Le Petit journal (Paris. 1863)
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Parti social français. Le Petit journal (Paris. 1863). 03/12/1906. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter utilisationcommerciale@bnf.fr.
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X.E ^PXJTJS RÉPANDU, ADMINISTRATION, RÉDACTION ET ANNONCES .
,61, rue .Laiayette, à Paris (â_me )
ADMINISTRATION..
RÉDACTION
Téléphoné 101-77 — 101-78
CHRONIQUE DU LUNDI Les bornes de la bienséance. — Les mœurs sous Napoléon l eri la Restauration r le . deuxième : Gouvernement de Jullleti la République et le seooinT Empire. •
Alexandre Dumas et la « Visite de No ces »'. — On demande le rétablissement de la censure.
Je ne suis pas bégueule... ni. vous.non di plus, j'en suis bien certain. Commemé-' d'ineffable sait, jadis le père Planté, moire,- un vieux censeur falot, que ne sauraient oublier ceux qui l'ont connu ^ k Nous ne sommes pas ennemis d une douce gaîté, fût-elle un peu libre, les pourvu que ça ne dépasse pasredou bornes... » Je dirai plus, nous ne tons pas une «gauloiserie», pourvu qu'elle soit à sa place, "élégante et sans brutalité. quelque . _ Mais, avouez que, depuis temps, 1de ces « bornes », qui limitent la bienséance* on ne se soucie plus guère,* puisqu'on saute allègrement par-dessus. Quant à l'élégance, on l'ignore. On di en « man rait que la conversatioiLse fait effarouche ches de chemise », et l'on ne s La plus des brutalités de l'expression.ècle pornographie du dix-huitième S1 , le vingtième ; plie semble avoir envahi s'installe un peu partout, après un siècle de silence et de réserve, car le «^-neu vième-fut relativement chaste : période de trêve et de calme dans les mœurs. L'empereur Napoléon Ier, qui en occu pa le début, avait horreur de. tout scandale public. Il estimait, avec raison, que i est une cause de le relâchement social faiblesse, et, sans y chercher plus grande malice, il ne l'admettait guère Lorsque le fâcheux marquis de Sade eut 1 audace de Jui dédier un de ses ignobles romans, : 1 empe la r.époriëe ne se fit pas attendre. appréhender, puis incarcérer a reur Te fitcomme.fôu dangereux, ce qui se Bicêtre, justifiait absolument. • . ... im . Sous la .Restauration, la tradition -menw y périale se 'continua, peut-être fémoigria-t restric sévérité -on de plus de chatouilleuse, tive, car la censure y fut ' plus que de raison. 'gouvernement Louis-Philippe, Sous libéral et "bourgeois, là'moralité publi Elle n avait, que . se" défendit elle-même. dire, pas besoin d'être pro pour ainsipornographie eût manque de tégée". La clientèle, on-ne l'aurait pas supportée. près de même sous Na - Il en fut à peu poléon 1 III, bien qu'on eût, déjà liberté plus, grande et que le'premier relâchement se fît sentir. La censure faisait (li trop absolue, gue,' parfois même diguerépressions un 'car «lié agaçait par ses d'autorité. peu vives. Il y avait excès ! ' Sous la troisième République, moins soutenue, la censure se fit plus tolérante et ce fut, peu à peu, le déclanchement prévu 'pàr quiconque voyait plus loin ' que le'bout de son nez. C'est surtout au théâtre que le mal a sévi -, il va grandissant, il commence à donner quelque inquiétude. .
ABONNEMENTS, SEINE ET SEINE ÉT OISE
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Le- Supplément tLtusTRÉ... 5 cent. | Le Petit Joaj^miUtai^mritin^oqlomd^lOoi Le Petit Journalagricole. 5 cent"; j La Mode du Petit Journal; 10 cent» Le Petit Journal illustré de la Jeunesse . ! 10 cent. ,! D. CASSIGNEUL,.Directeur de la Rédaction. .
Le Drame
production dramatique est énorme et in cessante; parce "que Va consommation ne. s'arrête guère. Alors, où se procurer une pâte qui n'ait pas été pétrie à satiété ? .'En cherchant bien, on a découvert que' j la pornographie était à exploiter, et que c'était presque une nouveauté, puis-' que tant, qu'à vécu la censure, on la te nait prisonnière, au Musée secret. On avait donc belle de chercher là des -lieutenant ressources pouvant venir en aide à l'im C'est dans la chambre du sous puissance de l'invention dramatique. de Lamarzelle, fils du sénateur du Pourquoi s'en serait-on privé d'ailleurs, Morbihan/ que s'est tuée, h L'Ecole puisque le public paraît s'y complaire,' et,.qu'il.suffit de signaler ,1a grossièreté d'application, la chanteuse de caféd'un spectacle, pour que la foiile se précipite à la boutique, où se débite la ' concert .Estelle Bahollet. marchandise malsaine ? " '
de
Fontainebleau
(Déziéche de notre correspondant)
Lorsqu'on a demandé, je ne sais, trop pourquoi, dans : un bel élan :de libéra lisme irraisonné; la suppression: de la censure, on s'est payé de phrases creuses, r— ne sonkee pas,,d'ailleurs,.celles qui réspnnent le mieux ? -r-.on a dit : « Vous pouvez sans orainte supprimer la cen sure, qui est une institution dangereuse] Le public suffira pour faire sa' police lui-même. Si on lui présente des spec-r :X
.tacles inconvenants, il sifflera'de toute;
MIEUX RENS331G-iME
Fontainebleau, 2 Décembre.
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Le sous-lieutenant dans la chambre du • quel une femme s'est tuée; à l'école dapplication de .Fontainebleau, est M. de La marzelle, fils du sénateur, du -Morbihan. La jeune femme qui a été pénétré .dans •
l'école-d'application et qui s'est suicidée sous les yeux du lieutenant de Lamarzelle est une chanteuse, engagée au concert Car net, à -Fontainebleau. Elle connaissait l'of ficier .depuis plusieurs,mois. • ! . Nommé' au 3f d'artillerie, en garnison ,à Castres, pour y accomplir l'année • d'ins truction.que le règlementimpose aux élèves sortant de l'Ecole polytechnique, M. de La marzelle avait remarqué, dans un café; concert de cette ville, une jeune femme qui chantait sous le nom ronflant d'Estelle de Cambourg. et dont il s'était bientôt épris. L'artiste était devenue son amie, et, bien que le passé d'Estelle ne fût pas sans ta-; che; bien qu'elle eût déjà, .quoique âgée, seulement-de dix-huit ans, été l'héroïne de: plusieurs aventures mouvementées — on dit même; qu'un jeune homme s'est tué à cause d'elle — M. de Lamarzelle n'avait pas cru devoir,cacher ses relations avec elle. . Il y eut pourtant, plusieurs fois, de vives discussions entre l'officier et la chanteuse. Mais, en dépit des désaccords passagers qaii survenaient-entre eux, il est permis de sup poser; que rien ne s'était produit d'assez, fort pour,, motiver une rupture définitive, puisque,, quand le sous-lieutenant vint à, Fontainebleau, afin d'y accomplir . son temps d'écolg, la jeune femme décida de ve nir" se fixer dans notre ville. p
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QUARANTE-QUATRIÈME£'ANNÉS(NUMËRO
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Ï.ES MANUSCRITS NE SONT PA3 RENDUS
dans l'intimité on la traitait avec une. cer
LES ESCROQUERIESAU MARIAGE
taine'fà-mlliarité..
Cent-Kilos affirme bien, il est vrai Une des fiancéesanglaisesqueMmeCesbron et le- docteur Hebert, après -
La mystérieuse affaire, ou plutôt tout le roman compliqué Cesbron-Pesnel-Hebert, intrigue-l'opinion peut-être encore-plus "en Angleterre qu'en France. Une figure,, parmi les comparses, éveille surtout la curiosité de l'autre côté de la "
avoirrévincé. de commun accord, M. Sudre, avaient entamé une course folle à la main de la jeune fille -— et à çes millions, — qui se terminai par les-coups die revolver de B.ois-le-Roi ; mais, dans toute l'enquête, on voit là ieune fille, traitée en amie, en égale, en complice-même dans l'intimité ét, le Petit .Jourtial. Va dit. on suppose que Mary Smïth ! n'est peut-être bien qu'une Parisienne parlant, fort bien l'anglais'. " Il, n'en fut- paa. d'é; ' même.'poupmis^tâyrefice Northcliff-
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•Iiors de' ses',âppàr> _ tions- à Londreg. pen-
dant son séjour a Ver sailles, le trio l'entoui seulement d'un ra non luxe inouï,mais ce qui. a éveillé l'attentionj d'un profond respect. : On a pour éHe, àw si bi'éû: dans' l'iïititiiité qu'en publie,lès égards lies plus grands;'à Ver
.
la force de ses pôumonâ.:. , Hélas ion a compté sans la veulerie'et T l'indifférence du pi^blic. Il ne songe qu'à s'amuser, et se soucie assez peu du reste. Il a bien plus tendance à rire qu'à s'in digner, il* accepte tout. Qu'op y prenne garde, cela peut de venir, dangereux à la longue. De tout, on se sature aisément. De mauvaises ha bitudes sont bientôt prises; à force d'ê tre chatouillé d'abord, puis gratté à vif, l'épidernie perd de sa sensibilité, le calus se forme, et la pudeur qui est une ment : " -- vertu d'hygiène publique, peut s'atro Je n'en ai le pas courage... « — « phier et disparaître. Et même-temps elle -ietourna en son-.arme » , contre elle-même,' l'appuya à sa tempe et, Puis, une fois sur la pente où donc -d'une seule balle, se. fit sauter la cervelle. s'arrêtera-t-on ? >».Mon fils se précipita à-la fenêtre, appela à Il ne faut désespérer de rien: quand l'aide. On accourût, mais les médecins qu'on appela ne purent que constater la mort de la on aura épuisé les .paroles, il faudra en jeune femme, qui avait été foudroyée. venir aux gestes. Je crains qu'il ne soit; '» Mon fils n'a d'ailleurs, à aucun moment, été proche, le geste. Si cela continue nous! inquiété au sujet de ce drame, dont; il ne sau n'aurons bientôt rien à envier au théâ rait, vous le voyefc, être rendu-responsable d'aucune manière. Il était tout à l'heure ch^ tre chinois, où une pantomime bien ré La vie à Fontainebleau moi, en permission de vingt-quatre heures, et glée accompagne le dialogue avec une .18 septembre, le propriétaire d'une il repart ce soir pour Fontainebleau. » ; Le mise en scène exécutée en toute fran maison.de la rue du Château voyait arriver Et nous prenons congé dé M. de Lamar chise. chez lui la chanteuse et l'officier, quittait, zelle qui nous déclare que, tout cela est la-; • •_ . Beaucoup dé bons esprits se sont émus! en,civil.. Sous le neîn de M. et Mme Baho.l-; mentable, mais qu'il estime'avoir lait tout de la. situation, fet vdioi que, par un ef let — c'est ainsi que s'appellent les parents son devoir et avoir sauvegardé l'honneur de fet de réaction logique et inévitable, ceux d'Estèltp — ils louèrent ' un appartement son nom,. ' deux jeu . qui jadis ont demandé la suppression, meublé' o\'v ils s'installèrent^ Les beaucoup. semblaient s'aiïner gehs GARDÉ tÎH MAL EMPEREUR de la censure, en réclament aujourd'huiI !nes voisins leurs Il y a environ- deux semaines, la restauration, comme' un; remède au crurent remarquer cependant que'l'accord "WV'~ ^ mal, comme une protection du public .ne régnait plus entre eux. Il y eut des scè de correspondant): notre, (Dépêche, contre lui-même. nes, . dont quelques-unes furent violentes. Vienne, 2 Décembre. En attendant, le ;mal existe, on ne .C'était; toujours la femme qui les provo , , matin, "tandis que "François-Joseph Hier paraissait de caractè quait ami, qui saurait le nier. son ; • faisait sa promenade quotidienne dans les d'ordinaire, la très s'efforçait, de doux, Reste à savoir s'il est guérissable re î calmer. jardins du palais impérial, à Budapest, il S'il «st, -, abordé par, deux individus qui préten comme nous disent certains, 1 M. de Lamlarzelle, , on ; avait su, depuis, fut simple — accident momentané, mode fâ dans daient être des vétérans de "1848. : l'entourage le; du couple, était tel que cheuse qui passe et dont il ne faut ni! L'un d'eux présenta à la signature du du soi-disant M. Bahollet, — finit tout souverain nom un-ordre d'avoir à leur verser; s étonner, ni s'effrayer outre mesure ?, de même par être fatigué d'une compagne Ou, comme disent certains autres, s'il; avec'laquelle il ne pouvait vivre en paix. la somme de 1,200 couronnes. A ce moment, arrivèrent. A leur vue, les est l'effet particulierd'une tare générale,1 La rupture fut décidée. Un ami se chargea des domestiques deux individus piirent la fuite, mais,ils fu-, qui e.st le relâchement des mœurs ? d'avertir la jeune femme et lui apporta une 'rent 1 aussitôt arrêtés. Il fut prouvé que c'éLes mères dp famille gémissent et di , somme d'argent assez importante, pour taient des voleurs, âgés de trënte-deyx et , adoucir le chagrin pourrait lui causer sent que quarante-sept'ans, affublés de fausses bar-' : « Quel livre faut-il donner à lire à nos filles ? Et si nous voulons les di-' la nouvelle que l'officier avait résolu de la bes. quitter. vertir, à quel théâtre lès mener ? 1 On suppose quîils avaient. escaladé penEstelle ne voulut rien entendre. Elle pleu ,dant » •«» la nuit les -murs du. jardin et' qu'ils' Entre nous, il est difficile de leur ré ra, cria, menaça et son attitude parut si in Une des premières pièces conçues sous avaient attendu le passage du souverain. l'impression d'une liberté plus grande, pondre. quiétante négociateur de la rupture que, au a, été bouleversé par cette ren Félix OUQUESNEL. |. sur son conseil, on. avertit le chef de la sû L'empereur fut la Visite-de Noces, un acte très ori contre,'quilui a prouvé que la garde était reté auprès de Paris. M. Hamard dépêcha représenté d'Alexandre Dumas, ginal i bien mal faite autour 4e sa personne. la de chargé de' chanteuse agents 'ses PROPOSFACTPALITË un au Gymnase, en octobre 1871. " officieusement de faire entendre raison à L'auteur, déjà pris de sa manie de FALLIË RES fl U CHASSE ' H. la jeune femme. • n'avait nulle envie thèse démonstrative, , Non seulement Estelle de Cambourg ne la hardiesse Une des formes les plus curieuses du « sno voulût de chercher le succès dans : pas écouter-le policier, mais, pour - Le Président de la' République partira ce; bisme 'de la forme, mais se servait précisément » .d'aujourd'hui c'est cette espèce de', montrer qu'elle était résolue à ne pas quit de l'Est, par le train de; de cette hardiesse pour arriver à faire curiosité sympathique que l'opinion publique ter Fontainebleau, elle alla se faire enga-;' matin, de la garedix-sept du matin, pour se' pour tous ceux qui l'ont, émue pari ger par le directeur du concert Carnot. Cela neuf. heures,, tripmpher son axiome,, qui était, celui- professe Enicrainville, où il va chasser rendre à quelque,scandale... ces gens fussent-ils les pi-; dernier. lundi passait ci : « L'homme se croît jaloux par res se des amis -, il rentrera par le train qui gredins. ; • Le même soir, la- jeune artiste devait dé* chez amôur, alors que, tout au contraire, il Nous . à Paris à six heures trente-trois dut ',vraiment trop «. bon .puhlic »; . la scène arrive Elle-parut, à buter. .tour,, son sur est amoureux par jalousie... » Le moyen ,pour lessommes criminels et les. escrocs". .Volontiers, V ; l'établissement. Mais dans, la salle se soir.-, • employé pour, arriver à la déduction nous leur trouvons, plus, que de l'habileté,^ de, trouvaient de nombreux camarades de M. était, de conception scabreuse. presque du génie... Une ftmle d'honnêtes gens de Lamarzelle, gui étaient au courant de Le vol d'une voiture des postes Dumas en fut presque effrayé et s'en s'émerveillent en ce moment de toutes les; l'aventure et qui s'étaient promis d'empê par lesquelles la dame Pesnel cher Estelle de chanter..-Son entrée provo ouvrit à son ami Henri Lavoix, dont il combinaisons à. ' empilait » les gogos'... « Quelle ; femme l prenait souvent conseil,, parce qu'il avait s'écrient-ils, tumulte tel qu'elle dut à renoncer un et combien il est regrettable1 quafaire entendre.; s'enfuit Elle dans les confiance dans la finesse de son .juge-' qu'elle n'ait pas mis au service du bien ses se Les malfaiteurs n'ont pas trouvé les coulisses, la rage au cœur.' ment. Il lui lut sa pièce, puis, fixant extraordinaires facultés... »... fut résilié le lendemain chargements les plus importants rauditeur du regard interrogatif de ses Voyons... voyons !... Soyons. -moins enthou- v Son' engagement Mais quelque pressantes: qu'eus siastés... Les gens-sans scrupules,, ne l'ou mardi. yeux clairs (Dépêche de notre, correspondant) , sent'éfé démarches faites auprès d'elle. les t blions, réussissent .Eh bien fit-il. généralement ? pas,' ne j que Estelle ne voulut pas quitter Fontaine Décembre. 2 Toulpuse, : ; —•r ; ; . . la trop grande confiance d'autrui, . et c'est par raide répliqua Lavoix C'est ! reDe nouveau on lui envoyà-des am — — Je vous ai signalé, hier, .le vol de cette moins souvent à- leur propre habileté bleau." Ïroduisant la conclusion .d'une pièce de bien' finit bassadeurs. Elle promettre de par voiture des postes que des inconnus, ont fait par qu'à l'ingénuité de- leurs , dupes que les co rèles Idées de Mme Aubray, tir et, de fait, jeudi, à cinq heures dix, elle disparaître, vers neuf heures du soir, pen mmas, quins doivent leur succès. quelques années présentée auparavant— Admirons donc un peu moins les escrocs,' se .rendait à la gare, accompagnée de deux dant que son conducteur achevait de là raide I ' ' mais tenons-nous un peu mieux en garde messieurs, faisait enregistrer ses bagages charger devàntle bureau.de la rue Bayard.< c'est diablement A mirtuit, les agents cyclistes ont décou pour Melun et montait dans', le train. ' contre eux. - — Àlors ? . / heures plus tard, elle, Quatre revenait à vert la voiture 'et le cheval dans;un dépôt En vérité,- cette' curiosité malsaine qu'ils - — Oui, mais ça n'est que ràide ! de matériaux de la. rue des Chalets.. réplique Dumas, dans inspirent se traduit quelquefois de façon peu Fontainebleau. — Mon cher, ville fut signalé; Les'sacs de dépêches, déposés dans une pour l'opinion publique... Que la - Son,passage dans notre quarante ans d'ici, au train dont vont les honorable l'emploi soirée. reconstituer de remise,, avaient été éventrés et dépouillés à sa .arrête Cesbron et nous le ramène de On' a pu choses, ça sera naïf... on rira de mon police ; ' main, flanqué de ses deux jeunes Anglaises, Mais, à deux heures du matin, on perdait la lueur d'une bougie.' innocence. emparés bil-j sont des apprenait le drame Les malfaiteurs se vous verrez >qu'on lui fera une entrée sensa sa trace et, à l'aube, on ei Il peut... Je dis la triste héroïne venait d'être dont elle lets -de banque et des bijoux qui se trou-j se ne pas non..; ce tionnelle... Rappelez-vous le retour de Gallay, — pendant, aujourd'hui ? ; l'escroc du Comptoir. d'Escompte... Ne s'est-il où, prétend-on, le jeune officier fut légère vaient parmi les envois. attentif ' valeurs permis des blessé. Aujourd'hui, ment' Un les femmes des a écouteront trouvé l'applaudir examen' ' ' gens pas pour : >— au pas , l'Ecole d'établir que le chiffre des chargements vo le commandant de Il paraît ?... derrière pièce; cachées leur sage éven -» ma évidemment lés n'est que de 15 ou 20,000 francs. En Allemagne, on fait mieux encore. Depuis d'application ne s'en doutait > tail... elles regarderont entre les bran éclairés difficile faiblement qu'il à malfaiteurs, n'est très Les par Voigt, le faux .capitaine de Kœpenick,'est pas — une per pas ches. Plus tard, elles regarderont par que grod dans les étrangère d'entrer nuit n'ont trouver la 1-en bougie, il de jour qu'il en,prison, que su ne' sonne une ne se. passe pas dessus l'éventail... Ensuite, si elles ap reçoive dès cadeaux fenvûis des banques; et se sont contentés de rétablissement. Il existe ceinte de qui lui parviennent de une cer portent l'éventail, ça sera . seulement tous les; points de l'empire : caisses de vins taine petite grille, du côté de la place d'Ar quelques billets et des hijoux;contenus dans , enfin, s'éventer... elles amèneront i Î)our fins et de spiritueux, victuailles, friandises, mes, qu'on peut franchir sans grande dif les boîtes. èurs filles V Parmi lés témoins entendus trouve ficulté, du moins m'a affirmé c'est biscuits, cigares, et cigarettes. et, gâteaux ' se un ce que L'administration de la prison qui, suivant-Ie tout à l'heure quelqu'un qui avoue avoir cocher qui a déclaré avoir coriduit chez un Il est certain que, de nos jours', la Vi site de Noces, qui jàdis fit presque règlement, ne doit transmettre anx prison déjà pris ce chemin, et qui faisait même en maréchal un individu blond ; celui-ci avait compagnie d'un chien ces visites clandes fait tordre une barre de fer qui avait servi Bcandale, n'est plus qu'une pièce très niers que les deux "tièrs des,objets qui lui par tines. <ià fermer la porte du bureau de poste de la viennent ne sait que faire du reste.'Elle se « quelconque », rien de plus.. borne à mettre à la disposition de Voigt les ' rue Bayard. : Nous avons fait bien du chemin de victuailles avec .lesquelles: l'escroc fantaisis correspondances des et classement Le DE LAMARZELLE PERE chargements . puis 1871, et le théâtre a été. envahi par te se compose des menus extraordinaires. Ja CHEZ laissés par lés vol'eurs a duré la pornographie. Aujourd'hui, elle sévit mais. le pseudo-capitaine n'avait connu pa toute ]a journée et n'est pas achevé à six à heu* Quand présentons; sept relâche et pitié. bombances;C'est reilles heures. 1 là; et nous nous sans ~ sans . hier, 66 ont Sur 125 chargements expédiés aussi dans les livres, qu'elle s'étale le Bien mieux, des admirateurs anonymes lui res" du soir, 254, boulevard Saint-Germain, plus' à Taise. La raison. de cet envahis envoient de l'argent. Il a reçu des mandats chez M. tle Lamarzelle, père du jeune offi été retrouvés intacts et ce sont les plus im cier, Mme de Lamarzelle ignore encore le portants. le montant dépasse 1,000 francs.. sement,,' est assez facile à concevoir : dont . . cela <n'est-il franchement, tout drainé bien, de Fontainebleau. Aussi est-ce à Eh été brisées ; Toutes les boites, à bijoux.ont pas depuis, une, centaine d'années, on à. fa profondément immoral et tout cet et tou cabinet travail, dans de, voix basse 9,000 francs fait de or joaillier l'envoi avait ; son que un briqué pas. mal de ipilliers de .pièces, si tes seraient-ils choses ne pas voisin de la pièce où se tient sa femme, le de pierreries. ces bonnes bien que lé moule est un peu usé. Il-.n'y mieux . employés à, récompenser les pauvres sénateur du Morbihan veut bien nous donPendant toute la journée, les expéditeurs leur situdtiôns . :guère 4è* qui'ne soient géns habileté mettent qu'à deve de qui ne a ner quelques détails'sur la fin tragique de sont venus signaler ou réclamer leurs expé misère à dissimuler leur T honnêtes* et avachies J>anales, ètforce d'avoir à meurer la chanteuse. ditions. à la police qui, opère les recherches nues . pervi. Bref/ les jsujets manquent,. Or, la i Jean Lecoq. ' «•— Estelle Bahollet — ter était, dit-il, le le$ plus actives. ,
Toulouse
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LUNDI 3- DÉCEMBRE 1906
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suite cette femme avait pris* un; empire ex traordinaire sur ce garçon, à "qui ses • chefs s'accordent à reconnaître cependant une éner gie peu commune. : . Quand il la rencontra, elle venait de pur. » condamnation ger une pour tentative de meurtreisur un. jeune homme qui avait rompu avec elle. Son casier judiciaire,'assez chargé, porte notamment une condamnation pour vol. » ,Vous pensez.bien que je fis le possible . pour amener mon fils à cesser de:fréquenter une telle femme, d'autant plus qu'il avait per du la tête au point de songer à épouser cette malheureuse. ; • » Il y .a .trois semaines, je me rendis à Fon tainebleau avec mon fils ainé. Nous trouvâmesEstelle Bahollet chez le jeune officier.' Une scène terrible éclata. -Et nous..dûmes nous re tirer sans avoir pu réussir; à. amener une rup ture. '-i ; ..... : «.Mais dès le.lendemain, mon fils se ressai sît et-déclara à la chanteuse que tout était fini entre eux. Je fis remettre à fa chanteuse une somme dé 6,000 francs — dont j'ai, dans mon ^secrétaire; un reçu1 en bonne et due. for me. — Cela fait 8,000 francs, soit dit entre pa renthèses,.que, je lui ai versés, car je lui avais fait tenir, a Castres, , une somme de 2,000 francs-l alors qu'une première fois elle avait simulé'une rupture. ............ . » Mais "cette'fois-ci tout semblait fini. J'avais bien appris qu'Estelle Bahollet avait; proféré des menaces, mais, sur l'assurance que personne. ,n,e pouvait pénétrer d^ns l'école. d'appli cation, j'avais banni toute crainte. » Or, l'autre soir, mon' fils» était couché, quand son ancienne amie entra brusquement dans sa chambre. Comment avait-elle pu ar river jusque là ï Je l'ignore. Toujours est-il qu'elle se dressa devant lui, tenant à la main un revolver.qu'elle avait acheté — je l'ai su plu& tard à Melun, tout récemment. Veux-tu, lui dit-elle, renouer avec, moi ? * — , Noh. • ' » .' , . . » — Alors, je vais te tuer... » < » Et elle le mit en joue. ; j . bron . « — Tue-moi,'si tu veux », fit-il sans cher et en la regardant fixement.; » Elle hésita une minute, tenant toujours son arme fcraquée sur lui. Puis soudain, simple .
fraoïs MOIS.
6 m....-.....' 12 PR, : teix 1
vrai- nom de la jeune femme eût été upe personne'insignifiante si la nature ne l'eût' doué.e <ie deux yeux admirables. ' 1 » Elle avait fait connaissance , de mon! fils,' il y & quelques mois, à Castres, où il accom plissait une année d'instruction. Et tout de
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Abonnements i Taurin»
sailles, on ne la loge pas clans la. chambfe d'amie, mais dàn^' la chambré dé lafTl'einequi a été achetée poûr elle. A Lopdres.le doc teur, â .Versajllés Jus tine et Cesbroii sont à' ses 1 oxdrës; lui' ttlSêis-
sent - -reâpectueusew
ment.' Ses désiré ;iibi|t des ordres.Oe h1est-pas une ; amie : : il HséBÎÎil^ qu'elle sôit" là maïtresT
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Lawrence? NorthcIIff
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^isà' ^o^fliGliff
pheline; proie . facile entre-, leurs i : : . mains, qu'ils cherchaient à duper en fai sant - miroiter -à ses ; yeux l'espoir d'entrer dans une noble famille d'Europe. : Lawrence Northcliff ne gérait r. Le 1nom-de qu'un pseudonyme imposé par la jeûne fille elle-mime,- -qui^ l'eût .dévoilé.,au. .fiancé^ de tombée
Manche et même aux Etats:Unis ; c'est celle dè miss Lawrëiice'Northcliff. : Cette .jolie .jeune fille dont notre corres pondant die Londres nous a adressé hier la photographie, n'est-ellç pas plutôt une Victime qu'une complice-*? • - rêves. :Jrlais Justine pesnel a resprît si Si le tno entoura à Londres et à Versail-: ses les Mary Smith du luxe nécessaire pour inventif- qu'on ,ne sait,jamajk.ay'ec' elle si jeter là;'poudre aux yeux des prétendants; .elle-n'imagine pas un nouveàu roman.
DANS LE SUD-QRANAIS
l.Goutant, sénateur,
reconnaissance Récit d 'une broyé été express par un a Goûtant, sénateur des Ardennes; •s'étant endormi dans spn wa^on, saute sur la- voie au sortir de-la §are .de . Sedan j et" tombe sogs l'express par.lequel il est écrasé.
M.
.
(.Déjajêche
de nçtre correspondant)
Sedan. 2 Décembre.. M. Châxlès Goûtant, sénateur des Arden. nés,, qui .avait quitté,Paris-ce matin, vers huit heures, arrivait ce ^ après-midi,à-Sedan -rendant par le train express de midi 18, seobsèques à Frenois, où il-allait assister, aux ' du père du dépulé Lassalle. compartiment, S'étant endormi dàns son il ne se réveilla qu'après le départ du train, filant vers Carignan. On était alors à quelques-mètres à peine de. la-gare. Il ouvrit précipitamment la portière, jeta sa valise dèvant lui et sauta a terre. 'Mais il fut entraîné par la vitesse et lan cé sous les roues du convoi ; les wagons lui passèrent sur/ le corps et il fut littéra lement broyé. : Son cadavre, relevé aussitôt,' fut trans porté dans le.bureau du chef de gare où le commissaire de surveillance procéda aux premières' constatations et avisa le par quet. • • M. Charles Goûtant, qui était né à Liart le '1 er octobre 1847, était d'une très grande taille., Architeote , et propriétaire,, il,.repré le canton d'Attigny 'au sentait,. depuis 1892, conseil général et,avait été élu sénateur, des Ardennes le 17 juillet 1898,'en remplacement •'
de M. Linard.
:
'
Au domicile de M. Goûtant,
20, boulevard de Montparnasse; à Paris C'est par le commandant militaire du, Palais du 'Luxembourg que Mme Goûtant a appris, hier soir, à cinq heures, qu'Un acci dent était arrivé à son mari ; mais'on lui cacha momentanément la vérité en lui dl-i sant que M. Goûtant n'était que blessé. Mme Goûtant; accompagnée de sa fille
Y
cadette; s'est rendue immédiatement à la gare de l'Est et a pris le premier train pour Sedan. Quelques instants après son départ, le chef de gare de Paris-Est se-présentait, dè son côté, 20, boulevard de' Montparnas se, pour informer Mme Goûtant dû mal heur, qui venait de la -frapper. • '=' ; Outre Mlle Goûtant,- qui a accompagné sa mère à Sedan, le sénateur avait une autre fille; qiii est mariée et se trouve actuelle ment à Arcachon. • —i -."V, " ' !— •
Nouvelles so rties du a Patrie
.
