Le Petit journal. 29/04/1930.

Le Petit journal (Paris. 1863)

Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France

Parti social français. Le Petit journal (Paris. 1863). 29/04/1930.

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"'jjj N° 24.575

- Ste MARIE E. - Le n° 0,25

Mardi

LA TEMPERATURE * _—_—,—„.

Probabilités aujourd'hui

: Bre pour tagne, N-, N.-E., région parisienne, E„ orages et quelques .averses.

Température : A Paris, maxlm. +18°. /Soleil- : lev. 5 h. 36; couch. 20 k., 1.

-Lune : Nouv. le 28; Pr. Q. le 5.

sur les réparations orientales a été signé hier

A 500 KILOMETRES DE REGGAN

est retrouvé vivant

Miss Bondfield fera ce matin une déclaration

i npiini

et

légèrement blessés

1

quelques mots combien ses collègues et de Miss Bondfield. .

Puis la discussion, commencée same di, a continué sur les conditions dans lesquelles les 1 problèmes concernant Jetravail des gens de -mer doivent- être examinés par :1a Conférence Internatio nale du Travail. On-, sait que, jusqu'à présent, ces problèmes.ont été traités dans des sessions spéciales' tenues en 1920 à Gênes, en 1926 et en 1929 à Ge nève, et qu'ils ont donné lieu-à des dif ficultés entre armateurs et marins. C'est . donc avant tout une question de procé dure que, le Conseil; se trouve devoir trancher. Signalons à ce propos que Miss Bondfield a fait siennes, hier ma tin, les observations présentées par M. Jouhaux sur 1 l'importance qu'il <y a à maintenir, la procédure normale prévue par le traité de paix.

La discussion a continué hier à .15 heures. M. Piquemard. délégué gouverne mental français, a fait une proposition de compromis qui a été' imprimée hier, dansla huit, et va être'soumise à la dis cussion des délégués ce matin.

Quant à la ratification de la conven tion des huit heures dans la marine marchande, Miss Bondfield fera égaler ment dans la matinée une importante déclaration- Sur l'attitude du gouverne

(Grande-Bretagne), Loucheur et Titulesco (Roumanie) Depuis plus de dix ans, c'est lui qui Les accords relatifs aux répara de contribuer vit tions orientales ont été signés hier à ces questions. Désireux la paix en Europe, il a mis, cette fois après-midi, dans le salon de l'Hor ses magnifiques qualités au ser loge du ministère des Affaires étran encore, vice de la cause commune. Est-ce sa gères, sous la présidence de M. Lou science juridique, son impétuosité tou cheur. jours juvénile, son ingéniosité, qui nous M. Aristide Briand avait tenu à ont le plus charmé ? Ceux-là même qui recevoir les délégués et leur a fait n'étaient pas de son avis l'ont applaudi! les honneurs des salons du Quai 1 Je veux remercier ici, non seulement c'est mon devoir, mais parce d'Orsay. Après leur avoir souhaité parceje que le pense, nos excellents collègues la bienvenue et les avoir félicités du que de la Belgique,'dela Grèce, du Japon, de difficile travail qu'ils avaient accom la Pologne, du Portugal, et les représen pli, le ministre des Affaires étran tants des Dominions. Chacun a apporté gères a offert le thé aux membres sa pierre à l'édifice commun. Souvent des délégations, puis la cérémonie ils. nous ont aidés à préciser des rédac proprement dite a commencé à 19 tions et à apporter des améliorations nos textes. Moins directement In heures 30, pour se terminer à 19 heu- dans téressés, ils ont compris que ce que nous res 50. . faisions était nécessaire et. utile pour la Le discours de M. Loucheur paix du monde. Merci pour l'appui que nous avez , ainsi donné.

M. Loucheur a tout d'abord pro vous Merci-aussi à tout le secrétariat. Que noncé le discours suivant : membres ses nous pardonnent surtout le long, d'un terme, arrivés travail de nuit et les heures supplémen Nous vo,ici au taires qu'il nous > fallu leur imposer: et dur labeur.

• Lorsque la' Conférence de La Haye Us l'ont fait sans-jamais récriminer. Us d'une ont été fiers de-s'associer à une œuvre nous-a Jaissé-le- soin--de rédiger, accords des clauses les définitive, dont ils .comprenaient l'importance : façon qui devaient; régler la difficile question! nous n'oublierons pas leur dévouement.' des lois agraires en Europe centrale, et Ce qu'apportent les accords celles, si nombreuses, qui en dépendaient, ne s'agirait Et maintenant, Messieurs, avant se nous avions tous cru qu'il s'est ,que d'une tâche facile : elle le révélée nous séparer, disons-nous sans orgueil, plus ardue que nous pouvions, suppo mais avec la conscience du devoir ac ser, et on a même pu croire, à un mo compli, que les accords que nous allons ment donné, qu'il fallait désespérer de signer sont pleins de grandes réalités et l'accomplir.' aussi d'espérance. Il dépendra de.l'esprit .

Vous vous souvenez que, prévoyant avec lequel ils seront mis en vigueur que Quelques -unes de ces difficultés, la Con d'autres accords plus importants .puis férence de La Haye avait décidé qu'en sent suivre et continuer l'œuvre de pa les cification économique entreprise. cas de divergence d'interprétation, Grande-Breta trois puisances' (France, Je souhaite, pour ma part, que les plein pourraient, Italie) ac-. et en hommes d'Etat déploient dans leur ap gne cord, décider sur les points en litige et plication• les mêmes ressources d'amîtié de leur solution : elles ne l'ont pas fait, cordiale dont depuis trois mois — j'en €t vous vous en féliciterez avec moi. apporte ici le témoignage — vous avez Toutes trois, fortement» unies dans un tous fait preuve.

•désir d'apaisement, ont cru qu'elles de De oettp confiance cordiale, personne vaient surtout s'efforcer de vous amener, ne gardera de souvenirplus profond que celui qui a eu l'honneur de présider à par la persuasion, à des solutions com munes et librement consenties, que les vos travaux. parlements et les opinions publiques M. Titulesco prend la parole puissent-ensuite approuver pleinement.

M. Brocchi, une collaboration qui n'a ja

mais cessé d'être amicale et confiante.

Aucun de nous trois n'a pensé qu'il de

vait, far quelque moyen, essayer de dominer-les autres, et nous avons cru qu'au "contraire notre accord nous permettrait seul d'aboutir. : , Vous me permettrez bien aussi . de rap peler d'une façon toute/spéciale ie rôle éminent qu'a joué notre collègue M. Brocchi : beaucoup des idées qu'il avait émises au début trouvent aujourd'hui leur application. La- science et le bon sens de M. Goodchild nous . ont . aidés , à faire le reste.

Pour mol, j :al des excuses a .vous-pré senter à tous : Je vous demande de rue pardonner si j'ai dû, par- Instant, vous imooser une discipline de travail, rude, sévère même. Votre bonne humeur l'a

pour remercier le président

Aussitôt après M. Loucheur, les délégués se sont levés. tour à tour pour exprimer leurs remerciements au président de la - Commission et pour se féliciter des résultats que celle-ci avait obtenus.

Après M. Koranyi, qui a marqué la solidarité et l'esprit d'entente dont les accords étaient -,1a preuve, M. Titulesco a parlé au nom* de la

Entente ?

La Tchéco-Slovaquie,avec son minls tre des Affaires étrangères, M. Bénès, un des hommes d'Etat auquel l'Europe doit le plus, avait à faire face à des diffi

'

cultés appréciables. Elle a su garder ses droits et comprendre ses devoirs.

Nous, avons retrouvé dans le ministre des Affaires étrangères .de Yougoslavie, M. Marinkovitch, le même bon sens, la même simplicité et la même clarté qui avaient déjà permis, à La Haye, de trouver des solutions raisonnables, et vous , m'en voudriez de ne pas dire combien apprécié chez son collabora nous avons, teur, M. Fotich, les mêmes qualités.

Répudiant, pour une fois, l'ordre al phabétique, j'ai gardé, pour la fin, mon ami,* M. Titulesco. *

La signature Ensuite éut lieu la formalité de la

signature des accords. M. Loucheur signa le premier, en sa qualité de président, et les autres délégués ap posèrent leur paraphe en suivant l'ordre alphabétique.

Le préambule et les accords 1, 2, 3 ont été signés par

Pour: la Belgique, M. Perier ; pour la Grande-Bretagne, M. Goodchild ; pour le Canada, M. Pierre Dupuy ; pour la Grèce, M. Cavadias ; pour l'Italie, M. Erocchi ; pour le Japon, M. Nagai ; pour la Pologne, M. Mrozowski ; pour lè Por tugal. M. Fernandes : pour la Roumanie, M. Titulesco ; pour la Tchéco-Slovaquie, M. Benès ; pour la Yougoslavie, M. Fo tich ; pour, la France, M. Loucheur ; pour la Hongrie, M. Koranyi.

L'aecord 4 a été signé par la Grandet Bretagne, la France, l'Italie, la Rouma nie, la Tchéco-Slovaquie,la Yougoslavie.

Le téléphone Londres-Canada Hier, pour- la Londres, 28 Avril. conversation télé première fois, une — phonique a eu lieu entre Londres et un train canadien en marche près de Mon

tréal.

- "

' Notre voiture

vant::

en présence d'une nombreuse assistance, la première pierre de la Maison des Etu diants américains, sur l'un des terrains cédés par la Ville de Paris à la Cité Universitaire.

Hier, 28 avril 1930, un cortège officiel inauguré la Maison terminée, dressant, a lisière, de la Cité, la masse imposante en de ses cinq étages.

En présence de M. Doumergue, M. Walter Edge, accomplissant en sa nou velle fonction d'ambassadeur des EtatsUnis son premier geste officiel, a ouvert aux étudiants de son pays les portes de, la nouvelle demeure, édifiée sur notresol, grâce à la générosité d'un groupe d'Américains amis de la France. , Accompagné de MM. Marraud, minis tre de l'Instruction publique ; Raynaud, ministre des Finances ; Oberkirch, sous-; secrétaire d'Etat au Commerce ; de M. François-Poncet, représentant M. Tar- 1 dieu, absent de - Paris, M. Doumergue prit- place peu après 16 heures, sur l'es trade présidentielle, aux côtés de M. Walter Edge. Parmi les très nombreuses personnalités se trouvaient encore M. Philippe Roy, ambassadeur du Canada ; > M. de Chlapowski, ambassadeur de Po logne ; MM. d'Andigné, président du Conseil municipal ; Renard, préfet de la Seine ; Chiappe, préfet de police ; les généraux Dubail, grand chancelier de la Légion-d'honneur ; Gouraud,- gouverneur militaire de Paris, ainsi que plusieurs1 membres du corps diplomatique Le premier, le docteur Homer Gagé prit la parole. Il remercia tout particu lièrement la Fondation Carnegie de New-York, de la superbe bibliothèque de 25.000 volumes dont elle vient de faire don à la Maison américaine et félicita M. John Rea Backer, professeur de

>•

-

retrouvé les membres de la mission Goulette, dans la région d'El Allltt, '.-à 500 kilomètres sud de 3eggah, Sous -sçmmea "arri.vi3_.,au près j .des v aviateurs -en meme temps qu'un groupe %à. maison' des Etats-Unis' mobile de goumiers de Trlntrlne. tes membres de l!équlpage sont légèrement blessés aux pieds. l'Université dé Pennsylvanie,d'avoir pris 1 ' la direction de ce centre plein d'activité.

HAMÉAU DANS UN J)E' SAONE-et-LOIRE — Nous ne devrons Jamais oublier, ditil en terminant, que ce ne sont ni les Désespéré par le suicide tirlques, ni. le mortier, ni -les ressources matérielles : qui créentun grand Centre Intellectuel : c'est l'âme, c'est l'esprit qui de sa vieille mère, le gouvernent, qui en font le succès réel. (.Voir la suite en deuxième page) M. de Montfaucon abandonna «

a*

»•

'-

Miss Margarett Bondfield-

'

à son bureau au Conseil d'Etat

AUX ETATS-DNIS

un avion s'écrase sur la foule Sept morts —

Vingt bleuet Fayetteville (Tennessee) 28 Avril. , — Au moment où le pilotë-d'un avion

son cadavre chez lui pendant

deux jours entiers

Les investigations judiciaires se préparait à descendre pour atter l'absolvent de tout soupçon rir, l'appareil'tomba sur la fôule:qui avait assisté à ses : évolutions; -'Sept spectateurs ; ont' été tués. ' et (De notre envoyé spécial) vingtaine d'autres blessés ' ; on Chalon-sur-Saône, 28 Avril. une — C'est craint que plusieurs de ces derniers une étrange et douloureuse histoire que celle dont-vient d'êtra le théâtre le petit ne succombent. village de Givry. Dans une petite mai L'ARRIVEE A PARIS son champêtre, un peu à l'écart, vivaient

du chancelier Schober

Puis. M. Fotich, délégué de la You goslavie, a remercié la France, l'An

gouvernements,mais aussi par l'opi nion publique des pays intéressés.

Le 28 avril 1928, à quelques mètres du boulevard Jourdan, M. Myron T. Herrick, ambassadeur d^ Etats-Unis, posait

\

C'est votre Inlassable ingéniosité et votre bonne grâce,,dit-il en s'adressant à M. Loucheur; qui'ont permis d'aboutir.

Je crois que" sans vous nous n'aurions pu y-parvenir et le plan Young n'aurait pu être appliqué. C'est donc vous qui avez,, une seconde fois, sauvé, le' plan Young. /-Maintenant, notre : tâche con siste à ' appliquer! dans le même esprit les accords que .nous' allons conclure et j'ai le ferme espoir que la Hongrie pense " comme nous. .

M. Loucheur. Le délégué de l'Italie • • intéressés Le rôle des principaux a ajouté que les accords seraient Ici, je me tourne vers les principaux non seulement approuvés par les

La délégation hongroise, composée d'hommes éminents, avait une tâche bien difficile à remplir. Elle a défendu avec-intelligence les droits dont elle avait la garde.

Le comte Bethlen, M. le ministre Walko, pendant les journées où ils ont siégé au milieu de nous ; le baron Koranyi et l'éminent juriste, M. Caïsaccho, tous leurs collaborateurs, ont su êtTe te , naces avec cordialité et résister en sou riant; De l'autre côté — car jusqu'à ce jour il y avait deux côtés, et Û n'en sera plus de même, n'est-ce pas, dans l'avenir — que dirai-je de nos amis de la Petite

Le Président de la Républiques offert hier un déjeuner en l'honneur des membres du conseil d'administration du Bureau international du Travail.

—

cordial.

**

Déjeuner à l'Elysée

Petite-Entente.

gleterre et l'Italie pour l'aide et les sacrifices qu'elles avaient consentis.

ACCC'PtéSi Toutes les délégations ont répondu' & Il s'est ensuite-associé, ainsi que M. cela me donne grand es Goodchild, délégué de la Grandemon appel, ets^appliquer les accords que Bretagne, et M. Erocchi, délégué de poir de voir signer, le même esprit l'Italie, aux félicitations adressées à dans allons nous

^T^tcrÇiSS ^'S

ment britannique en cette matière.

L'aviateur, Goulette (à droite) et ses compagnons! Marclicsseau (à gauche) et Bourgeois (en médaillon) .

Depuis le 22 avril^on était sans nou velles de la'mission aérienne GouletteMarchesseau-Bourgeois,qui avait à cette date quitté Gao. L'inquiétude était gran de et, nous l'avons dit, des mesures avaient été- prises pour rechercher les trois aviateurs. Bailly et Reginensi, dans un geste confraternel qui leur fait hon neur, avaient décidé de prendre part aux recherches et ils ont quitté diman che Colomb-Béchar pour Reggan.

Hier, une bonne nouvelle parvenait à Paris. Nos compatriotes sont retrouvés vivants. Voici d'ailleurs l'information officielle communiquée par le ministère de l'Air : Une-information transmise au minis . tère des Colonies par le gouverneur de l'Alrlque:Occidentale Française précise que l'avion de l'équipage Goulette a été retrouvé, brisé; au sud d'Aîlelag, 200 ki lomètres'environau nord de Gao, par des goumlers des groupes nomades. Les trois aviateurs, sont légèrement blessés. Un-mé decin est parti de- Gao en avion pour se rendre sur le.Jleu de l'atterrissage.

On annonce d'autre part que ce sont les membres de la mission automobile du comté de'Neufbourg qui ont retrouvé les aviateurs;.devançant dans leurs re cherches l'aviateur Poulain. ' Enfin, la Compagnie transafricaine d'aviation,.a reçu de son* représentant, M. de Neufbourg, le télégramme sul

solitairement, - presque claustrés, une vieille dame, .Mme de Montfaucon, née David, et <son fils, qui, pour tenir com pagnie à sa mère, avait abandonné ses trois galons de médecin-major.

Une tendre-affection liait la mère et le .fils ; et leur vie paisible eut été sans doute des plus calmes, si Mme de Mont faucon- n'avait été sujette à des crises de neurasthénie aiguë.

Aussi, le-médecin de Givry, le docteur Simonnet, ne fut-il pas peu surpris lors que, lundi matin, il reçut la visite de M. de Montfaucon, qui l'emmena chez lui et le mit en présence du cadavre de sa mère étendue dans la cuisine. L'étonnement;du praticien devint, de l'angoisse quand il constata sur le corps des traces très apparentes de strangulation.

Le docteùr Simonnet' fixa son collègue droit dans les yeux. M. de - Montfaucon lui confessa ce qui était arrivé. Vendredi, il avait déjeuné: avec sa mère, puis s'é tait enfermé'dans son bureau pour tra vailler. Vers 16 heures, étonné de ne pas entendre . la vieille dame ; vaquer aux soins du ménage, il la chercha, et, dans une petite soupente attenant à la de meure,,il la trouva, pendue. En hâte, il décrocha le corps;- Trop tard la - mort avait fait.son œuvre..,Alors, affolé, il ' le porta cadavre ' dans la cuisine, 'puis, ne connaissant personne dans -le village qui put partager son immense1-douleur, il partit comme un fou, à bicyclette, pour fuir -sa propre douleur. Il-gagna ainsi- Chalon, prit le train pour CapMartin;: où: habite son oncle, M. Ribaulot. Enfin, il put pleurer dans des bras compatissants (.Suite en 3* • page.)

UN MOIS AVEC LÀ LEGION ETRANGERE

M. D0UMERGUE ET M. WALTER EDGE

mil <

compagnons, Bourgeois, seraient également ^

et lui se sentaient honorés de la visite

MM; Goodchild

BOULEVARD, JOURDAN

inaugurent mais blessé la Maison américaine m ^ à la Cité Universitaire Ses âeva jl Marchesseau

au sujet des huit heures dans la marine marchande

du Conseil d'administra Dans son discours; M. Loucheur a souligné tionLeydutravaux B.I.T. ont repris hier matin au en présence de Miss l'importance de cette contribution à l'œuvre Palais-Royal, Bondfield, ministre du Travail de Grande-Bretagne.

M. Arthur Fontaine, président du de la pacification économique Conseil d'administration, a exprimé en

Vous me permettrez, messieurs, de vous dire, en toute sincérité, que je ne crois pas qu'il eût été possible d'attein dre «se but si je n'avais trouvé auprès de l'honorable représentant de la Gran de-Bretagne, M. Goodchild, et auprès de l'honorable représentant de l'Italie,

1930

Edition de Paris

AU CONSEIL GOULETTE DU B. L T. L'ECISEKIBLEDES ACCORDS

La collaboration de la GrandeBretagne et de l'Italie

Avril

HEURES DU MÂTIN

DANS LE SALON DE L'HORLOOE, AU QUAI D'ORSAY

De gauche - à droite

29

TOUTE L'EXQUISE POESIE DES ŒUVRES DE n'est-elle pas exprimée'par le titte de son nouveau -oman

il

iDEii-iX-rsr

retrouveront dans MA ROBE COULEUR DU TEMPS, les subti les qualités d'émotion et de sensi bilité qui ont fait, il y a trois mois, l'énorme succès de l'Héritage de ' Cendrilion EN 5« PAGE : NOS LAUREATS DES PRODUITS REGIONAUX

Toute une famille massacrée à coups de hache pa r le père New-York, 28 Avril. — Un Italien a attaqué sa famille à coups de revolver et de hache, tuant son fils aîné et blessant sa femme et ses quatre autres

enfants dont deux mortellement.

Aux Vérités de La Palisse

t

Comment il remoule à la gorge, au milieu du vin,

des chansons et même des " Aïsclia " consolatrices Comment il aboutit parlois à de désastreux coups de tête! <• •> flriak par Pierre Mac ,

Manue,

dans son livre sur la Légion, cite un

exemple qui me paraît typique. .

Un légionnalfiB

aime les saucis

ses grillées- M%ls il n'a pas d'ar

(.Croquis de Mac Orlan)

.

gent pour ache ter des saucisses.

Alors, il prend une hachette ; et se coupe froide ment trois doigtas de la main gauche : « Voilà des saucisses, qu'on amène le grU 1 »

Pendant une crise de cafard C'est une; des ; aime, la, gran qui formes :du. cafard de publicité, la-publicité inédite, DANS LE BENGALE ORIENTAL imprévue, qui rendra le légionnaire , dans les régiments de la Lé.« 280 personnes auraient péri célèbre gion. De génération en génération,, l'admiration m'ai déguisée des cama au cours du naufrage rades se résuma dans ces mots qui équivalent aux plus brillants parad'un vapeur'fluvial nymphes : 9 Ah 1 la vache ! » Le « cafard », quand il est arrive Calcutta, 28 Avril. — Le vapeur à sa période de maturitét doit se ré fluvial Condor, ayant à bord 300 soudre dans une. explosion de génie, passagers, aurait, sombré dans le Ja- qui sera comme l'apothéose de la vie muna (Bengale oriental) au cours militaire du légionnaire. On en par d'un cyclone. lera ; il faut qu'on en parle. Pour Les détails manquent encore, mais cette raison, il faut également trou on croit que vingt personnes seule-; ver quelque chose de neuf, qui soit ment auraient été sauvées. Le cour digne de la réputation de la Légion. rier postal a été perdu.

C'est encore une forme de l'orgueil. général, le cafard ne manifeste Mort de Charles Derennes saEnprésence de: cette manière , que chez des sujets prédestinés. Dans la Charles Derenplupart des cas; il se contente de l'écrivain n e s, pousser le légionnaire vers la déser bien connu, est tion. C'est normal, si l'on veut bien, mort dimanche, se donner la peine de remonter aux soir, âgé de i'( causes. ans, après une La période de < cafard normal » longue maladie.

Né à Villeneuves'inscrit ordinairement dans la pre sur-Lot, il était mière année de service. Le manque . venu à Paris où d'argent en est responsable encore son talent . lui plus que l'alcool qui produit un'« ca avait fait ( une fard s> fantaisiste et décoratif, étroi place, enviable parmi les littéra tement lié à l'humour des légionteurs* Il écriviten. langue française et en langue d'oc si 'joli

ses vers, ment frappés'

aux Images fortes et lumineuses :

Perséplione, la Charles Derennes Debanadera.

Mais la prose le disputa à la poésie, et lui valut également de grands suc cès : Le bestiaire sentimental, Les bains dans le Pactole, Gaby- mon amour; Le renard bleu et Vie du Grillon assurèrent à son nom mieux que la notoriété. *

L'AUTRE SALON

des Indépendants

MA ROBE COULEUR DU TEMPS

dont nous commencerons la publi cation dans quelques jours ?

Les innombrables admiratrices et admirateurs de

''

Ponr la deuxième:fois s'ouvrira aujourd'hui le " Salon d'art français indépendant "

naires. Un légionnaire dans sa pre mière année de service,' en plus de sa prime d'engagement,. touche vingt-cinq centimes par jour. Com me l'armée d'Afrique ne touche pas de tabac — ce qui, si l'on -considère le prix des cigarettes maintenant, est un triste anachronisme >— le lé gionnaire, avec ses vingt-cinq centi mes par jour, doit acheter son tabac et d'autres plaisirs qui me paraissent tout aussi nécessaires. La pre mière partie de la prime d'enga gement est liquidée en trois jours dans le village nègre, entre la rue de l'Ambulance et la rue Verte, à Bel-Abbès. Et puis il n'y a plus rien . dis que la monotone et implacable cipline de l'instruction qui doit faire d'un bonhomme quelconque un 'lé gionnaire pur sang.

