Le Petit journal. 01/05/1930.

Le Petit journal (Paris. 1863)

Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France

Parti social français. Le Petit journal (Paris. 1863). 01/05/1930.

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N° 24.577

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- Sts PHIL. et J.- Le n" 0,25

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LA TEMPERATURE

Probabilités pour, aujourd'hui : Ré gion Sud, nuageux et orageux. Dans les autres réglons, beau.

Température : A Paris, max. +21".

Soleil : lev. 5 h. 32; couch. 20 h. 4. (.iifie : Nouv. le 28; Pr. Q. le 5.

*1-L'Allemand qui^s'eiijgage sert plus ia Légion que la France étrangère contre La question des décorations.

- La propagande les engagements et !a mise au point de ceux qui reviennent

ont déjà été imprimés sur cette ques tion. Ce travail fut presque toujours inutile parce que la lutte de l'Alle magne contre la Légion étrangère

ticuliers, fut le principal motif qui empêcha de donner aux légionnai res le droit de porter une décoration qui ne signifiait plus qu'une chose : c'est que l'homme était brave. Cette idée, qui ne manquait pas d'élégance et d'intelligence, fut abandonnée parce qu'il ne fallait pas créer dans la Légion un esprit si particulier qu'il n'aurait pas tardé à devenir dange reux.

L'Allemagne, pour lutter contre la Légion étrangère, a employé tous les moyens : l'image, le film, la littéra ture. A mon avis, l'Allemagne n'est pas seule à entreprendre cette lutte périodique contre la Légion. Mais comme c'est elle qui fournit le plus de soldats, c'est elle qui semble pren dre l'initiative de la lutte. En géné ral cette lutte est inefficace, car elle ne touche qu'un très grand public composé d'individus chauvins et as sez gras qui jamais n'iront à la Lé gion étrangère pour y vivre cinq ans.

A ceux-là on peut faire admettre tout ce que l'on veut à la condition que les racontars s'adaptent par faitement-à leur manière de penser.

Les films contre la Légion manquent de finesse psychologique. Ils ne peu vent contenter que d'irrémédiables imbéciles.

Un Légionnaire qui a dix-sept années de services

est d'origine purement sentimentale.

Il serait pourtant facile de s'enten dre. Un jeune Allemand qui s'en gage à la Légion étrangère donne sa parole de légionnaire d'accomplir lpyalement les termes de son con trat avec le régiment qui l'adopte.

A de rares exceptions près, il ne ces se d'être Allemand. Les affaires po litiques de la France ne l'intéressent pas du tout. C'est un soldat, un sol dat professionnel qui pratique un métier où l'enthousiasme patrioti que n'intervient pas. C'est le mot qui exige des_ sacrifices.

Le légionnaire ne connaît que la Légion. S'il aime un uniforme fran çais, c'est celui de la Légion étran gère. Avant - la guerre, un élément sentimental plus français donnait aux régiments étrangers, un carac tère de yacte plus intime avec no tre pay^. Cela tenait à la "présence de. nombreux" Aïsafciens et Lorrains qui voulaient servir la France et qui l'eussent servie avec autant de plai «

Légion

»

sir dans un autre régiment. Les hommes qui, aujourd'hui, s'enrôlent à l'abri du drapeau tricolore de l'in fanterie étrangère, veulent devenir des légionnaires. Ceux qui viennent d'Allemagne n'ont pas oublié leur pays.' Mais ils nous demandent asile, parce que l'Aventure est encore pos sible dans les rangs des képis rouges.

L'Allemagne cherche noise à. tous ceux qui s'engagent à la Légion. Elle leur rend souvent la vie difficile dès qu'ils sont libérés. Elle s.'oppose com me elle le peut à leur départ, ce qui est son droit, mais une erreur égale ment. D'ailleurs, ,1a lutte contre l'in fluence profonde que ce mot Légion exerce sur quelques jeunes Aile mands est assez périodique. On doit constater que le nombre des enga gements des Allemands. à la Légion étrangère coïncide avec le nombre de chômeurs abandonnés sur le pavé.

C'est souvent la misère qui donne à" l'Aventure ses plus belles parures.

L'empereur Guillaume II, qui, en dehors de quelques défauts essen tiels, aimait et comprenait les sol dats, ne pouvait s'empêcher avant la guerre d'éprouver une grande sym pathie pour ces régiments d'élite.

Quand un- Allemand revenait de la Légion étrangère, il devait faire son

service en Allemagne. On le « vis sait » tout d'abord — un mois, c'é tait le tarif, j e crois — et puis on lui montrait tout .de suite de l'es time.. L'empereur, entre autres dé tails, ^donnait le droit à l'ancien lé gionnaire de porter sur son unifor me allemand les décorations fran çaises. qu'il avait acquises eu feu. Le spectacle était assez curieux de rsn^ contrer un. soldat allemand en tenue et qui' portait sur sa tunique le ru ban jaune et vert de la médaille mi-, litaire ou plus fréquemmentJe ruban ciel et blanc avec, sur les. agrafes : , Maroc, Oudjda, etc...

Ce tiétall qui peut paraître sans importance prouvait toutefois un certain, souci de la psychologie du soldat professionnel que l'on ne ren contre pas toujours d^ns les hautes sphères du commandement. Il fut également question, à la Légion étrangère, de donner, le droit aux lé gionnaires de porter sur leur uni

forme toutes les décorations étran gères acquises au feu. C'est ainsi que

auraient pu coudre leur ruban blanc : et noir sur leurs capotes. L'Association des croijç, de fer,-toute puissante en Allemagne, et qui possède des statuts très par les Allemands

.

Pierre Mac Orlan.

(Voir la suite en deuxième page)

Pour assurer l'ordre aujourd'hui 1° Mai M. André-Tardieu, président du Con seil, ministre de l'Intérieur, a réuni, hier soir, dans son cabinet, MM. Roquères,

directeur de la Sûreté générale ; Chiappe, préfet de police ; Paul Guichard, di recteur de la police municipale ; le gé néral Errard, représentant le Gouver neur militaire de Paris et le colonel Bennesson, représentant le ministre de la guerre.

Le président du Conseil s'est fait ren dre compte de l'exécution des mesures

prescrites par lui

Vingt-deux étrangers expulsés

Siir.la proposition de M. Jean Chiappe préfet de police, M. André Tardieu, pré sident du Conseil, ministre de l'Inté rieur, vient de prendre un arrêté d'ex pulsion contre vingt-deux étrangers qui n'observaient pas la neutralité politique exigée de tous les étrangers résidant en France et qui se livraient à une active propagande en vue de susciter des trou bles le jpur du 1" mai. Ces étrangers ont immédiatement été reconduits à la frontière. D'autre part, seize distribu teurs de tracts "antimilitaristes ont élé envoyés au Dépôt pour être traduits en justice sous l'inculpation de provocation de militaires à la désobéissance. Les pre miers contingents de gardes mobiles des. tinés à renforcer le service d'ordre sont arrivés hier matin à la gare du Nord et à la gare de l'Est. Dans le courant de' la matinée d'hier,.

18 arrestations ont été opérées tant àParis qu'en banlieue parmi les individus qui posaient des affiches invitant les travailleurs à manifester.

A

L'HORIZON

sion, à proprement parler incalculable, du fameux banquier dont la mort, aussi romanesque. que l'avait été sa vie — il tomba de son avion, en plein vol, dans

la Manche — a dérangé, un moment, l'équilibre financier des deux mondes.

Il s'agit seulement de 11.463 livres ster ling, qui seront, ou ne seront pas, re tirées de son héritage. Onze mille 463 livres, 1.420.000 francs, c'est tout de même un assez joli denier.

Voici son histoire, qui se terminera à la rentrée prochaine, par un double pro cès devant la première chambre du tri bunal civil.

Mme L. Tillett-Fleury, qui demeure 8, place du Palais-Bourbon, est une charmante Parisienne, élégante, distin guée, fort intelligente au surplus, ce qui ne gâte rien et qui, au cours d'une vie encore brève mais brillante, sut évoluer avec grâce des milieux de théâ tre aux milieux mondains. C'est, dit-on, un de nos auteurs dramatiques, dont le talent et la calvitie sont depuis long temps célèbres, qui, un jour, lui présen ta M. Lœwenstein. Le financier, qui ne s'émouvait pas facilement, fut très ému, cette fois : tant de beauté et tant d'es prit, l'avaient troublé.

Bien que ses lettres à Mme TillettFleury n'aient jamais excédé le ton du plus respectueux hommage, il est de fait que M. Lœwenstein prit l'habitude de ne plus passer-par Paris sans aller rendre visite à" la femme dont le charme l'avait subjugué d'un seul coup. Il est de fait aussi qu'il lui. prouva son .af fection en s'intéressant à ses. affaires financières et en faisant fructifier, par d'heureuses opérations, le capital qu'elle possédait.

A la banque dont Mme Tillett-Fleury était la cliente, elle était—s'en étonfort bien considérée. nera-t-on ?

Lorsqu'en mars— 1928, un ordre d'achat fut passé, en son nom, de 300 actions International Holding, au prix de 11.463 livres, on l'exécuta sans difficulté et les 300 actions furent portées au crédit de son compte-titres sans que le débit de son compte-courant en fût chargé. Sur ce dernier compte, elle tira des chèques sans qu'on lui fit aucune objection.

Même, elle vendit des titres Holding et l'on inscrivit à son crédit le bénéfice de cette opération. Bref, Mme Tillett-Fleu ry était persuadée que les Holding étaient bien à elle et qu'ils étaient Le cortège nuptial accompagné d'un joueur de cornemuse sort de la basilique. payés.

En bas : Les enfants de M. Walter Edge, ambassadeur des Etats-Unis, qui Or, dès que M. Lœwenstein ?ut mort, faisaient partie du cortège, jouent avec le « bag-piper ». le 4 juillet 1928, la banque lui en récla (Voir, en deuxième page, le compte rendu de la cérémonie.) ma le paiement et bloqua son comptecourant... ainsi d'ailleurs que son comp te-titres.

