Le Progrès de Bel Abbès. 03/03/1931

Page 1

Le Progrès de Bel-Abbès ["puis" de Sidi-Bel-Abbès]. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès

Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France


Le Progrès de Bel-Abbès ["puis" de Sidi-Bel-Abbès]. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès. 03/03/1931. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter utilisationcommerciale@bnf.fr.


(48me Année) N° 265è

PARAiBBAN* kliÉâiiii #ÊMâ

Le Gouvernement et le Transsaharien

MARDI 3 MARS 1931

Chronique Parisienne

ra été rapproché de Id Métropole par le miracle de la vitesse abrégeant les dis.

tances. Ces organismes ont conscience qu'en réalisant le Bloc africain français, le £flns l'incertitude, dans le désarroi ont préconisé la réalisation immédiate Transsaharien, non seulement ouvrira l'ère de la mise en valeur et de la civililuttes parlementaires Transsàharien saurait les du déterminent et que on ne que du Continent noir, mais en mêet leurs conséquences, les mois, les années citer à cet égard les belles paroles de sation la pérennité de la passent et le projet du Transsàharien M. Maurice Sarraut, sénateur, qui me temps assurerafrançaise en Afrique... reste enfoui dans les cartons. Aussi lés sont, en faveur du projet, le plus puissance Puissent tous ces appels à la clairvogroupements favorables à. l'entreprise, magnifique et le plus irrésistible des commenpent-ils à s'inquiéter quelque plaidoyers. AL Sarraut a dit, en effet : yance du Gouvernement être entendus ! Puisse le projet de loi décidant la consl'espéil faut tCçn voulons prochain Le no,iis preuve jour, et pour « — peu truction du Transsaharien être bientôt Transsaharéalisé le d'opinion elle le qui vient où inauvë-mênt aura x-er, que de se déclencher dans les Chambres de rien, li France de la Marne et de Ver- soumis au Parlement ! Pour la prospérité de la FranCommerce et qui les incite à renouveler, dun aura gagné, pour l'humanité, une faire le Transsahafaut il sanglante ce, les nouvelle plus moins jamais, victoire, pressants ternies que en S... rien. l'imelles belle celles précédemment qui aussi émis mais en que par voeux faveur de la construction du Transsà- jHOi'talisenl à jamais », harien. « Devant cette unanimité d'opinions Le voeu suivant, récemment adopté. éminemment favorables, il y a lieu par la Chambre de Commerce de Cler- d'espérer que le Gouvernement voudra La Recette Hebdomadaire mont-I'errand-Issoire, est typique à cet bien incorporer le Transsaharien dans L-A^ÉSl-yfEëTîé-yi''D'UNÈVIEÏÏ: ^ég<^-'eI-'na&Vt^'ns"pWMt:'câ''Hf'feprp'-: son projet d'outillage national. Vous désinfecterez parfaitement — attire in-extenso : « Par la construction -du Transsa- votre évier ou un égout quelconque de harien, qui cons,litueia un des plus en. \e nettoyant aoee de l'eau très savon de Commerce Chambre La — qui dissout les crasses et les Clermont-Ferrand-Issoire,considérant grandioses, instruments de ia civilisa- neuse matières grasses. Cela fait, vous versegirune des . prinpjpajes raisfing qui tion, la France s'acquittera de sa dou- reî un pea d'un désinfectant : duerêde niilitept ep faveur du Transs,ahai'ien ble mission d'anim itrice matérielle et syî, du chlorure de fer, de leau Javel ou encore, sj. çaus faites de la la le devoir la d'accès qu'elle donner d'éducalrice moraîe de voie est a nous photogiaph'ie, vos vieux bains de fixaplus économique et la plus rapide pour de remplir envers l'Afrique noire et ge, de développement ou autres. Vous seulement à la mise en valeur de nos immenses inséparablement envers la collectivité parviendrez ainsi, non nauséabonde, supprimer toute o&eur territoires et aussi pour nous permet- des nations. Nous ouvrirons par là* a n^ais, à chassertes' 'affreux cafards tre d'amener en France les ressources l'Algérie, à l'Afrique du î^ord tQnt qui souvent pullulent dans les conduits considérables en produits divers de entière, d§s, possibilités infinies de d'eau sales. nos possessions de l'Afrique Centrale, développement et d'expansion. L'exOe que mangent les rats constate que, seule d§ tous. le§ conti- position coloniale qui va s'ouvrir consSur- les anciens navires à voiles, toumanifestation. n'est l'Afrique traversée nents, par tituera une puissante tes les pertes qui se taisaient à bord Enfin, la France IrquVeïa dans celte étaienl mises snv le compte des rats. aucun chemin de fer. C'est ainsi qu'un jour, trois boulets