Le Progrès de Bel-Abbès ["puis" de Sidi-Bel-Abbès]. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès
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Le Progrès de Bel-Abbès ["puis" de Sidi-Bel-Abbès]. Journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-Abbès. 07/10/1930. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter utilisationcommerciale@bnf.fr.
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(48me Année) N" 2636
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Héïie,
mantes auxquelles prenaient part des légionnaires de toas pays protestaient — et de bienveillance en haut lieu. centaines de convives. contre ces injures à leur drapeau. En> Si vous voulez savoir ce qu'est la fin, le mensonge lui-même ne pouvait Rodin présida un de ces dîners et s'extraire d'un cadre et d'une atmos- Légion d'aujodd'hui — la vraie, pas nous conta ces heures de sa vie en . phère qui sollicitaient les imaginatifs, Cille des feuilletonistes ou des détrac- Belgique qu'il jugeait les plus heureules curieux d'autre chose, les cher- tuers à gages, celle qui se bat, fonde ses de son existence. On regrette prescheurs d'une patrie-de renouvellement. et épargne des vies françaises en Afri- que toujours les années où on avilit Après avoir étépendant près de trois années un administrateur énergi- Pour beaucoup, d'ailleurs, il fallait que et en Asie, lisez le maître-ouvrage vingt 'ans. les délicatesJohc vivre d'abord I Russes des armées de notre confrère G.-R. Manue Têtes que t-t clairvoyant et rempli avec fermeté et distinction Oui, oui, disait-il, je gagnais : tioux de Gouverneur Générât de l'Algérie, M. BORDJ2S nous quitte, at- blanches débâcle, — réactionnaires ou brûlées. Manue a servi à la légion. Ce trois frois par jour. C'était le prix d'un en teint par la limite d'âge. le péril des dis- spartakistes d'Allemagne, épaves de légionnaire qui est en même temps un bon manoeuvre et j'étais très content. liacè à la tête de l'Algérie. à un moment difficile oùinondations, dont l'Europe désaxée déferlèrent vers nos écrivain d'une saine vigueur, formé à Je sentiments politiques ventile se joindre à l'horreur des crois même que je faisais quelques le trime souvenir est encore wéseiit à notre mémoire, M. BORDES sut bureaux de recrutement. Bientôt les l'école du travail, de la méditation et économies, ce qui ne m'est plus guère mettre à profit une longue et profonde expérience pour mener à bien la deux régiments étrangers d'avant-, des choses vues, vous dira la vie de arrivé depuis. Mais cela m'a permis tâche qui lui était confiée. La population de l'Oranie n'oublie pas et l'assure de son. entière re- guerre débordèrent d'effectifs. On dut ses camarades et de leurs chefs : garni- surtout de discipliner mon poignet et connaissance créer trois autres, dont un de cava- sons, camps, postes peidus, combats, de me rendre maître de mon coup de en M CARDE, Gouverneur Général de l'Afrique Occidentale Française, lerie. La légion compte aujourd'hui travaux, cafard, gaieté, sombres gran- ciseau. C'est moi qui ai sculpté connue qui remplace M. BORDES, arrive au Palais d'Eté, précédé de la réputa- plus de 20.000 hommes. Et, fait sug- deurs, déchirantes misères, lourd réa- praticien, plusieurs. des motifs de la tion solide d'un réalisateur. Algérien de naissance, il sera plus à même de résoudre les problèmes gestif à noter : les germaniques y figu- lisme, fleurs sublimes. La vérité, sans Bourse de Bruxelles, Boulevard économiques et politiques qui attendent l'expansion dé notre Algérie.. voiles-ni préjugés. Dans son objectivi- Anspach; rent pour les deux tiers ! ' Nous croyons nous faire l'interprète de la population locale pouf préCe brusque afflux, très opportun té, Têtes brûlées atteint à la majesté de Et rappelant ces souvenirs anciens, senter à M._ CARDE nos voeux les, meilleurs et assurer M. BORDES de pour la renaissance de notre armée l'Histoire. Devant pareil témoignage, il ajoutait : nos plus vifs souhaits d'heureuse retraite. théâtre d'Afrique des d'oextérieurs et l'édifice de la calomnie s'effondre. Et a I.e Progrès » Ah; ! c'était le b^n temps; — pérations^Bntnitngj^aRCOglr^. nnpinir-lés-pnérilrfésioïfïâmatcke«~dë-ï3L,ttglai& "Le cèï0Bve^rë0è^M^p^i^ï"cëS'^e-"x =. périeuse crise de croissance. Les bases John Harvey, les contes arrangés de ...