L'Impartial oranais. 28/02/1931

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L'Impartial oranais. Journal politique, rĂŠpublicain, progressiste. Paraissant les lundi, mercredi et vendredi

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L'Impartial oranais. Journal politique, républicain, progressiste. Paraissant les lundi, mercredi et vendredi. 1931/02/28. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter utilisationcommerciale@bnf.fr.


Léon Fouque .1-

me les trottoirs, il avait l'abord dur, mais qu'il cachait sous sa rtdesse un cœur d'or. Serviable, il l'était à l'excès, et les pauvres n'ont jamais eu qu'à se louer de lui. Travailleur infatigable il était toujours le premier arrivé, à la Mairie,

taillons-étrangers qui, au cours des siècles avaient existé en marge de l'arméefrançaiseetles innombrables actions d'éclat qui ont illustré son drapeau aux quatre

coins du monde. L'Echo d'Oran », puis «La Dépêche Oranaise » ont publié l'avis suiOn a beaucoupdécrié la Légion; vant : généralement mal connue. on et le dernier parti. M. Léon Fouque, industriel, fait Elle n'aguère vécu que de légenconnaître qu'il est candidat du «Par Il a prouvé lors de son passage, à des la vérité lui serait bien due, ti du Travail au siège de conseiller l'Hôtel de Ville, ses qualités indiscuenfui. général (circonscription de Sédiman) tables d'administrateur. Des voix plus autorisées célèdevenu vacant par le décès de M. le des font chiens les Comme pas ne breront son héroïsme disonssimDocteur Molle. chats, le fils suivra nous n'en doutons Il nous charge d'informer les justi- pas les traces du père. Iladu reste plement que, depuis cent ans, la Légion étrangère a bien mérité de ciables qu'il ne siégera pas au Tribu- commencé. la patrie. nal de commerce dont il est le PrésiAprès s'être créé, par sontravail, Bien qu'elle fut surtout compodent, pendant toute la période électopréside le tribuil situation, belle une sée d'étrangers, elle a servi la rale. » nal de commerce. France, avec une loyauté, un déLe parti du travail C'est donc un Il ne serait sûrement pas déplacé parti nouveau. courage incomparavouement, un Conseil Général. > au bles et on reconnaîtra qu'elle ne le tellement, avoir Il va yen que Mais pour y arriver, il lui faut mon- ne l'a pas faitsans risques, quand fournisseur général de nos pharmapatte blanche. cies va se voir contraint de comman- trer on indiquera que, dans une périoLaurent *ouque, aux côtés duquel de de dix ailS, elle tZ perdu sur un der des suspensoirs de dimensions spéciales; car, il est démontré qu'il nous avons combattu, était républi- effectif de six mille hommes 33 n'y a rien de tel pour éviter le ballot- cain radical; quelle est la nuance du officiers et3643 soldats. fils? tage, que Chanut craint si fort. Encore négligeons-nous blesChacun sait que nous voudrions sés innombrables. Le « Parti du travail ? N'est ce copie du voir toutes les fonctions électives te. pas, comme qui dirait, une On sait comment est constituée Léon FouOranais; des or, celui des tranues par qui est socialiste parti que est né à Oran et y a toujours la Légion, par l'unique engagevailleurs ? ment de volontaires anonymes. vécu. parler voulu ait que l'on moins A Nos préférences iraient donc à lui; Celui qui se présente pour l'end'un parti où les ouvriers travaillent réellement, au lieu de pérorer dans mais si, comme on nous l'affirme M. rôlement n'est l'objet d'aucune les cantines en buvant une anisette Léon Fouque a partie liée avec les la- enquête. aussi blanche que le lait des vaches à tins d'Auvergne et de Jarnac, nous ne Le nom qu'il donne est admis candidat hésiter le entre pourtant. pourrions Chanut, mais moins cher le sien et ilne lui est posé. comme socialiste. le curés et des Bien que M. Léon Fouque n'ait pas question indiscrète. aucune gauche dernier quoique extrême Ce à avis parvenir faire devoir son cru Qu'il s'agisse d'un étranger l'« Union Oranaise », nous n'en fe- n'en est pas moins républicain. Nous attendons donc que M. Léon qu'attire l'aventure, d'un déserrons pas moins connaître le nôtre sur Fouque explique ce qu'est le «Parti teur d'un condamné de droit comsa candidature. Nous craignons bien que M. Léon du Travail ? mun qui aspire à se racheter, ou Jean de Roanne. Fouque, n'arrive un peu comme les plus simplement d'un dévoyé ou carabiniers d'Offenbach. d'un malheureux écrasé par une Il y a deux ans, les républicains inlourde peine, chacun est accueilli dépendants, ceux n'ayant qu'une conde la même manière. fiance relative aux radicaux socialisnau fragés C'est, certains pour effraient, tes, et que le socialisme de la vie, le refuge et la paix. avaient proposé, à M. Léon Fouque, le Le 9 mars, la Légion étrangère Et Vexpérience a prouvé que, siège de Sédiman et de former une auracentans. sous une discipline ferme et bien, liste municipale. Le gouvernement se propose de veillante, ce mélange d'éléments Sur l'intervention de Menudier et du juif anti-juif Sther, M. Léon Fou- les fêter et il aura grandelnent si divers constitue le plusadmiraque crut devoir ne pas poser sa candi- raison,car cette troupe peut bien, ble foyer d'énergie morale de dature. pour une fois, être !'honneur vertus militaires. après avoir été si souvent à la Une remarque curieuse, c'est le Qu'est M. Léon Fouque ? C'est le fils de Laurent Fouque qui peine. grand nombre d'allemandsqui Son histoire et aussi son épopée s'engagent dans III Légion. fut président du tribunal de commerméritent d'être rappelées sacréace, président du Conseil Général et Avant 1870, ils en formaient la Maire d'Oran. tion officielle, alorsqu'ellecontim majorité plus tard, l'effectif des Tbus ceux qui ont connu ce brave nuait déjà, depuisiongtemps, offi- Alsaciens - Lorrains était aussi Laurent Fouque, vous diront que com- cieusement, la tradition des ba- très cYevé. «