Et Mme Tillett-Fleury de protester... La première conversationtéléphonique Une visile dans les chantiers par exploit d'huissier : Angleterre-Australie — Restituez-moi les 300 « Holding » banque. d'abord vous-même ! ri — Payez-les poste la banque... également par vole de sommation.

Des assignations ont suivi. C'est ainsi qu'en novembre prochain, on parlera,, sous les'voûtes du Palais,>de;M. Lœwen stein, de son héritage «t,v sinon de ses amours, du moins de ses affections. — Georges Martin:

Le chancélier Schober reçu à l'Elysée

dant

25

minutes.

Au cours, de l'audience, M.' Gaston Doumergue a remis à M. Schobei; les

exemplaires d'un numéro spé

dune ville de Colombie

New-York, 30 Avril.

Un Incendie a

détruit, tout un pâté de—magasins et de banques dans la, ville de San-José-deCucuta. Le feu s'est propagé à me pri son dont les deux cents occupants ont été sauvés.

LA BANQUE

NATIONALE DE BELGIQUE

Le chancelier et M. Tardieu, à la présidence du Conseil insignes de grand-croix de l'ordre de la Légion d'honneur.

En quittant l'Elysée, le chancelier d'Autriche s'est rendu à la présidence du Conseil où il a été reçu par M. An dré Tardieu.

M. Schober quittera Paris

ce matin pour Londres

ABAISSE LE TAUX DE SON ESCOMPTE

Bruxelles, 30 Avril. — La Banque Na de son escomp tionale a abaissé le taux te de un demi pour cent, ramenant le taux des traites acceptées & 3 1/2 % Le taux sur les prêts et avances est abaissé de un pour cent et est ramene à quatre pour cent.

Ecrasés au fond d'un puits de mine

Hier, M. Schober a offert un dé jeuner officiel, à la légation. A 21 heu res, 11 devait assister, au Théâtre des Champs-Elysées, à un concert donné par l'orchestre philharmonique de Vienne et ensuite à une réunion intime. M. Scho ber partira ce matin pour Londres.

Une véritable bataille rangée

entre 500 marins anglais

Buluwayo, 30 Avril. — Le levier d'un 100 Soma lis et ascenseur de mine à Antelope. dans la région de Gwanda, s'étant brisé, l'as censeur s'est écrasé au fond du puits et North Shields (Northumberland), 30 les dix occupants ont été tués.

Avril. — Une rixe s'est produite entre 500 marins anglais et 100 Somalis. La police a dù charger et un grand nombre d'arrestationsont été faites.

Plusieurs Anglais et deux Somalis ont été blesses.

Cette rixe— en réalité une véritable bataille rangée — a été provoquée par l'emploi de plus en plus grand £'hommes de couleur sur les navires anglais.

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'est' "dimanche prochain

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que. le « PETIT JOURNAL » commencera la publication de Ma" Robe couleur du Temps

fil!

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II'. clique s de la Légion pendant une sortie

M. MacDonald s 'est entretenu avec, M. Soullin

Londres, 30 Avril. — La première con versation téléphonique.;, entre l'Angler

terre et l'Australie"a eiîriiéu Ve matin. ' M. MacDonald s'est entretenu avec M.

Soullin. Us se sont félicités réciproque ment des progrès ainsi réalisés dans les communications entre les différentes parties de l'Empire.

Faisant allusion à la conférence na vale, M. MacDonald a déclaré qu'il était satisfait du succès des négociations et

M. Schober, chancelier d'Autriche, a qu'il espérait fermement voir disparaî été reçu, hier, par le Président de la tre prochainement les divergences franRépublique. Airivé au palais de l'Ely ço-italiennes. sée à 16 heures, le chancelier, qui était accompagné du - ministre d'Autriche à Paris, a été introduit auprès de M. Doumergue, avec qui il s'est entretenu pen

cial de l'Humanité portant l'entête : Grévistes, manifesta?; 3" Une affiche de l'union amicale des réservistes, 49, rue de Bretagne, et intitulée : Dix ré servistes assassinés.

Un mandat a été en outre lancé con tre M. Marandé, gérant de l'Humanité.

détruit par le feu

de l'Exposition Internationale

que M. Lœwenstein a payés, dit-elle à la

Le parquet de la Seine a ouvert plu sieurs informations qui ont été confiées à M. Delalé, juge d'instruction contre des groupements ou des feuilles révolu tionnaires ayant publié des tracts à l'oc casion du l'r mai. Ces tracts ont été sai sis par la police sur mandat du magis-; trat. Ce sont : 1° Un manifeste ita-; lien intitulé Primo Maggio, édité par Je bureau d'éditions de culture sociale, 132, rue Saint-Denis ; les auteurs sont in culpés de provooation au meurtre ;

Un quartier

DUEL AU REVOLVER A GRENELLE

;

Les directeurs sont condàmnés Dans un café, 43, rue Saint-Charles, à 50.000 fr. de dommages-intérêts à-Grenelle, une haine, dont les motifs, à

Il ne s'agit pas du total de la succes

L'Humanité est saisie ainsi qu'un manifeste et une affiche

2* 105.000

LE MARIAGE A NOTRE DAME DE PARIS

lourdement chargé

.

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1" Mai 1930

JANE AUBERT Attaqué dans un café M"" TILLETT-FLEURY de Miss Anne Tyrrell plus devra jouer avec M. Holman ne forcené par un est-elle ou non l'héritière sans l'autorisation un ouvrier l'abat du financier Lœwenstein? de son màri L'agresseur avait un passé

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Jeudi

Edition de Paris

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La Légion et l'Allemagne

Ce sujet est périodique. Des livres

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HEURES DU MATIN'

UN MOIS AVEC LA LÉGION ÉTRANGÈRE UN PROCÈS

XVIII

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Aux Vérités de La Palisse

Coloniale à Vincennes

En France,, la femme, quelle qu'elle soit, doit obéissance à son mari. Il n'y a pas à se préoccuper de savoir, par exemple, si son mariage avec un étran ger lui a donné ou non la < capacité juridique » dans le pays où elle s'est mariée. Vivant chez nous, elle doit ob server la loi de chez nous. Telle est la substance du jugement, longuement mo tive, rendu hier par la 3' chambre du tribunal civil, que présidait M. Munsch, dans le procès intenté par le richissime Américain, M. Nelson Moriss à son épouse légitime, la vedette française Jane Aubert qui Jouait dans un musichall parisien malgré sa défense et aux directeurs de cet établissement qui, mal gré sa défense, l'avaient engagée.

En conséquence, l'engagement con tracté par Jane Aubert est déclaré nul rétrospectivement, car la revue dont elle était la protagoniste a quitté l'affiche. Si Mme Nelson-Moriss est exemptée de tous dommages-intérêts, du moins ses directeurs, responsables du préjudice moral causé au mari, devront-ils lui payer 50.000 francs à titre de répara tion et, s'ils récidivaient, 3.000 francs pour chacune des représentations où pa raîtrait Jane Aubert.

vrai dire, encore mal définis, a eu, hier matin, son tragique épilogue.

Attab'le dans le fond de l'établisse ment, Maurice Letrillard, qui habite l'hôtel de la même maison, prenait son café, à 6 heures, en compagnie de son frère Henri qui, demeurant 1, rue

Rappelons que, dans cette affaire, M' Rosenmark avait plaidé pour M. Nelson François Lévêque Moriss, M* Paul-Boncour pour Jqne Au bert, M' Levy-Oulmann pour les direc Payen, était venu le rejoindre pour ce rendre avec lui au chantier du quai de teurs.

Javel où tous deux travaillent. Soudain, des vitres volèrent en éclats, tandis M. qu'un manœuvre, François Levêque, fai sant irruption dans le café, tirait dafis leur direction plusieurs coups de revol Légion ver. Protégeant son frère d'une table demarbre renversée, Maurice Letrillard saisit alors un revolver dont il ne se sé Le Journal offi parait jamais et tira à bout portant sur ciel de ce matin son agresseur. annonce que M. s'écroula. Son frère Constant Celui-ci Jean Parmentier, Levêque, qui, sans doute, faisait le guet ancien directeur du au dehors, entra à son tour dans le mouvement général café et, emportant dans ses bras le des fonds, directeur de l'agonisant, le conduisit jusqu'à corps honoraire à l'admi taxi arrêté non loin de là. un nistration centrale A l'hôpital Boueicaut, où il fut con des Finances, est duit aussitôt, François Levêque expirait élevé à la dignité sans avoir repris connaissance. de grand-officier de Au poste de police de la rue Fondary, la Légion d'hon où Maurice Letrillard était alors con neur. duit, consigné à la disposition de M. La carrière de M. Bonnet, commissaire de police, on ap Parmentier est par prenait bientôt qu'une première tentati ticulièrement bril ve de meurtre. avait eu lieu, diirrunche lante. Il fut, étant dernier, quai ie Javel, au cours de la inspecteur des Fi quelle François Levêque avait tiré plu nances, chargé de sieurs coups de revolver sur Letrillard et AI. Parmentier missions au Maroc, un de ses camarades, André Armeno. en 1915 ; en Roumanie, en 1916. Il de — Je tuerai Letrillard, avait-il confié vint sous-directeur à l'administration pèu de jours auparavant à Armeno, qui, des Finances en 1919 et directeur du rapportant ses paroles à Letrillard, s'é mouvement général des fonds en 1921. tait, lui aussi, attiré la haine ' du for De plus, il représenta la France au co cené. mité des transferts et à la commission Arrêté et conduit au commissariat des des Réparations.

