Le Petit journal. 21/04/1930. by Président AALEME

Le Petit journal (Paris. 1863)

Source gallica.bnf.fr / BibliothĂ¨que nationale de France

Parti social français. Le Petit journal (Paris. 1863). 21/04/1930. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter utilisationcommerciale@bnf.fr.

UN MOIS AVEC LA LÉGION ÉTRANGÈRE

LES RÉUNIONS SPORTIVES PENDANT LES FÊTES DE PÂQUES

lieuuen France-Galles

QUELLE ETRANGE AFFAIRE

SUR LA BOUTE DE FONTAINEBLEAU

Trois hommess'accusaient Mme Cécile Sorel Le Belge Vervaecke gagne Paris-Roubaix blessée d'une série île crimes ' commis en-Franche-Comtédans un accident d'auto Le Fonçais Maréchal, arrivé premier, est .déclassé OR, ILS M'ETAIENT POINT COUPABLES

Pourquoi donc mentaient-ils ?

Le chômage est le grand recruteur, mais aussi le désir d'une liberté relative et, pour les Russes,

l'exode forcé d'après la révolution

lombes, que se terminera avec le match France-Galles le tournoi international de rugby. : . Nous avons eu déjà l'occasion de dire que si la France ..triomphait - de son adversaire, elle remporterait- pour Ja première fois cette épreuve dans laquel-: le elle' n'a Joué jusqu'ici qu'un rôle .ssez effacé. Rappelons au surplus qu'après la défaite en facede l'Angleterre il fallut que celle-ci fasse match' nul avec l'Ecosse -pour redonner à notre- équipe

une chance qui semblait définitivement compromise après l'échec enregistré'sur le terrain de • Twickenham. Le match d'aujourd'hui, nous pou vons-certes le'gagner. Mais il est bien certain que nous pouvons aussi .le perdre. Battu d'abord par l'Angleterre, le Pays de Galles perdit ensuite en face de l'Ecosse un match qu'il aurait dû gagner. Mais les Gallois se vengèrent par la , suite sur les Irlandais qu'ils -battirent

nettement. Cette succession de résul porteront cet après-midi le maillot rou ge orné de trois plumes ^d'autruche, peu vent prétendre terminer leur saison beaucoup : plus * brillamment qulls ne : l'on commencée. v 1 L'équipe.de France a pour.elle l'avan . tage d'avoir subi-moins de modifications que son adversaire au cours de la sruson. C'est la première année en efiet, que ,notre .équipe, a disputé tous les matches dans une formation à peu près identique. Pourtant" nous serons moins heureux dans ce de'rnier match capital. Succes sivement- nous avons dû, en effet, en registrer'les forfaits des trois-quarts Baillette, Béhotéguy et Houdet. Absten tions d'autant plus-regrettables que si nous c avons r pour former notre ligne d'ayants des - réserves de classe, il n en n'est pas de même en ce. qui concerne les joueurs de la division d'attaque. Mais, ne soyons pas trop; pessimistes. L'équipe • de France. possède ' un moral excellent et c'est là un grand facteur de victoire. En somme, si sur les dix-Sept rencontres précédemment disputées le Pays de Galles en a gagné seize, il n'est certes pas impossible à l'équipe de Fran ce de rééditer le succès qu'elle remporta le même terra m. 11 y a deux ans, sur Gris. — Maurice -. , tats ? indique bien, que ; les hommes qui

La garde du drapeau

VIII

C'est - le ch.ômage qui - suivit la guerre qui fut le meilleur recruteur pour la Légion étrangère. Là en core, c'est la faim qui» est conseil lère. ;C'est elle qui pousse irrésisti blement l'homme vers un destin où la sécurité des repas se pare cepen dant, des couleurs prestigieuses de l'Orient, tel qu'on peut le concevoir parmi quelques mirages imposés par

la misère. C'est peut-être chez le Français que l'on pourrait retrouver un peu de cet esprit, d'aventure que la plupart des légionnaires n'ac quièrent qu'une, fois enrôlés et mar qués par l'esprit de. ce corps, vrai ment Incomparable. Mais l'esprit d'aventure chez le Français est sou vent canaille et ce ne sont pas tou* jours les engagés de chéz nous qui foiit les bons soldats, au sens que lâ discipline exacte du régiment donne à ce qualificatif. H ne s'agit

pas-daos, ce ças~de -juger l'homrnp au feu. Au barroud, tous les légion naires se valent, et ne forment qu?un amalgame irréductible. D'ail leurs, c'est bien dans ce- cas,' c'està-dire en pratiquant la guerre en Orient, qu'on peut dire que quand le vin est tiré, il faut le \ boire. La lutte' est toujours féroce.. Et ceux qui sont, faits prisonniers savent qu'il est imprudent d'être curieux de ce qui peut suivre. Un légion naire garde souvent une dernière balle pour éviter la ..mort dans les tortures. Si les officiers, et c'est nor

mal. tendent à ne tenir aucun compte :de la fantaisie souvent exa gérée de certains de leurs hommes, il n'en est pas moins vrai que ce sont ces hommes qui fournissent les

tique le maintenait tout de même au bord du précipice grâce à ses solides parapets, les parapets an ciens de l'Europe de Rimbaud, peutêtre. Après la guerre, beaucoup d'Al* lemands s'engagèrent dans les régi ments de la Légion étrangère. C'était pour la plupart des sanstravail. Les Russes .vinrent égalément grossir ses bataillons. Beaucoup, parmi eux, avaient servi dans les rangs de l'armée Wrangel. C'est un ami,'Roland Dorgelès, qui me, con tait, cette anecdote, prise sur le vif, au cours de son voyagé en Syrie. Un général français en inspection passe en reyue un: bataillon de Lé gion près de Damas. Il félicite les hommes sur leur attitude, vît en in terroge quelques-uns en passant. Il s'arrête ainsi devant un grand légionnfUre portant-la barbe en éven tail, - le type classique du légionnaire

avant JJ914.

—"Bonjour„1 légionnaire... H y "a , longtemps que vous êtes ici ?

ans; >inon général. ~ Trois Ahl Et qu'est-ce que vous- fai >

-- avant, mon garçon? siez

J'étais général, mon général! C'était en effet un général russe. L'homme,était brave, mais il buvait en proportion; sa carrière militaire —

française semblait devoir se limiter au galon de laine verte d'un soldat de première classe. . C'est, peut-être, parmi les Russes qu'on trouve les personnalités les plus étranges, tout au.moins étran

Ce» que seront les équipes PayS de Galles '(maillots rouges). — Arrière : T. Scourfleld (Torquay)trolsquàrts Howie Jones(Swansea),Clauae (Cambridge (Swansea), Guy Morgan Davéy j^avev ^uvv(vuscuf »»»*(}»•• v t VI<*J D ff \^ :• / Oh "D rtrtv* (C&rdifl) Boon .'j .M Cardia), .iiav '. capitaine R. et demis' : (b.) Frank Williams, (Cardia et Headlngley), (m.) W. C. Poipell (London Welsh) ; avants : P. Arthur (Neath), A et»!» -(CttwHff). -N^Fender -(CarUlff)^.A. Lemon (Neath), E.-Jenkins, (Aberavont, Ivor Jones (Llanelly), H, Day. (Newport), H, Peacoclc (Newport). Fronce (maillots bleus).--— Arrière : , Piquemal(S: Tar.bais) ; trois-quarts : Samatan (S.U. Agenals), Graclet (A. S Bourse) ' ou ' Barbazange (U.S. Qulllan), Gérard (Racing), Taillantou (S. Palolse) ; demis : (o.) Magnanou (A. Bayonnals), (m.) Serin (A.S. Biterroise) : avants- : Bioussa (St. Toulousain), Gallia (O.S. Qulllan), Blbère (U.S. Qulllan), capitaine; Malerus (St. Français), André Camel O.E.O.), Ambert (St. Toulou(Toulouse ^ jbuutwuow v>u>v>; T\i«tk n 11 (S.C. tiH Albi) 1UI \ ou Duhau Bousquet Jsain), n ... !.. (S.A. Bordelais), CHoy (R.C. Nartoonnais). •

•

—

types les plus populaires dont la lit térature d'aventure s'enrichit. La Légion', malgré cela, n'a pas eu son poète. Cela tient, je crois, à son-ex traordinaire orgueil. La plupart des chansons de soldats que l'on chante en Afrique sont des chansons de

bataillonnalres:

Aujourd'hui, dans une colonne de En passant par la grand'route Souviens-toi deux mille hommes en marche vers Qu' tes anciens l'ont fait sans doute un but qui n'intéresse ces soldats Avant toi. , d'élite qu'au point de vue, purement De Gabès à Tatahouine, professionnel, il n'y a plus que deux Dî Gafsa... etc. mille légionnaires, qui ne connais Les autres couplets lamentent le sent que la Légion et. les traditions .

sort du soldat sous le soleil d'Afri de cette Légion: que. La taule est pleine de punaisesj Pierre le cafard travaille en plein crâne La plainte pittoresque s'accroche a tous les détails du bled. Le légion naire n'a pas de poète parce qu'il ne se plaint pas. Le cafard le « tra vaille» d'une *façon particulière qui se-traduit parfois dans un excès de fantaisie qui n'est point sans ly risme. A l'étranger, la Légion étran gère apparaît souvent comme un refuge. C'est un refuge contre la faim d'abord et contre soi-même ensuite. J'ai vu à Bel-Abbès un légionnaire allemand qui était "un ouvrier ha bile.-H ne manquait pas de travail chez lui, mais il buvait. Malgré son habileté, il ne pouvait rester plus de quinze jours dans une place. On le remerciait régulièrement. H vint à la Légion parce qu'il savait qu'en échange de certaines concessions il serait libre, libre de boire, à la ri gueur, sans perdre pour cela le pain et le vin. les éléments mêmes de la vie. n s'était imposé volontairement

suivre.) Mac Orlan. (A

L'ENQUETE DE M. BRIAND SUR LA FEDERATION EUROPEENNE

Oh sait que M. Briand s'est engagé, lors du déjeuner historique de Genève, en' septembre 1929, , à procéder à une consultation générale sur la possibilité de la fédération des Etats européens sous-forme d'un questionnaire. Nous croyons savoir que ce questionr naire, qui sera adressé à 26 Etats est sur le polnt d'être terminé et qu'il sera publié ! prochainement, mais en tout cas, pas avant la fin de la Conférence de Londres. UN GRAVE ACCIDENT SE PRODUIT AU COURS D'UNE FETE A LYON Lyon, 20 Avril. — A la fête foraine du cours de Verdun, un wagonnet du Grand

Huit a déraillé par suite du faux mou vement d'un; occupant, le Portugais An tonio Dar Rocha, 24 ans, à Saint-Fons. L'infortuné Jeune homme a fait une chute de 18 mètres et s'est fracturé le une discipline sévère-. Une tradition crâne et la colonne vertébrale. Son état dont la puissance est presque mys est désespéré.

Il est vrai que l'histoire est assez complexe. Trois crimes mystérieux; nul témoin qui ait vu les assassins. Cinq inculpés* et quels inculpés! Le -principal

La montée de la Butte de Cormeiircs. En médaillon : Vervaecke (Voir en page sportive, le compfe ren du des manifestations de la* journée.)

.....

"TA'

.' <wv C'est,aux environs de Vesoulisque fu rent commis les. actes de banditisme, points de départ de. cette rocamboles-

' que aventure. A Prasne-le-Château, village situé aux confins de la- Franche-Comté, on. découvrit, un matin de novembre 1928, dans la ferme qu'ils occupaient,- les ca davres de deux vieux cultivateurs,". les époux Janin. -L'homme et la femme avaient -été assommés à coups de- bâ ton. Lies assassins avaient ensuite traîné les cadavres , en dehors de l'habitation et organisé une . macabre mise en- scène pour, .tenter de .faire, croire à un drame

En'haut vr

En bas

Doumerçue arrivant dans la tribune présidentielle L'arrivée du Prix du Président de la République ;.

JVI.

MALGRÉ LES PRÉVISIONS

ÀU PESAGE D'AUTEUIL

rayon de soleil Et Paris a continué à çë vider de ses habitants On part, on est parti... quand même ! Et l'on fit bien. Car le soleil disparu de puis vendredi, a fait 'une légère; réappa rition. ' ; mouillé, tandis Dans le Paris encore sonnaient dans l'air pur les cloches que du matin, on a connu un éveil vraiment printanier. Innombrables étaient ceux qui avaient, dès samedi, envahi les ga res... Les paquets étant, faits, les horai-. res étudiés, on ne pouvait renoncer aux jours de liberté tant attendus. Et les Joyeux partants en furent quittes pour se munir, madame de ses fourrures, monsieur de son pardessus, voh-e, s'il ne craint pas le ridicule, de son parapluie... Les -voitures ont franchi les portes en longues files ; les trains dédoublés ont reçu de nombreux voyageurs. Et, ce soir, ou demain matin, quand les campa gnards, momentanés rentreront chargés de Heurs.» et de souvenirs charmants, ils seront prêts à reprendre l°ur labeur avec une énergie renouvelée. SIX BLESSES DANS UNE COLLISION D'AUTOBUS EN ANGLETERRE

haut en bas : Piquemal vBéziers), Magnanou Serin (Tarbes), . (Bayonne) et Majérus (.Paris). A droite, debout : Guy Morgan, capitaine de l'é quipe du Pays de Galles et, en bas : Ribère, capitaine de l'équipe de France

mêlé.

PAQUES aeuson

A gauche, de

personnage- est un ancien. cultivateur, devenu danseur mondain, ayant émigré de Montmartre jusqu'en Afrique, s'engager dans la Légion étrangère.pour Un deuxième personnage, vague com parse, jure qu'il ne sait rien de l'affaire à laquelle.il se trouve, «fortuitement»

Deux colons d'une colonie péniten "VeryWe!P gagne le Prixdu Présidentde la Républiquetiaire, après s'être complaisamment prê tés à la reconstitution. des crimes qu'ils reconnaissaient avoir commis, assurent maintenant : qu'ils n'y sont pour rien. Enfin, le cinquiè;ne larron, sorte de minus habens, de demi-fou ou de simu lateur, on ne sait au juste, est un étran ge personnage, dont la principale préoc cupation, dans le cabinet du juge d'ins truction, semble être de faire des gri X et d'agiter ses doigts comnie des * maces ** ** .marionnettes; t H commença par s',accuv - r de crimes, fournissant toutes les ser. . précisions désirables,, et désignant ses l J ' « complices; Ceux-ci arrêtés, à grands V » , * renforts de témoins, on démontra au dément qu'il,ne pouvait, être l'auteur des assassinats: « Tiens, tiens! s'écrla-t-îl alors, mais c'est vrai, je ne suis pour rien là-de dans. Comme c'est bizarre, je ne l'au rais Jamais cru. »

ges par-rapport à la modestie "de l'uniforme qui les dissimule. Légion naires à Sidi-Bel-Abbès ou chauf feurs de taxi à Montmartre, ils ont choisi le3 deux professions où l'on peut encore se donner l'illusion d'être libres. La plupart des Russes qui vinrent à la Légion après la guerre et plus spécialement après la période trou

unitaire : • le sdldaf de la Légion. C'est à quoi tendent tous les' as souplissements' d'un -dressage admK rablement étudié. On est revenu de l'erreur initiale qui présida à la formation même de la Légion en 1831. A cette époque, or. rangeait les hommes par natio nalités de manière à constituer des unités d'une même race. C'était créer. des légions. dans la Légion.

tion d'écrivain,eût pu imaginer l'invrai semblable affaire qui, depuis- près de deux ans. occupe le magistrat'instruc teur du Parquet de Vesoul?

•

ble qui suivit l'armistice, në renga gèrent pas. On en trouve quelquesuns au Maroc, qui ont pu se créer une situation plus calme;dans une existence à peu 1 près ^apaisée. Les quatre régiments d'infanterie — bientôt les cinq régiments d'infan terie de la Légion étrangère — don nent; asile à dés hommes qui ap partiennent à tous les peuples Je la terre.-Toutes les races, toutes les anciennes > classes sociales forment un bloc dont les éléments sont soli dement cimentés.. Ce bloc s'appelle la Légion étrangère. Ceux qui ont à charge d'animer ce bloc et de lui offrir un idéal/ exigeant savent en tretenir 'la flamme qui fait bouillir le creuset d'où sortira, un .principe Légionnaire an bar " (Croquisde "Mac Orlan.)

(D-j notre envoyé spécial) . Vesoul, 20 avril.-—Quels superbes ro mans, ne devant jamais recevoir la con sécration des devantures de librairies, se déroulent dans le secret des cabinets des juges d'instruction!-'Et quelle imagina

C'est donc cet après-midi, sur le ter rain du Stade Yves du Manoir, à Co

•Londres, 20 Avril.— Six personnes ont été plus ou moins grièvement bles sées, la nuit- dernière,.dans une collision entre deux autobus à Ayr. Quatre des blessés .ont dû être hospitalisés.

conjugal.' La ferme avaient été mise, à . sac,, les meubles vidés ; de leur -contenu, l'argent et les .titres avaient disparu. - • L'enquête,des gendarmes de'la bri gade de . Gy -révéla-, que1- les- .assassins étaient au moins deux. ; Frasne-le-Château est' lé siège d'une colonie pénitentiaire^iiLles- jeunes jnal= faiteurs sont placés jusqu'à leur majo rité. <3n chercha les coupables parmi les " colons, mais les .Investigations ne don-' nèrenti aucun résifltftt.j \ ; ... Quatre" mois ne s'étaient pas encore écoulés, J'émotion. dans ,1a région était loin d'être, calmée, -qu'un second, crimé fut commis. Le 25 février 1929, à Frétiçney;-à quel ques kilomètres de. Frasne,. une » vieille rentière,' Mme Carteret, fut. assassinée par un bandit féroce qui avait'hait su bir' à la-'malheureuse une-Véritable tor

ture. Là encore, toutes .-les valeurs -avaient , été, volées.- Les constatations permirent de reconstituer la scène du crime. L'as sassin, qui connaissait parfaitement les lieux et devait être connu de la victime assez méfiante, avait, ici, opéré seuil Surprise dans sa cuisine, : la septuagé naire avait été bâillonnée, puis ligotée sur une chaise. Le criminel, avait en suite traîné sa victime devant le cof fre où elle mettait ses valeurs et, lui libérant une main, l'avait forcée, à ou vrir elle-même le coffre. Il avait en suite étranglé la pauvre femme à l'aide d'une cordelette prise dans la cuisine. Une locataire de Mme Carteret, Miqe Poisot, avait vu la silhouette de l'assas sin. Celui-ci, une bougie à la main,- des cendait à la cave prendre une bouteille de vin pour trinquer avec celle qu'il al lait tuer. Dans la poussière qui recouvrait la bouteille, sur, la bouteille -même et.sur les verres dans lesquels on avait bu, se trouvaient des empreintes digitales ;

Mme Cécile Sorel, l'illustre pension-t naire de la Comédie*Française, a été victime, hier, d'un accident d'automo bile dont, fort heureusement, les consé quences ne seront pas graves, ce- dont se réjouiront tous ses nombreux amis et admirateurs. La voiture dans laquelle se trouvait la célèbre actrice a dérapé sur la route de Fontainebleau et s'est jetée dans un fossé. Le choc fut excessivement brutal et Mme Cécile Sorel, projetée contre la carrosserie, eut l'épaule luxée. Souffrant d'un mal de gorge tenace, Mme Cécile Sorel s'était rendue il y a une huitaine de jours dans sa nouvelle propriété de Sanary-sur-Mer en comr.agnie du comte de Ségur, son mari. —t J'avertis la Comédie-Française que l'indisposition dont Mme Cécile Sorel souffrait, nous déclare sa secrétaire, re tardait son retour. L'administration Insis ta vivement pour que Mme Sorel • revint, sur sa--décision, car elle devait faire sa rentrée, ce soir dans Sapho. J'ai donc té léphoné à Sanary-sur-Mer et Mme Sorel a repris la route de Paris. La voiture était pilotée par le chauffeur habituel, et le comte de Ségur se trouvait également dans l'auto. C'est entre Sens et Fontaine bleau que s'est produit l'accident. J'en al été avisée . quelques heures après par téléphone. Ajoutons que l'état de la célèbre ar tiste n'inspire aucune inquiétude et que les médecins réunis à son. chevet espè rent qu'elle sera en état de regagner Pa ris dès aujourd'hui.

DEUX CAMBRIOLAGES dans le même immeuble avenue de Breteuil 40.000 francs de bijoux et d'argent ,

'sont dérobés Un vol avec effraction a été commis, entre 16 et 1.7 heures, hier, dans l'appartement-occupé,-*us&e- étage,-de-Ummeuble, 20, avenue de Breteuil, par Mme Hallu. Des bijoux d'une valeur de 40.000 francs et une somme de 12.000 francs ont été dérobés. L'appartement occupé au sixième étage du même immèuble par M. Martin, .actuellement en villé giature, a également été cambriolé. On Ignore le montant du vol. -Jje commis saire |le police du quartier du Gros-Cail lou a'ouvert une enquête.

Petite revue hu moristi que

par Jeanne T^amel-Cals Jupiter, pour séduire Danaé, dans le-temps, inventa de faire tomber uiïe pluie d'or — c'était une belle in vention. Je ne sais quel seigneur da nos jours va en faire autant avec la République, mais qu'il soit le bien venu, car c'est là. un homme de bien

Sortant de la

de leurs ori les gisements, les

boue ... gines,là-bas, dans

pépites vont de nouveau reformer ces astres éteints, ces lunes mortes, ces constellations évanouies : des pièces d'or...

De l'abîme où dorment les épin gles à cheveux, les moustaches con quérantes, les âmes désintéressées et autres accessoires périmés, les porte-or vont ressortir vides et avi des, tout plats et disposés à devenir joufflus ; le veau d'or revient ! H paraît que Moïse le renversa jadis.» A NEUILLY-SUR-MARNE Moïse aujourd'hui est revenu de son Elle blesse grièvement son anii erreur et à cette bonne bête ne cris plus : « Mort au v.eau, ! ». à coups de revolver Puissionsrnous vous dire...à jamais » billets Saleé à vous dégoû Il . la désarme et lui martèle «teradieu la 'richesse I Puissions-nous de Deux jolies toilettes bientôt vous saluer, pièces, d'or qui la figure à coups de pied seules au -monde plaisez à-tout le EN CINQ CENTS MOTS monde, ô vous grâce à qui devenir La femme Louise Lefort, âgée de 36 avares, devenir voleurs sera désor l'ancien président Coolidge ans' ' a tiré deux. coups de revolver sur mais un plaisir ! Toutin, M. Fernand de âgé 42 ans avec écrit l'Histoire des Etats-Unis qui elle vivait maritalement. Depuis L'autre < i . jour, il faisait beau, patf quelques semaines, M. Toutin avait quit hasard, et voilà qu'une averse inopi té la femme Lefort pour aller vivre avec née a criblé la rue. Cette inscription doit être gravée ; une bonne autre femme. une sur un'roc du mont Rùshmore M. Toutin, bien que grièvement at Washington, 20 Avril. — L'histoire des teint à l'aine et au ventre a réussi à Etats-Unis doit former, une. inscription désarmer la femme Lefort, l'a renver qui sera prochainement gravée sur un sée et lui a martelé la figure à coups de " roc du mont Rushmore. C'est à l'ancien pied. , président Coolidge qu'a • été confiée la Les deux blessés ont ê& transportés tâche difficile de composer cette -ins à l'hôpital Saint-Antoine, à Paris,' dans cription qui ne dépassera pas cinq -ents un état grave. mots, dont chaque lettre aura 0 m. 30 sans doute celles du criminel. Cette fois encore, c'est parmi les co lons de -France que Cherchèrent les gen T darmes de .Fresnes-Saint-Mamès, mais toujours sans résultat.. . (Voir la suite en troisième page) -

de hauteur. Les soixante-seize premiers mots, rap

portant la déclaration d'indépendance et

la formation du gouvernement fédérai, viennent d'être définitivement rédigés. Ils vont être fixés dans la pierre, et se ront solennellement inaugurés- le 4 juil let, en même temps qu'un buste gigan tesque de Washington. SANGLANTE BAGARRE ENTRE POLICIERS ET COMMUNISTES A LEIPZIG

Trois tués ; nombreux: blessés ' Leipzig, 20 Avril.— Les organisations de- -la jeunesse communiste -allemande -ont tenu, aujourd'hui, leur cinquième congrès annuel. Dans. le courant de l'après-midi, une violente, bagarre s'est produite entre les manifestants et la - police ; des coups. de feu "'ont été tirés. ' Un capitaine de police, un agent et un manifestant ont été tués. Quatre poli MONTMARTRE ciers et un certain "nombre de- communi. Coco ? Morphine ? Opium ?.. Non ?... Sant blague.n Monsieur est tes ont-' été plus ou moins grièvement — donc Français ? I blessés.

LA GREVE DES TRAMWAYS ET DES AUTOBUS EST GENERALE A TOKIO

Tokio, 20 Avril..— La grève.-des con

ducteurs de tramways et d'autobus a commencé aujourd'hui. Les autorités .ja ponaises ont mobilisé des . équipes de volontaires pour assurer les services de transports pendant la durée de la grève.

NOTRE CONCOURS DES PRODUITS RÉGIONAUX V V V V V"

En 2e pâge les noms

dessixpremiers lauréats et leurs impressions

(Croquis de Jeanne Bamel-Cals)

femme de mère avec ses deux en

fants

une petite fille et un petit garçon, qui sortaient de l'école, s'esS :

2X^-4-30

Le Petit Journal réfugiée soys le porche d'un bel im meuble.

NOS ÉCHOS

Soudain, un scandale <. a éclaté dans la famille... Harmonie imitati- La Marseillaise et la Braban » « » ve ?... La petite fille s'était... oubliée enflammé de dans ses bas. « Ah ! grande sotte ! çonne ». -- Ce groupe criait sa mère, tu ne pouvais pas y Rude qui décore l'un des piliers de de l'Etoile, nous l'ap penser à l'école ! Tu resteras covime l'Arc de Triomphe la Marseillaise. Or', ce n'est pas ça tout ce soir ! ça t'apprendra! » pelons Cependant que la petite du sein de la Marseillaise. C'est le « Départ des symbo son indignité, de son repentir .et de Volontaires de 92 » que Rude an'est dans cette œuvre,' et ce pas son humidité, sanglotait qu'elle ne liséMarseillaise personne qu'il voulu /« l'avait pas fait exprès et qu'elle ne a guerrière » qui PuUas fier dans cette jamais, ! jamais .le ferait plus, « Lors, fe petit garçon, qui, bien sé domine son groupe prestigieux. rieux et réfléchi assistait à la scène, A la vérité, nous avons des allégories soudain fila devant la porte à 1% 'de ta Marseillaise qui sont des oeuvres rencontre d'un réverbère et prit ^es peintes ou dessinées — je vous recom précautions, d'un air de dire : mande la merveilleuse figure de ÇustaDoré mais nous n'avons pas de * -Soyons prudents et veillons au V? grain... Gare aux giboulées printa- figure allégorique de la Marseillaise en sculpture... Avis à nos statuaires. nières !... » Or, nos amis les Belges ont une sta <vw « Ce que j'ai vu de plus Joli ce mois- tue de la Brabançonne, qu'ils vont inau-» ci, m'a dit une dame, ce n'est pas garer pour le centenaire de leur indé moi dans mon petit costume neuf... pendance. Et ils viennent cfen offrir non... mais ce sont, pantalonnés de une réplique à la ville de Lyon. Par Pourquoi à la ville de Lyon bleu de nuit, sanglés dans une tuni Jenneval, auteur des paroles <fe que ponceau bordée d'argent,et coif ce que Brabançonne était Lyonnais. fés d un shako « allure » d'un riche la plumet, ce sont les ouvreurs du Pa,- Nippolyte Dechez, dit jenneval, co ramount... Ah ! médien de son état, était venu de Lyon madame ! quels à Paris en 1826, et avait fait de bans beaux garçons ! débuts à l'Odéon. Il avait joui ensuite Mais, eon- avec succès à Lille, puis a Bruxelles. « Dans de comédie du théâtre •-

Notre Concours

**.

des Produits régionaux

annonçons qu'il sera incessamment pos sesseur d'une motocyclette. Une moto... Cela a toujours été imon rêve. Quel meilleur délassement

LES CONTES DU P.