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Le Centenaire de la

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Il s'agissait généralement de déserteurs. Les uns comme les autres servirent bravement la France. On a connu aussi un général prussien et un prince cousin de Guillaume II dans cette troupe d'aventure oit l'on découvre couramment, quand ils avouent leur identité des professeurs, des médecins, des officiers, des prêtres, et oit a passéjusqu'à un évêque bulgare qui fut un admirable soldat. Guy de la Blancarde

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N.D.L.R.

Nous profitonsde l'occasion pour demander à qui de droit, la raisonayantjusqu'ici retardé l'avancement du brave Colonel Rollet, commandant le

étranger ? Est-ce parcequ'il est trop militaire et pas assez civil ?

Ier

--L'assassinat de

«~w%0%0%0%0%0%0

Juliette Tordjmann ale

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Le «Réveil Juif du 13 Février, s'occupe, à son tour, du crime du Boulevard Galliéni et daube sur la police des Mayen, des Lainé l'incurie du

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Juge d'instruction. Le confrère tunisien parle de « Paris Soir qui dévoile l'affreuse histoire, et plaide en faveur des innocents, puis s'écrie «Qu'attend le reste de

»

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la presse » Elle attend, -comme « Paris-soir », d'être éclairée. En ce siècle d'électricité, on aime bien voir où l'on va, et la presse parisienne, surtout, n'a point coutume de

marcher à l'aveuglette. Que des innocents souffrent ou meurent en prison, peu lui chaut. On a fait la Révolution, renversé la Bastille, accordé la liberté complète de la presse, pour permettre à des di* recteurs de journaux de faire fortune, en exploitant la curiosité de leurs lecteurs, soit en défendant, soit en attaquant. Je me souviens avoir réclamé, un jour, le concours de la «Libre Parole», pour débarrasser Oran d'un Préfet prévaricateur, que M. Caillaux, inspecteur des finances avait pris la main dans le sac. Je communiquai un dossier complet


