L'Ouest-Éclair (Rennes)
L'Ouest-Éclair (Rennes). 1899-1944.
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vol de Blériot, au-deesus du récent propos Manche, on a parlé à plusieurs de reprises Il semble nul ne mérile mieux que prAounseurs. celui-là au lendemain ce qui, titre que Nedar. dans de la due BJAnot, disait un téléa l'aviateur désormais sa joie célèbre, gramme de 89 le plus d'avoir vu. à l'Age ans, triompher lourd l'air. M. Nadar est, en effet, un des que chauds et des anciens du partisans plus plus dans un volume Dès 1864, plus lourd que l'air. les Mémoires du Géant, mtn .ivable, nnjourdtiui aux souvenirs des p-pemors Nbdar mêlait speo dès l'enfance, Uclw qui l 'avaient, aéponau4a<jues rivcmnnt et aux r6clts dP ses asimprosiJonnp en faveur de un ardent sentions, plaldoy'er Va&romotive. A
la
Plue
faisais je cette force
d'aecensione, phus j'apainsi dire incalcupour le vent et raet l'absolue contre le de lutter
préciais fcbk? qui s'appelle tocale impossibilité courant moindre me un
d'une part, ballon. Dans la nature
peccable Être se ger
que J'avais
modèle, mouvoir roi ?
avec si
cette de
légère
surface l'autre,
cet
entière, voyez-vous dans l'air
énorest qui
en
éternel donc étant
et
imseut léplus un
vu. Par l'obseret j'avais regardé m'était resté la réflexion, ce qui vation, par tout d'abord de mon souvenir uniquement d'enfance comme cala d'urne vision terrible, en théorie,se formuae mûrissait à peu peu lait
en principes, La Raison me Comment Ne voyws-je
je donc admirables tiennent
s'affirmait conduisait
n'aurais-je donc
plus spécifiquement dans les antres jusque chauve-souris la ne
sont-ils
Pourquoi ré que je m'amusais le ils à terre gaux
pas
jamais regardé machines et se dirigent
en à la
conviction. Foi.
cru
?
pas l'oiseau, l'insecte,
s'élèvent,se dans l'air lourdes que
n'avaisces deux
qui
ordres et le
en lui
mainétant ? Et
du règne anivolant poisson l'air ? que
denses plus morceaux du journal déchitomber du balcon laissais et que de à suivre l'oeil, arriveraienten trajectoires et à temps inépas les
?
ut incline au oen-voiani, cont le pian dès fils d'Euler disa-t, 1765, à l'Académie fi Ce jouet d'enfant, de Berlin des méprisé donner lieu aux savants, peut cependant les » mon réflexions plus profondes. lourd ;erf-volant, plus spécifiquement que ne s'enlevait-il condifair, pas à la seule tion de couper cet air en contre-oourant, 5l n'avais-le senti mon bras soulevé pas dont l'autre bout faisait par la ficelle mon à nue î xrf tenir tête la Ln fusée, lourde ne s'élèque l'air, plus «re-t-eîle l'air emportant son mopas dans tçur avec elle î Petite papiers, cerf-volant, oiseau, patusée pillon, m'enseignaient. A la vérité, le savant, vous le savez, savant son nom est censé qui sait, puisque ce qu'on l'obliger, qui sait tout, excepté ne tui a pas le savant éternel et appris, obligatoire. smon les gratuit, qui marque les autres pointe pendant que la jouent partie, le mot nouveau qui se bat contre ce le en jusqu'à qu'il pique qualité de mot ancien sur le liège de sa collection, le saà Demain vant, qui défend de s'appeler autrement s'était bien avisé qu'Hier, d'établir n'a le droit de s'enlever que l'oiseau qu'en raison de l'air chaud en luiqu'il fabrique même. A la vérité, Cuvier deux après Buffon, beaux noms, par malheur Cuvier affirmait d ctoralement, dans ses cours orthodoxes, dans que l'air renfermé toutes les du corps et sous les plumes parties de l'oiseau, en se raréfiant la facilipar chaleur, tait te vol, ce qui, supposé vrai, déterminerait absolument l'effet contraire. A la vérité eiKTtJre, Navier établissait de la navigation l'impossibilité aérienne au moyen de la force humaine, par de puis#ante caleufs avaient qui malheureusement un tout petit inconvénient celui de défendre à l'oiseau pareillement de voler, puisqu'ils exigeaient d'une oie la force de quatre hommes pour le vd le plus lent,demandant afu saumon par analogie luimême, des plus minces qu'une ligne arnéte, une puissance à celte d'un égale de vapeur 50 chevaux Mais les petites montgolfières faque je en papier en savaient briquais bien plus long que ces savants-la, elles qui, pliées, ne représentaient que quelques centimètres cubiques, et déplaçaient, en se développant pour s'enlever, et cinq mètres quatre d'air atmosphérique.
le pi» difficile nous donne
seul et fier, l'aigle habite les Cependant, cimes qui lui appartiennent de par son envergure corrélative à son et poids, c'est bien au-dessus de mille mètres que le plane condor, les crêtes quand il gagne de la Cordillière des Andes. de tous les vole, Pourquoi ? Parce que tiles proprement il est le plus dits, grand,. le plus gros, –c'est-à-dire le plus lourd 1 Et votre point d'appui ? Sur quoi, l'oiseau s'appuie-t-il quand il vole ? dit l'académicien en Mais, vient qui en admettant aide, même votre principe, votre oiseau possède physiologiquement une force relative n a pas, que l'homme car A B = Vs. Prenez et tougarde, rappelez-vous même formule mathémajours que votre aussi à l'oiseau de voler. tique défend Pour<« pigeon 1 Qu'en tant, vole savez-voiM, et comment, d'ailleurs, pour les soustraire, avez-vous ces deux fractions a pu réduire un même dénominateur î Mais où est votre ne moteur ? Vous assez d'une possédez pas le moteur, léger et assez de l'autre, car une part puissant force vapeur ne 100, je suppose, qui pèse peut enlever que 10. en admettant nous ne Et, que puissions arriver à créer un moteur à vapeur suffisamment ce dont les nécesléger, sités industrielles n'ont pas eu à s'occuper très précisément n'avons-nous. jusqu'ici, cent autres Ces forces nafupas egents relles nomment l'air l'air qui se comprimé,
vant qui, nmit son primordiale plusiems Ce qui
à rinstant même où il transToroiseau en bedlon, sa négligeait en ne centuplant besogne pas fois le diamètre dud'enveloppe n'empêche
pas
qu'encore
à
l'heu-
destinés dès lors à n'accepter le principe du plus lourd l'air au moment que juste où quelque déraillement céleste leur fera tomber une de nos aéromotives sur le nez, nous objectent avec le séditieux encore, qui les Caractérise, les avantages aérostatiques, constitutifs de l'oiseau. Ce une fois prouve de plus qu'une qui vé*ité n est jamais assez de fois redite. Donc et irrénnssiblement Bta» pins lourd que l'air pour commanoer à l'ai'. » Mais vous un négligez léger déteil qui a. qoekrae intérêt, nous demandait ironicrnenwot le Menait, en omettant de nous dire de combien il faut être plus lourd que Du plus possible En vertu du méme principe qui fait que, des tarois beâes de volume égal lancées par vous avec la même fonce, la balle de fendra l'air plusieurs plomb mèlres la baUe de liège arrivera ju6qu'à trois ou la belle de pu, moelle de sureau reviendra sur vos pieds. Du plus possible A quelque cinq ou six centa le moine-ntC mètres, je piRpOn dans la nacoHe emportés de l'aérastat et par voos posés sur le bord, ont le vertee le vertige de l'oiseau, ouf et. ils se effares en arrière rejettent vers le fond de la nacelle. Lancés par veus loin du hord, vous les vayez tomber comme ou plomb tourbfllonner, ce qu'ils jusqn'à aient atteint dans leur chute la couche atmosohéneue
l'homme ne sait même pas contenir encore, l'él.lxr, l'électricité, etc., etc., sans parler des ne sont-elles autant poudres, pas la navigation aérienne ? d'agents pour vous dit ne va vous Qui qu'on pas présenter demain une force de cheval un dans boîtier de montre et dix chevaux dans un carton à chapeau î Nos mécaniciens ont-ils donc fermé l'atelier depuis les le bourgmestre qui inventa deux hémisphères a Magdebourg ? Mais, d'abord, êtes-vous bien sûrs, ô sasi grande force soit indispenvante. qu'une sable à l'homme s'élever et se moupour voir dans cet air si essentiellement élastique ? Etes-vous bien sûrs l'oiseau que dépense tant de force toute sa force pour vole quand l'aigle enlève l'agneau, quand des carnassiers, ne se gênent pas, en cas de besoin, il. leur po^ds celui pour ajouter d'une mère viennent d'arraperdrix qu'ils cher au sillon ? Les mcimes ne vous iournisseni-iis pians comme à plaisir, de véritables pas, tempa de repos où se renouvelle la force dépensée et sur Antée va retrouver lu t«rre ? lesquels La molle lenteur avec sage et laquelle descend le parachute ne vous a-t-eUe donc rien fait deviner ? Il faut donc renverser la proposition ellemême et formuler ainsi l'axiome nouveau Il Pour lutter contre il faut l'air, être spélourd Il l'air. cifiquement phis que « De même est que spécialement l'oiseau lourd l'air dans il se meut, plus que lequel ainsi l'homme doit de l'air son exiger point d'appui. Il Pour commander à J'air, au lieu de lui servir de il faut sur jouet, l'air s'appuyer et non servir plus à l'air. d'appui Il En locomotion aérienne comme ailleurs, on ne sur oe qui s'appuie réque siste. Il L'air nous fournit amplement cette résistance, déracine monter courants. Il De
l'air qui renverse les les arbres centenaires, le navire les par plus le
par
bon
sens
des
murailles, et fait
re-
impétueux car
choses,
les
choses ont leur bon sens, de la par non législation physique, moins positive la légalr.lé toute la puissance morale, que de l'air, irrésistible hier nous ne quand fuir devant pouvions que toute cette lui, s'anéantit devant la double puissance loi de la dynamique et de la gravité des corps, et, de par cette c'est dans loi, notre main va passer. qu'elle Il C'est au tour J'homme; de soumettre anormale qui tant de vains tour le faire l'eau comme
à
de l'air de c'est à l'homme cette rebellion se rit depuis tant efforts. Nous servir en esclave nous imposons
qui la terre
céder
devant
d'étreindre insolente
et et
d'années allons à
de son
comme le
navire,
nous
de la pressons roue. Il Nous n'énonçons point une loi nomve6le cette loi était édictée dès 17G8, c'està-dire ans quinze avant l'ascension de la première montgolfière, quand l'ingénieur Paucton prédisait à l'hélice son rôle futur dans la navigation aérienne. Il II ne s'agit ici que de J'application raisonnée des connus. phénomènes » La première nécessité pour l'A-utoIbcomotion aérienne est de se débarrasser d'abord absolument de toute d'aérosespèce tat » Ce que l'aérostation lui refuse, c'est il la dynamique et à la doit le statique qu'elle demander. Il Cest l'hélice la sainte Hélice comme me disait un un jour mathématicien illuslre va nous qui dans emporter l'ai.r; c est l'hélice qui entre dans l'anr comme la vrille entre dans le bois, avec emportant l'une son elles, moteur, l'autre son manIl Vous apiraJifère » Quatre
que
connaissez ?
mieux, spires leur prennent de bois léger. Il Ce pivot à mouvement
petites en
ce
joujou
palettes,
bordé papier d'attache point
est
porté rotatoire
qui
a
ISfr.
Cfr.
14
7
soit
8O
(Chronique /rpagtJ.lM.
le
Il
nom
ou, de
dire pour fil de fer, sur un pivot
une par creuse tige sur un axe immobile se qui tient de la mann gauche. Une ficelle enroulée autour de la tige et déroulée d'un bref coup la main par lui droite, un imprime mouvement de rotation suflls..nt pour l'hélice en miniature que se détache et S'élève à quelques mètres en l'air, d'où elle sa force de départ retombe, dépensée. » Veuillez supposer, maintenant, des spires de matière et d'étendue suffisantes pour un moteur supportcr quelconque vapeur air Allier, comprimé, etc., ce que motenr ait la permanence des forera emdans lea usages ployées industriel et en le réglant il votre gré comme le mécanicien fait do sa vous locomotive, allez monter,descendre ou rester immobile dans selon le nombre J'espace, de tours de roues vous que demanderez seconde à votre par
verticale, L'hélice
LA QUESTION
va
noue
MeeaBioniieBe, et facultative. son œuvre en compléter le proputaear à pivot horapidité, qui sera presque à celle de l'hélice ass'accroître encore de celle
fournissant dont la rizontal, toujoors supérieure va censionnelle, obtenu les par et nous plans inclinés, avons la direction. Il Observons le parachute en ses effets le parachute, » Or, où le poids de la du nacelle, et de l'aérostier eet gréoment
Annonças
A
NANTES,
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RENNES,
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CHOSES
La revanche
ET
GENS
de l'Idéalisme
Le
Conseil d'Etat vient de décider, Il pro. pos d'un arrêté le pris par maire d'une commune du Var, qu'une n'a municipalité pas le droit de faire sonner les cloches pour un enterrement civil. Là-dessus, colère grande de la Lanterne cette feuille anticléricale tient absolument à rehausser les obsèques des francs-maçons par des sonneries catholiques. Au premier on abord, ne comprend pas bien pourquoi être ou ne n reliétre Pas voilà la aieiiT, Si 1 nn fait question. profession de mépriser les rites chrétiens, pourQuoi donc réclamer le droit de les pratiquer contre l'Eglise C'est une prétention qui déconcerte. Cette mentalité bizarre est pourtant assez commune ches les soi-disant libres-penseurs de Bretagne. J'ai souvent entendu dire qu'un a.thée notoire réclamait pour sa lille une place d'honneur dans le cortèqe des communiantes ou criait à la persécution son parce que fils n'obtenait le premicr pas de catéchisme. prix du denier L'organisation du culte a donné naissance à d'autres incidents. Dans une commune des un cultivateur Câtes-du-Nord, aussi fortuné qu'antireliqieux toute refusait offrande pour l'Eglise. Il meurt subitement, sa famille qui portage ses opinions veut obtenir, à prix des d'argent, obsèques catholiques. Le curé et les s'y refuse lanterniers de l'endroit de crier au scandale et à l'intolérance. Peut-être, Que de. faire faut pourtant
eut-il humainement, été politidroit à leur mais il réclamation, admettre la logique que et la justice étaient du côté du curé. Somme ces toute, prétentions extraordinaires des anticléricaux à aux participer pompes sans religieuses la disciaccepter pline, attestent leur besoin de croyance J'admets une qur, pour large part, la force de la tradition détermine leur attitude mais il v autre chose. Réccmment mourait banauc impénitent
à Lannion un saltimavait qui réclamé des obsèques civiles. La municipalité radicale les voulut solennelles et édifiantes Or, comme il était vraim(%t impossible de dres. ser devant ce négateur du Christ l'auréole de la croix, les anticléricaux Lannionnait cherchèrent dans leur ce conscience, qui après Dieu, pouvait le mieux symboliser te sacrifice et ils enveloppèrent le cercueil du forain dans un drapeau trTcoiore. On a protesté contre cet « abus ». Moi fil vois une revanche de l'idéalisme et un aveu chrétien Il. 0. G.
L'OucsI-Eclair continue cation ment les ment sûr,
en
deuxième feuilleton d un
en
et
paru mystérieux
frappé, tous nos
PU
page roman
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le dramatique poignant, nous problèmes, ont viveet séduiront, nous en sommes lecteurs.
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15 août. Canée, Les représentants ont dfenlever le refusé drapeml Le gouvernement grec. a dorme sa démis. Il y,a sion. endroit des par manifestations mais des populaires, troubles ne graves sont pas d à craindre. Parmi les arrivés hier une députés soir, bande de paysans avinés entra dans la ville et occupa la forteresse le pour garder drapeau. LA
FLOTTE
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15 août.
CONSTANTiNOPiz,
Nos
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assure
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a reçu l'ordre, à la suite Sotte turque des observations des puissances, de se rendre à Karpathos, dans la baie de Marmara, sur la côte d'Asie-Mineure, vis-à-vis nie de Rhodes.
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août. a eu lieu Aujourd'hui du monument d'All'inauguration Vigny. de la statue, M. Sicard, a rele poète dans une attitude debout, de d'gnité et de grandeur. L'élé-
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la sentence sans la démarche traditionnelle. d'une autorisée personne n'aurait lieu avant pas
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Nous avons constitué avec un minimum d'rfforts sur cette où les peuples planète, civilisés, il l'étroit dans leur ancienne frontière, sont contraints cl aller chercher pnr'out des débouchés nouveaux, une rcscrvc d'autant plus appréciable pour notre agriculture, notre commerce, notre industrie, côtés que de tous nous vovons, par suite des barrières se restreint douanières, dre le marchô international. La mis» en valeur de cette énorme réserve est poursuivie avec activité. Le développement incessant des échanges de nos colonies le prouve. En le. ne échauffes s'élevaient qu'a 287 millions. Elles dépassent larle milliard gement aujourd'hui. Jamais aucun rétrime, par l'œuvre politienio rt sociale, fi laquelle économique ne cesse rie travailler l'effort commun des républicains n'a au point acqul.s, de vue du rlévplnr>pement des de l'amélioration libertés, des conditions de tn vie 1 ensemble pour des travailleurs, de plus droit il. la reconnaissance des nations.
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long qui s'écoule entre à et sa quai vente dé. une hevtre ou un* est qui très préjudiciace
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fi° Ils prole.slent aussi contre le prroUègm des abonnés bateaux d'usines, habitués d. vendre dans telle on trCle usiae et an» l'on attend aussi bien l'après-midi la que matinée et ait même prix. 70 Les pêcheurs sont encare d'avis i examineT. dans tme aufre réunion, la limita. tion de la péche, environ le maximum de mules de poisson à pêcher, seton ce que lot usines de Concarneau peuvent prendre. Ce sont 1* de sapes et trtHes résolution», mu mettront sans doute fin à une nouve!T.o et subite dn conflit phase sardinier. Espérons que les usiniers le comprcntfrooP e! s entremettront pour entente donqu'une nant snhsfjiction il tous les intérêt respectables ait lieu an plus M t. î'n pécheur concatnois résumait ainsi la situation Croyez-vous que nous puissions vivre en payant la rogne 110 fnnxs le harl et en vendant notre un poisson anssi bas nnx ? Ce soir, j'ai péché dix mïHieis de petite sanline et ;e ne l'ai vendue t tr S0 que soit alors 15 francs, T™ j'avars jeté proa de 16 A 18 francs de rogne. Plusieurs rlo mes camarades on.. préféré jeter leur dois-* son que de le vendre 1 franc le mdîte: <ft»titres en ont fait autant à la cale de la Disrua et devant des usines du quai de la Croix mais eux parce n'ont qu'ils pas trouvé dû tout à vendre leur poisson. Cela ne peut durer. n Un
AU?OS
Concarnois.
HOMICIDES
distinc-
COMPAGNIE
Directeur.
de minaman
conflit.
les
LES les
tions hononthpi^s suivantes Palmes MM. académiques Chollet, homme de kttres à Tours; Auguste Marnav, médecin il. Loches 1.?-'On sculDeschampa, ù Tours pteur Jacques Rougé. homme de lettres il. Ligneul Edmond subLefébure, stitut du procureur de la Répblique à et C!|art!es Tour, Royer, ,publiciste il. La Chapellc-feulr -Loire (Indre-et-Loire).
LE
dn
la
afin
vont
dimaoche.
heure
dératllent
pour
prix
délégués
sortir
1ik\ au nom du. gouvernement, l'auteur de « firamlpur et Servitude ». Dans le banquet Il. éf offert qui à l'issue (]p la cérémonie les M. par républicains, 'Tmu.i.llot a prononcé un discours politique. Il a exposé l'cruvro de rie prctgnV* paix, de <wnomique, réformes socuilcs de Ia III* et l'œuvre des République, régimes antérieurs d*uix a qui, par fois, abouti à tant d'hnmiliat/ions et de d<<sastrps. Insislant sur l'œuvre le miniscoloniale, tre fait rrssortir contraste quel elle r6o.li.ae avoc les ruines et les démembrements du En trente ans passé. à peine, le domaine colonial est demeuré vine fois nlus considérable n'était quil autrefois, huU fois plus comme important et cela, population, avec de moindrrs sacrifices ceux se sont que que imposés d'autres nations.
que l0 15
septembre. la même a bien voulu me dire personne les trois condamnés il mort perdent belle assurance David, qui posait pour l'irréductible, comme un enpleure ses fant; il écrit mais détruit impressioTis. ce a mécontent de son reuvre. qu'il écrit, en proie au Bcrruyer, cauchemar, demande sa femme et ses enfants. A LioQuant au tard, l'homme c'est la bmto chapeau, mais laissant ceimpassible, parlant peu, l'effroi l'étreint. pendant percer qui ans J'ajoute il n'v a que depuis dix-sept eu d'ex^tion ipas A Vafenoe le capitale fi juillet on exécuta 1892, un avenHadelt, turier avait assassiné un qui du trappiste
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l'après-midi vendue
présenlé empreinte gtutee de la sérénité du l'attitude, visage, In douceur du regard, ln mélancolie de tout ont été rendus avec et celui l'étre, fidélité, se » le noir qu'on plul il appeler l!:iphaël revit tout entier dans sa statue. Devant le monument, NI. Choutemps a les rapnelé phases diverses de la Société de Yignv, et le nréfet d'Indre-ot-Loiro a sa-
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Prix
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15 aoùt. Besançon, Le général Brun est arrivé il Besançon ce matin. Il a été reil. la M. çu gare par du hlilleteau, préfet Doubs, et M. Grandjean, maire sénateur, de Besançon. Le ministre de la Guerre a été conduit à la préfecture. A huit heures et demie le cortège otficiel s'est mis en marche il travers les rues se rendre aux où pavoisées, pour glacis se dresse la statue du général Jeanningros, de la société des Vétérans, président mort en 1902 à l'Age de 82 ans. A 9 heures, sur la pyramide des glacis, le ministre de la Guerre a passé en revue les troupes de la garnison et les sociétés de vétérans venues de tous les points de la France en délégations très nombreuses. M. Sonsbœuf, de la Société président des Vétérans, a fait la remise de la statue il la ville de Besançon. Le monument, œuvre du sculpteur est en bronze. Le Iselin, brandit son épée et, d'un il général bras, serre étroitement un drapeau. les réceptions officielles qui eurent Après à l'hôtel de la Préfecture, lieu il. 11 heures 400 un grand de couverts a été banquet servi au Kursaal. sur la promenadp de ChaL'après-midi, festival musical mars, a eu lieu un grand 54 sociétés ont pris auquel part comptant 2.000 musiciens. et demie, le ministre et le A 3 heures ont fait leur entrée sur la officiel cortège dans et ont pris les tripromenade place bunes. musicales ont défilé, et une Les sociétés réunies ont attaqué de sociétés quinzaine la Marseillaise. mude la Fédération M. Gelin, président et îlu territoire sicale de la Franche-Comté un discours dans de Belfort a prononcé d'user de li a demandé au ministre lequel des membres du gouson influence auprès maintenir les musiques vernement pour de suppression. militaires menacées
et
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la mémoiredu Un monument GénéralJeanningros à Alfred de Vigny M.
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ruptions intéressées, ek à l'unanimité
15 août. Toulon, Le croiseur cuirassé a reçu l'ordre de faire son plein Jules-Ferry de charbon demain matin il. la première heure en vue de son départ éventuel pour le Levant.
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additionnez ensemble ces donformidables et votre va imagination reculer en ajoutant encore à ces vitesses la vertigineuses d'une rapidité machine tombani dans un de angle descente de 4 il 5.000 mètres par gigantesques et zigzags faisant le tour du globe enquelques enjam. bées fantastiques.
à
nombreuse
patrons niera
future des autolocomoteurs aériens. la pensée cherche Que seulement à évaluer d'aussi loin ce soit la marche que probable d'une locomotive dans les glissant airs sans déraillements sans possibles, mouvement de eans le moindre lacet, cette locomitive se au milieu et dans route, de ces courants donqui et quarante lieues à
pèche,
et
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à son pris
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(Par
fatidique mndinière
pêche dans
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très
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obstacle supposez dans rencontre, sa le même sens d'un nent trente jusqu'à
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n, Franqui dans les hopeut-être aérien''autoJocomotion vitesses alors connues et humiliant Franklin l'Ooéan n'avait pas tort de s'écrier, à la nouvelle de la première Ce n'est mongolfière qu'un enfant, mais il grandira 1 Il On ne saurait nous compmndra qu'il, de déterminer dès appartenir à présent, dons cet et ni exposé général primordial, ni manœuvres. mécanismes, Il Nous ne nous aviserions pas davantage de fixer, même la raapproximativement,
15
Concarneau, correspondant a*ion*
de
klin, qui entrevoyait rizons Je l'avenir ne centuplant les
chômeront
Mais k poisson sera
LE
d'appeler marchent
Filtx-Foaraitr.
LES
vers la droite voulue. quement Il Toute chute se détermine, en effet du côté maximum du c'est-à-dire ici de poids, l'inclinaison. Il Les inclinaisons ou déclinaisons plutôt à la plate-forme de notre imprimées locomotive aérienne, et combinées avec la dont elle faculté ascensionnelle dispose, lui fournissent de donc, indépendamment moyen
Plaet
!;il] PAYS DES FILETS BLEUS
blier cette faculté. Il Si le cousant vient à pousser raérostiar dane la nacelle du parachute sur placé un la une d&ngeretrx descente, po«r point une rivioi-e, ,une ville, foret, l'aérostier, à ea je suppose, la plaine qui voit droite, tire eur les cordcnea plus propice, l'enqui tourent à droite, et, ainsi son im.briquant toit d'étoffe, dans l'air fend obliglisse qu'il
un
LOU
1
revu.
HAVAS, 3. du Journal.