LE DE RNIER P OÈTE

pouvez-vous imagi ner qu'une belle

haut, enthousiasmés-. Divine enfance ! Est-il beau 1 s'exclame l'un. » — Ah I oui, donc l' approuve fautre. ' — Oh ! -monter dessus !... soupire un -rtroisième. Et le marronnier de se dire ; « Enfii^l Merci, mon Dieu | » Mais il semble que ses fleurs pâlis sent tout à coup,. H voit les., têtes des gamins tourner, peu à peu, dans une au-

promenade après 1! est devenu bien fat, çe marronnier un travail exté de jardin public, i! Se cambre, il s'étale nuant. Je remercie au-dessus des autres marronniers ses le Petit Journal et il semble leur dire, Avec d'avoir su ïaire que collègues, cette joie se réalise, un retroussis dédaigneux de se6 feuil tFo direction. Ç'fst un avion qu'ils-ad Il faut que je vous les t « Adinireg-moi, petits ! $ * dise d'abord que, En effet, il est admirable. Et d'abord mirent... .., . l'arbre Ah trop ! I c'est murmure quoique jeune, je il est rose, lui, tandis que les autres — les LAURÉATS l'air de s'affai6ser journal branehes ont votre dont lis VOICI LES PREMIERS banalement blancs, Et puis, on a sont : plusieurs depuis II n'y a plus érigé à son ombre la statue d'un poète, comme dçs bras rompus, années.,. >; mourir'I.., Pour poètes. Qh mourir, ! Ët dame' ! vivre ainsi à côt« d'un poète, de LA LICORNE $ CV WOTM VOITURE UNE C'est fem ma « X- Prix- qui vivre encore ? Pour ces barbares ?... cela vous rend glorieux. la qui «u me a Adieu, sole}] I conduite intérieure, quatre places, quatre portes, carrosse _ première l'idée de Lqs autres, !&-bae, abritent des fon participer à • ee taines Wallaee, Et l'arbre, désespéré, fait signe au rie de litxe ManessîB» avec éclairage, démarrage, cinq kiosques des pour ou News concours. gagne-petit, même de ces malodo^ vent son ami, qui accourt, gronde, bous roues garnies (modèle type vainqueur (tu grand rallye in ou asso-i nous fracasse par-ci, déracine par-là. Il ternational ds Monte-Carlo. 1330). clés pour la eir-i rants édiçule$,„ Mais lui, c'est un grand cule, merconstance. N'est-ce homme qu'il protège sous «on dôme au-. rompt une branche dula marronnier poète, figure jette & du et 1» S£wtws?» îa Creuset pas le rôle d'un gvste. Et comment, dans ce voisinage, vfiilleuK M. Charles CHENQU, 42* ew marbre, dont il casse Te ne». ménage ? Notre tâ-> ne aerait'il pas devenu UU peu poète en (Sçiïm-ett-loire)* dit l'arbre dan6 un sur R été fa lui-même ? M. Ltieitm Voisin cilitée — Attrape I fait par oe saut rag.eur, 2" Prix. — UN FUKa' BRGIT AUTOMATIQUE GAYEAU que ma femme, a longtemps fait de la Il l'est tout à fait, ce printemps. Et il Et il s'apprête à mourir puisqu'il n'y représentation lui commerciale et sève la monte que, par-, sent comme paiisaantiira eiré louis XVI, en style» que «a a plus de poètes. visité régions tant, bien des elle fleurs sacrée, eu inspiration a que ses une Mma 4méfie Prn&'&Qn* wx Fontsmes* Saint « lm~ Fïaace. » être belles comme des strophes, vent Feaê-cfesÇâaiiioasset fRMne)) Mais voiei le soir, et l'orage g'apaiBe que se? oiseaux vont chanter des $!emLE CINQVllME PRIX {foins; et le soleil reluit. Un homme entre dans ACER », modèle Los 3* Pris. —UN POSTE, HE T. S. MJ1 faut que i'ébJouiS6e les passants ! ce jardin, un homme très vieux, très — ?» Seaw-P&pe, complet : M. Joseph VICTOIRE, couvert de haillons, et rw se dit-il en préparant les çhefs-d'oeuvre. pauvre, qui est Farfe de ses corolles. U faut que tout le mon qui tend la main aux passants, quand Encore un qoçt de s'extasie à ma vue, et me célèbre, et aucun garde n'est en vue, fit ce men tier, comme. M. la troupe qu'une fleur tinua->t-elle, ce 4? Prix. — tms KQTQCÏCUTn:Jt. r, R., type M-3CK 850 Victoire, mais en me proclame Prime des Marronniers, A diant a des yeus si doux tenait remploi jeu Monnaie, il à& de la marronnier voudrait y survivante du que j'ai vu de pleine activité da l'œuvre I Soleil, inspire-moi I vitesses VOISIN, Lucien trois, M. cm3, temps, quatre ; applaudi. premier, et était il fort y plus nauséeux et ne service. un bsln d'azur. Et voilà que cet marronnier rose, avec la prendre Et le grand (Seiee-et-Oîse>. Yùy-ÇMtSloa à Château, déjà, Jenneval était k «fa Depuis deux ans rue désagréable, c'est qui marche dans son rêve à Je suis très l'astre doré, se met homme collaboration de période pleifie fie: Bruxelles, quand, content, bien que une demoiselle fûtes, la révolutionenéclata. Une grande pas lents, en disant dee mots mystérieux 4 façonner des merveilles, Tauriat avssitôt vaiise POSTE S, F., BN T. Prix, typç 5* corntrêhuehe centre la bran- « employée d'admije commenee à — Minutieusement, U déplisse ses feuilles, à demi-voix *=• buL à tenait exposition, industrielle H-QctoÈm, in nisfoatiori ; j'a-. prendre l'habitude se rue : M» Paul CORBIERE, 4Î Puis il développe ehe rompue du marronnier, qui barre en les vernit, les colore, patriotes Bruxelles, belges avaient les . et à de vos gagner yais besoin d'un, ses pieds s'y embar 9 l&m iAisne.), fleurs, les découpe savamment, "les core le chemin, et s'y affiché Déjà, l'an ses audacieusment concours. programme ce : écroule, son front renseignement, rassent, son corps radieux, thyrses l'asur dans dtesae dernier, en d'artifice mardi, illumi lundi, cou/ Prix. — UN POSTE T. S, Fn type valise Tourist com blessé y «ligne. Mais ses yeux restent 6' ces messieurs n'é «nations feu dès au repsoir petit semblent être destinée?, qui tantes un cours mercredi, révolution. > taient pas là... ils Lé ; doux ; il est habitué au* ehutes, au* CHENQU» 42, rue de Maaiauâ» Anm plet Mme j'avais gagné une et attendant ; sau ange menu un exécuté de point rose fut programme jumelle. Serai - je blessures, à toutes "les brutalités de la . gant si gentils! si (S3Ônç-et-leir&} certain vent les Creusai ront, Et il est le anges qwe significatif chez fait ce convenables l sien point,' et,mélomanes, aussi heureuts • au fleuvs vie, 11 regarde cette branche fleurie gui tellement effet, descende ces en plein c'est peuple de en iul a fait du ma! et il lui sourit, incons galants ! ils nous concours ?!ea re miraculeuses, attirantes, belle?, sont l'insurrection, Qct naquit théâtre' que cords de l'industrie ciemment. puisqu'elle est si belle. Et offrent «ne chai voie! Les 1 dit "«n olaeati qui re Portici, Muette sair-ia, de (q jouait, française tout ? En — ce même, avant de se relever, il en cueille se comme ils of opéra qui garde à travers le* nuages. révolte tout scène merci la de de met cas, en fleur, la respire et se la met à te friraient * leurs Masaniella des Napolitains eontre (es là ! dit le vent, qui se une 11% «ont Pejit Jour coeur au ™ coeurs ! Pour elle, Espagnols. etLa salle était vibrante. TKomsMB nal dont je suis un M. Paul Corbière .pâme »0U% leurs ailes et des papillon? boutonnière, rius; PÎUX PRKMIK» m Qh | paète I soupire ie marronnier elle m'a envoyé, Quand arriva le grand duo lecteur assidu. > à les tj'air de mettfe ont sur geneus se Amour « Chaiplea Bieu I mon Dieu ! M« Oo»eph comme on dit : sacré (fe la patrie.,. », ce fut,• du dêfir*. les herbe» de se prosterner en tressaillant, Mon rameau», LE SIXIEME. PRIX paître, m'a refusé une plume et de Toute l'assistance debout, entonnât te en reste un ! Et vous me l'ave? en la pelouse, Qu'il eat • splendide, le ilvoyé sur l Oloire h vous, dans les siècle» l'encre et le tout avec les ricane chant patriotique. La révolution était Dews 1« pftlattiî^ quart»! ds ÇrofetIci, M. Joseph M Prince «es Marronniers, sous les maina TOÇ ÇhertQH —. I viens, Meaé»,. ait» Creusât, ua eoqwi pavinaa Victoire* et ta&da* ments d'une hyène sauvage ! qui le baise l,„ des siècles i.,, Viens, mendiant printemps, folles du déclenchée, cte me î nous séparons plus. awe ua joli Jandi» aa«etUe î'anfcte « ...Ces choses-là, voyez-vous, mi . Mme Çhçnot! ççt la femme du ga Voyons ce que les hommes en vont dire? consolateur 1 Ne hymne national, jenne fallait Il bQul»varti «ta m Muotawi et W âft Vous, voua de~ Abandonne les hommes. J'ai de6 abeilles rua lait premier prix ses en musique» feraient un ballet val, qui rimaillait à ses heures, écrivit Saint'Antoine du et gnant complicité l!arbre, la du — noy,g vetlt. a Et avec propriété Su 1% ; êfcr« 1% Petit qui te feront du miel ; tu nous feras bien français et administratif : « La les plus h8ut confidence de. la icùe'du mé se penche pour les écouter, dont C&G» Brabançonne, M, de la »o*r« C?ii> gaack (te' m coacaufSt Journal vers , des vers, toi, et nous serons quittes. nage deus- fois lauréat. femme en proie aux femmes. » Campenhaut, utoatevur aux usines Sctoeideîv fit compositeur belge, pçrspl-. de »ou, irant <v*/v van ' Gemme tu dpis avoir çlu çéni« pour être % Puissent, conclut-elle, puissent la musique. Mains de deux mois plus Mise Cbeaou» «ni nous mcàt ea »'effraierait» eaeUè sme V»4e Pemain. ; çto l& «es Pria tjlen r mon chéri ? gloussa une devenu si pauvre ^ - : —. Eb un jour les administrationsne nous tard, Jenneval, qui fêtait engagé dans aeacs de son «tasi, tovaiitft àt Mo&V* st «Ue n'était l'apa d'un bras étu blende le jolie panant 1 UJ.»» . mMutw. en donner que des employés du sexa fort l'armée des patriotes belges, Hait tué nage d'un des ga* Ce bracelet aue. tu m'as pre*diant brun. et envoyer au diable toutes leurs par un boulet hollandais. gaants 4e nés con Mais l'arbre sursauta brusquement C'est î quand rnte ?•„ pour employées... cours. tfos associations d'artistes dramati sous un dernier souffle d'orage, et ses pvoc^în, Pour le mois IOKOÔO amour. 4 js mpn Et devine ai-je exception ? Toutes, sans t1- Note w feuilles frémirent, indignées. ques ne devraient-elles pas honorer le I «n'appor ça HW vous dit, bien émue. —r souvenir de ce comédien français qui Peu* gardes arrivaient, menaçante, tez une bonae nou Bon 1 Un nœud à ton, mouchoir l», leurs Laissez-moi Toutes finir l —i ami hymne et (tanna m — velle. mou au pays Dieu, qu'il fait cha.ud I U va y avçijf de Ils empoignèrent çe vieillard, ce nga* employées du sexe aimable qui s'a rut pour Ma foL, J'ai te bond, ce vandale, qui venait de se livrer sa liberté ? — Jeaa Leeoq. l'orage, vèrent désagréable?. » plaisir de vous dire à dç vis.ibiçs dépredatiene dans un jar-» Çg, §e peut bien, On arrête à Marteille Elle conclut : <ç Ça, fera encore êtes te que voua din public (ia preuve ; cette fleur 4 la qn'jù le de feux postiers île f*qri» Renommée, çomplke disent les êu« Vgiilà amautroisième du classe ! oe bonne une moyenne * boutonnière) et cqmme il n'avait pas <j<s s'éloignent ils regarder De longues théories d'éeoliers étran Et général;.et ment le sans reiw, Marseille, Dernièrement 30 Avril. papiers sérieux sur lui — rien que des , échappés des classes sévères dee prunier de Parisu tnarronnier en fleurs, l'administration des b.t.t. constatait la Pour certains de mes lecteurs qui gers, sonnets i — ils le poussèrent vers jg de Mufim | grummèie cei«i^»i, disparition d'une dépêche chargée de ont compati à mes peines, quand je collèges d'Eton, de Cambridge, d'Ox — ïi'appareU J'en ppste, Houp i T. & P. s Que 101.000 francs dans les bureau» du cen moineaux leur ai raconté comment un mien ford, de Nuremberg ou d'Hektenberj» à ordonne de Et il ses un Et voilât comment le dernier po|tç * suis content i St tral du 15* arrondissement à paris, a la d'aller leur fienter la rivage, pendant l'inondation, est coiffés de h symbolique casquette i$yëe tête. Viotc4r« M. sur été fourré en. prison, par un beau spir toi aussi, hein, Masuite d'une enquête de la police judiciai de vert, de jaune ou de rouge, bons vieux arrive. couple de Mais parti au gré des flots avec son grée- de-noir, daine Victoire ? un de mai, On ne l'en a pa§ vu sortir, Y re, 1q brigadier chef,Buchenller arrêtait à Pitris, actuellement déambulent dans notrç lau ment d'arbres, je vais raconter la l«a physionomie ouverte de Paris, jeudi dernier, Alhert Valtère, 90 Attention I e§t«il mqrt ? parcouraient, d'entrç dizaine Une «'épanouit de eux p&l» d'abord -nt'Ui't qui dit la femme en s'arrêtant. l'histoire réat. qui arrivait en automobile de Mar fin de ans, a Jean Rameau, seille pi* séjour été benàeun avait particuliè Prends chaise, cette Après l'inondation, les fermiers hier, lé boulevard Beaumarchais, près* et son mon gros, se* M. Charly» Chçnow pas. C'est que Je suis un des habitués rement remarqué par la police, car il y sieds-toi au soleil, pour tes rhumatismes. ont trouvé sur la propriété une quan- saut 1® fait des dépenses exagérées, Inter Moi, je viis lire tan Journal. Donne... il — Saint Gilles street ? e'enq«it hm etwoto. »e P«ut «a croire sea yeux et de vos concours. J'avais dôjà, il y a avait le voyageur suspect ne tarda pas n'est gagné un îusij au con roge, d'eux, auprès d'un agent, aea oreiltea. Stupeur, toerédulité, |ete quelques années, pas mal, ce feuilleton. ' reconnaître que la voiture dont u se sev-» moqué de Et le groupe s'engagea dans h petite l»T5qu« la pwm oJfiçteile M est imxs cours des Allumettes, j'ai, valt avait été achetée grâce à do l'ar. Et touai deiiîç restent une heure £ çôtè qui éch«si% À trois seulement le premier paris, A celui Sent rue, étroite et tortueuse, Devant là nu nte à» lêureuse fortune au préjudice des p.<j\T. P'ail- du marronnier sans lever la-tête vers lui. des destinées, l'ai gagné une marmite leurs volé méro 17, les dix collégiens tombèrent son mari, Pe celte égaleçaent qui \ul brigadier le BncheqHertrouva Mroe Cheaw s'abuse de l&or, Et me, voilà, grê.ce au P«tH Jour sur l'homme une ohef advtent — Vieux H? I pense l'arbre^ en leur car ; arrêt lettre très explicative s en jetant une ramille sèche de l'an dernier, nal* aveo un appareil de T, S, ï\ t son eôt* te & prix : donnant même le. nom de deux compU* d'Almazlan, magasin Le murmura àe — T. un appareil Mai? voiçl de"3î promeneur? Jnteiii^ces, Cassini et Pagette, employé^ au 1" — Votre méthode ? l'un d'eux. 8JP. C&dum deasèche lea ta Pommade La documentation et tes qwstions arrondissement des poster ©t téléera-» gen.t?, qui Qnt une serviette sous le bras: feoûtons Ln renommée du tailleur arraéafea > — et les fait disparaître, lais , èi droit» et & gauohe, O'est ainsi que je phes, Alors, la Bourse —. Qu'est-ce que esl Ella aurait-elle traversé le Chanel ? lisse. Casain fut arrêté à son tour vendredi sant la peau saine et moa mari va fais le eeneo»r» des fieeovds 6u monde dernier. Mauvaise i deman» les, sauvaraîne contra toutes — Pourtant Quant h Fagette, la polioe srce soir, en ren <ta rind!tts(ns française. 5«rais-Je aussi P(tmles le? la peau, fsaisons e' les irritations^ fleévitées, prit qu'il résidait è Marseille, sur com l Quelta va -»r w ? heureux Un médecin suédois tne disait un trant sont Çimbamagw,,. tité de planches et de piqueta de Qui. en Mai?, les seufîrances être sa joie | J'at mission roçatgire de M. Peialay, juge ien des génie, le est Pommada bonheur, Le la. jour ceci comme bois, et ils en ont fait un clapier Et le reste se perd dans l'^leignement. employant ^ temps : beau être une habi r-. de travail et de patience. M, Vic^ d instruction h paris, j\î- Buchenller fo$t lait faiblesses, contra l'eczéma, les boutons, à Une de tuée de rendu en ontre ville et s'est mis à la re Sauvages ! grondé le marronnier, Çôum, gaie, vous au vos corsur le bord de rive qui reste là, tout « Français,vosc'est de — éruptions, éoorçhures, hé" noire. dartres, cherche de Fagette. Il apprit que le en détournant d'eus ses pétales. tres ne pas manger cours t j'ai beau surplombant. jwftpxoïdes, urticaire, croates, coupure#» Ceat ce qu'on dit dans les P.T.Ï. jeune filou habitait un somptueux ap le matin, au réveil, lin peu de café noir, avoir eu plusieurs Bonjour, Comment vieux l — la s'écroule., feront Si terre mon ça que la chance de — dont je suis un ancien retraué. Pour vos partement meublé, Promenade de la -»? dit ; bossu pressé 4 "n grand un peu de pain beurré ou un croissant fols r rtt^r.u .u ,_iii ,.. un vos lapins, leur ai»je demandé ? va puis le de la patience, travailet Qorniehe, du qu'il gagner, ne Payait 5,5Wl fraxics concours, fîtes par ACHAT .ÇRKR à travail. voilà partis votre et ce'ministère ? vous Us m'ont répondu ; « Les lapins, je n'en manquerai Jamais : on «st si mois et il apprit également qu'il se fai- chauve qui e'avanc.ç. Et me taire à notre KmmTwwim voulez-vous fournir Comment beso «ne Heu l heu l succès t Et pour» c'est du bestiau malicieux, s'ils se récompensé l Eh t dites donc, sait passer, dans les milieux turfistes largement — ?9, Bne frèns«> 18 dans le çorps ) tant, j'en ai «u Croves-vaus qu'il ira Jusqu'au^ voient en danger, craintez rien 1 ils gne active avec celacalorie® le jour où j'aurai installé votre poste de geur. le célèbre jooHej? Roger Turner. M. — ïél Prov. K9-6» et vous çomme un pmseai U vous manque des T.S.F., est-ce que la Tour Eiffel ou ila- Buchenller arrêta le pswudo joe&ey. Sections ? s'envoleront avé les oreilles... » ttawat l êtes, pendant les heures qui précèdent dio-Paris. ne pourrait pas me Jouer -non. Après interrosatçsive ,1e magistrat put Pas sftr, »'inm mi i i • . établir Oassin avait remis pli te de midi, au-dessous tavori ? de le que main, elle vousmorceau vitupère la Brutes De l'arbr^ leur repas ! .EN CORSE en — chargé & Fagette, afin que ee dernier le retirant même» > Et lequel, M. Victoire ? nous montre un son omfeve parfumée— fasse disparaître. Ajoutons qu'au mo côté le opinion de cette ? Que faut-il garage sur ' ! ' penser Mais voici des nègres, C'est plut près M. GASTON GERARD ÏNAUGUIU5 —. Vous le demandez t * ta Père >a ment de son arrestation, Fagette n'avait de maison, la le apprendra docteur Voilà naturellement 1 Victoire UJe*\ ce que vous 59-61, Rue lafayettç, », LA STATION TOURISTIQUE sur lui qu'une s>e«nme d'argent très mi* de la nature, Oui, U y a 08>Ô3 Petit Sajigrado, Illustré humai dans te Tél. TrutJaine (7 Ugpes) — dépensée qu'a gagnô Chcnou nime avait Qui» ? t A. il tout C5et d°ns em« î DE L'ILE ROUSSE — trois ara, quand Mine iRtier-'iTrnâtna <W du 20 avril. ployé indélicat être conduit à **aris IsiKl,», va malconstruire * lait notre , U& QUATRIEME PRIX, avons nous où u sera mnia M, Oeialay, Juge et® Ohèauea postaux a* 3,2^9 toi avoir parié pour Et Oalvi, le 20 Avril. — M. Gaston Gé l'entrepreneur J'ai voulu nous que son, — d'Instruction chargé de l'araire, Chaque jour de cette bâtit Voisin UMeicm Babazqun, rard, haut-commissaire au tourisme, a Deauvilles —. grfcoe au PqM Jour Aênoomw.Vi s moja ; «n 9 M< garage ; un sportives manifestations semaine les se TOÎSS' présence triom inauguré, aujourd'hui, en de nal, il va donc nous servir i Quel 'VËTAT'"DïTRÏ, Zout 1 Aior& 1... âî ' ROLÉANB" tennis, au polo, «u tir phe Seine, gelne.eti.Ois?,, S» nombreux visiteurs étrangers et de spor poursuivront auxnew-golf. bonheur I > quel et France et Colonies,.., &3 43 22, — Zê sauis rouât}» mon m •' EST SÏATIQNNAÏRE M. Lucien Voisin, çlass« quatrième tifs, la station touristique de Vile Rousse. aux pigeons, au Hôtel, l'Hôtel du Golf Yieu* singes l grince l'arbre les Etranger Tarif A..., 140 TO 85 et Normandy çn î de notre concours, occupe u.n char —. M. Gaston Gérard a prononcé à cette Le PRIX DEUXIEME Etranger IM 100 50 d'un soufflet de feuilles. mainte vont fermer menaçant Casino plus 5 Tarif B.„, ?00 le milieu lotissements des Rolland, député logis, louis de ne mant li'état de M, occasion, un discours dans lequel U a au Viry-Ohàtillon, à quelques kilomètres Maine-et-Loire, blessé, vendredi soir, Mîintenwt, e« sont des gamins ctui LE PEÏjrr JOVRNAlt PUBLICITE évoqué de grands souvenirs et montré nant Jusqu'en octobre. M m* Ttm&tî® Ppudh'oni de de Juvisy, C'est un homme de £4 ans, par un taxi, boulevard du Montpar s'approchent, tt çeus-ei lèvent la t^te, qu'on pouvait faire de la Corse tout en rue Lft(ajr«tte solide et bien découplé, Pepuis deux nasse, demeure stationnaire, A l'hôpital Mais oui, les tière, un centre attractif de première AUJOURD'HUI atnaurs ! iks regardent là Nous publierons, aussitôt que nous les ans, il exerce dans la localité le métier Cochin, où il est soigné, on reprenait, importance. hier soir, bon espoir, M7 SOUVENIR sera rani aurons reçues, la photographie et les d'ouvrier boulanger, XI ne songe pas la FLAMME Joie, lui més. déguiser lorsque nous sa impressions de notre deuxième prix. nous ANDRE REMY EST GRACIE région.&, 18 n. 30, par TO. H. Q. le Congrès de la F,O.P. h Montlupn Puisque vous ftime»* 1a lecture, Madamç, u fftut lire dans REUNION, & 20 h, 30, 28, boulevard de chasseurs d'Algérie, 8' génie, Président République, Strasbourg, la après Le de Rt ï avoir examiné le dossier, vient de faire 132* Montluçon, 80 Avril. — L? Congrès lauréats n'ont aucune erreur gains leurs réponses à la question vrintfCONCERT au LuxembourgX'par l'Harmo twleCe» remise de sa peine à André Rémy que la nie La Renaissance, national se la P.O.P.. s'est nourauivi (40 villes), arrondisse du Cour d'assises de la Marne avait, le 30 ment« ». dimanche h la séance du matin prési indigué ont 1exactement les numéros d'ordre des 13 Produits préférés Tous novembre 1937, condamné à vingt ans à Longchamp. courses par M, Laroque-Gtronde. te rap 1© isçuveaw et pas&ian^nt roman qu'çllç publie : désignés var le rtlerendum (première question subsidiaire), mais aucun d'eux dée de travaux forcés et dix ans d'interdic port financier et oelui de la commission «je places ardrç icMai les dans lew exactement erreurs piaccs tous ; les a ne tion de séjour, pour l'assassinat d'une de contrôle ont été approuvés a l'una MORT DÉ M. JACOTOT commises ont constitué i«s fautes d'^ç<ir(s allant de ï à, 4, vieille femme, Mme Haniez, doyenne nimité, ho mandat de secrétaire géné maire de Fliteaux solutions s'est alors poursuivie (suivant la même pro ral de w, Félix est renouvelé pour un d'Oreonte, correction de leurs La et conseiller général de la Seine Cette affaire, qui occupa longtemps cédé que ci-de?s«s) sur leurs réponses à la deuxième question subsidiaire (6 an. M. Barthélémy est également réélu l'opinion publique, est donc classée. villes). secrétaire h la Propagande et fe la ré Puteaux, M. Marius Jacotot, maire de Enfin, (L quelques-uns (t'entre eux. dont les solutions restaient d» valeur daction du journal fédéral M, Rault seComme la Bourse de Paris, les Bourses conseiller ggnér&l de la Seine, vient de égale SW les trois questions, de nouvelles questions subsidiaires (prévues par le Ta secrétaire technique et M. JLaroque, MODE, ©n vent« partout ; 1« numéro ? 60' centimes Laroche règlement) ont 4t4 posées direçtetnent et ont ainsi permis de les départager secrétaire çhargé des relations interna de Londres, de New-York et de Berlin, succomber subitement à seront fermées du vendredi 18 avril au (Yonne) où U était allé passer les vacan définitivement. tionales, lundi 21 inclus. ces de Pàquea.