Invalides, Levêque s'embrouilla dans une histoire de contrat de travail et flRUli'sOtt UNE-MERENOUVEAU-NE d'assurance,.dans laquelle il.prétendaitavoir été dupé' par.-Cfetrljtàrd, " Telle est, sans doute, l'origine de,**la limoges, 30 Avril, -r- Une jeune fille tragique querelle d'hier matin. Voulant de 22 ans, Jeanne Dekezer, originaire à tout prix se venger, Levêque uvalt du Nord, et ' demurant depuis quelques acheté dernièrement trois revblvers de années à Limoges rue Porte-Panet a été gros calibre. arrêtée ce matin sous-l'inculpation d'in — Si je le rate, avec l'un, je l'aurai fanticide. Jeanne Dekezer, qui est déjà avec l'autre, avait-il confié à un de ses mère d'un enfant de cinq ans, avait rares amis, en lui désignant Letrillard soigneusementcaché son état à sa'mère. Levêque était d'ailleurs un personnage Quand l'enfant fut né, elle l'étrangla. des moins recopimandables. Il Jeta, voi Puis ayant allumé son poêle elle fit ci deux ans, une de ses amies par la brûler le petit corps. La mère coupable fenêtre et était, depuis, recherché pour qui a fait des aveux affirme que l'en ce premier crime. D'autre part, il avait tout récemment blessé grièvement, & tant n'a pas vécu.

Jean Parmentier grand-officier de la d'honneur

M. Max Maurey blessé

coups de couteau, une autre de ses amies, dans un hôtel de la rue du Tem ple.

En quelques propos récents, M. le sous-secrétaire d'Etat à l'Economie na Mme Max Maurey et l'un de leurs fils tionale vient d'essaye- de justifier son ont été également atteints existence par des raisons doctrinales.

M. André François-Poncet est un an Notre correspondant de Brignoles cien élève de l'Ecole Normale. Il a ap nous a télégraphié que M. Max Maurey, président de l'Association des directeurs pris rue d'Ulm à aimer les idées. Et de théâtre de Paris, et-l'auteur applaudi lorsque le Parlement lui laisse quelque de tant d'œuvres loisir, il ne lui déplaît pas de leur faire charmantes, aurait un brin de cour, de cour analytique et été victime d'un dissertatoire, comme U sied à un nor accident d'automo malien. Assis sur l'herbe des vacances, bile.

André François-Poncet C'est à la suite M. se demande d'un dérapage cau pourquoi -il est ministre. C'est un assez sé par le goudron noble souci. La plupart de ses collè Les personnalités officielles nage fraîchement gues ne l'auront jamais. sortant du palais d'Angkor effectué de la route On ne s'étonnera pas que le directeur que la voiture, de de notre Economie tienne l'économie (Voir l'article en quatrième page) M. Maurey alla dirigée en haute estime. En si haute es LA PATRONNE ETANT PARTIE donner contre les EN VOYAGE roches, time qu'il va jusqu'à nous parler de la sur la route de la Corniche, près ELLE VEND LES MEUBLES DE L'HOTEL firme « France et Compagnie ». J'ai dé de Brignoles, avec jà montré ce qu'il fallait penser de tel une extrême vio les formules. Nous les avons tous em Bordeaux, 30 Avril. — Une hôtelière lence et s'y détério M. Max Maurey ployées pour souligner certaines analo de Bordeaux, Mlle Jeanne Desplanches, ra fortement. L'al gies. Les employant, nous savions bien cours Pasteur, s'absentait, dernièrement, to cependant ne marchait qu'à. la , ce que nous voulions dire. Mais, mal quelques jours, laissant comme gardien vitesse de 30 kilomètres à l'heure.

Le directeur du théâtre des Variétés, Mme comprises, elles ont causé de grands ra ne Mme Gabrielle Bordais.

Ceile-ci, aussitôt après le départ de sa Max Maurey et leur fils avaient dans vages et' il est temps de les proscrire. patronne, se mit a crocheter les portes le choc, eu des • contusions. multiples, Entre un Etat et une société particu et les serrures des meubles. Elle convo mais peu graves. Malheureusement; leur lière, Il ; a des différences essentielles. qua ensuite plusieurs brocanteurs les jeune fils avait une oreille terriblement Qui gouvernerait un Etat comme un invita à enlever tout le mobilier enetleùr tailladée et une artère sectionnée. Une charbonnage ou une épicerie, ne man déclarant qu'elle cessait son commerce, hémorragie abondante inquiéta sérieu querait pas de le perdre; M. André qu'elle quittait Bordeaux et qu'elle liqui sement M. et Mme Maurey, qui, tprès François-Poncet le sait mieux que per dait le linge, les objets d'art et les meu avoir pu obtenir le secours d'un méde cin qui arrêta la perte de sang, rame a moitié de leur valeur. sonne. Mais il sacrifie à la mode. Il a bles Deux des brocanteurs acceptèrent et nèrent en hâte leur fils à Paris, afin tort procédèrent déménagement. qu'il y reçut des soins. Tout s'est, du. au Par contre, il a raison lorsqu'il affir L'hôtelière, à son retour, a déposé une reste bien passé, et une très notable me que l'économie doit être incluse dans plainte au commissariat de police. Deux amélioration dans l'état de l'enfant a, la politique, qu'elle ne forme qu'un des inspecteurs, MM. Lacampagne et Sam- dès hier, été constatée. Aucune compli domaines de ia politique. Reconnaissons tout ont arrête Gabrielle, Bordais au cation n'est plus à redouter.

On a été heureux, dans le monde des avec lui que la politique a trop long moment ou elle prenait le rapide de Eayonne.

Elle fait des complets. arts et des lettres, où M. Max Maurey a aveux temps négligé et même ignoré ce do La délinquante déjà est titulaire de qua compte d'unanimes et chaleureuses maine. condamnations tre vol dont une à sympathies, d'apprendre que l'accident pour Aujourd'hui, eUe prétend le connaî un de prison et vingt ans d'interdic n'aura pas de suites plus. fâcheuses, et an tre, voire l'exploiter. Fort bien ! Pourvu tion de séjour prononcée par le tribunal nous nous associons aux vœux que cha cependant qu'elle - n'exagère point la de la Seine. cun forme pour la prompte guérison du compétence de l'Etat. M. André Fran >. Les brocanteurs seront poursuivis. directeur des Variétés et des siens. çois-Poncet a tenté d'en définir les limi tes. Il me permet de penser que ses définitions les portent bien au delà du nécessaire. L'Etat moderne s'occupe d'un tas de choses qui ne le regardent pas.

A la tyrannie de l'homme succède la tyrannie des lois, dont Louis Blanc ju geait qu'elle était « la plus dangereuse de toutes, la plus funeste, la moins fa cile à ébranler ». Et Paal-Louis Cou rier écrivait : « Pour Dieu, n'encoura gez pas le gouvernement à se mêler de vos affaires, car, par une fatalité qui ne se dément jamais, tout ce qu'il encou rage languit, tout ce qu'il dirige marche mal et tout ce qu'il conserve périt. » Nous empruntons ces textes à M. Louis Martin, sénateur du Var qui, dans 1' « Œuvre », les rappelle aux radi caux socialisant. L'article de M. Louis Martin a paru le même jour que l'in terview de M. André François-Poncet.

M. André François-Poncet a été élu comme modéré; M. Louis Martin comme UN' COl.N SALUBKE radical socialiste. Qui le croirait ? Et où en sommes-nous ?

— Sûrement que c'est une route très dangereuse, mais, en cas d'acci Monsieur de La Palisse. dent, l'air par ici est si pur que vous serex guéris presque tout de suite

Un déraillement gare Saint-Lazare

dans un accident d'auto

La direction des Chemins de fer

l'Etat communique une note annonde çant que hier matin, en gare de SaintLazare, une locomotive et deux wagonsposte ont déraillé au cours de manœu

vres, occasionnant une grande pertur bation dans le service des trains.

La circulation a été rétablie- vers quinze heures.

Commentse présentent nos ré coltes en terre Dans l'ensemble, les apparences

semblent satisfaisantes Chaque année à pareille époque raissent, en même, temps que leappa pre mier muguet, les premiers pronostics, avec ou sans chiffres, sur nos récoltes en terre. Mai 1930 ne fera pas exception.

Comme chaque année aussi, pronostics et chiffres vivrout ce que vit le mu guet, et prophètes aussi bien que sta tisticiens en seront pour leurs Trais . d'imagination et de fantaisie.

Nous ne ferons pas de pronostics ; nous ne donnerons pas de chiffres. Sim plement, grâce aux renseignements ..ui nous ont été transmis par nos lecteurs et nos correspondants, ou que aoûs avons recueillis nous-même sur p;ace. nous nous bornerons à résumer la situa tion actuelle de notre culture céréaliêre.

Si l'on pr» nd l'ensemble de la récolte, , on peut dire que les apparences des blés en terre donnent satisfaction, ?n ajoutant toutefois que les perspectives ne semblent pas aussi'belles que l'an née dernière.

Un point .est acquis. Un hiver trop doux ,1'absence de gelées régulières et prolongées, la persistance des pluies, au tant de conditions atmosphériques dé favorables qui ont, ça et là, provoqué un< croissance anormale des mauvaises herbes. Ajoutons à cela que rongeurs et insectes, ayant été privés de leurs deux, principaux ennemis, le froid et . la'' neige, se son' multipliés et répandusdans des proportions considérables.

Ces mauvaises conditions de tempé rature ont eu les résultats qui étalent â' prévoir : ici, beaucoup de jeunes plants : ont jauni ; là, des traces de « rouille » sont signalées ; ailleurs, mulots et cam pagnols ont causé de sérieux dommages,

wv

Parcourons maintenant nos princi pales régions céréalières.

Dans le Nord et dans l'Oise, on cons tate un certain ralentissement de la végétation, et les blés, trop hauts, se raient exposés à la verse. Dans les' terres basses et imperméables, l'humi dité aurait Imposé des réensemence ments au profit des céréales secondaires.

En outre, dans plusieurs rayons, les <iés d'automne accuseraient du jaunisse ment.

Dans l'I.ndre, les blés résistent, mats les avoines seraient claires.

La Brie et la Beauce, où la végétation est en avance, estiment que leur ré-

polte dépassera la moyenne, sans at teindre toutefois les gros chiffres de l'an dernier.

