuit du Nord, l'Union Française de Marche fera disputer les 9 et 10 mai, la seconde épreuve éliminatoire en vue du Paris-Strasbourg, organisé avec le concours du Petit Pàrisien.

Le départ sera donné à Maubeuge le samedi mai, à 9 heures.

Le circuit passe par Hautmont, Aulnoye, Avesnes, Fourmies, Hirson, Vervins, Suise, Le Cateau, Le Quesnoy, Bar Jeumont, Marpent. *vay, Maubeuge,prévue dimanche 10 mai L'arrivée est de Maud'Armes 9 ver h. sur la place fermé à 20 h.; beuges. Le èontrôle sera étant accordé un délai de 35 heures kilomètres. pour parcourir les 2Q0arrivants seront Les 10 premiers qualifiés pour Paris-Strasbourg.

Les engagements sont reçus à l'Union .Française de Marche, 9, faubourg

-Montmartre, Paris.

LA

COURSE CYCLISTE PÀRIS-CHAUNY

organisée par le C. S. I. avec le concours du Petit Parisien » Cette classique épreuve, organisée avec le par le €. S. I. • International, Parisien, aura lieu le concours du Petit 10 mai, pour la sixième fois.

La course est ouverte aux amateurs et indépendants toutes catégories et emprunte le parcours suivant Louvres, Senlis, Verberié, Pierre· Channy.

Ne

Trente prix, représentant une somme

6.000 francs, et qui comprennent no-

au premier, une bicyclette au deuxième, une -,billtroisième et quatrième, un {service aux ménagère argent a,ux suichronomètres, etc. Prix spéciaux aux troisième et quatrième catégories, cumulables avec ceux du classement gét: Itérai.

Engagements 4 francs, élos le 7 mai au soir, à l'U. V. F. tàmmant

course Blette

LE CHAMPIONNAT DE FRANCE

DERRIERE MOTOS Victoire de Paillard La première épreuve du championnat de France sur 100 kilomètres derrière moto, interrompue dimanche dernier par la pluie, a été courue hier par un temps splendide sur la piste du Parc des Princes.

La course fut un duel LacquehayPaillard, qui se termina par la victoire du champion de France 1930, entraîné par Guérin. était second, à 20 mètres, Lacquehay troisième, à 100 mètres.

Grassin et 100 kilomètres les Paillard couvrait en 1 h. 20' 27" 1/5.

Navarre, 64 ans, demeurant, rue du Cherche-Midi. Neurasthénie.

Neurasthénique. Mme Suzanne Gabory, fille de salle; demeurant. 17. rue du PetitPont, se jette par la fenêtre de son logement situé au premier étage. Hôtel-Dieu.

Des cambrioleurs se sont introduits dans une cordonnerie. 9; avenue d'Italie, où ils ont fracturés trois tiroirs.

M. Jules Eérthelleau. domicilié 75. faubourg du Temple, trouve un sac à main contenant une certaine somme d'argent et divqra objets qu'il s'empresse de rapporter à sa propriétaire, Mme Agobert. habitant rue de Lahcry.

Ronde de police. l'autre nuit, dans le XVII* arrondissement sur 40 personnes interpellées. 15 ont été arrêtées pour divers motifs.

M. Auguste Gillet, vingt-deux ans, demeurant se tire rue Sextius-Michel, Neurasthénique. balle dans l'oreille. ùna Necker.

XL Arsène Baudoin, cinquante et un ans, demeurant 5. rue Desnoueettes, renversé par un taxi, meurt à Vaugirard.

Pris d'un malaise en passant rue du Mont-Valérien, à Puteaux. M. Prosper Brugnet, soixante ans, 11. rue Voltaire, en cette localité, est mort à l'hôpital de Boutogne où il avait été transporté. .Un commencement d'incendie, provoqué par un court-circuit., s'est déclaré hier soir dans un cinéma. 24, rue Monge. La salle fut immédiatement évacuée sana incident. Peu après, la représentation fut reprise. Les dégâts sont peu importants.

Hier

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Maiaona-Laffitte. Les résultats

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VALEURS 2150 1. Radoterie (G. à M. Henri 8 50 2. Anneau (G. 18 50 3. Ondulée (A. 1160 a v n«nuu,i»i lo'ÎJJÏrftaiM»"" 4. Verduron (E. Goldin). Non placés Sophora (J. Lachaud) Sueddy (A. Reinette) Jenny Jolie (G. Rowland) La à. $l 1917 Mauviette Il (A. Lavialle) AU Alone (R. Roueille); Quelfonds (F. Rochetti); Bonne 5 1S20 amorti»..

