Les Echos des anciens combattants. Organe mensuel de la Fédération française des unions et sociétés d'anciens militaires [...]
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Les Echos des anciens combattants. Organe mensuel de la Fédération française des unions et sociétés d'anciens militaires et combattants... ["puis" Organe indépendant]. 1926/03. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter utilisationcommerciale@bnf.fr.
SOMMAIRE: =
A nos Camarades p. 1 La Fédération en deuil = p. Un rembourse = p. 2
1
Service des remises commerciales = p. 3 Notre publicité = p. 3 Ce qui sepasse = p. 3 à 9
AVis p.
10 Chronique Juridique p. 10 Tribune libre = p. 10 Chronique Théâtrale = p. 11 Les livres = p. 12 Nos fêtes p. 13
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=
Lasituation économique&financière = p. 14 Maison recommandées = p. 15
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FEDERATION FRANÇAISE DES UNIONS & SOCIETES D'ANCIENS MILITAIRES ET COMBATTANTS (Reconnue d'utilité publique)
1
COMITÉ DIRECTEUR
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MM. GUIGARD
père. père.
MM. MAURER, C.
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BUREAU HONORAIRE
id. id.
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LIONVice-PrésidentHonoraire
PICHAUT
Dr.QUIDET,^,^. MM. GIBON MULLER
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JOURDAIN, *, Vice-Président BROCHET. *, id. CHAIX id. GUITTER, id. SAUNIER, g, .SecrétaireGénéral GUILHOT, Adjoint MACPHERSON, Trésorier Général WALCH, Adjoint DEBELLE, *. IL.Archiviste F.F.A.M.C. MM. LION Service des Remises Dr. MARCHAL, Service médical, dentaire et pharmaceutique HERIVAULT, ;¡;..Directeur du Tir
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Président Honoraire
VIRAT
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SERVICES DE LA
et Réunions Commission des Fêtes Mutualité Post Régimentaire
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Secrétaire administratif
Porte-drapeau de la F.F.A.M.C.
'VALCH,*,¡;.
FORTOUL,
Pour recevoir les "Echos" les amicales
sont priées de se mettre à jour de leurs abonnements.
C.C.
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A NOS CAMARADES Le succès remporté par les
Echos des Anciens Combattants » depuis le mois d'octobre 1924, permet à cet organe de propagande de la Fédération Française des Anciens Militaires et Combattants d'améliorer sa publication. Responsable devant la F.F.A.M.C., la commission chargée de la rédaction comprend désormais les camarades B.Joifrdain, directeur; L. Blanchard, secrétaire administrntif: Dr J. Marchai, secrétaire de rédaction. Un comité de contrôle lui est adjoint en la personne des camarades Guitter, Moussou et Saunier. L'ensemble de ces collaborateurs se réunira au siège de la Fédération, 28, boulevard de la Strasbourg, le 19 de chaque mois, entre 17 et 19 heures, et y recevra toute communication individuelle ou collective, en audience ou par écrit, concernant le journal et toute chose s'y rapportant. fourniront chaque Les « Echos des Anciens Combattants mois les comptes rendus, communications et convocations des Sociétés adhérentes ou affiliées. Le dernier délai pour toute insertion est inéluctablement fixé au 20 de chaque mois aussi les Sociétés dont les réunions auront lieu entre le 20 et le 30 du mois voudront bien tenir compte de cette réglementation indispensable au bon fonctionnement du journal et prévoir les dates applicables à leurs communications. Les « Echos des Anciens Combattants », devant «
»
;
paraître le 1" du mois, ne demandent qu'à favoriser les efforts particuliers de chaque Société. Outre cette rubrique d'ordre fédéral et sociétaire, cette publication contiendra des articles sur la littérature, l'histoire et la géographie, le droit et la médecine, l'économie politique, les beaux-arts choisis parmi les sujets qui semblent intéresser tout particulièrement l'anciencombattant. Les intérêts matériels et sociaux des anciens militaires et combattants y feront l'objet d'un chapitre spécial. Sous la dénomination de « Tribune libre toute discussion d'ordre général sera ouverte aux sociétaires, qui voudront bien se rappeler que toute politique officielle ou tendancieuse est impitoyablement bannie de la Fédération Francaise des Anciens Militaires et Combattants. Bien que concis, cet exposé renseignera suffisamment nos camarades sur les intentions nettes et arrêtées de la direction des « Echos desAnciens Combattants », organe de la Fédération. Ce journal doit prospérer encore davan-
»
tage, grâce aux efforts disciplinés et de bonne volonté que
tous fourniront. Avec vous et pour vous, nous travaillerons toujours bien. Le Directeur, Le Secrétaire administratif, Le Secrétaire de Rédaction.
La Fédération en Deuil Son ancien Président Lemaire est mort Une nouvelle inattendue, stupéfiante, me parvenait le 28 janvier, vers huit heures du soir. On m'apprenait la
mort subite de l'ancien président, notre cher président honoraire de l'Union nationale des Anciens Chasseurs d'Afrique, de Charles Lemaire, chevalier de la Légion d'honneur. Depuis quelque temps, nous le savions, sa santé était mise à de rudes épreuves. Mais nous avions foi en la robuste constitution de ce lutteur éprouvé dont la vaillance avait tant de fois triomphé des épreuves de la vie. Quelques jours avant notre banquet, il m'écrivait « Le médecin m'a prescrit d'aller me reposer à la campagne. Donc, je ne pourrai être des vôtres samedi. Ne comptez donc plus en quoi que ce soit sur moi; je suis mort pour le moment. Je regrette de ne pouvoir t'être utile en la cir-
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constance. Peut-être, plus tard, je reprendrais du poil de la
bête.
!.
»
disparu Je suis mort pour un moment!!! Pauvre ami pour toujours. La réussite n'avait pas endurci son cœur. Il était resté pitoyable à toutes les infortunes et il ne manquait jamais d'encourager ceux à qui le Destin s'était montré inexorable. simplement. Nous Il est mort comme il avait vécu aurions voulu assurer à ses obsèques l'ampleur d'une démonstration de sympathie et d'affectueuse reconnaissance. Il l'avait prévu et nous le fit interdire par sa famille. Pas Pas de discours de délégation officielle Pas d'étendard Derrière son corbillard, il ne voulut que les vrais amis. Mais l'église Saint-Philippe-du-Roule en ils étaient nombreux était pleine. Légèrement voûté, la déQui ne connaissait Lemaire marche lente, il allait, silencieux. Son aspect au premier
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abord, n'était guère attirant. impassible, de sa grosse moustache tombante, son œil scrutateur, qui reflétait la bonté, -indiquait assez qu'on avait affaire à un bourru bienfaisant. Architecte de talent, il avait construit l'Hôtel de Ville de Levallois-Perret, l'asile d'aliénés de la Maison-Blanche, les maisons à bonmarché de Vaugirard. Mais son plus beau titre à notre souvenir et à notre reconnaissance restera l'érection à Floing de ce monument à la gloire des « Braves gens », qu'il avait conçu, et réalisé au prix d'efforts inouïs, et qui est l'objet, chaque année, de notre pieux pèlerinage. Mais parlons du chasseur d'Afrique. Enfant de Paris, Lemaire "'S'engagea au 4e de l'arme, où il rencontra comme maréchal-des-logis, à Souk-el-Djemaa, en 1886, celui qui, plus tard, devait être son co-fondateur de l'Union, notre actif vice-président Francisque MÜller. Vice-président, lui-même, à Ieffondation denotre Société, Lemaire succéda, le 6 décembre 1909, commeprésident, à Maurice Brunet, devenant ainsi le 3e titulaire de ceposte de confiance. Il sera bien permis au dernier en place de déclarer que nul né l'a mieux occupé que lui. Il l'abandonna, cependant, en juin 1913, pour sa consacrer à la Fédération, qui venait, elle aussi, de l'élire président. Genetier le remplaça. Et à la mort de ce dernier, en septembre1918, Muller assura l'intérim. pendant un an, jusqu'au 23 septembre suivant. Lemaire, retour des armées, où il avait servi commelieutenant du génie, avec cette ardeur patriotique silencieuse, mais agissante, qu'on lui connaissait, reprit, pour la deuxième fois,laprésidence de notre Association. On s'aperçut alors que la guerre l'avait déprimé. « C'est une victime de la guerre » medisait à la veille des obsèques, sadigne et dévouée compagne. Il démissionna donc à nouveau, en janvier 1922. Je ne lui succédai que sous réserve, et avec l'espoir de le voir reprendre une troisième fois cette place qu'il avait si bien su marquer de son empreinte. Ce travailleur acharné, ce lutteur, que rienne rebutait que les difficultés stimulaient au contraire, car il savàit les
Mais, en dépit de son visage
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!
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vaincre, était bien le fils de ses oeuvres. A débuts, ses en ettet, si ren crois, un des nôtres également disparu, Paul Dubois « étaitloin de thésauriser ses fonds étaient bien bas et1Hôtel4e1Espérance était un dé ses abris favoris » Il ne se laissa jamais abattre. Et Dubois pouvait encore écrire J'ai assisté à son évolution, j'ai envié pour ainsi « direcette force d'énergie et j'avoue n'avoir jamais de défi jeté a la destinée avec plus de hardiesse vu plus et plus d'ardeur cest par une lutte constante qu'il triomphé a qu'il a conjuré le mauvais sort et qu'il vaincra. forceaussi rare, le Capitole se rit de toutes lesAvec une Roches tarpéiennes. » « Il vaincra » Lemaire a vaincu, eneffet mais triste retourdes choses d ici-bas, l'adversité des choses d-ici-bas, dont il avait eu raison si longtemps, a pris cruellement revanche sa et l'a vaincu a son tour. Il repose maintenant dansce cimetière Montparnasse,ougisent, côté de lui des surhommes, qui raison défièrent aussi Adversité, eux mais dont l'Adversit-é eut son heure. J'en demande pardon aux mânes Paul Dubois Quand on est vaillant comme Lemaire, conjure on certes le mauvais sort, on triomphe des difficultés, ne mais on défie pas,en vain, la Destinée. Elle prend infailliblement sa revanche. La Rochetarpêienne est toujours, hélas, à cotédu Capitole Lemaire n'a pu l'éviter il briller : a vu sonsoleil d'Austerlitz, mais il a trouvé Waterloo son C'était La main des Parques blêmes a, sans pitié, tranché le fil de ses jours. On pouvait seulement espérér que fût ce ne de sitôt. Il n'avait, pas en effet, que 58 ans, à peine Qu'importe Lemaire disparu, son œuvre lui survivra - nom reviendra, souvent Son .lèvres sur nos son souvenir resteradans nos cœurs.* C'était un vrai chasseur d'Afrique, un excellentcamarade le meilleur des amis. Léon Mousson, Président l'Union nationale des Anciens Chasseurs d'Afrique.
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rembourse
Voulez-vous être remboursé des dépenses occasionnées par votre Amicale ? Plus de 300 Maisons, dont la liste est à votre disposition au Siège de la Fédération, vous accorderont remises commerciales sur vos achats. Voici ce qui a été traité en- l'espace d'un an et ce qu'ont gagné certains de nos camarades
:
AFFAIRES FAITES ,
-
Confections. Les différentes maisons Esders Les Nouvelles Galeries A La Ménagère Palais de la ChaussuresAndré
Nouveàuté.
52.869,25
30.812,25 11.670,55 8.589,75
JoaillerieHenryGodchot 7.499,» Magasins A laPlace Clichy..7.020,25 Allez
frères 5.489,25 Claisse. »
Combustibles.
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CE QU'ON PEUT TOUCHER
2.074.
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II
CE QUE TOUCHENT LES AMICALES
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touché. 441,» —— 182,20 '94,25
Un camarade a
—
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ont touché chacun de
40,» 37,75à20,15 57,90
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18,
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Ȉ10,15
9,65 à
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QUI S'EN OCCUPENT
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170/174-R'l 20/60e D.I:
R.I.T
38e Moskowa et Anciens 21e, 23e, La Coloniale Anciens 72e *
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Axgonne. e. 43e R.I.C.
R.I. R.I.T. 41
571,65 487,35 411,20 297,05 283,65
246,80 241,40
232^95 272e Combattants T.C.R.P. 229,15
N'hésitez pas à vous servir dans les Maisons qui nous accordent des remises et qui nous.font de la publicité. Vous n'avez rien demander. Vous n'avez qu'à payer en demandant une facture. Vous remettez votre facture au Trésorier de votre Amicale, qui, tous les mois, èn faitun borderèau et le remet au Service des Remises, lequel s'occupe de tout sans dérangement pour vous, sauf lasurprise de toucher un jour. votre ristourne, -
à
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-
Service des Remises Commerciales
t.
Le 9 février, il ne restait plus à dégager que 55 fr. 10. Par suite des inventaires de fin d'année, de la période de vente du jour de l'an et des Expositions de blanc, je ne puis donner les résultats du dernier trimestre 1925. Les achats se sont élevés à 41.280 fr. 80, somme légèrement supérieure à celle de la période correspondante en 1924 : 40.436 fr. 85. Il y a de ce fait à votre disposition 2.527 fr. 90 sur 154 parts. J'ai remis à la Caisse fédérale 235 fr. 20, plus 39 fr. 35
provenant des Bons non retirés après trois mois de date. J'attire votre attention sur le fait que nous avons dû écarter des factures de 1924 reçues au dernier trimestre 1925.
-
Certaines maisons ont refusé d'autres ayant 6 mois de date. Toules doivent être remises de façon à être présentées à fin de trimestre, sans porter de chiffres ajoutés ou retranchés par vous. Cette recommandation est très importante. Je fais un pressant appel pour que.tous les bordereaux soient établis au nom des Sociétés. Par suite de l'extension que prend notre Service, cette manière de procéder allège considérablement la besogne des camarades qui en ont la charge. Le Directeur du Service des Remises, E. LION.
Notre Publicité
Les Maisons qui depuis un an nous accordent leur connance, renouvellent avec enthousiasme leurs contrats de publicité. Qu'attendez-vous, camarades commerçants ou industriels, pour aider notre organe, tout en développant vos affaires et en faisant bénéficier vos camarades de conditions spéciales?
à
Nous vous aidons en faisant ressortir tous les avantages deprix que vous offrez, persuadé que votre marchandise est de qualité égale, sinon supérieure à celle de vos concur-
rents. N'hésitez pas. un coup de téléphone à Blanchard, Roqu. 30-94: il viendra vous voir et vous fera des conditions spéciales en remerciement' au nom de tous les camarades.
CE QUI SE PASSE F.F.A.M.C.