C'est alors que le jeune soldat commence à regretter d'être venu vers cet éden dont toutes les por tes lui sont fermées. Il n'a plus qu'un espoir : attendre de pouvoir toucher la seconde partie de sa prime pour, tenter de fuir*et de gagner la fronr-

tière. En général, cette sorte d'èntreprise ne réussit pas. Le légion naire est trahi par les indigènes et sous escorte de moghazenis il rega gne le dépôt. Personne ne se frappe, d'ailleurs, de ce coup de tête qui ap paraît presque comme une crise ré gulière dans la formation du légion naire. Les officiers connaissent cela.

Et c'est pourquoi il est nécessaire que la Légion soit dirigée par des .officiers , qui sachent commander, maintenir et aimer ces soldatsinfi niment sensibles et souvent compliqués.

• L'alcool, qui est un amplificateur remarquable pour tçois les disques

enregistrés par l'imagination,1 donne au « cafard > son apparence lyrique et fantaisiste. C'est chez les « Pepe », les Espagnols qui vendent du vin, La Catalane, par- Chénard-Huché . que s'ébauche l'œuvre d'art qui per Sénateurs et députés ont pu se con IVofr en quatrième page, :. - > mettra au « cafard » de s'épanouir vaincre, en lisant dimanche leur jour de notre collaborateur et de crever. On se rappelle cette ex nal, que l'opinion publique savait être le compte-rendu traordinaire aventure de sept ou Louis Paillard.) juste même à l'égard du Parlement. Car

c'est bien l'opinion publique que la MM. Schober et Briand presse traduit lorsqu'elle félicite les élus , TREIZE VOYAGEURS BLESSÉS RUE DE RENNES là d'avoir enfin voté des dégrèvements pro à gare de l'Est mis depuis toujours et depuis trop long (.Voir le texte en troisième page.) temps retardés.

DANS LA COLLISION D;UN AUTOBUS ET D'UN CAMION jamais cessé qui n'avons Pour nous, de recommander les mesures qui vien nent d'être prises, qui en avons dix fois démontré la nécessité et l'urgence, nous nous permettrons de joindre nn souhait à notre applaudissement : que les Chambres continuent dans la- voie où elles se sont engagées.

Nous sommes en effet persuadés que par cette voie et par cette voie seule, on pourra retrouver le trésor de con fiance amassé par le ministère Poinca' ré-Herriot-Marin.

A une condition cependant. Il ne faut pas que la politique suivie appas raisse comme une. politique de. parti et qu'elle forme l'enjeu des élections pro chaines.

Une plate-forme ministérielle plus large que la plate-forme actuelle, outre l'avantage de mieux assurer la stabilité, gouvernementale, aurait celui de nous garantir contre l'éventualité indésirable d'un renversement de la politique. Elle serait une promesse d'avenir.

Nous persistons à . croire, malgré les C'est belle laquelle jà du app'arences, voiture avec fais soixante l'heure qu'elle est'. réalisable. Et une — dans les côtes... ' doutons Y4<i- nous ne pas qu'elle, soit dans . . , En voilà une affaire t .J'ai une- montre de vingt francs - 'qui cn:, /«ît les-vœux,du-pays. *" : " «-'•V r"• <' ' Monsieur-de lia-Palisse.; (V. le texte en 4* page.ï mitant I ' i ' Photo -

—

ËCH-OS

naquit un matin.. On avait prévu une LES CONTES DU P. T. M. RENÉ MANAUX PRÉSIDE, huit légionnaires Qui partirent avec L'INAUGURATION alHIIIlllllHUIfUlilitlHlIlItliKlHlfllHIIII journée chargée et Nizeleux avait fait armes et bagages pour conquérir le monter son quignon pour déjeuner sur une Ccnférence en vue des mesuras Sud, où, entre le ciel et le sable, on place. Le gars aùjront bas, après avoir de la Maison américaine aperçoit les tilles de l'Atlantide. vidé une "fiole d'edu-de-vie, s'était mis à prendre pour le 1 er Mai de ceux qui vous proposeront ee genre Voyages de chefs d'État Le L'un d'eux avait revêtu —' c'était — travail. Il s'était battu distraction. Leur offre n'est pas dé à Cité la rageusement au universitaire Nizelcux d'assumer la décida Quand une ordonnance — l'uniforme de son Président de la République va passer de • veille en sortant éu cabaret et il ne la d'étudier lieutenant. Ils prirent le train Jus douzè jours en Algérie. Mais quelle be sintéressée. fis sont payés pour la faire. conférence, Une vue en direction d'un domaine agrîtole, tout le la décolérait n,i ne dessoûlait pas depuis coordination des la prises pour mesures qu'à Colomb-BécJaar, à cette- époque sogne en ces douze jours ! Banquets, monde lui affirma qu'il n'était pas taillé trois jours. matin, journée du 1" mai, a réuni hier (SUITE DE LA PREMIERE PAGE) point terminus de la ligne. Encore réceptions, visites officielles, représen Les chiffres officiels qui furent pour cela. 11 avait bien approché CJribrutalement bousculait Cbmme il une au ministère de l'Intérieur, sous la préfallut-il qu'ils obligent un train qui tations de gala, discours, allocutions... publiés la semaine dernière concernant Puis M. André Honnorat, sénateur, gnon mais il n'y avait fait que des étu femme. Nizeleux intervint et le drame s-idence fie M. René Manaut,' sous-secré la dénatalité française sont positivement retraça le merveilleux développementde des incomplètes et on lui objectait sur éclata. Le se dirigeait vers le nord à rebrousser Pas un instant de repos ! planté devant le fermier, taire d'Etat, M. Paul Roquèpe, dlrectéur gars, il chemin afin de les conduire aù but Les déplacements des chefs d'Etat, en effarants. Ils entraînent aux conclusions la Cité Universitaire. fils n'étant de tout paysan, pas que, de la Sûreté générale M. Chiappe, M. le dévisagea et déclara't lui succéda, parlant au ignorait qu'ils voulaient atteindre. H y avait notre siècle de progrès comportent, en les plus pessimistes et nous préparent M. Charlety de la terre. tout préfet de Seine-etBonnefoy-Sibour, i 1 l'Université de Paris qui ac abatis Numéroté de tes nom effet, Seu Errard et Goiriot, de rudes épreuves.

— général L'argument bien valeur. généraux Sans éventualités.

Si pareil état de avait doute, les aux pires Oise, les dans le train qui usa sa un milliers chaque plusieurs Nizeleux cueille année le Néanmoins, regar comme chef et sous-chef d'état-major de la pla bien inutilement de tous les argu moyens de transport sont aussi rapides, chose ne s'améliore pas — et nous ne d'étudiants américains. lement, Nizeleux; syant remarqué que dait fixement, 11 l'étui jau souvint de se ce de Paris, le colonel Besson, représen ments pour les convaincre. Le ca aussi confortables qu'il est possible; mais voyons, hélas ! aucune raison pour qu':l Souhaitant que cette manifestation toute entreprise est invariablement con prudent, malgré fureur, rendu et, sa tant le ministre de la Guerre. fard parlait seul en maître. A Co- leur rapidité même n'est-elle pas déjà s'améliore — on doit ô'atteridre à voir resserre encore les liens intellectuels qui damnée à sés débuts par les amis, déci ne à hommes, hésitant résolut Les de Les mesures d'ordre sont les suivantes: lomb-Béchar, ils prirent une piste une fatigue ? la population de la France diminuer de unissent la France aux Etats-Unis,, M. da de ne tenir compte ni des critiques ni intervenir, ruser. étaient accourus et les fem De même que les années précédentes, publi l'Instruction ministre de Marraud, jadis, Au roi Henri fit qu'àle IV n'en temps avertissements quand unités et le bled, dans direction mille des la de Tide deux cent vers par an. sera toléré sur la voie parla ensuite du grand effort ar tête. Il engagea tout ce qu'il avait sa mes s'étaient rangées derrière, toutes aucun cortège nemanifestation, et mimoun. Et ils crevèrent de soif et allait visiter une province il chevauchait Le Petit. Journal Illustré du 27 avril que, tous ac publique toute —. ; si le revolver se mettait fuir littéraire prêtes à qui. tistique à et peu peu, se escorte à d'une l'affaire, la tête ob plus dans petite formée par voue prouvera toutes les conséquences dessine de faim, mais ils aperçurent peuttes de .sabotage, toute entrave à la li lointains rivages de même un peu — delà des partie. la de au berté du travail, toutes violences seront être à l'horizon les cortèges merveil ses maréchaux, et l'on musait le long des de ce triste état de choses. tint du crédit et marcha. l'Océan, chez nos amis d'Amérique. et proférant Tout des en menaces réprimés avec la plus grande énergie ; en 11 avait mis la main sur une belle ferleux de la reine de Saba. Huit jours chemins et l'on s?arrêtait au hasard des de' cette saillant trait plus Le le des inju adversaire — par les délinquants seront déférés immédia plus tard, des cavaliers des forces auberges pour vider un hanap de vin. Royat est, par excellence, la station fondation, d'étu l'échange dit-il, mu qu'un décès laissait sans maître. 11 occupant son sera au Parquet ; les étrangers q;/l pour le cœur. Ses eaux carbo- diants qu'ont voulu sès initiateurs. Dans empoigna l'exploitation -avec beaucoup res, le gars essayait de le tourner pour tement supplétives les découvrirent étendus Quand Louis XIV fit son premier voyage spécialiséejaillissant prendraient part à une manifestation à la température du les statuts dé la Fondation des Etats- d'énergie, fut servi par une espèce de s'emparer du revolver. Il avait son plan: sur le sable, à moitié morts, la figure officiel dans sa bonne ville de Bordeaux, gazeuses arrêtés et expulsés sans délai. étu chance de main et ra seront l'étui d'un a été stipulé que cinquante ouvrir au monde et con Unis, ilfrançais revers il s'en fut à petites journées, dans un corps, àsont uniques total, réussit. boursouflée et la langue noire. et, au Les forces habituelles de. police seront de la Fondation Deutsch Royat un# supériorité incontes diants fler l'arme de l'autre paume ; après, il renforcées s'apeurait et tout qui de Sa fetqme, Chez les intellectuels, soldats à la grand carrosse attelé de douze chevaux fèrent Meurthe viendraient prendre place de la : 1" par la garde républi table et bien reconnue par le corps dans la maison américaine et que cin aurait beau jeu I deux blancs.

Les elle plus aimables qui serrait d Paris autour Légion," le« cafard » s'orne de dé dames de la médical. caine de en ses ; 2 r par les effectifs de étudiants rempla l'assistan américains cri dans les Il grand quante eut un y de ce succès com la garde républicaine mobile venus de tails qui i'apparentent aux inven Cour lui tenaient compagnie, et l'on pas ceraient dans la maison française. Nous fants, s'effraya même réussir venait de son tour, province, compte tenu des demandes des AUJOURD'HUI sommes très touchés de la pensée qui a mençant et né sut comment faire pour ce, le gars tions les plus heureuses de la litté sait les heures à deviser gaiement et à bond, d'un bond préfets qui auront reçu satisfaction.

D'un seul d'adresse. inspiré cette mesure. les pièges et mari de piéserver tous rature d'aventure. croquer des bonbons. son SOUVENIR rani LA FLAMME DU sera Les troupes, comprenant d'une part la M. Walter Edge, ambassadeur des de tous les d-angers. il en était un qu'elle merveilleux, il avait débordé son adver Sans doute, ces longues chevauchées, mée, Toutefois, la forme la plus fré à 18 h. 30, par l'U. N. O. B., 17' EtatSrUnls, garnison de Paris d'autre part les uni lui répondit, exprimant tou craignait par-dessus tout : c'était la bru saire et, suivant sa main gauche qui tés quente et la plus paisible du cafard ces interminables voyages en litière ou région. appelées à renforcer les effectifs du l'étui, sa main droite y gouvernement la Américains les avait te sympathie des ouvert l'B&cpositlon Cen pour du OUVERTURE de journalière avaient certains et, talité, inconvénients. de Carrosse leurs par en celle légionnaire en militaire, seront consi est qui pousse le cul l'Algérie, a Intimes de Petit-Palais, plus manifestations notre tenaire de plongeait... au elle redou On de battage, ticulier, gnées toute la Journée et tenues à la ne trouvait pas toujours le gîte con 10 heures ; du cours public d'apicultu ture essentiellement latine destinées à en temps vers une tristesse inexprimable qu'il général.

Certes recul Cela causa un disposition du préfet de police. absorbe avec le vin et les chansons, fortable; on s'embourbait dans les mau re, à 9 heures, au Jardin du Luxembourg; mieux faire oonnaitre nos arts, nos let tait les gars de batteries. « Gars de bat les balles pleuvoir du allaient et sang Geoffroy 36, Une nouvelle réunion aura lieu demain rue teries, batteries de gars I > lui avait cours de culture, à l'heure où tous les souvenirs de ce vais chemins..... Oui, mais on avait la du dit le sciences.

Il aussi tres très et nos répandu. allait être mercredi dans l'après-midi, sous la pré grand'mère et elle voyait avec qu'il & été autrefois lui remontent à quiétude, te charme de l'imprévu. On al SaintrHllalre.

EXPERIENCES d'abatage avec pistolets grand désir qu'ont la plupart des étu appris 6a collec sidence effective de M. Tardieu. lait sans hâte; on ne brûlait pas les rou automatiques eous les auspices de la So diants de son pays de venir passer parmi anxiété revenir la saison où, avec la Mais, sans transition,lé un rire n'avait la gorge. gars des animaux, à, 10 heu nous plusieurs années de leur jeunesse batteuse au moteur bruyant, arrivait la tif, énorme, retentit ; De fraîches figures de Jeunes filles tes et on ne brillait pas sa vie. La fan ciété protectrloe qu'un saucisson l'étui trouvé dans et il laborieuse. ÏF 8*»» au Abattoirs de la ViUette. batteries. gars.de des , troupe apparaître comme de gra taisie du souverain bouleversait les iti res,ASSEMBLEE peuvent Vient faratlr« fie générale de l'Aide aux £ stupide. brandissait air Walter d'un M. Edge ajoute le : Elle n'eut de cesse qu'elle n'eût déci cieux fantômes danâ un cadre que néraires, changeait tes dispositions pri cardiaques, à 11 heures, à la Fitlé.

Autour de lui, maintenant, lee gens ee maison est également un mo dé Nizeleux à porter ostensiblement son 14 h. 45, au Musée — Cette le légionnaires Juge maudit, mais ses, allongeait ou êcourtait le voyage. duCONFERENCES. — à progrès qui caracté nument autre un se tapaient sur Louvre : « Le chef-d'œuvre de Char rise notre époque, revolver. 1) résistait, mais les femmes pressaient, s'esclaffaient, qui, de toutes façons, n'est pas com Personne n'y trouvait à redire. Les les Le les échan c'est-a-dlre Deshairs 17 heu M. donnaient des bourra Brun lui cuisses jpar ; et entre les nations. Comme ont des arguments irrésistibles ; Nize les Chacun posé pour les recevoir. C'est l'heure moindresparoles prononcées par le mal-, res, 4, square», Rapp ; « Karma, détermi ges intellectuels voulait voir le saucisson le savez, Je suis rentré tout récem leux finit par céder en riant et mit en des. ; vous où l'on chante Anne-Marie. C'est tre n'étaient point colportées par le pays nisme et libre arbitre », par M. Bphrer d'un voyage dans les centris» Indus bandoulière 17 h. 80, au Conservatoire des Arts et Mé ment énorme étui jaune. Il eut miraculeux et le gare était tellement un l'heure où les chansons èntendues tout entier. Lés discours étaient courts. tier* triels France de et je tiens à assurer voua flammes abasourdi qu'il en oubliait sa colère et », par ; « Température des air planteur tour ainsi petit de en un pendant les Jours heureux prennent Un mot de bienvenue à l'arrivée; au dé M. Ribaud Serpente 30, h.

38, rue ; 20 née quand il alla dans ses terres, car il si vengeance. D'ailleurs, il était submer Le fascisme et la femme », par M. de une signification plus haute que part, un adieu avec une rasade de vin «Zara, et « L'Italie laborieuse », par M- rolration, c'est "la plus importante de était toujours guêtré et il aimait les gé par la cohue des camarades et il en «Importe quelle autre formé du ly de cru : le coup de l'étrier... Et c'était Hayward tendait à peine la voix du patron qui : Club du Faubourg, Salle Wa- toutes les industries grands enapeaux, tout jusqu'à la ville prochaine. risme. rensei modernes vérité l'affaire preyfua La sur », expliquait gram : Tu verras qu<; j'aurai des embête Montmartre renaît dans le cœur Aujourd'hui, faut se fait à la diable. par MM-« Charpentier, Judet, eto. ; 13, rue gnement supérieur.

— Ben, oui 1 Pour faire plaisir à ma dédoublement expérimen Puis la. musique I avait-il affirmé à —

UN DRA ME

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F

Henriette Walti

©eux

île mu nie

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des légionnaires de Paris. Des noms de rues, des noms de femmes s'ins crivent dans le vin répandu sur Jes guéridons de fer peint. Manon, Gaby, Anne-Marie, Miejke, Eisa se confon dent dans la présence devenue sa crés d'Aïscha, la petite « Filali » de

la « taule ».

Quelquefois, les légionnaires sont tendres. Alors, ils donnent tous leurs sous et comme ils sont sans défense, les filles et les mercantis en profi tent... a moins qu'Aïscha prise ellemême on ne sait à. quel piège ne se lasse tatouer sur la bras, près de l'é

Et la volonté même du chef d'Etat, s'in

cline devant cette puissance qui s'appelle le protocole. Le voyage est minuté çomme une représentation théâtrale, lin douze jours, il faut abattre la besogne de six semaines. L'infortuné voyageur saute d'un train dans uti bateau, du ba teau dans un autte ttàin: il passe d'une salle à manger dans une- loge de théâ tre, de la visite d'une exposition à l'inau guration d'un hôpital.. Et, partout, il faut parler, trouver le mot qui convient et avoir le sourire:... Avoir le sourire h.

On ne se doute pas de la difficulté qu'il y a à avoir le sourire pendant toute une journée.... et quels efforts H faut faire,

paule le nom d'un légionnaire et la parfois, pour \utter contre la fatigue et date où ils se sont connus.

14,

:—

suivra.)

M. Doumerguç inaugure l 'exposition

du Centenaire de l'Algérie

faire en sorte que ce sourire ne se trans forme pas en grimace.

Ces voyages de chefs d'Etat sont vrai ment l'image de notre existence actuelle existence de fièvre, d'activité incessante, de vertige et de variété. — Jean Leçoq.

<

Ainsi ENTRE NOUS, MESDAMES les Amérioaina feraient comme ne pas, 10 h, 30, au petit Palais l'exposition du vieux trente-oinq dit, de ?

Entre on os Centenaire de 3'Algérie. Sous la con et quarante-cinq ans, Us meurent à la duit» de M, Gronjrawski, 1« Président tâche I Mal? aussi, H# se donnent un de la République qu'accompagnaient terrible pour gagner de l'argent a notamment MM. Marraud, ministre d& mal Américaines, Elles sont, messieurs, l'Instruction Publique, Paul'Won, di leurs beaucoup plus exigeantes et beaucoup recteur des Beaux-Arta, Gérard, direc moins affectueuses que nous, vos petites teur de l'Qfflee d'Algérie, Renard, pré françaises. fet de la Seine, Ohiappe, préfet de pâ compagnes Et vous vous plaignes i Beaucoup lit», d'Andigné, Godin, Gulchard. De d'entre vous ronchonnent parce que salle en salle M, Douwergue visita at tailleur„de demi-sai demandons tentivement toute eette exposition com nous chapeau un d'été ou même une pe son, un plète et vivante tite conduite intérieure ; parce que le rôti est trop oult ; on paroç que nous LE RENDEMENT DES IMPOTS voulons aller au théâtre un soir où vous avea pas envie I Fendit les quinze mois de l'exercice n'en flous ne vous faisons tout de même . leg recettes normales et permanen pas mourir prématurément, NOUS vous 1939. tes se sont élevées à : 48.670.016.000' assurons même souvent de vieux jours •tr»nw en augmentation de 7.407.467.QQ0 confortables. Nous vous soignons quand francs, sur les évaluation» budgétaires, vou? êtes malades, Nous voua encouraPour le mois de mars 1830, les recou geoiwi quand vous déeesp^reg du suwèevrements de sont élevés à 3.974.241,900 Noue voua conseillons discrètement et frases en augmentation de 147,633,900 utilement. Nous voua pardonnons à l'oc francs sur - les évaluations mai§ en di casion vos défauts ou vos infidélités. Et, minution de 8.088.600 francs sur les re ce n'est pas le moindre de nos mérites. couvrements de mars 1829.

Nom tenons convenablement votre mai' son et vous ave» plaisir à y rentrer et à nous y retrouver.

M. F.-E. FLANDIN Alors, messieurs, quand vous serez est rentré d'Italie tentés de vous montrer un peu nerveux, prêts à être injustes enver* nous, sur le Pierre-Etienne M. FlancUn, ministre point de devenir désagréables, regardez • du Commerce, est rentré hier matin à, un peu au delà des mers. Pensez aux Paris, revenant d'un voyage officiel en maris de? Américaines. — Fra,ncine. • Italie, où il a visité en détail les stands des Exposants français à la Poire de Mi lan, et pris part à la réception diplo Verdure. matique organisée, par le Gouverne En quelques jours, Paris s'est rempli ment Italien. de verdure; Les arbres sont couverts de feuilles. Les vpies publiques sont om A L'H OTEL DE VILLE bragées. , : hroubliez pas d'arroser ces bons ar l'wainUtement det voies privée* bres qui ornent la ville et vous donnent Et Parlement. l'agrément.

Le vient de voter «ne loi de ne jetez pas à leur Ville autorise qui ia «le Parts à procéder pied toutes sortes de détritus, de pa a'wflce 4 l'assainissement 4e w» voies piers, de résidu», etc. Prenez soin d'eux privées et même à leur Incorporation dans U voirie publique. et de l'4tôgance de Paris, que viennent peu voles çrivées, eu nombre de plu» de visiter les étrangers en cette saison d'été. .seize cents, étalent trop souvent devenues 'des foyers d'insalubrité : l'pbstruçtipn de certains propriétaires, facilités par les oompiioRtloua des formalités exigées par Les rabatteurs. les lois et règlements en vigueur, avait Un employé de contmepce a détourné jusqu ici paralysé l'action de l'Adminis tration qui, d aoeord avea le Conseil mu un demi-tnilllon pour le dilapider dans nicipal, a demandé au Parlement le moyen les maisons de jeu, Sans doute, n'y est-il de,. vaincre .les. résistances -injustifiée?. pas aUé tout seul. Presque toujours les Grâce a l'active intervention des, teurs, M. Mtorleet-au-Sénat et M,rappor Flan- future « pontes » son* entraînés par des cette a la Chambre des Députés, les me rabatteurs. sures proposées par le Gouvernement On offre h déjeuner. Et puis viennent de recevoir la sanction législa après, vous discrètement, on vous pousse vers tive. ce qui va permettre de mettre fin les tablee de jeu, C'est une opération 4> une-situation Indigne de Paris.

Le Préfet de la Seine va soumettre au classique qui rapporte au « rabatteur » Conseil municipal, dés sa prochaine-ses sion, un premier programme de travaux a er qui coûte souvent très cher au naïf inexpérimenté. Méfiez-vous, générai, M. DoumerguQ

a inauguré hier

a.

exécuter.

en

Béranger : « Le tal », par M. Laflèche ! 30 h. 46, & la Sorbonne ! « Quelques musiciens nou veau* d'Italie », par M. Davico (Cercle musical universitaire) : 2! heures, Olub jîoehechpuart, 83, rue de Rochechouart : « Les crimes politiques et les compromis sions financières de la haute administra tion lndochlnolse », par M. Leblanc.

BANQUET, à 8 h. 30, 41, avenue Ga briel, Association France-Grande-Breta gne.

SOIREE de gala de la Société amicale et de prévoyanoe des anciens combattants des T. C. R. P., à, 20 h. 30, mairie du xvi.ll' arrondissement.

COURSES fc Enghien.

