Le Petit journal (Paris. 1863)
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Parti social français. Le Petit journal (Paris. 1863). 14/04/1930. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter utilisationcommerciale@bnf.fr.
N" 24.560
LA.
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- St TIBURCE - Le n° 0,25
TEMPERATURE
Lundi
N
Avril
1930 >/
HHURhS DU MATIN
Probabilités pour aujourd'hui : Ciel couvert avec pluies. . ,\ . ; Température A Paris,- maxim., +12°. Soleil : lev.' 6 b. 6; couch. .19 n. 39.' Lune : Pleine • le 13; D.Q. le, 20. > ... .
Edition de Paris
LES GRANDES ENQUÊTES DU "PETIT JOURNAL »
Le budget général L'EQUIPE FRANÇAISE TROIS ELECTIONS de 1930-31 adopté Pélissier-Blanchônnet LÉGISLATIVES HIER en deuxième lecture à la Chambre
victorieuse desSix-Jours
,
Au scrutin de ballottage Un candidat de VU. R. D. et un agrarien élus dans les Côtes-du-Nord Un socialiste S. F. 1. O. élu
par 462 voix contre 118
LE DEPART f pour l'aventure
dans l'Ariège
'
Les principaux points de friction
'
(2'
La Chambre, qui avait, dès samedi soir, tërminé l'examen du budget des dépenses, sè réunissait hier aprèsmidi, pour discuter en deuxième lec ture la loi de finances. Elle rie réus
pense pas. • Celui qui va 'à la légion, que ce soit à Sidi Bel Abbès ou à Dar Rlfien, peut dire : « C'était écrit. » ^Pour cette raison que l'aventure née de la, guerre donne à l'Europe
une. inquiétude • particulière, j'ai dé siré voir dans leur cadre familier ces hommes qui, pour être une minorité,
sont tout de même les représentants
courageux de quelques traditions, dont l'ensemble paraît constituer un imôts r !SÙr :M'écran anachronisme quand, tout au con (De noire envoyé spécial). ( : Ces i apparaissent l " de sa 'mémoire: Un cortîge de spec- traire, il .représente peut-être une •" " tacleg précis se'déroule dans un film anticipation. Le.mot : aventure est : un môt'ri-, hriptépis. 1 Des mots.sont- l'es.védeites Il existe, en ce moment; en Europe lan les toutes che en" images dans ce'film,"des'mots, de comme le S'.jd, — la « Force » hollandaise n'est gues'de la terre: Chacun-l'Interprète l'Orient, la'nier, 'lé, desert. ie soleil, pas: comparable — deux légions à-sa fantaisie; Pour- cette raison, il; lè ibled , Bt^ànt'->d'autreeT ••••.. i la légion étrangère : constitue' une force séduisante, et :• C'ést'-là'que it 'honinir jette les 'dés étrangères française, fondée en 1831, et la lé-, dangereuse. C'est comme une clef qui siirlata'bl&>£e/coup.'est Joué, il' doit gion (étrangère espagnole de forma ouvre .toutes ' lés portes "qui donnent partir pour Içs : pays merveilleux de tion toute récente, puisqu'elle date "accès "à toutes les rô.utës' de. la. tpr-; la •féerië,1 géojgrapl\iqué. ' de ,1a guerre'du Rif!'.Cette jeune lé de l'imagina*: - - Il '' est ' 'difficile. de " voyager. re,à toutea-tes routes , quand gion fut créée par le général Miltio'n." Mais il n'est gùéfe possible de- "ch'est sans ïdrtuhé et'qu'on ze pra liaft Astray, dont la silhouette est. prévoir vers quel résultat,, ces routes tiqua pas un.métier <#fi puisse, per populaire :en" Espagne et au Maroc. utissentv mettre d6.s,expatûor..taut,jBnIpayant: Millian- Astray est un. élève-du -coloquefois tragique, est souvent-la ré léxars&'gê.à bord d'un ^teaii:. ; ; nfel Rollet. C'est à Sidi Bel Abbés compense; d'un excès d'imagination ' Toutes' les. ,'mefcvelUc? .'du, 'irionçle qu'il a pris lui-même cette marque poétique.,L'aventure né se..termine- s'abritent, dferriêre:,,des douaniers indélébile „qui est; celle de la légion , toûJôuirS'-dans' la -tragédie. Qn 'airmé^ jiisq'u'àux 'dfents.;'Vivre'..sa vie, étrangère: t.. pas v s'iiabiCue a l'averiturje, aUx. discipli n'est'facile qji'à jla Comme vj'ai :et. ericore "totltfe'"ma vie aimé . Çe.n'esÇ que plus condition ' de ' demeurer à, l'endroit cette poésiç. pratique et facilement nes, de'l'aventure. tard; quand les • souvenirs' donnent même où les droits soéiaux sont,'déjà utilisable que les aventuriers sèment seconde', jeuriesàë â^àes années contrôlas.' une sur leur route, avec une prodigalité d|j à' antiènnesf q ue Ip véritablq vi L'Homme tpùi'menté' lîaventuinconsciente, J'ai pris le train qui :par ; sage de l'aventure .réapparaît, .mais- re. doit : savoir ; qu'il ' est, difficile i de traverse l'Espagne en passant par sous le masque artificiel et littérai prendre la: imer sans': argent 1 et de Barcelone et Madrid, pour stopper re'd'une profonde mélancolie., ; tout doucement sur les quais d'AlL'aventure tente .la -plupart : Idesgésiras, devant le Gènéral-San-Jurhommes. Les plus avertis.,craignent j'o, uri coquet petit.vapeur qui devait (J'en être les dupes. D'autres ne peu-: me débarquer à Ceuta. vent résister aux multiples appels de; Je désirais voir la légion espa cette force 'mystérieuse.qui emprun gnole, la première, par courtoisie te tous "les* costumes,-toutes les grâ d'abord et puis parce que ma curio ces et qui pare ' la mort elle-même sité était vive. J'avais vu à Madrid d'une manière de charme.qul en fait le général Millian Astray dans un un .piègè. " bureau peuplé de souvenirs et de fa • , des élé Car .c'est le 'plus étrange nions célèbres., Cet homme, droit et ments de cette force que de présen maigre, mutilé par de nombreuses ter les. dangers,,-' les privations, les bjessures, avait su imposer sa per agonies, exceptionnelles', comme une' sonnalité à cette jeune légion, peutsorte de but désirable qu'on désire être plus coquette que la nôtre à conquérir au prix de ses affections cause de - cette jeunesse même. Le reniées et de son sang: grand capitaine, d'aventure était un L'aventure est partout. On la por-" chef qui avait su comprendre la poé ïncùmaladie soi te ' en comme une sie souvent amère de sa profession. rable. Toutefois des mots consacrés Quelques jours plus tard, je dé peuvent' lui donner une, virulence barquais à Ceuta aux rues andaloudéfinitive dont l'action seule sait at ses, peuplées de' soldats extraorditénuer momentanémentles.effets. nairement jeunes, coiffés du béret; Lapoursuitede l'aventure est déce kaki. Je n'eus pas de mal à recon vante, elle fuit devant les .mains naître dans cette foule le bonnet avides qui tentent de la saisir; Elle de police à. pompon rouge de la lé s'évanouit dés qu'il semble qu'on va gion étrangère espagnole : le tercio i la toucher,du doigt; ... ' comme disent les . non-initiés, c'estC'est pour , la, conquêtej de. cètte à-dire le personnel bureaux, qui chimère que dés. hommes de'1 tout " Régulier ' marocain à Tétouan i. confond aisément des -un légionnaire, , (Croquis de'P. Mac' Orlan.), âge consacrent leurs forces- et" re ' ' ' " autre soldat. Ce qui, natu avec un nient leur passé. -frontière-' franchir uçV en Espagne comme chez sans passe rellement;, 'constitue, port r et: satifs ^explications. nous, ucie ^erreur ' déplo ' ' ' - ' ' • vw - * ' 1 1 '' V {A suivre.) rable. ,partir,-11. ceux-qui veulent A ne , plus/humbles villages les Dans les reste que" là" ressource dé s'enrôler Pierre Mac Orlan. d'une.Europe à peu près ipâisible^js dans ; les^rangs de- l'aventure.'régu sais .qu'en ce moment, même, où je lière, -celle. qui est, asservie aux. be DRAME-DE LA JALOUSIE, A CLICHY me penche sur mon papier pour soins,"pour la plupàrtmilitaires,d'un écrire, des hommes, inquiets se. pen-^ état'qui; sait encore* enthousiasmer chent, eux, sur leur propre existence ceux <que , les aventures lointaines'ne Abandonné, il blesse son amie et la détaillent avec amertume. C'est cessent de .tourrtiëntër. . et tente de se suicider l'heure mélancolique où l'on prend v II 'y a la ;marine qui est accueil én mains'les'dés qui décideront' de lante. JH! y'a,-enfin, la légion étran l'avenir. L'aventure est i là, ; derrière gère, 1 ou • plus exactèmentv les, : lé ' Dans,la matinée d'hier, vers 11 heures, la porté du bar,.de la weinstub,:qu. gions étrangères, puisque l'Espagne ,plusieurs coups de feu - retentissaient de l'estaminet, frileusement clos <au en'. possède* line '.organisée d'après dans, un appartement,' 7. rue Souchal, à , carrefour des' quatre chemins dans no,tre expérience. Olichy. Alertés par le bruit des détona une plaine du, Nord. Des mots qui La î légion 1 étrangère est. célèbre tions, les . locataires de l'immeuble ac contiennent, dans l'humble signifir dans le< monde .entier. Ces deux; mots coururent vers la chambre de Mlle Ger cation que leur donne le-dictionnai rayonnent-depuis cent ans. un peu maine Puyt d'où provenaient les coups revolver. Us trouvèrent celle-ci éten re, le soleil et ses paysages enchan partout'. sur, la terre.. Ceux qui se de sur 1er parquet grièvement blessée teurs surgissent dans là mémoire laissent prendre à leur mirage doi- due de deux balles de browning dans l'ab de .l'homme. C'est une des premières verit-ils^le regretter ? SiJ'on en ju domen. .Près d'elle gémissait son ami, atteintes de ce fàmsux cafard, dont ge; d'après les confessions de légion M. Jankel Kapioum, ,24, rue le i£veur en question connaîtra plus naires qui sont relativement nom de Belzunce, à Paris,demeurant qui, après avoir tard une interprétation militaire. breuses dans la littérature françai tenté de tuer la jeune femme, s'était tiré à son tour une balle dans le'ventre. M. Philippe, commissaire de police a Clichy, fit transporter les deux blessés à
l'hôpital Beaujon, où leur état a été jugé assez grave. Il y consigna le meurtrier
à sa disposition. De l'enquête ouverte, 11 résulte, jus. qu'à présent ce qui suit: Kapioum, Russe
naturalisé, bijoutier, marié, père de deux enfants, aujourd'hui quinquagénaire, . était devenu, il' y a huit années, l'ami de Germaine Puyt, actuellement âgée de 29 ans, employée comme dactylographe dans une: maison de commerce, avenue des Champs-Elysées. Mais.il lui faisait continuellement des scènes de,jalousie. Elle résolut de cesser de le voir. Au mois de février dernier leurs relations turent rompues. Hier- matin, il revenait chez elle, la suppliait de les reprendre..Elle refusa. Furieux, il .avait tiré sur elle et, ' ensuite, essayé de se suicider. , .
EN TROISIEME PAGE
:
L'inauguration; du monument Edmond..Rostand. à Marseille EN 'QUATRIEME PAGE
te ' prix. Juigné à Longchamp -
:
17.584 ; 13.608 ;
•
*
13.381.
1 -
pour en finir. / Un grand effort de conciliation a été fait tant au Luxembourg qu'au Paiais-Bourbon cependant, quel ques points de friction subsistent encore qui obligeront, c'est probable, Charles" Pélissicr, la « reine des Sixà plusieurs « navettes ». Parmi ceux, Jours Blanchonnet et » ci,-il' faut noter, au nombre des plus (Voir le détail en 4* page, importarits : : d'abord la réouverture /dans le Petit Journal. \ sportif.) . des jeux à Enghien, refusée par: 3a Chambre, autorisée par le Sénat à Défaite des Français en football dir-i voix de majorité et, à nouveau, repousséô par la Chambre par 304 voix contre 245. Ensuite, la péréqua tion automatique-, .des '.pensions, re jetée par le Sénat à la majorité de 230 voix contre 60; et reprise par la Chambre, sur. la proposition de M; Bouyssou, malgré l'opposition du gouvernement, et par 367 voix con tre 205. M, Tardieu, réfractaire à l'automatisme pour-des raisons bud gétaires, n'avait pas, .11 est vrai, posé la question de confiance, se réser vant de choisir son heure pour en gager-dans cette affaire la respon sabilité du gouvernement. Toutefois, soit en séance, soit dans les couloirs, il avait souligné l'effort du législa teur en faveur des pensionnés de l'Etat. C'est ainsi qu'on apprenait que les coefficients d'augmentation des retraités étaient actuellement : instituteurs, 7',20 douaniers, 6,24; facteurs des postes, 7,60; chefs de bataillon; 6,07; adjudants, 7,27; veu ves d'instituteurs, 10,08
:
votants : suffrages exprimés :
renvoyer, dès ce matin'même,, le budget général au Sénat, qui siégera à. 15 heures, elle a délibéré cette nuit
se, .allemande et anglaise, je ne le
COTES-DU-NORD circonscription de Guingamp)
Inscrits
sissait pas à en achever l'étude avant le dîner. Mais, désireuse de
%e - coarrier^'JEspagTie"â'Ceut»
Ï4
Oswen de Kerouartz, U. R. D., 6.512 voix, ELU ; William Loth, rad.soc.. 6.445 voix. Il' s'agissait de remplacer M. Le MM.
Trocquer, républi cain de gauche, élu sénateur, m premier tour, • Au
voix s'étaient
ainsi réparties :,
M. Oswen : , Kerouartz. de
MM.William:Loth,
rad.-sac., .3.598 voix;,
'
de Kerouartz, U.R.D.; 3.273 î' Serandour. gauche rad.j ; 1.899 ; Bertho, S.F.I.O. 1.827 ; Le Joliff, agrarien, 1.623 ; Briand, dém. pop., 1.097 ; Bazéas, aut. breton,
349.
-
(Circonscription de Lannion) .'Inscrits : 23.650 ; votants : -18.806.• " Suffrages exprimés : 18.381. Ont obtenu : MM. Le Cozanner, cand. " , 9.075 voix ELU agraire Le Gac,
et se fait justice.
Son veuvage et des déboires
lavaient rendu neurasthénique Jour des Rameaux, jour de paix... Et pourtant dans une petite rue , tranquille, du quartier de la Santé tragédie familiale une navrante s'est
Un petit appartement au 4'-étage d!une maison, 17 rue des Plantes. Dans l'anticham ï des jouets d'en fant sont éparpn.os. : il y a là lAie petite cuisine, des poupées., des chiflons, tout ce-qui fait là-joie des. pe tites filles qui, jouent à l'épiciére ou à l'infirmière... Mais, dans la : chamr bre voisine», la petite fille de six ans, la petite Odette* qui, hier soir pi core, se, penchait sur. tous ses trésors, est. couchée sur un lit, la tête ensan glantée,. morte... A ses côtés, son pére râle, la tempe trouée... Que s'est-11 passé dans cette chambre close où
Il s'agissait
radical-socialiste,i élu • sénateur. Au premier tour, les voix s'étaient ainsi réparties, : : : . , MM. Le Cozanner, agrarien, 7.970 voix; Henri Avril, rad.-soc., 6.471 ; Aurégan, UJR.D., . 2.611 ; Le Guyo, rép.'> soc., 1.383.
ARIEGE
(Circonscription de.Saint-Girons) Ont obtenu :•
MM. Màzaud ' soc. S.P.I.O. 7.356 voix ELU
Vidal, rép.-soc. .... 7.281— Il s'agissait de remplacer M. Paul Laffont, républicain locialiste, élu sénateur. Au premier tour, les . voix s'etaient
ainsi réparties :
"_
La victime, Odette Bouchon.
;
maintenir. •
A 23 heures, l'ensemble du budget
général était enfin adopté par voix contre 118.
462
page : Le détail des séances
LaES Dominica palmarum ! Bruissants comme du .clair métal, symboles de joie et. de renouveau, voici les Rameaux. Ils apportent dans leurs branchages touf fus révocation des jeunes frondaisons, dc-s feux du soleil-dans les clairières. Par eux le murmure du- Printemps domine un instant les bruits de la ville. Sur les
;
8.817 r—. de remplacer M. Even,
Paul Chocque gagne Paris=Evreux
3<
âgée de six ans
rad.-soc....
. veuves de' Une phase mouvementée du. match qui MM. Vidal, rép. soc., 6.412 voix ; Madolianiers, 7,80 ; veuves de colonels, zaud, soc. S.F.I.O., 4.562 ; Ragot, rad.7,50, Par contre, d'autres retraités opposait, hier, au stade de Colombes, soc., 2.720 ; Gauvin, com., 263 ; Lourn'ont pas encore obtenu le rajuste les équipes de France et de .Belgique. bet, 37. . ment de letir pension au coefficient. 5. Adopter la proposition de M. Bouyssou afiparàit donc à M. Tarr LES ORGANISATIONS SPORTIVES DU " PETI1 JOURNAL " dieu comme une mesure tendant à favoriser les favorisés dé la veille au détriment des autres pensionnés. Ce que le .président du-Conseil.tient, â souligner, c'est que' pour les, pen sions civiles, la moyenne: était, avant guerre de 900 francs, tandis qu'elle est présentement de 7.800 francs. Même en n'acceptant pas la péré quation automatique, personne ne peut donc dire que le Parlement et les gouvernements qui se sont suc cédé. celui de M- Tardieu compris, ont négligé la situation des vieux serviteurs de l'Etat. Accrochage encore, au sujet de l'incorporation de 40.000 kilomètres de voies départementales et communaley dans la, voirie nationale. Désaccord enfin à propos du cadre des expéditionnaires,- que le Sénat a supprimé et que la Chambre veut
En
UN PERE TUE SA PETITE FILLE
déroulée hier matin, tandis que le soleil posait sur Paris sa lumière blonde et sa joie printanière : un père a tué sa petite fille !...
Ont obtenu :
•les
HIER, RUE DES PLANTES
l'enfant s'était éveillée par un clair matin dominical ? Un de ces dra
mes où aboutissent des défaillances, des désillusions, des malheurs.,1 - M'. Marcel Bouchon, 50 ans,, indus triel, demeurait depuis quelques an nées "dans un appartement qu'il avait partagé avec sa femme avant de perdre celle-ci. Il ne lui restait : pins, de ses quelques années de bonr heur qu'une petite' fille, Odette, qui
venait d'avoir six ans ! Mais si la présence de-son enfant égayait un peu la solitude de ' M.
Bouchon, les déboires qu'il avait éprouvés dans ses affaires l'avaient
rendu neurasthénique. Aucun témoin n'a assisté
au drame. Très rapide, il a eu lieu pendant une absence de la domestique. Mlle Hé lène Buchet, qui était au service' de M. Bouchon depuis le mois de no vembre dernier. Hier matin, vers: '8 heures, M. Bouchon l'envoya cher cher un journal. Lorsque la bonne
remonta,, ce- fut pour trouver deux corps'sanglants étendus sur le lit : ceux de l'industriel et de sa fille. Après avoir tiré deux balles dans" la tête; de la petite Odette, M. Bouchon avait retourné son armé-contre lui et s'était logé une balle dans la- tête. La petite Odette était morte sur le coup et son père fut transporté, à l'hôpital Broussais dans un état "dé Le départ de la -course Paris-Evreux (Photo P.J.) sespéré. Il y décédait à 18 h. 30; (De notre envoyé spécial) On ne peut expliquer ce drame La classique course Paris-Eyreux .or LES GRANDS PRIX DES JEUNES effrayant que par le déséquilibre ganisée chaque année par le Vélo-Club nerveux auquel était arrivé M. Bou
de Levallois avec le concours du Petit Journal a été disputée hier par les cou reurs amateurs et indépendants des principaux clubs de Paris. Parfaitement organisée, elle remporta , un complet succès tant par sa régularité que par l'entrain du public nombreux dans. les localités traversées et... trop nombreux sur la route. Autos et motos firent en effet aux coureurs une escorte telle que l'on put craindre souvent des accidents sérieux par suite de l'impru dence de certains suiveurs qui, lorsqu'ils étaient doublés, se rabattaient sur les concurrents. Nous avons plaisir à signa ler l'efficacité de la police de la,route. •
(Voir la suite en quatrième page)
•
réuniront en 1930 les juniors chon. .En effet, d'après les déclarations de Mlle Hélène Buchet, rien, de toutes les Fédérations •la vie privée de M. Bouchon', ne dans per met d'attribuer son geste meurtrier à autre chose qu'à un accès de neu françaises
sous te patronage du "Petit Journal"
rasthénie ou bien alors de folie su-
.bite.:
:
i
Cependant l'enquête continue «sur les circonstances de cette tragédie.
Avec le concours du Petit Journal, la Fédération Française d'Athlétis VIEILLE. TRADITION PARISIENNE me organise à nouveau cette année les Grands Prix des Jeunes qui.cons tituent, la plus importante; manifes tation de propagande-en faveur de
m
FOiRE
à la Ferraille
l'athlétisme. Les Grands Prix des Jeunes or les étudiants nationalistes ganisés régulièrement chaque an bombardent les gendarmes née ont suscité parmi les jeunes une grande émulation. : avec des meubles . ; Certains déclarent encore . Les principaux points du règle t , pour les épreuves de cette an qu'ils ont acheté là un Rembrandt Bucarest, 13 Avril, -— Une échauf- ment fourée s'est produite ; la nuit dernière née so.nt les suivants : pour « un morceau de pain »... 1° La date des épreuves régionales d'une grande
A BUCAREST
Le marchand de buis est entouré parvis des églises, il rappellent aux fi dèles l'accueil ensoleillé de Jérusalem au Messie. Pâques est proche l^Mais, hélas, nier, de fréquentes ondées vinrent as
sombrir ce beau dimanche.
au cours manifestation organisée par les , étudiants nationalistes roumains. La -police, voulant interrompre la ma nifestation et procéder à l'arrestation des étudiants, ces derniers réfugiè rent dans un b&timent voisinse et, mon tant s aux étages supérieurs, lancèrent des meubles > et autres objets de bureau sur la tête des gendarmes qui en gar daient l'entrée.
été fixée au 25 mai et celle des finalesa au l«r juin-à Paris. 2" Le programme des épreuves a été arrête comme suit : 80 mètres ; 300 m. ; 600 m. ; 1.200 m. ; 3.000 m. ,* 83 mètres haies. Saut en hauteur ;• saut en lon gueur ; saut à la perche ; lancement du poids (9 kil. 257) ; lancement du disque ; lancement du javelot. Ces Grands Prix sont ouverts à tous les jeunes gens de'nationalité française, sans distinction de Fédération, à 1 ex clusion des professionnels. ' Sont considérés comme juniors les jeunes gens âgés de moins de 18 ans au l ,r janvier de l'année courante. Ainsi pour 1930 sont classés dans cette catégorie les jeunes gens nés après le l»r janvier 1912. Les engagements pour les finales au ront lieu par invitations.
La Fédération conviera à ces ul times compétitions les jeunes gens qui, lors des éliminatoires, auront accompli les meilleures: performan ces.
-UN TRAMWAY; DANS UNE DEVANTURE
Un mort et 59 blessés, dont plusieurs • , ,
;
très grièvement:
Londres, 13,Avril.-— Un grave, acci
dent s'est produit, la nuit dernière, à Glasgow, par suite d : déraillement d'un tramway qui vint s'écraser dans la de vanture d'un magasin. Soixante voya ont été blessés dont plusieurs geurs LE BLEU. if«, c« sont des pommes de terre tout épluchées que maman grièvement, "Un d'eux est défcédé depuis m'a donnëes pour m'éviter la -corvée de patates. à l'hôpital des suites de'ses "blessures.
par Jtyberl Dieuaonné On ne saurait croire à quel point Paris est fidèl# à sqs vieilles habitu des, à ses vieilles traditions. C'est ainsi qu'entre le dimanche des Ra meaux et le dimanche de Pâques, se tiennent, tout le long du boulevard Richard-Lenoir, la foire à la ferrail le et la foire aux jambons. ! C'ést assez émouvant, malgré •
>
tout..
; Là foire aux-jambons date d'un temps où, après l'observance dii'n
long carême, les jeûneurs avaient hâte de pouvoir manger' de savou^ reuses charcuteries et même, pour qu'ils ne fussent pas tentés de goû ter les échantillons pendant les jours saints, la foire fermait le mer credi soir ; aujourd'hui; les évëques eux-mêmes sont moins exi geants qui' n'imposent le jeûne que jusqu'au samedi, juste à l'heure de se mettre à table, si bien qu'on con tinue à vendre de la cochonaille toute la semaine, sans scandaliser personne.Mais ce ne sont pas les andouilles et les saucissons qui attirent une foule entre la Bastille et le point ou le canal sort de son tunnel, derrière la statue de Charles Floquet : c'est la foire à la ferraille où tout Par:s se - précipite, non sans avoir le res pect humain de cacher ses illusions. Il est bien entendu que l'on ne
w trouve plus rien à la foire à la fer .- raille, puisque les amateurs fréquen
NOS ECHOS
tent toute l'année lç marché aux — puces, où il est non moins établi que " l'on ne trouve plus rien non plus. Les marchands qui sont là ne sont ENTRE VOUS, MESDAMES. — Une ' " pas sortis spécialement de leurs re de mes lectrices m'écrit pour me de paires et de leurs resserres pour une mander un co.. elle est malheureuse :
seule semaine de printemps. Chaque dihjanche, aux portes de Paris, Ils tétaient leurs camelotes où chacun - ne trouve pas toujours ce ^u'il cher che, parce qu'il le cherche mal. Cependant, quand Lavoisier a dé claré : « Rien ne se perd .! » c'était, sans doute, à la foire à la ferraille qu'il pensait. Ce n'est pas surprev nant de retrouver en vrac de vieux vélocipèdes, des machines à écrire brèche-lettres; des machines à cou(Jre épuisées, des tableaux sans ca dres ou des ..cadres sans tableaux, tout un bric à brac qui va de l'aqua rium' avec ses coquillages jusqu'au presse-papier qui 1 russe tomber une neige de borate sur son paysage, de chaises à trois pieds, de glaces sans " tain, des étoffes sans trame et des clous sans tête. Non, l'audace, c'est d'étaler, là, sur le trottoir,, un fouil lis ramassé au hasard des prospec tions," au hasard des boîtes à ordu« res, toute une série d'objets de rebut /qui semblent inemployables et sur lesquels, pourtant, se penchent les chercheurs et les curieux qui espè rent trouver^ parmi mille clés rouillées, la clé qui leur manque, parmi cent verres, le verre introuvable > d'uhe douzaine dépareillée, une en trée de serrure, une boucle de sou lier dont l'autre boucle est veuve, le douzième bouton d'une douzaine, la quatrième petite cuiller des salières, un outil sans manche, un manche sans outil, une croix sans christ et un christ sans croix qui écarte en core sés bras de cuivre Vert-de-grisé. Je ne parle pas de ces baraques prétentieuses qui veulent donner l'illusion aux clients de rares mer veilles ou leur offrent hautainement "
en ménagé. Et tue a deux enfants. Elle veut divorcer. C'est si facile. En un mois, « avec facilité de paiement », expliquent les affiches 1 Alors, pourquoi'„ m'êcrlt-elle ? C'est donc qu'elle hésita encore. Sans doute, pense-t-elle aux deux petits. Que deviçndront-ils en dette aventure ? Us verront alternativement et séparément papa et maman. Ou'ipeut-être ils ne verront que l'un des deux qui se remariera, qui vou dra « refaire sa vie », sans penser à celle des enfants. Non. Attendez. Ne songez qu'à eux. Dites & votre mari que tout est fini entre lui et vous, si vous voulez. Mais que les enfants doivent l'ignorer. Certes, votre situation, "à tous deux, est très pénible. Mais votre époux pçut revenir à vous. Le temps aidant, votre souffrance s'atténuera, comme sa pas sion, à lui, diminuera. . De toute façon, il vous restera, a tous , deux, la satisfaction profonde d'avoir fait, pour vos enfants, un mutuel sacri fice : de .leur avoir caché les vilaines choses de la vie ; d'avoir sauvé sinon votre foyer, du moins le leur, et de leur donner un exemple d'abnégationqui leur laissera l'âme plus forte devant les diificultés de l'avenir, — Francine.