-.. ^ , . essentielles sur lesquelles' se fonde la l'Américain Doty, tous deux déser- nus détails de ses débuts à l'académivaleur de la légion sont la tradition et teurs devant l'ennemi, tournent à leur cien Ma rcel Prévost, son voisin. Et comme nous étions au désert, l'esprit de corps. Pour les maintenir, la gloire confusion à aujouret propre Nous faisons paraître aujourd'hui à l'intention de nos lecteurs il faut disposer de cadres spécialisés d'hui centenaire de la Légion étrangère. Rodin racontait encore qu'il arrivait à ' l'article suivant dû à la plume autorisée de M. René Vanlande. donner un peu plus de superflu en se Cette tâche nous est d'autant plus agréable que nos locaux et d'un fort noyau de chevronnés, auRené VANLANDE. vendant de petites figurines, de jolies sont des plus qualifiés pour apprécier l'argumentation de l'auteur, quel viennent s'amalgamer normalevéritable plaidoyer en faveur de la glorieuse Légion et de son vafemmes nues, qui étaient son oeuvre ment les recrues. Or, ces cadres et ces leureux chef, le Colonel Rollet. PROGRÈS» personnelle et dont quelques unes chevronnés avaient été décimés et dis« LE n'étaient pas sans péché. Car cemme pensés par la guerre. L'officier vraiLyriquement chantée ou bassement et les ruines. C'était compter sans lès perturba- ment légionnaire était devenu Michel Ange et comme quelques autres décriée, la légion étrangère, plus que une « » la sculpteursde génie, Rodin aimait.dans jamais, exerce son prestige. Chez tous tions que guerre et ses suites avaient' rareté. Le creuset menaçait de se bridans les classes les plus diverLes dînersparisiensde l'Indépendance l'intimité, à mouler des sujets remplis les peuples, dans toutes les races il y jetées ser. Pour comble de difficultés, le Belge les bolchevisme, avant la guerre. — Présidence de malice* mais qui n'étaient pas prébalayant les foyers, ravageant ses, contingents certains avec a, en ce moment même, des hasar- fortunes, brisant les hiérarchies de Rodin. —7 Débuts du génial sculp- cisément et pour être montrés dans les deux, des inquiets et des désespérés russes, et l'anarchie mondiale s'infil- teur. — Bruxelles. — Les petites femlaissant autour des champs de bataille traient dans les rangs. L'Allemagne, salons. Certains visiteurs qui pureri de volupté. désolation sculpteurs leur Les lièvres, leurs ou mes nues. — que d'hommes immense troupeau un en naturellement, essayait d'y souffler le — Que sont-elles devenues ? — Les pu- en voir quelques-uns dans sou arrière leur abjection poussent invinciblement désarroi. Beaucoup luttèrent pour se désordre et la révolte deurs de la Restauration. — Les licences atelier, tout en admirant l'ingénuité déléguant Dans phalange en cette anonyme. vers d'aujourd'hui. — le nu au théâtre. refaire les dans leur vie s'en montraient effarouchés. une ; uns pad office dans mal les perverse, unités libre agents donner ses pourront se ces rangs dévastée, partagée, metamorpho-: Il faut pardonner quelques fantaisies en main. Nos meilleurs officiers d'Acarrière les juvéniles besoins d'incon- trie Tandis que les grands intérêts de la au génie. sée ; d'autres sur une terre d'exil. Mais frique s'inquiétaient. Plusieurs même, les d'aventure. Mieux autres que nu et combien, par impuissance, malchance découragés, dégoûtés Tant qu'il vécut, tout alla sans difactivités humaines, le service sous par l'indifférence : France et du monde se discutent à Gel'uniforme à grenade donnera l'oubli ou dégôûl, ne parvinrent point à fixer et l'incompréhension des bureaux, nève, des comités s'occupent à Paris ficultés. Mais maintenant qu'on à orleur destin ! Combien aussi, au cours' quittaient la légion. Seuls quelques de