Maire Po-Paul

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n'ont pas latins En sept liberté la même remis Le rait On ans, nos intéressant. très pour l'on trouva en que capables d'élaborer un seul proété raison. « C'est disant rendit le me en me parfait votre préfet est une belle M. Matte interrogé, à son tour, par jet. Le crime est consommé. Ils se sont contentés de créer des fripouille, le rapport Caillaux le dé- le rédacteur de «Paris-soir aurait menudier a été élu Maire. montre. Nous sommes tout disposé répondu que, chargé d'un supplément sections latines qui vont permettre à La honte était réservée à notre à vous aider mais, qu'est-ce que cela d'information, il ferait strictement Chanut de devenir un politicien d'enVille d'avoir, comme premier magisgrand orateur. et rapporter devoir. Nous un vergure va nous en sommes persuason ancien cabotin, sans valeur, trat, un bien connaîtrons de parle lui, dés. à Grâce l'on Et depuis, lorsque me nous et d'une honnêteté douteuse. bien vaches, langue tôt langage des le la presse parisienne, de la Grande Le confrère parisien est allé visi Homme de toutes les complaisanPresse, je ne puis m'empêcher de ré- ter la cave, nettoyée dès le lendemain vivante devant remplacer le latin, lanle nouveau Maire saura faire le ces, lui metpeut trop morte. Celle-là, pondre on du crime et, depuis son retour à Pa- gue pas « silence sur toutes les canailleries conv J. Veille. tre devant une pancarte avec l'inscrip- ris, il intéresse les lecteurs du «Pamises dans la Caverne où il va trôner tion « A vendre » et une autre derriè ris-soir l'affaire récit le de par maître. en louer ». « A Tordjman servie en petites tranches. re N'a-t-il pas déjà couvert de sa haute Elle ne marche, en général que si Pendant ce temps, Teboul, innocent, protection le secrétaire du bureau de ça rapporte. gémit dans son cachot, brimé par un de bienfaisance, qui vola 300.000 francs socialiste Maire Gonzalès, le M. n'y l'antiqui misérable chiourme, efct province Il que a. guère qu'en dans la caisse des pauvres proviliberté mis été Béni! Saf, 1 thèse en a de son nom, le gardien chef Clél'on trouve des journalistes, pas asLe fauteuil du mort va se transforsoire. -< ment. s'intéresser à des à la page, pour sez Ce geste du magistrat instructeur mer en trône pour le Roi Carotte ceabus et les signaler, sans s'occuper de La détention de Teboul est plus savoir s'ils ne vont pas s'attirer des qu'un crime, une infamie judiciaire. prouve qu'à Tlemcen, on fait de la lui-ci continuera à faire son beurre. Notons que le nouveau Maire qui a politique malsaine. haines farouches. droit des juges Cet homme à a Si M. Gonzalès avait été tant soit promis, au Vacher Chanut, le fauteuil Car ce n'est pas impunément que qu'on les lui donne sans tarder, si on l'on s'attaque aux puissants, et j'en ne veut voir les grands chefs accu- peu coupable, on se serait gardé de le de feu Schmoll dit Molle, à l'Assemblée départementale, n'a pas eu l'unasais quelque chose. sés de complicité d'une monstruosité rendre à la liberté. nimité des voix de son conseil. Gondes! arrête bizarre, Coïncidence commise par un collègue, digne de on Personne, pas même la Ligue Il y a, en effet, 48 conseillers muniDroits de l'Homme, dont je suis un compter, tout au plus, dans la magis- zalès à la veille des élections d'Oran, des premiers membres, ne s'occupa de trature de boue. pour permettre aux réactionnaires de cipaux et il n'y eût que 43 votants. Cinq n'assitèrent pas à la séance, ne projeter une ombre sur les candidats Marcel Desbiefs. moi. Et pourtant, j'étais victime d'un