Journée printanière. Le printemps, cette année, est- un vrai printemps, avec un soleil chaud, une jeune verdure que ne roussit pas la gelée tardive, une brise douce qui s'afc tarde et caresse. Comment les femmes ne eeraient-ellas pas prises d'un renouveau de coquette rie ? Toutes, ont le désir de porter de fraîches toilettes qui les mettent en ac cord avec la joie dt la nature. Aussi'iSe hâtent-elles d'acheter La Mode, qui leur permet, grâce à 6es irréprochables pa trons, de faire elles-mêmes des robes ravissantes et peu . coûteuses qu'elles des pièces, de collection ; celles-ci peuvent renouveler fréquemment. sont tenues par des antiquaires ou SEMAINE DE PAQUES*. Actuelle tout au moins des marchands d'an- ment, Exposition aux « IOO.OOOtiquailleries conscients et organisés; CHEMISES s. Flacon de Chypre de je ne parle pas de ces marchands de grande qualité offert pour tout achat à 'tableaux qui ont groupé des stocks partir de 50 fr. 69, rue Lafayette et de la foire aux croûtes ou qui veu Succursales à Paris, Lille, Bordeaux. .
lent laisser croire à des amateurs perspicaces que cette vieille toile est peut-être bien, après tout, pourquoi pas ? un Rembrandt ; que ce petit ange joufflu a été découpé, — van dalisme ! — au moment de la Révo lution dans un tableau de Raphaël. Je ne vous parle pas d'un buffet Henri II, d'un coffre et d'un bois de lit qui veulent nous avoir au boni ment, ou plutôt à l'amour-propre. — Ma chère, j'ai acheté, pour un
L'Exposition d'art rustique organisée par les Magasins du Bon Marché obtient le plus grand succès. Il est dans votre intérêt de ne pas acheter vos meubles de campagne avant d'avoir visité la ma gnifique collectionqui vous est présentée. Vous y trouverez, entre autres, un ameublement de chambre à coucher en chêne sculpté patiné, comprenant cinq pièces pour L350 francs ; une salle à manger rustique, tout chêne, avec huffet, quatre portes, chaises et tapis pour 1.875 francs ainsi qu'un très beau eboix pain... de cretonnes pour rideaux et tentures de morceau Je sais bien que le pain est cher, à partir de 2 fr. 95 le mètre.
!
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mais pas encore, heureusement 1 à ~~cè point-là ! Je ne vous parle pas des cristaux d'une discutable Bo-hême, de ces verres d'un douteux -Murano, de ces cuivres martelés "Jjju'on fait aujourd'hui en série dans quelque atelier du quartier de la Roquette et de ces panneaux ame nuisés par de détestables menui
siers.. Je ne veux vous parler que de la ferraille et de la plus sordide, rie toute cette camelote dans laquelle chiffortonnent aussi bien ceux qui espèrent découvrir .une pièce de mu sée, — comme si on lès avait atten dus ! — que le bricoleur de Montreuil qui découvre un bec de lampe à pétrole et cette séductrice qui de-
snande : « Combien ?» si fière d'a voir trouvé dans le fouillis un pei gne de poche qui n'a pas encore perdu toutes ses dents. Ne; poussez pas un cri de dégoût en. voyant un gosse acheter -"une vieille brosse à dents. Ce i n'est pas- parce qu'il veut impressionner . sa petite amie, c'est pour graisser la .chaîne de sa bicyclette. Le vieux monsieur cherche un verre pour ses lunettes et cet autre retient un sou pir d'allégresse parce qu'il a ramas sé, entre un irrigateur bosselé et de vieilles chambres à air, un bouquin défeuillé les recettes de cuisine de Mme Millet-Robinet. Je ne vous promets pas que vous trouverez ce que vous chercherez, mais j'affirme que ce que vous cher chez est là, quelque part, venu oh ne sait d'où, échappé à une liquida tion, à un coup de balai, échoué en tre les pattes salles d'une avare bro canteuse ou celles d'un chiffonnier qui garde la conviction qu'un couvercle trouve toujours sa marmite. . En aurait-il autant ici s'il n'y avait pas autant de marmites qui ont per du le leur ? Tout, vous dis-je, même des râte liers, quii paraissent des objets d'un usage assez personnel, jusqu'à de -frusses dents perdues toutes seules dansée monde et qui, pourtant, fi niront par trouver un chaland. Ev des œils de verre !
La Maison de Pâques. — Pâques leuries et Bas Marny ou le beau succès d'une expositionmagnifique toujours Tes courue des Parisiens. Actuellement : Bas « Révolution » pour le jour et pour le soir 19 et 29 fr. ; bas en pure oie naturelle « Jazz » et « Magnifie » à 29 et 39 fr. Marny, 33, rue Tronchet fct Marny, 48, avenue Victor-Hugo (Etoile).
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MIDINETTE c> Grand roman-reportage d'amour et d'aventures
par Jean CLAIRVAL premiere partie
SEULE DANS LA VIE...
XI. — Désespoir (suite)
Rameaux d'hier La fête des Rameaux s'est déroulée dans toutes les églises normandes avec n'a pas son éclat particulier. Si le soleil participé entièrement à cette cérémonie qui est une des dates les plus fêtées par les catholiques, . par contre les vieilles coutumes ancestrales ont été respectées en partie dans beaucoup de petites égli 1 ses. Comme chaque année, depuis le IX' bièole, les fidèles se sont dirigés sur les tombés de leurs parents ou amis pour y planter le rameau, symbole de la résur
rection. Puis après çctte manifestation du sou venu-, la branchctte de buis ou de lau rier, suivant les régions, a été placée à l'entrée des habitations, -des portes de ferme, des écuries et des étables. Vou lant protéger leurs cultures, des vieux Normands ont même renouvelé un geste de leurs aïeux, qui consistait à planter une branche de buis dans les champs, vergers ou prairies. Ailleurs, dans les départements de la Manche et de l'Eure, la branche de laurier a été placée en croix sur les ruches d'abeilles et dans d'autres endroits, dès feuilles de buis ont été mélangées aux semailles. Dans les ports, les mousses ont grimpé au sommet des mâts pour y attacher le ra meau qui « doit protéger le navire i>. L'après-midi une procession s'est rendue & la mer et des couronnes de buis ont été lancées dans les flots à la mémoire des « péris en mer », Puis les assistants, de retour dans leurs foyers, ont placé sur les crucifix, quelques branches ver tes bénites, destinées à les protéger con tre la foudre. Cependant certaines cérémonies reli gieuses, qui se déroulaient dans l'ancien temps, n'existent plus aujourd'hui, no tamment celle de l'incinération du buis de l'année précédente. Cette incinéra tion revêtait un caractère très, pittores que. Le clergé venait, en procession, bé nir le buis avant d'y mettre le feu et, sur le bûcher, on y joignait les tampons d'ouate qui avaient servi pour les onc tions du baptême. En 1528, des sacristains manquant de buis et de laurier firent'une tentative pour le remplacer par du houx, mais le clergé intervint,et le houx disparut. Naturellement, des esprits simplistes attachaient une certaine superstition au buis des Rameaux. Ils en plaçaient les feuilles sur une plaque chauffée au foyer et formulaient un vœu. Si, sous l'action de là chaleur, les petites feuilles tournoyaient, on en tirait bon. présage ; mais, si elles noircissaient et restaient immobiles, la réponse était considérée comme défavorable. Aujourd'hui, quel ques rares pythonisses attardées usent encore. de ce moyen pour capter la con fiance des esprits trop crédules. . La fête des Rameaux a donc conservé, dans ses grandes lignes, tout son carac tère. L'Hosanna glorieux a retenti sous les voûtes dô-toutes les églises, des plus humbles aux plus magnifiques. Servant de prélude aux Pâques, une fois de plus les Rameaux ont été fêtés comme le re tour à la belle saison. Puisse cette an née, l'anniversairé dë l'entrée triomphale à Jérusalem, être celui du début de l'ère de paix que tous souhaitent de tout cœur. — L. Leportoux.
CALVADOS
de houille on a : Importée d'Angleterre et d'Allemagne, 430 tonnes de goudron venant d'Angle terre, 380 tonnes de ciment, 80 tonnes de sport resteront ouverts sans interruption vin et 96 tonnes de divers. Aux sorties les jusqu'à fin septembre. exportations de minerais se sont élevées à 15.650 tonnes £t destination de Rotterdam, Par le train, 2 heures 40. Gand, Port-Talbot et Immlngham, les ex Par la route autodrome, 186 kilomètres; portations d'aciers marchands à 3.715 ton' nés & destination de Garston, GrangeLE 235' ANNIVERSAIRE DE LA MORT mouth. et Newport. Ou a également compté aux sorties : 090 tonnes de laitier I>E LA FONTAINE à destination de Southampton et de Lon dres, 10 tonnes de fûts vides et 10 tonnes de divers. Le mouvement de navigation a de la Autour tombe d". bon fabuliste, été vapeurs aux.entrées dont 7 an sur laquelle veille un renard de bronze, glais,de329allemands, 3 hollandais et 1 >,da les amis de La Fontaine étaient hier nois. / venus nombreux. —Plusieurs vols ayant été commis ré Après les allocutions, dont celle.de M. cemment dans des, voitures stationnant de Gourcuff, président de la Société, les en ville, le coupable, Auguste Leloy, doc personnes présentes se rendirent sur la ker, a été arrête. suivantes ont été tombe, d'Auguste Dorchain. ancien*pré — Les récompenses décernées Jeunes ouvriers de Caen au aux sident des amis de La Fontaine. cours de la distribution des prix de l'ex position professionnelle : diplôme de mé daille d'or : MM. André Blhen ajusteur, jettera pas demain sur un tas d'or Darthenay sculpteur, Marcel Legendre Gustave Lempèrlére ajusteur ; dures en disant : « Personne n'en ajusteur, de grande médaille de vermeil : veut ! » Il sait bien qu'un autre qui diplôme André ajusteur, Lucien MM. passerait après lui ne manquerait Paule ajusteur,Lerlquler Emile Perronnel ajusteur, PJneau ajusteur. Diplôme de gran pas de la reprendre, en pensant : Marcel de médaille d'argent : M. Jean Beaudouln « Tin ne sait jamais ! » alusteur. Au fond, ce ne sont peut-être que ' Les cours des cidres restent influen d'anciens magasins de brocanteurs cés—par ceux des alcools stabilisés entre degré 8,30 hectolitre. Il se traite 8 et le découvrent les savants quand Us que à ainsi 11 Iv. le degré pour les réglons liors font des fouilles. Ils fixent une date Pays d'Auge et pour le Pays d'Auge ce au hasard de l'histoire ou de la pré prix s'élève Jusqu'à, 11 fr. le degré. On histoire, mais les vieux pots cassés note en général une tendance à la hausse. : Une Jeune bonne de 19 ans, — VireDesert, doivent être encore bien plus vieux I Simone a volé 5.000 francs à ses Supposez que demain un tremble patrons, les époux Letelllcr, cultivateurs elle a brûlé les bil ment de terre bouleverse tout le a Vony. Soupçonnée, tout avoué Elle aux gendarmes qui a boulevard Richard-Lenoir et admet lets. arrêtée. l'ont millénaires, tez
CŒUR de
L'HISTOIRE NORMANDE
Vous pouvez, aussi vous adresser A Deauville aufc directeurs des trois hôtels. Le Casino, les Hôtels et les Clubs de
du Petit Journal. 14 Avril 1930
M. Doumergue préside la fête
du cinquantenaire
Pour Pâques, retenez yos chambres aux Normandy Hôtel, Royal Hôtel et Hôtel du Golf, en téléphonant à Paris, -- Caen : Reprise tris marquée des ex 73, rue d'Anjou, Europe 36-15 et 3G-16. portations de minerais de fer. Aux entrées escompté 19.463 tonnes
que dans des un ar chéologue découvre le buste de Mme de Pompadour à côté d'une photo graphie de Sadi-Carnot, il donnera à ses élèves des vues de notre épo' que qui ne seront pas tout à fait exactes. Bleus ou soirs, tous aimés, tous beaux... t Mais ce qui rend mélancoliqu venus on ne sait de quelles orbi c'est de penser que tous ces déchets, tes, à choisir là, dans une sébile, tous ces débris, toute cette friperie, pas si loin d'une pauvre jambe de ont été neufs; frais, beaux, désirés bois, d'un casque de poilu et d'un et enviés et qu'une femme, — il n'y habit d'académicien. a pas si longtemps 1 — a pu cares Rien ne se perd ! Car il est bien ser son visage avère cette vieille houévident que le bonhomme qui a ra pette dont on se demande aujour massé pour la première fois cette d'hui ce qu'elle peut bien encore es cafetière égueulée, sans anse, ne la pérer ! —13— Feuilleton
A TRAVERS LES DÉPARTEMENTS
EURE
vais vous conduire immédiate ment. faire, mon — Qu'est-ce qu'on va me sieur V débarquer à — Très probablement vous la première escale et vous remettre entre les mains du Consul français — si voua êtes Française comme je le suppose — qui vous fera rapatrier. Ensuite, on vous déférera aux tribunaux. Paulette avait bien retenu et récité la leçon que Romain lui avait fait répéter la veille, mais elle n'avait pas prévu la suite des événements. Maintenant, elle s'embrouillait dans ses explications et ne savait plus ce qu'il fal lait dire. Et toute son audace, tout son sang-froid fondaient en larmes. Cependant, devant son chagrin, la voix du tortionnaire se fit soudain plus douce : mademoiselle, votre détres — Ecoutez, je
répondit Pau— Quelqu'un d'en haut, lette, a très bien pu ouvrir la porte en passant, et oublier de la refermer,, penIdant que l'ascenseur descendait. . ' * " — Comment avez-vous pénétré sur le se mt fait pitié. Si vous voulez vous y prê bateau ? ter, je puis tâcher d'arranger les choses. amis mêlant et aux pa aux me — En Un rayon de soleil après l'orage : les rents qui venaient accompagner les pas- grands yeux de Paulette brillent de joie. sagers. . complice, poursuit le drogman, connaissez personne â — Votre — Et vous lie (car vous en avez un, quoi que vous bord, bien entendu ? en disiez) avait sans doute l'intention, Personne. quelques instants après le départ, de vous —• amenée ? délivrer de votre prison temporaire, et de — Personne ne vous y a vous mêler aux passagers de troisième — Personne. cette histoi- classe qui sont, pour la plupart des émi— Eh bien, vous raconterez vs au commissaire du bord auprès de qui grants et à qui on ne demandera plus
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•
de l'Association des Instituteurs des instituteurs 'pour l'éducation et le patronage de la Jeu nesse a fêté hier après-midi au Gymnase Japy, son cinquantenaire. Cette céré monie était placée sous la hauts présit dence de M. Gaston Doumergue, Prési dent de la République, lequel était assis té de MM. Marraud, ministre de l'ins truction publique ; M. Leconte, inspec teur général de l'instruction publique, directeur de l'enseignement pour le dé partement de la Seine, et accompagné du lieutenant-colonel Rupled . M. Pierre Marraud a prononfcô un dis dans lequel 11 a retracé l'œuvre ac cours complie par la société. Le ministre a fait ressortir l'impor tance capitale que présente le dévelop pement de l'enseignement postscolaire et a souligné les efforts du gouverne ment pour intensifier cet enseignement et l'orienter dans un sens professionnel et agricole. Cinq cents élèves, taut Allés que garçons, exécutèrent un programme ar tistique de choix. Il y eut des numé ros d'éducation physique, de danses rythmiques, d'ensemble de violons, de chœurs et enfin une fantaisie costumée. La musique du 25* régiment colonial prêtait à la fête son gracieux concours. Ajoutons que le programme était vendu au profit des sinistrés du Midi. L'Association
Au Havre, M. Champetier de Ribes,
a présidé l'assemblée générale
de l'Association des Mutilés Le Havre, 13 Avril. M. Champetier de Ribes, ministre des—Pensions, arrivé par le rapide de 10 h. 52, a présidé, à
il
heures la séance solennelle de l'as
semblée générale de l'Association des mutilés et .anciens combattants du Ha vre et de la région au théâtre munici pal. Dans son discours, le ministre affir
ma son dévouement aux anciens combat tants et à leurs justes revendications.
la ; municipalité.
Evitez, le plus qu'il vous est possible, de v.ous rencontrer, de vousp parier î Soyez.polis et corrects... comme deux étrangers logés dans le -même hôtel ! Et faites chacun ce qu'il vous plaît.I • Les Ledrain acquiescèrent, promirent Puisqu'il en est,ainsi, dit la petite tout ce qu'on voulut et prirent congé Mme Ledrain en pointant vers son mari de M' Roblot sans remarquer l'étrange un index menaçant, il ne nous reste sourire qu'esquissa, derrière eux, le vieil avocat. plus qu'une chose à faire : divorcer ! — En effet ! répliqua aussitôt Paul Dès le jour- même^ fidèles à leur pro Ledrain. Cela arrangera tout. Divor messe, Paul et Georgette commencèrent çons î C'était la . première fois, depuis trois de vivre une existence toute nouvelle. leur appartement transformé, il y ans et deux mois... (non, les deux mois Dansdeux appartements bien distincts. dé la trop courte lune de miel, il ne eut faut pas les compter !), c'était ia pre- Georgette, qui avait la passion de l'or mièïe fois depuis .trois ans que Paul et dre et la haine de la poussière, put, Georgette tombaient d'accord. Ils s'en tout à l'aise, balayer, frotter, astiquer rendirent compte aussitôt et s'en trou et ranger sans que son mari vînt anéan vèrent si drôlement surpris qu'ils ne tir le résultat de ses efforts. Celui-ci, ;au contraire, ne se souciait nullement d'har purent s'empêcher de sourire. Un sourire après trois ans de tem monie ; il avait l'habitude de jeter au pête, et de tempête, somme toute, sans hssard ses faux cols et ses souliers aussi bien que la cendre de sa ciga raison grave ! ils n'avaient rien, en effet, à se repro rette il adorait perfectionner son poste cher l'un à l'autre, si ce n'est ceci : dé radio en le démontant, en le remon Paul et Georgette, mariés par amour, tant, en semant partout maints acces avaient tout de suite découvert qu'ils soires compliqués et fragiles. Nul ne iut n'avaient ni les mêmes opinions, ni les fit plus de reproches. Georgette déjeunait à heure fixe, .de* mêmes goûts. Ce que l'un aimait, l'au petits plats cuisinés selon ses tre le détestait. Si celui-ci voulait aller bons à droite, c'est à gaucfje que l'autre pré-' goflts, — comme la blanquette. Paul tendait courir. Que le premier dît blanc, s'en allait prendre ses repas au restau aussitôt le second dirait noir. Comment rant, quand il en avait envie. voulez-vous vous entendre ainsi ? Ils ne ' Georgette, qui avait eu une dot ron s'entendaient pas, bien qu'il leur arri delette, courut les couturières et lés vât souvent de crier comme des sourds modistes. Paul, qui gagnait beaucoup et ces scènes continuelles, éclatant dais d'argent, dans la représentation, s'dffrit le ménage désuni, avaient fait peu â quelques fantaisies coûteuses. Deux fois nar jour, tout au 'plus, Sis peu, de ces amoureux de la veille, deux se rencontrâtes pour certains détails ennemis intimes. Tout à l'heure enfin, pour le motif le ménagers indispensables. Cela se pas plus futile, ils s'étaient dressés l'un sait très bien. Ils ne pouvaient même de se sourire en se quittant. contre l'autre. Au cours du déjeuner, s'empêcher Ils étaient parfaitement heureux. on avait servi tiyç blanquette, (jeorgette avait un faible pour ce plat et, Une semaine passa. La lettre atten n'arrivait toujours pas. Paul télé comme il était dans son rôle de diri due à M* Roblot. Celui-ci répondit : ger la domestique, la jeune femme ne phona s'était point souciée des préférences de » Encore un peu de patience ! » Us en eurent huit jours encore, puis son mari. Celui-ci furieux déclara: quinze. Rien ne vint. Pourtant, 'ils n'é — Je vais aller au restaurant. prouvaient plus, ni l'un -ni l'autre, de — On ne va pas au restaurant, répli hâte à résoudre la situation, maintenant qua l'autre, quand on est marié. cette situation leur paraissait pleine — Voilà bien la pire des bêtises que que
Incompatibilitéd'humeur
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OOMPIEGXE SE PREPARE A FETER JEANNE D'ARC j'ai faite ! Et alors qu'on en était venu à Les habitants de Compiègne préparent parlerc'est divorce. de Mesnii-Ralnfray : Sur la proposition avec la plus grande activité et un re> du—ministre de l'Intérieur, Je conseil mu marquable souci d'exactitude les fêtes Rien de plus facile d'en parler, mais, nicipal est dissous. organisées sous le patronage du gouver quand il s'agit de passer aux actes; les nement les 17, 13 et 25 mal, en l'hon difficultés commencent. Les Ledrain-le
MANCHE
ORNE
neur de Jeanne d'Arc. "M. Fournier- sentirent confusément et, pendant quel ques minutes, leur colère s'apaisa. Ils réfléchirent. Enfin, Georgette eut une
Sarlovèze, député-maire de Compiègne, est .le grand afiimateur de cette mani festation qui va attirer une foule consi Alençon La médaille Notre-Da de : — me de Sées a été décernée aux personnes dérable de touristes, admirateurs défé dont les noms suivent : médaille d'or, rents de l'admirablê épopée. MM. Clément Sauvage, de Carrouges ; Ju Partout, dans Compiègne, on brode des les Simon, de Salnt-Martln-des-Landes ; bannières; lés jeunes filles de la ville Arthur Filleul, de Saint-Michel-la-Forêt : travaillant, bénévolement, à reconstituer Georges Barbier, de Gauville ; Ernest des émaux des XI* et XII1 siècles dans Pierre, de Taillebois. M. Chesneaux, anolen secrétaire de les ateliers du château de M. Fo'urnierla —. sous-préfecture de Domfront, actuelle Sarlovèze ; les couturières, brodeuses, ment chef de division à la préfecture de armuriers, bottiers, préparent les acces l'Orne, est nommé, chevalier de la Légion soires qui* serviront à habiller et armer d'honneur. „
SEINE - INFERIEURE Lecachey,'.adju coloniale retraité, est nommé garde champêtre. : L'Association des anciens — lécump élèves petit lycée èt du collège de garr du tenu çons a son assemblée générale. Lé bureau a été renouvelé tfomme suit : pré sident, M. Charles Merrienne ; vice-pré sident, M. Paul Dupont ; secrétaire, M. Jean PeAay secrétaire-adjoint, M. Gas ton de Chanteloup ; trésorier, M. Robert Morel ; trésorier-adjoint. M. Victor Banse. : Mlle Lucienne Receveur, — Le Havre victime de l'accident d'auto relaté, a suci combé à l'hôpital. : M. Emile — Etretat dant-chef d'Infanterie
Heures des marées de demain Granvllle, pleine mer 9, 9 h. 22 du ma 9 h. 40 du soir. A Cherbourg, pleine mer a 10 h. 9 du matin et à 10 h. 28k du soir. Au Havre, pleine mer a 11 h. 12 du ma tin et à 11 h. 31 du soir. A Trouville. pleine mer & 11 h. 14 du matin et à 11 h. 33 du soir. A Dieppe, pleine mer à 1 h. 10 du soir. A
tin et à
La sixième conférence du R.P. de la Boullaye à Notre-Dame Le R. P. de la Boullaye a terminé, hier, la seconde série de ses confèrent ces de Carême à Notre-Dame. Il a trai té de la résurrection de Jésus devant le rationalisme. Le prédicateur s'est d'abord attaché à réfuter les objections qu'on pouvait lui présenter, à examiner des hypothèses plausibles. Il a fait une sorte d'histori que des objectionset des hypothèses dis cutées députe les rationalistes du XVTII* siècle jusqu'à Renan. Dans la seconde partie de son argumentation, il a insis té sur la fragilité des raisons présentées par les adversaires de la résurrection. Dans la troisième partie, il a démontré que les faits de la Résurrection n'avaient pas pu se passer autrement qu'ils sont racontés par lès « Actes » et il s'est élevé contré ce qu'il a nommé « l'arbi
traire des exigences ». s> Vous avez dit : « En garaatte de la
MORTELLEMENT BLESSE PAR ÏJN CHAUFFARD Hier soir on a Louviers, 13 Avril. découvert sur la route,—entre le Vaudreuil et Incarville, un homme inanimé et per dant son sang en abondance, M. Dumou lin, 32 ans, demeurant à Incarville. Il a déclaré avoir été renversé par une auto mobile qui ne s'est pas arrêtée. Transpor té a l'hôpital le malheureux y est décédé des suites d'une fracture du cr&ne. La gendarmerie s'est mise & la recherche du chauffard qu'elle a réussi à rejoindre. Le coupable, un fabricant belge de Lery,' a avoué ; 11 a été laissé en liberté provi soire.