" Le dirigeable Patrie continue sans inter
, ruption'"ses ascensions libres, sous laconduite des-officiers, de rétablissement de
"' Ghalais: Meudon. ; matin, dimanche, -deux • nouvelles Hier , sorties ont. eu lieu soûs' le commandement du; capitaine'Voyeret du lieutenant Bois. ; "On"a procédé,' de là nacelle et de.terre,! •à. des.manoeuvres combinées- au .sujet des quelles on' p'e , fournit. aucun ' renseigne ments, .'étapt donné leur, caractère exclusi-.
v'emént militajfie.
marocain :"vj en territoire PAROHSOLDÂTDE LA LÉGION Compagnie, du 2e Régiment Étranger
La
. gravit,le-DjeherEs Soffar
,•
El Serdj-
^
et. atteint
repaire habituel .des pillards
marocains.-. •-
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'r
compagnie montée du, S8 régi ment étranger vient d'opérer la recon naissance en territoire marocain. -Nous •avons pu obtenir d'un légionnaire y ayant pris part les renseignements-«'ui* vants qui nous ' paraissent devoir inté "' ': resser nos lectèurs. Nous laissons la parole à l'iiiterviewé — « Nous partons de Forthàssa-GKafblà, La
3°
poste situé sur la frontière marocaine,; le . mercredi 21 novembre, à cinq ; heures et demie du matin par un temps admirable. La colonne, placée sous le comrpandemerït du capitaine >Nussbaùm,- ït composée dea lieutenants Barônnier,.De Corta, Lehagre, Junot, Baugé (chargé des affaires indigè nes). de l'officier interprète Baudln, du-mé decin aideTm^j or..Lahousse, du sergent-pmjor Morel,- de quatre sous-officiels, de neuf caporaux, de 191 hommes et de 98 mulets^ escortée par; 20; maghzens - longe,- d'abord l'Oum el Araar. "plaine ravineuse et sablon neuse. «avec,-jpour toute végétation, d'ëno,r'mes touffes d'alfa formant buttes que les mulets sont obligés de'contourner. '." Nous franchissons l'oued El Gouachich à sec pour le moment; mais qui, dans la sai son pluvieuse, doit être torrentiel à;en ju ger par les blocs formidables qui jonchent / son lit desséché. . ; -Nous gravissons ensuite, à la file indien ne, le. Djebel Gouachich et redescendons dans la vallée.'pour, nous; arrêter et .cam per à Ed Déchira, au bord d'.une cuvette '' "' d'eau stagnante. Les quatre s'ectioiis de la'compagnie for ment Je. bivouac en carré„.le^ mulets .au f centre, et les maghzens èont, détachés'en lès sentinelles sur mamelons environnants. Le froid est, très vif et nous allumons des monceaux d'alfa pour- réchauffer/nos mem bres .transis. Peu à peu les feux diminuent d'intensité et lorsque" la nuit tombe,, le si,lençe le. plus .absolu règne sur^îe camp, troublé seulement; par instants; par le gla pissement dès ! chacals. '
la
deuxième étape
La nuit se passe sans incident et la.cq, lonne reprend sa marche au point du jour. -Après avoir traversé un terrain meuble, nous commençons à gravir le Djebel Er Fekaïz. Le paysage est toujours aussi mo notone. 'Cette teinte vert sale de l'alfa, mê lée à l'ocre du. sable donne une impres sion de tristesse intraduisible. Mfes' ç'amà:rades;habituellementsi gais semblent mor nes. La colonne avance péniblement à' tra versée terrain rocailleux. Les .mulets glissenL et.trébuchent sur -les galets arrondis. Nous pénétrons dans un sentie? 4prtyéuj(
fiïMBï 3 15ECESÎBRB 1908 NOUVELLES DIVERSES
Le Petit: Journal
•tableau musical d'une -attrayante..variété Palmes académiques i MMU. Lapinot, vice- ; un AssociationsBtCorgsratioas président de côuleuf et de mouvement, que l'orchestre de la Société ; Edmond, trésoriercoude, apparaît à nos yeux émerveillés un joué avjBC infiniment de verve et de force" adjoint ; Defricourt, chef de musique. # deux ravissant. rangées Entre paysage "Médailles 4e te Société d'encouragement au expressive- Est-ce bien, à prepr«&6nt par ' PARIS d'immenses falaises à pic, une palmeraie ler, une Symphonie ? bien : M m Dupont, Thierry, Barasthier. • . vient de*surgir, comme par enchantement. Médailles de la Société : MM. Ch. Robichon, La Haltç divine, de M. Tpémisot, po.us fait RÉUNIONS ET FÊTES anlmâux ta Société protectrice des Noua apercevons un peu plus lois te ks&r Mme héros' v^rs les donné Emile Pommereau. Lisolî,; Hubert et d'un l'ascension i§ter : ^<s§ . novembre der suite pendant le ipois de marooaia, d'Ich.'Les « guittounes » construi i |?eut <où âme hauteur^ brillants reposer, cette terminé se nier son Un bal des plus 127 affaires ; 21-procès-verbauxont èU a a tes atéc i,uné espèce de terre jàunâtre déljc^teg, mélodies de Tr4î»igot, ciseleur M. dressa^ pour contravention à la loi Gram ÏTÏÏrionflesioiïfeiirs de Eraassa fête amicale très réussie. A propos dé ! snquêtp du Docteur SoîCbl$e et sans aucune-symétrie, semblant tomber foig/jilu's "'~ grgTKjilo.v 7 pei^t-étfe peut-être été, cette mont jet 80 propriétaires sur 106. avisés on' " a karéçliatq: francs successifs, ruinés âe les étages et lies Ferrants répondu que „ jtrçp sur 'd jngpj^é qu'ils punissaient ou renvoyaient le& _ et en L'Union des dé France donné, quept quie véritablement Ses conségueuces liumàaitaires. charretiers forment ces habitations primitives juchées liier spïr, danscoiffeurs dont les brutalités leur étaient si théâtral tel sujet. Salles dés Fêtes les Grandes pwr un Sailït-Elôi, lettre la chambrer gnalées." l'occasion dç A la ffitéressante ; les unes sur les autres, grouille «ne nuée dn Petit Smurnnl, v ' fine hPain Dambly. bal, précédé syndicale grand . un ferrants maréchaux effarés la curio des dê patrons l'Aca «'Moutchatchous A séance annuelle de la publique que » —- des sciences •d'un concours de coiffures, où le ministre, ®e France donné, samedi soir, démie restau morales et politiques, .sa M,. sité retient pourtant. -au a. flyi représenter';par M». suixaate du lettre s'était fait la DES CHRONIQUE commerce Nous la (Lire 5' medi recevons pré prochain, prendront annuelle, B'onvalet, la parole : M. Ge ' cultivés la s'é rant en page ïous sa" fêté, Des' jardins admirablement Journal de JRené Dhonjmée, .adjoint Petit chef le cal'article a son complète que SAPEVP.S-POMPimSt ) sidence de M. Vassillière, directeur cle l'a tendent suï 'tihâqû'é '"bord de rotied atr sor cinet. l -vendredi publié .... • l'agriculture. : dégringolent., griculture tir de ce défilé. ,-Nos .mulets au ministère de 3e grajid prîx international, A.u concours nfi/sentier Monsieur le .Directeur, ima Le descendent mmiste1? du Travail et de la Prévoyan-. plutôt qu'ils ne , du; d'honneur, ministre, .le effert-' i ~ sociale 'par.. <LuÀ "—- le» obsèques de M. Ohârlès'ileantaud* ' s'était fait représenter par M. la suite de son enquête apprçfçmdie ginaire et le-bivouac est formé à quelques Commerce, (i été-a-tMb-ué à M. NieUdént ; le: ce dont sefonr™ b'iër, annoncé la mort nous avons cien Coudor, et le ministre de la guerre^ par ' sur le Dexmothér^pisme, per-mettez-truDi.de centaines de'mètfesduksar. célébrées ce matin, à dix heures, ep l'église -Colo 2.rapp,;dé d'honneur prix à Otto M. ^ui Boubise, vétérinaire-major' P-rèv'ot. table' 'L. la A D a iiominage •le repdre r A peine sommes-nous campés _qu'une mul-, Saint-Thilippe du Roule. • au , gne ; le 1er prix î M. Fugazza ; le ^^pTix à* d'honneur se ti-ouvaiemî également MM. Fé- bien "voulu exposer si magistralement les ( titude dfe 'MaïO'Caifis vièntrent : tiotis tffirir' <M. —— Le groupe des Chambres syndicales du iui ^ous Augé, Ftiurnier, métiMide.. fteioçois Chautemps, lit notre c •principes -de -batiHifint des pomïhë's'ftfe tërtè, tlss -oignons, actes »av "LeWilliamJ^eadhetter. GYMNASTIQUE , et des industries diverse»,. rua d« ... . . du gé Régnier, rféputés Senet et peillon, prési grand d'honneur concours qu'il prix sanction naturel a des .grenades, et, l'élogieuse Lu-tèce, iïgneS; srré de procédera à la remisé dê médailles" a vets, des vons du ministr# néral, Éçalgmept le offert pur là déconcertantes. "dat'tfeà tfeâ fses de chaimbre syndicale. ouy«er§ méritants, lç dimanche 16 décem tptît itrès mini donnée à nos cures si lement, des a PARIS,. — Dans'le buffle continuer à répan r, 'a '^të attribué "à M. FSrêdéric dent .^.r, la bre, désesà -1 h. "i/S, dans ; le grand -amphithéâtre de commerce, d'innombrables Àprès'les à Vassillière pouvoir les M. q-ùle^i toasts, effet, 4es moyens -çn son dre tous ramas C'çst ' par mes. ' . 3 prix, l 2 et 1% Socbonne, sous la présidence du ministre e ; le prix d'honneur,les or, 8 ,. . , gyngiastiquç utilitaire, il vient jdii •feChètSM quelques'përdre&aix Ernst fll'Qix de çhievàlierdu Mérite agricole à MM. péréà tmtobtenu ia*g-uérisoB effectiiSÊjd. du -principes de Nos-cïfMetfc ïnêmé & donnés dans été ont §ççié}fi commerce. Le soir, à'-7 heures, il y auiar . de# Sportç popu-, Ce appli .de âge pQiiStituçrcpncours, vivants à -raïfeoîi «de 0 fir, 15 pièce. i Digaad, Juillard, Molas et -Cotfft, jmaître rable de leurs maux, par la «impie gr?ifd banquet à l'Rôte|-Cqntinenta,U MM. Tejner, Gilles, Goumeix et Brequigny ; maréchal à la Garde républicaine. ' deruaothérapiques. \ lÇlÎT6$ 1' • -1 Le service de vigilance «6t Sferes rijg'ouweax le des cation moyens eoiiime suit i MM. t : L'Association amicale, des postes et ïîh «concoursdes salûïmiers'-a •été Au nom -de la Société protectrice des arii- Chez ceux-ci, les douleurs ont disparu Le comité est éomposë à cause de l'a -proximité d'à fcsar ; >interdie- M.'lauréat président ,Coube)ntjn, le iharon Pierce (te Fondelius. ; Jean . légraphea célébrera le vingtième annlversay» 'Société d'embléechez'd'^utjes, ie bop. fonctio/n»e- tBÀche • médaille d'argent la de matot, - . tion formelle est îaite «e nocs séparer de .Aiprès .les discours une de sa fondation, dimanche prochain, par un président, JVL Sal -du egt ré dévitalisés èt -hrigadier été Digand à Mme floit; remise *quëUftïe moment à Jeurs que ce présjj notre aTme mfenit de ©tgjines » grand banquet au restaurant plu-palais d'Pf> a.u . a s âu ,vioe-prèsidènt, M. GuLra-ud. aux maréchal ferrant .Maître,' de Versailles ; tabli dès l'entrée en traitement ; beaucoup, rier ; elle do'it re$te!r 'attafchéfe ati poignet par ia les quels ù^./Dhoaii&ée a répondu, laoiréats çt une médaille de bronze .au maréchal des rétrocéder Vienne, Bonnamaux.Christipann,.de là Vaiilx, bretelle, nombreux, ont vu ils sont La Lice chansonnière donnera demain car t darisë invitést>nt jûsqtfàu jour.: jauponcliel, Çlierçfl, Cb, gi- soir" mardi, logis Marchand, du 25e dragons^ et au bri d'une manière progressive, continue et le eommendant t'ïvUsite -â'tin «sud à ( h, l/iî, pne gran^é soirée-go^ Fringnçf, Puq,ux, Callo, pemepy. -phénomènes mon, tir neiwens gadier maréchal Piqueux, de l'Eeole de 'ri T r*rtet' ?% <-io++Q cnW6a bientôt 'définitive,-les 'Poilpot, Petit, Gé Jo,urdain, Moreau-Vauthier, Le «aïd marocain d'Ich Tient rendre vi leur,.,vie, ' de Poïtjers. pathologiques,: gui .{aisaien-t -dp rard, -Truffier, Guimet, Forestier, membres. : site aux offieierset les remercier probable banquet jtrêp Le été d'un càlvâirei bal suivi pénible a Ont été «ojtnmés délégués pp^r if§ jégion% un L'Association nationale de secours aux animé. ment de l'aubaine inespérée dont vqpt profi î)lessës lymineu^ esp.osé . f"* iPou* compléter son départeineniales : MM- Eugène Qqur4^n, —r- Le Syndicat général des hôteliers et res • militaires et civils, lex Ambulances .. taurateurs .crois Paris organise pop? les ï-et 8 flé- " je ter tes indigènes, de la région. 'La convia1- : françaises, malades, capitale Deloire, René Lacpur, Georges PoJ- eembre, de-aopgrès.national renseigner,.,utilenj,en.t les fête L'Arsenal donné, samedi soir, ' heure. Quel est tonne sa ' a et international» saticfïi dure une un en !le « Tternaothé- teehçr, Çévéette, le comte de Bértier et Hapry. i déclarer devoir queencore ^ M. la annuelle, àl'Hôtel-Moderne. Henri Blanqui Jeï'ignore. tiendra çalle' s ' dang de là, Société de Toujours est-il que se "• le sujet.?....* • laojle, si TIR -applicatjon . „ «d'une ' est rapisme militaires La .Société fépgrapjiie, des Anciens amicale Ba-int-Germaip.Un » 181 boulevard le lendemain, .à 5 h. 'l/2(, mous partons es cheville, représentant le ministre du Tra des du traite lès étapes suivre de qu'il permet vendredi^ à 1 h. 1/?, ^ anquet lieu d'ouvriers d'artillerie l'Ar compagnies aura présidait. assisté de MM. Nor Il était cortés par deux (guides marocains et 'traver vail, PARIS. Au $t$.nd dV |Çer<?le.4ptifcti<2Ue pt l'Hôtel Modarnei le de lé personne, soi, chez secours ment — sans senal onziè • a célébré, samedi soir, pour la littéraire ont été disputées quelques poules au cabinet du préfet de la sons la négipn montagneuse du Djebel Es mand, «attaché affaires.. vàquanit -à tout médicaf » or- ses Société Concoure fois annuel Le depuis fondation, fête en a « Sofia*. Après deux heures de mardhe, nous Seine •, Isnard, délégué du préfet de police ; me l'occasion sa Sainte sa au pistolet, au commandement. .utile, rapiaire en aussi çommènçement gani^î œuvre crois -le l'apnée pro> Je de pçur à Barbe. de la cjta§s.emwîa EUes pat 4.owé ,-JÀeu arrivons au -pied d'une anontagne abrupte ÏJiesmar, présidentde l'Association; les doc le Cette "Dermothérade tous-léa chj,ine, du professionnel théorie cpngrès la; up « Vpi4i .: ' " " fête, qui a été particulièrementbril peîlant que • ' ' et, à ila file indienne, -oommence l'ascension. teurs Gandois, Serin et Dufour, vice-pré maladiesde niedecins i français , où sera demandée l'abroga pisme -» s'applique surtout aux 1™ poule : MM. 1. Babel ; -2. 'Moitessipr.' ' J1 est impossible de se ifaire une idée des sidents ; Gasse, administrateur général ; lante, a coœmejicépar un banquet gui -p.tété tion décret du du 25 juillet et où sera élaborés neurasthénié sous .toutes : Ê" poule : MM. 1. Bourgef •; g. Moite^ier, la à ' l'estomac, serv^ àù ÇliVaintier, de restaurant tré général Bougeux, Elancard, secrétaire prç-tiqy^ doiavenue ftes étude? médicales. uneréfprnje prodiges d'équilibre «t d'adresse que ; poule : MM. 1., Muitesgier ; 2, ipuclos, états névropathiques-si di» formes, aux chy, dont était déco la isalle ta^tistemeat ses . gêniral, sorier etc. ûfi rochers. têtes pour-gravir faire vent sténographie (système Pré^ ces 'débilité en général, au rhuma nos çfliirç B.OIS8Y-SAlyT-Lfi OEB. — Le premier prix •rrrrr -à la de drapeaux rée trophées de weuL de cartou ont et Champagne, d'excellents discoure Au Ta?cas mulets glissent;'# Toulent dans .des de Boissy-Saint-Leger vost-Delaunay), prqïéssé par Mme Chardongoutte,, $.ux alïecyons du .cœur, g. la Série du concours à la tisme, villes ches lesquels étaient inscrites les suivi de MM. pet, professeur dç sténographie à la Ville de été prononcés Thesmar et Blam.parvient,à.les MM. Munier, nulle-efforts, sur M. trous. Après par par on à certains a été remporté même, et .etc.foiç, doi Tein, du où situées les dix compâgiiies sont d'ou iGiraWo.u, UowEiey, jÇam.- Pp-ris, s'ouvrira jeudj prochain, & 2 heures retirer de leur fâcheuse position et nous cheville. Le président de l'Association a re- vriers définis et -te Doisein. •Ça.unuie:^, Font&ùie, dans cet ordre. bien parésie. de nerveuse de -l'après-midi, avx §99iflt&s §|vsp'te?, g.§, m' d'artillerie; les arsenaux de Vincen- •cas bray, -A. -Thymus .et restons stupéfaits en les voyant absolument Triis' tout d'abord à M. Blancheville une mé ' incurables. .rebelles halle ; poilr est revenu ou " JLe premier pri^; à la belle ^. indemnes.; Seules, la-caisse de médicaments daille de la Société, puis le délégué du mi- nes,-Toulouse., Versailles, Besançon), Douai, nus spécialistes praticiens no3' devant -classant MM. Taà Hubert, L. D'ailleurs, M. se Bourges, Clermoat-Ferrand Rennes, Lyon, souffert car ,1a..forte codeur pharmaceu •nistre du Travail ,a remis les distinctions et Vernon. a fibeyreau, donnent sur le cas ,de ' chacun, les ren- nier, aPetit, Cha.rbORPier/Iirwsê&nt, DéRAKTEMÇMTÇ s'-en dégage prouve que le choc .suivantes : ". tique «qui .Kaguejt bénéficier afin de jet Bxumvï n&essaû'es, . . «eignements Audouard, Le grand âge du .capitaine . j.1 p. ^té çbjtgpu p&y causé des dégâts dansies fioles du major Médaille de la mutualité : M. Pouillot. aLahousso.. prompte, sûre et efficace^ Quant au prix d'honneur, -manièred\mie Société, président lui ,d'honneur grgiui'djQ Alexandre et |a grand» ïa de ne M. Fontaine. ^rrr ie Xénia méthode. Mention honorable ile la mutualité ; M- avait /. notre inespérés de -bienfaits -des . duohegje il ' CGUR'i'RY- — Le concours organisé par la qpi n'étaient venus il Biamt* Après, .avoir- franchi péniblement Te jnas- •Migard. ,p,?is permis de présider cette fêté ; les jours, effet, tous à cet . reçoivent, fes île . »é r que pour deux mois, sont déçidés à pjîQlçnKiÇï Compagnie d'srç de Çourtry p. #nné sif rocailleuxdu .pjebel Es Soffar, nous en Médailles de la Société Wencouragementau était représenté p.ar les deux v-ioe-présidents dix heures de personnelle, consultation leur séjour jusque la fin de l'hiyer,. ' jBonxiel, Mpntferde MM-1, suivants Siiltats ; trons dans .une iorpt -de chênes-verts et de tien : MM. Antoine -Dufour, vice-président, d'honneur, le chef d'escadron Déeugis et ie -ea siège à heures, cinq de Varenne-Saint-Hil^ltrois .au la -de Pellerin, et mei.1 ; 2La foire ^'hlver de Lonsiumeai^ esî genévriers et la marche de la colonne de instituteur à ÏPuteaux ; M. Delouig, trésorier, capitaine Serant Ils avaient à leurs côtés, à midi Pans. Dermothérapique de Saint-Maur 4. de Bonnel, cle Lapiche, flîfée -3. l'Académie ; no 4écgmbre j a.ucpn dri)it !.. 23 re'; de e pu au .. ^injijpçhe<^ à Puteaux. à la table d'honneur MM- Charles, prési vient de plu^ .en plus difficile, -car les troncs architecte, ftagny, Guicbart, de etç, nouvelle et Montfermeil ; 5. yiHp ne fera perçu Prix du Président de Ia République t M. der^ de la .Société ; Klaeger, vice-président ; . Et pour terminer, si cette VlïtfJSMQMMLE. Vç.içi résultp,t& de -bols mort qui jonchent le .sol entravent Thesmar. les du et jour fait s\est rdu monument élevé par Martin, trésorier, et Quillày, secrétaire. M.) -souveraine thérapeutique . nrr- L'inaugurqtiop d'Arc fle ytlje- souscription Compagnie complètement la route. la que par moments concours l.a grâce de- Mgr Usse, plus la tombe ministre de la M. Gasse. voix Prix du de'plus a. sur en était disputer propage parvenons!enfin ;à une clairière où Prix du sous-secrétaireguerre MM. 1. Logè- lieu jeudi prochain, faire Mercier, président d!e Chéchia, éga jse de 1» vient -Npus mojmble : dire bien beaux-art^ M. des W ïPfttù?, au 9 19 h., ; %. v.Deiavense. de viatde la .grande presse, je tiens à Villemomble. lement présent. de ; Tot. -visibles les traces -d'un .campe le docteur Serin. péfépionie, f/Vrdenpes}); sont,encore Chespoi^ à cette on ceux qui souffrent, rennes ; -3. Çheyr.ier, de Vinçenrjeg ; Grisot, pronoiiqera }'yraison funèbre dans l'intérêt fleDermothérapisme ment: Nous découvrons 'un puits.. Pria: du préfet de la Seine : M. H. Lescompte. • De nombreuxdiscours ont été prononcés,; haut,l'application prélat, du an<îu « », de Paris ; .5, Raguet, dç Bppdy ; Ç, Roussel, CjeP vl'çàire apostolique de la Birmania..' Prix du conseil municipal : M. Gasse. féliciter les membres de l'Arsenal de aue pour puissants Un nid de pillards ; et ses de Rçsny-Sous-fioiï ? 7. €.deMôntel, de. VilleDiplômes de la lAgus française de l'Ensei î'wffliojEi et de l'amitié qui n'ont jamais cessé l'exposé- de sa pratiquedéveloppés Qall, -—Les RuiSf époux Le cuitivateurs ii Pantin' :père, 9. tout au, mbmble •; 8. Bâillon ; C'est É1 Serûjj Téfuge (habituel des pil gnement : MM. Migard, Boucher, Boyard, d'exister. Un bal très animé a terminé egt&e moyens d'action sont sphy (Finistère), âgés,, le. ipftrj de SQix^nteSro.uetde Villemomble 10. Paris -de F ê&€cj71 ; ; quatorçe bras, il/ (îc ((içins Journal î 'ûw c i Xc lards ' marocains 'fie la légion d'El M|£z. Vella. 'J ftiîS, ef Ja iemme de gplsahte-sept •, Picard, ojrs ? 12. . belle fête. dp ' r ciaret. de yillçmomble 4 n. d'adresser! Médailles 'd'argent 'de l'Association natio plaisir fais mise . .. je un riocjes d'èr en Notre arrivée devait leur être connue, car nale me. ds célébrer leurs viennent ,que de Vjllemomijle ; li. Le- ans, Bougeux MM. Vella, i Le Cercle populaire, d'Enseignementlaï^e ' .gratuitement i toutes les personnes qui| Gagny ; 13. Vasson, et : tourés qui de Jeurs.enfants sont tous mariés, ' les vautours du désert ont quitté leur aire. de Vincennes ; 15. Montasse, dé Rosnymire, la | Plaquettes MM. Lasnier, D de Société r ; et de leurs petits-enfant3, au. aonîbrs 4e Voici donc l'explication de la longue conver Macron, îLandais, Deck, feuillette, Legras, Le-' Lé j»'en font la demande. : sous-Bois ; BS, Thibault, dç yillçmomble. populaire du Cercle banquet annuel soixante. Docteur, reconnaissants Favry, .Ctifilles, jj^us g. 1. v MM -au sation dii caïd d'ich et de la présence des compte, .de CourbeKOi^, Lembert, Guilloteau et Mentions : ; . sommes nier soi d'enseignement lieu, laïque huma-' et .d'Aub,4"vi ine';.-r, justice KervasQoué Kerguisjau, de a Sergent, eu par Le comte de d'avoir, Soubisfi deux guides. par Mme ,'Sabathié. [ m; i , à JTOtel-Moàerrie, place de la République, nité V l'extension du -bien-être' à ESCRIME ancien çpps^iller gépéral du Fipistàre, vient .contribué Il faut,', en effet, connaître 'merveilleuse -Un 'bal 'brillaint & îtemminé cettgjête fçLmî-' avec un éclat particulièrementbrillant. de mourir a, Landerneau, dans sa soixante^ thérapeutique répand; sans pré cette ment cette 'région pour oser s'aventurer -à liale, . -aue _ pendant se .sont fait entendre! M. Dujar.din: Beaumetz, Bous-secrétaire judice des pures quasi-mirapuleuseg qu'elle' PARIS. -* "La So."W d'Entrainementà l'Es dix-neuvième année. ; travérs cette chaîne inextricable de .-monta-; 4a 'irrosiçue'dulequel dimaaçp», '2fe> >régitae»t colonial, .chef d'Etat aux beaux-arts, présidait! ayant & tei)Uj<ftiej» M. Ernest Ofoniou, ftp eonseiller général dix crime -et. 9& Pfëiolet & -=— opérer. ' 1 gnes dont la cime la plus élevée a 2,020 M. Péricat, et l'orchestre sympathique diva Condorcet, qui Guingamp, canton" r^unjop p. de conseiller lycée municipal et du , sa conservateur MM. Ledrain, cOtés &gré»r, etc., tes mètres d'altitude. Veuillez pçunpièrs des ancien çapjtftjn^ GuingWP. intéressante. de, été tr.ès :ri^ M. Marcel Migard. . >par ouvre, président du Cercle ; Vachez et Vâ%E DIRECTEUR Nous sommes montés jusqu'à 1,975 mètres . été avaient salle'Laurent de Lés la chevalier 1$ membres Ijégiop4'hpnneur, de est mort rin, vice-président? Besspn, secrétaire g4d'armçe cette.séance dp tet la descente a été heureusement moins quarante-six à hier à prendre part Les Coiqptables de là Seins Dermoihérapiqwi, -invités & ans. de VAcadémie Dér^l ; Delaioijt, trésorier ; Bédorez, direc 4isputées. été fort difficultueuse qtae îascenBiun. pnt paires les „et j$, Rue de la Pépinière, à-Paris. , l'enseignementprimaire. . 1 Voici les résultats : Nous avons ôfis dix" heures pour 'franchir Le 39° bal annuel de l'Association des teur deRohert-Muïler, ' vv' : . ÊTRAWQeR 8. Miyt cabi Lacroix. adjoint du «nef MM. l'épée à ; ppule 1™ 1 : kilomètres vingt comptables -de la Seine a 'eu lieu, samedi net ,du président du .conseil, représentait M. . GasaJnassimi. Il est nuit noirte lorsque -nous arrivons • soir, à Paris, à l'Hôtel Continental, il » Clemenceau Heppenheimer, le conseil . t.MM. Un vieil pfffçler. américain, qui Vient C'3, Po«r ^mvier l'épée à p,ç»ule g» mu-, ; à Ed.Douissa. Le froid est encore plus vif été très 'brillant. dp wpftrir -en Pensytvaïii'e,,.»,légu4 uàe .Jtor^pdùie l'iînçeigneLigue nicipal Huchet, la de -survivants, ; brouillard léger de oa et un aux ^^'épé'e ; MM. 'l.'R^bbè j'.?, 46'F9P tçn? considérable .commence à -tomber. " Le ministre du commerce -y assistait jain-' wpnt Rordier, Ja Soeiété d'instruction éié-, f r#.******». uc • sa /"tt-ît/j .... epn)pag"ie gervi-:sousont ordres pén.ses La- toute du lendemain devient -meilleure sï que lës représentants du-ministre'du Tra qiu i "1 *"'*' s ^' eàde J auditions choro-symphoniques sont, Sécession. fi^n.acQ'inn l'Association polynif,dn de Jamojs, f mentaira ' i, guerre Les ' 2'. Arnson Box, et là Colonne pousse jusqu'à <E1 Kerma, au vail, ; t 4® poule a l'épée j MM. du préfet de la Seine, du préfet de phîfotechnï- malheureusement, trop rares dans pos sal Boulant 'thiqué, l'Association et Porez^ foftjji, L'explosion de confluent des oueds El Kerma, -est El Mez- lice, des présidents du conseil municipalpo roburlte de et nmuo. eœ a «et Ue Wltten »Vl( u> ivhmiiw Conservatoire. ' j'excepte le ?. l. jyaopyitch Mîyj, de-concert, g.abre si nombre, hlesaureç poujp oausé grand de d'W les & ; Drau. zoudj, e,u .Nord-Ouest de Figuig. que. un i du -conseil général, etc. . . opi;, en ' ' fipécjftl ;# des, dre M. Pujardin-Beaumétz, gens Aussi Manfred de Sehumann, qui réurns- Bignîer. eu Je i] Nous remontons l'oued Kerma et, après au Champagne, V** effet, *?UI "PP! tpViw urc ont MM. administrateurs, Gillet et Lee, gé Clet, secrétaire resteront' MM. des; l'assistance sourds. Colonne,' déchiré -et . Dans : pan Sfùt, <ayx cptéjs de l'orchpstre une 'grande halte de deux îTeureg, nous A- été pommés officiers d'académie ; MM.! après avoir fait l'éloge des professeurs du Société Robert, ï'hgmêguejç, Je là néral-de. de: gloire ; récitants, trois v-^.LP nommé Richard Buckham ser^ p'en* qui ne regrettent ni leur temps, ni. soli, des chœurs et loris le long de l'oued "Sekkour. ' Tèstevuide, Faure, RoPaul André de Roux, Gerbeaux, Bertaux, .Bultez onjt obte-, -eercle, ' han salle du demain m^rdi, dans la prison de ChelmsDimanche, nos "vivrez étant épuisés, nous nu des Traédaillés "d'argent de la -Mutualité ; .leur peine, pour donner à la j,euiness.e idé- la Cpiuédie-Franeaise, avait-il fait Fernand Moriu, Edom, les docteur je mi iiy, ford, pour'avoir assassi&é M. et Mme WaJÂPPv Les habitués dés séances domimea-. professeurs Bpinnewyn, Riizé,' Laurent, .etc. sommes ravitaillés à Tichchent par .un MM. Godet, Bernard, Gygenheim, Arnitz, mocratique un enseignement vraiment ré comble. Basildôn, le rejet de son retours -grâce l'ouverture,ni l'entr'acte, i' Ce comité .de la Société. militaire â convoi de' trois chameaux "venus de For- Pincemaille, Faure, Linajd .et Lassalle, df© publicain, a proclamé les distinctions sui les O'ignpraient-Pi signifté gmad ghéfiff, été aywt au — pratiqua a pçis d'mtérPiSftntep 44qU la « Fée des Al-j 4,'fsçrim thassa et qu'un maghzep envoyé par ile ca médailles de 'bronze;, et MM. Avisseau iet ni Je délicieux 'épisode delonguement^ ' ! un frère d'Henrik jbsen, dpnt personne hier, > Mo&$. au sujet de sg's'séances mensuelles qui rie soupçonnait vibrer ont Ils pitaine Nussbaum est allé requérir. pu Officiers,-de l'instruction MM. pas l'existence, vit, p'araît.-il, publique ». honorables. Enfla,; Detheux, des mentions t du mois de décembre. partir lieu à tbur: aUront tour musique 'Cette de a accents Nous engloutissons rapidement le maca- MM. Portet et Pcraillère -ont reçu des mé .gantelet et Latapy. ' Friedprieks-Vaeern,dans aux une maison de ro* disputées le troi à douloureuse, ou- Les poules à l'épée 4seront R)arips. vieux roniet le « singe •» et repartons de suite dailles -de l'Association. ' Offieiers d'académie ; MM. Ridaud, Gril- haletwte, passionnée, pour ' merpredî. de heures à 7 heures du traite féeet' 1 sième aérienne .du 'Lacoste et Mme Perrin, pittpresque, îière, professeurs fraîchejijent atteindre bljùichi9seuM« avant la -nuit le de poste, de Liverpoel se plair. Les pour spir et, après dîpçr, 4 la salle Bellççh&BSie; L'Association des compta'bles de la Seine Cercle.' --r. Forthassa-Gharbia. La pluie se -met à .tom compte 4,500 -membres et possède juq capi j'ique. Les poules au pistolet seront disputées 30. gnent de la concurrence que leur, font des ou- Médailles du minUtrg de l'instrufitton, -pu traduit Byron, de par' yrierg, chti^flis. qui ' so^t venus exercer leur -vers poème en Lie ber et nous arrivons à 5 heures à l'éttfpe tal 4e 2 millions et demi. avenue d'Antin, le deuxième mercredi, de 4 métier blique Argent, J!