de «La construction et l'exploita lion admirable entreprise la consolidation ayant disparu, un capitaine acde la voie ferrée ne comportent p$s de définitive des brillantes, destinées de canonles rats de les avoir mangés, et cusa insurmontable. Belgique colonial. La difficulté consigna ce fait sur son livre d'invenson empire r Vient d'inaugurer récemment an Congo « La Chambre de Commerce dé taire... Et ce dei-DÎer, envoyé au ministère, belge, un chemin de fer de 1.2ÛÛ kms., Clermonl-Fenand-Issohe, considérevint portant la mention suivante : en entièrement construit depuis la guerre. rant enfin que l'établissement d'une « Approuvé pour la rareté du fait, L'Angleterre poursuit les travaux de voie ferrée reliant la Méditerranéeà nos mais que les rats ne recommencent son chïmin de fer du Cap au Caire, colonies africaines, présente le plus pas », D'autre part, il existe des Transamé- grande intérêt, tant au point de vue mot-dé Lucien Guitry Un kilomètres le Transcelui de la défense ricains de 5.500 économique qu'à ; Sollicité par un restaurateur " di prisibérien de 8.000 kilomètres ;le Trans- nationale, que cette voie ferrée est in? mo cartello" d'inscrire sur son livre d'or australien de 1.200 • kilomètres ; le dispensable pour assurer la pénétra- son avis sur le repas. Guitry s'apprêtait autogeaphier, quand il lut au dessus Transcaspien dé 1.900 kilomètres. Le tion.. la liaison et la coordination de à., de la page qu'il avait choisie, cette cons -Transsàharien français - aurait une iip.s possessions de l'Afrique du Nord. tatation, ilatteuse pour l'hôtelier : Ipngueur 4e 2-300 kilomètres, soit « Jai savouré ici de très boDnes cho« Emet le voeu adressé aux, pouvoirs ses — Anatole France ». deux fois la distance de Paris à Nice, publics, Le créateur de Secret n'hésita pas. Que des nécessaires et mettrait la bouche du Niger, par mesures « Il prit son stylo et traça :" Qran, CfllpmbiBécbar,Adrar et Tosayè soient prises pour que la canstiuction « Et moi, j'ai mangé ses restes — Lu(Soudan français), à cinq jours de du Transsaharien soit réalisée dans cien Guitry s. Marseille, le plus bref délai, » C'est une histoire... ' v. Un Organisme d'études, créé par Les Chambres de Commerce de Paris, M anus va à la pêche. Comme il est juillet loi du 7 1928, procédé à du Havre, de Calais, de Lyon, en un en train de rêver au bord de ïa rivière, une a une enquête approfondie sur l'oppor- mot de toutes le? régions métropolitaines arrive un jeune homme assez nerveux. faites ? demantunité de l'établissement de ce chemin sans parler des Chambres de Commer— Qu'est ce que vous de fer. Après s'être livré sur place aux ce algériennes, ont déjà sollicité le Gou- de- t-il à Marins. ? — Je pêche. Et vous investigations les plus complètes, il a vernement avec autant de force. Ces orJe me noie. — conclu dans un rapport formel à la ganismes, en effet, se rendent compte, à Et, en effet, le jeune homme se jette construction du chemin de fer et a la leçon de la crise économique qui pèse à l'eau. Marius, n'écoutant que -son Mais le désespéré soumis au Ministère des propositions sur nous, à la vue des nations voisines courage, le sauve.s'élance, de-nouveau veut mourir. Il dans ce sens. s'enfermant de. plus en plus jalousement dans la rivîère'et Marras le sauve encodu malheureux, troi« La Commission consultative de chez elles, que la France a le devoir re. Troisième bonLe jeune homme.,. désième sauvetage. l'Organisme d'études, réunie en fléçeni; impérieux de. se créer des. débauchés couragé, s'éloigne de la rive et ,va se hre 1929 sous la présidence de J\J. Sleèg, dqns ses calQnies, des débouchés en mê- pendre à un arbre voisin. Marius .le /ancien Président dîi Conseil des "Mj^ me temps qu'une source de matières pre* voit faire, mais" cette lois ne bouge '"pjsilës^laféliais: sùi; pés-propositionsiun; .filières. Ces organismes prévoient dès. pas...Eh quoi ? disent des gens qui sur' — avis, favorable. Les plus hautes per- niainienant l'extension rapide et prodi- viennent, vous l'avez tiré trois fois de sonnalités de tous les partis, nos grands gieuse que prendra le marché africain, l'eau et vous le laissez se pendre sans de lé secourir ?_ chefs militaires.nos grands coloniaux, le jour où, grâce au Transsàharien, il essayer Se cendre, dit Marius, se pendre ! — dans un intérêt national supérieur, sera devenu facilement accessible et au- Je croyais qu'il se faisait sécher, moi I