Bernouvllle : Le bâtiment principal de l'usine de chiffons de M. Léon Glraud a été la proie des flammes. Un stock im portant de marchandises a été. détruit. — Gaillon : La séance ,annuelle de vac cination gratuite aura lieu à la mairie de Gaillon le mercredi 16 avril courant 11 heures. — Gisors : Un service d'autobus vient d'être créé de Lvons-lâ-Porêt à Gisors par Morgny, Longchamps, Mainnevllle, Hêbécourt, Salnt-Paër et correspondant avec les expressvpartant pour Paris à 8 h. 17 du matin Ha 18 h, 05 le soir a Gisors, — Une section de l'Union des médaillés militaires vient d'être constituée à Gisors. Président, Albert GUies ; secrétaire, Char les Finck ; trésorier, Gaston Doussln ; administrateurs, René Dellêre, Henri Deglsors. , Loutiers : La ,consultation du Jeudi — 17 avril au dispensaire d'hygiène social, 7, rue Tournante, n'aura pas lieu. — Une conférence a été donnée à Lou viers par l'abbé Bouly, curé de HardelotPlage. —' Mme Andrée Carville, demeurant à Louviers, 25, rue Saint-Jean, a tenté dç se suicide», en se Jetant dans la rivière place de la Poissonnerie. Elle a été sauvée par M. Lemolne. —- ; M. Guéroult, 1, rue des Bigards, a tenté de suicider en allumant dans sa chambre se deux réchauds ii charbon. Lé malheureux rut trouvé râlant lit. Il a été transporté k l'hôpital;sur son — Une conférence publique aura lieu à Louviers, au théâtre municipal, le mereve* dl 16 avril à 20 h. 30, sous la présidence de M. Robert Mordret, président de la Fé dération républicaine radicale et radiealesocialiste du département de l'Eure, — Vernon : Calendrier des fêtes et ma nifestations vernonnalses : 3 et 4 mal, congrès régional de la Fédération nor mande dçs A.C. ; 19 mal, course du kilo mètre lancé organisé par l'Automobile Club de l'Ouest ; 25 mal, kermesse dé l'U.SJSt.D. de Vernon ; 29 mal, rallye-bal lon automobile, organisé par l'Automobile Club de l'Ouest, avec le concours de l'U.O. I.S.I. de Vernon ; l ,r Juin, pèlerinage an nuel au monument des Mobiles de l'Arcléche (1870-71) ; 8 et 9 Juin, congrès des Fédérations normande et picarde des sociations sténo-dactylographiques ; as 22 Juin : kermesse des Heurs organisée par l'U.CXS.I. de Vernon 29 Juin, fête cham pêtre au faubourg de ;Bizy ; 6 Juillet, fête de la Commune libre de Vernonnet 3 août, concours international de pêche ;or ganisé par le Gardon Vernonnais ; 6, 7 et 8 septembre, foire et fêtes, organisées par —
LES CONTES DV P. 7.
les 7.500 personnages du cortège ; parmi les artisans désintéressés qui contribuent & cette commémoration de notre hé roïne nationale, il convient de citer M. Faltout, maître émailleur qui «ha bille » d'émaux fort remarquables les chasses aux célèbres reliques ; M. Duvau. dessinateur, M. Martens, décorateur, qui a réussi une légendaire « guivre », l'ani mal fabuleux des légendes locales ; M. Parpens, sculpteur sur bols, M. Guy Arnoux, M. Landolf et tous leurs colla borateurs. LA REINE DES « AMIS D'IVRY »
leurs papiers avant leur arrive au lieu d.e destination. C'est ainsi que procèdent généralement les fraudeurs. Eh bien, je vais laisser faire... je vais vous laisser li bre de vous rendre aut troisièmes classes, où vous vivrez tranquillement de la même vis que les autres passagers, sans plus être inquiétéei Ensuite je fermerai les yeux, je ne raconterai à personne ce qui s'est passé. Mais à deux conditions...
Paulette redouble d'attention :,
— A deux conditions, je vous le répète. La première c'est que vous ne direz de
votre côté à personne que vous m'avez rencontré et que je vous ai interrogée. — Je vous le jure, monsieur. — Et la seconde... La seconde, c'est que vous ferez ce que je voudrai... je suppose que vous me comprenez...
f-
*
Paulette ne comprend pas très bien.
Mais la figure de l'homme , brusquement, a changé d'expression, ses yeux s'éclairent d'une lueur cruelle et brutale, ses mains, dans un geste instinctif, animal, s'avan cent et se crispent comme si elles se pré
paraient à saisir une proie.»
Elle n'a pu réprimer un mouvement de stupeur et d'effroi. L'homme ricane : — Vous jouez très bien la comédie, ma
petite fille. Oui. vous êtes vraiment très forte, pour votre âge.... Mais j'aime mieux vous dire tout de suite que vous perdez votre temps à faire l'innocente... Avec moi. ça ne prend pas... Vous comprenez, ^'en
idée. . M* Roblot. Je vais aller consulter — •^C'étaii un vieil avocat, ami de leur mari : famille. Moi aussi ! dit Paul. — Après tout, nous sommes très bifen » ainsi. A quoi bon divorcer ? ! Et, comme Georgette. s'étonnait, 0 ajouta : — En effet ! c'est complètement inaJe n'en connais pas d'autre. Pour tile. Continuons à vivre comme nous — les premiers conseils, il peut bien nous sommes ! Et la jeune femme fut si^ heureuse de diriger tous les deux... Nous irons le cette conclusion .qu'elle invita son man voir ensemble. à dîner. 11 accepta avec empressementDès le lendemain matin, la petite Mme Ledrain et son man se trouvaient Roger Régis. assis côte à côte dans le cabinet sévère 'de M* Roblot. En face d'eux, de l'autre JEUNES FILLES DISPARUES côté d'une table chargée de dossiers, A MONTREUIL-SOUS-BOIS l'avocat les écoutait. C'était un homme qui, ayant dépassé la soixantaine, avait M. Roy, commissaire de police de Montreull-sous-Bois, a été avisé, hier, de la conservé les vieilles traditions du bar disparition, depuis deux jours, de deux reau son visage s'encadrait de deux jeunes filles : Jacqueline'Fouilloy, 15 favoris blancs et son torse, encore puis B. passage du Gazomètre, taille 1 m.ans, G5. mince, cheveux courts châtain foncé, s'engonçait qui dans une longue redin était vêtue d'une sant, Jupe et d'un manteau gote noire. Immobile, les mains collées verts roUge, et chaussée 4" avec corsage aux bras de son fauteuil, les yeux fixés souliers noirs, et de Andrée Houdon, 16 9, rue Girardot, même corpulence, sur ses clients, il les écouta expliquer ans, cheveux le but de leur visite, Phistoire multiple bleue à longs châtains, vêtue d'une robe carreaux rouge et Jaune, et chausde leur mésintelligence,leurs rancœurs, sèe de souliers bas jaunes. leur résolution. Puis, quand tous deux eurent vidé leur sac jusqu'au fond, — Vincennes : En face de chez elle, 26. rue du Midi, à Vincennes, Mme Augustlne M* Roblot dit simplement : Maillard; 78 ans, a été renversée par la En voulez divorcer somme, vous motocyclette de M. Jean Postes, 63, rue — incompatibilité Arsène-Chéreau, à Montreuil. Sur sa de d'humeur? pour mande, Mme Maillard, dont l'état est gra — C'est cela même 1 approuvèrent les ve, est soignée chez elle. Ledrain. Avilir TRES CHER — Eh bien ! reprit l'avocat, le cas
Récemment constituée,. la Société d'entr'aide sociale « Les Aml9 d'Ivry », qui groupe déjà plus de 3.000 membres, sous la présidence d'un fervent mutualiste, le docteur Jules Girard, avec, comme secré taire général, un homme d'action, M. Jardel, a' donné; dans les salons de la mairie du 13» arrondissement de Paris, à défaut de ceux de la mairie d'Ivry, refusés par la municipalité^communiste, une grande fête dé bienfaisance qui a obtenu un succès sans précédent. Plus de 1.600 spectateurs ont applaudi les artistes et les amateurs qui prêtaient leur gracieux concours à n'est pas prévu par, la loi. KERESTEDJlAN ne manifestation, au profit des aïondés Ah I 1 firent les deux autres. 38, Rue de Trévise, 38 — du Midi, et de la caisse des écoles d'ivryM* Roblot prit un code sur sa table Tél. : Prov. 83-69 sur-Selne. Au milieu c.e l'enthousiasme général, on et, lentement, posément, lut les articles a désigné une reine qui tepréséntera :a société à toute? les fêtes de l'année, sous relatifs au divorce, expliqua chacun la dénomination de «• Mademoiselle d'eux et démontra qu'aucun tribunal ne d'Ivry ». Parmi les 51 concurrentes, c'est pourrait admettre les raisons invoquées Mlle Renée LaruëUe, sténo-dactylo, char par les Ledrain. Mais aussitôt, il ajouta: (jes toiles de soie mante brunétte de 18 ans, habitant 60, — Cependant, il est avec la loi des avenue Jules-Coutant, qui a été élue. Ses toujours demoiselles d'honneur sont Mlles Cécile accommodements. Puisque vous êtes Baudoin, G)roux, Andrée limitée, Andrée Duchsf- bien décidés à vous séparer, n'est-ce delaville et Lucienne Faucheux. Tradui (jamais pas ? et afin de vous être agréable, sant }ea sentiments de l'assemblée, le doc je vais chercher égalée. teur Girard a adressé aux heureuses elues moyen de vous sa dç chaleureuses félicitations, tin bal tiès tisfaire. Ce sera unpeut-être assez long. ctiimé a terminé cette belle fête. Retournez chez vous! Patientez! Je IMAJIQUS écrirai quand j'aurai trouvé. Vous garantie _ çolé __naturelle; vous pure UN POLICIER BLESSE •j'aurez plus, alors, qu'à faire choix cha rlffonreaaement lavable PAR DES CONSOMMATEURS d'un Oa» tcua 1m Magubn cun avocat... DANS UN CAFE — Mais, en attendant ? demanda Georgette. L'inspecteur Valehtln Martin, de la — En attendant, mes chers amis, pro voie publique, recherchait un malfaiteur mettez-moi de vous conduire tous deux dans le quartier de Plaisance. Samedi raisonnablemént ! Rien de plus simple. soir, vers 20 heures, il pénétrait dans Il dans votre appartement une y a un débit, sis 9, rue Vercingétorix, lors chambre et Constipation un salon ? Bon ! Vous, qu'il fut reconnu par un consommateur et violemment pris à paitie. Cinq ou chère madame, prenez la chambre ! six autres consommateurs,armés de ma Vous, cher monsieur, installez dans le traques, se jetèrent sur le policier et salon un lit de fortune l Vivez chacun celui-ci sortit son revolver, mais il fut chez soi ! Que M. Ledrain prenne ses immédiatement désarmé. Assez griève repas au restaurant, puisqu'il aime cela I ment blessé, l'inspecteur a été conduit à la maison de santé des gardiens de la paix. Le brigadier Holzer et les Inspec Vous aimez les feuilletons de MAXIME LA TOUR teurs Pien et Verrier ont été chargés de retrouver les agresseurs. ...vous aimerez aussi l'EMOUVANTE NOUVELLE
BIJOUX
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mission que J'ai reçue, quand on aura détruit ce tempie. le rebâtirai en trois Jours. » Vous l'avez fait ; îe Messie, o'est vous i » Et, avant de descendre do cette chaire de Notre-Dame illustrée par l'éloquence de tant dë piêties éminents le prédica teur a annoncé à ses auditeurs . qu'ils n'étaient encore qu'au début du chemin. Le carême de 1931 verra la continuation L'ETAT DU COMTE D'HARCOURT de l'œuvre de belle éloquence et de la merveilleuse dialectique du Père de la Casablanca, 18 Avril. — L'état du comte Boullaye qui, dans un siècle éminem d'HarCourt, de l'accident que nous ment scientifique,n'a pas hésité à porter avons relaté,victime est statlonnalre. La comtesse les discussions de la foi catholique sur d'Harcourt est arrivée de France parle terrain de la plus rigoureuse logique, avion. »
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d'agréments. N'avaieht-ils pas presque tous les avantages des gens mariés saris en avoir les inconvénients? Lear irrita tion, leur acrimonie avaient fait place à de l'indulgence. Parfois, il leuf arri vait de se rendre mutuellement des ser vices. Georgette acheta pour son mari une cravate. Deux mois passèrent. Jamais le temps ne leur avait paru si rapide. . Un soir enfin,'après une brève conver sation d'affaire, Georgette dit à son
tAfETSTE RCINE
reine
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JU BOL*
rééduque l'intestin
qae cet cmteur publie dans le
PETIT JOURNAL ILLUSTRÉ DU 13 AVRIL
ai vu d'autres, des filles comme vous, et Ainsi donc, elle est tombée entre les qui allaient aussi en Amérique du Sud, et mains d'une bande d'infâmes trafiquants I il est rare que ce soient des vertus, je tous Mme Flora, Mlle Christiane, M. René, assure 1— tous des criminels : leurs prévenances; Monsieur î «Indigne Paulette rouge leurs gentillesses, leur générosité, elle en saisit à présent tout le pens I de—honte et de colère. , Us allaient — Oui, oui, le coup est connu : quand fiance aveuglela vendre et dans sa con les filles qui sont expédiées en Amérique et naïve, sans se rendre du Sud n'ont pas l'âge légal pour être li- compte de ce qu'elle faisait, elle les a ai wées au honteux trafic que vous savez, oh dés a réaliser leur -plan Infernal !• les cache avant le départ du paquebot,sous Et voilà qu'elle est de nouveau toute le tunnel de la machine, dans une armoi seule dans la vie, plus seule qu'elle était re, sous une couchette, o- — comme vous le jour ou elle a quitté sa maison de la — dans un monte-charge ou un ascenseur rue de Vaugirard pour errer au hasard, à soi-disant détraqué... Ce ne sont pas les la recherche de l'inconnu I Car, aujour cachettes qui manquent... Après le dé d'hui, non seulement elle n'a plus de sou part, la mineure se débrouille. Elle se dis tien, mais elle est entourée de trahison, simule parmi les émigrantt. où elle tache d'hostilité et de vice,-et tout la menace. de se faire des amis, c'est-à-dire des Elle voudrait crier, appeler au secours. complices, ou bien elle reste, si elle peut, le plus longtemps possible dans son coin, Mais qui l'entendra, qui la croira, qui où son « manager » lui fait passer de la s'intéressera à elle ? Toutes les apparences nourriture, de temps en temps... Puis, à l'accusent. Elle aura beau dire et beau Montévidéo, elle débarque et retrouve le faire, pour tout le monde sur ce bateau, monsieur qui s'est chargé d'elle et qui. elle sera une « fille », on se moquera de absent jusque là (lui, il généralement ses pleurs; ses protestations d'innocence, ne seront accueillies un passage de seconde) lui remet alors les si invraisemblables, des quolibets 1 rires et des papiers, (les faux papiers) qu'il a fait fa que par briquer pour elle. Et voilà : C'est bien ça, Pourtant elle essaie. Qui sait, cet hom n'est-ce pas ? me qui est devant elle est peut-être un Tandis qu'il parlait, Paulette a entrevu pèret» peut-être est-il bon, peut-être redans sa voix l'accent de la peu é peu l'atroce vérité, comme si un connaîtra-t-il sincérité, dans ses yeux la flamme qui ré voile se déchirait en elle... Maintenant sa • tragique situation lui apparaît dans toute vèle la vraie douleur l Monsieur, au nom de ma pauvre son horreur, en pleine lumière. Elle voit — enfin clair dans sa conscience... maman <^ul est morte et qui m'aimait
tant, au nom du seul être au monde que j 'ai aimé... — Ah non ! tu ne vas pas recommencer tes boniments !... Ça va, on sait ce que tu peux dire !... On me l'a déjà faite, cellelà !... Tu t'es laissée embarquer sans sa voir, n'est-ce pas ? Tu ignores ce que tu vas faire là-bas, tu es une pauvre victime dont on a odieusement abusé ?... Non mais, chez qui ?... A d'autres ma petite !
Et, en attendant, à nous,deux l L'homme n'entend et ne voit plus rien. Ses tempes bourdonnent... Toute sa volon té est maintenant tendue vers le Dut inavouable... — C'est bien simple, tranche-t-il. Je vais te laisser réfléchir jusqu'à ce soir â peuf heures. D'ici là, je te mettrai dans un endroit où je saurai te retrouver. A neuf heures, j'irai te chercher. Si tu ne me suis-pas, je te conduirai chez le com missaire du bord... C'est à prendre ou à laisser. Compris ? Et, comme il se lève pour ouvrir 1a por te de la. cabine, il se penche sur Paulette, lui saisit la taille, la renverse sur son bras,
veut l'embrasser... Mais, dans un sursaut de tous ses ... nerfs, elle se débat, se baisse brusquement, réussit à se dégager, échappe enfin â la
brute... Puis, elle s'enfuit, courant comme une folle, droit devant elle, au hasard... (4 suivre), i . ,
DERNIERE HEURE La péréquation des pensions à la Chambre SERVICES SPECIAUX TELEGRAPHIQUES. TELEPHONIQUES ET TSf. du « Petit Journal
»
A LA FOIRE commerciale de Lille
NOUVEAUX PRIX
Cette sensation de
CONFIERENT
rentes administrations que la retraite à M. Sansort, minisire belge de la Justice, 55 ans n'était pas obligatoire, mais cela et M. Oberkirch, sous-secrétaire d'Etat, Mètres métalliques n'a pas fait l'affaire des .jeunes impa à l'occasion rencontrent se tients. rigides et souples de la Journée franco-belge DIFFICULTES LES les de pensions On nous oppose re , INDIGESTION traites, supérieures, de l'Allemagne, mais ' Lille, 13 Avril. une Oberkirch, M. sous— on oublie que l'âge de la retraite y est secrétaire d'Etat au arrivé est commerce LES troubles de l'estomac ne se mani de 65 ans. à Lille matin à heures. 11 Un quart ce festent pas toujours par des douleurs Le ministre du budget demande à la d'heure plus tard débarquait à tour son la intenses, mais souvent se révèlent clô Chambre d'en finir. Cris à droite : belge à de la Janson, ministre M. Aujourd'hui, M. Snowden gare de ture ! par une sensation de somnolence, la Justice. venaient assister Tous deux avoir après ballonnement lourdeur ou de Communes M. Puech propose une formule tran à la Journée franco-belge organisée exposera aux par Simple mangé. Qu'ils soient graves ou apparem applaudie sactionnelle qui est au cen la foire commerciale internationale de La délégation ilalièhne maintient comment il Compte combler ment anodins, les troubles digestifs sont tre et à gauche, et que M. Lassalle ac Lille. Les ministres ont été reçus par . sujet réserves déficit le presque toujours dus à un excès d'acidité au cepte en abandonnant les mots : auto M. Delepoulle, président du comité de &es ! Double zow. interrompt la digestion, fait fermen qui On aborde ensuite la loi de Finances. matique. de la limitation des armements la général foire le Boquet, comman ; ter les aliments et provoque les gaz qui M. Tardieu remercie M. Lassalle de, dant le 1" Un premier débat a lieu sur l'article 11 (De noire correspondant particulier.) nombreuses de et per corps gonflent et détendent l'estomac. Il en mais il lui de sonnalités. A clarté, effort la cet de pourcentage (taux le calcul de vers M. Demain, Avril. Londres, 13 pour ils été la préfecture ont résulte des nausées, des ballonnements — Londres, 13 Avril. — Le comité de ré Snowden mande d'aller un peu plus loin. l'impfet sur le revenu). Les Communes préfet exclusivités son du aux accueillis M. Langeron, exposera quelquefois même des palpitations. journée par et daction a poursuivi toute la malentendu qu'il faut Nord, entouré des notabilités de la ré Il Sénat disjoint y a un Le texte, la travaille de il auquel de budget coma ce projet — Vous pouvez éviter ces désagréments et l'élaboration du projet de traité. M. Ros- puis dissiper. C'est que nous sommes prêts à gion auxquelles s'était joint M. Thaune, H. LEFEBVRE mision accepte. M, Beyris demande at semaines. Le longues en de pays obtenir un soulagement immédiat' en de la coefficient 5 a{.ipliqué aux re accepter le so a maintenu la réserve générale le rétablissement, la disjonction banquet' mais vif intérêt plus exposé tend cet de consul général Belgique. Un avec un prenant de la Magnésie Bismurée. L'aci Ampère — PARIS 68, délégation italienne visant la méthode coefficient rue traites d'avant cor guerre, maintenue est 310 voix contre 275. de précédentes. On se par années la salle des dité, nlère de tou& ces maux, sera neutra a été servi à 13 heures de limitation des armements navals, que les comment dépréciation de «la fêtes à Ja respondant Chambre Par contre, reprend la de l'E le chancelier minis son des mande de la foire l'honneur lisée instantanément, la fermentation en l'Italie demeurant favorable à la limita chiquier réussira à combler le déficit de tfexte en ce qui concerne les succes monnaie. les douleurs disparaîtront et la français. arrêtée, tres belge . et tion, par'tonnage global, et les chiffres n'est sions publics des pouvoirs métier de moins de 500.000 francs l'exo Le et boucle adressé de votre estomac sera adouirritée paroi Au dessert. M. Oberkirch a ses — de son tonnage ne figurant, pas danç le 40 millions de livres par lequel se la fois nération satisfaire d'illusions des des petites col de emprunts absolumentinutile de continuer ; une cie.'Il est pas se souhaits de bienvenue aux représentants l'exercice 1929-1930. traité envisagé. Vous lectivités disjoint machine déclenchée, L 'inauguration désagréablede intro elle tournera. et elle l'article à Marseille à éprouvercette sensation de la Belgique. Il a évoqué l'unidn du Les pronostics auxquels' se sont livrés M. MacDonald se propose, assure-t-on, lé demain duit dans budget de le Sénat, de la allez ouvrir exonérant taxe gonflement après vos repas. Prenez de la continuer par temps de qui doit reposent que guerre se de conférer à ce sujet, demain matin, les miiieux politiques ne dans tl* d'affaires, des le chiffre les coopérati trous com sur vous pourrez pas paix. ne que pendant la Nous devons prouver •du monument d'Edmond Rostand Magnésie Bismurée qui se trouvede de vagues suppositions, car M. Snow avec M. Grandi. Il semble de plus en sur suite» les soulagé interdisez relever artisanales. bler. de les phar Vous c|" et vous serez vous plus absolu sur ves que l'amitié franco-belge est une réalité plus douteux que le teste final du traité den a'gardé le secret leaugmentation les MAGNÉSIE vivante et l'intensifier chaque jour da de On adopte epsuite un article nouveau traitements d'activité et de voter LA ses intentions. Une puisse être signé jeudi. la abrogeant la dégrèvements. justice c'est taxe les de La notes res que sur Toutefois, on ne sera définitivement l'impôt sur le revenu à. partir d'un cer taurant, On adopte également l'article peqsion des vieux pensionnés leur soit vantage. . (De notre correspondant particulier) fixé à cet égard qu'après la séance plé tain chiffre est cependant inévitable et nouveau proposé par le gouvernement et payée en or. (Applaudissements).Si vous L'ACCIDENT DU TRAIN DE RESERVISTEl nière que la Conférence tiendra demain, cette mesure tant redoutée ne manquera accepté Marseille, 13 Avril. — Edmond Ros la commission concernant la voulez vous engager sur un terrain plein à midi et demi, au Palais de Saint- pas de causer un mouvement d'opinion taxe par né tand, pleine capitale de l'Empire en sur le chiffre d'affaires, des laines d'embûches, le gouvernement ne vous James. M. Grandi espère pouvoir y as que le gouvernement n'envisage pas cardées du Soleil, lui qui chanta avec tant il« millilitre des Travaux publics et peignées et on disjoint l'arti suivra pas. La navette vous laisse le remède iouvenin contre sister, bien qu'il ait encore gardé la sans appréhension. d'éclat c'est le circonstance — mot de laines Une cle relatif importations de réflexion. l'étude et de la temps de Pétain mùréchal — le assistent aux et l'INDlGESTION, la DYSPEPSIE. De plus, l'augmentation continue du peignées et de chiffons de laine. chambre aujourd'hui. ce soleil qui illuminé toute son œuvre solution qui ne se justifie pas en droit, aujourd'hui aux obsèques des victimes n'aura les de chômeurs, nombre mesures que 1* GASTRITE, la FLATULENCE, eu oe matin pour l'inauguration En quoi consisteront qui comporte des impossibilités prochai Enghie'n prises par M. J. H. Thomas n'ont pas de son monument,qu'un horizon bas et ka GAZ, les BRULURES «t I ACIDITS. l'ac lointains, et périls des nous ne nes réussi à enrayer, provoque au sein du On arrive à l'article 271 adopté par ceptons M. Pernot, ministre des Travaux pu étroit, un firmament de grisaille, "puis pour la France le blics, Mais garderons nous pas. véritable anxiété. cabinet se rendant à Besançon où U repré finalement que de la pluie. Mais autour une les « vacances navales » le Sénat autorisant sous certaines con droit de choisir pour poser la question sentera li p'e&t.&orf matin gouvernement le chosesbeaucoup est état de aux Cet ce de pour famille, des officiels sa la réouverture du casino d'En- de confiance l'heure qui nous paraîtra la obsèques des victimes de l'accident de et académiques, personnages café foit hostile ditions, de toutes les autorités Londres, 13 Avril. — Il convient de dans l'attitude de plus en plus au.ceritv? gliien. (Applaudissements meilleure. quitté Paris chemin de fer de Laissey, a à l'égard du M. Fiancette, député socialiste de Pa-, et à droite.) de la cité, il aura eu la foule 2t, de la bien préciser comment se présente, pour de l'aile gauche travailliste 22 hidï soir, à heures 30. extré scission entre La gouvernement. part des orateurs, des brassées de lau la France, la question des vacances na ris, en demande la disjonction. On vote poin à scrutin lieu du maré On vote. Le donne accompagné Le ministre est if graduelle mistes modérés élargit et ligne. vales en bâtiments de et, après pointage, cellc-ci est ordonnée tage. Après pointage l'amendement est chal Pétain, délégué par, M. Maginot, riers. d'ici s'attend à les l'on ment et Au premier plan, au parc Amable Chace Washington, la Fran que, Partie traité de 304 voix contre 245. Puis, sur la pro adopté par voix Guerre. contre 205. ministre la' 367 de le par générales, élections prochaines not, où a lieu la cérémonie d'inaugura groupe position de M. Patenôtre-Desnoyers, la ce était autorisée à conserver dix cui Maxton -:idel'am obsèques solennelles .pt des observer Les de Malvy fait M. que Ff tion, autour de la famille du poète, on se soit séparé du parti travail Chambre réintègre dans la loi le tsxte rassés : 3 du type Bretagne : Bretagne, l'équilïDre lieu victimes de la catastrophe étant ont adopté, ment Bouyssou ce liste. 