socialistes; l'élection terminée, Gon- voulant se déshonorer en votant pour odieux abus; on m'avait jeté en prizalès voit rouvrir devant lui les por- un Menudier comme Maire. son pour un crime inexistant de sa prison. tes On nous assure que, pour faire une l'émeute à la Excitation à et « sensationnelle réclame au Maire, fuLa mascarade était finie. révolution », alors que je faisais simOn parle de la publication prochaiimiplement une guerre sans merci aux Après Carnaval, nous vîmes le mer- tur député le «Petit Oranais embusqués. ne d'un nouveau quotidien du matin credi des Cendres, et Menudier mon- tant « l'Echo d'Oran avec «Les aventer. Le Roi des fromages est fait tures du chien Bonzo », allait publier J'en ai, du reste, débusqué 3.600 y 1 « La Presse Libre de l'Oranie ». en bonne place, «Les aventures du On ne cache plus la fusion du « Pe- Maire. compris les sergents de la prison miCabotin Menudier ». litaire que je fis remplacer par des tit Oranais » et de « La Dépêche Oraplus bas, d'autant descendra Il Nous verrons, alors, notre Maire naise ». erritoriaux. qu'il est monté plus haut; il s'écrouclassé cancre, à l'école communale, Comment æ-t-on éclairé «Paris- On affirme la disparition de «l'Union lera dans la fange. n'arrivant à obtenir son certifipas prophète. Le Oranaise laisse et entendre soir l'intéresser l'affaire on à pour Tordjmann ? Il importe; mais, j'ai qu'une cabale est formée pour for- /W\/S/WVWVWWVV«/W\WN cat d'études primaires; petit clerc d'huissier ne pouvant donner la moinbien le droit de trouver son interven- cer au silence Marcel Desbiefs et ses dre satisfaction à son employeur coucollaborateurs. tion unpeu tardive. les théâtres comme jeune prerant Nous en reparlerons. Il y a treize mois que «l'Union N'allez pas croire, au moins, qu'il mier, et y obtenant un succès de toOranaise » a clamé l'innocence des acIl est question d'étouffer «Le Cri s'agit d'un sinapisme du même mates. nom. cusés dans cette monstrueuse affaire d'Oran ». Nous le reverrons au théâtre BasErreur ! C'est Chanut qui a provotreizemois qu'elle a relevé la stupi- rait mourir de sa belle mort, pour qué ce titre, parce que les latins en trana, dans « Le Bossu », et nous rapde erreurti'un juge d'instruction; trei- l'habituer à taire. se révulsif pellerons sa longue tirade qui lui vaservir s'en tendent comme scandaleuze mois qu'elle a signalé la «Le Semeur continuera àsemer. aux éiections du Conseil Général. lut un succès à l'envers incapacité de sûreté; la police de se Touchez Dubois, ça porte bonheur. M. Léon Fouque s'y présente « parles çanailleries de l'inspecteur Chou« Misérable et lâche bandit, assasVoilà ce qui se dit. ti du travail» M. Dubois « parti so- « sin et voleur, si tu veux la fille du kroimetdu greffier Benmoktar. Indiscret. cialiste » M. Chanut «parti des en- «Duc de Nevers, viens la chercher Pourtant, j'ignorais Teboul, Madacornés et pieds fourchus ». je te reconnaî« derrière mon épée Teboul, Madame Tordjmann. me Chanut, Conseiller Général, vrai ce «trai partout et toujours, ta main L'accusation me parut si fantasti«portera ma marque, et lorsque le serait rigolo. que, que j'enquêtai seul et reconsti« moment sera venu, si tu ne viens 1 soient qu'elles bien fleurs Les ne Menudier, qui n'est entré à la Maituai le crime. J'eus alors la conviction à Lagardère, Lagardère irata« pas il connaît; le rhétorique, de en ça pas intime que la police avait un quelcon- rie que pour se faire des rentes, une toi. » Maître du cercueil le tant sur que intérêt àdiriger la Justice, et situation et une clientèle à son fils, a adisparu,vu,qu'il Ce cuir, dans la