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Feuilleton flu petit Journal,

21 Avril 1930

CŒUR de

MIDINETTE ^

Çrand roman-reportage d?amour et d'aventures par Jean CLAIRVAI2 PUEMIERE PARTIE

SEULE DANS LA VIE... XVI. — Le vol dans la tempête (suite)

Paulette n'avait pu dormir, en proie tour à tour à d'atroces cauchemars et à des-rêves radieux, partagée entre ses sou» venirs et ses espérances. Aussi fut-elle sur ie pont de bon matin. Pour la première fois, pourtant, elle avait couché dans une cabine et même une cabine de luxe, par mi celles qui étaient restées libres. Le reporter l'apercevant en profita pour lui essayer ja combinaison qu'il avait ap-

portée a son intention. Ce costume Im prévu lui allait à ravir. Puis elle voulut visiter l'appareil, voir sa place. Très sportivement elle enjamba la carlingue, comme elle avait, quelques heures plus tôt, enjambé Ja rambarde pour aller à la mort.... Pes passagères américaines lui apportè

brasser, d'autres encore lui tirent signer

des cartes postales,, Un riche Brésilien détacha de sa gour mette une médaille de Saint-Christophe en or, incrustée de petits rubis et la lui donna: Le pont était plein de monde. Il ne man quait que M. René et Mlle Chrlstiane. L'orchestre voulut jouer : on l'en empê cha; en voyage, on est toujours un peu Qiinfkr<it.1H0Uv Tout le bateau avait pris un air de fête Qn s'imposait d'avoir confiance...

Enfin, l'heure H arriva... Paulette est montée, avec ses humbles bagages. Tenant d'une main la mascotte de l'avion, un petit chien en peluche, baptisé Victor, de l'autre, elle effeuille des baisers. Bougnol, Dompierre, le commandant donnent l'accolade aux aviateurs, Lionel Jette un dernier coup d'œil à l'appareil, puis va rejoindre Jacques NU qui, déjà s'est Installé $. l'arrière, à eOté de la jeune fille. Le mécanicien est à son poste. C'est son collègue de l'hydravion postal, qui met venu lui donner un coup de main, l'hélice en marche, en lui imprimant îe mouvement de balancier réglementaire, —

Essence,..,«Contact ?

— Essence..... Contact. Et, sous une poussée robuste, le grand oiseau se détache de la plate-forme, puis s'élève, et bientôt se confond avec, les mouettes, poursuivi par une immense cla meur où on lui souhaite, en toutes les lan

rent des coussins, d'autres vinrent Tem- gues, bon voyage...

aérienne berline ou simple carlingue — s'insinue sous le casque, vous inonde d'une vague sonore, vous pénètre dans le crâ ne, vous taraude la matière grise, et c'est enfin uij, ronronnement continu, monoto ne, endçft-mant, corrroe si on vous avait introduit sous le cuir chevelu, une bcsite à musique qui ne se lasse pas de tourner et .qui vous joue toujours le même air. Et puis, une odeur d'essence vaporisée, qui traverse les vêtements, se glisse sous la combinaison, sous la clxemlse même, vous prend à la gorge et on n'en perçoit plus aucune autre. L son tour, la jeune fille éprouvait tout cela. Ce n'était pas un sentiment délicieux ni même agréable, mais U était si nouveau qu'elle le goûtait avidementAu-dessus, au-dessous, tout autour de collons » ou « nous sommes à telle alti» soi, on ne voit rien que le ciel et la mer, tude ». Le vertige est à peu près inconnu, sauf du vert et du blanc qui vous enveloppent, parce qui semblent vouloir vous absorber, vous aux gens très impressionnables, qu'on manque de point de repère. Si on ne fondre... Personne ne parle, comme ai tout le regarde pas en dessous, on n'a même pas conscience qu'on est en l'air. L'àir bleu, ou monde attendait quelque chose, quelque gris, ou blanc d'argent ou imprégné de lu Chose d'inéluctable, et qui tarde. D'ailleurs, comment s'entendre dans ce mière blonde — selon le temps et l'heu qui voua entoure de tous côtés, dans bruit incessant de moteur gui se répercute re lequel on baigne en quelque sorte, vous loin, loin dans tout l'espace, comme une communique seulement une profonde no succession inlassable de coups détonnertion de liberté, de détachement des choses re ? Il faudrait crier très fort et l'on s'en tient généralement à s'-exprimer par ges de ce monde, croirait en balançoire, remar tes. : — On se Mais voilà que soudain, des nuées s'a; qua Paulette. Mais bientôt on est abasourdi, étourdi, moncellent à l'horizon au-devant du frêle Le vrombissement régulier et permanent esquif, escadron barbare, impalpable, in * du moteur, ou des moteurs, emplit la cage vulnérable.

Toutes celles et tous ceux qui reçoivent le baptême de l'air n'éprouvent pas les mê mes impressions, ni les mêmes sensations. P'ahord, la confiance ou la peur des passagers dépendent exclusivement du pi lote. « y a des pilotes avec qui on ne se sent pas en sécurité et d'autres en qui on de a une fol absolue. Question de « tête », de franchise et de décision dans le geste, clarté du regard, de fermeté de la voix et. d'autres éléments d'appréciation, vagues et impossibles fc définir. . on ne se Dans des conditions normales, rend compte nt de l'irvstant où le train de l'appareil perd contact avec le sol, ni, iç|% me approximativement, de la hauteur laquelle on se trouve. On n'est renseigné que par le pilote quand il dit : « nous dé

C'est bientôt un mur biajip et gris si profond qu'il paraît solide et dur, impéné trable. En bas, la Hier mente, rugit, se dresse et retombe pour se redresser enoore, moutonne l'infini. Le vent fait rage, finit par couvrir la rumeur des moteurs. L'appareil est ballotté de droite et de gaU" che Corinne une balle qu'on se renvoie. Les nuée? noircissent, puis crèvent en une piuie drue et serrée, crépitante et si aiguë que si on met les mains hors de la carlingue, on dirait que des myriades d'aiguilles s'acharnent à la peroçr. L'orage a maintenant envahi l'espace qui n'est plus que de l'eau de tous côtés. Tout a l'heure, la fragile petite eho>se d'acier était, entre le déferlement des nuages et celui des vagues, aipsi qu'entre deux tirs de barrage. A présent, elle est positivement noyée da,ns un déluge total,,. Les plans cj&quent dans le vent à la fa çon d'une mâture démontée ; ne vont-ils pas se détacher ou se briser ? Par ins tants, l'appareil tombe, en dégringolades brusques, de cinquante mètres d'un coup, dans un « trou d'air », dans le vide... Lio nel tire à lui, de toutes ses forces, ie levier de direction, —. ie manche à halai -- pour redresser 1© gouvernail de profondeur et reprendre de la hauteur, Alors l'hydravion se cabre brutalement comme un cheval sous un coup de fouet, et il poursuit ainsi sa course infernale, par sauts, par bonds, tiraillé d'un côté, bousculé de l'autre ainsi que par de violents coups de poing, aspire par en haut, happé par en bas.,. Qn entend de moins en moins les mo

teurs,.. Et soudain,! les passagers voient Lionel se pencher, prêter l'oreille... Le méeaniçien aussi et Jacques Nil tendent toute leur attention. L'un des (jeux mo teurs faiblit... s'il s'arrête, U ne fera plu?

contrepoids à l'autre, et ce sera le des^« quilibre, l'appareil qui se retourne, la ca tastrophe inévitable et qu'aucune force itumaine ne peut maîtriser, l'anéantissement, la mart,,,. . sans un geste, le pilote regarde Jacques -Nil- H voit, dans ses yeux, qu'il sait, qu'il a compris,,. Minute tragique de ees assois* . ses muettes, échangées dans un commua désespoir i

Chacun a senti qu'il ne faut faire aucun signe.., ea? eiie. elle ne sait pas ! L'appareil penche déjà du côté oit l'hé lice tourne plus vite, Le moteur faiblit encore, s'exténue çn « ratés », agonise, encore cinq minutes peut-être, et ce se*

raflpi...

Paulette fut-elle- à ce moment avertie par sa sensibilité de ce qui pouvait se pro duire 9 Remarqua-t-elle l'extrême pô.lesur de se? compagnons ? ®ut-ejle l'intuition qu'elle appartenait presque dès mainte» nant à l'au-delà, par une de ces mysté rieuses correspondances que l'on reçoit parfois secrètement aux heures tragiques de la vie ? Tout à coup, elle saisit & brasle-corps Jacques Nil, raidi de sang-froid î Quoi qu'il arrive, cria-t-elle, merci I w elle ferma les yeux, s'abapdonnapt à Et son destin.,,

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sénateur Robinson récapitule les résultats Le

La répression gouvernementale

devient plus énergique aux Indes

de la Conférence Il s'arrête longuement sur la question de la « parité franco-italienne

Gandhi intensifie sa propagande daits les campagnes ,

LE CONGRES D'ORAN

Les mystérieux crimes

LES ANCIENS COMBATTANTS

de Franche-Comté

attestent leur volonté de rester unis comme au front Les congressistes sont partis

pour Alger

(De notre envoyé spécialJ Oran, 20 Avril. — Vraiment, Oran a voulu fêter dignement les anciens com battants venus tenir leur congrès dans (De notre correspondant particulier) Londres, 20 Avril. — Les messages des cette ville de l'Afrique du Nord, terre Indes annoncent l'arrestation de cinq d'héroïsme. Après le banquet offert

Londres, 20 Avril. Le sénateur Ro binson, membre de la—délégation améri

des instigateurs de l'émeute de Chitta-, gong ; deux d'entre eux avaient été ce soir, par T. S. F., un discours blessés au cours de la bataille qu'ils ont dans lequel il a récapitulé les résultats à livrée la police. Ce matin, de considé acquis par cette Conférence, en souli renforts rables de police sont arrivés. gnant qu'il ne fallait pas se dissimuler Plusieurs agents ont immédiatement que son succès était incomplet en tant perquisitionné chez les personnes soup qu'accord à cinq, car il eût été plus sa çonnées d'avoir pris part à l'attaque des tisfaisant d'obtenir un traité définissant les programmes navals de la France et dépôts d'armes. Le gros des forces a ga de l'Italie, en même temps que ceux de gné les collines environnantes, où la Grande-Bretagne, des Etats-Unis et soixante insurgés s'étaient réfugiés. La police a saisi quatre automobiles em du Japon. ployées par les rebelles et a retrouvé une Les exigences italiennes certaine quantité d'armes et de muni dont ils s'étaient eniparés. — L'Italie, a-t-il dit, exigeait la parité tions La situation est maintenant plus cal avec la flotte de la plus puissante na & Chittagong et à Calcutta. tion continentale. Bien qu'il y eût peu me Les mesures prises par le vioe-rol, en de chances que le programme de cons tructions italien atteignit le tonnage vue d'empêcher la répétition de3 événe français pendant la durée du tra'.té, les ments d'avant-hier, semblent avoir pro Français s'y sont opposés. La France duit une certaine impression. poursuit un programme de constructions Les documents découverts permettent navales qui augmente matériellement de supposer que les nationalistes son son tonnage en croiseurs, sous-marins et gent à modifier leur tactique et à pro destroyers, et elle ne s'est pas montrée céder à. une organisation systématique disposée à réduire ces tonnages sftiis des.émeutes. D'autre part, on mande de Lahore nouvelles garanties de sécurité, La délégation américaine a donné que le révolutionnaire Mohammed Aslinettement à entendre que les Etats- rof. -qui a pris part aux attentats de Unis ne participeraient à aucun pacte Dasara en 1926 et 1928, lors du festival consultatif impliquant une garantie de hindou, a fait aujourd'hui à la police

caine à la Conférence navale, a pro noncé

hier aux délégués de. l'Union fédérale des anciens combattants au Cercle militaire, tous les congressistes ont été transportés en automobiles, au Palais des Exposi tions, où se déroulait une fête de nuit. Pour y parvenir, ils durçpt passer sous une voûte de'feu. Des «milliers d'am poules électriques composaient, en effet, un spectacle féerique. Tous les bâtiments officiels et de nombreux établissements privés étaient véritablement habillés d'un manteau de lumière. Le Porthos, lui-même, brillait de mille feux bleus, blancs et rouges. Ce matin, la séance de clôture du con grès a eu lieu au théâtre, en présence de MM. Champetier de Ribes, ministre des Pensions, Ricolfi, sous-secrétaire d'Etat à la Guerre, Bordes, gouverneurgénéral de l'Algérie, Marlier, préfet d'Oran et des parlementaires dji département. M. Pichot, président de l'tr.F., dans un discours très applaudi, retraça avec vigueur le rôle et les devoirs des anciens combattants qui, par dessus tout, veulent rester unis comme ils l'étaient pendant la guerre. Puis, après quelques mots de M. Soulmagnon, président de l'interfédëration Nord-africaine, M. Randux, se crétaire général, exposa aux ministres les vœux des anciens combattants qui furent votés par acclamations. Dans sa réponse, M. Champetier de Ribes a dit notamment qu'il s'efforcerait de donner satisfaction aux vœux et désirs des an ciens combattants, que, pour l'instant, du budget, il n'était par suite du vote modifier la loi, mais possible de pas que, dans le courant de cette an née, les vœux seraient étudiés et l'im possible serait fait pour y donner satis faction, sinon entièrement, du moins par paliers. Des applaudissements saluèrent la pérorais,on du ministre et les congres sistes se dirigèrent vers l'Immense salle du banquet comprenant douze cents cou verts.

Autour de la mort morts ; quatorze blessés de Jean Galmot

LA ROUTE ROUGE Cinq

lugubre bilan (SUITE DE. LA PREMIERE PAGE)

Ces trois assassinats alalent être clas sés par le Parquet de Vesoul lorsque, brusquement, la police lyonnaise arrêta un déserteur d'un régiment de tirailleurs. Vaillot, tel était le nom de ce per sonnage, fut longuement interrogé et on apprit ainsi qu'ancien colon de France, il était allé en permission dans la locali té au moment du meurtre des époux Janin. On le questionna et, immédiate ment, il avoua. Placé par la colonie pénitentiaire chez des cultivateurs, il jouissait de la plus entière liberté ; il avait donc eu tout le loisir d'accomplir le crime avec deux de ses camarades qu'il nomma : François et Morel. Vaillot ne s'en tint pas à ces révéla tions ; il raconta toute la scène tragique, précisant les moindres détails tout

d'un premier jour de vacances Il était .*, malheureusement à prévoir que les accidents seraient nombreux sur les routes pendant ces ours de vacances. Cinq morts et quatorze blessés : tel est le tragique bilan des premières nouvelles parvenues à Paris. Faisons encore une fois appel à la prudence de tous pour

qu'il ne s'allonge point. Une grave collision d'automobiles, qui s'est produite, hier matin, à SaintCloud, à l'angle du boulevard de Ver sailles et de la rue Carnot, a causé de sérieuses blessures à M. et Mme Levroussin, 7, rue du Docteur-Blanche, à Paris, ainsi, qu'à M. Dumortier, de Bou logne-sur-Seine. Un cycliste, Maurice Berlamont, 15 ans, rue de. l'Arbre-Sec, à Gennevilliers, a été blessé à Clichy par un taxi et a dû être hospitalisé à Bretonneau. • A Rosny-sur-Seine, M. Claude Thain. gérant d'un dépôt d'essence, fut renversé par la voiture de M.' Jean Tailleur, 72, rue du Cherche-Midi. Le crâné fracture, il fut transporté à l'hôpital de Mantes où il expira peu après. Un cycliste imprudent, Raymond Mauger, 14 ans, n'étant plus maître de sa vitesse, s'est Jeté contre un mur à Crouy-sur-Seine et s'est tué; Devant son domicile, à Croissy, Mlle Joséphine Crenais, 58 ans, a été griève ment blessée par une auto. A Puteaux, une auto est entrée en collision avec un motocycliste, Marcel Bataille, 23 ans, rue de la Sablière, à Asnières, et celui-ci a été blessé aux jambes et à la tête. Il eh a été de même à Créteil où Marcel Château, 76, boule vard Diderot, à Paris, fut proletô a terre et s'y fractura la jambe gauche. Une jeune fille, Solange Carré, 12, rue Garnier, à Paris, qui avait pris place sur le porte-bagage d'une moto, est tom bée en traversant Alfortville et a été conduite à l'hôpital de la Salpêtriére. Une motocyclette, également montée par deux personnes, M. Félix Banquet, 77, rue Blomet, et Mlle Marcelle Stet. 14, impasse du Maine, a déparé près de Versailles et les deux voyageurs ont été transportés dans un état grave à l'hô pital de Versailles, a la suite d'une fausse manœuvre, l'auto de M, Gustave Masslng, 26 ans, négociant à Ay (près d'Epornay) s'est jetée contre un arbre à Saumeron, près de La Ferté-sous-Jouarre. Le conduc teur a été très grièvement blessé. Un père de famille, Georges Gervais, 36 ans,, qui circulait à bicyclette près de Caen, a été renversé par un autobus qui lui broya la tête. Près de Metz, une voiture conduite par M. Philippe Dominib a violemment heurté un camion et M. Weherer, <-ui se trouvait à l'intérieur, été tué. Le chauffeur a été arrêté. a Le maire de Treàsevue (Savoie), qui se rendait à Aîx-les-Bains en bicyclette, a été renversé, et tué par l'auto d'un hôtelier de Roche, M. Ruggieri. Enfin, à Paris même, que l'exode cal n'avait point complètement vidé,pas on eut à déplorer plusieurs accidents : bou levard Saint-Germain, un autobus a blessé le cycliste Jean Lambert, 16 ans, 23, rue Fondary, qui a été admis à l'Hô tel-Dieu; à l'angle de l'avenue de Ver sailles et du pont Mirabeau, le motocy cliste Marcel Lherînette, 68, rue CroixNivert, a eu le crâne fracturé dans une collision avec un taxi occupé par Mlle Renée Sureuil, 11, rue Daumier, qui a été également blessée.