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Castilla (M. Raeaetet) Pescarina Abydos (C.-H. Semblat) Sioniste (E. Flockart) Gee Whizz (T. Turner) Star Legend (F. Pecharman); Elvira Ce itella (F. Achmoukler) (G. Duforez) Mirlmate (A. Lavialle) Bonne Histoire (J. Lyon) Sabéenne (G. Delaurie) YoshlNicolette (L. Vaixelwara (R. Huchet) nsch) Run Ahead (E. Goidin) L'Allumette (A. Dupuit) Mona (C. Maubert) Don't Marry (R. Brethès) 51., 2 1., 2 1.

PRIX VIS PROVINS (A vendre aux ench., fr., 8.40D m.)

1. Veritas (C. G 68 50 à M. L. Olry-Rœderer «P 22 50 2. Ball Trap 3. Le Paon (R. P 28 4. Flighty (M. Leray), Non placés Paoll (M. Bonaventure) Light Foot (W. Sibbritt) Proco (G. Bartholomew) Locarno II (J. Bcucher) • Hikerrak (G. Duforez) Ramasseur (F. Rochet!!) Hast (J. Rlgaud) Xanbie (G. Roberts) La Vineuse (A. Bonnin) Golden Orange (A. Rabbe) Light Foe (E. Goldin) Xapolpa fG. Evans) La Fossette (A. Reinette).

Distances tête. 3 long., 1 long.

PRIX DU VAL SAINT MARTIN 20.000

8D

loi

Cour.

AirLiaulde 908897..

160 170 Patbé (capital) H2 m..

16M 1689 1WS

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(W. Sibbritt)

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COMPTANT

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Proserpine II (Lecavalier).

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VALEURS

104 S2 104 25 104 25 Ifu 15 Union EmoPéeni». 1180

Fortune (C. Vagnat) L'Ousse (D. Guiho); Roi de Naples (R. Tondu) Petit Guignol iL. Rabson) IpE <J. Chevalier), Distances 2 long., 2 long., 1 long.

1.

Cours de la Bourse du Jeudi 30 Avril

BULLETIN FINANCIER

Transvaal 408..

Liévln 448

Brun

Hotchktes Mm T. et F. Sosnowice. 79

62K

520 525 Phosphates Uafaa.. 640 m.)

Prod. Chim. rt'Alala. 1921 1925 1850 1659 432 432 41i! (.largeurs Kéuius..

55 50 Transatlantique ord.

438

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129..

404.. 415.. 413..

434

4M

8060

79

439 84

Phospb. tunisiens.. 204 50 Carira (A. Lavialle) Constantine 477 475 479 438 à M. P. Mavromichalis.P 20 » 2. Astor (M. 14 3. Town Boy (L. Vairelflsch) P 85 » VALEURS SE NÉGOCIANT AU COMPTANT 4. Sac à Puces (V. Flora).

Non placés Pavot Pourpre (M. Bonaventure) Ipréoén'l dajourVALEURS VALEURS | preced' | <lu)onr Le Polisson (W. Sibbritt) Daouan (A. VALEUB3 Rabbe) Masked Démon (0. Duforez) Lyrisme (R. Brethèa) Pluie d'Or (H. Slgnoret) Eremurus (A. Chéreo Tonka A U MoktaelH»did. 5025 5000 18803 Manteline (R. Germond) Perle Noire II 3080 3110 S7B Saint-Gobaio 7% 415 (P. Pappalardo) Soc Tay (A. Wildman); 865 851 501 Rhôue-Poul«nc 3 447 447 7% 1906 Lonka (J. Chevalier): 3 1., tête, i 1.

3800 CseAut.4!j%19291044 io«:i i Mardieville-Daguin 3800 z, U% 240 g Créd. Nation. 19J» «81 630 Suer, brésilienne». S25 331 514 075 coloniales. 1*1 PBIX MERLIN S 1928 7 749..