LA LÉGION et l'Allemagne

LES CONtES DV P. 3.

loin les feux du transatlantiqué qui lui ramène son •ari... Un hurlement lugu

un

bre couvre le bruit de la mer, la sirène...

Lç navire s'arrête, un accident, un écueil, En Saône-et-Lolre, les - blés ont joc aspect, tes avoines auraient, bien levé. accusait, il y (S quelques art' Salonls à autrefois. un iceberg l'immobilise... Angoissée, Lu — Les organi nées, les Français de fie En Maine-et-Loire, les cultures pré cile ne sait. AucUne îueur ne brille à pis Voyager.

SaloRs de peinture ont eu, En l'église Saint-Louis des Invalides, donne tfop Là veilleuse faible senteraient du . dépérissement ; les *- sateurs des fhearmsè une la bord jeufle reproche ttiairttènarttj • femme CestUrt qu'on 'ne peut plue £t oe: demain à midi, auront lieu les «obsè idée d'exposer, — clia'rïlb're ltteiir. réaies d'automne, en- particulier,, au cette année où de la Les rtUirs re bateau Ainsi énorme s'ensombre qui le6 vine un adresser maintenant. — [SUITE DE L'ARTICLE DE TETE] ques du comte Henry ûe La Vauîx, pré raient.souSert dans les terres à sous-sol auprès des œuvres modernes, quelques "trqus l'ombre Lucile dans et c'est restent pose flots.

Pe floutit Jacques humoristique du dans les est mort. sident de la Fédération Aéronautique Les portes des casernes de la Lé mieux ainsi... La fièvre qui fait battre imperméable sensation il y a deux personnages celles qui firent de unes .

Internationale; vice-président de l'AéroIle ne verra plus que son tantôme.

Dans la Sarthe et le Poitou, les ap piès de deux cents ans, lors de la pre tit Journal Illustré, Sac-à-puces et gion étrangère sont ouvertes à tous les tempes de la femme- met, au ' Un effort violent la jette sur le bord Club de France, commandeur de la Lé parences .sont favorables. qui se tint au Louvre, Quart-de-Brie -sont "arrivés > en Turquie ceux qui veulent se rendre compte delà du cercle de eune mière exposition lumière, d'étonnantes, du lit et; folle de terreur, elle aperçoit gion d'honneur, titulaire de nombreir: Dans-la Côte-d'Or, les blés d'automne dans le Salon Carré. où ils vivent de désopilantes aventures. de la Vie que l'on peut mener dans de réconfortantes visions et la malade une ombre sur le mur, au fond du parc. ordres étrangers, qui a -trouvé la more auraient subi une moins-value appré militaire extraordinaire couvent cet Les premiers salons de peinture se tin ciable. souffre plus, son mal s'endort. Après La porte, la maudite porte est ouverte dans un terrible accident d'aviation, aux nç entier médical monde est du de Le luit aventure où le mot corps encore Foire aciuelle aux unanime à reconnaître l'efficacité des Enfini. dans les régions qui ont été rent, comme notre « épuise, elle connaît la et quelqu'un s'avance C'est un homme Etats-Unis. qui la douleur moiconstater tous ses feux. J'ai pu La dépouille"mortelle du comte de La Inondées : Lot-et-Garonne, Tarn-et- Croûtes », en plein air. Les toiles étaient demi-repos.

Son béatitude d'un douce affec Contrexéville contre les j;té de épaules taille, de haute est Vaulx sera exposée de ,9 • heures à 11 même à Sidi-Bel-Abbès dans la cour fin. visage amenuisé sur ses Garonne, Gers, Haute-Garonne, beau accrochées aux murailles du palais eaux souffrance la l'arthritisme. saison La du rein et par un manteau de voyage, il marche len heures, 35, rue François-I*r , où l'on se du quartier Viennot que des étran est embelli coup de blés ont jauni ; on espère ce Brion, \sur Vemplacement actuel du tions sourire.

Elle faible ouvrira le 2CT mai. Etablissement ther par un tement, comme avec peine. Il quitte réunira à 11 h. 15 pour la levée du pendant que le mal sera aisément- ré ,<Théâtre-Français. L'exposition durait mal, casino, sports, excursions. Les gers de marque pouvaient se ren inciine poitrine,joue la tête sur sa sa paré,-grâoe à l'action des principes fer du 14 août l'ombre des arbres, Lucile le reconnaît, corps. visite impromptue pâlie cherche seigner septembre.

Etablisse par une 15 Hôtels Souveraine, Cosmos, _ au L'inhumation aura lieu à Rozoy-Bellel'oreilier fraîcheur la de tilisants constitués par le limon laissé c'est lui, c'est le fantôme de Jacques. Il valle fameuse l'atmosphère cette de même di Majestic, la les et Ce n'est'qu'en 1699 ment tous sur sous œuvres que (Aisne). après le passage des eaux. et frôle les soyeuses boucles des che vient la chercher, elle va mourir et c'en jusqu'aux Légion, cuisine rection.

Par la depuis la directs Pullman.

Trains galerie du installées la d'art furent dans dés constatations, présence de ces En d'or. Les yeux, qu'un cerne bleuté sera fini de sa souffrance, des heures locaux disciplinaires. Les meilleures veux esprits inquiets préjugent dès mainte Louvre. Le palais de nos rois abrita tes route, 284 kilomètres. brillants, s'ouvrent et luisent inquiètes et troubles où l'ennui, le cha ripostes à ïà propagande allemande rend plus nant que le rendement ne pourra tre Salons pendant un siècle et demi, /usLE MONDE ET LA VILLE contre la Légion sont d'abord l'exa sous les longs cils, puis se referment grin luttent contre la fièvre qui les cal que médiocre. C'est une opinion pour le qu'en 1840. doucement. Elle va s'endormir. La nuit me... Brisée, elle s'évanouit. moins risquée. N'oublions pas que jus numérique des — Les obsèques de Mme Marthe Bran- gération même de ses racontars et Quant à l'importance médica- N la qu'à la veille d'une moisson surabon expositions elle été croissant dans des dés, la grande artiste, ancienne sociétaire des spectacles cinématographiques sera bonne.

•wv a Elle verra Jacques, en songe. Chaaue Lentement, elle revient à elle. Ses dante, 1029 laissait prévoir un déficit. pioportions formidables. de la. Comédie-Française, ont été célé qu'elle offre a un public de jobards, En date 1673, impor L'inhumation brées à Paria.

Il détail hier ête auprès d'elle. nuit vient veiller de et il D'autre part, oe a a son oreilles bourdonnent, mais elle entend la lé anciens le surtout retour des et Salon' nombre premier catalogué le du DelPassy où cimetière de M. faite d'en beaucoup au tance. la culture, en. à droite du lit et pose sa main voix de Jacques, sans comprendre ce salua la femme de bien disparue au gionnaires dans leur pays. Ceux-là s'assied \ipeaux souvedroits, s'est nettement décidée en fa des exposants fut de 56. En 1699, la suc le front brûlant de sa femme^ou bien qu'il dit. Elle entr'ouvre-les yeux. Il est blessés sur du des, poumon. nom témoins gênants.

Us met sont des > première exposition faite au Louvre ne veur das esosces a grand rendement, silencieusement promène la piè là, bien vivant, près d'elle. Il tient sa dans se La résistantes. tent C'est la choses point. les mieux selectionnees. plus comptait que 306 morceaux. au VICHY s'arrête de temps en temps pour main et la dévisage anxieusement Elle AUJOURD'HUI et i raines, ce tou est donc moins à craindre. orale montre propagande qui surprise siècle Sa' Ce n'est qu'au XIX' se que les la contempler longuement. Elle se sent comprend certains mots maintenant : ii n'est pas douteux que l'excès de tens ef plus puissante plus jours et la Ja FLAMME LA SOUVENIB rani point du nombre DU joint la gerbe prirent, de sera vue au présence de la sûreté la chérie... alors et Paquebot pluie a fait du mal aux récoltes. Mais des envois, l'importance en premier avance— mée à 3», III en 18 h.

30 les 105» 311' légionnaires « e fective, car les anciens , que nous leur et 412 e R. A. L. par le so garde-malade, dont les gestes brusques train. » ncus ne sommes qu'en mai. Sibien plutôt à auraient tendance Déjà, 1848, comptait exa connaissons. une I magnifique de en on REUNIONS. — A 17 h. 30, 28, boule per leil et le beau temps veulent Elle t'effraient, gêne la la plus. trembler fait la L'intense joie qui re ne vard de Strasbourg : A. O. du Gaz de Pa gérer en bien. C'est normal quand garde somnoler en pensant sister durant une bonne quinzaine, rien pius de'cinq mille ouvrages. : < Tu peux chasse son mal... elle guérira, elle en est Qu'eût pensé Diderot, devant nos ki ris. ; 25* R. I. T. Union nationale des les hommes parlent de leur jeunesse, dormir, je ] n'est perau. seule mainte suis plus embués de larmes, sûre, Amputés terre de et A 20 h, 30, et de ne mer. yeux ses pluie de la jeunesse s'est quand cette ; lomètres de toile peinte et nos entasse surtout En avril, nous avons eu 21, place de la République — : Association déroulée dans grands ouverts, regardent lé parc, le tions de tout début » le vent du pour cadre unique au nant. on nous annonce qui bustes lui et de dès un de statues ments du 37 A. A. C. en e R. I. T. Ce soir elle elle s'est trompée.

Non, avoir peur, de mai. Nos peres disaient : « Avril rendant compte de l'exposition de 1765, SOIREE; — A 20 h. 30, 199, rue Saint- monde. mur dont elle ne veut pius lumière, Cette la dormir.

1 ordre. Elles y rendent le Son d'automne. nuit belle la pluvieux et mai venteux Martin : « La Chanson de Paris ». ne pourra pas cçeur bat Lorsqu'un rentre dans homme contenait même ses laquelle, quatre në pas toujours, CONFERENCES. — A 17 heures. & la foyers après boureur heureux ».. Presque vite.., sans doute, fait fuir le sommeil... à Légion avoir servi la niorceaux, 11 lignes écrivait Ser cents Félix Tchécoslovaquie ces Sorbonne La : entretiennent pay pères avaient : ». les « Jeanne...