petites questions artistiques qui ne ganisé un grand Musée où on a réuni à qui le cherche. Aux faibles il impode cinq années de combat, s'étaient irréductibles intérêt et notamment ses principales sculptures, y compris sont perdaient sans pas espoir. le règle. Le vice crime et ne pas y sera une raccordés à de loin- Et à leur tête celle du classement et du placement cet incomparable chef-d'oeuvre « La nous devons saluer celui trouveront une barrière et peut-être le inconsciemment redressement et le rachat. Prison vo- tains atavismes'coridottièreset merce- que les anciensappellentle « drapeau » des oeuvres libres de Rodin. Des par- Porte de l'Enfer », et qu'on installe lontaire pour ceux qui fuient leur dé- naires, in conciliâmes avec l'étroitesse et le « père de hclégion » : un petit ticuliers en possèdent et il en existe une succursale à Meudon, dans la et la monotonie de la vie quotidienne. homme mince, à barbiche grise, au plusieurs en Belgique où, comme vous grande maison qu'il s'était fait conssociale, la légion la mon ou vengeance Dans l'âme désemparée de tous ceux- regard bleu toujours vêtu d'un sim- le savez, le grand sculpteur travailla truire, la question se pose de savoir si des meurt-de-faim. l'asile aussi sera — chantait, là, grisant mot et redoude ple kaki troupe, couvert de citations plusieurs années dans sa jeunesse. Il on va installer là, la collection assez un La boule de pain, la « barbaque », le table, angoissant et magique : légion 1 et Â% blessures : Je" colonel Rollet, sculptait comme simple ouvrier prati- nombreuse de ses oeuvres libres. On quart de pinaid, la prime, le prêt. Et La propagandeétrangère — allemanta: crise grâce à ces quelques offi^ cien et mettait à point les oeuvres rie là montrerait qu'à des artistes,soide la la puis — qui sait ? — rencontre de surtout — s'efforça de contrarier ;ciers, sous-officiers et briscards, fut d'autres artistes, ses aines. disant pour des études d'art, comme à gloire... des coeurs heureusement conjurée. On le vit bien Je gagnais trois francs par jour, di- là Bibliothèque Nationale, on ne comLes portes de la légion s'ouvrent à une attraction que la misère , obsédante. faisait des Vaines et corps sait-il, à un de ces dîners parisiens de muniqué — du moins on est censé n 3 accueille elle qu'elle ; pendant la révolte d'Abd-el-Krim et tous. A ceux ne demande ni d'où ils viennent ni ce tentatives 1 Les brochures les plus ca- :. .des Druzes^ La légion s'est refaite l'Indépendance Belge qui avaient lieu communiquer — qu'à des érudits, les qu'ils furent, mais seulement de res- lomnieuses, les films les plus.odieuse- jdans le sacrifice. Sans doute n'a-trelfe. au Palais Royal tous les trois mois oeuvres erotiques du XVIIIe siècle clasment truqués allèrent à l'encontre du': ;pas encore retrouvé son homogénéité^ avant la guerre, et qui étaient tour à sées dans la section surnommée pecter la devise de son drapeau : but poursuivi / Toutes les horreurs 7 ;et sa valeur des jours épiques d'avant- four présidés Honneur et fidélité par une personnalité en « L'Enfer». antilégionnaires, si perfidement com- jguerre, quand Lyautey pacifiait le MaValeur et discipline C'est ce qui se pratique à Naples - ''vue. Nous eûmes les présidences de Après le grand conflit mondial les binées qu'elles fussent* déformaient JOC avec les plus belles troupes du Jules Clarétie, de Marcel Prévost, de pour le fameux musée secret où les démobilisés de toutes les armées ne trop grossièrementla vérité. Les' mal-1 îMonde. Mais de nouveaux chefs sefor- Poincaré, de Barthou, de Magalaes Italiens ont entassé tant d'oeuvres plus devaient plus, semblait-il, qu'aspirer heureux en. quête d'une, planche de jment qui reforgent l'outil magnifique. Lima, de Jeanne Marni, d'autres que que testes et qu'on ne laisse visitei salut, en avaient l'intuition. D-anciën's Ce deuils les repliement'sur C'étaient des réunions char- que contre un bon pourboire. repos, au sera affaire de temps, de diligence j'oublie. au ;
nous Quitte.