A la Commission d'Enquête. Dans — les coulisses du Journalisme financier, — Les Honoraires Journalistiquesdes pailemeniaires. — Les confidences de M. Perquel.

M

En Glanant....

JiJI

Naturellement c'est toujours de la fameuse enquête Parlementaire dont ou s'entretient et il faut dire, en toute franchise, que tout le monde n'approuve pas ses procédés d'investigations, loin de là. Cependant ces séances sont souvent très intéressantes,- nous font pénétrer dans les coulisses de la finance et nous apprennent des détails que nous ignorions. L'Historien retiendra quelques trails qui sont vraiment peu ordinakîS-—_ ll»y -a-là-des choses.qui dépassent l'entendement d'un pauvre simple bourgeois, de Paris. C'est ainsi que beaucoup d'entre eux n'ont pas compris comment 60 lignes, dans un placard financier, pouvaient avoir été payées deux-cent mille francs par Oustric.'au temps de ses opérations plus ou moins honnêtes. Les membres de la Commission d'enquête qui ont recueilli cette information en ont paru estomaqués. — Deux-cent mille francs pour soixante lignes de publicité, s'est écrié M. Mandel qui n'est pourtant pas un novice, et vous faites souvent de pa • veilles affaires à ce taux-là ? Et M. Perquel, le directeur de ce placard appelé « LE CAPITAL » de répondre : de temps — Souvent ? Non. Mais eu temps. La question d'ailleurs n'est pas de décider si une pareille publicité est chère ou non, mais si elle rapporte à celui qui la fait. Vous savez que les placards financiers, comme « LE CAPITAL »' en question, ne sont généralement pas lus par le grand public ; on les affiche dans les halls des banques et des établissements de crédit et les gens qui s'intéressent aux choses de la bourse et à la marche des valeurs les consultent. Les renseignements donnés sont d'ailleurs d'un genre spécial et d'une importance réelle puisque beaucoup énanentde hauts fonctionnaires, soit des ministères, soit de la Chambre des députés et M. Perquel a déclaré que chacun de ces collaborateurs touchait quatre mille francs par mois. C'était le cas du secrétaire de la Commission du budget de la Chambre qui réservait naturellement pour ce journal les primeurs des résolutions prises. Il n'était pas le seul, aussi les frais du « CAPITAL »» de l'aveu de M. Perquel, se montent à sept millions par an. Dans ces frais, il faut comprendre les-collaborations parlementaires, car M. Per^ quel, qui ne paraissait pas fâché de donner ces détails qui n'ont pu être constestés, nous a appris qu'il demandait des articles économiques à des députés et à des sénateurs, articles qu'il