^. Mantelet ; bronze, M. Laodans cette ville et qui, par'lè bas-prixMi: Renée du Mlle .était dit 7 heures. heures à finaje, trempés jusqu'aux moelles et tran par dasse diplômes, Mlle Meyer, MM. Solmiacv M. Moreau, • ^ ., il letudQ, çbamp.ionnat qsJ, auquel ils opèrent; leur !enlèvent SUS gr$.pçlç O ,d<? Mounet. p, «n projet lia Selfortaine de Farïs sis de froid'. Perron, Lecamp, Laîorge, Delbos, Buzzini et pil, MM.' Mounet-Sully et Paul Mme Boyer serait « leur-travail» de partie disputé en février. était chanté par Mlle (TEsninoy, Notre reconnaissance s'est donc opérée Bônnald. l'escri Cercle de La poule mensuelle du La-Société amicale et philanthropique des Médailles" de la Ligue -de 'VEnseignement : de Lafory, MM- Mallet, Sigwalt, -G; Borde, sans, incident et sauf Si Ich, nous Jn'avons été gagnÉè par M. Cilivier, l'épée / à a originaires «de 'l\aErQndiBseœeaQ±ide Belfort, Bronze, (Mme JDelaiont ; diplômes. Mânes, Eyraud et Mary. Le succès dé cette reprise- me fiïaseô çpcgi)d et M. Pei rencontré âme qui Tive. ^eijt (Gravier, MPeuvrel, Oudot, Perrin et J^lle a été liés vif, pour Schumann d'abord, pour . gné, troisième. Lelieutenuntde Cbrta 'a-fait ïa "triangula « la Belfortaine de Paris », a donné, hier, à •Geoftray, • r-v*—rinterprètes, étoiles ou comparses, et. Parmi leç tireurs et dans l'assistance MM. , tion. et le-;levé de la 'carte de reconnais- 5 Paris, au .Salon des Familles, «oo onzième Laujon. : .deuxième, (Je -scrutin pour Vé}eç> ras iour &e Bronze, Guyar• MMajttes décernées par le Cercle Thonâèguea;, l'impulsion elialeuBoulant, Chaume, de la dont Çolonne, annuel. jbanqufît .M. 1 conseiller général poyr le ëantpij sanee.pour lait jaillir partout la vie, la grâce det, Gaudin, Jehan Testevuide, Lambert, etc. t'ion £u?sz.ipi Mmes (Blpndin et GeoffroyMM- Ru Notre espoir de faire le coup <3e leu est -.M. ïLépine,.-préfet -de jolies présidait. (Rhô,ne) chesne, Laforge, Delbos, Lecamp, î aequot. reusp à d'Anse a eu, lieu hier. M. Allataiite, BOXE "• : etlalusnière. 11, à -côtés MM. Hengy, distin aveit le ,déçu -les. précaution .ses et encore radical, a été élu par 1377 voix contré 1205 mesures de Ub très ibeau fooeert, siiivi de bal, .a ter Jacques Thi préparation, M. football de l'Amical guise comité de -En pTises par le général Lyœutey ont refroidi gué président de « la .Belfortaine .» ; Phi miné U PARIS, à M. Bussy, progressiste ; il y a êu 2,690 cette jête.'.qui a été taèp réuçsie, baut »o,US ayait charmés dans !a Fantaisie club vient -rde décide®-4© créer une section de votants l'ardeur belliqueuse des pillards marocaine lippe Berger, sénaterur du JEîatut-Bhin ; JCh. sur 3,219 ^Lecteurs inspri,t^( Sehumann, piême boxe. dui Schneider, -député violon, .du département ces, .même avec depuis longtemps si terrorisaient les pour «pua ,. Barre, . . de MM; DE'oEB ÉPREUVE honores dont il a le secret et qu'il ' Une eommissiëif, compos.ée Mayér, DTO tribus ;de stotre frontière .algéro-maro- et' maire de Belfori ; J3iès, président de la RETOUR tlUEWËHT caresses s'occupe Paul Knowles Chaffangon, et TEHHT1VE ingrats. à des jamais Société des de mutuels prodigua -cain9. oi Alsacienssecours fprmation de cette seetiop. *" , nejyl. Çheyj^lfLrd intercalait une Symphonie dB'la """ ;»>" 1 Lorrains s -Hobichaii, .maire du XX* arron . M. Geraid I*. Knowles » été choisi eowne Toulon,.2 DécembreNouveau Monde, et' inter le le docteur Lombard Ovorab, dissement Louis de Aun ; professeur, OHANCIEN GROOM MILU0NHA1RE Le chef de gaie (le la station Depfert.syr match- a- ét£ ^i§. Tard, secrétaire général -et piîésident bonp- Le retourdes araîtures automobiles ajwit lude de M. Txémisot entre les deux ouver-' LOS ANGELOS.. — Un grand ligne dy chemjri (Je fer de Sceaux- a et xaire fondateur de la Société amicale dés pris part à l'épreuve de jrégulîwiîéjde Paris turçs <?e FiAelio et des Maitres-Çhanteurs,. pu,té .A Los ApgeJos, entre JapK P'Brien le procureur de là transcrit Tommy'RurnSj pour le titre de chajaipjçn avisé hieç àprèg-mi<Ji Londres, 2 Décembre. iDéfenseurs de Belfort 1B70-187J, etc.,. ' à Monte-CgLrlo a été marqué par un, #.ccj> fe Chant du soir de Schuma-nli, tentative qu'une de déraillé» RépubU^ lourds. 11 116' Ht 'Edward Arnott, propriétaire -des «li M. ' Sàînt-Sa'éns, et l'Invitation à là d'Amérique 'des poids Au ebampagipe, d'excellents discours très dent. par -a.-, L'enjeu était de 75.000 francs. Le vainqueur ment' avait été découverte, au; poteau -kilo» Les automobiles pétaient engagées dans jvalse de Weber, ' orchestrée avec «lié devait mes de Bwlfa et Merthyr, a laissé par tes applaudis ont été prononcés par MM. ,He»tiers de 1?- métrique 27-838, sur la voie p'. 1, jà proji. rapide, pr.^s d^Jliovi^ iorscpie piquante ingéniosité par M. Weintgartner.. recette- recevoir en plus les deu^ tament mie fortune.de plusieurs millions. »gy, Ph. Berger, .Schneider et JUépine, .dont iadescenie Baité 'de'la gai» de Gif. Le Nouveau Monde est construit, selon ie O'Brien. -était favori, .. •. Q avait débuté dans la vie par le métier l'allocution pleine fde ûaesse^ tour à tour celle portant le n° §9 heurta v}61emrnent',M., Une traverse p.\%it.été mise en. travers Louis Martel, .soldatJau À' coflonial, qui fut 'procédé habituel à M. Dvorak, sur des thè - Le wtch fut déclaré nul h la ymgtièroe.•re l'îiigujUç de groom ? puis. £1 avait été successivement grave œt .enjouée, a charmé l'assistance. . .7,, n? ' spectg-' vieilles geg. empruntés déwppoiptegjent populaires grap4 été transr -blessé. Il prise., d'équipe, hôtelier, fLe tes grièvement homme préfeit epsuijte distinctiûps renversé et aux -remis jardinier* a mes tri&ra M Une .çnq'u^é e.sf QVtVfirJç. dansons dès nègres d'Amérique. C'est un Jeup.- au . >p,pr|é ypfuljpfli dMs.un ^tat .alarmwt. .chand de charbons, propriétaire de mines- honorifiques suivantes : ^ t . . - , .
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PEUILXETONdu «Pet» Jottruai. du —37—
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S Décembre 1900
ïe ne me trompais point-. Comme onze heures sonnaient je les vis poindre tous les deux - le prince, phic comme -toujours, -vê tu d'un élégant complet-gris et d'une lopgue pelisse fourrée, marchait à côté de M. Gau thier, qui, très pâle, semblait profondé ment iabaftiu. r : , Un frisson secoua les épaules «le Jean Mpmas. ïunka poursuivit. à pied» le .front -bas, . -r ,11s s'en allaient-deux parlant -bpmmeg SjOus Je peu, comme poiiis d'une grave préoccupation. ! Jp ne les perdais pas de vue,, et je tcrois .bien . que la foudre (tombant -entre nousîaine nous-eût ipo|nt séparés. Toujours à rpne f Jbie distance .d'-em, je les vis traverser la placede ,Ia Concorde,s'engager dans la r.ue -de ilivcli «t s'arrêta au ®° 122 4e iceUe r-jue,„ ,chez Samary. Alors mon émotion fut ^ejle ^ue je restai .comme .ahuri» cloué au trottoir, Jprsque je les -vis ,tops deux disparaître «pus la voûte
Llmêls Ruines '
XES DÉTRESSES DE LA VIE
PREMIÈREPAKTIX
t'AVALANCHE
XIII {Suite) —^Le maîlré 'ést vraiment d'une perspicacité étonnant^.jat pïunfca: dont ïe visage .rayonna...'', v mains Puis il reprit feh.se trottant les. 1 .a pris. 'Comme neuf heures — Bien m'en,Gauthier aotiar.ut. Il parçotisonnaient, M. pied.ïa,rue de Grenelle ; mais, artivé rut-jà. se fit de la porte cochère. .sur. les quais, il, héla nn ^acre et nrince conduire au- ÇQurs;la-Œlginej chez le Pendant au Hiftins une heune, je les aV . Danilof. itendis. Enfin, je îles vie,sortir ; à fie moment Ça chauffe, pensai-je, 5a thàuïf^, «tje M. Gauthier paraissait moins accablé^uaat mettrais tna tSte à couper qne M. Gaùthier au prince, son visage rayonnait. . et lç prince vont bientôt sortir ensemble et' Sans doute -Safflary a prêté la iorte se mettre en <ju£te d'argent. ^ i S • Naturellement j'avais, moi aussi, priss somme . 'À— Lë maître fie se trompe point. :
^
* - prin'cocher l'ordre de demande Mais je commentJe me suivre dù' pluë près passible celle empor- pe—et Gauthier ont connu Samary. •tant-ÎVI. Gauthier ; de sorte que ^'arriv.ai fin îi-e maître désira le savoir même -temps que tui devant le m4 t? <du ' — Assurément ; et si tù peu* me i^n— — Cours-la-peine. seiarner... -j - ; lie îeutie homme paya la course, tj'en Le miïljitre tiajt \ — -ses grosses lèvres fis âixtant, et commençai une lente ptromena- épaisses, d'un rouge violacé, avaient pris fle sur lè large terottoiï. ' une .expression heureuse, et .ses yeux rayonH étaît à peine dix «heures ; alors fe : paient. ^ ! ' -y ' fehsai«pie l'heure du déjeunerapprochant, le — Depuis longtemps, fit-il, je connais onde et le neveu décida"aient de s'olfrir frenre depuis! de vie du prince Danilot, tin chic festin gt tjue sous peu je les verrais ongtemps je -connais ses relations avec -sortir de la maison du- prince. Diane Sorel — une pieuvre ne is'attachani |i \, i qu'à mettre ses aaaanta à sec. . .. .. . . Interdites, CU Traduction et reproduction
1iîie Voitiiré
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je savais .aussi la passion du prince pour 1-.vpix très lointain? lu» priait que J^nfea, le haccara et ie ieu àux courses... et ji1 #vait raison. (Oui, il avait le dr<?it de çç venger (de.Bei pensais teen qu'un jour >oh j'autre M ai^rai ibesoin d'empmnter de l'argent^ AJpr» j(, ,-nault de Çroix-Maur et ,de toute ,sa famillp, £s-faire -des cartes au nom de ,Sayin,ien ide jLep faire tpu^.^pîfjepdaps je ^oufffp «^î-i ' : •vert devant eu?.,, ,mar>v jet i'.en adresaai .une au prince. Elleffutla bienvenue puisque là première Et Jiea® Mornas, pet - homme si terribJppensée <du :Slave fut id'e «'adresser 4 notr^ msM iprppvp p^r les pires infamies, ^.epbpHtme pour lemprunter ia -fprie ,soppn^ tait ponrir des frissons dans ses veines en de lui amener le petit fGauithier, , songeant à la décadence, a Ja îyine pip-i marché Tout anarche idon^, .maître, tout chaîne de tous lçs Çroix-Màur... baut, poursuivant ga pensée, Jï à-souhaaL. -• "-l 1 ? 1içj^a.j: ' i', .xiécajiçnce, - f \- -> — As-tu vu Savinien . : |. cette rul»^,? ,Çe Et flotte -n&rojï, mais- j® la verrai iaujowrd'bu^ . <r-r ^ei'a «non œuvre } m- Etiane Sorel set cet homnap peuv^it utilement nous servir.. u avait parlé. tr£s fprt ; Jwikaf tou .
^
. Par iSavinien Samary noue saurons t-ou^ jours aux écoutes, entra doucep^pt, $*Ù£>«e spai se. passe ; n- «e gaillarèhlà ne désis pjppcha de Mornas, , de?-. r.e-: tera jamais à rappâtideiquelqueeiiiliets 4e .. Maître, dim, si yqus éprouvez banque. «rets, sd, pç que nous ^vons décidé yows JJs se turent rèppuyaate— -laiese^-rooi. agir seul ; — Je ,= : . . Jtunka s'approcha -de là cbeminée, -y -jet4 chargerai ipa conscience,de toute la respon^a4>ilit4 4-e, l'apte accompli 1 une brassée dt hcii» et se retira. : , . .
Jean Mornas resta seul. Mais périmérte;;-iaoi 4e vous dire' cepeni ' •,<. Au dehors une pluie fine tombait, ie --vent «liant que «i vons voyiez bien réfléchir,' vpysi sifflait, agitant les TOlets -pîQs de .la «aaifion serez sans pitié ; vous phâtiprez pomme il anystÉrieufie sû parfois Jean Morsoas. s'insr convient je -crime, que nous voulons punir, tallait pendant quelques jneôs ids ï'ajanâe.; : ie yol -odieux dont vpns.aves été victime i ' je jaaitre-^ tleiSBKviieiur se ftachaientj Puis aussi, songez à Bruyère, à la gen vivant seuls, en ermites, et ne sr-ecftyaAt âsar tille Bruyère que nous ne connaissons pas qui erjr§ d.e par le mondé sans soutien,; mais tpereoime. .P»is de jeraps à au^ il| partaient tous deux quand, las-de la eaaja» *.3133 fît? peut-être, à Bruyère phass'ée'paii pagne et. de. d'isolement, ils .décidaient sa mère... et vous reconnaîtrez que tout ce-; reparaître dans Paris, au milieu du la crie vengeance ) . . . et dn touît. ' ' Oui, tu ae raison, s'écria Jean Mor• — serait une lâcheté de suspendra 'Ge soir-là, demeuré seul, J'ean Mo>mas ea pas '. — • leva ; et dans le vaste cabinet où tout $ mé vengeance 1 l'heure il âvaît reçu Hélyonne, Il ^e fsremer Va, fraippe... je ne te retiens, pas { Tu asi j-âison, venge-moisans pitié... xeil pour «œil, ,1 rêveur. na, -Attristé et descendait . . sur-feoin -froÉt ;la dent pour dent — et quand luira le jour. Une. ombre, Vengeance méditée par Junka <lui faisait Jant' attendu où Hélyonne viendra me «rier ma tragique histoire, et peur j toilB les raffinements rêvés par «4 grfece je lui dirai, alors elle me jugera... elle jugera Renault ! sauvage -eanB pitié l'épouvantaient. •' - ' Et cependant dans sa •conscience timo- : Puis il ne parla plua. ïl passa dans ^on aucun xexxuuda xia a'élevait, at une fumoir, alluma un cigare, et devant la lar-
a
il v.eiiait de soulflvex- les rite baiededont guipure il resta immobile, le re
eaux ' De pâles reflets de lune éclairaient ïe jar din. La solitude' était profonde, et le silen ce de la campagne n'était interrompu que par ie roulement prolongé des trains de Ceinture.
gard -vague, la pensée perdue.
Il pensait :
"
•
« Hélyonne ne se douté pas que naus n'en sommes qu'au prélude d'une grande bataille où finira par triompher le bon 4rpit ; çlle ne :saît -pas encore que -son fils est uri joueur -effréné et qu'il est 'aujour d'hui la, proie d'un usurier sans scrupules .qui ruine... et tue. ' Bastienne, j'ignore fille à ce Quant sa « cpfëùe deviendra ; malis elle ne ser^ jamais aussi à plaindre .que Bruyère... que Bruyè re, qui peut-Êtf-e meprt de faipi cette heure i » ' " "1 ? gi en ce pipment ïl' e^t été. près d'HÔlypnne, S'il eût pu l,a y.oir d'ans ie coupé l'emportant vers paris, il eQt ^té épouvanté, " 1 • ne l'eût pa^ reconnue... Qpand la voiture g'arrêta devait SaiptGermain-i'Auxerrpis, fïélygnpp en descen
l'intonation de sa voix, elle -avait ;coi$prià sa soif de vengeance, p 0 • t .. ... .Et sQJiSiies. voûtes'sombres de la . vieille église, il Jut semblait déjà erjtendre gron der sur §a ^ête la foudre qui,allait les ecr'sfc. ser tous 0.ui, tou%.. elle, Gauthier, Bastienne, Re nault... ils étaient tous perdus I Puis peu à peu le calme se ^t en çUe-l. et elle en vint -bientôt A ^se demander, pour quoi, elle aya,it accepté la repdez-vpus de cet .inconnucar p'.était sans nul d.QPie m* inconnu pour elle cet homme qui se cachait certainement sous -un faux nom.
Tout ce que Jean Mornas lui avait dit-de cusations parfois $i précisa?, la toublaient orofanâémert, -, et dans; ce labyrinthe. de pensées èt-d'hypothèses .son esprit se perr a^it, s'égarait ep. 4es copj.çptyr.es dont elle était épouyantée. Ouand elle rentra à l'hôt^el de Çrçix-Maur neuf heurss venaient de sonner. ' Kenault et Bastienne, inquiets,, l'attend dftwt ayeç iaspatience,. ^ .... ôtai tsss* Elle enleva son chapeau,gant? .U'eUe jet» ?ur une chaise 4e ^on cabinet toilette, baigna d'eau son front brûlant a#r^sg.ftr-.un,n>pt.au laquas et4.pénétra enfin4&ns la galle, dit sapis 4 manger où obséquieux qui, lui -puyralt la p.ortjêre ; et Renault, énervé par .une si longue attente, -l'oecasip». d'un sermon dç çpa- faisait les cent pas. «omme v rité devast §pce prêché le soir même — l'é fit Bastienne Enfin voila, tô en se jetant — duchesse pé .ouy^te. Ja était y glise eûeore cou de sa-mère ; papa et moi nous étions nétra, .et. dp#? î» chapelle -dp Ja Vierge a,iia au très inquiets, cacher la rougeur de son front, a}la prie,r je viens 4e voir mes pauvres.,, , douienr. . la datte, <elle pria ïông- sretenue. Agenouillée. sur autre jîpi»/vous ferez Wejt.de nova f— Uçe .toute détinsse, à O.ie» «onflant sa temps. . prévenir, dit froidement Renault: . toutes ses aagoSssgs % tt -cette grande (lame, " Je ne croyais pas!m'attarde? atas?. ; prince sl^ve, était Jiantain 4'»» fille cette : —'tet toutes ces .qpurséa vont oiit fatiguée: vaincue par l'itoHm» ,<qui, autrefois l'avait vpùs ayez la figure à l'^nverfe, -vous ave^ ; flétrie, l'await déshonorée,! Vair souffrant. ' qui .Mornas Je»» homme, cest Et pour i» J'ai itant dèeçoacts 1 fit-ellé,. imi.pea . •• m iacpnpy iyi elle était .encore «s nerveus^-en se mettant (> table. -, ; elle regards avait lu Dans que ses pe>ur. VILLEMEB« fièâ menaces ne seraient pas vaines ; à' (La sitite à demain.1
Bsnault,toutes aesrallusioris, toutes ses ac
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NOUVELLES
ÎUNDI 3 DÉCEMBRE 1906
LE MONUMENT . , la
à
gloire de la République A MANTES -
Services télégraphique et téléphonique spéciaux du Petit Journal Lundi 3 Décembre
1906
heures cLix uxatin) Mari Les Mairesfln
(•4
Le Dooraa v»'
(Dévéche de notre correspondant) . Mantes, 2 Décembre. L'inauguration du monument élevé, $ar souscription publique, à la gloire de la Ré publique, eu lieu, cet après-midi, au mi Cercle d'études du bureau havrais, M. .Te- lieu, d'une afoule et à décider les mesures qu'il serait néces [LE REPOS considérable venue de tous nière's, des Nageurs de Normandie, et M.i les points de l'arrondissementet saire d'adopter pour sauvegarder absolu qu'on" peut Huser,.du,Transpor<|français. ment la vie ét : les intérêts de leurs natio évaluer à, plusieurs milliers, de personnes. . A midi a été servi, le. banquet offert au naux aussi bien que les autres étrangers LES MANIFESTATIONS DU DIMANCHE Dans la matinée, les fonctionnaires de et à assurer, à Tanger et les environs, le sous-secrétaire d'Etat • par- le cercle répu tous ordres sont' venus présenter leurs homblicain. M. Krosse, président du cercle, pré maintien de l'ordre et de la tranquillité,exi inté grands Les. gés par le développement des manifestations en faveur du repos sidait, ayant à ses côtés.MM, Siegfried, dé
JiPOMADAll
rêts européens existant dans cette région. S'inspirant des mêmes desseins, le gou vernement actuel a eu la bonne fortune de mettre la dernière main à cet accord et, à nûnistâreespagnol très bref délai, les représentants de la . France et de l'Espagne accrédités près des le Parlement gouvernements signataires de l'acte d'Algé siras, recevront la mission de porter à la connaissance desdits gouvernements les ter |
M
mes- de cet accord qui est complètement conforme à l'acte général en question. Madrid, 2 Décembre. L'accord des deux puissances tend à la Parle le contact premier avec protection Pour son des intérêts étrangers, au Ma subir un ru roc et à l'accomplissement simple et loyal ment. le cabinet Moret a eu à n'y il Chambre, eu de assaut. A la a que de la mission qui revient à l'une et À l'au mais au sé tre en vertu des décisions de la Conférence. l'annonce d'une interpellation, ampleur._ nat, le débat a pris son L'action combinée des forces que les de-' Après les déclarations de M. M? rej>,, UIî, voirs élémentaires et impérieux de pré républicain,. M. Labra, a soulevé ,le _débat voyance les ont obligés à envoyer à Tainsur les causes de la récente crise ministé ger s'exercera dans la mesure et au mo LE GÉNÉRAL LOFEZ DOMINGUEZ CONTRE M. MORET
ment qu'elles jugeront.nécessaire.et oppor tun, d'uns commun acfcord. Les ministres à Tanger de France et d'Es pagne, qui ont tout intérêt à ne pas compli quer ni aggraver les choses, désireux d'é viter, jusque dans le moindre détail, tout ce qui pourrait entraver leur action, si le moment arrivait de l'exercer autrement que par la présence de leurs forces navales dans les eaux de Tanger, les gouverne ments d'Espagne et de France ont convenu que le commandement soit exercé par l'of ficier du grade le plus élevé parmi ceux qui commandent les divisions navales respec tives. • - -Le viciant irai Touchard, oommandant des forees combinées Le gouvernement de Paris ayant dési gné pour commander la sienne le vice-ami est levée. l'objet de cha ral Touchard, c'est à ce dernier que revien M. Lopez Dominguez est leureuses manifestations de. la part des li drait, dans ce cas, la direction des forces combinées. béraux et. aussi-de la- minorité. ministres les Sénat, du se Le vice-amiral Touchard viendra pro A la sortie sont réunis en conseil. Ils ont décidé d'at chainement à Madrid pour recevoir les or tendre le résultat de la reprise du débat dres-du roi, car, 1 si l'occasion se présentait, Sénat,, lundi, pour adopter telle résolu c'est lui qui, en vertu de l'accord, devra au tion que Comportera alors la situation. commander " les forces, espagnoles qui au ront le rôle de coopérer à cette mission exclusivement pacificatrice et de garan L'attitude de l'Allemagne ^ à l'égard dé là France et de l'Espagne tie pour les intérêts européens. ,• ,(. (Dépéçhe de VAgence Havas) ' LA SANTÉ DE M. BRUNETIÈRE Décembre. Madrid, 2 • • . , des affaires étrangères s'est Le ministre rendu au palais pour faire part au roi du Le bruit s'est répandu, hier soir, d'une résultat d'un entretien qui a eu lieu hier aggravation dans 1 état de santé, assez in entre l'attaché militaire de l'ambassade de quiétant depuis quelque temps, de M. BruFrance et le soûs-secrétaire d'Etat A la,ma netière, Téminent académicien.. ; rine. . quatre télégrammes Il lui a aussi soumis chiffrés provenant de langer et concernant, ftjoaiif-pn, l'attifud'e de l'Allemagne..» in Tong-Cl Jî Franea rielle. 1 ' . -que M. Moret déclara- que s'apercevait les Questions religieuses soulevaient des aliftcultés pour le parti libéral, il avertit le général Lopez Dominguez. (Murmures). Ce dernier n'attachant pas à mon avertisse ment. dit M. Moret, .toute l'importance voulue, j'écrivis au roi, lui montrant que le parti1 libéla et que ral était sur le point de se diviserconséquen chuté de ce parti aurait de graves ces pour l'a patrie. ' ' L'ancien président du conseil. M. Lopez Dominguez, se lève,''salué par de vifs ap plaudissements. Il affirme-que la crise fut inotivée par-la lettre de M. Moret au roi. ' Une proposition signée de plusieurs libé avec raux, disant que le Sénat a entendu Lopez satisfaction les déclarations de M. Dominguez, est lue au Sénat et la séance
An Paiement franctis
Si les cent,mille du Touring-Club n'assis taient point à l'assemblée générale de l'As sociation qui a eu lieu hier, du moins l'as i Rchaine discussion à la Chambre. — Le sistance était telle que le vaste amphithéâ rapport de M. Lucien Hubert sur la tre de la Sorbonne se, trouva trop petit pour la contenir. . conférencp'd'Algésiras. i Les concln~ M. Barthou, ministre des travaux publics; — présidait, ayant auprès de lui MM. Loubet, sions dn rapporteur. ancien Président de la République ; Ballif, . président de l'Association ; le colonel Ebner, représentant le Président de-la Répu Lès affaires du Maroc seront l'objet jeudi blique ; le vice-amiral Gervais, les représen prochain d'un igrand débat à la Chambre. tants des ministres, etc. D'une part, le rapport-.de M. Lucien Hu En prenant la parole, M. Ballif a tout bert tendant à approuver l'Acte de la Confé d'abord annoncé que le matin même, le rence' d'Algésiras et, d'autre part, l'inter noinbre sociétaires 'était de. 104,621 ; des pellation. de M, Jaurès donneront au gou ainsi trouve doublé largement le cap des se vernement l'occasion de s'expliquer sur, la "cent mille, qui est pour la Société le cap situation actuelle et sur les intentions de de Bonne-Espérance. Ist 4FX8.HC€i 1' ' '1 Après le rapport de M. deReinach FousLùcien Hubert, ' ' rédigé râppôrt de M. • Lé , semagne, trésorier, qui constate que pour âu nbm de la" commission des affaires exté le dernier exercice, les recettes ont été de rieures^ et coloniales, et approuvé .par elle, 973,881 francs et les dépenses de 891,766 députés. sera distribué aujourd'hui aux francs, M. Barthou a prononcé un discours Il examine brièvement les origines et le applaudi. caractère général de l'acte d'Algésiras, afin, de se retirer, M. Barthou a remis dit M. Hubert, de donner à là ratification -lesAvant distinctions suivantes : Officier de l'ins -parlementaire « l'importance d'une adhé truction publique, M. Bonnard, membre du sion éclairée aujc actes du gouvernement. » conseil d'aifministratioh ; les palmes aca M. Hubert rappelle que les principes de démiques à -MM. Thiollier, inspecteur ad notre -politique-* traditionnelle au Maroc joint des eaux et forêts à Chambéry ; Bailsont : souveraineté et indépendance du sul- lot, président des Amateurs photographes intégrité de ses Etats, liberté économi tan, que' sans aucune inégalité. Il s'y ajoute la du T. C.; la croix du Mérite«agricole à MM. politique particulière que nous commande :Glandaz, greffier en chef du Tribunal de Commerce, et Davin de Champclos,membre 3e voisinage de l'Algérie. • Lë rapporteur félicite M. Pichon, minis du conseil d'administration. < Une conférence très intéressante sur le tre des affaires étrangères, d'avoir procla ' Bon Hôtelier », faite par la docteur Léon « mé la nécessité absolue de l'unité de direc Petit, a terminé cette réunion à laquelle la tion entre ces* deux "politiques.-> musique de la Garde républicaine prêtait L'internationalisation du Maroc son concours touj ours apprécié. Après avoir été longtemps une cause de rivalité entré la France et l'Angleterre,, la Cérémonies patriotiques question marocaine devint, à la suite de la guerre de 1870, une question internationale. La France,depuis le traité de 1845 qui avait Les municipalités de Champigny, de Bryétabli une frontière commune entre l'Algé avait réclamé du sultan sur-Marne ont célébré, hier, l'anniversaire rie et le Maroc, qui empêchât, par des sanglants combats qui se livrèrént sur une politique d'amitié l'intégrité consolidation de marocaine, les territoires de ces communes, les 30 no la l'établissement exclusif d'autres influences vembre et 2 décembre 1870. 1 dangereuses pour la sécurité de notre4 em A Champigny Puis., furent les. accords, pire africain» . ce Dès le matin, la municipalité et) les soçié intéressées, et les. décla puissances lés' avec tés locales sont allées au monument où des rations de-désintéressement. couronnes ont été déposées, notammentpar « Ces déclarations eussent permis à la les' Combattants de Champigny et du siège France, dit M. Hubert, de se proclamer, le de Paris et par le colonel et les officiers du jour venu, le défenseur attitré de l'intégrité 4® zouaves. du Maroc, sans que ce privilège pût paraî le cortège le plus important s'est Mais tre blessant ou dirigé contre une autre - formé, l'après-midi, deux heures; sur la puissance tout en marquant suffisamment .place de la Gare. Il àétait composé de tous l'intérêt «'particulier » que nous portons à les groupements de Paris et de la banlieue l'indépendance du Maroc. » , Ligue appartenant à la des patriotes et des La conférence d'Algésiras mit fin à cette sections de-Vétérans des armées de terre et politique d'accords particuliers. Mais notre de mer. but est resté le même. signal du- départ, les gendarmes à Au « C'est, dit M. Lucien Hubert, l'intégrité . cheval, les agents de police «et M. Defert, et l'indépendance de la puissance chérifien- commissaire de Jôinville, qui dirigeait le ne et le rétablissementde l'ordre, dans l'in service d'ordre, marchent en tête les mu; térêt du Maroc, avant tout. » exécutent Marseillaise isiques la Lucien pour, en Hubert fait re En. terminant; M. manifestants traîner les la rude sur d'Algésiras mon l'acte est l'engage marquer que: conduit monument tée qui où reposent aai ment» formel qu'aucune des puissances si de soldats français. gnataires, par une entente directe avec le des milliers Déroulède, très applaudi, pro sultan, n'interposera entre lui et les deux M. Pauldiscours patriotique. Puis le cor puissances responsables de l'ordre dans son nonce un rend des monument ,tège mobiles de au se royaume une influence menaçante et per la Côte-d'Or, quelques où paroles sont dites turbatrice. » . Déroulède l'amiral MM. . Bienaimé, ; Dans ces conditions, conclut le rappor par teur, le râle dévolu à la France est digine député de Paris, et Marcel HaberU A cinq heures, la cérémonie était termi de la tenter. ,
Le rôle de l'E spagne Madrid, 2 Décembre.