La Légion Etrangère .-
Chronique Parisienne
Ce côté des oeuvres libeitines de
Rodin est généralement assez peu connu et on n'en parle que dans les ateliers où on n'est généralement pas bégueule. ' Maintenant, laut-il tout dire ? On assure que ces préoccupations pudiques sont inutiles ; à la mort de Rodin, les oeuvres de volupté, comme il les appelait, ont bien été inventoriées mais on ne les retrouve pas ; elles auraient presque disparu. Elles n'ont pas été détruites, vous pensez bien. Mais alors des applaudissements", lies .• « Vivi Maurice où sont-elles passées ? Soudain, un petit homme tout rond Cette question de nudisme dans l'art est une des plus délicates et des parais*ant friser la cinquantaine, s'a plus controversées^ Nos anciens ne dressa à l'un de nos confrères : Qui est-ce ? — s'en préoccupaient guère et représenMaurice Chevalier. — taient la nature belle telle qu'elle est. Si Le petit homme haussa les épaules e1 dans l'Eglise allez Vatican, vous au s'en fut eu groguant : St-Pierre même, vous verrez que les En font-ils des histoires avec leurs — papes de jadis n'étaient guère effarou- boxeurs ! ches. En France, c'est la restauration •*« qui rapporta de l'étranger des pudeurs Sagesse Orientale plus ou moins sincères et multiplia Un de nos amis, qui vient de termiles feuilles de vigne. Le surintendant ner un voyage au Japon, conte l'anecdes Beaux-Arts, le Comte de Roche- dote suivante : Je me trouvais.iiarre-t-il. eu une maifoucauld, qui n'avait pourtant pas une réputation honnête, fit voiler les sta- son amie en laquelle étaient également tues nues des places publiques ; il vou- plusieurs étudiants. L'un me déclara lait mettre un maillot à l'Apollon du qu'ayant terminé ses études, il allait Belvédère qui est au Louvre et rendit entreprendre un vovage en Europe afin de se' perfectionner en philosophie. de obligeant les danseuses arrêté un Vous avez lu nos philosophes ? — l'Opéra à abandonner le gentil tutu interrogea notre ami. italien, en mousseline, pour adopter Ma foi, monsieur, réponditl'autre — des jupes de soie légère à double et j'ose avouer que je ne les ai guère frétriple volants, ne laissant voir que les quentes, et si vous aviez la houté de jambes. m'indiquer ceux qu'il me faut .spécialeAujourd'hui on est allé d'un extrê- ment étudier, je vous en serais rèeouv me à l'autre et il n'est pas rare dans naissantles grandes revues du Palace ou des I Notre ami lui cita Auguste Comte. Folies Bergère de voir des bataillons Descartes et quelques autres. de cent ou cent-cinquante femmes, . . Le jeune homme remercia. pu.&, api es, instant, ajouta : impeccables de forme, mais complète- un Si cela, n'était pas trop vous de— ment nues ; quelques unes cependant mander, puisque vous Êtes de France , portent une mince jarretière. et , que vous les connaissez, peut-être Dans les ateliers d'artistes, dit-on> pourriez-vous j me douner votre carte 61, on en voit tout autant. Sans doute, dès mon arrivée; j irais les voir. c mais le théâtre n'est pas un atelier d'artistes. Et sur les plages à la mode, Rappel à l'Ordre donc, c'est à peu près la même chose. Dans une petite ville du Middle West Moeurs nouvelles auxquelles la généraaméricain, au cours d'une réunion du tion qui s'en va a de la peine à s'ha- (Conseil municipal, un fermier, méconbituer. ttent de l'accueil réservé à une proposir J.B. ttion qu'il avait faite, finit par s'écrier ; . — La moitié des membres de ce Conseil sont des idiots ! Stupeur, puis colère, et, finalement, rappel à l'ordre avec invitation formelle à l'insolent fermier de faire des excuses Celui-ci, redevenu calme, se lève alors La recette hebdomadaire NETTOYAGE DU VELOURS. — et dit : Frotter le velours açeo une brosse as— Je tiens à déclarer que la moitié sez dure, bien imbibée d'un mélange à des membres de ce Conseil ne sont pas volumes égaux d'ammoniaque et d'eau des idiots. Et là séance continue t,..' tiède. Quand les tâches sont disparues,, on : attache avec des épingles, sur un gros Le Progrès et la famille canevas tendu aux côtés d'un léger cadre de bois, le velours, poil en dessous Recouvrir l'envers d'une serviette mouiî la Croissance et la Respiration lée et placer le tout devant un bon feu pour vaporiser Veau de la serviettequi, Les Annales de TEnfancey passant à travers le velours, redresse (Dr René Ledent, de Liège). le poil.