payait cinq cents francs l'un, sauf pour les personnalités marquantes comme M. Herriot qui est payé mille francs par article ou comme M. Caillaux qui touche 5.000 francs. Il est évident qu'avec de pareils tarifs, la publicité ne peut être bon marché. Le côté amusant de cette déposition, pour le moins pittoresque, c'est que tandis que M. Perquel donnait ces intéressantesprécisions, il parlait devant des députés dont un, au moins, M. Joseph Denais, faisait partie de l'équipe à 500 francs, — Il n'a pas démenti. Il n'y a d'ailleurs, dans ces collaborations, rien de répiéhensible et les prix élevés de cette copie financière prouvent que les articles sur la bourse sont mieux payés que les articles littéraires et même que les chroniques en général. Il n'y a pas d'écrivain qui atteigne dans les journaux 5,000 francs et on ne cite.quère que les académiciens qui reçoivent cinq cents francs par chronii que. Ces articles ne sont pas meilleurs souvent que ceux d'autres rédacteurs, parfois même ils le sont moins, mais la signature est suivie de la qualité : « Membre de l'Académie française » et cela flatte le lecteur qui ne comprend pas toujours ce qu'on a voulu lui dire ; mais qui admire-tout de même. Songez donc, un académicien ! Aussi il est naturel que M. Perquel ait payé 500 francs des articles, non à cause de leur valeur, mais à causé de la qualité de député accompagnant la signature. Après cela pourqioi M. Caillaux ne toucherait-il pas 5.000 francs pour un article hebdomadaire, ce qui fait vingt mille francs mensuellement, quand un procès récent nous a appris, qu'à Montmartre, une danseuse de deuxième rang était payée 40.000 francs par mois ? J.B.

de la Lésion

ftraître

Un Article des «DÉBATS» Dans les « Débats », M. Gaétan Sanvoisin célèbre le centenaire de la Légion. De l'article qu'il publie a ce sujet, nous détachons les passages suivants : — Il y aura cent ans; le 9 mars prochain, que fut instituée légalement la Légion étrangère avec le statut qui lui donne son organisationet des droits qui sont encore les siens. C'est là une date non seulement dans nos annales militaires et dans l'histoire d'un esprit de corps propre au romanesque et resté mystérieux, mais aussi dans l'orienta-tion de mainles destinées éparses sous tous les oieux puisque la Légion est une sorte de garnison universelle sous les plis de noire drapeau. « En 1914, la Légion arrive en Artois, livre combat à Fay el au BoisEtoile, se fait décimer le 28 janvier 1915 sur la Grande Dune, près de


Nieuport, enlève le 9 mai la crête de Vimy, conquiert les positions ennemies de la butte de Souain el telles du Bois Sabol, le 25 septembre, regagne. la Somme en 191G, redescend en Chani-:pagne en 1917, pour-la journée tragi*.que du 17 avril, prend part le 24 août au coup dur de Verdun et vit en 1918 une véritable épopée : YillersBrelonneux, Missy-aux-Bôis, Chaudun, Amblény, Saint-Pierre, Aigle, Dommiers, Ynuxaillon, NeuvilIe-sur-Margival, où elle emporte sa citation d'alors : « Avec nue fougue admirable, après douze jours de luttes très dures, le 1er régiment étranger a enlevé un des sai.'lanls réputés inexpugnables de la ligne Hindenburg.» « En novembre, quand fut signé l'armistice, le drapeau de la Légion arborait la Légion d'honneur, la Croix de guerre avec neuf palmes, la fourragère rouge et la fourragère jaune. Inlassables, en 1925 les magnifiques guerriers entraient triomphalement en campagne dans le Riff. »