Ageuce Havas. francs. mètres) 1925 548 0 Bon» déc. «% 1022 Librairie Hachette. '915 1. Yatagan nI (C.-ü. Semblât). G 11 t M, Edward Esmond 6 »' H68 8% juin 1923 2. Bergeronnette (R. Gerraonâ)..P 2S » 1870 S Industr. de Pétroles 822 8% Sanv. 1924 1.

Margot) .P

P:

5(12 80 B«rgougnan

860

IWrOBMATIOKS riM-AMCIEBES

Emprunt du gouvernement général de l'Indochine 1931 4

Le gouvernement général de l'Indochine émet une première tranche de 212.201 obligations de 1.000 francs, approuvée par décret du 28 avril 1931, et à valoir sur l'emprunt de 1.370 millions autorisé par la loi

guerre

Deux malfaiteur» le coffre-fort

voulaient forcer d'une usine

International de recherche», que dirigent, 19, boulevard Malesheibes, MM. René Faralicq et I^ouis Riboulet. nous .prie de déclarer qu'il n'a rien de commun avec l'office du même nom que dirigeait, 38, rue Pigalle, M. René Bressel, récem· ment déclaré en faillite, L'Offlce

'DES COUR.

Veaux

Porcs

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1.G22

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LES CONGRES

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CONSEIL D'ÉTAT

374

avril.

25

tl.)

2405 Maries

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BBS

LES AVENTURES DE MICKEY

LECTEURS

<~a*-

Chronique judiciaire LE PRINCE DE FAtTCIGKï-I>tJCIÏfGE

CONDAMNE A 2.000 FRANCS D'AMENDE Le prince Bertrand de Faucigny-Lucinge,

dont la chronique s'est occupée ces temps derniers, a comparu hier devant la dixième chambre correctionnelle que présidait bi.

Thorel. Il s'agissait, cette fois, de détention de stupéfiants de J'héroïne que le prince conservait dans la modeste chambre d'hôtel où il s'était réfugié.

Le prévenu a reconnu sa faute et a dtb été condamné à 2.000 francs d'amende.

Le*

aventures de Mickey aorst parues en album en couleurs dana toutes les librairies

Un promeneur assailli

la nuit aux Champs-Elysées

LE CRIME DU CONCIERGE

aucun M.

DONT_ACTE

COURS OFFICIELS DE LA COMMISSION

1892.

Pierre Rouillac, ce concierge, qui, 18, avenue Victor-Emmanuel-rlII, tua Deux de ses agresseurs sont arrêtés Dérangés, il. disparaissent. sa femme et se tira ensuite une balle Le gardien et le concierge d'une Passant, l'autre soir vers 11 heures, dans la, tête, vient d'être interrogé par usine de constructions électriques si- dans les jardins des Champs-Elysées, M. Peyre, juge d'instruction, en prétuée route de Montrouge, à Mala- M. Roger Hérouard, caviste, demeurant sence de MI J.-C. Legrand, assisté de koff, percevaient, l'autre nuit, des 33, rue des Rosiers, était soudain M* Charles Giron, son défenseur. bruits suspects qui semblaient prove- assailli par_troia individus qui. sous la L'inculpé a expliqué qu'il était denir des magasins où sont entreposées menace de: revolvers, lui intimèrent venue meurtrier par pitié. l'ordre de leur remettre son portedes matières premières. femme avait été inmalheureuse Sa Au moment où ils allaient atteindre feuille. M. Hérouard se garda bien ternée à Saint-Anne et, nullement ce local, sépara du corps principal de d'obéir et se mit il. appeler l'aide. guérie, elle était revenue à son foyer. bâtiment par une dizaine de mètres Des agents cyclistes qui passaient non j'ai tiré sur elle, a-t-il ajouté, environ, ils aperçurent deux individus loin de là se précipitèrent et arrêtèrent c'est Si "al cédé à ses instanqui escaladaient le mur de clôture. Ils deux des agresseurs après une pour- ces parce que essayèrent, mais en vain, de tes rattra- suite mouvementée. Amenés au com- Le gérant de l'immeuble, entendu per. La police, alertée, organisa imme- missariat, ils déclarèrent se nommer témoin, a donné sur le concierge diatement une ronde qui ne donna, du Michel Jean, dix-neuf ans. 28, rue Mes- comme lay, et Marcel Thomas, vingt-sept ans, les meilleurs renseignements résultat.