CRETOISE
avec de la voilure, équilibré l'envergure le parachute qui semble, son nom d'après n'avoir même, d'autre but et ne présenter d'autre ressource de modérer la chute, que le parachute est et tes aéroddirigeable, trers le pratiquent qui n'ont d'ougarde
l'hélice horizontale, locomotion. » Si Pascal a eu' ves des chemins
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L'accident de Vitfeikur Rouen 1 accident
15
août. Une des victimes de s'est qui produit hier a Bittenfleur près de Veulettes, est morte ce matin; c'est Mme de Rouen Houdeville, Voici exactement dans quelles circonstances s'est produit l'accident M. LagranRe, du restaurant propriétaire de la Cour-Martin à Rouen, et de l'hôtel des à Veulettes, nains, se rendait en automobile <k\ns cptte station balnéaire v pour les fntes passer de l'Assomption. Avec h. se trouvaient dana l'automobile sa sœur Mme Houdevilte, dont le mari tienl fa rôtisserie du rue PetitVateJ, de la Grosseil. Rouen, Horloge, et quatre autres amis M. et Mme Mamice PottLer, propriétaire» du restaurant Laprd, iM, rue Drouot, il. PaM. ns; Amette, cousin de NI. Pottier, f4 M. Moutier, de employé à Paris banque M. Lagrange était au volant, il. ses ayant cot-és Mme Hotideville avait sur qui set un bébé genoux àgé de neuf mois. La voiture marchait à une allure moderée, traversant lorsqu'en le Ion» Vittefleur, du mur du cimetière entoure qui l'église, en un endroit très M. resserré, sur le chemin une vieille j aperçut fetmnr.
i
J
^OUBST-EQLJlIfc
de trompe fit de nombreux appelé la veille femme, sourde et impotente, sapin a'-autaodtt et resta sur place. pas M. quelle Lagrange, pensant toujours «a efsur fit tous s'écarterait, arriva elle, de la mais un cOté forts pour l'éviter, veille fut voiture accrocha la pauvre qui mètres traînée sur une de quinze longueur environ et eut brisée. une jambe ee reM. LaRrangc voulut A ce moment
une heure, elle procéda, le soir, a se de dant souvent aux Français On reproche revéht une jupe et un cortoilette funèbre, n'avoir pas de goût pour la vie ooioniale, da et la prison soigneusesage arrangera mals ne devrait-on pas une partie de ces ment ses cheveux. Elle paaaa le commencecritiques sur la défectuosité de notre orgaà trois heude La nuit en et, un ministre des ment prières, nsation Quelle expérience le prêdu matin revint dans sa cellule ru colonies ipeut-il avoir, quand il n'a pas tait, d'elle dernier tre qui resta jusqu'au du monde? près au moins une fois, le tour moment régulièAvons-nous une flotte commerciale La salle d'électrocution rement constituée, possédant les moyens en a se tenir toujours proprcs h ravitailler, Il 11 était heures et demie environ, cinq les les explorateur contact avec pionniers, les dit le Coutrier des Etais-Unie, loreque cotonlala* ? de nos nouvelles possessions se sont témoins devant assister a l'exécution Aurions-nous envoyé Stanloy recherche Parmi eux te ifi»a& la prison. présentés pendant deux Ms le docteur Livingstone •& Taient M. docteur Helen trois femmes financier Et si nous parlons d'appui Il nurses Ces dernières we'slfall. et deux eeUct intelligents aventuriers, offrir nos nerveuses. Le très gardienparaissaient avec le système étroit qui domine dans les aux témoins chef. après avoir recommandé établiseeriients de crédit que noue le trouconde s'abstenir de toute manifestation, verona d'élecduisit tout le monde dans la chambre ont Les banques colonises anglaises trocution. d'un intérêt national de compris qu était sur s'assirent les témoins Rapidement, d'aider leurs mineurs, pasteurs, soutenir, la doclés sièges rAservés; qui leur étaient ornnmerçants, etc., et cela sans exiger des » en face et tout toresse et les deux « nurses eussent eu garanties que ces travailleurs de façon à aiprès de la chaise électrique, difficulté à produirc, des électrodas. M. Davis, der l'application les colonies dans anglaiDe cette façon, son appareil au moyen 'l'électricien, éprouva de commerce se trouve ses, le représentants satiafa>it du de lampes a incandescence partout. Ce n'est pas un employé spécial, les ampoules fonctionnement. 11 fit entevr c'est chacun qui devient le propagateur dia un derrière son dans et disparut rideau, la production nationale. de la ohambre. Sitôt le terrain occupé par le oolon, les ,coin« De sa Petterson le canne, capitaine entre lui et s'établissent communications sur une porte frappa quelques coups légers et ainsi qu'une horloge soin gouvernement, un mnin invisible ouvrit admiqu'une aussitôt maritimes, bien réglée, les rouages bref moment de silence et Mme Farmer, et foneitonnent, approvisionnent nistrafits, derrière le de entre deux gardiennes, apparait mettent celui-ci il l'abri de tout danger cordu funèbre prêtre qui ouvre la marche de défense. de ou manque privation, tège. colonial- ainotre système Organisons « La condamnée est pnle. mais calme. dons tes efforts de ceux qui s'expatrient, « Un elle Ses lèvres remuent imperceptiblement, imitons le devise politique anglaise avec ferveur. On entend ces mois prie un Il, et ce jour-la pour tous, tous pour h de mon Jésus, Marie, Joseph, ayez pitié nous aurons une armée de représentants Ame Ses mains sur sa poitrine crispées de commerce. retiennent avec force un crucifix. VAL ROSCOFF-
Il
REPRÉSENTANTS
DE COMMERCE
de l'acconséquences dans le moument, sur la direction, fit, appuya qu'il chemin. de son xcartant ainsi l'uutomobile avec force sur les contreLa voiture donna brisa. forts de l'église et se M. Lagrange, Le choc fut ai violent que furent et son bébé Mme Houdeville proresLes autres en avant. personnes jeta mais ressentirent tèrent dans la voiture
tourner cident vement
une
voir les pour et, vraisemblable
Au sujet de l'article avons au que nous publié, de la situation des reprOsentants de comsujet merce à l'étranger, un nos lecteurs de nous transmet les observation. suivantes Monsieur le Rédactéur en chef, Permettez-moi de à l'article de répondre tête du 10 août intitulé Il Reprédernier, sentants de Commerce rr passé sans signature dans votre estimable journal Les disent -NI. premières lignes Siegfri a renouvelé à l'une des dernières 6C-
violente
commotion. un se releva poignet ayant contusions peu graves. cass*de mêil n'en était pas Malheuresement invités Mme Houdeville me de tous ses Ie mur et s'éavait donné de la tête contre avait Mme Pottier le crâne; tuit fracture avait une M. Amctte Jambe un bras casse; sur diverfracturée: M. Moutier portait, assez des blessures ses du corps. parties avait Houdeville et le bébé de Mme «raves; chevslu déchiré. I? cuir indemne. M. Pottier .était Seul, sur fit le choc de la voiture Au bruit que furent aux cris qui poussés, de rriur, Les accoururent. nombreuses personnes maison dans une furent transportés ble^s saul'on fit pour tout ce que winuMi. Mais malinutile. La fut wr Mme Hourfeville ce matin. a expiré femme hereuse jeune Mme Pottier, qui en outre que On craint ne cérébrale, forte commotion q reçu une M.
Lapange et des
unbes de adressées éducation
cules de commerce, et professionnelle, Mais si un grand
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et
provoqué une région
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Clément«éronat C'est le suTerbe 1 honneur aura le premier qui Bayard au cours de son traversée cette «effectuer vers accomplira -aid Paris-Londms, qu'il la fin de ce mois.
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France, acheteurs, trelaQons pourrait tion de
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portations, constant concurrents.
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précurseur remontent Giovajt-Battista un vol de
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ministère
tentants dus1riels
Danti contemporaines ajoutent que son vol à cause d'une dédut interrompre et que. fectuosité de cependant, l'appareil, et sans il atterrit sans aucune brusquerie .se faim te moindre mal. eut le retenCette plus grand expérience les de Danti tiswnicnt parmi concitoyens Il Dédale Il, le surnommaient qui
La grande cantate en 7EANKE-LA-PATRIE BourJeanne-la-Patric, coirposée par quatre parties de Théodore Bosur un poème tault-Dgroadray. exécutée a l'Exposition de trel a été superbement et les les sociétés musicales chorales, Nancy, par et les Élèves des Ecoles tudu Conservatoire de dlx mille et normales personnes ÎMuç perK-ure* et ont fait une formida«Kilstaient Il ces auditions lul-meau qui conduisait ble ovation compositeur, «nr
DE
Feuilleton
Du
16
l'
sont le
Ouest-Eclair
Août
deutanpuya
de
2
1909.
LE DRAME AU VILLAGE
Par
LAMY
iu D
U
et un
mer. la loi de suivre k Empêcher dans ce cas écrit NI. Roosevelt, avait alors son cours, dorénas'il était entendu serait que, juste être ne pourrait apla peine vant, capitale si la vicmême ù une meurtrière, pliauée femme et si la torture aussi une time était Il victime. la mort de cette avait précédé nous Etats-Unis Le Courrier des apporte,
le se
sur tion
laide verais ferait
VERGER
PROLOGUE le secret, Ah le voilà, je l'attendais Franc ine Tu ,moi Me »e.ma.rier, moi, c'est tu rêves en cauchemar, Jules lèves, ce soir c! te te monte la tôle le sang qui Et voilà la sottise de la fièvre. que dunne confesser Mais, ilionb6sitais a me )u n'été* maîatle il d'abord vous sieur, jxyinl snvcz vous ne mourrez mourir, pas ot vous mum'clic bien moi Agathe, Aussi que que malade de la Poslt, u éi« plus Ta receveuse la HiCmc et qu'elle vous, ce maladie, lue ensuite et farte J'ai tst crasse aujourd'hui une vraie et vous d'être mère, w prétention un au cœur maître voudriez que je donare et à ma un ennemi à mon sec, Georges dans la d un second personne Marguerite mon donc Et puis, ci pus, mari AJlone tu ne me vois je pauvre Jules, pas oomme et laide mainmais vieille, suis. je suis df w& mains donc voudrai ;enaoi qui
piation C'est de la
les
J'ules, regarde-moi, » veux Le malade
appela-t-ellû écoute-moi,
gravement, je t'en
le un
immédiaJules, prie,
je
l'électrocudétails émouvants veille
de ainsi
leur
crime. que des
Mary femmes
et au surveillantes gardien-chef. fut remmené Farmer, Enfin. sanglotant, sa cellule. Elle se femme et sa réintégra couchette et sur sa pendant quelque téta vi. avoir la elle reçu temps pleura. Après avec elle site de l'aumOnicr qui pria pen.
11 y sont mu coeur s'attacherait à un autre, que son que autre les mêà un ses lèvres répéteraient mes douceurs qu'à moi, çà non, non, je ne résoudre pas m'y peux pas. je ne peux de ma v*e Je le fais mais Le sacrifice le sdcrifice de ton amaut, Fiancine, je n'en » ai le courage. pas se tourna Et Jr'es Lambinct désespéréramena les coument vers la ruelle du lit, en sanglots vertures sur sa lé'e et éclata franchit en prit,
la
sur
derniers
main de M. Davis, lentement sur un levier, décrit un arc de puyée et aussitôt la prière s'arrête sur les de la condamnée; un horrible spasme
apcercle lèvres seles de
coue la faisant malheureuse, claquer courroies la lient à l'instrument qui mort. Une des se gardiennes couvre ses mains. sage de Le
premier entière
minute
progressivement ment où il est pe de la gorge cins s'approchent, pe, pendant légèrement heures cinq cond examen
rant électrique de Mme Farmer. « A 6 h. 15, n. prononcée
vi-
courarrt une passé pendant a une force de 1.840 volts abaissée à 200, et au moun râle interrompu, s'échapde
la
supplioiée.
appliquent l'électricien
que les le
te
Les médele stethoscoDavis palpe
la
mort
était
officiellement
Le docteur Gorin donne adors l'ordre de détacher le corps et de le transporter dans la salle d'autopsie. « Mme Farmer a été tuée au premier mais nous avons constaté contact, dit-il, dans muscirlaires, comme quelques spasmes toute
électrocution, ser le courant jusqu'à u. ment eût cessé
et
nous avons ce que tout
fait pasfrémisse-
le
sur sa gaufit un mouvement se leva sur son les couverture, che. rejeta tendit les bras. séant, souriait. 11 ne pleurait il plus, voix continua de la mûrne grave, Francine de avec une solennelle, figure empreinte d'être tristesse tdsteaiw et de résolution,
à d'en venir à un serment pareil obligée de plucelui qu'elle allait faire et résolution tôt mourir mille fo^s que d y manquer jamais deJules, Sur la tete de nos enfants, vant Dieu qui a reçu il y a six ans nos prete si tu vemières je jure que promesses, nais ù mourir, ce qui n'arrivera pas car mes te guériront, boins et mes prières je restefita veuve rai ta Francine même, quand visiter cette autre et ton âme pourra dèle âme soeur de la tienne qu'est pour l'éternité, de Francine, elle la trouvera toujours rame Francine ne lit même. Les femmes comme deux fois, Jules, et donnent pas leur cœur sacré que celui son amour pour toi est aussi nos enfants, ne a pour ses enfants, qu'elic une à nous sommes-nous quatre, point, même chair ? seule et de ma déPardon, Francine, pardon dû te da ma folie. J'aurais fiance injuste, et m'en remettre il. toi. connaître mieux » Lambinet. Pardon balbutia Jules la tête et avait joint les mains. II baissait dans leure lits les Francine petits reporta était si dont le sommeil complet entants on les en avait enni si ne sentirent qu'ils levés, ni si on les y replaçait. de son mari. Puis elle revint auprès la douce et calétait redevenue Sa ligure et cehabituelle, me figure de la Francine cncore elle ajouta pendant Judonné un coup au cœur, 'l'u m'as c'ost ftni, n'en parlons plus, les, mais jaincher ami, combien Pauvre mais plus. craintes Mais, tes tiens, je sensées sont de ce lit, près t'avoir voudrais là, là dam
ALFRED. bien
Comme
se dit donc,
ça dis
nom
C'est iar
dix, de
cinq
Alors, courant
un est
S'il
les
les
poursuites a à on des
vous
qui
on
camp sortes
fait
les
récréation sont
compte saut
que
sa
Grande
LES
LISEZ
Semaine
d'abord,
ton ne
dois
fait
DE VOUS
L'
pas
Y TROUVEREZ DES
je
huit
ans. Oh
Francine, Je veux
consoler les gens, tu sais mon assiette remis dans avoir confiance. Jules, crois-moi, mon pauvre en mais nous une épreuve,
m'as
espérer, Oui, oui, nous traversons » sortirons. se remit Et Francina ses fers refroidis, çant sade»
au
travail, le activant
remplafeu maus-
amu-
sont
nier
à
c'est
qu'un
faire
enrager pion No
d'études.
C'est
6-urvoilLer un pauvre
pendant diable
licence,
à
hannetons
en
s'échaprvant
pas Sais-tu
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Il
travaille il
beaucoup
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fait
Alors,
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pas
nous
nous
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est
auxquelles ou bien découplée, font un bruit qui I C'est bien drôle,
en
suspendue lâche on du
les
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Angleterre, tu avais ta
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Marie,
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j'ai
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très LatYvonne,
Bretagne un Tu
et que voulu joli
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sa lui
norn trouves
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John A tout oe que Voyans tu me « No réponds toujours l'air d'avoir un mauvais Tu m'as ne faut être si fier 11 que ça pas un Français vaut bien du compte,
Anglais John. ALFRED. que je te
un
No Merci ? Tu
Tu es poli Veux-tu me fais l'effet d'un end'un fant gâté ou, plutôt, petit sauvage on t'humaniserons. Oui. mon Nous petit, tu auras été en te débarbouillera Quand aura fait voir de toutes classe et qu'on t'en moins et si mes coufier, sortes, tu seras en ne te dis te nrennent slnes grinn^ je uo aura de tours pas qu'elles que ça, il n'y dise
la maison. ébranlait toujours La tempête sonne heures avaient depuis longDix du horloge ménage et à la grosse temps. ou coucous réet deux ou trois pendules leurs enlevés propriémas non par parés taires. Pu, ce fut la demie. Puis onze heures. tout à Jules dormait consolé, rassuré, fait. Francine
Brusquement
s'arrêta
de
l'Opinion
Le dernier mouvement administratif comporta de M. Rolh, ocmme d la nomlnaton préfet il y a deux che Morbihan. M. Roth était, ans, Vinrent. du préfet du Pas-de-Calais. de cabinet de tnste mémoire. M. Clemenceau les grèves, à Lens, et comme il demandait se transporta on haul dans conditions pourrai! tout quelles les troupes suas exciter la malve llianca amener Roth à les faire vedes mineurs, M. l'engagea nir de nuit. M. emmène à Paris, fit CleVous. je vous menceau. M. Rnth devint De chef de cabinet de préfet, du Conseil. La voici du président chef du cabinet son avancement n'a exc:të aucune Mais préfet. on le sait mérité. jalousie
Du
noua sont
aimeras.
La victoire samedi Marremportée dernier, seille, M. Qieron, est due à une ruse de par Normand de dévouer. qu'il est amusant Le doub-iecréliure d tiUit a la manne se teonze heures a la préfeciunuit, depuis di matin, 1 re de Muselle, avec tes insunU parlementant et avec les armateurs. A La vente, les négociations Il était midi..VI. Uiûror n'avançaient pas. allait du caLinet ou se lemneiu !ca préfectoral, au grand salon d'attente, où se Leuriualeurs, les délègues des inscrits. tuu:e sa naicut Maigre ks uns et les autres étaient irrébonne volonté, ductbles. C'est alors M. Cliéron s'avis¡, d'uque ne ruse lui réussir il se dit q .a des qui devait dans dis conditions scciiucs difhommes placés seraient tendîtes férantes, cependant également la faim. Il résolut de ks prendre par la, et, par une de dix fois. avec admirable, patience plus tandis il alla des uns aux autres, que sonnaient une une heure et demie, deux heures heure, Les estomacs firent faiblir les volontés & et, deux heures et demie, la victoire était acquise. La malignité à la gloipublique, pour ajouter s'était re de Ni. Chéron, ajoute qu'il préalabletout ment réconforté au buffet Et d'Avignon. Marseille de rire de cette victoire de la Normandie. DU MORBIHAN LE PREFET
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quitbien cosui-
endette
drôle.
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je t'offre, No » caractère. bout Au
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Eh
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Moi j'aime
pas,
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à courir, sauter.
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n'empêche
finis,
Joli\.
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pas jeux. saute-mou-
le
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homuncule
le plus I c'asi Or, voyez joli Une corneidence, en somme, Le sommet nous vient de la Somme, Des Basses-Alpes, le basset Louis MAASOtXEJLD. RUE
pas
pas ? classe,
ma
Ça
gaies, née
oomme tu
c'est
n'aimes
et
parce
de
premiers tout
de
trente ans, vingt malade, pendant dix, moi, ou si tu étuis Georges comme t'y soigner ma te à portée, sentir toujours Marguerite, me devant tout. Ah qu'imporbien à moi, les suppléments teraient les nuits blanches, me conseiller, de besogne pour je t'aurais d'autant que me plus bénrr je t'adorerais en maman qui te donnerais davantage, jo 1 D.eu te infirme. Ah chérit san enfant voulait mais point mon s'il ne muri, guérira, tu au moins vie, m'accorde te guérir, qu'il de malade incurable, peu importe, une vie de deux enfant au lieu serai si heureuse, je tout voilà trois, quoi, j'en aurai à nouma femme, sanglota Ma femme, point veau Jules Lambinet, je ne méritais en barre et moi Tu vaux de l'or de t'avoir. injuste, un imbécile. qu'un je ne suis et soyez rasmonsieur, Allons. o.îsez, de guérir. Aprèssuré, gai, dépêchez-vous de le train demain à Saint-Donat par j'irai lea pilules rapporterai heures, je t'en quatre réussi à Mam'zelle Agathe, ont si bien qui vin et une brioche. bouteille de bon une souviens Vu ne te fei-o:ia la fête, le soir, Nous de c'est l'anniversaire seulement plus que et que dimanche vingtma naissance j'aurai
ne
ça
que
tu
tourner
peut-être, ne travaille
jouerons
UTILES
elles
même,
que
beaucoup' J'ai
faisait
qui ça crois
n'ai je pas ue= elles
TOUJOURS
RENSEIGNEMENTS
y
toute
alors,
perché n'aimes
tu
mal
en
ci OUEST-ECLAIR
et Il
durent
d'autres
aimer
peut-être
que des
vois
si
Ni.
ANNONCES
toutes
d'abord,
qui
on n'a qu'un Quand mètre. Venu d'un Ulliput nouveau, Au-dessous du commun niveau, On est un basset qui circule.
le
ensuite.
pas
t'apprendrai chat le
mais,
nous. que viendrai
Maritime.
loin camara-
De Je
Je
a,
pas
trop
No
Alfred.
une
pris,
a
?
courir
de
détours
pas
N'est-ce
pas
y
regagner de
quelquefois, finies. Mais,
pas
John.
Tu
des
prisonniers, barres
de
parties
une
de
des
il
trois
ou
ne
et
s'aventure
Deux mètres on se permet I Quand D'avoir deux mètres sous la toise, Plus haut que la foule pantoise On s'érige 1 On est un sommet 1
ta-
facile,
prisonnier
grapd
Le
de lui
pas
Puis,
deux
n'être
pour délivrer
pour a des
le
empêchent alors
main
h
ont cette anBasses-Alpes fourni, le plus et ia Somme. née, petit, i& plus oenscrit de la cliiasd grand 1909. tLES ioumjwjx.)
Le plus conscrit de France petit N'a qu'un mètre mais le plus A deux mètres 1 C'est diffèrent Dieu seul la différence. règle
du
tàche
n'est
de
tête
Figaro La
on
la
on
ce
on
camp tache
arriver
feut
camp.
quand trousses
ses
qui
du
et
gardent du
pas
On
camps a un
prisonnier, à la
place
Mais
autres
s'écartent
va
qui
est
Al^rs,
main.
en
y hors
se
il
cela,
la
il
sort il
cela.
Pour dam
deux
ouvertes
jambes
comme
tendue, délivrer.
fait
autre
pris, il
et
alors
camp,
à
COÏNCIDENCE Du
amusant, on
en
opposé,
l'attraper. l'emmène
gletenre Peut-être
et les yachts, les régates toutes pow catégories d'embarcations à voiles et iL moteur, un des de commerce, tout congrès ports constituera un ensemble d'attractions cela la faveur avec teouelle on atqui justifie manifcstation annuelle. tend cette grande tout à Et & une où ce touohe époque qui la mer une exceptionnelle prend importance. il faut savoir h la Ligue marigré de mulliplier les leçons de time Française d'un aussi choses enseignement persuasif
bien
1
Si
cagne
?
exemple côté.
chaque la partie
engage du camp
per car
qui
j
Un oeil oartout
No
Alfred. est
moi
toujours barres
1
Un un m«av«l» petit sot, caractère John. No Alfred. Et tu te détomnilliwns «wnm« Tu peus tu pourras t'en retourner d'où tu viens, entends-tu ? JOHN. No Alfred. No no 1 On dsraél Toujours Ah ça I voynns que tu te fais exnrès Je te une heure, parle depuis as-tu tout compris ce que je t'ai dit ? JOHN. No Tête (TAlIred. Lemctcieh de Neuville.
probablement nous Jolm.
c'est aux
jouons, jouer
No
At.FRED.
voudras
tu
1J
1
No
John.
1 En anautrement. faire de allons très Moi. ensemble je suis parties Je très fort, Aux gabilles, je suis joueur Je comme Je cale personne. gne toujours. aussi fort tu deviendras que t'apprendrai une madonc J'ai moi 1 Et à La toupie, ronla fait nière de corder ma toupie qui un tourne ronfler Elle pendant fler, vois-tu, c'est bien d'heure Oh quart barres Cest comme aux jaamusant. cours fais je mais prendre. je ne me 1 A la comme un cerf pension, quand glais, Mais, bonnes
comme
a être
1
No
John.
No
John. ALFRED.
t'obligera
Aul d. Tu l'avoues Ce n'est pee malheureux sois gentil, né boude Voyons, oeia. C'est peut-être parce que pas oomme tu as quitté ta famille es effarou> que tu avoir de ché moia tu ne dois pas peur comme moi suis un toi. je petit garçon Donne-moi la main en signe d'amitié. JOHN. No 1 Alfred. Ah c'est trop fort Eh bien fâchés 1 Je ne te parlai Nous sommes Tu n'es sot plus. qu un petit
tu
beaucoup
Des fêtes comme la représentation air donnée la Comédie plein par Française, des doit assister réceptions auxquelles le ministre de la marine, des excursions Iles voisines de la côte, la remontée aux les bâtiments de guerre la Charente par
Je
te voilà Enfin, m a de te voir Ma mère coûtent sûr que étais très je suis dit gentil que bien. Aaaieds-toi la, accorderons nous nous connu jamais de moi. Moi, je n'ai près Voilà une lantu es le premier, d'\n2lais, bien beureux 1 Tu es est difficile gue qui profesun «3e la connatire 1 J'ai pourtant nwis pas toujours seur, je ne comprends il me dit. exemple, ce qu'il me Ainsi, par E. de prononcer dit montre un A, et il me te brouiller me brouille. Ça doit Ça toi ? aussi, John. No 1 c'est la proJe comprends, ALFRED. faire lécherai de m'y pour nonciation. Je on m'a John, causer avec toi. Dis dorrc, me Joln Moi, dit tu je que t'appelais Alfred Alfred Tu m appelleras nomme suis
Alfked.
La cinquième Semaine Maritime Grande va se dérouler du 21 au 29 août à La qui Rochofort et les Sables Rochelle, d'OIonne, tant au de vue des fêtes offrira, point qu'à. un intérêt celui des régates, exceptionnel. On y verra, en effet, réunies les deux escadres du Nord et de la Méditerranée, dont les évolutions seront du majestueuses attrait. plus puissant
GARÇONS)
arrivé
Joli,
la Grande Uni! Mail
Ça
No ce Alfred, limitant. Voyez-vons « No No vilain oiseau Qui n'a qu'un cri 1u Si tu n'es pas sociable. plus gai, plus ton puys de chez toi, dans peux retourner mai où l'on est maua&ade et brouillard, élevé Je ne peux faire plus pas, pourtant, d'avances que je ne t'en fais 1
JOHN
ALFRED,
pour voirs
muscles du cou, et à six courant est rétabli un seet une troisième fois le couest envoyé à travers le corps
te fassent nous 1
PEU
JE0KE3
POUR
(DUIOGUB
ne
« La
UN
John.
John.
En les derniers secondes, quelques présont terminés une surveillante a paratifs fendu la jupe depuis le bas jusqu'au genou, a fendu les bas, de façon que les également électrodes être sur la puissent appliqués on a coupé aussi mèches de peau quelques le contact cheveux pour permettre parfait entre le crâne ot le casque métallique qui forme également électrode. Les courroies sont et le Patterson ajustées capitaine applique les électrodes, tandis que la doctoresse et les deux « nurses se rangent devant la condamnée pour la dérober pendent cet instant aux regards des témoins mâles. le masque de caoutchouc Enfin, étant ajusté. et l'électrode sur la l'éappliquée tête, lectricien fait signe aux personnes présentes de s'écarter de l'épais de caouttapis chouc sur lequel est placée la chaise électrioue. L'opération
R1RB
NO!