4 Jeandu typa Lorraine, Provence ; écarté par le S-inat, ordonnant la fer budgétaire est détruit. Il demande donc matin, à 9 heures, à l'hôpital Saint-Jac remarque M. Lautier, sous-secrétaire Courbet, d'Etat aux Beaux-Arts ; M. Maurice Bart : Jean-Bart, Paris, meture des cer/lcs de jeux à Paris. séance à permettre le renvoi de la ques. pour Donnay, de l'Académie française en ha France ; 3 du type Voltaire : Voltaire, fils On adopte tin article nouveau pro la Commission de rétablir l'équilibre, car bit vert ; M. Gaston Rageot, président Diderot, Condorcet. José par la commission qui admet la il bud Ce faut,pas Sénat ne envoyer un au de la société des Gens de Lettres ; M. rempla s'engageait à que La France ne taxation à 0,15 au lieu de 25 des cartes get en déficit. Charles Méré, président de la société postales Illustrées lorsqu'elles portent, au cer ces bâtiments que jusqu'à concur . suspendue et renYoyée à VOUS La séance est des Auteurs dramatiques ; M. Flaissière, la date, la signature 9 heures. rence de 175.000 tonnes. uniquement recto, MISERES GRANDEURS ET maire de Marseille, et les autorités civi Elle pouvait mettre en chantier 35.000 et l'adresse de l'expéditeur, et cinq mots Le crime remonte ù quatre mois du remplacement kxcelsior publie Sous titre, ce ma les et militaires. *' cc tonnes dès 1927 en plus de correspondance. en décembre Vesoul. Avril. Le 31 13 . Nacion le tin, en meme temps que La — LA SEANCE DE NUIT Jean-Bart et du Courbet ; et 35.000 ton dernier, on retirait de M. Ernest Lafont proposait de préci La cérémonie la rivière l'Ognon l'article la remplacement de Euenos-Ayres, fait paraître 1929, devrait a cette en correspondance nes en ser que ne à Servance, le cadavre d'une femme de quinzaine de M. Raymond Poincaré, Il est 10 heures. Le monument se France (cette unité a du reste été cou âgée, oas avoir' le caractère commercial, mais Au disparition dont la Mme Sacquey, la de séance de nuit, la com dans lequel l'ancien Président répond, recouvre de bleu et de jaune, les couleurs lée en 1924). cours M. Mallarmé répondit que les postiers publique été signalée. La avait rumeur addir déjà mettre notamment, aux passages du livre de de Provence. A l'arrivée des personna en attribuait .Nous p.i 1rions dono pu qualité ptiur apprécier le mission proposa un paragraphe n'avaient pas à cette mort, Un pas non ac de tionnsl à l'article sur la péréquation de3 Clemenceau, concernant lç maréchal lités, la musique municipale et les tam chantier 70.000 tonnes de bâtiments commercial d'une caractère non cor ou d'abord pensé, cident, l'avait comme on ' ligne. pensions. La majoration de 5- % des pen Foch : respondance. bourinaires de Santo Estello jouent à . bien à crime. Le dé mais parquet se un restantes a cons cida à faire pratiquer l'autopsie qui eut Il n'y aurait donc plus que deux tarifs sions prévue par l'amendement Bouys Les 105.000 tonnes Foch était un -des hommes les moins tour de rôle La Marseillaise, qui sera 1" oc orgueilleux, les plus modestes, les plus reprise à l'issue de la cérémonie. Entre truire pouvaient être commencées en lieu, nous l'avons relaté, le 8 avril. pour les cartes postales illustrées, 0,40 sou n'aurait effet qu'à partir du touché simples qu'il fût possible de rencontrer, chaque discours, telle une guirlande, 1933. il et serait 1931, 1932 limitation de la correspondance, ou tobre 1930. Ainsi ne pas ' " ' sans rapport du médecin légiste conclut Le jfe rends bien volontiers êi Clemenceau tambourinaires et musiciens rempliront L'accord actuellement en cours a Lon nettement à un crime. En conséquence, 0,15 pour les cinq mots. à l'équilibre du budget. cette justice qu après. la malheureuse af les vides. Lorsque, -l. le dres prévoit : mains disjoint l'article rela Après douteux à avait vote Sénat Le un au début de son dis aujour s'est faire du Chemin des Dames, 11 l'a cou d'instruction rendu juge A). — Que la France comme 1 Ita le addition assis inscrits adoptée mari vées, cette -Ripert est par cours, M. annonce la remise du aux pensions des rageusement cteienau a la Chambre con à Servance et y a procédé à une tif lie accepteront de reporter au delà de d'hui affolées dé commission levés. quelques times. La de à et de la ville de Marseille, le attaques monument ; les propose re tre très serrée. Après l'audition de n'excusé cette 1936 la mise en chantier de ces 105.000 enquête attitude Mais noble demànde ensuite la putés. Chambre voile tombe le la M. Lefas pro et l'apparition prendre texte de du monument que avec ces plusieurs personnes, le magistrat a mis passionnés, dénigrements position des comme tonnes ; mis lés pas de modifications subventions annuel gouvernement Paul Gondard saluée du d'applau pour en état d'arrestation un homme sur le les de l'Etat à: les sortent aujourd'hui de la terre dissements. Puis M.est qui ceux B.). — Que les deux pays se réservent quel invalides membres confiées la des sions temporaires Ripert prend caisse la pa aux Et les plus graves soupçons. Lorsque Clemenceau dit : role. M. Plaissières, maire de Marseille, vendéenne. le droit de construire dès maintenant les c'est pèsent dis Sénat les avait à Parlement, le portées de 142 178 millions et du sont que le propre fils de la victime, Maurice « Pour beaucoup de raisons, je ne suis lui succède UTILISEZ 70.000 tonnes qu'ils auraient pu déjà Jacquey, ; après lui, c'est M. Alexis convaincu qu'il (Foch) ait joué, dans qui est âgé de 25 ans, est ma subventions à la caisse de prévoyance de joint, reste disjoint. pas général, conseiller excusé 12.171.000 la Chambre qui, ayant francs. l'ab commenoer ; 3.940,000 fr. à Par 330 voix contre 210, la conduite de la guerre, le rôle décisif d'un enfant'. DIFFUSEURS En résumé : la France conserve le riéIl eta père forcée sénateur, à prê de Tasso, mis Incline lui M. Interventions de décide, le Sénat, l'opinion publique Pasquet, Après MM. ces sence que comme que été écroué à la Vesoul. prison de droit de construire 70.000 tonnes de bâ L'enqucte se poursuit sur cette affaire Germain Martin, Tardieu et de Chappe- sions n'excéderont pas six mois. ter ; 11 faudra que cette histoire «oit parle au nom de l'assemblée départe écrite pas d'autres que ceux qui l'ont mentale qui apporte son tribut d'admi timents de ligne avant 1936; 105.000 ton mystérieuse. de rétablir l'article' dis est delaine, tertbe commission*, le la M. Neyret fait vécue », on ne peut que s'étonner et, je ration. L'orateur rappelle à après 1936 ; nes de,bâtiments de ligne adopté à l'unanimité. le Sénat, supprimant le cadre J'ajoute, joint ce propos par s'attrister d'une appréciation aus soit, au total, 175.000 tonnes. poète, Rostand, l'aïeul du Alexis M. expéditionnairesdes que si défavorable et' aussi imprévue, qu'il fut l'un des plus éminents présidents FRATRICIDE POUR DEFEKDRE Les pensions Les vacances navales consisteront donc du Les routes aggrave, d'ailleurs, immédiatement par conseil général SA MERE uniqmment, pour la France, comme pour montre et il Mar que ces mots : « fl faut bien dire que, dans On arrive à l'article ayast trait à la l'Italie, à reculer les fiâtes prévues par unique, ville indus seille n'est seulement la^ "s'engage articles l'exercice du le les commandement Un débat re pas sur pensions, péréquation .automatique des abandonné à trielle et trépidante, mais une cité qui le traité de Washington pour le rempla Cherbourg, 13 Avril. — Au cours d'une disjoint par le Scnat, et dont la disjonc latifs à l'incorporation dans la voirie généralissime, parfois, s'est cement des bâtiments de ligne, la scène d'ivresse au domicile de sa mère, tion a été maintenue par la Commission nationale de 40.000 kilomètres de routes des hésitations,à à des tempéraments d'au sait aussi honorer -le génie poétique. torité propres laisser dans le flottement M. Charles Méré rend hommage au Francë'eC l'ïtàMe conservant leurs droits la veuve Laurent, à Saint-Jean-de-la- des Finances de la Chambre. départementales et communales. les résultats attendus. » acquis (70.000 tonnés). qui a si magnifiquement illustré Riviére, le manœuvre Albert Laurent, La commission propose à la Chambre De ces prétendues M. Bouyssou reprend comme amen hésitations, Clemen poète jffîxutnez chaque^ navale entre 45 ans, menaçait d'un couteau sa mère dement l'ancien texte de la Chambre. Il de reprendre son ancien texte en accep ceau donne longuement un exemple, re le théâtre. Puis, après MM. Rageot, pré « Plus de rivalité des Gens de Lettres, et Donnay, qui lui adressait des reproches. Henri déclare que les chiffres fournis par la' tant cependant- que, le classement se latif, ..dit-il. à ; l'emploi» des contingents sident nstin avec le,.^ l 'Angleterre, le Japon et nous », Laurent, l'Académie Lautier dé française, de M. cinq ans. amérloains, et il répète, à plusieurs re 23 ans, frappa son aîné à coups direction de la Dette Inscrite' sont faux fasse en trois ans au lieu déclare M. Stimson que FocU « ne voulait pas com prend la parole : de chaise et de houe, lui fracturant le et considère comme inadmissible l'argu MM. Riffaterre et Queulllè intervien prises, mander en. propres termes, Dimanche dernier, à Cannes, dit le et lui brisant les côtes. ment qui consiste à opposer les 300 mil nent pour signaler les petites communes un chef ».o Ildel'appelle, nesoifiî^t volonté paralysée ». Sans sous-secrétaire Londres, 14 Avril. — M. Stimson, chef crâne . — d'Etat Beaux-Arts, il prestations journées blessé, transporté à l'hôpital de rurales, dont les aux Pas Indispensableocs Le plus volonté lions d'avapt-guerre milliards 4 Confé doute. Foch n'avait Im à aux américaine la ac délégation pas une de la m'était donné d'associer le pays à l'hom teur de Cherbourg, y expira. Le docteur tuels. On oublie de faire entrer en ligne profitent actuellement aux routes de pulsive. violente et capricieuse $ francs la boite il mais radiodiffusion, ; ex navale, par a, rence mage rendu par les nations latines au Renault aujourd'hui fera l'autopsie. tandis les chemins Le des grand qui trafic, savait, chaque fois qu'il le fallait, que de compte les fonction versements vou puissant interprète du génie de posé île bilan de la Conférence navale. desservent les communes sont négligés, loir avec vigueur et opiniâtreté. U n'est plus naires. • votre race. Après avoir souligné que son but prin' meurtrier est écroué. moins faux qu'il eût, comme l'écrit rènvoi pas à demande le la M. Riffaterre M 'estime Et voici Bouyssou été qu'on limitation des que «l'échoit l'honneur d'ap la un a cipal était d'étendre Clemenceau, totale incompréhension une intervient, salut M. de Tiiiguy porter le du gouvernement au du commandement armements au moyen d'accords, il a Le garçonnet trouvé pendu peu loin au Sénat en essayant de soule commission. suprême. exercé Il l'a Provence Quelle périlleuse poète de la Chappedelaine. dé fermeté, et obligation enveloppe 1 doubla ver les, populations rurales contre les ainsi qua M. defait autant de tact déclaré qtie pour ce qui concerne les dans avec que privilège I ce alors remarquer que les résultats sont là pour prouver qu'il y retraités et il termine en M. Tardieu grange, il y a trois ans fonctionnaires flottes anglaise, japonaise et américaine, une Et après avoir rappelé, en termes una disant qu'il-"soutiendra l'automatisme l'Etat soulageant les départements -de a pleinement réussi. s'est-il bien suicidé ? ce but est maintenant atteint. applaudis avec quel art Ros nimement jusqu'au bout. (Applaudissements â, l'ex l'entretien de 40.000 kilomètres de rou JOURNAUX ET LIVRES dit, accord, a-t-il nous Dans notre tand, tout l'éclat de la jeunesse, dans • ' tes, les départements, de leur côté, au trême-gauche et à gauche.) limi avons atteint le plus bas niveau deprécé restaura la poésie menacée par le natu Du Journal (M. Lucien Descaves) : M. Germain Martin répond? que le fur et à mesure de l'exécution du plan, tation qu'on ait jamais envisagé Lille,, 13 Avril. — Il y a trois ans, personnel ralisme et proclama sa foi enthousiaste des retraités civils est l'objet soulageront les communes. A tous les degrés des âges le Journal, demment, un niveau inférieur a ce que le 2 janvier 1927, un garçonnet de 14 le , Le texte est renvoyé à la commission. quoi « coq des campagnes fran qu'on diqe, a procuré aux livres plus comme chacun d'entre nous et d'autres déléga ans, Roland Réguiez, était trouvé pendu da toute la sollicitude et de la bienveil çaises, de son clairon retentissant, sonne tions pensaient pouvoir atteindre. Il dans une grange, prés de l'habitation lance reconnaissante du gouvernement, M. Emile Borel fait reprendre l'article de lecteurs qu'il ne leur en a pris. ' interroger les éditeurs ; le lever du soleil », M. Lautier conclut n'existe plus de rivalité navale entre de mais la question est d'ordre budgétaire. voté par le Sénat, tendant à la. création J'aurais pum'adresser sa mère, .Augustine Reguiez. près de Voici l'Amérique et l'Angleterre et l'on peut j'aime mieux aux parents, qui éloquemment : des Lettres et des un chiffre impressionnant : la d'une caisse nationale sont à la l'information. s'exprimer de même en ce qui concerne Valenciennes. On attribua la tnort de dette viagère de source la ville de Marseille, figurait au budget de 1929 Sciences. M. Desbons fait également re — Voilà pourquoi lui, S'il d'enfants des charmeur» nos rapports avec la délégation japonaise. l'enfant à un a!cte de désespoir, et l'af y encore a qui reconnaît Sénat, en a voulu posséder 8.071 millions, elle figure au budget prendre l'article disjoint par le domaine de la chimère et de la son se dans le En terminant, il a exprimé l'espoir faire n'eut pas de suite. Cependant, elle pour l'expression de effigie lui et apporter de 1930 pour 9.115 taillions sans comp qui autorise le pari mutuel en dehors naïveté., s'il y a encore des petits com sa fidèle reconnaissance. Et oubliée qui été les voisins n'a l'Italie trouveront fi voilà pouret par pas la France que hippodromes et en'faveur du petit prenant le langage que parlent les fées, q"uoi le gouvernement 03 la République, auraient vu souvent l'entant rudoyé par ter les 300 millions pour les anciens des nalement le moyen de s'entendre. les oiseaux, les fleurs, toutes les bêtes et en s'inclinant avec respect devant son l'ami de sr, mère, Armand Michlels, su-: combattants. A elles seules, les retraites élevage. M. Briand quitte Londres. Les derniers articles de la loi de Fi les choses les plus simples, qu'on me l'é monument, tient à proclamer que l'au jet belge, demeurant avec Mme Régulez. civiles figurent dans cette augmentation nances crive, afin que J*. propage la bonne nou teur du « Vol de la Marseillaise », héros sont adoptés et la séance sus velle M. Briand quittera Londres aùjour- Ils auraieat entendu plusieurs fois celle- pour 1.3p0 millions. les familles où l'on n'a point de l'art et de la pensij nationale, a bien en attendant que la commission cessé dàn3 Or, nous n'avons pas encore fini de pendue, de prendre soin de l'éducation des mérité de la patrie 1 d"hui, soit à 14 heures, soit à 13 heures. ci reprocher à son ami, au cours de "fini de délibérer sur le problème des enfants disputes, d'être l'assassin de son fils. rajuster les traitements au coefficient 5, ait Sous la pluie qui continue de filtrer, routes. réaliser d'abord. qu'il tout c'est faut aurait innocent D'autre LE CABINET part, ce BRUNING as un « » MUNING CABINET LE la cérémonie prend fin. Les invités du A la reprise, M. de Chappedelaine sisté à la pendaison de Roland Régulez, Si vous voulez faire tout à la fois, votre donne ET LES SOCIALISTES comité se dirigent tout à, côté, au châ des textes nouveaux adop tout bouleversé par oette scène, au budget ne tiendra pas. C'est pourquoi, à tés lecture serait de nouveau en danger et, teau des Pleurs où a eu lieu un banquet ' Du Vorwaerts ; par la commission en ce qui con ne pourrais céder Sur le rait rapporté à son père en tremblant : aucun prix, je péréquation présidé par le sous-secrétaire d'Etat aux automatique cerne les routes. Ils sont adoptes. Le IJous n'avons rien à changer» au Juge Beaux-Arts. pendu... Michlels donné tour principe de la Roland , « Berlin, 13 Avril. — Les journaux du née et accroché à l'échelle de corde ». dans le présent. (Applaudissements au rapporteur général donne la balance ment que nous avons porté sur l'aventu Au dessert, le poète Emile Ripert a budgétaire telle qu'elle résulte des der re que constitue ce nouveau gouverne dimanche sont unanimement d'avis que Le parquet de Valenciennes procède centre et à droite). présenté les excuses des hautes person ment, pas plus, d'ailleurs, que sur les la troisièmelecture des projets financiers à une enquête sur cette étrange hiS' Avec une nouvelle échelle de traite niers votes. nalités qui n'avaient pu venir à Mar qualités de M. Brilning en tant que chan ments, c'est au minimum 1 milliard de Recettes 50.460.161.035 et agraires du gouvernement, qui aura toire. celier. Pour nous. 11 n'y a pas d'autre seille, dont M. Fernand Bouisson, pré dépenses nouvelles pour l'an prochain. lieu demain, mettra à nouveau en dan^ 50.422.406.844 Dépenses attitude possible que de livrer à ce gou sident de la Chambre. C'est tout le bénéfice des prochaines ger le gouvernement Bruning. — vernement un combat sans merci. C'est BERNHEIM Après MM. Rivais, Maurice Donnay, MORT DE M. conversions qui est par avanoe absorbé. Excédent des recettes Le Montag Morgen estime que si le LA 37.754.191 cela que la fraction parlementaire Gaston Rageot, Alexis, Charles Méré, pour Or, il va falloir de l'argent pour l'appli la social-démocratie fera tout ce qui et Mougins, M. Lautier pris la parole. groupe socialiste prend part au grand du budget, mis aux voix, de a cation des Assurances sociales. Et quelle estL'ensemble complèt au scrutin de dimanche, il se est en son pouvoir pour empêcher d'a 462: voix contre 118. adopté par terminé ministre Le précision» des L'enquête en disant sa augmentation troisième a de personnel. Le boutir, lecture, lois les fis apporte des l'autre en pourrait que sur l'un ou gouver pro décide de réunir La Chambre se mar assisté belle manifes à une cales et agraires de MM. Schlele et Bru joie d'avoir ne repousse pas pour l'avenir le di matin. jets, le gouvernement soit mis en mi sur l'accident qui provoqua la mort » nement ning. tation à la gloire du poète Rostand, qui principe de l'automatisme, mais il ne norité. de l'homme d'affaires des élections lieu Il faut aient le appartient à, la Provence, dont il est ori que veut pas jeter à la fois dans le champ gros: L'organe nationaliste dit apprendre 13 Avril. — On a continué budgétaire diverses catégories de possible Toulon, plus tôt et ainsi le où il méri ce sera ginaire et les et repose que plus semen 'DUCHESSE qu'à la Wilhelmstrasse on est peS' de BRETAGNE" mieux. 8, r. St-Flacro,Pari* Due ' les circonstances de la ces. (Applaudissements). grandement raison de re dionaux ont sjmisbe que samedi sur le sort du gou d'enquêter sur mort de M. Emile Bernheim, adminis vendiquer pour un des leurs. L'orateur expose que la réforme de Fabrication vernement. trateur de biens à Paris et en province, 1924 Lautier soir M. est parti Paris, pour mystérieux ce Quels deux beaucoup coûté plus POUR -1930 sont l'on a ne que ces PAUL DUMAS survenue près de Saint-Raphaèl le prévoyait par le rapide de 19 h. 17. il été de même : en a en 4 avril. Il en résulte que M. Laugier 1918. L'automatisme coûterait beaucoup La cambrioleurs ? conduisait M. Bernheim à Beauvallon. plus d'un milliard. GRAVE ACCIDENT DE MINE yss© «LISIÈRES FLEURIES ©V A un moment donne et encore loin du EN AMERIQUE — Quel que soit le gouvernement qui passage à niveau dont on a parlé, M, arrive A Bombay, 200.000 personnes Bernheim Deux mystérieux cambrioleurs ont au pouvoir, il ne pourra accepter fit un geste inattendu et saisit SXÎGEZ L aTmaboub sur /es l/s/àr«s « travaillé » l'autre nuit dans les quar M. Laugier. Celui-ci freina la péréquation automatique. sont allées puiser l'eau de mer le bras debrutalement Trente ensevelis mineurs tiers de la Madeleine et de l'Europe. A et par cet arrêt M. Germain Martin, poursuivant son un peu sel extraire du minuit 35, en face du n° 42 de la rue pour en Berlin, 13 Avril. — Suivant les Jour brusque de la voiture provoqua la chute exposé, dit qu'il se rallie à la formiSe du 13 attaquèrent LomeNew-York, Avril. terrible Sénat qui consiste Laborde, ils Paul Un à M. porter les pensions naux, la Sûreté berlinoise a découvert, Relevé, 11 fut —r Bombay. 13 Avril; -r- La plus grande de l'homme d'affaires. grisou let, artiste dramatique, la coefficient 5 ce qui coûtera 30 mil 183, rue coup de s'est produit à 22 ans, mine dans un magasin d'antiquités de la capi à la clinique du docteur Clé au manifestation qu'on ait jamais vue à conduit Ce et pointes Saint-Martin. Sous la menace de revol de Cardosmado, Etat de Washington, tale, 250 gravures à l'eau forte cinq praticien ne releva aucune lions. L'an prochain, on verra ce que d'Al* sèches 57 de Rembrandt, dont Bombay s'est déroulée ce soir, dernier ment. faire de plus. vers, ils lui dérobèrent son portefeuille ensevelissant une trentaine de mineurs. bert Durer et cinq de Lucas Van Leydcn contu l'on pourram'oppose-t Jour de « semaine de la résistance » sur fracture du crâne, mais quelquespouvait contenant 1.500 fr. environ et des pa On a ramené jusqu'ici à la surface 17 qui avaient été volées dans la biblioth'èquî «il aux retraités ? — Ceci le bord de la mer. Une foule qu'on éva sions. Aucune des blessures ne piers d'identité. Dans le courant de la cadavres et l'on craint que les autres nationale de Madrid, du mois d'avril 1928. C'est une formule d'harmonie en lue à plus de 2Ô0.000 personnes s'est entraîner la mort. Elle se produisait ce Non. nuit, ils mirent à sac la charcuterie de ouvriers n'aient péri. tre une bonne gestion financière et l'œu au mois de septembre 19139. portée sur la plage et a recueilli de l'eau pendant dans la nuit. Berthe Mme Durr, 59 25, de justice à les accomplir ans; rue vre envers de mer dans toutes sortes d'ustensiles emporté d'Amsterdam. Ils 4.000 fr. ont bons serviteurs de la Patrie. (Vils ap FRAPPEE PAR SES VOISINES *snfglisriis g'i'B' en aluminium ou en cuivre pour la rem espèces, dont dollars 100 et 3.000 plaudissements.) en pour porter à la maison. Un grand nombre de ELLE TIRE SUR ELLES francs environ de marchandises. Enfin A M. Guérin qui l'interroge, M. Ger femmes ont participé à cette manifes hier matin, ils ont profité de ce que Mllé main Martin répond que le crédit voté tation. Toutes les rues conduisant à la Quatre bletsticets Emilia Mourrarin, 58 ans, employée de le Sénat permettra de porter toutes taer étaient complètement bloquées et Marseille, 13 Avril. Rue des Repen par banque, 60, rue de Londres, avait aban les retraites au coefficient 5. — la circulation était impossible aux véhi ties, dans les vieux quartiers, donné momentanément sa chambre si M. Taurines, député de la Loire, in une dame, cules. tuée au sixième étage, pour y voler 42 ans, s'étant siste en faveur de la péréquation. La police à pied etjà cheval n'a pas Carmen Giannatasio, des 5.000 fr. en espèces et divers objets non voisines qui !a M. de Lasteyrie rappelle quelle fut de querelle avec eu de difficulté à maintenir l'ordre, les prise encore évalués. la frap son attitude en 1923. Il a repoussé la volontaires s'étant chargés de canaliser poursuivaient, l'insultaient et Une enquête a été ouverte par M. Torpaient,^ tiré des coups de revolver sur péréquation intégrale, mais accepte la •la foule. commissaire de police du quartier let, péréquation par coefficient. elles. de la Madeleine. Celui-ci a pu établir M. Bouyssou rappelle que le texte de Quatre personnes ont ainsi été bles Le Cabinet espagnol prépare sées que le signalement des deux voleurs dont deux, Mme Toussaint Anna- la Chambre ne comporte pas l'applica' donné par M. Lomelet et par Mlle Mour rella et Mme Lumini, sa fille qui sont tion immédiate de la péréquation inté' les prochaines élections rarin, celle-ci les ayant croisés dans .-.on dans un état'grave et qui ont dû être grale mais une augmentation de 5 %, es employant pou le» ablution», paatemenU. lavage*. <u> produit escalier, sont identiques. Il s'agit d'un transportées à l'hôpital. Le fils de Mme ce qui ne coûterait que 190 millions au aotiteptiquci tu» e*iutiqu& «t parfum frais, nnanaif pu Ui aédedai. U homme de l'm. 68 environ, portant un Madrid, 13 Avril. — On annonce que Giannatasio a été, ainsi qu'elle-même, budget alors qu'on va faire pour un | chapeau melon et un pardessus gris ; et le conseil de cabinet du 16 avril exami appréhendé, l'enquête ayant établi qu'il milliard et demi de dégrèvements. d'un Autre de 1 m. 60 approximative M. Germain Martin répète ce qu'il a nera le projet de recensement pour la avait également tiré. ment, ayant une casquette à carreaux, déjà sacrifices consentis fa: dit des convocation des électeurs en automne. en «iBfcii 1 — ' un trench-coat beige clair et une cica t.» veut* i Pharmacie* oartumeure. Uarborittes, drocuietea. Gracd» Magasina UNE CEREMONIE FRANCO-PORTUGAISE veur des retraités. au-dessus trice de l'œil gauche. Ajou Gros , O G. P 71. rue 4a Temple, Parte demande de ne pas pren LE « COMTE-ZEPPELIN » QUITTE — Je vous tons casquette la à AUX INVALIDES été que carreaux a dre des responsabilités que je ne pour retrouvée cet après-midi Friedrichshafen dans la charcuterie de Mme intervien jamais assurer, le jour,où rais Durr. pour l'Espagne Dans la cour des Invalides, en drait un vote définitif. M. Labroue,député de la Gironde, gau présence du ministre de Portugal à Pa Le retour de la mission Goulette de radicale, fait observer que l'on au Mlle Renée Rollo, 'élue à Paris « du ministres des che représentants Friedrichshafen, 13 Avril. — La direc ris, des géné de pensions à rait moins si tion des usines Zeppelin annonce que la Guerre et des Pensions, et du payer on ne chesse de Bretagne » pour 1930, et (à ainsi privait des services des fonction Paris, militaire Comte-Zeppelin de dirigeable pas ral se départ le du gouverneur Le ministère de l'Air a reçu hier matin Le Graet, élue de où à âge ils sont combat naires des anciens délégations lieu des encore pleins droite) Mlle Marie passé un que pour son voyage en Espagne aura d'un minimum de 260.000 francs télégramme suivant : le l'an lundi après-midi entre 16 et 18 heures. tants français et étrangers, le général de verdeur. Martin SOCIÉTÉ FONCIÈRE du NORD de la FRANCE « Niamey, 13 Avril. — Nos pièce de re répond que cette L'heure exacte du départ dépendra de Mariaux, gouverneur des Invalides, a M. Germain arriveront à Niamey le 16 avril. de la limite d'âge a été discu Montrcull-sous-Bois Neurasthéni change l'état atmosphérique. La route que sui remis, hier matin à 11 heures, les insi question 9, rue de Liège, PARIS Capital : 80-500.000 francs reprendrons Nous notre vpl le 19 pour — doit Sénat. tée Mais le gouvernement portugaise de croix de Wllllg, 42 14, fixée, au au Lucien la guerre M. rue dirigeable n'est ans, le gj»es que, encore pas vra via Reggan, Fez et Lisbonne. HYPOTHÉCAIRES PLACEMENTS 1 Malnguet, s'est suicidé en absorbant du \ Paris, niais 11 est probable qu'il suivra la même drapeau des anciens combattants por appliquer la loi. Goulette. Signé : » route que lors de son vol vers ^Amérique. tugais résidant en France. — Nous avons fait savoir aux; diffé cyanure de potassium.