Pierre Rouillac, a-t-il dit, est d'une Zamaron, commissaire de police 9. rôe Bouchardon, tous deux sans pro- moralité parfaite. de Vanves, a ouvert une enquête et a fession. Après avoir été interrogés ,pur frères Les de la victime, dont le téconstaté que les cambrioleurs avaient M. Orion, secrétaire, les deux malfaimoignage a été recueilli ensuite, ont pa pénétrer non seulement dans c.«â teurs ont été envoyés au dépôt par conflrmé que leur soeur était neurasthémagasins, mais encore dans le bureau M. Legrand, commissaire du quartier. du directeur, où se trouve le coffre- Le brigadier Gallois, de la police judi- nique et ils ont rappelé certains de ses ciaire, a été chargé de rechercher le propos. fort.

Quand je suis en crise, disait la Ils avaient éventré la première troisième agresseur, en fuite, que l'on femme, le me fais du mal et feuille métallique de ce meuble, nais, connaît sous le surnom de « Pain dur » pauvre je sens que j'en ferais à mon mari, il dérangés sans doute par le gardien, mieux que je sols morte vaudrait ils ne purent le torcer complètement et Une réunion de la commission exécutive Aussi pensent-ils que la version du abandonnèrent la place sans avoir rien concierge est tout à fait vraisemblable. emporté. Ils laissèrent même leur attides receveurs des P. T. T. rail vilebrequin, pinces, mèches et Vol mystérieux dans une villa une lampe électrique. réunion 248, d'une tenue hier Au cours Le coffre-fort renfermait une somme à la Celle-Saint-Cloud des Pyrénées, les membres de la importante.

VIUETTE

nets d'impôts présenta et futurs. Biles sont Cours officiels 1n, V, se qoal. offle. extra garanties par le gouvernament français.

3. Honolulu (W. Sibbritt) P 10 60 Prix d'émission fr. 978,50 par obligation.

4. Jupiter IV (A. Rabbe).

Non placés 700..700..

Etat 5 1919.

L'intérêt annuel de 40 francs nets sera Kara (G. Martin) Tornade (M. Floren- Tunis 3 87o Pécseibronn poUetetCliansaon.2300 2190 «IJ893 2 80 payable par moitié le 30 avril et le 31 tin) Le Fayet (h. Daniel) Paimpoi (M. Noupelles G.ileriea. 700.. GWS ir^.1009 Indochine S 1909 g Bonaventure) Jacques Ccenr (R. Leur-. octobre de-chaque année.

435 4*1 £/l913 S 'i 3 1814..

1002 S71 871 Congo Gds Lacs..

Le premier coupon à l'échéance du 31 ocson) Le Grand Chef (R. Brethès) Bri- MafOC4 b.10 i3.aoi 8.84 APtur. des Mine».. 220.. 221.. o] l»lt 4, 8.y) quebec (L. Robson) r Palmella (R. Arnal), tobre 1931 sera exceptionnellement de Vaches EstAsIat, I>»noi«. 4660 HK» 1095 à 1818.. j.so dérobée; Stralonice (F. Rochétti) Par- ¥ouug5!i% 1980.

Omnibu» 4 représentant l'intérêt couru de- Taureaux. 9.20 fr. «ï!! <«8uéti.amKnettes 1670 13.40 thos (J. Chevalier) Klng's Girl (C. Herpuis le 31 mai 1931.

133..

Koyal JJutcJj 2H5°" 2rfS°-- Central Pac. 4 21. Oo bert) Translucide (A. Chérit).

Dis- Antentin4V'18U L'amortissement de cet emprunt se fera Moutons.. tforCS 9.56 8.'J8 0.66 6.42 tances; ,long., 1 long., encolure. cinquante au.pair tirages en ans, soit par semestrlels, soit rachats sort Première qualité, au par Porcs (poids vif. en PKIX BADAJOZ 229 245 4 1912.TT E«p»gne Extérieure au-dessous Bourse du pair, compte tenu de qualité, 6 5 SO troisième deuxième (10.000 francs,.

1.400 mètres) Italien 3 K 408.. la fraction courue du coupon et à concur- qualité, 4 50. li St«rîort <C.-J Semblât)-. G- 4T 50 Société MarseillaiseSKjB rence de l'emploi total de l'annuité prévue Baisse sur les gros bestiaux.

3S8 50 S à M. Edward Esmond ;P 22 Hausse sur les porcs. pour le service de l'emprunt.