A l'issue'du conseil des ministres, un
née.
A Bry-sur-Marne C'est vers deux heures de l'aprèsrmidi que la municipalité, le conseil municipal et les sociétés locales sont partis de .la mairie de Bry, pour aller à l'ossuaire qui s'élève au sommet du plateau de Villiers, puis au mo nument érigé à la mémoire du oommandant Franchetti, à l'endroit où il fut mortelle ment frappé. Plusieurs orateurs y ont pris la parole. Au monument du major de Podenas, un officier sarde qui était venu verser son sang pour la France, et aux tombes mili taires qui se trouvent dans le- cimetière; quelques paroles ont été également pronon
personnage fort au courant des questions politiques et notamment de l'affaire du Ma roc a fait textuellement les déclarations sui vantes : Il est public ét notoire que le cabinet Lopez Dominguez, dont l'attention se por tait sur l'accomplissement des obligations contractées par l'Espagne en signant l'acte d'Algésiras, a poursuivi, à cet effet, avec le gouvernement français, des négociations tendant à bien "déterminer le parfait acetiA existant entre la France et l'Espagne cées.
'
,
hebdomadaire..annoncées pour hier ont été très calmes dans la matinée, mais dans l'après-midi, celles qui se sont produites à l'issue des réunions tenues à la Bourse du Travail ont été assez graves. Plusieurs étalages de bazars et de magasins ont été
saccagés.
DANS LA MATINÉE
puté, et Naudin, sous-préfet. ; , Au dessert, M. Henry Chéron a prononcé un discours qui a. été couvert d'applaudis sements. Apres avoir remercié les républi cains du Havre, le sous-secrétaire d'Etat a fait l'éloge du ministère actuel, qui « s'ef force de faire du-bien--en-répandant'lés idées de justice,, d'humanité, de bonté, dff solidarité », Il a prtfmis 'le concours du gouvernement pour la réalisation des re vendications ouvrières'et a bu « au progrès social par l'accord "de" tous les vrais répu blicains ». P'autres toasts bnt. ét'é portés par M. Siegfried et par le sous-'préfet du Havre.. A l'issue du banquet. M." Chéron a visité le fort de Sainte-Adresse et l'hôpital mili
LE DISPENSAIRE-ÉCOLE de l'Unioir :des Fèmmes d'e
France
Ça g iaatîguré, hier, lp dispensaire-éoola'
que l'Union des Femmes,,de France'a f£dt., construire rue de la Jo.nquière, dans le dixseptième. arrondissement de Paris. ; C'est M. Mesureur, directeur de l'Assis-,
. tance publique, qui présidait la cérémonie. Il a été reçu par la présidente de l'Union, Mme Pérouse, qui était; entourée dé Mniea Brunet, directrice du dispensaire ; de Montaud, directrice du matériel.; des docteurs Boulomié, ' Fredet, Rœderer 'et Mouchet. Parmi les personnes qui étaient venues à l'inauguration se trouvait Mme Emile Lou bet, qui, à l'époque où son mari était Pré sident de la République, présida elle-mê me plusieurs cérémonies analogues. En dehors des services que rendra le nou veau dispensaire à la population ouvrière des Batignolles, il aidera l'Union des Fem mes de France à former le corps d'infir mières et d'infirmiers qu'elle veut pouvoir mettre à la disposition de l'autorité militai
L'appel lancé par le comité intersyndical re en cas de guerre.. C'est là ce qu'a fait ,res sortir, dans l'allocution qu'il a adressée à pour l'application du repos hebdomadaire invitait les employés à se grouper, selon M. Mesureur, le docteur Boulomié.vEt pour leurs préférences, et à aller manifester de la façon parfaite dont a été installé leur les périphérie qui magasins de la vant dispensaire, Mmes Brunet et de, Montaud, ne seraient, pas fermés.et .M, ^Saint-Martin, l'architecte, ont reçu Là' première démonstrationde la matinée des félicitations sans nombre. eu' lieu heures, du Mai a vers onze avenue dans le arrondissement.. quatorzième ne,. taire. Devant le magasin « Aux Elégants », une Rappelant visite du à la caser centaine de manifestants ont crié :•« Fer ne Kléber, ilsaa exprimé matin, Aux Folies-Bergirs sa vive satisfac meture I Fermeture ! » Ils ont été rapide tion d'y avoir trouvé, organisées le Résultats des luttes d'hier soir aux Folies» par co ment dispersés par les agents, mais-ils se lonel Feuchères, les œuvres de mutualité * Bergère : ' sont réunis à nouveau, avenue d'Orléans, et de coopération. Aimable de la Calmette (Français), 108 kilos, devant les magasins du « Soldat Labou Le sous-secrétaire d'Etat est reparti ce tombe Zipps (Américain), 110'kilos ; PadtfUbreur,». Là, ils se sont contentés de crier, en soir à neuf heures pour Paris. nv (Russe), 120 kilos, et Eberlé (Allemand), 120 kilos; font match- nul ; Cazeaux (Français), passant devant les étalages : « Vive 1$ loi ! » 109 kilos, tombe Antonitch/Serbe)*137 kilos. Envoyez 1 fr. 50 à la Sté Hertzog, 28, rue Vers midi, boulevard Barbès, devant les • Grammont, magasins de la « Maison Dorée », puis : rue Paris ; vous recevrez franco Au Cirque Métropole ' de Clignancourt, devant le « Bazar Natio-, une boîte de Pilules Suisses et un almaM.AUTRAND Voici les résultats de la dernière soirée de nal'», enfin boulevard Magenta,'devant les nach pour 1907, Cet almanach. est un bon luttes Préfet de Seine-et-Oise : . * magasins « Au Sacré-Coeur », trois cents conseiller, sans prétention, auquel vous Constant le Marin-(Belgé), 101 kilos, tombe 1 (Cliché, Marius.) Anglio (Martiniquais), 121.kilos ; Lurich (Rus \ manifestants environ ont poussé des cris pouvez vous fier entièrement. En le lisant . se), 98 kilos, tombe Poirée (Français), 96 ki- : divers: et réclamé la fermeture. Leur dis attentivement, vous y trouverez le moyen Autrand, à préfet Seine-etMde mages los ; Otto Meyer (Allemand), 93 kilos, tombe persion s'est effectuée sans autre incident d'éviter une foule de maladies. Oise^ qui, assisté de MM. Frize, secrétaire Conelli (Italien), 102 kilos. * ; que deux arrestations, pour refus $le circu Gaillard,, sous^préfet, les a re général, et été'maintenuesLaSociÉtfi, amicaleet de préToyanee çus avec une charmante urbanité. ler qui n'ont pas Vers midi, également, cent cinquante ma Au déjeuner, que présidait le préfet, as nifestants ont parcouru le boulevard Saintfle l Prélec sistaient Police MM. Gast, député de Rambouillet ; âe tare a Michel en chantant : « C'est le repos' du Violette, député de Drçux ; Thalamas, pro Service spéoxl du Petit Journal dimanche qu'il nous faut, oh ! oh ! » puis fesseur ; Laloge et Périllier, anciens déIls se sont rendus rue Monge, devant les M- Clemenceau, président du conseil des magasins-" .Aux Montagnes suisses ». Ils ministres, et M. Lépine, préfet de polioe, Boulogne. — Abandonné paï sa fémme, ont crié, eux aussi : « Vive la loi ! Ferme prononcent'd'importants discours. un cantonnier, Jules Lamaille, âgé de qua-' ture ! » M. Fauvel, officier de paix du cin rante et un ans, demeurant rue Fessard, à ' C'est^ une banalité de dire, quand il s'a quième 'arrondissement, qui dirigeait le git d'une fête qùe la salle dans laquelle elle' Boulogne, tentait de mettre fin à ses jours, . service d'ordre, n'a pas eu à faire-interve avant-hier soir, à l'aide d'Un réchaud de ' a été; donnée était comble et qu'elle regor nir- ses agents pour éloigner les manifes geait de monde. charbon-qu'il avait allumé dans.sa cham tants,, qui sont partis d'eux-mêmes, sans in Ce n'était, pourtant que la vérité toute bre, après avoir bien calfeutré la> porte de cident; ' simple, hier, à la Sorbonne, la pièce voisine où dormait son fils, Geor où la Société amicale et de prévoyance de la préfecture ' •ges, âgé de' 3ix ans. ' ' A LA BOURSE DU TRAVAIL . de police.tenait sa vingtvquiatrième assem Pendant la ; nuit, l'enfant, : incommodé; Un millier de personnes assistaient, vers blée générale, dans le grand amphithéâtre. les émanations, de gaz,' se leva è£. ap-,' par Bpiirse deux heures, à la péla les voisins. Ceux-ci ont trouvé M. La du Travail, dans -L'a première partie de la fête, celle où, la salle de Grève, à la réunion organisée entr.e .membres de l'association, il n'est maille étendu sur son lit; donnant quelques question le comité intersyndical. réunion Cette des faibles signes de vie. Malgré les soins qui par intérêts matériels de la que, très société, fut écourtée. Quelques orateurs firent du renouvellement du tiers des ad lui ont été donnés, le désespéré est mort à ministrateurs, des magasins qui, depuis l'hôpital Laënnec, où on l'avait transporté. remarquer que etc., a été: tenue sous la deux mois, .observaient la loi, avaient re présidence de M. Vel-Durand, président'de Malakoff. — La municipalité et le conseil commencé à ouvrir; Das cris s'élevèrent l'association, de neuf heures et demie à dix municipal,: assistés de MM. Bédorez, direc de toutes parts : « Manifestons ! » Et l'on heures et demie. ; teur de l'enseignement:à la préfecture de: partit manifester. A cette heure sont arrivés, à la Sorbon la Seine ; Gervais, député de : la circons ne, MM. Lépine, préfet de police ; Laurent, cription ; Picquart et Jarrousse, maires de ETALAGES SACCAGÉS secrétaire général ; Ranson,. président duClamart et de Vanves, ont inauguré,-hier Mais,' dès la sortie de la Bourse du-Tra conseil général ; Bernard, secrétaire géné après-midi, au cours d'urfe fête, très réus vail, un servioe d'ordre, dirigé par M. Fa- ral de la préfecture de la Seine, représen M. COLLET sie, les quatre nouvelles : classes qui vien ralicq, officier de paix, ne laisse passer tant M. dé Selves, préfet de la Seine ; de d'être jointes au groupe scolaire de l'a. Maire Manies. ; nent les manifestants que par petits groupes Charles Blanc, conseiller d'Etat, ancien d'Arcueil. ' : ' " 1 ' ' ;d'une vingtaine. Toutefois, ils réussissent préfet de. police ; Vuilquin, colonel des sa putés ; Bellard: ingénieur ; Leroy, maire de ruePlusieurs ont été pronqricés, no-, à se reformer en-colonne et arrivent, au peurs-pompiers ; Carne, directeur du cabi Rosay ; Benoist, maire de Soindres ; tous tamment discours M. Gervais^ qui .a remis des', nombre de huit cents environ, boulevard net du préfet de police ; Touny, directeur les maires et tous' les,:adjoints de l'arron médailles par d'honneur du'travail à MM.FourBarbès, devant la « Maison Dorée » Pour de, la police municipale ; Mouquin, direc dissement ; MM. Grenet, président du tribur Gatineau et Bouvier. ' ' * la seconde fois dans la journée, les mani teur des recherches ; Nicolas, secrétaire nal- ; Fortin, procureur de la République ; rnann, Des exercices de dé pompes manœuvresjuge particulier _ du préfet de police et tous les Fraigneau, festants conspuent vigoureusement "les ^di d'instruction, et les fonc- ont été ensuite exécutés par les sapeùrsfonctionnairés de haut grade de'la préfec tiomnaires do- tou& .-lee. sepvicea, ainsi-,-que pomplers de" MalaRoIÏ,; pendant recteurs de ces magasins et ils vont ren que la fan l'es-membres de tous les-comités -de Mantes, fare jouait les meilleurs ' ' verser les étalages, quand; les agents inter-; ture de policé; 1 ' " , morceaux de son M. .Clemenceau,-président du conseil, ac Limay, Bonnières, Houdan et Magnv, etc. viennent. Deux arrestations sont faites. répertoire. . ; i : compagné de _M. Sarraut, sous-secrétaire A' l'issue du banquet, au cours duquel • Les manifestants repartent en poussant . . d'Etat ministère des cris divers et en chantant l'Internatio de l'Intérieur, descend plusieurs discours ont été prononcés, le cor au Les Lllas. — Un «journalier, Victor» Debelle. nale, vers la Bourse du Travail- Ils parcou d'automobile devant la Sorbonne et, reçu tège s'est-formé pour se, rendre sur la âgé de quarante*cinq ans, dont la femme est . où a eu lieu laTe- en traitement à l'hôpital, a été> trouvé,, hier ; rent le boulevard Magenta et vont d'un ma par le préfet de police et ses collaboratéurs, place de la République, gasin à l'autre en criant :.« Fermeture ! » est, conduit dans le grand amphithéâtre où mise du monument au département. , Mais ils se heurtent-toujours à des. barrai les assistants l'attendent avec impatience. ; Là, deux nouveaux discours ont été pro La parole a été donnée à M. Lépine, qui a noncés, l'un par M. Sosthène Beaumont, se expulsé ges . d'agents. Cependant, se trouvant ras le commissaire de police, .parce, semblés en grand nombre, ils s'élancent sur prononcé un discours que la salle entière crétaire du çomité : du ' monument, l'autre qu'il ne par payait pas terme. Le malheu les étalages d'un bazar situé à l'angle du a applaudi à tout rompre çt dont voici par le préfet de Seine-et-Oise.'qui.a été lon reux. qui' est mort de son privatiohs.v-ri'ava'it plus guement applaudi par les assistants. : de domicile et avait refusé , d'être envoyé à' boulevard et du faubourg Saint-Denis. Les quelques extraits : Monsieur L'Harmonie, le le Choral, président l'hospice de Nanterre. les débordés. gymnastes agents sont ont En une minute,, les du Conseil, , > . - ,. - , ... . ensuite reconduit le préfet à la gare, pen- Romainville. — Etant venue étalages sont renversés, leur contenu, de la l'après.passer La-Société Amicale n'est pas seulement une dant-que la foule défilait devant l'œuvre de midi d'hier chez sa fille, ruç Carnot, 'à Ro vaisselle, est réduit en morceaux: qui ser association .... une société de secours MM. Lerouge et Feyola, dont le Petit mainville, Mme veuve Roux, âgée de 57 ans, vent de projectiles. Les glaces de la devan mutuels des modèle, plus prospères, mon. hono-: Journal a reproduit hier l'élégante est devenue subitement folie 1et s'est jetée du ture sont brisées. Un agent' cycliste, est rame' ami, M. Vel-Durand, dont troisième étage dans la rue. La'mort a été vous aurait dit silhouette. isolé de ses camarades et fort malmené. plus de bien encore si ce n'était à lui qu'elle instantanée ; le corps a été remonté dans Il prend sa bicyclette par le cadre et s'en doit, en partie, les, remarguables résultats l'appartement. fait un bouclier. Les manifestants s'escri qu'elle a obtenus; ce que vous avez yeux, c?est l'image même de la Prément sur la machine, dont les roues sorit sous-les Exposition de mobiliers complets par mil feoture de police... tordues et les pneumatiques arrachés. Mais liers aux Grands Magasins Dufayel, siè Wagons brisés Puis le préfet parle des agents en ces un , des manifestants se déchire les, chairs -termes ges, tapis, tentures, articles de chauffage, : Un train de marchandises venant de la éclairage, au poignet avec la pé,dale. La vue du-sang ' De quelle ménage. Nombreuses attractions."" /de quelle patience ne gare d'Aubervilliers, qui coule de la blessure, peu grave, exas donnent-ils endurance, la Petite Ceintu sur tous les jours la preuve? Qu'il père les manifestants, qui se ruent sur l'a est profond pas chez hommes le respect de la re, et se dirigeant vers la gare de Pantin, gent. Celui-ci est protégé à temps f)ar ses fonction ! Quant ces à la bravoure, la première sur la ligne de l'Est, a tamponné, la nuit collègues, qui, accourus en nombre, ..font chose qui frappe la vue quand on le dernière, vers une heure, par suite d'une passe seuil arrestations quinze de ma maison, c'est une plaque de erreur d'aiguillage, une rame d'une ving .' ' •' r t 1 . « . ; „ bre :: cles.t la liste déjà bien longue maismar Les manifestants, dispersés à nouveau, ja taine de wagons qui se trouvait sur une On annonce cette'semaine pour : ' .closé des modestes héros qui ont payé voie de garage de la Aujourd'hui de -se dirigent sur la Bourse du Travail, où mais marchandi gare : leùr 'vie' l'é. dévouement au devoir I Avantils arrivent vers cinq heures. En route, ils de Odéon (1 li.), répétition générale de Jules ses de la Villette. Plusieurs wagons ont été Conseil le hier municipal de Paris, chargé de ont réussi à renverser deux autres étalages, décerner-les 2.000 francs du prix Lenoir 1 brisés, mais heureusement tout s'est borné César, de Shakespeare, traduction de M: L. de au à des dégâts matériels importants et Gramont. mais les dégâts sont insignifiants. Dans la plus brillant acte de courage accompli dans • ,. , ( per : Mardi : salle de Grève, devant un auditoire de dou l'année par un habitant de Paris, a voté à sonne n'a été blessé.' . Odéon, première représentation de Jules Cé l'unanimité différents orateurs d'un cents faveur Cet accident gardien s'étaint en personnes, de la produit pro dehors ze des en noncent des discours violents contre les paix. 11 avait fait de même l'année dernière... voies principales du chemin de fer de l'Est sar. Châtelet, répétition générale de Pif / Paf I pouvôirs publics et contre plusieurs jour ; r Mais le discours attendu avec curiosité, la circulation des trains n'a pas été entra " .• Mercredi : naux. L'un d'eux s'écrie : « Puisque les ma était celui qu'allait faire M. Clemenceau, vée. . Opéra; début de M. Carbelli dans Sigurd. gasins ne veuleftt pas fermer, nous les fer parlant de la police et du rôle qu'il enten Tramway tamponné Châtelet, première représentation dq Pif h merons nous-mêmes ! » De toutes parts on dait qu'elle occupe dans le gouvernement. Hier soir, à huit, heures et demie, sur le Pat ! Pouf 1 applaudit, et l'on sort pour manifester; en En voici quelques extraits : Renaissance, répétition générale de le Vo quai de la Conférence, près du pont des. In Ce n'est pas une harangue officielle que je valides, un tramway Montrouge-Saint- leur. core. h ., ,.-.... Jeudi : ' Dans le vestibule de la Bourse du Tra vais prononcer, je. veux simplement expri Augustin a tamponné l'arrière de la bala Renaissance, première représentation de le vail, M. -Bousquet, secrétaire de la Confédé-, mer les sentiments qu'éveille en moi la vue deuse remorquée par: tramway Gare de un Association. suis cette Je Voleur, de à la' réunion Lyon-Alma. venu ration du travail, prend à partie le régis , j'— reste devoir, Vendredi : plaisir, j'en par avec .. .. ... , par les forces contre proteste adjoint. Il « seur Les personnes dont, les noms suivent ont " admiration. tirai Théâtre Réjane, "avec répétition, générale do la policières que le préfet a massées à la L'honneur d'avoir. fait prospérer à ce point reçu des contusions Savelli. importantes peu et ont Samedi . ' porté de la Bourse. » M. Noblot lui répond .la So'cittt- de' prévoyance de la préfecture, en pu rejoindre leur domicile : M. et Mme Cha: qu'il n'est pas responsable de ce qui se revient à tous, chefs: comme subordonnés, zalon, rue de Jussieu, 35 ; M. Jihain, Comédie-Française (après-midi), répétition avenue mêmes. sentiments générale la Bourse, et le flot les de'solidarité. de l'extérieur Poliche. à mus par passe de la Reine, 154, à. Boulogne ; M. Adrièn ThéâtredeRéjane, à place trouve milieu la Je des première représentation de passe.-Mais, dès ma sortie, au me gar Galli; receveur de la voiture tamponnée des manifestants paix moi Savelli. la de la aussi, diens je suis de la Mme Ollivier; 26, car ; ". : le-service d'ordre les divise; Des cris s'élè police, j'en suis même Marceau,''et le avenue premier agent. A le ce : wv , vent : « A la porte Saint-Martin î » Et. cinq titre, je suis très heureux dé présider une brigadier Caillon, de la' 4° compagnie de ré La baronne Patti-Cederstrom, celle»que l'ad tard, de cinq nombre minutes plus au réuliion composéè de « flics », s'il m'est per serve'de gardiens de la paix. miration universelle La Pattî, est ar nomma cents, des manifestants, qui ont couru jus mis de me servir d'un mot d'argot ; je rivée hier soir à Paris. .. ... La veille, à Londres, malgré qu'au monument, y sont rassemblés. Ils suis convaincu qu'auoune voix ne s'élèvera RENVERSE PAR UN TRAMWAY. — Hier ses immenses que la vie des « dames génis vers midi, un tramway de la ligne Madeleine- proportions, la salle d'Albert-Hall n'avait pu partent, par les boulevards, dans la direc pour demander abrégée. Colombes a renversé un fiacre qui passait contenir qu'une partie des ' enthousiastes » soit tion de l'Opéra. En route, ils sont rejoints sesTout fier policier doit être de rôle la Ëlace. Malesherbes'. Le cocher du nacre, Paul qui voulaient l'acclamer4b joufr de son der son ; de manifestants et police accomplit par d'autres groupes grande sociale. 'ugué, a été relevé avec le crâne .fracturé et nier concert. une oeuvre des curieux en grand nombre les accompa-; • Vous faites votre devoir, mais cela n'est transporté à l'hôpital Le dernier, nous ne.le croyons pas, puisque pas gnent. Ils crient .: « Vive la loi ! » Ils • suffisant, il faut que la population le sache, absolument désespéré. Beau] on dans un état l'illustre cantatrice, dont laI charité égale conspuent certains journaux, en acclament que par vos actes'vous en fassiez la démons -OUVRIER BLESSE. — Hier matin; dans un mense talent, a bien voulu, nos lecteurs l'im s'en son estime. Pour des caissonssdu Métropolitain, place Saint- souviennent, nous écrire elle-même que son certains autres. Vers sept heures, tout est tration, que -vous conquériez cela soyez justes, patients, ayez du tact, Michel, un ouvrier terrassier; Hippolyte Sal- concours resterait toujours acquis aux œu terminé. ' n'ayez recours à la violence que forcés. Sur ter, âgé de vingt-six ans, a fait une chute et vres de bienfaisance. .... ... tout 1„ après-midi , dans , Les arrestations faites . pas de « passage à tabac », car c'est de s'est blessé ,à la jambe et au bras droits. On 11 y a encore de belles> recettes à recueillir n'ont pas été maintenues. , la lâcheté que de frapper un prisonnier et l'a transporté à l'Hôtel-Dieu.' pour les pauvres. vous êtes des braves, des vrais, ceux qui tou BLESSE EN, MANIANT UiN REVOLVER vu — en toutes occasions exposent leur vie. Un ouvrier polisseur; nommé François Bèch Les soirées d'abonnement à la ComédieAU HAVREjours, M. HEHRYCHERON Soyez de bons serviteurs de la République et âgé -de vingt-quatre ans, qui se trouvait dans Française commenceront demain mardi et ; enfin de bons citoyens... : chambre, 170, boulevard de la Villette, jeudi. une ' j '.M. Clemenceau, qui a été très applaudi, avec une jeune femme, s'est blessé accidentel "wv (Dépêche de notre correspondant). Variétés Aux récompen suivant ensuite la liste des proclamé lement, : son. propre aveu, en maniant ; a . , Le Havre, 2 Décembre. Il avait juste hier trentejours revolver. Miguelte Une balle y l'a frappé que un sein droit au ses:'." mère et tient l'affiche il dû. être sa du théâtre transporté.dans un état gravé des varié a M. Henry Chéron, sous-secrétaire d'Etat Chevalier de la Légion d'honneur : le doc etl'hôpital tés, sait quel on succès, car, dans cette à Saint-Louis. avec de l'Association. • à la guerre, député du Calvados et maire teur Trouiliet, médecin , première série, lç ~lè total ENFANT UN ÉGARE. On Officiers de l'Instruction publique : MM. trouvé,' placé chiffre merveilleux de des recettes-atteint a — de Lisieux, est arrivé au Havre à onze heu Guénin, quarante-' : deux cent commissaire de police ; docteur Na de'la Bastille, un petit , garçon paraissant âgé sept mille'cinq cents francs res du matin ; il a été reçu à la gare: par than Recht. et ce succès-, loin de trois qui pleurait ans, en réclamant ses de se .ralentir, dépasse encore : le général Azibert, gouverneur militaire ; toutes les pré Le parents. enfant, qui était vêtu d'un visions Officiers d'académie : MM: Eparteler, com pauvre s'acheminant Siegfried, dé allègrement sous-préfet M. en Naudin, marin M. vers la ; missaire de police : Durand, inspecteur prin- costume en cheviotte bleu foncé avait 100°, saps les recettes dejolie que cette co puté. pinal ; docteur Brézaguet ; Houbriet chirur un capuchon en drap noir et des bottines jau médie, pièce si parisienne, subissent la moin à boutons, été envoyé là allé Rosenthal nes à d'Etat tout de Mme crèche sous-secrétaire est gien-dentiste docteur Isaac a de dre défaillance. Le ; ; l'hôpital Saint-Antoine, * . . suite visiter la caserne Kléber où il a eu le Arlabosse, sage-femme. Samedi soir, et la cinquième foi» pour AUTOPSIE, UNE plaisir de retrouver le colonel Feuchères, . En.'outre, des médailles de l'Assistance pratiqué, hier, l'autopsie — Le docteur Socquet, à depuis,un mois, la recette a dépasse huit millt de M. Honoré quatre cent cinquante francs. qui fut son capitaine et qui lui donna ses publique, de .la Mutualité et des Services Viguier, qui trouva . la mort, au cours de l'in d'hygiène ont été distribuées. galons de caporal. cendie qui s'était déclaré, dans sa chambre, Le Gymnase, donnera les Jeudis 6, 13 et 20 Avant de se retirer, M. Clemenceau a ac à la maison de santé de la rue de Picpus. décembre Une réception à eu lieu ensuite à la eoustrois matinées supplémentaires de préfecture, où les.palmes académiques ont cepté le titre de membre d'honneur de l'As La mort doit être attribuée, à la fois à l'as MQàjtwaiseUe Josette, femme. y ... phyxie et ^ des brûlures. été remises à M. Delamare, président du sociation, • Samedi prochain, auma 4 Samedi de Madame,
LES LUTTES
AUTOURDE PARIS
A TRAVERS
PARIS
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Le Petit Journal
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heures, Un mxmslevr et une dame, • avec bonférçnce de M. Léo Claretie; f Le théâtre Antoine wv donnera jeudi, en matiaée, Riribi et Chez (es Zoaques. '_ " .• >- .. • wv . lieu ï>e»570 Dîner de faveur vient d'avoir, Mme Jeanne sous'la'gracieuse présidence de Sauiier. ' ' . M. Hen Une fantaisie écrite tout exprès par ri- fialoy la Petite. Reviie rl<• favctti y a été , Mlle l'occasion d'un fort joli succès pour prologue le dit Andrée Spinelly, qui en a . et une fine avec une intelligence charmante élégance. Elle a Teçu les félicitations de l'ai mable présidente qui en termes exquis, lui a dit tout le plaisir au'avait éprouvé l'assis * tance. > • • .nouvelle soirée de succè3 Ce fut doâc une §our Mme Jeanne Saulier. pour Mlle Andrée pine^ly et aussi pour MUe Marthe Knotb, qui a chanté quinze ou vingt couplets avec un talent des plus appréciés. On sait ' que certaines pièces sont achetées lendemain par les directeurs de l'étranger, au Paris, lors1de leur première représentation à réussite. constaté la la que presse on a Mais le Fils à Papa, qui vient de commencer sa brillante carrière au théâtre du PalaisRoyal, détient le record. \ qu'à Pa En effet, presque en même temps joué : était ris, ce très amusant vaudeville à Gê Margharita, le- 21 -novembre au théâtre nés, et le 25 au théâtre Alfleri, sx Turin, — et le public italien a fait au Fils à Papa le même triomphal accueil que celui de Paris. La .désopilante "pièce de MM/ A. Mars et M. Desvallière& est -déjà entrée -en répétitions au Residenz-Théater de Berlin, où elle sera don née dans -les penniers jours de décembre. * Wl " Aux Bouffes-Paristens : Malgré le succès du Cœur de Sylvie, la jolie pièce -de M. Gabriel Nigohd, ei remarquableRabuteau, MM. — ment interprétée par Mlle Jane Clot et Dublay vont faire incessamment une de -MM. Au reprise de Fred, la délicieuse,pièce Ajoutons R. Trébor. que, guste Çermain «t c'est rla créatrice 4e Fred, Mlle Marguerite Càron, qui reprendra, le rôle qu'elle a joué plus de cent fois' au .théâtre Moliere, Après 250 représentations consécutives,,Boule-ta-Bosse, le beau drame de MM. , Jules Mary et Rochajpd, va terminer sa-brillante carrière. -L'Ambigu, en effet, annonce les dernières représentations de son grand succès ; bientôt, ce théâtre changera son affiche, «t Roule-taBos.se fera place à la' Môme aux beaux yeux, -jpif'ce en *2 parties .et .8 tableaux, de M. Pierre uecourcelle, , ' wv L'Œuvre de Mimf-Pinson : Ce soir, les élèves des cours de diction de Mlle Jane Rabuteau sont invitées au théâtre * Bouffes-Parisiens des par MM. Clot et Dublay. ' vn £e soir lundi a lieu, à 1 h. 1/2, le dîner de l'Association des secrétaires généraux des théâtres et- concerts:, sous la présidence de M. Mounet-Sully. sociétaire doyen de la Co médie-Française.