AUJOURD'HUI.
à
du cabinet britannique séance plénière Conférence navale
Au début de la séance que préside M. Bouisson, la .Chambre adopte : le pro jet de loi ayant pour objet de faciliter aux grands invalides de guerre l'acces sion à la petite propriété ; une propo sition de loi portant création d'une caisse de solidarité pour les membres de renseignement ; la proposition de loi de M. Schumann tendant à l'ouverture d'un crédit de 200.000 francs pour se cours aux familles des sinistrés de Petite-Roselle ; une proposition de loi concernant les retraites des mineurs ; le projet de loi concernant le port d'Ar-
r . p. v.
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APRÈS LES REPAS c'est
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dOURN^bSPORTIF PETIT . Le Petit Journal
14-4-30
LES COUR SES Hiér, Longchamp
En rugby, Londres a battu CommenTehocque Une nouvelle déception pour le football français Les crossmên du Racing distingués sont se de Paris bat La Belgique la France buts équipe 6 à 1 par une mauvaise au Grand Prix de Lille gagna Paris-Evreux NOS ORGANISATIONS SPORTIVES
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[SUITE DE LA PREMIERE PAGE] Le côté sportif de ce 21' Paris-Evreux
ne démentit pas la renommée acquise par cette épreuve. Le V.C.L. a couru comme à son habitude, c'est-à-dire avec intelligence et énergie; nous n'en dirons pas autant des coureurs de Saint-Denis qui oublient trtfp que la ténacité et l'es prit d'équipe sont deux facteurs indis pensables au succès ; puisse la leçon d'hier leur être profitable. Ce que &
fut la course
150 coureurs prirent le départ à 8 h. 40 Versailles Dès le départ, le V.C.L. part
à fond ; le peloton repond à cette pre mière attaque, le train continue très vif jusqu' à la côte de Saint-Cyr où tout se
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Le Grand Prix pédestre
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La lutte pour le ballon -Devant 6.000 ' spectateurs environ, les trols-quarts fut loin de fournir un ren équipes de Paris et de Londres ont dis dement convenable. Seul, Finat surnagea puté hier, au. Stade Buffalo, leur match dansIlescet assemblage piediocre ou Mounes annuel. Cette rencontre était la quator fit passes désastreuses, tandis que Le donnait l'impression qu'il aurait Inaugurée Paris Pothier zième d'une série en 1911. six. voulu etre ailleurs que sur le ter et Londres bien victoires comptait septComme les Londoniens ont battu les Pari rain. siens, remportant ainsi leur quatrième A l'arrière. Gantner fournit une partie victoire consécutive, les deuq, équipes se très convenable. trouvent maintenant à égalité. C'est au cours de la seconde mi-temps C'est très nettement, du reste, que Lon que affirma surtout son avan dres fut victorieux, marquant 20 points tage. Londres marqué un essai deux avoir Apres (4 essais translormés) contre 3 (1 essai) minutes avant la mi-temps au demi Les deux équipes se présentèrent dans de mêlée Key, les Anglais grâce réussirent en leur formation annoncée à une unité près. trois par la suite. Key marqua également Gérald, dans l'équipe de Paris, fut rem le second les deux autres furent l'œuvre ; placé par 'Mounes, ,de l'A.S.P.T.T;, absence dé. Mac Cullough et Collison. Pearce se fort regrettable, du reste, puisque l'équipe distingua tout particullègçment les était déjà privée des joueurs du Stade transformations en réussissantdans quatre Français qui disputaient un match de buts. championnat à Clermont-Ferrand. Quelques minutes avant la fin, Billon, Bien que pioins athlétiques que leurs adversaires, les avants parisiens fourni à la suite d'une touche jouée près des du camp rent dans l'ensemble une bonne partie. buts anglais, sauva l'honneur Sibieude se fit tout particulièrement re parisien en marquant un essai. — Maurice marquer. Malheureusement, la ligne de Gris.
150
coureurs reste com
pact jusqu'à Pontchartrain. Dans la côte qui traverse ce pays, Bourbon et Horner démarrent. Duplan réussit à prendre leur roue et voici nos trois hommes s'assurant une avance de 500 mètres sur le pelo ton. La lutte n'est pas très vive derrière car le V.C.L., en nombre, ne fait rien pour courir après les trois fugitifs dont deux sont dès- leur: Il n'y aura rien de Bour nouveau jusqitfà Pacy-sur-Eure bon. Horner et . Duplant conservent l'avance qui n'est plus toutefois que de 300 métrés, après la montée de Bonnlères. Duplant montre des signes de. fatigue bien compréhensibles, car il doit ré pondre à tout Instant aux démarrages de ses deux concurrents tous deux du V.C.L. U lâche pied dans la côte de Saint-Aquillin-de-Pacy. Peu après Horner faiblit, le peloton se rapproche et les absorbe tous
les deux.
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Bourbon, seul maintenant, est victime de son admirable fougue et se laisse re joindre à son tour. ToUs les hommes du V.C.L. sont en tête du peloton, Berthellin a crevé à Coupillères et le C.V.D. privé de son homme de tête ne réagit pas.' A l'entrée d'Evreux, Tellier essaie de se sauver 11 prend quelques longueurs, le peloton répond, emmené par ChocqueTrantoul et Le Calvez. Dans la montée de Carnballe, où se Juge l'arrivée Chocque prend le meilleur suivi de Trantoul. Le classement de l'épreuve Voici l'ordre dans lequel* furent jugées les arrivées : . 1. Chocque (V.C.L.) ; 2. Trantoul (V. C.L.) ; 3. Le Calvez (C.S.I.) ; 4. Haimmerlin P. (C.S.H.E.) ; 5. Amet Paul (V.C.L.) ; 6. TeUier Lionel (V.C.L.) ; 7. Rlgaux (V. C.L.) ; 8. Margaroll F, (V.C.V.) ; 9. Durln René (A.C.B.B.) ; 10. Dènau P. (C.S.I.) ; 11. Caborderie M. (V.C.P.) ; 12. Bergerloux H. (C.V.D.) ; 13. Krauss M. (C.A.S.G.) : 14. Brun M.' (C.V. 19) ; 15. Robache Emile (C.O.B.) ; 17. Jamin Roger ; 18. ritz fut d'abord aussi serré qu'on le pré Fournler (M.S.) ; 19. Fichan (A.N. 7) : voyait. Après cinquante uinutes de jeu, 20. Lellévre P. (P.J.) ; 21. Vess (S.F.) ; en effet, Carcassonne ne menait que par 22. Gérard (H.S.) ; 23. Bruynoghe (C. 5 points à 3. Mais coup sur coup, Car cassonne réussissait deux essais trans formés et un but sur coup franc, c'està-dire 13 points ; devant cette avalan che, les Biarrots perdaient pied et n'in sistaient plus. Quillan, Agen, Carcassonne et Pau disputeront donc les demi-finales le 27 avril vraisemblablement. — A. B.
Quillan, Agen, Carcassonne et Pau, se sont qualifiés
pour les demi-finales dp championnat de France Les quatres matehes disputés hier, pour les quarts de finale du champion nat de France.de rugby, ont été déci sifs. L'U. B. Quillanaise, tenant du àtre, le S. U. Agenais, l'A. S. Carcassonnaise et la Section Paloise ont éliminé respec tivement le S. A. Bordelais, le Stadoceste Tarbais, le Biarritz Olympique et le Stade Français.
Donnons tout d'abord les résultats en registrés : A Toulouse. — U. S. Quillanaise bat S.
A.-Bordelais, 10 à 5.
Bordeaux. S. U. Agenais bat Stadoceste Tarbais, 18 & 0. A Tarbes. — A. S. Carcassonnaise bat Biarritz Olympique, 18 à 3. A Clermont-Ferrand. — Section Paloise bat Stade Français, 5 à 3. La victoire a souri ainsi aux favoris, mais l'on ne s'attendait certes point à , enregistrer des écarts aussi sensibles dans les rencontres de Tarbes et de Bor deaux. Lorsqu'il ne reste plus en ligne que les huit meilleures équipes, ou du irçoins celles qui doivent être les huit meilleures, il est difficile d'admettre une différence de classe. C'est pourquoi des écarts qui atteignent ou dépassent là A
quinzaine de points sont autant dire inexplicables. Quillan, dont l'on attendait un succès relativement aisé sur le S. A. Bordelais, eut un mal inouï à vaincre son adver saire. Après les 80 minutes de jeu régle mentaires, le match était nul, chaque équipe ayant marqué cinq points, un es sai transformé. Ce ne. fut qu'au cours des prolongations que les champions de France de la saison dernière marquèrent l'essai .de'la victoire. Mais, douces mœurs, on se battit sur le terrain*et l'on se -battit aussi dans les tribunes. La partie de Clermont-Ferrand entre la Section Paloise et le Stade Français, tint également du. jeu de massacre, car de nombreux Joueurs furent blessés. . Chatiue équipe marqua un essai mais les Palois, au contraire de leurs adver saires, transformèrent celui qu'il réussi rent. /Ce résultat confirme ce que l'on pensait, que les deux équipes sont fort près l'une de l'autre. Après ces vilains gestes, on ne s'éton ne plus qu'au lieu de diminuer le nom bre de parties de championnat on ait augmenté la durée de la compétition. ' On pensait que Tarbes serait un re doutable adversaire pour Agen. Les' Agenais menant à la mi-temps par 7 & 0, leurs adversaires se désunirent et le tour fut joué. Agen ajouta ensuite 11 nouveaux points à son actif. Le match entre Carcassonne et Biar
A la course de côte de Chanteloup le record a été battu L'Automobile-Club de l'Ile-de-France a fait disputer hier , sa classlciue course de
côte de Chanteloup. L'épreuve, avec dé de 1.200 métrés r."ec plu une sieurs virages et un pourcentage •.allant de 3,6 % a 10,6 %. Le record des motos, appartenant à Debaisieux, avec 1 m. 8 s. 3/5. fut battu par son détenteur, avec 1 m. 2 s. La même performance fut réalisée dans la catégorie des voitures par Sabipa. Le record général, qui apparte nait à Glraud Cabantous, avec 1 m. 8 s. 2/5, a Conc été nettement battu. Voici quels furent les classements : Motos : 125 cmc. : 1. Fabre, 6 m. 54 p 4/5 ; 175 cmc. : 1. Sourdot, i.m. 14 s. 4/5. (record battu) ; 250 cmc. : 1. Sourdot, 1 m. 6 s. 3/5 (record battu) ; 350 cmc. : 1. Coulon, 1 m. 4 s. (record bfl^tul ; 500-cmc. : 1. Debaisieux, 1 m. J s. 1/5 (record battu) ; 750 cmc. : i. Raux, 1 m. 20 s. ; 1.000 cmc. : 1. Debaisieux, l m. 2 s. (record battu), moyenne : 69 km. 678 (meilleur temps des motos). Sldecars : 350 cmc. : 1 Chichery, 1 m. 21 s. 1/5 (record établi) ; 600 cmc. : 1. arrêté et arrivée lanceo, comportait part distancé
Sa Carlos, 1 m. 22 s. 4/5 (record établi). Cyclecars : 750 cmc. : 1. Laduruntlo, l:.m. 24 s. (record établi) ; 1.100 cmc. : 1. Dhome, 1 m. 14 s. 2/5 (record battu). Voitures tourisme : 750 cmc. : I. Bour don, 1 m. 47 s. 2/5 ; 1.100 cmc. : 1. Ledur, 1 m. 41 s. 4/5-; 1.500 cmc. : 1. Marlon, 1 m. 23 s. 3/5 (record battu). Voitures sport : 1,500 cmc. : 1. Michel Doré, 1 m. 21 s. 4/5 ; 3 litres : 1. Brunet, 1 m. 8 s. 1/5 (record battu). Voitures course : 750 cmc. : 1. Jahan, 1 m. 22 s. 2/5 : 1.000 cmc. : 1. Hodey, I m. 23 s. 2/5 : 1.500 cmc. r 1. Michel Doré, 1 m. 5 s. 2/5 (record battu) : 2 li tres : 1. Sabipa, 1 m. 2 s. (record battu), moyenne : 69 km. 678 (meilleur,temps des voitures) 3 litres : 1. Montler fils, 1 m. II s. 4/5. ; Avec Coulon, Laduiantle, Dhome, Bour don et Michel .Doré, ' le pneu Dunlop a encore glané de jolis succès.
Nuvclari gagne à Brescia
.
Sur le circuit de Brescia s'est disputée une épreuve de mille milles, soit 1.609 Idlometres. Elle a été remportée par Nuvolari, en 16 h. 18 m. 59 s„ à une moyenne de 100 km. 400 à l'heure, devant Var-
Les autres résultats
Championnat
France de promo — (demi-finale) deStade Niortais bat tion : Bordeaux E.C. ,9 à 6.
équipes secondes de première — Finale série U.S. Perpignan bat Stade Français, : 14 à 5. bat A.S. —: Finale de 2' série : A.S. Midi Maçon, 14 à 3. : A.S.' Eymet bat — Finale 3" série Salnt-Marcellin Sports, 12 à 6. Demi-finale 4' série : A.S. Bourse bot — Loriol, 6 à 0. O.S. Paul Chocque, le vainqueur Demi-finale 5' série : O.A. Lanne— bat R.C. <de Colombes, 8 à 0. mezan V.D.) ; 24. Guitton (C.V.D.) ; 25. Morels (C.V.D.) ; 26. Constant (19") ; 27. Proust \Les matehes ^amicaux (C.S.C.), ; 28. Blanchi (V.C.L.) ; 29. Gabart (V.C.L.) ; 30. Tiétard H. (V.C.L.) ; U.S. Perpignan b. St. Bordelais.. 15 à.10 31. Chaffangeon (S.F.) ; 32. Bauge (S.F.) ; N.A.C. Roanne b. Ct.O. Creusot.. 9 à 3 33. Fargue (C.6.I.) ; 34. Hotto ; 35. MaLyon O.U. b. Arl. Perpignan.... 19 à 5 nimarque (C.V. 19e ) ; 36. Lefebure (C. O.B.) 37. Wanzenried Turel (V.C.L.) ; : L'équipe de France 38. Forest J. V.C.L.) ; 39. Agassan G. (U. S.V.) ; 40. Watez Edg. (E.S.D.) ; 41. Moqui jouera contre le Pays de Galles reau (C.S.C.) ; 42. Bernard (V.Gi.) ; 43. Durand J. (V.C.L.) ; 44. Gerbaut (U.S.V.) ; ia Fédé La commission de sélection de 45. Rivet M. (L.S.) ; 46. Hass (C.S.C.) : a réunie s'est Rugby ration Française de 47. Corentln (S.F.) ; 48. # Ramy R. (C.S. dis qui J'équipe former Toulouse afin de H.E.) ;*49. Martin putera avec celle du Pays de Galles, lund^ rleu R. (C.S.H.E.). J. (U.S.C.) ; 50. Rocheprochain, à Colombes, le dernier match au tournoi annuel. En voici la composi tion : Arrière : Plquemal ; trols-quarts : Tail- George? Méthiat gagne le Circuit lantou, Gérald, Baillette, Samatan ; demis: du Pecq Serin, Magnanou : avants : Bioussa, Galia, L'Union Sportive du Pecq a fait dispu Rlbère, Majérus, Camel, Ambert, Bous Barbater hier, avec le concours du « Petit Houdet. Remplaçants quet. Choy. : Journal Daudlgnon, Haget, Béhotéguy, A. », son grand prix annuel. Cette zange, épreuve qui a remporté son habituel suc Bigot, Duhau. C'est, à une unité près, l'équipe qui cès, est revenue au Jeune Méthiat, qui a Joua contre l'Irlande, ù, Belfast. Dans la couvert les 65 kilomètres du parcours en 2 heurts, battant au sprint Maillard et ligne d'avants, Bousquet prend la place Fagès. qu'occupa Duhau. Le départ est donné à 9 heures prêclComment seront disputées clses par M. Raffegeau, conseiller muni cipal et président de l'Union Sportive du ; les demi-finales Pecq. Les premiers kilomètres sont cou à petite allure, mais après Fontoise, Réunie à Bordeaux, la commission des verts le train s'accélère. calendriers de la Fédération Françaisel'orde Au à niveau d'Achères, qui est passage Rugby a arrêté de la façon suivante de fermé, les coureurs passent mais aucun dre des demi-finales du championnat lâchage produit. Avant Pontolse, ne se France de rugby qui seront disputées le quëlques coureurs se trompent de par 27 avril : cours. „ ; a Lyon. A Boisemont, 30 coureurs passent à A Bordeaux : Agen contre Pau Carcassonne contre Quillan. 1 Oh. 5', la moitié du parcours est accom plie. A la sortie de Poissy, une tentative de Maillard, Méthiat et Fagès est couronnée de succès et l'arrivée se fait dans l'ordre zi. 2. (moyenne 99 km. 348) Campari ; suivant à l'église du Pecq : 3. (moyenne 86 km. 421), tous sur voi 1. Méthiat Georges (V.C.R., les 65 kilo tures italiennes. mètres en 2 heures); 2. Maillard Léon (V.C. Triel) ; 3. Fagès Edmond (A.S.C.) ; remis Le Grand Prix de Casablanca 4. Hospital Roger (Volt. Sp.) ; 5 Juan Al bert (V. C. Paris) ; 6. Voûte M. (St. F.V.) ; Casablanca, "l3 AVrll. —'Le Grand Prix 7 Hameury (V.C.A.M.) ; 8. Ribot C. de l'Automobile Club Marocain est reporté (V.C.A.N.) ; 9.R. Rousseau H. (C.S.C.3 ; au lundi 21 avril. 10. Dalmagne A. (V.C.T.) ; 11. Tixidre M. Cette date ne sera cependant définitive (V.C.P.) ; 12. Choury R. (V.C.A.N.) ; qu'après autorisation donnée par l'Auto 13. Guttlerrez M. (V.C.A.N.) 14. Arsac mobile Club de France auquel une de (C.S.C.) ; 15. Lenouel (V.C.T.) ;; 16. de Vamande vient d'être adressée par le prési penaère (V.C.P.) ; 17. Frovost (C.S.I) ; 18. dent de l'A.C.M. Adenet (V.C.T.) ; 19. Godart (V.C.P.). 20. Feret (V.C.T.) : 21. Boyer (V.C.T.) ; 22. Tortochot (V.C.P.) ; 23. Neveu (V»C. SPORTS FEMININS t En A.L.) ; 24. Térachon (A.S.C.) ; 25. Janvier (V.C.H.) ; 26. Gulllemaln (A.S.C.) ; 27. football, la dodo et Dunlop font Dikele (V.C.H.) ; 28. Gretener (V.C.P.) ;
,
un troisième match nul
29. Stopln. (V.C.A.N.) C .T. ).
;
30. Delollme (V.
Bonne organisation au départ où nous Déjà opposées deux fols, dans des quarts avons remarqué auprès de M. Raffegeau, de filiale du Championnat de France, sans MM. Loyer, vice-président ; Parmentier, avoir pu parvenir à se départager, les Menard, Creton, Pascal, Baudrals, Capron, équipes de la Clodo et de Dunlop Sport, Fouassier. se sont rencontrées à nouveau sur le ter Nos remerciements également à MM. rain du Club des X à Saint-Denis. Faure et Parmentier>qui nous permirent Aucun but n'ayant été marqué, à l'ex-^ de suivre l'épreuve de bout en bout. piration du temps réglementaire, quarante nouvelles minutes de prolongation furent imposées aux joueuses... • AVIRON - La Journée Caillat Mlle Shooteux n'ayant mis ce temps a Malgré le temps Incertain, un public profit pour trouver le chemin des filets nombreux nul a suivi les différentes épreuves résultat fut encore de l'adversaire, le de la Journée Caillat qu'organisait hier être dis ouatrlème match devra et un Marne la Société d'Encouragement. puté... Pulsse-t-il être le dernier de la enVoici les résultats des différentes cour série !... étalent réservées aux débutants, qui ses, Dans l'ensemble, l'équipe de la Clodo et qui furent toutes ardemment dispu domina son adversaire par son cran et tées : Quatre pupilles : 1. S.N. de la Bassesa vitesse, en raison d'une meilleure con dition physique acquise par la pratique Seine ; 2. A.S. Bourse, à 2 long. ; 3. CJN. de l'athlétisme. à Paris, de 2 long. „ Quatre seniors : 1. Institut Cardwell Elle vit la victoire lui échapper grâce d'Enghien ; 2. Ecole de médecine, à 1 long, à.. l'Intervention d'un poteau de but. et demie. Centrale a déclaré forfait. Quatre débutants yole : 1. S.N. de la à 1 long et demie: AVIATION : La Nuit de l'Elégance Marne ; 2. C.N. Paris, 3. Encouragement, à 3 long. C'est le 16 mal prochain qu'aura lieu, Quatre novices : 1. C.N. Meulanals ; 2. Tout-Paris, présence du Clarldge's, Club de Paris, à 5 long. : 3. U.S. Rowing en au la Nuit de l'Elégance, organisée au profit Métropolitains (arrêtée). Quatre débutants outriggers : 1. S.N. de des « Gueules Cassées », sous le patrqpersonnalités mon la Basse-Seine ; 2. S.N. de la Marne, à 10 nage des plus hautes cent. 3. Encouragement, à 1 long. et artistiques. daines, politiques Nos plus grandes vedettes ont tenu à apporter à cette manifestation leur con MARCHE : Une victoire réunira cours spontané et le programme public. tous les noms aimés du de Dacquay suprême élégante, fête de Cette au cours L'arrivée des concurrents de l'épreuve de laquelle nos couturiers et fourreurs présenteront leurs derniers modèles, aura de marche de 120 kilomètres, organisée par lieu par la suite annuellement, et de l'Amicale des Marcheurs de Ooulommlers, viendra une des manifestations auxquelles s'est effectuée dans cet ordre : 1. Dac l'élite du monde élégant voudra toujours quay, en 14 heures 8 m. ; 2.. Blanquier, 4. assister tant par plaisir que par obliga en 14 h. 10 ; 3. Caron, en 14 h. 51h.; 18. 15 15 3 5. Zami, Dujardln, h. ^mondaine. ; en en tion
international
par Leriche dans cet ordre. Le Raclnq conservait son avantage et le classement se faisait dans cet ordre : 1. Racing Club de France, les 21 kll. en 57 m. 46 s. 1/5 ; 2. C.A.S.G. en 58 m. 14 s.; 3. Club Olympique de Blllahcourt, en 1 h. 8 s. 1/5 ; 4. U.S. Tournai ; 5. Berckem Sports ; 6. A.S.P.P. ; 7. Davlng Club de Bruxelles .j ,8. C.A.P. : 9. Excelslor Club de Roubaix ; 10. Association Royale Athlé tique de Gand, etc... Dans les juniors, la victoire revint au C.A.S.G., couvrant les 14 kilomètres en 42 m. 20 s. 1/5, devant le C. O. Billancourt, le R. C. France, l'Iris Club Lillois, etc.
Louchard gagne le Tour d'Orléans
Louchard, de Blois, a gagné la course disputée sur le tour d'Orléans, soit 10 kll. 500. Son. temps a été de 33 m. 43 s. Il pré cédait Desroches, d'Orléans, Bailly, Tavaglinl. Bagarre, etc...