REUNION DU CONSEIL D'ADMINISTRATION Séance du 9 février 1925 La séance, ouverte à 21 h., est présidé par le camarade Maurer, président, assisté de la plupârt des membres du Comité-Directeur. S'étaient excusés: MM.Jourdain, Brochet et Chaix, vice-président; Largier, commandant Lévy, Ménard et Taillade. En ouvrant la séanec, le président Maurer
annonce la mort tragique duprésident honoraire Lemaire, ancien président de l'Union des Chasseurs d'Afrique et au camarade Moussou, nèbre de notre regretté camarade, retrace l'activité fédérale de celui qui disparaît prématurément, vaincu par l'adversité. Son souvenir resbera parmi nous, et le président adresse à la famille du défunt, à la grande famille des Chausseurs d'Afrique et au camarade Moussou, son président, les condoléances de la Fédération. Selon la volonté nettement exprimée de la famille Lemaire, aucune délégation officielle n'a assisté aux obsèques, cependant le Comité-Directeur y était représenté par plusieurs de ses membres. Le procès-ycrbal, dont lecture est donnée par le secrétaire général, est adopté après unie rectification demandée par Rancourt-Verdun
(151e). 46 Sociétés
sont présentes. Le président donne connaissance de la correspondance: 1° Une lettre du vice-président honoraire Lion, remerciant le Conseil des témoignages de sympathie qui lui furent adressés à l'occasion d'un deuil récent; 2° D'une lettre de l'Harmonie du Quartier Saint-Ambroise du 11e qui donne la composition de son conseil d'administration pour 1926; 3° D'une lettre du camarade Lion concernant les sommes réclamées par le 331e R.I. et qui sont acquises à la caisse fédérale en vertu d'une décision du conseil d'administration. Le président donne lecture des lettres de
et
démission des Amicales du leT R.T.A. du 510eR.C.C. Ces démissions sont acceptées. Sur la proposition du camarade Gibon, délégué à Ja propagande, l'admission de l'association « l'Œuvre des vieux militaires », est votée à l'unanimité. Le présidentadresse ses souhaits de bienvenue au représentant de cette Amicale et le félicite. Le président rend compte de la séance du Comité, de la veille où l'on est surtout préoccupé du bulletin. Il rappelle les requêtes réitérées du camarade Blanchard, concernant les communications à insérer, et fait connaître que le camarade docteur Marchai s'occupera de fournir au bulletin les articles nécessaires à sa rédaction pour le faire revivre tel que nous l'avons connu dès ses Qrigines. Le camarade Mantau, dIt 31e, demande que les avantages commerciaux soient insérés sur la couverture et de façon permanente. La commissionexaminera cette suggestion. Le vice-président Quitterrend compte de la réunion du 328e R.I., à laquelle il a assisté, pour donner aux adhérents de cetet Amicale quelques renseignements sur les avantages fédéraux. D'autre part, le Comité-Directeurétait représenté à une matinée des A. C. du 38" R.I.T. par le secrétaire-adjoint, à une matinée de «Solférino» des A. C. du 76e par le viceprésident Brochet, le secrétaire général et son adjoint. Enfin à une matinéedes « Bigors » par le secrétaire général et le secrétaireadj oint. Le secrétaire général rend compte de l'attribution par la commission des pensions des dons-secours du président Maurer à 5 veuves nécessiteuses. A la demande du camarade Moussou, président des Chasseurs d'Afrique, il rappelle les conditions dans lesquelles peuvent être attribuées ces bourses selon là volonté du donateur. Le président donneconnaissance d'une lettre du colonel Picot, président des Gueules Cassées) actuellement en traitement au Val-deGrâce, à la suite d'un accident, qui répond aux vœux que nous avons formés pour son
;
«
prompt rétablissement, puis confirme les renseignementsdonnés par le secrétaire général concernant les dons-secours de 500 francs. Les cinq autres restent à la disposition de celles qui en feraient la demande. Enfin il rappelle que la Société de Tir donne le samedi 20 février courant, à 20 h. 30, à la mairie du 10e, une fête de nuit avec bal à 1occasion de la distribution des prix aux lauréats de son concours de tir de 1925. L'ordre du jour épuisé, la séance prend fin à22 heures. Pour copie conforme, Le secrétaire général de la F.F.A.M.C., SAUNIEH.
ANCIENS du 331eR.I.
(Groupepurisien)
v.
Notre prochaine réunion aura lieu le mardi 2 mars, à 21 heures, au siège social. Permanence: MM. Cauvet et Asselineau. Compte rendu de l'assemblée générale du 2février1926: La séance est ouverte à 21 h. 30, la sous présidence de M. de Guillebon, président, entouré de tous' les membres du bureau. Une trentaine dé camarades sont présents, ainsi que plusieurs dames ayant répondu à notre appel. Excusés par lettre: les camarades Thomé et Blachière. Au début de la séance, le président remercie chaleureusement toutes les dames qui ont bien voulu honorer de leur présence cette assemblée et donne ensuite la parole au secrétaire pour l'ordre du jour. Après lecture du procès-verbal de la dernière assemblée, celui-ci est adopté à l'unanimité. Le compte rendu moral fait ressortir l'intérêt qu'il y a à faire vivre notre Amicale, par suite de l'accroissement des sociétaires par de nouvelles adhésions et à resserrer le lieu de notre amitié par le principe de dîners amicaux, qui ont donné jusqu'ici des résultats
probants.
-"
Le compte rendu financier enregistre une encaisse au 1er janvier 1926 de 588 francs et si tous les sociétaires payaient régulièrement leur cotisation, cette encaisse serait de 1.013 fr. de plus. Nous engageons donc tous les camarades à se mettre à jour et de ce fait nous pourrions envisager de petites fêtes .où toutes les familles de nos camarades pourraient trouver gaité et
Gouineau,Palayzy. va recevoir incessamment la médaille de bronUne tombola, comportant de nombreux lots, ze de la mutualité, Tous les camarades présents s'associent au président Minault pour sera tirée à l'issue de la fête. 4° La question relative aux cartes adresser leur bien vives félicitations 3° au viced'adhésions sera revue ultérieurement. La cir- président Fourny. culaire en vue de percevoir les cotisations est La séance est levée à 23 heures.
et
approuvée.
Courrier, — Lettres de MM. Vidal, commandant Palmier, Arsène Denieul, adjudant Denolin. distraction. Diverses dispositions sont ensuite envisagées Le renouvelement de la moitié des membres du bureau se fait par la réélection à l'unani- en vue d'intensifier la propagande et de désimité de son vice-président, M. de Beaulain- gner des délégués régionaux. M. le colonel de Metz nous communique d'ailleurs une liste court, ainsi que du trésorier Fischer. Le camarade Cauvet passa secrétaire-adjoint d'anciens officies ayant appartenu aux 2e et 2° bis, que nous tâcherons d'utiliser au mieux. et le camarade Cousin est élu membre. L'ontre du jour étant épuisé, M. le colonel Le bureau pour l'année1926 est ainsi consGuillaume lève la séance à 23 heures. Tous titué: Président d'honneur: M. le DrMorin; prési- les camarades présents continuent néanmoins dent, M. de Gulllebon; vice-présidents: MM. à évoquer leurs souvenirs et ce n'est que très de Beaulaincourt et le D1 Duval-Arnould; se- tard dans la nuit que cette séance, où a régné crétaire: M. Schneider; secrétaire-adjoint, M. la plus franche camaraderie, prend définitiveCauvet; trésorier, M. Fischer; trésorier-adjoint, ment fin. Nomination. — Nous avons eu le plaisir M. Bernadat; membres: MM. Heyckaert et Cousin.Délégués F.F.X.A.M.C.:MM.Cau- l'apprendre que notre camarade Duvernois, vel Bernadat. secrétaire général de la Seine, a été nommé La question de la permanence ayant été UX hautes fonctions de secrétaire général à renouvelée, il a été. décidé que les membres a résidence du Maroc. Nos vives et sincères éticitaHons à notre camarade. pour l'année 1926 seraient ainsi désignés: Secours. — Il est porté à la connaissance des avril: MM. Mars: MM.Cauvel-Asselineau Dyens-Cousin; mai: MM. Darmé-Bapet; juin: camarades que le très actif président de la MM. Caharct-Poté A.; octobre: MM. Berner- F.F.A.M.C., camaradeMaurer, instituéde Heyckaert; novembre: MM. de Beaulaincourt- ses deniers, à l'occasion de sa promotion au Hémery; décembre: MM. Barbé-Leroy; janvier grade de commandeur de la Légion d'honneur, 10 bourses de secours de 500 francs chacune 1927: MM. Duval-Arnould-Bernadat. à attribuer aux veuves d'anciens militaires A l'issue de l'assemblée, il fut procédé au tirage d'une tombola dont les lots avaient été 110nt le cas serait très intéressant. Cinq de offerts généreusement par un certain nombre ces bourses ayant déjà été distribuées, nous prions tous nos camarades de vouloir bien de nos camarades. En tout, 23 lots ont élé attribués et les heu- signaler les cas qui leurparaîtraientvraiment en vue de les soumettre à la reux gagnants n'ont pas ménagé leurs remer- dignes d'intérêt ciements aux donateurs. Toutes les dames direction de la F.F.A.M.C.pourl'attribution présentes ont eu l'heureuse joie de partir avec des bourses restantes. rappelé que la prochaine Il est Allis, à lot, qui contribué à les — engager sousun ce a crire à l'unanimité au vote proposé par le réunion mensuelle aura lieu le samedi 6 mars, président, qui consistait à leur demander à à 20 h. 45, au siège social, 28, boulevard de participer une fois l'an à l'un de nos dîners. Strasbourg. Le secrétaire général, J. PALAYZY. Après une causerie amicale et avant de se séparer, le bureau, en remerciement du résulLES BIGORS » tat obtenu pour l'année 1925 et de la charIl Anciens de l'Artillerie de mante assistance qui bien voulu leur faire Marine et Coloniale l'honneur de sa présence, décide d'offrir un Réunion du 6 février 1926: vin d'honneur. La séance est ouverte à La séance est levée à 23 h. 30. 21 heures, par le président Le secrétaire : SCHNElDEH. Minault. Etaient présents, les camarades Ameline,Bellet,Brechic, Deltheil, Dutfoy, Epeaux, ANCIENS des 2" et 2 bis REGIMENTS Gavillot, Girard, Minault, DE ZOUAVES Tribbulat,etc.. Excusé: Tiget. Réunion mensuelle du 6 février 1926: La parole est donnée au secrétaire pour la La séance est ouverte à 21 heures, sous la lecture du procès-verbal de la dernière séance, présidence de M. le colonel Guillaume. Présents: MM. le colonel de Metz, Mme la qui est adopte l'unanimité. générale Grossetti, commandant Lahanal, Les affaires courantessont expédiées. A sicorrespondance une lettre du Idalgo, Aury, Ego, Bonnefoy, Gouineau, Loële, gnalerflans Bernard, Kéval, Bonnigal, Blanchard, Decoux, présidentde la Fédération Nationale des Anetc., etc. ciens Coloniaux, qui nous adresse unexemQuestions portées à l'ordre du jour: 1" Ré- plaire des cinqmodèles de timbres de propafection des statuts; 2" Projets de fête an- gande qui seront vendus au bénéfice de la nuelle; 3° Mise au point de la question rela- Fédération àraison de 0,25 le timbre, tive aux cartes d'adhésions; 4° Approbation Puis les dernières dispositions pour la mad'une circulaire pour percevoir le montant des tinée dansante dulendemain sont prises. cotisations. Le camaradeDutfoy,empêchéd'assister à Décisions. — 1° Réfection des statuts: Il est la matinée, désirantcependant contribuer décidé que les statuts seront d'abord mis au à la réussitede la fête, remet un don pour la point par le comité dans sa prochaine réunion caisse desecours. nnonceégalement qu'il soumisensuite,pourapprobation, faitunnouveladhérent:M.Carré,103,avel'assemnuefinRoule, Neiiillv,quidemande entrer blée générale 2° Projets de fête annuelle: Une matinée, à la société comme membre Honoraire et suivie d'un banquet, qui aura lieu, en principe, adresse en plus de sa cotisation un don pour au Cercle militaire, est prévue pour la 2" la caisse de secous.L'adhésion est acceptée à quinzaine d'avril 1926. La date précise sera l'unanimité, et le président se fait l'interprète fixée en temps utile. Une commission des fêtes des membres présents en adressant ses remerest d'ores et déjà constituée. Est désignée ciements au camaradeDutfoy. Pour clore la séance, notre président honocomme présidente: Mme la générale Grossetti assistée de MM. le colonel Guillaume, Idalgo, raire Triboulat annonce que notre camarade
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CONVOCATION POUR L'ASSEMBLEE GENERALE.—L'assemblée générale annuelle aura lieu le samedi 6 mars, à 21 heures, au siège social, 28, boulevard de Strasbourg. Tous les camarades de Paris et de la banlieue sont
instamment priés d'y assister. Ordre du jour: Allocution du président; Rapport des commissaires aux comptes; Compte rendu moral de l'exercice 1925; Compte rendu financier de l'exercice 1925; Renouvellement du tiers sortant des membres duconseil d'administration; Nomination des commissaires aux comptes; Questions diverses. Tous les camarades se feront un devoir d'assister à l'assemblée générale annuelle, la bonne marche de la société dépendant en partie des décisions prises au cours de cette assemblée. Commissions contrôle. — Les commissaires aux comptes pour 1925: Girard, Ritter, 1igetet Tribouiat, sont convoqués avant l'assemblée générale, à 20 h. 45 très précises, pour l'exercice de leur contrôle. Le trésorier tiendra ses comptes à leurs disposition. Matinée dansante du 7 février 1926.— Par suite de circonstances spéciales, aucune fête n'avaitétéorganisée par les « Bigors » depuis le mois de mars 1924. Aussi est-ce avec une bien légitime satisfaction que les organisateurs de la matinée du 7 février ont enregistré le véritable succès qu'elle a obtenu. Peut-être aurait-on pu souhaiter que plus de sociétaires prissent part à notre fête, mais du moins est-il juste de remercier ceux qui étaient présents du gros effort de propagande qu'ils avaient accompli dans leur entourage, et qui se traduisait par une assistance nombreuse. Notre président honoraire Triboulat, ainsi que notre président Minault, assisté du trésorier et (tu secrétaire, eurent le plaisir de recevoir les nombreux invités des « Bigors », parmi lesquels nous avons remarqué: MM. le colonel Debon, vice-président d'honneur des « Bigors »; Hornac, président des Anciens des 21e, 23e, 41" et 43° R.I. Coloniale; Rigault, président de la fi Coloniale» Ecorchard, président de la « Moskowa et Argonne» Brochet. président de la Société de Tir; Vidal, de la Coloniale », etc., etc. Une surprise attendait les assistants sous la forme d'une magnifique tombola qui fut tirée au milieu de la fête, à la grande joie de tous. Puis le bal reprit avec plus de gaieté peut-être et l'entrain des danseurs ne s'éteignit qu'avec les derniers accords de l'orchestre. Chacun a pu remarquer au moment de la séparation que notre sympathique trésorier avait le sourire: c'est que quelques ressources supplémentaires venaient de rentrer dans la caisse de secours des « Bigors". Le président, Lesecrétaire,
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MINAULT.