"le

Progrès" Sportif Le jeudi qui vient... ASSOCIATION

Escadre Anglaise — Légion Nous apprenons avec pjaish le déplacement à Bel-Abbés d'une équipe, de fool-ball associa-lion de la Marine: Britannique. Celle équipe sera opposée à l'équipe première de la Légion, le jeudi 5 mars, au slade des Aïnarnas, mis gracieusement a la disposition des organisateurs. Nul doute que les sportifs bel-abbésiiins ne se donnent rendez-vous à celte réunion qui, d'ores et déjà, leur? promet d'assister à un beau jeu, car,: de part et d'autre, les jeams se composent d'éléments de valeur. L'équipe anglaise nous arrive précédée d'une excellente réputation dans l'ensemble, réputation faite par ceux; qui l'ont vue à l'oeuvre sur les lenains; des côtes de la Manche. Quant à l'équipe de la Légion, elle évoluera avec ses équipiers favoris du public belabbésien el orahais. Citons 'entre autres : A'bersdofei-, Smits Beckér,; Bouillon, Mazcho. En lever de rideau, un match exhibition d^ baskel-ball mettra aux prises deux équipes légionnaires. Il est probable aussi que l'équipe sportive de la Légion nous fasse assister à une démonstration de mouvements d'ensemble. Cette réunion sportive à laquelle la musique du 1er Etranger prêtera son précieux concours, est organisée au profit du monument « La Légion.à ses' morts », sous la présidence d'honneur I des autorités civiles et .militaires.

ôueisra YûfrE

Ne désirez vous.pas le savoir ? Pourquoi dans vos ennuis, inquiétudes ou

projets, ne pas vous adresser en toute confiance à Mme REGNIER ASTROLOGUE, a3' Rue de la Chine, PARIS ioVqùi aide, console et dirige tous ceux qui se confient à ELLE ? Env. date naissance complète ainsi que 5 frs (pas en timbres) pour recevoir l'ESQUISSE ^.GENERALE de votre, vie, qui vous convaincra ( Joindre également l'enveloppe à votre adresse)

CHRONIQUE THEATRALE

Troupe St. Aubry Comme nous l'avons indiqué dans notre dernier numéro, le troupe de M.

St. Auhiy fera jeudi ses débuts devant le public local. 1 a Danse: des Libellules est à l'affiche Pour cette agréable opérette, Franlz Lehar a écrit une partition alerte et vive qui plaira. Le public local en attend une excellente interprétation. Souhaitons bien sincèrement qu'il soit satislait. Naissance- — M. Jean Boronad, le je JM M connu et estimé Entrepreneur de Empire-Casjno-Cinéma très matériaux de construction, et Mme ùéc Renée Jonrzac. sont depuis peu les h< uÇa, c'est chic. parents d un superbe poupon. reux C'est sous d'ingénieux décors et de En celte agréable' circonstance. Le somptuou-î costumes que s'e^t présen- Progrès plaisir de sou? st fait an grand tée a nous la tournée Jean Valmy, à la tournée remarquable par la valeur de haiter un prompt l'établissement jeune maman, une longue et douce de l'homogénéité inlr-epi-êtes et son ses existence au petit Christian ;et de comensemble. Mme et M Uu pub'.ic nombreux n'eu applaudit plimenter bien vivementalliées. Jean boronad et lamilles. qu avec plus de convict'on un livret agiéable et une adaptation musicale des plus heureuses. Nous enregistrons Fiançailles. — Rendons-en hommage au populaire les fiançailles de M Lassouly Mouiay et iu-esislible comique Busquet. à la Ali, l'actif Clerc d'Avoué de M- Maldègrari( use dhetle Monique Varny, au Melle Isabelle Perez. avec rou fantaisiste René Darj- aux merveilleux Nos plus vifs compliments et meil? dmi-rut-s Soleil et de Dry, à toutes celles et loti-, ceux qui ont nom Made Cla- leurs voeu*. JI J» J» i y. Jink Redson. René Costal, Lina Valeily f-ans oublier les ravissantes Bienvenue. — Nous avons eu le pl.i". Vic'on'a G iris elle chef moderne Mal- sir de serrer la main à Mme Alice J/rav in c. et à M. Rabanowitz, qui avaient laissé un excellent souvenir de leur séjour à And ê Bougé chante cette semaine Bel-A bbês. il y a'deuv ans. Ces sj mpatbiques artistes seront, à uouveau. pen,i ' rihnpne » dans sionnaires de notre « Municipal »à par La route est belle tir de jpudi. heureuse production excellente et uni' Nous leur souhaitons une cordiale(h: 1'. Binunberger. bienvenue. L'aventure de ce chanteur, de:» rues" ([in (luit sur les planches de l'OpéraComni'ie - qui lui sont, en réalité; Les Tapis de J. Amiihau i:iinilières ;i^S'-z — n'est pas dénuée de ORA.V i8, Bd. Kationid. cliiiMii' André Baugè y joint à un jeu MV!iu|iir prometteur la voix ebaute et |!M'ii-uiie qui a fuit sa juste réputation. C'est tout iliiv. Avancement.:;—-' Nous'apprenon-Au programme également avec plaisir l avancement dont vienl d'être l'objet M. Comte, Sous-Directeur mie scène' irrésistible de Mickey de la Société Générale. Mickey Virtuose Son affabilité, ses qualités profes Vendredi sionnelles lui ont valu d'être nommé le comique Fondé de Pouvoirs de cet importai t Fournier établissement bancaire. Nous adressons à M. Comte nos plus i|iii vient de remporter un succès consivifs compliments pour cet avancent ni dérable à Alger. bien mérité. Desj'x.