Jeanne l'aube, raison; — ! à dans morte, nos Lucile est î étrangère, de entou — tous Delonsi vous pouvez, tous sages et genres de vie, par Pierre ceux son gent. i Rassemblez, peintres La femme ne l'entend pas. La malade bras de son mari.

Joseph-Di taines.

20 30, h.

5, A rue marqués le destin doit qui sont statuairage et des par les des — ouvrages Henry Gérard-Viot. jon : « Du partage des biens », par M. pour devenir des légionnaires sont . ' se glisser jusqu'à elle, allonger pé tes de l'Europe, et vous n'en formeiez Fortin.

Faubourg, 8, Au Club, du rue niblement un bras, toucher une main point notre Salon, Paris est la seule vil Danton — : « Sur le 1er Mal. Y a-t-ll un avertis tout de suite. On se réunit sèche. En sursaut la garde se réveille.

LA PROROGATION danger communiste ? », par M' Zevaés. devant le légionnaire les chopes et deux l'on monde où puisse, tous les le du Miss Qu'y a-t-il ?

COURSES à, Enghien.

DES EFFETS DE COMMERCE regarde bien toutes les choses qui — Eteignez cette veilleuse, voulezoCi le ans, jouir d'un spectacle pareil. » Sud-Ouest sinistrés du les familières lui autrefois, furent l4;s . — pour Les expositions avaient lieu, en effet, INFORMATIONS DIVERSES chaussures sont légères à vous?... est portée à 90 Jours pied et « malade oublie dont parle son Dans une atmosphère de gai prin tous tes deux ans à l'époque Jaible L'autre souffle flamme, la sur 4 mai, h 14 h. 30, 70, rue son équipement civil ne pèse pas mais — Dimanche temps, les cloches de Notre-Dame son Diderot. Et, à l'inverse d'aujourd'hui où Falgulère comme la totale obscurité lui fait Le gouvernement a décidé de porter à Chanteuse Rue, pièce en lourd. L'un des buveurs interroge : mal et annon tout Paris va se faire écraser les pièds trois actes,: inspirée des de naient hier à toute volée. Elles son précédemment rideaux du elle tirer les qui R.P. délai le jours francs ouvrages 90 ca peur, va l'hyménés midi Alors,-que dit-on là-bas ? çaient joyeusement, vers au vernissage, les Salons d'il y a cent" Lhande, profit des œuvres, des séminai « chent les larges fenêtres et la haute fixé à 60 Jours francs, par les décrets guérit. de Miss Anne Tyrrell, fille de M. Tyr cinquante ans s'ouvraient sans produire res et desaumissions auxquels vient en aide — Là-bas ? * des 8, 7 et 29 mars 1930, pour les effets vitrée. elle Lucile proteste porte Grande-Bretagne, pas, ne des Petites Aiguilles. rell, ambassadeur de Le légionnaire groupe ses "souve voit le la moindre, sensation. Les auteurs de pe l'Union dans les régions du Sud-Ouest, secré premier littéraire tout baigné de lumière lu payables soirée les 15 du La Holman, parc e groupe Adrien M. avec — nirs Mpn vieux, tu négligent folliculaires atteintes tits mémoires, les : peux pas ne « par les inondations, en vue de Clarteïstes aura lieu demain vendredi.'^ t'imaginer jaunissantes naire.

Les feuilles d'octobre taire de l'ambassade. souvent. Pour 20 h. 30, 10, rue Blanche. ce que c'est- Une fois semblent encore vertes par cette belle proroger les délais dans lesquels doivent Ce mariage nous reporte curieusement même d'un parler le , plus être faits les protêts et les autres actes Les accidentés, mutilés et invalides qu'on revenait du bled et que... » Ouverture de la littérature badine dans la trouve uni tant, qui — cérémonie on la a de 1558, lors ondulées nuit, mollement les pelouses en travail de la Seine, destinés à Jes du des deux pour sexes conserver recours Marie Stuart avec le Dauphin de Frànoe du XVIII' siècle quelques piécettes nar sont informés qu'ils trouveront, Annexe La belle histoire déroule ses ima sous les grands arbres font luire leur toutes valeurs négociables. saison le 15 avril. qui devait devenir François IX. C'est quoises. où la mode des Salons est rail de la Bourse du Travail, 20, rue du Bou- ges que le passé poétise déjà. Le can herbe mouillée. Sous les rayons qui fil dernière qui prorogation est la Cette 'donc, depuis près de quatre siècles, la lée plaisamment. On y voit, dit f auteur lol, Paris, tous les renseignements néces didat, les yeux ronds, ne peut se las trent à travers les branches, les allées puisse être accordée aux termes mêmes saires et utiles à la défense dè leurs in ser d'écouter. H entend déjà le triple !-première toig qu'une jeune fille anglaise d'une de ces épigrammes : perdant dans les taillis invitent de la loi du 29 mars 1930. en se prononcé "à nouveau' ses vœux dans Des amours qui font des' grimaces... térêts, sirènes mé appel des cette sur mer vente annuelle au profit de à d'amoureuses promenades. Et la -eu.ie — La fraternelle notre caihédrale. . ' grâces.,. appelle diterranéenne imagine Des laideurs qu'on qu'il à l'Union blessés fa des de guerre sa E . heu 11 femme se voit au bras de Jacques sous LA Le parvis He Notre-Dame, dès la lieu le» 16, 17 et 18 mai, voit également On sous aura à manière primitifs la des : « » les feuillages complices, dans les sen par de ma Plus yd'un Midas en marbre présidence et en l'honneur du général çon, res du matin, était occupé blanc, dimanche. du suivre.)

C A • gnifiques voitures qui avaient amené Plus d'un'grand homme en terre cuite... Gouraud, 2, boulevard des Invalides. tiers déserts, près du vieux mur qui Etat-major général toutes les personnalités officielles de Eh, eh !.... Ce sotit des choses qu'on l'effrayait.

Les officiers généraux dont les noms CABINET, France et d'Angleterre et les invités de voit HIER CONSEIL DE disparaît Un Derrière enfant pierres M présent, de 12 suivent passeront dans le cadre de réser Salons d'à moussues couver tes dans encore ans l'ambassade.

CONSEIL DES MINISTRES, CE MATIN : tes d'un manteau de lierre où commen ve au oours du mois de mat L'autel et la nef de Notre-Dame — Jean Lecoq.

Sérot, Alméras, généraux division Les de DES effet, forêt quand le soir la et. ce, en avaiéht reçu une décoration pleine de général brigade Latour Simon le de et Mme Vve Vaslet, tombait, il semblait à la jeune femme ; ministres sous-secrétaires Les »j» et d'E î» Rose, ; l'intendant militaire de première goût. On pouvait noter, bien avant le 2, rue du Généralréunis, à14 heures, tat hier, sont VILLES D'EÀUXi au se Lasinquiétantes général ombres allaient des ENTEE MESDAMES. La ministère de l'Intérieur, en Conseil de et classe Montaron, des troupes coloniales.

NOUS, début de la cérémonie : le signalé que Humbert, — a Pré plupart de mes amies n'ont pas encore cabinet Allocations d'engagement militaire la disparition de venaient au fond du parc, et qu'elle en son, représentant M. Doumergue, la présidencede M. Tardieu, sous Roquère, ie der M. L'année de Salon peinture.

Republique de sident la ; vu Le ministre de la Guerre vient de rap président du Conseil. son fils Charles, 12 tendait claquer la petite porre de fer reorésentant M. Tardieu, président du nière, elles avaient toutes vu le Salon Le Conseil a procédé h l'étude des n'a qui peler savait. pas re dont elle ne jamais sous les que par suite de l'inobservation de ans, Une délégation d'une trentaine de la réglementation vigueur, arrive il Conseil : M., de Fouquières, représen des Arts ménagers, domicile à son économique et en d'ordre diverses questions paru feuilles place la exacte. du fréquemment que des familles de militai membres du Bureau internationalavril tant M. Briand. ministre des ASaires Je suis donc bien obligée de reconnaî politique à l'ordre du jour et a examiné depuis le 20 avril Jacques riait frayeurs 30 mercredi de et hier Travail visité ne res continuent à percevoir l'allocation ses a dernier. étrangères 1 : le nonce apostolique Mgr tre que le Salon des Arts ménagers at ensuite lés affaires courantes. d!e Citroën. étonnait usines Il grondait après libération s'en la leur soutien les la douce et que Poinde pas, tire beaucoup plus de visiteuses et Maglione : Mgr Lewame ; MM. Voici le signale membres les du Ce matin, gouverne le remboursement sommes Indûment Les visiteurs, partis t 15 heures an M. visiteurs que le Salon de peinture. Les ment ment du garçonnet: ment, comme on gronde une malade : le payées provoque dede® des réuniront, Conseil care. Herriot. Painlevé, Millerand, difficultés mi nombreuses en se autocar de la place du Palais-Royal Loucheur. le maréchal et Mme Pétaln ; natures mortes nous intéressent moins nistres, à l'Elysée. taille au-dessus de père de Lucile était mort fou, Jeune-en pour les services Intéressés. parcouru successivement les usines MM. Désiré Ferry. Antériou. Jules Cam- que l'appareil à éplucher les pommes de la moyenne, che core, peu après avoir perdu sa femme, Il prescrit, en conséquence, aux chefs de ont Cllchy. de Saint-Ouen, de Gutenblonds, yeux et sa fille tenait de lui une imagination corps et de service de ne pas perdre de de bon. Paul Reynaud. Pietn. M. Ohiappe, terre. Nous préférons aux plus jolies ma LA LOI DES ASSURANCES SOCIALES veux les prescriptions de l'article 86 de la berg et de Javel. vêtu d'un maladive toujours en travail. 11 fallait vue préfet de police. M. Renard, préfet de rines une lessiveuse perfectionnée. Et marrons; MATIN PROMULGUEE CE EST La visite se termina dans le hall de loi du 31 mars 1928, aux termes desquelles la..Seine.. M; d'Andigne, président du les portraits de Mmes A..., B..., C... ou costume sport .gris- être avec elle indulgent çt bon. doivent ils aviser, sans délai, les préfets la Bibliothèque de l'usine de Javel où chemise Conseil municipal, le général et Mme D... ne nous offrent point les mêmes ; à bleu, Intéressés Travail, de tous les événements de na un buSet avait eié dresse et où M. .nM. Pierre Laval, ministre du Indulgent et bon, il ne lui refusa rien, Weygand. le général Gouraud, le géné-, avantages qu'un porte-habits- simple, roses ; rayures . à ture entraîner la suppression ou la sus dré Citroen adressa quelques mots de il alla même au devant de ses désirs : a soumis hier, au président de la Répu souliers chaussé de ral Dijbaii. MM. Henri Robert. Raoul pratique et bon marché. pension allocations des militaires. blique, le décret promulguant la loi des bienvenue à la délégation. . il l'adorait, fis étaient riches, l'un et coiffé d'une et Péfet. Paleaioguç. Berthelot, Léon Bluai, C'est, que nos appartements: sont de Assurances noirs publiée Elle sociales. oe sera casquette de drap l'autre sans famille, ils voyagèrent et mOIIBHEE DES-MEMBRES DU B, I V _— Charles Vaslet Vic:or Berard. .M. et Mme Savraut ; M. venus si petits l.Un divan, un «.cosy », matin au Journal Officiel. couàsinsvet potiche, six duchesse table, particulier grande "Une à la-main droite: s'amusèrent jusqu'au jour pu une pahi,une UN B EL er v-Mme Caillaux. là clair ; signe poupées suffisent' les diplomatique trois orner, meu MOUVEMENT PREFECTORAL une cicatrice ou une brûlure.