IE MONDE ET 14 VILLE Nécrologie, — Nous apprenons la mort de M, Amodru, anolen député et ancien président du Conseil général de Seine-et-Qlae, décédé le a? avril, Les obsèques auront lieu le mercredi 30 avril, k 8 heures, en l'église de Ohara. mande, selon les volontés du défunt, ni discours ni fieurs, Cet avis tient lieu de faire part, — Noua apprenons avec regret la mort, de M, Henry Oelmas, Entré très Jeune l'agence Bavas, M, Belmas, qui avait été direotew de la succursale «e Bordeaux et avait représenté l'agence 6 Washington durant la guerre, était en dernier Ueu directeur du bureau de Londres, M. Henry Oelmas est décédé fc Bordeaux eti, retraité, U venait de se retirer, Il était officier de la Légion d'honneur et membre de l'Asseqiatlon des journalistes parisiens. i M, Wakatsukl est parti — Londres Paris. U passera quelques Jours sur peur le oontlnent et s embarquera à, Naples, le

12

mal.

du 5' régiment d'in fanterie joua Star Splanged Banner. Le Président de la République parcourut alors plusieurs salles.

Enfin les Invités de la nouvelle fonda tion purent visiter en détail la splendidé

ments avec ça 6a femme ; mais elle svait hoché la tête et elle l'avait embrassé si tendrement qu'il n'avait plus rien dit.

L'embêtement se manifesta une pre mière fois sous la forme d'un gendarme maison. qui, sur la route, interpella le fermier LA VIE MILITAIRE et lui demanda ce qu'il portait là. revolver, dit Nizeleux, Ce n'est — Unpistolet dç poche et U a la di Conçouri d'admissUw à l'Ecole pas un mension réglementaire, de SairihCyr 1 dit le gendarme.

Les compositions éorlteg du concours — Voyonsentr'ouvrlt l'étui ; le gen Nizeleux d'admission à, l'Ecole spéciale militaire lieu les 10. 80, ai, 92 et 2a mai darme y plongea un 'regard scrutateur. auront dans les diverses villes énumèrées ci^ea- I! eut tin sourire d'approbation, sous, désignées comme centres d'examens; Bon I Bon l„.

Alger, Besançon, Beyrouth, PordeauX, — Brest, Cherbourg, Dijon, Grenoble, La Puis il frappa familièrement eur l'é Flèche, Lille; Lorient, Lyon, Marseille, paule du fermier qu'il connaissait Mayenee, Met?. Montpellier, Nancy. Nan tes, Nice, Nîmes, Orléans, Paris, Poitiers, puis longtemps et il continua sa route.

Nlïeleus poursuivit la sienne et 11 ar Reims, Sennes, Strasbourg, Toulon, Tou louse, Tours, Tunis, Versailles. riva dans sea champs où les ouvriers le A Paris, les compositions seront faites regardèrent de coin, Ils dirent ensuite, dans le manège d'Bautpoul du quartier QuplelK. entre eux, que le patron était devenu un iLa ntt'dcille coloniale aveu agrafe peu fou mais comme il avait de l'as cendant sur eus. ils continuèrent à lui « Afrique! >> obéir, Le droit & la médaille coloniale avec Et Mme Nlseleux, rassérénée, attendit agrafa « Afrique- Kqvatwlale Française u est acquis aux militaires européens et in sans trembler désormais l'époque jadis digènes, ainsi qu'aux fonctionnaires civils redoutée des battages. ayant pris une part eflieotlve au* opéra tions exécutées dans la vallée du Mandeul <WV; (Moyen»Qharl) du 87 février au 18 mars Les premiers Joure où U se trouva 1.080.

Pourront également prétendre à 1^ mé» linsl affublé d'un baudrier et d'un étui daine coloniale avçc agrafe Afrique guerriers, NUeleux eut quelque souci Bquatoriaie Française » les auxiliaires ci vils (gardes régtonau* et partisans) qui, car U professait que tes armes «ont, ayant été blesses ou s'étant distingués au peur leurs propriétaires, plus dangereu cours des opérations précitées, seront ses qu'utiles et qu'elles provoquent lee proposés pqur cette distinction. draines au lieu de les éloigner, Puis, bientôt, Il retrouva son enjouement <—

M. Désiré Ferry visite les Maisons Soutien Fraternel " des P. T. T. du

"

-\s-

affaire d'accoutumance sans doute ~ii parut ne plus se préoccuper de cette

machine qui lui battait les fiança, et ses ouvriers — surtout «es ouvrières —» re marquant ces sautes d'humeur — sç renforcèrent d*ng la pensée que leur patron avait désormais, dans la cervelle, un

petit grain,

Une autre remarque confirma leur opinion. Maintenant, 1« patron, quand

devait déjeuner sur le terrain, ne fai sait emporter pour lui ou n'emportait lui-même qu'un simple quignon de pain.

A l'heure du repas, il disparaissait pen dant un moment et, quand il revenait, il était porteur de quelque bon morceau qu'il adjoignait à §on pain. Cette idée d'enfourcher sa bicyclette pour aller

tiii-. -igigBwwHttgawwiga?jimmt

^p^waBBWjgpBHie?!!S!y.-iii'.i

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Deux maisons du groupe de Vitry- sur-Seine ; de gauche à droit? ; MM. Tonnelier, président du « Soutien fraternel des TXT. », Ferry, ministre de l'IJySlènç. et Vassaux, président d'honneur (Fftoto p, J,)

Hier, M. Bésiré Ferry, ministre u«? la Santé Publique accompagné de M-. Fré déric Dupont, chef de son secrétariat s'est rendu dans différentes localités de la région parisienne afin de visiter les maisons construites par le Soutien Fra ternel des F.T.T., eette société de ncours mutuel, qui a fait élever à ee jour jusqu'à 220 maisons familiales et dont le groupement comporte environ 135.000 inscrits, A 10 heures du matin, on quittait en auto la porte d'Orléans, Le cortège se composait en outre du ministre, de mm. vasseus, préaident honoraire île la Société de secours mutuel, directeur du service immobilier ; 'Tonnelier, pré sident effectif du Soutien Maternel Jes

P,T,T, • ïïmnbert, chef du bureau à l'Administration centrale des p.VT,, président de l'Association Amicale des P.T.T, : Mis* Wetmorre, bienfaitrice Ufl l'œuvre et de nombreux délégués, Ï4s conyol automobile a visite succes sivement les groupes immobiliers d« Bagneujf, Sceaux, verrières et Vitry-surSeine, d'où le ministre rentra à Paris, La earavane se rendit ensuite à Vin" cennes où eut Heu un déjeuner, Au des sert, des discours ont été prononcés par MM. Tonnelier, Yasseux î par M, Du* pont, au nom du mlniâtre et par M* Mondier, qui représentait les bénéficiai, res de ces maisons construites dans la banlieue parisienne en application des lois sur les habitations 4 bon marché.

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SEULE DANS LA VIE.» XXI. — La prison des filles à (Oise)

Clermont Comme tout cela est triste et me fait mal ! Peut-être même plus qu'à vous, car je souffre à la fois de vous savoir malheu reuse et de votre absence dont j'ignore combien de temps elle durera.

Si je ne puis rien faire pour vous en ce moment, ma petite Paulette, je veux du moins que, ce matin, quand la cloche vous appellera dans la cour grise aux murs jlpais, vous vous disiez que vous n'êtes pas seule, que votre grand ami Jacques est au près de vous de toute son âme, et qu'il prend votre petite main dans la sienne pour ne plus jamais l'abandonner !

Si j'osais et si j'étais sûr que cela ne vous déplaira pas, que vous ne me moque rez pas, j'ajouterais même quelque chose, un aveu... Oui, c'est bête, à mon âge,

~ AVIS IMI'OKÎANT Comme toutes les nouveautés lancées par Albin »M1CHEI„ cet PUvroge présente, tant par la na "

A L'ACADEMIE DES SCIENCES

I,e prix triennal Le Conte C'est cette année que l'Académie des Sciences doit décerner le prix triennal Lé Conte, de 5Q.QQ0 francs. En comité secret, l'Académie a- examiné les titres des candidats. Le choix de la commis sion se serait porté sur M. Carton, le distingué, professeur è, la Sorbonne.

—* "—•— »— 1

INFORMATIONS D IVERSES

^

ke général de division de? troupes coloniales ValUer a été nommé an ton. mandement du groupement cochinchiner Cambodge et du Point d'appui de la flotte Bfugon-Çap Balnt-Jncqves, à Baïgon. « L Ardenne & Paris » — L'association dimanche prochain, & la h. 30, organisa, 6, la salle des fêtes Se la mairie au fl' arrondissement, place salnt-Sulptee, une soirée dansante, aux artistes (A-A.A.A.) — L'Aide amicale à Magio-aity, iç annuel donne son bai fc 2? heures. ? mai mardi « La France artisanale » rappelle désireux de participer fc la artisans aux S* exposition, du. 6 mat au 6 Juin, aux Champs'Elysée*, que les inscriptions doi vent être parvenues le a mai, n, ru?

Oftillon, Paris 2', Opérations de la Caisse d'épargne et de prévoyanoe de paris du 81 au *28 avril i Versements reçus, 4.888.100 tr. 80. Rem» beummwts. 4487.037 fr. 55,

ture du papier que par les soins apportés ù l'impression, toutes le« qualités (lu livre de biblio thèque, Les véritables amateurs de livres apprécieront.

igl 15 fr. Àihln MICHEL, Ed;

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Le Petit Journal 89-61,

Rus LaJctyetta, Parte (/X*)

Tél. ; Trudaiue 02-9? (7 Ugoes)

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Seine, Seine-et-Qise., 80 France et Colonies..., 82

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Vous serez toujours bien habillée, Madame, si vous faites vq» robe» vous-même, en Utilisant les irréprochables

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patrons de

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LA MODE, en vente partout t le numéro

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60 centimes

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Parmi eux, il y en avait un qui n 'était pas commode. Haut et large et le front bas, U déclara, après avoir écouté un jour la vieille, qu 'il n'aimait pas les sor ciers ni les gens qui avalent l'air de gendarmes et qu'il ferait son affaire au PRtron si celui-ci l'embêtait.

Justement, la malheureuse occasion .

MIDINETTE ,

Femme, lequel, de ton enfant ou de son père, tient le plus de pince dans ton cœur P

quérir, une victuaille à la ferme au lieu de l'apporter le matin avec son pain leur semblait cocasse, Une vieille affirma qu'il ne s'éloi . gnait guère et elle assura que la bicy clette ne quittait pas le hangar. Puis, comme on la taquinait en lui deman dant si le -patron avait des ailes, elle hocha ia tète et dit que ; « P'têt bien I y n'en manquait pas qui n'avalent pas d'ailes et à qui le diable en donnai >, et, pour tout dire, elle accusa le patron do sorcellerie. Mais cette monnaie n'a vait pas cours dans le pays où trop de gens passaient pour que les supersti tions s'y enracinassent et on lui rit au nés, — Allex toujours, dit-elle, H y aura du vilain 1 La pleine saison du battage arriva et les gars de batteries avec elle.

CCECR-^

par ean

Emile Solari.

{roman

i:

Il revint à son bureau et déchira la let Feuilleton du Petit Journal. 39 Avril 1930 d'avoir encore de ces faiblesses de cœur vous savez mon grand secret .même s'il paraît insensé, tre. ne me dites rien. Je que d'ordinaire, ô notre époque d'arri vous aime et ne vous demande pas de . Puis u écrivit simplement : visme à outrance où l'on ne prend plus le vous temps de faire du sentiment, se réservent m'aimer. Je veux seulement que vous ne Paris, 2 Septembre. les collégiens. Que voulez-vous, nous avons dautiee plus do mon affection, désormais Ma chère Paulette, vécu ensemble des instants où l'on mesure dévouée jusqu'à la mort et qu'elle vous ré" Je tiens à vous rappeler, dès cette pre l'éternité et dont le souvenir vous lie <t conforte aux minutes de nostalgie ou de mière journée de captivité qui sera sans jamais. N'accusez donc que le destin et ne dégoût. doute pour vous bien douloureuse, que je Je vous*embrasse de toute ma tendresse reste de m'en veuillez pas si ce que vous allez lire tout cœur avec vous. Je vais re désespérée, n'est inopportun.

Ce semble pas ma vous Grand roman-re/tortago d'amour doubler d'efforts pour que la liberté vous Jacques. faute... d'aventures soit rendue le plus vite possible et que jus «l Paulette, je aime...

Je petite sâ Ma Nil relut lettre, la relut Jacques vous en tice soit faite. Ne vous découragez pas et CLAIRVAU J

~

femme, j'emporte l'étui, mais,' depuis tiois mois, je m'en sers comme de mu sette et de garde-manger... Moi, les ar mes à feu, ça ne me dit plus rien, de puis la guerre...

vous aime, non pas à la façon d'un gamin qui oublie ses serments aussi vite qu'il les a faits car, à mon âge, on réfléchit et, quand on donne son cœur c'est vraiment pour toujours. Je vous aime avec toute la conscience et toute l'abnégation d'un homme de trente-cinq ans, qui a vécu, qui compare, et qui sait pleinement à quoi l'engage un pareil aveu.

Peut-être ne vous l'aurais-je jamais dit si vous étiez restée auprès de moi. Il y a une telle différence d'âges entre nous que j'aurais craint vos sarcasmes... ou, ce qui eût été pire, votre pitié. Et même si vous m'aviez accueilli, vous auriez pu croire à une simple toquade, à la seule recherche d'un plaisir physique. Tandis que vous êtes loin, inaccessible, et que vous, êtes presque devenue, pour moi, immatérielle.

Et cette barrière terrible que la fatalité a mise entre nous vous garantit du moins contre toute offensive brusquée de ma part en même temps qu'elle vous assure de ma profonde sincérité.

Et maintenant, ma toute petite jolie, que

core, alluma une. cigarette, marcha de long en large! en proie & une visible per plexité.

C'était sa vie qu'il engageait sur une route nouvelle. Bien pis, il transigeait avec son devoir qui était de conserver avec Paulette des relations en quelque sorte paternelles puisqu'il était maintenant son tuteur. Quel mérite aurait-il désormais à protéger cette jeune fllle s'il trouvait dans son acte, en échange de son dévoue ment, un intérêt sentimental 1. Et de plus, ne paraissait-il pas abuser de la situation que le hasard lui avait offerte ?

Enfin, comment prendrait-elle cette dé claration à laquelle elle était certainement loin de s'attendre ?

Décidément, U ne pouvait, il n'avait pas le droit d'écrire ainsi à paulette !

D'ailleurs, toutes les lettres qui arrivent aux prisonnières dans une maison de cor rection, sont décachetées et lues par la direction. Que penserait-on de lui et quelle autorité aurait-il à l'avenir pour conti nuer à défendre la pauvre petite ?

pensez quelquefois à votre grand ami,

Jacques Nil. Tandis que le reporter mettait sa lettre à la poste, Paulette arrivait à « l'école de préservation > de Clermont (Oise) où sont détenue? la plupart des mineures acquit tées par le tribunal pour enfants. Une sur veillante était venue la chercher. Ce fut un triste voyage, Une petite pluie line tombait, rendant plus aiguë encore la dé tresse de ce départ vers l'inconnu.

tes deux femmes n'échangèrent pas dix

paroles, ha. surveillante, vêtue de ce cos tume noir qui prête à toutes les surveil lantes dç la prison un air de deuillantes, avait un visage sec et sévère, qu'on devi nait habitué à sévir. Et la pauvre petite n'avait d'yeux que pour le paysage, en trevu derrière les vitres du wagon de troisième classe qui l'emportait, pour ces bois, ces vallons, ces champs qui sont la beauté de vivre et dont elle allait être privée pendant peut-être cinq ans...

La nuit était venue quand elles débar

quèrent du train, Paulette vit à peine les hauts murs, la lourde porte, épaisse comme les dalles qui recouvrent les tombeaux, et qui semblait se refermer sur la vie,,, On la conduisit tout de suite à son lit.

Il était dans, un dortoir qui en contenait environ une trentaine, quinze' d'un côté et quinae de l'autre, placés dos à dos et séparés par une cloison centrale. Chaque détenue est elle-même cachée à sa voisi une autre cloison, assea haute ne par empêclier toute escalade. Ces cellu pour les sont fermées par une solide grille de fer. Quand tout le monde est couché, tou tes les portes sont barrées par une lon gue tringle que l'on cadenasse soigneuse ment, de telle sorte qu'il est impossible d'ouvrir une porte sans les libérer toutes en même temps.

La « chambre » de Paulette était, com me les autres, uniquement composée, ou tre le lit, d'une petite case où l'on range leu objets indispensables à la toilette et d'une cuvette d'étain. La ruelle était juste assez large pour se déshabiller.

La nuit, éclairée uniquement par une veilleuse et par la lucarne derrière laquelle dormait la surveillante, fut sinistra pour ' la « nouvelle ».

Le lendemain, après le réveil qui a lieu à six heures l'été et à sept heurea l'hiver, puis le petit déjeuner qui. consiste en une soupe aux légumes, Mme Rivé, l'inspectri ce, la prit à part et lui souhaita la bien venue en quelques mots consolateurs et rassurants qu'elle réservait d'ordinaire

aux arrivantes pourvues de bons rensei gnements.

Elle ajouta que si elle travaillait bien on lui trouverait plus tard une place en ville.

Cette petite allocution, puis la lettre de Jacques Nil qu'on lui remit peu après, ou verte, la réconforta un peu, mais elle retifit ses larmes quand on la mena 4 l'ha billement pour essayer son nouveau-cos tume. sa livrée de prisonnière, le tablier à carreaux bleus, les sabots, et le fichu de laine noire. .

U lui fallut enlever s?, petite robe de ville, celle qu'elle avait à son arrivée au Bourget et la remplacer par cet accoutre ment qui la rendait pareille aux autres, pareille aux plus indignes de ses compa gnes et en quelque sorte anonyme'.

— Quand me la rendra-t-on, Madame ? demanda-t-elle à la surveillante.

— Quand îu sortiras...

Quand elle sortirait ! Autant dire qu'elle ne la mettrait plus sa chère robe qu'elle aimait tant à cause des beaux souvenirs qu'elle lui rappelait I D'abord, dans cinq ans. elle serait trop étroite, démodée. Et peut-être ne la reverralt-slle jamais car elle allait sûrement mourir d'ennui et de désespoir dans cette prison !...

Et tandis que. la surveillante refermait la porte du placard où d'autres robes étaient déjà enterrées, elle envoya à la pe tite chose d'étoffe un adieu, du fon,d de son cœur, comme à, une amie, qu'on quit te peut-être pour toujours...

(A

suivre).

La Petit Journal

29 — 4— 30

DERNIERE HEURE Ouverturedelasession iiitemàtiohal Congrès Eucharistiqué Le

SERVICES SPECIAUX TELEGRAPHIQUES. TELEPHONIQUES ETf TJSJvde « Petit J oumI >

de Carthage

des ConseilsGénéraux

présidentiel

Algérie

en 85 diocctnt de Frnncè seront représentés : Le Comité i national- dtè pèlerinages, Le programme du voyage du prési Hier s'est ouverte à Genève LA LUTTE AUX INDES M. Henry Chéron dantle Calvados fondé en 1899 par S. £, le Cardinal Ri dent de République en Algérie est ar Caen. 28 Avril, — En ouvrant la session chard, et dont le directeur est Mgr Lan- rêté de la la façon suivante : ' du Conseil général du Calvados, M. Henry celie, a été chargé par S. 0. Mgr Lemaître, M. > la session du Conseil iDoumergiie quittera Paris le G. Chéron a prononcé une allocution dont arcljevèque de Carthags et primat d'Afri 2 h.

11 d'acûord Cardinal' vendredi à 19 2.

S. le' arrivera a E. Vermal, que, avec nous extrayons les paroles suivantes : ' dier, archevêque le Toulon, dé Paris, du recrutement, 3, â 10 h. 30. Il sera reçu a d'arbitrage et de sécurité — Il y a des gens' mal avisés qui Se des congressistes et de leur transport Jus l'Hôtel de Ville ilalgnent et à la Chambre de de leur sort. Je bénis au con qu'à Carthage, Le comité de Tunis s'oc-, Commerce, assistera a un bànquet, offert traire celui que m'a réservé, dans sa sou de toutes les questions concernant veraine sagesse, la Chambré des Députés. cupe le séjour le logement et la par le conseil municipal, le conseil gé cartilage, à Ce matin commencera A Karachi les volontaires Que de fois, les pendant nuits rudes » • de tous lés pèlerins-congressistes néral et la Chambre de Commerce, et des discussions budgétaires, j'ai murmuré pension 2a discussion sur les. aéronefs le comité national lut amène. Le Co partira de l'Arsenal a 14 h. 15 pour font un feu de joie notre vieille chanson locale : s Je. veux que mité de a envoyé, au comité natio 6'embarquer sur le croiseur Duùu^sne. revoir ma Normandie. » Je la revols, en nal desTunis des étoffes étrangères Genève, 28 Avril, — Le Comité d'ar cartes de ' pèlerinages "L'arrivée en rade d'Alger est fixée au effet, des milieu toute souriante, au pom congressistes et cela ne S.BBS bitrage et de sécurité a tenu ce matin suffit pas; il cr, dimanche 4 mai, à 5 heures du matin. miers en fleurs. C'est un bienfait du ré réexpédie avion. série de réceptions auront lieu à sa ?*emière séance sous la présidence (De nuire correspondant partttulier.) : gime. parlementaire que de procurer à Pour lespar .diocèses de la France- mé la Une 87 Serviteurs, à l'heure ; de M. Unden, représentant de la Suède. où 11 le faut, les ses préfecture' et au Palais d'Eté, ou se tropolitaine (l'Algérie et la Tunisie com Londres, 28 avril. — Les partisans de charmes et le réconfort d'un' repos -bien te président du Comité, M. Benès, «Gandhi prenant 4 autres diocèses), 85 seront re ront présentés les grands chefs indigè poursuivent leur campagne de gagné,' » ministre des Affaires étrangères de èsobéissance ' au congrès de Carthage, Sept- nes. d'une! façon chaque jour M. Henry Chéron a ensuite décrit le présentée Tchécoslovaquie, s'était fait excuser spéciaux trains Déjeuner . recueilleront les congres Intime au Palais d'Eté. caractère normand. Il a loué la prudence sistes des diocèses violente, ayant dû se rendre de Paris à Prague, plus France, de compris L'après-midi, visite du palais des . de ses compatriotes, leur, Metz et Strasbourg, et seront .y Le sang a coulé à Madras & un mee et ladedroiture ën Il viendra & Genève dans quelques ting concor la d'épargne, jardin d'essai, fête indi esprit beaux-arts; leur du sens mesure, 1 organisé pour protester contre l'at auquel ils associent l'esprit de progrès, la dance avec sept paquebots que la Com gène, inauguration jours. de la statue de R. pagnie Générale Transatlantique a- bien Vlvlani; réception à l'Hôtel titude de la police, lors des désordres fidélité de leur affection.

M. Unden, en ouvrant la session du de de Ville. : voulu leur réserver. Un bon nombre vendredi. comité, a passé en revue l'œuvre de ce 'M.. L. Hubert dan* lé» Ardmnei ; d'éVêques' ont ténu à accompagner leur à, Lundi 5 mai : - départ pour Boufarlk, . commencèrent par atta dernier et a rappelé les tâches qui lui Deslescoolies diocésain. Déjà nous .pouvons indi B heures. Inauguration du monument automobilesdes Européens pas Mézlères, 28 Avril. — M. Lucien HUbeït, groupe incombent.*On sait que trois questions quer :sS< E. le cardinal verdler, arche à la gloire du génie colonisateur de la quer, à, l'ouverture de la session du vêque de Paris et président d'honneur du France. sant & proximité du. meeting. La police sénateur, . figurent à son ordre du jour : Retour à -<lger par Sidi-Ferruch. général ArdèïiheS, Conseil dés prononcé rétablir l'ordre fut, fois a "Une national pèlerinages; comité, UN. SS. Après-midi des là perfectionen matière d'alimenta 1° Un projet de convention générale venue pour dit' 11 notamment où Un discours : visite â.Kouba. Le soir, a de pier archevêques plus, grêle de accueillie les évèqueê Itoufen, par une et de .