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Assemblée générale du 28 janvier: La sénce est ouverte à 21 heures, sous la présidence du camarade Gripoix, président. Présents Bouteiller, Damande, Saunier, Hégnier, Bordes, Merchadier, Blémont, Claudion, Tonichon. Ghislain, Lorand, Henaud Lucien, Rihot, Houzaud, Chaussay, Allart. Mingasson, Hervé, Thorelle, Blot, Gasquet, Senliniès, Moussat, Margot, Debelle, Lancelle, Genet. Excusés: Garnier, Rahault, Macé, Audouin, Y\arnet, Deloire, Arlahosse, Dubois. Les procès-verbaux des trois dernières séances du conseil sont adoptés. Le président donne la parole au camarade Debelle au nom de la commission de contrôle, pour le rapport des comptes du trésorier, qui ont été reconnus exacts.
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navrantes parfois, de celles ou de ceux qui AMICALE des CROIX DE GUERRE Ensuite, le camarade Allard lit le compte ont bien mérité de la Patrie, et que le Pays rendu financier; il résulte que l'encaisse est Assemblée générale du 31 janvier 1926. (Ex- n'aurait de signapas dû oublier. Il convient de 2.112 fr. 65. traits du procès-verbal) : président fédéral, notre ler ici le beau de geste les parole la prend et l'Association président Le camaLes membres de se sont réunis notre camarade Maurer, qui mis à la dispoa rades Lancelles et Leroux, proposés comme en assemblée généraleaux Invalides, le dides Sociétés fédérées 10 bourses-secours membres actifs du « Poilu », sont acceptés. manche 31 janvier, sous la présidence de sition chaque, des 500 francs dans de à attribuer compte l'année écoude des travaux Il rend assisté des membres l'amiral Guépratte, M. lée, des rendements des fêtes, et se félicite du bureau: MM. le général Mariaux, ,Dl Pa- conditions à déterminer à des veuves de cade leur réussite; il propose la 7e fêteannuelle gnier, commandant Mahieu, abbé Hénocque, marades. Votre comité a présenté à la commission chargée de distribuer ces bourses pour le dernier samedi du mois de mars, et Fortoul, Mué, Guidat, de Cianelli, Bemelle, la veuve d'un de nos camarades, mort pour la il écrira au maire pour avoir la salle des Vassart. De l'allocution du président, nous France, et nous savons que cette demande a fêtes. extrayons les passagers suivants été prise en considération. Les camarades Rahault, Chaussay, Sentiniès, de d'abord, Tout puisque nous venons « Qu'il me soit donc permit d'adresser à votre Allart et Bordes sont désignés pour faire par- franchir le seuil de -l'année nouvelle, je vous tie de la commission dès fêtes. Le prix d'en- prie de vouloir bien agréer mes vœux les plus nom à tous, nosplus sincères remerciements à trée ne pourra être inférieur à 5 francs et la cordiaux et les plus fervents pour vous, pour notre généreux donateur, en souhaitant que commission à pleins pouvoirs pour enfixer tous ceux qui vous sont chers et aussi pour son geste si généreusement fraternel soit comle prix après avoir envisagé les dépenses du la prospérité toujours croissante de notre pris et suivi par ceux que la fortune a favoet notamment par ceux, et ils sont nomconcert et du.bal. chère Association. Elle est d'ailleurs d'une risés, breux, qui ont vu leurs affaires prospérer Le camarade Chaussay propose que toutes essence toute particulière constitue elle car les personnes qui auront vendu cinq cartes une cohorte d'élite, une phalange d'avant- au-delà de tout espoir, au fur et à mesure que d'entrée auront droit à une carte d'invitation garde des anciens combattants. Un tel batail- se prolongeait la guerre, dont nous faisions gratuite. Accepté. lon sacré est tenu plus que tout autre grou- les.Il nous faut réagir contre cette tendance Le camarade Régnier expose ensuite son pement,de pratiquer les lois de la Mutualité: pour toutes ces œuvres de guerre proj et de mutualité et les principales direc- « Tous pour Un. Un pour tous et payons à l'apathie tives de ce projet; après intervention de plu- d'exemple, ne serait-ce qu'en versant fidèle- ou d'associations d'anciens combattants, sursieurs membres, il est décidé qu'il fera un ment notre obole fraternelle. Songez donc tout dans les temps troubles que nous traréférendum qui sera adressé à tous les mem- quelle sra notre puissance le jour où nous versons, et recbnstituer l'Union Sacrée, en préd'une Allemagne menaçante et récalsence bres. 1.200.000 à amené les sinon com- citrante à s'incliner devant nos drapeaux vicaurons nous, Le camarade Debelle rend compte des inté- battants titulaire de notre glorieuse insigne, rêts de l'affiliation à la Fédération et en par- tout au moins le plus grand nombre d'entre torieux. De cette Union Sacrée dépend encore aujourd'hui le Salut de la France. ticulier pour les remises sur achats effectués. eux. Et c'est esprit la Fédération dans cet que La séance est levée à 24 heures. des caracqu'une Remarquez, au demeurant, des Unions et Sociétés d'Anciens Française Le secrétaire général, BLÉMONT. téristiques nobles groupement lesplus de notre Combattants, l'énergique Militaires et sous Séance du 11 février 1926: France Maréchal de réside dans ce fait que le son président Maurer, a lancé La séance est ouverte à 21 heures, sous la y figure coude à coude et la main dans la i-naiïi- impulsion de création de la « Maison du Coml'idée la de présidence du camarade Gripoix, président. du du tirailleur sénégalais ou algérien, battant », pour la constitution de laquelle, Etaient présents Thorelle, Merchadier, Sau- « Joyeux des bataillons d'Afrique, cer- renouvelant son geste généreux, notre Dubois, sympaAllart, Blémont. nier, soldat. brûlé, aussi crâne et veau thique président fédéral a souscrit personcamarades Chaussay époque Les et Rahault, de la réalités d'une Au contact des dures nellement la somme de 50.000 francs. Qu les commission des fêtes. complexes, plus les où se posent les problèmes Le camarade Blémont rend compte qu'il a nous ne devons pas nous borner à revendiquer puissants et les fortunés s'inspirent encore » été la préfecture de policeau sujet du la liberté. Je reconnais volontiers que c'est une fois de cet exemple, et le méditent projet de mutualité. Il n'y aurait qu'à faire notredroit, mais à une condition, c'est d'acANCIENS des 72e et372e R.I. un additif à l'article 3 des statuts sans autres quérir ce qu'on pourrait appeler la cc Science Compte rendu de l'assemblée générale du formalités. de la Liberté». Le camarade Régnier n'étantpas présent, à tous, je salue nos vaillants 6 février 1926: .En notre nom Bonnefont qui préside, déclare la séance la discussion de ce projet est remise à une frères d'armes du Maroc et de la Syrie, et prochaine réunion. à vous lever et ouverte à 21 heures. vous invite, chers camarades,recueillement Sont présents général Borie, Bonnefont, Les commerçants de Montreuil faisant partie à observer uné minute de en du « Poilu et désirant faire participer leurs l'honneur de nosglorieux morts, dont le Pécaud, Boigeaud, Fontaine, Bailly, Anard, Baudy, Walter, Brunet, Strang, Hubner, Steincamarades d'une remise, sont priés d'adresser Soldat Inconnu est le plus pur symbole. bach, Bedin, Chevalier, Tricotel, Ferret, Mottaz, avant le 20 mars, au secrétaire-général BléVice-amiral GUÉPRATTE, Le Texier, Ehrardt, Balanger, Michel, Robin, mont, 15, boulevard Rouget-de-l'Isle, leur nom, profession, adresse et le montant de la remise Extrait du compte rendu moral de notre Dussault, Bouchet, Saint-Girons, Gachot, Dientz, Ducluzeau, Gasnier, Argenvilliers, Péqui établira la liste et la fera publier dans le camarade Fortoul,secrétaire-trésorier: bulletin d'avril. Vous savez tous que notre Association quignot, Beaumont, Bonneau, etc., etc. « Se sont excusés: Barian, Boiraud, Bourgeat, La Salle des Fêtes n'étant pas libre le fut fondée dans unbut purement patriotique samedi 27 mars, la 7e fête annuelle est donc et d'entr'aide mutuelle, laissant complètement Pagnon, Bortuzzo. Après les remerciements d'usage, et qui reportée au samedi suivant, soit le 3 avril. de côté les questions politiques ou religieuses, Le prix d'entrée est fixé à 6 francs. Les mais désirant grouper dans une vaste asso- s'imposent plus que jamais, car la salle est enfants au-dessous de 12 ans paieront demi- ciation tous les camarades français ou alliés comble, Bonnefont prie le général Borie, antarif, soit 3 francs. décorés de la Croix de Guerre. Apporteréga- ciennement commandant du régiment, de bien Il sera remis à chaque demoiselle au-dessus lementune aide morale et matérielle à tous vouloir accepter la présidence; cette invitation de 15 ans, un numéro pour participer au tirage les camarades faisant partie de notre groupe- ayant reju une réponse favorable, Bonnefont présence parmi nous du camarade de la désignation de la « Madelon du Poilu» ment, les aider denos conseils et de notre signale appui auprès des Pouvoirs Publics le cas Brunet, députéde la Réunion, lequel répond pour 1926. Chaque entrée payante aura droit de parti- échéant; donner, ,dans la mesure de nos très aimablement aux souhaits de bienvenue ciper au tirage de la tombola des lots offerts moyens des secours aux veuves et orphelins, dont il est L L'ordre du jour est annoncé; il aété abrégé à la Société. et aussi à ceux de nos camarades dignes d'inA cet effet leComité du Poilu fait un appel térêt; trouver des situations à ceux de nos le plus possible, afin de laisser à Walter tout à la-générosité des commerçants de Montreuil membres qui en étaient dépourvus. Tel est le temps nécessaire pour faire sa conférence. pour envoyer quelques lots pour cette tombola. le programme du plushaut intérêt patriotiquë Le,dépouillement du courrier s'effectue rapiLes lots seront exposés dans la vitrine du et fraternel que l'Association des Croix de dement. Nous ont écrit: Pagnon, Bortuzzo, camarade Allart, trésorier, 43, rue du Général- Guerre s'est efforcée de réaliser. Jay, Perrot. Galliéni, et le comité remercied'avance tous Quelques adhésions nouvelles: Ducluzeau, Mais il n'a pas dépendu exclusivement du ceux qui voudront bien répondre à cet appel. dévouement et de l'activité de votre conseil Pequignot, Vernerey, membres adhérents; Le président remercie au nom du bureau d'administration pour que le succès réponde Adrien Gasturel, membre affilié; Bortuzzo, Mlle Bordes, pour la broderie magnifique de à notre espoir, et nous nous sommes souvent membre honoraire. Un ancien durégiment, Dumont, est déclaré l'écusson et des lettres sur l'écharpe de la heurtés à des difficultés que nous avons indésirable; n'ayant fait qu'une apparition à Madelon et prie M. Bordes père de lui trans- essayé de surmonter. Cependant avec les seules ressources dont ladernière assemblée générale, il s'est cru mettre ses remerciements. La séance est levée à 24 heures. votre comité disposait, nous avons pu néan- autorisé pour « taper » les camarades auxquels moins donner satisfaction à quelques cama- il confia, le plus habilement possible, les déLe secrétaire général, BLÉMONT. à boires de son existence. Tant d'indélicatesse Si vous désirez des employés ou rades et aux veuves qui se sont adressés été heureux de pouvoir est impardonnable; l'Association n'est pas comité eût Votre nous. ouvriers, le Bureau de Placement de satisfaire à toutes les demandes, de pouvoir vache à lait» les anciens quinese « une la Fédération vous les procurera. donner largement, de soulagerdes misères bien souviennent du régiment que pour solliciter