2. Mon Candidat (G. Duforez) 1650 Le l'Indorhine gouvernement général de On cote approximativement les 50 kilos 3. Le Coq Hardi (W. Sibbritt).P 13 50 OréJ. Fonc. Colon. i(a 894 Calro-Béllop.(dlT.) 23 85 2S 30 se réserve le droit de procéder à l'amor403 P.-L.-M.3. 1855. à 640 première Bœufs.

Choix, 792 48850 492 4. Clos Vougeot (M. Margot).

Hyd.-F.lect. Franc. 111 114 Non ehem. fer tunisiens 800 tissement anticipé CCK) 550 de tout partie des qualité, à t;00 entre-deux, ou 488.. Coroeoro 20 25 <. 488.. placés Syphax tL Robson) Joli Sire Est Algérien 818.. 618.. obligations circulation, fournitures, soit tout à en mo(M. Pecqueux) Pyjama (M. Mullot) Paris. Kcwtrlque.. 470..

39a..•• n9a 50 Omnium Pétrole» (iénisscs.

Choix, 620 à 670 ordinaires. ment par rachats en Bourse au-dessous du <usk>n3%. :ia» 111..

Mal y Pense (R. Brethès) 3-0 'steauallomana.

69 00 Pindare (J. Omnibus.; 1010 fue.3%nouv.

72 50 pair, compte tenu de Li fraction courue du 450 à 540 médiocres, 380 à 450 viande .Jriancourt) Jacoby (R. Bêche) Jarni-;| à 250 à saucisson, 450. soit 'postérieurement l»r jan195 coupon, au iîi bleu (R. Sauvai) Hifrône- Orient. IS4 Kern (A. Mcynard) J>"r. de .Trarmn». ôiï 6%tyDel92I Taureaux. Extra. 440 à ordivier 1934 par remboursement au pair maPirate (A. Rabbe) Matejo (R. Tondu) SaraBO&se 805 430. naires, 390 à joré intérêts des 2110 403 2170 I Htltchinson courus.

Vëry -Fast (J. Violoniste (C. Maubert) 450 4M 11S5 En cas d'émission d"; nouvelles obliga170 Veaux. Brie, -Beauce, Gittinais, 710 à, •- 4% Chevaler) Boskoval (M. Rasseiet) Can- -Measag. Maritimes. 170 tions assimilables à celles font service, 650 qui l'objet manceaux, 670 il. diliae CF. Lethien; Risque Tout (M. Enèreie Indiisl..4 382 389.. 390;. TJ.Esp.Prod.chim. du présent les tirages les emprunt, et raLes facteurs chefs et agents de surveillance Dairé) Haragan (R. Baugrollës) Avon Cuivres et Pyrites. S42 chats en Bourse pourraient s'effectuer in1 Agneaux, Extra, 920 à ordi»% type 1921 4M (Argentin e 1810 (J. Rosso): 2 long. k, 3 long., 3 long. des P. T. T. 4S2 |Brésil 5 1914. 309.. 305.. distinctement sur l'ensemble des titres naires, 880 à 920.

Aguilas 144.. Nord 8 «eria F 4S>1 iColombie 5 1906 Moutons.

285 5 Choix, 800 à 870 ordinaires, E..

285 émis.

Au cours de la dernière séance de tes PRIX Dh L'ORGE 482..

4% Meiiaue 6 1899 740 dès à facteurs chefs et (Hales. 10.000 francs. travaux, le congrès 1 Les d?ma.ndp.i seront s«rv:i»-; a:.i fur et 2.800 mètres) Sôsnowlce B90 414.. 414..

660..

Brebis.

Bonnes, 600 à vieilles. agents de surveillanoe, qui tenait ses 1. Fleurian (M. de leur arrivée jusqu'A concurrence mesure 418 Jeu.mont.

3%n.aérieB. G 17 Ç&btes télégraph., 4SI) 2(j%nér1eC. 5S0. à assises IL la mairie du IV* arrondissement,. du de 39360 nombre titres disponibles, à chacun e M. Paul 8 50, Aciéries de France Extra, 6 70 484.. voté l'ordre du jour suivant, à l'Issue 2. Vespro S type 1921 des guichets des établissements chargés Porcs (le kilo vif). » P (M. maigres, 6 à 6 C0 5 50 à Midi. d'un débat sur l'orientation syndicale gras, du placement.