• s'inspirant des grandes lignes du mo banquet offert par les délégations fihan —- Depuis notre dernière réunion, deux Cambrai, Auch, Annecy, Gap, Mkrsfeille. ciéres tion, c'est le lait de samaman ou,à son dèle des traités en vue de renforcer les res. Le commissaire et ses deux adjoints grands et .soirée de gala à l'Opéra. événements internationaux se Meaux.

Montauban, Montpellier, Moulins. deux tenaient premiers qui aux rangs se Mardi : départ d'Alger, à 8 heilres, moyens de prévenir la guerre. ' défaut un bon lait concentré Sucré sont déroulés : La Confèrenoe de Là Haye Met2, Nice, Nîmes, Le Puy, Pérlgueux, Poi avoir blessés. furent sommé Après la .

"Un projet Londres. de 2° convention pour l'aa- foule de la Conférence de Bodea, Verdunl le et tiers, Taïbfcfe, Kroubs, où Soissons, train présidentiel pour ' Nourrissez-doncvous-même votre se disperser, le commissaire Qu'il ait fallu plus de ai* années, non Le comité national des pèlerinages em sera garé pour la nuit. sistance financière en faveur des Etats donna l'ordre agents tirer.

Deux de iles régler comptes de même aux pis pour mènera également S. G. Mgr l'éveque de victimes d'une agression.

Mercredi 7 mai : arrivée à Constanenfant ou faites-enunBébéNestlé* griève manifestants alliéB l'Allemagne, les et furent tués et entre trois Luxembourg, dès délégations guerre de scouts, facilités aéro h.

3° Les à accorder aux tine à 30.

Réceptions.

8 Déjeuner in blesses. La foule s'enfuit sur la mais simplement pour arrêter léur mé ainsi que M. le chanoine Corttette, leur time à la préfecture. Visite die la ville. jouffiu.potelé.heureux vivre. nefs en temps de crise, pour assurer les ment c'est lfc un fait pro thode dé règlementi aumônier général, général et le salins, do poursuivie plage, police qui la par a eu fondément significatif. communications intéressant le fonc grand'peine & rétablir la mission polonaise accompagnée par M. Banquet offert par le conseil général ét le calme, tionnement de la société des Nations. ' A Karachi, Trois ans avaient suffi pour la liqui Pulaskl, ministre de Pologne, délégué par le consell municipal; de 8.000 foule volon une dation d'abord la financière des guerres napo S. E. le Cardinal Hlond, primat de Polo Jeudi 8 mai : départ de Constantine Le comité examinera ques taires, précédée dé trois charriots Char . traité de après Deux ' le léoniennes. ans gne, et trois chorévêques orientaux. tion des aéronefs et 11 en commencera pour Bône. Arrivée à Bône à 15 h. 30, étrangers, a inauguré le Francfort, la France était libérés de ses De grandioses cérémonie# déroule Réceptions. Banquet offert par le con la discussion demain matin à 10 h. .30. gés de tissus se C'est sur plus de soixante ans ront au cours du congrès. . seil municipal et la Chambre de:Com La France est représentée dans le co boycottage officiel des étoffes de prove obligations. p&lements doivent s'échelonner les Jeudi tue Le 8 mal Messe de communion : mité par M- Massigll, ministre plénipo nance étrangère, en parcourant en pro . merce. A 21' heures, le président s'em l'Allemagne alliés, même dè que auit fénéralÈ des Belvèenfants stade e du au cession les la ville.

Après de un tentiaire, directeur du servies français meeting, rues duquel les manifes les paiements de la France aux Etats- ère, a Tunis. A 10 heures, messe ponti barquera sur le Duquesne pour Alger. Il au cours à la Société des Nations, entouré du gé tJnis. ficale à Carthage, dans la Frimatlalp y arrivera lé lendemain, vendredi, à 1 Ainsi, ce n'est plus pendant quelques Saint-Louis, construite de 1884 à 1890. 18 heures. néral Requin, des commandants De- tants votèrent une résolution condam les nant autorités demi-siècle, prises les mois, pendant mesures plus d'un par mais plusieurs cette église renferme • souvê'nirs Samedi 10 mai : dans la matinée, vi leuae et Lucien et de M. Jean Paulde Peshawar, un énorme feu de joie fut que pèseront sur les hommes les con de. l'antique Carthage chrétienne, la des hôpitaux d'Alger. site Boncour. . la lutte gigantesque. du tJn séquences de Châsse Louis étoffes. roi tombeau allumé les saint le aéroplane et qui aveq A 12 h. 30, banquet offert par la mu l'absence On remarque*» de toute dé Survolait la > Puisse au moins ce persistant fardeau du cardinal LaVlgeVle. produisit foule panique une nicipalité, le conseil général et la cham légation du gouvernement de l'U. ft. S. parmi dans l'âme tles générations a venir A 1G h, 30, Offrande solennelle des pal bre de les femmes, mais l'ordre d£ la ancrer S. draine commerce. souvenir du et les le convaincre mes par les enfants de la « Croisade eu-> manifestation ne fut pas troublé.

L'après-midi sûir, de tout faire pour en éviter le retour I Charlstlque GRATUITEMENT: », à l'amphithéâtre de Car réception et bai: revue navale ; le „ A Rangoon, «JIjj Bengalis soupçonnés Eth&nt. palais farine amphithéâtre, réplique'du d'Eté. la» Broch.'SOINS DESENfANTS" (KV\da!.ï thage. au cet Coou Dan* le Rhône t llsée de Rome, a été détruit par les ; Dimanche 11 mai : départ par le train Le chancelier Schober a Paris d'avoir pris purt aux émeutes de ChittaNESTLE. e. Avenue Portails. PARIS ( »:i Lyon, 28 Avril. — A l'ouverture de la Arabes.. On retrouve au centre de'l'arène d'Alger pour Oran. Arrivée a 17 h, 80 gong ont été arrêtés. jrëitiiéfe session ordinaire de 193o du les souterraines, ofi- furent enfer" Visite-de la ville et réceptions. Dîner, Conseil général, M. Binder, président de mésprisons: le, suppllcé des milliers de avant à la préfecture.

Le dooteur Jean Schober, chancelier assemblée, a prononcé un discours) martyrs, entre autres les saintes Perpétue intime cette Le Lundi République la mai ; séjour & Oran. Visite à la de fédérale d'Autriche, & dans lequel, étudiant la situation politi et Félicité. l'Hôtel . de Ville, à îa ohambre de com .

RECOMPENSEE ! que, 11 a dit : LA son arrivée à Paris, était accompagné du Le lendemain, vendredi 9 mal, messe ... ; . resté longtemps budget bien Le hôpitaux. est merce, Banquet. pontificale aux Visite dè Carthage comte Clauzel, ministre de Francs à à les — ruines de sur sur le métier, où il a'pris une angoissante la Basliica Majorum. C'est là qu'on a l'Exposition. A 10 heures, le Président Vienne, et de M. Junkar, ministre pléni — Mais il est délicieux, votre cale au lait, ampleur.

Tante Javotte i -Personne ne m'en briBée en plusieurs morceauxi s'embarquera sur le Duquesne pour Mar potentiaire et chef du protocole autri Par ee traité signé hier mutin au » Une loi, comme le report de l'année' retrouvér l'épltaphe des jamais servi de pareil 1 saintes .martyres, a indiquant où le seille, il arrivera mardi 13, à 19 chien et Grunberger, ministre d'Autri Quai d'Orsay qui fait suite aux actes budgétaire au l" avril, n'est apparue que que leurs , conservés furent Je ne suis pourtant pas iforcorps y heures.

Oh i pen che à Paris, lequel était allé & sa ren- le même nature déjà Conclus par la comme un expédient destiné & dissimuler dant plusieurs siècles. Saint- Augustin y — , Retour à. Paris le 14 mai, & 10 h, 30.

Ciére, ma petite !

France avec le Danemark et la Suède, le recours aux douzièmes provisoires. Le a prêché cinq fois leur panégyrique. A contre. .

Tout mon secret,-Je te livre ! c'est les ici, deux pays se sont engagés à ne ré malaise politique, nous le répétons de 21 heures, réunion solennelle des hommes Sur le quai de la gare» de l'Est, le 'WV' André M, Tardieu, de moitié prendre président du toujours Café ét moi gler uhe large C6ndans tous les cas que par les voies puis trois, ans, provient pour â l'amphithéâtre de Carthage. Mgr Tischancelier a été reçu, comme on l'a vu, pacifiques les. différends fiduciaire eeil, chicorée. circulation excessive, chicorée tous la qui tié C'est quels qu'ils de la qu'on ou . ne pourra se rendre en Algérie slér, éveque de Chalons, y pronoricéra un par M. Sriand, qui avait auprès de lui soient qui pourraient surgir entre eux part entraine Elle mois. président mois blie : on a tort, grand tort l Tu obtiens en discours. Puis chant du « Credo » en avec M. Gaston Doumergue, qui monte de M. de Fouqulères, chef du Protocole, et et qu) n'auraient.', pu être résolus par le gaspillage de la richesse, la diminution; Commun et Salut.solennel. de République, la ainsi une infusion dont un peu suffit spécialement dési ^ a M. Gruson, secrétaire général de là ponti gné M. René Manaut, pouvoir d'achat de la monnaie et la ' Le dimanche 11 mai, la messe du chaque matin pour teinter et parfumer sous-isecrétaire Compagnie dé l'Eçt. ficale sera célébrée par le cardinal Lêpi- d'Etat hausse des prix. » ministère de l'Intérieur* pour ton lait. procédure spè< le prix de voitures oier, légat au .Pape, sur les ruines de la saluer au Dan» ta HaUte-IUatnë ses Une déclaration du chancelier claie se trouverait déjà . le prévue par d'au chef de l'Etat de au moment Saint-Cyprlcn, ù Carthage. i A — C'est simple, tu vols. Mais retiens Chaùmont, âô Avril. — Au Conseil gé basilique bien „ tres conventions,. arrivée ceci : « 11 n'est bon Café au liut faisant bénéfi la terre entièrement africaine, 15, h. 30, procession générale de clôture.: son sur A cet effet le nouveau traité prévoit néral de la Hauts-Marne, M. Georges Eut partir^ de la Primatiale pour des-, M. Schober a fait aux membres de la qu'avec chicorée. » catégories de différends : d'une part, tJimd, président, a évoqué la belle ngure cendre vers l'amphithéâtre, le contourner M. Mallarmé, ministre cier clientèle la de sa presse une déclaration dont voici le prin deux des P.T.T., les litiges ' d'ordre juridique dont le rè de Georges Clemenceau. cipal passage : et remonter à la Prlmatiaia. La bénédic LE DRAME DE GIVRY peutglement doit a-t-il dira être obligatoirement re ajouté, réduction de la L'Histoire, taxe solennelle, tion Très 'est Alger du Saint-Sacrement émbarqué hier sur S pour suis rendu très volontiers fc cherché dans des préliminaires de conci être un jour que la démocratie française, Sera donnée par le.cardinal légat du haut — Je me du l'Invitation gouvernement de. la Répu liation puis, en cas d'échec de cette pro en n..'oubliant pas les services rendus, se du balcon qui domine l'entrée principale. 1 Perpignan, 28 Avril. les automobiles Sur le paque (suitk.de i,a Première page) — blique française de faire une visite à Pa cédure, Boit dans un jugement de la serait honorée . en plaçant au poste le Golda. bot El de partant Port-Vendres J'apprécie d'autant qui ris. plus l'amabilité de Jour Permanente de Justice Internatio Hier matin, 11 revenait à Givry, et élevé de ' la République celui LES TRAGEDIES DE L'AIR iour Alger, Alwôï* s'est .e'flef ftmhovnltië embarqué ce matin, &à aa Wiofî*» cette invitation que je sais combien sont nale de lia Haye, soit dans une eentenoe plus la Patrie, lui donnant ainsi avait sauvé prévenait NOUVEAUX Simonnet.

PRIX s En dépitlededooteur 0 heures, M. Mallarmé, ministre des if. difficiles les tâches dont le gouvernement d'un Tribunal arbitral spécial et d'au l'occasion de terminer sa carrière*; l'excellente réputation dé T. T„ que M; Leroy, préfet des Pyré français doit's'occuper ces jours-ci. tre part, les conflits d'ordre politique qui parte UN AVIATEUR RESTE SUSPENDU Gattln M. Litui* l'ancien A /vice; médecin militaire qui, fait pri MONASIX, «cylindres, 2 1,600 1 nées-Orientales, accompagna jusqu'à la doivent être également soumis à une » Dès la conférence de œnes, 11 y a jus politique situation Ih sonnier pendant la de 4/5 places depuis guerre, accompagna, te huit ans,4'ai pu me rendue compte de procédure de conciliation obligatoire mais francs sitôt libéré, les troupes dans le Riff, le l'Intérêt bienveillant que les représentants <iul, en cas d'éoheo de cette procédure, Niée, 28 Avril. —Le Conseil général des' à une échelle ds conta entre ciel e! terre: Coupée,..

VIVASIX, PARLEMENTAIRES LES t 3 FRANÇAIS cylindres, | ,870 là de France manifestaient pour mon pays. sont alors portés exclusivement devant Alpes-Maritimes s'est réuni, ce matin, docteur Simbnnet refusa le permis d'in il est iité à l'atterrissage . .L'Autriche . places depuis S BISKRA A Tribunal . arbitral constitué ad hoc. francs ft effectué depuis lors des tra humer et prévint le parquet de Chalon, un l'année, de sous . . . pour sa première session Gassln, vaux fort pénibles dans la vole de sa re Ce matin;'M. Pébain, prooureur de la pléson présidence de M. Louis Blskra, 28 Avril. — Un second groupe 10 6V 4 cylindres, 23«l 40 ' construction et ces travaux ont été cou Aux élections aux conseil communaux la République, et M. Villars, juge d'instruc ^ 1( de parlementaires présidé par M. Mau 5 places depuis ronnés de succès. » Berlin, 28 Avril. francs un acci terrible politique, M. - . situation ; la de tion, parlant étaient à Givry. Ils firent subir à dent d'aviation, qui impressionna forte* rice Ordihaire, vioe-président du Sénat, - . . en Haut-Silésie les Polonais l'emportent Oafesin a constaté qu'elle est aseea comM. de Montfaucon un long Interroga Le séjour à Paris arrivé est à Blskra où le maire leur a WNt'l au Comptant n h entait pan blexé et que la tâche de gouverner et ment , ceux qui en furent les témoins souhaité, toires Le malheureux fils ne put que ré bienvenue. ^ la Les parlemen horrifiés, s'est produit hier soii',' à Ousd'administrer n'est vraiment .

LA AVCNUEHOCHK Hier soir, M. schober a dîné dans l'in ^ fAHJ® péter • ce qu'il avait confié au docteur taires ont assisté à-une « difïa » offert® Varsovie, 28 Avril, Voici séldorf," eithitiitions des acroba pre mode. cours au timité. H a assisté ensuite à une repré» MU Simonnet.

TOU» M AOENTl SDE8M . t par le cheick El Arab Bouzik Bengana a -t -il ajouté, hâtonstiques réalisées par un pilote très con et miers résultats des élections aux ;on- hous — Cependant, sentation à l'Opéra, dans la logé du Pré fieils Par ailleurs, l'autopsie pratiquée par qui Indigène/ n'est, 36ês optimisme fête garder un a une B illancourt iiiinti * Allemagne, Hundertdu de communaux en ÎJaute-Silésle, Oanâ après de nu en nom destinées sident de la République, où il était dans le docteur Désiré de Fortuné concluait la les foi tout, que •V* «frfo'niM M. BCrnles* gouverneur général district Tarnowskie de du six communes tnattt. yAHii» son exercice principal étale qu'Év celui ePi K de constater ' hâtons-nous le du 'pays. accompagné, par M» Grunbôrger et au déoès par strangulation, et comme le total les mandats, Gory, 69 de sur les'points flUi consistait un batailles à d'Un les avion: dans de l'Algérie, passer. offre travers sur diner toutes comte Clauzel. un corps ne portait aucune trace suspecte, obtiennent 68 mandats, et les essentiels, la politique française s'affirme Un autre appareil en plein vol. HundertAujourd'hui, il il h. 80; M. Bchober Polonais DERNIERE COMMERCIALE HEURE on put établir que Mme de Montfaucon, Alger, 28 Avril. derniers en perdeht Immuable.

M. Bordes, gouver Allemands il. ces i mark était à s'attacher .& parvenu — neurasthénique, s'était bien pendue. d'Orsay Quai ; sera reçu au par M. . du franc, le re- l'échelle stabilisation , général offert hier Après la soir Pa neur a de'corde qu'on au lui avait » -lancée Ses 'obsèques ont eu lieu à 19 heurès.

Erland qui donnera un déjeuner en son bans trois cprnmunes du district de drfeesement économique de - la nation, de l'&pparéil survolant lé sien. <âue sè lais d'été un diner en l'honneur deb sé» MARCHE DU HAVItfc ÂVrll (Clôt.), 28 r'ii...w honneur, Dans la soirée, Il sera l'hôte Prxczyna, sur 33 mandats, les Polonais l'orientation' inlassable de notre politique produisit-11 alors ? Fût-ce igfr -r,i députée délégation m. ., et nateurs, de la des 60B, t'utonujanv, rév, ôoa, B02, mars défail une les garanties du comte ciauael. Le Chancelier sera obtiennent 81 et lés Allemands 3. ' la paix, COMMUNISTES ARRÊTES extérieure vers CINQ avec Paris qui visi moi 508, juin 508, juin. 6ob, août 40a, lance soudaine de 1'âvlateùr,* toujours du Conseil municipal etisuite reçu par l'Association France- Dans la commune dé ftezdàen, is nécessaires de notre sécurité. Enfin, la fest-U S0SI, oct. 500, nov. 4Û0, clôc. 601', Ten celui ne parvint jamais à se tent actuellement l'Algérie. MM. Du- sept.

16 prôgrès social. constante,vers que marche Autriche, présidée par M. Painlevé. De trlct de Katowice, dance Ventes 1.760 balles. — i 18 mandats, les UbS hisser-; jusqu'au- premier ^échelon de roux, sénateur ; Laqulèrè ét Ricci, dé Cafés soutenue.

La conférence de Londres a révélé main, le chancelier offrira, un déjeuner Polonais obtiennent sur » 264, 252.25, mars 268,60, - Aux abords d'uneusine de la place du Janv tév. : 10 et les Allemands rois* de plus au: monde ravi, la magie et l'échelle, ^'aviateur resta ainsi-suspendu putés d'Alger, de nombreux Combat, deux femmes, et deux hommes officiel & la légation d'Autriche. avril 284.50, Mai 374.Bô, juin 271.60, jUUl. distribuaient, ainsi secrétaire financiers M., Causseret, inté et perdant la diplomatie.

Les 8 ainsi 2 sièges les miracles de hier matin, à 7 heures, des que la entre ciel et terre, se débattant déses général ; 230,23, août 265.25; sept. 261, oct. 259.60, 11 sera reçu à 18 h. 30 par M, Douheurtés, général, opposés sont du communistes. conseil. rêts les-plus a gouvernément tracta Arrêtés peu après, et majorité on assis du sa sein au pérément, Taisant des efforts inouïs poirf nov. 258.60, d£a, 266. Tendance & peine conduits au commissariat mergue, puis par M. Tardieu, et recevra A Ohoreow. même, s'êntendre tout "de ait-an. de police du fini palmandate, taient diner. les Po la au 3.000 Ventes Laines : soutenue. sur: saag. atteindre but.

— L'avion pouvait at ensuite les membres de la presse, A SI lonais en obtiennent son ,, ne , MM. maintenu Ils Tardieu Briand ont et au- terrir-sans risquer dé le tWri du Combat, ont été trouvés 6 êt les conlmu- dessus des conflits avril 900, mal 900, juin B00, julU, 900,. quartier piloté de Le idéal paix, notre papiers heures, il assistera au Théâtre des nlstes 1, et les Allemands porteurs de -..nombreux 'concernant août Tendance 900, sept.

800, 900.

8, perdant oct.1 continuait, lai, a manœuvrer tson appa sécurité volonté im besoin et la la Champs-Êlysées,à un concert donné'par ainsi 8 mandats et la majorité de sont notre propagande, Oe Colllnet, Yvonne : Calme. sein au suivant la forte-pa muable de la France, l'armée reil femme Trelnt, l'ex-capitaine l'angoisse de que-l'on de devine. Il l'orchestré philarmonique de Vienne et du conseil. avec MAkCtlK DE NEW-YORK (Clôt.), 28 Avril de Président République, M. le la française, militant, role de décida communiste 41 à voler très bas, et des agents ans, ensuite à une réunion intime. M. Scho se* Corons (en cents par livre) ; Disponi déchoir dans aucun domaine. & 1' « Humanité », 92, rue.de la de employée ne .police de 16 essayèrent ble mcoté, 02, juin 16 20, àvrii mal de matin à 25 coûper la h. corde, jeudi 8 ber partira pour POUR VOIR Jjk MARIES 1# 00, 11111. 16 10 a 16 12, août 16 00, Vlllette; Odette Martin, femme Qosse, 20 Dan* la Gironde Londres. sans jamais y pai-vénlr. Pourtant, l'es Une mère de sténo-dactylo, 64, rue deB Rigoles; iuéè enfants . sept, 16 25, Oct. 14 B6 à 14 97, nov. 16 07, ans, quatre est venait à manquer, le.pilote dut se Millet, 22 ans, garçon limonadier, Bordeaux, 28 Avril. — Le Conseil géné sence Henry (19311 Nou 12, XS 1B 20. d'une déc. janv. balle à — décider atterrir.

Il le fit, au le cœur plus len !

4, ouvert, après-midi, cet rai de la Olronde a rue de Belleville, et Edmond Pluchot, veaux oontrats 1 Oot.. 14 70 a 14 72, nov. cordonnier, Cinq cents bandits attaquent Une véritable bagarre h l'intérieur sa tement possible, avec toutes les Rrècauordlhàlrs. première 52 ans, 58, rue Pinet. Une per annuelle session 82, déc. 14 84 à 14 87, janV. (1931) de là cathédrale de Westminster k quisition opérée che2 Yvonne Colllnet & tions nécessaires. Ce fut en vain. Traîné 1 Nloe, 28 Avril. — Cette nuit, vers 14 Au cours de la séance présidée par m.

14 91 & 14 92, îêv. 14 99, mars 16 08. -— heures, 25 Italiens'MM. Barraud, Mogeri permis découvrir le brouillon des tracts de l'assemblée dépar deux violemment et président de le dé Marché laaoti£, dans l'expectative du sur sol, le corps du maila ville de Kingsouchou de nombreux autres parturuller,) question, ainsi été correspondant donné communication tementale, 11 en que Turlaro, Jouaient dans la mal, position sur ,(D9 notre a heureux ïïundertmark n'était plus lies tracte, aux oartes un veloppement de M. de Polnles invitant les jeunes lettre de remerciements uns d'Une avis -café Mougins, des de de fléchissent ensuite & Cannes, lorsque, cours Londres, 28 avril. — tJn grand maria près sur qu'un amas de chairs sanglantes quand désobéissance, autres en de conscrits a la les formulés la lors les oarô, pour voeux Texas Plus cathédrale et l'Oklahoma. de le pluies dans 'une célébré aujourd'hui h la soudain, altercation éclata l'appareil entre parvint enfin à et tuent un millier d'habitants ge stopper... journée faveur 1" de la du mal.

Lee qua Conseil général session: du , tard une reprise a lieu sous l'inriuenco tre communistes, après interrogatoire Westminster a donné lieu A une, mani précédente . deux témoins séparèrent les Des eux, santé rétablissement de l'état de le de de tendance des balsslers en ancienne ré M. Maurice, commissaire festation qui faillit tourner en émeute. pourl'ancien président du Conseil. mais Tbrfaro hommes,précipita chez Deux jeunes du quartier du cle se 14 à se couvrir. Vers la fin nouvelle Combat, ont été envoyés Pour attendre l'arrivée des futurs époux, de gens ans lui, prit son revolver et se dirigea vers colte au Dépôt. due & des réalisations. Clôture sou baisse Changhaï, 28 Avril.

Va groupe lady Mlllicent Taylor, fllle du marquis de D'autre part, mandat sur de m. Delalé, FIÈVRE carbonisés domicile de Mogeri.