Sais-tu
préparatifs
aux
beaux les bras, le voudrais
la pièce, des enfants, bras et revint du <16t-e*>p6ré.
Mary va lire.
et
fut amenée Farmer une des celdans prison k a mort et autorisée des condamnés luleq James Fardernière fois son mari, voir une sous sentence de lui-méme mer. était qui crime. La loi ne le permort le nifime pour deux ne les époux purent mettant pas, d'ailleurs mis en ils furent s'embrasser barreaux de séparés d'épais présence, par très en outre un treillis fer que tapissait échanet les quelques serré paroles qu'ils de cette enles gestes de désespoir gèrent, larmes arrachèrent des trevue suprême
le
Olouffép. traversa, Francine seuil de la chambrc de ses s-ur chacun tement du lit près
journée, des Farmer,
coutume à l'humaine qui Contrairement il mort les condamnés veut France qu'en exécution de leur quau ne soient prévenus vont monter sur l'éoù ils moment méme américaines ordonles chafaud, règlements à l'éleccondamnés nent les criminels que de l'exla veille, soient informés, trorution
et avec deux orpheyeux qui ? fusses vieille et tu Je que moi à faire peur, parce que je te troumoins lu même et qu'au ç:i tuujours n'est Mais ce fuir les prétendants. jeune et plus belle tu es encore vrai, dès que là, a coté, jamais je dormirai t'arriveront. les l'herbe, propositions autrefois et qui a ceux t'aimaient qui Et cetle encore idée-là, que garçons. d'un Francité serait la femme autre. mes sur
dernière
Prévenue
a peine adultes, quelquefois s'embarquent ne trouce qu'ils et vont au loin conquérir un c'est-à-dire dans leur vent pays, pas en propageant les et cela nouveau capital, nation. de leur marchandises
pour lins
la de
qu'on
en Amérique. et même et un de ses effets existe, famille à s'excattete de la chance d'hén'ont pas patrier, puisqu'ils l'oeuvre paterneHe ou de continuer riter de comme l'auteur Ils pouraient pourtant, resla France, l'article le mentionne pour et y végéter. ter chez eux volonté. Ils n'est irxns leur Mais telle
pas que !=ous
la lie
habile.
de commence françaises de choses et il y de cet ordre votée avec une résolution ans de la à une des séances fut déil de Lyan, par laquelle des serait que repréopportun qu'il et indes intérêts commerciaux à poste fussent français envoyées
En Angleterre droit d'aînesse est d'obliger
BIBLIOGRAPHIE
en Eans
émouvant Un récit Mme une d'électrocuter femme, vient dans à la prison d'Auburn, Fanner, Mary de New-York. l'Elat Martha de Mme l'électrocution Depuis à la prison de Single 20 mars 1909, Place, subi la femme n'avait aucune peine Sin° Mmî. da NewAQrk. dans l'Etat capitale été conavait Mme Fermer, Place comme d'une femil mort le meurtre damnée pour été avaient des efforts me et pour elle aussi élecde la chaise en vue da la sauver faits alors M. Théodore Roosevelt, goutriaue. on de l'Etat de New-York, auquel verneur droit de grace d'user de son avait demandé refusé d înavait sauver cette femme, pour du le goucomme l'a fait, reste iorvenir cas de Mme Fardans le verneur Hughes
colonies étrangères dons différentes flxe les Chambres mission de renseigner avec les intéresser occasion sur toute pouvant de leur maisons d'affaires région. Où en est la question ? nous car Restée dans les cartons, pende trouver des agents fût malaisé sons qu'il réclamés. les attributs possédant ou renégociants Combien de Français, établis dans trouvons-nous présentants, colonies ? différences une cinquantaine, En Australie, peut-être même la en Nouvelle-Zélande, la moitié du Sud en au l'Amérique Cap; proportion combien de mais un bon nombre, rompt?
Les
ETATS-UNIS
On
figurent
? Chambres
Chambre ci(](,, «
rectement.
son «fovrr maRistiale autres Pludeun. représentations ces et auront lieu, temtn-d, der* la Bonne Lorraloe.
AUX
marché
Les sont émues a quatre enthousiasme
et renda.il un sifflement aigu L'appareil des le saisissement strident qui augmenta Le Oscar Salvanti, • pedatéurs. .professeur rechemhes sur a fait de nombreuses qui dit que Deniti était curieuse tentative, •«tic ex1.raoT<jinai reun mécanicien wdemment un Son n'Atnit nient haJiile. appareil pas deux il comportait gran.simple iiarachute étaient mots un méca<jirs ailes par qui musculaire d'un la force nisme spécial, dine suffisant les mouvoir homme pas
eu
L'électrocution d'une femme,
provenant les vraies
quantité étrangères.
a après-midi de Gravelotte,
Cette
15 août. le champ
aravelotte
de bataille organisée, commémorative cérémonie la Sopw Saint-Hubert, de la ferme près allemands.. mditaires ciété des anciens Vétélins français, de L'ne délégation des représentants comprenant et le clairon de Gravelotte combattants de Malakoft, y assistaient le héros Baudot, du cravatée une couronne et ont déposé de Gravelotte, au cimetière ruban tricolore et soldats françau 3.000 où sont inhumés du La journée tombés allemandes, pendant 1870. 16 août visité le ont les fronça» Hier, délégués au cimetièdes soldats français monument ils Chambière. Demain, prendront re de de commémoraüve cérémonie à Ja part Mars-laTour.
bénos nés aux con-
le public. à tromper ses fonctions, Le consul français, par est un d'essence agent diplomatique, très conservateur. naturo d'un acabit par une contrefaçon ? Engager Poursuivre fonds ? Avec quels procès ? être désavoué En cas d'insuccès, par
volant la place le cortège nupla terrasse sur
que poser
nôtres
de
bataille
une
ne être combatCette contrefaçon peut côté tes maisons tue, car d'un françaises et d'un autre n'étant défendues, pas pas dans leurs attriles consuls n'ayant pas en de poursuivre butions «t leurs pouvoirs deil s'ensuit les délinquants, que justice les choses restent en l'état des années puis de en les susdits français représentants sans crainte continuer commerce peuvent
fut acremarquable performance Cette du fameux du mariage à 1 occasion complie Un hisdi Alvia.no. :-ondott<>re Bartotomeo Cesacre Alessi, du tempF, qui assista, torien a raconté au vol de Danti, nlors enfant, de avait fait au oerué-ei. qui préalable que un au-desdont nombreux essa.is secrets, 30 mèd'une tour de sus de 1 eau, s'élança pendant et alla
bon
de
champ
Metz, sur lieu,
obtenus.
voyageurs qui accordées par fils d'étrangers
le
Sur
lesquels parfois présentent des en excellent français, de nos et l'on propres produits, trouver dans ces faits une explicadiminutions dans nos excertaines d'un et le secret développement de timorés dans celles nos peu
comme productions Le calcul est
mètres.
de tres haut, Lon-nzo Sun tial y défilait, d'une maison.
Français et Allemands
soit en Et c'est Amérique. se familiarisent avec la langue Les Allemands et les Suisdes redonc en grand» partie
Les marchandises sont souvent exposas de nos et les fabriques, achetées en moindre
Un aviateur en 1494 15 août. HAMBOURG, une de Hambourg publie encore un Home signalant dont les exploits l'aviation, à Pérouse 1494 Cest que date cette 1 nanti effectua
Les
saxonne en partie la connaissance
vendues à comme
Le
pratique fruits.
cours au
d'un collège. Allemands
en
le recevoir. Londres pour esson départ, quelques faits Issy-les-Moulineaux, abrité. actuellement
Tout est prêt En attendant vont être lais tu
d'outre-Manche et qu il l'acquisition unité de leur flotte
,premiJre
à instruction a porté déjà nombre de
bénéfices sur les que Il existe des «minusnéficient des facilités aux lois hospitalières
voisines
nos que récemment
qu'il à notre coulxrlitique ce jour notre
de commerce l'on renconprésentants que tre aux coins du monde. Le quatre plus souvent, c'est ils sont dira mandataivrai, salariés maisons, mais res d'importantes une ne trouvent leurs eux quantité parmi
fait
«
sait On su ont fait constituera luncnne.
dans
en Angleterre, ainsi qu'ils et les usages ses tonnent
sphéen <ftun
critiques mœurs,
a
acquièrent rapidement de l'anglais. Les Suisses peuple émigrades teur une notable composent portion de et cela représentants commerce, parce ces fils de Helvéhe ne que l'indépendante de se une rougissent pas pro préparer fession en se faisant valets aimeut. qu'ils soit de chambre ou gar<oi>s de restaurants,
La traversée de la Manche. en dirigeable Après
les il. nos
gens jeunes des conspéciaux de vue compratiques point le système n'a enmercial, pas employé core faire un défaut de napu disparaltre ture d'éducation sematavique sociale, qui ble inguérissable. En général le Français n'est à pas porté aller chercher au loin à l'étranger le succès en résultat très difficile affaires, déjà andans son Son propre pavs. conquérir en oe qui son déplacement tipathie touche vient da ce les qu il ignore généralement langues étrangères. La ne s'acd'une pratique langue peut écodans les cours d'une quérir théoriques
ont acquits naissances
à son était de M. Lewange Ledésepoir se il tenta de A maintes reprise fois on tempemais put chaque naicider, fam:Ues mort. Les donner la -her de se ont été lélégrapniprévenues :fes viornes a
la Chambre cent fois
et à notre régime d'avoir retardé pable jusqu'à expansion économique. Eh bien aussi commencer je dois par dire eu dans les idées de j'ai toujours que M. très une oonfiance, Siegfried grande H car la campagne a entreprise qu'il y a d'ébien des années, l'ouverture déjà pour
!'omble.
^"traciqueaccident la toute dans
DES
PROPOS
FOUR
repas-
ser.
BEURRE des
Journal
DE
PETROLE
Ddbata
ses prode nous faire consumer Non contente Oil Company, société la Standard iuits, pétroliède nuus les faire conre d'Amérique, a décidé Il semblait beau sommer. déjà qu on eût tiré du délides huile malodorante, parfums pétrole, la Standard Oit cats, plus doux que la violette bien mieux elle en tire du fait encore Company c'est fort. qu.2 ce beurre et, ce qu'il y a de plus suave, Il est frais, fin, plus beurre ne l'est pas. normand (du au goût que le beurre agréable les et il moins s'il faut en croire prospectus), du l'on toutes ces vertus l'avantage joint le ce miracle ? C'est marché, Comment s'opère naturellement, ne secret de la Compagnie qui, ont été entourés le publier. Ses essais va pas maintenant mais que du plus mystère profond e.'o sont arrivés à la perfection, ses chmisles les dans tous d'Amérique annonce journaux te beurde détrôner définitivement son intention de peu dit-elle, l'affaire re de vache. Ce sera, même elle du Bien mieux, prétend d'années. lait. Elle eNtrcut du pédu nous dégoûter coup à celui de trole un lait fluide, léger, supérieur de crainte Avec lui. point tous les mamm feres. à la tuberculose et point serve de véhicule qu'il In vache. Tant de sente de danger qu'il jamais A l'alimanifestement le recommandent qualités sMuire elles doivent l'hymentation populaire Aussi. la Comautant le gourmet. que giéniste assure de la victoire. Elle est-eUe 6dre pagnie
mais intelligents. espacés, voulus, Et qui, Mon D,eu qui à paQuelqu'un metti* reille avec un temps à ne pas heure, chien un dehors, qui ? de venir directeau lieu qui, Quelqu'un la du logis, avait dû ouvrir ment à la porte ouvrir endu la traverser, cimetière, gnllle de communication, core la petite porte pecontre la dansle jardin, s'arrêter nélrer rideau formant fendre au transparouge rent. Mon
Elle lèvree dans gauche, Plus plus hou, fumeuse sur le
se la
redressa
tronçant main
les droite
immobile. de tapotements de froissements du hou hou, et
le
tac,
serrant lea toute droite, avec la botte sourcils, dans la et un mouchoir du fer aur la table, rien le d'étoffe, que vent dans la cheminée d'une tac gouttière tac,
grenier. donc Francine ? Qu'avait d'une ou le souvenir idée Une lugubre tout omise lui étaient-ila passés commission •? la ««rvellc à coup pur chose. entendu elle avait quelque Non, donc ? Quoi incertain, quelque Oh un bruit léger, aile d'oile frôlement d'une chose comme le vadistinct dans un bruit à peine seau, et du vent. de la pliuie calme aux carreaux de la petits coups Quelques ouvrant sur le jardin. fenêtre da avait tressailli la jeune femme D'abord surprise, Par Les
pâli quoi coups
d'inquiétude. ce bruit était-il recommencèrent,
Dieu Qui ? Pourquoi secondes s'écoulèrent. Quelques de Francine oe détenla belle Puis figure les yeux suave refléta, une émotion s'y dit, et les lèvres une un éclair de joie pweurent ses eft. moue de pitié hésitations, tite pour peur. ou six paroles, Cinq furent articulées souffle, elle-même nant avec
ai ce n'était lui ?. être Qui pourras trce Ah il il souffre et il vient' Je m'en doutais. Il à moi. au-dessus du verre de la Et so penchant elle la souffla. lampa, des pieds elle la sur la pointe gagna Puis de dibarra*, trade la petite pièce porte certaine de et résolument, versa celle-ci el1a, la personno trouver derrière supposée, ouvranttourna la clef de la seconde porte dans La pendant santes
produit très
faiblea,
comme un. légères s'entreU* par elle,
noire
le jardin. nuit
était
obscure, encore y avait au dehors pour dessinée» s'y put il
épouvantable, des lueurs ombra qu'une
cesuffi-; trt»1, >
mi peu le pétrole tous les biberons.
qu'avant et Osas
LA Du
DU
DISCIPLINE
de
Cri
sur
toutes
loi
tables
La Vie Sportive
MENAGE
Port»
Eo Allemagne, la femme obéit ponctuelleCest ment é son mari. l'usage. ne se la rtâlme Cependant Kronprinjiessin Pour servitude familiale. conquérir a uetk pas son menas*, elle 6 eat tait adroi.autorité dans son tement nommcr l'empereur, par beau-père, où le Kroncolonelle d'un de dragons régiment est chef d'escadrons. ,>nnz n'a rien à sa bru, il l'a Le lvaiscT a refuser uniforme la il revêtir le superbe qui autorisée charmante. Et depuis oe jour, rettd encore plus ses volontés A son la princesse époux impose du foyer le prince rêve de s'évader pour quand se allcr la Kneipe, la colonelle, en uniforme, au respect des aevam. lui et le rappelle plr.n'.e militaires. règlements Vous avez ouhtié de saluer votre supérieur, ce soir ks arrêts, au Palais. vous garderez est la Et le prince s'exécute. La discipline en de l'armée et des ménages, torce pnncipale Allemagne.
INFORMATIONS DANSL'ENSEIGNEMENT FUTURS
PROFESSEURS
dee jury pour l'agrégation au ministre a propose Irhysiques le titre tructiun publique, pour camdidats dont voici les noms, les *-e de mérite
COURSES
DE
Marchés
or-
par
QUIMPER
!OU.
d'allemand
éoole normale MM. 1. Jolhvet, supérieure: 2, de Paris;' taculté des lettres 3, DontenSoulus, lecteur l'université de '.•iU" ud.): 4, Michel, fuculté des lettres Huile 5, Carré, (Allemagne;; de Pans: (id.); 7, lîurpun, (id.); 8, Rui6,, Luiiel, à l'école franco-alsacienne de ner in'olossou]' faculté des lettres de Pari.c; Bruxelles; 9, Denis, de cours au lycée de Jn, KruiiinihollK, charge de faculté des lettres Sainl-Lo; 11, llertand, au collège Stalinrdoaux; 12, Prost, professeur
de
la
région
VANNES (Morbihan). Marché du 14 août. Farine, les 100 kilos. 34 à 35 fapremière qualité, deuxième rine. qualité. 3Î il 33 froment, 22 mélell. 15.75 à 10 1650 à 17 seigle, sarrasin. 16 a 10.50 avoine, son, 10 pommes de terre, 5 ù 6 foin, les 500 kllos, 40 A 45 18 il 22; bœuf, paille. le llo sur pied. 0 65 à 0.75 0.50 0.00 vache, vean, 0.75 à 0 85 085 Il 1 0.85 & mouton, porc, 000 beurre, le kilo en gros. î.M .i 2.50, et en détall, 2 40 il 3 la 0.70 Il 0.80 Oeufs, douzaine. poula 3 lets, couple, 3 M la M à cidre, barrique. vin de W à 45. «5 Sarzeau, MORLAIX (Finistère). Marché du 14 août. Farine, les 100 33 première qualité, kilos, 33 .50 farine, deuxième qualité, 31 a 31.50 23 7S froment, à S* 15 il 16 seigle. sarrasin. 18 à l'J avoine, 16 Il! Il 18 son. 16 a 17 de terre, orgo.17 pommes 5 a 6 les 500 kilos, 40 & 45 foin, paille, 23 a 25 boeuf. le kilo sur 0 80 a 0.82 0.60 a pied, vache, 0.70 à 0.75 0.G2 veau, mouton, 1 porc. 0.1)2 0.95; beurre, le kilo en gros, 1.70 à 1.7a, et en 2.40 détail. à 2.80 la douzaine, 1 à 1.10 œufs, poulets, la cou4.50 à 5 la couple, 4 à 4.5o laple. lapins, jeunes 1.50 à 2 la couple, pins, canards, 4 00 a 5 haricots. vers, le kilo, 0.M verts, les 12 pois 0.20 poireau, 0 50 à 0.60 0.50 il o.co paquets, navets. artichauts, la 1 il 1 00 0.50 à 0.60 douzaine, choux, oignons, les M kllus, 3 & 3.:5.
IlislltF.
Ont ordiv
obtenu -des
le ocrtiflcat secondaire sciences
Le vient
niiiiist-re de .aire affairas le par
LA
UNIVERSITAIRE
pour res, 1 :on publique, dernior. LES
de l'Instruction connaître les conlen Conseil dans
publique arrêtes pris, et discipliruudo l'lnslrucsupt'Tjeur sa réunion de juillet
MANIFESTANTS
tic
uses
DE
LA
SORBONNE
Les manifestants d* la Sorborme ont vu confirmer la décision du Conseil de l'Use de Paris, avait conniversité qui prononcé tre eux 1 exclusion de toutes les Facultés et Keoles d'enseignements supérieurs, pu'bliet libres, 1" novembre 1909. ques jusqu'au Le Conseil a considéré la supérieur que manifestation avait eu un caractère partide culier gravité, les manifestante ayant un -iuiiphitliéatre dans un prooccupé 1-equel fesseur sortir La Paris
allait foire son cours ef ayant le professeur de vive force décis;un dtu Conseil de l'Université avait été nonobstant exeeulôe,
fait de l'ap-
pcl. VIOLENCES Une une
ENTRE
grave séance
affaire,
PROFESSEURS a retenu qui tout entière de l'Instruction
pendant )'attention
presque conseil supérieur publiétait celle «Tun décote de que. professeur rnodocJne et de pharmacie, le 17 février qui, 1W les opérations .pendant d'un concours un emploi qu'il présidait, de pour prosecdoits un local toirr, scolaire ft en préseoos des camfidoits et dt» an laborato**», garçons s'ôtadt livré des -injuuee verbales et même à des violents .restas à IVpard d'un de ees du même colk>guies, jupe concoure. Le conseil de njnrversité avait prononcé contre le professeur incriminé « la peine de la réprimande et l'obligation d'adresser, ,-par l'intcrmôdiAire du directeur de l'école, excuses écrites dbs à son n. coflègne Le conseil a confirmé ce jugesupérieur ment en oe qui concerne la réprimande H f'a au infirmé, dans la contraine, disposition le professeur qui oblige coindamné à Aes excuses écrites voici l'intéressant du
consMfrant Conlriiirnnt
qui que
motive l'article
cette 7t
du
infirmation décret
PECHE
filles,
élevé à l'école normale suMlks 1, Dcstrem, de Millet, (id.j; 3, ex-ecquo, p&irure et Litzelmann, institutriCmt( (ici.)' 5, Uoyenval, ce il Paris; Sèvres: 7, Dorliiac, fid.l; G Donwrc, R, Poncey, (ic.i: 1), Marchai, (id.); 10, Baudeuf, L'Iùve au lycée de Bordeaux; 11. Bonpas, délécuLe à Monlélimar; 12, Cave, 5>1*.rCii: 13, Gralibre ù Paris: 14, Uionot, fi l, professeur Sevres; libre a 1,'», Cliuudun, professeur Paris; 16. Bayle, i-U-vo à la .Vluiualile Mamtenon: 17, Araud, professeur libre ir Pai-is; 1S, Goubelle. Sèvres; 19, élevé au lycée Léonard id. 30, QiatiSRonnaud. de Bor.ieau. 21. Talion, Sèvres: 22, Strtich, (lcvi. 9 la Mutualité Mainlenon: 23, Aubran, déh Lansies: 24. Uulienc, étudiante A Borlopuée élève il la Mutualité Maintedeaux: 25. Gi'orget. non Sèvros: 27, cx-œquo. 2G, Gaide. Bureau, à Paris, Sèvres. instlulrice et Viaud,
JURIDICTION
PETITE
à l'en-
d'aptitude des jeunes
dn
15
ro-
biles les décrefs par des 17 mars 1808 et 15 novembre* 1811 pour les Infractions commis» par les .nemhrcs de ITnlvrrsité ayant et* remplacées par un pystrme de peine* nouveau et commet déterminé la loi par du 15 man 1850 <rn-mi surplus. J'amende honorable est une polne arcbalone qui a été abolie en matière de droit commun qiil est contraire h nos mœurs et ne peut Produire de que tnanrals effets.
Et Francine une ombre perçut immobile i tt muetteElie ne cria, ni ne recula, ni n'interroj^a. Cette ombre eUe la devumil à l'odeur pour aiiB>i dire, à l'atlintuoe cette ornbre son cœux Jui disait elle était. quelle Elle lui teiKlit la nuain, Et l'ombre la prit, cette main, la serra, igans un mot. lit au contact de la main du fantôme pressaint la sienne d'une certaine Pranfaçon, snie frissonna de La rruque tmx talons. Puis lout de suite elle l'attira vere elle, .«ferma la porte aans brait, et le guida dans les ténèbres comme une eut clairvoyanteconduit un aveugle. Le personnage ne disait tonmystérieux se laissait jours nen, faite. La porte avec m grande corrrrmmiqnant chambre fut refermée, elle aussi, contre rordjrjaire, et la majore damne de la chemn>6e éclaira senle I* silhouetta de Prancine et celle du spectre. Elail-ce un homme, était-ce une femme ? Nul natiroU pw le dire qui l'eût examiné à Ia clarté du foyer. On n<>lui voyait ni tête, ni vi»£e, ni jaml 'ne immense pièce d'étoffe noirâtre, quelune couverture que chose comme brune l'enw-loppait ouverture rompleUsnenl, que mu n tenaient rii dcadous, des bras ployés, df* mains crispées. Mais ce m.iKque lerrifinnt, cette sorte de noir ruisselant Francine ne d'eau, pénitent w; craixsaai t o*«.
SARDINE
L'Herbaud<ere. Pèche du 12 Bateaux sortis. 95 rentrés, 9': poissons par bateau. 1.200 au quart, 8-9 vendus au 40.000 la friture, vert, pour le reste du 20 fr. prix moyen mille. Quelques bateaux ont eu une de 3.000 a 3.500 d'aumoyenne tres n'avaient que des cents. Sables d'Olonne. Pèche du 13. Bateaux sortis, 84 reutrés, 84 poissons par bateau, °.000 au quart, 18 vendus au vert. la friture 00 Oui) pour du 110.000 prix moyen mille, fr. baQuelques teaux ont eu une dc 3 A 4.000 ('os moyenne d'autres cents. Le vapeur Cliarlrs-PlilUppe, venu des paraces do Nolnnoutler. en a apporté 137 .000 salées sur de les lieux (4-6 au et achetées a 18 fr. >>«che quart, le mille. CoTicameou. Pèche du 13. Bateaux sortis. rentres. 1 ono i ooo poissons par bateau, 8.000 pelltes, 1000 au grosses quart, petites 16-18, grosse 8-U du prix moyen mille, grosse 25 fr., petite 2.50 Quelques bateaux ont eu une de 18 il moyenne 20 000 peUtes. Siccl.. deux il trois la sardine Depuis Jours, est très abondante autour de l'Ile. Des bancs très sont aux environs. épais signalés Malgré l'abondance, les prix varient Ils beaucoup. sont montés de 0 fr. 20 à 0 fr. 75 la douzaine Satnt-Guenolé. Pêche du 13 Dntenux sortis. 90 rentrés, 200 des poissons par bateau, mille au quart. 7-8 vendu pour la friture, le tout prix ino5-t>n du mille, 21 fr. Quelques bateaux ont eu une moyenne te 4 at 000. Sable* dOtonnê. vtcho du 14. Bateaux eorUs, 80 rentres, 80 poissons bateau. par 5.000 au quart. vendus au nrt. S8-30 75000 pour la friture, 325.000 prix moyen du 5 fr. mille, bateaux ont eu une Quelques moyenne de 10.000. Un venu vapeur des parages de l'Ile d'Yeu en a 65.000 de 6 au apporté grosses quart, vendues pour la friture 25 fr. le mille. 5au2on. Pèche du 14. Bateaux sortis. 50 bateaux rentrés, 50 poissons par bateau, 1.000 au 8 la friture, le tout quart, pour prix moyen du mille, 24 fr. Un bateau a eu une moyenne de C 000 Douélan. Pcche du 14. Bateaux sortis. 90 rentrés, 50 poissons par bateau, 5000 au quart. 8-ÎO vendus au 10.000 la friture, vert, pour Î30 000; du 4 prix moyen mille. et 18 fr. le plus 5 élevé, et 20 le plus bas, 3 et 15. bateaux Quelques ont eu une de moyenne 15 à 20.000 sardines. petites Un vapeur est venu dans la baie pour acheter aux bateaux le produit de leur pêche. Auâicrne. Pêche du H. Bateaux sortis, 300 rentrés, '00 poissons par bateau, au 2.000 quart, 6-7 et 16-20 vendues au 10 000 grosses vert, pour la le reste friture, prix moyen du mille, 22 et î0. bateaux ont eu une Quelques moyenne de 8 000 Port-Louis. Pêche du 14. Bateaux sortis. 60; rentrés. 90 poissons par bateau. 6 000 au quart, vendus au 8-9. M-14 vert. 5.000 la pour friture 535 000 du 24 fr. prix moyen mille, les grosses, et 5 fr. les petites. Givres. Pèche dn 14. Bateaux sortis 45 rentrés. 50 poissons par bateau, 2.000 au quart, 8-9. «14 du prix moyen mille. 20 et 5 fr. Quelques bateaux ont eu une de 7 a 8 000. moyenne
LE Satila i'Olonne. trés, S poissons 410 prix moyen Part-LOUIS. 3 poissons par de prix moyen
THON
Pêche du 13. Bateaux renpar bateau, 200 vendus au vert. de la 48 fr douzaine, Pèche du 14. Bateaux rentre bateau. 150: pour la friture, le tout la douzaine, 22 fr.