BOXE : Les championnats amateurs Les quarts de finale des championnats de France amateurs disputés au Central Sporting Club ont donné les résultats
suivants : Poids mouche : Volant (Ouest) bat Lcflcvro (Est) aux points ; Brochard (SudOuest) bat Bosquet (Nord) par abandon. Poids coq : Glnestou (Centre) bat Altèze (Midi) aux points ; Brachet (SudEst) bat Lerat (Ouest) aux points ; Peseux (Paris) bat Foucaud (Sud-Ouest) aux points : Bruyère (Nord) bat Baré (Est) aux points. Poids plume : Buard (Ouest) bat Payen (Sud-Est) aux points ; Braum (Centre) bat Linsale (Paris) aux points ; Aussagués (Midi) bat Lengrand (Nord) aux points ; Tritz (Est) bat Debas (SudOuest) aux points. Poids légers : Hérodet (Ouest) bat BouJasson (Sud-Ouest) aux points ; Longhl (Sud-Est) bat Estève (Midi) par knockout au deuxième round. Poids mi-moyens : Laplace (Nord) bat Pinard (Est) aux points; DaziniérasJCentre) bat Bonnet (Midi) aux points ; Naudln (Paris) bat Degieux (Ouest) aux points, ; Denat (Sud-Ouest) bat Tissier (Sud-Est) aux points. Poids moyens : Parent (SuU-Ouesi-.) bat pger<Ett; aux. points Barnal (Midi) bat GJhantereau (Centre) ; aux points. rolds mi «lourds : Oquinarenne (Centre) bat Camus (Sud-Est) aux points.
LES CONCERTS
Fettivalg. — La Société J.-S. Bach. —' Concerts Straram Alors que les sociétés régulières de concerts n'ont pas encore abdiqué, nous sommes entrés dans l'ère printanière des festivals. M. ..Bruno Walter, chef d'orchestre de l'Opéra d'Etat de Ber lin, a consacré à Beethoven trois soi rées. Depuis les fastes du Cycle Mozart. M. Bruno Walter a droit chez nous â une gratitude que son interprétation, si vivante et si souple, de la Pastorale, de l'Héroïque, de l'Ut mineur n'a fait qu'accroître. L'orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire a pris sa juste part de son succès. Il faut louer chaleureusement la piété qui a inspiré à la Société internatio nale des Amis de la Musique française la pensée d'organiser un festival Paul Dukas où, avec la collaboration de Mmes Balguerle et Vhita .et de l'orchestre des Concerts Siohan, La Péri, le second acte d'Ariane et Barbe-Bleue, l'Apprenti Sor cier ont honoré notre école contempo raine et le nom d'un des plus purs artistes de ce temps. M. d'Indy vient de recevoir, avec son Saint-Christophe, émigré, pour un soir, à la Salle Pleyel, un hommage non moins fervent. Je ne saurais assez dire, enfin, avec quelle émotion nous avons commémoré le vingt-cinquième anniversaire de la So ciété J.-S. Bach qui, sous l'impulsion de M. Gustave Bret, son fondateur et son
La victoire de l'équipe Pelissier-Blanchonnet dans les Six-Jours cyclistes de Paris
La.ronde au ralenti de!ceux qui remuèrent les foules Après une nuit " particulièrement"antV points ; -3. Choury-Fabre, 789 points- ; 4. mée et au cours de laquelle Couprey s'ad Belloni-Piemontesi, 519 points 5. Mar jugea la prime consistant -en une moto clllac-Mouton, 142 points ; à deux tours :
de 3.500 francs offerte par la maison 6. Coupry-Cordiér, 488 points - ; 7. Ray naud-Dayen. 355 points ; 8. Wambst-Lac « Dresch », le calme revint: dans la ma quehay, 67 points ; 9. Hournon-Pecqueux, tinée. ' * 373-points; 10.,Charlier-Duray,.162 points; avalent tète équipes de six par Les
•
132 à, 5 tours : 11. Lemolne-Guimbretière, 267 couru à midi, - c'est-à-dire après 2.972 points. ' ' heures de course, la distance de Le total des primes a atteint 316.000 kilomètres. Le vélodrome est convenable francs. ment garni et il est à prévoir que ces spor tifs y resteront jusqu'à l'arrivée. A la 134* • Le nombre des tours pris ' s'éleva : à 456. heure, Buschenhagen-Horan, PélisslerLe Tour des Flandres Blanchonnet, Choury-Fabre, Bellonl-Piemontesl et Marclllac-Mouton avaient at La première étape du Tour des Flandres, teint 2.999 kilomètres. première grande course belge sur route . à 16 heures, de l'année, <a été disputée sur un parcours A la fin de la 137« heure, 3.05-1 km. 750 sont couverts. Pélissier,ef de 227 kilomètres, sur le circuit Gand, fectue plusieurs tentatives. A 16 h. 45, Bruges, Ostende, Courtrai, Sottegben, La victoire revint à Bonduel sur l'une d'elles, plus sérieuse, 11 s'assure Wetteren. termina Derrière lui, qui vingtaine de mètres. avec 9 minutes d'avance. une Buschenhagen est accidenté et son équi- -Voici quel fut le classement : ' pier Horan, qui le relaie, au lieu de pren • 1. Bonduel, en 7 h:-3 m.; 2. Aimé dre place dans le peloton, prend la rpue Dossch'e, 7 h. 12 m.; : 3. Joly ; 4. Dewaele ; de Pélissier en-compagnie duquel 11 dou 5. Adolphe Van Bruaène ;, 6. Haemerlynck, ble le peloton. Les commissaires se réu tous les quatre, en 7 h. 15-m. 55 s.; 7. Van nissent et décident de ne pas . accorder Rosseri, à une longueur ; 8. Vervaecke, en l'équi 7 h. 16, m. 20 s.; 9. Omer Taverne, en le tour pris dans ces conditions par pe Buschenhagen-Horarf.Charles Pélissier 7 h. 17 m. 45 s. ; 10. Alexander ; ll.'Lamet Blanchonnet sont "donc seuls en tête breck, en 7 h. 18 m. 45 s. avec un tour, d'avance sur BuschenhagenLe huitième Paris-Lille Horan, Choury-Fabre, Belloni-PIemontesl et Mouton-Marclllac. course Paris-Lille, organi Les sprints de 17 heures sont' gagnés séeLa huitième VEoho Nord, avec v le- concours du par par Deneef (2), Piemontesl (-2), Belloni de VAiito, sera disputée le 11 mal. L'ar -(2), Raynaud, Fabrë, Coupry et Dayen. rivée de cette épreuve sera encadrée par A pe moment, le classement est le sui épreuves, le Circuit pédestre des deux • vant : relais épreuve de trois villes et par une 1. Péllssler-Blanchonnet,,• 244 pts ;2. à marche. Renseignements et engagements un tour, Horan-Buschenhagen, 320 pts ; au service sportif de l'Echo du Nord, 8, 4. BeUoni3. Choury-Fabre, 187 pts ; Piemontesl, 169 pts ; 5. Marclllac-Mouton, Grande-Place, à Lille. 102 pts; 6. à 2 tours : Coupry-Cordier, 308 points: 7. Raynaud-Dayen, 185 pts ; LE CONGRES DE PAQUES 8. Wambst-Lacquehay, 87 pts; 9..à 4 DES ANCIENS COMBATTANTS tours : Hournon-Pecqueux, 283 pts ; -10. à 5 tours : Charlier-Duray, 144 pts. 11. à DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR 6 tours : Lemoine-Gulmbretière ,197 pts ;. 12. à 7 tours ; Goossens-Deneef, 147 pts ; Dans les salles- de l'Ecole Normale 13. Degraeve-Haesondonckx, 79 pts. Supérieure s'est tenu, hier après-midi, le Les derniers sprints sont gagnés par congrès de Pâques de l'Association ami Choury, Buschenhagen, Horan, Buschen hagen, Choury, Buschenhagen, Choury, cale des Anciens Combattants de l'En Buschenhagen,. Choury, Buschenhagen, seignement supérieur et, de l'Enseigne Coupry, Buschenhagen, Choury, Blanchon ment secondaire public. D'intéressants net. exposés furent faits par MM.' Dedron, A 23 heures Degraeve et Goossens aban président, Landre, secrétaire général, et donnent. Galletier, sur les majorations de, penLe classement ' siotis, le classement dans le service actif. 1. Pélissier-Blanchonnet, couvrant en M. Sainte-LagUe parla des relations de 144 heures 3.328 km. 250, 319 points ; à l'association avec. la Confédération na un tour : 2. Horan-Buschenhagen, ' 790 tionale. Un ordre du jour fut voté.
fayoum GAGNE . Titus i acili:mi:vé lu l'iux juigne
Le Prix Juigné cjppuis quelques années suscite un vif intérêt. Le lot qui l'a dis puté hier était comme d'habitude des plus nombreux, l'allocation de 100.000 francs explique son succès auprès des propçiétalres.. * » , Fayoum le vainqueur portait les sym pathiques cçuleurs de M. Jacques Wlttouck. Plusieurs chevaux dont l'Habit Rouge, Janeiro, Alcyon, Heurtevent et Diamant Rose furent victimes d'un départ défec tueux. En haut de la montée Fayoum avait le commandement sur Hécla, Huit Sous et Le Tourbillon ; mais le cheval de M. J. Wittouck se détachait dans la li gne droite et atteignait le poteau sans être inquiété. Les autres épreuves classi ques qui encadraient le Prix Juigné ont captive le public. A l'issue de la dernière épreuve de la Journée les Commissaires ont Interdit à l'apprenti J. Rosso qui était en selle sur Starry de monter le lundi de Pâques, 21 avril, à. Longchamp, pour avoir, au cours de la lutte, donné un coup de cravache sur la tête de la pouliche Ménade. Prix de la Grotte (à rïcl.), 10.000 fr., 1.700 m. : 1. Merle Blanc, à M. Maurice
de la Foire Commerciale de Lille avait réuni 26 équipes. Le circuit, de 3 kilo mètres 500, tracé dans le bols de.Bou logne, devait être couvert 4 fols par les Juniors, 6 fols par les seniors. L'épreuve se disputait par relais. Au premier, le C.A.S.G. et le R.C.F. „ étaient ensemble, .avec Dartigues et Demay, avec une centaine de mètres sur le C.O.B. représenté par Corlet. Le tour était effectué en 9 m. 50 s. 2/5. Mais, au troisième relais, le R.C.F. prenait l'avantage par 100 mètres grâce à Leduron. sur Cleau, du C.A.S.G., tandis que le C.O.B. était troisième à 25 mètres, précédant le Berckem-Sports. Temps: 9 m. 39 s. Le quatrième tour voyait encore le R.C.F. mener avec Marchai, mais avec 75 mètres d'avance seulement sur le C.A.S.G., défendu par Leduc. Temps : 9 m. 42 s. Enfin, pour la dernière prise Lecerf (F. Keogh) ; 2. K't Bag ; 3. Roll de terrain, le R.C.F. était représente par Call. — N. pl. : Gratte Ciel, Daily Mail, Leclercq, le C.A.S.G. par Beddarl, le C.O. Colban, Trophée, Flapper, La Capucine, B.
Un des rares arrêts rénssis du gardien de but français Hier,' au stade de Colombes, l'éqûipe Français, mais ça ne dure pas. Les Belges de France fut huée et conspuée par les partent à l'assaut des buts de Lozes et allier droit, bat Lozes qui plonge dix-huit mille spectateurs venus assister Versyp, avant la balle soit à > sa portée. Peu que à' sa rencontre avec le « onze » natio après Bastln, gauche belge centre • nal de Belgique: Certains joueurs habi-, légèrement en ailier retrait, Adams reprend et tuellement adulés par la foule furent shoote, Lozes laisse passer.. Une minute sifflés, et le Comité de sélection-de la après Versyp centre, Van der- Bouhewede 3 RA. vertement cwtiqué. Et ce qui est reprend et botte puissamment, Lozes ar mais lâche la balle" qui'pénètre dans plus grave que le score humiliant qui rête,filets. Ces trois buts ont été marqués ses consacra la; défaite de l'équipe française, en six minutes. c'est la pauvreté de l'exhibition de ses Voorhooff lance Versyp qui centre, Joueurs. ^ Dès le début de la partie, ils Adams reçoit le ballon, dribble, Banlde et s'avérèrent inférieurs en technique, en Anatol et marque un quatrième-but. Les sont consternés. D'autant plus tactique et en qualité athlétique.. On Français Versyp, Villaplane ne marque pas, que pouvait- donp penser que les' Français s échappé, que rabat et pousse la balle dans se allaient essayer de compenser leur"fai le coin droit des lllets français. Enfin blesse en football par une. grande acti Libératl centre et Duhis reprenant dans vité et un courage susceptibles de com sa foulée marque lmparablcment. C'est . bler une partie de leur handicap. Il n'en la .mi-temps. fut rien. Passifs à-l'extrême, jouant sans Belgique b. France 1. méthode et san application, les joueurs Après la reprise le Jeu est plus égal. au maillot bleu ' ne s'opposèrent que Les Joueurs belges rassurés de la victoire, mollement aux actes" de leurs adversai fignolent trop et de ce fait leur Jeu est moins efficace. Le match traîne en lon res. Ils accumulaient- les- fautes, Lozes gueur, les visiteurs et jouent en très mauvaise forme ne pouvait stop constamment dans le dominent français. Ana camp per les shots des avants belges et les tol, Capelle ne cessent de dégager leur but buts succédaient aux -buts avec une fré menace, et 11 semble que le score est lorsqu'une série de passes donne la quence telle qu'on en arriva à rire; de Ja acquis balle à Vander Bouhewede qui dribble piteuse exhibition des Français, qui ne deux Joueurs français et marque en coin. réussirent rien de propre. Les Belges; C'est la fin du,,supplice, la défaite des profitant de la situation, et c'était bien Français est consommée. Les meilleurs leur droit, faisaient figure de profes Joueurs parmi les vainqueurs furent les seurs, alors qu'ils -sont loin, d'en avoir deux arrières : • Hoydonckx Nouwens, le les moyens. Car leurs joueurs anciens demi-droit Pierre Braine et les avants ont démontré qu'avec les ans leur qua Versyp et Van der Bouhewede. lité diminue, ce qui est très normal, et Du côte français, seuls Anatol ot Ca les jeunes footballeurs belges, parmi les pelle, les deux arrières, et le demirdroit firent figure honorable. — L. quels ne figure aucune étoile de pre Pavillard Gamblin. . mière grandeur, ne s'imposèrent pas L'équipe de France B bat absolument. Mais étant donné le peu de résistance qu'ils trouvaient en face d'eux le Luxembourgles footballeursrd'outre-Quiévrainavaient A Luxembourg, l'équipe de, France B a beâu jeu d'agir à leur guise et suivant battu représentative du Luxem. leur fantaisie. Les petits Français ne bourg l'équipe par 2 buts à'0. conservaient pas la balle à terre,, leurs Rien ne fut marqué au cours de la pre passes étaient effectuées en hauteur et mière mi-temps. naturellement interceptées par les grands CHAMPIONNATS REGIONAUX Belges. Cela dura une heure et demie, R.C.LES Roubalx U.S. Boulogne. . 3 à 0 et ce fut une heure et demie de souf R.C. Calais b.b. U.S. Tourcoing.. 2 â 1 france pour les Français présents. Ol. Lillois b. R.C. Arras........ 3 à 0 A la fin du match le public s'écoula R.C. Lens b. U.R. Dunkerque.... 3 à 1 lentement. Ecœurés/ les spectateurs dis U.S. Servannalse b. C.O. Cholet.. 2 à . 1 cutaient et ne manquaient pas de pro Et. Dinardaise b. U.S. Bauloise.. 2 à 1 Pont-de-Cherruy b. A.S. Rltester. Du progrès" ?. disaient-ils. Quelle U.S.ve-de-Gier 3 'à 0 bonne blague. A la 3 F.A. on perd un J.A. Saint-Ouen b.i C.A. XIVe 4 temps précieux à juger selon une pro Ol. Marseille b. A.S. Cannes .... 3 àà 21 .... cédure boiteuse, des cas- douteux de qua résultats Les autres lification. On thésaurise dans le but . d'avoir une Maison du Football et un Club Français b. C.S.J.B. Angers. 5 à 1 compte courant important- en 1 banque, A.S.S. Cherbourg b. F.C. Dieppe. 4 à 1 2 à 1 mais on se soucie peu du football lui- St. Havra^s b. F.C. Rouen U.S. Quevllly b. Ol. Bas-Normand 1 même. Et cela est parfaitement rai Havre A.C. b. C.A. Harfleur..... 41 à 2 1, : sonné. C.S.O. Amnévllle- b.- Sp. Thionv. 5 à 2 LA PARTIE < F.C. Lyon et. Servette Genève.. 3 à 3 Le début du match, est à l'avantage des Ol. Lillois b. C.S. Brugeols E à 1
'L'OUTSIDER
apôtre, a tiré d'une hérétique ignorance plusieurs générations. L'effort méritoire, mais limité, de la Schola Cantorum, les auditions peu accessibles du Conserva toire, laissaient, en majeure partie, aans l'ombre l'œuvre olympien du grand cantor. Grâce à M. Bret, messe, pas sions, cantates, chorals, musique de chambre, tout nous a été dévoilé en quelques années, avec quelle érudition scrupuleuse et sagace. Le choix extrê mement judicieux du programme grou pait, à côté du Magnificat, dont les plus . religieuses méditations n'épuisent pas la beauté, de souverains chefs-d'œu vre comme les cantates Wachet auf et Sie werden aus Saba et le Concerto à trois pianos, et nous a fait revivre les heures les, plus mémorables de naguère. Gardons-nous d'oublier que la Société Bach revit, Intermittente, mais non moins éloquente, au Temple de l'Etoile, chaque hiver.. Colonne, Lamoureux, l'O. S. P., sinon Pasdeloup, n'ont pas encore achevé leur testament. Quant à M. Straram, il ne transige point sur le principe de l'iné dit, ou du rare, qui vaut quelquefois
Chandelle, Tramontalne II, Chanson de France, Canne Blanche, Sinfra, Eolla, Slkasso, Country Glrl. — 17 part. — Enc., 1 1. 1/2, 1/2 1. Mutuel. — G. 38.50; P. 12.50, 10.50, 19.50. Prix de Barbeville, 20.000 fr., 3.000 m. : 1. Plcaflor, à M. F. de A.-Unzue (D. Torterolo) ; 2. Martyr. — N. pl. : Largo, Ta lon Rouge. — 4 part. — 2 1„ 1 1., 5 1. Mutuel. — G. 7; P. 5.50, 6.50. La Bourse, 40.000 fr., 2.200 m. : 1. Brian Borolmhe, à Mlle D. Esmond (L. Cor-Q dell) ; 2. Mélèze ; 3. Potlphar. — N. pl. : Patay, Le Canderquet, DJafou, Faisan Do ré, Taïcoun, Volcelest, Sabre au Clair. 10 part. — Tête, tête, 2 1. 1/2. Mutuel. — G. 47.50; P. 15.50, 25.50, ,8.60. PRIX JUIGNE, 100.000 fr., 2.100 ta. : 1. FAYOUM, a M. J. Wittouck (W. Sca.hlan) ; 2. Alcyon ; 3. Le Tourbillon. — N. pl. : Romarin, Dark Pirat, Brolefort, Khan, Numéro Un, Arbitre, Nélusko II, Ordre du Jour, Alcide, Teddagnès, L'Ha bit Rouge, Huit Sous, Le Magicien, Ja neiro, Cassius. Sir Edward, Domichu, Hecla, Diamant Rose, Heurtevent. — 23 part. — 2 1„ c. tête, 1 1. 1/2. Mutuel. — G. 282.50; P. 63, 10. '16. Prix de Fontainebleau, 30.000 fr., 2.000 m. : 1. Commanderie, à M. Ed. Henriquet (R. Brethès) ; 2. Guernanville. N. pl.: Flying Fool, Ligny, Graindorge,—Sphinx, — 6 part. — 1 1. 1/2, enc., 2 1. 1/" Mutuel. — G. 19.50; P. 7.50. È.oO. Prix de Vllleron (hand.), 25.000 franfs, 1.850 m. : 1. Hamelet II, à M. Raoul Meyer (G. Vatard) ; 2. Cardénlo ; 3. Pé gase VIII.,— N. pl.- : Bois de Rose, Ty phon, The Briton, Parthénis, Royale Bâsoche, Péribole, Starry, Christabelle, Esealadeur, Yes Dear, Divette III-, Mlle Albertine, Myrrhis, Ménade. — 17 partants. 1 1. 1/2, 1/2 1., 1 1. 1/2. Mutuel. — G. 51; P. 20, 33, 21.
Aujourd'hui, Saint-Cloud
PARTANTS ET MONTES PROBABLES l' 1' 1* (lu la Frette. (A vendre). „7.500 francs. — 1.300—mètres : Trie — 56 (W. Sibbritt) ; Monarchie 541 (N. P.) : Ma Fortu. 54J (A. Esling) ; Pr. Roxan. 54J (G. Jouvin) ; M. Franc. 64} (N P ) •
Bombonne 54} (N. P.) ; Là Scala 541 (G. Garner) ; Maddy 54} (A. Rabbe) ; Maho met 51 (A. Chéret) ; Weep. Wil. 51 (R. Vincent) ; Kerlton 51 (T. Brooks) ; L'Acclam. 51 (W. Anderson) ; Galéopsls 51 (C. Bouillon) ; Br. de F. 51 (P. D.) El Goléa 49} (D. Hilarlo) ; Stora 49} ; (M. Leroy) ; Galante 49} (R. Slade) ; Vendelle 49} (L. Maillet) ; Lamelle 49} (R. Bêche). Nous désignons : Maddy, Galante. Prix Fiterarl. — 12.500 frimes. — 2.000 métrés : Sir Nigel 60 (N. P.) ; Bara 58 ( M l Dehton) ; Enfer '58 (N. P.) ; Prln. Kara 58 (N. P.) ; MlstlgflVg8"fN. P.) ; Gratitude 58 (R; Bougerolle) ; Phéno mène 58 (A. Esling) ; Thunderer 56} (M. Toussaint) ; Domlnator 56S (R. Tondu) ; Ambrosiâ 56} , (ISf. P.) ; De Médicls ,50} (P: PO ; Manteau .Bleu 50 (V. Flora) Vieux Lafite 50 (N. P.) ; Willibar 50 (P.: D.) ; Pet. Paris 50 (W. Sibbritt) ; Flibus tier 50 (M. Rasselet) Kildare 50 (N. P.) ; S. Monica 48} (L. ;Robson). ' Nous désignons : Manteau Bleu, Bara. Prix du Havre. (A vendre). 10.000 francs. — 2.400 — mètres : Œuf — de P. 63 (N. P.) ; Lysure 62 (A. Rabbe) ; Pouding 62 (J. Frlgoul) ; Mascaret 58 (J.-B. Vaulato) ; Brodeur 57} <H. Brentnall) Little Fleet 57} (C. Sautour) ; Farewell ;57} (A., Gulgonnet) ; D. Nandl 57} (A. Esling) j® Dilemma 56} (M. Jlcovits) ; Tonka 56} (A. Reinette) ; Maritchou 56} (N. P.) Hallatte 56} (A. Chéret) ; Thermidor 51; (C.-H. Semblât) ; Co. d'Etat 51 (C. Bouil lon) ; Reggaress 49} (F. Rochetti) ; In tellectuel 47 (R. Bêche) ; B. Ecuyer 47 (R. Hubert) ; La Naviè. 45} (N. P.). Nous désignons : Conseil d'Etat, Ly sure. Prix Mlss-Gladiator. (Poule de pro duits) . — 40.000 francs.—— 2.200 mètres Verni 56 (R. Eyir>.rd) ; Old Madri. 56: (N. P.) ; Ch. Bouscat 56 (A. Rabbe) Doriflor 56 (N. P.) ; Burnous 56 (N. ;P.) ; Gold Lack 56 (N. P.) ; Old Beaver 56 (N. P.) ; Roso Mam. 56 (N. P.) ; Le V. d'E. 56 (N. P.) ; Graisivau. 56 (N. P.) ; Voicelest 56 (N. P.) ; Blue Skies 56 (C. Bouil lon) ; Cach. Royal 56 (N. P.) ; Propyléô 56 (E. Bouillon) ; Pro Patria 54} (N. P.) ; Trlvocale 54} (N. P.) ; Manlcure 54} (N. P.) ; Encolure 54} (N. P.) ; Sainte Andrée 54} (N. P.) ; Agua de O. 54i (N. P.) ; Fata Mor. 54} (F. Keogh) ; La Croqu. 54} (N. P.) ; Joconda 54i (N. P.) ; Miss Mou. 54} (N. P.) ; Irritative 54} (N. P.) ; Ré sille 54} (N. P.) ; Darka 54} (N. P.). Nous désignons : Château Bouscat, Fa-
ta Morgana.
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A TRAVERS
PARIS
COURRIER DES THÉÂTRES Le Tableau de Service AUJOURD'HUI REPETITION GENERALE. — Odéon, 2 h. 30 : Le Verre de vin blanc, comédie en un acte, de M. René WachtauBen ;
Le Triomphe du Silence, tragédie en un acte, de M. René Bruyez ; Tempête sur le» Côtes, comédie en un acte, de M. An dré Birabeau ; La Rose de Jéricho, co médie en un acte, de M. A. Bisson.
Nouvelles Théâtrales
COMEDIE-FKANÇAISE.
M.
féraudy
donnera sa représentation—d'adieu -le 7 mal. Il Jouera un acte de quatre pièces différentes : Les Affaires sont les affaires: Monsieur Bretonneaux, Blanchette et L'Avare. un — Il y aura le 8 mai, en matinée, artis gala l'Association des profit de au tes dramatiques. < C'est probablement Mme Mm »* Ven — tura qui Interprétera le principal rôle de La Sa]aie, de M. Henry. Bernstein, qui va entrer au répertoire de la Comédie. LE THEATRE DES AMBASSADEURS, actuellement en construction, sera dirigé par M. Camille Wyn, l'imprésario bien connu, qui y montera des pièces françai ses. La première serait d'un jeune autour qui, depuis un an, bat le record du succes et des recettes sur tleux scènes pari , siennes. LE THEATRE JAPONAIS A PARIS La direction du Théâtre Pigalle nous Informe que la location est ouverte dés demain mardi pour les soirées de gala du Théâtre Japonais, dont la première re présentation aura lieu le vendredi 13 mai. LE SUCCES DU « GALA DES COUR SES » de 1929 a décidé les organisateurs à mettre sur pied de nouveau cette léte de bienfaisance. Cette lois, vedettes du théâtre, du music-hall, du cinéma et du cirque se rencontreront avec les as de la cravache sur la piste du Cirque d'Hiver, le lundi 12 mal, à 20 h. 45.
COURRIER DU CINEMA ON PRESENTE, à 10 heures, au Caméo: Mon Curé chez mon Rabbin, de V. Fiemlg, avec Nancy Carroll (fllm sonore) ; Le Cabanon et la Çuiqne (film parlant), ayée Berval, et Mariage à la hauteur (des
sins animés).