ACCÈS le sont 2 disp. d'hiver tenue. — Blés roux n» Headford et M. Henry B. Tiarfc», une fou DANS UN DE d'instruction, inspecteurs de 500 bandits a attaqué la ville de le juge des des : à busttel), exclusive 1 22 Arrivé de 8/4. composée mètres, (en doll, et cents le énorme,. presque une trentaine.

— Renseignements généraux ont arrêté Léon, Kingsouchou, située au nord de la ment doU. et la (en 2 disp. d'admirer d'hiver ùn groupe au milieu de la Blé* durs de femmes désireuses nu Bo'ger Gourdon, 21 ans, chaudronnier, gé s'était mas te syndic du port de Paimpol essaie Portsmouth, 28 Avril. —. Alors que apercevant chaussée province., de Kiangsou. tuant un mariée dans sa robe blanche, il visa et tira dans le tas, tuant cents le bushel), 1 09 1/2. — Maïs bi rant du les membres d'un club étalent réunis, d'uno balle « Le Drapeau Bouge ». garré n° 2 d'hiver disp, (en cents le bus Gourdon journal devant le porche, une centaine a pei millier d'hommes, femmes et en sée Mme Marie-Rose inculpé cœur est d'excitation et de au fils d'étrangler femme (en provocation près.,de Oeneva, pour, le .thé, un avion Mogeri, mère de quatre enfants. ayant obtenu la permission d'entrer hel), 91 5/8,- — Farine de printemps et son sa militaires à la désobéis de fants, pillant tout. Ensuite, les ban' ne à 5 .80, — dans la cathédrale; rioll. et cents le baril), 5 45 flammes vint s'abattre à quelques en suite but la dans de propagande A de sance lapollcs .. cet exploit, Turfaro un anar Mlllicent. et lady Cénts Centrifuge de livre) par : Sucres (en dits mirent le feu & la ville A l'arrivée mètres,; de distance, : devant leurs yeux est membre chiste. la Il de 4* entente foule, femme qui pris ont contehir la la fuite, abandon de» incapable de témoin* fut Arrête sa horrifiés., des fédérations des jeunesses communistes nant prit littéralement la cathédrale d'assaut. U «c taillad» le par leurs cinq enfants, dont l'alné a de hache, à piloté Rob'ihson, L'avion, ùorp» coup* Clyde par L'AGITATION COMMUNISTE EN CHINE Pendant la cérémonie nuptiale, des speç . dix ans. i: , n. i n. . ...

1avait a. son bord un -Jeune homme et un vé< . m êttuve et m m pendra 1 76, mars 1 81. — cafés (en cents par tatrices indésirables se livrèrent-à.

Là gendarmerie recherche le meur livre) i Disp. 9 S/8, mai 8 63. jull. 8 48, ritable combat pour obtenir les meilleu Paimpol, 28 Avril. — vers 11 heures une jeune fille ,ftgés tous les deux. de trier.. ter roulèrent ils Des chapeaux a 14 places. recevaient le baptême de sept, ft 83. déc. 8 23, janv, (1»31) > 18 La loi martiale à Shanghaï rea matin la ville a été mise en émoi par l'air.ans. ce des enfoncées côtes demi par furent a ventes approximatives r re, mars 8 10, drame déconcertant rapide, et un faible qu; brutes du s . sexo Huile Jeunes , 6.000 de coton (en cent* de Les spectateurs de cet horrible drame L'ACCIDENT DE LA GARE sacs. — jouaient des coudes et un brouhaha oO M. Pierre Corguille, âgé fl'uhe quaran - firent livre), disp.

70.

8 par — Pétrole r«fin^ tous leurs .efforts pour porter sed'années, Montrouge-Ghatillon chaises taine des syndic des de grincements que gêna aé mer gallons),,16 66 passaient les les 100 cents doll. et (en Shanghaï, 28 Avril, —- A la suite l'on traînait sur ls dalles, couvrirent la du port, père de deux enfants, honora- ^ cours aux jeunes victimes, mais l'Im Livr»), 10 88. . (en cents «Saindoux par de grandes manifestations communiste?, voix du prêtre qui officiait, Un* nouvelle blemerit. connu, à été pris d'un brutal mense chaleur dégagée par l'appareil en livre), 6 1/3 cents Suif extra (en par — les autorités ont proclamé la loi martiale poussée faillit empêcher les jeunes accès de fièvre maligne. 6e précipitant flammes ne leur permit; pas d'approcher. Le chef de manteuvre a-succombé le.gallon), 62 ^- Térébenthine (en cents dans le distric de Shanghai D'autre part époux de sortir -de la cathédrale et la po sur femme et l'un de ses fils il tenta Lés corps carDonisés des deux en Etaln, 14 a. vend.

Le chef de manœuvre, Frédéric Pin, — Cuivre F, S., disp.

— sa recours a<ls force pour em retrouvés disp. fants 34 70. les été débris ont dans ' on mande au Daily Telegraph : La lice dut avoirmêlée 45 dégagé, de l'autre à'l'aide d'une corde nuit, au cours ans, qu'il fumants de de les étrangler générale.

MAKOI1E »H BAVANNAII (Clôt.), 28 Avril police a dispersé une foule nombreuse pêcher une machine, la L'oppression qui, étrelnt et para dessous de locomotive, succombe,, du ia Réussis a leur avait jetée autour cou.

46 1/4 Térébenthine gallon), le cents (en résultats Des de premiers l'enquête, et saisi des quantités de tracts séditieux; hier matin» à l'hôpital Necker. Son oorps & 46 1/4. lyse tant de malrieureu* emphysé sant à se débarrasser de cette mortelle il. résulte Ce e elle s'est ensuite portée sur l'asile des le Robinson, pilote qui a été transporté à l'Institut de médecine MARCHE DU CHICAGO (Clôt.);, 68 Avril que , étreinte ses deux victimes, horrifiées avait constaté mateux, catarrheux, asthmatiques, enfants trouvés chinois situé entre la des troubles dans le 78. légale.

Les pompiers livre) 15 mo réussi Mal n'ont très ' Cotons (en cents : s'enfuirent. par que concession française et la concession fil électrique à haute tard & l'élever la machine et le tender Jull, 15 82. —- Blés (en doll. et cents le i*de rapidement a"' Pulmoll, aïnSt heurta teur un Corguille hache Pierre. saisit alors une LE VOYAGE DE VL SCHOBER internationale, et où 120 communistes tension en. essayant d'atterrir. Rcbin- qui, ayant franchi le butoir,, étaient, bushel) : Disp. monté, mal 1 04 1/2 fc que le prouvent d'Innombrables té taillada à grands et, le s'en coupai, corps s'étaient barricadés. est sérieusement blessé, mais sa vie nous l'avons dit, suspendus au-dessus »de 1 04 B/8. JUil. i 08 7/8 à 1 07 1/8, sept.. moignages. ùe Pulmoll est un toni De la Bonn und Montags Zcitong ( se faisant d'atroces blessures. Désarmé son Après avoir forcé les portes de l'asile, n'est 1:10 8/8 à 1 10 1/2, déc. 1 16 a 1 15 1/8. que' des bronches, un fortifiant des pas en danger. la stratégique. route de U réussi it se libérer de ceux qui l'immo principale voyage du signification La Maïs (en cents le bushel) : Disp. voies respiratoires. Il arrête la la police a arrêté les 120 communistes M. schober est d'ordre politique et intel bilisaient et disparut. Un quart d'heure ' M. Farinet, commissaire — Cependant, tous, 80 1/8, mal 81 6/8, jull. 83 3/4, sept. 85, Unjobeur malheureux et saisi 40 barres de fer, Jin cinquantai lectuelle. La petite Autriche est derechef plus tard faisait de Montrouge police de secrétaire, son le bu«fait mort disparaître l'oppression, dartl ; Avoines (en oents envoie le retrouvait passer M déc. 78 8/4. se : ne de boites en fer remplies de pierre, au centre de l'intérêt diplomatique, cette son grenieronou il s'était pendu.

POns, et M. Rey, inspecteur du réseau hel) : Mal 41—7/8, luil. 42 3/8, sept, 42 1/2, de l'air dans les poumons, facilite et Marseille pour le chef de la police de l'Etat, ont poursuivi leur enquête déc. 44*3/4. — Seigles (en cents le bus des bouteilles vides, de la chaux vive, fols non comme un inquiétant foyer de à décidé Etat dont les communistes comptaient se ser crise, mais comme un a me Jull. tarit l'expectoration et de plus, il hel) : Disp. inoôté, mal 61 6/8, établir pour produire comment a pu se relèvement Saindoux po fortifie, renforce et cuirasse les 1/8, sept. 71 6 /8, déc. 78. — ner a bien l'œuvre de son dépit des diffi Un employé détourne 300.000 francs vir & l'oocaslon du premier mai. l'accident, Des experts seront désignés 87 10 -12, mal bronches et les met en mesure de Disp. litique et économique en Il aurait ùitttl: escroqué livre) (en : cents par pour' examiner les signaux et l'aiguille. 10 12, jull. 10 87, sept, 10 65.v-» Bacon Un communiqué de la légation chinoise cultés. d'un belle {Temi-niUtion plus entretenir à patron D'après certains témoignages, îe pilote (lard) (en cents par livre), 18 76. se défendre contre toute attaque sa son pour LONDRES TRAITE ÛE LE ' Marseille, 28 Avril. — Une grave .af de la machine croyait qu'il roulait sur Marché de NEW-ORLKANB (Cl.), 28 Avril nouvelle. 10 fc 50 toutes pharmacies.

La légation de la République chinoise AMERICAIN SENAT LE ET faire note sul communique la de détournements qui s'élèverait la ligne principale, alors qu'en réalité Cotons (en cents par livre) '. Disponi en France /I «si arrêt* ftinsi que «art «mie ~ —•.... ble 18 54, mal 16 66 i 15 67, JU11. 15 76, à plus d'un demi-million ; de francs il se trouvait sur une vole de garage vante : .. la Chicago Tribnnè s. dernière De le de (1931) SIGNES LES MEUBLES protecteur, cette «t 14 76, dê«. 14 88, janv. vient d'être découverte par la brigade barrée par un butoir. Pourquoi a-t-il, Oût. 14 75 fc 1S de , la République «Le gouvernement 15 12. & 14 92, & 10 mardi, sûreté mars Hviatha*; s'é mobile qui a procédé & trois- arresta sans raison, franchi cettê vole ? C'est avec, Marseille, 28 Aôût..— La L'arrivée du chinoise fait savoir tjue : toute vente ou M arche! ne winnipbg (Ciot.j, as Avril délégués américaine *V is confe tait aperçue depuis quelque temps tions.. établir, l'enquête importation d'armes quelconque et de bord, les Londres, cherche a ce que Blés : Mal 1 07 8/4, JU11. 1 1Û 8/8, oct. l'often qu'Anna ftenuoei et Mahieu Ëscavis, son de sera le signal de jeune toutes catégories avec la Chine doit être rence homme employé Un dans une T-*1 14. — Seigle» i Mal 64 7/8, Jull, 67 6/8, ratification du traité de ami, menaient un grand train de viè, importante maison de certifiée et légalisée par les légations chi slve contre la Sénat. s'était commerce 71 3/4. — Avelnes î Mal 60, jull. hydravion Un détresse ôct.

M. Fred A. Bfltten, en noises accréditées auprès des pays respec Londres par le Une laissé de bien au-dessus leurs moyens. de jeu entrainer dans maison 1/2, navales 51 oct. 60. — Orges t Mai 47 6/8, une des Affaires du ComitéReprésentants tifs dont les vendeurs ou expéditeurs sont président Méditèrranéô sauvé est seulement filature faite' habile a oùil en déjfc non perdait des jull. 50. oct. 54. sommes peu en -.rap a ressortissants, et que toute vente ou tra de la Chambre des Marseille mais différentes appointements. encore dans La. bri d'attaquer vive port avec ses fic dont Ses pièces ne seront pas officielle annoncé son intention a villes du littoral permit de savoir com gade mobile apprit qu'un; individu «e Chez les musiciens ment légalisées comme sus-indlqué sera ment les officiers navals qui assistèrent Marseille, 28 Avril. — Le Centre de les résultats ment le eouple se procurait de l'argent. faisant passer pour un chef de la po considéré commè vente ou trafic illicite. » la Conférence et de passer Berre-Aviation ayant reçu un appel S. qu'Us rapportent au crible sévère de sa Sur l'instigation et sur les cohseils de lice s'était fait remettre à maintes re O. S. de l'hydravion 18, en détresse â 18 critique.

Le syndicat des musiciens,, adhérent a s'élevant fols ami Renucci, 39 Escavis, Anna chaque des son ans. prises sommes du Saint-LoulsSud Le milles port de au Le président Hoover, de son côte, est dè qui est une jeune personne « très à la Fédération du Spectaole, a tenu son la plusieurs milliers de francs. Cela lui du-Rhône, des secours ont été envoyés assemblée a. cidé a lancer le traité dès cette semaine, générale à la Bourse du Travail. vie avec et l'appareil dans la vole de la ratification, sans se page », entreprit la conquête d'un jeune permettait de mener joyeuse ramené Faraà Les orateurs syndicaux se sont préoccupés, a pu -être dissimuler, d'ailleurs, que l'opposition se employé de commerce marseillais. L'idyl une amie et d'autres individus connus man. L'équipage notamment, de l'emploi excessif de la est sauvé. le s'ébaucha...' L'adroite Anna promit à de là police, à Bandol, Toulon et sur ra chaude. main-d'œuvre étrangère dans les orches _ Brltten .

M. au principale objeotion de police la »" Finalement — jaolice La Côte d'Aeur, L..,.. ,, faveurs... toutes tres et de la substitution a ceux-ci d'ap mo Chambres sans ses son amoureux Londres. 28 Avril. — Les Grâce à leur caractère particulier, accord ne suite meurtre est a la d'un que cet de traité Londres .fit le jeune qui machines employé questionna mécaniques bile pareils et de toutefois. lui accorder parles la prévoit demain et que on rentrent permet pas aux Etats-Unis de construire ne se démodent pas. Ils sont la juste trois arrestations sont opérées lantes.

Il ne s'agissait que de vivre à ses dé de,: aveux, 11 a été arrêté ainsi que. le session parlementaire qui ira Jusqu'au alitant de croiseurs munis de canons de pens, réalisation appropriée aux nécessités à Marseille et des subsides qu'il lui donhalt. faux policier et son amie. mois d'août, sera particulièrement ,s pouces et d'un déplacement de 10.000 QUITTENT CONFISEURS de la vie contemporaine, qui aime, LES Le naïf employé détourna ainsi trois r-—-rrr' - <»' '— tonnes que les nécessités de la défense na chargée. .

COUPLE ROYAL LA VISÎTË . avant tout, ce qui est sobre, prati Marseille, 28 Avril. — La police a arrêté tlonale en exigent selon lui, cent mille francs de la caisse de son financier , . dé M . Snow_ LA C.G.T.U. Le programme . donc du l'attitude conclure BELÛIÔUË LUXEMBOURG auraient que trois personnes qui été témoins patron, Bien entendu Anna Renucci On peut AU que et confortable. den sera combattu pied & pied «t le sénateur les cho s'empressa de remettre cet argent â Es-; DE facllitéra du bar de Brltten dans commis le pas meurtre ne un Une revue illustrée* Nos meubles» gouvernement devra être constamment ses et que partisans et. adversaires s'af' Réuni en assemblée générale, le Syndi Luxembourg, 28 Avril. — Le rû! èt la rUï Pavillon où fut tué d'un coup de dépensait compter. cavis qui le sans libéral parti lë se soutenu par pour revolver le nommé Valette. Ce sont : la cat des Ouvriers et ouvrières de la Con est envoyée sur simple demande aux fronteront durement.

Anna Renuccl, son ami Mathieu Es rèlné des Belges ont rendu, aujourd'hui femme maintenir au pouvoir. La prochaine ba la victime, Constance Brava, fiserie, constitué en 1878, a décidé de 6e Etablissement? Paul GIORDANO employé de com & la cOur grand-ducale, la visite que la 23 ans, de d'origine espagnole; Paul Brun, retirer de la C. G. T. Ù. afin de situer son Usines et ateliers, 32, rué Marsoulan, taille portera sur le « Coal Bill » q#i ' —- Hankéou : n. Malcolm Ronald Mont cavis et l'indélicat Charlotte granflê-ducheâte k et déférés prince été arrêtés et ont 31 pisteur, au et Fran$ois Périnettl, 89 aotlviti sur d»a bases plus nettement cor Paria merce ans, viendra en discussion & la Chambre dés gomerey, vice-coasïH britannique a Nan- Parquet.

1922.

Félix, firent à Bruxelles poratives. en ans, croupier.

— Téléphone : Diderot 04-28. lords.

Kln, s 'est noyé en se baignant à Changsa

prend une tournure de plus en plus violente

perfection n'est pas de trop lia

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contenu du traite franco-finlandais

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Tragique discussion près de Cannes

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L'Oppression disparaît

qu dit la Presse

PAUL GIORDANO

Parlement anglais rentre aujourd'hui

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AUTOUR DE PARIS AU SALON D'ART FRANÇAIS INDÉPENDANT!

LES LIVRES NOUVEAUX

SEINE

Une bête de race

TUE PAR UN EXPRESS A proximité de la gare de Noisy-le-Sec, Un employé des chemins de 1er de l'Est, RI. Anaré Georges, 37 ans, 9, avenue Jean*.

Jaurès, même localité, traversait les voies lorsqu'il fut surpris par un express se dirigeant sur Paris. Le malheureux a été tue sur le coup. moto -— Alfortvllle : Quai Blanqui, le cycliste Alphonse Bonnaire, 33 ans; 89, rue de Villeneuve, renverse le Jeune Char les Gulsse,' 10 ans, dont les parents habi tent 29, rue de ' Lyon, à Allortville. Le" blesse a été transporté à l'hôpital Trous seau. dans un état grave.

— bourg-la-Ueine : Boute d'Orléans, à 800- métrés du carrefour de la, Croix-de;Bsrny, deux cyclistes se sont heurtés. Dans 150, ea chut*, M. Berge Dumontet, 15 ans, joute d'Orléans, à Bagneux, s'est fracturé le crâne. Il a été admis à Cochin.

Choisy-le-Roi : ^1. Henri Déjardin. s — 46 ans. habitant Arcueil, 95, rue BenoitMalo, a été projeté sur le trottoir de la gare par le côté avant du tracteur d'un train. Relevé avec la jambe gauche frac turée, le blessé a été reconduit à> son doImicile. j Courfoevole : Etes enfants, croit-on, tont—.Jeté des pierres sur un train. Deux '-de ces projectiles ont brisé la vitre d'un twagon dans lequel se trouvait Mlle Jeanne lAuiïret, 18 ans, demeurant avenue Ferry, j.qui a été légèrement blessée. On enquête. : A la gare d'Ivry-Marchandises, — Iviv d'équipe l'homme' Jean-Marie Guegen, 29 ans, 39, rue de Juvisy, à Athis-Mons, est [tombe, frappé de congestion. Il a été con duit à la Pitié. < Le Plant-Champigny : Le concours — de fanfares de trompettes, tambours et clairons, qui devait avoir Heu le 29 juin est reporte au dimanche 6 juillet. La liste devant être close prochainement, le comité Invite les sociétés à se hâter d'adresser leur adhésion à M. Châtelain, président de la commission des fêtes, 83, boulevard du Centre, au Plant-Champlgny. î — Noisy-le-Sec : Rue de Paris, une auI to conduite par Mme Louise Clichet, 30, ! place Saint-Georges, à Paris, renverse le [ jeune Marc Perry, 5 ans, 31, rue de Maufbeuge, à Paris, qui a une épaule fracturée j et des contusions multiples. L'enfant a été [ transporté à Trousseau. | — Pavillons-sous-Bois : Routç natio! nale. un motocycliste, M. Robert Schaft'». ner, 26 ans, 4, rue de la République, aux «Lilas, entre en collision avec l'auto de [ M. Henri Martin, 35 ans, 14, rue Camillei Desmoulins, à Paris. Projeté sur le trot' toir, M. Schaffner est sérieusement blessé [ et transporté à Tenon.

Villcjuif : On a constaté la mort de i — I M. Isidore-Victor Belle, 73 ans, professeur ( demeurant rue du Château, sentier KarlLlebknecht. M. Belle avait absorbé un ! litre de rhum. L'enquête du commissaire i de police a conclu à un suicide.

par Claude Morgan

>

t-on de lui, en retour ? Presque rien : l'imperceptible reniement des heures passées ; qu'il consente à ne pas être un trouble-fête. D'abord, il accepté. Commg ses camarades, il est si fatigué I Et puis, soudain, c'est le tragique sursaut...

Voilà le dur nettoyeur de tranchées qui reparaît. » Vraiment, on ne saurait mieux analy

THÉÂTRES Le Tableau de Service

vendredi soir le rôle de Mlml de La Vie de Bohème, le ténor Michelettl chantera le rôle de Rodolphe. ' AUJOURD'HUI .

Le 5 mal, en soirée, aura REPETITIONS GENERALES. lieu en — Odéon, — représentation 2 h. 30 '. La Double Passion, plece de gala la reprise Aftrois en maillis, de Gustave Doret, sur ledelivret actes de M. A. Vllleroy. • Comédie des Champs-Elysées, 8 h. 45: d'Henri Cain et Baud-Bovy.

M. Dunant, ministre plénipotentiairede Le—Prof d'anglais, plece en trois actes la Suisse à Paris, présidera cette fête qui de M. Régis Glgnoux. intéresse et touche tcAis ceux qui pensent — Comedie. Caumartln, 8 h. 30 : Fran çoise, opérette de M. Robert Valalre, mu que l'amitié franco-suisse n'est pas mi vain mot. sique de M. Léo Daniderff. l'REMIEKE - REPRESENTATION. — LE CHANT DU DESEBT a commencé Théâtre Sarah-Bernhardt, 8 h. 30 Mon une triomphale carrière à Mogador. Le Curé chez les pauvres, pièce en trois: actes public s'empresse d'aller voir la célèbre de MM. André de Lorde et Pierre Chaîne, opérette. américaine qui comprend une d'après le roman de M. Clément Vautel. brillante interprétation en tête de la quelle figurent : Marcelle Denya et Robert » REPRISE. — Scala, 8 h. 45 (première de l'Opéra, le comique Dorville, a ce théâtre) : Là Haut, opérette-bouffe Couzlnou, de MM. Yves Mlrande et Quinson, Ivrlcs Géo Bury, Mona Palva, Cœcllla Navarre,. de M. A. Willemetz, musique de M. jitau- Miss Edwards, Decœur, Combes, Steber, et René Gerbert. M. Diot dirige son excelrice Yvain. lient *t it Theatrales r „, , * ceorchestre.

Nouvelles soir mardi, 8 h. 45, La comédie du Bonheur; l'œuvre originale de N. EvrelLA COMEDIE-FRANÇAISEpossédait dé noff, adaptée Nozière, avec Ch. Dullln jà. de Paul Mounet un beau portrait peint en tête de la par distribution. par Boutet de Mouvel, et un buste mo delé par Mounet-Sully. Grâce à la géné COURRIER DU CINEMA rosité de M. et de Mme André de Lorde. ses collections viennent de s'enrichir de deux autres portraits du grand artiste : SOUS LES TOITS DE PARIS Tel.est l'un de Kazek. exécuté en 1893, le repré le titre du film de M. René Clair qui oc sente à la ville ; l'autre; de Paul Robert, cupe depuis hier l'affiche du Moulinnous le montre sous le costume de Don Rouge. Nous parlerons longuement de ce Salluste. son rôle de début (15 juillet film vendredi prochain.

1889) qu'il, jouait encore,, quelques mois ON PRESENTE. A 10 heures, au Paavant sa -mort, le 28 août 1921. lals-Rochechouart, — Le dernier masque, de OPERA-COMIQUE. — Avec Mme Rosa C. Lamac, avec M. Albani, W. Rllla, J. Ader de l'Opéra de Berlin, qui Chantera Rovensky, G. Jacquet (film sonore).

Le livre d'un jeune. Claude Morgan a de qud tenir. Vous pensez bien que Claude Morgan est un pseudonyme. Ce prénom de peintre (Claude Lorrain, Claude Monet), ce patronymique de pi rate dissimulent un nom tort connu des ser, de façon plus précise et plus suc amis des arts et des lettres. Le père de cincte, ce roman passionné.et attachant.