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intéresle beau rêve qu'elles traduisent fait passer nistre, sénateur-maire de Meaux, ancien offine sont. pas secours pécuniaires des un frisson d'espoir; pour un temps, nous cier au 36e territorial, retenu à Meaux; de docteur échappons à l'étreinte quotidienne et féroce M. le général Cottez, ancien commandant du Bonnefont nous invite, au nom dedu l'Armée, la vie, pour ne plus penser 76e; de M. le colonel Lejeune, du 276e, absents lutte la de musée pour du visite à Walter, une Des ren- qu'à ceux qui ne sont plus ou qui nous succé- de Paris; de M. le colonel Goudré, du 36e terqui aura lieu le dimanche 11 avril.transmis ritorial, actuellement en traitement à Améliea deront. seignements plusdétailles seront M. Maurer, président de la Fédéle général les-Bains; de remercie des Borie Bonnefont tousen temps utile. qu'il vient de prononcer ration, retenu dans le Midi, il remercia tous Bonnefont s'excuse duretard apporté dans paroles émouvantes docteur Walter, notre ceux qui avaient tenu à être présents, et en parole la donne et au dû retard 12, au Bulletin du publication la particulier: MM. Charpentier, Saunier, Brochet, soir. de conférencier ce imprimeur. notre de décès La conférence. — Le docteur Walter com- Manteau, puis il félicita ses collègues du La parole est donnée à Pécaud, président du conseil d'administration de leur laborieux dé2e conférence: nous revoyons alors d'abord le sa mence donne dernier Ce des fêtes. comité 16 avril et l'occupation du Linge.. vouement et il rappela en quelques mots les du l'offensive la à trait démarches, ayant de résultat ses bien inutile, n'est-ce, de vous dire buts de notre Association. Il termina, faisant Il est Il est Intran Catacombes de l' et J), visite des <• Walter parla des photos fixées sur appel à tous pour la prospérité de « Solférino » comment du présents camarades les d'informer heureux remerciant excellents, précis, les membres bienfaiteurs qui, le docteur et termes l'écran; en qu'il obtenu. positif résultat a imaginations à évoquea, avec lui, par leur générosité permettent à la Société de Pécaudsouligne la pensée généreuse du invite nossouvenirs de elles répondent remplir son but d'entr'aide sociale. guerre; alitous à portée ces toujours Alaux, lequel, camarade Puis M" Henri-Robert exprima le plaisir et d'autant plus facilement, menter notre caisse de secours, nous en avons favorablement, en les excla- qu'il éprouvait en ces heures sombres, à se arrière retour provoque à consentir ce que bien des preuves tangibles, veut assistants, qui reconnais- trouver au milieu d'anciens combattants. quelques de mations suivante. façon la de et un sacrifice nouveau précisent un lien, se re- II Mon seuil mérite ici, dit-il, est la fidélité » silhouette, sent à demande une il d'assurances Alaux s'occupe de connaissance. Et avec l'éloquence qu'on lui connaît, la simpays trouvent en somme où en le dans et, adhérents, cas les visiter tous dont Walter Gérardmer, à quel- plicitéqui ne lasse jamais, il montra combien à Le les bénénous repos serons il réalisera une affaire, sourire; c'est bien cela la véri- noble est le rôle de nos Associations qui, sans fait gain vues, ques prélevée ristourne son sur ficiaires d'une physionomie de la guerre: des souffran- aucune ambition, groupent ceux qui, après table les prier de inutile qu'il est Je pense propre. un délasse- avoir défendu le pays pendant la guerre, le sans nom, auxquelles succédait - camarades bien vouloiraccueillir Alaux, ces besoin de revivre, toute une servent maintenant pendant la paix, ne faiment réel, un amicalement. c'est-à-dire ainsi qu'il convient, aspiration de l'existence qui ve- sant aucune politique. « La France en ce mobeauté à la prochaine. Et Pécaud parle enfin de la fête insiste-t-il, aurait besoin d'hommes pendant ment, des jours dès risquée et d'être nait du lors Il rappelle els résultats obtenus, des discours, d'action d'orateurs: et non pas nuits. concert du 12 décembre; la somme,encaissée des discours, voilà ce qui fait tant de mal à' Cette particulièrement intéressante soirée fut importante, mais de gros frais ne nous pays! -. notre 30. h. à 23 termina » Et il acheva sa brillante, mais Une toute se minime. bénéfice laissèrent qu'un - la prochaine brève allocution, non sans avoir rendu trop pris pour fut Rendez-vous asde cette autre .conception inspire l'organisation émouvant hommage au grand Français 6 fixée au samedi générale, un semblée mars. frais sont nouvelle manifestation amicale: les qu'est le général Gouraud,- et en assurant G. PÉCAUD. s'aconsidérablement diminués. D'abord, il ne l'Association des Anciens du 76e, du 276e R.I. matinée-concert, git plus maintenant que d'une du 36e territorial, de sa constante bienveilet également. ANNUELLE de « SOLFÉRINO la location coûte moins et le jazz FETE LA lance et de toute son affectueuse fidélité. à avoir Mais surtout, nous espérons ne plus A son tour, M. Weil, adjoint au maire du rendu Compte : débourser une somme assez forte pour payer annuelle de Solférino a eu 10e arrondissement, souhaita la bienvenue aux fête grande La il des artistes professionnels.Pour ce faire, dimanche 7 février, dans la coquette hôtes dela municipalité et dit tout le réconfort le lieu la est bienévident que nous comptons sur de la mairie du 10e arrondisse- qu'il éprouvait à se trouvèr en une réunion fêtes des salle laquelle volonté bonne bonne volonté de tous, la présidence d'honneur de M. le semblé et tout le plaisir qu'il ressentait à noument, sous d'artistes devra se traduire par le concours ancien commandant de la veau d'être aux côtés de l'illustre bâtonnier Gouraud, général réalisabénévoles. Nous n'opposons pas, à la militaire 'de Paris, et Henri-Robert. Parlant des difficultésde l'heure division, 10e gouverneur aussi tion de cette bonne œuvre, un scepticisme effective de Me Henri- présente, il félicita notre groupement de s'efprésidence la membres sous adhétotal que d'aucuns le croient. Certains les ancien bâtonnier de l'Ordre des avo- forcer de maintenir entre ses Robert, corporation des rents ont des relations dans la liens de fraternité nés aux heures tragiques de l'Académie Française. membre cats, mieux gens de théâtre; qu'ils les utilisent, au de dire qu'elle fut par- de la Grande Guerre. « En ce temps-ilà, l'union justice n'est Il que soit de nos intérêts, afin que notreconcert réussie, Une trèsnombreuse et élé- sacrée s'était cimentée face à l'ennemi; aufaitement aussi brillant que possible. répondu à l'invitation jourd'hui, face aux difficultés actuelles, il avait assistance gante Ce premier appel étant formulé, Pécaud en de la Société et la salle était archi-comble faudrait que unissions, oubliant nous nous articule un deuxième, concernant le placement lorsque l'orchestre, sous la direction de M. nos divergencesd'opinions, de croyances et des cartes. Son insistance se fait plus-pres- Dailly, salua par la Marseillaise l'entrée du d'idées. » sante; c'est qu'un bénéfice important est né- comité et de ses invités. qui couronnèrent ces Les applaudissements discours cessaire.La recette-cotisations ne nous permet cessèrent que pour laisser place, aux côtés de beaux prirent l'estrade Sur ne pas de subvenir à nos besoins, d'autres res- Me Heuri-Robert et du commandant Ménard, débuter une partei de concert dont tous les sourcessont indispensables, qui ne peuvent représentant le général Gouraud MM. Weil, numéros furent d'une égale valeur. Nous nous donnons. provenir que de fêtes, que nous 10e arrondissement bornerons à citer parmi les artistes que le du maire adjoint au Pécaud sait bien, que cette adjuration n'est Saunier et Guyot, secrétaires de la Fédération; public sembla leplus goûter: Mme Geneviève en Brochet, président de la Société de Tir; Man- Lavarde, des Concerts Rouge, dont le mari pas nouvelle; avant tous les concerts, il qtfe est ainsi, maisplus que jamais il faut des Anciens du 31e et est président de la commission des fêtés de vice-président teau, les camarades se fassent violence. Combien délégué du Comité du Monument de Vauquois; Solférino; Mmes Marthe Gracia, des Concerts de voies souriantes nous seraient ouvertes si, Charpentier, président honoraire de Colonne; Andrée Bauer-Thérond, de l'Athénée; Solfé« 7 mars, une chambrée nombreuse remplisprésident; Benoit et Cas- MM. Tardivon, de la Gaîté-Lyrique; Gratia, - le Macpherson, rino »; sait la salleque nous avons louée. 5 francs Lehongre, Rosier, mem- compositeur; Mauréal, de l'Empire; Derex, vice-présidents set, est un prix sympathiqueparce que démocra- bres du comité Fix,vétéran des Anciens du du Petit-Casino; le chansonnier Jacques Martique. En tous cas, le comité des fêtes aura 76e. tel, du Chat-Noir. N'oublions pas de mentiontenté l'impossible pour réussir; il ne demande l'Union Musicale 18e arrondissement, du ner représentant Goudu général le Après pas qu'on l'en remercie, maissimplement que raud eut que qui, sous la direction de M. Marcel Dailly, séance, il donna la parole la ouvert cartes soient enlevées en grand nombre, et les mérite des éloges pour son exécution vraiment Solférino Macpherson préde président ». ( au le plus rapidement possible. qui clôtura cette belle senta, tout d'abord, les excuses du gouverneur impeccable. Le bal animés: il faut en reporLe général Borie prend alors la parole. En militaire de Paris qui, malgré son très vif matinée fut des plus termesélevés, prononcées d'une voix bien désir de se retrouver au milieu des anciens ter tout le mérite à l'excellent «Dailiy's Jazz1). Ne terminons pas ce compte rendu sans timbrée, que l'émotion faitvibrer parfois, le combattants de la 10e division, en était emgénéral exprime le plaisir qu'il éprouve. pêché au dernier moment: il exprima les re- exprimer notre gratitude aux artistes qui nous se trouver parminous. Il ne manque pas de grets sincères de tous etchargea son délégué ont prêté leur concours èt aux artisans de la rappeler, en les exaltant, les hauts faits d'ar- de transmettre l'expression de l'admiration réussite de cettefête, principalement nos dé372e; cet historique ra- unanime auglorieux blessé des Dardanelles, voués camarades Macpherson, Vitali, Casset, mes accomplis par le 3,e récit de la mort du au vainqueur de la Champagne, au bon ser- Réméné, etc., ainsi que les généreux donapide est illustré par colonel Thomassin, lequel fut enseveli dans - viteur du pays qui, soit au Maroc, soit en teurs qui ont répondu à notre appel. Le vice-président, BENOIT. les flots, lors du torpillage du «Provence». Syrie, fit tant pour la gloire de la France. une Puis Macpherson salua l'éminent orateur Si votre propriétaire devient exiCette allocution brillante se termine parpieux morts un supplique: CI Conservons à nos qu'est le bâtonnier Henri-Robert, quine re- geant, un ServiceJuridique au siège souvenir, et n'évoquons la guerre que pour fuse jamaisde mettre sa parole et son talent de la Fédération vousrenseignera » servicedes œuvres patriotiques. Après avoir la rendre à jamais impossible. au secouent les indifférents; présenté les excuses de M. Lugol, ancien mi- sur vos droits. De telles paroles
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LE RALLIEMENT
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(Anciens du 69eR.I.)
Assemblée générale du 10 fé-
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vrier séance est
ouverte. à La 20 h. 30,. sous la présidence du camarade Minet, président, assisté des membres du bureap. Etaient présents: 35 camarades. Excusés: Quatrebœufs, Michelet, Toullet, Barbier, Doré. Après lecture du procès-verbal de la dernière séance, le camarade Chamerlat, secrétaire, donne lecture de la correspondance: Lettre du capitaine Richard, présidentdu Groupe de Nancy, qui sera présent à la fête de nuit du 20 courant, et informe les camarades du Groupe de Paris que la prochaine assemblée générale des membres de Nancy et la région se tiendra le dimanche 7 mars; il aimablement les camarades qui pourraient se déplacer à y assister. Le camarade Lévy, pararrêté préfectoral du 11 janvier 1926, est nommé membre de la de surveillance des Commission de contrôle pharmaceutiques aux Mutisoins médicaux lés de Guerre, et il se met à l'entière disposition des camarades pourtout ce qui concerne les pensions, emplois réservés, etc. permettra de suivre Son nouveau poste de très près toutes les demandes pourraient lui être adressées. Lettre du camarade Brossard, retenu, et qui envoie son bon souvenir. La parole est - ensuite au camarade Lévy, membre de la Commission de contrôle, qui fait un' excellent rapport del'examen des comptes de gestion de la Société. D'unanimes félicitations sont adressées aux camarades Minet, président, et Loretan,tréso-
convie
et et lui
rier.
On procède
qui
ensuite à l'élection des nou-
veaux membres:
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Participants: Bodenrieth, Henry Pol, Hec-
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quet, Michelet, Morelle; titulaires: Enot, Ragu honoraires Barnès, Ecorchard, Lebert, Maurice, Albert. La Commission de propagande reçoit un témoignage de satisfaction du président qui continuer' ses efforts. l'engage vivement Prochaine fête. — La Commission des fêtes procède à l'élection des commissaires (qui auront fort à faire, si l'on en juge par le nombre
à
decartesplacées).
Prochaine réunion. — Mercredi 10 mars. Réunion des officiers de la Division de Fer. Baudelot communique une — Le camarade circulaire en faisant connaître la date: le dimanche 21 courant, à l'hôtel Lutetia. Les camarades Quatrebœufs, Michelet, Hébert et Baudelot représenteront le « Ralliement et en profiteront pour resserrer la liaison prévue. L'ordre du jours étant épuisé, la séance est levée à 22 h. 30. Fête de nuit du 20 courant, à la mairie du 10e. — En raison du succès de cette fête, le compte rendu sera rédigé avec le plus de détails possible. Nous pensons ainsi intéresser tous nos camarades. Délégation à Nancy, le dimanche 7 mars. — La délégation du « Ralliement », groupede Paris, devant se rendre à la réunion et au banquet, comprend déjà 6 membres. Les camarades désireux d'en faire partie sont priés d'en avertir d'urgence le camarade Minet, président. Nul besoin de dire combien cette réunion et la réception dans la capitale lorraine seront agréables.
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SEBASTOPOL » (Anciens des 74e, - 274eR.I. et 22eR.I.T,) Réunion du 10 février 1926: L'assistance, cette fois, est importante; l'attrait de la conférence annoncée a fait venir de nombreux camarades, accompagnés de leur «
famille.