LE
SPRAT
Sabla d'Otonne. Pêche du tJ. Bateaux 7 rentrés, 7 poissons par bateau. 500 au 8-10 vendus an 3 50 vert, prix le pins bas, Quelques bateaux ont eu une moyenne de A 1200.
LE Sables
L'Informateur K, me
Poste Les
ce fut dans la chambre du méfit, Lsrrtbkiet une obscurité nage totale. On entandit dans un que le fantôme jetait ooin son ample et lourde couverture humide, re de Francine en tataut puis il rapprocha ke et lui dit l'oreille objets, Sommes-nous absolument seuls seuls, et Il Jules les estante dorrnenUils ?. voix
étouffée,
Francine
ré-
pondit Joiee sommes
et les absolument
enfants seuJs.
dorment.
Nous
On ne peut rien entendre du dehors la porte, très a encore Rien, épaisse, bourrelets. Le lit de Jules est ici, n'est-ce droite, n dort ? pas avez Oui. Voos besoin de lui ? De lud et encore de toi. plus Francine, toi tu est la chevidle ouvrière de la puisque de tous les c'est maison, deux, cela pour a notre «ru "il faut le faire assister entretien, des
l'éveiller. Oh vous sieur Henri. Atrocement,
souflrez, ma
vous pauvre
souffrez, Francine,
monatro-
ET
solution:
P.
J.
à présent, recrutement;
vous
engage
COLONIALE
le
lundt.
gratuits. à M. Ramus, 0.25 pour {rais
correspondances Joindre
1097.
dès de en
Financier, Paris. Drouot,
sont insérées absofument
Renseignements Adresser les h l'Ouest-Eclair. de recherches.
FOUGÈRES
Dépade
militaire
MARITIME
LES TIREURS FOUGERAIS AU CONfédéral COURS FEDERAL. Le concours et à Saintse poursuit ce mois-ci à Dinan nuinzaine de et dans la Malo, première le à Brest. Dès maintenant, septembre est affiché au stand de la classement, qui assure tireurs un à nos rang Fougeraise, le parfort honorable, qui se traduira par entre eux, d'une somme tage, sans à 1.200 francs, compter et objets d'art. Le
à
G.
Vons
demander
être
Remettez
la
adressée rie
au
le
il
joindre
lon
colonel
rapporteurs. F. C.
1°
revue
serez
TOUJOURS LA QUESTION L'EAU. DE Les discussions relativecontinuent, ment à la suppression des borprochaine nes-fontaines. D'une les part, propr iétaires annoncent l'intention de protestataires la question devant le Conseil porter d'Etat, à l'effet de faire si possible, rapporter, le l'arèglement leur municipal qui unpose bonnement d'eau. Et, de M. Alliot, l'autre, directeur
du Bureau d'hygiène, plaide pour de ce règlement, en se basant l'application sur du précisément décisions plusieurs Conseil d'Etat. C'est le 30 sentembre commencera que la mise en vigueur dudit règlement. Mais la Mairie se déclare résolue il. passer outre aux protestations. Au fur et il. mesure qu'elle supprimera les la Municipalité bornes-fontnines, fera établir un certain nombre de fontaineswallaces, qui laisseront aux allépassants rés la faculté d'étancher leur soif.
ce
l'année.
d'amende. Galanterie
pas
à
(chefs 70
f
serez
nier, chaussonnier, et menacé de Alice Cuvinot, tés. Le jugement
trouver notre les
dxée, batail-
les
voie ne
peut
vous
me
pas
recourir de
fils
la
congé
que donnait
lui
cheur qui se trompe de été surpris péohant des de la Roche. alors que chaille était interdite, de la Bénerais, s'entend francs d'amende et aux
Saint-Brice-en-Coqlès .EN LE DROIT AVAIENT-ILS ? '? Le 22 kjillet les dernier, époux Chesnel, die StBrice, se rendaient du moulin acquéreurs dit Il Moulin à Tan n, sftué au confluent de l'Oisanco et de lé, rivière des Echelles Ce moulin appartenait précédemment h MM. Ferron, tanneurs à Tremblay, et était occupé par la famille Touchefeu une depuis soixantaine d'années. S'y prétendant autorisés par leur contrai, les époux Chesnel se sont de divers emparées moobjets biliers et instruments aratoires, malgré les protestations réitérées de Mme veuve Touchefeu, qui revendique la propriété de ces objets. Mme Touchefeu a porté plainte contre les époux Chesnel pour soustraction d'objets mobiliers.
RENNES
au
en A
la
voilier
peu! hiérarchilui
«
o'aêtre
citez.
Si
doit
les sans
n'a-
moudoute
Veuillez
Marine des
le il
Nous
sur
qui Tbio.
à
suivre
de
Commer-
bâtiments.
soient
plate-bandes fleuries, d'une saces repoussante; tous groupes, presque sont atteints d'une maladie de plâtre, est loin leur peau qui d'agmenter valeur Il s'agit d'une esthétique. sorte de dermaexfoliante causée tite la gelée et l'hupar midité en même des temps, de impuretée toutes sortes viennent se déposer dans les
aurait
me
marier
pas
morte..
sentais
venir 1. Mais plus au moins ? son jeu. et tu m'ap-
je aime tuer bien
non, ça ferait trop Tu vas savoir, Francine, ne prouveras. Je ferai rien mon de ma mère. père,
d'indigne
de
ne
te
en
toi
qui
A
ces.
votre Financine de orgueil pour petite ôtre utile, de vous rendre un de vous feu ce que votre maman a fait elle pour Tu vas faire mieux, Francine, tu seras désormais de moitié dans le secret de ma vie.
silence
Francine, de la charité, mère. Francine l'aimant oh oui,
aimant de
son tout
on
y
Vous nous
trouverait
pauvre, l'eqfant nid, la fille sans Monsieur Henri, le besoin de se
garder Henri
c'étail
a
songé n'était
mon
paradis.
Quelle comé-
ma
deux sans peu
mains
tu
Francine, mes après chaises
du
brusquerie, dans vers
sièges
et
lit,
préviens-le
àpeu fouillèrent
des
vas
confiden-
l'obscurité, couche
la
du
dormeur. Celui Henri
»
EUe
Franoine
que s'assit.
resta
Il
appelait
debout
et
se
Monsieur
sur
pencha
les
oreillers. Jules, Jules
menl, Et de
meroi. loin que
jamais la Saulaie
de
je
maman te
son quand sa femme.
évanoui
dis-t.u, encore
et
Leurs
de
par
vous
que revoie
je
l'existence
que le mieux
poussèrent
va,
de
fille,
enlevé
Approchons Jules
en
Si
rêvait
qui sa
Chez
juger
crois-tu ?
d'incarnation
écroulé,
qui
l'aimant
emploi,
Franoine,
n'aurais je madame
si
amère
sans assez.
attaché
été moi
tout s'est en
pas
chérissait, comme elle,
Et
die
cœur
que
point sorte
une
te
son
ma
sois
avec
Quel
passé, sœur sans
trop Et moi,
éveille
Tout ce que but ce je suis, je que peux est à vous, monsieur tout disHenri, posez-en. Je serais bien heuheureuse, reuse, du milieu de ma de propre détresse, vous étre bonne à quelque pouvoir chose.
Henri, si que
de
plutôt
ses son
dit-elle, éveille-tm. deux
mari
trinaire Il sans
saisirent à plat
posées
sifflante,
douce-
moi.
Il
une sur
de le
edles
du
crépUante
la
drap,
poi-
s'arrêta, eut
un
comme
doute Mais
une
trèe
doucement, C'est
mains
pressèrent. La respiration
à
sur
bàfllemetrt
et
s'rapprêta
parler.
Francine main
lui la
et
bouche.
avait
aussitôt
plaqué
quelles des oeil général, suivant Unes
Liane Rivibre,
scrutin des
des élections a eu lieu hier les électeurs juger,
au
2*
de
MM.
Catégorie. MM. Quinton
Iffendic, Romillé.
ei
PERTES ET une cravate-plastron La rapporter compense
Catégorie. MM. Guimonl
6* Catégorie. MM. Gaignerie
AVIS
t
êtes de
222. Votants, 12 voix, élus.
Inscrits, 14
i'4.
103. voix,
Inscrits, 14
14. 12
Votants, et Simon,
La SOCIETE VALSA vient d'obtenir à de Dinard la plus haute récoml'Exposition son excellent pense pour c'estQuinquina, à-dire la MEDAILLE D'OR. Nous adressons toutes nos félicitations à cette Société ses qui, pour débuts, remporte ce succès d'a.Ilsurs justifié. Le consommateur su appréqui avait déjà cier du lesparfaites qualités quinquina « VALSA sera heureux de le voir définitiau
premier
Procession Ce
fut,
des
rang
du
comme une
dentes,
toutes
15
apéritifs
ié-
1
CONVOI
oubli, par sont Mire-part, avis comme en
n'auraient pas de conpriées tenant lieu.
M alouine
SAINT-MALO pleine Basse
DES MARÉES a 6 h. du à 1 h. 16 du
mer mer
CASINOS. Paramé.
Ce Madame
matin matin
Atijourd'hnl et a 7 h et à 1 b.
à Salnt-Malo, soir, Sans-Gtfle.
16 août, soir. du soir.
du 30
Les
Pétards
LE TYPO CAMBRIOLEUR. te Sugot, cambrioleur a été iL arrêté typographe qui avons Saumur dans les conditions nous qu*1 relatées, n été samedi inter-roçé a-pres-midi la juge d'instruction. par Sa^ot reconnaît le vol cornmis lui par avec toutes Les circonstances aggravante» le feront a la qui comparaître prochaine session des assises d'IUe-et-Vilaine.
cle tout camme les consommateurs et nu» concitoyens ne se fraisaient faute de ve. pa^ nir se ce speclarte payer gratuil. Or les jours derniers, la suie de réclamations, le propriétaire du café a dû erwever sa toiie sei-vant aux de la projections qu'elle contre les murs et il occupait l'installer à l'un des angles de sa terIl en est résulté le public, désique de même du jouir quand spectacle, du côté de porté la rue Jacqut>s-Cartier, t'obstruant et bouchant complètement l'entrée des cafés situés en fare lo petits cnfh de Paris. Il est même arrivé des que
août
chnisrs et drs tables ont Mê bridées par Les commerçants dan.a leurs in'&rets,
Celle-ci, favorisée par dide, s'est déroulée dans au milieu d'u.ne nombreuse dèles. A l'occasion de cette
paux, tout d'abord le ci-noma en quessupprime* tion. mais sur l?s in^anres des conseillers, il a promis aux comiwTi.-a.nt intéresses dv remettre les choses faire a lVtat primitif. 1a les consommateurs et lea population,
temps rues
de
affluence
splenville, de fi-
fête religrande la fête patronale la maîtrise de paroisse Notre-Dame, a donné une très paroisse artistique exécution de la Cantate NI. C.-A. Colque lin écrivit l'an dernier le poème d'après do NI. Louis Tiercelin. l'assistance Ensuite, exceptionnelle qrui se pressait dans l'église, a entendu et fort la mosse de M. Crocé-Spinelli et apprécié un chœur de M. C.-A. cette Collin, spécial solennité. L' après-midi, a la rentrée à Notre-Dame gieuse de la cette
qui
coïncide
avec
M. le présidée par un salut solennel dont on connalt
prooession,
Los tramways
granda ét«V la
voix
intrrpré-
que car
de prudence, fonctionnai dents.
hier
justice laisser était
Institution
auront donc et de plus le cinéma a
s'exposer
satisfacmesura toi rru'j] des
acci.
Ecc!ésiastiqii3 DE
SAINT-MALO
PREPARE à TOUTES LES SECTION session REAT, 21 admissibles, juillet
DU BACCALAU1909.
COURS DE FRANÇAIS. LA RSUES VIVANTES, DES3M SCIENCES. «ATHEMATIOUES ET PHYSIQUES, en vrie des <*coles dv marin", ùa commerce ot il'ugriculturc, d'industrie. On ro<;oit commit titi tout pensionnairva enfanta dont prennent soin des institutrice* jeunes libres attachces la maison. Bâtiments neuf3 réà toutes les exigences de !hygiène. pondant
Paramé
do du
divers réseau
développement vapeur d'Ille-et-Vilaine, sans intérêt de pas
relatifs au projets des tramways à il n'est peu;-étro ici mépour commerce de 26 novembre arec avis
rappeler moire que la Chambre de dans Rennes, sa séance du 1908 a approuvé à l'unanimité très favorable les conclusions d'une pétition lue par M. Fleux et couverte de multiples signatures. La chambre de cmnmerce faisant, siennes les conclusions du en a rapport question, 6mis le vceu Plélan
étabtissements
lésés, on le conçoit, sont allés trouver M. 1»t leurs doléances et de choses primitif.. conseil>;rs municiLe maire voulait
venins
CONCERT
Portant
Que
ces foule..
lui exposer pour le retour a IVlat Leclerc et Gaflet, les accompagnaient.
conimrrçanfs tion. Ce n'est
PUlan-Romilié
où MM. les membres du se à inaugurer préparent la seconde session, compor-
1»
maire obtenu MM.
de la
Plôlaa-Ploôrmol
Au moment conseil général les travaux de l'étude
j
A PROPOS DE CINEMA. On saii qua l'un des des cafés de la p!ac^ propriéiaires Chateaubrianl a installé devant son établis sèment un dont cinéniatograph' prorTtenl a la fois les consommateurs et le public. ces ilomiers. ht toile du Jusqu'a jours Cinéma é'ait instaure conlre fes murs, <le la sorte due foula du pouvait jouir specta.
t Aujourd'hui, on a pu remarquer quo l'exodedes Rennais vons la n'écampagne tait que partiel. ciietv C'est qu'en grande nombre de nos étaient restés concitoyens a leur demeure cabrer la fête de pour et assister à la l'Assomption procession traditionnelle du 15 août. un les
j
place n dû rasse. reux s'est
les années précéfête religieuse
grande
panM camée. contre
ET DINANNAISB
à
et
voix,
Un gros succès
classé
Il été épingle
journal
LEMAITRE veuve fc'lwa DELt:fA,\C,
Région
HEURES
élus.
vement
Bédét,
d'assister au Convoi et A Tt prite rel gieuse, lieu en la Caqui auront Lavai. le mardi 17 août, pour
12.
.31. Votants, élus.
catégorie. MM. Brillet, élus.
voix,
6* catégorie. MM. Lechauff,
te
àtcMéo en sa demeure, A Laval, 7, rue des Rrtis sa Gfr année. senux. dans On se réunira à 10 heures, à la maison mortuaire. d Erné». L'inhumation aura lieu au cimetiïre De la part de M. G. Lenialtre, commissaireet de Nf. R. Lemaitre, véténnaire h priseur,
5.
Votants,
Inscrits, et Coleu,
14. 12
Combret,
17.
élus.
élus.
5*
Votants,
voix,
DE
Les personnes de lettre de reçu sidérer le présent
8.
Volants, 8 voix,
Baudrei,
Inscrits, et Jean,
OUVRIERS. 131.
212.
Inscrits et
Plélan.
arec du
{ j
Saint-Makm.
Montfort,
TROOYAILLES écossaise au bureau
w
Inscrits 164. et Lefèvre,
Guinegault
Inscrits, et Lepoltier,
1
Beeuvais, national
route
Plélan-RcrmiUé. le Buisson,
élus.
<• Catégorie. :\11\1. Pros' 5'
Catégorie.
12.
j
lee. études poor te <»» votés par à l'étude des H«
Cogaraie,
Vous cérémonie thèdreJe
de ballottage prud'hommes en pourra
aux
•
fonds ont été il soit procédé les tracés ci-après
Saint-Gonlay, Pleumeleuc
ne
pas.
et soit
PioCrmet-PUtan ce raccordemen* de Plélan.
Ligne de Plélan-Ploermel. Flétan, la Pont-Breton, la route de Plélen à Patmpont 0 km. 800 au-dessus de Plaisance, la valde la Moutte, la Volée, 1* lée Padmpont, de haut. haut du viHage du Cannée, le Bout
aussi
chronique
du Thabor
des leté en
lui
monsieur souvenu dans le la petite l'oiseau
leaux
visitent notre étrangers qui jardin sont unammes à reconnattre qu'il son par et sa pittoresque propreté, lea premiers de France le Thabor parmi n'est sans cependant pas taches, et on ne cesse de déptorer les superbes que groupas au milieu des disposés çà et là, pelouses et
lontés.
Merci, vous êtes remontions
la
Les
dévouer
Non,
Convention ordonne La jeunesse afflue (1793).
statues
Je l'avais devint en vous rencontrant aussi hésité oe soir il f lundi, je n'ai point mon cœur me disait c'était ouvrir, que A vous. qui on aller, grand Dieu, quand veut un peu sa peine, à qui sinon soulager vers ceux ron sail vous aimer que Aussi tu vois à toi, venu que je suis à Jules vous serez les seuls au monde à oonnattre mon mes vodésespoir, suprêmes m'en doutais, elle ne vons vous point
saint Mammcs
saint
radical
eczémateux
Duruaselle, M. Dosbin, en a remarquablement pu.iss.nnte, t'i les soli.
public flgure,
satisfaction, Conseil d'Etat.
renseignements ce
La nation.
Le conseil ainsi
do la vicaire chnnté.
demain,
a usai
d'un
et
Vous 3°
Kerbabélec.
ruhriqae mouvements
je elle. n'allez
Encore un pêdate. Pour avoir gardons au moulin la pêche il. la blanloseph Montjarret, condamner à 16 dépens.
pour
cas;
Votre
encore
Ah
Lhermefrangé: fille, Mlle jeune ses assidui-
Mlle Cuvinot est cette fille il jeune qui, se jetait y a huit jours, du haut d'une fenêtre pour à divers échapper, disait-elle, ennuis. Son état s'est sensibdement amélioré et elée a promis de ne pas recommencer. SAiNT-OuEN-DEs-AiLEUX.
traitement
des Hgna et que Plél&fl-Romitlé, fait à la gare actuelle 2* Que, parallôdement
Madame nee
3e
qui repoussait avait été rendit dépar faut Lhermenicr a fait opposition. L'affaire étant à le triévoquée nouveau. bunal tient des bons an!<Scéd!ents compte du prévenu et réduit la condamnation à un mois de prison avec sursis.
Les
Ramus.
oela vous
mort
d'un
Plus simple. s'en plaindrait
PATRONS.
devoir
prévenu une
bles
Votants. 12 voix,
Il y a Il relatait mois de de sécorrec-
peu brusque. « Ouest-Eclair sévère un ans d'interdiction Prononcée le tribunal par contre le nommé Eugène
jour tionnel
capitaines-
convoqué, 2° 1922;
par
le ruisseau de la Touche-Guérm, la route de Campénéac et ta allant a Ploermel.
les saletés Evidemment, continueront à se dépodurcis mais au prinsoins les fetemps. quelques insignifiants ront On fabriquera une bouillie disparaltre. d'amidon et. par un beau on épaisse soleil, l'étendra sur la Les et statue. poussières les à la végétations adhéreront colle qui, en séchant, s'écaillera et s'enlèvera rapidement. La statue alors comme apparaîtra neuve et on pourra la rincer Il à l'eau pure. serait à souhaiter les affections cutaque de nées humaine soient l'espèce justicia-
lieutenants-co-
les
pour
cas
le
de
un l'
quelques mois, une condamnation et cinq prison
LA RocK, saint JoacMm sainte Julienne. EPHBMSRIDBS. vée en motte de la bureaux d'engagement
d'infante-
est de
aux intempéries. et les végétations ser sur ces plâtres
qu'on ne se sont, pas plus tour, qu'au premier donné la peine de voter. Patrons et ouvriers se sont cette fois encore abstenus en masse. Voici les résultats du scrutin d'hier
TRIBUNAL CORRECTIONNEL. FouctRKs. Pè:he Un chaussonprohibée. mer de la rue Alexandre Louis III, Ruault, fut surpris les gendarmes par en train de des pécher vairons du Moulin de la près en Léomisse. Il se Petàte-Marche, servait d'un baril de verre, de engin prohibé, et, la pèche au plus, poisson blanc était ferles gendarmes mée lui dressèrent procèsverbal. Le tribunal condamne Ruault à 16 francs
votre
demande
d'ace
qu'en tous
en
de
vements
»
et
abonné.
qu'à lectrice
Une
dans
ans
Ministre envoi
dans ne
n'aurait
se
68
ne
dnns
lecteur
Ministre
à
RENNES
seulement.
au
vons
limite
ans
d'appel,
do
régiment affecté.
La
65
dispensé
que. refusé
du
Vous
mobilisation
Son
DU PAIN, ainsi fixé
seulement
votre
êtes
à
emplois, d'escadron) 20 A
ou
une
appelé
1°
Gigantus. les pour
pourrez a la fin
gendarmerie
vous
auquel
PRIX d'être
du 16 août 3 kilos, 0 fr. 95 1 k. i 0 fr. 475 0 fr. 316 0 fr. 158. kilo. Pain de ménage 6 kilos, 1 fr. î0 3 kiL, 0 fr. 85 1 k. J, 0 fr. 425 1 kilo, 0 fr. 263.
Faites-en la demande, au commandant du bureau 2° Vous n'êtes pas tenu, de ce certificat. Je produire néanmoins
Il.
DU vient
pain à partir blanc 1 kilo,
Fougères, Pain
demande. d
DIMINUTION du prix
sayjérieurc les médailles
1°
principe,
dresser
Cela
même
CONGRE
constante. Les obligations 5 or de la Compagnie du de [er de la Côte orientale de fllrugay Chemin ont. le calme inhérent à une période de malgré conservé de trts bonnes tendances à vacances, les 50 premiers 463.50. On sait kilomètres que de la ligne sont en dftja exploitation fructueuse*, les travaux du prolongement de 63 kilomètres la Comsont très activement puisque poussés, en a réglé de un million de pagnie pour plus le commencement de l'année. Le francs, depuis de la Rovdes placement obligations Compagnie mcrine du Chemin de (er de Buiau N'eholasu, s'est la date de mise en qui poursuivi depuis avec un plein dès vente, sunces, peut maintenant être considéré comme terminé. Un chiffre de souscription a d'ailleurs gros la Roumanie, ce 6M fourni par rentnemise par maison de Marmoroschl'importante banque Blank de Bu<ytrest. Les garanties aériennes et les résultats dtetcommis sur cette ploitatiun déjà ligne, qui sera entièrement terminée le mois prochâftt, justefient la faveur rencontrée ce pleinement qu'a titre, du public et de la clientèle des étaauprès blissements émetteurs. On annonce rémission de 5.000 obligations de ',t'On couronne-s 5 (420 fr.) de la 'Société Wonde Cuivres. Le prix d'émission est fixe il qroisr 370 francs, laissant une marge au rembourse· de 50 fr., et faisant ment ressortir un taux de de 5.67 Les sont roplacement souscriptions an a de siège administratif. Paris, la soçiies ciété. 13. rue du Conservatoire, à ta Ranque 1. R. P. des Pays Autrichiens et à la Société Gênirale.
Un
MAQUEREAU
elle elle l'aimait. Mieux, l'admirait, Cela se compremit son extase de le recevoir chez elle. à son désir empressé d'agir le souhaiterait. selon qu'il Lale le laissa se diriger vers le foyer. Il y saisit une houillotte qui mijotait, et de son contenu il arrosa les tisons de manière à en éteindre dernier jusqu'au rougeoiement.
la
LE
raccordement
ILLE-â-VILAINE
14 août. a été satlsfaiParis, La semaine sante au dans tout au moins l'ensemble, point de vue de la tenue des car l'activité a cours, fait complètement défaut. La question crétoise, sur sans le marché, a toutefois inquiéter pesé les cours de Fonds dont d'Etats, quelques-uns se sont inscrits en recul. la fermeté de noIl faut néanmoins constater tre Hentc, maintenue au-dessus de 98. qui s'est A J'approche du tirage fixé au 20 courant, les Bons du Congo ont bénéficié de nouvelles demanda à 92 et 92.50. On sait qui les ont portés en outre des lots très nombreux et très que, ces titres dont ils sont dotés, preimportants sentent de nombreux tant avantages, au point de vue de la sécurité de placement de la que chacombinaison de capitalisation progressive année. que Aux sociétés de crédit, les tendances sont resNos grands tées comme d'habitude très fermes. élublisaemenls financiers se retrouvent à leurs de huitaine. cours Pannl les valeurs de traction, les Omnibus sont revenues de 1.3î5 à 1.360 et 1.350. La vers 6î7, a été faible. Le MitropoiMain Thomson, est passé a 5C0, et le Nord-Sud à 349. Le Rio a été assez traité entre 1.930 largement et 1.993, revenir à 1.968 en clôture. pour Sur les valeurs russes dont les cours sont restés on a noté la nouvelle avance fermes, Industrie IlouffUtre de des actions privilégiées très rés'stantes la Russie méridionale, qui sont h 5G0. Le grand fait nouveau est l'abondance rentrer une des récoltes, quantité qui va faire dans d'or considérable en Russie et déterminer ce pays un mouvement industriel de grande ende la rrsgion du Les Charbonnages vergure. recevront de fortes commandes, PoneU, qui snnt donc h la veille d'entrer dans une ère des Ces titres sont dono particulièplus prospères. rement d'actualtté. En les dispositions ont d'abord été banque, on a constaté un tassement plus animées, puis sur et sur les valeurs intfs titres cuprifères dustrielles russes. La De Brcrs, d'abord à 403, a dû également revenir à 399. Au l'nction des Mbies d'étain de comptant, a accentue son mouvement de reprise VArnoya a 106. avec transactions animées, les vamalgré cances. Ainsi nous l'avons dit que précédomd'exmont, au fur et A mesure que les travaux avancent A l'intérieur de la montagne ploikrtfon les concessions de la société, ils rcnl qui forme contrent des teneurs de minerai en amélioration
tf'OIonnf.
Pêche du 13. Bateaux sor tis. 1S reotrés, 12 poissons par bateau, ven250 du au vert, 3.200 prix du 10 fr moyen cent, Pèche du il août. La porche Roscojf. du maquereau commence mats encore donner, très faila pièce se pale de 0 fr ble 30 a 0 fr. 50. Sables d'Olonne. Pêche du 14. Bateaux rentrés, 6 poussons par bateau, 150; au quart, 3-4; vendes au le tout vert, prix moyen du 9 fr cent, Un bateau a eu RO0. Douèlan. Pêche du 14. Bateaux sortis. Il rentrés, 6 pobsons par bateau. 5 a 6 douzaines au quart, gros maquereaux vendus au vert le du tout prix moyen cent. 15 fr.