Claude Morgan, vous le tenez tous en Et maintenant, me direz-vous, pourquoi haute estime, comme chroniqueur; com cé titre : Une Bête de race ? La « bête me critique, comme romancier, comme de race », c'est Sylvine, la femme indi historien. Nul ne defend mieux le tra gne de Jacques, et son idole, une idole Paysage d'Auvergne, par Marcel Chabas et à gauche : La Sieste, par Bompard. vail de la pensce, nul ne mène avec au qu'un jour, par bonheur, il reniera : tant d'élan le bon combat en faveur de « Comme il l'admire quand, face à la Ce printemps fertile en expositions te pas encore sa parure de végétation : l'intelligence française. une belle page de plus à l'actif de mer qu'elle domine, elle se dresse toute sera fertile aussi en comparaisons d'or voilà On Claude doit féliciter Morgan d'a La Ca droite, haussant ses hanches libres et dre artistique. En effet, à une journée Chénqrd-Huchéqui expose aussi voir osé renoncer aux avantages évi souples excellente couleur. talane dans une d'intervalle, vont s'ouvrir, aujourd'hui, le sur ses longues jambes de cour dents que devait lui valoir l'appui d'un dirait l'on humide, Un paysage que sier rapide, offrant à la caresse du vent « .salon d'art français indépendant », et littéraire, la tel affronter lutte nom pour demain le « Salon » tout court; c'est- juste d'accent, est signé de Charles Tri- avec pour seul appoint son propre ta du large, parfumé violemment d'em à-dire une exposition aux tendances les bel ; un fin paysage de maisons et lent. Je ne crois pas, d'ailleurs, qu'il ait bruns, son visage extasié et son corps plus modernes et, vingt-quatre heures d'eaux fait honneur à Louis Bertuei. lieu de s'en repentir. La fortune aime entier, avec ses bras écartés comme des Victor Dupont place de petites bai aiies : après, une exposition renommée pour 6a l'audace, je suis laissé dire-que . et me qui fidélité à des traditions dont quelques- gneuses dans un paysage d'eaux Je me sens souple et ardente « — seulement Une Bête de race était non verdis arbres bleuissent de hauts et qui désuètes. apparaissent unes au moins une bête de race I un bon roman, mais que c'était encore comitie Une Le 8 février de l'an passé débutait sant, le tout en des tons chaleureux. bête de race 1 C'était son ex » fort joli succès. un Crissay habille de Marguerite cet rose dans la rotonde de la rue de l'UniverUn Ici, laissons la pa pression favorite. Comme une bête de bon qu'elle générale peint roman... chair te rousse s'té le « Salon d'art français indépen race, elle était, en effet, agitée, trépi Pierre Benoit, lequel s'y connaît dante, à role petit Nu d'elle ment encore un nue la ; malgré du toujours en mouvement. > dant » et, concur couché, juvénile. Les coup, technique Raymond mieux roma de que personne en nus Ce qui me plait encore, et que je n'ai rence des « Indépendants » anciens, il Pallier marquent' / pri6 à présen qui de et progrès chez nesque, cœur cet a un conquérait une notoriété. Seul le terrible point dit, c'est qu'on devine dans One première public la ter raffiné, ae Kono œuvre japonais Miçao au Le artiste.

Bête de race, mieux encore que le talent froid de loutre hiver empêcha un nom Claude Morgan : fleur d'un écrivain né, d'un roman breux public de s'y rendre. 11 était, d'ail peintre de femmes au corps blanc, aux J'avais lu la première partie d 'Une en le6 fleure d'albinos, traite aussi « cheveux leurs, abondant et fort représentatit. cier .très bien doué, l'élan d'un homme béte vif plaisir, de mais Voici délicatesse. race avec un extrême un généreux, le battement d'un cœur pur.

Mais, cette année, la place est prise rue avec une 11 y avait là'une fort agréa plus.

Chéret de Claude sans autre de tor6e un nu ; Celui qui n'abaissera jamais les yeux fallu de l'Université et il a que ce grou Claude Escholier, jeune peintre qui réussite, ble des des états paysages, ex avec complaisance sur certaines pourri pe de « jeunes », conduit par leur se maints obtenus détails d'âme, charmants de Fille tor aussi port ; un nu une crétaire général Marcel Chabas trou pose tures contemporaines. Quand je vous di artiste styliste, Mais ne. rien par un un Garcin. tillé de A PARTIR DU VENDREDI sais vât ou plutôt improvisât un autre local. que Claude Morgan a de qui tenir I j'avais affaire m'annonçait exécuté encore ne que Chabas nature Marcel une a Des baraquements ont été -.construits, canard et mbrte un paysage d'Auver à un romancier véritable. au 237, boulevard Raspail, et c'est là que où une église de village dresse son > Et voici — j'en appelle au lecteur nous « vernirons » cet après-midi mê gne René Chavance par chevet gothique. Près, d'une — qu'à partir du chapitre intitulé Le émouvant Aubert-Franco-Fllm présentera français Salon d'art deuxième le « me Aventure à moitié Ladureau Piège, du extraordinaire vé la volu et-histoire chasse, de exactement nous nature^morte indépendant ». une Production française Cette grises molles histoire descrip authentique, des change.

-Aux si verdures tout présente et des cue. eaux me, pro Dommage pour les peintres, mais c'est Sonore, Parlante et Chantante tions du littoral méditerranéen succède che d'un roman, se trouve tout entière heureux pour le public et aussi pour les sous un ciel-de pluie. peu lourde la brutale vision d'une campagne déso dans seize requêtes et mémoires conser critiques d'art, ce local nouveau, fort Dans une belle matière un portrait de ce lée, « secouée par un mistral violent ». vés à la Bibliothèque Nationale. « L'au un agréable avec ses petits boxes à tfois Valdo Barbey a exécutéportrait d'hom Et je lis cette phrase, qui m'éclaire à teur s'est borné, affirme-t-il avec une Muter signe un pans qui s'ouvrent sur une allée centrale femme; elle seule sur Tauteur et sur l'œuvre : excessive modestie, à en regrouper les curieusement modelé. et avec son vélum blanc placé bas, ce meNous nommerons encore parmi les « Comme il tendait ses mains gelées à éléments. » local n'est pas très vaste; nous avons Saint-Paul, la caresse tiède du poêle, son regard La maison où vécurent les protago Jean donc affaire à un Salon plus restreint, exposants Bissière, petit Simone nistes Baraduc,. accrocha classeur du drame subsiste, sans grandes cy sur un un : mais bien plus agréable à regarder sans Marguinaud, Jeanne Fontené. Deslignières, lindre d'une substance noire et grasse : modifications, rue des Moulins, jadis rue la fatigue harassante commune à ce Laurin, Robert Leleu-Bourgoin, I>ende- du schiste. 11 sursauta. La sonde avait Royale.

Dollian, Zingg, h de visite. genre fois Ce récit, écrit en une langue. excel la couche rencontré P'atellière. la A. vilie, de moins, au une SEINE-ET-OISE i toiles ! meilleures qu'une des semble Il 3 Et parmi le6 sculptures, peu nombreu de schiste. Sauiiiardo lui avait menti. lente par René Chavance, est celui d'une d'après le célèbre roman de Mme Huguette GARNIER présentées ici: soit celle que Pierre Bom judiciaire.

Pourquoi Sous XIV, ?

Louis citerons intéressantes, mais ici, erreur nous en avecTrappes : Route nationale, une au- pard intitule- La Sieste. Dans un roc- ses charmant buste de petite i Un — Oui, pourquoi ? l'an grâce 1687. jour fille de beau de par a> I tomobile conduite par 14. Soyer, demeu chemise un à la un jeune homme villa Gé- king, Diligent; un.nu couché de Popineau et Un caillou se détache, en entraîne septembre, le comte de Montgomery rant a Issy-les-Moulineaux, 42,place » endormi; de lui, près pâle est bleu par Mme 1 velot, dans laquelle avait pris nu deboufrde Pryas., un autre, et c'est l'avalanche. L'art du s'avise qu'on lui a dérobé vingt-cinq Soyer, a capote par suite de 1 éclatement terre, deux baigneuses se reposent. Le ui. L'ensemble de ce Salon, qui révèle roman, c'est celui des répercussions, de mille livres... Vi.igt-cinq mille livres !

MAURICE DE CANONGE f a Les époux faoyer lurent vieux rose et le bleu 6ont lee notes do SUZY PIERSON pneumatique. un Le prix d'une belle soleil bâ !... fruste même — et terre S grièvement blessés. Conduits à l'hôpital de souvent, lumière influences réci trop mise des au art la un en harmonieuse minantes de cette compo clé, plaira aux amis du modernisme en proques qu'ont les acte6 sur les événe Les soupçons tombent sur un voisin, ; Versailles, où ils ont reçu les premiers mm sition. l soins. Us furent-transportes, sur leur de• Laurent d'Anglade, femme, éioigneliberté et peinture et Etu sur sa les événements leS son actes. ments, par sa sur Sur un ciel d'azur, montent doucement f mande, à leur domicile.

Depuis dions awc minutie la façon dont le cailr douce et faible victime. soisy-sous-Monimoreney : ï l'hiver en ment des formules usées. c'est provençales; collines les — CE SOIB : Pour que la lumière se fasse, il fau Caril. Une Femme se penche s. son passé.

Louis Paillard. : quelque temps, on avait déjà signalé-que lou s'est, détaché, et nous aurmis le se "terre, chaud,, d'un brun la porne core étaient frac-. : FOLIES-BERGERE, 8. h. 30 : Un Coup Ma\-Un<ler-l'atlie. Mystère Villa Rose. dra bien des années que l'infortuné de 1 les troncs de l'eglise de Solsy C'est qu'il l'avalanche. de cret parce enquête, folie, gendarmerie,, 80 sensations, M. Louis Le- Eleetric-l'alaee. — Fécondité. après une I tures. La Pour d'Anglade galères. lui marchand {MM. Randall,deCaste], mille fallait centaine francs passera aux de déféré; au été Identifié le une Lemer- Cignle-CIné. — Amours sanglantes. voleur qui a au a : faire justice, convaincre de vol Impérlal-Pathé. — Le Diable Blànc. rendre et Gasoler un,nommé Marncffe, Mmes Valbelle, C'est meubler Mme Pontoise.

Hulot Betty de baron Campson, ; parquet pour Le Cotisée. — Les Pilotes de la Mort.

Troïaky, Carletta Gaignard, l'ancien inten Conti, Zulaïka). d'imposture ton Rentier, 17 ans, sans domicile fixe, et L dé de soldats sont morts pauvres que PALACE, 8. h. 30 : La Revue de la Artlstlc. — Poupee de luxe. ' deja condamné pour bris de clôture et De même,, c'est dant de Montgomery, la fille du galé Femme Algérie. privations ! vol. en (la grande étoile mondiale Baquel Paramount. Quel Phénomène (H. Lloyd). :< 4 rien fiancé devront soulever ciel et l'ArdèEdmond Deauberge de Meller dans son ! ; le célèbre fantaisiste Saint-Graparce que, une Saint-Cloud — Versailles : Le-jardinierde Mme CanHier, ' cantes; Laurent d'Anglade, d'ailleurs, nier).

Querelle tragique à Romainville 03 ans, ; au service che, Jacques Châtain trouve sur une et terre. ! teron, propriétaire d'un château situé aveEMPIRE MUSIC-HALL,'8 h.

30: Pour ..Prix d'Eaubonne (à vend.), 6.000 fr., étagère un cylindre de schiste, c'est pour épuisé par son long martyre, mourra à la première fois en France, le formidable i Camoacéres, à Verrières-le-Bulsson, 2.500 nue Arthur à M. Brandlmard, 1. m. : Un accident de la circulation, qui au cela qu'Erikson, le compositeur à la Marseille, dans l'hôpital des forçats, de Llnder et 10 attractions inédites. ! surprenait, avant-hier après-midi, en flaTireurs des 2.

Reine Diez) ; Manby (V. ; En voulant protéger ton filt CONCERT MAYOL, 8 h. 80 : La Parade délit de tentative de cambriolage, 3. Scandale. N. pl. : Claude de France, rait pu avoir des conséquences plus gra mode, a été abattu à coupe de revolver. la. mort des saints. -, i erant — | aâns la propriété de sa patronne, un maidu début produit hier, Nu (MM. Carol, s'est Charpinl; Mmes Peggyau Galaad, ves encore, Quant à Gaignard et à son complice Vère, Paulette Franck).

Mascaret, Beaumont, La règle du jeu est ici appliquée par une journalière est blessée f falteur qui, immédiatement, se précipitait Charleston, des cir l'après-midi, à Paris, dans, de 11 part.

Pagode.

Concolor, Hérault, de trois coups de couteau — avouèrent — leur cri i sur lui. et lui portait de violents coups CIRQUE D'HIVER, 8 11. 30 : Miss Fav ,coutumièr<3s. quelqu'un qui a eu le rare bonheur, pour Bellestre, tous deux sinon banales, tête. constances 2 1., enc., crâne. jarkara, Le maî américain le. d'essai, s'en finir à la la Femme-Radio de rendre: de de avant Frank Pichel; potence. sur ' « poing » ; me 'Mutuel, — G. 47;.P. 15, 10, 16.

Vers 14 heures, un autobus de la li son coup les 50 chevaux de Carré, etc... à demi affolé, put quand Une discussion mettait aux prises, < dinier, coupables?

Et 1:600 m. : gne AN (Halles-Porte Brancion), piloté tre».''

Etaient-ils les seuls 10.000 fr., Collevllle, Prix de CIRQUE appeler au secours. Le mal- 1. Scylla. à M. Jean Stem (G. Duforez); MEDRANO, L'écuyer <•, 8 h.

30 1 même : hier matin, à Romainville, le manœu fut arrêté , par. les gen- 2. Caviare : 3. Le Berger — N. pl. : Ca- par le machiniste Edouard Rabin, 45 Quant au sujet d 'Une Bête de race, on que penser du lieutenant criminel. Def- Roberto et Vasconcellos ; les clowns Caï- vre Louis > faiteur Brunet, 43 ans, 24, rue de t darmes de Palaiseau et déclara se nomans, demeurant 6, boulevard Brune, des ne saurait eh donner une meilleure défi fita, dont les noires machinations con roli, Porto, Carletto, Hès et Loyal, les Paxis, et Henri L'Hippogriffe, Solaire, Cadran nonlste.

Dottard, 17 ans, 85, mer Henri Géhin, 28 ans, ouvrier plomYoung Chum. Broad Grln, Oampa- cendait la rue de Rennes, lorsqu'il croi nition que Pierre' Benoit : « Un jeune duisirent un innocent aux galères? Son chevaux, etc... même Peu après, les deux .'\ombier; à Verrières-le-Buisson. Il a prétendu Abou, rue. gnard, Sorcova, L'Allumeuse, Kahena, La sa, à la hauteur du numéro 150, un homme de la génération du feu, un jeu subordonné; l'exempt Desgrets, se mon propriété Mme de quittaient la s'être introduit dans mes se .FOLIES-BESOERE. — C'est toujours la presque réconciliés. : Flèche d'Or, Faveur Royale, Flapper, Chè tracteur à remorque, conduit £ar M. vraiment héroïque grande revanche, tra, Or, en souffert durant \ogue qui retrouvant 1 Canteron dans le but de s'y promener. Il ftanitas quatre le homme. soir vers 19 heu 19 se II."— et le même II, engouement Pétronllle ne a Sœur, Robert Suire, 3^ ans, qui venait en sens n'en a pas moins été mis à la disposition re vérité. recherche la dans de dans le le débit spectacle Un res attenant à l'hôtel '.ia1. 'toutes Coup de 2 1., 2• sa jour nouveau 1., de la qui 3 horreurs part. les guerre, contraire. Le tracteur marchait, à allure ans — du parquet de Versailles.

•"olie, 25. de M. tité 8, 10, L. Lemarchand, détient Mutuel.

18.50; P. péripéties On suivre les qui Henri G. de Dottard, peut la dispute par reprit — Grard, 25 ans, moyenne, sur les rails du tramway, ap a connu « l'angoissante mélancolie de cette ne le fr., record 7.500 du succès (à vend.), et Tnverny des recettes.

— Le réserviste François Prix de de plus belle, [étant donné vive l'état de sur erreur judiciaire sans, une puyant très légèrement à gauche. Le n'avoir pour horizon qu'un pan de ciel ; du 5' régiment de génie, en garnison .à excitation m. : 1. Simiarie, au comte F. de Bridans lequel ils trouvaient doit Versailles, employé de chemin de #fer à 900 émotion, cela, le se seule et on non 2. Marolles ; 3. conducteur de l'autobus crut avoir la souventmorneentre deux muraille6 glai non (D. Bourtmann) : Préviens EMPIRE. — Linder, Waltjçr Nllson, Wil- tous deux après l'absorption de nom ! Creil (Oise)," regagnait Paris, ayant pris pathétique Moi, En d'un tel drame, pl.

Malheu N. nécessaire ment Vieille place Cure. : passer. pour au jeune hom d'où l'eau suinte — ton Gravley, le ballet Hans Gérar, les Kl- breuses boissons alcoolisées. Soudain, t>, ce : place à l'impériale du train lorsque, s'éLa reusement le choc inévitable se produi seuses Hallucinée.

Taglionl, Crawl, La tresol, couleur sobre mais aussi à âpre la et taros Louis Brunet saisit son couteau et, le ; 20 attractions et les célèbres ve tant penché, près de la gare de Viroflay, Ch^nterle, Fausse Alarme, Fanny VI. Spa, sit. L'autobus évita bien le tracteur, mais me-là, tout de suifè après la délivrance, dettes du Chavance phonographe René l'a revêtu Richard dont and Mac 11 heurta la paroi d'un pont et tomba, sur : bras avec levé, allait en frapper son anta le plus dans l'univers Maddy, Monarchie. — 15 part. — la remorque dérapa soudain et vint dé est transporté vo Carthy. la voie ferree. Le malheureux militaire, Jocaste; ' d'art. \ goniste, tant lorsque la mère de celui-ci, Mme 1/2, -tête, enc. luptueux. Tout y est préparé « pour «as atteint d'une fracture du crâne, succomba. 1 1.Mutuel. foncer le côté gauche du véhicule.

16.

15, P. 15.50.

61: G. Angélique Raymond'Escholier.

Dottard, 41 ans, journalière, 'LE PARAMOUNT. — Uh'Harold Lloyd !

— de Boulogne, 25.000 fr.. aussitôt.

Le choc fut particulièrement violent souvir son moindre désir ». Qu'exigeBols . presque Prix du plaça vivement devant lui, le pro Un se Harold Lloyd sonore 1 C'est Quel Phé A Viroflay, d'audacieux malfaiteurs 2.600 m. : 1. Suroit, à M. C. Madariaga et de l'autobus, on retirait treize per — tégeant de nomène, Paramount.

Les' limites du au son corps contre la cc'ère ont pénétré par effraction dans l'apparte (D. Torterolo) ; 2. Cos d'Estournel ; 3. sonnes atteintes plus: ou moins grave rire sont donc reculées ! -Aussi, quelles déchaînée du manœuvre qui ne ment de Mlle Beaujean, 19, rue des Prés. Le Dlse con .

Canderquet. — N. pl. : Llbourg, l'éclat des verres, soit par soit ment, par aventin^s ! De l'amour, de l'horreur, du naissait plus et LE MEURTRE DE HENNEC QUE VILLE au-Bois, et ont dérobé des bijoux, de l'ar nàrdais, fut elle qui reçut les Britannlcus, ce Frelon, Nitakrit, mystèi'v. tout cela noyé dans un long trois, coupa de. couteau destinés l'écrasement des banquettes. y partants. ; genterie et des vêtements.

Jeune » Seyssel, Monroc. — 10 au — éclat de rire. Comment résister à toutes homme. Henri Dottard, Parmi les blessés, les femmes étaient 1/2 1., enc., 2 1. s'emparant péripéties de Harold justicier, de Ha alors d'un siphon, Daniel Lorente qui tua son amie les Mutuel. — G. 31; P. 11.50, 10, 16.50. les plus nombreuses.

SEINE-ET-MARNE en frappa violemment rold amoureux transi, de Harold chasseur à la tête le Deux ont été admises, l'une, à Laënnec: Douze morts, vingt-quatre blessés Prix «le Rouvres (hand.), 15.000 francs. d'empreintes manœuvre. digitales, de Harold fils du 2.000 m. : 1. Poisson d'Avril, au vicomte Mme Bienvenue, 31 ans, 56, rue EdgarM. Brunei, commissaire de Ciel les besoins de la cause ! Ce police, pour suicider jalousie de trouvant, l'au.

Fontainebleau Se 3. : tente R. de Elvaud (A. Rabbe) ; Graal : Malakoff, jambe Quinet, à qui la — gau mélange a par se d'angoisse assisté de allongé, et de secrétaire, comique -Pégond, tient M. tre nuit, au restaurant du Coq Ofcris, • le Vol Plané. — N. pli : Kermebel, Kit Bas, che broyée ; l'autre à Necker : Mme Quinzë accidents ont encore se le spectateur assis, la bouche ouverte, tout rendit sur son les lieux et fit transporter des drames de la liste tragique maréiîhal-des-logis indigène Si Douni, du Paragraphe, Francille, Belsauve, Pierre le Maria Nardon, 76 la hier, bord de son fauteuil, prêt a la fols les deux blessés à l'hôpital Tenon. Mme ans, 48 boulevard Pas route. Ils ont tait trente-six, victimes, au moment de son arrestation au 1" groupe d'artillerie de l'Ecole, tire, sans Grand, Ali Pacha II, Myrrhis. Thyrsis, La à rire et à crier pour avertir son héros Dottard, atteinte à l'abdomen dut des plaies profondes à qui teur, la provocation deux coups de revolver sur Gêne, Croix Blanche, Quelfonds, Sainte a morts. lesquelles douze parmi favori du danger qui le' menace 'à son bir immédiatement l'opération de sula l'hôtel jambe plongeur II, à l'arcade droite .et sourcilière M. Pierre Picas, 32 ans, a Chrlstle, Rosa Bonheur II, Myrrhe cycliste, la route éviter Pour insu. sur un de Moret. Grièvement blessée, la victime Imalda. — 19 part. — 3/4 1.. 1/2 1., 3/4 1, droite.

Un mouvement fou, un rythme endia laparotomie. Quant à Louis Brunet, de" Lyon à Grenoble, M. Antoine Glgier, fut transportée à l'hôpital. Le sous-of3- Mutuel."— G. 20.50; P. 10, 27.50, 53Après avoir été pansés Laënnec, à dix Bërnay, Avril.

Nous avons re blé nous entraînent à sa suite. Et si nous après pansement, il fut ramené au 28 cier a; été arrêté et mis à la disposition Prix La Farina, 12.500 il<; 1.500 m. ; autres blessés ont, pu regagner léiir do 36 ans, représentant, est allé se jeterî laté le meurtre dont — rendu coupa sommes heureux qu'il arrive enfin a son commissariat des Lilas où l'avait pré s'est du parquet de Melun. avec son auto, contre un platane et s'est ble samedi 1. King Arthur, à- M. Octave Homberg micile.

1 ajusteur espagnol nommé but, nous sommes, pour notre part, navrés cédé le jeune Henri Dottard. un Rue de la Bibliothèque, en (A. Rabbe) .: 2. Miel Rosa. — N. pl . mortellement blessé; M. George Peloux , — Provinsla : sous-préfecture, qu'une aussi drôle d'histoire ait une Vve Mme Ce Rouset, sont 45 habi : Daniel Lorente, 35 Après avoir ans, et Mme Guérin, qui l'accompagnaient, sortant, de ans. une as aussi Dean Swift. Olivier VI, Prince Noir, El 8.• fin... tante de Chenoise. Mlle Georgette Lan- Hadjar. — 6 part. rue Guibert ; M. Torrens, 43, boule ont eu le crâne fracturé et sont.décé- sassiné son amie, Mme Marie Leguillon UN SEXAGENAIRE TUE SON VOISIN drln, 51 ans, a été prise d'une crise de vard de Vaugirard ; Clément Arsène, dés peu après. Près de Saint-Yriex, un 11 s'était enfui. Hier après-midi,* sur le 9: p. 6.50, 13.50.

Mutuel. g.