Notons également avec plaisir la présence
de plusieurs membres delaSociété des Anciens de la 5e Division qui ont aimablement répondu à notre invitation. Après adoption du procès-verbal de la réunion de janvier, lecture est donnée de la correspondance Une invitation, reçue trop tard, pour le bal de la Société des Chauffeurs, qui a eu lieu le
parole au sujet de notre fête de mars. Nous pensions avoir la salle de la Brasserie un samedi soir et en disposer toute la nuit pour y organiser un bal de nuit. Malheureusement il nous faut abandonner cet espoir. Là salleest retenue tous les samedis jusqu'à fin avril et d'autre part, le propriétaire n'a pas l'autorisation de la laisser ouverte toute la nuit. 6 février; D'un commun accord, il est décidé que le Lettre du camarade Gibon envoyant 20 fr. Mallère nous organisera une maticamarade cotisations; régler ses pour Lettre de M. de Montluc, ancien capitaine née-concert le dimanche 21 mars, au coursde partie réservera laquelle pour une une Seine, on mobile de la Garde de la 1er régiment au ancienofficier de réserve au74e R.I., qui se petite sauterie. A la fin de cette matinée, nous fait inscrire à la Société et envoie sa coti- dînerons par petites tables, dans la salle qui nous est réservée. Il ne s'agit pas de banqueter sation. Aussi aucun prix M., de Montlucétant présent dans la salle, mais de dîner ensemble. le président le remercie de son adhésion et n'est fixé, aucune cotisation n'est demandée, lui dit combien nous apprécions l'honneur de chacu ndevant régler soi-même pour son petit compter parmi nousun second vétéran de la groupe. de familial caractère le insistons Nous sur 1870-71. de guerre Cotisation. — Le président insiste auprès des ce dîner, et nous faisons un pressant appel camaradespour qu'ils envoient sans tarder auprès de tous nos camarades pour qu'ils y leur cotisationannuelle (10 francs): les abon- viennent nombreux. Nous leur demanderons mars prochain nements aux Echos des A.C. doivent être sous- de nous faire savoir au 10 retenir, de façon désirent crits dès le début de l'année, afin que chaque combien de places que nous sachions s'il nous faut réserver la sociétaire reçoive dorénavant le bulletin de la grande Fédération qui publie le compte rendu de la ou la petite salle. Souhaitons qu'il nousfaille les réunion mensuelle. Ceux qui prévoient ne pas venir à la réunion Conférence. — Le président remercie M: le général Caloni — qui préside l'importante du 10 marssont priés d'envoyer ces renseiAssociation des Catalans de Paris — d'avoir gnements à: M. Mallère, 6, rue Alfred-Laurent, bien voulu accepter de nous faire une confé- à Boulogne-sur-Seine. Ces diverses questions mises au point, nous rence, et lui exprime combien nous sommes d'applaudir quelques camaplaisir le avons honneur. sensibles cet ami Mallère nous fait la surL'intérêtde l'auditoire ne se démentit pas rades, car notre prise d'un petit concert. en attendant 16 conférencier le où instant pendant l'heure un retraça, de façon fort documentée, l'épopée grand. Nouvelle adhésion. — Nous enregistrons de Verdun,rappelant les souvenirs de ses enplaisir l'adhésion du camarade Des Ciltretiens personnels avec le général Mangin, avec médecin-major de lre classe à l'Ecole qui assuma, en octobre 1916, comme comman- leuls, de Saumur. Nous lui présentons dant du 11e corps d'armée, la rude mission de de cavalerie souhaits de bienvenue. tous nos départ de point du Boches au-delà refouler les Prochaine réunion. — La réunion de mars de leur grande offensive de février. au mercredi10 mars, à 20 h. 45, Brasfixée est qui près,au drame angoissant Mêlé de se serie du Pont-Neuf. déroula autour de la place si ardemment Le secrétaire. convoitée par les Allemands, le général Caloni insista sur ce fait que la bataille de Verdun ANCIENS des 20e et 60e D.I. est unebataille exclusivement française, à laquelle aucune troupe alliée ne prit part: on Réunion du 3 féyrier: > franl'armée peut donc conclure qu'à Verdun Sont présents: Bichat, M. et Mme Clément, çaise affirma sa supériorité morale et maté- Contentin,.Courtin André, Courtin Marcel, rielle sur l'armée allemande,malgré l'effort Delaruwière, Déon, Fabre, Huot, Lamontagne, gigantesque déployé par les meilleurs éléments Ricanet, Vercellini. Verdun, qui témoigna de telles vertus miliSont excusés: Bertho, Lafontaine, Lelagadec, de celle-ci, et l'accumulation formidable des Pestieaux, Dr Torchaussé. A la demande du camarade Courtin Marcel, moyens mis en œuvre. Le général termina par un vibrant hommage il est décidé qu'à l'avenir les noms des préaux qualités de résistance, de ténacité, d'en- sents et excusés seront inscrits au procèsdurance et decourage inlassable du Poilu de verbal. taires qu'on n'eût pas cru possible leur exis- Déon fait part du mariage de Mlle Odette Lafontaine, fille de notre cher camarade, avec tence, dans notre race, à un si haut degré. Par les applaudissements qui ont souligné M. André Pic, et adresse aux jeunes époux nos le succès de cette intéressante conférence, les plus sincères félicitations et vœux de bonheur. assistants ont manifeté leur satisfaction et Après lecture de là correspondance, les memleur gratitude à l'éminent conférencier. bres de la commission des fêtes s'occupent de Pour la prochaine réunion, lemercredi 10 notre fête du 17 avril. Naissance. Nous apprenons avec plaisir mars, à 21 heures, nous aurons une conférence du poète fantaisiste Jo 'Ginestou, sur: « l'hu- la naissance de Jacques Lesouëf, fils de notre mour dans l'amour et l'amour dans l'humoir.» sympathique camarade, et lui offrons ainsi N.-B. — Cela n'est pas précisément pour les qu'à madame nos plus sincères félicitations et jeunes filles!!! de bonne santé pour la maman et le vœux Poèmes de nos meilleurs humoristes inter- bébé. prétés par Mlle Jane Dalbiez et M. Henri Prochaine réunion, le merConvocation. Dickson, Mme Yvonne Lacaut et Jo Ginestou credi 3 mars, à 21 heures, au siège social, 28, dans leurs œuvres. boulevard de Strasbourg. A cette réunion, distribution de cartes pour 1 la L. D. ANCIENS des 32e; 232e R.I. et 69e R.T.I. Notre réunion de février s'est tenue le 10 « LE BURNOUS courant, à la Brasserie du Pont-Neuf, sous la L'Association amicale et philanthropique des présidence du camarade Lasseron. Une quarantaine d'adhérents étaient présents. Notre anciens Spahis, a tenu sa réunion mensuelle président remercie les sociétaires de la le 10 février, sous la présidence du commanconfiance qu'ils lui témoignent en lui renou- dant Fabre, assisté des membres du comité. Après lecture et adoption du procès-verbal velant le mandat de présider aux. destinées de la dernière séance, le président a donné de notre Amicale. Après lui, le camarade Mallère prend la connaissance de détails inédits sur le siège
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de Rachaya, du 20 au 24 novembre, où le 4e escadron du 12e spahis, encerclé par 2.000 Druses, se battit magnifiquement. Le capitaine Granger fut tué, ainsi que de nombreux gradés et spahis, et tous les chevaux. L'escadron fut dégagé, après 4 jours de siège, par le 6e spahis, et cité à l'ordre de l'Armée du Levant. En outre de la croix de guerre à déson fanion, le gouverneur du Liban survicerna le Mérite Libanais, et 70 spahis vants furent cités, pour leur belle conduite. Nombreux sont les sociétaires tués ou blessés à Rachaya. L'Association adresse à tous l'hommage de son admiration. Le commandant Fabre annonce également le décès de M. Martin, ancien trésorier; celui de Mlle Demangeat, fille du lieutenant Demangeat, et celui -du lieutenant de Laporte, du 9e spahis. Une délégation du « Burnous » représentait l'Association aux obsèques de M. Martin, et une couronne futdéposée sur son cer-
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Le secrétaire fait part ensuite de 24 adhésions nouvelles reçues depuisjanvier, parmi lesquelles celles du lieutenant-colonel Prioux, commandant le 8e spahis, et du lieutenantmolonel Brieu, commandant le 23e spahis ma-
rocains. Il est décidé qu'une délégation assistera le 21 février au service célébré Saint-Louis des Invalides, à la mémoire des morts des Armées de Champagne, comme l'an dernier. Puis, l'organisation du banquet de 1926, réservée le mois dernier, est mise endiscussion. Le commandant Fabre,est heureux d'annoncerqu'à la suite des démarches qu'il a faites, le maréchal Lyautey a bien voulu en accepter la présidence, et a fixé lui-même la date du samedi 20 mars. Lebanquet aura lieu, comme les années précédentes, au Restaurant Ledoyen, avenue -des Champs-Elysées, à 8 heures. Les ministres de la Guerre, des Colonies, les résidents généraux à Tunis et à Rabas ont fait part au président qu'ils s'y feraient représenter, selon la tradition. Une circulaire, indiquant les conditions du banquet, sera envoyée tous lesmembres, à la fin du mois. Tout concourt pour que le banquet de 1926 soit extrêmement brillant, et fasse honneur au grand chef militaire, qui a bien voulu donner une nouvelle preuve de sa sympathie à l'Association, dont il est membre depuis 1908, en acceptant de la présider. Enfin, avant de lever laséance, le président remet des invitations pour la distribution des - prix de la SociétéMixte de Tir, qui a lieu le 20 février, à la mairie du 10e arrondissement. La prochaine réunion aura lieu le 10 mars.
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ANCIENS du 25e R.I.T. L'assemblée générale du 25e R.I.T. a eu lieu le 11 février, sous la présidence de M. le colonel Rostang, président d'honneur. Malheureusement peut de monde présent et pas nos habituels. Pourquoi? Notre président, M. Guitter, rend un hommage à la mémoire de nos camarades Gouyet et Avondo, décédés dans le courant de l'année, et dans une allocution trèsénergique, rappel le devoir que nous avons à remplir en faisant l'impossible pour accompagner nos camarades dans leur dernière demeure. Nous savourons ensuite le compte rendu détaillé, par un Mayennais, de la visite d'un groupe de Parisien à Chateau-Gonthier, où ces derniers semble avoir été reçus à bras ouverts. Puis le camarade Glène donne lecture du compte rendu financier qui, sans être brillant (fêtes et cotisations en retard) est approuvé par l'assemblée et commenté avec bienveillance par notre sympathique commissaire des comptes, M. Delamotte, à qui l'assemblée se joint pour féliciter le trésorier. Comme les années précédentes, le comité
en entier se retireen demandant instamment augmenter, par le fait même, le nombre de à être remplacé par d'autre camarade. nos membres et entretenir la bonne camaraM. le président Rostang demande alors un derie qui règne sein'de notre Association; au candidat pour la présidence. (silence); pour il ne faut pas craindre d'insister auprès des secrétaire. (silence); poiir trésorier. (silence). hésitants qui ne conserveront aucun souvenir Enfin des noms pour tout le comité, toujours d'avoir été talonnés quand ils se rendront silence. compte de notre bonne entente. Devant cette apathie, qui du reste se renouPar - contre, nousavons d'autre part, enrevelle tousles ans, l'ancien bureau est renommé gistré une démission: celle du camarade Senneyille, qui a cru devoir l'accompagner de sans être candidat. Aussi commence-t-il par proposer une aug- commentaires qui ne rentrent absolument pas mentation decotisation et à l'unanimité cette dans le cadre de nos statuts. dernière est portée 10 francs à partir de Le président, Le secrétaire,
1927. à
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Le bal de la fêté annuelle est décidé et la date fixée au 18 avril; le camarade Boyer a
bien voulu secharger del'organisation. La séance est levée a 10 h. 30. Le président et tout le comité insistent d'une façon toute particulière pour prier les qui aura lieu le jeudi 1er avril, votre présence camarades d'assister à la prochain réunion sera pour eux la récompense des efforts qu'ils bonne ne cessent de faire pour le bien et marche de la Société. ! Pour le comité: Le secrétaire, PRÉVOST.
la
ANCIENS du 264eR.I. Réunion mensuelle du 17 février: Notre président, en voyaged'affaires, nous adresse, avec ses amitiés, ses regrets de ne pas être des nôtres. Notre trésorier, dont nous avons annoncé le mauvais état de santé, ànotredernière réunion, .va un petit peu mieux, mais n'a pu encore venir cette fois; nous espérons que ce mieux va s'accentuer, et qu'avec Mme Bureau ils seront des nôtres le 6 mars. Nous avons reçu avec leurs cotisations les amitiés du lieutenant-colonel Vannier (actuellement 5, rue Alphonse-Karr, à Nice), des camarades Laclaverie,Durand' (de Vannes), Lacellaz, Bellec (actuellement 8, rue Contrescarpe, à Nantes), Moreau Constant. Ce dernier nous prie de faire savoir, à tous les camarades que Mme Moreau prendrait un petit pensionnaire d'au moins 2 ans,qu'il aurait auprès d'elle les meilleurs soins, et le bon air de la Chemin des Egouts, à campagne; s'adresser Argenteuil (S.-et-O.). A l'issue de la séance, nous nous donnons rendez-vous pour le samedi 6 mars, à 19 h. 30, chez Le comité.
BAZAILLE.
CHAPART.
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AMICALE du 1er ARTILLERIE DE CAMPAGNE Compte rendu de la réunion annuelle du dimanche 7 février 1926: La salle n'étant pas libre la Fédération, là réunion a eu lieu au siège social du 95e R.I., 30, rue Turbigo. La séance est ouverte à 15 h. 30. Le commandant Belingard préside. Le secrétaire générale donne lecture , du rendu compte de la réunion de Gandier. Adopté. Compterendu annuel: Le secrétaire donne lecture du compte rendu annuel de toutes les manifestations notre Amicale a été représentée; il cite les noms des A. C. du 1erR.A.C. morts depuis l'armistice: colonel de Verchère, capitaine Collot, lieutenant Cosseron, capitaine Mézière, djudant Souverain. Le commandant Belingard et le colonelMerlin font l'éloge de ces braves. Naissances : Notre Amicale a été augmentée par quelques naissances, dont voici lesnoms: de Montalivet, Desalle, Pablier, Fleuriet, Garreau, Rebouillt, Detreilh. Se sont excusés: commandant de Montalivet, Dr Deguignand, Dr Goulfier, Rebouillat, Deschamps,Coursault, de Boissieu, Auchère, Gâtée, Pallier, Chatouillaud, de Fond-Lamothe, Sevrin, Penot. Adhésions J)r Deguignand, 1, rue Muzette, Dijon (Côte-d'Or) Legendre, 33; rue ErnestRenan, Villeneuvé-Saint-Georges (S-et-O.)
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Pasquelin, 12, rue Ferdinand-Fabre, Paris (15e). Lettresd'excuses commandant Montalivet. Deguignand qui nous envoie son adhésion. Mme Gallat, dactylographe de l'Amicale, qui s'excuse de ne pouvoir être des nôtres. De Boissieu qui appelé au dernier instant pour une mission. L'abbé Pavillard et le lieutenant Sevrin. Lecommandant Delingard critique l'es qui, pour lui, sont trop faciles. excuses RANCOURT-VERDUN « Compte rendu financier Le trésorier, M. , (Anciens des 151e et 351e R.I.) Deligeard, donne le compte rendu financier Notre prochanie réunion aura lieu le ven- et est félicité pour la bonne tenue de ses 21 heures, au siègesocial. comptes. dredi 12 mars, Ordre du jour: communications diverses du Election du bureau 1926 : Quelques camaradesdemandent que l'élection du bureau 1926 président. Etaientprésents capitaine Bazaille 2,. com- se fasse par bulletin. Le commandant Belinmandant Aunis 1, capitaine Robert 2, capitaine gard demande le maintien du bureau actuel Parriault 1, lieutenant Belleville 2, lieutenant et par main levée. Lesecrétairegénéraleoffre Henneton 1, lieutenant Lorentz 2, lieutenant sa démission, qui est refusée, et il consent à Martin 2, Béségher 2, Bouchaud Léon 2, Bou- assurer ses fonctions. Le bureau est maintenue chaud Michel 2, Blanchard 1, Bausch Bon- à main levée. Notre camarade Fleuriet est nommé présihomme 1, Bajard 1, Coussin 2, Dumaine 1, dent du comité des fêtes; Bourdeau-Volot, Dautruche 2, Ferraud 2, Fourez 1, Gohin 2, Gorius 2, Lenfant 1, Mayer 2, Michant 2, adjoint. Notre président, M.Vacher, devant s'absenMathis 2, Marmonteil 1, Pector 2, Robert 2, ter pendant six mois, M. Desalle, vice-présiTobi 2,Varlet 2, Chapart 2. Excusés: commandant de laRuelle, Storm. dent, remplira les. fonctions en son absence. La séance est levée à 16 h. 45 et l'on se rend Le lieutenant Belleville etnotre camarade Dautruche, bien que présents à notre dernière par petits groupes à l'Arc de Triomphe, où le réunion, ne figuraient pas sur notre dernière colonel Merlin dépose une magnifique gerbe convocation; nous nous enexcusons en le de fleurs. On se sépare en se donnant rendezvous à la Brasserie Billard-Sports, place des rectifiant. Le petit article de propagande que nous Abbesses, pour lebanquet. Banquet A 19 heures, les camarades arriavons inséré dans notre dernier bulletin porte ses fruits. Nous avons eu le plaisir, en effet, vent. Certains qui empêchés d'assister à la réud'enregistrer les adhésionsdes camarades ci- nion se retrouvent et ce sont toujours serreaprès: Brochet, Denis, Fourquemin et Huriez. ments de main, la joie de se revoir seces lie dans Nous comptons fermement sur eux pour nous les yeux. N'avons-nous souffert ensemble, faire connaître leurs amis des 151e ou 351e et rut les mêmesdangers, et ce sont toujours coules
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général Lequime arrive Le souviens Tu te ». « et l'on se met à table. Le général Lequime, notre président d'honneur, préside le banquet.