bouche de l'acteur, embaumer pourrait en glisser estimé politique de dans son l'opinion,surunefausse piste. la salle des séances de l'Assemblée provoqua un fou rire aux fauteuils haineux discours prononcé la tomsur Cette conviction se confirma lors départementale. Certes le vacher de et loges tandis que le parterre trépibe de feu Schmolle, dit Molle que police communiqua, aux jourGambetta n'est pas un savant, mais, gnait en criant « Iratatoi, iratatoi. » naux quotidiens, les renseignements « Voyez aujourd'hui. L'œuvre a été dépouillé de sa blouse, Napoléons BoLa police, qui était déjà pour Menuconsidérable; n'est le certes devant faire sensation sur le public. ce pas naparte n'était qu'un petit homme à dier, fit faire silence et l'acteur put moment de l'exposer; qu'il me suffise côtés. Treize moisi après, «Paris-soir continuer. ses cependant de dire qu'elle fut accomCe que l'on peut dire de Chanut, envoya un de ses rédacteurs enquêter plie Nous verrons Popaul quitter les obérer les finances sans commudu contraire, c'est planches pour vendre des fromages, jusqu'à sur place. Mieux vaut tard que jamais. nales et preuve que la situation budgétaire qu'il est foncièrement honnête. Bien s'associer à un juif et faire de la poliCé rédacteur vit M. Lonjon lequel de la Commune est des plus florisque nettoyant quotidiennement des tique anti-juive, jusqu'au moment où lui affirma n'être point anti-sémite et santés.» vaches, et remuant des bouses, il n'en il devient Maire d'une ville de 150.000 avoir conduit son instruction selon Très adroitement le Préfet rectifia moins les mains propres. âmes, justifiant ainsi un vieux proa pas conscience selon lui, les seuls sa que, «C'est rendre hommage à la vérité verbe auvergnat, connu dans le Forez C'est beaucoup. coupables seraient Madame Teboul et de dire que certains de ses projets Jean Rigole. mère, qui ramènerait à la ce « L'âne ne mange pas souvent l'avoisa nous n'ont pu être réalisés, seulement par stupidité du crime rituel. ne qu'il porte, mais trouve toujours suite de difficultés d'ordre financier. » abri à l'écurie. » Mais, alors, M. Lonjon a commis sympathisants Nous informons nos La vérité la municipalité est que Or, Menudier est à l'écurie où se une infamie en gardant un innocent recouvrement mettons en que nous , actuelle n'a fait d'utile. rien prison, trouve après avoir liberté mis un excellent ratelier permeten en les quittances, abonnement à 30 frs. tant de s'engraisser à l'aise. Les faubourgs Lamur, Lyautey, pour l'année 1931. les pseudo coupables. Et il y est pour quatre ans, deux Il estvrai que la police expliquera Sananès, Bastié, Gambetta etc. sont Comme nous n'obligeons personne mois et quelques jours. quec'était par humanité Madame Te- dans un état de malpropreté qui les a à n'avons aider et pas que nous nous boulétant enceinte, des fortifications transformés en foyers d'infections. les Le nouveau maire nous l'a appris moyens de faire gratuitement le peut-être, et la mère, sexuagénaire, Nos rues sont sales, dégoûtantes; service du journal, nous prévenons dans son discours de remerciements le service du nettoiement n'opère que également sans doute. qui négligeront de payer leur à ses conseillers, discours d'une ponceux Heureusement que le brave père dans les grandes artères. quittance que nous en poursuivrons le dération qui a surpris tout le monde. Tordjman n'a pas été arrêté à son Tous les projets exécutés sont ceux recouvrement avec la dernière riMenudier, visqueux comme un frotour; l'hilarant et triste Lonjon l'au- de la municipalité Gasser. mage d'Auvergne, très coulant, n'a gueur.