— i— paralysie.. Transportée à l'Hôtel-Dieu, elle PROGRAMME DES SPECTACLES bis, rue Lavoisier, au Chesnay ; Jean cycliste, M. Roger Vigneron, 24 ans, a point d'être arrêté il a tenté de se sui D'UN COUP DE REVOLVER il Enghien Aujourd'hui, après d'une décédée demi-heure est une y Ohateau, employé 40 des T. C. R. tirant P., cider de revolver ans, en se un coup été tué par l'automobileconduite par M hémorragie cérébrale.

PARTANTS ET MONTES PROBABLES 4, rue Charles-Gazin ; Mme Virgile,'13, Soulier ; celui-ci a été blessé, ainsi que dans la tête et a dû être transporté à Au cours d'une discussion, hier soir, Opéra. — Relâche.

Jules-Ferry, à Montreuil-sous-Bois Mme Bardon, de Périgueux, qui l'ac l'hôpital. Voici les circonstances dans Com.-Franç.

EÙRE-ET-LOIR Prix des Aubépines. — (Steeple, à ven rue vers 20 heures, Henri Oswald, 60 ans, Mile Marguerite Echerbault, 41, rue dé compagnait. A Angoulême, l'auto con lesquelles le meurtrier a été retrouvé — Chienne du roi. dre). — 7.500 francs. — 3.500 mètres : Cronstadt Opéra-Coin., 8 h.

30.

Journalier, Ariane 52, rue Anatole-France; à Vilet B. Bleue L'assassin, avait vraisemblablement Odéuu, 8 h. 30. : Mlle Marguerite Chantel, duite par M. Paul Bonbous, entrepre Xbuire 70 (P. D.) ; Artamène 67i (Ii. La Double passion, lejuif, tiré — a une balle de revolver sur.

Le 51, rue.Brancion ; Mme Marie Brouillet. erré toute d'échouer à la nuit avant la distribU' de Haes) Chartres Au liait(•-l.yrliiuet ; El Capitan 674 (D. Guiho) ; Clhoiiierte cours s'écraser allée 8 h.

30 : contre, est peu neur, un de — — un ses voisins, Georges Chaumeau, (M 33, boulevard Pasteur; Mme Plorentihé Bernay dimanche dans la matinée. Vers Aibert-I", 8 h. 45. — Marchand tion des prix du concours d'apprentis et Rhin"671 (R. Tondu) ; Le Caprice 67.1 de Venise. 48 grièvement été conducteur plier le a ; fossoyeur.

Branle P.) ans, .67 (N. ; Martin, 61, rue de Dantaig ; M. Michin, blessé ainsi que M; et Mme Noblet et 2 heures, il fut aperçu et identifié par Ambigu, 8 h. 45. — Mlle Beulemans. de l'artisanat rural, la Chambre syndicale Théry) ; Domitius Atteint SajlFleet 65J (C. We. Bush) au menton, le blessé est décé ; des Entrepreneurs du bâtiment a décerné Bas 67 (S. 20; rue Brancion et M. Thelly, 61, rue employé, le receveur M: Paul Vilette Antoine, 8 h. 45. —, Bobard. un Mlle l'accompagnaient ailette qui ;-BostQCli leur ; 651 P.).

(N. dé II après à Rou. annuelle trois vieux tour) ; La . le signala à Apollo, 8 h.45. Au temps d. vais. (Marnac) peu son adihission à l'hospice sa prime d'honneur Dutot. qui garde républicain • un Berdans" 65 tJ. également II trouvait Dandln Larieu. qui exemple, Romain) cités , d'être (F. se 65 Arts. 8 h. 15. de Bicêtre. Lie meurtrier est gardé à la : Le» Criminels. en ouvriers dignes vi. Mollard, commissaire de police du le véhicule, été tuée le coup. Près Le garde s'avança vers Lorente. Il allait Atelier, 8 h. 45.— — Comédie du Bonheur. disposition du commissaire de police de ; Arloste sur qui comptent : MM. Petit et Vallet. 54 tlnl) ; Adorandus 64 (R. Gesson) a Bertal ) : quartier de Notre-Dame-des-Champs, a de Nevers, une camionnette s'est jetée s'emparer de l'assassin lorsque celui-ci Atliénee, 9 h. et 51 ans de services dans la maison de G2 (V. Dlez) ; Mag. Fan 62 (M. Gentilly.

— Barrlcou.

62 ouvert une enquête pour établir les res Espagnol tirant pistolet de poche, dirigea IV 62 (P. Hanrel) ; un Avenue, 9 h.

15. sa Jardins marbrerie Martin, et M. Fresnay, 50 ans Savoy. de Murcie.

Béguignot, la Mme arbre; contre — un 'arme contre lui-même et se tira une lioultes-l'arislens, 8 h. 45. — Flrwwie de présence aux Etablissements Teisset où (G. Warren) : Balkis II 60 (N. P.) ; Pou- ponsabilités de cet accident. lemme du conducteur, « été tuée sur le balle Une bagarre dans une réunion il exerce encore les fonctions de contre pette 60 (E. Juge). Adorandus, dans la tête. Le projectile se logea Caumartln, 9 h. —Françoise (r. g.). ; , Billot été Béguignot M. ont et M. Branle coup ; désignons Prof' Cli.-Elys.

Nous : maître. d'angl. (r. g.), l'os frontal d'où on espère l'ex t.'hiltelet, (Com.), 9 h.

POUR UNE PLUS GRANDE PROPRETE grièvement blessés. A la suite d'une col dans . colli d'une Au Oiiâtenudun Bas. 8 30. h. cours : Kooert te flrète. traire.

L'état blessé — du est gra*e mais — 10.000 ^ d'Iéna (Haies). automobile .et Landes. lision entre Varize et Prix, Clun.v, de des h. croisement des une mo 8 80.

Patte l'air. une sion, au rues — — en DES BUREAUX DE POSTE — avenue désespéré. .67 Chéri non Coco Daunou, 8 h. 45. Par le temps qui court, tocyclette, non loin de Belfort, les deux d'Orléans, la voiture de M. Bain, mercier francs. — 2.000 mètres :(C. Dominici) chef Interrogé sommairement le 67 ; par uejazet, 8 h. Su. —One pouie d'essai. à Ch&teaudun, repoussée sur le trottoir, (N. P.) ; Rosarlo II Haes)/ montaient la motocyclette personne qui Yesternlng. de brigade Leblohic, (R. Lorente petite*Eournier, Debout 66 avoué Edouard-Vil, 8 h. 80. — Mlsg France. la ; fillette, Vent heurté'une et ministres T.C.F. les des P.T.T. a Le l'aùtre, a ont été, l'une tuée sur le coup, ' Au cours d'une réunion organisée di Eldorado. 8 h. 30. Le Concierge rev de s forfait ajouté 66 (N. P.) ; Roi d'Yvetot 66 (P. Sen et'a qui a eu commission' une jambe, brisée. son son que voyage et dn Commerce récompensent blessée. Près de Thionville, grièvement PrintaLescalle) visite (D. 64 Folles-Wagram. chargée de la ; L'Ousse Relâche tier) répétitions. manche soir par le cercle catholique, 10, La Trouville avait été fait .pour se ven pour : des receveurs (R. Montaun cycliste, M. Hesse, demeurant i. Bu- àger.

Uyinnase, 9 h.

Mélo. des— fermes, en vue du prochain Comice, nia 62 <<Ji Léger) ; Rlon 62 Brida d'Iéna, des pupilles arméniens L'arme laquelle il tenté — de avenue avec a 62 (R. ding, a été grièvement blessé par l'auto 62 (N. P.) : Orainl-OnlRiKil, 8 45: h.

La Qrirte Club de France se rendra prochainement dans les exploi lant) ; Verlaine Le Touring ouvert — violemment a ont manifesté contre- les un suicider est la même qui lui servit a Madeleine, 8 h. 46.

Vive le Théâtre.

Trémeau) : Adamastor 60 (H. Howes) : concours destiné à stimuler les efforts des de M. Cerf. Le. sergent- mécanicien Fon- se tations du canton de Châteaudun.— orateurs.

Des agents, requis pour faire tuer amie. Six cartouches restaient Marlgny, 8 h. 80. — Coups de roulis.

Acrobate 60' (A. Kalley). des P.T.T. et à récompenser drevert, du 38" d'aviation, s'est Jeté, avec dans son receveurs évacuer les chargeur perturbateurs, osarlo II, Adamasle et Lorente ont été con Kosi possédai Mntlmrlns.

Prlsonn désignons '8 h.

45. d. m: coeur : Nous ceux d'entre eux qui se sont distingués sa motocyclette, contre une automobile encore dix-huit cartouches Michel, tusionnés LE DRAME DE SAINT-DENIS tor.

9 h.

Pardon, lui.

Madame. gravement On assez ; l'un d'eux, sur a Mlchodlère, 8 — l'excellente tenue des bureaux dont es a été tué sur le coup. A Metz, un au 46.

Le b.

Sexe faible.

Prix de l'Armagnac. — (Haies, handi par trouvé gardien Moïse la lettre le Bricault, anonyme qui décida dé MoRaflnr, 8 h. 30. —Le Chant du Désert. a dû quitter ils ont la direction. piéton, départemental écrasé tobus 2.900 un francs. a 10.000 à vendre). cap, — — service ; plusieurs arrestations ont — De son côté, pour bien marquer l'Inté sa vengeance.

Nouveautés. 8 b. 40.

ECadubec (oper.) son : Xbuire 71 (V. Diez) ; Moscou rêt qu'elle attache & la bonne tenue des M. Charles Raycois, 5.1 ans, de Monti— été opérées, trois perturbateurs ont été 'Le meurtrier avait prémédité de tuer mètres Nonv.-Th., 8 h. "0. Joséphine vend. p. s. s.

70 (C. Joiner) ; Mah Jong 70 (R. Féger); bureaux et à l'action que peuvent exercer, gny-les-Metz, qui a été tué sur le coup. envoyés Dépôt pour-outrages et ré Olive Ijpire 68 & cet effet, les chefs de service locaux, au (lîuvre, 9 h. — L'Acheteuse. sa mère Montsoreau 69 (N. P.) :Sentier) Laveuve, Paul 22 ans, boucher à Une plainte violation M. en bellion Palais-Royal 8 b. 30. — L'Amour a l'Amô; aux agents ; ce sont Quencha; Gobe- l'administration des P.T.T. vient de déci (P D.) ; Noirlac 68 (P. Senones, qui circulait à motocyclette, 66 iN. Signy rlcalne. ian, Sari 26 Teasdale).

(J. du professionnel 68 : lin ans, demeurant 214, rue Messecret . du Touring près de Strasbourg, été tué par un Mme Blanche Willem, grièvement P,) ; Le Caprice 65 (M. Théry) ; Fram. der de seconder l'Initiative a Théâtre de Paris, 8 40.

Martu* n. nil, à Asnières — ; Mazarian Garatat, 19 de France en décernant une médaille tramway avec.lequel il était entré en col blessée par son fils, Charles, dimanche Pé. 65 (J. Belmondo) : Porto Pl. 65 (N. Club Pisalle.

Théâtre Vendredi Japonais. : 79, à tous les titulaires des lision. rue Villebois-Mareull, et Kusel'orie-Salnt-Murttn,8 h. 16. —uyrano de ans, soir, dans les circonstances que nous p.) : Ma Chérie 64 (J. Luc) ; Tolga 64 commémoratlve Paul de Pallois, demeurant M. Jean primés. kian Matéo, 22 ans, 3, chemin de l"Aubureaux , Bergerac.

M, Greiner, ayant 10 Un motocycliste, (A. Kalley) : Anubis XI 63 (J. Peckett)j avons relatées, a succombé hier après- (À.

Commerce ministre du affec le des Loges, Enfin, du Pont vient, a par à rue Asnières. tuone, Potinlèrc, 8 h.- 45. — Un Cambrioleur.

Seymour 63 (N. té à ce concours des récompenses spé tait une chute dans - un fossé, entre l'organe de Afghan II ,(J. Léger) ; Cérez) midi. avocat M' Grimaud, de 62 son Renaissance, 8 b. 30. — Business (SerglRlon (A. Sommière 62 ; machine Mommenheim Brumath, la et ; Au cours d'un second interrogatoire, P.) Montalant) ciales.

VUlétte les mains de * déposer entre M. P.) ne Rollan). ; : Garfleld II 62 (N griè conducteur fut explosion le lit et UNE VISITE DU .TOURING-CLCB le jeune meurtrier a précisé les causes vR. Surali-liern., (N. 8 h. 30. M. Curé ch. les pauv.

II 61 des juges d'instruction, Volga doyen 61 (L. Loiseau) ; une Reealon Près d'Hermanville brûlé.

(Cal mère veinent oui.l'ont amené à vouloir tuer sa Scala, 8 h.*45. — Là-Haut.

Saint Obin hl AU PARC DE SCEAUX plainte pour violation du secret profes Suiitt-tieorges, ; Termlni 61 (N. P.) ; (J. Léger) La Denis 65 Lock) (R. 73 ; motocycliste, M. Quiquemel; Mé vados), 9 h.

Etienne.

Celie-ci qui, paraît-il, s'adonnait à la P) Servo) un 61 (V. O. : — (R. Petit) : D. S. 64 (V. Diez) ; Guéthary 62 (H. le, entrepreneur à Aquolleville-sur-Orne, sionnel contre M. Georges Reynald, an Studio Champs-Elysées, B H. — Paquebot boisson"devait, sur les ' instances de son cano 61 (M. Fruhlnsholtz) ; Pertharite Frégate sénateur de l'Ariège, cien à avocat la Le château de Sceaux et son parc, long Haes) Tenacity. : San Be. n 62 (L. Loiseau) : Le Teas 60 (J. Poltlna mortellement blessé Chaussemy) auto l'une de été Nord le par une fils, rejoindre dans : ses 60 (G. a d'Appel. temps Lock) Le Yacht 62 (W. Cour abandonnés, ont été achetés, on le 62 (R. Relâche.

Drapeau Trlanon. ; Davis) ; Bouture — 30.

Sur la route d'Aix, près de Limoges, une : Le Gave 60 (E. 60 (C. Sautour) sait, le département de la Seine, qui sœurs qui, sans doute, aurait pu la faire dale) Fleet Tlny Reynald Butler) M. avait été par entendu Variétés.

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Luc). se pris initiative de leur renais (J. 60 Le Havre a vembre et décembre 1927 et janvier Béarnais, allée buter Coeur Le contre Dans est le but changé d'idée désignons d'attirer l'attention déclara avoir sance. : personnes, un 1928, à titre de témoin, dans l'instruc' Folles-Berg. — On Coup de Folle (revue) partir, elle (Steeple, handl- Nous Ultimatum.

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La Revue de la Femme.

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La Parade du Nu (revue).

Xbuire 66 (V. Dlez) : Domitius 63H. — Une motocycliste, Mme Devèze, a été renseignements qu'il avait eu à sa con Clr. d'tllv. il dût regretter son acte.

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M. de Gentile, juge d'instruction, Babiole 2850 lités Sylva amies, en un déjeuner qui sera suivi 2825 C. auto, est Danella : acheter une ; mat., soir. — Nuit de Prluces un re zen 60 (R. Petit). au cours de l'après-midi, été chargé par le Parquet d'ouvrir une C'améo. ni Vauville 2875 d'une visite du parc, au cours de laquelle Tarte 2850.

2850 arbre 5ë: s'écraser contre M. Madelelne-Clné. allée Réouverture ; le 7 mal. un : volver .et des balles chez un armurier; Nous désignons : Xbuire, Haratch. information.

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64 (C. — ans, Nanan ren (J. Léger) : — de là, à la Bouilladisse, deux voitures versée par un cycliste, M. Georges' Zeeler, Drsullnes. — Terror l'intervention de la débitante. Mme Plaisè (de Roy del Ruth). de la loi votée à cet effet ; à l'heure ac à "la Cour 64 (M. Plaine) : Rapid COURSES ANGLAISES sont entrées en collisloii ; Mi Marchai, 115, rue de Montfermell, à Gagny. La bles Œil de Paris. —'Thérèse Raquln.

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Courty Paul. rue. du Sentier, 1, Ivry-leTemple (Oise) i 528. M. Dupret Edgard, rue d'Avesnes. Levai (Nord) : 529. M. De-. fricourt Jules. Ferrière-la*Petite (Nord) ; 30. M; Gorret René, rue Descombes, 21, Paris ; 581.. Mme Naas Mariette, chemin vitu. 4, Dijon (Côte-d'Or) ; 632. M; Crabérou Raymond, avenue du Calvados, 14, Caen (Çalvadog) : 533. Mme Vve Braudon Marie, lue Jean-.Jaurès, 91, Rive-de-Gier (Loire) j 584, Mlle Boyer Augustine. Bew» jeu (Rhône) : 535. M. Hodln Henri, rue Courlancy, 287, Reims (Marne) j 588. M, Fourmier Auguste. Saint-MarUn-Ch&teau (Creuse) : 537. M. Rabbé René, avenue de la' Gare, Creil (Oise) ; 538. M. Boulongne Marcel, boulevard Barbés, 44, Paris ; 839. Mme Bernard Marguerite, rue Doc 32,

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—63— Feuilleton du Petit Journal. 29 Avril 1930

LA MAISON

sans enfant grand roman pci5î?onne{ et dramatique

par Maxime La Tour TROISIEME PARTIE

LA FAUTE DE SIMONE VI. — li'RasteUerie de la Noé

Hé là, ne parlez pas de malheur | et — buvons vite à nos santés !

Pour la troisième fois Simone remplit

son verre.

Vous n'avez pas peur ? demanda ti midement Martin en désignant le liquide de l'œil.

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s'eselaffa la jeune femme,

— riant de plus belle ; mais je prends du ton, voyons, je prends du ton. mon ami i Martin conservait son air le plus dé solé.

— Jamais je là.n'aurais cru qu'il vous faille en venir soupira-t-il encore.

J'ai fait tout ce que j'ai pu ! Avouez !

— répondit Simone, Mais puisqu'il ne veut pas comprendre que ma place n'est plus auprès de lui... le spectacle d'aujourd'hui le forcera bien à divorcer I

fant

!

étonnante de Vpuloir ainsi le de cette femme, de cet enfant ! dé Jacques ! Qu'est-ce que L'enfant — je désire, moi qui l'aime, mon Jacques, de toute la foroe de mon cœur qu'il soit Vous êtes — bien

heureux, Eh bien ! il le sera.., —; Grâce à vous I à votre abnégation ! préfère souf —. Il le faut bien, puisqu'il à lui-même et frir en silence, se mentir mentir aux autres. Sans doute, c'est pour m'épargner qu'il agit ainsi, mais je ne veux pas de son sacri^ce, Il sera heureux !

-La demi-ivresse un peu bruyante de tout à l'heure a fait place maintenant à un élan mystique, à une ferveur ardente comme celle qui devait pousser .les pre miers chrétiens à demander le martyre.

Julien contemple Simone ; et, à présent, son admiration n'est pas seulement une attitude, Mais vous, ma chère petite amie, de— mande-t-il, que devie^.drez-vous ? Ne re gretterez-vous jamais ce grand sacrifice ?

Les grands yeux lumineux se voilent un instant, puis se rouvrent, moins brillants. la voix ne — Moi... répond Simone dont moi, tout ami... fléchit pas, oh ! mon cher cela m'est bien égal !

Mais Martin n'est pas dupe ; il se rap proche un peu du grand fauteuil dont il

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sa ré — Simone, Simone ! il faut vous adorer à genoux.

Une fois encore le rire s'égrène dans

l'air léger.

; êtes romantique 1 raille Quel vous — Simone en .retenant Julien qui veut join dre le geste à la parole. Allons, restez tranquille et repassons nos rôles. là à une bien cruelle — Vous me mettezbellâtre. épreuve, soupire le ainsi à quelle hauteur — Je vous prouve je place votre amitié. On ne demande des choses difficiles qu'à ceux qui ont fait

leurs preuves.

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Londres, 28 Avril.

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— tante. et affaires toujours calmes. Les Fonds anglais s'améliorent & l'ouverture, mais sont moins fermes en clôture, faute

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de nouvelles, demandes. Emprunts brési-. liens faibles. Les Chemins de fer anglais sont lourds. Les titres industriels fléchis sent aussi pour la plupart. CoKrubia i Graphophone en reprise sur des achats pour compte américain. Valeurs Interna tionales discutées. Pétroles délaissés.

Groupe minier inactif.

Berlin, 23 Avril. — Les variations de cours sont toujours de peu d'ampleur, •; mais cependant le marché est mieux dis posé. On signale des ordres d'achat pour compte étranger et pour compte de la clientèle de province. Certains titres tels la Relchsbank, les valeurs de Brasseries, Polyphon, s'améliorent. On note aussi une recrudescence d'activité sur les valeurs à, revenu fixe. En séance, les affaires restent calmes, mais l'ambiance générale est meilleure. On finit en tendance soutenue.

Au Marché monétaire, l'argent à vue vaut de 4 à 6 1/2 % et l'argent au mots de 5 1/2 à 7 %.

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Créd.Gén.Pétroles.

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Négociations Jusqu'au : 5 mal : Cptr. Ind. du Sel

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terme, ne rejiwntrent qu'un® contre-partie U nçu enapressèe. Au comptant toutefois semble que la résistance sott plus grande, Malheureusement la epéaulation est at teinte d'un oertaiR .pessjmisjne dû (t la lassitude causée par une trop longue pé riode dé marasme. Nul ne semble disposé à prendre la moindre initiative et les ani mateurs habituels du marché sont euxmêmes décontenanoés pas llnutllité de leurs précédents effort? çn vue de galva niser ta cote. C'est 1& une situation qui, si elle se prolongeait, ne manquerait paa de présenter quelque danger, non seule» ment pour les porteurs de -valeurs mobi lières, mais également, ce qui est plus grave, pour l'équilibre de tout notre sys tème économique.

Oe danger n'avait pas échappé au gouvernement qui y avait fait plusieurs fois allusion en proposant à la» Chambre son projet de dégrèvements, oomptalï beaucoup sur la vote' duquel Uaffaires.

Jusqu'ici le pour ranimer les résultat escompté n'est pas atteint. Espé rons qu'après la liquidation qui s'effec tuera aisément, les conditions technique» Joueront plus librement et favoriseront le développement des transactions. En attendant le marQhé termine dans le oaline et sur une note plutôt faible. lia plupart des valeurs s'inscrivent au-des sous de leurs derniers cours précédents et, çela aussi bien en coulisse qu'au par

,

4M'.

non, voyons, c'est un moment à — Mais passer. Vous n'allez pas flancher au moins ? Vous m'en avez donné votre pa role. Je compte sur vous, moi ?

— Vous savez bien que je ne vous dé

cevrai pas. c'est bien entendu, n'est-ce — Alors,premier coup frappé à la porte, pas ? Au j'enlève ma robe. Je me trouverai alors Vêtue seulement d'une petite combinaison.

Vous ne regarderez pas. Vous m'avez pro I

tous les jours çn mail lot de bain, — ce n'est pas la même chose. Et, puis — Je vous vois

que je vous le demande, vous pouvez bien me faire ce plaisir.

— Vous avez des idées, d'un arriéré™ —Si vous voulez. Donc, c'est promis. vous ne me régarderez pas, même lorsque tous ces gens seront là, car je suppose que Jacques aura réquisitionné le commissaire et ses secrétaires,'au moins. J'ai votre pa role ?

— Ma parole. bête ?

— Vous me trouvez Mais non; seulement c'est drôle, ces — préjugés qui semblaient perdus dans la nuit des temps et qui ressuscitent tout à coup. si vous vouiez, — Moquez vous de moi,rougirais je suis ainsi faite ; je ne pas de mille mais je m'exhiber devant personnes, serais troublée de le faire devant un seul

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quet. Les plaoes étrangères ne sont pas disposées et en fait la lassitude mieux générale. est

Informations financières et économiques Mines de Paurgef Le Conseil d'Administration, proposera à l'assemblée qui ee' tiendra en mal de por ter le dividende de 1828 à 95 fr., contre 80 fr. On acompte de 40 fr. ayant été dis tribué en octobre 1928 le solde sera de 55 fr. brut. Les bénéfices seraient de l'ordre de 36 millions, contre 29.513.45S fr. en Mines tTétain de Tekkah Les dividendes bruts qui seront propo sés à l'assemblée du 8 mal sont de 39 fr, 28 par action 0. contre 39 fr, 05 et de 7 fr. 42 IV contre 7,41. Dividende de la par action contre 95,58. part 86,28, he citivrv La production mondiale de oulvra ea pour mars a atteint 146,905 tonnes, faisant le premier trimestre de 1930, un total de 440.465 tonnes, contre 538.676 pour le mê me trimestre de 1929, La production, des Etats-Unis a été de 837,059 tonne», contre 803.638 ; cflle du Mexique de 14.600 tonnes

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Vous, si bonne, c'est-une véritable homme. C'est ma façon — prendre la pudeur. torture que vous m'infligea t

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(Dernière cote) disponible, cote officielle, 128 & 129, cour. 125.25, 125.50. mai 125, 125.26, 125.60, mai-Juin 125, 125.25, 4 de mai 123.75, 123.50, iulll.-août 122.25 tous payés, — Farine-fleur : cour. 178 N, mal 176 V, mal-Juin 176 V, 4 de : mai 174 V, Juill.-aoàt 174 N. — Maïs : base de llqultl.