BULLETIH DO TRAVAIL
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De notre correspondant de Moscou : Dans la grande salle de la Noblesse, la So
La fête de3 tapissiers, La fête des tapis siers, qui a.eu lieu, hiër—après-midi, dans la salle des fêtes de la Bourse du Travail, a ob tenu un vif succès et s!est prolongée fort avant dan? la soirée. RÉUNIONS
Aujourd'hui lundi 3 décembre. -* Dans la matinée,: ouvriers de la papeterie-réglure (réunion générale), salle des conférences ; ouvriers en colliers anglais (réunion généra le^, salle du l" étage ; ouvriers de la quatriè me catégorie des tissus (réunion générale), salle-du 3® étage ; maçonnerie-pierre, salie du 5e étage ; ouvriers confiseurs, grande salle de l'annexe, rue Jean-Jacques-Rousseau.
LES SPORTS
Hi™?arque
L'assistance était considérable aux trois enceintes de r hippodrome et l'après-midi s'est pa=sé par un temps couvert et un peu: froid, mais assez agréable, en somme, pour; la saison. Les concurrents ont été nombreux dans la, plupart des épreuves et le sport a été inté ressant. C'est encore Alec Carter qui a eu Ici honneurs de la journée. L'excellent joc key a piloté quatre vainqueurs : Journa
liste, Cintra, Chloral et Oie Ssuvage. Cette dernière était tombée au brook, mais Car ter n'avait pas abandonné les /rênes et il a pu se remettre assez prestement en selle la fin du parepurs, pour rejoindre, Jade II, qui avaitsur pria une grande amee, et le battre assez facilement. Carter, ac clamé après chacune de ses victoires, a été l'objet d'une véritable ovation après cet ex ploit. Violon II, qui se ressentait de sa dernière course, ne s'est pas présenté dans le prix La Haye-Jousseîtn, le- numéro important du programme et la dernière des grandes épreuves de la réunion d'automne. La course, disputée par les neuf autres che vaux qui figuraient au programme,, n'a -été marquée que par une chuté, celle .de Péterhof II au mur en pierres. Péierhof II s'-est immédiatement relevé sans mfll, mais Pierson, son jockey, a été assez fortement contusionné à l'épaule droite. La victoire a été pour Cintra, battant très facilement, après une course d'attente, Hipparque et Ile d'Elbe. François a fini quatrième. Journaliste, qpi était à vendre pour 6,000 francs, a été acheté pour 10,500 francs ' fiar M. E. Fischhof.
FEUILLETON du Petit J ournal du
3 Décembre 1908
(1)
—2-7
I {Suite) La crime I
Mais, à mesure que J« duc, son père, avançait dans sa lecture, les lèvres du jeu ce-tremblene homme étaient prises de colej.es. ment précurseur 4es grandes Il avait granêfpeine-à -se contenir. • • Son père acheva en disant : C'est tout. J'ai encore d>utres notes —police. de Je vous les épargne... ûu'avezvous à répondre ? tout ceci est igno k— J'ai répondra que ble et faux que vous, mon père, quj osçz me lire de pareilles infamies -pour... garde, interrompit le duc, em — Prenez pêchant ainsi son fils de prononcer un blasphème. . . Toute son était, debout. Mais le comte irritation débordait. Il s'écria : toutes ces paroles ? Voua — A quoi bon êtes un cœur dé pierre et je ne chercnérai piiié pas plus longtemps à implorer votre pour votre fils repentant. Vous m'avez dit
tout h l'heure ; (1) Traduction êt
Eh — Parlons affaires. —
reproduction interdites.
Grosse Mèré'*,'"
Lapis Lazuli 5e a. Oie Sauvage ,,J,.,-G ..:.p ....p Jade II ....G 6« c., Capoulié ....P Etendard III .... . ». .P P < Braïla .. .. . ..... •
>
8 »
vents ont été vifs hier, à Paris, et là {température s'est notablement abaissée.ll y .6 ? a eu quelque gelée blanche pendant 1a nuit. 6 50 La matinée été trèe belle, mais le ciel 5 50 s'est couvert avers le milieu de i'après-midi 7 50 jet fl a légèrement plu à la fin de la journée. 6 50 Aujourd'hui lundi S décembre 1906, 337" jour 8 50 l'année, 17® jour >dà là lune, 72* jour de de 59 »/ l'automne. 17 50 Durée du jour : 9-h. 43. ....... 33 » . .Soleil. — Leyer : 1. h. 35 .coucher 4 h. 3. 29 1.69
15 50 12 »
,22 50 12 .* 13 50
P
LA TEMPÉRATURE
7 50
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midi 54. Retour. — Départs du -champ de oourses ' ; jà. la -fin des epurses. ; , ILa Mohlayk. . iet
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;Dakar, le Marigot, de Bordeaux les 7, 21, © et |27 décembre ; de Marseille les 12, <20 et Si dé cembre ; de Paris voie anglaise les 11, 13 et |25 décembre i le Goëland, sur ,las aimas, de, jdARDIN D'ACCLIMATATION. -"Tous les Jours 1 fr. Dimanche 50 centimes. 'Marseille les 7 et 22 décembre ; de Bordeaux. GRANDS MAGASINS PUFAV{EL. Pe 2 h,.à^ h.. ?le 25 décembre ; .de Paris, voie anglais?,, clja- ; variée^ Concert. Buflet-Glacler. attractions ^- f«rique lundi'et vendredi ; de Paris, voie' espajf - més le dloagnolje.'• : " ignole les ?. 11! 14, 18, 26 et 29 décembre. 7» Pour la division navale de Terre-Neuve ;BPLLEiFIW -OEPHÉOMIQPE set Islande, le £hasselaup-Laubatet -le Lavoir jiier; sur Lorient, voie de terre (chaque jour. li Fié- ', ; 8° Pour la station navale de, Crète, che, svir 1» Sude, de Paris par Rfindisi, oua- " | PAÏIIS. — Pour répondre-à un itîésir expriir^ •" par un igrand inon^bra de personnes, au sujet : itre fois par semaine. . (de la grande audition artistique et populaire " 39 „Pour la stationde Constantinopîe,Mouet (Que la fanfare la -Sirène de Paris doit donner te et Mascotte, sur Constantinopîe, "voies'de! / ' ' ' chaque jour. aerre' i île dimanche !83 ^décembre, A 2 toeures >pivécises, « 10° P»ur la division navale du Pacifique,- idans la salle dujgypinase Huygjiens,je donne pure, Vaucluse, Nouméa, de Marseille le; jci-aprèg la .Qpijipositi«pn, par pupitre, des 150 !g3 décembre ; de paris par Naplés le 10 dé (musiciens composant cette;,excellente société cembre ; de Paris par Brindisi, le samedi jna-. : Z petits Jbugles : ,36 bùglës, 10 ^cltos.' barv-; tin ; Cdlimt, sur' Mazatlan (Mexique), "jus-' jto.ns, J6 .basses, 8 contrebasses eh cuivre; £ qu'.aù 22 et sur Santa" Rosalia : au 22 «iu 29 dé- (Contrebasses à cordes, C -cornets, S trompettes .cembre,' du Havre le «amedi, de Paris, voies, ,8 cors, 14 trombones, 5 à la-baltene,. l saxo' lundis, mercredis, phone les vendredis. sopranino, 2 saxophones soprano, >7 .étrangères, -, Tahiti, Zélée, saxophones alto, 6 saxophones ténor, fi saxo du 1 samedis et dimanches-la sur Havre 4e samedi i de Paris, voies .étrangères, phones baryton, E saxophones basse', 2 saxrus- -, les lundis, mercredis, vendredis, samedis et sfiphones sopraiip, ^ sarrugsopWones'. alto,
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VÉLOCIPÉDIE Vélodrome d'Hiver, — ^.u vélodrome d'Hi ver, les épreuves disputées hier ont présenté iUn réel intérêt. JLn voici les résultats :
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BREST. — Un maçon nommé Clet Pelle, âgé de trente-cinq ans, sans domicile fixe, a, dans la rue de Kerivin, tiré un coup de revolver sur
sa femme avec laquelle 11 est en instance de' séparation ; la femme n'a pas été atteinte ; Pelle, qui a pria la fuite, est recherché. ÉPERNAY. — A la 'dernière séance du conseil municipal, le maire d'Epernay & .donné lecture du testament de M. Hughes Plomb/ ori ginaire d'Epernay et maire d'Aycnay ; M. .'Plomb, riche à plusieurs millions, institue par testamen.t -du 20 septembre 1899, la ville d'Eper nay légataire universelle de ses biens, à charge pour elle d'allouer au bureau dé bien
bien, parlons affaires..-. Vous me dopnez donc soixante mille francs pour' payer més dettes de jeu. Je vous demande encore, j'exige une somme de trois cent mille francs pour .organiser une nouv^Jile vie». Pochu ! — Avec -la fille Hermann, de — Je vous défends, s'écria traiter .ainsi celle que j'aime. D'autant, et c'est là une parole dent je sais toute l'im portance, que vous, mon père, vous n'êtes pas sans péché !... Que voulez-vous dire ? i- Je veux .dire que votre -soudaine
ava
-r à mon égard, vo,trë froideur vis-à-vis rice de moi sont commandées -par d'autres mo biles que par la sévérité paternelle et par les exigences d'une*moraleinflexible... Ferr nande ne doit pas être étrangère à toute cette machination contre moi, mais elle abuse vraiment de votre bonté sénile afin de garder pour «lie l'héritage qui m'est dû. s'écria le vieux duc. Ma — Fernande ! nièce 1 pupille ; Fernande de Haut— Oui, votre mont. que vous avez recueillie chez yous à la mort de ses parents. devenez fou ! s'exclama le due.. — Vous pas fou 1 Je vois clair. Au— Je ne suis trefois -ie ne faisais pas attention à cette enfant ; mais maintenant «Ile a grandi, c'est, une telle fille et l'on affirme qu'elle commande ici .en maîtresse. Vous dites ? fit le duc avec une haute — dignité. en maîtresse, répéta Hermann — Je dis lui. hors de Devant cette insulte, le vieux duc de Châteaubo.urg se redressa, D'un geste énergi que il montra la porté. * je J commanda-t-il, vous chas— plus. es.... Xs sa vous connais Hermann ne bougea pas. irai seulement lorsque vous — Je m'en donné l'argent, s'écria-t-il blême i m'aurez de colère.
sirerit avoir 'c tionnement de l'Union"Sont prié^.0 oaui ca& ser au Biège spqial, ' p,.:ime; •Erht»t-Ijefèvre, L'
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mateurs «îandolinistes, '.inandolinistes et gui
taristes (hommes et dames).jfs>ndée;w 4893, a cdnatitiué ^oa bureau pour J906J,907, ..copiipe
ault;: MM. Çob^n, Résident ;.,V,igç>;urôipc, .vlceprésijleni,; Bravjerflt, ,direatewr-cne;f ; .Baillard, spus-chet iDussol, tr.ésorier 1; Painchaud.' seporte-saint-martin.— 8ih., Clndeiflllp ICWflrilr crétalrte ; ':Drouaùlt, archiviste". v ' ' Ion). répétitions ont Iieii le Les à mardi soir —î h., La Vierge d'AvlIa." 8 -îi. 1/E, 10 bis sarah-bernhardt. îe$ Bourg-l'Abtté, iOjl adhé jeub palais-royal. — 8 h, fl/^. Heureux père, Le JE^lIs sions '.sontleôueg. ; , ù. Papa. ,....... .... ; -,;t. 1 M,.,.' . ambigu . — 8 h. 1/2, Le-Sermentid'un-Arabe,-Boule• ,[Dép&ches-de nos correspondants) J lâ Jeniie -Frahae L'Harmonie 'Jdu.ta-Bossé. « , ATHÉNÉE r-.'8 (h. :l/#, La Ponette.PAQUEBOTS 20° arrondissement,-dire&teurJH.£ay, donnera, Résigné, Le h: 3/4, —8 Un BOUFFES-PARISIEN& samedi prochain, à 9 heures du^soirn dans les lignes .du soud-amériqvb Sylvie.. Cœur. de. du Lac-Sàirçt-Fàfgeau,,,uïi4banquet suivi salons NEW-YORK. .—' La Lorraine (C. G. T.). ve- FOLIES-DRAMATIQUES,-i- 8 (h. 1/j, jQkkâniHtqgTaà4'ocpa»ioa de.soniZS'ÀaniKeisaire^ bal, de nànt du Havre, est airivée le 1er décembre, > phe. Amour iejt .C'r. , ! cluny. — g,h,.^/2, Cambriolage'de coeur, le;MaJor CHARTRES .(Eure-et-Loir). Le 1,1 10 heures du matin. samedi 24 l'afriquè occidentale lx0ne8 de DÉiIAZÈT, , 'lîHaMnoEie CbftKtrainâ, îft3SC/2. jElle... 'TltS tUl -ta. ;l 8 novembre, .«» OU composée (Ch. -CorrïmXe-S R.) :Le est — LE &AVBE. — ar TRIANON.,t-i l/j Viya,ndlère, Iï !,,La 8 p,ffprt exécutants, brillant ,a dç 90 concert ,un lénériîte. de . rivé le 29 novembre, venant . molière. 1/2, Sous'l'Epàulette. 8 h. honoraires <mtembres auquel'prêtaient à — ses CordobQ. (Ch. R.J TÊN£RIFFIi. — Le est parti crand-cuicnol. — g h., Le rouge est mls.'iBloomMines -Lorza,.Çlary-^urej; ; mm. jvfessjleiirs du djeurfe. (L'Eco le.ur «pnepu^'s le 30 novembre pour le Havre et Dunkerque. fieldAnd.C*. Les ."Croîs le dos :tapeurs, U«e ,-çran.4e ,coi\sul.i.Won.ite. ïruc Fûret, Broussûl, Decard;(Marréi 'Ceroy. E.Dur/ lignes de l'extrême-orient rieu -. .' SAIGON*- VAmtral-Olry ,(Ctr. R.') est parti de SUnnllce. DU» a - .l'Harmenie^a , > • , .. of . , 'Vf Suivant un ancien -usage, '• le 30 novembre pour .Singaporé.. THÉÂTRES QUARTIERS DE SHANGHAI.L'Amiral-Exelmans (OU. R.) fert; le lendemain, jurs jnalinée gratuite au . MONOEV. 8h: tl/2, -La 'Porteuse de i Pain. — ÇRB. public ,Qharta,in. est ;pacti le .l w décembre pour le Nprd.. ^. l'Harmonie' Chardéux'.auditions', NELLE f Si tu veux. — /MONTPARNASSE : Jx# a budiami^ique. ' ces .lignes bu , 'gbùs la direction de ison sdlstàngué'ehef , Deux Gossès. — OOBELINS : La JDame de Montso- trainë; L'Amiral-Troude (Ch. ,R.J MONTEVIDEO. — cinq-doigts de'Birouk. Les ^ELLEVILLE : reau. M. !Durrîeui a magistralement interprété Piu— est arrivé le '30 mvembre, venant de Saint.montmartre Jjà Joueuseid'orgue. popu: — Vincent. LAIRE (BelleviUe). : .Cttaudine .à l'Ecole, Claijàlnc oiûiirC miivrfts ûe snn jrpnArrfrki.rA a* PERNAMBVCO. — Le Canatias (Ch. R.) est ià .Paris. — THÉÂTRE ARTS J'saphd — ' DES Rabouilleuse. montrouqe : La arrivé le <30 novembre, venant de Lisbonne. — TERNE* ': Le Errant. Juif ' lignes [des ,antilles t..,,',. SAN-JOSE-DM-GVATEUALA.— VAmiral-DU••••'' auionime îes îr>em£>i»es hO ,A i.ip»4up -fb ' j ' v • «t actifs ont pris ipar.t ' .an tradition» perr,ê (Ch. R.) est parti le 30 novembre pour SPECTACLES ET PLAISIRS JDJVERS noraires nel banquet, servi dans les salons Foy, et tocé, Arica et Punta-Arenas-. FOUES.BEROÉRE. V- ÏLe Timbre d'Or, iballet iep i ®idé par -le OTéfpt,; .assisté dp MM. fiuporc, COURRIERSDE LA SEMAINE Portai), ,La -vice.président tableaux, de M. J\i6tl,n .çiérioe ,.de r ha,rmonie î .Durrieu,.' direc» belle Zurka et ,son ^xceptrique. Championnat du jLes divers courriers de la semaine partiront ( adjoint ajij,'mair,e ét d'u» JDelacrpjx, tevx ; Monde de ltltte i'Padoubny contre tous. ' suivant leur destination : df' Chartres" " de nptabîlitéjs .nombre grand — .8: S. ,1/2, KspréfientatfOÏIS 1» Pour l'escadre de l'Extrême->Orient, îles NOUVEAUiCIRQUE. ^té d'.ifn variétés. siiivl «t nautiques. Trqupe flouvellp. Jbal -'très ànljné. Ce banquet a stations locales de .Coohlnchine et du Topkin . léauestres Clowneries. Téléph. 241-84. — Mercredis, jeudis, diSÂINT*DE|S1S î(Selné). Saïgon ,et JHaïphong. de Marseille le .9 et par manches et fêtes, matinées â. 2 h. 1/2. s'i-'.' : ï : ) t— Le règlement du . International" dé -$aint-Deilis. te 23 déceiWbre ; de Paris ' par Brindisi, le 15 OLYMPIA. jgr^ÇJ.-.cçncoufs Sn^Oet-f#fli;ip de — » Vers.les .étoiles i p
Nouvelles maritimes-
AUTOMOBIL1SME L'Auto-fiedoute. — On h'a pas oublié le re tentissant' succès de 1' « Auto-Redoute », la fête mondaine, et spoxtire organisée par notre confrère l 'Auto, à l'occasion idé l 'exposition d'automobiles. - ; ^ : .L' « Auto-Redo,ut3 j> .aura lieu .cette année le samedi 15 décembre A minuit, au Casino de Paris, dont la salle sera somptueusement dé corée poVr la-circonstance: CJROSS-fiOUNTBY
ta Prix Pauly. — Le Prix Adrien Pauly, ré servé aux scolaires et organisé par le Stade Français, s'est disputé, hier, sur une .distante de .8 JcUomotreà, dans les bois ds. Saint-Cloiid. Ea voici les résultats.:- • 1. Keyser (Electricité), ,39' 25" ; ,2. Agostini i(Rollin) ; 3. Dauvin (Duvignau) ; 4. Broussey HDiderot) ; -5. Bouissoux (J.-B.-Say) ; 6. Miatoulet (Alsacienne) ; î. Reyss (Elecîtricité) ; Broqzes ^J.-B.-Say) •; .-9. Hutter '.(Commer . cial) ; 10. Lambion (Electricité). Le challenge est gagné par l'Ecole d'élec tricité.
FOOTBALA RUGBY Le Championnat «le Paris. — Le RacingClub. de France a battu, hier, au iPolo, le Sporting-Club Universitaire de France par, 6 tioints (2 .egsaig) marqués dans la eeconae miemps, ' ' Hiêr, »à Tours, - lé Les Stadfrtos à TaurA. Stade Français "a battu rl'Union Sportive de Tours par 30 points contre 10. Toulouse bat Bordeaux. — Hier, & Toulouse, jle Stade Qlympie» des Etudiants de Toulouse
9 déplorable habitude de jouer avec des .allu-. mettes et c'est .à cette cause qu'est attribué^ 200 l»ec- 'l'accident dont elle a été victime. tares ; la ville devra, en outre, verser ,50,00P LYON, En voulant dégraisser des '.vête — de francs aux Petites Sœurs -des Pauvres ,d'Çper- ments wee l'.esseiîce minérale, une jeune nay et effectuer divers legs accessoires ; le tes bonne de dix-huit Joséphine Martirt, rue tateur désiré que l'argent de la succession soit des Archers, a misans, feu le au récipient qu'elle en partie employé à la construction du nouvel tenait en main et.a été grièvement brûlée. HOtel de VSJle projeté à Epernay et du marché MONTMORILLON:—.Les gendarmes de Lus' j couvert. diffi MALUII.N (Mord). — En jouant avec «a' sac-les-Châteaux ont arrête, non «ans .de 40 nommé Pierre Brugier, .âgé sœur, le petit Antoine Bosguyt, £gé de deux .' culté, un domicile fixe, :qui tirait des ,covips sde Sainte- 1 ans, sans ans, dont les parents demeurent ruerénverse pleine revolver rue de Lussac. en Barbe, près de la gare, est tombe à la . dans une'marmite,d'eaubouillanta ; l'état du MORLAIX.— rUn domestique nommé Roland i iLecoz, .âgé de :quarante-huit -ans, du village pauvre enfant est désespéré. . époux d'HerminalBocage, LJSIEUX. — Les de Heellaz, cooununa ,de Locmaaia, revenait occupations les-Vaux, étaient partis à leurs ' de la foire de Carhaix lorsqu'il .a été surpris habituelles, laissant .couchée leur fillette Mar- ' et écrasé jpar le dernier tram du soir, sur la celle, âgée de quatre ans, et leur fils Robert, ligne .des -.chemins de fer économiques, ptfès Ûgé de ' deux ans et demi ; le père, ô. «oh re de la gare de Hùelgoat. Son -corps a été trou tour, entendit son fiîs qui criait et vit qu'une vé -quelques heures après. fumée baisse avait envahi l'escalier ; il put OYOHNÀX. — A la sortie des usinés, Mlle; néanmoinspénétrer dans la chambre où était : âgée ,de dix-neuf -ans,: Cottet, orpheline, sa fillette, mais il n'y trouva que son cadavre Marie l'acide' suifuriq-ue à la face ,de son. complètement qarboniaë la fillette avait la à jeté de 40,000
membres, MM. AbgraU et Fonvielle, pour se rendre auprès de M. Viviani, ministre du tra vail, afin de lui exposer la situation.
excentri
».Apéri ques. —, tif-Concert. Dimanchet et fêtes, matinées. -, " pIRQUE P'HIVER (Téléph. :i83i-03). — A 8jh. sl/8. Attractions variées. -Matinées jeudis, m*. i fates à 2 h. 1/2.
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6°
BAL TABAÇJN (Tél. ^67-02)'. — Quadrilles ies îTabaridettes,« NouveàjiJé
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TfiftlNS SPÉCIAUX
kembre.
Une aire. de pression supérieure à 765 m/m s'é • tend ce matin de l'Ouest au Centré de l'Euro pe ; le maximum barométrique (775 ml<*) se trouve en Bretagne, Une dépression assez pro fonde persiste sur la Méditerranée ; elle amène des vente violents du Nord-Ouest sur le Rous- dimanches, 1 sarrussqphone-ténor, 1 sarrussophohe bary ; ,: -sillon. Des pluies sont tombées sur les .Pays. Duffùay-Trouin, ton, vaisseau-écola 1 sarrussophone basse, 1 earrussophone ,1e Pour Xl° Bas et la Russie ; en France, on en signale «des aspirants, sur la Guadeloupe, -de Salnt- contrebasse. ; : . dans la moitié Sud-Est ; on a recueilli 3 m/m -Nàzaire le 9 décembre. " * Y i, ,.< àfClérmont, là Xfe cpnoert annuel flue l'excellente société ' d'eau à Biarritz et à Lyon, 2 Maïseille. ohoiale les-Enfantsde X,utèce offre.à^es.iaemJÉTATCEUMEB En France', un temps beau «st probable ; la ! La breshonorairfi^.aura lieu le dimanche 9dé «st très .grossp à Port-Vendres. Xe cembre 1906, 2 heures température va se tenir dans ie voisinage .de vent jcnermodéré précises; à la salle a cOtes de la Manche des Agriculteurs, 8, fur -nos la normale. A Paris, hier,- température moyen •et de .est d'Athènes, rue avec lé' 1$ BretagAp, du Nord ep. Vendée.; " 2° 2 à la normale (3° 7). de Mmes 'Përduoet, de Ruymann da ne, 5° 9, supérieure dé concours Depuis hier, midi, température : maximum, Rysoor, MM. Perducet, Bataille, etc. 8° 6 ; minimum, 0» '5. A la tour Eiffel : maxi •Sous l'habile direction de M. E. Lafltte, les Entants ide Lutéce feront entendra l'Ennemi, mum, 5° 4, le l8r décembre, à. 1 h. du «oir ; minimum, -2° -6, le .2, ,à 2 h. 30 du -matin. de :M. H. .Maréchal; qui & .valu un si grand «la-»•-^ -.•,?. ' t ATMOSPHÉRIQUES » VARIATIONS .Y-en- succès a pette société ,a\i dfirpifir concours opéra: — 8 h. Ariane; — •Mercredl^'SiBnitf.'-id'Afixprre. dredl, Faust; -'Samedi, Ariane. .' 7-HEBMOMÈTRE 1 COMÉDtE-FaANQAISE. BAROMÈTRE */. , ; y-: ' ' T- •.) .ï . (WM 8 h. 1/3. Polyeucte., La — Plaisir-de (réunion du Xa oonseil...4;adminlstratlon .de rompre; <Les Mardi, Le Prétexte. h. 768»/° 0". ; 3 MAJIN. 3 h. MATIN..,. — Mepcredl'. Franclllon, lUne Kislte de l'Union des fanfares trompëttes de de franco 4* jan-'4ejiw 1 Mouettes: — 7C9 — 6 h, ' 6 h. '1/2, Les femmes savante», rte a.eu lieu le dimanche 85 novembre ; njusieurs — noces.Jeudi, ù. i 770 — 9 h. 9 h. — 9» ' — — Prétexte s 8 4i. 1/2, .Le .Plaisir de rompre,. tes société^ -de Pari? et la jP.rpvtnce Vétaient li» 771 MIDJC ' i Mouettes.' —'- Vendredi, -Fzanclllon. ' — -^^medl, fait représenter. midi — — " • La Fontaine de Jouvence. Les Mouettes. 3 h. SOIR..... 770 — '3 li. SOIR.. 10» )- i- : décidé Il été eette réùnion dîaocepter a -au OPÉRA.QOM-lQUErr&h. Mi, (wpr«sent^tloi> .populaire n]i€rp'e'"titre 369 6 h. 6 h. les -sociétés — .8° de et'clai tambours — Mardi, location), Mignon. 1 à prix jédults avec — h. 6" .— 768 — . 9 h. — Peiléas Môlisande..— Jeu rons aus6i.utiles<à-j'armée.etayant à faire-va*, Mercredi, et Carmen. — mincit *., r &> .,rr.,...: UIM7SI. ....y.» 767 Vendredi, loli les mêmes..revendications gue les fanfare^ .0t Phœbé. v-. di, Werther, Endrmlop ponjiojimie, Jadis.'—, Sa «ie:.trompettes-dans ries concours -Mathieu <pe u beine)La Tjle ide ^oh^me. ,l.e !' - i' medi, .Apbrqdlte. Les sociétés. A ~ *— ! 'b h. î-fi. Andromaque, Les Précieuses E
quinze,
Aujourd'hui,
icourses à
Dimanche 2 Décembre
francs, d'Avenay une somme de dans les Départementsfaisance et au bureau de bienfaisanoe d'Epernay, «on bois de Beugny. -d'une -contenance de
LESCRIUESD'UNHËROS PREMIÈRE PARTIE
......... ....G
c. Chloral
15 60 15 50 36 50
et le 29 décembre- ; de Paris -par ; Naplea le MM P; Ferrier et Bertol-Graivil i mus. de H Hlrchmann. -- Le Petit Chaperon Roùge et se: ^ loups viyaiits. -r -2 Ji. 1/3 J/l & h. 1/2, le ciné Poïii le' 2° Guey$on et le Du1 le Mohïcalm, matÀ " franc: t-t ~r" •> petit-Thuuari, «m Biz&rte de Marseille 5 foi3! J»AR|SIANA, Bd. Poissonnière.Direction p. Ruez. 27, par semaine. » -* "Viens-tu, chéri* revue en deux actes et dix ta3° Pour là division navale de l'Océan In f..— bleaux; Lina Kjuby, Vaidor, Lise Fleuron, Mary dien à Madagascar, ie Descartee, sùr- Masca-" Perret, Pçftl^yre 4 Vllbert, visser, Darius M., G1 *«.«*.'.%. rl6F 6tC. " ' Kf te : de Paris par Brindisi, le. 8 et le 15 dé place .Clichy (Téléph. 525-55). NouHIPPODROME, cembre et'-de Marseille le 9 décembre. direction Houcke et Bostock. — Tous ici .4" Pour la division navale ,de i;£jcéaa Atlan . y velle solfls, A."8 ,h, ,Sli 'Attractions variées ; « India » tique, Je D4£aix, tfur T-ouloa. koie .de terre ch'a>; < paotomime-i grand spectacle en 3 tableaux. que jour ; le Jurien-de-la-Qravièrè-etle ©'Es-' . Matinées jeudis, dimanches et fêtes, à 2 h. 1/2. Crées, sur Forttde France. .de fiordeaux le 26 MÉDRANO lBoum-Bi)um)._—S h. JJ2..AÎ, tractions nouvelles. Matinée»-tes- -jeudis, - dîmandécembre ; de Saint-îvazaire, les 4, 13, 18 et ches .et «tes. à. 2 h. .1/2. Téléph. 2A.0-65. Location {27 décembre. ' .r . ~ r7 : ' . ... de 11 à ,6 heures., ..-; • . , . • , Av. 5° Pour la station, locale de la -Guyane sur MÉTROPOLE '(Téléph. T28-29): |CIRQUE de la (Cayenpe, de Saint-Nazaire le.9 décembre ; t Ouverture <}e la maison dîhiver.. — de, Paris, voie ^.nglaisp, Jbes" 4'.et 18 décembre; Programme inédit "et attractions exttaordinairés; ieœrv#(lleux.xloutn. Jijatttt.... 4e Pflr.ii vpie •'hollandaise les 19 et 24 dé- — . . 4 et lo 18 décembre.