SPECTACLES
&
CONCERTS
MOULIN-ROUGE
Le Concours hippique
Le Concours hippique s'est terminé sur le championnat du saut en hauteur. Le Opéra-Comique, 8 h. — Mme Butterfly. record de 2 m. 35, détenu par le capi Odéon, 8 h. 30. — Le' Malade imaginaire. taine Crousse n'a pas été battu. Le plus U.'tlte-LjTlque, 8 b. 80; — Ciboulette. beau saut n'a été que de 2 m. 10, réalisé Albert-1", 8 h. 45. — L'Idiot. par Henri VI, monté par lë comman Ambigu, 9 b. — L'Equipage. dant Longin-Spindler. En s'attaquant Antoine, 8 h. 20. — Bobard, Apollo, 8 h.45. Au temps d. vais. (Maroaçl aux 2 .m. 20, Henri VI a traversé l'obs tacle, sans sauter, emportant, en travers Arts. 8 h. 16. — Les Criminels. Atelier, 8 h. 45. — Le Stratagème. de la selle une barre, qui fit bien rire Athénée. 9. ù'. — Barricou. l'assistance, mais qui menaça un mo Avenue, 9 h. — Jardins de Murcle. ment nombre de spectateurs. lioulles-farlslens, 8 h. 46. — Flossle Le Grand Prnf de la Ville de Paris, Caumarttn, 9 h. — Gaston. qui ouvrait la séance avait réuni 48 con l'Iiamps-Ulysees (Com.), 8 b, 45. — Am currents militaires. phitryon 38. Châtelet, 8 b. 30. — Robert te Pirate. Dernier détail, en terminant : du 21 Cliiny, 8 b. 30. — La Grande Vie. 13 avril, il a été sauté au Con mars Dutinoa, S b. — Fleurs de luxe (Jane cours au hippique, 26.198 obstacles. Impres ' Renouardt). sionnante statistique qui valait bien Dejuzet, 8 h. 80. — One poule d'essai. d'être signalée. Ëdouard-VII, 8 h. 30. — Miss France — L.-M. de Bourdalès. Eldorado. 8 h. 30. Le Oonclerge rev. de s. Folles-Wagrani, 8 b. 45. Rosy (operette | Résultats'du Grand Prix de la Ville-de Gymnase, 8 b. — Mêla Paris : • Grand-Guignol, 8 h. 45 — La Griffe Madeleine, 8 b. 45. — Vive le Théâtre. - 1. Quengeen (comm. de Montegon) ; 2. Ubaldlni (lieut. Marin) ; 3. Toscan Marisny, 8 h. 80. — Coups de roulis. Mathurins. 8 b. 45. Prlsonn. d. m. cœur (lleut. Bernizet) ; 4. ex œquo, Ulric I" (lieut. de Taurines), et Tapageur m (cap. Michel, 9 b. Pardon, Madame. Michodlére, 8 — Jeannerod) ; a. Salamina (lieut. Mayeux): b. 45 — Le Sexe faible Mogador, 8 h. 80. — Le Chant du Désert. 7. ;Prunelle (lleut.-colonel Caruel) ; 8. Nouveautés. 8 n. 40 — Kadubec toper.i Kerma (cap. de Laissardière) ; /9. Serge Nouveau-Théâtre, 8 h. 30. — SI J'étais Roi (lleut. Bernizet); 10. ex œquo, Xiphares Œuvre, 9 b. — L'Acheteuse. (cap. Berger) et Pierrette (lieut. de CosPaluls-Hoyal 8 b. 30 — L'Amour 6 rAmé nac) ; 12. Tosca (cap. de Laissardière). — ricaine. 6 Flots. 'J'he&tre de Parts, 8 b. 40. — Marlua Pigalle, 9 h. — Le Simoun. Résultats du championnat du saut en Porte-Salnt-Martln.8 b. 15. — Cyrano de hauteur : Bergerac. Première série (gentlemen) : 1. Caprice Potlnfère, 8 h. 45. — Un Cambrioleur. Renaissance, 8 b. 30. — Business (Sergl- (M. Laame) : ; 2. Tenace (M. de Castries) ; 3. Charming (M. de Castries) ; 4. ex aequo, ne. Rollan). Tigris (M. Tré-Hardy), Diplomate (M. SeSarali-Bernliurdt, 8 b. 45. — Dames aux reys) et X (M. Laame). chapeaux verts. Deuxième série (officiers) : 1. Henri VI Scala, 8 b. 30. — Bégonia (Dranem). (comm. Eemgln-Spindler) ; 2. Kédiry Saint-Georges, 9 h. — Etienne, stndto Champs-Elysées, 9 b. — Paquero» (lleut. Llssargue) ; 3. Serge (lieut. Berni zet) ; 4. ex œquo, Orage (lieut. Gibault) Tenaclty. Trlanon, 8 h. 30. — Belle Hélène, et Tapageur (cap. Jeannerod). variétés, 8 b. 30. — Topaze. AUX MUTILES DE SEINE-ET-OISE Folles-Berg. — On Coup de Folle (revue). ET SEINE-ET-MARNE Casino de Paris. Parts Miss (Mlatlnguett) TRAVAILLANT A PARIS Empire, 8 b. 30. Dollle et Blllle et 20 attr Palace. — Relâche pour répétitions. Mayol. — La Parade du Nu (revue). . Les mutilés de Seine-et-Oise et les mu Clr. d'Hiv. LoIe'Fuller; Spyras: Mat. JJSJ) tilés de Seine-et-Marne, travaillant tous les Jours à Paris, à qui la carte de priorité Médrano. — Attractions. Mat. i. 3.' D. Paramonnt. Parade d'amour (Chevalier) pour les transports en commun''de la ré Aubert-Palace. — Le Mensonge. gion parisienne a été refusée, parce qu'ils Caméo. mat., soir. — Nuit de Princes. n'habitent pas une localité desservie par Madelelne-Clné. Le Baiser (Greta Uarbo) lifla S.T.C.R.P., sont priés d'envoyer leur Gaumont. — Manhattan Cocktail. leur adresse au comité d'Action et nom Moulln-Rouge-CIné. L'Escadre volante des mutilés de Seine-et-Oise et de SeineOlympia. — La piste —de 98. et-Marne, 12 ter, rue Pasteur, ConflansClné-Capnclne. La Femme sur 'ta lune Salnte-Honorine (Seine-et-Oise), en indi Marlvaux-Pathê. — La nuit est & nous la quant nature de leur blessure si le Ufsullnes. — Terror (de Roy del Ruth). pourcentage de leur invalidité est . Infé Œil de Paris. — Mme Beudet: Fin. Terrae rieur à 50 %. Agricult. Voici Londres; Cadet d'eau douce Etant donné qu'il s'agit d'évaluer la Carillon. Le Cadavre vivant ; Trlmardeui somme à' inscrire au budget du départe Max-LInder-Patbé. Mystère Villa Rose ment de la Seine, pour que satisfaction Electrlc-Palaee. — Instinct. leur soit enfin donnée, aucun mutilé sus , Colibri. Clgale-CIné. — Maman ceptible d'obtenir la carte de priorité ne Impérial-Pathé. — Le Diable blanc. doit omettre de répondre à cet appel Le Cotisée. — Rapacité. Artlstic. — Ça aussi... c'est Paris. LES CAMBRIOLEURS VISITENT Aima (166 r. Université). Lucky Boy. LE BUREAU DE SECOURS AUX SINISTRES DU MIDI BULLETIN 0RPHE0N1QUE
Revue Economique et Financière L'Allemagne en présence du plan Young Dans quelques semaines, le public français sera sollicité de souscrire aux obligations allemandes qui vont être émises en vertu du plan Young, à pré sent ratifié par le Parlement français. Ces obligations, par leur caractère même, sont désignées pour attirer l'at tention et la faveur de la vaste clientèle de la « petite épargne », en raison de l'attrait que présente leur revenu élevé et .fixe et .l'exemption de tous impôts. H nous paraît opportun d'examiner la valeur réelle de leur garantie et leur solidité en tant, que-placement. Le pro blème est double. D'une part, quelle est la valeur effective du consentement de l'Allemagne au nouvel arrangement in ternational défini par le plan Young et ses annexes ? D'autre part, quelle est l'aptitude de l'Allemagne à supporter la charge du service de ces Bons ? Dans un précédent article, nous avons exa miné l'aspect politique du problème, la ratification du plan Young par le Reiohstag et l'arrivée au, pouvoir d'un nouveau gouvernement, qui a pris en main la réforme financière et fiscale du Reich. Cette réforme est la condition primordiale de l'exécution du plan. Après une période de grosses difficultés mar quées, par exemple, par la démission du président de la Reichsbank, M. Schacht, les discussions se poursuivent mainte nant à Berlin dans des conditions qui permettent d'espérer le vote des lois d'économies et de ressources nouvelles qui permettront de combler le déficit budgétaire. Quelle est la valeur du consentement donné par l'Allemagne au plan Young ? Pour l'Allemagne, le plan Young a cet avantage de substituer aux moyens de contrainte, de contrôle, de tutelle, d'oc cupation jusqu'ici en vigueur en vertu du Traité de Versailles, un nouveau ré gime de règlements contractuels fondé sur la confiance, le crédit, la collabora tion libre avec les puissances créan
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cières. . longuement voulu par M. Ce résultat,
jointe ù. diverses taxes sur la bière, le ta bac, l'alcool doit assurer le montant de l'annuité.
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Ces paiements que l'Allemagne devra exécuter supposent que l'économie du Reiçh pourra être assez prospère pour que l'Etat prélève sur la substance de la
nation les sommes nécessaires. Les experts se sont aisément rendu compte que la restauration de l'Allema gne n'était qu'un aspect de la restau ration de l'économie mondiale.; d'où leur est venue l'idée d'instituer cette Banque Internationale des Paiements dont le rôle n'est pas limité à la récep-' tlon des sommes dues par l'Alleqiagne et à leur répartition entre les ayants droit. La Banque des Paiements jouera le rôle du Trésorier Payeur Général en ce qui concerne les réparations. Mais en ce qui concerne l'économie mondiale, elle con sacre l'entente des grandes banques d'émission qui est entrée dans la prati que quotidienne de la politique moné taire internationale et qui a donné lieu à tant de voyages, de missions, de con férences soit -publiques, soit secrètes, pendant ces dix dernières années. Ce concert des grands instituts d'émis sion, qui était jusqu'ici exécuté à titre « privé », en quelque sorte, sera désor mais public. L'Allemagne y trouvera en cas de difficultés financières temporai res l'aide et l'appui qui pourront lui être nécessaires. Grâce à son fonds de réserve et grâce aux moyens de crédit dont elle disposera, la - Banque pourra, en effet, fournir une telle assistance. Il est à remarquer que les techniciens seuls sont sans inquiétude au sujet de ce nouvel organisme. Dans le public, il éveille des craintes, des suspicions aussi bien en France qu'en Allemagne et qu'aux Etats-Unis... Mais on s'accorde généralement pour estimer que la Ban que servira de chambre de compensa tion à la collaboration ou à la libre concurrença des intérêts entre l'Europe et les Etats-Unis. L'Allemagne n'a rien à redouter d'un t"l organisme, tout au contraire. Pour des années encore, elle devra faire appel au capital étranger pour compenser les pertes de substahee qu'elle a éprouvées du fait de la chute catastrophique de son mark. La reconstitution du capital national est lente. Or la JBanque des Paiements, en concertant les initiatives, les besoins, les offres, ne peut que fa ciliter oette recherche de capitaux, en mettant dè l'ordre dans le marché des investissements. Du côté américain, et du monde financier et bancaire du nou veau monde, l'Allemagne n'a rien à re douter de leur influence : les noms de maints banquiers des .Etats-Unis sont ceux, au contraire, - de maisons où la sympathie,pour l'Allemage est tradition nelle. Ainsi, ni d'un côté ni de l'autre, l'Allemagne n'a quoi que ce soit à re douter de la Banque des Paiements.
.Stresemann, dont les efforts touchent à leur but, a été souligné par Iç maré chal président dans un message d'un ton élevé. L'Allemagne se trouve en présence de S, charges moins lourdes que celles qui ré sultaient jusqu'ici du plan Dawes. SI l'on calcule la « valeur actuelle » de la dette Young (mais disons de suite que c'est là un calcul purement théori que, sans réelle valeur pratique, ni si gnification objective) on trouve un montant de 38.107 millions de marks-or, alors que la dette allemande de répa rations a été fixée par la Commission des Réparations, le 5 mai 1921, à 132 de marks-or et que le plan Montauban, 13 Avril. — Des cambrio milliards la capitalisait à 45 milliards de L'Harmonie municipale de la Ville leurs ont pénétré, la nuit, dans l'hôtel de Dawes — marks-or. de Paris a commémoré par un banquet le la Chambre de commerce où sont instal 11 semble établi qu'un ensem services Outre cette réduction de sa dette, bleAinsi, trentenalre de sa fondation. M. le docteur lés momentanément les divers de raisons dont avons énuméré Calmels, conseiller municipal de Paris* concernant les sinistrés. Les malfaiteurs l'Allemagne trouve dans le plan Young quelques-unes, doit nous de la part garantir président d'honneur de l'Harmonie, était ont bouleversé tous les papiers, mais n'ont une série de dispositions destinées à lui de l'Allemagne sincère consentement un assisté de M. le représentant du préfet de pu découvrir l'argent qui s'y trouvait. et at profitable l'exécution rendre en sur la scène et loyal, qu'il été exprimé tel par le a la Seine et de M. H. Beudin, le dévoué statuts des Ainsi, l'article. 53 trayante. président Hindenburg et le gou président actif. Au dessert, les diplômes JURYS D'ARCHITECTURE de la Banque Internationale des Paie vernement qui a obtenu c'u par - LES Reichstag d'honneur accordés aux sociétaires comp ET DE GRAVURE DE LA SOCIETE ments attribue • à l'Allemagne le quart vote des lois relatives à la mise en le présence fuient années de longues de tant ap AVEC L'ORCHESTRE FANTAPÎE décernés DES ARTISTES FRANÇAIS de la Seine des bénéfices de la Banque, en vue d'at plication du plan. pour la Fédération ténuer la charge des 22 dernières annui et Seine-et-Olse à MM. Vanderjssat, DegrlIl nous reste à étudier les conditions Bouil Lebassée, Foucher, tés ; un mémorandum annexe fait bé actuelles gny, Duverger, d'architecture de Jurys et Les gravure, de l'Ecanomie allemande, afin CINEMA MADELEINE lon, Chazé, Letëtre et les diplômes de la pour le Salon de 1930, ont été constitués néficier le Reich de la presque totalité de répondre à notre seconde question : Fédération musicale de France allèrent à. comme suit : puissance réduction qu'une toute de Quelle l'aptitude est de l'Allemagne à MM. Vandervest, Degrlgny, Tréhaut, d'architecture. Président M. créancière "pourra obtenir des EtatsDERNIERES Jury : — supporter la chargé du service des nou Guyot, Lebassée, Foucher, Coste. ; vice-président : M. Deglane, de Unis, au titre de sa propre dette de —La Eédératlon musicale de Selne-et- Roussi ^Institut ;rseçrétaliB3 : MM. Bruel et Lou- guerre ; enfin et surtout, l'Allemagne veaux Bons ? Nous y reviendrons dans OiSe vient d'élire son bureau. Le nouveau vet ; membres •: MM. LAVIttX notre prochain article. André, Bonnet, souveraineté de l'entière Manouvrier, directeur A. son président est M. recouvre l'Institut, Chausseriche, Defrasse, de Héet I1AUDÏ territoire, la troisième zone rhénane de l'Harmonie municipale de <a Ville de brard. Hulot, Patouillard et Recours. dans un Paria et de l'Harmonie de Levallbls-Perret. Jury de gravure. — Président : M. Al- étant évacuée avec 5 années d'avance. La physionomie de la semaine 1 Toutes nos félicitations et notre meilleur leaume ; vice-présidents : MM. Delzers Tous FILM .semblent promet avantages ces souvenir au dévoué président portant, M. et .Humblot ; secrétaires : <MMj Bouehery ... PARLANT part de l'Allemagne un consen P. Brévannes. Chapon membres MM. Albert-Phili tre de lasincère et ; ; En dépit d'une certaine irrégularité en FRANÇAIS et loyal. chorale d'excel —,La Cigale de -Paris, bert, Aubert, Bolleaù, Deloche, Fouquet- tement . clôture, Bourse a fait preuve, cette lence, fondée en 1837, vient de donner son Dorval, Jonas, Lagulllermle, de l'Institut, D'ailleurs, • comme l'ont dit les deux semaine,lad'assez bonnes dispositions fa concert annuel, sous la direction de M. Léandre, Aboi Mignon, Prost, Salles et Vy- rapporteurs devant le Sénat français, dans accroissement vorisées P. Verplller. Vif succès pour les deux boud. assez net par un MM. Béranger et Charles Dumont, l'Al du nombre Lïi.;> De et du volume ordres. des chœurs : Silvestrik et Sous la feuillée, exécuté le plan Dawes à l'en ' lemagne -, a l'approbation mais regrettons que cette belle société définitive évidence, toute . , tière satisfaction des créanciers. Elle a du plan Young COMMERCE BOURSE DE abondamment part pris plus n'ait au pas par le Parlement et les rilra le premier sonore déjà payé aux Alliés 18 milliards de votes de confiance Noblesse oblige. M. Maciocchl programme. accordés au gouver tourné en Amérique pi par marks-or et la France, pour sa part, a nement dans plusieurs fit très vivement applaudir sa société : occasions ont JACQCBS FEVDEK (Semaine du 7 au 12 Avril 1930) encaissé 6.7S8.600.000 marks-or, soit provoqué Mandoline-Orchestre de Paris, classée éga 9 à 6.30. b. achats de rentes ; Soirée de nouveaux Perman. de 2 lement en excellence, et recueillit en outre 31.535.000.000 de francs depuis l'armis 339.5 après les rentes, les banques ont pris succès Justifié de compositeur. Une un tice. C'est tout de même un résultat. spirituelle comédie : l'Avancement, ter part au 'mouvement,puis les chemins de gêné plan n'a point donc Dawes Si le la soirée. Le texte fut alerte minait les valeurs d'électricité, et comme les en fer, CE SOIR : à la exé l'Allemagne, mise gravement l'excellehte Interprété Adrienne ment par pétroles étaient déjà recherchés depuis FOLIES-BERGERE, 8 h. 30 : Un Coup Gallon et M. P. Verplller, aussi adroit plus qui est lé du plan Young, cution co temps, l'ensemble de la cote en de Folie, 80 sensations de M. Louis Ledoit pas la troubler davantage; quelque que directeur habile de la Cigale ne ger, finalement marchanri (MM. Randall, Castel, Lemer- médien registre un redressement qui, Paris. M. Karcher, malresdu 20' arron les précautions nécessaires s'il est loin de réparer surtout que cier ; Mmes Valbelle, Betty Campson, de le recul des der dissement, présidait la séance assisté de protection de été la prises ont ses pour Troïsky, Carletta Conti, Zulaïka. niers n'en «nois, pas moins une allure Marie, président de la chorale. EMPIRE MUSIC-HALL,8 h. 30 : Dollle M. Lucien finances. En raison de la disposition des encourageante. Sia aucun événement Sartrouvllle, les de qui, bordg sur et Blllle, les célèbres fantaisistes améri la — de contrôle qui, sous le régime prévu ne vient l'interrompre et si im organes portes Paris, de est l'on Seine, des une aux cains, et 20 attractions. veillaient aux répercus sait se maintenir dans les limites rai du plan Dawes, la agréables de banlieues capitale, plus CONCERT MAYOL, 8 h. 80 : La Parade sions des transferts, la Banque des sonnables, ce mouvement peut prendre pajjr le dimanche de Pentecôte .du Nu (MM. Carol, Charplnl ; Mme» Peg- organise réservé concours-festival Paiement» a reçu le pouvoir d'exercer à la longue une certaine envergure car (8 Juin) un aux gy-Vère, Paulette Franck). Des et fanfare#. primes harmonies pou la même surveillance tutélalre. Dans les disponibilités sont énormes elles CIRQUE D'HIVER, 8 h. 30 : Loïe Ful- vant s'élever Jusqu'à 600 fr. suivant — dé exactement conditions très certaines — ler, Spyras, les clowns les Plattler, les 60 classement et effectif viennent encore d'être renforcées par sont Instituées être — paiements pourront les finies, sus chevaux de Carré, etc... des coupons trimestriels l'encaissement Le règlement du concours CIRQUE MEDRANO, 8 h. 30 : La cava nombreuses. qui seulement pendus TENÛANCE mais pour ce, con DU MARCHE des loyers — et elles ne demandent accorde aux sociétés la fa et lerie de M. W. Heyer ; .les sœurs Daizer ; festival conditionnelle, pour qu'à tranche la le" cerne devant présenter culté de ou non s'employer se pour peu que les risques On ne signale aucune affaire sérieuse une durée maximum de deux ans, et la troupe Belley; les clowns Calroll, Porto, Jury. La clôture des adhésions reste fixée réduits apparaissent et les chances de de céréales pour la France. moyennant Carletto, liés et Loyal, etc... période de préa Pour tous ren d'importation longue une au 25 avril, dernier délai. Michaux, blés été nombreuses. contre, des français ont ven vis. Enfin, la suspension est prononcée gain plus prési Par écrire à M. à l'Angleterre et à dus Jours derniers FOLIES-BERGERE. — Un Coup de Fo seignements ces Le mouvement qui se manifeste sur de la comité, 23, Gare, à dent du avenue principal à les gouvernements intéressés euxla l'Italie, le voire mais Suisse, par lie, le nouveau spectacle, est vraiment le Sartrouvllle (Seine-et-Olse). notre place est, du reste, favorisé par acheteur parait être la Hollande, ce qui mêmes. plus formidable du moment. Tous les Fédération congrès la de des 18* Le les dans une reprise analogue sur .diverses places explique, la hausse enregistrée — soirs, salle comble. éventuelle des suspension paie La Sociétés musicales de l'Ouest aura lieu à départements placés les mieux pour ven ments été limitée à la fraction condi étrangères. Bruxelles commence à passer Royan & la Pentecôte. A cette occasion, dre à ce pays. a des ordres. Les autres marchés vont sui CONCERT MAYOL. — Jamais les re l'Harmonie de Royan organise un festival La. tendance de notre marché céréalier tionnelle, afin de ne pas entraver le vre sans doute, mais il ne tient qu'à cettes n'avalent atteint un tel niveau. qui, étant donné l'attrait de la splendlde est donc plus ferme, bien que les travaux placement des obligations qui devront nous, non seulement de rester les maî Tous les records sont battus. Il est vrai station balnéaire charentalse, est assuré des champs étant très avancés dans cer être,mobilisées et qui sont gagées sur la tres de notre marché, mais encore de franc succès. Le congrès se tien taines régions, les offres y soient devenues part non conditionnelle de l'annuité. que jamais la présentation de« l'Esthéti du pluslundi. capitaux retenir les qui, du fait du L'Harmonie de Royan (di un peu plus nombreuses et que la meu que du Nu » n'a été osée, tentée, réalisée, dra le M. V. Miquel, L'abafidon du plan Dawes en effet a manque d'affaires, commençaient à re 212, rue de la Répu nerie, écoulant mal ses farines, n'achète réussie aussi magnifiquement que dans recteur blique à Royan (Charente-Inférieure), guère qu'au Jour le Jour. eu, pour cause principale la volonté prendre le chemin de New-York où, Parade du Nu, au Concert Mayol. Invitations fois exprimée de mobiliser la malgré la baisse du loyer de l'argent, les des et maintes vient de lancer nom Toujours peu d'offres d'avoines, mais congressistes et les les seront so les ^acheteurs sont peu nombreux ; il y a dette allemande de réparations. Aussi possibilités d'un emploL.fructueux exer AU CAMEO. — La première semaine du breux voudront participer à fêtes ciétés qui ces cependant des couvertures de contrats et était-il nécessaire à la fois de fixer le çaient de nouveau leur attraction. Nos grand film français : Nuits de Princes a Mouchet. Gustave musicales. des demandes pour la Belgique et pour la montant total de la dette et de déter-* valeurs sont assurément aussi intéres été triomphale : des milliers de gens n'ont — Suisse.. Affaire? pratiquement nulles en miner le nombre des annuités; Ce sont trouver place salle dans la coquette pu santes que les valeurs américaines et la seigles. Les sarrasins sont plus fermement du « Caméo ». Le grand film de Marcel pratiques techni considérations et EXPRESS UN SURPRIS PAR ces' situation économique et financière de la sont très tenus. Les orges de brasseries L'Herbier, d'après lo roman de J. Kessel, les dirigé dé finances qui ont de TUÉ arrivages Les de maïs Plata ques soutenues. France est assez saine pour que les ca et interprété par Glna Manés et Jaque DEUX PIETONS SONT, L'UN préparé marché experts qui ont le faible. libérations de3 sont faibles et Catelaln, est en route pour une série de pitaux puissent s'employer chez nous, de Calme au début de la semaine, notre le texte du plan Young. L'AUTRE GRAVEMENT BLESSÉ nombreuses-, et Interminables représenta aussi avantageuse et avec des marché sucrier a marqué une certaine Tels qu'ils sont définis, les paiements façon tions. de gain mieux assurées. perspectives animation vendredi et samedi. Les cours Un très amusant sketch parlant fran président d'un grand établissement Le Marseille, 13 Avril. — MM. Albert Bar- avalent d'abord reflété le recul de New** que l'Allemagne tloit effectuer aux cais çais, Interprêté par Dorvllle, intitulé : pour, finalement, ses de la Banque Internationale des financier, dans son rapport aux action Mollasson, complète agréablement; ce pro sacchi, 45 ans, maçon à La Millière, et York, remonté ensuite à samedi 239, reprise de 3 fr. Paiements, qui ensuite les répartira aux naires, résumait d'ailleurs très exacte clôturer maître Barbajelatta, d'hô en 54 ans, Marcel gramme. précédent. lundi le sur créanciers, sont garantis par la taxe sur ment, oes jours derniers, les motifs de tel, ont été happés par un express, cette les transports (qui subsiste à titre pro fermeté du marché de Paris : Les pou nuit, alors qu'ils venaient de s'engager PROGRAMME DES SPECTACLES visionnel, et doit être restituée au Reich voirs publics se préoccupent de la réali En sixième page : a été broyé, l'au sur la voie; Le premierblessures et a été en fin d'exercice, si les versements sont sation des grandes problèmes à l'ordre Opéra. 8 h. 30. — Le Barbier de Sévllle. tre est couvert de COURRIER DE T.S.F. LE LA complet^. La contribution budgétaire, du jour (notamment de celui des dégrè Comédie-Française, 8 h. 45. Primerose. transporté à l'hôpital. H F»
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MAURICE ROGET
BAISERj
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Feuilleton du Petit Journal. 14 Avril 1930
LA MAISON
sans enfant '
grand roman passionnel et dramatique
par Maxime La Tour ,
DEUXIEME
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PARTIE
AUTOUR D'UN BERCEAU
L'éveil de la jalousie (suite) IX. — Merci, répondit sèchement le Jeune
.homme, refusant l'offrande coutumière. De sa poche, il sortit un étui d'argent où
il prit une cigarette qu'il se mit à fumer. Simone s'était assise à sa place habituel le, et prenant son ouvrage, elle s'efforçait d'avoir l'air de s'y intéresser. Enfin, Jacques, s'arrêtant brusquement devant elle, la voix un peu rauque, interro gea : — Pourquoi t'es-tu mise en retard ? la jeune — Mais je te l'ai dit, répondit arrêtée. femme ; ma montre s'était — Oui, à six heures et demie, je sais. Mais tu comprends bien que c'est une explication insuffisante pnur moi. — C'est pourtant la véritable. Je ne puis pas en inventer une autre pour te fai
re plaisir.