Delingard et le commandant le côtés, ses colonel Merlin. Le bureau est au complet. Comme l'an passé, les dames sont nombreuses, de gaieté. De charbeaucoup donne qui ce la boutonmantes jeunes filles viennent fleurir les remernière de nos présidents qui, pour cier, les embrassent sous les applaudissements. régner Durant le repas, la gaieté ne cessa detoujours qui et grâce aux membres du bureau surprises, une tomdes faire qu'à cherche ne bola avait été organisé discrètement. A la fin du dîner, M. Chollet, accompagné d'une chardont mante .jeune fille, placèrent des billets,caisse. le montant était au profit de notre D'autres billets restaient à placer; notre camarade Raymond fit fonction de commissairepriseur, et en un succès fou il réussit à faire monter à un taux assez élevé quelques lots de billets qui restaient. Ensuite le général Lequime et le commandant Delingard rappelèrent les faits d'armes de notre régiment et rendirent un pieux hommage à nos morts. Dans la partie concert, notre camarade Cho• colat, ancien combattant de notre régiment, où il a gagné la croix de guerre, et Atoff, du cirque Médrano, furent très applaudis. Notre camarade Fleuriet fut toujours le bagayeur amusant. Guennebaux ne voulant pas céder 80 Chasseurs, sa place nous fit entendre les où toute la salle reprit au refrain. Thuault eut sa part d'applaudissements, surtout dans le « Remouleur ». Un chanteur anonyme, avec une voix de ténor, termina la partie chant, très applaudi. Le clou de la soirée fut les frères Londonnia », du cirque Médrano, qui par « leurs équilibres et leurs acrobaties mirent fin à cette soirée où chacun en à garder un inoubliable souvenir. Quelques-uns lâchèrent pour leurs trains ou le métro, mais ce n'est que fort tard dans la nuit que l'on se quitta en se disant à l'année prochaine. Le secrétaire général, G. CHOLLET. A
AMICALE des 147 et 3471 R.I. Réunion du 19 février 1926: La séance est ouverte à 21 heures, sous la présidence du général Rémond, assisté du lieutenant-colonel Aubry. Le président Sontag communique le courrier en l'absence du secrétaire Feyaubois. Adhésion du fils ducapitaine Lecomte comme pupille de l'Amicale. Le général Rémond rappelle en quelques mots la mort glorieuse de cet officier si estimé de tous, le 5 décembre 1914, en Argonne. Lettre de remerciements du comité pour l'érection d'un monument aux morts de la Gruerie, pour l'envoi de notre souscription. Lettre de M. Lebeau, président de nos camarades de Sedan A. C. des 147e et 347e, qui, comme on le sait, se sont constitués indépendants de nous. M. Lebeau a invité le général Rémond et notre président Sontag à assister à l'assemblée générale et au banquet qui auront lieu le 21 mars, à Sedan. D'après les termes de sa lettre au général Rémond, M. Lebeau solliciteavec insistance un contact entre les A. C. de Paris et de Sedan, afin de faire cesser cette division qui existe entre les deux groupes. Après exposé du général Rémond et de plusieurs camarades, mieux vaut tenter l'union. Le général Rémond décide de se rendre à l'invitation de Lebeau, et c'est alors que notre vice-président Tricotet demande que notre président Sontag soit délégué à l'assemblée générale de Sedan avec le général Rémond. Cette proposition est adoptée à l'unanimité. Nous sommes persuadés que nos deux présidents sauront remplir la mission dont ils sont chargés: sceller l'union entre Paris et Sedan. Assemblée générale. — L'Amicale tiendra son assemblée générale au siège, le vendredi 19 mars 1926, à 21 heures précises, sous la présidence des généraux Rémond et Claudon. Ordre du jour: Compte rendu sur l'année;
hommage aux morts; vérification et approbation des comptes; création de la caisse de secours; renouvellement partiel du comité; nomination d'un conseiller; projet de la fête annuelle et d'une excursion sur le champ de bataille; questions diverses. Le président, Ch. SONTAG. AMICALE du 3" MIXTE Z.T. et 6' TIRAILLEURS DE MARCHE Réunion du samedi 20 février 1926: La séance est ouverte à 21 h. 30 par le président qui donne lecture de la correspondance. Lettre du commandant Brisseau, du l'r Tirailleurs, à Blida, qui s'excuse de ne pouvoir assister au banquet et envoie un mandat de 50 francs pour la caisse de l'Amicale. Lettre d'excuse du commandant Lasalmonic, qui regrette de ne pouvoir assister à la séance de ce jour, mais viendra au banquet. Lettre du camarade Botti qui, victime d'un accident, ne peut venir à la réunion, mais assistera au banquet. Lettre du camarade Thomas, de Vertus (Marne), qui retient une place pour le banquet. Lettre du camarade Moreau, de Brévannes, qui demande desRenseignements pour donner son adhésion. Lettre du camarade Barral, de Vendémian (Hérault), demandant des renseignements sur la Société. Le président fait connaître qu'il a répondu au commandant Brisseau en le remerciant au nom des camarades; il a également transmis les renseignements demandés par les camarades Barral et Moreau. Lecture est également faite d'une nouvelle lettre adressée par le capitaine Vergnette au présidnt, qui est chargé d'y répondre à titre tout à fait personnel. Les dernières dispositions sont prises pour l'organisation du banquet, qui aura lieu le samedi 6 mars, à 19 heures, à la Taverne du Nègre, 17, boulevard Saint-Denis (métro: StDenis). Sur la proposition du président, il est décidé que le banquet sera présidé par le commandant Lasalmonie. La séance est levée à 22 h. 30. Nota. — Le président rappelle aux camarades qu'ils peuvent amener au banquet les membres de leur famille ainsi que leurs amis. Le nombre de convives devant être donné au restaurateur la veille, les camarades qui désirent y assister sont priés de vouloir bien envoyer leur adhésion à M. Augis, 32, rue Lafontaine, à Paris (16e). L'UNION DES CRAPOUILLOTS » (8, rue Saint-Denis, Paris-1er) Par suite des fêtes de fin d'année, il avait été décidé que nos réunions mensuelles no reprendraient que le dernier jeudi de janvier. A cette dernière réunion, le conseil d'administration était presque au complet et plusieurs camarades, membres de l'Association, nous avaient fait l'honneur de leur présence. Tous ceux qui ont assisté à nos causeries toujours si animées, si franches, desquelles toute étiquette est bannie, où les sujets les plus divers sont traités avec la même bonhomie, sont partis satisfaits de l'atmosphère qu'on respire à l'Union des Crapouillots. Nous regrettons que nos adhérents ne viennent pas plus nombreux, pour donner un regain d'animation à notre club et nous soutenir dans la tâche que nous accomplissons depuis quelques années déjà. C'était notre sympathique Brunel qui présidait, assumant depuis décembre dernier les charges de la présidence à la place de Lopez, momentanément empêché. Les réunions de fin de mois sont en partie consacrées au travail, tandis que celles du premier jeudi de chaque mois sont exclusivement récréatives. «
D'autre part, nous avons fixé la prochaine date de l'assemblée générale au jeudi 6 mai prochain, à 21 heures, au siège social. Comme cette assemblée présente cette année un caractère exceptionnel, nous nous sommes proposés d'ouvrir cette fois un feu nourri de circulaires et avis divers par la voix de la presse, afin que tous les anciens crapouillots se réveillent de leur léthargie et répondent à nos appels. Et puis (chacun a son petit amour-propre, n°est-ce pas?). Nous ne voulons pas que K.Ki nous raille encore une fois, de sa verve subtile, spirituelle et caustique, comme il l'a fait qui a été le dans sa belle revue Circulez clou de notre fête de novembre dernier. Il faudra que notre camarade cherche matière ailleurs pour la prochaine fête d'hiver. Je sais qu'il n'est pas à court d'idées, néanmoins je lui propose comme sujet: « Ce que seront les crapouillots dans la prochaine dernière guerre" La question du secrétariat fut mise au point. Langle trouvant que ce rôle n'a rien d'attrayant, qu'il procure par surcroît pas mal d'embêtements, a rendu définitivement son portefeuille. Ce sera votre serviteur qui continuera à remplir ces fonctions, par intérim, cumulant cet emploi avec la charge du Bulletin, qui est déjà écrasante. Enfin « il ne faut pas verser des pleurs que pour les montrer a, comme disait Sénèque. D'ailleurs, par compassion, quelques camarades auraient voulu que je prenne une dactylb, mais nos finances, sans cependant être comme celles de Doumer, ne nous permettraient pas cette débauche et elles auraient vite sombré sous le poids de quelque jeune beauté. Alors, c'est moi qui « taperai sur la machine à écrire lorsque j'en aurai une. et entre nous, ce sera moins dangereux (!) et tout le monde y gagnera. Bref, après avoir longuement palabré, nous nous quittâmes à 23 heures. En regagnant mes pénates, je songeai mélancoliquement à ces associations qui disparaissent sans bruit l'une après l'autre, faute d'adhérents et je me disais combien les militants, les camarades dévoués, ceux qui n'ont pas épargné leurs forces, pour maintenir encore quelques parcelles de cet esprit combattant qui n'aurait jamais dû s'éteindre, doivent souffrir de l'apathie de leurs camarades. C'est pour eux comme une mort partielle de l'âme,car nous sommes si peu de chose ici bas dans la houle du temps qui nous emporte si vite qu'il est bon de se raccrocher à quelques branches au passage, de se retourner quelque fois en arrière pour mieux envisager l'avenir, de faire des haltes enfin pour avoir au moins la sensation de vivre.Mais, hélas! trop nombreux sont ceux qui pensent comme M. de la Pallice que « le passé n'est plus » et ils s'enlisent tout doucement. Vous ne remarquez pas d'ailleurs qu'on s'adresse toujours à peu près aux mêmes. A ceux qui nous lisent, qui nous écoutent (puisque les autres ont bouché leurs oreilles et fermé les yeux), à ceux-là on leur répète à satiété l'éternel leit-motiv: « Vous êtes indifférents, vous oubliez, etc. » Un beau jour ils finissent par croire que c'est vrai et ils se laissent aller eux aussi au gré
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des flots.., Avouons que ces maudits flots sont plutôt tumultueux depuis quelques années .déjà et que notre vieux navire fait eau de toutes parts. Il est vrai que si nos pilotes avaient voulu ou su, le navire, sous le souffle puissant de notre gloire, aurait vogué sur les eaux tranquilles et bienfaisantes de la paix et les anciens combattants auraient une toute autre
place dans leur pays. Mais voyez, la mer se démonte de plus belle et chacun de nous, anxieux, scrute l'horizon où le péril menace. Peut-être avant que ce péril fonde sur nous, un autre Péricard clamera dans la nuit un appel tragique et un peuple de héros se lèvera encore, prêt à sauver notre France immortelle. Ch.
BLAZY.
AVIS »
de la Société de Tir au Canon de Paris Nous remercions « La Marjolaine publicité qu'elle a faite dans son Bulletin de Ce 10 février 1926. janvier et des abonnements qu'elle nous a Le chef d'escadron d'artilleriehonoraire adressés depuis. CODILLON, vice-président de la Si toutes les Amicales voulaient se donner Société de tir au Canon de Paris, un tout petit peu de peine au sujet de notre Monsieur Président de la Fédéà cher Bulletin, notre tirage serait actuellement ( Nationale des Sociétésd'Anration à plus de 20.000, et leurs membres les remerciens Combattants. les cieraient pour avantages que nous offrons. Monsieur, Aux Artisans J'ail'honneur de vous confirmer la visite L'Exposition du MeilleurArtisan de Fran- que j'ai faite lundi 8 courant, au siège de ce aura lieu du 19 mars au 6 avril 1926, votre Société. La situationd'Agentadministratif de la au Grand Palais. Elle est ouverte à tous lesartisans français Société de tir au Canon de Paris étant devenue qui n'emploientpasplus de 5 ouvriers et com- vacante, je demandais si parmi les Sociétés prendra une Sectiond'artisans mutilés, une de la Fédération il se trouveraituncandidat Section d'artisans français et une Section d'ap- à la situation précitée. prentis. Cette situation était occupée par un lieutePourront y participer aussi les ouvriers qui nant d'artillerieterritoriale employée au Mitravaillent chez eux, en dehors de leurs occu- nistère des Finances qui, en dehors des heures pations régulières, les peintres, les sculpteurs de bureau, s'occupait de la partie administrative de notre Société avec le concours du et les artisans associés. Pour tous renseignements, écrire à M. conseild'administration. Dussault, commissaire général, 37, rue du Cet officier était logé, chauffé, éclairé et Repos, Paris (20e). recevait une mensualité de 125 francs.
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Au cours de la guerre notre agent a été promu capitaine et fait officier de la Légion
d'honneur; il a ensuite repris son service à la Société et aux Finances et vient d'être nommé percepteur en provnice; il faut donc pourvoir à son remplacement. Depuis la fondation de la Société (20 jan-
vier 1892), la situationd'agentadministratif a toujours été occupée par des officiers de réserve et à la satisfaction de tous. Les avantages qu'elle présente sont d'autant plus appréciables à l'heure actuelle que croissent les difficultés de la vie. Je vous serai très reconnaissant de vouloir bien me faire connaître, dès que possible, si vous avez un ou plusieurs candidats à la situation précitée; ces candidats étant officiers de réserve d'artillerie ou anciens officiers d'artillerie. Pour renseignements complémentaires ou entrevue, je me rendrai, à votre demande, au siège de la Fédération, 28, boulevard de Strasbourg. Dans l' attente de vous lire, veuillez agréer, Monsieur le Président, l'assurance de ma considération distinguée. GODILLON.
Chronique Juridique Les constructions nouvelles
devant l'impôt
La loi du 31 mars 1922 exempte d'impôts, pendant une période de quinze années, les maisons construites avant le 31 décembre 1927.
gréablement surpris de recevoir ultérieurement un avertissement d'impôt foncier et de portes et fenêtres, pour leur construction achevée. A ce moment il est trop tard pour réclamer contre cette injustice et régulariser la situation: l'administration vous répond tout net que vous forclos ». Il faut payer. êtes Il y a là de la part du fisc un abus intolérable qui fait chaque jour de nombreuses vic-
«
Cette loi a été votée pour lutter contre la crise des logements en encourageant l'initiative des bâtisseurs. Mais pour bénéficier de cette loi, favori- times. sant les constructions nouvelles affectées à l'haLes législateurs n'ont fait dépendre le droit bitation, il ne suffit pas de déposer en mairie temporaire, pendant quinze ans, l'exemption à demande d'autorisation de construire. Il une faut signer également une déclaration spéciale de l'impôt foncier, de la contribution des portes fenêtres, des taxes de la ville et du déparet sur un registre destiné au fisc. Or, aucune loi d'aucune autre condition que de l'achètement, fait mention de ne cette dernière formalité. 31 décembre constructions le des avant vement C'est pourquoi beaucoup de petits propriétaires, croyant de bonne foi que l'autorisation 1927. de construire, qui leur est délivrée,suffit Ni cette loi de 1922, ni même celle du pour que leur maison soit exempte d'impôts, confor- 12 août 1890, qu'elle a modifiée, ne font mément à la loi, sont fort étonnés et désa- mention d'une déclarationobligatoire et spé-
ciale à faire au fisc pour bénéficier de l'exonération temporaire.La seule déclaration mentionnée est la demande d'autorisation de construire à faire à la mairie. L'exigence d'une autre déclaration n'est donc pas légale. Elle permet au fisc d'entraver l'œuvre du législateur et de reprendre d'une main ce qui a été donné de l'autre. On ne saurait tolérer, dans l'intérêi public, une pareille comédie faite pour leurrer le contribuable.
De tous côtés des protestationsindignées se font entendre. Dans la presse, d'éloquents appels s'élèvent contre cet abus. Nos législateurs ont le devoir urgent d'exiger que l'administration respecte les lois qu'ils votent et ne sabote pas une œuvre dictée par d'impérieuses circonstances. Nous espérons qu'ils prendront, avant peu, les mesures nécessaires. SAINT-BRIS,
Docteur en Droit.