De
ET
de la sur1ace des lichens et de8 un sol favorable y trouvent pour y Cette affection avec végéter. progresse au bout d'un certain la t'age, et, temps, la plus un nymphe gracieuse prend aspect et une teinte sale de l'effet le pustuleux plus disgracieux. A cette maladie il y a un traitement qu'il serait bon de faire suivre à nos statues et est le suivant la statue d'une qui on enduit couche de silicate de potasse durlégère qui cira ses insensibles téguments et les rendra inégalités mousses
REVUE FINANCIERE
lonels);
Les sortis. quart, 3 tr. 1000
RAIE
noteoft. Peeh* du it août. Lee bateaux chant aux de six à dix palancres rapportent niers de raies et de Le panier congres par Jour. U) Jdlos environ 7 à 8 fr. net. rapporte
Voici les de les épreuves engagements reçus pour la deuxième n.irdl 17 courant journée, 1" à COURSE. Leusellc. Il M. Hervé Foulon, il. a M. de Forban, à Olivier Mtmirui. Lancle M. Blchelot Echalotlc, il M Connen Etptnnce. à M Toublanc au à Figaro, même Fauvette. M Melller Félicité, à M. Garreau Faille. au Il M. même Flambard, Hamon. 2' C0tilS£. Guczfbel. a M. Le Chaux Plutut V, & M. Flécbclle-Lefebvre Uadanie à M RousOku. sln Samt-Brofif, Il M du Cor-Damrémont Eyra, A M. Le Couédlc Dur-Cœur, à M. de Carcaradec Gfrouctte, au même à M. de Crorylnr, Laaglc au lierGarragarra. même llasliiigt, au même Min. a M Le Gualès de à M. Mézaubran Kouka. Mercier. S' COURSE. h M OUlTler h M. GUizard, Grop, de Gutrande L&ncle Galoudec. au môme a M. M. a M. Hnon Gavotte, Garreau Glaneur, Hamon. V Ootmsi. Plutut M. Fléchelle-Lefobvre V, à M. Maison Cantcrcine, M Mlrbel Epérance, il M. du Pautall Satnl-Drone. Cor-Damrémont Eyra, à M Le Couédlc à M. do LanGeorglne, au A M de Car gle Haslingt. même Gtrouelle. caradec Fcillet, à M. Le Guales de Mézaabran Boite a muttque, au même 5' COUR«. Alhambra. à M. Carruel Gttfctai à M Féc a M. BooJourolao Frtnlemp$ Il, Domino M. Flécbelle-LefebTTe BarWgue V. chon. il M Le Suspendu .1 M. Bernls Pâlotte 6' cornst. Selim, a M.Lefeuvre Prtniemp» III, t M Chaude Mtanonne Ill. M. Gaude.
d'agrégé,
MM. Foole normale supérieure; 2, 1, Bruhat, 4, Meynier [îd.j; Hibaud, ti-X); 3, Fortat, (id. au du lycée Havre; 6, Guyot, l, V. ugner, Uélcgue normale d'ena ieoode supéneure prO(>aiiueur de isiinl-Cloud; 7, Soury, BeigiK'iiienl primaire Brûle, 9, GaÉ-jote normule 8, (id.); supérieure: de Montpellier; loeullt dus sciences 10, Luwl, aufaculté des sciences de Lille; 11, Frion, mont ôrol normale supérieure; IX, Vigué, (id.); (id. 14, Derôme, 15, Le13, CUuuilisu.uuey, \w); de a lu faculté des sciences augc, préparateur uu lycée de Caato&uhutiics; iti, Clocli, délègue l'agrégation
LA HIPPISME
sciences de llns-
Le
Pour
Sauion. Pecu» du H Bttuox sorti», dû au rentré*, a poissons P»r bate&n. 100 poali, 4-5 vendu la friture. le tout prix moyen pour du 10 fr. le plus le plus 9. cent, élevé, 12 bas. bateaux ont eu une de 400. Quelques moyenne
soit
choisi
comme
point
de
Ne dis rien, continua-V-elle, n'interroge pas, écoute.. Il y a quelqu'un là, quelqu'un venu en cachette pour affaires graves, quelqu'un Henri. Nous allons qui est Monsieur le laisser il les ténèbres et parler exige un silence aussi absolu Un que possible. mvstère terrible sa vie, son duquel dépend bonheur, son salut, voilà ce qu'il veut nous confier en nous demandant secours. J'ai sur nous; déjà répondu qu'il pouvait comp'er I1 est assis là, tout contre ai-je bien fait ?. toi. à la tête du lit, sur ta gauche. Pendant huit ou dix secondes, Jules Lambinet resta sans répondre. R profitait de ce qu'on le croire pouvait encore mal de ce qu'on lui avait éveillé, défendu de parler. Mais son silence avait une autre cause que le lecteur saura bientôt s'il ne la devine un peu déjà. Enfin la foi ,la droiture, la 'générosité, sur les idées noiree de mal'emportèrent la(le. Et se haussant dans le lit, il porta tout son corps vers l'angle de la cousupénieur chette, jeta en avant son bras tougauche, la tête cha d'abord dne Monsieur Ifenri, son bras, sa main, en murmuputs saisit rant Vous êtes ici chez das amis, Monsieur Henri, des amis qui seront heureux et fiers de veus Ne vous gênez obliger. pas, demandez, et aussi sur leur discrétion comptez absolue. Malheureusement je ne suis plus bon à grand'chose, guère mais Francine tout faire à alle seule. I pourra peut-être
prochain, voile salle, des œuvres sistanco n'v din-aire. On Yann tatrtce niste. Rennes, ceaux
DE
CHARITE. Mercredi aura A la noucourant, Geu, le concert annuel au bAn'jfica Nul doute paroi.ssia.les. que l'.is-
18
soit
aussi
nombreu.x
l'or-
qu'à
le chansonnier v entrndra Mme Nibor, Mahé, rennaise MUe Denise premier élève d'orchestre
populaire canv.oloB<\lin, tim Conspr-vatoirr prix de de NI. LavelUi. ct divers mor- j sous la direction de MUe j
Archcmbaiwl et de NI,. Ch. 'Il. Cette charmanite matinée ser,t terminé* une £**>.n.e enfantin* Il Les Rraciriu-se de -Ni. l'abbé Courlis Il, msknie Diwt, de Rennes. Mon-ttV n.wc un soin tout partwucette œuvre clôturera lier, diçmernent un très programme art^s-tiqiie.
nar
Un accès de 'oux les efforts suivit, malgré mudude l'étouffer. pour J'ai besoin de vous aussi, Julos, surtout de vous vous n'êtes souffrant point ne pouvoir faire ce que vous deitvanje vais der du reste s'il en (Mail ainsi tout ce que j'ai deviendrait Ecouprojeté impossible.. tez-moi écoulez-mai donc. bout, jusqu'au vous comme Francine, ne sa)). iren enqui core non écoutez-moi sans plus, m'intersi extraordinaire, rompre, si affreux que vous au oremier paraissc abord ce que voua entendrez. l'as de ("exclamations, proteetalions, en grâce, rien Je ne suis rien, pna et d'autre fou. croyez-le, part je ne suis pas du tout certain de ne point être espionné. Gardions un silence, un mystère de tombe; c'est le cas ou jamais chez un fossoyeur et pour le service spécial, étrange que je viens lui demander. Assieds-toi, et ouFrancine, vrez tes oreilles tous les deux, car je va» comme m je supposais parler ennemi qu'un fût n collé contre la porte. de répondre Afin un dernière fois aux prode Monsieur oocupations Henri, FrancùM connaissait les êtres qui de la maison* !rop se heurter, alla pour fermer la rapidement des porte écouta contre celle de la enfants, rue. rien la ptnie fouettant !ee vitre», Rien, que le vont hurlant dans les au ornesapats tière cles plaintes ave d'une nier agitée.
j
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EUe revint Et Monsieur dences,
s'asseoir. Henri
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commença ses desseins. (A
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Dinard internaLes régates un trt» favorisées par le plus obtenu le suocès
REGATES. de Dinard. ont temps,
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not-s eutomobiles cheurs cancalais. résultats demain. FETES. lieu le 22 Le
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produit de I'awjueètcn. Un docteur constater le nommé Louie
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fête» voici
à ce sujet..Elle à faire, deoquéto per n'eut seulement. G est la s'occupt d£ Quimper d»n« oui est chiarjfée gendarmerie dfopérér mola campagne. Du reste, les brigades biles, en raison de leur facilité de déplaceet fait même les ment du que inspeejeure sont .ne sont pas connus, plue qualifiées les enquêtes de celle nature. pour DE CHASSEURS,Un grouREUNION de chasseurs du Finistère se pe important mardi 17 courant, réunira à 10 prochain heures du soir, salle Autrou, place Tpul-nrLaêr, à Quimper, en vue de discuter sur 1a date fixée au 26 septembre prochain, la chasse. l'ouverture de pour Les chasseurs du département sont priés eh plus grand nombre d'y assister possible. Le permis de chasse sera & l'enexige trée.
LORIENT
dans
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de décos lhuel,
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commun*
fut
pour Plouny appelé d'un vieux cultivateur 78 ans. Le défunt pofblessures & l'os frontal,
tait de profondes la tempe et l'arcade sourcilière. Le docteur avisa M. Lomodec, au adjoint maire. refusa le d'inhumer. qui permis Le Parquet de Lorient a délégué le dooteur Serre! faire de la viepour l'autopsie
Tne course A cinq heures, courses de bicyclettes une course régionale pour les cantons communale, Plélan et Ju»on Course de te Plancoèt, Matlgufiï. Course vélo pour le» enfants de neuf ««isolation a douze ans de la commune et des communes toicourses pied I-e soir, teu d'arUttce et bal.
ETAT-CIVIL. Saisianctf. Auguste Donnant, rae Astor, 38 René Le noeb, rue F7 Laennee, Paul Le rue F«rnand Roy. Sitntc-ThéKte, 15 Len(»nt. rue 16 S»lnt-M»lhleu, l>ubitranotu de mariant. Rend de Cilrti, talet et chambre, Marie culstiiltrr. Blg«r, Ptett. Jeannto Cbvl«10 ans. rue Prorldence; Aliln Cberer, 17 ana, rue du FroUt, l«. sellier,
time.
Le'doctcur Senel n'a encore dépas son posé rapport. Nous nous sommes rendu eur 1es lieux, et, s'il faut en croire la rumeur publique, il v a eu meurtre. Non loin de Penquenetel, habite M. Louia Ihuel dans une maison Jeah et, voisine,
COTES-OU-NORD obu*dus
un wago
d'elles M. soir, au Légué,
Samedi tlï l'Etat
chef gare dans un wadans cette gare de pièce de 75 mil-
remisé plate-forme, la veille, un obus depuis nouveau modèle. limètres hâtons-nous Cet obus. «de. A
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ETAT-CIVIL. Jeanne
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Fleumeur-Bodou un leuVendredi dertiier. ACCIDENT. Isidore du Kerwégan, ne enfant du village d une sous 1» tambour Is Gucn. a W: pris une des machine battre, qui lui a brisé lu Usure. L'enfant toute cuisses et abunc de PerBenoit, a reçu les soins du docteur ros. Salnt-fflichel-en-Grève et
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tlr»ir* de le tom nF r.MMPOl. ItEOATrS M aura Il..11 le cilrtiuncno do* RMta'es de lîi». bola en la salle ri» la malheures du matin, août, a dl* fixées aux l'année 1930 sont rie Les pour lundi S3 ae0t dlmannlte 21 et Il.. mariage». Joseph Promessrt ETAT-CIVIL. et il Pontrieux, Le fioff receveur d'enregistrement KerFrançois s. p.. A raln»>ol roux. Dajrorn. il Palmpol. nacer*, Dtces Jean André. Catherine jrfaultray de rouvreur. époux de 3 mois Bojard.
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5? ans, T m. retraité. Pierre Martin. Guyomard
époux 38 ans. Georges
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MORBIHAN VANNES
EXCURSION AU CMIStC Nou.«
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(mclusiivément) fufnront pour d'être dans le but et
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c'est nos lecleor* que !ca en-léte que partent à nopart pour prendre au Cro^iç. Vannes, des du 15 août numéros au 22 août (incJumvemervt) ceci une famille entière
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20 jours de repos. M. l'ierre Kervichi. 23 an*, fait a la rare. s'eet de multiplps un et en tombant entre wa|ron 12 jonra de repos. Jéeliareement
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part Kargourlav, comment les 1 :Voici, l'enquête, d'après faits se seraient passés Dimanche 8 août les courant, époux battraient du blé le compte de Philippe pour heures et deNi. Didailler, et le soir, vers,8 le jeuavoir terminé le travail, mie, après ne alla conduire un cheval à l'éPhilippe devant so curie. Il passa Kergourlay qui notamavec personnes disputait plusieurs ment la femme la femme Didaill'hilippe, et la fille de cette denvère. En ressorler il tant de l'écurie retourner sur l'aire pour le jeune de Kergourreçut Philippe de pierre lancée avec une cercoup derrière la têtaine violence, qui l'atteignit déterminant une blessure. La victe, grave time du sang en tomba, évanouie, perdnnt abondance. Le jeune PhilliDDe fut transporté aussitôt à chez le docteur Chàtcaulin, envoiture, de l'art constata une Traonouez. L'homme d'où une blessure d'une certaine gravité, battre, lav un
faite de de Plou-
prière.. matin, déverse
est marié; béïèîlec, depuis' .93. ans. ,Sa,fernmè que,dçpuis,le jour de.son.niaprétend mois derson mnri là frappe.. Le. riwf». été violents, ayant, ..plus nier les floups se Un Mme (Vite décida a porter plainte. mois de prison an brutal. épouy. MAnEÉ!?., 16 DtS Aujourd'hui. HEUHES et d 4 h. 41 où ijkt ai. h. St du hiaUn pleine
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jeune Philippe où il un m.nr, trouvait, en état faimillos Philippe
dn Comice celle vilie le res du nuitin.
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AGRICOLE.
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après-midi, un ouvrier
quart, nommé
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trois
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retrouvé.
SAINT-NAZAIRE Publication» de ETAT-CIVIL. rue de Pornlcbst. Louu Bretonnlêre, dessinateur, institutrice. rue VUlès-Martir, 43. et freine Lebeau. à Méan. et Marie 86 David, menuisier François a Méan Georges Beccard Gutm.ird. domestique. à Penhot-t. à Pcnhoet. et Marie Berslhand. marin, Si ans. retraité. rue Décès. François Audraln, du Palais, 33.
CHATEAUBRIANT ACCIDENT dans nier, au roulier
DE
VOITURE.
l'après-midi, service de
à preneur Grez-en-Bonère chaux.
Chateau-Gontier, avec
Mardi der M. Joseph Bériot. NI. Langlais, entrede revenait de un chargement
était arn monté sur sa voiture, Bériot, comle château de la Touchasse, vé en face mune de Gennes, pendit l'équililorsqu'il des le sol, en se faisant bre et roula sur ur le corps et il la tête. contusions des ter. il. Chateau-Gontier par Ramené admis à l'hôpi fut aussitôt Bériot miers, tal. M. LasDE MAIRE. SUSPENSION d'être sus. vient maire d'Ampoijmé, omia avoir de ses fonctions pour pendu imdes à l'adjudication publique d'assister il. la fabrique meubles ayant appartenu le a eu lieu qui d'Ampoigné. adjudication dernier. dimanche 18 juillet nier,
ETVT-CIVIL. Sbissances. Bossé, Améede aux Briotais; faubourg Clément Pleunneau. faubourg Jacques; Lcerais, Mariage. Joséphine
département.
galnt. 8 h. 3. arrivée k 8 h. 17; PlanéCliàle<iun.îuf-du-Fao-j, S h. 31; Spézet-Landeleau. vez-du-Faou. arrivée, Port de 8 h. 58; 8 h. «; Saint-Hemin-Cleden. nrrivée. 9 h. 27. Carhaix 9 h. Il: Cnrhaix.
se
Jean Clergeau. de rue Belôtre de Béré; Maunc*
.c aecheux: Raymonde aux Faucheux, Simone de Béré. fautourg Pierre Lemanon. veuve Fiougon, Giffard,
h SIMaria
Carre, .Marais;
et cultivateur, s. p., à Cha-
épouCourto;s, jouraeuère, à l'Hospice. Le Un ciialand LOIRE. EN Loire et se descendait i-a
Jeanne 33 ans,
Décès. Boulet,
ABORDAGE de sable chnrgé Au méme moment à rendait un assez u Ida », portant suédois le vapeur le remontait de bois, fort chargement Naturellement, Nantes. fleuve pour gagner se trouva mais il que le chenal, il suivait aussi. Est-ce v était enRage le chaland ou pour du impossjlnlil'S inattention pilote tout En cas, du chenal rte s'écarter lui de sable, Il aborda la gabarre qui Ida 1 trois hommes Les immédiatement. coula coude le temps eurent du bord cependant leur canot et s'empressède l'amarre per il De cette dedans. façon, de sauter renut de aucun accident heureusement n'y eut personne.
m ET
ECOLIERS AU
ECOUgg.
CONCOURS
DE
VACANCES
MANCHE CHERBOURG J.B. 31 Picot, Il été arrêté à • Bricquebec, dv mandat d'arrêt .parquet et écroué sous l'inculpation
ARRESTATION. journalier vertu d'un Vatognes tentat
à la
lots Troadec et Faver, été arrétés absence pour des dans la salle Pas:-
Société lo le
8 septembre prochain. sur des animnux se Icra T"eiiL'exhibition et la distribution Plcynen cienne route de a la Halle-aux-Blos. des récompenses, à In Société Le a, accorde département Urie une' subvention de 700 francs, teubvèn-
die dTat-
il il
LAVAL
s'était musait.
jeune monté lorsde 2 transdu mate-
de
l'Amiral-Aube ont le premier illégale, sur un banc Perdus,, dans l'autre allongé,
de AnETAT.CIVIL. Publication.' mariaaes. matelot sur le sous-marln tolne fïulirnet, torpilleur et Ailrienne Genty. couturière Silure, Cherbours. de cheA Eqneurdrevllle Joseph Adam, employé min de fer. A Cherbourg, rue dn Vieux-Pont, 77. et s A Cherbourg, rue du Yalentlne I.e Hnurc. p de Mars. M; Hervé Le Monl, maHre chaufChamD et Marie feur A Cherbourg, Rolgnant, s. p.. Constant Martinenu. coiffeur, i Brest garçon tarue Vastel. t, et Suzanne Bonneton. Cnrrhourg, à Cherbourg, riteHelaTllle. 11 Gustave plsMere d'infanterlo coteau 1"' régiment Lamonr,. caporal nlale A Cherbonrs, et Lconle IJcnessclle. s. p.. A au Jean-Baptiste Klarenghi. caporal nerlangles et 5' rfgtment d'infanterie colonlnlo A Clierhourg. a rue Cauvln. couturière, Cherbourg, Auipistlne 118 .iMn narrât, caporal au 1" Emmanuel Liais. :i Cherbourg, et régiment d'Infanterie • coloniale, a Cherboiirpr. rue EmMeranle Jouquand. niénaRfre au 1" réM Camille Croii, .-idjml.int mapuel Liais, d'Infanterie coloniale A Cherbourg, et Magiment A Enuennlreyllle Jeancouturière. rte Philippe,. rue du llnpllsio Lellévre. Journnller..1 Cherbourg, rue du Vieux-Pont, 71. et Marte nérot, JournalliTo, Paul Lshot, matelot meVlenx-I'ont. ïi Cherbourg rite du et r;inlrirn A Cherhourir, Maupa.i, AugusA Oclevllle. tlnr Florlmontl. ls«slvlere, mfean. A la Mari.o>irs. ,Joseph Moysan, Il -01 tle soiif-manns de la Manche. A Cher il, flottille maîtresse de .i et Marie Tollemer. modes, hourg, rue des Rejne emSables. 3 Lesanvage. C.herhourg, et aux tltres il la Société générale, A Caen. ployc s à Cherbourg, do la Maria LeTellIô: p. place
AVRANCHES DE 1870-71. I.p 29 août, COMnATTANTS lus pnmbai!anL< fôt<To«il leur tôle annuelle. t.e mnhn. messe en la basi!:que Snini-Gcrvais d'APendant la messe, la Musique Munivranchos: son gracieux concours. cipale prî'lera SAINT-.Mir.HFX. Les DU MONT COURSES courses du .Mont Saint-Michel iiirront lieu le 29 et le à sur 5 septembre, 2 Heures, l'hipnoilt, de Beauvais. podrome Granville Naifsancf» AndMe B'.ln. rue du ETATClvll Lyllan Estratnt, rue dn Port Miche) NiCnlvalre Henri rue Saincolas, route de, Vllledieu Authy, YTonne ruo SaintJean Jacques tonge I'.ilayer, du Coudray, place du Cours Jolnrlllo. Foug>rt\y Jos.>ph Bude. sergent-major au ? de Mariages. fiermaln* Emile Schneiet Touquerant..s p ligne. s. p et Marie der Journalier, Rossignol, 40 ans, quai Dfds. Louis Vauherl. Journalier, RoK»)li< Lnnglols. veuve Danger, s. p du Baadn Cécile &0 ans, ruo do la Petite 11 on le Néel. veuve VI ans, rue ('ou raye KreLemare. s P Marcelle Julie Moht, 0 ans. ru* des quais vioudelln. s. p.. w an.«, tue des Monllns commerAuguste Coron, lnlf« cant. 75 ail», rue it«
concours vait avoir au portée
La
MILITAIRE.
CYCLISME
D'ENFANT. Le 7 ans et était demi, de l'Abbaye, dans un châtaignier, rue tomba sur le sol d'une hauteur qu'il au visage et fut mètres. II se blessa à l'infirmerie sans connaissant, porté Son état est dépôt. grave. BORDEE. Les MATELOTS EN
de laauelle une rue où
MAJENNE
ans. en
pudeur.
IMPRUDENCE de Rcty, âgé
bourff. et Sophie Bernés, de Foues-
a dAcidé que cette année
18
d'arresta-
Châteauneuf-du-Faou DE NOTRE-DAME DES PORTES. P.\nnON trains A l'occasion de ce Pardon, des spéciaux seront mis en circulation entre Carhaix et le 29 août 1900. Chftteaulin-OrlAans. de Carhaix.. &.&.h,. 20 du matin; Port départ R h. 32; Saint-Hernin-Cléden, 8 h. 43; Carhaix, R h. Plonévcz-du-Faou, 57; Sptaet-I.nndeïenu, 9 h. 27. 9 h. 13: ChAtemineuf-du-Faou, arrivée il 5 h. 28; LançaChalrnunMif-dn-Fnou. départ 5 h. 44: Pleyben, il li. 3f>: l.onnon. loi, arrivi'-o fi h. S h. 57: Sninl-Si'Bnl, 6 h. 16; Part-Lnunny. 6 h. Ch.Moniiliti-Ville, 29; 2-t; arrivée, fi h. 3R. à 7 h.: ChftteaullnCh&lofliilin-fWnn! départ Ville, 7 h. 6: Port-Lnunny. 7 h. 15: Saint-Ségal, 7 h. 56; Lan7 h. 2S: Plevben, 7 h. 42; Lennon,
CHATEAULDÏ
<le Chateflulin annuel nura lieu
soir,
AGRICOLE. du agricole samedi
état
subvention de 295 francs a été acnar NI. lr Ministre de l'agriculture, de la Républinom du Gouvernement Une subvention de 382 fr. 18 a été acque. Le concours est réservé ou canton.
Maria de KersJang ïves Gotfrlaouen, D«è« Tv^s LolHchon. de PortCapitaine, de pont-CM>ap de OUtvler, Manech Joseph Kerdroe.
CONCOURS
en
Une cordée
T^rC"°^Vvon. du
Hlppolyte
sa femla tête
au
Marte • Yves1 1> Dnutl, de Rn-ojehet fle Ferrfenn (le Thlfc. nen-Aren ; Joséphine de nrouf?" r,*rmaln de Keritou Cojilon. Sylvain Sirchras de Çerambrls TTCS..Tnflroilc. de Kirllls C?éîSî Le C.all. de de Trtmoren ïves Olivier. Joséphine de .Kerambdlec Jean-Mari» Conltou.
de Kèr?(?ul
avec
prises aJla
août, cadavre
était
cogner se blessa. Kergourd'ivresse. et Kergourlay vien mauvaise intemps
CONCOURS
de A
théorie pèlerins.
mx
se Lee vent depuis ouelqne telligence. n été mis Kergourlav tion et écroué. samedi d'arrêt de ChAtcaulin.
Névet
d'aspculturé concours mercredi
le
me, contre
gelus.
Tancuy
qui
est
de l'entreprise Duco6, travaillait sur le quai, Lecle-re, du transbordeur. Monté sur tout Pont près il perforait des un volant, échafaudage ne pen'trous dans le granit. Ces travaux vent se faire marée basse aussi cette qu'à venue Leelerc dernière étant monter. terre. Il son voulut coup, regagner manqua dans le tleuve. et tomba perdit l'équilibre immédiatement Des ouvriers se portèrent n'» à son mais le corps secours, jusqu'ici
au-dessus du droit, et sa genou a eu 1;1. l'animnl. mère par jupe déchirée lancé de déclare n'a pas Kergouriav qu'il aux sa femme était pierre. prétend que avec la femme et ses deux prises Philippe enfants et la femme Didailler et sa fille, et il se bouselant les dit-il, peut, qu'en per-
de leraitron
longue de
cérébrale
13 le en
Hier
morsure
a et prennent sont tous part arrivés ques de un très nombre grand la procession; environ se sont fait représenter paroisses dans le cortège; sont la Î00 ecclésiastiques de Morlaix ainsi Saint-Martin fanfare de des la, Indépendante jouent musique que La solennelles. grarrd'messe ponmarches a On évalue il 10 heures, titicale se chante assiste h cette la foule qui 20.000 personnes air. la messe, Mgr en plein Après messe a fait un de Rennes, archevêque Dubourg, bretonne et a pronom* sermon en languè il Kernitron; de de le panésvrique brede la langue les beautés ressortir fait -une impression et produit profonde tonne le cÚselon Duporc, sur l'auditoire. Mgr sur le front a dépose habituel rémooial d'or, une couronne rte Kerrritron de N.-D. de Enfant la tête autre sur ainsi qu'une ses br.-is. La cetient dans Jésus; qu'elle s écoule lenet la fonte est finie rémonie sonne tan. clocher tement «u'au pendant
Roldé-
prison.
une des
matière
d'eux
Noyés
heures de l'après* inconnu a été découde Loire, Roche-Maurice. Le près ne aucune trace de viocorps, qui portait lence et dont le séjour d«ins l'eau semblait remonter a un fut à la mois, transport Le cadavre a été reconnu Morgue. pour être celui d'un nommé François Ronsval, 50 ans, de son domicile, chaussée disparu de la Madeleine, n# 8, depuis le 6 août.
du les complications, jours jeune ne sont en danger. pas le eut le jeune reçu que Philippe de de p;erre ce dernier coup Kergourlay, et aurait encore la femme frappé Philippe sn fille. de coups de fourche, et aurait excité son chien à mordre les deux femmes. en effet des traces de Mlle Philippe porte
son
lente
Le
midi, vert
Sauf
intercession. A 100 mètres de a été améun immense. champ de ce jour. la solennité et demie, la il sept heures soir, à de Kerse rend la chapelle procession de Caoù nitron Mgr Pichon, archevêque les Les bosa, à chanté vépres solennelles. et l'on sort au chant cierges s'allumant l'officiant allume un d'un beau cantique; et de joie à cent de la chapelle feu mètres de se rend Lanmeur, le cortège a l'église nous sous le charme où Mgr tient Dupare de sn si parole éloquente. les chacun rentre chez soi. tandis Et que feu de montent lueurs du joie dernières verset étoile comme le dernier dans le ciel Dimanche voitures
L'un
Philippe Avant
d'un massif de verdure, se tour carrée de Kernitron. Cette au VI* les fut érigée chapelle siècle par de Dol. Brûsoins de saint Samson, évêque à lée en 1446, restaurée par des piratas cette a conservé son architecépoqne,' elle ancienne: seule une de turc romane partie N.-D. de Kerla nef est de style gothique. fidèles de -Cette nitron est vénérée les par obtecontrée les nombreuses pour grâces
d'une
de
quantité
petite sorlie.