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En Glanant....
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Popularité Maurice Chevalier,. notre Maurice na tional (et même international), nous est revenu, pour quelques mois, d'Amérique. Une foule considérable l'attendait sur le quai (an bout surtout) pour l'acclamer. Quand Chevalier parut dans la rue ce furent de nouveaux cris, des hurrahs
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SIDI-BEL-ABBES.
AVIS
Naissances. — Une ravissante fillette est venue, ces jours derniers, égayer le foyer de M. Alexandre Perret, le très sympahique propriétaire local, et Mme,
Suivant acte s.s.pi, M. ROI a-vendu à une personne dési- : gnée dans le dit acte un fonds de commercé de droguerie. Pour oppositions s'adresser dans les vingt jours qui suivi ont la 2^ insertion, à M. Navarre Henri, Contentieux à
née Alice André. En cette agréable circonstance. Le Progrès se l'ait un plaisir de former, à l'adresse de la jeune maman et de la petite Anne-Marie Fràncette, ses meilleurs voeux de prompt rétablissement et de prospérité, et do complimenter bien sincèrement Mme et M. Alexandre Perret et familles alliées.
Bel-Abbès.
Faillite Belgouni Rogani Les créanciers de la faillite sieur Belgouni Rogam, cornmerçant à Bedeau, sont invités à se réunir le aa Octobre ig3o, à a heures du soir, au Palais de. Justice de Sîdi Bel^Abbèsi pour
Nos vives félicitations à M. Pierre Gauthier, le tailleur apprécié, et Mme née Aimée Salessy, qui sont depuis peu les heureux parents d'un joli poupon, et nos meilleurs voeux de douce existence au petit Georges André.
la première vérification des créances. . Le Greffier du Tribuna', ROUSSEAU.
Claude Elie Maman nous fait part de son heureuse arrivée en ce monde. IJ est le fils de Mme et M. Isaac Maman, commerçant, à qui nous adressons nos sincères voeux et compliments.
Faillite Ayche Maman Les créanciers; de la faillite
»»*
Mariages. — Sous peu sera célébré, à St. Léger-des-Vignes (Nièvre), le mariage de la gracieuse M elle Graziella
Le 10 Juillet 1928
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Somipariva, fille de M. Baptiste Sommariva, le propriétaire bien connu, et de Mme. avec M. Jean de Burine de Tournays, Industriel. Nous souhaitons qu'une douce félicité couronne cette union et adressons nos plus vives félicitations aux familles qui vont s'allier.
Le Professeur Pierre Delbet, dans une séance mémorable, fit à l'Académie de Médecine, une communication dune importance considérable, dont le retentissement sera mondial. Le compte-rendu de cette communication, sur l'action biologique du Chlorure de Magnésium dans le Cancer, l'arthritisJt r» J» et un certain nombre d'affections, La toute charmante Melle Alice Hub- me remis est ou envoyé gratuitement par l'estimé Hubner, Jules de M. fille la Pharmacie Nicolas rue Lord-Byron ner, bijoutier local, et de Mme, épousera à Sidi-Bel-Abbès. prochainement M. Roger Demias, Industriel, dont la tenue dans l'équipe de rugby du SCBA a toujours été très remarquée. Le Progrès forme des voeux pour le bonheur parfait des futurs époux et complimente les familles Hubner et DeA proximité d'Alger et de Miliana mias, sympalhiquement connues dans Station thermale et cUmatérique notre centre. <amm
Nous apprenons la prochaine union de Melle Suzanne ftévol à M. Lucien Roess, Propriétaire. Nous souhaitons une longue ère de bonheur au futur couple et adressons nos vives félicitations aux familles Joseph Roess et Antoine Revol que ce
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Rentrée des Classes. — Les parents
qui n'ont pas trouvé de place pour leurs enfants dans les écoles publiques de la Ville, sont priés de les faire inscrire à la Mairie (ier Bureau).