Bourse Londres Jacques a à mit Hfîiene da Russie, le corps la de que Les membres du Bureau international bler et rendre habitables. Il n'y a plus la ruine.

La à doigts au complet et la; plupart des personna deux de maison Nous notons avec plaisir, parmi les du Travail leur président, et Albert M. lités anglaises et françaises du Tout- guère que-les marchands de tableaux qui supérieur Zudrlçh, Volk and- C® qui lui devait son Thomas, ont visité, hier, 30 avril, les nombreux dons en nature adressés aux M. André Tardieu, président du Con Une réunion du Conseil achètent encore des tableaux, les per Bans. ' ' extraordinaire développement et le suc usines Renault. sinistrés du Midi, l'envoi de literie et A,, midi, alors que le fiancé. M. Adrien sonnes très fortunées et les spéculateurs. seil, prépare un important mouvement' Levitan, cès de ses voitures à l'étranger, allait Reçus' par M, Louis Renault et les lits complets des Etablissements des chemins de fer sera Holman. d'après la ceremonie en usage Les peintres peignent de plus en plus préfectoral qui, vu son ampleur, à l'un des sombrer. Jacques dut reprendre la direc administrateurs des usines, les membres l'importante fabrique de meubles de lorsque les mariés appartiennent à deux dans le désert. Mais cela ne les décou fractionné et. soumis ainsiministres. tion des affaires. Un emprunt pouvait du B. I. T. inspectèrent l'école d'ap Paris. y a prêché. Et il plus prochains conseil des m rage pas. Saint-Jeçin reugiuiuj aifierenues, avwsuuaiu umis constitue un établisse examiné différentt projett seul le sauver, il résolut de partir pour prentissage, qui sacristie avec ses intimes, Miss Anaei est devenu célèbre ! Les peintres n'en Il a ACHAT ÏKtCS CHEB d'éducation modèle professionnelle Tyrrell faisait son entrée dans la nef demandent sans doute pas davantage. — LA REPRESENTATION INDIGENE d'aménagement de lignes et a approuvé New-York oïl deux de ses camarades ment KËKESTKDJIAN qui les Intéressa tout particulière de la cathédrale au bras de Son père. Franchie. . . brillamment et ET DES COLONIES Polytechnique D'ALGERIE tarifs avaient de de réductions des. ment 88, Kuc de l'revise, 38 Délicieusement habillée d'une splendide ** «î» •£ réussi. ils promirent de faire Pressentis, ateliers parcoururent ensuite les Ils : Prov. H»-09 toilette d'argent, elle était revêtue d'un supérieur des chemins de l'impossible pour sauver leur ami ot en plein travail: au rythme rapide de Conseil M. André Tardieu, présidera, cet Le ; Le meilleur temps des reines. long manteau dont la traîne était por ministère Jacques commençait â se rassurer la visite, ils contemplèrent tour à tour C'est mainten-int que toutes ces jeunes après-midi, à 16 h.. 30, au ministère de fer s'est réuni hier matin au présidence tée paï de blonds petits enfants : les commission Interministé la l'Intérieur, la publics, des Travaux sous les installations modèles, batteries de quand Lucile tomba malade. muees ou rielle chargée de l'étude de.la question de deux fillettes de M. Walter Edge, am et jolies reines, mariannes, sénateur.

Albert Mahleu, M. Une grande faiblesse lui interdisait marteaux-pilons, presses hydrauliques bassadeur des Etats-Unis à Paris : les abeilles de l'année vont profiter" des de la représentation indigène d'Algérie Il a examiné divers projets de conven de 1.000 tonnes, machines-outils les effrayants la effort, tout des cauchemars fils et filles du colonel Smith-Pigott avantages de leur élection. De tous les et des Colonies au Parlement, l'aménage d'une part concernant 59-81, Rué Lafayette, Paris (IX-) tion plus modernes, la centrale thermique ancien attaché de l'Air britannique : les départements, on écrit à leurs comités Cette commission, en séance plénière. ment des lignes de chemin de fer du tourmentaient la nuit et elle eut même, ils purent apprécier la précision des; Tél. : Trudaine 02-63 (7 lignes) deux fils de M. Ciechalenski, ancien mi pour les inviter à telle ou telle manifes examinera les rapports présentés, au Sud-Est et notamment une ligne Avi en plein jour, des hallucinations. Les usinages et la perfection des traitements Inter-Trudatne 44 sous-comipissions, nistre de Pologne à Washington, et le tation .estivale. deux par gnon-Nice par les Arcs ; d'autre part, docteurs consultés ordonnèrent un repos thermiques. nom de ces Cte Chèques postaux n* 3.259 particulier de lord secrétaire fils du Berthélemy, doyen de la Faculté de l'aménagement d'une voie ferrée de Bas- prolongé et un spécialiste des maladies Dans l'ensemble, se dégageait une ht voilà ces demoiselles qui feront M. Abonnements 1 an g mois S mots Tyrrell.

Droit, et Massignon, professeur au Col sens au Bec d'Ambès dans la Gironde. impression de puissance, de prodigieuse anglaises Jfétat fébrile >. affirma de semaines la agreatoles d se que nerveuses .« Alors-que M. Gabriel Vierne. orga' lège de France, 31 Il a, en outre, donné un avis favorable jeune femme était la conséquence d'une vie, d'activité fébrile, mais aussi d'or Seine, Selne-et-Oise.. 80 42 fêtées, el . choyées, invitées, comme ront jouait de Notre-Dame, "nistp une mar publique des d'utilité 83 32 — Colonies....

43 déclaration —— France et & la dre et d'harmonie. che nuptiale d'entrée, la mariée remon les le méritent par leur sagesse et leur LES HABITATIONS A BON MARCHE chemins de fer de Bollwiller à Chevre- grosse déception.

140 35 Tarif 70 A,...

Vivement Impressionnés, les visiteurs Etranger : Jacques partit donc seul. Lucile resta regagnèrent tait lentement la nef de Notre-Dame grâce.'

50 , destinée à relier directement Belensuite Paris, dans les voi Etranger : Tarif B.... 200 100 mont dans leur grande villa de Meurçiennes, tures Renault qu'ils utilisent pendant ppur se placer dans le chœur où venait Joyeux départs pour les plages, les~ Les mesures prises en faveur Colmar. fort et LE PETIT JOURNAL PUBLICITE 'la cviei'eher M. Holman. proposi jardiniers, arbres, Deux emportant dans session, enfin diverses perdue les approuvé la assemblées locales, les bals, les excur de durée Il la invalides de toute des a guerre L'échange des anneaux se fit dans !a sions. Bon voyage, mesdemoiselles. Et — — 59. rue Lafayette tions de tarifs concernant notamment une femme de chambre devaient veilier une vision incomparable des grandes ..sacristie de Notre-Dame habi présence du lois les bénéficiaires des Les en sur des réductions de prix pour les trans sur la malade. Il partit h peu près tran usines de Billancourt.

• chapelain catholique de la colonie an gaies vacances ! tations & bon marché doivent contracter ports de certains engrais. quille. glaise, ,1e î$,p. Ph. Mac Derby, qui pro ^ une assurance garantissant, en cas de «<• -wv décès, le remboursement des prêts qui ' « Pharmacie pour bas ». nonça en anglais une allocution.de cir . l'Est Si vous n'allez pas, Madame, célébrer le Centenaire prochain dans Un .voyage lasse Lucile de contempler ce parc bénédiction constance et donna' la se nup Un industriel a .ainsi dénommé un pe leur sont consentis. du moins passer d'agréables guerre éprouvaient tiale. qui lui semble hostile maintenant, son l'Algérie de Laval Pierre M. coffret qui contient tout ce qu'il faut Or, les Invalides desérieuses de pouvez tit vous difficultés, jour de regard se porte au plafond, sur lés meu ..v Les jeunes mariés et le cortège rejoi pour repriser des bas, fils de différentes jusqu'à ce même moments en lisant invalidité, de leur raison le chœur où la messe couleurs, aiguilles, boule d'écaillé sur en gnirent ensuite pour Oh tapis, ! la claire les les tentures. bles, Strasbourg, 30 Avril. — M. Pierre La nuit d'automne 1 La lueur cendrée contracter cette assurance. fut célébrée par Mgr Chaptal, tandis que quoi l'on tend le tissu. qui Une réforme s'imposait donc. Sur l'in val, ministre du Travail, chargé des la maîtrise et l'orchestre de Notre-Dame haute ta fenêtre donne de tombe aux Ce genre d'humour ne manquera pas tervention de H. Désiré Ferry, ministre affaires d'Alsace et de Lorraine, mettra exécutaient des morceaux de circons d'attirer l'attention amusée de nos visi de la Santé publique, la Chambre a voté les vacances parlementaires à profit objets familiers des couleurs étranges, tance. qui paraît ! chaque semaine A la sortie de l'église, une foule im teurs d'outre-Manche et d'outre-Atlmti une loi que le Journal officiel publiera pour faire un voyage d'études dans des reflets, des aspects nouveau^ Les lés étudier place réalise.