Emergeant dresse la
nues par la chapelle, nagé pour Samedi
Deux
de
Voi-
de I.-D.
NANTES
annoncé dimannous l'avons que transde Chateaulin s'est Parquet dans au villaoe samedi, poMé l'apris-midi, il l'eftet de de en Kerdraon, Saint-Ségal, à un* relative il des enquête coups procéder Guillauet blessures dont le jeune Philippe été victime de la de 14 ans, aurait me, âgé
l'audience
j
Inférieure
Kerdraon
Ainsi le che,
AVIS AUX NAVIGATEURS. Les nasont informés vigateurs du 15 qu'à partir à l'heure août. ck- l'allumage des phares, le feu de l'lie Noire, fixe d horizon blanc, avec un secteur et un secteur rouge vert, sera renforcé dans une partie de son secteur l'installation dans carouge une par sur la galerie bane métallique supérieure de la tour du phare, d'un feu accessoire fixe de direction, constitué rouge, par nn lenticulaire illuminé un brûapareil par leur 1\ incandescence la de pépar vapeur du trole sous La partie intense pression. de ce feu do direction aura une faisceau de 14° environ, son axe ooïnciamplitude dera vec lé relèvement S. ll°0, chenal de Sa lumineuse do sera Tréguier. puissance at500 becs Carcel. Les parties lumineuses teintes ou dépassées dans le secteur renforcé les 50 centièmes et les 90 pendant bantiée s'élèveront centièmes de respecti5 et 4 milles 5. vement it 15 milles et Le caractère ainsi la puissance que du feu principal ne seront Ia portée pas sur le surplus de l'horizon. modlfiés
Le Mnwonnement
de
L'affaire
LANMEUR
malaChersur ville
accordant le bénéfice de la loi de en lni sursis. I> 21 Voleur. Slis, ans, Joseph joura volé un twlà Ploûffûstel-Daoulas,' nalier maison vareuse rfûns une haletot et une 0(!Atre mofs' de prison. bilée. maris. ff. Vinrent Rolland. Mauvais *r> 32 .ins. vil s<Jparé journalier 'i'Daoulas. celle sn jour femme • il "revint up chez son et voulut emmener enfant dernière
A
on
^^f
mnrAartd cher. Un une acheté, le 13 juillet, au 3 k. 650 d Mme P.. marché trouva A rin'Oriçiir une pierre Le marchand consentit de 450 grammes.. une somà retirer sa plainte, moyennant mais le Parquet, me de deux ceols francs, dont il de nombreuses plaintes en présence étiii! saisi des faits similaires, dcckla pour un la femde .Vrire et poursuivit ejçomplc sur du reste, sont fournis me P lanueHe, un. rér d'excellents renseignements. Après M. modéré de SanU-, substitut,qtrisitoire le de M* Lhostis, tribunal et.une nla«înirie un mois de condamne l'inculpé prison
postewet-
ont
^v-^r
Loire-
&AINT-SEGAL
Ptusjeurs touristes NOTRE VIADUC. dki viaduc se plaignent de la dégrndalion deau moyen des affiches dont on le revêt puis peu de temps. Ne pourrait-on une telle abonempêcher du dance de réclame qui nuit à l'harmonie monument, Naissances. ETAT-CIVIL. François Dénlel, 13, place ThJars. Dtcè. mathurin Pochât, 91 ans. hospice; Alain Sanqusr. 54 ans, Belle-Vue dé la Gare. de mAriagtt. Marte) Turpln, »m"FtîbUcaUona ployé de commerce, Grand-nue, et Louiae Joncour. s p., rue1 de Brest. 5« Joseph Lhostls, photoirra0. et Enlalle Gulnrunant, phe, Grande-Rue. s. p.. rue Docteur LeffbTre.
chacun.
Caillou de beurre motte de de Lannilis,
•
ASSASSINS: CAMBRIOLEURS de l'e/raire propos d'Ergué-Gabéric, de ctaht police Quimper dit crie la aante les à découvrir cqùpaNee, à )& brigade mobile. fait appej la police Or. à aucun moment.
l'escedre
d'amende
déposi-à M.
S'adresser principal,
de
néanmoins. les blessures dératé garre furent rècinroqiies peu graves toutefois, de poix, conle juge avait eu d'Abord qui s était dfectore naltre l'nfjfQire, incompétent de sang. Le eii. effusion parce qu y avait les fribiinal acquitte Paèco£l et eonidomne fr. A 10 de^LN autreç inculpés, par. défaut,
Le été
ûumpcB des
pied'
rayons
Deux mois de prison à chaarrêté depuis, cun des prévenus. sieur Jean 49 Un –HUat. Un Keuz, se promenant, n:e de Siqm a,vec une ans, une eut une avec femme Collier, dispnte Poscoèt. Cette autre femme, Bernadette 11 y eut. une badernière seule comparait.
importants.
DEMANDE le pour
outre
24 ans, et Marcel VHeMerjey 32 ans, louèrent deux dit Darlin^r, pie^. un de Brest chez bicyclettes commerçant est en fuite et disparurent avec. Merjey à Videreparu qu»n*. depuis et n'il. jomais s'être *ervi de la machine pen. pièd, après un certain il la remjt en dont gare lemps, du de Chateawlin a l'adresse négociant, remettre un mais en ayant soin de se faire déboùrs la Comipagnie. a été par Yidepied
FINISTERE
ON
en
Gustave
INCENDIE. incendie s'est dccJoré le 13 courant, vers huit du hoores soir, boucher à Loyat. Grâce chez M- Gouello. au concours les habitante du apport par fut vite circonscrit l'incendie et les bourg,
de NI. chez
rep«6. 49 an*, manœuLrtuU Guillochon, a d'insolaM Le Doré, été frappé sur un madrier, il s'est en tombant tion Messur* droite faut ane à la jambe grave de re>jW>s. 6 jour.39 arjs, D)vèm>ck, employé Franco» Prado, a eu la phalangette du mérhcj. M écrasée en des dius manipulant potiichc jours
plaint
Vol TRIBUNAL CORRECTIONNEL. ouvrier d'outils. Louis Toqué, 4? ans, a emporté dessinateur a* Lambézeliec, des et outils il. son ancien 'appartenant patron atlé les vendre brocanteuee. est à une été condamné abus de L'accusé a déjà pour Tmis mois et un oopfioncl: jour de prison. Le 26 mai Abus de confiance. dernier, artistes se disant deux Individus lyriques,
Un
15
a
il h
pas Corquois Brest.. Une bien en effet et nef malades
plusieurs
Pros-
été contusionenfourner
se
bourg maritime l'hôpital oû. ils .sont actuellement en traitement. Le et a été désinfecté à Chnrbourg Carquois il se trouve Brest où Ton en c.cmoment Il son équipage, repartira aujourcomplète les d'hui pour rejoindre contre-torpilleurs
de notre commerçante ville, & qui donne un faux nom et extorqué mnde a été sommée 5 fr. 50. Hédan de Ploermel et une à la prison enest ouverte. Nous aurons sans doute quête de cet individu. à reparler
peu
au
fièvre
Coutnairement Paris par a il n'v
quoe naus,
une
sont
Il
^f ^v
il avait si uns écrouo
débats
de
droit, engagé sa machine. Par suite de cet dû à l'impruoccident, dence de M. Deshayes, Bossemec se trouve atteint d'une d'au incaparité remporaire moins mois. tt sa deux Quant bicyclette, elle est en grande détériorée. partie
nommé Joswph liààam, hier soir arrête près de où il étett cûohé, par sur Plotrmel. depuis longtemps prévenue se cet individu qui. depuis quoique tenîps. en donnant de fnux à l'exroquene li\Te et ainsi à faire de nombreunoms parvient ainsi le jour dé son ses que «hipes Cest s'éleit cet homme arueetation, présenté cher
RosPorden vers 5 heuBossennecIl la maison
12 courant, le nommé
turé la jambe gauche. de fortes douleurs était dnns les qu'il
de
ESCRQp. a âge de 40 at», de l'Eteng-àu-Duc, la gendarmerie
Le
cule venant de la môme direction et marchant a «ne allure effrénée. Le condncteur de cette dernière voiture, M. Louis Deshayes,. il Concarnenu, voulait décommerçant M. Le Monl. Mais paser il arriva quand il in hauteur du la roue cycliste, gauche de son heurta la machine de Bosvéhicule» et semer violemment sur le trotle projeta toir. Dans sa le cycliste s est fracchute,
PLOERMEL D'UN
des de 17 tgd de martena la phnlang
MaJcré dôrense leur que sur la voie, F. L. Tanguy, passer et Paul de s'obstinègoulm, Corre, Slbiril, rent à y pénétrer. 15 francs d'amende. de acLa ndivisiau, Ivresse. Juguet, Yves 38 ans, quitté'; Crenn, dé Loc-MMar, 41 ans, 6 jours de prison F. Bourdonnec, de Morlaix. 6 jours F. toiGourmelon, leur, sans domicile 40 jours. fixe, Délit de pèche. Chartes 31 an8, Jégou, il Chartes J. patron Térenes Cosquer, Jean Baouézeo, Troadec, avoir pour péché au chalutier a moins d'un mi'le de terre le patron 25 Pr. d'amende, les matelots, 16 francs ave csursis. et Yanniic -Joseph Bedou, patron, même délit le patron Guernigou, 25 fr. le matelot d'amende, 16 fr. avec sursis.
35 ans, employé demeurant à Rosporden, Il bicyclette la route de Locmaria, .quand oarvenu sur la route venant de à Rosporden, Quimper il aperçut la voiture de M. Le Moal qui le suivait au grand Bossemec \roi. se gara sur le côté gauche de la route, le trottoir. longeant Tout a il entendit le bruit d'un coup. second véhiâgé Pans-Morbihan, desoendoi»
a dé-
incendie
ACCIDENT. de 1 après-midi,
Herlh,
PART
ARRESTA'nÔN
bleus
Publication! de Victor lonl mariage*. Turgls. tuteur a Grinvuls, et Suzanne Barbet, a p, adjoint à Cout.inces PlerT« Instituteur t LetrouT*, adjoint r,ranril!«. et Germaine Le«ro«. s. p.. Ver Car lavt Camnernon. Instrtutenr. à Ferrarties. et Mar Norxls. institutrice, a Grantllle et résldnni guerlte j UonTllle les Dalns
a étf accordée tionde 645 francs par le ministre de l'agricnllurc, au nom du Gouverninsi mé q'une ne ment de la R6publi:que, daille d'argent et deux de bronze. A midi, lKif.q'jet pur souscription. NI. seront Les reçues par inscriptions Prix à Porl-LouiMiy. ncl-nporte, agriculteur dc la oouscnplion 3 france,
à
cultiwteur Massé, 18 ans, outra10 jours de prison pour de fait sur un garde particu-
Jeah-Francois à Kerbmou, et voies ces lier.
BLESSE PAR DU VERRE, La petite Anna de Moguérjec, Tanguy, sur la jouait grève près de la cale, quand elle mit le pied sur un tesson de bouteille, se coupant un orteil. presque Ni. le docteur Le Bigot, de STùnt-Pol de Léon, fut obligé appelé, de î-iire une suture.
bou-
et
l'atelier
TRIBUNAL CORRECTIONNEL ci les jugements prononcés du vendredi 13 août
comité de la fête des Filets bleus réuni dimanche a élu comme reine de la fête Filets Mlle bleus, Hélène de l'uLefez, sine Teysonneau il a èlu ensuite comme demoiselles d'honneur Miles de Taridoc, l'usine de I'usine Rodel Pasiou, Billette; de Allot, l'usine Balestree; de Queffurus, l'usine Chancerelle Burel, de l'usine Teret trais, de l'usine Bilk>tte. Pennée,
dans la que, trouvé son il le recon-
elle
Legueltre. son oncle.
matin
du
MORLAIX
et
Le hier des
lit de meurs d'un
retourant, cassées. sur les
tête
43
fut
TRANSPORTES A L'HOPITAL. La police a transporte il l'hôpital Bodélip l»^s nommes Matlmrin Uriend, 43 nns, ouvrier rrfnnnc de l'ar ji.nal, demeurant nie Louis Hoche, et Jean GalI:c, 65 ans, jnurnoticr, demcurant rue de Brest, trouvés malades.. Port-Louis TOMBE A L'EAU. Hier soir, a fi hcures et denik-, le Jeune Nt'-zet, mousse il bord du vapeur Louis, en voulant sauter sur la cale, est tornl>6 a lfeou, er.tno le quai et. le bateau. L'oaii. était de deux mètres, profondo et \<izel ne sachant bas nager. s<> débattait, Fort désisipérémon' le dwinnier de foct on. le hrigniieuivuaemçnt, di-sr Le Hid4nl, accourut. et ch jelant la liRiic nrunel, il réussit aaccrotlier le jeune N0w>i. Il lo hissa sur le quai et lc.jeuno imson domicile. prudent put ensuite regagner VOLS DE FLEURS. vers La nuit tkrniere, m'nuit, Pierre 22 ans, demeurant Plslien. rue Carnot, à dérober des Cours plants. s'apprùtail. de la Bove, où de nombreux horticulteurs fait des étalages, fut pris sur avaient lorsqu'il lc fait par M. Laeoiir, horticulteur. le coupable, fui conduit au poste de la mairie et écrou6 au viûlrfn municipal. Une heure plus tard., un individu enleva un à lY-t&lage de M. Ganno-Ja'cob, hortipalmier, oullour. Lr garçon de service avisa deux agents de ronde qui n mirent la poursuit»* du voleur et le rejoignirent rue Mtme-Dcrval. Il avojl encore l'arbuste dans aes bras. Cet individu alla il son ieur au violon municipal. M. ,\fiche). oommissoîn? de poliInterroge pnr ce. il a déclaré se nommer Charles Colson, âgé de 19 ans. Colson a déjà été condamné.
Haut-Con-lay INCENDIE
dit lui
La
UNE AFFAIRE DE MŒURS. Un nomniio P. de Loclvrisk, très connu dans la région, a été arrélé pour affaires 'de mmurs. Depuis il se livrait cinq mois, à des oc'es abominables sur la personne d'un jeune de garçon de 11 ferme, Leroux, aie arts. L'inculpé est en outre .tccuso de tentative de corraplion de fonctionnaires. Il'a une somme de 2.169 francs proposé qu'il avait sur lui nn moment de son arresintion, nfln qu'on étoùffàt l'affaire. conL'enquête
suivrc
déposer inscrire.
faisant
MUNICIPAL. !e pendant G1 bœufs. en tout 557
ob-
(1%*en-
examen
désireux
les en
hydrographie
AIîATTOm Dates abattues de Palmpol loir el & porrs, •fi O.Yi kl!OS
les 1
<pour cabotage.
Au
maître
long-eoucs. titulaires
certificats
ou éço-
dca
navigation
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sortie
mnrins
candidats
candidats
Les
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de
même
1es
pour «ours
de
d'industrie
de
ct
le
aura,
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Il
les
d'Aje brevet
cou-
suivants
diplômes
pratiques certifient
pèche
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le
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primaires,
écoles
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dans
Seront jeunes ou
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malin.
lieu
jotrrnée.
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de
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le
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dédunt
Mme
a arde
police originaire vagabondage
h.
ETAT-CIVIL. Naissance;. Henri Lesogc; Jane Fernande Roncl An.toinclle U6rigaud; Yvon Gunvurch Hervé Denouel; Guilbert Itencc llénntf. Promesses de mariages. Louis Rahicr, clerc de notaire à Lambûlle. et Amélie LemoyConter, ci ne, rue Dnqucsne; Joseph coupeur, Amélie h Gabriel instiRCgnaut, Rouen; Baie, et Jeanne rue iMnstuteur t K^rhuon. Pinvidic, slllon; limonier, et CbFrançois Ouinnéncur, lina à Landerneau; lieuDcniel, François Maçe, tenant au 19, de ligne, et Eriiilienne JbttO-Larue touche, Algc&iras. Décès. Prosficr 72 ans, rue KériGoatanéû. 35 ans. vin; Guillaume Gottan, civil Hospice 5 mois, rue Marie r.e Jeginne Sfmon, Arago: veuve 61 ans, rue Turenne. Perrot, Cosquer,
CONCARNEAU
locale. l« Le Coyic, de Lorient; 2» NnvH, 3« Dr:en. dr> Lorient; DÙMirtrmonlate. ter Le Coguic; 2» Naviol: H* Herlcl. FWQlonalc 1« Le Coguic, 2* Berlel, Se Naviel. 4* Comme, de Bannalec. Dans la finnle, Comme a fait une chute et s'csl blessé assez grièvement au bras et ù la jnmbe gauche. Course de jeunes {files. V* MUe Dirai1 son. aînée; 2* Mlle Diraison 3« Mlle jeune; Relier. 5» Course. Courses de prime* réservée nu xroureurs n'ayant rien gagné aux précédentes 1M prijne, course.» 5 franos, 3" tour, G;cancl aîné; 2" prime, fi» tour, Gic<juel jeune, 5 francs Il tour, 5 francs, Trognou. Pinale 1" Trognou, 10 fr.; 2« Gicquel, 5 fr.
L'ouveraura
il
ivresse,
la
à 10
de ACCIDENT, Un npproiili WlirtanTiren fcr, Maivcl Fouill&rd, en su donnant uns, un violont coup la main tiaotùru sur b'est gauche, de l'annulaire.
De
la
patronage.
HYDROGRAPHIE. cabotn,a> de
francs.
pour
Hier, 38 ans,
mer
Bosse soirT^
s'est déclaré hier Un incendie LE,. FEU. dans de l'épicerie Qgrbs-midi, rarrière-bouliquo tenue M. Oerbet, et a pat place Saioi-Martin, éteint assez dtïgûts pu être rapidement. Les sont évalués à une centaine de francs.
les
COURSES CYCLISTES, Hier, diman. che après-midi. ont. eu lieu, place de la Réles courses publique organivélncipedjques sées par le Vélo-Sport Lorlentais. Une foule nombreuses En voici épreuves. les résul-
padmpol ECOLE
300
Pleybên,
res
août,
concert dans
du
Lou <s Ihuei main de'ta de casserole.
Quant d'avoir la.
du Lever d«s cartes
Plage,
dé
fille, )à coup Jean Ihuol décline en outre nuit du, 10 au 11 août, ayant frère couché dans unr prapge, duJsit chez et lui, s'en qu'en entendit un bruit de bouteilles en déd n.it que son frère tomba teilles et se tua.
crotant. des
rente viagère commencèrent
frère
mort, de la
17.
:I05,
une
deux
c#tte date, enquerelles trc les deux au du familles, sujet paiement de la pen6k>n. Le 5 août dernier, à la suite d'une diaMme pute, bouscuJa son oncle Leguoltre tomba à terre et se blessa. Il resta qui plusieurs sans travailler. jours pouvoir Enfin le 10 août, une autre acscène, qui tuellement n'a être s'est pu éclaircie, passée dans la soirée.
était
dire,
pourtant Lebcl et
fusil
Donaraenei ARRESTATION. rêté René Kérisoret,
l'une liDès, mariée à M. ouvrier a 'l'arsenal de Lorient un cultivateur d'Arzano. Il y a son quatre ans,Louis Chue] bien, partagerait soit 12.000 francs, entre ses deux rtièces, la condition lui fut servie qu'il par chacune
SAINT-BRIEUC
Un
a
Ihuel, qui Legoeltre, l'autre à
du"'soir. Il h. du'
vélocipédique lieu le 20
date
militaire août
prochain,
qui est
do dere-
23.
La MUNICIPALE, BIBLIOTHEQUE a fermé & Lavai Bibliothèque municipale ne les rouvrir que samedi, ses portes pour le la octobre prochain. M. Moynat, ET CHAUSSEES. PONTS dans la attaché Mayenne sous-ingénieur, est admis à la de la navigation, service au dv 16 août. retraite, il.. dater M. AlDU TRAVAIL. ACCIDENTS rue (Se Rennes. demeurant Martin, phonse rue :\lade M. Thoreau, au service peintre d'une en travaillant, est tombé, zagran Le méluxé gauche. échelle et s'est l'épaule de a prescrit a réduit la fracture, dbein, qui de repos 25 à 30 jours de Laval, M. de la gare Un employé de Paris, domicilié rue Boisson, Manuel droite de la main l'auriculaire s'est blesse 15 jours de redeux en accrochant wagons. été ordonnés. lui ont pos Le Genest un ouvrier Vendredi, INSOLATION. dp NI. le compte travaillant pour maçon au Genest, est tomentrepreneur rurpinat, insosuite d'une à la bé sans connaissance les soins prwhlation. qui lui furent Malgré miresta de vingt le malheureux plus gués, ses sens. sans nutes reprendre Bcncbamps-les-Laval un Il y c quelques jours. un conduisait Bniuiiamps suite d'une chevaux. Pnr de tombé dans un celui-ci est direction, chevaux a été tué et le conL'un ùcs blessé. assez grièvement
ACCIDENT. fermier jeune attelage fausse fosse. ducteur
INSOLATION avons relaté
de trois
samedi
Soulgé-le-Bruant MORTELLE. le cas d. insolation avaient de Soulgé
Nous dont été
deux cultivateurs Voici les nouveaux renseignevictimes. nous avons ments pu recueillir. que cultivateur M. Bouvier, Mercredi dernier, dans sa récolte son aux Lande:. battait d'insolation. On fut aire lorsqu'il frappé au malheude porter secours s'empressa le der il ne tarda rendre mais .pas reus, nier soupir. de la même commune. L'autre fermier e:.t lui aussi d'insolation, aujourfrappé hors de danger. d'hui Saint-Germain-le-Gnillaume VOITURE. Mite Léora» DE TOMBEE 4t cultivatrice au ,tuée de ans, Pivert, a d'une voiture Graml-Vol, «hargée glissé de perbes. cette demotseile s'est fait D;ms sa chute, droite. Un une sérieuse blessure il. la jambe de 13 a 20 jours a été prescrit repos
1
d'abord La Police, et ensuite pour départ, la graude Semaine Maritime dee Sapour à retour bles-d'Otorine. A là' fin du mots, continuation inspection Ouiberon, des- tira, enwé 1« 15 et «néfale et rtiilrée VBrtsl
DERNIERE
LA CATASTROPHE DU SOUS-MARIN RUSSE Quinte
turent
ouvrier*
étouffés
et
brûlé'
HEURE
EDITION
CINQUIÈME
De rc
vite août. Saint-PétersbourQ, 1S le nomles dernières nouvelles, la du victimes dans catastrophe éleest plus Dragon beaucoup abord. ne le croynif au vé qu'on premier lincencherchant à localiser Les matelots deuxième dle, et craignant une explosion, ils les entrées et sorties. Mais bouchèrent une du submersible oublièrent à l'intérieur D'après bre des submersible
quinzaine d'ouvriers et brûlés vifs. (es
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transatlantique moitié consumé
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Paris,
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l'angle gens Violence. l'un que ttes
la colère, violemment ba le crâne,
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{raclure Aussitôt at le mcurtricr arrêtèrent Af. Catfon, chez On les conduisit Pendr la Hoquette de police on le blessé transportait trmps-ln. état Oit son Saint-Antoine lut
qui agents fille. jeune commissaire dant
ce
l'hôpital désespéré. meurtrier
jugé Le
Etienne Gorue Saintépicier dix-neuf ans, garçon Il, de. sa sœur, Il Il était accompagne !harles. LanGcorges son adversaire. a exilique gue avait mcde Sèvres, rae demeurant chli, C est l'amant. sœur dont il était nacé sa son commit la protéger pour que le Irèrc est
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Santinf. du ligne, qui soldaf Le Saint. interné à V hôpital dù être uvait de. accès de d'une la suite Mandricr. jL'^ie enquéte est mnrf aujourd'hui. mener., 111° de lile colonel du a été ordonner par mort des est établir «t h; soldat tint!, fwwr traitements. mauvais su-1 fIC4 de
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Fn-gurnaz, capitaine au;n piloté a atde Bagnolet, à quatre parti vn sur 11 est tombé, de terri Pi' Ouest-LuCompagnie jil électrique éc i<i le s'étant court-circuit produit mière Gn et a été complèteenflammé ballon s'est trois autres et Le. cauilaùic mrtil diHr-it. n ont nacelle pas la voua-geurs occupant été blessés.
VIVIEBS-EN-CHABNIE
Grande
Semaine
de là
Paris, heures,
vers sept la semaine,
en
Reims août. vue de.s
de de Chanipagnc,.Mi au camp df. Chatons Sommer, a fait d'une heure et demie environ. Un autre concurrent de ce meeting, M. a réussi envolées sur Ruchonnot, quelqtues son dans un atterrissage Mais monoplan. a brisé son chassis. brusque, il est Ennn à Juvisu le capitaine Ferper d'environ sorti ce matin et a réussi un vol Roger un vol
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Jeannlngros, a dit mairr, que sement conservé. Puis le général 1-ores suivantes
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Grosjean, monument
Le et
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prtr,
août. Frrbrt
d'aviation.