106, cour. 102 A, mai 96 N, 4 de mal 95 H, • 4 de juin. 93 N, 6 de Juill. 90 N. — Sei gles : cour. 72 N, mal 78 N, mai-Juin 78 V, 4 de mal 78 N, Juill.-août 82 A. — Avoines diverses : edur. 70.75. mal 65.25, niai-Juin 65.25. 65, 4 de mal 65 60, Julii.aoùt 35.65, 65.25, tous payés. — Orge do branserle : cour, 76 N. mal 78 N, mai-Juin 74 & 75, 4 de mal 76 V, Julll.-août 77 N. — Sucre : cour. 235.50 P. mai 236 P, juin 336 à 236.50, 3 de mal 236 & 236.50, 3 de Juin 236.50 P, sept. 331.50, 231 P, 3 d'oct.

220 à 220,80 P, 3 de nov. 220 ?. — Cote à officielle (courtiers asserm.) : 236.50 235.50. — Alcools libres : Juill. 795 P. Farine de consommation (oote officieu se ds la farine établie par la Chambre syndicale de l'Industrie meunière pari sienne) : 194. l'ityslonomle de la Bourse de Commerce Blés : le blé est faible et en recul de 1,35 4 8.36. — Farine-fleur î sans affai re», — Avoines : tendance faible et cours en baisse-de 1.36 à 3.35. — Seigles : cours nominaux, «ans affaires, Sucres : une faible demande et un — grand calme a l'étranger déterraient en sucre une perte de 2 U. 2,50 sur la campagne en cours et de 1 fr, & 1,60 eut la future récolte.

Alcools libres : tendance lourde, peu d'fiffalres. — Huiles : sans affaires.

Marché de la VILLETTE (Paris, 88 Avril) Blés

iîflH"

10200..

395 ,. :: Qll 374 ..

1884 Forgaa de FirnAnv .

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—' 356 355 France. 153 5Û '18 :: 3à5 ..

614 la Loiret — 49S •• St«Na*alre 635 .

«— 499 Méditerranée 990 , 806 .. 304 Ctiâtli.-Cpmmentry6150 , 602 905 .. 305 Oenain^Anzin...... am.. 32T5...

373 Pontsihaud^...^. 2055 .

858 Fivea-LiJle......... 1655 ; 372 .. 373 Aciéries Marinç.., 1530 . 1525 404 Monvaiairc^.....:... 4l5Qt i\b* 47tt 4H 335 ». 335 Artège Si «...

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triment du vôtre,

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l'Afrique de 30.397 tonnes, contre Union Européenne .

Le dividende des Etablissements Skoda serait de 90 couronnes, contre 70 et ce lui de la Société des Mines et Forges de 160 couronnes contre 150.'

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Lu correction de leurs solution» s'est alors poursuivi» (suivant le même procéda que ci-dessus) sur leurs réponses 4 Ja deuxième question subsidiaire.

1764

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centre 15.928 ; celle du Canada de 23.193, contre 17.088, celle du Chili et du Pérou 66.464 tonnes, contre 107.206 ; celle du Ja pon de 2Q.296 tonnes, contre 17.562 : celle de l'Europe de 37.600 contre 34.300 efcelle de

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Ces lauréats n'ont aucune frrevr dans leurs réponses à la question principale (40 villes). tous cmt indiqué exactement les 13 Produits préférés désignés par le réferen* dum (première question subsidiaire), mai» aucun d'eus ne les « placés tous exacte' ment dans l'ordre idéal ; les erreurs de places commises onf constitue les fautes

1763

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Petit Journal

veaux 10.66; moutons 8.78: porcs 9,40.

Bceufs : amenés 2.749, Invendus 310 ; vaches : amenées 1,381, invendues 160 ; taureaux ; amenés 435, Invendus 55 ; veaujt : amenés 8.172, invendus 76 ; mou tons : amenés 11.881, invendus 800 ; porcs s amenés 3,656, invendus néant.

Observations •• Vente dlfflolle, cours en baisse sur toutes les espèces, Cours officieux d'ouverture. — On cote au demi-kilo net. — Bœufs : limousins 5.45, blanc» 6.46, gris 4.85, manceaux 4.85. quai. ord. en manceaux anglaisés 4.70, oharolals et nlvernals 5.46, oholetais, nan tais, vendéens 5,10, sortes de fournitures 5 .05, viande à saucissons 2.90. — vaches : bonnes génisses 5,85. bonnes vaches 6.45, petites viandes de toutes provenances 4,95. — Taureaux : qualités entre deux 4,70. sortes de fournitures 4.60. — Veaux: qualité ordinaire 8.35, champenois 7.15, manceaux 7.15, gournayeux et picards 5,70, Service et Midi 5.35. — Moutons : nlvernals 9.80, bourbonnais et berrichons 9.05, brebis métisses 7, albigeois et limou sins 7.60, arlégeois, agenals, toulousains 8, Hte-Lolre, Barthe.Vendée 7.70, Midi ;.W, africains 7.20.— Porcs ; du Centre 6.57, limousins et auvergnats 6.31, coches v.78.

Physionomie : Marché actif dans l'ensem ble. Beauooun de monde, lues arrivages sont réguliers mais un peu chargés en abattoirs, sauf porcs. Vente bonne aux 30 fr. en gros Dé Baisse de en moutons. difficilement maintenus en tail, Cours de 30 fr. en,. .

Baisse veaux et moutons.

Borca, .

MARCHE D'ALEXANDRIE (Cl.), 28 Avril. août 19.84, Cotons : Ahsmounl, Juin 18.85, oct. 17,88, déc. 18.% fév. 18.56. Sakellaridis, mal 28. juin. 27.43. nov. 25.83, M ARC11E DE LIVERPOOL (Clôt.), 28 Avril : avril 8.22, mal J.19. t Cotons américains 8.12, sept. 8.08, Juin 8.15, Juill- 8.16. août8.08, Janv. 0.06, déc, oct, 8.04, nov, 8.04,.

8.14.

(1931) avrU fév. 808. mars 8.11,

probable, répond Julien.

— C'est Tout à coup la jeune femme, avlsajat le

s'y précipite et n'en est que plus flatteuse pour téléphone au chevet du lit, Glycines. celui à qui voùs accordez ce merveilleux demande le numéro des répond l Un domestique lui privilège, et qui ne le mérite guère. ? est là est une autre question. Mais, di — Monsieur — CeciJulien, monsieur vient de ren Oui, madame, tes-moi, vous avez bien dit cinq — Monsieur attend Madame. trer. heures ?

Simone se retourne ; elle est transfigu dit cinq heures.

J'ai — avec Jacques lui-même que rée, une joie merveilleuse colore son — Et c'est visage. vous avez communiqué ?

Elle n'attend pas que Martin l'interro lui.

Avec — Il ge; très vite, elle dit la cause de ce grand qu'il tarde bien..

— me semble le temps de jéuntr la force bonheur soudain ; — Laissez-lui Julien l que je suis heureu armée 1 — Julien ! n'a I Jacques cru au coup de télé pas se Julien!

Oh — — Elle

— Du reste, vous? venez d'arriver.

— Vous croyez suis certain.

— J'en Au fait, c'est bien possible.

— Simone ne savait plus exactement de

puis combien de temps elle était là.

Du reste cela l'inquiète peu, elle attend la minute qu'elle a préparée, celle-là seule

doit compter.

Le carillon de l'horloge de l'hôtel, com me une réponse à la jeune femme, égrène dans l'air les sept coups de sept heures.

— Vous avez entendu ? demande Si mone surprise.

— Non, ce n'est pas possible ! s'exclame Martin en cherchant sa montre. : Mais il faut sa rendre à l'évidence, sept heures viennent bien de sonner.

Les deux jeunes gens se regardent stu péfaits.

— Il ne viendra pas, dit Simone.

phone, il n'a pas voulu me salir par ses soupçons. Toute notre belle mise en scène n'aura servi â rien, mais Jacques m'aime toujours ! quèl bonheur !

Elle est tellement émue qu'elle défaille et, sans l'appui du bras de Julien qui l'en lace et la soutient, elle trébucherait.

VIL— Le drame qui vous coupe les jam — C'est le porto bes ? interroge Martin en riant.

Simone demeure appuyée au bras qui l'enveloppé; une émotion très douce la pé nètre. " • répond-elle gravement, c'est le Non, — bonheur.

Et puis, tout de suite, son animation la reprend : — Allons, vite, aidez-moi, Julien, je re sais plus ce que je fais; vite, rassemblons mes affaires, que je rentre chez moi l Ul suivre)

«29 — 4-30».

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Michelle FAUVEL, Berney-de-Champà£ne(Sarthe).Robert BERNOT, Genlls (C.-d'Or), Michel GOTRAND, Estrâe Blanche .(P.-de-C.I. Jacquelln COUSIN, 17, r. de la Gare, Neufchatel-en-Bray (S.-lnf.).

Lola KREMENTCHOUSKY, 1 bis, r. Lacépide, Parla (S). Mlckle KREMENTCHOUSKY, 1 bis, r. LacépAde, Paris (5-). Maurice FORTIER, St-Pierre-des-NIds (Mayenne). Henriette FRESNAY, Montaudin (Mayenne). Jean MARSZALCK, Mancleulles (M.-et-M.). Fernand DUPOUY, Calvldos (B.-Pyr.). Lucien HAAG, 9, r. des Tanneries, Nancy. Rosa MENGUY, laurenan (C.-du-N.). Gisèle BUNON, 13, r.

Moliiire, Ernée (Mayenne). France CAZET. Blianos (B.-Pyr.).

Micnel JACQUEMIN, Thaon-les-Vosges (Vosges). Alexandre CHOMARAT, Marlac (Ardèche).Germaine TRUFFY, 43 Ch. de l'Etoile d'AlaT, Lyon. Gérard BRIDOUX, Condé-sur-Escaut(Nord). Pierre TOUZELLIER,11, r.deGenercle, Nlmes(Gard).JosetteSEIGNEURET, Cité de Beligny, Vlllefranche (Rhônç). André BLANC, r. de la Roque, Dragulgnan (Var). Jacques CROCIONI, 57, fg Si-Denis, Paris (10*).

André ROCHE, 42, r. José Frappa, St-Ellenne- (Loire). Jack LOMBARD, Les Arcs (Var .Gilbert RIGAUO, 36, r. J.-Récamler,Lyon.

Jacqueline OLIVIER,Usines Buxo et Olivier, Layardac (L.-et-Gar.)< Charles BRUAT,~5, r. Minoterie, -Mulhouse (Ht-Rhin). Pierre ROCACHE, Lagrave, par Mas-Cabardés (Aude). Henri LACOUR, 12. r. Car; Blondeau.Vlllefranche(Rhône). Janine DEJOURS. EtoilesOf-Rhône (Drômo). Jean CHAPON, St-Paulien (Hte-Lolre). Jean BONHOMME, St-Paullen (Hte-Lolre). Pierre CORNU, Neuvy-Sautour (Yonne).Jean CHATAGNIER, Hôtel de Londres, Bergerac (Dordogne).

Jean CORNUT, Antraigues (Ardéche). Bernadette HOYER, Bd delà Sous-Préfecture Issoire (P-.dç-D.). Jacques MARTIN, 9. av. de la.

Gare Beaune (C.-d'Or). Yves FRECHIN, Thaon (Vosges). Paul TAILHARDAT, Laqueullle (P.-de D.) Roger PAESBRUGGHE. Coron Vaudale. Isbergues (P.-de-C). Claude BOUCHET, 15, r. Cambelta, Vouzlers (Ardennea).Jean LAUSELLE, 62, r. Saussure, Paris (17').

Pierre LAUSELLEj 62, r. Saussure, Paris (Wf), Janine NEGRO, S, pl. du Marché, Dragulgnan (Var). Roland HAINAUT, Harnes (P.-dO-C.). Colette CHAPLAIN, r. des Forts, Le Thlllot (Vosges).

Paulette De JAEGHER,133, r.de l'Egalité, Maraisde Lomme(Nord).

Jean SEAUFILS, 13, r. P.-Gauthler, Trpyes (AUbe). Ginette COSTILLE, 11, pl. de la" Demi-Lune, La Demi-Lune (Rhône).

Joseph THEVENET, Dortan(AIn). Roger PERISTYLE. Ponl•n-Royans (Isère). Paul ROYER,-42, r. des Tanneurs, Toul M.-et-M.). Gisèle ROYER, 42, r. des Tanneurs, Tout (M.-et-M.)André REDON, r, du Prieuré, AUBIGNY (Cher) Monique VALLÉE, Merry-ia-Vallée(Yonne)...

Liliane RINGOT, Hydrequbnt (P.-de-C.). Pierre

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Jel au Conservatoire 20 h. 45 Bordeaux-Lafayette, 304 m. Con 1930) (Delvar) (X...) ; Jef au tribunal (X...) ; T.S.F, cert. appareils en tous genres (Betove) ; 21 h. I-etit Parisien. 329 m. Concert : Ou m,-4 Les symphonies de Betove ; Chansons verture des Cloches de Corneville Pompadour (Betove).

(Planquette) : Valse de « La Térésl12 b. 30 Radia L.L., 368 m. Concert : Ou na » (Straus) : La Habanera (Laparverture du Songe d'une nuit d'été ra) : Aubade printanlêre (Lacombe) : (Mendelssohn) ; Montmartre et l'hu Le Chemineau (Leroux) ; Sonate en mour ; Charité (Fauré). 3. Concert, sol (Grieg) : Hamlet (Thomas) ; La 32 b. 30 Radio-Lyon, 293 m.

Grotte des Korrigans (Tschesnofcoff) ; 12 b. 30 Radio-M'aruc, 414 m. Concert, Un jour d'été en Norvège (Wlllmers) : 3$ h. 46 Marseille, 316 m. Disques, Danse galiléenne de « La* Vierge » 12 h. 45 Bordeaux-Lafayette, 304 m. Con (Massenet) ; La Tête de Kenwarch I cert.

(Marg. Canal).

13 h. Radio-Toulouse,-381 m. Mandoline, 21 h. Radio-Toulouse, 381 m. Concert.

13 h. Mte-Juan-Ies-PIns, 237 m. Disques, 21 h. 15 Radio-Lyon. 28.6 m. Orchestre.

13. h. 30 Paris l'.T.T., 447 m; Disques.

21 h. 30 Radio L.L., 368'm. Concert.

304 Disques, Iloirteauv-Lafayette, 14 U. m.

21 h. 30 Radio-Lyon. 286 m. Danse.

15 b. 30 lt»((lu-Lvon, 286 m. Concert, 21 h. 30 Nlce-Juan-Ies-Pins, 248 m. Danse.

15 h. «6 Km^o-l'hils, 1.724 m. 1. Quin ETRANGER' tette Jean Xbos : La nuit de mal, chan 12 Londres (régional), 354 m. Orgue. son joyeuse (Rlmsky-Korsakov) ; 13 h.

Daventry, 3.554 National h.

(Schubert) Ber m. 4. Mu Chanson d'ameur ; légère.

Glralda (Tusique la ceuse (Gaubert) :.Sur (Midland. régional), rlnn) i Cordoue . en fête (Turina) ; 13 h. 30 Daventry légère.

474 m. Musique Clair de lune (Debussy) ; Chanson rê vée (Lenfant) ; Menuet de la sonatine 15 h. 20 National Daventry, 1.554 m. 4. * (iïavel) ; Les Maîtres Chanteurs (Wa i Musique légère.

Daventry, 1.554 National m. 4. Cqngner) : Menuet et finale de la sym 16 h. cert. phonie lia Eeine (Haydn) Big City 16 h. 45 National Daventry, 1.554 m. 4. blues (Conrad).

Casse-noisette (Tschaïkowsky). : Disques. h.

Rudio-Alnroc, 414 16 m.

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19 b. 45 National Daventry,- 1.554 m. 4.

19 h..Radio-Toulouse, 381 m. Tangos, Cavalleria rusticana (Mascagnl).

19 h. 30 Radio-Toulouse, 381 m. Orches 20 h. 35 Londres (régional), 356 m. Con tre étranger.

Accordéon, cert.

291 3.

Radio-Lyon, 39 h. 45 m.

20 b. Radio^l'aris. .1/724 m. 1. Festival 20 b. 35 Daventry (Midland régional), 479 *3 alsacien : Dis-moi quei est ton pays m. Concert.

(Erckmann-Chatrlan) : Noël de Tail 21 h. 25 Londres, 356 m., et Daventry.

J 1.554 m. 4. Glannl Schicchi (Pucclnt). ler (XIV* Siècle), harmonise par M. Cadou ;• Mélodies (Weckerlln) ; Fable 21 h. 40 Daventry (Midland régional), 47S "U (Ratlsbonne) ; La Chandeleur de "i m. Comédies musicales. siècle) (XV* Téméraire Charles le ; MUSIQUE DE DANSE Ballade du désespéré (Murger-Beni- 17 b. 15 Midland' régional. berg) : Le départ des Cicognes (Rlsf*#* h. 30 Londres régional. telbuber) ; Là-baùt sur la montagne 22 (XVIII* siècle) ,; L'arbre de Noël (Sie- 22 h. 35 National Daventry. becker) : L'appétit d'un Alsacien (Varlet), Jean dans le trou" à moustique, NOUVELLES MARITIMES dit par l'auteur.

20 b. 20 Tour Eirfel, 1.445 m. Concert : POSTAGE Musiques intimes (Schmltt-Branga) ; , Maintenant • comme Jadis (Tschaï- Amérique dix 'ÏVord. — Pour New-York, liowsky) ; Tout passe (RachmaninoH); le 30 via Le Havre. % Aux bords du. Don (Moussorgsky) : LONGS-COURRIERS FRANÇAIS Scherzo : Intermezzo ; Marche turque * Ro-ussillon, doit, quitter Le Havre le 30 «Moussorgsky-SaIabert) ; Deix sona New-York ; Duarasse, de New-York, tes. (Scarlattl) : Flleuse-3 près Garan- pour attendu au Havre le 2. ETRANGERS tec : Etude de.concert (Bâton) ; Mas LONGS-COURRIERS ques et bergamasques-(Fauré-Brnnga): Lltuanla, de New-York à Copenhague le Poèmes d'un Jour (Grandmougin-l-'aurè) ; Suite brève (Frnnck-Cusser) ; 28 : Milwaukee, de Now-York à Cherbourg Phvane (Marthe Grumbach) ; Loren- le 28 ; Newjoundland. doit quitter Llverzacclo-Galllarde (Moret) ; Polonaise pool le 29 pour Boston: Ilcrengaria, de New-York, attendu à Cherbourg le 29; < Schubert-Levadé).

Oscar II, de New-York attendu ïi Oslo le un h. 15 Lille P.T.T., 265 m. Concert, 30 ; Olympic. doit quitter Cherbourg le i!G h. 25 Itadio-Toulouse, 381 m. Chan 30 pour New-York ; Saint-Louis, doit quit sonnettes'. ») h. 30 Knillo-Bézlcrs, 212 m. Concert: ter Boulogne le 30 pour New-York : Prûh. 30 Kadio-Lyon, 286 m. Cbansonc sident-flarcling. doit quitter, Cherbourg le 1 pour New-Yoi!t; Melita doit quitterfrançrilsîs. le 1 pour Moutroal ; ' Buropa, de 414 Glasgow h. SU ICndlo-Maroc, m. Concert. attendu à Cherbourg le 1 : New-Vovk, Marseille 1V3YT., 816 30 Concert 11. m.

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A Saint-Louis : fracture du crâne.

M. Emile >.— Boulevard Saint-Marcel.

Furnlquet.

30 ans. maçon. 1. rue des Lyon nais, a été renversé par un taxi. A la Pl tlé.

7 Agressions.

Hier matin, rue du Ro —» Desmoulins: 61, rue Bacher, M. Camille lagny. a été attaque par un nègre. Celuici lui a dérobé son portefeuille contenant 700 francs et des pièces d'identité.

Planchât, M. un débit. 12. rue boulevard — DansJayet Edmond ébéniste; 34. de Charonne. a été attaqué par Louis ThO' massln. 29 ans. manœuvre. 12. rue Plan' chat, et frappé au r,ras droit avec un couteau de table. L agresseur s'est constitué prisonnier au commissariat de Charonne.

Cambriolage. — Des malfaiteurs se sont Introduits par effraction dans u* magasin d'alimentation appartenant a M. Martin, 31, boulevard de Courcélles. Ils ont frac-: turé le tlroir-calsse et ont emporté de; l'argent, des titres et des bijoux repré sentant "une valeuç 8.000 francs ' " de " environ.

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Rhumatisants, l'absorption quotidienne et continue de la lithine vous est imposée pour la défense de votre santé. Ce bienfaisant régime est accessible à tous, grâce à la modicité du prix des Lithinés du Docteur

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A travers les réseaux UN BUREAU DE VOYAGEURS 126, Boulevard Raspall, & PARIS

CHEMIN DE FER DE L'ETAT

POUR NOTRE EXPANSION COMMERCIALE

Sous le patronage des Chambres de Il est rappelé au Public que, pour fa Commerce et d'Agriculture des régions in ciliter les déplacements, la Cle d'Orléans téressées, les chemins de fer de l'Etat possède 128, Boulevard Raspall, (Télé phone : Llttrê 99-67) un bureau aflectè voyageurs. au service desdélivre les diverses catégories Ce bureau de billets au départ de Paris pour toutes gares des reseaux d'Orléans, du Midi, du Nord, de l'Est et d'Alsace et de Lorraine et fournit tous renseignements et bro chures concernant les voyages sur ces Re seaux. Il donne suite, dans la limite des places disponibles, aux demandes de lo cations de places dans les trains rapides et express au départ de Parls-Qual d'Or say et Paris-Austerlltz (délai" maximum : deux semaines soit 14 jours avant la date fixée pour le départ, ce Jour compris).

D'autre part, du 1" Juin au 30 sep tembre 1930 inclus, les bagages à desti nation du Réseau-d'Orléans et de ses au delà sont acceptes à l'enregistrement & ce Bureau, comme ils le seraient dans afférente une gare ; en outre de la taxefer, il est chemin de au transportle par bagages, transport de ces perçu pour entre le dit bureau et la gare de départ, les prix ci-après : Un colis, 2 francs : par colis en sus du premier, 1 franc.

Ce bureau est ouvert tous les Jours, sauf les Dimanches et Jours fériés, de 8 h. à 12 heures et de 13 h. 30 à 18 heu re*.

viennent d'organiser, & Nantes et au Mans, deux « Journées commerciales » de au cours desquelles, devant plus exi 400 auditeurs les « besoins et les gences du marché anglais en tous pro duits avicoles et maraîchers » ont fait l'objet d'une étude détaillée par M. du Halgouët, attaché commercial de Franco en Angleterre, par deux spécialistes ve nus tout exprès de Londres et par les représentants du Southern Railway et du Reseau de l'Etat.

Chaudement félicités et remerciés pour leur initiative, les chemins de fer de l'Etat ont promis de compléter l'ensei gnement de ces « Journées » en emme nant prochainement à Londres les pro ducteurs et expéditeurs d'oeufs, volailles et légumes. La visite des marchés et les réceptions qui leur seront ménagées dans la grande cité anglaise permettront aux membres de cette mission de saisir sur le vif les raisons du succès de nos concur rents et de faire, ensuite, aussi bien que ces derniers.

Imprimerie du « Peut Journal 61. rue Lalayette (<&

përant

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JE,

DURAND

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