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Locaux Vacants. — Les propriétaires de locaux vacants à louer (appartements, logements ou chambres meublés ou non), sont conformémentà la loi, invités à en faire la déclaration au ir Bureau du Secrétariat de la Mairie, en vue de l'alfichage.
Les créanciers dé la faillite du sieur Belaffane Mohamed Ôuld Safi, commerçant à Zégla sont invités à se réunir le aa Octobre r^o, à a heures dit soir, au Palais de Justice de Sidi-Bel-Abbès, pour iaprerflière vérification dés créances. Le Greffier du Tribunal, ROUSSEAU. Faillite Otto iUHRER Les créanciers de là firillite du sieur Otto Charles BUSRErt garagiste à Sidi-Bel-Abbèssont invités à se réimir le àa Ocfo-
bre i9$o, -à a heures du soir, as
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M J* J»
Programme des Concerts donnés par l'orchestre à cordes du Ie? Régiment Etx-anger : Mercredi8/io/ig3o à 20 h. 3o Cercle Militaire ; Jeudi 9/10 1930 à i5 h. 3o Jardin Public ; Samedi 11/10 1930 à i5 h. 3o Hôpital Militaire ; sous la Direction de Monsieur QUET Chef de Musique. 1) Pour une Fête marche. L. QUET, a) Rose Marie, Fantaisie-Sélection,Frimel Stothart arr, par Salabert ; 3) a) Tirtée Intermezzo M, fîo-walcky arr par P. Aka ; b) Joli Rien Intermezzo Q. Razigade ; 4) La Chevauchée de la Walkyrie R. Wagner ; 5; Le beau Danube bleu valse J. Strauss.
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Les créanciers de la faillite ;
du sieurs Alami Tayeb ben Mekki. commerçant à Bedeau sont invités à se réunir le aa Octobre à deux h. du soir, au palais de justice de Sidi-BelAbbès pour la 3' vérification des créances, ceux qui n'ont pas encore produit leurs titres de créance sont priés de les remettre d'urgence et avant la réunion. entre les mains du syndic. Le Greffier du Tribunal. ROUSSEAU. Faillite Seopare Santiago
Les. créanciers de la faillite du sieur Semperé Santiago, garagisteà Sidi-Bel-Abbès sont invités à se réunir le 2a Octobre îg3o à deux h. du soir, au palais de justice de Sidi-BelAbbès pour la a; vérification des créances. Ceux qui n'ont pas encore produit leurs titres de créance sont jpriés de les remettre d'urgence et avant la l'éunion entre les mains du syndic. Le Greffier du Tribunal. ROUSSEAU.
du sieur Ayche Maman, commerçant à Mercier-Lacombe, sont invités à se réunir le aa Octobre ig3o, a a heures du soir, au Palais de Justice dé Sidi-Bel-Abbès pour la> 3r vérification des créances. Ceux qui n'ont pas encore produit leurs titres de créance sont priés de les remettre d'urgence et avant la réunion entre les mains du-syndic. r. , , Le Greffier du Tribunal, ROUSSEAU.
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Palais de Justice dé SidilBèlAbbès pour la 3,m vérification dès créances. Ceux qui n'ont pas encore produit leurs.titres de créance sont priés de les remettre d'urgence et.avant la réunion entre ! les "mains du syndic. Le Greffier du Tribunal, RÔÙSSËAUV Faillite
RAMON
Ealle
Les créanciers de la faillite du sieur Ramon Emile, industriel, route d'Oran""à Sidi-Bel-'
Abbès sont invités à se réunir le aa Octobre 1930 à deux h. du soir, au palais de justice de Sidi-Bel-Abbès pour la a- vérification des créances. Ceux qui n'ont pas encore produit leurs titres de créance sont priés de les remettre d'urgence et avant la réunion entre les main du syndic. Le Greffier: du Tribunal; ROUSSEAU. Faillite BeaAIaaaBoikhalfa Fila
Les créanciers de la faillite du sieur Ben Aissa Boukhalfa fils, négociant à Télagh sont invités à se réunir le aa Octobre 1930 à deux heures du soir, au Palais de justice de SidiBel-Abbès, pour la première vérification des créances. Le Greffier du Tribunal. "ROUSSEAU.