Courge ù l'américaine (50 .kilomètres), r- 1. Port-Saïd (steeple-chase), 3,000 ÎD.eyoissoux-Maréahal2.Poulain-JPagès. -Go; Prix Prix ' d'Encouragement. — 1. Ii^irdy .;^2. francs. 3.500 mètres. •— 1", Journaliste, au iven ; 3- Deschamps. vicomte G. de Fontarce (A. Carter) ; 2e O d on. — Championnat d'Hiver,, par matches succes SOCIÉTÉS ET G ROUPER ÎVIontchêne. à M. P. Woodlanâ (Defeyer) ,; sifs. -ridicules.—Mardi, Jules César (1" r^présen^aUgn), bat Thuau Deîagê bat Dcerninger ; — -Mfirci;efll, Jeuiîi. -vendrai et samedl, taies S", Ca,pitoul, à M. A. Faure j(G. Sauvai). putotsohkine — -Dupré !bat Hcturlier ; Otto Les réu r Les Enfanta de la Haute-Loire. ' " '. ; César.'* 3Sron placés : Espoir Charmant, Etna II, pWeyer hat Schwab • Dœr.. Ingold société "auront "lieu à Broka bat mensuelles de la Eèlftèhfl. nions ; CHATELET. — ; Cabecilla, Talien Wan, Pétrone III, Aus- fiinger bat Ingold et Del âge £>at $rokà. : l'avenir dans la .salle n» % du jeafé du Globe, qaitë - — 8 h. 1/2, Nos bons villageois. >2. vaudevills "9"h., 'Education de prlnee. Course éliminations, £ch>vab i. prochaine La ,est citain. Latude II, Baladin III (arrêté), Ror Hourlier par •8, boulevard de -Strasbourg. . — A/S, La,famine api -i->8-h. ^TQiup^ Made OYMNAse. heures, è dq.soir 3. Ingold. 9 les demain mardi, fixée à 4 (tombé), (tombé). ; Bath Mars Georgian , man moiselle Josette, ,ma femme. ' . . Course de demi-fond. .(20 ki heure Jes troi variétés 1" manche autres se tiendront à la même —'8"K. l/4 "La Main droite,- •Ml®oette-«t (tombé), Fringant (tombé). Dteux longueurs, lomètres) . J " ~ 1. Butler, en 16' 47" 2. Quessarç(. sièmes mercredis de chaque mois."' : sa aaère. dix longueurs. • • Relâche. «' fi 2 tours ; 3. Maver, à 4 tours. ' .civils.'—- La Société renaissance. . . Ingénieurs Société .des Prix de Bagatelle (haies), 4,000 francs, '2p manche (80 "kilomètres) : 1. Butler, èn itiendra sa- prochaine séance vendredi pro- antoine. — 8îh. 1/3, Birlbl, Chez.JeB ,Zoaquea. 2,700 mètres. — 1 er Chi lo Sa, à M. F. Cha- By „ 24":3/5 ; 2. player, A 4 tours s 3. Quessard, ù chad, à 8 h. 3/4, en son hôtel, <19, rpe Blanche. nouveautés. — ,8 ii. aJA, L'Abordagp,-Jaus n'avez .i , ; ; rien à déclarer 3 pard (G. Parfrement) ; 2», Lauzuna, à M. 6 tours.
(Télégrammes de nos correspondants spéciaux:) —-r D ima <;hk 5 D écembre.
nommé une délégation composée
Afi
....P ,.,.P -.,-P
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be Petit Journal régiment d'infanterie a célé bré hier avec éclat l'anniversaire , de 'la _vic une part bril toire d'Austerlltz à laquelle prit colonel le a passé, lante la 9° demi-brigade ; la revue dji régi dans la cour de la caserne, présenté le dra ment, pendant laquelle il a peau aux jeunes soldats.S» régiment dinfanUn soldat du deuxième terie est totnbé par la fenêtre du une étage de, la caserne Lacuée ; il a eucontu sérieuses de jambe fracturée et a reçu sions. ; r de . La. AUBUSSOH. — Les ouvriers mineurs 400, se vav.eix et Fourneaux, au nombre de heures .des, question la traiter réunis sont pour supplémentaires ; ils ont» après discussion, do deux
— 1er , Capoulié,
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Ile d'Elbe
Liliac, Pincette, Dameret II, Le Redoutable (tombé). Une demi-longueur, deux lon (Dépêche de notre correspondant) , gueurs et demie. Chambéry, 2 Décembre. 1 Prix de Viroflay (steeple-chase), 4,000 ' • M. Albert Le Quignot, dessinateur d'usine francs, 3,500 mètres. — 1», Oie Sauvage, à (A. Carter) (tombée et re à Bezé, canton de Mirebeau (Cote-d'Or), a M. E. Fischhof 2', Jade II, à M. E. Balsan (Cirot). était; montée) ; télégraphié hier pour annoncer qu'il le possesseur du numéro 428,847, gagnant Non placés : Le Dauphin (dérobé), ;Navarle «ros lot de 100,000 francs de la loterie , r«nx II (tombé). Trois longueurs. Prix du Bosquet (haies, handicap), '4/000 de Chambéry. ;
9«
à M. a battu -le Stade Bordelais Université-Clubpar *t l J>ut (15 points) à .0. S. Dufour (A.-E. Baies)2e, Etendard III, ? essais Les Hier, $ Genève, Lyonnais à M. M. Gaillard (H. Mitchell) ; 3», Braïla, le Football-ClubàdeGenève lé Servette battu Lyon a à M. Ch. de Gaullier (Saint-Léger). Non F. C, de Genève par 8 points 0. à placés : Petit.. Frère, Malgré Tout, Petit' FOOTBALL ASSOCIATION Maître, Ascot ÏT; Quatre Bras, Laïs, Arc Le Championnat Voici les ré de Paris. en Ciel, Fleur de Marie, Boyne Duck (ar sultats des matches joués hier—t j ... rêté). Deux longueurs jet demie, dix ton- • A Joinville ^ Association Sportive Française ' bat Club Français .par l'but 0, tueurs. . ; bat A Arcueil : Union Sportive Parisienne RÉSULTATS DU PARI MUTUEL Club du 14» arrondissement par 4 pesage pelouse buts à.Athlétique t V 2. 10 fr. 5/r. chevaux Au haras de Suresnes : Standard' Athletic. CJub nul (1 but à 1). et Gallia-Club font match l«c. Journaliste ..... • .g 21 # 10 » Racing-Club" Tir aux Pigeons : de France ....P 14 » 7 » featAuClub Athlétique 7 buts à 0. Français par Montchêne ...... ....P 20 50 12 » Paris Vincénnes Athlétique de A Cercle Capitoul ..,.P Si » 15 50 fcat- United Sports-Club à buts 0. 8 par p z. Chji lo Sa .G 56 50 27 > Un matph franco-helge. — Hier, à Lille, le ... .„.P 18 50 850 IBeersohot AthletioCIub d'Anvers a battu Ï'O..,.P 16 50 8 50 aympiqrœ Lillois par 5 buta à 1. Lauzuna *, Royal Visiteur . .,. r P 45 50 27 50 34 > 15 » 8 Cintra < e e. -,
COURSES A AUTEU1L Dimanche % Décembre
ciété philharmonique patronnée par la grandeduchesse Serge, a donné un superbe concert. Pour donner-plus d'éclat à la solennité, Mlle Yvonne Dubel,' (Je J'Opéra de Paris, est venue Interpréter quelques-uns de nos grands maî tres.'' • Elle s'est fait entendre notammentdans des œuvres de Massenet, Gounod, Saint-Saëns, et le public lui a témoigné par d'incessants rap pels son enthousiasme.,^-'orchestre était dirigé par le directeur,du Conservatoire de Varsovie, M. •Mylnascld. 1 Apres cette triomphale soirée, Mlle Yvonne Dtibei a dû -promettre de revenir. Jacques Bernard (Piggott) ; 3", Royal Visi La Rimpe. teur. à Mm.î Cl. Procureur (Defeyer). Non : Grande Mademoiselle, Marjolai CALCUL ÉLÉMENTAIRE placéô ne y. Cham «t, Syriaque, Pyrénéen, Norwètre, Ànizy, Fort Dauphin, Kââ, Plan, D'Epernon, Piatra, Impétueuse, Vantard, Voulez-vous pour xien. avoir une douzaine iChoisy le Roi, Sans Souci IV .(tombé). Une de couverts de table, une demi-douzaine de encolure, quatre longueurs. cuillers & café et, enfin, une louche : en un 1 Prix La Uaye-Jous^elin (steeple-chase, ' 'mot, tout un service de îamille T C'est bien fa hors série), 40,000 francs, 5,f>00 mètres. —I cile.Achetez un serviceen Orfèvrerie Christofle. Le calcul £st élémentaires vous achetez une 1". Cintra, à M. E. Fischhof (A. Carter) ; ' douzaine de couverts en argent, vous aurez à, 2°, Hipparque. à M. Juan Martin {G. Pardu prix du métal, 45 francs de frement) ; 3", Ile d'Elbe, à M. E. Thiébàux payer «n plus minimum et .40 francs de droit de (O'Connor). Non placés : Mont Joie, Le Bel façon au contrôle à la Monnaie.-Avec ces 85 francs/vous '. védère. François, Gainester, Le Hallier, PéChristofle. qui est; pouvez avoir en Orfèvrerie plus riches : terhof II (tombé); J Quatre 'longuèùrs, 'six tables,les aujourd'hui sur toutes les douze couverts, s loneueurs. i comme les plus humbles, Prix Maubourguet (steeple-chase), 10,000 66 francs ; une louche, 12 francs, et une demidouzaine de tuiliers "à cafe 7 francs Tout cela francs, 3,500 mètres. — Jw, Chloral, à M. rien en réalité puisque vous. Ch. Klein <A. Carter) ; 2», Grosse Mère, à ne vous coûte donc l'argent qui aurait été perdu. M. Gaston-Dreyfus (R. Sauvai.) 3«, Lapis de le payez avec ; fHÂlBERY, Lazuli, à M.' P. Woodland (L. Turner). Non Fontenailles, Bobette, LOTERIE DE placés : Solitaire II, LA
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francs, 2,700 mètres.
LjUNDI 3 DÉÇEMBjRÇ tfM.
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d'assassiner spn père pour 'lui voler de l'ar ma Bourse. marier avec "Claudia :;de Lér'i-; Et. dédaigneusement, il jeta son p'orte- gent et se Bocljiu. ,dol, v&pré monpaie par .terre. , ,, et.partez. continuç.-t-il, -— Kamassez-la, Cette injure, ce mépris augmentèrent en core la rage du comte Hermann. Il se pré Une enfant énergique cipita sur son père, le saisit par le haut puélqués minutes après; «une imain dis-i crête fî'appa,it à'la -porte du cabinet :o,ù me nait dé sé passer cette terrible scène. , coup d'arg.ent. Tù' m'én. donneras. Je t'y, La personne qui demandait ainsi, à en forcerai- Et j'époUserai Claudia malgré' trer ne recevant pas de .réponse, les coups toi... Et c'est une fille 1 Elle est belle ,ei je devinrent plus pressants. Puis enfin la .ser-' l'aime. Elle sera comtesse .de Ciiâtsauboùrg... tu entenjis, — puis elle deviendra rure tourna et la porte s'ouvrit. Une jeun,e fille de seize à dix-sep.t ans en duchesse. " ; , .surexcitation, il serrait terrible-' tra. ,Son lépàiçse chevelure, d'un blond cen Dans sa . ment la gorge du vieillard. Le duc, à moi dré, encadrait le plus pur, -le plus -délicat des visages,. encore ennobli par une pâ tié étouffé, prononça encore une .fois ; leur délicieusement mate et par un sourire Lâche î— Lâche 1... d'une mélancolie indicible. Tout en elle in Hermann répondait en criant : diquait l'intelligence, la .douceur et la -bon — Je veux de l'argent... je veux épouser té de toute sa personne se dégageait un Claudia... je veux... je yeux i ; 'Le duc s'affaissa et Hermann, £urpr%; ch-fti-me" exquis. On était conquis en la voyant, rien :qr'à.la regarder ; roula rfur le corps de son père. . , d'un riant for-: .entra-en Elle ry-e un jeu Alors Hermann vit rouge. Sans regarder, dissimuler voulà elle -avait si cé, nerveusement, il étreignit ia gorge du «lue comme dont la ligure se contracta ^.vec de terribles son inquiétude par .une \bonne ; Jiumeur t crispations, puis, hâtivement, comme iii-i feinte. . ,,dit-elle crncle, ayant Bonjour fouilla il les mon consciemment, poches de son — q.ué 19- porte fût fériée.. ' père. âu coffre-fort, courut vers le Ne recevant pas de ; réponse,. .elle aj ouIl prit la meublé de fer encastré dans le mur ,du ca :t8» .... 1i -.' f .t -C'est ,pd.ur .cela -.qu'il .ne binet de travail, l'ouvrit .et, pêle-mêle, il — J1 est sorti... vola des titres de rente, des billets de ban jsépojad pas. Dans la position où gisait le duc, ijl'îie que, des papiers sans valeur. . . •pouvait être vu au premier abord, par la Et, sans un remords du crime accompli, les yeux hagards, injecté» de sang, le vi jeune fille. glissé pr.ès du large 1>ysage convulsé, il sortit de la. pièce, -ferma la - Le corps avait de cuivre e,t il ,^e trouvait porte derrière lui et s'enfuit. reau-ministr.e Sur lé tapis, le vieux duc de Ghâteau- tout à fait caché. Fernande, prête à repartir, leva les yeux bourg râlait. Aux murs, les glorieux ancê .glace de Yenise, en face tres contemplaient du haut' de leur cadre vers une.grande ilor? idajjs ,un cri r.t^rr4J)le .d'elle et poussa, cette affreuse scène du meurtre. * Le dernier descendant de leur race venait ces seuls mots." " — Voici
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ancien prétendant, M. Louis iBShard, iâgé dej .lonne vertébraiè. 'Rp,n^né â' son domiéilÊ, iî 1 " "" " ' vingt-quatre (ansiqui llavçtit aibçmdonnée',aprè^: ,y mourut peu. après; • ROANNE. ; mariage. jiplice pnéve-, Sur,mandat avoir Je La lui .promis du parqùet la gen—. arrêté' lès nommés Chapard et jpue par l.e .père p, varrêté la jerne- fttlf. ï,es. darmerie'a en! -Rivet,, deux deux auteurs de ce .drame .sont ouvrier repris Jfle justice, soupcoon& * -peignes. ; td'ôtre les auteurs du .crime 4e Ferreux, jo'ù un ' ^ m REIMS. — Afin de trendre plus ffégulièce -ia; «eillard futjendii 4t îolér ' anarahe ,des itrains de HOyageurs qui subis-' TARBES. — Mme T.ftffàïllo .von-iro rfA .saient, depuis quelque -t<MXu>s, d.es : retftrd^ ; pc-: camionnés jpar Je .^r^nd nombre .de cplig de messageries,,et.dé.colis postaux-,qu'ills trans iiiB ci. o» araïttuw, uaiib un cnemin bordé de portaient, la Compagnie dès chemins de ter; -buissons, lorsqu'elle Déçut derrière la tètè .-une de l'Est vient .de créer deux ppuveàdx .trains pierre lancée par un indiyidu jiui disparut qui seront spérialement affectés ;au ;ttatisport, aussitôt jet ne put être xetrouyé. i'état de de ces colis' ; 3e jpremier ya .de (Gharleville A Mme Laïfaille est très grave".'On soupçonne Paris et il fait le service de la poste sur une i^n^noien métayer réqemm^t.-QQiJgédté. partie" de" son parcours' ;"le' second vient" de, „.YA^ENe1 ENN ES, — jLjes gendarmes 4e Meaux£t il.a.sog Jcajet.limité àJftej(iHS,|Où il Blanc.rMi^^.on opf,..mefiê A Aa maison d!ararrive à.à. 10 ;h. 16 .du 'soir ;; ;il precu^ ^es Voya rê.t une extradée qui leur .avait .été remise par ;^'est befoes germes l&s nommée îlageurs partir de Ia Fertê-Milon. Logeartilgé! . , ipeldloy, née le '23' juillet'une ,RET.HEL. — M. jQueptin-Xlésiré ne 1879, marchande de soixante-;deux ans, -deméurglnt % MenilîLe- de ®surre à Wirnille, 'poursuivie par 1Â oar•pinois, 4tait .monté .sur son .cheval pour se .quetjde BoulQgne.sur-Mer, à la date .du 5 dérendre ;ûux xhajnps, iors.quiune -y.ofée de per (Cambre - :lflÛ5, po,ur eser,oquqrie. : Cette femme e.tre transférée à ]Bo,utogne par la dreaux ;effray,a ^'.animai qui ^e cabra ;t le ..ca Mclpy.,ya ; w* ,1a ,cp- voj,tuxç .cellylaw. ' valier tomba a la- renverse st pe " s^
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f... mon Dieu 1 — Ah' Ci3 qu'elle -apercevait ^était,
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yiçnnent .à la -ffiis. Déjà ses -pensées en effet, an- se précisaient•; 3e formulaient avec netteté Fernande s appcpcha du corps de son on,vpus
La iglace, 'penclvëé, ,et biseautée ;de tous! ,çle. JBlle .se rassura tout Sabord .en-eonstacôtés,' reflétait 'le corps du duc avec' dès; ,tant ,qu elle avaat ^té victime d'une illusion .contorsions et. une. attitude, .effroyables. •_ a optique et-que «la glaoe, p&r .son reflet Un détail siirtoui .apparaissait .avec yi- iLnexact, ^valtidraixiatisé.la, situation, illiiN v gueur. Un foulard eh..^oie avec une large ay^t ,pas 4s soug,. raie roùgç mie piqrtait le vieillard, • et qui, ' <P e 9a sa main sur le fr,ont du . - la fièvre qui. secouait . .dans là lutte s'était dénoué, se montrait, vieillard ; mais dépassant un' peu le -gilet -et' se -réfiétait, ^apg 1 smpê.chaiti de >.se rendre compte ,sîison le" (duq longue^trai-néè de iîespir94t sang. .ejiçore un- .peu .ert isi quelque comme une L de vie .se manifestait. Fernande pâlit violemment Son cœpr,( symptôme •Cependant son impression ifut «u'il :n'ébattait ^.'briser.la poitrine. £>'un mouve ment machirial 'élle recula et -vint se heur Jaât pas mort. tai' ,au mur contre lequel elle s'appuya,; « id «s,t iéfanoui, pensa-t-elle. Pendant 1 toute tremblante. • , •une violente ..discussion .avec Hermann naurmura-t-elle. II 'l'a horrible, SûQO (Oncle ;aura été .pris d'une syncopé. li — C'est '...... •faut,;cacher à.tous ce qui s'est passé... Oui, ..tué ' .. . Puis fermant les yeux jpour ne jp;as voir, c'est .cela, .que -personne ne jsache... 1» Rapidement, elle promena tson regard elle réfléchit un cou'rj; moment, malgré le iourdonnament de .ges oreilles et le-tremble .dans toute là pièce ; elle aperçut le désordre ment de ses tempes. Elle ne savait -que fai (du ibureau, le coffre-fort ouvert, *les papiers plus bouger, car des jpenséés foulés, (froissés, décfoirés. .. re .et Posait to.UrMllwnaient'dans Comme un éclair, la pensée lui vint que confuses .son cerveau. ^ était éner-; Hautmon,t Hermann avait pu voler. " Mais Fernande de Mais,/dans .son ^honnêteténaïve, elle.rou gique. Des' .malheurs gui- avaiçiit attristé «àrae't.ère avaient mûri git elle-même de cette hypothèse"-et elle sa -son son àdblescence cQ^la^t dans qui ses dit tout haut;-comme pour'se convaincre et le très.nojjile .sang * \ veines, apportait à serti "âme les vertus d'hé-j encore plus ce-rfàs't pitsjipâslblé: famille ^'histoire idont Hermann un roïsme d'une Vieille — Oh ! reculé-.raconte les, iplus le volepç.,. Mon... ;eneor.e du passé nçm... • '.essaya de ranimerJe duc. -JN'y le «t Alors .elle courage. •prouesses : , . premier saisissement, -parvenant pas, ;elle voulut le porter, ,isur ' Cependant, dans le .JElie Elle avait lûche. sentit elle se peur. spn fauteuil, çifin d'éviter les «o'pmiérages, songea à crier au secours, à sonner, à ;S]eji- .et po,ur sapv,er l'hcxineur d'une maison. Elle prit le vieillard sous lés bras, le tirq, •fuir. . 'Cet instant 4e faiblesse Jut.de «ourte .du àialle, le traîna pr.ès .d'un large fauteuil où " l'habitude dp s'asseoir, puis, rée.. "'i ; -le .dus avjait ' , . ' Elle se. raidit contre la peur. Maintenant,; merveilleuse d'énergie, elle .réunitA Je pla.elle songeait à ce qu'elle devait faire. Elle >cer isur ;le siège, la tête .en (Arrière, renver ^ sée cherchait quel'étàît .son devoir. ' sur le,dossier, . . . La réflexion fut rapide, car en de'tels insr ÇAHU. T réoppre ' ^tatits, le cerveau- travaille Avec une .'incom , puissance et toutes les pensées i(La mte>àAen\<41!\-) parable
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LUNDI
^ /DECEMBRE OT
fixé au 19 mai 1907, vient d'être adressé aux Intéressés ; les Sociétés qui ne Fautaient pas reçu sont priées de le reclçimer à fyl. Savouret, directeur du concoure, 16, rue des. Ursu-i Unes, à SaiAt-Deni&, qui s'empressera de la leur faire parvenir. |e donnerai, lundi prochain, -les principales dispositions de oe règlement. "" ' " VU „• . de . ^'excellente• Société chorale les Enfants Saint-Denis a célébré lç 49» anniversaire de. sa fondation par un banquet, servi dans' leai salons de l'Hôtel Moderne." ' i . Gette solennité toujours epiprçintene la, flus grande cordialité était présidée par M., ç&utré, président dé la Société, 0e • MM. Adam, maire; Lei.uaa, Genévrier, Du-( -crocq, adjoints Qgiiaco, capUainç. afu 12Q8;, Lapertot, lieutenant 128e; psUj&yë et Kàimbagbér, directeur et au soùs-i^recteur de la So ciété ; Pangand, trésorier ; Sav'ouret, direc teur de l'Union musicale; Laborde, chef de musique du 120e; Feiitz, président de l'Asso». ciation philoteohnique Thivet-Hanctin, vice-, f(résident de la Ligue'; de l'enseignement ; ahyer, Levasseur, Grance, pybliciste ; E. 6autré, président des pompiers Adam, lieutenant des pompiers ; Tel, président de la Gauloise; Baslaire, directeur du choral de Paris. Tourmente, directeur de l'Harmonie Belge ;; Damzé, secrétaire général de la mairia ; P«rèt, secïàiaim général -de l'Union musi cale ; Dhont, délégué du choral de Belleville ; Groshçnry, sous-directeur de la Gauloise. ; Capnus, représentant de l'Harmonie Belge ; A- Pénissat, l'aipaâble secrétaire des Enfants
de Sgiint-DemsAu cours du repag, les Enlants de, Saint-De nis, dirigés par M. Kalmbacher, opt {ait en tendre la-« Chanson Gasconne •»' "de."L. dé Rill& interprétée avec yji goût très artistique. A l'issue des toasts, lç président la Ternis les diplômes, suivants aux membres d& la Société ci-aprè&
désignés : de présence : MM- Bar^ou, penet, Chailly, Dufour, Loubet, 10 ans de présen ce : M. Fournier. — 5 ans—dè présente : MM. Beyrebissç, Bancal, Çagô, C&nàs, Hymans, E. tefèvre, te Bonder, Lancelevée, Lefôvre, Molinot, Meunier, Peyrel, Schmidt, ThivetHanctin, Vieillevifi, Bourillon, Goypiéron, ^hwartz, Petierg, U Lamare, g, jLafaare et Cette fête s'est terminée par an concçrt im provisé, "' / " • - " . SAINT-DI^ïBtl, —' Dimanche dernier la So ciété Philharmonique de Saint'Dizier donnait sa 34» audit)qb , Sqos la direction, de ses chef, M. Pirro, elle a exécuté, au3c applaudissements de nombreux auditwr^ l'ouverture du Barbier , de Séyille. celle du Voyage en Chine, Canzonetta, pou?- hautbois et çjxjhestçe» lente de Coppélia, et le Retour à la vie. valse MM. Purand, Verrier, EmeriquS, Mangery, Sondidier et Lerouge prêtaient lçur concours à, cette ÊPlejçmité. "" . Ce concert » été suivi du banquet aniyiej de gftdnte-Cécile, présidé par Mi Mquggot, piftire, SUCY-EN-BRIÇ (Seine-et-Qi§eX fan' — «are de guçy a îôté Ja SaijitÇ'Céppe par un banquet -auquel assistaient les principaux no tables de la ville et les chefs des Sociétés lo
Au cours de cette tête la fanfare a fait en . tendre l'ouverture de Jeanne Maillotte, Retour à la vie et Salut à l'Alsace, dé Sali. Exécutés avec un brio remarquable, squs l'excellente di rection de M. A. Duchamb, ces morceaux ont été accueillis pai? de chaleureux applaudisseigents. • Un brillant bal à grand oyehestre, dirigé M. L. Mercier, sous-directeur dé la fan. pf0 îftre, a clôturé cette fête familiale, La fanfare de Sucy rappelle que se? çours •: fl3 solfège ont toujours lieu le jeudi soir, % huit heures, salle Lepoivrç, sous la. direction <Ja M-L. Mercier, qui est çjjargé de yeçeypjr
Henri tattUte,
Causerie financière Les reports ont été plus tendus sans être excessifs, ils ont été un peu durs; a\j£ teurs. C'est sans doute çe qui expliqueache moins bonnes dispositions de la Bourse. les Pe plus, la question du Maroc, lès dissenwnentg entçe Japonais et Américains & Sân-Franfiigcp, sont autant de prétextes,, peut^tee -Pas fort sérieux, mais dont se servent les vendeurs pour tacher de peser sur marché déj$ dé* eontenanoé par lq, tensiQi) un des reports, Somme toute, ce ne5 sont là que <^ea nuances que l'on peut discerner et signaler, mais qui n'eiripê"jhent que -la situation, gén^le m 50it sg.fjsr toisante au fondL
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comptant 96 » 96.10 r? p5 Amortissable 96.80 .Tunisienne 464 » 461 » — ' 3 ^ La lourdeur des rentes françaises pe çe dé ment pas. :Dès que prennent fjn les rachats d;yn découvert,-parfpis traqué pn peu vive ment, les cours recommencent à. rétrogsûier fous 1 fnfluençe des ventes du qomptànt, %
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3 J4 94. r. 45091. HOVUliWSPB DOMBBOWA4 cu D'AGUiLAS,bonB hyp'" 4%, r.100 MINES D'ALOiiUB-TOmeŒ 4 Û % :• MINES db malfidano 4 %, r.i 500 u* Niç^B^ 4 %. 13* séri«, r. à 500 SELS GEMMES RUSSIE MÉRIDIONALE c'* Q 1' dk construction ob.hyp.4 % ,
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FORGBS, ACIÉB. MARINE,HOMÉCOURT H.-F.,FOBGBS, ACJÉR. DBNAIN, ANZIN
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MATÉRIB^ AQJUCOLPBT IMDUSTRIBL NOUVBLLBSGALERIES RÉUNIES 4 %
PAR«-FRANCE 5 %, r. 4 500
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PHOSPBATBSDDDTRi^%,r.500f. Pordt*spaqn«'.s4oovib a mAdika.
RTCftAW494 priv.l"rang,rev.fix. 3 % 2« rang, reven, var. — SiBBIDIONAUX DB PORTUGAL 4 % % HPSCPV-*UW-V0JU>HÈ«B4 MOSCOU-WINDAU-RTBINSE 4 BADAJQZ,.oblig. hypothécaire5 % BANQBBCOMM1* HONGROISBDB PBST H¥POTILÉCAIRE DB BUHDH 1879. CRÉD.rONC.FRANCO-CANADIBN3%.
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4 %
92 50 96 80
or %.... colombib-1906 5 %..., cpB* 1904 5 94 or,.... ...»
450 :. 106 50 97 55
hongrois 1904 4 % (couronnes)., staljbh 3 %*%, exempt d'impôt. 103
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5 94 amortissable.. 103 45 98 65 TRANSVAALIEN,3 % s'-domingvk 4 %, Réel, fr.-amér. 255. .. 281 vbnbwbla. 6 94 Intérieur
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bl bueh tono, act. ordin" 100 p. — .—; — préfér. 100 p. KUCBEBIBS, KAFFIK. D ÉaTPTB,p. p.