5 3. CéUm <M. Lacazs) 16 Mienevilte n46 1125 5 70 20 5 80 à 6 Ouest, fonds de Après avoir entendules explications « Non placés Pnris-Outreau 4. Fly Tox (A. Sauli).

444 1880 449 1395 5 50 5 70 coches, 5. parquet, à 4 à de camarades de toutes tendances sur Cotillon 410 Impéria (C. Gsr-! Chant, de Bretagne (A, Chauffour) l'orientation syndicale, considérant que diner) Willy COURS DES CHANGEA AU 1884. 395..

(C. Poujade) Elimat Martin la Loire..

374 toutes les .tentatives;, faites à ce jour pour (D. Lescalle) Edouardëtte (E, SImmons); –a H SUIFS. Paris. 30 Cote efflEtats-Unis (1 doll.) 25 58 2358 390 deSt,-î*a*a7re –O.C. S îi 1855 387 la réalisation de l'unité syndicale, idéal du Pierrette (Cornery, cielle <iu suif indigène fO3iriu frais De Flor Mi (A. prolétariat postal, n'ont abouti à aucun Alexandre) Karung (S. Warren) Caiicaboucherie, franco Paris.

225 OoMt quai 41U Aile.

(100 rclchsm.l SO» pure ou Amrliorations de la Vétinet du résulttt, les facteurs chefs et agents de neuse (A. Babillon) Ginetta (M. Plaine) gare les 100 kilo». surveillance maintiennent les décisions Borbatette (J. Graul) Madame (M. Lejroy), L'assemblée générale du Conseil d'Etat COTIONS. Le Bvare, 30 avril, antérieures des récents' congrès, raspeetapt tombée adopté, sur le rapport de M. Batizin, Clôture mai, 336 a 3 foïig., juin, Iong._ i., 3 long., 1 juillet, 338: Mros-LUÎe 1281', 1U6S* 1875 ïlo ,toutes tendances, et, en conservant l'automajtre des requétes, le projet de décret août, 344 septembre, octobre, nomie de leur groupement. Rengagent à relatif aux travaux d'amélioration de la novembre, 346 décembre. 349 janvier 1892 2 H «S 10E9 » garë 3S7.. S»7 iHoIlande entrer dana les cadres d'une, fédération Aujourd'hui à Enghien, k 14 hturef Sontataiie (Seine-et-Oise). Le projet 351 février, 352 XtiisK. S (Hongrie (10090pen.) prévoitdu laVésinet 1894-982>i%.

259 U5S mars, 354. Ventes des organisations de catégories, à la réalltalie (100 lires). réfection Montbard-Aulnoye 371 * 1898 410 avec élargissement des 2.300 balles.

133 370 Sane!!e-Maubeuge 2130 2100 '$ lisation de laquelle ils s'emploieront de sa; -Norvège (lOOcou.) ponts de Croissy et du village, situés sur CAFES, Le Havre, 30 avril, Ouvertoutes leurs forces. la ligne de Paris h Saint-Germain, près de- Clôture avril, NOS PRONOSTICS, lYousosIaïleOOOd.) mai, 21750: juin, HtS Pourri: S«ulr*« JÔÔO 409 409 Vésinet, et l'emprunt d'une 216 la du Les débitants de tabac gare juillet, 212 25; aont, 212 23; sepPrix des Boutons d'Or (steeple, à vendre. somme de 144.700 fr. par la commune, rem- tembre, 206 25 octobre. 203 50 novembre.

S65 S64 SuiBse (100 franc») O 1910 La Confédération des chambres syndi- 7.500 fr" 3.500 m.):Sandy Gabee, Ec. Leigh. Charb. duXoniln. 4,v>5 4600 boursable en cinq ans au moyen du pro- 203 50 décembre, 203 50 janvier, 203 cales des débitants de tabac tiendra son Prix des Coiineiicott (steeple, tr., Anicbe duit des surtaxes locales temporaires, et février, 203 50 (Portugal a 1919 5 2405 500 600 congrès, lundi et mardi prochains, à Paris, mars, 301 50. Ventes Olympe. Moisan m.)

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214 50 P. Cote officielle 212 213.