Les créanciers-de là'failttte du

du sieur CINTAS Jean, entrepreneur de battages à Tassin, sont invités à se réunir à deux heures du soir, au Palais de Justice de Sidi Bel-Abbès; pour délibérer sur la formation du concordat. Le Greffier du Tribunal," ' A. ROUSSEAU

S!OR\T Jean, constructeur à Détrie, sont-invités à se îéunir le 18 Mars IQ3I, à deux siéiii-

heures du soir au Palais de Justice de Sidi-IBel-Abbès, pour délibérer sur le remplacement où le maintien de M. LENDEMAINE, syndic de la faillite. Le Grellier du Tribunal, HOUSSE UJ. Faillite Egéa Pierre

les créanciers de la faillite du su ur Egéa Pierre entrepreneur de battages à Sidi-BelAbbès sont invités à se réunir

mars ig3i à deux heures <)U soir; au l'àlais de Justice dé Sidi lîel-Abbès pour la aeme vérification des créances. Ceux qui n'ont pas encore produit leurs litres de créance sont piiès de les remettre d'urgence et avant la réunion entre ies main- du Syndic. Le Greffier du Tribunal, A. ROUSSEAU

nos sympathiques concitoyens : MM Bouche Constant, Piopriéluire, Serna Antoine, Industrie', José Vincent, Industriel.Conseillers Municipaux, Monlfollet Christophe. Pedoux Fran çois (Médaille de bronze) Mathieu Paul, Volker Jean (mention honorable).

« J» » Recensement de la Population.

.. Le Maire —

Faillite

T

KOUDACHE

KOUDACHE

flmeur Ramdan

et

Les créanciers de la faillite des sieurs KOUDACHE Ameur bsn Amed et KOUDACH

Ramdan ben Brahim, commer çanls à Bedeau, sont invités à se réunir le 18 Mars ig3r, à deux heures du soir, au Palais de Ju-tice de Sidi-Bel-Abbès pour là 3""' Vérification des créances. Ceux qui nont pas encore produit leurs titres de. créances sont priés de les remettre d'urgence et avant la réunion entre les mains du syndic. Le Greffier du Tribunal, ROUSSEAU.

rappelle au public, qu'il sera procédé le H Mars prochain, au recensement de la population. Il prie celle ci de vouloir bien réserver un bon accueil aux rccenseuis cl aux contrôleurs qui sont cb.<rBés de déposer et de relever eliez les habitants les impunies nécessaires à la bonne marche- du recensement. Il faut que çh ICUII se pénètre de 1 idée que les Garages dépôts dt opérations de dénombrement ne sont p is d'ordie fiscal, mais bien d'intérêt à louer, tout à lait à proximité de la général.^ (Communiqué) ville. S'adresser au bureau du Journal.

grands

'

1

Les créanciers de la faillite du sieur Navarre Jean commerçant à Bedeau sont invités à se réunir le 18 mars 'Ig3i à 2 heures du soir, au Palais de Justice de Sidi-Bel Abbès pour la 3eme vérification des créances. Ceux qui n'ont pas -produit leurs titres de créance sont priés de les remettre d'urgence et avant la réunion enirc les maius du syndicLe Greffier du Tribunal, A. ROUSSEAU

Les créanciers de la faillite

la liste des récompenses de la Mutualité attribuées à Orauid, à l'occasion du V Janvier, nous relevons les noms de

Théâtre Municipal

Faillite SlOSAT Jean

Je 18

Distinctions honorifiques. — Dans 1

Faillite Hauarro Jaen

Faillite GiNTAS Jean

Avenir?