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-----------Deux versions

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Les Scandalesd'Aflou

C'est un infâme mensonge de la part A l'Hôtel de Ville, il y eut 436 abspart de ceux qui ont rédigé le commutentions dont 209 israélites. niqué. A Sediman, sur 524 abstentions L'inculpé n'a jamais eu l'intention M. Nicoli, l'Administrateur si proon compte 317 non latins. encensér de mettre fin à ces jours, mais de maA Bastrana, sur 513 abstentions, il tégé en haut lieu, se fait dans la «Presse Libre », par un de gistraux bandits ont intérêt à le suiqualiChanut de 229 eut ceux que y ses subordonnés salariés de la Com- cider. fie de mutilés d'avant guerre. refusé de soil'on Teboul, Si mune. a que Sébastopol, abstentions, A sur 437 Voici ce que nous avons pu lire ces gner, bien que très malade, vient à il y eut 102 piliers de synagogue. jours derniers dans le quotidien d'Al- décéder nous ferons remonter la resA Pasteur 1086 citoyens n'ont pas ponsabilité de son assassinat au siger. voté; sur ce nombre on compte 115 la sagacité, nistre Lonjon ,aux infâmes policiers ténacité, à la à Grâce descendants de Lévy et Cie. désintéressement de l'Adminis- Lainé, Mayen et Choukroun; au torau A Karguentah, sur 1930 mauvais trateur, le jardin a rapporté à la tionnaire Clément, gardien chef de la citoyens, on a relevé 205 israïlites. commune mixte, au cours de l'exer- prison; aux docteurs Monier et AnA Berthelot sur 1388 abstention- cice 1930, une douzaine de mille frs. duze; au Secrétaire Général Carré; nistes il y a 212 youpinards. tous frais déduits. Ce potager est la au Consistoire israëlite qui, dans cette Au total 1180 français, par le dé- propriété exclusive du chef de la com- pénible affaire, s'est montré bien audessous de sa tâche. Menudier craignant d'être battu, cret Crémieux, ou par la loi de 1889, nîitne. Je ne connais pas Teboul, j'ignore aux prochaines élections département n'ont pas pris part au vote. Le centre d'Aflou était autrefois taies, a fait scinder sa circonscription Si ces crétins là avaient fait leur tributaire de Tiaret pour les fruitset les Tordjman mais, en les défendant, je défends la Justice bafouée. devoir, les Jassin et Cie ramassaient les légumes. en deux. Il y en aura désormais une, à l'Hô- une bûche. L'administrateur comprit qu'en le! Si Teboul meurt, sans avoir pu se tel de ville. Il serait curieux de connaître le faisant fructifier il ravitaillerait la défendre au grand jour des assises, Un indiscret me demande quel can- nombre des juifs qui, entraînés par les population aflouane. Dans un geste c'est qu'on l'aura suicidé comme on a didat je soutiendrais le cas échéant agents électoraux des latins, ont dé- généreux qu'on ne saurait trop souli- suicidé Almereyda. M. D. Ma réponse sera simple Aucun. posé dans l'urne le bulletin devant gner, le produit des ventes fut versé la victoire à leurs insulteurs à la caisse communale. Ainsi les reJ'estime, néanmoins, que celui qui donner quotidiens. cettes augmentent tout en rejidant la fut à la peine devrait être à l'honneur. Et ces agents étaient nombreux. population heureuse d'être munie sur Le devoir des républicains sera, à, place, sans passer sous les fourches A lui seul, Chanut avait dix en sous Le Maire de cette localité s'étant ce moment là, d'accorder leur suffrades marchands des et entrecaudines surveillance. 