15
Marseille,
des-
soutenue une vdonpar suffît fermes plus pour expliquer au cours les qualités qu'il déploya firent de lui existence, ni qui longue le citoyen de famille le plus attentif, le chef le plus vnéré. le nlus intègre, ministre de la suis Comme guerre, je le salut de la jeune armé-e à fier d'ariorter de celui lut le plus digne représentant qui militaire la vaillnnle et forte génération nous
d'aviation 15 Juvisy /' capitaine.
LE CONGRÈSIJesTeMPLOYÈS
U- des toutes de sa le père
qui
militaire
prix
a .précédés.
aotlt.
dit Cc matin s'est ouvert, 4 la Bourse national des' travail, Syndile. H* Congres Une trentaine de dèlécats d'employés. assistaient à la séance d'ouverture, qués du b«a été consacrée à la qui formation et la validation de* La rca\ pouvoirs. de a été réservée d séance l'après-midi des sur le hebdol'examen repos rapports chez les emmadaire et la prodn'homie de ira" la limitation des ployés, journées dans rail, l'hygiène tin minimum reaux, dernièrc Demain,
les de
et magasins salaire. du journée Congrès.
bu.
EDOUARD VH M, CLEM£NCEAU_ET_ 15
août. soir une,
Carlsbad, M. Clemenceau invitation du roi d'hu.i à Marirnbtid. ¡la liste français. de rtait France, d'Angleterre..
hier auaul reçu Edouard, est allé aujourm compagnie d'un jourM. Crozicr, ambassadeur l'incifé du roi également
à la années, habite, Depuis plusieurs dans de Viviers, -commune i-oix-M-'Ja:-d, une famille compoUtud*, misérable un Lemarclwnd, la femme de la mère, sée luus neuf enfantes. <t de ees journalière, dans i>i*ce «le la masure. J'uniqikJocent deux cneu l.iMimn-lminl Ui Jeinni.nilcue imr d'un mariage, fantb premier et du 12 une, Humdière, ôg& Marie-Louise 11 uns. de un petit gardon le plus dunt jeuautres enfants, Les sept le de i mo.s seulement, portent ne est àpé réalité cinq de Lemarc'iand. quoiqu'on •\oiii de le nés eux soient depuis départ Ventre a il y a lonsteuips déjà, Lrmarchiind qui. le domicile conjugal. abandonné de Viviers, on dit que Dans ka commuiie avoir sa Lemarchand jwnjit pris il femme lui Kll« en aversion. impose, HUe aiiiée lu lo travail de tout son a^e, miUm* jeunt* de tous ses à s'occuper et 1'o-bliye maison couLevée avait l'aube, et sa-uis. frères est cncore Mar.e-Louise 1a dernière, cijôo donner des lever la nuit de se pour obligée il pleure ou le boins au dmiior-né quand il en a besoin. de tape chanacr quand du pain ne mange lillc, que La jeune qui fait le ménage, la cuisouvent mo-si, pee, et tuul le travail intérieur. le lavage sine, ne toute la s'absente journée, %?a mire, qui de autres enfanta delle ou ée6 s'occupe lrs battre. que pour une voisine, Mme Bourré, Le 12 aoùt, la \è\c de avant examiné Marie-Ixwise, y sur les dérouvril une luryr pluo laquelle et qui cheveux étaient colles, n'avait jamais été
Son était aussi couvert corps nettoyé, nlaies. raconta ses Lu ftllettc, interrogée, que été fat-es lui avaient sa mère blessures par et que le 11 lui avait encore celle-ci, août, «kmné un violent à feu dans de pelle coup et elle ressentait de le ventre, depuis que Le 12 au elle violentes matin, coliques. d'une crise ava-t éll l'avait obliprise qui le sol. à ce rouJcr sur gée de
Une charitable conduisit l'enpersonne rent chez le maire, la gendarqui prévint merie. nauvre fille est d'une La petite maigreur et les voisine ont dû se extrême charger car elle craint sa mère. d'elle, a déclaré aux Mnrie-Louise gendarmes de Mme l'institutrice Viviers, que Gérard, E'ét&nt
un avait une jour aperçue qu'elle lui avait fa.:t au un pansement; bras, plaie mère mats le soir, sa arracha le bandage de la moutarde. en Ce fait a et mit place été confirmé témoins. par plusieurs de Sninte-SuzanM. le docteur I,ecomle, a examiné l'enfant il a relevé sur le ne, de nombreuses dont blessures, corps queldéformé les os ont de la jeune ques-unes Les en recherchant la femme gendarmes, font trouvée dans son ce!I.«marchand, dans un tonneau défoncé lier.caehée qu'elle sur elle. Celle-ci avait renversé a reconnu avoir souvent sa fille. frappé Grâce aux mesurée prisés par l'autorité, les autres enfants de la femme Lemarconfiés à chand ont été l'Assistance pubkque.
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pi ni
à son oeudû renoncer .leaiininpros nvait tâche scolaires. Mais sa des batillnns vre le vieux généd'éducateur interrompue, ia dans encore vous, ral trouvait près -de Sociétés de véte: des pr&sidence /3'honneur sur et le plus emploi rans, le plus digne le culte You6 avez d" son activité. gardé si sut une vie remplie de celui nendant qui Laitstant espoirs. -nourrir epatriotiques hautement. vous en félkiter sez-moi Les statue. In
COURSE. 1" Boadlcec (Ch. Clillds) gag. 1J 16.50 N 2* Guirlande (Bellhouse) pi. 8. Ft I.orlelte. constance il. Blar, Clatterlort. 0' COURSE. 1" Mtlopce. gng. 34 M (Sparhc) lo.M. 3' 11.50. 2' Proclis (O. Clout) pl. Iil. (J. Kcllutt) N. Cll/Utnncstre pl. 23. pl. pure,Vénitien. Utile nt'en Il. Baïram, Sylvtaque, !I, Nectar, Mina. The Farner, h'
pi. pi.
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le ministre a salue dessert le préfet en et en a ranprlrf Ir passage guerre Le mif d artillerie. de colonel au qualité lui rapa répondu Bcsançon nistre lui que de sa carrière. années les plus belles pelait de la Féprésident, général hf. Sansbœuf, un discours a également prononcé dération Au, de la
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1" au baCOURSE. Galop. Compendium, ron 11.50 7.50. a1 Wanda à Foy gag. Pl. n, N. La M Flllol pl. 8. pl. Yoshlwara, Aride. Belle de finit Il, F.ros. Couronne. t" M. a Af. Hart 2' COURSE. Galop. Albert, i 227.50 67.50. 2* Btra Hella, s M. J. gag. pi. N. Le Ferlé; Wal pl. 1Î.&0. pl Megacephalon. >. Invtclus, Itccbise. Amallhtè. Beaubarnals, 1" Foudroyante, a 3* Course. Stp^ple-rhnse. Le M. G Gaudlu 1)1 18.50. i\ Chat. a Rag..31 Il. N Guardian M de Lanple pl pl. AnaH, Tiare, fii/fiu:. Dnrl.a. Plqu'Avant. I" à M V COURSI. steeple. Gantln, Ma*» A M. E. nuval S. 2" Guy. png 10 Pl pl. 10. à M. J. Adain. N. .V Charmant, p|. Alurine Il. Glaucos. MUlkntla, Brtme. A >r. de la 5' CocRSs.' 'iSimury. lt -Arrosage.2' 13 pi. 7.50. Accacta. à M. HurSagette gag. 8.50 3' Hameau, à M. Mahot bln pl pl. t5.50. dc Frtnlasta. Mite N.'pl. Fonlanqe*. Berthe, e\-Nemrotl; Lancier. Condor. tnlli, Kertlour t" 6' Course. Haies. Plcarraï gag io pl. ?• N. Volcan pl. Ar. ch elails t"
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août. 15 Tanger, sulhan sont du partis émissaires Deua tribus du de les Riff l'ordre portant pour Le sulles Espagonls. cesser d'attaqucr dc l'offensive la suspension tan a demande enverra Marina. Il ajoute du qénéral qu'il nécessaires toutes le.s troupes dans le Bill de l'ordre. le rétablissement pour
LA OUESTÈFCRÊTOISE Interview
du
du
Président
Conseil Vienne,
La Keue interview
Freie du
Presse
président
de
publie du conseil
Grèce
15 août. une courte de Gréce
Dépêches maritimes MARINEDE GUERRE
disant
de a déclaré que l'exigence M. Rhallys une renonciation concernant la Turquie, intérc!t crc Crtle, à tout de la Grâce formelle au roi de contredit la déclaration laite les puissances protectrices. Grèce par du dans la mesure tenir compte Pour Cre. du de peuple l'cxasniralion possible ont crtm;enu de propoLes puissances tois, le poste de au roi fois que ser que chanue Crête deviende la commissairc supérieur un candivacant, drait le. roi présentera4t en critila Turquie, dai. En consévucncc en Crête, de la Grèce prend V.action quanl des l'initiative puissances contre position tient son mandat. desquelles le roi
LE FEUDANSDESDOCKSDUHAVRE Ilaurc,
15
a Afi»ean<rtens.En «**•. de la MMIter., sur la le 1' sept., Claude Schiminski: Toulon, à Bi-ftst, le Il sept., Claude Le Gall; sur Justice, le) 1* sept.. Eiipene .Monot, lp Bouvet, ù Toulon, Jran Le Edouard' Bou^sarO, Digard Jacques Lann. Ferdinand ^Gu^raril, Afr^no Rault, LéoRolland Le MorPaquet. Larhm-, ,llphonsc •poW Ernest Emile van, Louis Le4 Pusloch, Billault, Robic, Aimé Glaitin. Lachaud, François SECONDS
MAITRES
Manmuvre. En escadre du 5' dépôt, le l' sur la Vérité, le 1" sept., Ernest Marchand: 'sept., 3' esc. le Laurent Gaudu; en division, Méditer., le l' sept., Faudéull; sur té %[arceau, François Jean sut le Masséna, le Il sept.. 1* sept., Petton: ser la Poudre, le le sept., Hervc Jean Navmer; -»• En esc. de la CanonnUrs. clwfs de section, le 1" sept., Pierre .Méditer., Il Toulon, \linon-, le 1* Yves Moreau. Joen fsc. du Nord, sept.. Méditer.. A Touen esc. de la pepH Guerrouô» est. ton. la t' sept., Pierre 3' division, Hocnaht; Pierre Le Noac'h, Dominile 1* sept.. Méditer., Jean Barré, Fortné Pcmuit, Kerjean. que En 3' diCanonniers non chefs de section, de la Méditer.. le l' sept., Jérôme vis., encadre Gouzien. Guillaume Kerdraou; Lescop, Prigent Favennec. Duédnl, Auguste Joseph Théophile Charles Louis Guettée, Guioncourt, Pignorel. Jean Guézennec. les sous-ma. Jean Cazuc.-sur Torpilleurs, rins de Toulon, Abolivicr; imméd.. François sur le 1" sept., Robert: sur le Dunois, Joseph le 1* Yves Baul; sur le Latouche-Trivitle, sept., le Catman, le l' sept., François Urvôy et Pierre Tanguy. chefs de section. Mousqurleric le 1* sept., Jean à Brest, berté, le esc. de la Méditer. à Toulon, sept.,Pierre
Sur la Lien Colonnec; 11 sept., Guy au
section.
Sur
août.
ce soir, à neuf hcuUn incendie a éclaté des docks à l'intérieur libres, res et demie. Le feu a pris naissansur le quai Fussnrd. en stationce dans des bateaux qui étaient l'un des hangars, Immédiatenemenl dans a de ment l'incendie pris grandes proportions. Les dégâts soiU évalués à cent mille lit! lan m i.» rin.fii /ran<-j>- au minimum. de nomlaeur sacs de café entassés et de sur une longueur cacao a été détruit de 75 mètres et une tdryeur de 12 mitres.
A l'Escadre
du Nord
Les marins et officiers mariniers de l'escadre du Nord se trouvent actuellequi ment ù Quibéron, avaient demandé 48 qui heures de venir il pour passer permission l3rest les fêtes de ont été l'Assomption, fort oblenir à grand de n'en surpris peine la journée la moitié, c'est-à-dire que juste du dimanche. Cet étonnement est causé d'abord ce fait lundi est un par que iour à demi-férié, toutes les admmistrapuisque tions de l'Ela.t ont obtenu et se douconjîé, de cette va ble circonstance que l'escada» ses suite cesser momentanément tirs, par En effet, dès mardu défaut de munitions. de l'escadre di matin, la deuxième division sous viendra tions
les
du contre-amiral Auverl, ordres a Brest chercher des munipour la continuation des tirs. Dans pour de il semblait bien facile ces conditions, aux étaient défaire équipages qui plaisir la fête de l'Assomption sireux de. passer et de leur les dans leur famille accorder heures demandées. quarante-huit Aussitôt nitions, dureront
qu'elle l'escadre toute la
sera
ravitaillée
reprendra semaine.
ses Puié,
d'infrastructure Châteaubriant
travaux
muen tirs qui vers le 20,
COLLISION
CATAPULTE
Adam. Sur les torp. de Cherbourg, le Timonerie. sur la CMltc. le 1' sept., 1. sept., Pelé; Joseph Robert; en 3' division, esc. Méditer., le Joseph Hoérou: sur le Cassard, le 1* l' sept., François Raoul. Jean Gral, Jean sept., MAca-niciens. Sul'1 le Duilois, le Il sept., Yws Gulllcrm: on flcfcusu fixe de Paul (îiipon, Jean Ilcrrn; sur le Lnlanâe, le Il sont., BisMTlf!, sur le Yatagan, le 1' le l' sept., Emile Hervé: sur lo ihipleUr, le Il sepAuguste Cornen; sept., en escadre du Nord, le Arsènv Rêgniet1; temb., JoIl sept., Maurice Prigenl, Auguste Adam, le 1' sept., sur le TourviUe, Gasseph Lautram; en escadre du Nord, le 1« sept., ton Bonard; Paul Kcrsual: Yves Plantée, Joseph Kerloch Fr. ose. Mi'xlilcr.. 1rs l' sopt.. .ilClourec; en 3' div. le l' sept., fred Félix; sur le Masscna, Pierre sur le Brennus, le 1' sept., AlleGlo; Eugène le 1' sept.. FeUx mand en esc. du Nord, Bruel; te 1 sept., Maurice en 3' division es. Méditer., Paul Octobre. N'ictor Hairon; Joseph Dubouig, Hubert Lu Gall, HoLe Gall, Eufiùne Voulot, sur le TourviUe, le 1* stpt., Mavcaillou; Doré Yves Lndirat, Thomas Riély, Raoul Labrousse, Zinn. Jean Daniôlou, Jean Le C'^ilvé, EmiPierre Louis Léon le Veillon. Gondrand, Trémoureux, Le Gall, Jean Alexandre CoFrançois Brugalay, rian. • • • En esc. de la MOMécaniciens torpilleurs. (-harles le 1" Sept.. Fulcrand, Eup.snc diterr., Arsène f'uul Pierre Hervé, Beaumont, Morvan. Carolin Léon Lecurre, Jean Parc., Ifesry, Levey, Isidore. Viladach, Gabyjel Louis Orciiflo. Andoul, SObastien Le Arnwnâ Louis Vastel. Sléplan J^'nn Julien Labonno, fuillou Saligtinn, Prigent Gabriel Jenn Caste!1, tttcheFloch, Buon, Joseph Henri Iidounid Ravononu, lîouguen, let, Gustave Al boit Le Fouru, EuLe Gall, l^çudec. Eugùne Lainort. François Chuutory, François gène l:harles Krunvcau, Gou'lven Abuulivt, Pùrouas, Aluzelleç. Marcel Aléaird, .cois Jacques Le Clech, riènrr DalMoïse Delacourt, "Alexandre Hamon, Pierre Le Chapelain, tazahic. Amus, Adolphe Louis Simon, Robert Gillexandre Lucas, Porrp, Emile Le Gall, Louis bert Laboufet. Pondaven, Isambert. Jules Léon Rouden, • Fourriers. Sur le Catiuat, imméd., Jean sur le Sabretache, immédiat., Doussen; Joseph Alexandre Autret, Alexis Raccialon, Gessiaume. Bernat'd Jules D'Hervé, Romatet, QueFrançois Jean Guillaume néa, Simon, Coignat. En' ecc. du ord, Immédiat., Charpcntlcl's: Emile Le Guillou, Henri Le- Baot, Louis Le Gall, Marin
l'Amiral Voiler*. Sur Owrner, te l'-sept., hinthurin Cohéloach. Piètre taloy, Charner Commis. -7- sur ..IMm.iral ,le Il sept., Alexis GuéRuen. Yves Lannuzûl, Pierre Kérézéon et Victor Le Goff. Sur V Amiral Infirliùcrs. Charrier, le 1* sep., .!•••. i Lordon, Bertic; il l'arsenal de SirtiJoseph Henrt Le Cloirec Ahdallah, le l' xpt., François fsilaûn, Jean Jean Romain Poudgé, Morvan, Henri Puech. Jean Si Larroux, François Lahay. Yves '.mon, Louis San tain, Breton, Jean Gor, Bernard. Laborde. En 3' div t' sept., esc ,Mèd Chou Heurs, Jean en ose. dit Nord, Il sept.. Marc Sollier; le f I.amendoiff; Pnihuau, sx«pt.. Ghbrlel lo CI¡amer, RramoullA sur Alain Pavillon. \'nLe Barre. Claury, Jaflrain, Rohan, .La. Guen, r< .ramhçur. Marzin. hert. Clairons. Pierre Person
LES
le
Au Cadre et Charles
Chômer,
de rade
1'
du 5' dépôt, André.
TORPILLES
Le remorqueur en de procéder, ressants exercices
le
DE l'Etat du
sept., le
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1* sept.,
BLOCUS Divette
Becquet, avaient
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» vient d'intébut dôs
qui pour un destructeur appsreil d'expérimenler de blocus à annitorpllJes ou plutôt propre hiler l'effet de ces On salt 'projectiles. que ces sont, en de torpilles temps guerre, mouillées entre deux eaux: Elles explosent au contact des bâtiment sennemis. 'Une at tache les maintient entre deux eftux, grâce à une attache correspondant a un foide de Il s'agit de couper cette mouillage. attache le dancereux et de faire émerger explosif torniltas avaient été niouiJJées. Six Le de l'appareil, Divette », muni passa et !put secuonnnér lee attachée des proectilee.
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LONG-COURRIER. de Cardia pour
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VOILIERS
Il
Lai commission d'enquête, désignée par le maritime des préfet compte pour se rendre avaries contractées le qu'ont torpilleur Il 205 n et le contretorpilleur Il, Calapulte au cours de la collision au iarge de Trouson ville, a constaté le 200 » avait que avait écrasé, ainsi cnmplèl-ement que son de vrtube vu l'état lance-torpilles. Aussi, tusté du navire, on juge intile (le procéder aux réparations nécessaires. On propose la condamnation du « 206 MEDAILLE Le' 2- m. MILITAIRE. mécanicien blessé en Léger, grièvement service est inscrit au tableau commandé, de concours la médaille militaire. pour COMMANDEMENTS. Sont nommés de v. Frochot, au commandement les,lieut. ""du "sous-marin Archimède de » lMoul, 1' « Aigrette du « Thermidor Il, Frochen, Le lieut. de v. FabreuJ, de Rrest, prendra le commandement Il le plua tôt du n Spahi possible. Sont démission.DEMISSIONNAIRES. narres les lient, de .v. Dagrange et Touzin de MaTtignac, à dater du 18 aoùt l'ens. de v. Pineau, à dater du 10 août. ECOLE SUPERIEURE D'AERONAUTILe nombre des officiers de mariQUE. ne pouvant bénéficier de congés d'études aux temes du décret du 16 juillet ne peut, 1908, excéder six, chiffre atteint. déjà intérêt le détvarteOr, il y aurait pour ment à permettre à quelques offkiprs de marine de 'suivre les cours de l'Erole suet de construction périeure à aéronautique mécanique L'enseiqui vient de se fonder. sera donné cette Enole comgnement qui en effet, des applications intéresportern, sant la défense nationale On pourrait, en sans outre, porter aux intérêts préjudice du service, le nomaugmenter légèrement bre dos officiers fîêtadiés qui sont près d'autres noétablissements.'scientifiques, tamment h l'Ecole d'électricité. supérieure En conséquence, un décret porte à dix le nombre d'officiers de marine bépouvant néfloior de congés d'études. CONGES. Obtiennent NI. le lieut. de v. Raticr, de Cherbourg, une prolong. de de deux mois, congé de conval. à solde entière du 30 NI. l'ens. pour compter juillet de Rochefort, Labannère, un congé pour affaires de trois personnelles mois, à demidistraction de la lste d'embarsolde, avec du 15 août Ni. pour compter quement, de Rochefort, lens. Flandrin, un congé de 'rriffe*. congé tière,
'âbi* cl. TTaudoum, 4e TOulon; un de conval. de deux mois, ta solde enpour compter du 1" septembre 1909. C'n congé de convalescence de trois mois, il solde entière, est accordé il. M. Mirande, adjoint de 2" cl. des trav. technique a l'arsenal de Dizerte. hydrauliques Un congé de convalf-scence de trois A so.lrl<> entière, mois, pour du 12 compter juin 1009, n été occorclé Ni. l'ingénieur en chef Hwilier, dirocleur des travaux de construction de l'arsenal de Dakar LA GRANDE SEMAINE MARITIME. Le ministre a décidé les 2" et 3" d'envoyer flottilles de torpilleurs de l'Océan aux fêtes de la grande semaine de la Ligue Maritime, qui auront lieu du 22 au 29 août, entre La Rochelle, Rochefort et les Sables d'Olonne. Le commandant de la 2» flottille se rendra avec ces bâtiments disponibles dans le de Lu Rochelle port (ville), le samedi 21 août dans la journée. Le commandant supérieur des deux flottilles, entente avec les organisateurs après de la fête et le directeur de la Ligue maritime réglera les détails française, du concours flottilles seront que ..les invitées il à cette prêter largement manifestation maritime. Elle comprendra en particulier la remontée de la Charente le vendredi 27, d'après les instructions du directeur des mouvements du port de Rochefort, et le séjour des tlottilles aux Sables d'Olonne le 28 Ru 29 août, der.lier jour de la grande semaine .maritime. CONGES. M. obtient Cherbourg, fatres personnelles, août.
Janlrot. médecin un conxè de deux sans sutde, pour
df 2' cl. mols pour compter du
ne aft"
FLOTTE ARRIVES. liste et ondine.
A
MARINE LA
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Lorlent.
15,
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Lo*f. •;
Madère,
LONGS-COUBRIEII8
Attendue i A Cayi une, Ker-Joseph. A la Le Galion. Ln Europe Aconcagua, Bonchamp, DieppeEmilie La R&i> dalti:, Calhne, Guêthary, Havre, Le Lameniin, cheloucauld. Marie, Valenbne. Eu Ucuunie Belen, Jeanne» Ernesl-Siegiried, Cordinnler, Xeuiltij. Au Chili Amiral Alexandre, Almendral, Trow Fautrel. de, Euyiinie Jacquet ne, Marie MolinOMm Qudlola, lourame. Montmorency, A s^un-Krancisco .Inné de Bretagne, Boiekj dieu, Brenn, Dvguay-Troum, Françotfe-(T4J»<: Ville de Mulliouse. boue. A .Vw-Vuik Maréchal de Tur eane. Au Pugi't-Sound i.cneviève-Moltno*. A ItirUiunii Babin-Chevaye, Duqutsnt, H4 che, Montcalm. Arrivés Au Havre,
le 15, Havre,
des
Antilles.
Partis se
D'Anvers, le même
le 1S, jour
Tille de Dijon, n. -Flesslngrnesr
ET
PAQUEBOTS
p.
fAnstralle
tsam-
VAPEURS LONGS-COURRIERS:
Attendus du Havre, le ilb Amiral-Aube, p. le Dahomey, août. Amiral-Sailandrouze de Lamorna-x, la 17, dit Havre, p. la Plata. de Bordeaux, le 20, p. la Guyane. Cacique, le -M, de- Bordeaux, Cambodge, p. la Ptata. le -ii, du Havre, Cliolon, p. Colonou. Cordouan, le 20. de Marseille, p. Londres. le 21, de Danube, p. BaLoum. Marseille, 1 ^17, du Havre, p. Haïphong. Gange, le du Havre, Guadetoupe, 23, p. Colon. le 20, du Havre, Guatemala, p. la Nouvel!» Orléans. de le 2}, Iji-Cliampagne, Saint-Nazaire, p. V$ Vera-Cruz. L« le 16. de Marseille, Alprs, p. la Plata. le 17, du Havre, Mrdoc, p. Marseille. liï 19, de liordeaux, 'ûunlrctil, p. Haiii. le 19, de «Marseille, i>r:[.noque, p. Beyroutli. l'nrana, le 20, de Marseille, p. La Plata. En
partance Arwand-llchic, mu.
le
17,
a Marseille,
de
YokolMH
le 20, à Bordeaux, de La Plala. Atlantique, de La Plula. Italie, le 20, à Marseille, La Towuine, le 20, au Havre, de New- York. le 16, it Marseille, d'OdVssa. Mcmphis, le 20, à Marseille, de «Maurice. Natal, le 11), à Marseille, fie Heyrouth. Xiger, le 1C. à Marseille, de Beyrouth. Portugal, le 23. de Colon. Versailles, i>ainUNazaire, Ville dt la Ciolat, à Marseille, de Nouméa,
îi
20. à
Yannam,
de
Marseille,
Yokohama,
20.
le
Arrivés Amiral le 14, de Dunkerque. au Hav.o Aube, Charles le 14, à Cardiff, du Hiivre. Uicour, Ic au de Libreville. Cholon. 15, Havre, du Havre. le 15, à Alnr, I>iibouti, le 15, à Vfars^ille. de Ot>nes Les Alpes,
A
15
de notro Arrivés à des Bancs,
Par
correspondant
par-
TRIBUNAL
1.400;
Nantes, U août. Un tribunal mariticommercial spécial, présidé NI. le par de fr. se Haret. réunira à Nantes le cap. 25 août statuer sur les pour responsabiliau par,le capitaine inscrit a Bastia, Santelli, de l'abordage survenu rade de mars }9Ù9 en Saint-Nazaire le vapeur Guyane, qu'il commandait, Bacchus. vapeur AFFRETEMENTS, prennent dard. Cardiff, Nantes,
pour 2.900 tx, pour Talbot. steamer 2.000 steamer à Newca&Ue, Brest, à 3
le
n" 27
entre et le
sh.
et
il Ncwport Nantes
et un Trafalgar, 1 900 tx, ù 4 fr. pour Nantes, 50; steamer de 1.400 tx pour
10
dec.
550. pour à Swonsea, et
6
shen.