Faillite ' Ait Salem Haceoe Les créanciers de la faillite

du sieur Ait Salem Hacèue, commerçant à Sidi-Bel Abbès sont invités à se réunir le 18 Mars 1931, à deux heures du soir, au Palais de Justice de Sidi-Bel Abbès pour la 3ma vérification des ci éances. Ceux qui n'ont pas produit leurs titres de créance sont priés de les remettre d'urgence et avant la réunion entre, les mains du syndic. Le Greffier du Tribunal, ROUSSEAU. Faillite BENSOUSSAN Emile Les créanciers de la faillite

du sieur BENSOUSSAN Emile tissus indigènes à Sidi-Bel-Abbès, sont invités à se réunir, le 18 Mars TO,3I, à deu* heures du soir, au" Palais de Justice de Sidi-Bel-Abbès, pour-délibérer sur la formation dû concordat. Le Greffier du Tribunal ROUSSEAU.

Faillite Pardo Joseph

Faillite Seni Boudali

Faillite Rodriguez Jean

Les créanciers de la faillite du sieur Pardo Joseph, com-

Les créanciers de la faillite du sieur Seni B'>udali ould ab-

Les créanciers de la faillite du sieur Rodriguez Jean, com

merçant à Sidi-Bel Abbès sont invités à se réunir le 18 Mars ig3i à deux heures du soir au Pilais de Justice de SidiBel-Abbès pour la i* vérification des créances Le Greifier du Tribunal, A. ROUSSEAU Faillite Lamara Mohamed Les créanciers de la faillite

du sieur Lamara Mohamed ben Amar, commerçant à Bedeau sont invités à se réunir le 18 mars 193 r, à deux heures du soir, au Palais de Juslice,de Sidi-Bel-Abbès pour le 3eme vérification des créance. Ceux qui n'ont pas produit leurs titres de -créance sont priés de les remt ttre d'urgence et avant la réunion enlru les mains du syndic Le Greffier du Tribunal. A. ROUSSEAU

derramane, commerçant à Be- mérçânt.à Bedeau sont invités deau sont invités a se réunir le à réunir ' le 19 Mars 1931, à 18 mars iq'ii à deux heures du soir, au Palais de Jussoir, au Palais de Justiee de deux duBel-Âbbès: pour délibéSidi Bel-Abbès pour la 3eme tiee de rer sur la formation du concor- . vérification de- créances. dàt. Ceux qui n'ont pas produit Le Greffier du Tribunal, leuis titres de créance sont A. ROUSSEAU priés de les remettre d'urgence et avant la réunion entre les mains du svndic. Faillite Soler Manuel Le Greffier du Tribunal, A ROUSSEAU Les créanciers de la faillite du sieur Soler Manuel, comFaillite Benkaci Amar merçant à Détrie so'nt invités à se réunir le 18 Mrrs 1931, à Les créanciers de la faillite deux du soir, au Palais de Jusdu sieur Benkaci Amar ould El tice; dé Sidi-Bel-Abbès pour la Haoussine commerçant à Sidi- 3«mr. vérification des créances. Bel-Abbès sont invités à se réCeux qui n'ont pas encore unir le Vi Mars io,3t à 2 h du produit leurs titres de créances soir au Palais de Justice de sont priés de les remettre d'urSidi-Bel-Abbès pour la irc vé- gence et avant la réunion entre rification des créances. les mains du syndic. Le Greffier du Tribunal, Le Greffier du Tribunal, A. ROUSSEAU ROUSSEAU.




Turn static files into dynamic content formats.

Create a flipbook
Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.