Tribune Libre Des Idées
quoi servira le rajustement des pensions, sacrifices financiers consentis sans vouloir se la création d'un Office national du Combat- souvenir que ce sont ces mêmes victimes de Les Mutilés, les Anciens Combattants se tant, le paiement d'une indemnité de vivres la guerre qui ont sauvé la France et le monde. Et la réponse vient d'elle-même: il faut que doivent, en présence de la situation difficile aux A.P.G., de donner une retraite aux A.C., de Trésorerie, d'aider le pays à sortir de si la situation financière du pays ne s'améliore les A. C., les mutilés résumés dans le Comité la passe tragique dans laquelle il est engagé pas, si le franc continue à baisser d'Entente, entreprennent une action, que disTous les avantages acquis ne seront qp'un je, une croisade en faveur du redressement par suite des charges effroyablesqu'il a dû assumer pendant la guerre et des sacrifices leurre. Bien mieux, les charges financières que financier. Il faut que le Comité d'Entente, la plus formidables qu'il a du consentir pour la re- le pays devra assumer, aggraveront encore la construction des régions dévastées, le paiement situation et pour si légitimes que soient les grande force morale qui soit, étudie d'urgence des pensions et les intérêts des différents revendications dont nous poursuivons la réali- les moyens propres à permettre le redressesation, il se trouvera bon nombre d'esprits ment financier qui sera dans l'ordre éconoemprunts de guerre. On est en droit de se poser la question chagrins ou tout simplement malveillants, mique ce qu'a été dans l'ordre militaire la suivante pour reprocher aux victimes de la guerre les victoire de la Marne gagnée par ceux qui,
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A
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aujourd'hui, réclament des réparationssans cesse ajournées. caisse J'envisage donc la création d'une Comité d'amortissement sous le patronage du ferait d'Entente pour le succès de laquelle il toute la campagne nécessaire. Pendant cinq ans, nous avons servi, notre de guerre, nous pouvons pays pour une œuvre et nous devons aujourd'hui le servir pour une reconstruction. de et paix de œuvre VOLVEY, Secrélaire général des A.P.G. A
Puisque tous les groupements viennent au provisoires Finances, des Ministres des secours et passagers, pourquoi la Fédération Française des Unions et Sociétés d'Anciens Militaires et Combattants,quigroupeplus de 100.000 membres par ses Sociétés affiliées, ne lancerait-elle pas dans son milieu : la Contribution Volontaire Elle ne veut pas faire de politique Cela n'en est pas. Et ellepourrait prendre ainsi la tète du mouvement des anciens combattants qui, sans direction, se lancent trop a droite et trop à gauche.
?
!
;
L'Amicale du 211 a bien lancé l'idéede laloterie cette l'emprunt obligatoirebasé étéreprisepar grands quotidiens idée et par des hommes politiques sans que l'on parledu 211.Onn'oserait peut-être pas en faire autant avec la Fédération ?
sur
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de
X.(ihanoiix, Présidentdel'Amicale du211.
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A
La majorité nos députés repousse les projets de loi institeuant l'Emprunt avec lots sous prétexte d'immoralité. Dans cet ordre d'idée, les emprunts à lots du Crédit National, du Crédit Foncier, de la Ville de Paris,les jeux, les courses, les Casinos no sont pas plus moraux et font cependant sortir l'argent de la poche des particuliers pour le faire rentrer dans les coffres de l'Etat. Notre situation financière actuelle ne nous permettant plus cet excès de scrupules, je prends la liberté de vous faire part de l'idée Banque que préconise un chef de service à de France qui, de par sa fonction, ne peut se faire connaître. Voici quel en serait le mécanisme Emission par l'Etat d'un Emprunt sous
la
:
forme d'obligations, sans intérêts, mais à lots. Un contribuable ayant moins de 500 francs d'impôts à acquitter souscrirait d'office une demi-obligation; le contribuable ayant de 500 à 1.000 francs d'impôts souscrirait une obligation et ainsi de suite à raison d'une obligation par 1.000 francs, et d'une demi-obligation par 500 francs. Exemple: un contribuable ayant 2.500fr. d'impôts souscrirait deux obligations et demie. Faculté serait laissée à ceux qui, attirés par
Chronique théatrale COMEDIE-FRANÇAISE Carmosine, comédie en trois actes, en prose, d'Alfred de Musset. La charmante comédie de Musset, jouée pour la première fois à l'Odéon, en 1865, vientenfin d'être représentée au Théâtre Français, ce qui n'ajoutera d'ailleurs rien à sa renommée. Constatons simplement que cette fois le choix du comité de lecture a été plus heureux que pour certainespièces dites modernes, dont le moins qu'on en puisse dire est qu'elles sont simplement regrettables! Mais laissons
les lots, désireraient souscrire plusieurs obligations, de pouvoir le faire, étant entendu que ceux qui ont peu d'impôts à payer à cause de leur situation modeste en seraient dispensés, Par contre, les employés, fonctionnaires, titulaires de professions libérales qui, sans payer de gros impôts, se fontde jolis traitements, seraient tenus de soucrire des obligations en rapport de ce qu'ils gagnent. Dans les conditions proposées, nous supposons que l'Etat arriverait à placer au moins 20.000.000 obligations, soit 10 milliardsd'argent versé dans les caisses de l'Etat sans que celui-ci ait un centime débourser, argent qu'il emploierait de suite au remboursement de ses Bons du Trésor et au rachat en Bourse de ses derniers emprunts. Il aurait i nsi l'année suivante une plusvalue correspondante à l'intérêt de ces 10 milliardsqu'iln'auraitplus à verser, ou 600 millions de francs. Sur cette somme, l'Etat verserait à une caisse spéciale 120.000,000 pour le remboursement au pair et 60.000,000 pour les lots, et cela, tous les ans. 120.000.000 60.000.000 180.000.000, il reste-
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+ raitdisponible420millions.
L'Etat continuerait l'année suivante, à racheter en Bourse une partie de sa Rente et ainsi de suite pour les autres années en ajoutant à ces 420 millions l'intérêt qu'il n'aurait plus à verser pour la somme remboursée d'année en année, soit: 420.000.000 à 6 rx:=2;) millions 200.000 francs. année: 420.000.000+ nemboursementde 25.200.000^ 445.200.000francs; ce qui donnerait en dix ans:
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Tirages mensuels de 5.000.000
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2
10 5
40 80 lfjO
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de 1.000.000 500.000 200.000 — 50.000 — 100.000 — 10.000 — 5.000 — 2.500
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cela et revenons à Carmosine, qui soupire si languissamment: Va dire, Amour, ce qui cause ma peine. A mon seigneur, que je m'en vais mourir!!! La pauvrette aime son maître, le roi Pierre d'Aragon. Tant qu'à faire!!! Mais la reine est bonne et magnanime. Un troubadour chantant, un clerc violemment épris, un matamore grotesque; le médecin Bernard et dame Pâque, père et mère de Carmosine, s'agitent, évoluent, expriment leurs sentiments dignes des contemporains de Boccace et de La Fontaine en un langage d'une élégance et d'un style que l'on ne connaît plus. Musset sera toujours un charmeur! Il faut citer parmi les interprètes, Mme
300 300
2.000 1.000
— —
5.000,000
899 an 899
lotsX12=1.0788 obligations. Soit par En dix années notre dette aurait diminué de 16 milliards 788 millions, pour lesquels l'Etat n'aurait plus d'intérêt à verser. Par ces temps critiques, l'idée n'est certainement pas nouvelle, mais elle pourrait être étudiée.
Emile Biu'nkt, JugeauTribunaldecommerce
Aigi-efeiiille.
A J.'Kgalitédans la souffrance : c'est ce qu'une catégoried'anciens militaires réformés d'avantguerre, pour blessures ou maladies contractées en service commandé demande au gouvernement de leur accorder. Beaucoup de ces anciens soldats réformés sans pension, malgré l'origine prouvéede étémis porte des leursinfirmités, casernes ou des hôpitaux en se voyant appliquer des procédés indignes d'ungouvernement basé sur la justice. Ils sont partis écœurés, trop fiers pour mendier ce qui leur était dû; ils étaient jeunes; ils espéraient guérir. Plustard, ils se sont aperçus qu'ils ne pouvaient gagner leur vie à cause de leur infirmité et ils ont réclamé l'aide qui leur était nécessaire pour vivre. On leur a répondu qu'ils étaient forclos pour leur droit à pension et que la réforme n° 2 qui, suivant la loi, veut dire réformé pour infirmités non imputables au service, empêchait que l'Etat leur serve une gratifi-
àla
ont
cation. Beaucoup de ces malheureux sont morts dans la souffrance et dans la misère, faute de soins, à cause de ces infirmitéscontractée.s 011 sernice de la France ceux qui vivent encore réclament en vain l'aide dont ils ont besoin et qu'on leur refuse. Ne serait-il pas temps qu'une loi de justice intervienne en faveur de ces victimes militaires ? La vraie justice ne commande-t-elle pas qu'un soldat qui contracte une infirmité au service de son pays soit aidé ? Quelles que soient les circonstances (guerre, corps d'occupation coloniale et même dans les corps de la métropole) et l'époque où il a contracté cette infirmité, surtout si celle-ci le rend incapable de subvenir à ses besoins. J'en appelle aux sentiments de justice de tous les mutilés et malades de la guerre en leur demandant d'intervenir auprès des pouvoirs compétents pour que soit adoucie l'existence de leurs malheureux frères de souffrance. G.-n, M ncHaison-Ambi.au», Ex-artilleur colonial, réformé n0 2
;
a
pourblessureettuberculose contractéesenCochinchine, Membres des
«
Bigors
».
Marie Bell (Carmosine). Mme Bell est belle et pleine de talent. Mais sait-elle que son nom en anglais signifie cloche? The liberty bell est le titre d'une célèbre marche américaine. Pourquoi choisir un pareil pseudonyme? La personnalité de l'artiste vaut mieux.Complimentons aussi: Mme Mary Marquet, MM. Albert Lambert, Siblot, Weber et Dorival.
THEATRE DE PARIS L'Animateur, drame en trois actes d'Henri Bataille, a retrouvé le succès qui l'avait accueilli lors de sa création.Cettepièce émouvante où l'amour paternel se trouve en proie aux luttes que nécessitent les vileries et basses intrigues de la politique, est une des meilleures
d'Henri Bataille. Elle a simplement
le
défaut
de finir un peu trop brusquement en son dénouement tragique. L'interprétation est parfaite avec Mmes Yvonne De Bray, Jeanne Rolly, MM. Harry Baur, Mauloy, Bour, etc.
PALAIS-ROYAL
Une revue en deux actes et seize tableaux
signéeRip,musique de Christine, remplace
l'habituel et désopilant vaudeville. La verve de l'auteur s'exerce malicieusement aux dépens de tout et de tous. L'Exposition des Arts décoratifs; toutes les actualités; les politiciens en vue; les métèques, fournissent à l' au'eur l'occasion de brandir le fouet de !a satire. Parmi les scènes les mieux réussies, notons celle où
Les Livres
lignes.
MARCEL BOUTERON. Bedouck ou le Talisman de Balzac. Paris, Cité des Livres. — Paris, Grasset. JEAN GIRAUDOUX. YVON DE SAINT-GOURIC. De la men— actuelle. Asnières, Edition de la talité Revue des Indépendants, 5 fr. En vous signalant dans une de mes dernières chroniques publication du 4e Cahier balzacien, je ne pensais pas avoir si tôt l'occasion de vous entretenir encore du grand romancier dont le nom est si intimement lié à la littératurefrançaise du XIXe siècle. Et pourde plus en plus à tant Honoré de Balzac la mode. L'Ami du Lettré de 1926 publie article plus des Balzaciennes Etudes les un sur
Bella.
la
est
;
l'autre. Une circonstance fortuite l'ayant révélée,
Il sera rendu compte de tout ouvrage adressé relation cesse entre les amants, mais toute à M. Blanchard, secrétaire, 24, rue de Ménil- l'amour chez Bella l'emporte la haine et, sur montant, Paris (20e), ou au signataire de ces les maîoù les Rebendart, qui
un ménage de braves bourgeois provinciaux venus pour dîner au restaurant, constate avec stupeur que tout y est devenu style anglais ou américain; les prix aussi naturellement. D'ailleurs deux métègues anglais et américain surviennent; ils achètent les plats aux enchères et laissent aux Français la carte à payer!. — Je voudrais être Chinois, dit le mari, parce intéressants dans lequel M. EmileHenriot rapque les Chinois sont xénéphobes! Qui donc en pelle les principaux ouvrages consacrés au cours France n'est pas Chinois,maintenant Citons de ces dernières années à l' auteur de la aussil'ahurissant final du Bourbon-Palace, Comédiehumaine et notamment la Prodigieuse autrement dit la Chambre des députés la scène vie d'Honoré de Balzac, M. René .Benque du vieux beau sur le retour, si bien personnifié jamin a eu l'heureuse et délicatepensée de par Brasseur qui avec Le Gallo, Duvallès, dédier prince des balzaciens », M. « au Georgé, Mmes Marguerite Pierry, Monthyl, Marcel Bouteron. mènent la danse avec un brio bienparisien. Tout ce qui touche Balzac intéresse au CONCERTS COLONNE plus haut point l'érudit conservateur de la Avec denouvelles auditions, signalons un Collection. Spœlberch de Lovenjoul, qui ne splendide festival Beethoven-Berlioz, où fut laisse dans l'ombre aucun détail de la vie et remarquablement exécutée la Messe solennelle de l'œuvre du Maître; les Cahiers balzaciens Sanctus) de Beethoven (Gloria ré, et le ne suffisant plus à son ardeur inlassable pour et en Requiem, d'Hector Berlioz (Lacrymosa, Sanc- nous faire part de ses découvertes, il entretus, Dies irae, Tuba mirum). On connaît prend aujourd'hui une nouvelle collection dont l'impressionnant effet obtenu par cette œuvre les bibliophiles auront tôt fait de s'assurer les titanesque. Elle nous rappelle que Berlioz ne rares exemplaires. Le premier numéro de Balfut pas seulement un génial musicien, mais zaciana est consacré à Bedouck. Intrigué par ce mot sybillin trouvé à trois encore un chef d'école, dont l'influence sur la génération qui suivit fut considérable. Le fa- reprises dans les Lettres à l'Etrangère, M. meux Wagner, lui-même, l' a ressentie. Hon- Marcel Bouteron se morfondait de n'en pouvoir découvrir le sens, lorsqu'il se rappela neur à l'illustre Francais Berlioz. Le maître Gabriel Pierné dirigeait cette qu'une lettre du romancier maintes fois — imposante manifestation d'art musical. Tout maniée portait l'empreinte bizarre d'une — récemment promu officier de la Légion d'hon- bague donnée à Balzac par M. de Hammer neur, il fut l'objet de la part de son orchestre, et dont Léon Gozlan parle dans son Balzac en et de son fidèle public, d'un touchant hommage pantoufles. Faire déchiffrer cette empreinte d'admiration et de sympathie. M. Blanquart, parun orientaliste distingué devint le souci de le distingué flutiste soliste, virtuose, lui remit M. Bouteron qui sursauta de joie en entendant la choix d'officier qui avait appartenu à feu le savant, après un minutieux examen, prononEdouard Colonne, offerte par Mme Colonne cer la formule magique.Bedoucâ était le en souvenir de son célèbre mari, dont une rue talisman de Balzac, talisman d'une grande qui limite le théâtre du Châtelet porte le nom. force si l'on en croit les Arabes, et qui rend Le maître Pierné, -comme compositeur et toujours heureux quiconque le porte gravé sur comme chef d'orchestre, admirablement secon- un rubis monté en or. dé, d' ailleurs. tient au premier rang la place de grand chef des grands concerts. Qu'il me La critique a beaucoup parlé déjà de Bella, soit permis, au nom des disciples de l'école le dernier de M. Jean Giraudoux, roman française musicale de lui adresser l'hommage publié dans les Cahiers verts de la librairie d'un critique qui ne peut que lui adresser un Grasset. Je m'y étendrai pas longtemps. ne légitime et unanime éloge. Deux grandes familles, les Rebendart et Louis- EmileFOUQUET, les Dubardeau nourrissent une rivalité et une Sociétaire de la Critique dramatique haine réciproques qui rappellent immédiateet musicale. ment celles des Montaigu et des Capulet. Mais Un Secrétaire administratif est à entre ces deux familles, M. Giraudoux a placé votre disposition pour tous renseigne- une femme: Bella Rebendart s'est éprise de ments, de 2 heures à 4 heures, au Philippe Dubardeau et est aimée de lui sans siège de la Fédération. que, par un miraculeux hasard, leur véritable
!!