correspondait. Le déserteur qui venait d'avouer être .en plus un assassin fut donc transféré à Vesoul, puis conduit à Fresne où les magistrats avalent réuni les trois cents garnements, pensionnaires de la colonie. Ils les firent passer en revue' par le ti railleur. Vaillot en avait déjà examiné 293 sans reconnaître ses « complices » lorsque, tombant en arrêt devant le 294', il s'écria : — En voilà un... Et, voilé l'autre I C'était, en effet, François et Morel qu'il avait précédemment nommés. A leur tour, ils avouèrent. Conduits dans la maison du crime où le mobilier des époux Janin avait été changé, ils mimèrent la scène du meur tre, du début à la fin, indiquant la pré cédente disposition des meubles, et jus qu'à l'emplacement du plus petit tableau. Pour le juge, l'affaire était claire. Ce pendant, M' Bergeret, le perspicace dé fenseur de Vaillot, avait remarqué quel ques réticences, quelques lacunes dans d'importante déclarations qui ont amené sécurité. le récit de François et de Morel, lacu Et comme, d'autre part, la réduction la découverte de II bombes, de revol nes faisant supposer qu'un autre per du tonnage français dépendait d'una vers et d'une grande quantité de muni sonnage avait dû être mêlé à la scène. entente anglo-française, liée.elle-même tions qui avaient été enterrées aux envi M' Bergeret voulut éclaircir ce point & un accord franco-italien qui a dû être rons de la ville. Dans les autres villes des Indes, on et, sur sa, demande, de nombreux té renvoyé à plus tard, on s'est arrêté au moins furent convoqués. traité conclu sur les bases actuelles ». signale l'arrestation de plusieurs volon taires de la désobéissance, notamment à Coup de théâtre, : tous furent, d'ac Les restrictions navales acceptées Bombay et & Rajahahi. cord ; Vaillot ne pouvait avoir pris la moindre part au double crime ; il n'était Les projets de Gandhi par les « cinq » pas'à Frasne à l'époque de l'assassinat. M. Robinson a alors retracé les grandes Gandhi, lui-même, se trouve en oe Et Vaillot de s'écrier : lignes des restrictions moment à acceptées Jalalpour. navales Interrogé sur ses — Mais ils ont raison, je ne suis pour par les cinq puissances, notamment les projets, il a déclaré que sa visite à Bom rien là-dedans 1 vacances navales et l'emploi des sous- bay était incertaine, car il va concen Comment diable avait-il pu s'accuser? marins en temps de guerre, qui consti trer toute son activité dans les villages On le lui demanda ; il réfléchit longue tuent en elles-mêmes, a-t-il dit, d'im où on procède & un boycottage en règle Un banquet de 1.200 couverts ment, puis : portants et précieux résultats. des tissus étrangers. ' A vrai dire, y est, dit-il, j'y suis. . C'est Barce n'est pas un banquet, — Ça Parlant ensuite de la clause de sauve ' Gandhi" a lanoé un appel aux Hindous mais qui m'a raconté cela un jour que véritable manifestation geot garde de la partie du traité concernant musulmans, opposés à la campagne de d'Unionune qui s'est déroulée je l'avais rencontré à Besançon. nationale, les trois puissances, 11 a rappelé qu'elle désobéissance. Il leur recommande de se dans la salle des fêtes du Palais des Bargeot, dont le nom venait d'être permettait à l'une de oelles-ci de dénon joindre à son mouvement qui doit, dit-Il, Expositions, L'Algérie communiait, en ce ainsi brutalement jeté dans le débat, qui cer ses engagements au cas où sa sécu libérer tous les Hindous, sans distinction jour de Pâques, avec sa grande sœur était-ce ? Un-personnage très connu rité lui paraîtrait menacée par l'accrois de confessions ou de castes. dans la région, mais & qui personne n'a France. ~ sement des constructions d'une puissan Quatre chefs de la désobéissance la MM. vait Ricolfi songé. Champetier, de Ribes et ce étrangère au pacte à trois. Il a souli Grand, beau et solide gaillard, vérita ce déjeuner des mutUés. Les ble Don Juan, condamnés à 1 an de prison présidaient gné à ce propos que la limitation des André Bargeot avait long discours furent nombreux, mais combien armements doit être volontaire et non Madras, 20 Avril. — Quatre chefs de èvocateurs à véou Frasne, où il. était le coq temps de mé la les voyageurs imposée et qu'aucun peuple ne peut ar la désobéissance civile ont été condam tropole qui,pour Abandonnant du village. un jour les venus pendant quelques travaux bitrairement en obliger un autre à res nes à un an de prison pour violation de jours sur la terre des champs, il avait gagné Paris algérienne, se sont sou treindre ses moyens de défense sans la loi. On apprend d'autre part, de VI- venus des pages de leur histoire, revi et s'était; naturellement installé à Mont assumer la responsabilité morale de la zayapatam, que cinq autres chefs de la vant les grandes étapes de l'œuvre ci martre. Devenu danseur mondain, très sécurité de ce peuple. désobéissance civile viennent d'être ar vilisatrice de la France en Algérie. M aduléi il pouvait vivre sur le pied d'en Cazals, de l'Union des mutilés, commis viron cent francs par jour. — Pour bien convaincre les peuples, rêtés. a-t-il ajouté, de cette vérité Importante saire général du congrès, ouvrit l'ère des L'âgé 4e partir au régiment étant ve la limitation IMPOSANTE des MANIFESTATION que armements discours ; puis M. Moll, député-maire nu, Bargeot s'engagea au, .lv cavalier mente la sécurité nationale, bien aug étranger, à Sousse. C'est donc au fond loin MONARCHISTE EN ESPAGNE remercia les congressistes. d'Oran de l'affaiblir, il faut laisser les nations, de la Tunisie-que les gendarmes durent président de l'interM. Soulmagnon, l'aller cueillir, en novembre dernier, en cas de dangereuse crise mondiale, li Madrid, 20 Avril. — Ce matin, a eu fédération nord-africaine rappela le rôle bres, de se défendre individuellement lieu, à la nouvelle Plaza de Toros, dans des Algériens appelés à défendre les pour le ramener à Vesoul. A peine en route, Bargeot pensa à comme elles l'entendent. La clause de laquelle peuvent prendre place 40.000 marches du Nord. sauvegarde, basée sur la bonne fol des personnes, une réunion au sujet de l'af s'évader. de Le caid Ben Chiha parla au nom trois pays, leur laisse la responsabilité firmation monarchiste, au cours de la son père le pacha Agha. Son Le 31 décembre 1929, le prisonnier, discours LE M AUVAIS T EMPS de déterminer leurs besoins nationaux. quelle plusieurs discours ont été pronon où il proclama sa fidélité à la France, toujours entre ses deux gendarmes, ve Il est inconcevable qu'on abuse de la cés, notamment par MM, Bugallal, lea provoqua de véritables ovations. Le co liait de quitter Besançon ; c'était la der latitude qu'elle confère. » der conservateur. lonel Abbott, président de la F.I.D.A.C., nière étape, il fallait agir ; Bargeot al II gèle aux environs de Bourges ... r entré 'M/'MacDèriâld^ëst. dans un discours j>lein d'humour, dé lait employer le moyen classique. Il se Bourges, 20 Avril. — Depuis quelques aux anciens combattants la né faisait conduire aux waters-closets du jours, la température Des communistes provoquent montra à Londres, s'est abaissée sen cessité de se grouper pour faire régner "àgon qui roulait à toute allure, s'enfer siblement. Hier, le temps fut particu des bagarres à Bâle mait, brisait la vitre de la fenêtre, s'é Londres, 20 avril. — M. MacDonald la paix. Les mêmes principes furent sou lièrement froid, la et journée marquée tenus avec vigueur par M. Rigolley, se tendait sur le marchepied, les pieds en a quitté, cet après-midi, Losslemouth deux de grêle par abondantes. averses avant, d'un Confédération de général et, laissait crétaire reins, de la coup se Bâle, 20 Avril. — Des communistes na pour rentrer à Londres. Il tombé aussi quelques flocons de nei choir sur le ballast. Il repartira mercredi pour l'Ecosse, ayant tenté d'empêcher l'arrestation tionale des anciens combattants, i On ne sait comment l'évadé se pro ge.. Vers le soir, le thermomètre s'abais d'un ressortissant italien, des bagarres On entendit ensuite MM. Gale, prési sa dé plusieurs, oegrés au-dessous de sont produites. Un gendarme a été dent des délégations financières, Roux- cura des vêtements civils, en.vérité trop zéro, La politique extérieure allemande se gelant cultures et primeurs. Lès blessé : 7 arrestations ont été opérées Freisslneng, sénateur d'Oran ; Plciiot, petits pour lui, puis, il piqua sur Be haricots, les pommes de terre, les arbres président de l'Union fédérale, qui con sançon. Le 11 Janvier, il allait entrer après La Haye et Londres notamment celles dé deux Italiens. fruitiers encore en fleurs sont fortement dans la ville, mais toute la police était clut en s'écriant : « Unis toujours ». touchés m—i... " Dans sa remarquable allocution, M. sur pied ; avec son pantalon trop court, bourré et les noyers qui avaient dé La tournée d'inspection leurs pousses sont en partie gril Bordes, gouverneur général de l'Algérie Bargeot attira l'attention d'un inspec lés Elle ne peut être basée que sur l 'entente du général Hergault au Maroc Heureusement, les vignes n'étant n'oublia pas ses origines béarnaises et teur et, reconnu, il fut à nouveau ap très développées la France pas encore n'ont pas avec fit un heureux rapprochement entre le préhendé. beaucoup souffert. Sur pèse lui dès Berlin, 20 Avril. — Le député popu terrible républicain lors la rcl Henri plus IV (le de nos accu Rabat, Avril. — Le général Her liste von Rheinbalen. spécialiste en ma gault est 20 sation de trois double la le rois) République. crimes et III* H neige et gèle dans lé Var paroles Ses : meur arrivé hier à 18 h. 30. de Frasne dont tière de politique étrangère, examine concorde tre considère de qu'il d'union entre et tous furent Toulon, 20 Avril. — De nouveau la on Il se rendra à Meknès demain et fut moins l'instlgatêur l'assassinat dans le Bœrsen Kurier les possibilités partira chaleureusement et applaudies. au neige est tombée en plusieurs points du ensuite pour l'Algérie et la Tu MM. Ricolfi, sous-secrétaire d'Etat a de Mme Carteret dont on l'accuse d'être Haut-Var. On en signale à la Roqueque la conclusions des Conférences de nisie en tournée d'inspection, la Guerre, recueillit sa part d'applaudis l'unique auteur. La Haye et de Londres offrent & la scalpon, à Verignon, au Bourguet °t à - sements en évoquant les rôles de Bu- — Histoires inventées' par des fous, Trigancé. Dans il. politique expérieure de l'Allemagne. ces deux derniers pays, M. PALMADEPARLE A LA ROCHELLE geaud et Lamoricière. Il fit accla répond, sans se démonter/le légionnaire la neige tombée & gros flocons tou est 1} n'y a aucun homme politique, — DES ASSURANCES SOCIALES . écrit-Il, mer le nom de M. Maginot, ministre de dont l'influence agit sur les autres in te la nuit et a été suivie nar de fortes qui puisse s'engager à se détour la Guerre et prémier ministre dés Pen culpes qui tremblent devant lui. Et Bar gelées. ner de l'œuvre ailîicile. mais nécessaire, de l'entente avec la France. La Rochelle, 20 Avril. — M. Palmade, sions, et assura l'assistance que tous ses geot d'ajouter : 7 degrés dans le Charallals Touteiol3, même celui qui ne base pas député de Saintes, ancien —ministre, Vous prétendez efforts tendraient à je suis maintenir a la que un as con — Charolles, 20 Avril. — La nuit der-' son espoir sur l'Angleterre, doit désirer présidé un banquet organisé par la So corde à l'intérieur et la coopération dans sassin, prouvez-le-moi I une collaboration meilleure et plus effi ciété de secours mutuels de Sabloneeaux la paix. nière, un froid extrêmement rigoureux — Prouvez-le-nous, déclarent à leur a sévi dans toute la région charollaise. cace avec les puissances anglo-saxonnes. (Charente-Inférieure). Pour terminer, M. Champetier de Ri tour François et Morel qui, dès l'arrivée Le thermomètre marquait La politique de rapprochement la ce matin à Palmade prononcé bes, France ne doit pas être synonyme avec dessert, ministre des Pensions, évoqua la vie de Bargeot à la prison de Vesoul, se cinq heures, Au M. a un d'Infé degrés vsix au-dessous de riorité et de dépendance permanente de discours dans lequel il a dit : « C'est en uagique des-tranchées, dont il s'efforça sont rétractés, affirmant eux aussi n'ê l'Allemagne. La paix nè sera définitive se servant de la mutualité que la légis de tirer l'enseignement : « Nous avons tre pour rien dans l'assassinat des époux zéro à Charolles, et sept degrés en cam ment assurée en Europe que lorsque la lation des assurances sociales sera d'une la prétention, dit-il notamment, de gui Janin qu'ils « avouèrent sans savoir pagne. Les mares ét les étangs étaient même sécurité existera pour tous les application normale. Il faut coordonner der les générations recouverts d'une couche de glace assez vers l'avenir. La pourquoi ». Etats, par l'équilibre des armements. Nous la mutualité épaisse. dégâts ' causés par cette ge Quant à Vaillot qui, après s'être accu lée aussiLes avec le régime des assuran France n'est pas un pays comme les au en sommes encore loin et c'est notre bon tardive qu'importante sont in droit de nous rapprocher des courants qui, ces sociales pour ne pas retomber dans tres. Il 'semble qu'elle cherche les diffi sé du premier crime et avoir dû recon calculables. Les arbres fruitiers étaient en opposition à la situation créée à Ver les difficultés qui ont rendu caduque la cultés pour avoir la gloire de les surmon naître qu'il n'en était pas l'auteur, le en effet presque tous en fleurs. sailles tendent & ce but. ter. ». Et terminant, il conclut : « Nous voici Jurant ses grands dieux qu'il ne loi des retraites ouvrières. » D'autre part, l'évolution est mûre pour EN ESPAGNE ' sommes ceux qui doivent prendre la comprend pas pourquoi il raconta tenir une discussion approfondie entre la Rus le dé récit tête forfait de l'organisation la LE CONGRES POILUSD'ORIENT de bouche DES de la de paix ». ce A Pampelune, les communications sie et l'Allemagne en vue de la cantinuaapplaudissements Bargeot rencontré Des à Besançon saluèrent : ces tlon, .soi^s une autre forme, et dans un avec la France sont interrompues Perpignan, 20 Avril. — Le congrès des dernières paroles et les congressistes se « La meilleure preuve que Bargeot n'a nouvel esprit, de la politique de Rapallo. » Pampelune, 20 Avril. — A la suite de Pollua d'Orient des réglons du Languedoc, rendirent à la fantasia organisée en leur rien pu me dire, afflrme-t-il, c'est que, du Roussillon e tdu Rouergue a eu lieu. honneur. depuis mon départ de Frasne, Je ne l'ai la violente tempête qui s'est abattue sur Le Labour Party indépendant & Perpignan, sous la présidence du géné A 18 heures, ils regagnèrent paque jamais vu, pas plus à Besançon qu'ail' la région, les communications avec la ral Charpy et. Milouklne Mlrkovlch, se bot qui peu après levait l'ancrele pour France ont été interrompues. leurs. > se de crétaire la. légation yougoslave & Paris. prend position contre rendre & Alger, où 11 doit arriver demain Du bel échafaudage du début édifié L'Ebre continue à grossir Divers vœux concernant les revendica matin. premières L. Leportoux. les déclarations de Vail sur tions des Poilus d'Orient furent votés. Un — Saragosse, 20 Avril. — Le niveau de le gouvernement MacDonald grand banquet clôtura lot, que reste-t-il ? Quelques empreintes l'Ebre la cérémonie. continue à monter. Des mesures UN MARIN BRITANNIQUE sur un verre et une bouteille. importantes ont été prises pour éviter Il sra aisé au dfenseur du légionnaire l'inondation des FAIT UNE CHUTE MORTELLE Ce Londres, 20 avril. — Par 357 votes villages riverains. de faire remarquer que ces empreintes DANS UN RAVIN contre. 53, la , Conférence annuelle du "*8^ ne prouvent rien. Le personnage qui a •»•** COLEEïi!.. ' ' -Labour Party Indépendant, réunie à MOORE DIVORCE... LES EVENEMENTS descendant AUX été INDES à la vu cave peut très Nice, 20 Avril. — Un matelot anglais, Birmingham, a voté une résolution pré bien être Bargeot, Daily mais cela n'infère pas mais elle aime toujours Du Telegraph . sentée de l'escadre britannique actuellement en par M- Maxton, déclarant que La croyance simpliste : le défi porté rade de VlUefranche-sur-Mer, mari... soit lui l'assassin. que été ce vic son a que. le parti doit conserver une existence sé à la loi d'un accident mortel. Au cours d'une L'accusation s'écroule et le juge est par Gandhi en fabriquant du sel, time parée en tant que groupement parle sombrerait joyeuse excursion dans les environs de bien perplexe, lorsqu'un fait nouveau Hollywood, 20 Avril. Les ridicule dans le trouve dé mentaire, même s'il s'agissait de voter mentie par l'événement. Au se Américains contraire, des Nice, à bord d'un autocar que pilotait un vient le tirer d'embarras. — n'ont certes pas l'exclusivité contre le gouvernement sur toutes les éléments Inattendus et puissants se sont de ses camarades. 11 voulut se faire pho des divor Dans une banque parisienne, un indi cés « de forme ». Ceux-ci, en France, tographier auprès du ravin fameux du questions où la politique du gouverne ralliés & lui. ment ne se trouverait pas en accord La sagesse veut que, tout en faisant Saut-du-Lot. Tout à coup, le malheureux vidu s'était présenté pour négocier des ont déjà donné lieu, bien souvent, à de respecter la'loi, le gouvernement de l'Inde glissa et roula dans le gouffre. Le cada ti&es. .L'employé s'était aperçu que ces savoureuses situations, et servi de mo avec celle du parti. demande pourquoi la lot est délibéré vre tourbillonna pendant plusieurs heu valeurs étaient frappées d'opposition et tif à de nombreux vaudevilles... Voici L'assemblée, à laquelle M. Maxton de se que violée ainsi, aujourd'hui, par des res dans les eaux du Loup avant d'être l'homme avait été conduit ment manda de se prononcer pour ou contre hommes charmante commis la star américaine au Coleen qui, 11 y a quelques mots, con repêché par les gendarmes, aidés de ma sariat de police. Moore vient de divorcer d'avec son sa politique, l'approuva par acclama seillaient la coopération Intégrale. rins anglais. tions, et l'a réélu président du parti. % provisoire le producer John Mac La réponse nous semble assez évidente. La victime, Arthur John Elles, Agée de — C'est un ancien camarade des « Bat 50 Cormick. Il est donc dès maintenant certain La déclaration de lord Irwln avait éveillé 21 ans, appartenait & l'équipage du Be- d'Af Mais les deux partenaires s'ai » nommé Bargeot qui m'a remis ces en automne de hautes espérances. On vongç. ment toujours ! Est-on, une fois que quatre partis seront aux prises aux croyait titres demandant de les lui ven de en me . . Plusieurs fois déjà, le ravin tragique que la Grande-Bretagne tendait la prochaines élections générales, à moins main. La plus, présence a dre, déclara d'un de le bluffs en électri ces personnage, « un » plupart des dirigeants indiens été le théâtre d'accidents analogues. que les travaillistes modérés et les li étalent disposes cien de 26 ans, nommé Le Moal, exer de publicité ?... & répondre a. ce geste. Une béraux ne décident de fusionner, qui atmosphère nouvelle avait été créée. Coleen Moore prétend : çant alors la profession de chauffeur de parait de plus en plus probable. ce Peu à peu, elle fut dissipée. Bien ne se LE FEU AU CHATEAU DE VALLEGUE taxi. — Si une réconciliation quelconque passait. Les espérances s'évanouirent. L'oétait possible, je la saluerais avec joie, Vérification faite, les titres étaient Toulouse, qu'on 20 Avril. nuit répandait moquait Finlon de La der se se — LES INDIGENES SOUPÇONNES car il est toujours triste de se séparer Inde, que les paroles du vice-roi n'a nière, un inoendie dont les causes sont ceux volés chez Mme Carteret. de quelqu'un que l'on a aimé, mais cela DE ^'ASSASSINAT DE M. DETENACE valent René Moal fut envoyé à Vesoul et aucune signification, qu'il ne s'était inconnues s'est déclaré au château de SONT REMIS EN LIBERTE produit aucun changement, soit de politi Vallègue, appartenant à M. Castagne, confronté avec Bargeot qui nia énergi me semble difficile. M. Mac Cormick dit, de son c5lé : que. soit dans les sentiments. quement avoir jamais possédé ces va' maire, ancien conseiller d'arrondisse résulté. réaction Et les Une amère en a Fez, 20 Avril. — La Sûreté a interrogé — Je l'aime toujours ds tout mon mécontents actuels sont l'œuvre . de ment. Les pompiers de Villefranche-de- leurs.Mais si, répliqua Moal, « » les indigènes soupçonnés d'avoir, en cette réaction. et Je ne changerai jamais. Elle est coeur puisque Lauragais réussirent à sauver une partis — 1925, pendant la guerre du Rifî, pris la plus merveilleuse femme que j'aie avant de me les donner, tu as voulu château. part à l'assassinat de M. Detenace, et UN VOILIER SOMBRE EN RADE duLes jamais les remettre à tel qui les refusés. vue. un pertes dépassent néanmoins deux a qui, comme nous l'avions annoncé, Bargeot nia. Le témoin, " convoqué, Allez comprendre quelque chose aux NOIRMOUTIER DE mille francs. cent avaient été arrêtés avant-hier. confirma les dires de Moal, mais on ap complications conjugales des Améri On ; -— : , ; Leur culpabilité paraissant douteuse, Bordeaux. 20 Avril. prit c'était un ami de l'électricien cains I — Au cours de la UN ALGERIEN QUI AVAIT DECAPITE et dèsque les indigènes ont été relâchés. lors tempête qui vient de sévir sa déclaration perdait grande La villa de Bellalr, qui appartenait au dans les para SA FEMME EST SOUMIS partie de voilier l'île Ré, <4k> de de le Jean, apparte ges sa valeur. L'accusation n'avait couple, était le centre d'attraction de UN 'A EXAMEN Albert MENTAL & M. Rlgaud, nant fait armateur a LA VEILLE DE PAQUES, LES EGLISES pas un pas. la colonie millionnaire Angeles. sombré en rade de Noirmoutler avec un A-t-elle d'autres faits? Oui, un em Elle va être vendue. Pourdele Los ETAIENT PLEINES A MOSCOU moment, M. chargement de chaux. L'équipage est sauf. Montpellier, 20 avril. — Les gendar ploi du temps imprécis dans la nuit du Mac Cormick l'habite La goélette Anc-mone du port de Tré- mes de Mende ont conduit encore... à Montpel crime et quelques dépenses assez fortes mais... si... Heureux Américains gui Oui, Londres, 20 Avril. -*• On mande d'Hel- guier, a été remorquée au port de Saint- lier l'Algérien ont. Mohamed Bekhodja, 32 faites par Bargeot et difficilement ex le temps d'attacher tant d'importance Martin après s'être échouée singfors près de la malgré la anti que, campagne • ans, journalier, qui avait, dans un ac pliquâmes. C'est tout. Après dix-huit oes petites brouilles sentimentales !.. à' religieuse, toutes les églises de Moscou côte. Ce b&Mment de 280 tonneaux, por cès de jalousie, tranché la tête de sa mois d'enquêtes et d'instruction, c'est un chargement de sel. a eu une tra femme, étaient remplies, hier soir, d'une foule tant originaire de l'Ardèche. Le 4uge peu. versée pénible de laquelle au coura un dense. Les autorités avaient cependant, matelot est tombé , à l'eau d'instruction s'est noyé. et de Mend ;, avant de plore Avec des. charges fragiles et des incul z En sixième page : fait de leur mieux pour inciter la popu • information, son désire faire pés qui ont de grandes chances d'être . soumettre lation à se distraire : tous les théâtres Courrier de la T. S. F. — Bulletin le meurtrier à un examen mental. Cette pour la plupart déclarés irresponsables et cinémas étaient demeurés ouverts, des bank. — Berlin : Le président de la Reichs- tâche orphéonûjae. <— Bourse de Com a été confiée au professeur Eu- par un médecin aliéniste, le juge parM. Luther, a renoncé à la prési orchestres ont donné des concerts qui dence de zlère, doyen de la Ligue qu'il avait fondée pour la Faculté de Médecine viendra-t-il à asseoir sérieusement ses merce et .cours des changes. ont duré jusqu'à 4 heures du matin. la « Renaissance du Reich ». de Montpellier. inculpations ? — F- F.

ii».

111

„ New-York, 20 Avril. H serait banal Annecy, 20 Avril. — Le rapport des d'affirmer une fois de^ — plus que le 'bootexperts parisiens chargés d'analyser les legger est, en Amérique, le roi des .com viscères de M. Jean Galmot n'a pas en merçants. Un fait ahurissant, et symntomatique, vient de le prouver ceg core été rendu public. jours-ci M. Heydecker classe méthodiquement : John dossier J, et Dunne était, comme beau déjà considérable est son — de les millionnaires, < parti de rien ». pièces que lui adresse sa fille coup — chaque fois qu'un fait nouveau se pro Simple maçon, il devint bootlegger, duit. Le dernier, le plus récent docu n'épargna pas sa peine pour « arriver », ment reçu par M. Heydecker lui paraît puis, ayant gagné dans le commerce capital. Il s'agit en effet du rapport éta clandestin des vins et liqueurs, environ bli par le pharmacien militaire, lieute un million de dollars, il s'çst retiré oes nant Parier, qui fut commis par le par jours-ci des affaires. John est assuré quet de Cayenne, le 6 août 1928, eux d'un solide compte en banque qui le dé lins d'analyser les viscères de lii. Gal dommagera certainement des quelques mot. fusillades essuyées en mer au cours de Ce rapport établit entre autres cho sa carrière mouvementée. Mais Dunne n'a pas voulu prendre sa ses que la présence d'arsenic est un fait avéré. retraite, sans une dernière manifesta tion sensationnelle. Il a donné un diner « On peut répondre aux questions po d'adieu qui lui a coûté 425.000 fr. Pour sées par la justice : 1° Les viscères lui faire honneur, les hommes politiques du cadavre renfer » meraient-ils un poison contenant fies les plus en vue, les femmes à la mode, toxiques ? Oui. 2" Ces substances pbu- les « stars » y assistèrent. Toilettes valent-elles donner la mort, et à quelle somptueuses ,service ' d'une richesse dose administrée ? La réponse est plus inouïe, toasts brillants, rien ne man délicate. D'après les auteurs qui en font qua à cette soirée. foi, la quantité normale d'arsenic qui se A la fin du repas, John prit la parole trouverait.dans l'organisme humain ne en ces termes : « Gentlemen, dit-il, je dépasserait pas un centigramme. Or, on ne suis pas un beau parleur, je suis un est, dans le cas présent, assez loin de coureur de mers — je veux dire, parcette limite, et la quantité d'arsenic dpn, que jusqu'à présent "je n'ai fait trouvée est nettement anormale. que transporter de la bière. J'espère que > Quant à dire si ce toxique pouvait vous tous, vous vous amusez et vous provoquer la mort, il ne fait pas de prenez du bon temps. » Puis il se ras doute .que la mort ait été provoquée par sit. Il eut un succès f ou... Bravo, John !! ce toxique, étant donné que la quantité Ce que la vie doit être belle en Améri d'arsenic trouvée dans les viscères est que, de l'autre côté de la mare aux bien supérieure à la normale.» harengs !!

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que dit la Presse

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EN VOULANT SAUVER SON FILS UN PERE SE NOIE v

Decazeville, 20 Avril. Sur la rivière le Lot, à Entraygues. une—barque montée 111s par M. Louis Fric, 3a ans, son Jeunebord, et un ami. M. Revel glissait vers Je lorsqu'une rame cassa soudain. La ra pidité du courant emportait la barque vers la ctoaussêe et pour éviter ce danà ger M. Prie sauta à l'eau et demanda son ami de lui plRcer l'enfant sur le dos. Mais il ne put résister à la violence du courant qui l'engloutit. M. Revel et l'en tant se cramponnaient au bateau qui .al lait rapidement heurter la chausse». A

leurs appels deux voisins accoururent et les sauvèrent. Quant au malheureux pçre, son corps n'a pas été retrouvé.

DES TRAINS FONT DES VICTIMES Béziers, 20 Avril. — Mme Casimir Frances, 57 ans, cueillait des herbes à la cam pagne sur la vole ferrée des chemins de

d'intérêt local. Violemment heurtée par un train, Mme Frances fut projetée sur la voie et son corps horriblement dé chiqueté. — Alors qu'elle traversait le passage ù niveau du pont Juvenel à Montpellier, une femme âgée de 65 ans environ, cor rectement vêtue et dont l'identité n'a pas encore été établie, a été prise eu écharpe par le rapide Paris-Narbonne et tuée sur 1er

le coup.

VICTIME DE L'EXPLOSION D'UN RECHAUD Montpellier, 20 Avril.. — Mme Irma Bar thélémy, 31 ans, demeurant rue Terrai i. Montpellier a été grièvement brûlée au cou par l'explosion d'un réchaud à es sence qu'elle venait d'allumer pour prépa rer son dîner. Les voisins accourus aux cris de Mine Barthélémy éteignirent ra pidement l'incendie qui s'était communi qué à l'appartement de la victime. Trans portée à l'hôpital Saint-Elol, elle y est

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PETIT J OURNAL Le Petit Journal

21 — 4 — 30

NOS ORGANISATIONS SPORTIVES

La victoire du Belge Vervaecke Le tournoi international de football De- dans le 3l mc Paris-Roubaix cycliste Langlet, Stade de Paris

c'est l'équipe française qui l'emporta par Aujourd'hui, suite des luttes, d'abord entre le S.C. Danubla et la Normandie Sportive, puis, à 16 h„ pour la coupe du Petit Journal, l'A.S.A. au gTand complet rencontrera l'Entente Russe, forte équipe de sélection, et la partie s'annonce comme extrêmement intéressante. Elle est assurée d'un beau succès. Entente Russe : Toumanoff, Misersky, Grodonitcheko, Répi<nsky, Rybach, Grunberg", Orlovsky, GenieefT, Bénédictowltch, Zaronduefï, Qravtchenko. A. 5. A. : Pansart, Chauvat, Rousseau, Lauquin, Canapa (cap.). Charrue, Boons, Labru, Gulllon, Boulmier, Forgeon. Rendez-vous au Stade, 25, Grande-Rue, à 2 heures 15. Açcès facile : trains Gare de Lyon, à 13 H. 19. 14 h. 07 ; 12 minutes de trajet ; trams 31 et 24, place de la République, descendre au Stade.