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te gênes pour t'es jamais donné la peine de me compren es comme les dre ! Et moi ,qui croyais que tu m'aimais, pas. non plus ne Jacques avait repris sa promenade autres, menteuse et trompeuse dans l'âme. que nos cœurs, nos âmes, étalent proches, Jacques, ne je suis étrangement désabusée. d'ours en cage. — Jacques, Jacques, mon colère toi ! qui te Simone voulut se montrer conciliante et, sois pas injuste ! domine ta — Je t'aime, mol, et je n'aime que Jacques. fait accuser faussement celle qui t'aime, lança d'une voix très douce, elle demanda ; d'amour qui soupçonne sans Tu m'en veux tant que cela, mon qui n'aime que toi, qui ne vit que pour toi— Drôle Jacques ? Je suis navrée d'avoir été — Sauf entre six et demie et huit heu motif et cherche une querelle à propos de rien. aussi distraite, je te promets de ne plus res. Tu oublies que, bien des fols et non recommencer, mais je t'en prie ne conti — Oh ! tu ne vas pas croire.— doute de tout Je nue pas à me regarder avec ces yeux_accu- — Tout, je crois tout ! pas dans un cas semblable — cas qui ne dégoûté... bout, écœuré; à suis douter moiaussi. Je de sateurs qui me feraient s'est jamais produit, permets-moi de te le 1 Cette fois, ç'en était plus que les nerfs faire remarquer — fu ne m'as ménagé ni même. surexcités de la jeune femme ne pouvaient ,tes soupçons, ni tes reproches. bien toi, moi de ! doute Je — supporter. Ni les uns ni lès autres n'ont jamais — — Oh ! Jacques... Brusquement, elle se dressa bien en face été injurieux et, au premier mot de toi, je place Mets-toi à ! ma — ta place, de son mari, et d'une voix sourde, un peu je les ai toujours retirés. chéri ? A mon — : — 11 fallait à ton tour me dire ce Les yeux de la jeune femme se fixèrent, haletante, elle demanda " « mot ». très tendres, et, un lointain sourire au — Alors, c'est sérieux ? Tu te figures à dire. tout' avait qu'il ce y que je flirte, que je m'amuse, que je me bord des lèvres, elle murmura : — Je t'ai dit t'ai persuadé je Et laisse faire la cour ? Tu es ne pas crue... je ne te crois que — torturerais ta place je A me pas ne — je ne vaux pas plus chér que n'importe pas encore. comme tu le fais en ce moment. Au lieu de quelle C'est trop fort t Voilà qui m'appren facile et que mes protesta femme — je le sonderais femme, regard de le fuir ma dra à n'avoir d'yeux que pour mon mari, tions d'amour sont menteuses ? et ,serais je jusqu'en lire son cœur, pour Le front obstinément baissé, Jacques ne à refuser toutes les avances des autres rassuré, et tendre et aimant... cômme répondait hommes. Ah ! j'ai été bien bête. Mais cela rien. d'habitude. C'est bien là ta pensée, insista Si va changer ! — habile. très Tu A son tour Simone arpentait le salon, es mone prête à pleurer. Je suis une femme — Hélas ! non, soupira Simone qui com frivole, légère et, mon Dieu, qui sait ? in sous l'œil sévère et attristé de Jacques, et — elle continuait : fidèle, peut-être aussi ? mençait à perdre patience^ n'est pas ? Exactement, dit brutalement son regrettes ? — Tu m'accuses de ce qui — — Tu leDieu, Eh bien je t'aime trop pour vouloir que tu oui. Si j'avais l'art de .pa- mari en martelant les syllabes. — Mon te trompes ainsi, et je vais te donner rai rer la vérité ou plutôt de la déguiser, eh ce Ce fut comme un coup de fouet. ! c'est ainsi, gémit Simone. Ah ! son va. Tu verras si je le rattrape, le moment je t'aurais déjà calmé et recon — Ah façon dont tu reconnais mon temps perdu î Je flirterai tant que je pour quis par cjuelque stupide mensonge indi c'est la amour, ma tendresse ? Eh bien, c'est que rai, j'aurai un amant, deux amants, dix gne de toi et de moi. amants, je ferai comme les autres. De — Oh ! de toi ? Avec ça que tu ne sais tu ne m'as.jamais comprise, que tu., ne de faire de l'esprit, cela pas mentir, avec ça que tu — Dispense-toi inventer des histoires ? Tu prendrait
—Marché toujours calme mais asseaj résistant sur les valeurs de navigation :i
Chargeurs Réunis, 740 ; Transatlantique; 1.020. — Le Sues, après a\joir "regagné du terrain, a faibli de nouveau t d'électricité ont ma-;; vements). Ils en recherchent la solution, nifesté — Lesdevaleurs bonnes dispositions "et quel-; en ce moment même, avec le concours ques-unes d'entre elle: en plus-va-" de notre institut d'émission dont l'auto lue. Voici oomment le sont président rité et les moyens d'action sont au des grandes firmes d'e la catégoried'une; s'est jourd'hui si considérables. Les projets exprimé les perspectives immédia-: sur s'élaborent pour alléger et améliorer le de cette industrie à une récente as-: système fiscal, restituer au marché de tes semblée : « L'année en cours va-t-elle; Paris toute son importance de jadis, ra donner des résultats aussi" favora nimer l'activité économique par l'exécu nous bles la précédente- ? Il- serait dan-; que tion d'un ;'vaste programme de travaux d'émettre un pronostic à cet; en France et dans notre domaine colo gereux égard. Vous n'ignorez pas que certains; nial. Nous en attendons avec confiance symptômes de crise manifestent dans, se la réalisation. plusieurs branches de l'activité natio-i nale. Ils ne se manifestent même pas; Mouvement des cours seulement chez nous, mais aussi à l'é-; tranger. Toutefois, il semble que l'in — Les Rentes françaises sont demeu dustrie électrique puisse échapper en; rées assez calmes cette semaine et leurs écarts de cours sont, ppur la plupart grande partie à ce danger de réduction; d'entre elles, insignifiants. Cependant, de son activité. Les besoins eiOSirgie; croissent constamment. La: on remarque que les emprunts d'après électrique progression guerre se montrent les plus fermes, sous périeure à annuelle est en moyenne su- ; 10 % en sorte que la consom- ; la conduite du 6 % 1927. double mation en moins de 10 ans. XI — Les bons et obligations à court ter est certain que ces progrès doivent con me du Trésor continuent à donner lieu tinuer en admettant même qu'ils s'at à des achats du portefeuille. — Il en est ténuent peu et qu'il faudra, par'con de même des emprunts gugés par des séquent, un doubler capacité des usines annuités de l'Etat et des titres du Cré et des lignes d'icilaquelques années ». — dit National. terminé à On 1.180 la Thomson ; a sur façoïi D'une générale, les fonds Distribution à 3.370 la à 1.085 sur — sur étrangers ont été un peu mieux traités, l'Electricité de la Seine ; à; 885 et 2.725 sauf les turcs. Ceux-ci ont paru mal sur les actions et les parts Jeumont ; impressionnés par divers bruits peu fa -à 1.265 sur l'Electricité et Gaz dH Nord. vorables. Par contre, ils sont restés In Cette Société convoque une assemblée sensibles' à un article • du Financial extraordinaire pour le 15 avril, en vue News constatant que, le change turc s'é- de rémission d'un emprunt obligataire tant amélioré et, d'autre part, une cer de 50 millions de francs. — 2'Energie taine quantité de devises ayant été mise Industrielle reste bien orientée à 511. à la disposition des importateurs, il ne août — Les valeurs de métallurgie parait plus nécessaire que le gouverne soutenues, s'ont' pas mais elles ne se ment turc ait recours aux ressources écartées beaucoup de leurs cours de'hui fournies par le groupe bancaire consti taine Firminy, Forges 623 et Aciéries : ; tué en vue de soutenir son change par du Nord AciérieS et l'Est, de 1.730 de ; des achats de devises étrangères. La la Marine, 1.525, etc... crise du change turc peut être considé rée pour le moment cor. *.e terminée. — Dans le groupe des valeurs d'auto Par conséquent, la question du.change mobile, il faut signaler une bonne re ne saurait être évoquée pour une deman prise des actions et des parts Citroën de de moratoire. La raison véritable de à 1.068 et 358. la demande de ce moratoire faite par — Les produits chimiques se représen le gouvernement d'Angora paraît être le tent, eux aussi, sans grands change souci qu'il a de pouvoir prélever sur les ments. — Parmi les plus animés, nous ressources budgétaires certaines sommes citerons Kuhlmann, à 1.125 ; Péchiney, destinées à la construction de chemins à 3.570 ; les actions et'les parts de fa de fer. Il n'y a donc aucune bonne rai Compagnie belge des Industries chimi son pour que de nouveaux sacrifices ques à 437 et 4.900 ; la Suédoise des Al soient imposés aux créanciers de la Tur lumettes h 2.700 ; la Kreuger and Toll quie et le gouvernement tu»c pourra se à 4.650. Pour cette dernière Société, les procurer les ressources dont il a besoin recettes diverses de l'exercice 1929 s'élè au moyen d'un emprunt, à la condition, vent à 15.920.639 kr. contre 9.719.962 kr. toutefois, que l'accord de Paris soit en 1928 et les dividendes et intérêts h maintenu. — Les fonds mexicains sont 14.896.961 kr, au lieu de 13.146.877 rtr. mieux. Le président du Mexique ayant Déduction faite des frais généraux exprimé récemment son espoir d'arriver, (3.698.759 kr. au lieu de 3.012.970 kr.), !e dans le courant de oette année à une bénéfice net de l'exercice ressort à entente avec les principaux créanciers 27.118.841' kr. contre 19.853.869 kr. en du Mexique sur des bases susceptibles de 1928. Avec le report antérieur, le solde satisfaire aussi bien les porteurs que le disponible atteiht 40.198.980 ,kr. Le con gouvernement de Mexico lui-même, les seil proposera à l'assemblée générale de demandes ont afflué de nouveau dans distribuer un dividende de 30 % sur le ce compartiment. Les Rentes 3 % et capital ancien de 65 millions de cou 5 % ont été recherchées ; les Bons ronnes et de 5 % le capital nouveau Huerta se sont élevés de 690 à 717 avec de 11 millions de sur couronnes, ce qui ab sorbera 20.050.000 couronnes et permet un gros marché. tra de reporter à — Les banques françaises sont moins couronnes. Rappelonsnouveau 20.148.980 fermes. — La Banque de France s'est que pour l'exerci 1928 il réparti avait été 25 % sur le repliée à 25.300. — Aux établissements ce de crédit, on a terminé sur le Crédit capital de 65 millions de couronnes. — Lyonnais à 3.250 ; sur la Banque Natio On note aussi de nombreuses demandes nale de Crédit à 1.649. — Aux Banques sur la Norvégienne de l'Azote, en vue d'affaires, l'activité prévaut sur la Ban de la souscription à l'augmentation de que de Paris à 3.230 ; la Banque de capital de 76.852.800 kr.-or à 104.300.100 l'Union Parisienne à 2.235 ; l'Union Eu- kr.-or, à laquelle .cette Société procède du 7 au 28 avril, par l'émission au pair ropéenneè. 1.960. de 152.485 actions ordinaires de 1J?0 k.r— La même irrégularité que précé or nominal, jouissance au 1er juillet 1930. demment se manifeste dans le compar Un droit de préférence pour la sous timent des banques étrangères. — Une cription "à titre irréductible et à titre des mieux tenues, cette semaine, a été réductible de 114.364 de actions ces nou la Banque Ottomane, qui a terminé en velles, est réservé propriétaires des aux reprise à 1.205. — On a introduit, le 11 àctions ordinaires numéros 1 à 295.218, avril, au Parquet au comptant, les des actions de préférence, des certificats 300.000 parts de réserve de la Société Gé de souscription originaires et bons de nérale de Belgique portant les numéros souscription privilégiés. Le prix de' sous 1 à 300.000. Ces parts forment,, avec les "Pàris cription payable 'a 1.230 sera par 500.000 parts* non admises, le .capital >de francs'français. ' ' un milliard de francs belges de la So ciété, dont la constitution remonte à — Aux mines métalliaues, les cuprifè 1822. Cette cotation ajoutera au compar res sont plus irrégulières : Rio Tinto, timent international de la Bourse de 5.550 ; Tanganyika, 348 ; Wharsis, S24. Paris une vedette de premier ordre. — Plombifères en reprise : Penarroya, Pour les quatre derniers exercices, les 1.129 ; Balia Karaïdin, 82. — Les stanbénéfices nets de la Société ont marqué nifères laissent toujours à désirer, une progression des plus importantes, — Charbonnages sans changements passant de 53.573.074 francs belges en appréciables : Lena, 1.394 ; Courtières, 1926 à 166.576.308 francs en 1929. Le di 1.676 ; Bruay, 744. — Dans le gi'ûupe vidende brut distribué aux parts a été étranger, l 'Ekatherine est bien orientée de 400 francs belges en 1926 ; 650 fr. à 325. en 1927 ; 400 fr. en 1928 et 450 fr, en Les pétrolifères, après quelques 1929. Dernier cours : 8.475. jours d'hésitation, ont fini mieux. Ce valeurs gagné Les d'assurances compartiment, ont cependant, est loin d'être du—terrain, elles aussi. La même remar aussi ferme qu'il devrait l'être d'anrès que s'applique aux actions des Sociétés les indications de, l'Amérique.—— La foncières et immobilières. — Progrès de Royal Dutch à 4.280 ; la Shell à t'06' sont la Générale Foncière à 603. sans grands changements. — Notons par contre une reprise du Crédit Général — Les actions des chemins de fer des Pétroles à 957, ainsi que la' bonne français ne varient que dans des limi de la Standard franco-américaine tes étroites. Après diverses fluctuations, tenue de la Mdlopolska à 344. Ainsi elles ont fini un peu au-dessous des à 586, et l'avons déjà signalé, le dévelop nous cours d'il y a huit jours. : Nord, ,2.585 ; que de la Mdlopolska se poursuit ra P.-L.-M., 1.648 ; Orléans, 1.412 ; Midi, pement pidement. ainsi C'est la production que Est, 1.171. 1.275 ; février du mois de huile brute s'est en — Les chemins étrangers sont un peu élevée à 22.847 tonnes au lieu de 20.543 plus fermes. — Reprise des Wagons- tonnes en février 1929 ; la production de Lits à 657 ; du Congo-GrandS'Lacs à gaz a été de 12.563.712 mètres cubes 1.073 ; des actions et des parts des Réu équivalant à 3.482 tonnes, 10 mil nis belges à 434 et 7.450 ; de l'action lions 140.076 mètres cubescontre équivalant à Railways et Electricité à 1.001, et des 3.418 tonnes. Comme les prix du pétrole actions de capital et de-dividende Cai- ont été assez fermes, le total des recet ro Héliopolis à 2.010 et 5.375. D'après tes brutes pour le mois de février 1930 des nouvelles du Caire, il se confirme a atteint 24.890.810 fr. contre seulement que le dividende de cette dernière So 18.436.880 fr. en 1929. Pour les 10 nois ciété sera fixé à 48 piastres 22 contre 45. de l'exercice industriel, la production to La Société pourrait, du reste, se mon tale d'huile (équivalence du gaz com trer plus large 'dans -«s répartitions en prise) s'est élevée à 284.162 tonnes contre raison des réserves occultes que renfer 273.594 tonnes pour la période me son bilan. A l'examen de ce dernier, dante de 1928-29. lie montant correspon des ventes on relève que l'actif brut atteint 3 mil est de 207.123.505 fr. contre 250.916.330 îr. lions 872.200 livres et le passif envers les pour les dix mois correspondants de tiers 914.000 livres. Il existe donc, en l'exercice précédent. chiffre rond, un actif net de 3 millions de livres égyptiennes, correspondant à — Quelques valeurs de caoutchouc de francs. Les la dettes de sont mieux, mais la plupart n'ont guère 375 millions Société sont peu importantes. Elles se varié. — Les Financial News écrivent ce composent de 450.000 livres égyptiennes qui suit, touchant l'orientation' prochaine d'obligations en circulation ; 177.000 li du marché du caoutchouc : « L'opinion vres de créditeurs divers ; 287.000 livres prévaut en Amérique d'après laquelle on d'emprunts au Crédit Foncier Egyptien. traverserait actuellement une période où L'élément essentiel de l'actif est consti les demandes de remplacement de pneus tué par la valeur des terrains qui res sont particulièrement faibles ; cela tien tent à vendre. Il s'agit de -7.500 hectares drait à ce qu'en 1927 on s'est beaucoup qui ont incontestablement pris de la va servi de pneus en caoutchouc régénéré, leur par suite de la plus grande impor de qualité inférieure ; ces pneus ont été usés au début de l'année dernière et ont tance prise par la ville d'Héliopolis.
cette façon, tu seras peut-être content, imbécile ! La porte du petit salon, qui d'ordinaire retombait sur le couple tendrement enlacé, claqua sur les talons de la jeune femme. Elle courut à sa chambre, où elle s'en ferma pour pleurer à son aise. C'était bien la peine d'être une épouse si sage, si amoureuse, que l'on raillait même souvent à cause de cela ! » Quel mal avait-elle fait ? En quoi était-elle tellement coupable de s'être un peu attardée chez un ami com mun, avèc qui elle n'était pag, seule du reste ? Si le temps lui avait paru court, c'est .qu'elle s'amusait, et son mari aurait dû être content du plaisir qu'elle prenait. Au lieu de cela, la façon dont il l'avait accueillie, la scène qu'il lui avait faite, loin de convaincrela jeune femme qu'elle avait eu le premier tort, n'avaient contribué qu'à la mettre en colère. Maintenant, pleine de rancune, elle souffrait, non seulement dans son cœur, mais aussi, dans son amour-propre, et ne voulait rien entendre des voix sages et douces de sa conscience. injuste et méchant ; eh bien, — Il a étésouffrir, je lui ferai croire que je le ferai je ne l'aime plus. Il verra ce que c'est alors, et il se repentira d'avoir été aussi cruel aujourd'hui. Il y avait plus d'une demi-heure que, sans cesser de pleurer elle tournait et re tournait ses tristes pensées, lorsque Jacques vint frapper à la porte.
Simone,
ouvre-moi,
demandait-il
— jd'une voix radoucie. — Impossible, répondit sèchement la jeune femme. — Voyons, Simone, ne boude pas, ouvremoi ! — Je ne boude pas, j'écris à Julien Mar tin ! riposta-t-elle aigrement. Derrière la porte il y eut -comme...un frémissement. Puis, sans un mot, Jacques s'éloigna, les poings serrés, le regard mauvais. X. — La lettre anonyme A partir de cette pénible soirée, Simone, poursuivant son dessein de punir son mari, fréquentait de plus en plus assidum.ènt Julien Martin. En dehors des promenades matinales, pu Bois, chaque après-midi réunissait de nou veau les jeunes gens soit à un thé,--soit à une exposition, ou bien encore au' petit hôtel du quai Bourbon. Julien, sous un prétexte quelconque, ve nait bavarder, une heure ou deux avec son amie d'enfance. < Simone l'attirait ostensiblement chez elle ; aussi, Thérèse Privas, que le jeune homme ne manquait jamais d'aller saluer lorsqu'elle était là, après quelques phrases échangées, faisait appeler sa belle-fille et laissait les jeunes gens en tête-à-tête. Jamais elle n'était de meilleure humeur
que ces soirs-là.
CA
suivra)
été" remplacés' à
cette' époque, alors qu'ils
auraient dû' l'être maintenant. On es
père que,,vers l'été, la demande de pneus de -remplacement sera. redçvenue' nor male. Ce point et les .prélèvements'sai sonniers sur les stocks peuvent contri buer à. maintenir, la. demande améri caine-sur le marché de. Londres. De ce faiC une diminution des expéditions"en juin et juillet entraînerait une réduc tion sensible des stocks ». '— Les mines d'or ont été diversement f -traitées : on a fléchi sur la Central'Mi ning. Par contre, la Goldfields,.la Rand Mines et surtout la Transvaal ont pro gressé. / noiis diamantifères Aux notons -r ; une reprise' de la De Beers à 1.172. Marchés étrangert %&ew-York. — Le marchi s'est res saisi et-fait preuve d'une plus grande animation. C'est surtout la détente mo nétaire >qui a provoqué ce revirement de la ^.tendance,- car • les nouvelles concer nant la marche des affaires n'étaient pas très* favorables. Le nombre des wagons chargés pour la semaine est en diminu tion sur celui de, la semaine correspon dante de l'année dernière et 1' « Iron Age », dans sa revue hebdomadaire de •ter' métallurgie, écrit que le marché de l'acier est caractérisé par des fluctua tions contradictoires. Fermeté des « Mo tors », des électriques, des services pu blics et des pétroles : Royal Dutch, 54 3/4 ; Shell, 24 1/4. liondrzs. — T.« marché a été d'abord bien .ir.ïluencé par la bonne tenue de la Bourse de New-York et par l'espoir d'une réduction du' taux d'escompte de la Banque d'Angleterre. Par la'suite, on a été plus calme, en raison- dU' fait que la Banque d'Angleterre n'a pas apporté de modification au taux d'escompte. Fonds d'Etat et chemins de fer diverse ment traités. Pétrolifères discutées: Royal' Dutch, 34 3/8 ; Shell, 4 7/8. Mi d'or et territoriales bien disposées nes Central' Mining, 18/ ; Rand Mines,'.-:3 3/.16. Aux diamantifères, fermeté de ,1a De Beers à 9 3/8. Bonne orientation, du Rid Tinto à 45 1/4, Stannifères mieux. Càoutchoutières inactives. Bruxelles. —Ce marché est sensible ment plus animé et franchement ferme. On remarque, particulièrement, de bon nes demandes en Canadiennes et en va leurs françaises. Les transports sont ac tivement traités. Fermeté des titres du groupe Empain. Parmi.les banques, la Société Générale, progresse encore de 11.100 à 1-1.950 ; la part Crédit Foncier d'Extrême Orient reprend de 30.875 à 31.000 ; la Banque de Bruxelles de 1.375 à 1.410. Aux .transports, -le CongoGrands-Lacs fait l'objet de quelques pri ses de bénéfices à 1.395 la. part Belge des Chemins de fer Réunis reste soute nue à 2.600 ; Cairo-Héliopolis est en nouvelle hausse, la capital à 2.825'contre 2.7C5, la dividende', à 7.525 contre 7.300. Le groupe électrique est ferme.: l'Electricité de là Seine progressant en core de 1.517 à 1.540. ; l'Electricité et Gaz du Nord de 1.765 à 1.790.-La Miniè re des Grands-Lacs poursuit, par ailleurs son avance, le centième de part passant de 1.800 à 2.032. Aux valeurs métallurgi ques. avance de Clabzcq de 33.Q00 à 34.950 : de Cockerill de 2.230 à 2.375. Les charbonnages sont en reprise marquée, le Levant du Flénu de 4.425 à 5.175 ; Hornu et Wasmes de 7.750 à 8.650 ; Sa cré Madame de 4.510 à 4.940/ Fermeté des glaceries, AuvelaiS' gagnant encore du terrain à. 24.750 contre 23.450. A-ter me, la Belge des Industries Ghimfques progresse de 600 ' à 617 et- la Tubize^ de
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Amplification hntse-fréquence Voilà plusieurs petites-chroniquesde la T. S.-F. que nous consacrons'à.celte par tie, importante de la réception radiotèléptionique : l'amplifiçation basse.fréquen ce. Jusqu'ici, nous n'avons envisagé ' que le cas normal,-le cas ancien, sommes-nous tentés d'ajouter, c'est-à-dire,la,lampe triode ordinaire et les tensions'tle plaque de l'ordre de q-uatre-vingts volts: Les amateurs; de concerts radionhoniques se partagent en deux, clans 'es uns veulent « fort » ; .les antres .veulent « -pur ». Les premiers poussent l'ampli fication au. .maximum, ajoutent "des lafnpes aux lampes et des, tratisformateurs aux transformateurs. Les seconds, soir gnent leurs >montages et recherchant des améliorations de détails. Mais :il est- une tension de jilaqite qui convient aûz deux clans et; ce n'est plus, aujourd'hui. Ip vieux quatre-vingts volts, mais une ten sion plus forte, de l'ordre de 130 à 160 volts., Pour les montages habituels vo-.ilons-nous dire, car, pour -ce qui est des spéciifux. tension >
la plaque reste montages aussi spéciale.On peut donc obtenir, avec une tension plaque élevée aussi bien une amvlifivuiion puissante.' Qu'une amplification 1res "pure. Il 'Suffit de choisir convenaolement ics transformateurs, le haut-parleur et la tension 'de plaqué. Alors que l'on voit sou vent un transformateur, alimente! sous 45 volts avec, un haut-parleur de puissance! Cette augmentation de tension ' plaque doit être associée avec-une polarisation convenable des grilles.. L'une ne va pas sans l'autre et l'une des causes les plus importantes de la distorsion restde juste ment dans le mauvais réglage de cette tension de grille. t Nous avons déjà.-donné quelques ren seignements sur les lampes à écran de grilles. NoUs• ajouterons deux mots- "sur tes lampes trigrilles qui conviennent par faitement pour l'amplification basse-fré quence.' Elles -~ont un gros coel;icient d'amplification, elles sont• puissantes et, moyennant- quelques précautions, elles donnent une réception très pure.. De plus, leur adaptation a un poste quelconque, est immédiate et le haut-parleur se bran che directement sur la plaque; trans formateur de sortie. Nous en sans terons une éticde plus détatllëe dans une oroôhainè petite chronique.
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