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B, le tion de 31 MAI de bien vouloir le renouveler réserve, est promu ment nos lecteurs dont l'abonnement expire netti, Briffault. Valon. chanteront aux hoscielle eu blé disponible 186 50 à 188 50. vision. pices d'Ivry demain samedi. à 15 heures. Espiègle IV. ilès maintenant, afin d'éviter tout retard dans l'envoi de leur journal.

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AVOINES. Courant. M SU P mal, 94 75 V mai-juin, 96 à 96 75 P. ORGES BRASSERIE. Incotêes.

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ALCOOLS. Courant, 1.215 P 3 d'avril.

1.225 N mal, 1.250 à 3 de mai, 1.270 V juin, 1.25 à 3 de juin.

1.255 à 1.270 septembre. et 1.125 P. La Bourse de commerce de Paris, pendant la saison estivale, sera fermée tous les samedis de mai à septembre inclus.

»

L'tssociation amicale et philanthropique les « Poilus d'Orient se réunira jeudi prochain. à 20 h. 30. à la mairie du VIII» arrondissement, 3. rue de Lisbonne, pour entendre une conférence de notre collaborateur Gaston-Charles Richard, administrateur de la société, et qui fut correspondant de guerre à l'armée d'Orient pour le Petit Parisien Gaston-Charles Richard traitera ce suHistoires de l'armée d'Orient qui jet sera agrémenté dé projections de films de

MARCHE AUX BESTIAUX DE LA

du 22 février 1931.

Ces obligations, créées jouissance du 31 Moutons.. d'intérêt annuel, mai 1931, rapporteront 4

Les autres coureurs ont terminé dans l'ordre suivant 4. Sàusin, à 1 tour et demi 6. Constant, à 2 5. Souchard. à 2 tours tours et demi 7. Sadi Leport à 3 tours S. Trantoul, à 8 tours.

Beyle et Vallée abandonnés, vers le 80» kilomètre.

Une conférence chez les « Poilus d'Orient

BULLETIN COMMERCIAL

comrue mission exécutive du syndicat national des receveurs et assimilés des P. T. T. ont voté une motion rappelant qu'une décision du Parlement. votée depuis un an, a fixé les nouveaux taux des indemnités de gérance et de responsabilité des receveurs des P. T. T. à partir du or octobre et demandent qu'une décision soit prise par le mintstre du Budget consacrant faug-'i mentation accordée par la lui.

Un vol assez mystérieux a eu lieu dans située à la Cellela villa e la Pergola Saint-Cloud et appartenant à un Américain. M. Peter Ducongé.

Pendant une absence de celui-ci, des mHlfaiteur» s'introduisirent chez lui et dérobèrent une somme de 10.000 francs placée dans une malle fermée à clef. .Aucune trace d'effraction n'a été relevée plus qu'à l'extérieur dans la cha: b, de la maison

Copyright by le Pettt Parisien et Opéra Mundi Presa

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MANTEAU en très beau crêpe de laine, ou belle draperie unie ou » fantaisie, -entièrementdoublé satin.

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En très beau peigné colo-( 345. D ris et nuances » MANTEAU fillette, façon taileur, » trés beau lainage boutonné, fond Ces articles existentégalement pour jeun« Gena beige, entier, doublé sergé, le 4 ans.

ROBE fillette, manches longues, en PARDESSUS SPORT en gabardine, nuances mode. crêpe de Chine souple, belle qualité, 135.» façon très le 4 ans. wiKtwh.

En beau tissu fantaisie et( noir ou En tissu peigné, grand

145. »

B

nuances mode

195.

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POUR HOMMES

croisé en cuir noir ou COSTUMES marin I" Communion en serge bleue, RAGLAN havane. Longueur 0"9O 90.»

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104.»

72.»

Forme veston, en belle serge-pure laine.

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r* *?*»»*.

145.»

116.p

128.»

195.»

noriolk en draperie fantaisie, Sa

105.» 130.»

8

8

ans.

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ou en très beau zéphyr rayé, cols.

PULL-OVER en tricot fantaisie, fond beige ou CALEÇON en zéphyr raye, long

marron

ou

CHAUSSETTES en bon coton, mode ou CANOTIER paille rustic, garni

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cuir

RICHELIEU box-calf jaune, 64.» 84.» 104.» 128.» semella et talon

Prit *rtt ras*

OVO Z/O. » Z36. »

195.» 156, J>

45.

»

460.

23. » 32. »

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6.50

5 20

14.M 99. S

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