LES GRANDS ANNIVERSA IRES AERIENS

II va y avoir vingt ans

S.),; 33. Bourdon (P. G. S.) ; 34. lage, 35. Jouade (C.S.L.) ; 36. ^ « ^ 37. Julien, 38. Cololbo, 39.. Talureau, 40. Paulhan volait de Londres Caucat, 41. Le Labourer, 42. A. Cordler, à Manchester Paris-Auxerre cycliste le 43. R. Cordier, 44. Vianeski, 45. Larcreet, • 46. Micheke, 47. Petillon, 48. Porge, 49. Le 27 avril 1910, à 17. heures 31, Louis Arrivé premier, le Maréchal déclassé La première journée du Tournoi Inter Paulhan, Laberne, 50. Quittel (C.C.R.) ; 51. Pequisur biplan Henri Farman, pre national organisé à l'occasion des fêtes 52. Le Jouan (C.C.R.M.) ; 53. Eusgnet, nait le à Hendon pour le prix de départ Pâques et le de le Olympique L'Etoile Sportive Auxerroise Red Star par a 250.000 tache (E.S.P.) ; 54'. Patureau, 55. Duval décerné francs remporté'un vif succès. 7.000 Près de par le Daily Mail per Club Sportif Clodoaldien faisaient dis (C.S.C.) ; 56. Jouanneau (V.G.S.) ; 57. Charles Pélissier, n'allait Paris-Roubaix qui plus aussi hier, Le 31* s'est aprés-mldl, pressaient, hier premier pilote effectuerait le sonnes se couru, au au Chape, 58. Place, 59. Jacobricci, 60. Zelputer hier, avec le concours du Petit • qui Paris." Stade de bien qu'aux puis le champion Six-Jours, plus favorable qu'on mer (V.C. V') ; 61. Mellec (U.S.V.) ; 62. par un temps bien parcours Londres-Manchester en moins Journal, la belle épreuve cycliste ParisLa première rencontre, qui mettait en de 24 heures et sans plus de deux Coudriet, Lecas, 65. Bornet Belgique 63. 64. Ayral, de Wauters et ami Deraurait le les son après mauvaises tout pu penser, es ca Auxerre. Manifestation sportive en présence, le Red Star Olympique et le les. Le trajet était de 299 kilomètres. (V.C. Pasquler, 68. XIX«) 66. Pinard, 67. pourchassèrent Trois : vendredi C'est de samedi et vaes groupes journées se point réussie, réconfort puissant pour L'Heureux (V.C ,V") ; 69. Coyeau (V.C. par une matinée excessivement fraîche, sur la route de Pontoise. Mais il n'y eut- Leyton F.C., se termina par une victoire Après un premier tous les détracteurs du muscle français, des Joueurs britanniques qui l'emportè P.R.) ; 70. Hospltal (V.S.) ; 71. Visser, jusqu'aux de définitif approches le soleil prometteur rien atterrissage à Lichmais que lor sous un rent 2 buts à 1. 72. Masclafier, 73. Le Page (V.C.B.A) ; 74. Tout au long du parcours, dans les par d'Annens, s'évada. Merviel, seul, Il départ fut Ce résultat était kilomé donne et le temps à ou acquis la field mi-temps. US Gibrat (U.S.M.) ; 75.'Dessery (C.V. XIX'); se main calités traversées, la foule massée sur — prit jusqu'à 4 minutes d'avance, puis Les Anglais, nettement supérieurs, au 76. Borguetta (V.C.S.) ; 77. Berton, 78. tint assez beau jusqu'à la fin trés — à 20. heures le passage, prouva que la vitalité de raient dû plus nettement. Plus Ziecher, fut l'Autrichien vi Ricard XIX") 80. Le rattrapé Bulla, tan 79. (C.V. gagner C est le Belge Vervaecke qui voit ?on ; par 10. Paulhan repre l'idée sportive ne fait que gagner plus rapides leurs (C.S.H.E.) et adver Berre Beauquler qu'Antonïfi goureux (C.V.D.) 81. dis que ; naviguait seul Magne ; s'inscrire palmarès cette nait de des-points jusque dans les villages les au sa route le baile, lis saires, contrôlant mieux la 82. Fonce, 83. Descantes, 84. Larepin, 85. nom et peloton. devant le Cela dura du lendemain à 4 heu gios moins vivants. Suivre pendant 170 kilo Imposèrent le plus souvent leur jeu. Le Laroche, 86. Desbordes, 87. Gaillard, 88. jusqu'à mi-chemin entre Doullens et '9 Red Star mena quelques belles attaques, res pour arriver ; mètres les efforts de ces jeunes athlètes Celles, 89. Blondéau, 90. Dumont, 91. Sarfurent rejoints où les fugitifs et Arras, finalement à. 5 heu-' elles tholer, Landréat, mais heurtèrent à (V.C.C.E.) 93. la 92. Bast solide dé constitue un spectacle unique. Pas de se ; absorbes. fense Leyton. de 94. (V.C. XIX') 95. Donne, 96. Foucat Manches à ; défaillances insurmontées. La fatigue res 32 C'est alors qu'à Larbret, Vervaecke Le second match opposait le C.A, Paris Rousseau, 97. Grenier (V.C.N.) -, 98. Léon, Qui ter. momentanée qui rend les muscles dou l'Olympia 99, Bretel (V.C. V') ; 100. Gautheri.ii (V. de PUsen. à a Il termina à Maréchal chercha s'echapper.et se Le champion an facultés annihile les loureux et men C.G.) ; 101. Carmlve, 102. Lemarle (C. l'avantage des Joueurs Parisiens qui le rejoindre Ghyssels seuls et purent glais Graham Whi- ' tales est rendue inopérante par les vo le Marcheurs? des S.I.) ; 103. Morand, 104., Terraz (V.C. triomphèrent par 4 buts à 1. toutes à pédales. tous trois s'en furent te s'était envolé le lontés tendues et le courage qui don XIX«) ; 105. Boyer, 106. Compain (E.S. Le début de la partie fut à l'avantage à Ils arrivèrent Arras deux minu avec VP) ; 107. Gambert, 108. Druinaud (GP.); même jour que du C.A.P. Ce fut cependant' les Tchè nent au mécanisme la force nécessaire d'avance tes d'une tren groupe 109. Guérin (C.S.V.) Trouillon un 110. (V. sur qui ouvrirent de Warmle Paulhan, fatigue. ques la balle ; score; ayant Pour la quatrième fois, la société « Les C.T.) ; 111. Vaianl (SP.) pour vaincre la d'hommes Joly taine Ronsse Clepkens et 112. frappé la barre se que transversale à ; la suite Scrubbs, à 18 toood lie soleil, hier, se mit de la partie; la Marcheurs français » met sur pied, cet (C.V. XIX') ; 113. Sauron (U.C.S.O.) ; d'un plongeant, rudement. shot couaient Falquès, gêné le par heures 25. Il atter forêt de Fontainebleau avait revêtu sa après-midi, le trophée des Marcheurs 114. Camélias, 115. Noé (V.C.T.) ; 116. Larsoleil et surpris par la trajectoire impré commencèrent pavés Nord Les du contrées de belles rit à Road à 19 les de fête, toilette qui a connu les années précédentes un cher (C.S.) ; 117. Vallet (B.V.C.) ; 118. du ballon, ne put empêcher Vana de vue Brugère, leur Blsseronj Aumerœuvre. i'aullian route de Louis heures 55, ayant notre France que traverse la Cadoret (C.S. XIXe ) ; 119. Franquevllle succès. très grand A la vingtième minute, Languilmarquer. lâchés Leducq, Drogo sont le, Paul Le 120. Augros, 121. Ferry, 122. Kingler (C. couvert 96 kilomè 11er servit Droyer qui mit les deux équi Moret à Auxerre, riantes et ensoleillées, En 1027- Desrçranges fut le vainqueur C.V.) Ferdinand et Le Drogo, remission Raulln (C.S.) sans 123. 124. Maillard. à égalité. le ; ; repartit, reposent la vue et rafraichissèntle cœur. 28, à 2 heures 50, pes Il tres. en de cette belle épreu 125. Boyer, 126. Le Mouel, 127. A. DalleX h"a à jamais accidenté Amiens, re pu Après démons le le à cette belle C.A.P. continua ombre repos, Poibsworth à 4 heures 5; à do et s'arrêta à Une seule Magne enlevait magne, 128. M. Dallemagne, 129. Wattiau ve, miner défense et la venir. tchèque, très civilité faible, se tration sportive : le manque de à 127 kilomètres de Manchester. Peu le trophée en 4' h 130. Poisson, 131. Billon, 132. Delolme, A Arleux, Ghyssels doit abandonner nt passer à plusieurs reprises. Les Pari soit après, de certain délégué officiel, qui croit que il s'élevait à nouveau pour s'ar 40'55" én 1928. En 133. Lissayon, 134. Lauradoux, 135. Feret, siens marquèrent trois nouveaux buts et rapide il est deux et compagnons ses les l'autorisent à tous fonctions rêter à Lichfield, au bout de 16 kilomè Trouillon, 137. Lallenec, 138. Adnet, ses l'emportèrent finalement par 4 à l. l'année derniè 136. fin, absorbé peloton. peloton, le Le ment par de-correction la et 139. Branguet, 140. Larchevêque, 141. Val écarts de langage tres : apprenant la victoire de son rival, de let (V.C.T.) 142. Eono, 143. Glrault Chicart, C.A.S.G. Is réa l'arrivee essaie de re, proche, Le Havre sent A.C: et qui plus élémentaire. il abandonnait. l'Etoile Sportive 144. Baudoun,; 145. Gonordjean, 146. Galles -tentatives de Van Rysselgir, mais Ce que fut la course : 150 coureurs font Louis Paulhan me confia, par la suite, match nul Colombienne, Ins liot, 147. Bosser, 148. Rousseau (U.S.V.) ; berghe, de Joly et de quelques autres s'alignaient1 au départ, donné à 9 h. émotions, alors que, faisant une en crivait son nom au 140. Rousies, 150. Varbeîla (V.C. 4 Ch.) ; sont trop molles pour aboutir. Rousse, Hier après-midi, au stade Jean Bouin, ses à Sè quête auprès des champions, je lui de au bas de la côte des Bruyères,propice 151. (E.S.P.) (C.V. Bastien, palmarès la ; 152'. Bazire lesquels on comp le C.A.S.G. recevait le Havre A.C. La partie mandais Bonduel, Frantô, sur début est La route, D.) peu Morln, Ameduroy (E.S.P.) 154. le moment de leur carrière qui au 153. vres. termina par un match nul : 4 buts à 4. ; grande manifesta 155. ; Gallerand suivre. Fran se En peuvent plus tait, que ne Rlpoche (C.C.R.R.) 156. à la vitesse et aucun fait saillant ne se première mi-temps, les Parisiens, ra leur avait laissé le plus profond sou tion que le Petit (V.C. XIV') ; 157. Chaize ; (P.G.S.) ; 158. frais, mais ipeut Pelissier est ne se cis produira avant Essonnes, atteint à pides et décidés, manœuvrèrent constam venir : L'abandon de Charles Pélissier Journal patronne. cette difficuldégager rapidement Klein, Semàl 160. Ernst sur 159. (S.O.S.) deux ; ment leurs adversaires et marquèrent trois 9 h. 55. Le peloton se scinde en « Ce fut, sans aucun doute, ma remau .contrôle d'Amiens Qui gagnera cette (E.S.P.) ; 161. Laporte (V.C.S.) ; 162. tueuse fin de parcours. buts. Ils menaient 3 à 0. au repos par entre Essonnes et Ris-Orangis, par suite Londres-Manchester, me répon donnée année dont ? Le jeu du Nortel (V.C.R.) ; 163. Barnay (U.S.M.) ; grande épreuve classique. Il l'incident alors place C'est La que se seconde partie du match Voici vit la de tête. quel hommes un re l'effort des de a eu pronostic est trop 164. Poustier (C.C.R.R.) ; 165. Culllerdler que chance, puisque c'est, en virement complet. Les Parisiens fatigués dit-il. Ce prix avait donné lieu à une parlé tout à l'heure. avons nous somme, côte de Ris-Orangis; le premier pelo (U.S.V.M.) 166. Lucas (V.C. X«) 167. ; ; leurs efforts du début ralentirent sen compétition assez ardente et le jour oit délicat pour aujour Bouchet (G.C.S.) Et l'arrivée vit Maréchal franchir la de décision des commissaires, consé Jaumoullle, 169. 168. ton, emmené par Fouerre, s'allonge sur une ; siblement l'allure et les Normands en je me dédiai à la tenter, Graham White d'hui. En effet, la Pugnet, 170. Frouin, 171. Renaud, 172. cutive à incident, qui lui cet vaut plus de 200 mètres. Derrière, un second profitèrent pour dominer nettement. Ils prenait les mêmes dispositions de dé un saison est encore à Diard, 173. Marc (V.C.S. XIV') ; 174. Ver- honneur. Voici faits les marquèrent tout d'abord deux buts. Puis, part. peloton, emmené par Vatus, chasse, : Magne no'us nin, 175. Dickele (V.C.H.) ; 176. Chavan, début et Vatus son de Maréchal, empêcher Vervaecke échappes du sur . une échappée, la Générale marqua » Voulant à toute force m'assurer la et se champion de France n'avons mais ne pourra 177. (A.S.) Chavan, 178. Obœug 179. Leli ; aucune un quatrième but. Sitôt la remise en jeu. supériorité dans cette lutte, je n'hésitai peloton dix kilomètres, avant Arras, vo des favoris sauver et de rejoindre le premier grou un Taravella, (B.S.) noir, 180. Rioux 181. ; meilles les Havrais portèrent le score à 3 et par sur. gne chute 182. Mou (C.V. XIX') ; 183. Mailfert guaient ensemble depuis cet instant, pe au prix d'un bel effort. Une vinrent à égaliser dans les dernières minu pas à m'envoler le.soir, à 17 h. 30, samarche. spécialistes leurs Cepen de la augmentant (M.S.) Dorel leur Du 184. (U.C.S.O.) cesse sans avance. ; ; 185. VIchant très bien que le jour allait pren se produit dans la forêt de Fontaine de la partie. tes dant des noms s'imposent à notre atten guier, 186. Janvier (C.CB.B.) ; 187. Tabon rant les 40 derniers kilomètres, Ver bleau; plusieurs coureurs en sont vic tion. dre fin bientôt, mais résolu à pousser Magne, champion de France, Le- (V.C. V') ; 188. Maurocet (C.S.) ; 189. vaecke se refusa absolument à mener le Les autres matches times, peu atteints heureusement, sauf mercier mon vol jusqu'à la nuit. et Sainz, ponnant, Vérité, Ténot Setler (V.C. 4 Ch.) ; 190. Brochard (P.K.); train et ce fut Maréchal qui dut faire Sauveau, assez grièvement atteint, et et Desgrangae. F.C. Sète Ol. b. Alès ...... 191. Royet (V.C. 4 Ch.) ; 192. Massé, 193. » C'est ainsi que je terminais presque 3 à 2 pénible tout le plus travail. advint qui est hospitalisé à Fontainebleau. SouIl C.A. Genève Ol. dans les ténèbres la première partie de et Marseille (rés.) Vaillant, 194. Lecart, 195. Leroux, 196. 2 à 2 L'épreuve est ouverte à tous les mar- Masson haltons-lui un prompt rétablissement. A churs les hommes deux tour Ol. connurent Marseille V.F. b. (U.S.S.). Manhelm (C.V.D.) 197. Lamoulen que à 5 4 mqn voyage. La nuit se passa dans une ; .... licenciés de la Fédération Fran Veneux-lesrSablons, Candelier et Girard F.C. Rouen.et S.A. à tour défaillance, Bordelais Prix d'équipe Sportif, V.C. la mais à Vincennes 3 3 attente fiévreuse, car je savais que : ne purent se .... d'Athlétisme. çaise 40 de FC. à Lyon b. Savona suivis de Rueil-Malmaison, tête, 1 C.C. F.C Houilles, V.C. 3 à 1 Graham White, aussitôt après lâcher. seuls kilomètres m. A 3 de l'arrivée, Ver sont en mon dé départ lieu place lie la de Girard Corbell-Essonnes, V.C. Triellois. sur Après Moret, aura Lefort. vaecke s'échapper, Fouerre et tente de mais voyant part, s'était élevé à son tour. Tous les engagés sans exception devront que Maréchal n'a pas lâché, il ralentit à Vincennes, à 13 h. 30. faiblit et est absorbé par le peloton. A la Mairie, d'Alger Les fêtes J'attendis le jour avec impatience. gymniques leur présenter leur tout aussitôt. Rageusemént, Maréchal » retirer dossard 30, Voici l'itinéraire et l'horaire détaillés: pour Sens, que nous atteignons à 12 h.pré heures matin, A du alors que l'aube se licence 4 signée commis 1930, les par eux ; Vincennes (rue de Fontenay, rue de saires de Candelier, Bernard sont en tête, démarre à tour. cet instant, A délégué de les et service le dessinait son ù peine à l'horizon, je fus en courses (13 h. 45), s'assureront cédant le peloton de 4 m. 10; ils ne Franc), Fontenay-sous-Bois ainsi dç la qualification de deux hommes sont sur un. bas-côté en Alger, A,vril. 20 — Plusieurs milliers de position de vol, pensant être talonné par continueront pas leur effort, un groupe avenue de la République, boulevard de l'intéressé pour l'épreuve ci-dessus. cendrée, comme on n'en trouve que ont assisté aujourd'hui, à la mon redoutable concurrent. personnes emmené par Moreels ' et Speicher re Verdun, boulevard Galliéni, avenue de dans les régions nordistes. Bande très fête gymnique scolaire et militaire qui » Le départ fut impressionnant, vu joint bientôt les fuyards, une courte Neuilly ; Le Ferreux (13 h. 55), rondétroite, surplus s'est et, voulant déroulée dé le de courses l'exiguité du champ. champ Circuit du Soissonsais au en sur ' Maréchal lutte s'engage; Candelier semble man point de Plaisance, boulevard d'AlsaceVervaecke, Maréchal d'Alger. le bous passer Les groupements sont pré Malgré vent violent soufflant se un par » ; Neuilly-Plaisance (14 h. 15), Vélocipédique soissonnaise cule du coude et le Belge tombe. sentés d'impeccable les façon quer de cran, et abandonne un peu Lorraine L'Union et rafales, je continuai Man vol mouve mon vers La Maltournée, boulevard Galliéni ; fera disputer aujourd'hui son épreuve qui, arrivé premier à Roubaix, fut ensuite ments d'ensemble ont été parfaitement plus loin. Maréchal arrive à Roubaix 200 chester. Dire transes les lesquelles avec par tete qui. ne Neuilly-sur-Marne (14 h. 15), rue de annuelle, le Circuit, des Cantons du Sois- mètres d'avance sur Vervaecke, qui. védéclassé pour avoir fait tomber Il reste trois hommes en roulant exécutés. Et le public n'a ménagé je suis passé est impossible pas à ses presque tou Paris ; Chelles (14 h. '45), Brou, Pom sonnais, placé Vervaecke ralentissent pas leur effort, clame applaudissements. aussitôt, patronage assurant décrire. du le le Qu'il suffise de que jeune savoir sous vous que Moreels, ponne, Thorigny; Lagny (15 h. 45), Tho- Petit Journal. jours entre 32 et 34. Ce sont Grenellois l'a fait tomber volontaire ligne d'arrivée et s'écrouler d'épuise Ce matin se sont déroulées les épreu je fus complètement le jouet des élé • changement rigny, Pomponne, Brou, Chelles (16 h. La course est ouverte aux indépen ment. Speicher et Hass. Aucun ment, et Vervaecke, sitôt descendu, se ves de course, de sauts, de lancers, por ments, vent, pluie, grêle, et que c'est est si où côte h. la Neuilly-sur-Marne Neuil , (17 30), 45), jusqu'à l'arrivée, dans dants, amateurs et débutants des dépar Les commissaires, réunis' après l'arri précipiter pour « corriger » son vain tées au programme du Championnat de grâce à la parfaite connaissance de mon démar Moreels ly-Plaisance (17 h. 40), Le Perreux, tements : Aisne, Ardennes, Marne, vée, ont en partie fait droit à cette ré queur ...momentané. H fallut le retenir. France individuel de gymnastique. Ce appareil que je dus de tuée la bande blanche : prix suivi première place, là Fontenay-sous-Bois, Vincennes, arrivée Seine-et-Marne, Seine, Seine-et-Oise, clamation le peloton se présenta, à sept championnat a finalement été gagné par offert par le Daily Mail. gagner le s'assure Puis re et Romain sauf Bellanger,. — qu'on ne le Belfortain Krauss. Georges Leroux place de la Mairie, à 18 heures. de Speicher et Hass. l'ancien routier, devenu commissaire, minutes, et Antonin Magne,sprinter, Oise, Nord. Somme, ». A peine avais-je atterri qu'une Uluie .. l'école se s'est classé second et Solbach troisième. diluvienne Les vestiaires seront installés à LE CLASSEMENT : départ donné à 14 heures route qui était d'avis opposé — et ils ont ins considérait pas comme un Le s'abattait sur la région ter sera ré des hommes à régler Liberté, Vin de luxe de la le dès 5, L'école (C.V.D.): garçons, rue de Joinville paya tallé cet l'arrivée fait, 10 de Vervaecke à la aprèsminus 18 Laon à Soissons fera première place, et de h. s. a m. se 1. Moreels, en 5 mon voyage. » — Jacques " seconde, en putés redoutables dans une arrivée en midi, une brillante démonstration. 3. Haas (Ç.S.C.) * 4. cennes. Maréchal allée Mail (café ramenant à Mortane. du des Promenades) la Soeicher G. 2Lefoft vers , paquet : Joly, Rousse, Suter, Frantz et Les règlements sportifs et le code de 17 heures 30. (individuel) ; 6. Bernard (V.C.L.); guise de punition. (OP. 6. Brun (C.V. 10») ; 7. Bernard R.Proust la marche (Fédération Internationale Telle est l'histoire, histoire navrante C". Les vestiaires sejont Installés place B. (C.A.S.G.) M, ; appliqués, seront 8. Krauss Et, dans le brouhaha déclanché par Amateur) D.E.) Athlétique prive* Centrale de qui '(café la Paix) chez Boil'un de plus brillants M. nos 11. es 19M ; (C.SJ3.) ; 10. Cassonne (C.V. Maréchal, la foule s'écoula. l'allure de course i à pied étant absolu vin. poirs de la route d'une retentissante l'incident ; Morand (C.S.N.) : 12: Regasse (P.G.S.) Paris-Roubaix avait attiré, sur la fin René ment interdite. A, 13 h. 45 départ en groupe. Itinéraire victoire, qu'il avait au surplus fort mé 13. Girard J. (H.S.) ; 15. Lepeu Les-concurrents devront garder la obligatoire : rue du Commerce, rue ritée et qui ne lui «eût pas échappée, du parcours, des milliers de Nordistes. P. (E.S.A.) ; 16, Gabos (H.S.) ; 17. Jouel Dommage que son résultat puisse prêter Saint-Martin, République, étgnt donné place de la de vitesse (O.S.) ; 18. Lepeu A. (P.K.) ; 19. Kuenat droite de la route, afin de ne pas gêner ses ressources Hier, Auteuil à équivoque, car le succès fut grand. — la circulation. La tenue sera celle de avenue Gambetta, pont Gambetta, bou dans une arrivée. Garner) ;• Pierre le Grand (U;C.S.O.) ; 20. Maer (V.G.L.) ; ; Reucherant Gentis. et 22. Marcel £8 (W. (V.G.) (culotte Scanlan) ^ flottante mail Levacher ; courte sport 21. ; Pro Patrla 56è (C.-H. levard de Strasbourg, boulevard de Metz, •wv Quel beau dimanche pascal et quel pro Semblât) Centaury (U.C.S.O.) ; 23. Levlsat (V.C.G.) ; 24. Mo- lot). Les concurrents devront porter place de Laon. 56è (J. Marshall) ; ; Le classement 1 avec le Prix du Président de la 26. gramme (E.S.P.) La pénible fut rendue Saguez ; ? 8i 25. course (R Vincent) (C.6.C.) assez La Caprlc. : reau République, encadré par le Prix Le Gour- 56J (A.Palmer) ; ' La Cène.561; (F. (C:S. constamment visiblement, deux dossards, l'épreuve à Parcours couvrant de tant fraîcheur tem de la de la (Belge), Vervaecke Keogh); : Krauss M. (C.A.S.G,) ; 27. Garlnet cause Julien 1. poitrinë et un dans le dos. " zy et le Prix Turenne. La grande épreuve Cr. de Pler. 56} (N. P.). : 29. un sur la (moy. 14 11 pérature h. P.N.) ; 28. Besnard R. (C.V. 19')(S.F.) du vent gênant souf 8 qui s. km. 600 m. les 255 que en Soissons, Sainte-Mar délégué Bucy-le-Long, l'épreuve, sérieux comportanttous les grands et obs Le juge arbitre de Nous désignons : Doubled Slam, Willi; Gryzon P. (E.S.P.) ; 30. Aulory fla pendant toute la journée. Et Ver horaire : 31 km. 160) ; Mlssy-sur-Aisne, guerite, Condé-sur-Aisne, tacles des offrait pistes d'Auteuil la (V. d'Athlétisme, dé Gérard Ligue Parisienne pers bar. 32. la 8 h. (C.p.C.) (Français), Tartlllon ; en 31. 2. Jean Maréchal Celles, VaiUy-sur-Aisne (contrôle), Chas- vaecke et Maréchal furent bien les meil pective d'une course chaudement dispu Mar- par Prix de liutèce. — 25.000 francs. — 2.600 première appel sur toutes questions semy, la (déclassé de cidera C.M.) : 33. Baucher G. (U.S.G.) ; 34. sans 50 10 s. Bralne (contrôle), m. Restitue, Arcy et leurs lot chassa du si tée. spectacle Ce sportif premier personne de car, ne (C.P.) or Lebltou ; intéressant l'épreuve. (Français), en dre n'avait depo'd P. (XJ.S.B.J.) ; 35. Serponay, Beugneux, Oulchy-le-Chateau, sur eux après Arras,. c'est que personne place) ; 3. Antonin Magne manqué d'attirer mil des pas (Belge), Jolly Emile trottoirs serbnt 4. 36. Mayer (C.S.C.) ; 37. Goulet (A.S.), ; 38. ainsi 2 autorisés 8 h. 18 m. s. ; Les que contrôle). Oulchy-la-Ville. Rozet-Saint- n'était en état de le faire. ' de spectateurs dans toutes les en Deprafetère (C.PJ3.E.) ; 39. MoUot ; 40. les entraîneurs et soignurs. temps ; 5. Nicolas Frantz (Luxem liers même VillersAlbin, Vouty, Chouy, DampleUx, ceintes magnifique Hippodrome de la Fuki) ; Epi de France 54 (N. P.) ; Teinci Mais les principaux Moulin (Avallon). bourgeois), même temps : 6. Merviel, en Société du Cotterets (contrôle), Soucy, Cœuvres, Vic- dents dèsprenons Steeple-Chases de France. A reus 54 (G. Garner) ; Le Cander. 53 (P. des Spor Club engagés Unis-Sport 1. de» Liste Perrain, début. : le Prix d'Equipe 8 h. 18 m. 5 s. ; 7. ex œquo : (contrôle), Pontarcher, Soissons. sur-Alsne la pelouse et au pavillon on s'écrasait. D.) ; Enfer 51 (N. P.) ; Largo 51 (M. Botif Clodoaldie n. ' ' ' Une forte rrime était offerte au pre Van Rysselberghe, Declercq, Henri Suter, Colombienne Sportive élégante Etoile : 1. Chi- Distance totale, 120 kilomètres. Assistance pesage où les pre naventure) ; Open Ditch 51 (R. Kaiser). . Cormeùles, Godinat, Van Slembrouck, Tailleu, De- mières floraisons desaumodes côté de Favy, haut la Benay. mier de 5. Cornu, 4. Poutet, 3. 2. en engagés de printemps Liste des car, Nous désignons : Plcatlor, Cri de Guer: DUCR0CQ TRIOMPHE waele, Louesse, Ronsse, Armand Van se fondaient en des coloris variés départ; douze mètres lieu du à cents du Cercle Sportif d'Eplnay : 6. Vérité, 7. . et char Hamerllnok, re. Leroy, (U.V.S.). Cardelain, 2. 1. Soissons, Pierre Magne, Bruaene, Haigle, 9. Dujardin, 10. Nlstar, 11. Le— Un objet d'art offert par le chef Foucaux gagna devant Maréchal, après Dossche, Prix d'Avril. — 20.000 francs.»— 2.200 nchan, (U.V.S.). — 3. Cornu (U.V.S.). Verhaegen, Bonduel, H. Martin, mants. dans le Grand Prix cycliste G. — à l'allocation clercq, 12. Pruvot. de l'Etat vient s'ajquter de de suite très serrée. Tout mètres lutte même : Quand Même 58 (M. Fruhlns4. Kulich (U.V.S.). — 5. Leblond (U.V.S.). une Goblllot, Jean Aerts, tous dans le Vallée Doumergué la Marcheurs de devait : 13. Connant, 250.000 francs. M. l'on se holtz) déclencha et après, bataille 29. la Dervaes ; ; Prestigieux 58 (C.-H. Semblât) ; Lorgeaux (U.V.S.). — 7. Denis (U.V.S.) se de la Seine-Inférieure temps ; 27. Wauters ; 28.Ghyssels & une course placée sous Estoublon 58 (E. Chancelier) 14. Pavé, 15. Souquet, 16. Vasseur, 17. Bru- — 6. d'assister donc 32. lâchées, premières vedettes 8. Delahalgue (U.V.S.). — 9. Bezoteaux vit, comme ; Fontan ; 30. Riera : 31. ; King's Bab net, 18. N. Chazanoff, 19. M. Chazanofi, — le vocable de sa haute magistrature, 11 58 (E. Ellis) ; Miltlade 58 (A. (U.V.S.). 11. Bretbès) : (U.V.S.). Devaux Verdyck.10. dernier, 33. vainqueur l'an Leducq de Meunier, le ; — 21. — 22. Oudot. Parain, l'Etat Phal, manqué. de 20. Le chef n'y a pas Taicoun a 58 (G. Garner) Fère-en-Tardebois. Rouspéteur de la 12. Caron, Prix Broyon, Grand 58 Rouen, 20 Avril. — Le — Olympique Billancourt : 23. Per- en-Tardenols; 14. Hoet, Fère-en-Tardegoût le (N. P.) ; Onafrasl. 58 (A.; Esling) Sost témoigné Club de d'ailleurs pour son organisé le concours Beine-Inférieure avec rier, 24. Guiilas, 25. Jhlenne, 26. Saint- nois sport hippique chaque fois qu'une grande 58 (A. Reinette) : Tawriz 58 (N. P.) ; ; Sao . 16. HamberVincent) Soissons. un très gros du Petit Journal a remporté engagés, — Lhe29. .— Casselin, Pé, Louis Petit, 28. 27. réserve du Stade occasion lui en a été donnée. Reçu aetl'en Thôme 58 (R. Ferré) ; Les Bosson. 58 l'équipe battit 120 bois. — Vincent, Soissons. — 16. HamberSports défaite Une nette succès. Sur 130 concurrents RUGBY ' : trée du pesage par le prince Murât les (N. P.) ; Jatlva 58 (G. Va tard) ; Grey noret. Français par 19 points fi 6. sin, Soissons. — 17. Gandon, Bazoches. — prirent le départ. P.T.T. 30. Association Sportive des Commissaires,He Président a été conduit Glrl 551 (P. D.) ; Katrine 55J (J. "" : 19. Dubulsson, Toulousain La première ml-temps du match Stade Stade du La première course, qui réunissait les Champay, 31. Delcourt, 32. Foucher, 33. '18. Turpln, Reims. — l'attendaient les per hall). où tribune dans sa Français-A.S. Carcassonnaise fut nette se disputa Godichon, 34. Jobit, 35. Liccla, 36. Mau 20. Carller,, Rllly-la-Montagne. — 21. coureurs de 3 e et 4' catégories, officiels. après-midi, l'équipe parisienne sonnages maintenant désignons : Prestigieux, Miltiade. Fassio, ment à l'avantage de Hier de 120 kilomètres. Elle fut rice, 37.- Prince, 38. Qulntrlc, 39. Phi- Joly. Rilly-la-Montagne. au stade Jean-Bouin, — 22. sur un circuit physionomie Nous Donnons une. (4 essais, Prlx Toussaint, Tou 1 but) Greffulhe. eh Reims-, Stade menait 14 points recevait le qui (Poule des Produits). Reims.. 23. Généraux raison de par t CAS. son le très par dure rendue — — Reims. —25. Guérin, Sannois lippon.' de la grande épreuve où neuf concurrents 40.000 fr. — 2.100-rm. : Eglantier (C.-H. et des drop-goal). Bruyère, à difficultés, côtes 24. 4 (1 lousain. hérissé de cours le parcours sur dix- Semblât), : Sir Edwar 58 (N. P.) ; Ch. Union Athlétique Intergadzarts : 40. — Ellner, Epernay. — 27. Mouls, Epernay. etc.., ml-temps le Stade n'ont pas terminé Dans la seconde Dès le début, les Généraux s'Installent centes en lacets, routes défoncées, Drignon, 43. Jo 41. 42. Entre les tournants : Su Bouscaut 58 (A. Rabbe) ; Alcyon 58 (N. : Brun, Brochot, 28. Barba, Epernay. — 29. Masse, Paris. dans les . buts toulousains et, après deux Français- marquait deux nouveaux essais neuf partants. Cela n'empêcha pas les concurrents de seph, — Well précédaient Le P>) : Flying Fo. 58 (N. p.) ; Energie 58 i PlMembre, 46. Lebreton, 45. Strélitz, Very 44. Dès le dé 30. Duc, Reims.*— 31. Gret, Anizy. — minutes de jeu, Finat déborde la dé qui étaient transformés cependant que roît, réaliser une bonne moyenne. peloton — Suroît était (E. Haynes) : Junker 58 (N. P.) ; Taicoun 47.'Pommerolle, Repillez, 48. 49. droite réault, la ligne Boudeur. Dans ' est le 32. Rossignol, Anizy. fense toulousaine et transformé. marque un superbe Carcassonne réussissait deux buts sur dépassé part, à une allure très vive, Well qui 58 (N. P.) ; Le Tourbillon 58 (N. P.) et Very Siegel. Strélitz 50. Sain,tot, Réàl lâché Durant gagnait par et Société Athlétique Carrières d'Amérique est essai qui, n'esti pas secoué. Dans Canteieu, coup franc. Le Stade Irançais Telegram Collecteur 58 (A. Esling) ; Veloucrê. 58; à fin. nettement la l'emportait : Géné crève. à 10 buts) les: essais, 3 mi-temps, première 24 pts (6 ainsi « cette que Crohen Exter- 51. Mouren, 52. Toulgoat, 53. Couret, 54. par Dros s'arrête tandis Monvllle Vélodrome Au CYCLISME Emoi, Amll- (C. Bouillon) Glnger Aie. 59 (E. Bouil devant : plaçait quatrième Van nettement; malgré quel (1 drop goal, 2 buts sur coup franc). se dominent Dans la traversée de raux » 55. 57, Grandjean, 56. Décampé, Buffalo toulousaines. Trois nou lon) ; L'Habit; R. 58 (G. Duforez) ; D6car et Le Boudeur. attaques matches amicaux ques Les ferem crève et His s'arrête, Delahaye crève Devrlese, Leclercq, 58. Louis. essais sont ajoutés à l'actif du Very Well a triomphé de ses adversaires minlca 56} (N. P.) ; Santuzza 561 (N. P.): Bois-Guillaume. veaux Vélodro organisée hier La réi-.nlon Généraux au à 11 Sports 59. 27 Athlétique St-Junlen MauU.S. Club Son heureux Joconda 56} (N. P.) ; Miss Mous. 56J : U.S. Perpignan b. C.A.S;G. .essais marqués, deux par se Dans la côte des Essarts,, Ducrocq au milieu des acclq^aatlons. 61. Lallemand, 62. Fer- me Buffalo comportait le Grand Prix de gajn et un; par uaguerre. Du côté - de Lyon O.U. b. C.A. Périgueux.... 28 h 3 propriétaire, 60. Sainz, François, Beauvois, mais guidon, Gustave M. 11 a reçu (N. P.) ; Cr. de Pier. 56} (F. Keogh) ; Plus loin, son casse sauve. Voi Toulouse, la ligne de trols-quarts effectue C.A. Bèglals b. St. Poitevin 9 a 7 les félicitations présidentielles. Un peu Cloche d'Argent 63. Flageul,, 64. Renault, 65. Godin, Pâques de demi-fond derrière motos. 56} (N. P.). malgré ce handicap, 11 termine premier non,Lemercler. ci quels furent les résultats des épreuves quelques belles attaques, mais les pas F.C. Lourdes et Sect. Palolse.. 16 & 16 plus tard M. Doumergue couvrait d'élo 66. ^ Nous d'avance. désignons 200 mètres : Château Bouscaut. avec 26 à 0 ges les quatre premiers officiers qui Energie. Union Sportive Maisons-Laffitte : 67, disputées à: l'américaine (amateurs é in ses sont mal assurées et, à l'extrême dé Av. Bayonnais b. Biarritz Ol.. Voici le classement : 1. Ducrocq, en' Course " 6 avalent fini en tête du Prix de Turenne. viennent Spiquel. Pamiers b. Lavelanèt Prix de la Jonchère. ;— 40.000 francs. — fense, Borde se montre insuffisant. . 3 h. 34 m.; 2. Bâillement. Puis,Bouteiller, iRollion-Driancourt 1: 1. dépendants) 30 .: à 10 Athlétique 68: 11 Des Roanne.. Société Montrouge le de Toulon N.A.C. b. sift'lée est score R.C. (haies, vend.», : Oak a mi-temps sur Boucher, Amy, La Koman I.400 mètres : King Arthur 63} (A. Es Prix Lessentre, Boll, Drouaux-Henri Pierre. 12 à O Francen 42' 38" 2/5 ; 2.Pâques R.C. bat C.A.S.G. Scottlsh London Trlcoche, & M. J. ling) ; Slipper 63* (E. Chancelier) champs. faveur du 1. fr.. 3.100 10.000 : Daoust, Lambert, Balzac, etc. en m. ; Pa derrière motos Peu après la reprise; il semble que Tou A.S?P.P.(réserves) de Prix Grand 13 à 10 Moulllefarine (C. Jolner) 2. Adamastor; lais Royal 63} (W. Scanlan) Menteur, 70. Magne, Individuels 69. lut débutants réservée : Cardénlo aux La course ; 1" série (30 kil.) 1. Paillard en 23' 27" ; louse a l'Intention de remonter son han ' b. 17 à 0 3. Dollar King. U:S. - ' Nlvernalse '72. Korzeniowaki»*1 N. pl. : Lowendabl, 61 (N. P.) ; Hlram 55 (C.-H. Semblât) ; car cette catégorie 71. Delhommé, encore plus difficile, — mètres 3. 120 2 et tours Lacquehay à 2, ; Cercle Sportif Fontainebleau : 73. Mondicap. Borde est passé au centre de la li Garfleld II, Auguste II, N'Zao, La Brioche, Golden Ma. 55 (G. Garner) ; L'Artiste 53 n'est pas encore habituée à des parcours poix; Au Conseil de la Fédération Wynsdau ; 4. Urago ; 5. Lasbordes ; 6. gne de trols-quarts. Il sert avec à-propos La 74. vaux. Civette. — 9 part. — 8 1., 6 >1., c. tête. (X...) ; Mullingar 63 (A. Rabbe) ; W. Nor aussi dura. Dhuez. 7. Prléto ; plaqué Guidi. 7.50. Côte 75. s'échappe mais est, 10.50, d'Azur Dùlaurens avant P. 9.50, Ligne 33.50: cote, : qui Mutuel. G. dans la 53 (N. P.) ; Brian Bor. 53 (L. CorW. La course se joua Wambst, en in extremis Peu après, cependant, une Le Conseil de la Fédération Française — Gourzy (haies), 50.000 francs, Sourdez. ; 2« série (30 kil.) : 1. Aug. 76. détachèrent, Paris Marcheurs de Club : Le Prix dell) où 5 hier réunion Esneauvllle, coureurs se ». . au " ; La Voulzle 511 (W. Sibbritt) ; une de Rugby a tenu 2. Bréau à 1 tour et 40. mè attaque 24' 8" 4/5'; '77. Grâudin, Sportive termine Joseph Tlsdu Mans toulousains à M. s'effectua avants se AUobroge, Union : des décidé 1. sprint La Faisan. les 4.100 51} (N. P.) ; Zambelll 61t C'est : que fut m. au laquelle 11 que du groupe. tres ; 3..Miguel ; 4. Gaillard ; 5. J. Bldot; avec" succès, Ambert II réussissant à mar cours deappartenant Bardoult. 3. Fonsper2. Hoca Sentier) (P. P.). des sot : (N. dix ; l'arrivée. Voisin gagna avec deux lon 78.Marchéurs ' , joueurs au groupe, engagés tuls. 6. Cloespin. Ténot, Desvisiteurs. 80. les Paris 79. Rhodium, Cis de essai' Mirbat, lé premier pl. Palais King Arthur, pour N. désignons Pholoppe. : Nous quer : sont d'avance : Prleto, clubs qul çur. frands pas gueurs ne se — Abrefe. Lautaret, Double Dutch, . Finale des éliminés (20 kil.) : 1. Falvre, 82. R. Jonln, 83. 3. Le biiit' est réussi , par-Corbàrrleu. Dix mi Royal. tercien. championnat prochain Voici le classement : 1. Voisin, en 2 h. granges; Bl! G. 3. participer à 250 Lasbordes, au 2. 50" 3/5 m. ; 16' ; Vignolles marquait un de France pourront, s'ils- le désirent, op Clarimus (arrêté), Kilkenny, Dèce, Clave H. Lorlg;.85. M. Lorig, 86. Gar- en Bldot 4: Cloespin 5. Dhue?.. fin, la nutes avant Prix de la Reine Marguerite. — (Handi 55 m. ; 2. Pholoppe. Puis, Simon, Guédon, Jonln, 84. J. .-; ; Guichard, Toulousain. 87. 1/2, 89. 1. 88. Gérin, le Stade 1 1„ 2 Bijon, part. essai 14 Masson, second francs. — 2.200 mètres : debled, Rustlc. pour cap). Montier, club cin, Dugué, Rees, Mogue, immédiatement pour un enga — premiers (50 kil.) : 1. Pail Rien ter — des —(N.20.000 Finale suite Ebeet Tvon, 93. marqué la Perrin, 92, plus 91. fut Garpar Laguelle, 90. Jacquey, tête. 61} P.) Bohère, O ne ; Verdi 60 (G. Garner) ; Monplay. Bernai, gé dans le championnat et cela sans au lard en 39' 39" 3/5 ; 2. Lacquehay. il 190 le C.A.S. ainsi Filleul, Gaudru, l'emportait 96. Généraux Verdière, 95. par etc. 94. Castel (V. Flora) ; Mistenflûte roni, 59} Poulhleu, Lartigue, 21, Sar. 8.60. 22.50; P. 9, 200 mè condition. Mutuel. — G. reau, Leligoix, féliciter les organisateurs 97. Dercourt, 98. Voisin, 99. Deparpe, 100. mètres ; 3. Wynsdau, à 1 tour «t mètres essais, 1 but). cune à (2 essais) 8 (4 point3 12 Haynes) 54} (E. LA REPU DE PRESIDENT ; Sca. d'Or II 54 (C.-H. de Il convient PRIX DU ; tres ; 3. Urago, à 2 tours et 300 D'autre part, les demi-finales qui de BLIQUE miseconde milieu la de Notons qu'au 53} (N. P.) ; White construc Maudult. Citrouille Semblât) 250.000 Rouennals et le d'art, Objet 5. Iianrt.), Véloce Club mètres 350 ; (St., du ; le 27 avril, ont été re 4. Wambst, à 2 tours et lieu avoir vaient Borde fut François l'international Pavot temps, Pourpre 53} (H. à Clo. 53} (N. P.) : teur Vanel Gédéon. Mlquel, à 3 tours et 150 mètres ; 6. Bréau, portées 4 mal, la finale restant fixée francs, 4.500 mètres : 1. VERY WELL, au touché ! sérieusement Diez) 53 (C. assez ; Town Boy ; Arioste réclamation de l'U.S. M. Gustave Beuuvois (11. Ilaes) ; 2. Stré Allsop) Brooks) & 4 tours : 7. Gaillard, â 5 tours. Une mai. 11 au Hervé) Nil 52 (F. ; Aga ; omnium : 1" manche (1 kil. cou: Telegram, Le 52} (T. sujet de la formation des litz ; 3. Suroit. — N. pl. la Qulllanalse, au Français L'AJS. Poissy et le F.C. Antillais Deux cents coureurs prendront part treMatch Le Stade Ch. 61} (G. VaQuint Diez) Llght 52 (C. Lune, mi : la montre) : 1. Pecqueux, 2. Lemolne, demi-finales, ne fut pas acceptée; la Sec Beau (tombé), Le Fils de Va 3. Duforez) 50} (G. Néarque Selkirk tard) ; Aryan, ; 3.'Guimbretière, 4. Hournon. Classement: l'A.S. Carcassonnaise bat Paloise rencontrera donc le S.U. Ship (tombé), Amllcar, tion Parthénls 50} Jivcovits) II (M. Cra. 50i au Circuit de Maule (tombé), Mercure disputeront aujourd'hui la finale Javelot II ; , 1 Lemoine-Gulmbretlère, 2. Hournon-PecAgenals à Bordeaux, et l'U.S. Qulllanalse (tombé), 49 (W. Sib Controverse Ronald, Rabbe) Rex (A. Princes, le (arr.), Boudeur ; Le après-midi, Parc des (tombé), Tou Hier Carcassonnaise. l'A.S. au opposée à queux. sera II (tonjbé), britt) ; Mythe 49 (L. -Cordell) : Péricole match qui devait avoir Roublard (tombé), Bellone Emoi. du tournoi de football de Poissy 2« manche (Individuelle) : 1. Pecqueux, Stade Français rencontrait l'A.S. Carcas second tefois, ce Petit Journal, du le Avec concours : Walencla 48 (F. Rochetti) ; — 19 48 (N. P.) 47} 2 Lemolne, 3. Guimbretière, 4. Hournon, sonnaise. Cette ren#ontre avait .attiré un lieu à Lvon, sera disputé a Paris, au Sta Touareg, Dambach (tombé), disputer (N. P.) ; Open Ditch 47 Bigorneau ce ma Classement : 1. Hournon-Pecqueux, 2. assez nombreux public. Vincennes Sportif fera Colombes, le Stade municipal de part. — 3/4 1., 1 1. 1/2, 3 1. de de 47 (R. Vincent) ; Trivoline (N. P.) ; rideau, Salnt-Marcellln Lyon n'étant pas disponible le 4 mal. Mutuel. — G. 68: P. 18. 9.50, 18.50. lever de La première journée du tournoi de foot tin le Circuit de Maule, épreuve réser Lemoine-Guimbretlére. En Dibosi Hotchkiss 47 (A. ; Joachlm 47 (A. > 3* manche (poursuite) : 1. Hournon(St., mil., hors série), Reinette) Prix Turenne ball organisé par l'A.S. Poissy, avec le vée aux coureurs licenciés de l'U. V. F. Impérial 46} (R. Evmard) ; Journal, pour le chal de 4* catégorie et aux débutants. Pecqueux, 2. Lemoine-Guimbretière. 15.000 fr., 4.500 m. : 1. Blue Prince, a M. La Mau. II; 45* (L. Robson) concours du Petit remporté Classement général : 1. Hournon-Pec hier un excel d'Artigues (M. Gin) : 2. Chat Botté. — •45) (A. Chéret) ; Don Cours. ;44Thunderer lenge H. Adam, a prix d'équipe sera mis en compé Un (N. P.) Lemolne-Gulmbrequeux, 2 victoires ; 2. N. pl. : Y Blason, Brandelys, Irak Arabl C. d'Or II 44 (H. Signoret) ; Pétrouchk.: lent succès. réunira qui le club attribué et tition au (tombé et remonté). Lama (tombé), Al- 40 (M. Bêgtilristaln) ; Cerbère 40 (M. ^eLe premier match opposait l'A.S. Poissy plus grand nombre de coureurs dans les tière, 1 victoire. Poissy Poule de vitesse : classement général : 7 part. — 1 1. 1/2, 6 1., loin. et Saint-Germain Spqpts. L'A.S. manzor. —• rey) : Prlntartla 40 (J. Chevalier) GuiChéron, 8 pts; points marquant 2. 40 7 1. Scheerens. premiers. ; Mutuel. — G. 9.50; P. 6.50. 7. remporta une très jolie victoire, 40 (N. P.). Prix du Pont d'Iéna (haies, hand.), zerlx Le départ sera donné, à 9 heures 30, 3. Chapalain, 9 pts ; 4. Morl, 10 points. 5 buts contre 2. désignons : Mythe, Charles Quint. Nous par Café Quehan, à Maule. La remise des 15.000 fr., 3.100 m. : 1. Sapor, à M. J. DuLa seconde rencontre se termina qui battait dossards s'effectuera de 8 h. 30 à 9 h. 15, Aujourd'hui, Gompiègne vernoy (A. Diez) ; 2. Hernanl III. — N. un succès du F.C. 3Antillais, Rérolle PIED A COURSE Montsoreau, Mo : à Martinet, Stafford, buts 1. pl. Pecq l'O.S. du par : Labise. Baker. — 7 part. — C. tête, 4 1., Favoris du « Petit Journal » : nocle, Monaco-Nice Aujourd'hui, à 14 heures, Saint-Ger maison Maule, Thoiry, Itinéraire gagne l'épreuve de : Prix Capitaine Beausil. (Steeple-chase 8 long. main Sports et l'U.S. du Pecq disputeront Septeuil, Orv,illiers, La Maulette, La 17.50, 27.50. P. G. 28.50; Mutuel. — militaire, 3» série bis.), 1.100 fr., 3.000 m.ï la finale des battus, puis, à 16 heures, la Nice, 20 Avril. — La course pédestre 3.800 Neauphle-le-Pontel, fr., Calabrais 15.000 Queue-les-Yvelines, (St.), Poissy Ni Prix Doge, Cupidon. — Prix Rustang (Steepleflnale des vainqueurs réunira l'A.S. Monaco-Nice, organisée par le Stade de comte Richelieu, Cardinal au chase. cross-country, chevaux de, selle), m. : 1. Beynes, Mareil-sur-Mauldre et Maule, çois, a donné les résultats suivants : et le F.C. Antillais. terrain William KenToussaint) 2. sports de 2. Férol (M. France) II.000 fr., 4.500 m. : Caviar, Doyen. — des ; Rappelons que le ; 1. Rérolle (Racing Club de soit 68 kilomètres. Prémery, Fleet, Winner N. pl. 3. boulevard Malsons. Brestoise) net. Prix de l'Oise et du Syndicat des Eleveurs situé de Sportive : ; Poissy est L'après-midi, des attractions seront Jatteaux (Union —Yves, Sesell (dérobé). Le Horla. Marseille) Frère de Demi-Sang en France (at chevaux de Club de (Massllla — ; Signoret données (course de vitesse, course aux 4. 1. 1/2 7 part. — 1 1. 1/2, 3 1., telé), 13.500 fr.. 2.000 m. : Condé, DoryiMorlez (Massilla Club) ; 5. Bonnet (U. A MAISONS-ALFORT 11. œufs, cours de lenteur, etc.). P. 14, 25.50; Mutuel. — G. lée. — Prix de Saint Hubert (Mixte hoeks 5.E. de Marseille). circuit engagés du fr., des la liste Voici et hunters, gentlemen riders). 5.000Prix Le challenge Gioneti est gagné par Le Tournoi de football continue Longchamp Aujourd'hui, Marve,jols. Constable. Marseille. 1.800 m. : l'Union Sirène des Trams de — le début du cycliste de Maule : hier réunion Belle pour .. de la Société des Amateurs de Trotting . tournoi organisé par l'A.S.A. avec le con 1. Dufour, 2. Chastillon, 3. Geneviève, PARTANTS ET MONTES PROBABLES (Monté ou attelé, mixte), 3.000 fr., 2.500 ThieFOOTBALL Gay, 7. Van Aubert, DE 5. 6. 4. JOUEURPARISIEN temps Dupln, UN Journal. Le beau Petit de Scgon cours du 20.000 francs. m. : Defelv, Dagorno. — Prix Marronniers. des Prix 11. Chatenet, Llger, 10. Papin, 9. len, 8. autour du spectateurs — JAMBE gentlemen», les massé UNE avait SE FRACTJJRE (Steeple, nross-country. 1.800 mètres :»,Rieur 58 (A. Rabbe) ; zao 12. Grogneuf, 13. Delporte, 14. L. — stade où d'abord lutta vaillamment Girard, 12.000 fr.. 4.500 m. : Parentls, Bellone H. 58 (G. Duforez) ; Walter Sco. Dunkerque 15. M. Hortoland, 16. A. Bou l'équipe hongroise du S.C, Danubla contre Hortoland, Prix Général de Lastours (Steeple, Graindor 58 (M. Chancelier) 20 Avril. — Un Joueur de l'équipe 19. Lyon, Goutard, 58 (E. 18. ; R. Boucher, 17. cher, largement celle-ci fut Mais militaire, 2e série), 2.500 fr., sale. Ami cross-country l'A.S. au Fruhlnsholtz) 20. Quentin, (V. S.), 21. Jan parisienne d'association venu à Lyon, ; Doubled Slam 58 (C. 4.500 Lorraine, Arago. victorieuse par 9 buts contre 2 à son Peschet, m. : participer au Tournoi King's Bab 58 (E. Ellls) : W. Bouillon) ; 22. Mouret, 23. Barra, 24. Kleffer, Stade municipal, Marcel Stade Français adversaire. Puis vint le beau match entre vier, match Courses à Saint-Cloud. le Védrine, 27 ans. Demain mardi : Un beau départ de Jauréguy dans 28. Hy- des Silencieux, M. Nor W. 58 (E. Goldin) ; Dark Pirat 58 Russe ; les 25. Just, 26. Lalsné, 27. Noël, fracturé la la Normandie Sportive et l'A.S. Morlaye. 37, rue Berthe, à Paris, s'est contre A. S. Carcassonnaise (W. Sibbritt) ; Willibar 68 (C. Dlea) ; — La long lot, 29. Beiiochc, 30. Dupuis (V. C. H.) ; jambe deux groupes, de force égale, tinrent match. du (F. C. au coure Tissât temps sans décision, puis, en fin de lutte, 31. Barnay (C. S.); 32.