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... 386 ... . bbaujolais 3 %, remb, à «2 &0 444..,' (Ch. fer),&%% de pBBisps,AWa 15 dbôue3.% (garjiu d4p.atdeJ.'Etat.) 40» 20 ÉcpNOMiQiiMpu {(««pi 9j|,s, verté 460 ..: Î0 ' -r s. lilas. 459-.. . .-f 17 50
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Ii est à remarquer de la Grand'Çombe, 1,370 ; Mines de Krjnka nuances, r. blanc, rosé, Baqhel et naturel. Si Nord Ï.738 1.749- + lli cours qu'il y a six mote,- l'iction était introduite sur (Berestow), .340 ; Mip.ès de la.Loire, 276 75 ; l'on ajoute à -son charme le magique Lyoq.., 1.313 . J 1.314 ; + le marché à. 110 francs, depuis lors elle n'a Mines .de MontramJjert. 780 ; Mines de Péron- pouvojlr de la Sève Sourciilère qui Orléans -V..".. 1-.343 Ï.840; pro.©essé de progresser. .C.':; nière, .540 ; Mines, de. Pontgibaud, 355 ; Mines c,uçe ap regard Un'doux éclat, Midi 14| .v., i>wi- i.i& est on ti'aotion Photographie animée est bien te* de Riva-da-Gier, 67 ; -Mines de Rochebelle, irtatajutanément w 87^ ir 9 Est ••. 8^0, transformée, méconnais aux environs, de 32 .fr. La Société va pro-. 310 ; Mines de la Roelje-la-Molière, 1,675 ; Mi saUle. ! -©uest 850 : — 5 Rue 855 Les deux produits véritables fiéder dans les cafés, brasseries et autres éta nes .dé Saint-Etifinne, 444; 50. ; Mines de Tréi }0: blissements Andaious 2o0 . ; 840 trouvant à Ja .Parfumerie Ninon, se . à des installationscinémai .fonds, 398 ; MiiWîs ,de Trifail, .311, j Nord de l'Espagne..... 277 277' '» »i tographiquespublics . qui. lui sont demandées. Ces ins de -Aibi (6,000 ac-.), 1;000 ; -Aniche- (72,000 p.),! .31, rue .du Quatre-JSeptembre : Duvet ^auaçosge 4201 5. tallations 425.; NiSon.3 ...... se feront moyennant une redevance -1,595 ; Anzin 100» (28;800 d.), 5,950 ; Azineourt fr. 75 ; Sève Sourcilière,.5 fr.-.' Pott Les- recettes- des sis; gr^ndeç' compagnies, fixe comprenant un changement de specta- (6,000 a.), 830 Béthune (17;000-a.), 5,100 Blan chaque flbjet : Q fr. 50. Un. seul port de DABUBON Frères française^ pour la semaine du 5 au 11 nov.em-, -Sle.jine au .deux fois par -semaine. Cette ex zy (30jÛ00<a.),; 1,400 Bruay (SOQiOQO a,),; S60 ; pour tx0 .85 l^s. ; deux ensemble.Env.oi contre ; pour TRUFFES et FOIES en GROS bre sont en plus.,value de 1,191,000 -francs, cej ploitation paraît devoir être une -source de Campagnac (7,000 a.), 215 Carvin (3,945 a.),; ; xnaadat. bénéfices, l'augmentation* ports Janvier qiy depuis, le.lw réguliers importants pour la so. 1,640 ; Clarenoe ,(20,000 a,), 346 ; Courrières >. 12. Bue VauvilliBrs. Halles Centrales, PARIS. N'oublions d'employer -ciété l'art les ' 55,447,000* francs. et viendra s'ajouter pas que d'affaires chiffre (60;000 Dou(70,000 a.), 100 au des a.), 2;669, ; Crespin •; ; les. chemins 'espagnols conservant leurs provenant de -là fabrication appareils de chy (18,220 a-), 1,025 (centième), 333; prgdjjits ne s'acquiert pas en ,un jpur, et Dourges ;: cours précédents. La spéculation est toujours' la'Ptiotographfe animée. Drocourt (3,500 a.), 5,100"; Escarpelle (28(865 qû'il os faut.paS; juger de -leur valeur- à,une active de ce côté. a.), 1,091 ; Ferfay (3,-500-a.), 1,651 ; Ferques .première application,. des Sapeurs-Pompiers L'obligation 5. % du ehemirt de- fer- de; Vlfe-f (6,000 a.), 80 ; Fliries-lès-Raches (30,000 a.1. 90 i INFORMATIONS 3tC' toria à Minas reste demandée. Son revenu au; Lens (300,000 a.), 801 ; Lens, dixième, 80 50 L'administration du Petit :Journal m'auactuel étant de. 5 1/0 % environ, ades; cours Liévin (29,160 a.), 4,559 ; Ligny-lès-Aire (9,000e .torise Automobiles Mors chances, de tenter les capitaux de placementi quélftues-: rares fois à signaler , des Conseils d'administration» Leur' 2,179 ; Maries; a.), 605 Maries (16,000 compo. qui» 1q. roois prochain, auront à, s'employer/ s Le bruit court que deux administrateurs n»-* (32,000 a.),; 3,105 Meurchinp.), -— ilivr<es,,d'ui!. spécial pour nos lectri(çinquième), 2,600 intérêt î ; sition et leurs attributions.. raient donné leur démission en présence de la No-rd d'Alais (8,000 a.), 340 ; Ostricourt (6,O0Û| <ces; En> voici un qui les enchantera ; il. a Soq/étéa tli? . difficulté qu'ils éprouvent à rectifier le fonc a;), 8,090 ; Thivencelles (5,000 a.), 650 ; Vicoi-t pour titra : Conquête et Gulture-.de, la Beau j Au de leurs tournées, cours ins ^noy, lf de% Pift tionnement de la société. (vingtième), 1,200 ; Ateliers Burton, 116 ; . té chez la, Femme. Je ne veux pas abuser pecteurs départementaux ont plusieurs gne . constaté que Le fait serait d'autant plus regrettable que Biache-Saint-Waast, 3,600 Denain et Anzin,; de la-place qui m'est accordée, et je me, nombre de compagnies ou. subdivisions Crédit Fonxjiçç. .707 * :.i? les intéressés comptaient beaucoup spr cet élé ; 2,390 Bcmjonnerie Thiant,; 820 Saint-Amandi 700, ; ; Crédit Lyonnais/,,. borne , à dire : « Lise? cela. » Le prix de >nïavaient ;pas,de conseil d'administration. 1,205 , 1.200 5 ment considéré comme très capable de rame (forg.-lamin.), Saint-Sauveur-lès-Arras, 670 Générale..,,.., M ; gociété «61 660, ner la période des dividendes. 210 ; Senelle-Maubeuge, 679 ; Métallurg. da deux francs n'est pour effrayer personne} Qet état; de choses est absolument contraire Banque de Pans,..,,.. 1,650 1.660 On ajoute financière .Je. crois que ce volume» serait même un 4 la loi. et il est bon 4e rappeler aux ofiiserait l'Escaut, 500. que la situation Comptpjr NAttOMU,,.:.^ ! 695 684 assez compromise pour nécessiter une réduc cadeau d'étrennes très apprécié. ciers que chaque compagnie ou subdivision Crédit Mobilier.:*...".'. 127 ' 12.6; tion du capital, puis l'appel nouvelles à de res de compagnie doit être dirigée par un Banque Ottomane, (t,), Gotisine ilaanne. £74 sources qui seraient demandées sous forma conseil d'administration. A J'axçepiion de la. Banque de Paris, qup sti d'actions de priorité. Le décret du 10 novembre 1903 est formel •BOÎTE AUX LEÏTRES • Nous donnons la nouvelle sous toutes réser mule sa prochaine, augmentation de capital, les sociétés de. crédit sont stationnattep. On a ves, par en dépit des déceptions que la direc simplement aux gens qoi souffrent des reins et le printemps annonce pouf lundi/prochain à ce s'uiet et les compagnies, qui négliged'ailleurs pas mal monté depuis un an et, si tion a déjà, données, nous ne. pouvons com du mal de dos de bien vouloir se rendre son.Exposition de-jouets et articles d'étrennes; raient de s'y conformer s'exposeraient aux bons que soient les résultats de l'exçrcicg en prendre que la Société Mors s'oit la seule en compte par eux-mêmes de l'efflcaoité des Pilu? qui dans ce-grand magasin devenu le plus .plus graves inconvénients. treprise d'automobiles qui non seulement,ne les Foster, en allant voir la personne qui nous élégant, de Paris, sera sensationnelle. -Se faire cours, ils sont largement escomptés. Les conseils d'administration sont ainsi d'açgent, mais en perd au point a donné l'attestation ci-dessous. Elle leur dé • inscrire pour le- oatalogue. gagne pas composés.: Va/o«rs ladustfieiioa i d'en être réduite à une diminution de capital, clarera certainement, avec autant de bonne foi W"10 m a meaux — Réponsetrop longue pour . 1° Pour les subdivisions : 3e 'l'oîflcier ., . aux . lettres trois ans après avoir procédé, en pleine pros -qu'elle l'a l'ait à nous-mêmes, que les Pilules une a.Boîte 24 nov. l«îdéq. Djfl!. », périté, du moins on l'affirmait, — à une .Foster .pour les.Reins sont de tous les remè. m® 6 a .— Cherchez cette adresse dans pré* ..commandant qu^ remplit les fonctions de des essayés le seul qui ait réussi. Avez-vous Suez '(t.);, augmentation de capital dont le seul objet de 4.500 4.510 cédepts,,,articles, ou donnez; la vôtre pour que président, du sous-offloier ou du. plus an les marnes symptômes î-Si oui, vous savez ce je vous l'envoie. Métropolitain (t.),..,., vait être de permettre de faire face au dév-e^ cien Bous-offlcier, s'il n'y. a pas de second 494 491 , < qu'il et reste à faire lisez soin rét Voitures (t.)',.,,.,,,,.. • 270 loppenient avee vous des affaires: : " 249 n . — Vous aurez les programmes des offleier, et d'un sapeur-pompier désigné . •.fléchissez; M'. Nouvel, ;45, -rue Victor-Hugo, concours au. ministère. Thomson Houston (t.)i 749 731 Grands tnttftUm ÇftrbeH par ses~collègues. Malakoff, nous dit : « Voilà.bien quatre ans BrjansK (t.) 330 318 .2° Poy 'les compagnies : de l'officier, . 1.265 Sosnowioe (t.) On nous demande de divers -côté? à quel, que je.me plaignais de douleurs entre les deux , 1.233 pnananaannannandttûdtidUbn^ chef de corps, président ; «les deux plus an . que, je fatiguais un peu, j'étais Rio Tinto (t.). motif attribuer là bausse des actions, de cette; épaules "et dès 1.936 1.965 ,+ qui dans pris'jusque le bas des reins, m'o» ciens officiers ; du plus ancien sous*ofôcier; Aciéries Nord et Est, ce société. POUR - GUERIR 1.91Q. 1.912 *4* obligeait.a.me complètement.,3e .. man. reposer MIGRAINES, DYSPEPSIE. Parisienne de tram.... " 172 d'un caporal ou d'un sapeur-pompier dési Nous croyons que le relèvement des-titres 170 choisist geais très sans-appetit, tout et peu en traduit gné par les caporaux ou sapeurs-pompiers Parmi les valeurs industrielles," les seules situationassez exactement l'amélioration de la sant.ma nourriture, oar rien.ne me disait ; CONSTATATIONet tout la* sociale. D'Importants remaniements fréunis;. qui soient encore véritablement actives sont ont été introduits !.'• mes. digestions étaient pénibles, j'éprouvais MAUX L'ESTOMAC de dans les services ; des réfor après les mines de cuivre, de plomb, de zinc, -etc., Le conseil d'administration est- chargé .mes repas-une-sensationde brûlure au ont été, appliqupeÈ ; çrifln, la bilan a été I '«iidv.FOIE^fcut ou encore certaines vàleurs récentes, surfont mes l d'une manière générale de gérer les inté de l'estomac ; j'étais découragé de n'a» et des ressources nouvelles ont permis creux d'éjeçtriolté, comme la Parisienne électrique, apuré voir pu,obtenir résultat décisif de rêts du aucun corps des sapeurs-fpompiers. constituer un fonds de roulement suffisant. médicament, lorsque je voulus faireavec bA TISANE la Compagnie générale de railways ou encore deTout des usage d'ailleurs date 'de plus d'un an. Pilules Foster pour lès Reins, dont j'avais Le décret du 10 novembre lai confère, le les Ateliers de constructions électriques du Mais cela en, résultats' les çommencé n'ont vraiment droit de recrutement des hctmmes, quand Nord et de l'Est.. Il semble qu'il y ait plus à à tendu parler, avec éloge. Dès les premières faire sentir l!exercice courant se dans que doses, je repris appétit, je me sentis plus à le corps est déjà constitué et le droit de gagner sur ces valeurs dont la marge de haus et l'on espéra, quelles aqtipns.ordinaire^ ellesest pe^t-être chaque-jour l'aise traitement marquait de recevoir leur engagement; se et encore considérable. DE L'action des ateliers de Jeumo,p,t (Ateliers de mêmes pourront toucher up dividende. une améliorationidansmométat général. Par contre, le conseil, a lé droit de refuser constructions' électriques du Nord et de l'Est) ÇhemSns Ethiopiens * .Aujourd'hui je: suis très heureux de pouvoir le renouvellement de. l'engagement d'un .J'.MUHJI I II l ! 11 .m >fj mil est notamment désignée/ Elle s'est avancée à recommander ce précieux .remède, qui m'a petit,'*les" obligations Cuéri Petit ;CIle^ à 4«s MUHcrs homme arrivé à, l'expiration de son enga des Chemins de 315. Situés dans une contrée où ffes usines de fait tant de bien en si peu de temps. ïe certi Personnes de fer Guérira.AussL éthiopiens U tombent, et à des çpyr$ de plus W fie exact ce,qui précède et vous autorise à le. vous toutes sortes sont en activité, les ateliers de t gement quinquennal. U En veot&dans toutesles pharmacies.Demandez C Jeumont peuvent les alimenter du courant $ plus .dépréciés. D'aucuns semblent s'en éton publier. » On trouve les Pilules Foster (mar Ce refus, pour être réfuté vaïàbl*- par u à M. Oscar Ffinyau, pharmacien à Lille, qui Q très bon compte. -L'action de Jeumont semble ner. Il faudrait plutôt s'étonne» du contraire; que originale) chez tous -les pharmaciens, ^ ; a introduit rft^ <Fraace Tisane Américaine D l'autorité, devra être motivé et la. notifica Mal conçue dès le début, peyt-êtrç, en outre, 3 fr. 50 la boite. Jl0«fr. les six ou franco contre. donc avoir des chances de plus-value. M des Sbakers, une brochure .gratuite .sur les g tion des motifs, fait» à l'intéressé lui-même maladies-et'lemoyende les «guérir. L'assemblée générale de la Société l'Eclaira mal dirigée, l'entreprise n'a jaipftifc £u ni mé ïïiandUti : Spécialités Foster, H. Binac, Phar ^ Innnnnaannnnnnnannnnnaap^ par les soinsdu président.ge électrique, tenue le 87 novembre, a fixé lç nager son crédit afin de pouvoir, aohever 1^ macien, 25, rue S^Ferdinand, Paris. Dans l'in-, Là ne. se borne pas Te rôle dés conseils dividende à 6 soit 15 francs par'-action lignek ni faire preuve des qualités commercia térêt dé votre santé, exigez la véritable boîte, I les, qui -là auraient d'administration été nécessaires pour stimuler avec signature « Jame& Foster », et refusez! de 250 francs. Le bilan fait ressortir une situa : ils ont aussi qualité pour CAPITAL ET REVENU résilier les engagementstion favorable ; mais ce qui a surtout intéres et développer le trafic. Bref, à l'heure actuelle, toute imitation ou substitution. 4. ! en cours. sé rassemblée,- c'est la partie du rapport du la ligne n'est qu'un tronçon insuffisant pour Dams tous les cas où le conseil d'adminis Comment le» augmenter conseil qui a trait aux perspectives d avenir. assurer le service des obligations, tration est âppelé'à statuer sur des deman Peut-être, si la ligne était prolongée, réalise-; Pour le "premier trimestre de l'exercice " en •Puisque de tous côtés, le revenu tombe à des de rengagement ou de résiliation d'en cours, le chiffre d'affaires es,t supérieur de rait-on des bénéfices, Mais cette prolongation, destaux presque riâicules, la préooeupation gagement, l'intéressé, pour que la sanc exigerait là des capitaux 66 % k celui de la même période de l'an passé , que société actuelle -des .rentiers et .des. capitalistes doit être de tion, soit applicable,.doit être convoqué huit et le eamet de commandes est plus abondam ne peut songer à se procurer. Alors, on envisa Nos doivent lecteurs découvrir craindre de des (placements plus rémunérateurs, jours à. l'avance à comparaître et être mis ne pas ge, soit une réorganisation financière, soit la ment fourni qu'il ne Ta jamais été. aussi, et des La Société l'Eclairage électrique, qui a ses formation d'une seconde société, qui recueille m'écrire lorsqu'ils ont besoin d'un avis, car Le difficile est.rooypns de grossir leur, capital. en demeure de fournir; régulièrement d y réussir, car il y a la ma . ses ateiiçrs de construction à Paris, a pri£ d'a rait la succession de la première, mais il va l'expression de leurs désirs me dicte les su nière explications. .tout le monde possède de soi que de toute façon, ne les nouveaux ca? jets de causerie que je dois choisir pour les vance toutes ses dispositions, e.n yùe dé la pro pitaux que, L'arti de gouverner une fortune etpas. de l'acprimeront les anciens et que ceux-ci; Enfin, le conseil d'administration, en chaine réduction des tarifs (de .consommation intéresser^ Souvent je n'oserais revenir sur oroître n'est plus laissé hasard il compor qui 1 ; sont représentés, par les .obligations en cir des questions déjà-traitée»-plusieurs'fois. te des connaissances au vertu de l'article 28' du décret du 10 noet ses affaires s'accroîtront sensiblement. Les tous <qui s'in culation, n'ont guère comme perspective que ceuK actions ont progressé à 277 francs. que est pourvu du droit- d'appliquer aux. affaires dlargent doivent possé ,-yembre, L'action de l'Union du Gaz (ir c séitie) est à de tout perdre, si on ne remonte pas l'affaire, L'insistançe de nos correspondants m'y ra téressent des, peines disciplinaires; C'est ainsi que Ce sont ces connaissances qu'un grand 825, .l'action de la seconde série vaut 800 et ou de perdre la plus grande partie si on la mène, et je reconnais que nul ne s'en der. établissement financier, « The London andi tandis^ que l'officier peut seul infliger plaint. 810. Ce» deux titres sont recherchés «t'ont de? remonte à l'aide -d'argent neuf. Paris Lted.x, a réunies dans un ou les trois premières peines prévues par Voici une. personne qui me dit : « J'ai es vrage Exchange clianee» de plus-value. Coupons d'actions expressément rédigé en vue de consti la loi. c'est-à^ira : « lai réprimande, marché p» banquo d'une foule de choses : .crèmes, eaux, tuer, pour les personnes à i'échêanc» tf» Décembre sayé en quête de bons pla-- la. ' sp à. î'ordrej la service hors-- tour » améliorer ji';arrive laits, et je pements et le& spéculateurs pour ma sérieux, un véri les autres peines» peuvent être prescrites peau ^'animation a été moins grande sur lç mar* (nets d'impôts et sur titres au porteur) table guide et luisant,, qu'à obtenir, aspect graisseux, conseiller sagace clié en banque. Notons, d'ailleurs, q.uè "l'on un un un,ouvra-? seulement Banque espagnole de crédit, 5^81 pesetas ; qui ne me satisfait qui, tout en vulgarisant les ; immenses par la conseil d'administration. aucunement. ge cowroence à montrer de la lassitude ,en pré Ateliers » çonstructions de du Nord de la France, .Celles-ci sont beaucoup., plus graves que .avantages qu'offre le « Stock Jî^change Notre lectrice ne nous parle pas de pou 'Londres, sence des introductions qui se succèdent ûm,s 41,70 ; Chantiers et Ateliers la Indique divers, de. Gironde, les procédés les-premières, de elles- comprennent : la, pri spé poudré; les iqurs et qui, trop souvent, ne ténw}gfl,qnt 10,82 Comptoir Lyon Alemand, 11,75 Eclai dre ?... et, sans il est. impossible culation qui permettent dé limiter adroite ; ; vation totale ou partielle pendant un cer d'une étude préalable £ufflsa,uxe. pas rage français et continental, 20,67 ; Secteur d'obtenir un visage mat et velputé. Parlons ment ses risques et de réaliser le maximum tain temps des ^'action de la Société coucesaiomiaire du Place immunités ou avantages Clicjay, 41,30 ; Energie électrique in* donc un peu d,e la poudre.. des profits. port et des magasins- publics de rj axis-Àu$ter- dustrielle, 6,84 ; Foncière lyonnaise, 6,87 ; Autrefois, les femines se servaient abon Cet ouvrage -a pour titre -« Le-choix des pla-. accordés, aux, sapeurs^pompiers l'amen-' litz cote 273 francs, en nouveau progrès. et Aciéries de la Marine, 22,50 ; Forges damment de poudre, dite de riz, cements et l'accroissement du capital » et il. de ; la privation, du grade, ; l!exclusïdn tem dans Quand Je« travaux seront .achevés, l^, so Forges — et Aciéries du.Nord et de l'Est, £0,25 ; Hauts laquelle, en général, il «« rentrait pas un /l'est pas un capitaliste, petit Qu grand, .sou poraire ;. la radiation,,définitive des-contrô ciété disposera de 57,000 mètres fie magasins fourneaux et Anzin, coupon 43, 11,10 ; atome de riz. A l'aide d'une grande houppe, cieux de ses intérêts bien compris, qui ne. le». couverts dont la location, W prix Mes par coupon 44, Denain d'Êpinac, 81,77 ; 10,93 Houillèr-es en faire la lecture. Il est envoyé gratui Nous,dirons dans une prochaine-chroni enfarinaient la figure. En même doive, son contrat de concession, devra .assurer à la Mines de Blanzy,; 22,60 ; Mines de la Gra;n4's'en elles tement lecteurs du Petit Journal aux de-; sur société )me recette d'au moins 610,000 francs, Combe, 23,56 Mines de Liévin, 70,37 -en envoyaient sur tous les mande adressée au bureau parisien de rensei que ,'dana quelles conditions lest;conseils Oiij- temps, eJLles : ; ' Les actions touchént, jen attendant, qp inté Lyonnais. 5,50 ; Printemps ordinaire, meubles ét en salissaient, leurs vêtements. gnements de « The London and Paris Exehan- d'administration peuvent, appliquer les rêt statutaire de 5 % l'an, payable par semes nium peines- dont l'autorité les a armes, 16,96 ; privilégié, 12,46 ; Tramways Algériens, De plus, en l'appliquant sur la peau direc <gg Ld », 32, avenue de l'Opéra, Paris. T tre, en mars et septembre, .La .brève nomenclature qui.précède .suf ; Etablissements Duval, 18,25 ; Machines tement, elles séchaient celle-ci et détermi pn a demandé à 442 les obligations 5 % or 23,13 . Hartmann, 50,71 ; Zincs Vieille Montagne, naient la ride précoca. De là. un préjugé CONSTIPATION fit ; auiourd!hui pour montrer quelle est' de la Compagnie des chemins de fer Nord- 20 New-Jagersfontein, 7,16 préférence, 2,98. contr.e la poudre qui a disparu depuis ; ; l'importance des conseils- d'administratir-n. Ouest du Brésil. On ,s>ait que cette Compagnie que Et i'on<se demande quel doit être l'état des prend à sa charge tous les impôts brésiliens Valeur» métallurgiques sait plus intelligemment s'-en servir et l'on présents ou futurs. Le produit de chaque em compagnies qui n'en possèdent pas. Par l'usage des. GRAINS SB VAIS et de Gharffttnniiges qu'on en reconnaît les bienfaits. prunt obligataire doit être versé dans un éta cotées aux Bourses de Lyon de Lille La poudra, — d'amidon de, préférence, — et X blissement dé crédit désigné par le gouverne t •qui ramènent les fonctions intestinales employéeabondamment •n'est plus Fjrminy, Aciéries que brésilien Trésor national, de 1,355 pour Aciéries dans ment Q,u au de la le ; En* Suisse; s'il" faut1 en- croire le jolimai des coliques, à la dose de deux dans le but de sécher l'humidité sans agents à Aciéries corps, un Londres, Marine, 1,385 dé ou de Saint-Etienne, tes mains ses pour être 1,582; ; sapeurs-pompiers de ce-pays, les- autorités ne utilisé à mesure des .exigences des travaux de Forges d'Alais, 169 ; Usines de Bo.uhey,. 101 ; soit de la transpiration, soit dés ablutions. avant dîner. Sur carte postale adressée badinent pas. aveci les imprudents qui ne se ! construction. L'intérêt garanti 6 % or est payé Saciété i&ilu.striçlle du Çauçase, .853 ; Chaleas: Pour le visage, on a une poudre Ûûfi, adhé ux GRAINSde VALS,86,Bd 'Port-Royal, conforment pas, aux. prescriptions de police gouvernement du Brésil sur les som sière, Ï80 ; Chamboji-FejjgeroHes, 1,190 ; Chas» rente,. qued'on étâlë invisiblement avec, un à Paris» par le concernant les préventives contre le reçoit gmtis mesures franco et on une . mes ainsi déposées. se, 1.580 ; jÇhatyion-ppmmentry, 1,240 ; Com- peu d'ouate» sur la peau préalablement boîtes-échantillon de GRAINS: DE VALS... Au cours deB' dernières- sécheresses, les. autoL'action New Egyptian a conservé des dis mentry-Foûrchambault, 1,005 ; Çoïnmentry., soignée, à l'aide d'un corps plus moins • ou position? soutenues a 42 et 46 fr- pour les imi Fourchambault (jouissance), 512 ; Construc selon de la nature celle-ci. Cette gras, pou tés, La crue du Nil cette année a été la plus tions mécaniques du Midi de la Russie, 50 ; dre, alors, donne TUBERCULOSE, C0HVA1ESCENCE bienfàjsànté depuis celle dç - 19.03. Tpu ? les. tra- 'Creusot ^S.cbneider), 2,030 ; Cuivres d,e Fran une sorte de transpa yâux d'assèchement exécutés par la pompa- ce, 280; Cuivres Lyon-Mâcon, 120; Elect. Métall, rence délicate à l'épiderme, en même temps Tont état de langueur et, gnie dans la vallée du Nil ont fort bien ré fran», 2,700 ; Franche-Comté,' 325 ; Frânao.-! qu'un velouté'jeune et frais. Sous un petit ANUMUariMUMneat Flki £& El siQuina,SncdeTiaods et ayant-pour des terrains ainsi eonquis Russes (Baird), 405 ; Horm.e (JEtabliss.), 143 sisté, la superficie volume on peut l'emporter même- sans eawe ja àtautrltton UoaM gaérifton prompt» «t LaMospliate de gur l§ Heuve a $tê Augmentés e^ les tovaux Horme ÏEtabiiss.) parts, 63 ; JPuta-BapXowa, boîte, simplement dans le coi» d'un mou- ttne wtoisj par r«<ni>}oJ 4A , 1
cales, sous la présidence dé M. Meyfer, «le^Sucy, et de M. Jaou}, président de lapialre fan-*
le» adhésions.
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Le Petit Journal
rités du canton de Berne rappelèrent aux ha bitants toutes les mesures qu ils devaient pren dre jipur éviter les incendies. . Les avis de l'autorité ne sont pas', comme chez nous, trop souvent lettres mortes, et ceux qui ne s'y oonforment pas Rapprennent à leurs dépens. C'est ainsi qu'une servante fut condamnée à 62 francs d'amende pour avoir laissé des cendres chaudes; dans un panier en osier, une propriétaire à 1,000 francs pour avoir accro: ché au plafond en bois d'une cuisine une lam
GUÉBISON A MÉDITER Le 19 février 1897, un pharmacien de
GEOISiCABBlEBE
s
LUNÎ5T S DÉCEMBRE 190S
« LE RHUME D'HIVER »
Pa ÉCOLE PI fî IF R 63,Ruede Rivoli, Parla.
ris recevait d'un malade la lettre suivante : XNVOX GRATUIT de la liste des Situations Commerciales, « Il y a quelques,années, j'ai attrapé un re froidissement, à la 'suite duquel il ' m'est venu un fort rhume que j'ai négligé et qui N degréa, tout oomprls. StO titras 59'..ctco0ipto5*/»6Ofl?n rembourtement. Vieux a dégénéré en un mauvais catarrhe. Au BBUl«r,C0te8.iNlêorfleeJBésieape(Héraulti jourd'hui, je suis atteint d'une bronchite affreuse. Je ne puis respirer à mon aise, V m TW* ' Au Donate* : f%mmjT 230 Ni* PRIX KEKL. SabaattlloM' - 70NS(Q.rd) GRATIS . A Xll_ «• MODSSANA D JALADBRT,A car je suis très oppressé. J 'ai l'estomac — plein de glaires et je ne puis pàs dormir.; ft # BJI TRKB FIN -0% fr. le* 220 Wmi ECUANT1LLON ORAT1V — BuNttl( MlUlS tOkid)* J'ai, tous les jours, la poitrine grasse; Je; VINltCOTXADZfi^JFiraiir do Dtaulu tousse et je crache chaque matin, pendant III fr. les 220 litres rondos sur votre gare ni trfls deux hèures de temps, avant que les glai- Vll¥ fin •JOMmeUsaBOYER.Dom.daBio.NiinesiGïrdJ res puissent se détacher ; c'est surtout pen dant l'hiver que je souffre. Cela me donne PAIEMENT
49'
n'existe rien d'aussi" ëfflcàce que. le SIROP DES "VOSGES pouc soulager et guérit" là" tôùx la. plus >opini&tre.
f
Voici,
Rosières
Moeeliel :
...
Mots carrés de
9
>.
,
contenant un carré de
souîicourt, a pontoise assurément, tout goinfre le ferait gêne, Sans par 11.
o;
,
8
;
On vous 1'... ornementa pour donner plus d'attrait ; C'est agir, en filou dans mainte circonstance ; ' Puis, .on... recausera pour rompre le silence ; 11 s'est dit pour lotir ; à nouveau, si tu veux,
On le soulèvera ; boucleras les cheveux ; Je le répéterais , le produit de la gerbe, Dans une chambre & grain, fait conjuguer ce verbe.
Puis, laissant de côté le dernier mot, je vois : Un avide futur ; plaisir ; voleuse habile ; partagé ; c'est ravir plusieurs fois ; Redire . Par anneaux se tiendra ; referai, c'est facile Voilà* mes chers lecteurs, le cas très curieux; De ce carré de neuf que je mets sous vos yeux. (Nos félicitations pour cette nouveauté, car c'est le seul, sur les 33 mois carrés de 9 connus à ce jour, constitue particularité.)
Le flacon, 2 fr. ;
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àme + colline = mélancolie
Les solutions, accompagnées des noms et adresses, écrits lisiblement, doivent, être adressées au rédacteur • soussigné: dans la huitaine. Amédée E esta.
FEUILLETON• du Petit J ournal du- 3 Décembre ,
-4i9—
AKviBàlxi I
1906
(D
SPOQUE3 ReTa R d des Notice gratuite sont JUnlial pli fermé.