Elle profondes, bois prochainement et qui la région et semblent plus cette sur glaces pour demense s'était massée sur le parvis que. substitue au régime de l'assurance ordi les problèmes encore en suspens.

LA MODE, en vente partout : le numéro : 60 centimes précieux plus brillante. Le mur, là-bas • vant les appareils de prises de vues et naire l'institution d'un fonds spécial de Le voyage de M. Pierre Laval aura où ""sont accrochés les tapis persans, les photographes. Le jeune couple pa Déductions, remboursement des garantie,, pour le lieu dans la première quinzaine de mai. reste invisible. Lucile, avec une obstina rut sur les marches précédé par un Un antiquaire affiché cette allé prêts consentis aux invalides de guerre. a highlander qui jouait sur sa cornemuse tion de malade, fouille des veux cette qui désirent recourir à ce fonds Ceux proposition chante D'HONNEUR LEGION les airs écossais les plus joyeux. ; grande masse d'ombre au fond de la spécial doivent faire agréer leurs deman ** Le cortège d'automobiles se dirigea « J'achète cher tous objets anciens. » des pièce. par l'Office national des mutilés. Ils Mais on ne petit pas toujours attein versent vers l'ambassade d'Angleterre où une POSTES ensuite les primes normales MINISTERE DES Elle pense à Jacques de toutes ses très brillante réception eut lieu jus dre plusieurs clientèles à la foi6. Et cette qu'ils auraient TELEGRAPHES étaient ET à s'ils payer assu forces^ elle veut le voir, comme chaque GRANDE; LIQUEUR FRANÇAISE" qu'au soir, réunissant encore toutes les mirifique assertion fait dire tout haut à rés, et le fonds spécial fait face aux ris LA Sont promus au grade d'officier : M. nuit, et... c'est l'Océan qu'elle voit. Elle ..personnalités parisiennes et londonien Cultive à Fécamp, sur les falaises, les plantes meubles vieux de de résultant leurs amateur supplémentaires : régional & Strasbourg, entend siffler la tempête, elle entend le ques directeur un Ooerene. jëune lei couple dont du autour nes vend pas blessures, au moyen de surprimes ver et M. Debreaux, chef de bureau à l'ad qui lui donnent ses qualités toniquesil — S'il achète cher,aller ne aperçoit lames, elle bruit des hautes voyage de noeës se fera au Maroc et qui bon au mlnlstration centrale. voir ailleurs sées par l'Etat, de subventions, etc... marché 1 Je vais reviendra ensuite habiter à Paris.

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PAR UNE NUIT D'AUTOMNE

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Le Petit journal

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galopade vers la por- f reuse pour une jeune fille. On en a vu s'é était morte sans qu'elle ait pu l'embras mière et fut camarades une ce leurs dangereuses 1830. jugées pour Journal.

1" Mal Petit — Feuilleton du dans l'escalier... Peut-être ces révoltées vanouir et elles seraient mortes étouffées ser une dernière fois, elle eut unelescrisegafde ou qui ont commis quelques fautes graves, te, « avaient-elles en bas un ou une complice si les surveillantes ne s'étaient hâtés de nerfs et il s'en fallut de peu que protes récidivistes. les ainsi que manifestation fes », croyant à une • qui eût facilité leur évasion. Mais elles couper les cordons.

Les prisonnières du donjon travaillent n'eurent pas le temps de réaliser complè tataire contre le nouveau régime qu'on lui directeur, lendemain, le leurs Le commença de l'écart à complètement à part, tement leur projet. Alertés par les appels son enquête. Mais la surveillante n'ayant faisait subir, ne la « camisolent » à son l'i C'est bâtiment. l'autre de compagnes la surveillante et par le bruit de la pu voir le visage de toutes les assaillantes tour. solement complet, tant redouté de ces de C'était le 27 septembre. Le 4 octobre des « gaffes » (surveillants) accou avant que l'obscurité soit venue, ne lui malheureuses qui ne trouvent de conso fuite, prêter main-forte. seulement, elle put écrire à Jacques. Elle indiqué que. trois noms. avait lation qu'à ôtre ensemble, un atroce mar rurent lui racontait comment « elle avait été in Ils saisirent deux des rebelles, tandis têtes mauvaises toutes les interrogea D moral. tyre Grand roman-reportage d'amour les autres plus agiles regagnaient leur du dortoir, les récidivistes, naturellement justement punie et le suppliait d'interve que Paulette "n'était donjon que Ce TT pas au et d'aventures lit en toute hâte sans avoir été recon soupçonnées. Toutes, sauf une, affirmè nir pour la faire changer de prison ». qu'elle même fallait Il voulait allerPuis ils leur appliquèrent la cami rent Jacques Nil accourut le lendemain. nues. par J ean CLAIRVAL les rebelles. était parmi Paulette amenée, que car sole. évitât soigneusement d'y être On le fit attendre jusqu'à l'heure régle donné le mot. évidemment s'étaient Elles plus reverrait elle alors' ce serait fini, ne Aussitôt, tout rentra dans l'ordre. depuis longtemps mentaire pour voir la prisonnière au par la C'était vengeance malade. petite sa loir et encore, parce qu'il avait insisté La « camisole » des malsons de comc- promise...

PREMIERE PARTES attirer le mal, tion comment faire pour Mais particulièrement, car ce n'était pas le est analogue à celle dont on fait usa réalité, n'avait, potite SEULE DANS LA VIE.» La pas Imprudences en pauvre vo ge dans les asiles de fous. C'est une sorte maintenant que ses deux pendant le coup de main, on jour des visites. et bougt qu'elle était éventées, étaient lontaires deux de toile XXII. — En cellule (suite) forte pourvu man aurait pu la voir trembler de terreur dans Ce fut une entrevue douloureuse. sac en étroitement, de plus surveillée repérée coulis terminées démesurées », ches « par une Qui dira l'émotion concentrée et poi L'école de préservation qui couronne la que les autres ? lit. son la lacets.

Pour commence à passer, on se gnante de ces entrevues presque muettes ville de sa forteresse de pierres grises . être pouvait souhaitant de directeur le l'occasion, manches, Mais les au attendait dans les bras ne introduire Elle par entre une prisonnière et son visiteur, qu'il était jadis le château des comtes de Oler- toute son âme quelque bronchite qui la inimitiés Pau encourues mains des les courant par façon coulisse la de que serre en qui se rapprocherait de mont. Comme tous seigneurs jugement au pré soit un père, un frère, un fiancé ou un d'infortu la St petite croi Il » recouvertes, lette. complètement passer en sœur on soient sa respecter, faire respectent et prétendent se amant ? Us ne peuvent échanger que des la condamna à produi autres événement les et toire de telle sorte autre se devant bras avec quand les que un par se banalités parce qu'on les écoute. Mais -ceux-ci avaient aménagé dans l'énorme ne, donjon. rabat Jours de épaules, quinze touchent les mains les on sit. tout les secrets du cœur sont au bord des tour qui domine l'édifice d'affreux cachots derrière le dos et manche quelques bouts de on moins les derrière montait heures même, elle huit jour soir, à Le véritables Un et les yeux essaient d'exprimer « ou * sans air ni lumière, de les cordons un « gaffe j> l'escalier en colimaçon qui lèvres bliettes » où ils oubliaient les gens dont minutes, au moment où les prisonnières tire de toutes ses forces sur manches tout ce que la voix est obligée de taire... prolongent les qui cuir en faisait partie de Paulette cellules dont la tour. de mène aux Jacques et Paulette avaient envie, lui. de ils avaient â se plaindre.. La direction de du dortoir du plusieurs fois le tour faire faisant leur coucher, com monter un venaient de utilise Trois jours après, dans le matin blême l'étreindre contre son cœur, elle, de pleu l'école actuelle affirme qu'elle ne, les atnsi prisonnières laisse les On re vieille la rébellion mit , corps. de mencement » séjour « da premier automne, un petit cercueil rer sur son épaule, mais ils ne l'osaient jamais et elle a raison car un se dix heu huit croquevillées. pendant là. jusque ou calme été . là-dedans pourrait être mortel pour des en péril. Tout avait traversait la cour et, par l'allée de feuilles pas. â cause de la survenante. dans cette opéra l'on Si cadenas le fermer songe que, baissait res. pour se mortes qui conduit à la ville, s'en allait natures délicates. Mais le. donjon contient IÇUe tenait Paulette put cependant raconter à son surveillants laquelle les brutale à tout à tion close... grille Et la coup, qui celui Ginette C'était de cimetière. d'autres cellules, éclairées par une lucar au tout ce qui 6'étalt passé depuis le tuteur les seins vigueur, leur toute accordent se filles cinq six ruée, brusque re ou des d'une jour de son arrivée en ne lui cachant rien ne, et on y retient aujourd'hui, pour in- poussèrent la grille et bousculèrent la sur trouvent littéralement écrasés, on conçoit Lorval. les moins longues périodes plus ou « Quand Paulette apprit que sa seule amie do ce qu'elle avait fait pour se faire en sont veillante. Puis, l'une d'elles éteignit la lu que cette épreuve doive êtra très doulou

CŒUR de

MIDINETTE

.

corrigibles », c'est-à-dire les filles qui

voyer à l'infirmerie auprès de sa petite mourante.