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Nouvelles Théâtrales

eÇMEnifrfc'BAKÇAWg, — Mme Marie ce soir Ventura a consent} à interpréter jfjyé l'^lvey qu'elle Sapho, le rôle de « Qafre, g,PW r-em-dernier officiellement au bles ti'çU'P gui vient Sorel, Mlle pla,eer sés dans un accident d'autQ, ainsi qu'ftQ

l'appÈKA^ea^lQVE. vu d'autre part. actuej, on chanson — U de lemçpfc fm André M i« env\?i la Tourasse et de geste de MM. Marcel DeM. de je^n Iilmozin,, musique de la ftïtiÇîes sonlf de jeunes lannoy. Ce qui cet interpréteront ouvrage qui trciype comporte une Importantepartie chorégrapllll;sei teur-

COMEDIENS ASSOCIES », direc M. Hgn?4 kestew, PWÏ fêter l'ai},

: niversalre de la naissance dp Shakespeare, plaqua en An ainsi qu'op U gleterre, organisant une sejsla de Représen tations au Théâtre Albert-Icr, ^qwwfliat fc cçttç Qcç.^(on le Varchapd dç Venise, adaptation de M. Ifêrièç G. Hlnalr Mauget, musique nouvelle de M. Sï, PfiWPêll*, do Rinaldl, julMl en se.èrçç d.Ç générale dont la répétition ew matin'" fiée le "" —" tel Kovatohevitch dans le rôla de Miche: afeylceefe. ££ fîiBAfBP PB WAVFWîi reprendra ses matinées classiques Jeudi prochain aveo les Capr-ioes àe Martannfi çX 4»«et(ê et VN SUCCES- — «Ut louera VAoheteuse Angleterre ! Oa a demande ^ Mme en Simiaift I"a"cr4àtriee de ^ouvrage de M. Sttàva PasBeur. »u Théâtre de l'CEuvjre, de signer un engagement, d'un an pour Inter préter uniquement cette pièce en Angle terre. Mais l'artiste hésite. LE CONCOURS ANNUfil* PB WÎCTV9E expressive et de diction organise par la Société de lecture et de récitation aura lieu le .dimanche 27 avril, à 14 heures, salle ade la Justice dç paix (Je la malrlp (9, ryp Drouot), du IX0 arrondissement Nombreux prix : mftt^Hles, vplynes et gravures. Pas d'Inscription, pçéalaUle.

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Le Colisée. — Lesm. Damnés de l'Océan. Artlstlc. —r Poupée de luxe, feuillu Michel Strogoff. eu l «é&B, (m. et s.)

ÇINQ OUVRIERS BLESSES BAN3 W ÇBUTE

Se vend

Mile Eadft Canton 81-69 ^on^re.?. 20 Avril. Up éçhaîautj^ç fille du « Duce » italien qui épouse, ,! jçMGUpr<?efioiOT,{e oomtç Qalça^zq çiçmo. — sur lequel travaillaient vingt ouvriers rfw ml i il Mart» LES MATINEES ^'AUJOURD'HUI. _ s'est écroulé, w «iat4n, & ïcçusinstan.. ,110, !aaintrHi>my,PH-i'Ea» Mme. ; CJpq d'entre eux oufc été blesses, Sont Fournival, 70 ans a été blessée par un oyFolies-Borgère. 2 h. 30 • Casino de Paris, 4 2 h. 30 ; Empire, 2 h, 3Q ; Palace, 2 h. 30; âeux très grièvement. cilste.' '

LA MAI50H

sans enfant grand roman passionnel et dramatique par Maxime La Touit. l'IiOlSIK.ME PARTIK

IL— Coup de téléphone (suite)

0 45

Martin, chargé de la renseigner, n'a vait plus donné signe de vie. Peut-être n'avaib-il rien trouvé.. - , Alors, aiers, Simone et Jacques juraient été simplement les victimes d'une vieille femme jalouse et cruelle, et la vie pour rait recommencer belle et radieuse, com me autrefois ! A cette pensée, u« flot de sang rosissait le pâle visage de la jeune femme, et lopgi qu'elle regardait son mari, o'était avec 'plus de confiance qu'elle ne l'avait fait de puis longtemps, Un mâtin que Jacques, appelé au * Pa radis Terrestre * par ses affaires, avait dû s'éloigner momentanément de l'hôtel du quai de Bourbon, Simone reposait. Elle était seule <tan» sa phambre; la — Oui moi. Je n'en garde ayant profité de cet Instant 4? cal — Tant mieux, parce ques'expliquer,» et fallu sais rien s'il avait me pour aller & l'oftlca.

Lait ^ Uait et Café

q;ekqent en boîtei

fondant

métal de 125; 250,500gr. et 1 kg.