11 les gratifia même dit que, seuls, les imbéciles ne change au courageux indépendant qui ne sa étrangers. prenenurs craignait pas de poser sa candidature d'un excellent déjeuner à « La Chaugeaient pas d'opinion, oubliant que son Aflou exprime sa reconnaissance à à Karguentah, contre notre ami Ni- mière ». père était un fervent républicain, édile. Ces braves gens qui ne s'étaient son premier vière Camille, aujourd'hui commissaiqu'il l'avait élevé dans ses principes, Eh bien M. Nicoli a menti car il évolua, re priseur, et dont Llorca, avec 1 jamais vus à pareille fête, se sen un beau matin, et Fieschi taient gènés au point qu us n'osaient c'est sur son ordre que son porte plu- fils passa à la réaction. convoite le fauteuil. toucher aux serviettes, et s'essuyaient me a déguisé la vérité. G. Dis. passé politique, celui Oubliant son les mains dans un numéro du « Petit Le potager communal ne peut être cte son père, il se mit à la remorque Oranais ». la propriété exclusive de M. Nicoli car des robes noires et lui, qui était si Est-ce que les juifs qui allaient à nous ne sachions pas qu'il soit loca- fier d'être Corse, déclara latin. se l'urne, accompagnés d'un inspecteur taire ou propriétaire du terrain. Il fit chorus avec ceux qui, comme de police ami, votaient pour Dubois V Les cabotins municipaux sont à En tout état de cause, si l'Adminis- Mussolini, voudraient annexer Nice, bonne école, avec l'illustre Menudier. La comédie continuera, et le juif, trateur a pu faire bénéficier la comi la Savoie et la Corse à l'Italie. Sous la direction de ce régisseur quoi qu'il fasse, sera toujours le pelé, mune d'une douzaine de mille francs Comme le dictateur italien, Fieschi galeux, le d'où vient le mal. tout général, ils arrivent à jouer la coen 1930, dans quelle caisse ont été ver- parle en maître et malheur à qui ose médie à la perfection et, naïvement, La situation changera lorsque cha- sées les recettes des années précéden- lui résister. « le PetitOranàis », journal de Mada- cun, mettant de côté son ambition, tes? Tout dernièrement, il se livra à des de influence Veuve Molle et de Mademoiselle usera me son pour faire comLa question est embarrassante et voies de fait sur un brave douanier Molle, en fait part à ses lecteurs : prendre aux coreligionnaires que l'on on comprend aisement le prudent siMonsieur Lopez. «A 8 heures tous les résultats ne comptera avec eux que lorsqu'ils lence de Nicoli, ainsi que de son déCelui-ci ayant porté plainte à la sauront devenir et se grouper une fenseur. « sont connus ;les candidats latins Gendarmerie, le chef de brigade dresforce. Jusqu'à présent Aflou est tributai- sa procès-verbal. « sont élus à une écrasante majorité. Ce jour là, on leur parlera le cha- re de Tiaret pour les fruits et les léAlors massés au balcon du cabinet du Cet acte fut loin d'être du goût de à la main, à « l'Union et, Oracommis de la commune Fieschi-Mussolini qui invectiva le miMaire, nos amis entonnent la Marseil- peau gumes; le laise et Chanut agite un drapeau trico- naise », nous serions heureux, enfin, mixte ne peut soutenir le contraire. litaire. Mais le chef de brigade, bon lore. de voir réaliser notre rêve Oran aux C'est M. Nicoli qui est cause, en ne enfant, ne releva pas l'outrage, traiDehors une certaine foule insulte et Oranais. donnant pas l'eau suffisante aux jar- tant le maire par le mépris. la gendarmerie refoule les manifestants. Malheureusement, les juifs sont diniers particuliers, que nous payons, La Mareillaise retentit toujours vibranLe parquet, ayant été saisi de la divisés des ambitieux maladroits, de les terre 3 francs le kg. par pommes te et triomphale. plainte Lopez, traduisit le Maire il Le portrait du docteur Molle est dé- et est regrettable