, DEUXIEME PABTIB ;
IX (Suite)
: -
Ûortense poursuivit, ironique : — Hélène, la fille dé Claude Grandli©u> s'èSt"Introduite chez vous' soua un faux noin' afin de se rapprocher de son père que vou'â avez repris. Je connais l'histoire, j'é tais . la.. voisine d'Hélène ainsi... Pour sé rapprocher de son'père, et aussi pour-pouvoir plus librement rencontrer son amant, le beau vicomte,.dé" Penhoël. Ils s'entendent tous deux afin dé vous berner. Veus n'y voyez goutte, vous êtes là, à bayer aux 'corneillesi -comme une idiote, et pendant jce temps.'.; Ah;! malheur de malheur ! Livide, défaillante,' frappée au cœur, la comtesse s'affaissa sur un banc de pierre, derrière lequel s'étageait un massif de ' T. ' fleurs. ' . Et; de ses lèvres décolorées, ces seuls mots tombèrent. — Cherchez votre, mari, madame, et d'ébarrassra-m'en... Je vous donne toute li berté* .de parcourir le, château et le parc... Hortense ne se le fit par répéter deux fois. Elle s'élança comme une folle à travers les gazons, disparut sous les futaies cen tenaires,-confiante en son instinct qui, pen sait-elle, la guiderait sûrement vers les coupables... A .peiné avait-ellet; disparu, que la cloché . d'entrée retentit de nouveau. , Mme de Rochefide était presque éva nouie ; elle n'eut.pas la force de se lever. ' Néanmoins, elle pouvait entendre, et voi ci les mots qui la galvanisèrent Une voix <
(I)
Traduction et reproduction interdites.
—
surprenant immédiat.
entrecoupée, celle du docteur Lavallée,- di
sait
:
: Bonjour Benoît. Tout le inonde'est — bi#n ?
Madame la comtesse, le comte Claude, mademoiselle Villedieu ?... > Je l'espère, monsieur le docteur, ré — pondit le portier en s'inclinant. —^Rien de nouveau, alors ? . — Rien... Mais si... madame vous expli quera. ; . '.A..cet instant, ayant réussi à se mettre droite, la mère de Claude émergea du mas sif de fleurs. Rien qu'à son aspect, le jeune médecin comprit que tout était perdu. Il échangea avec son compagnon un re gard anxieux —^ George l'accompagnait en effet -r et demeura comme figé, à, quelques mètres de la grille. . .. son La démarche raidie, Visage anguleux durci, presque menaçant, Mme, de Roche fide avançait vers les deux hommes. • Robert' essaya de balbutier quelques pa
l'Intérieur.
Premier TIRAGE
15 JANVIER
1907
500.00® GROS LOT
, ;
ENSEMBLE DES LOTS :
2 lots de 500.000 fr. 1
— 3 — * 2 —• 2 — 5 — 8 45 — 130 —
gr. flao>,3fr.(3fr.60f">;les3gr.Oao., 6fr.).
iit
200.000 — 100.000— 50.000— 20.000 — 10.000— 5.000 — 1.000— 500 100 -v
ILOOO.OOO't
200.000 300.000' lOO.OOO' 40.000' 50.000' 40.000' 45.000' 1
65.000' 215.QOO' 2.055.000'
UN Franc (i fr.dOfoo) Pour«cer. directem.l'Enveloppedes Mlllloni enroyer mandat-postede 2 r.10à M. leD' de l'OfficeCaelral desLoteries.39,B'St-Uartlo,Paris, i
par les sucs et Principes vitaux des Plantes.
Se visse sur tôutei Itznpcsà pétrole et rem' place, evftntageu$em«&V le gaz. Ml donne i /O bougie» de lumtèr• en contom- I mot que / ((tre i«pé(ro!<m nehenni* 1 11 ne dégage aucune .odeur ni famée et | surpaise, comme résultait,tout becs existants. BEC RADIUM complit (miitohon et verre) I0 fr Franco contre mandat de lO fr. 86 > l'ancitn Bec A. B. C. comma «vant 9 fP.
Tous les malades désespérés et découragés trouveront,dans la Médecine Végétale, le vrai moyen certain et radical pour se guérir sans drogues funestes, sans poisons qui fatiguent le corps et délabrent l'estomac, mais à l'aide de sucs végétaux et sèves régénératrices qui réparent les forces, fortifient l'organisme et purifient le sang. , Cette méthode naturelle se trouve décrite dans le célèbre ouvrage
intitulé :
établissements paris'export
La Médecine Végétale n. • Avec ce livre, chacun peut devenir son propre médecin, se soigner et se guérir seul de toutes les maladies chroniques : Eczéma,: Dartres, Vices du sang, Glandes, Goutte, Rhumatisme, I «
Albuminurie,etc., en un mot de toutes les affections, même de celles réputées incurables, et cela sans médicaments qui empoisonnent, mais par ces précieux sucs des plantes qui répandent leur action naturelle dans tous nos organes^ et qui infiltrent dans nos. veines ET
MARCHÉ DE LA VILLETTB (Revue hebdomadaire)
niii.uauuuuiia uirecies aux anattoirs, 22uca au 29 novembre, ont4été de 1,306 tètes
500.000
au
de gros bétail, 2,615 veaux, 12,498 moutons et 4,779 porcs. Cours moyens du dernier marché, aux 50 kilos, viande nette :
FR. Bœufs.
Taureaux........
Vaches...; Moutons.
Veàui
I
1040 lots de
ÎOO fr.
1
20.000' 5.000' 500f
104.000^
200.000' 20.C00' 20.000' 20.000'
_ jf-ni fr
r. Miromeinh, torts.
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prix du Journal qui renseigne le Capitaliste et le Rentier n'est rien I ère I comparaison des profits qu'il lui assuré et des pertes qu'il lui évite.. I L'essentielest d'être impartialement renaelftnc. mbh Le JOVRNAL UEH KGXTIEKS (19> année) étant, SAXS CONTREDIT, le plus Indépendantdes journaux financiers — et le plus documenté vaut dono, largement, les r10 francs que coûte son abonnement annuel ;ot aucun de ceux qui l'ont lu pendait certain temps n'béslte à payer ce prix» un Mais, pour le faire connaître, il est envoyé, à titre d'essai, pendant un an AN à toute demande, pour le prix exceptionnelde lieux francs. NEE 1
Porcs gras, 54 à 57 ; coches^ 40 à 48. Gros bétail. Malgré le temps défavorable à la boucherie,—la vente a été meilleure lundi sous l'influence de la faiblesse des apports et lés prix se sont relevés de 20 à 25 francs par tête. Jeudi, la vente a été satisfaisante, tou jours sous l'influence de la modicité des .ap ports et les prix se sont pleinement mainte nus.. . ! . On spécialement cote boeufs limousins, de : , 73 à 80 fr.; bourbonnais, 70 à 76 ; normands, 65 à 75 ; bretons, 63 à 80 ; choletais et nantais, 63 à 73 ; manceaux, 63 à 73 ; vendéens, 61 à 68 ; châtrons blancs, 62 à 72. Moutons. — Lundi, la vente a été plus facile par suite des faibles apports et les cours se sont bien maintenus ; la première qualité a même dénoté une légère avance. Jeudi, la vente a été bonne et les vendeurs ont pu ob tenir une hausse de 3 fr. par paire. Mourons de choix et agneaux, de 104 à 108 fr. ; nivernais et bourbonnais, 90 à 107 ; berrichons et beai;cerons, 87 à 104 ; limousins et dorachons, 87 in 102 ; bizets.et albigeois, 87 à 100 ; toulousains, 87 à 100 ; sortes du Lot et de l'Aveyron, 80 à 92 ; gros métis du Nord, champenois et bourguignons, ,87 à 100 ; sa piens, 87 à 100 ; lorrains, 87 à 100 ; brebis métisses, 82 à 95.. . Veaux. — Lundi, la vente a été assez bonne et les prix du précédent marché se sont plei nement maintenus. Jeudi, les affaires ont été calmes, mais les prix sont restés sans chan gement. Porcs, -r Lundi, le marché a débuté ferme par suite des arrivages modérés, et les sortes trasses ont bénéficié, d'une légère hausse. En n de marché, la tendance est devenue plus calme. Jeudi, la vente a été assez bonne et les prix ont haussé de un à deux centimes par demi-Kilo vif.
Hanssmann,PA«IS (âo)r-
&& Qzcao *5$enâdcfp y ;
ebeau
PUR-exouis-pioesTfBte
ÎOOSCPICJfRS
n
Soles. — A Lyon, la condition a enregistré du 22 au 28 novembre, 161,576 kilos, contre 167,684 la semaine précédente et 118,355 en 1905. Ces 161,576 kilos se répartissent comme suit :
On s'abonne dans tous Bureaux de posie et, par timbres ou mandats, BEKTIERS,ei,'Boulevard
U JOlTBXALDES
Organsins, 18,263 kilos ; trames, 22,655 kilos i grèges,'120,698 kilos. La situation du marché reste des plus satis faisantes et les prix se maintiennent avec fermeté. On a payé cette semaine : Grèges Cévennes 2° ordre 10/12, 55 ; Italie 1®' ordre 13/15, 54 50 à 55 ; 2° ordre 12/14, 54 ;• Piémont 1er ordre 13/15, "55 à 55 50 ; l or ordre 20/22, 54 ; Brousse 1" orïlre 113/15, 53 ; 2« ordre 13/15, 51 50 i Syrie l?r ordre 9/11, 53 à 54 50 ; 2° ordi;e .9/11,, 51 à .51.50. Trames Canton fil 1" ordre 24/26, 55 ;
^
votriî petite-fillej de cette Hélène que vous
insultez. ' >5 Avertie qu'elle ' courait ' un ; danger, me* voici... Je viens, la protéger et la défendra ! contre ;vos lâches insinuations. Je-vous: assure, madame, intervint La* — vallée',-que l'animation de George inquié tait ' plus : encore que l'arrogance de sa cliente,-je vous assure que vous avez prêté l'oreille- à d'odieuses calomnies. > Madei.. la femme dè M. George Sainville mon ami, est irréprochable je m'en porte
garant: '
'
- — M'a-t-on menti, en m'avertissant. que cette Hélène est la bâtarde de mon fils l'in terrogea avec une sombre raillerie la vieille dame. ; .. t: , .— Hélas 1 pour cela non.
Mais seul je suis coupable. J'ai'crtf que votre coeur s'ouvrirait, j'ai cru que vous: vous attacheriez à ma protégée, et qu'ello saurait vous faire renoncer à votre'iritransigeançè. Oui, j'ai. cru bien faire' de vous rendre de salutation roles ; elle l'interrompit avec une-famille : pour embèllir le soir de /votre impatience et colère. vie'/; J'espérais même.' avoir réussi en Je -sais tout, proféra la vieille dame. voyant- l'attachement que vous. inspirait Vous avez prêté les mains à une œuvre in Hélène... ;'. fâme. .: , — Je l'aimais, murmura sourdement •Abusant de ma confiance et de ma cré Mme de. Rochefide, oh ! oui je l'aimais,';je dulité, vous avez introduit sous mon toit l'aimais trop... Hélène Grandlieu, la fille de celle, qui'dé Et maintenant,, tout s'écroule. C'est 'fini, tourna de moi mon fils, une intrigante com- je ne veux plus la voir, ajouta-t-elle en;porniè sa mère, et qui plus est, une gourgan tarit'les mains à son cœur, car elle!était dine. prise de suffocations. George, qui jusqu'alors, s'était tenu der Puisque monsieur est le mari, qu'il em rière son ami, et avait gardé le silence, mène sa femme... qu'elle disparaisse de de Georgre ne put en entendre davantage. vant, mes. yeux-,. " Volis cria-t-il. menti, Hélène Si belle, si douce et mentir avec cette au -i-' en avez mérite le respect de tous. •' dace... Se détournant comme 'si une vipère l'eût Mentir ! s'exejama Robert d'unie-voix — mordue, la comtesse s'écria : vibrante, Hélène vous adore... et vous le ? Quel homme est cet vient-il fâire sav^z bien, et vous n'avez pu vous mépren-; que — .' ici ? dre aux. accents de sa tendresse filiale... Si i. . suis,madame ? Je suis' —Qui je le mari de vous consentiez...
ordre 40/45,
Blés.
SANTÉ
t FR. ON PEUT GAGNER
Le Gérant : G. LASSEUR. C. MARTY, imprimeur, 61, rue Lafayette.
Elle fit un geste de refus désespéré. — Non,' non, c'est fini,' vous dis :je.- Vous aussi, docteur, partez... qu'on. me laisse . 'seule, toutè seule... toute seule... Ainsi je mourrai plus vite..; rAllez ! acheva la mère dé- Claude eh s'a.dressant ^ à...George avec une incroyable expression de dureté, vous trouverez'sans doute Hélène dans le parc en compagnie de .mon aneveu. son amant, ;paraît-il... Déjà la •femme de Tautr» est .à leur recherche... Al
'• ; lez ! quant à moi...' : " Elle n'acheva :pas, et .tomba : évanouie . dansîles bras que Robert eut juste le temps d'allonger pour recevoir son corps inerte. Plusieurs' xtétonations affaiblies légère ment par là distance, se faisaient entendre coup sur coup; Des têtes effarées apparu rent aux fenêtres du château. > t— On la tue I on me la tue 1 hurla Sainville plus blanc qu'un suaire. Ah I Dieu ! .nous^sommes arrivés trop tard. n'était pas propice aux hésita- L'heure "tiûhs. Laissant Mme de Rochefide entre les
iinains.de ses]gens, accourus en toute [hâte, •lançant à là volée quelques indications au sujet des premiers soins à donner, Robert se jeta; dans, la première allée de droite. ' C'était de là que semblaient venir les dé tonations... -• .. éperdus lles deux Pendant amis que cour -• l'aventure, expliquons à' rent en peu de mots commèiit ils s'étaient rencontrés. , Cela s'était produit le plus simplement dii: monde. Lavallée trouva George faisant .les ceiiit,pas. sur le quai de la gare de Ve-
50
Japon fil 2
; a ordrq 24/26, 58. — Organsins Cévennes 1er ordre 22/24, 63 ; 2° ordre 22/24, 61 à 62 ; Italie 2° ordre 24/26, 61 ; Syrie 1er ordre 19/21, à 61 ; Can ton'fil 1er ordre 19/21, 59 à, 60 ; 60Chine dre 40/45, 50 ; Japon fll 1er ordre 19/21, 611er& or 62<
16, Rue Vivienne, Paris.
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, A PRETERaep. s KZO'pen. ffentu, remb.parbillet» I mensuels ou en à 10 ans.Discrétion.Rien d'avance
; V'.—
2.Ûi5.000' Autoriséespar le Ministre
Les tillets pris séparément :
ta
par sara de la f. . Disposer en carré les mots suivants : La Ferté, Laforge, La Réole, Mageddo, Magonis, Marinus, Mar dans les deux gran VENTE au Palais, le 22 décembre 1906, à 2 heures. mara,- defaçon & pouvoir lire,deux TERRAIN A BATIR des diagonales, les noms de célèbres victoires BOULEVARD EXEUUNS gagnées par' deux empereurs. Conten. 824 m. 10. Mise a prix : 37,000 francs. SOLUTIONS S'adr. à M" PERONNE, avoué, et Peronne, notaire.
'
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Paris. Prix du Goudron-Guyot : 2 francs le fla revient À 10 centimes con. — Le traitement ftjir jour — et guérit. P.S.t-'— Les personnes qui ne peuvent se faire au goût de l'eau de goudron pour ront remplacer son usage par celui des Capsules-Guyot au goudron de Norvège de pin maritime pur, en prenant deux ou trois capsules à chaque repas. Elles obtiendront ainsi les mêmes effets salutaires et une guérison aussi certaine. Prises immédiate ment avant de manger, ou en mangeant, ces capsules se , digèrent très facilement avec les aliments, font le plus grand bien à
l'estomac et embaument l'économie. Les véritables Capsules-Guyot sont blan ches et la signature de Guyot est impri mée en noir sur chaque capsule. Prix du flacon : 2 fr. 50. Dépôt : Maison Frere, 19, rue Jacob, ris, et dans toutes les pharmacies.
ce .sujet, ce-qu'écrit
( Instantant.Santtrotter J'avais rhu.« un gros Une seule applieatio» me compliqué d'étouffé-\\ remet à n.enf toai objets ments et je n'arrêtais \ . noiri en enir, bois, fer. pas de tousser la nuit Diii-6r:126.R.L»fayette.PAiH une minute. Le SIROPI DES VOSGES arrité ma toux : unea journée après, je ne toussais plus et le surlende main je reprenais mes occupations, » Vous avez donc à portée de la main le re mède sérieux, certain, efficace,< le: remède qui a. lait ses preuves, qui guérit tous les ans des milliers et des milliers de personnes atteintes de rhumes, bronchites, oppressions, grippes: C'est le véritable SIROP'DES VOSGES CAZÊ. Sous son heureuse influence et dès les pre mières cfuillerées, la touxtiiminue po.ur dispa raître bientôt, l'oppression cesse, les glaires se détachent, le sommeil devient calmé-et ré parateur.'
Devinettes et Problèmes
Assez pour cette fois, N» 2324 •
LOTERIES ensemble2.34® LOTS espècespoi ,
Eimente: V", piiarmoi"etPhariû,'"0.CAZÉ,iS1-0uentin(Al3ne).
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Dernier est un canton situé dans la Drôme, Vous trouverez,,en;,s<jmme, En Cologne, mon Tout, capitale autrefois...
et contient DEUX Billets
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Mon Ceux, en Algérie, est un département, ..Un port également.
à>
M. MARCHAL,
IMPUISSANCE
que annoncé la retraite du capitaine Menard, asthmatique. Je n'ai pas d'appétit et n'ai commandant la compagnie des sapeurspomjiiers de Caen (Calvados) et sa promo plus goût à rien. » Je lis dans mon journal le récit des tion au grade de chef de bataillon hono guérisons •' - obtenues avec votre Goudron raire. : dans des cas sem .Le capitaine Binet, son successeur, a été blables au mien,; installé par le ihaire de la ville, M. Séjour Veuillez donc m'enné. assisté du commandant Ménard et du voyer un flacon de lieutenant Rabache. véritable GoudronLes adjoints au maire et quelques Guyot. Je veux esconseillers municipaux assistaient à la cé érer qu'il me sourémonie. Le maire fit l'éloge du comman agera. 1 dant Ménard puis félicita le capitaine Bi Fran Signé : » net et le présenta aux sapeurs-pompiers. çois Martinet, 14, Le nouveau commandant se mit alors à la rue Bonaparte, Pa tête de la compagnie et la cérémonie, se ris. » termina par un brillant défilé. Après avoir es Les sapeurs-pompiers de Campeaux (Oi du véritable se), ont célébré leur fête annuelle le 25 no FRANÇOIS'MARTINET saye Goudron-Guyot, M. vembre dernier. Le banquet, qui a clôturé : la fête, était présidé .par M.-le capitaine Martinet écrit de nouveau 15 Mai, 1897. Paris, « Martin d'Aubermesnil, de Formerie, et j'ai em M. Labarre, maire de Campeaux. Au des- - » Mon bien cher monsieur Guyot, envoyé, en sert, des toasts ont été portés par le lieute ployé le flacon que vous m'avez est qu'il ainsi prenant à tous mes repas, nant LangLois, commandant les pompiers prescrit; soit une cuillerée à café de gou de la localité, le maire et le capitaine Mar je buvais. Déjà, tin d'Aubermesnil, qui a bu au Petit dron par chaque verre quetrouvai une amé ce premier flacon* je Journal et a rappelé en terme!» heureux après dans mon état. Je l'œuvre accomplie cette année a uprofit des lioration,, remarquable les glaires qui pompiers par le grand, organe populaire. crachais plus facilément L'appétit m'obstruaient l'estomac. me re heu X quelques dormir vint un peu et je pus Encore un concours à ajoute^ au calen res sans être gêné dans la respiration. Je continuai l'usage du Goudron-Guyot et, drier de ceux prévus pour 1907. a toux qui La municipalité de Pacy-sur-Eure (Eure), après trois flacons, les accès de maintenant disparurent. J'ai de concert avec l'Union commerciale; orga m'épuisaient disparurent, glaires lus de g] appétit. Je ne crache plus nise un grand concours de manœuvres de un bon pompes à incendie pour le dimanche 26 et les forces me. sont complètement, revemai. . nues. A ce propos, nous ne saurions trop insis » Je vous remercie extrêmement d'avoir ter auprès des compagnies, désireuses d'or inventé le Goudron-Guyot, et je ne peux ganiser des concours l'année prochaine, que recommandervotre remède à toutes les qui souffrent ' de bronchites et pour quelles en fixent, dès maintenant, la personnes catarrhes comme j'en souffrais., r- Signé : date, afin d'éviter l'ennui d'être, le même jour, en concurrence avec d'autres loca François Martinet. » L'usage du GoudronrGuyot à tous les re lités. pas, à la dose indiquée dans la lettre "ci• , — dessus, suffit, en effet, pour guérir, en peu LA ETITE POSTE de temps, le, rhume le plus opiniâtre et la On arrive mê Nous rappelons à nos lecteurs que nous ne bronchite là plus invétérée. guérir la phtisie et à répondons plus, par la voie du journal aux me parfois à enrayer questions'adressées à notre bureau de la déjà bien déclarée, car le goudron arrête la décomposition des tubercules du poumon, Petite Poste. ' , C'est donc exclusivement par lettres per en tuant les mauvais microbes, causes de . de .fournir cette décomposition. C'est simple et vrai. sonnelles que ce service continue consultations familières. Il suffira d'adres ses le néglige, peut Le moindre rhume, si ser les demandes à notre collaborateur Saint- dégénérer en bronchite. on Aussi, ne sauraitYves, avec une enveloppe affranchie ou une recommander, aux malades d'en carte-lettre pour recevoir à bref délai le ren on trop seignement ou le conseil.demandé, soit en rayer-le mal dès le début par l'usage du matière de droit courant usuel, spit pour toute Goudron-Guyot. Si l'on veut vous vendre tel ou tel produit question se rattachant aux lois militaires. au lieu du véritable Goudrori-Guyot, mé fiez-vous, c'est par intérêt. Afin d'éviter toute erreur, regardez l'éti quette ; celle du véritable Goudron-Guyot porte le nom de Guyot imprimé en gros ca N° 2323.— Charade géographique fantaisiste ractères et sa signature en trois couleurs : 'par. m. o. doré, a bléneau violet, vert, rouge, et en biais, ainsi que . Mon Premier lut longtemps, comme ville féconde, l'adresse : Maison Frere, 19, rue Jacob, La maîtresse du monde.
\W3~de® Millions ' ne coûte que DEUKIrases seulement I
Le rhjume d'hiyer demande à. être, soigné, de suite 'avec de... • bons p^pduits et, si vo\is s,ùivèz;.... nos conseils, v.oqsV verrez' qu'il
pe non mjunie de la plaque protectrice régle mentaire. Enfin, un fumeur qui avait vidé sa pipe dans un crachoir rempli de sciure de bois a, dû payer 35 fr. 60. " Si, chez nous, tous les-fumeurs imprudents étaient frappés d'amendes, celles-ci constitue raient une sérieuse ressource pour le Trésor. envie de vomir et cependant je ne vomis AMtS ' - f J'ai essayé bien des remèdes, des ti-' pas. GUERISON imiuediat. — Notice gratui sous pli fermé, gratuite Il y a quelquês jours, le Petit Journal a Le sanes, des sirops ; rien ne m'a fait du bien. Kèaultat . Dlreot'delaFbarmacle.G.RaeFeïdeaa.FARIS.ft/toA.aao-SS. médecin m'a dit je devenais
X
L*En veSopp®
Sa guérison .certaine ^ . Vosges GAZE p^r.le «.Sirop des # (ï
Nous
avons par continuation un — temps doux et humide qui permet d'achever les ensemencements dans le Nord et qui est très favorable & la végétation de la future récolte, et la satisfaction sous ce double rap port est générale. Les offres ont été peu plus abondantes cette semaine, mais, un malgré que les vendeurs aient été plus empressés, les n'ont pas reculé car la meunerie a des prix Desoins immé diats à satisfaire et elle est .obligée d'acheter et de souscrire aux prétentions des détenteurs de marchandise. La période de la Saint-Mar tin qui était autrefois caractérisée par une chute plus ou moins accentuée des cours s'est donc encore une fois bien grâce à la -* politique intelligente de. la passée, culture. Il est. per mis de supposer que les offres vont rester en core régulières pendant tout le mois de dé* cembre •; nous peut-être une petite baisse de 25 à 50 aurons centimes par quintal à enre gistrer .mais lé mouvement rétrograde né rait aller plus loin et si la meunerie était sau pré voyante, elle devrait profiter de l'augmentai tion des offres que l'on peut prévoir, racheter ' et ' regarnir ses magasins de pour, mar-1 chandise. I , . La farine a encore baissé cette semaine bien que li>3 cours du blé soient peu près stationnaires. Ce recul n'est doncà causé que fian la concurrence que les fabricants se font en-, tre eux et comme la culture ne se laisse plua comme' autrefois émouvoir par les change ments de la cote des farines, ce sont donc les meuniers qui font tous les frais de, la dépré* dation du produit fabriqué. Les'cultivateurs ne veulent pas entendra parler de réaction et ils dans leur rûle évidemment ; étant donné sont le peu d'importance de la récolte, le bon aspect des blés en terre et la mévente de la farine sont un obstacle au relèvement des prix. Cependant comme l'intervention de l'étranger n'est.guère et que la petite culture giaura.plusprobable, grand'chose à'vendre à partir de, janvier, il n'y a au cune crainte à avoir en, ce qui .concerne l'ave-i nir des prix. • :. Voici la cote des blés étrangers-.;. Cite
Plata......
Walla..:...
Danube...î
Mer Noira.
Australie ..
Indiens....
'
Ports. > ,,anglaise français 28/1 à29/9 .....16 60à.l7 20, 29/3 à 30/3 16 35 à 16 90
-25
427
14 50É15 65 15 00 à. 11 50 17 10 à 17 40 17 30 417 60
»
27/6 à 31 » '29/6 à 30 » 30/6 431/1
Rendu au* usines ' 2i 60425 20 24 35 à 24 90
22 50 à 23 53 60 à 25 25 10 à 25 ,25 30 4 45
65 20 40 60
Avoines. Ainsi que ndus lè'clislons il y a huit jours,—nous estimons que la résistance d 3 la culture pour vendre' de l'avoine été a trop grande et que cette abstention pourrait à un moment avoir une influence sur les !.. cours. En effet, à la faveur dés hauts prix prati qués les importations ont fait venir des tités considérables d'avoines exotiques quan* en; même temps la consommation faisait de et gros se économies en employant des succédanés pour la nourriture des animaux de la ferme* Il faut dire aussi que la température rable aux "travaux des champs a retardéfavoi le8 battages de cette céréale. C'est ainsi que'là seule région- qui ait eu véritablement une as sez bonne production d'avoine, la région du Nord,. occupée aux arrachages de betteraves. puis aux labours et aux ensemencements qui1 ont suivi, n'a pas battre et, conséquemment écouler une bonnepupartie de sa production à, des prix très avantageux. Il faut donc entrevoir' maintenant une aug ' mentation des offres de grains de qui vont coïncider avec des arrivages depays l'étran ger, ce qui ne manquera pas de provoques un fléchissement des prix. • :
•—Mon ami, essaya d'insinuer le méde — Oh l mon père, mon père... mon pèrei • cin, je t'assure que ta présence va tout chéri !,balbutia Hélène avec désespoir... gâter.' Crois-moi,, il en est temps encore ; Parle-moi, comprends-moi... Je suis tai reste. fille, ton Hélène, et tout à l'heure, peut-être . — Impossible. Inutile d'insister, rien, ne que nous èerons à jamais séparés. Après itfe'convaincra, tout ce que j'ai fait pour me rapprocher de Puisque tu m'aimes,. sois, bon. Rends-, toi... ; moi encore ce service. Introduis-moi à Ju Ne te souviens-tu pas de ta femme, Max* j'y ai pensé. Fais-moi ..Tiens, celle ?... Marcelle ?... passer sors. pour, un des aides du docteur Sampierre, ; Le malade pencha le front comme ha* ou n'importe...
/Enfin je viens avec toi de sa part, voir le malade, m'assurer des conditions dans les quelles l'opération chirurgicale aura lieu... Sainville insista tant et si bien que Laval . lée se'laisga convaincre. • • En arrivant à Jusors, il ne savait trop enicore quel prétexte invoquer. La présence de Mme de Rochefide auprès de la grille d'en• •tréei coupa court à toutes les précautions
oratoires. Nos lecteurs- savent le reste. -Quant à ce qui s'étaiit passé entre Penhoël .'et!a fille de'Claude, voici. Après une nuit que l'on devine, c'est-à• dire'One nuit blanche passée- à ressasser [son angoisse.Hélène s'était levée dès l'aube.; Comme d'habitude néanmoins, elle vint voir Claude, qui la reçut avec son. doux ;
sourire habituel.. ! pensa la jeune fille dont — Pauvre pèredébordaient de larmes/s'il ;ies grands yeux savait, s'il pouvait se douter... •Profitant de ce qu'elle était seule avec le 'malade, elle s'en approcha, et déposa sur' •son front à la place de la cicatrice, un furtif baiser. — Pourquoi pleurez-vous 7 demanda qui l'entendit sangloter. Il ne Grandlieu faut pas ; c'est mal. Je suis très content que vous m'ayez embràs'sé,. oui," très content. Vous m'embras serez encore dites ? Je ^préfère votre baiser
soul, essayant de tromper ainsi son im patience.' ' '• 'I . Que veux-tu, dit-il en répoiise; à la question muette que lui posèrent les .yeux de Robert, je n'y tenais plus. J'irai à Jusors et j'y pénétrerai coûte que coûte. JTèspérais prendre un train dès.l'.'aurore, .,il n'y en a .pas. Voilà pourquoi je suis ici à-celui de la vieille dame qui m'appelle son encore.., i fils,»
rassé.
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— Vcùis êtes très gentille, et je vous. aimô bien,
dit-il, mais cela me fatigue beaucoup, de vous entendre crier comme cela: J'ai la tête sensible... elle^me fait mali toujours... Ces noms, ces paroles... dansent dans mon cerveau. Malgré moi je cherche...
et ensuite je suis plus souffrant. D'abord je ne connais pas ..de Marcelle. Tenez, mettez-vous au piano, et jouez doucement un air pour, m'endormif... Ja dors si peu maintenant... Quoique navrée la jeune fille-obéit. Quelques minuteà plus tard,- engourdi par la berceuse qu'Hélène joua en sourdi ne, Claude somnolait; :••••• :;. é Alors, elle quitta le piano, arrangea les coussins autour de sa tète dolente, l'em brassa-encore une fois... Puis elle sortit. . Mme de Rochefide laissait sa. demoiselle dè compagnie à peu près libre jusqu'à onze heures du, matin, et la fille de Marcelle met tait ce temps à profit pour faire de longues promenades dans le parc. Elle poussait souvent jusqu'au Saufrdu-, Diable, mais ce jour-là elle s'arrêta à michernin, un espace élevé et découvert d'oï l'on eh embrassait aisément le village de Jusors et la rangée de lauriers en caisse qui bordaient la terrasse de l'hôtel. — Mon Dieu ! Mon Dieu I soupira Hélène, après, avoir anxieusement regardé, dans cette direction, Je docteur n'arrivera donc jamais l : Tout est désert là-bas... . (La suite d demain-]i Eu MONTCLERQ»