-JJMMMM ee«*wmAeaieie

1 — Oti t'invite J.1 cependant m

ne pas t'en faire, ear tout s'arrangera, asgure-t-il. pw wt

ài

«« Allo, allo

Tu m'éeoutes toujours, Si

— Allo, allo

je n'entends plus rien. Si

mone

mone ? Tmv."

on aura coupé: . Rageur. Paul. Josserand avait raccroché gon appareil en pestant contre le télépho ne et ses employés. ; " A l'àutrë bout du fll, Simone, "foudroyée par la mauvaise nouvelle, n'avait pas su la ioroe de répandre un seul root à son frère. C'est à peine si elle avait pu remettre le téléphone b «a plaee ; eHa s'était écroulée, 4 demi évanouie, sur ses oreillers en dé sordre. ta certitude qu'elle avait tellement at tendue l'anéanwssait de douleur, , Cette fois, elle ne pouvait même pas elle doute n'avait même conserver un ; la consolation de pas se bercer d'un espoir si petit fût-il i l'enfant de Maria Dater» me était bien le ftlg da son mari. . — SSut

'^rfnni

m-, »»wr

vsms 4 eto/s m stkasbqvrg

Inutile., je sais ce que c'est. Alors ? Teut à ççup la sonnerie du téléphone III. — Pour oublier voilà. Bientira- la malade son sommeil. toujours Tu m'entends — Ofl avait placé l'apparu sitr «ne petite bien ? — C'est extraordinaire, mais je n'y eom-» prends rien i avouait le docteur à Jacques. table près du lit afin que la jeune fèmme —Mais oui. pflt communiquer avec sa mére qui chaque Et ië brave homme roulait derrière ses Les renseignements que tu as reçus — jour prenait de ses nouvelles. et ce que tu as supposé, tout cela est lunettes à cercles d'éeaUie des yeux Si D'ordinaire, le matin, la sonnerie était l'expression même de la vérijté. drôlement ébahis que son interlocuteur ne

muette ; mais, ee Jour-là, eue résonnait si impérieusement que son tapage acheva de dissiper les derniers rêves de Simone, Elle tendit sa petite main p&ie vera le récepteur, et, l'ayant dêofoclié, Je porta à son oreille en disant : — Allo I . Allo, allo, répondit au bout du fil la VOlS joyeuse de Paul, c'est toi sœurette ? Mais oui, 'Paul, c'est moi 1 —< — Comment va§-tu ? — Toujours de mime, — Enfin, vas-tu ti secouer un peu \ je m'ennuie, moi, tu me mandes 1 — Non, vraiment, est-ce que Lulu». f ; mais je ne — Luiu me fait enrager yeux pas t'embêter avec "cela ; ce n'est _pa» pour te parler de moi que je te téléphone, J'ai une commission à te faire, mà Al\ [ de la part de Julien Mart3n,: J1 —. Oui. sort de çhes moi. n. m'a chargé de te dire,., Tu m'entends bien f — Très bien, s'était — U m'a chargé de te dire qu'il lui renseigné au sujet de ce que tu as de mandé, Tu sais de quoi il s'agit ?

QUAUTÉ XNIMITA6UK

l'çtlt Journal. 21 Avril )§aQ

©etga

Pour croquer s

Pour cuire:

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LA FAUTE DE SIMONE

Au), mat. 3 h. L oq

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De nôuyeaux escâliéri sont ouverte au jrtiblic

TERROR

-55— Feuilleton» du

i'J&SI

Olympia.

A LA GARE DE

MATINEE Xyjovwv'Wi

court terme .La réserve- des prêteurs dissipe. Ces dernières semaines, on » constaté des plus-values substantielles de 4 à 5 % sur des obligations compor tant des primes ; toutefois, le znareM est encore encombré de paquets d'obli gations de villes et de collectivités )j>» •complètement'classées. -Un mouvement de reprise des achats en Bourse est tpv jours test- à se déclarer nuis, ananû 31 est engagé, i] se développe et s'affirme, si Jes "çoMitJgns générâtes restent îavorp,bi«» ; or, J'atmosphère psychologi que et politique demeure rassurante, et déjè. l'on consiste qw les t*u* très éJe-

...

la célèbre «perçue française CIBOULETTE

l'Union Parisienne 2365 ; l'Vnton £ur: ropéenm A ISS®,' s • UN DESESPERE SE JETTE A L'EAU L'escalier donnairt, aux -voyageurs Les Vanmes août étracgîxes diver — îtin Jes genmuais de leurs titres .de circiîlatton, i>nu» passant avisait hier matin sement traitées. — L«« parte de réserve Jets, dafpies d'Epinay-sUF-Sfine qu'il ^'il vçnalt de .caftes ou permis, accès direct 4e às. la Société Générale de Belgique, inSeine. voif un homme se jeter dans la ns la salle du ,«ous-£ol «t du «nétrapolitain. tioduit«5 la s£8iflto£ 'présedeîïte "»u HENRI P sjis âeus articles déjà., npus avons Les gendarmes se rendirent & l'endroit quai ,de têt# ,de Ja partie nouvelle comptant du Pajrgwet,, sont demandées à au indiqué et découvrirent eyr la berge ynj examiné la situation de l'Allemagne en 8,400. Ea ce qui concerne l'activité .de la .de la gare de tîEst, a. pu iêt»e ouvert casquette et un veston qui renfermait une présents de -l'applLcsitloii Jnjmitjecte du ©aciété, ij importe de retenir la progrès^ pour les îèfces de Pâques. 3Ues voyageurs carte d'identité au Bon» de fceïjplr Eu pl^n Young2 h. gène, né en ma? I deux Mirasses épient «ion resmvguable des résultats sociaux sortant du- Métropolitain n'auront plus »' aujourd'hui Nous (le &ous proposons indiquées ; 8, ruo de la Boulangerie et rechercher quelle est l'aptitude de l'éqpdes quatre derniers exercices. Les béné désoTOîds & faire le détour par Je de l'Yser, à Epinay. Des recherches nomie allemande à supporter part (Jes ' rue fices «e «ont .élevés, £ji effet, à 53 «ail- des départs. furépt Immédiatement entreprises, mais sa billets, munis 4e Les venus. .voyageurs Jlsns 573X174 francs belges en 1928 f à charges du service des Obligations ellçg ne donnèrent aucun résultat. % pied ou par les SKioyens de transports atteindre Concert 3 h. 30 ;. Cirque d'piver, 83.3944SI fr. b. 1927 en pour Young et des autres versements pres S h. 3Q i QirqiJ? Médrano, 2 h. ,30 ; Le 147.884.730 fr. b. 1928 et mj676,308 fr. en commun de surface, auront «gâte». ' en crits, S'EFFONDRE UN BALCON Àubert-Pal^çe, • vés, qui allaient Jusgu'à 15 et 1B -f» W belges en 192Ç. Le dividende, qui avait ment intérêt À -emprunter {la salle duParamgunt, g ft. ; g Ji. 30; US tfPS reroargijftfeîe égrtvftin et ep- se pj-atiquent Une femme tombe dapa la rue, Caméo, 2 h. 80 ; MageletRésCineifta, 2 h.; plus. été de 212 fr. b. nets en 1926, et s'ap sous-sol «dont les accès sâuva-ant sur le ( Gaumont-Palace, § Ji- 38 i MQUiln^Rpuge- gravement blessée, et meurt k l'hôpital auêteup, M, Mswrfee Pcrpot, guJ » publié -WV ' pliquait è 100.000 parts ée réserve, a été trottoir de la rue de Strasbourg, puis le '• déjà tant 4'étwJes Eï»nde valeur Clnéma, 2 h. 3Q ; Olympia, J- h. j Ciné de sur i'éepnoIfgus ainsi montré Wurth, née Yvonne Dufau, 33 ans, divers avons que porté & 351 fr. b. nets en J929 pour un nouvel fseaiier «ondaisant -au quai û« • paraître Capucines, 2 h. 30 i |^flrSvau*«ï'athé, 46,Ifme fait, moment pg,y§, en ce allemande était «n situation d'assu nombre de 220.000 pgrti de réserve an tête. Ils éviteront ainsi un détour par rue du PrérgainttGpryais, ^ PanW9i 2 h. 30 ; UrsyHneS. 9 h. ; OÈJ1 0e paris, secouait J'Allemagne ; un des mi^ erjquêtç une sijr hier }a te* tapis, pifttln, un par mer sa part des paiements prescrite par ciennes, Peur Jes exercices J.936 «t 1927, le hall jfles départs et la traversée de 3 h. ; Agriculteur!, 8 h. ; Ciné Carillon, nêtj'e de séoente fragmenta de oet éuvïage. mQjfi- le pian situé troisième logement son an Young. Elle dispose d'us outiî- il sv.ait en outre été distritewé «n divi la cour d'honneur sillonnée par de nom- *! 2 h. 30 ; MaxT.Hi}der-Pathé. % };. 30 ; étajp. lorsque, soudain, le halcofi oéda. trflit l'industrie est allemande que con Cigsft»; lagp maipteny dans un ii»ut état ûe dende de 5 % &m jWO.000 titres de ca Electric-Palttcp, ^ h. 80 ; "véhicules. sL'fiSoalier donnant ae- ' 8 n, 30 ; Mme wyyth tofnfe^ 4a»s la eft elle duite jeunes, d'hommes rue par un groupe « 8P ; Artlstlç. 3 productivité ; d'un.état-major hardi rt pital de 1 .000 tt, S, échangés m 1928 cès direct du trottoir, côté JaAibQïirg Le Colisée, g 30 : se fractura le crâne. Transportée a Te- d'esprit audacieux, ardente gt méijie fort Aima-Palace, g Ij. 15. compter sur les capi contre des parts de réserve, Saint-Martin, «, la cour d'honneur, «et bojj , elle y msuryt pû après. gvenfureus B analyse leur état' d'eg- taux :quielleluipeut nécessaires crise CP SQW : sont la te ; compartiment des voleurs d'ss- également ouvert. . —" ,tion-'et de sous'consojnmatiflp intérieure Jw dont FOLXES»BE{?Ç3S!RI3,8 h. 30 ! Un Coup Alfortvllie Le Raymond Ju» achalandé de jeune bien les est i §ur»nee$ par — cqb- elle souffre ne dépasse pas le niveau de mandes du portefeuille, ta faveur «ui . 4$ Fq Hv , 80 EensattoBs 0e M. Louis Le- tlgijy, 16 an^, lg§, route êtïaWaiqufl, h avec la dépression mondiale ; enfin, le mar s'attache à jgss titres tient non sesle- LE DRAME DE FLAYQSC mai'^^nd (MM. Sand^l.l, Castp}, L^mer- Ivry-sur-Selne, qui prenait part, hier, a énergie de l'extçnsion ê ché de l'argent en Aîiernsene mime s'o ment le problème cief ; Mmes VaiheÛe, Betty Cawpson, un# course pycliçte, d'ailleurs Interdite isys brillants résultats obtenus de leurs" mare^és extérieurs. Ç'est vers l'ejç- riente vers Troïslçy, Oflrletta Oonti, gulftlka). ' prçfeosure dé "* organisés ! ~'" de police et fap. iav. la préfenVure et facilité aisance années par les,compagnies La mère de i'ms»at*in présumé une une puis plusieurs oommùnlsts rt'AlfnrtviUe, portation que l'ecoîîbmle allemande di meilleures, E^piRS MUSIC-HALÏi, g h. 80 » Pour ar "la JeuReaje jeunesse oommûnlste d'aesurance?, mais encore à l'extension du cordonnier Chûuninto la première fois en Fr^BOg, le for(pii4able a fait lu} P Phytç ej a dû êfpe ^Beparté rige, ses efforts, Ujin de penser h rédui Si le réunit ft gouvernement peyvçau d'activité à dode leur 6l)amp .certains Linder et 10 attractions inédites. ' dap^ un état grave & l'hôpital de la Pitié. re sa preduetiofi, pu. eantraire, l'Aiie- imposer lps «kouç le trime de *on jil.* nécessaires à l'équilibre maineiS nouveaux qui pourraient être, lois CONCERT MAïCSL; 8 Ji. SP i le PQrpde magnp qpstîfW? a pgrfeetiqnner son ou budgétaire et il semble chaque jour quelque jour, particulièrement rémuné du Nu (MM, CatQli fiharBirçj; Peggyk qapacité de tillage, entretenir et ça Toulon, 20 Avril. — La tâche difficile Paulçlte ï?ranplf). plus réussira — les ré» rateur/?. — Les titres des sociétés fon Eërtain qu'il Vère, .l'Mn y proquctioi}, Elle prévqit période (Je percussions d'une mauvaise situation des cières une .. .. kQ.. . Incombait à la police mobile dans ., . CIRQUg t)'HÏVfi«, g h- 80 i Miss fY- ^'années, vetu comme un ouvrier. et immobilières sont également qui Eta^l'aetivité ralentissement rsâaire de médico-légal, aux' kara, « la î^xn^mià\o { ; |"ï{ink été transporté à l'Institut • de l'assassinat du cordonnier fiçiie} ; a finances de l'Etat sur les finances prl animés. terminé Oh à 615 sur la : a prépare à reconquérir, à Unis elle les 50 chevaux de CîTé, ^tç„. Courbevole et Henri Le se manœuvre : vées disparaîtront à leur tour, li est Générale Fonçièrq, «a bonne tendance. Chiominto, de Flayosc, vient d'être ex- .. -rcl^QgB M^RRANO, i b, SB Î féouyer Quçmeneur, 23 ans, -au lotissement Tria- la faveur de cette crise américaine pro permis d£ croire simplifiée par un fait tmpor-. que l'Bcoaomifl gtileLes gp.tloijs des grands réseaux trêmement ^8 0%ir non, à Ryell (Spipergt-Olgg), J-çnyersé, bable, les pQpitlgps d'affaires que pur mande est dans une 1rs ç|ew{w tant. .M MVf VgscgïiççllQs; ; 1RS ytOW{(a fillQn se souvient que Marcel Levieux, ' * forme » gatisfsf français sont, paur la plupart, en re roli, PaïtQ. q^clsUft. Jleg et feçy^l, Jps boulevard Saint-Denis, par un camion divers points du jno»4« la guerre a }i- santé. journalier, 23 ans, avait -été as» OUyr.ier prise. — Ugmierp cour? ; Word, 2.590 ; rfcté àiors qu'après la chevaux, et&it quç conduisait Joseph gtprtg, snp, su yrées aux gtat^-UniSdécouvertede l'-as- . jet italien, rue vict9p,Kugfi, k LevaflolS' pèg jnpintenant, le commerce d'expor Lycn, 1.63a ; Orléans, 1410 ; Midi, 1.250; ' ssHShr* ssssinat il avait Injurié et menacé le FOLIES-BERGERÇ., ç- Un gpectacle Perret, a été hiessé à la tête. On l'a tation physiono de mie la semaine Est, 1.130. progrès allemand marque fies le gardfl-âmpétre et le briga inoubliable, les 80 sëng'atiqiis d'art et de transporté à l'hôpital BaauJon. Chemins étrangers -assez diverse m&ire, con^tanù statistiques écono les dans Joie de Un Coup as Luolp : dier Qh arrêté Panier, uraney ; de M. Louis oe geadarroerie. O» avait, «p «Set,. a traités ment Les d'habitude. comme miques Reich, alors iea autres atusle-hall uole , plus en ftQ —s du, Lemarchand, au muslc-hâll Maseotte, à Blanc-Mee» — de la que ans, rue La seul® question reconnu .dans le fusil trouvé près «du «a- se posaient Jes w»gQn§riit9 ont un neu fléebi. Acti davre vogue ; les Folies-Bergère. Aujourdhui; nll, qui avait dérobé 600 francs dans le chapitres gant sujets (Jeg inégalités, ' boursiers au début que — «ne arme appartenant à Levieux, de la semaine qui |ir@}r-caisse d'un oharoutler. matinée. d&j renversements brusques, les expgr- vient de se terminer était de savoir si ia vité du CQnqo^Grmfe'LçuïB à 1.068 : des ma4s ee dernier prétendait l'avoir fluWiée actions et des parts des Réunis belges à «hez Chiominto et 4'aiatne part «es «ja- „ Mctntrquge i Grapd'rue, devant le tatiqns ôptent réguliè^ment ; — reprise précédemment constatée formidable ; se eonEMPIRE. Henri 418 et 7.676 ; des aetlons de capital et ptpulations nombreuses après le crime commissariat de police, M. Rayan« Le Linder, i Solfie JinportatlQW Exportation» soliderait, fait événements §ii du (s Brepiière—nfois en France ; Walter pouf des cJ'AFWeU. tombé oh pst de dividende Çal#a*Hélmp8lis à -8 010 et faisaient .obstacle à J'examen des ©n-. ' Nil-r neg, 22 ans. 33, rue m\ ; Wiïtqs U,74Q 9-420 —2.330 politiques, on reperdrait, une fois de g.350 1335 ; le b a|rs t «ah? de .sa motocyclette gt a fté grièvement ds l'action Rallimyg -et Electri preintes digitales;. Or. voici que la mère obtenu, Gerar ; les formidables Japonais Les Kita- blessé ; il a dfj être transporté a l'hôpital plus, terrain. du Nos n'ont ; gens 9.700 10.560 8C0 1926 cité h 994. 4toterrogée, MLevieux, ipng«e®eni; de r<JS et. 10 attrftetin^B, Aujourd'hui lundi, Cop.hin. a fond, aucune réponse positive. On au —2,g50 10.930 1927 13.800 d'activité Pw et de change clsaré eue son &s lui #y«ijt avoué être peu TBatlHê et 6eir^ Benlamln-pelessert, Pantin Rue Lp| , -, 12.440 13.640 T-1,800 ,s'est borné à rester, pendant trois jours, ment «tf* les transports et» commun. ; ^ - M. BoatJhlm, " 84 ». Boa ~ un »motpoygUsté." forfait ' .WS l'auteur de l'assasstoafc Le aurait _ ' 0récéde'mm?nt les gains BPq«i«, laiW On 9 terminé b 601 sur r^ption Pari- été accompli après 13,430 J3480 + P0 sur -v flp Paris, ft Pantin, enïrp en lit! PARAMQUNT. —. Rappelons que ans. 137,„ rue -violente querelle une accentuer, mais sans les entamer jjgn eknne Electrigue et è. 4.050 sur ia pari c.çst. irvévQf^blement le 26 ayr]! que l'opê- coi}lsioij avpp uns auto wte conduit® Ainsi, leB exportations sa développent Jes et par M. victime alors les deux hemdu avec sa >qye plus, sensiblement, meins. En clôture, de la même société,. ïfrle de*fa?âch 1' ârade d'4î»»0«r sera fé- pidelot. 11, rue Boleldieu, même localité sang pe?§e ; peu flg pays peuvent pré pût-étrç ayflient trop bu. Grièvement blessé, lp m°f.°6ycUsÎ8 g, ét^ senter ùn tableau ayggi satisfaisant, par contre, J& cote S'est montrée fr^n» Valeurs de navigation indécises. — mes t.8 premier fllm sonore de Parojd Llovd, transporté à Tenon, chement ferme, Aux nqrUimen, jè Suez a fléchi, 0es exportations ont surtout porté sur Quel, phénomène i lui .LE FEU PRES »'UN HOPÏTAÏ» Mmtmmmf Lê groupe des valeurs 4e produits ties fabriqués aWets qui figurent les çnur» pour y ARTÏSTIC-CINEMÏr^ CE VI(BILLARDS A VALENCE SSIWErET.OISE manifeste de bonnes tendan les trois quarts environ. un peu hésitantes au début de Ja chimiques La Jolie paJle 4e — Les la rue de Bouai pa^w cette semaine deux ÏJÎ il est ffivjx çle dire que ges expor semaine, î?s Henm frmç<tu>es se gqnt ces,, en particulier sur péchinev, titres étrangers catégorie éga de ia sont films qui retiendrez J'àttentfeR' (!« PU" tations sont payantes, et qu'elles Valence, 89 Avril, — On inoendie «'est pas ne redressées ensuite et quelques-unesd'en lement bien -: Dans' une usine de 6gn— Argenteull parts tenus actions et de nevilUers, i 'M. Alphonse Barré, domicilié ont été faites à des prix de dumping, Au tre elles pnt terminé en progrès, déclaré, ia nuit dernière, dans une mai kgs la Compagnie belge 0À9 industries chiP'e«t t^'alBQKl : Poupée de luxe, avep. Do- 15, avenue de§ Ï4las, ^ Argenteull, qu} contraire, eliçs ont été faites è des taux empruntt de guerre et d'après-guerre tt migues, 451 et 4.8S0 j Norvégienne de son proche de l'hôpital des vieillards, à }près eostçUo, et un film sonore interprété "WïKBWftHi "' ' " ainsi élevés relativement l'indique que surtout Valence, provoquant une panique par le 6 % 1927 r- ont été particu Bar SPtty Cojiapson et Richard Barthel- se par )a c l'Azote, 1.815. éçenatftiqitçs l'Ifistityit §'étiiies officiel lièrement bjen traités. mi ces derniers, L» maison & 4té <înliè- hftps^ ; }.$ ûflTjieiê eaptive. Les actualités d'urgfpneaft'l'hôpital' métallurgie mlettr» ont Les de peu détruite, les dégâts sont imporrem«nt snnprçs çt parlantes complètent heurau- çf) y a sucegm^f e^ arrivant. Marché calme mais soutenu en va d'activité, Cependant, elles ont gagné rrréSVlt^ti? ^'ailleurs çqpt Cçs geinent ce beau pr®gr$mme. pas ne leurs à court terme du Trésor, en '/»- un peu de terrain : Firminy 630 ; For». tapts. j— CroJWtpi^Selne ; >}eur®?tllénlque». effprts et sans sacrifices, pritnts un cultivateur, M. Jean g^llouavd, ?6 ans, PfctgflUS gansd'orgiinfeatiQn, gagés par des annuité? de. l'Etat. ges et AQiérito du Nord et fa l'Est, PROGRAMME DES SPECTACLES 1«4, rue "es Grillons, s'è?ti'tyf d'Us eoup 1$, pojitjqvie qe rationaiin en titreg du CtMH NstiangH, e,to.„ 1,730, et?.,. de revolver à la tPtêsfttipn, 4e pqnpentratipîa se poursuit Se fonds Les étranger» restent médio Les titres d'automobilesconsolident JloulHes munloipal, | Le eonaell opBn manière absolument ine^prabJe, sapp» w m. — ' ' " iwv1* actifs crement aé^pee e«trapr(}lnafv et toujours leur préeidente indécis, reprise : actions Citroën, vpqw. en e ppwr pro» liant sans hésitation palui qui est faible Opéra, 8 h. — Tanhauser. çl'un remplas turcs à l'electlon ceder maire faibli. ont en Conseil de la Dette 1.103 ; parts,, 358. ™ OndearrWp : Henri P«çi«?, ?l uns, Cara-'FWIÇ., 8 li. J§. Sapho. ou aui tléfiite.,, De pjqs pp. çiup. l'actlr, ottomane avait Le restaurant, 8, rue Oe la Swndémissionnaire, cernent de M. Lartigaut, garçon publié une note Mnsi Les entr-enrisea â'électricité ont été diérç, «H(?rarftm«qne,'p vit* aiJemfinfje se oqncpntre en Quelques c»rjnen, àâjpljit, femme, Marl«»Loulse, née Oéélu Dptfayes, ^Q(slème M. d\} s» , a OdPPfl, ft h. 8Q. 7- i flnpette fl'alarjê, main® hardies. On vient de voir la îlotte conçue : « Le Conseil s'est réuni 4 Fa-, RSSÇji recherchées et quelques-unes d'en rame. 31 nos, «t Paul Ctoput, 29 ans, 10, ^.f^LQ: Pftrtl u^H^LvriatttH s 6. sa ^ g; en séance plénière. M. Stanjey Wyptt, tre elles s'inscrivent en progrès not&r rue Vandamme, qui, »vea des complices, , VçrssUle^ : On a trouvé abançionpéç, eommerPlftie allemantle prçsçflie entière ris président en exereiee, €t M, des OlôeJè* bles. telles que la distribution à 3.545 ; dont on §uit la trace, «valent fomé une rue de. Jeuy, à, Yelizy, 'une auto pupiéyp passer qous le eontrèle du groupe fermé délégué des-porteurs français, nnt la TMmsQn à 1.220 ; l'Energie du Nord bande de p^mbrioleurs, Au Pépôt, res, rês J'enquête âs la 80—^-7, Behafd, 8 J». 45. . .prie de Chavllle, ce véhiçula a' rendu aampte Jules Bolstsy, 46 ans, dans domicile de leur mission à Ankara. de la jPrpnpe $.1.362. Le marché d<!'«Apollo, 8 h.48. Au temps <1 vîs. (Mamae) dérobé fixe, qui, employé Aws un hôtel de la à Les représentants soir, à du YpieciHr 1 * vendredi Sanspil paiement soutenu Paris, M ont décla meure sur l'Bieeiriir rue Beaubourg, Arts. 9 16. Le?. Criminels. dé/9bé d«s couverts : malfaiteur^; H. Fa}sander(p. rue'de Ifi ré lêfl 'gouvernement turo qu'ils eité du à fusions et Nord 1.280 î Gqs au Atelier, 8 h. 48. — Le Ëti^tagèrne, .Uier j. gçhroeder, Qui ne f. Lpg pou argent. ovanf d'nt?anoo»ner Vaut?, ayalPRt pu la s'opèrent Athciiéfi, 9 h — Barrlcou. . ... de fnême dans la banflye cié' vaient envisager aucune modification du pité de 2a Seine A 1.095 : les actions et en—.Disparition ; M- Couturier, ip, rue, précaution {Je Je? dçrqfepv phares, roues Aênuç, 9 }j. lg, ^rding flp Murcie. teVffllnêpt d|es jaillîtes de maisons ootui^ contrat du 13 juin. 1838 conclu avec les les parts 1humant h ?82 et 2,750 i l'Ener*- Fagon, & «ignalé au commissaire de police et içs. Rripçiaaw àççe'gsôires. porteurs et. sue )e respect des engage* aie industrielle i, 514, s h. ta. Fiossie. jtéreea jusqu'ici pomine parfattement du quartier rte la Maison-Elanche. 1» dis».'enuwdrtln, (j b. -r- Qastpn, Le UiQ Tint§, 1 a, Tharsis et un certain parltipa de ?a fille, Marle-Améllp, 20 ans, lidçg et gerieuses i eette» lutte eut me» ments pris vis»^'Vis d'eux était indiS' 0haraB,,Elys. (Cow-i. 9 h, Amphitryon as. SEIWgÊT-MAUNB pensable maintenir le crédit exté nombre d'autres valçvrs de euinre pnt domestique'. 7. rue du Banquier, qui avait n|g sMji merci, cojpflie une entreprise pour # ta t» rieur de la Turquie. Invités par Je gou faibli. — I>es ptomplfêres s'inscrivent en annoncé plusieurs fois son intention d» • dé salut nfttiqpal. V Gmpfle vis. vernement turc & examiner avea lui la plusrvalues. — Les stgnnifères sont tou=- se suicider (lûiiou, de Iukb (Jaae d'lnit(aUv8 'VW »— Aniietnsu^Marna ! eure - «=, L'épuration : ïJne ronde a #té eff»c., d'Aîîîiet'6W-M^Ï>P' Ronouardt). %# gros problème pour l'Industrie al-. Situation financière, les délégués du Con jours peu actives et hésitantes. tuée dans le 1 13' arrondissement. Cent*.* rttmftnpUp. sous m auspices (ie la Imande reste celui de l>éj«zet, h. 80. — pne poul« seil soumis ministère p»ur des Pinanont d'essai, fai approvislon* au Lçsçh.ctrbannayesfrançais ont soixante personnes ont été interpellées, son *Mta Çtappi EdouarflrVlL h. 80, municipalité, up_ festival avP9 oonpoura ne,ïP îlt en capitaux i l'Amérique,.sâduU les premières eonehisifins de .ces S ieur bli. les charbon Par contre, parmi peur arrestations opérées, —' e Eldorado, 8 n. 80. Lç Concierge rev. de s. ê muslqup, ouvert a toutes 'leg soplété^ étude et lui ont sugéré de demander à s, rue nages' étrangers, Skatherine d'activité l'action tp par l'esprit d'initiative et ' » Pastourelle, *> Le feu ; un Incendie a éclaté, brûléepuisifales.. *»* Essevln, qui, cbeR Mme expert fln&ncier étranger i. d'affaires plan uij de prggressé à 3S4, du Reieh à long un 18 ans, ter des hommes — Meaux : Gilbert Réant,parents,'bou réorganisation des finances de ... ont gagné du ter aux malus et aux Jambes, a été admise à la Tur Les mmes d'pr temps fourni largement l'or nécessaire. quie «ranrt-OOIgnol, 8 h.' 4$:' — La Griffe rassier, demeurant chez ses — Cette note aurait dû produire rain. •=» On a terminé ferme sur la Cen» l'Hôtel-Rleu, Madeleine, 8 h. 45. — Vive le l'heatra. levard de l'Ourcq, à Villeparlsis, a été vio Ipvard vlo- Oet afElux se ralentit à présent, en rai bon *. Marie uaddam. 20 ^-r Aspiiyjfle :deMme effett mai» elle a été contrebalancée tral Mining, la Ran4 Mines, la, Gald- ans, Marigny, 8 h. 30. — Coupa de roulis. lemment iefliment frappé par plusieurs terrassiers son de 3a situation intérieure des EtatsRépublique, la 19, plaee subi MfihMf'SV gréviste® qul'lWl qul'iwt ênrobhalPflt ëuX'fiiemci Mais, au cas même où pt*r une nouvelle information du Tim.es, fields, la Transvaal et quelques autres, un pommenopmenti d asphyxie à laa suite rte nt» point feni cœUT gréyistpe adhprer aux revendications. Les agresseurs l'Amérique cesserait tout envoi, la Ban d'après iaoïjeHe le gouvernement turc de diamant sent quel "une fuite de ga?, A l'Hétei-Dieu, RI|çIi(>lllêre, 8 h. 46. — Le Sei(()f%l|i)a, — Les vêleuru gqnt recherchés. décide serait & ne pas suivre cette rel,çs cambrioleurs opèrent, i Ohea Paiements remé dépit Internationale des du bruit de la créa conques, en que, ^îosador, 8 h. 80. — Le Chant du Pésert. ï4si l'oiit-aii^rPitipPS î Dimanche, en ma Mme 23. rue Vérûn j mais, sur filOUVeautés, 8 h. 40. tion d'une vaste holding englobant les pris Laurence, dierait largement à cette carence du Ead\)b?Q tonôr.i tinée, sera ijonnee. au bénéfice de la Mal- ÊTOaiPRl locataires, ils s'enfuient, des — Be^ûpfllïS, par prêtçyr international. principales sociétés de diamantPe abandonnant, H«flV-Tl»., 8 h. 30. — M. gpn de retraltg dpç ylpuif comédiens, une ' Railleurs, sel pince-monueii ; le sur une à la dl(Euvre, 9 h. — L'Acheteuse. Luther apporte Bçers, 1-170 ; Jegmfonteln, 24?, yeffl-égentatiqq ttipâtr<rte. volés. objets divers et gneur , reo'tion de là j^pip}isbank 8 h. 3Q. — L'»mo% I se bornerait à insister sur l'exécu eTOSnSr-Lom une politique seii une diminution dq la =- On signala tion de l'sceord signé li Paris en 1928 production ftcaiDe. flfianaiàre d'emprunts plus libérale que pétroles dans eertains dis du l'J\È{itrp fle Pari*, 8 h. 40. qejlç du D V- Çchaeht. qui était très hos sans formuler aucune nouvelle proposi tricts des tatsÛnis et ûspi une rêdue» PlJlPU^ 9 h, r~ Lselttiouo. I<es fonds mexicains sont un tion des stpefes, Cette neuveile a eu pe« coton, Cependant, les halssiers se soirt i "v/mut l'oHe-jialpttAmrtJn, fe. 19, *. Cyrano d» rcçs investissements.massifs d'ar- tion, plus C]^t(>aMd|in : Martel, le flpqteHr Hl- tile à, étranger, fermes, -™ Des autres, en se d'effet sur les valeurs anglo-saxonnes" du encore livrés à quelques attaques qui ont , — et flui s'y opposait» M. peu Bergera«. ' Wftt c^léisr^ront Madame }pv\rs noces gept et PRrta guère, , compartiment ; flejwf Put eh et Shell. — porté principalement sur les titrsa de, ' L;Uthgr plus sensible aux influences -po Potln((>r«, Q h. 43, re- pn CambrlolfUï, ôe <«awnt. v Ktî^tbâne^, g h, $9, rm 8usl Pese lljsœii litiques générais, plus « homme dé — Aux banque» française^ en dehors Par oontire, nous avons assiste à une vi transports, Londres -™ Le marché est restreint et Roll^m |ÔuverpeiT\e»,t PB, » que « technicien pur », de la Banque d? FromQ«ven reprise a goureuse reprise de la MalopaUM 4 858 ; mjriage de 1 " Mussolini M Pa^hrRfinJjurdt, Q t\, p9me» «|)« plupart des valeurs sont bien et du Crédit Général de» Pétroles b si§4, la tendance générale irrégulière. tes a delà "déola'ré (jue < ces capitaux sont 2!> 485, la Crédit st»ape»u* ijert»., lyonnais 3.310 ; Bon Utiles et nécessaires » et qu'ils ne « cons tenues : On a noté des demandes en Standard fonds britanniques ont été réalisés et les Sçal?, S b. ao, ,rr BéCfpnla (Omnnml chemins de fer sont fort indlei». Pétro tituent pas unp menace pour la devise gue Nationale de Crédit^ l,p? franco-américaine à 61(3.. SwlHt-êorsv». 9 h. -r-' Çitlenfe'g, àîiemairôe. g'iîs sont maintenus dans de Sienne de fiangve, lières soutenues, sans plus. Comité néerlandais du çoowtSociété 55Q ; Qéue- — Le limites justes rale, J,a34, Le# comptes de cette der çhom vient d'informer se? membres que Bruxelles. — M&rehé très agité, Il çst i^npoUy, ». TriaÔîl, •lape 8" Ta,. 90. L'économie allemande, étant assurée nière, pour l'exereiee 1039 qui seront l'arrêt des satanées en mai était défini fréquent qu'après un début faible la lîgnpm. variétés, H g. 30. —r d'être approvisionnée en fonds de rou présentés & l'assemblée du 5 mal, font tivement dêçidé. n?s mesures seront pri temlanee se redresse brusquement, Par lement, pourra donc mettre en œuvre resTOrtiP un bénéliee net de 7Q millions ses pour éviter deg saignées dépassant la mi les bananes, tassement de la Caisse • 1 w toutes 799,m fr, 09 «entre 53413,848 lr, 45 en normale en avril, juin et Jes mois sui des Reportg, A ns transports, la Congoses possibilités. FuU^*Berg, — On Coup 0* fQll* , 1933, L? consfii d'administration a, dé<-'i« vants. — Néanmoins, les valeur» inté Oi<ands»Laca se maintient fc 1.4QQ ; la (Uktinil lie t^Hlnq ltn*ln' ' Parle lin Parts, Oli*t* Mlfi? Mt»« <MÛnKU(!U| I tai,.tlnniin*«'l St.WftàUenfl Htnplre, 8 h. 30. Linder et 1Q D'ailleurs, le marché de l'argent, en dé de proposer & l'assemblée de fixer Je ressée? sont sans aucune activité et lai* part Belge Réunis clôture à 10.328 } la Palace. — La Revue de la ï'eiqnie. Allemagne même, s'améliore, et la réduc dividende k 45 îrançs nar titre libéré bles ? Bastorn, 16? ; Hfalaçca, 283 } Plvidende oairo-Héiiopolis à 7475, Mé Mayol. — La Parade du Nu (revue). ' tion récente du taux d'escompte de la de 250 francs, contre 42,50 pour l'eJier» Padang, 83^, tallurgiques induises, charbonnages Clr. d'IIIv, Loïe Fuller; Spyras: Mat. JJ3JÛ Reiphsbank l'indique. Les (tans j'engemble. Aux valeurs. placements nréeédent soutenus (les actions libérée» oipç en éfr«inger« Médrano. — Attractions. Mat. J. S, D. Marthe* d'éleoU'ipité, l'EieotriQité de te Seine. d'obligations sont devenus plus aisés, et tièrement recevant, en outre, l'intérêt l'nranioiint. Parade d amour (Ohevalier) New-YQrft, On s terminé en ten s'inscrit à 1.5Q5, i'eiectrioité et Qas du ' les disponibilités sont à présent tentées statutaire de 6 % sur les 230 francs Auliert-âlqçe. Mensonges. s'investir dans des placements rému complémentaires). soutenue dance de Iwjws Au» d'etftnai assez sur eette plaee, en ' Nord h 1.810, Enfin, parmi les valeurs ca(iiv!>. ÇQf-, "• PwH d® Prlpc». — v Aî«ne|()lngr,0iiiè, à marché nérateurs long terme; Heu .détente du taux de i'argçnt diverses, l'aetJon Minière des Grandsde 1res, de la fa iç reste, animé la raison IJÏ pt\tse« (Gre^ V«reoJ au resur QflPKIPlU, i- fe» Rpls fle l'Alf. ebercher exclusivement des opérations à Btonquc de Paris a 8.290 ; 1» B&tiqWQ «« et de la hausse du prix du blé et du Lacs se retrouve à 428 et la part fc Î.8OT, Moulln-Rolige-Cine. Tournée du Od Duo.