personnalité ne soit connue ni de l'un ni de
sont au momnt tres du jour, vont triompher de leurs rivaux et assouvir leur vengeance, Bella rend toute accusationimpossible en brûlant les documents compromettants pour les Dubardeau et tente une réconciliation; ses efforts étant restés vains, elle se rompt une artère pour ne pas avoir à choisir entre sa famille et son amant. Certains ont prétendu que M. Jean Giraudoux avait voulu mettre en scène deux familles du mondepolitique. Peut-être, mais cela n'est pas prouvé. Voulant demeurer sur le terrainlittéraire, je me bornerai à dire que ce livre, qui a déjà fait beaucoup de bruit, m'a vivement déçu. Je préfère M. Giraudoux auteur de Siegfried et le Limousin. :¡;'*
La place me manque pour vous parler longuement d'une petite plaquette que jeviens de recevoir et qui mérite d'être lue: De la mentalité actuelle. M. Yvon de Saint-Gouric a réuni dans cette plaquette une série de conférences des plus instructives dans lesquelles il définit et juge la mentalitéfrançaise et précise combien elle est profonde et subtile aussi, combien elle est loyale et fière. En un style clair et précis, M. de Saint-Gouric s'efforce — et il atteint son but — de démontrer que la mentalité actuelle n'est pas immuable et qu'un effort, souvent très petit, suffit quelquefois à transformer pour la plus grande joie de tous un état d'esprit qui effraie sans émouvoir, état d'esprit que l'on constate sans s'élever contre lui, que l'on subit sans lutter. Tous les anciens combattants voudront lire ce petit livre et seront d'accord avec l'auteur pour se convaincre qu'un petit grain de sable peut quelquefois, pour le plus grand bien de tous, arrêter « la roue qui tourne». Jean VICAIRE, Membre du Syndicat des Journalistes et Ecrivains.
N'oubliez pas qu'un Service Médical (liste au siège de la Fédération) vous permettra de vous soigner, vous et les vôtres, dans de bonnes conditions. (Médecins et Pharmaciens, prix spéciaux. )
:
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Vie et Décès au Assurez-vous service de la Mutualité de la Fédé-
ration.
MMMirriiiiMlMiiiiiiirmTimiTnirMmiiliïmiiiliiiiiTiTniiiiiiiiiiiiiiiMiiiiiiin
inséreront vos convocations, fêtes, comptes rendus. Abonnement : 3 francs par an et par Echos
Les
!
membre
Nos Fêtes l'Amia été donnée par cale du lf Cuirassiers (anciens de Dupleix), lesquels ne font pas encore partie de la Fédération; mais, les Echos ayant reçu une invitation, ont décidé de me continuer le service la rive gauche, de salons les avant pour en rue d'Alésia. Tout Paris à traverser: Gare de l'Est-
La première du mois
r
et.
Montrouge. Bah! La semaine d'avant j'avais bien- été du «Diable Rouge», bal Maine, du au avenue mais ceci s'étant passé en janvier, je ne dois fêtes de février. un compte rendu que des Je le regrette! Reçu par notre camarade Varlet, le sympathique trésorier de l'Amicale, qui présente les Echos (en ma personne), au bureau de la Société, lequel ignorait complètement les avantages qu'offraitlaFédération. Heureusement j'avais sur moi plusieurs numéros des Echos qui indiquaient tout au moins une partie de ces avantages. Si bien qu'une simple lecture de la première page les mit complètement à la. page et m'évita (heureusement pour moi fortement enrhumé par toutes ces sorties de nuit) de leur expliquer. Un banquet de près de 100 couverts réunissait les Anciens du 1erCuirassiers et un bal très bien compris, mais un peu vieux jeu, termina cette fête. **
:
amis Ecorchard et Hornac ont gagné presque tous les lots. Non. Ce n'est pas cela. Ils avaient, pour être sûrs de gagner, pris presque tous les billets, sauf un cependant puisque j'y ai gagné un superbe cendrier en cuivre repoussé. Un bon petit orchestre, un plancher mauvais (on vend cependant de la cire en grains qu'on lance et qu'on fait étendre par les danseurs). mais avec un pianiste qui joue en mesure, cela va tout de même. Un peu plus de lumière ne gênerait pas non plus, car les huit lampes doivent bien faire à elles toutes: 32 bougies? Aussi ne fis qu'un saut à la mairie du 1 0e pour me tuyauter auprès de tous les secrétaires de ce qui s'était passé. Macpherson: épatant me dit l'un. Le programme, mon vieux, tu aurais dû venir, me dit l'autre. Ce qu'il était? Je l'ai lu, mais pas entendu. Mais une indiscrétion du metteur en pages des Echos m'a fait apprendre que Solférino publie un compte rendu élogieux. Tant mieux pour moi. c'est autant de fait. Je me contenterai donc de parler du bal. Orchestre: les musiciens partent au signal, font du rallye-paper et arrivent l'un aprèsl'autre à la finale. On s'en pourvu qu'on tourne! Un parquet très bon; une salle sans acoustique, mais cela provient qu'un panneau peint du fond représente un pont métallique sur une scène avec des guerriers romains ! Macpherson, toujours homme du monde, a le même gracieux sourire pour ses invités que lorsqu'il reçoit de l'argent pour la Fédération, et pourtant il a distribué ces sourires gratuitement, car la grande salle des fêtes de mairie du 10e était à peine suffisante pour tout le monde.
je
f.
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Ceci se passait le 6 février et le dimanche 7 obligé de continuer par desmatinées Une: Aux anciens de l'Ecole de la rue Pelleport,matinée artistique d'une organisation parfaite et digne de son comité, qui a su en pleinquartier de Belleville trouver les fonds nécessaires l'élévation d'un monument pour les anciens élèves et professeurs morts pour la Patrie. Au Patronage Saint-Pierre, 276, rue des Pyrénées, représentationdeSainte-Odile, jouée ~-./ ~~--,~ par l'auteur, Mme France, au profit de la construction d'un patronage. Pourquoi je vous cite ces deux matinées qui n'ont qu'un rapport lointain avec nos Amicales? C'est que j'ai regretté que nos militants ne suivent pas ces manifestations d'énergie et de volonté; ilspourraient ainsi se rendre compte J: pourquoi leurs Amicales faiblissent, pourquoi pour tous Ordres FRANÇAIS et ETRANGERS leurs fêtes n'ont pas tout le succès qu'elles devraient avoir et constater ce que l'un a obFABRICANT, tenu pour le souvenir des morts en plein quartier que l'on dit communiste et l'autre pour I) 26. Rue Vivienne (2') près la Bourse |) <« l'édification d'un immeuble, d'un chez-eux, 87869 T'ibuoal de Commerce de la Seine 356.60, PARIS(|I l'espace d'un quartier communiste!! POSTAUX CENTRAL C/C Téiep 37-43 en an, ce I|| DIETSRAPID-PARIS qu'on suffisamment puisse Télégraphique mainversé Adresse : a pour tenant soumettre aux donateurs le plan du > ]|j d'ORDRES Spécialité patro. Diamants et Pierres Pines Quelles leçons pourrions-nous prendre là D'ART JOAILLERIE > la Maison des Anciens Combattants. pour
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De là aux « Bigors ». Arirvée à l'entr'acte, tirage de la tombola et j'ai constaté que nos
REPARATION ET REMISE A NEUF DE rOUTES DÉCORATIONS
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Samedi 20: Distribution des récompenses aux lauréats de la Société Mixte de tir, sous la présidence du général Lagrue et toujours à la mairiedu10e. Presque tout l'état-major de la Fédération. Discours, et appel des lauréats. Cela me reportait à années de mes distributions de
!
prix
Ainsi que je l'avais constaté déjà à cette époque, ce sont toujours les mêmes qui sont
!
appelés
Pourquoi cette Société ne fait-elle pas plus de réclame par les Echos pour se faire connaître et amener à elle tous les tireurs des Amicales, et il y en a des tireurs, dans chaque catégorie, même et surtout des tireurs au flanc!) J'ai compulsé la collection des Echos et il m'a fallu remonter à un an pour savoirqu'il y a eu un tableau des jours de tir, mais je n'ai pu trouver les conditionsqu'il fallait remplir pour y être admis? Les Echos, qui réclament des articles, seraent heureux de faire connaître à tous nos camarades cette œuvre intéressante. Un bal avec l'orchestre dont j'ai déjà parlé, mais un petit progrès c'était presque ensemble. Un souper organisé par la Maison Robert, 7, rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie, très bien et le représentant des Echos a dû le trouver également car dans le match qu'ilavait fait avec un secrétaire-adjoint, c'est lui je crois qui a le plus mangé et bu! Il fallait voirleprésident de la Société de tir regarder cela d'un air navré! Bonne soirée puisque, assistant au commencement, parti à un autre bal, j'étais revenu pour le souper. Et pourtant, l'autre bal, donné par l'Amicale du 37e R.I.T. dans les salons de Lutétia, avait été précédé d'un banquet de près de 200 couverts et 12 musiciensenfaisait danser au moins 400 personnes dans une salle de 100 mètres carrés Quelle chaleur, heureusement qu'il y avait un buffet!
:
!
** *
Vous voyez que la place qui m'a été confiée par les Echos n'est pas une sinécure et qu'il faut de l'entraînement pour résister à ces flots de musique et de champagne samedi, dimanche, et il y a encore mars et avril! Mars nous amènera des bals travestis, accessoires fournis sans aucun doute par notre ami Lopez (réclame non payée), et je suis curieux de voir la tête de nos sérieuxprésidents déguisés en almés ou en. gens pas sérieux. L'AUXILIAIRE DE SERVICE.
Amicale demande à se grouper avec d'autres Amicales pour organiser sorties-excursions le dimanche pendant l'été. Ecrire à Blanchard, aux Echos.
Quand nous écrivions le 20 décembre dernier, que l'accord entre le ministre et la commission des Finances de la Chambre nous paraissait devoir être très difficile, nous n'aurions pas osé supposer que deux mois plus tard on chercherait encore les termes d'une transaction. Décidément M. Doumer tient à justifier la plaisanteappellation d'un journal de gauche, qui voyait sous son apparente rigidité de principe « un roseau
peint en fer ». Sous les orages des discussions parlementaires il a plié mais n'a pas rompu. On affirme aujourd'huiqu'il l'emportera, que les deux Chambres voteront de justesse les taxes indirectes réclamées et les optimistes proclament par la bouche de M. Chéron que tout sera sauvé. Nous ne sommes malheureusement pas de cet avis. Le remède de M. Doumer, pour garder un peu d'efficacité et soulager notre trésorerie, aurait dû être appliqué sans retard. Voyez quelleagitation on a laissé se développer dans le pays contre les taxes indirectes. Elles rencontrent l'opposition irréductible des milieux d'extrême-gauche et de ceux-là mêmes qui sont forcés d'en assurer le recouvrement: des commerçants. Est-ce là, dans les circonstances graves que nous traversons, une attitude antipatriotique? Il faut bien reconnaître que suivant l'expression de Joseph Caillaux, l'impôt au-dessus d'un certain taux, se dévore lui-même. Le contribuable, écrasé d'impôts directs, écœuré par la hausse des prix qui résultera forcément de l'application des nouvelles taxes, se restreindra et l'activité économique du pays décroîtra. On aura ainsi tari la source même de l'impôt et voilà le budget déséquilibré. Que nos camarades exercent leur imagination à rechercher la solution de ce terrible dilemme! Pour équilibrer le budget, il faut une surchage d'impôts de 5 milliards 200 millions. On les demandera en grande partie aux taxes indirectes, qui ne seront productivesqu'autant que les affaires seront actives. Or, l'excès d'impôts amène forcément une diminution du pouvoir d'achat du contribuable. Il se res-
Pour
treint; le commerce en souffre; les taxes ne produisent plus et l'équilibre budgétaire recherché est détruit! Nous persistons donc à penser que rien de véritablement sérieux ne sera fait tant qu'un plan d'ensemble n'aura pas été présenté au pays et accepté par lui. Hors cela, nous ne poursuivrons que chimères et n'atteindrons que désillusions.
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Il est très probable que la tenue du franc reflètera dans les derniers jours du mois de février et la première dizainedemars,l'inquiétude de l'étranger devant l'âpreté des discussions soulevées à la Chambre par le vote des taxes Doumer. Une hausse des changes est donc à prévoir pendant cette période.Ledésarroi qu'elle engendrera, dans l' esprit de nos parlementaires, contribuera sans doute grandement au succès du gouvernement. Si, comme on le croit, la Chambre vote les taxes indirectes, il est certain qu'une amélioration des cours du franc saluera la victoire gouvernementale. Il conviendra d'ailleurs d'en louer sans réserves notre subtil président du Conseil. Mais ensuite? Le cabinet Briand, après ce dur combat, n'est pas Réforme électorale. au bout de ses peines.Mille écueils subsistent Réorganisation de l'armée, etc. Le cartel ne se reformera-t-il pas sur une quesfion secondaire. Il est un peu comme ces morts qu'il faut qu'on tue plusieurs fois, ce nous semble. II y aura surtout de nouvelles difficultés monétaires. Le projet Doumer ne résout pas la délicatequestion de la trésorerie et le mois d'avril pourrait bien justifier les pronostics que nous émettions dans notre dernière Chronique. Mais attendons: à chaque jour suffit sa tâche. Nous avons un mois de répit! Qu'il va nous paraître doux après l'agitation qui l'aura précédé!
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