qu'ils n'aient pas provenant de Tiaret; 2,50 le kg. d'oi Fieschi correctionnelle, et les juen les guider croché de la salle du Conseil et apporté pour un nouveau Simon gnons provenant de Tiaret, et 1,25 le lui infligèrent 25 francs d'amenges dans le cabinet du Maire. Tous nos amis Kanoui. d'ici l'on payait de navets kg. que de. recueillent instant. Au souvenir du se un Clopinel. d'habitude 0,50. chef des larmes coulent sur tous les viIls accordèrent, à Lopez, le franc Aflou peut être reconnaissant à de dommage intérêts demandé. sages. Eloquent silence Un champagne d'honneur est offert son premier édile comme dit si bien Mers-el-Kébir peut être fier, a ligne. élus plume à la Jassin tant porte et Mira et longuesont aux son Maire un repris de justice. pour ment acclamés lorsqu'ils donnent l'accoJ. Veille. Le numéro du févrie 18 du P.O. lade à nos amis Bernardini et Ploncard. VOY. était d'un calme prétant à réflexions. Ces braves latins qui pleurent au Tordjmann L On n'y parlait ni des juifs, ni des RÉPONSE souvenir du chef et calment leur dou- latins, ni des anti-cartellistes, ni de leur en sablant du Champagne, ne Féchant, ni de l'Auvergnat Chanut, Reçu, tardivement, une lettre de de tortionnaires les titre, Sous ce sont-ils pas vraiment typiques Al. Vincent Jorro parle. moins du Maire fromage. nous en encore Teboul ont fait publier, dans « l'Echo Du fond de son caveau, qui ne res- On s'est recueilli, afin de demander dans le prochain iiiiiiiéro. d'Oran », du 22 février, l'annonce sui- rons semble en rien à celui de Bruant, feu sa voie au directeur politique qui est M. C. vante mon coreligionnaire Schmolle, dit Mol- toujours le docteur Molle, maire dé«Souffrant d'une légère indiposition, le, aurait pu leur crier « Eh ! dites puté. la pri« Edmond Teboul a été extrait de donc les purs, après vous, s'il en reste. De juifs, on est devenu anti-juifs, «son civile, hier après-midi, puis conJ'en viderais bien une coupe, surtout dans la maison; puis, latins n'ayant incarcéré « duit à l'hôpital où il a été si c'est du « Roi de Rôme » dont l'ex- jamais le Latum; puis, anti- « dans le pavillon des prisonniers. connu cellence est incontestable. » le bruit s'est répandu cartellistes tout en restant cartellis<v A ce propos, M.D. Cette comédie du portrait décroché tes de droite puis républicains natio- «en ville que l'inculpé avait tenté de l'avait « mettre fin à ses jours et qu'on est dans les cordes du triste sire Me naux démocrates; puis athées. Le Gérant: M. CHALOM. « hospitalisé dans un état grave. nudier; né cabotin, il mourra cabotin. Maintenant est spirite, puisque, démentir on « Nous sommes autorisés à Cabotinage, l'affirmation que les du haut du Ciel, ou du bas de l'Enfer, «cette rumeurs». IMPRIMERIE NOUVELLE juifs avaient voté en masse pour les sa demeure dernière, Schmolle, dit L. Bensamoun Pour une légère indisposition on ne socialistes. Molle, dirige politiquement le «Petit transfère pas un détenu de la prison 23, Rue du Fondouck, Oran Voulez-vous des chiffres TELEPHONE Oranais ». à l'hôpital.

parlé ni des juifs, ni des latins, ni des cartellistes; son discours peut se Camarades résumer comme suit nous avons encore quatre ans, deux mois et quelques jours pour faire notre pelote; faisons-la adroitement. Que Chanut ne vende plus son lait trois francs et Salas ne permette de vendre 2fr.50 le kilo de pommes de terre, payé 0,90 au producteur. » Oranais ! Tout va bien; Menudier Paul, l'honnête Menudier est Maire, Vive Oran ! ! Marcel Desbiefs.

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