ROUAN 4e VIEllKB S.\DATIEK ' 30 AUJOURD'HUI MATINEE à

33 GA1TE-IYRIQUECS

Petit Journal

—

te miracle I nous sommes en présen

ce du miracle,,,

Jacques, qui n'osait pas encore croire à son. bonheur et qui pourtant en éprouvait une jqie profonde, n'admettait pas cette explication, qui n'en était pas une, la pra tique de» affaires lui ayant donné le sens put contenir son hilaritéi, des réalitésreprit le praticien ce drôle, n'est pas — — Mais cette amélioration, docteur, re» part fâcher, j'en et prit4l, n'est-elie pas plutôt l'effet de vos sans se pour ma res sens quelque inquiétude- Mes facultés se soins, du traitement que vous aveas fait raient-elles amoindries par l'èçe au point suivre & ma femme V de rendre obscur un cas. peu ordinaire, — Mes soins, bien sûr qu'ils y sont pour mais facilement curable ? quelque chose, concédait le praticien, où la, docteur ; vous êtes reste, je ne les ai pas ménagés, avoues 1 -r= Que dites-vous pleine à force, la fleur de l'âge. en — Q est ewt. Eh ! eh ! j'ai cinquante-deux ans J vous aussi, d'ailleurs, cher monsieur — — Justement. Tçut le monde est d'ao- Privas, vous avea fait tout ce qu'il était -ttcord pour reconnaître GU? voua étés un sa-, humainement possible de faire. Plus, peutvant, et les années de pratique, être. Et ce dénouement a contribué à sau Vingt-cinq ! ver votre jeune femme, De là à la remet — , — ... n'ont fait qu'augmenter vos con tre sur pied en quelques jours, il-y a trop naissances, de marge. bien, Oui, crois avoir je rencontré et -n — Allons, docteur, soyez logique et ne soigné de longue carrière, à restez ma au cours pas seul à douter de l'efficacité de peu prés tous les. maux qui d^olent la vos prescriptions ! pauvre Humanité, — Je n'en doute àpas ; seulement je sais guérlson-do St la Simone fait le temps qu'il faut n'importe quel traite vous tdouter de vous-même ? ment pour agir sur un organisme débilité, maladie, Mais Simone a le ressort de la jeu que — J'en al douté devant sa -»*. Je ^arrivais pas à définir, mais son réta nesse, blissement me surprend plus, encore. Vous — Il n'y a pas de jeunesse qui tienne m'en voyea au comble de l'ôtonnement, dans l'état où elle était Votre femme a voulez rire, docteur. été bien malade, et je vous jure qu'à plu — Vous jure Je sieurs reprises, j'ai été fortement, inauiet vous que non, — Simone ne s'est pas guérie toute sur son compte, fl n'y a pas de reraedë-, seule ? éciair. fces piqûres qu'on lui a faites n'a ,

gissent jamais avant la dixième ; or, la seconde, la Pévre à laquelle votre femme était en proie est tombée comme par en-. chantement. Tout de suite l'appétit est re venu. Avec lui, les forces renaissent et lea. couleurs,de nouveau, embellissent son teint clair- çemain, Mme Privas, qu'en moi-même je condamnais, il y a huit jours, se lè vera et îéra le tour de sa chambre. Avant. la lin de la semaine, elle pourra sortir et, bientôt, reprendre sa vie normale. Elle est guérie, c'est un fait, et il me faut avouer que la science n'y " est pour rie.n i Jacques était bien "trop content pour discuter avec le médecin. ' Science ou miracle, peu importait la cause, puisque le résultat était la guérlson de sa chère Simone. 11

se contenta donc de rirei d'un grand

rire clair,'un. peu enfantin, en répondant ; — Ne vous calomnies pas, docteur, et réjouisaans-nous ensemble de ce merveilleux rétablissement 1

ré le savant en essuyant ses lunettes d'un air penaud d'écolier qui n'a pas au Merveilleux, vous pouvea le dire, — pétait

faire son problème. Simone seule ne s'étonnait pas de l'a mélioration, chaque Jour croissante, de son

état. Autant elle avait manifesté d'apathie, de morne fatalisme, quelques semaines aupa ravant, semblant souhaiter et attendre la mort comme une. délivrance, autant è présent, elle .mettait d'apreté à revivra, à. se rattacher à une existence qu'elle avait été si prés de quitter. (4 suivre)

0 COURRIER DE LA T.S.F.

reu.L^uurnai

14 h.

Bord«;aux-Ijafayette Concert. : Radio-Paris : Paysage senti if. mental (Debussy),;' Fantoches (Debussy). 19 h. : Raaio-Toulouse .' Orchestre symphonlque. —. 20 h. 15 : Radio-Paris. Soirée consacrée à Chopin : Quatre valses, Andante et. Polonaise. — 20 h, 20 : Tour Eiffel.; iConcert!, : Iphlgénle en Aulide (Gluck) ; Scherzo (Moussorgskl) ; Polo naise (Schubert). — 20 h. 30; Paris P.T.T.: Antar, (Rimsky-Korsakoff). 21 h. : Poste Parisien : Petite suite — (Borodlne). ETRANGER. — 18 h. 30 : National Da18 h. 40 ; National ventry : Orchestre. Daventry : Musique—de Liszt. —-20 h. : Londres régional : Quintette. — 21 h. 40 : National Daventry : Concert. :

15- h. 80

La fîfleHe devient

jeune fille

Concert. Chanson de route (Reynaldo Kahn) ; Les amourettes (Gung'l) ; Cadix (Sentis) ; Sunday promenade (Sadum) ; Ariane (Masseriet) ; Toy. maker dreams (Gol den) à ma poupée (Ama' niera); Sérénade (Offenbach) ; Favart ; Madame La' lettre de Manon (Glllet) ; Je n'ai pas fait ça pour ça... (Gabaroche)' ; Don 'Quichotte (Messager) ; Make be- 'lieve (Kern). 12' H. 30 Lille P.T.T., 265 m: ; Les Noces de. Figaro, . ouverture (Mozart) ; La ' '' route est belle (J. Szulc) ; La Bohème, fantaisie (Puccini) ; Boléro (Moskows-:ky) ; Lettre chantée (R. Demaret) ; •Choplnata, fantaisie musicale sur les motifs de Chopin (Clément Doucet) ; L'Artésienne (G. Blzet). 12 h. 30 Ratli'o-Paris, 1.724 m. ; Disques. Du romantisme allemand au romantis me français : Ouverture de Préciosa. (Weber) ; Le Freyschutz (Weber) ; La chambre dans la maison forestière : Rosamonde (Schubert) ; Sérénade 1) ; Messager d'amour (SchuSchubert • bert) ; Symphonie n9 4 en do majeur (Schumann) Mélodie (Schumann) „ Invocation a ;la. nature (Berlioz) ; La; Damnation' de Faust (Berlioz), D'ajnour l'ardente flamme ; Symphonie v fantastique (Berlioz) ; Marche au sup plice. . %2 369 m. : Sélection sur 30 Radlo-L.L., ' Die Fledermans (J. Strauss) ; Les let tres., ; La Damnation de Faust (Ber lioz), Romance de Marguerite. 12 h,.' 30 Radio-Lyon, 291 m. 3 : Les Node la rose (Jesel) ; Roméo et Ju • «es liette (Berjloç)/ Grande fête chez Capulet : Ramona (Wayne) ; Gavotte •> Louis XIII ; Chère nuit (Bachelet) ; Après un rêve (Fauré) ; Les animaux malades de la peste (La Fontaine) ; / Lakmé (Çellbes) : Carnaval Romain (Berlioz) ; Troisième Impromptu (Fau' ré) 1 ; Soy de Madrid (Guerrero) ; Preh'eia garde à la peinture (Gey Rodor) ; , Partout, partout (Léojac) ; Floreclta 1 (Pafandl) ; Rêve'Idéal (Fuclk). JS h. 30 Radio-Maroc. 414 m. : Concert. ,12 h. Ï5 Marseille P.T.T., 316 m. : Disques. 18 h. Radio-Toulouse, 381 m.- : Accor déon. 18 h: Nice-Juan-les-Pins, 248 m. : Con cert. Un soir 15 h. 45 Radio-Paris, 1.724 m. : _ (Fillppuccl), Là or Havane. de fête à : chestre: ; Berceuse (Georges Hue) ; Sérénade à Lisette (Caludi), vlolpn ; Jenny Joly ; La voix des cloches, or . chestre (Lulgini) ; Chanson du Finis tère (Ch. Tournemire) ; Petit caprice (Aimé Lachaume), piano ; Marcel Brli clot ; Par un beau soir d'été (Maurice f'ésse). orchestre ; Aubade galante Michaux) ; Berceuse (Ludovic pou. seren) ; Gavotte (Fopper), vlalonoelle: • Boulme Roger : Impressions proven» • ç&les, orchestre ( Georges Brun)! 17, h. 30 Marseille P.T.1V 318 m. î Dis1 - ques. 18 h. Radio-Toulouse, 381 m., : Danses. ' 18 br 35 Radio-Toulouse, 381 m. : Jazz. 19 h. Radio-Toulouse, 381 m. : Orchestre argentin. ' 19 h. 30 ' Radio-Toulouse, 381 m.' : Trom: pes -de,chasse. 20 h.: Radio-Lyon, 291 m. 3 : Concert. 20 h, Radio-Maroc, 414 m. : Egmont, oufumée, verture . .(Beethoven) ; Petite ; Gavotte et Cazes) mélodie (Mario ; ; (Veraccivioloncelles. de menuet, solo Souvenir, solo de violon (Drdla); • ni) : Sylvla, ballet (Dellbes) ; Benvenuto, Minuit, place Pigalle, Arioso (Diaz) " fox de l'opérette Orloff (Granlchstaedten).. *., " 30 h. RadlorParls, 1.724 m. 1 : Sigurd Reyér)', avec le concours de Mmes Jean' ne Cros, dé l'Opéra, et Abby RichardMM. Ver-, son, de l'Opéra-Comlquë ; Morturler, l'Opéra, Tublana dlèrès, de . l'Opéra.-Comique et Cambon : de.1 • de l'Opéra. Chœurs et orchestre sous la direction .de M. Henri Defosse. SD h. 15 Lille P.T.T., 265 rfi. : Disques. 30 h. ' 20* T.our Eiffel, 1.445 m. : Festival Schumann : Trio pour violon, vlolon'• celle et piano : Les amours du poète, chailt ; Sonate pour violon et piano : . •Quatuor; pour cordes et piano. 30 h;: 25 Radio-Toulouse, 381 m. ; Orches tre viennois : La voix de l'épée : Le Chevalier à la Rose * La voix de Ma rie ; Trésor. Chansonnettes : La Palm1 1 polalse (Fautrler) ; Tyrolienne des Py rénées (Roland) : Ils étaient en nyja^ ma (Borel-Glerc) ; Nina, Ninl, Ninon (Borel-Clerc). / , 248 m. : 30. h. 30 N'Ico-Iuan-les-Plns, Concert et danse. 20 h. 45 Paris P.T.T., 447; m. : La veine d'or, pièce en 3 actes de Guclielmo Lorzl, traduction de Mme J.-J. Ber nard. .avec le concours de Mme Régine Le Quéré Mlle Suzanne Roiiyer ; M. ; Marcel Prost : M. Roger DatHys" : M. Louis-Coenetl : M: Nlverd. 20 h. 45 FaVliorBézIers. 219 m. 9 ; L'en lèvement «u. sérail (Mozart)' La Pro cession (C. Franck) ; Czardas (Monti): ; La Fiancée vendue USmetana) : •Pour un baiser (Paolo Tnstl) ; Flots du Danube (Tvnnovici) : Mignon (L. .De llbes) ; Les Saisons (V. Massé) : Chant des "ateliers; de la Volca (Ouatuor Kevdroff) Passionnément (Messager). • . 20 h; 45 Borfloanv-I-afayette, 304 m. : Napollta. lied (F. Lehar) ; La rôtisserie , rte la reine Pédauaue, fantaisie, (Ch. ,,,Tjévndé1 •; Le cochon d'Inde, comédie musicale'en un acte, livret'de Jacoues • Yveline, musique de G. Stalln ; Marouf, suite d'orchestre (H. Rabaud) ; lentement, lentement, valse lente: (Edm. Flllpucci). 21 h. Poste Parisien. 329 m. : Concert avec lé concours d'artistes de VOpêra et de l'Onéra-Comlaue. Prélude de la Haba..nera (Laparral : Sérénade (Pessard) ; Suite laoonalsfl (G. Holst) ; Pavsa^A . normands (G. finorck) Vasconià. sùf; .te d'orchestre (Lacome) :< Crépuscule (Gustave Dnret) Cinquième danse slave (Dvorak). : 21 h. ' Radio-TonloïKe, 381 m.. : OpéraComiq-ile • La- Tosca (Puccini) : La iVle.de Bohème. (Puccini) : Saxophone: Sérénade (Salrit-Saëns) : Andante (Bi.zet) ; Sérénade (Drigo) : Mélodie .•(Chas) : Plaisir d'amour (Martini) ; Musique militaire : Debout les morts, (Gourdin) ; Pas cadencé des sans-cu lottes ; Hymne américain ; Retraite française ; Réveil au bivouac (Gour din). . . 31 'h: Marseille P.T.T., 316 m. ; Les Joyeu ses commères de Windsor (Nicola'ï) ; Roses de Noël. - valse (Waldteufel) ' ; Les contes d'Hoffmann (Offenbach) ; Nuit d'amour (Stfassola) ; O sole mlo (Di Capua) ; Le Voyage-en Chine (Baain) ; Le beau Danube bleu (Strauss); Pauvres amoureux (Tagliaflco) ; Pail lasse (Léoncavallo) ; Là cloche de la Liberté, marche (Sousa). .ai h. Radio-Maroc. 414 m. : La part du diable, ouverture (Auber) ; Brune ou blonde, valse (Waldteufel) lie vase brisé"(Paladllhe) ; L'ombre ;(Flotow) ; . Phrynette (Flltppucci) ; Le Saïs (Olagnier) ; Les brigands, fantaisie 'Ofifenbach) ; Hésitation (Paul Fauchey)Amour tzigane, valse (Lehar) : • Tfmm's;. ono step (Vercollier). 21-.h,'15 Radio-Lyon, 291 m. 3 : Concert. 22 hf RodlO-Parls, 1.724'm: : Les Troyens (Berlioz), Mort rte Lidon ; La 1eune religieuse « (Schubert), orchestrée" par

rationnellement, naturellement. De même que le laboureuravant d'ensemencerson champ prépare le terrain et prend soin d'en extirper tout ce qu'il peut rencontrer ' de nuisible au grain qu'il va lui confier, de- même - vous devez commencer par débarrasser votre sang de toutes les impuretés qui l'encombrent. Prenez la TISANE DÉPURATIVE des CHARTREUX de DURBON. Composée; avec les sucs des plantes alpestres, selon une méthode plus que séculaire, elle lavera votre sang et fera dispa raître tous vos malaises. Vous stimulerez alors vos forces en prenant des PILULES SUPERTONIQUES des CHARTREUX de DURBON. On a dit d'elles que c'était de la force concentrée.' Elles vous rendront vite vigueur, sauté et gaieté. Le traitement combiné de la TISANE DÉPURATIVE et des PILULES SUÇERTONIQUES des CHARTREUX de DURBON a guéri avapt vous des milliers de personnes.

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PETITE CHRONIQUE Piles de tentinn plaque " Nous nous excusons auprès de nos lec teurs de la 'petite digression d'aujour d'hui. Elle porte en elle-même son utilité. Nous recevions, nier, une lettre d'un nouvel amateur de radiophonie, « Faitesmoi envoyer, disait-il, une plie de 90 volts à prises ». C'est le type des deman des que reçoivent journellement les cons tructeurs d'appareils de téléphonie sans fil ou les fabricants des pllest La demande ci-dessus est trop incomplète et c'est de ce manque de précision dont nous vou entretenir-nos lecteurs. lons te aujourd'hui voltage n'est qu'un-des'éléments qui caractérisent les viles. Il y a des piles de B0 volts, qui peuvent alimenter normale ment une lampe et il y en a d'autres qui s'useraient inutilement à donner le même courant, ou ne dureraient que-quelques heures si leur capacité était trop faible. Il est donc nécessaires d'ajouter, à l'indi cation de la tension, l'indicatiowdn débit normal ou, ce s qui revient au même, la capacité. Nous complétons donc, à titre d'exemple, la demande reçue hier : « Faites-moi envoyer une pile de 90 volts àmllliampères. prises et pour un courant normal de 10 » .11 n'est pas difficile de connaître le débit normal des lampes du poste récepteur si l'on a su conserver la feuille des caractéristiquesqui les accom pagnait., On y trouve cette indication sous le titre : courant anodique normal... tant dé mllliampères. Il suffit alors de faire la somme des courants anodiques normaux de toutes les lampes du poste pour connaître le débit normal de pile de tension plaque.

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