J^
à.LJajiéTTy, Saint-Servan, steamer
"briquettes»
Il
H
CABOTEURS
VOILIERS Arrivés
le Marie-Louise, de A Vannes, t2. Salnt-Nazafiai c. MonsarU. a Saint-Nazaire. le l;i. Marle-Angùle. au le 13, Au/ure, c Uu*> de Bordeaux Légue, c. de zenec, de Cardilf Irvor, Halna. ("ardiff la 1-. Ouotoll, de Saint-Brleuc d il llesslogue. de La Koiliille, le II, XouueUf-Hri.ie, l'ouèron le de à noulogne, il. de à Mor de Cherbourg Injc/c. Fret périmée, Ili'nioni, c. Fichant, de Swanaea Ialx. le U. c Le Coz. de Loadra Laiiderneaii. le 1:1. Mitdrrd. le Salnt-itarc. c. Oeffroy, de à Pcntrlpux, 13, l'lle Grande. Victor de La A Cardia, le t3. lluqo. Rochelle à Swansea, le 13, r.ulùce, de ^uen à Borde Les Ftls ton deaux, le 15. BUlussoa, Bayi>:>ile Concarneau La Boeheli*. do Liverpool sell. de le Saint-Simon. d'Anvers Eu, a Marseille, là, de et Aude. d'Oran Vdte NapUs aine-Etienne, de de Tuuis Carte, d'Ajaccio à Brest, le 15, Gaulois, de rient; rlaton Uône le 15, Edouard Corbic de Morlaix, Boulogne du Havre. re.
Partis c. Laplerrr, rie (;ranville, le 11. Anne-Gardien, p Berceuse, c Cuïelhin, u« PleUerol p. Palmpol d< Morlalx. le l.1, Marte-h'rancoise, p Ro«olt le Il, SilUHie, Ituvoff de Bor Plyinouih. p le l.i. Ardente, p. Le Lègue Anna-Josephtne, ile.ui.i. de p. Cavernes p. Boulogne Pitre-Alcidr, Lorlent. Swaûs;'a. Ie li. p le il, Olympe, c. Le Glas. p. Blute De Tréguler, de Lorlent, le il. Souvenir, p. Arendal Brtto Etel Uelle-lle Xotre-ùanu gne, p. Intreytde, p. du le de p. Saumon Légué, 13. iw Quelvain, c. Paimpol de Dui»' chanterrsse, (regum. p. le li. Marguerite, p. lndret de Lankerque, le Lucie, c. Gourlauuen. p, Ars en derneau, 13,
CABOTEURS
i
le U. Mollira et Samte-Adresse, Havre, de Bar» a Kouen, le U. Phrune, d Alger à MmaellMt dr Tiw'f, de Ci-He Ville le t' Faraman. d'Oran Ville de Artois, de l'htllppevillp Sfax, <fOr*a MoKf, de Buerte Vue de Br naance. «TAlgar de a le 14. de liarry Charles, de fort, DunKeniue. le n. A Palmpol. Bercettse, e C'avelan, de Oran c. du ville le 13, aux Sables d Olonne, Bretagne et Vendée, e da Urest à Granvme. le 11. c Farde!. Jean, a Cardlff. Oillvier. de Perros-Gnirec le ti. Kavde Lorlent a Snlelds, le t3. rice. Valenttn, df RoscoO.
YACHTING
affrétées
pour
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mer Bleètm, i' sh. 3 dec. charbon
long-
steamer S/ana 4 fr. il. 7n; 1.650 lngoldsbu, tx, pour 75: un steamer de 550 tx il 4 sh.: steamer Cambo, il 3 shqdec; il PortGranville,
Saint-Malo,
en
Sont
charge 1.800 tr, steamer Il 4 fr.
de Kersaint, le 15, de Marseille, Haïphong. Danube, le 15. de Marseille, p. Bataum. le 14, de Marseille, (Irrmanla, p. New-York. le 15, du Montréal, Havre. p. Bordeaux Haïti. le 15. de «Marseille, Océanien, p. Yokohama. le 15, <le Ruflsrçue, .SVni'flamfti»', p. Bordeaux. Sidoh. l,' (le Marsoille, p. ftn»\>sa.
Arrivés
COMMERCIAL
tés encourues cours Léon au 140, sujet
A
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it-DuBtotque,
de !> A Salnt-Nazalre. le 13. Boiltau. CanUŒ – de Ca, Cherbourg, le 1J. Deux.Frères, Boulugne le tor. du Havre Flesslngues. 12. Hlppotult a Rotterdam, le il. Worms. de Bordeaux Acttf la de de Caen à Bayonne, 13, Mormarute, Nai* le La les 1 Port-Vendres. 13. Mars*. d'Alger de a Hambourg, le li, Listrat. Rouen A Oumle U. Jeanne d'Arc, de Bordeaux le M, erque,
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va
La Compagnie joura en adjudication Châteaubriant de
de Ancenis
à
1
en
ont mais ires disparu, fait naître est les a qui à la donnée en France et tous les exercices corpogymnastique de militaire, Les sociétés rels. préparation si ont tous les moniteurs dévoués, avec de la jeuaclie\c l'œuvre d'aguerrissement Les bataillons mouvement du venue l'extension
Le
TniBDNAL CORRECTIONNEL Démonstration brutale. Le 1" murant, en avec le tourdjouant dans muet Tissler. qui [h chai l'Ernee. au Bas-deVille. et en oulan'. lui montrer comment on donne de dans exercices de la nu coup poing boxe. Je jbarron Bouvier lui un de si octroya, coup pied lui a bris* une violent. <ju jambe Bouvier, pour sa uaJadreèM. te volt coodamaé a M tr. ll'aiaende ivac surfis
ECOLIERS
ainéràl
le Jules-Fer-
Sur la Couleuvrine, imméd., Màraninrns. &ur la Foudrc, woo .délai réLàonaid- Ratier, sur 1" Branda; le Montcalm, duit, Bapti8tin sept., Joseph Le Duc. Fourriers. Au cadre du 5' dépôt, immea., central de CherGustave Lemeltier: à l'atelier Le Albert Dudouit, ChTistophe imméd., bourg, UrVictoria Slum Armand, Franco» Tanguy, bain Lejeune. HenSur le Sutfren, imméd., Charpentiers. ri Sur; sur le Borda, 1" sept Yves Fily: sur le le.l" Pierre Le Nabec; Charles-Marte^ sept.. Commis. Au cadre du 1" dépôt, le 1" sept., Jean BerLouis Vonisin. Auguste Falquerho, PiLéon Tllmont, Pierre nard, Joseph Jabin, Antoine Càu^in. nel, Antoine ftallon,
Mnusqucterie
là du vic. disant
sur
Oinncs,
MArrRES
pa-
%-aillé à la gloire du et particulièrepays, ment aux lits de la démocratie comme qui, le général ont toute Jennningros, poursuivi lenr vie un ifléaj de civisme, de courage et d'honneur. Le général est sorti Jennningros des du peuple. l'ouIl sut ne jamais rangs c'est blier. Il se par rappeld fmjours que une Succession de luites et d'efforts que les
>
gêné-
Je suis doublement heureux troude me ver au milieu de vous à l'occasion de cette siolenité. Comme du représentant gouverici le tribut d'admiration nement, j'apporte ct de reconuissujvce la doit que République à tout» les enfants de la France traqui ont
l'on peut conquérir tinée." Cette fonviction
.kilomètres.
MAITRES
Claude
sur le Jeanne d'Arc, le immédiatement; 1" septemb. Louis Talon, Joseph Le Comoux, Jean Le Veux, Anthime Vincent. LauBarangé, Le Houérou, Jean Collin. nay, François le 1" sept., Canonniers. Sur le Uupteia, Jo..Yves Hélary; .Joseph Daireau, Louis pvrard, UourLe Pierre Cornec, Auguste seph Saley, JoPierre Joseph Nicolas, dice, Jeun Chulm, rel Joseph Ni\'et. de CherSur les sous-marins rorpaieurs. immédiat. Emile Ferai, François liuet, bourg; CéUislin Jamet, Pierre Duponl, Louis Fournicr. le 1" «pl., Sur le Marceau, Mousqucterie. Io 1" Jérôme Le Leizour; nu cadre du 5' dépôt, lres Mélac, Louis septembre, L'Hostis, Joseph Yves Jean Le Coal-Sallou, Cornen, Moigne, Jean Le Puillandre, Le Gal, Pierre Méheust, Armand Jean Siméon Yves Goulard, Persoun, Huard, Pierre Armand Jean Larreur, Colin, Bernet, .\tathurin Taeron. Louis Le Coroller, --Sur la Justice, Timonerie. immédiatement, GuillauLouis Le GuUlennit, Théogone Sévin, me Le Moal, Hippolyte Louis Beaulieu, Tatry, Yves Le Bris, Sévellec, Jean Fougeray, Auguste
aura des nouvelles des localités Le musée d'Isuki s'est écroulé au qnées. milieu d'un bruit La formidable. montagne a complètement Les sechangé d'aspect. cousses ont dans la macontinué jusque ttnée du 15.
che-
les
endommagées.
le
postérieure,
arant
qu'on
la date du 15 août, les listes de dtsldes officiers mariniers pour l'embarou laffectation
Mqnceuvre.
déjà on lorséloi-
qu'on
passerelle dans
projetés sauvés.
proportions,
opération, contre les
fortement de
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flammes
A TERRE
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Le tremblement de du violent et ol ressenti prolongé, tntc On superficie élrnduc. fort par;0 de 30 morts et de 82 blessés. Mais ce s'attend votr doubler chiffre,
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Les
15
Tokio, terre a été
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automobiles,
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heures,
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des
brigade accourue
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rue Sedaine, heures, deux Voltaire, jeudu avec discutaient et une fille jeune lorsLes s'éloignaient, passants de au paroxysme des jeunes gens, si canne et frappa brandit une tomuc celui-ci son adversaire vers dix boulevard
incendie;
ET POSTES
EMBARQUEMENTS
heures, dans particulièrement dans les districts du lac Tiona,de Kioto et d'Osaha. Les secousses ont été moins à- Tofortes kio. La vtltc de Nagot,la a été très éprouvée. Une de la préfecture de Chiga serait partie détruite. -'i Il y aurait vingt-et-un morts et soixante-
si-
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ADJUDICATION Des
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UNE DISCUSSION TRAGIQUE
15
Liverpool, Lucama
Le
DU
PROMOTIONS
15 aotu. Tokio, trcmblemant de terhier vers après-midi, tout le Japon et central
secousses fortes ont été ressenties
CONTRE-AMIRAL DARBEL MARIN Le contre-amiral MaToulon, 15 août. son rin d'.Vrbel a quitté cette après-midi de l'escade la 3* division commandement dre de la Méditerranée. Il part de Toulon dans la soirée, se rendant à Paris, où il est de à nouvelles fonctions. appelt arborera L'amiral Berruyer son pavillon neuf du demain matin, heures, à bord ,a Bouvet ».
mobile fede la défense Les torpilleurs' essais bi-annuels ront cette 'semaine leurs ils de six heures de bon fonctionnement; commenceront demain les torpilleurs par u 298 Il et Il 304 ».
TREMBLEMENTS JDE TERRE AU JAPON
LE FEUA BORD DIT LUCANIA
DEPART
stea-
Partis D'Anvers, le Servan,
Le Imprimerie
le t?. Aimait, 13. CollOrt, p.
Gérant de
p te Dînant
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Th«ophili VOuest-Ectair, du 38, rue
Ce journal est entièrement maehines de la Linotypes Machwery LTD, 10, rue de
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Saint
L'OUEST
ECLAIR
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Loi
Gros
Le
Maillard bien te Bastion qui connaissait caractère de Trousseilier et qui savait parfaitement médecin ne lui était que l'ancien invincible dévoué que paroe qu'il le croyait Bastien affectait touMaillard, disons-nous, comme si nul l'indifférence, jours péril n'était capable de le démonter. J'ai appris cela ce matin et je vous attenais vos orimpatiemment pour recevoir dres. Cet événement ne dérange-t-il pas nos le petit homprojeta, complètement ? insista 1 me en fixant sur son patron un regard anxieux et scrutateur. Bah à peine un peu de retard 1 comme ReCrois-tu qu'un garçon petit soit de m'arrêter dans la ginald capable route que je me suis tracée Mais qui donc, a votre avis, a fait le t de l'évasion coup Dea anarchistes, 1 des amis parbleu d'Alibert de cet imbécile qui onfïni que était on des leurs et qu'il fallait Reginald le sauver à tout prix. Dans tous les cas, ces cens-là aont fort habileté ne me portait et si leur habiles, serais le à les pas je premier préjudice, applaudu. Mais il ne s'agit le mopas de cela pour ment. Je désire à Maître de Caparler François birac et le plus tôt poseibte. Cabirac Or, il se trouve justement que n'est chez lui aujourd'hui. pas Tu iras te poster près de sa maison, quelet tu ne quitteras pas ta (action que part, soit rentré chez avant lui, ce que l'avocat
86
h i/Onart-Eckiér K Août 190SK
GRAND RO1AN D'AVENTURES PAR
MOVTCLERC
ELY
PARTS
OHOtnfcMI
LES
DEUX
MEURS
et le plus Uewentiel terrible, c'était que élaborés si laborieusement tee plu» par lui et d'un seul e twowBfent renversés coup, du chet de René, tm danger aainlnnnnV fat le nmaçait. rartoi ne comprit d'abord MafUard que cela. E était encore par la révélatrop étourdi venait de lui être (aile \od foudroyante qui la situaexaminer froidement vnr pouvoir durant le trajet la reprises, A plusieurs à la rue de l'Arbonlerard de Coaroelles son front mouillé de cade, le bandit essuya soeur froide. Trousselier. bien ? demanda-t-il & Eh ce qui s'est passé Vous savez donc 1. Quoi du petit René. Ah l'évasion
Le
COMMANDIT AIRE
affaire demandé pour un gros rendement. initiales A. F. L' Ecrire
ut
de
sérieuse
la
région,
samedi
Ouest-Eclair.
00
cacon-
une
pour 1 hectare
de
12
Saint
oaàLouer Vendre
troisième
et
Mise 21790
quatrième
lots d'autre Pour tous
part. renseignements, à M» LEFEUVRE, de la vente. chargé 1-6
s'adresser notaire 21703
Etude
essence
Moteurs 3 Abeille > 8 H P, neufs. entièrement
de
de
volontaire août 1909,
â
de
l'aprèsle mipar LEFEUVRE,
M'une tares affermée
22
centiares, BorLe époux 850 francs, assurances. 19.000
francs.
LOT
DEUXIÈME
LA FERME
sis an
15 29
la
en de
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A Guingamp.
la
Troisième
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notaire
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renseignements, a Me COUN.
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de la question. non» écartons nous Mais je coure est non neveu ReginaJd que On bras ? dans mes le •errer de allait être MeilJard obligé Cependant Catoirac avait car @on parti. toMtk-e ou Regmald, Yow savez que si vous êtes puisqwe de la Fougeraye, votre nest maintenant, pas renseigné lort
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prendre
Concours
Grand Organisé
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de
d'exploitation. S'adresser à taire
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eont demandés. S'adreeeer A MM.PELUER4 tondeurs-oonstruct Frères, cause un
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santé,
Quimper,
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L'OUEST-ÊCLAIR
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2.200 en
Revenu et charges S'adresser 21712
w^ïâ^«q;ff»ïLtas
heures rie de
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Bicyclettes, Ltrrots JParfamei-Je, de
coudre, Bottes
BUoux, Nombreux
PitoaOffraptaos, Caisse Volumes
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Cuillé 25
etc.,
divers,
Objets
diplômes,
reliés, etc.
cahiers indiquée
devront au
adressés
être
règlement,
(au au
tard
plus
le 20
octobre
l'Ouest-Eclair,
journal
38,
1809), du Pré-Botté,
rue
Petit.
no-
teaugiron, taire à 21713
Haye-du-Puits
7- PlTft » ««53-»
S'adresser rue du
chm Lycée, 1-1
21893
AvisDivers
cause
de
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santi
DEMANDE
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se tenait le dos Bastien Afaillard debout, afin de cacher tourné contre une fenêtre, l'émotion autant qui l'agitait que possible et qui se reflétait fin dépit de ses efforts, sur son visage le cabmet A peine la portière qui séparait il coucher du déde Gabriac de la chambre bruit derrière était-elle retombée sans puté Maillard celui-ci, s'avança brusqueque ami. vers son ancien ment, la main tendue, d'une voix dit-il presque Bonjour, gouailleuse. Ça va bren 7 de façon si Cette attitude, qui contrastait
est demi-heure une qu'il il n'y a pas arrivé en fiacre. venait de la du cocher qu'il J'ai appris gare Montparnasse. il malicieusement, A propos, ajoutn-t-n l monsieur ce cher très satisfait, | paraissait de Cabirac. aux bords C'est que son petit voyage car il a dû certaide la mer lui aura réussi, de la mer, répondit nement aller au bord calme. Maillard avec le plus grand en plus fort, est de plus Le patron Trousselier. pensa
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a pensé de même que moi, Le patron l'sir. mais il ne veut pas en awe il s'en tiOui, il a du nerf et de la tète. rera éncbre. un rude homme tout de même C'est que I » le Fauoon Bastien Maillard une atrojournée passa ce. Enfermé libre ooura chez lui, il donnait une colère à sa colère, car c'était surtout furieuse en se voyant ainsi qu'il ressentait contrarié dans ses desseins par une petite tel fille comme et par va rêveur Juliette, l'habitude de que Cabirac qu'il avait pris mépriser. Le sentiment de la défaite était insupportable à cette et il attennature, puissante fébrile l'instant où dait avec une impatience il pourrait se retrouver face à face avec ses sur eux sa revanennemis, pour prendre che. sans La journée se termina que le faux Juliette César eût pu s'expliquer comment et Cabirac tirer Regipris pour s'y étaient nald de la Roquette. Il avait fait acheter tous les journaux qui
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Cabirac Quel que. soitle moment auquel accours reviendra, roe prévenir. Trousselier Convenu qui répondit tourna les talons en maugréant Je me doutais se disait bien, le petit était homme durant le trajet. que Cabirac chose là-dedans. quelque
ordinaires avec les manières dm étrange ai grave, si réservé, si faux César, toujours ne pouvait de surfroid même, manquer de le démonter un l'ami de Julfetie, prondre au premier et c'était moment, peu même Maillard bien là-dessus compté qu'avait froida Bonjour, monsieur, répondit ment l'avocat. de votre Ou eatee qui me vaut l'hormeur
tout haut Et il ajouta Plus riea a faire pour cette nait te coucher, Non plus rien que d'aller faire moi-même. ce que je vais chez Demain matin, je me présenterai Cabirac. Troussolier s'en fut, en effet, prendre bien mais Maillard so un repos gagné bien le l'imiter. garda tout 1e reste de la mit se Il employa décisive du kndea l'entrevue préparer s être maquillé et. au matin, main après de les traces la face pour faire disparaître il se présentait la fatigue et de l'insomnie, chez Cabirac. L'avocat s'attendait bien m peu il la visite de son ancien complice était inévitable Le choc et4 non prévu, M de Cabisans un léger tressaillement. aussitôt rac commanda introduisit qu'on se où lui-même le visiteur dans son cabinet minutes rendit quelques plus tard.
les relataient il les compulsait, l'événement, et ne comprenait pas. oomparait devant Sa fureur encore re s'exaspérait d'éclaircir lui était impossible mystère qu'il de augmentait tandis que son inquiétude Trouaselier. ne pea voir revenir la nuit.. Pas de nouLe soir arriva, puis velles. et il arMaillard ne s'était pas couché, son cabinet de trade long en large pentait deveen heure, vail d'un pas qui, d'heure nait plus saccadé. deux heures du maCe ne fût que vers de chambre, aux aguets, tin -que son valet de Baslien. Trousselrer introduisit auprès à l'approche de sop conLe faux César, tout son sang-froid. ressaisi fident, avait dit-il d'un en travaillant, Je t'attends ton dégagé. accident à ce cher Est-il arrivé quelque t de Cabirac Franque seule1il vient de rentrer Non pas
pot*érHemmeat pas tarder, sa oor-. l'ordre qu'on gardât
qui ne peot il donné qu'il
même Mais
1 nous Bien Maillard. rassemblant
y
voilà
1 pensa
en
luide
toute sa puissance tout haut il continua volonté sur lui-môme, railleur du même ton ne seI. René horrible Ingratitude mon neveu 1 rait pas l'a nourri, élevé, Et donc protégé, qui enfance ? chéri durant son César de la William le comte Gardner, Fougeraye, Eh
si bien choee
vous
aimez
mieux.
cela et Ne suis-je pas tout avec ? d'autre quelque Bastien vous êtes encore Sans doute, et HenrxH l'assassin de Joseph BaiHard, Juliette Henriot. de la petite deux en l nous voila donc tous Enfin • de connaissance. pays se retrouver ainsi. de Cela fait plasir de Cabirac t monsieur François vrai, pas dents en des Bastien Maillard gnnçait n'amais it ces derniers mots, prononça.nt soucela son effrayant vait quitté pour pas rire. avoir seulement parlé, Il se leva après communtles deux alla ouvrir portes qw chambre et la avec l'antichambre quaient s'assura du député, que personh coucher La à de voix, poussa ne ne ne tenait portée vers les verrous et revint soigneusement faire sans le regardait bouger Cabirac qui de et attendait de son fauteuil l'explosion admirable bandit avec un la fureur du
bien
Bastien un avec
se trompait. de Cabirac se Msillard rapprocha et s'appuyant calme grand
mains dans
de
l'avocat,
les
7 maître donc cher cela, pourquoi souriant demanda toujours l'imposteur vous devrui en venté, Parce que, devinez vous tout, qui bien comprendre, malheudes parler que je n^ime guère mis m'ont jadis reuses circonstances qui en
rapport C'est vaillé de
avec vous. vrai 1 nous
autrefois,
avons,
tra-
compagne
a bien ai donné je voua que que je voie. avec Cabirac ordonna vous fureur de remuer est U vous peu agréable cher à ce que je vois, ces vieux souvenirs il y a et prescription, maître, pourtant éwuannées se sont de vmgt plus puisque lors. lées depuis le juiiamonsieur Ne le savez-vous pas.
Et l'argent à fructifié Taisezsourde une
consulte
et
ce
? sur Assez Décidément, m'est Parce
impudent
ce
sujet le
indifférent. vous que
passé à êtes
1 vous déplall Moi. un bandit cynique
vos
Modérez
yeux 4ë
1 combien
député Voyez
Fougeraye, tel que
je
moi, suis
Aime? Juliette, tout laites-en vez,
monsieur
expressions,
de César criminel un
le comte avec poli
la
vous.
vous vous trompez cvnisme que je consiCe n'est par pas c'est avec indifférence parce dère le pnssé moi 1 amoureux, pas que je ne suis 1 un mort comme Cabirac devint pAle le miséracontre Cette il se dressa fois, D'ailleurs,
ble
le
qui Je
Et
lui, des
bureau
ses yeux vous de Cabirac., monsieur Alors, de La Fougeà Mlle Juliette avez raconté vevous histoire à laquelle la petite raye votre et c'est langue de faire allusion, nez innocente il cette a mspiré de vipère qui ausans l'idée désormais colombe d'agir cher oncle ? cun souci de son François Bastien Maillard, répondit vous vraiment crois que de Cabirac, je
II de
au
vous
la
torturait. défends
Fougeraye, el pale rées, Mais je
parler les parlé
de Juliette Tiensc'est Maillard. ricana ami cher sénile,
amoureux, Passion rez mai Cabirac les porta expression Maillard liation succès
de
prononça-{-il à faire pitié. n'en ai pas
dans retomba front mains à son de de et rage se
q«« des
que
son avec
de de Mlle dents serun
seul
vous
êtes
Vous
fini-
fauteuil une
telle
et
désespoir, que I Humitoute la le veille, a il attribuait qu'il
de sentit vengé avait «usée, lui combinaisons
Ctibirac. minudurant laissa-t-il quelques dans cette débattre ami se ancien eut lorsquil douloureuse, puis, ce de le plaisir savouré suffisamment il reprit spectacle, de Cabirac. cher monsieur Au reste, les et non vos pas sont là affaires, ce Aussi
son tes situation
1
ItiffiEt àTan^SiutniTiTTm^B-iéhi _E1_L *^°°_i_^er-?_^p_^m«^afe'
épousez-la ce que
si vous
vous voudrez,
pouje
m'en moque. m intéresse. re venons à ce Mais qui donc rien laissé soupçonner Vous n'avez sur vous du secret possédez a Juliette que moi ? ne lui laisserez vous Pas plus que sur vous le secret possédez que soupçonner sur en levant Cabirac moi-méme, répondit une tueur ennemi ses son yeux qu'égarart de lotie. 1 l'arbleu tout cher pour Mon Cabirac, prenez-moi imun vous pour ce qu'il excepté plaira, bécile. ». d'intérêt à nous n'avons Au fond, point nous combattre avez comvous qui C'est cependant du bo_©vard l'attentat menqm la lutte par fit Cabirac. de Courcelles, sur le taux brillant son Et il fixa regard celui-ci sourit mais César, de Regtnald de l'attentat ? Vous parlez interrogea-t-il. Le
vôtre,
vous
ne
déplaise.
de grand n ait pas qu'il presque je réussi complètement. il. la vie. Je ne tiens plus 1 Cabirac 1 amour, c'est Ce que que fort le moins vous êtes encore qui C'est deux 1 de nous la mort Vous vous puisque trompez;
D'ailleurs, et cœur,
"Xnard
je vous regrette,
avait
le
regardé
pardonne
fixement
l'avocat
tandis birac
qu'il disait
et ainsi, parlait vrai. bandit brillèrent du
u
vit
que
u
d'un éclair Les yeux mvec ana aussitôt, et, éteignit fugitif qu'il il reprit désinvolture affectée, mon cher maître, Eh bien je s» deviné ma mai» vous heureux ayez que de du boulevard Courcellear dans l'attentat dans 1'éva deviné la votre comme moi, j'ai de sion de Roné Cela me prouve aussi tln, jours
la
Fougeraye. votre subtil
que aussi
est esprit qu'autrefois,
ton-
aveux pénibles. chef Cakn-e, voulu vous tuer, Oui, J'ai vous-même re> que et vous pouvez juger mal n'était imaginé. pas coup de ae que écoanHïïon je sea». C est un bon des
Bavant» les ptas malgré Cependant, et c'est vogua échoué, qof combinaisons, j'ai conturebattu à plate m avez homme un sage de Voilà dégoûter quoi sont ne violentes qm paa des entreprises absolument indispensables. à m'est il ne ptas indispensable Or, avons noue pasat vous tuer, depuis que de pacte. une espèce dailleura qae ne vous cacherai pas, Je de vmfl débarrassé être bientôt je compte vous-même. par vous per*a, malheureuse pasewo Votre meawe» vous un de ces Cabirac et jours, vous suiciderea. ou vous de chagrin