Il la quitta bouleversé et se rendit aus sitôt chez le directeur, M. Lacaussade.

C'était un homme intelligent et juste, qui ne demandait qu'à êtr« écJairé. Pendant deux heures, Jacques Nil' lui fit le récit de la vie dé Paulette depuis le jour où 11 l'a vait connue. Il évoqu toutes ses décéptions, toutes ses angoisses, toutes ses pauvres joies piétinées aussitôt par le Des tin. Il lui dit enfin le touchant subterfuge que la pauvre petite avait employé pour se rendre au tragique appel de sa compagne et l'odieux complot ourdi contre elle, i Il fut si éloquent qu'il conquit M. La caussade comme il avait conquis le Tribu nal. Le brave homme qui aimait au fond « ses enfants > et savait parfaitement dis tinguer entre les bons et les mauvais tut si ému par cette conversation qu'il dit au

journaliste : Jacques Nil, je vous remercie 3e — M. ce que vous m'avez fait connaître sur cette pauvre petite. Trouvez un patronage qui nous réclame Paulette P^neill. On me de

mandera mon avis. J'enverrai un rapport favorable. Sa libération me parait cer taine.

Jacques Nil serra ia main du directeur et prit congé. L'air lui semblait plus léger à respirer. Il fredonnait un refrain & ia mode. Et il lui parut que la fenêtre, derriè re laquelle Paulette guettait peut-être le crissement dé ses pas sur le gravier de la cour, flamboyaitd'un rayon de soleil I tA suivre)

ï _ 5 - 30

I>Petit Journal. «

DERNIERE HEURE

A LA COUR D'ASSISES

DE SAOi\E-ET-LOIRE

SERVICES SPECIAUX TELEGRAPHIQUES. TELEPHONIQUES ET 1SR du Petit journal > < AU COMITE D'ARBITRAGE DE GENEVE

»•••, M.

Massigli expose -

la thèse française sur le projet

La lutte v , .. -, de Gandhi ^ .

Delhi, 30 Avril. — A la suite de la promulgation de l'ordonnance de presse et de La demande de c cautionnement faite par le. gouvernement local, 40 jour nalistes et propriétaires de journaux de Delhi se sont réunis et ont décidé de former une association'locale des jour-, . nalistes. Ils ont adopté une résolution demandant à tous les propriétaires de Genève, 30 Avril. — Aujourd'hui le journaux ou d'une imprimerie de-ne pas Comité dç sécurité et d'arbitrage a com caùtionnements demandés et les payer mencé la discussion du projet du mov dèle de traité de convention pour pré-- de suspendre toute publication. venir la guerre, proposé en septembre De nombreux journaux se sont joints, à ceux qui, depuis deux- jours,, ont re 1929' par M. MacDonald. fusé de paraître. Ils sont remplacés par lie délégué anglais lord Cecil a - fait de petites feuilles nationalistes publiées connaître à ce propos dans un document: officiel qu'il ne lui paraissait pas pos en cachette qui contiennent des nouvel sible de faire connaître, au cours de les séditieuses et de nouvelles attaques la présente session, les recommanda contre le gouvernement de l'Inde. Ces tions détaillées et définitives de son feuilles spéciales s'enlèvent rapidement.

Quatre journaux cesseraient gouvernement. .. la Fran Après lui, le représentant de de paraître ; ce, M. Massigli, a tenu, dès le début de la discussion, à faire connaître le point Calcutta, 30 Avril. — Les journaux Liberty, Bangabani, Advance et- Amande vue français.

Ce point dé vue est naturellement fa da Bazar Patrika qui, en vertu de l'or vorable à toutes mesures qui seraient donnance de presse, ont été sommés de de nature à augmenter la sécurité géné-' verser chacun un cautionnement de raie. Mais la. délégation française doit 5.000 roupies, cesseront probablement attirer l'attention du Comité sur deux d'être publiés, les sommes demandées points importants : le premier, c'est la ne pouvant être» réunies.

On mande de'-Balasore que le prési nécessité de faire en sorte que les me sures que prendra le Conseil s'imposent dent et le secrétaire du comité du obligatoirement aux parties, même si congrès provincial d'Uktal ont été ces parties, ou l'une d'elles, s'y oppo condamnés à 18 mois de prison. sent. "lie deuxième point, qui découle du Le boycottage des tissus premier, c'est que ces mesures puissent Bombay, 30 Avril. — La campagne de être cfcitrôlées et leur application ga boycottage des tissus étrangers ordonnée rantie par des sanctions.

Gandhi' bat son plein. Des centaines le gouvernement français est prêt par femmes de hindoues se rendent de mai à suggérer des solutions sUriples équi maison et: demandent à, leurs tables et éfficaces si le Comité est d'ac son en compatriotes de bien vouloir leur remet cord, au préalable, sur les principes dé tre, tous fabriqués avec leurs vêtements veloppés par le représentant de la des étoffes étrangères et de s'engagerFrance. écrit à désormais, servir par ne se que Ensuite, les délégués , du Japon, de d'étoffes fabriquées Indes.

Ce aux mou l'Italie, des Pays-Bas et de la Belgique vement boycottage a jusqu'ici rem ont, exposé leurs-points de vue. Le re porté, detrès grand succès et tous Les un présentant de l'Allemagne, M. Von jours des'feux Goeppert, s'est prononcé contre toute: les vêtements de joie sont allumés avec : étrangers ainsi recueillis.: idée de sanction.

de convention générale

Le/Comité examine les articles du projet

DE PRINTEMPS

LE REICHSTAG

Les propriétaires de journaux organisent la résistance contre la loi sur la presse

Un fils de Gandhi condamné à un an de prison

MANŒUVRES PARLEMENTAIRES

i

va discuter en première lecture le budget de 1930 Berlin,. 30 Avril.

Le Reichstag se* réunira Vendredi à — 15 heures, pour dis cuter en première lecture le budget de 1930.

Les débats commenceront par un grand discours de M- Moldenhauer, mi nistre des finances du-Reich.'.

La discussion se poursuivra vendredi et samedi; puis le Reichstag prendra de nouveau une semaine .rie vacances, de façon à donner à la commission du budget, le temps d'examiner le projet de budget.

D'autre part, le Conseil d'Empire tiendra demain jeudi, une. séance desti née à l'expédition des affaires cou* r&ntes Enfin, le mardi 6 mal, le Landtag de Prusse, après des vacances de Pâques prolonges reprendra ses travaux par

lementaires.

LA DUCHESSE DE BEDFORD A ACHEVE SON RAID 30.500 kilomètre» en vingt jour» '\De notre correspondant particulier,) Londres, 30 Avril. — Ce soir, & 17 h. 30. le Spider, l'aéroplane de la:duchesse de Bedford, descendait- à Oroydon, couvert d'huile et de-boue. L'avion touchait terre pour la dernière fois, après un voyage, d'Angleterre en Afrique du Sud et retour, couvrant une distance de 19.000- milles , en

vingt jours, battant ainsi le record de longue distance. Une- foule énorme s'était-, massée & l'aérodrome et la duchesse de Bedford, calme, souriante et-fraîche com-. me une rose, passa sa tête à la-fenêtre et salua les enthousiastes qui. acclamaient son retour.

La duchesse raconta alors que le temps.; presque sans exception, a été très mauvaispendant tout le voyage. .

DISCUSSION TRAGIQUE

Une femme tue son ami d'un coup de couteau

La Nouvelle-Delhi,,'30 Avril. — Dévi Le délégué' de la Pologne, M. Fran das Gandhi, fils du Mahatma, a été çois Sokal, avait renouvelé les réserves condamné à un an de prison. ! * de son Gouvernement quant au.projet.: Gandhi méditerait ùn La' bonne entente ne régnait pas de nouveau • puis qui ne contient, dans son état actuel., quelque temps entre Mme Vinady, d'action plan née Armandine Foulon, âgée 4e 46 ans, garantie aucune contre les Etats de Chambert", âgé deami Victor mauvaise foi. soi), Nasvari, 30 Avril. — Gandhi est solli et " Le comité a abordé alors l'examen des cité de toutes'parts de décider un hou-' 60 ans.. articles du projet. • • Hier soir, vers 22 heures, alors qu'ils veau plan de campagne, en raison de: étaient Ce projet prévoit deux sortes d'éven l'inactivité tous les deux, 45,. rue, dont le gouvernement a fait Volta, Réunisviolente discussion éclata tualités : celle ou entre deux ou plu preuve après l'arrestation des. princi-: une sieurs Etats existe une-menace-de con paux partisans de la- campagne de déso-- /pour un motif futile. Se croyant mena flit, et l'éventualité où les hostilités sont' béissance civile. On croit savoir-que* cée, Mme Vinady s'empara d'un couteau et le plongea dans la' poitrine de son déclarées.

Gandhi a donné connaissance aux; •ami, qui "s'effondra mortellement atteint.

Dans le premier cas, le projet fait une membres du comité du congrès provin-: obligation aux Etats signataires de la: cial de Bombay d'un projet que l'on i Peu après/ des voisins prévenaient le commissaire de police du quartier de Convention d'accepter par avance de; garde très secret.

1 • Charonne, et la meurtrière était arrêtée. mettre à exécution les recommanda Ce -matin, elle sera interrogée sur son tions du conseil. acte criminel. .

Divergence de vues Le corps de la victime a été envoyé à l'Institut médico-légal. entre les Français et les Anglais

'

Après la Conférence de Londres

Mais M. Massigli, représentant de la France, n'a pas eu de peine à démontrer : une fois de plus, la vanité d'une telle: obligation si les Etats Intéressés au con-< flit peuvent, par leur vote, éluder les décisions du conseil.

"D'autre part, le représentant de l'Ita lie, le général" de Marinis, a mis en gar de le comité contre des constructions théoriques et compliquées qui ne résis teraient pas, en cas' de crise, à des mou vements d'opinion publique. : H est, apparu, au cours de la discus sion d'aujourd'hui qu'il existe une diver gence eritre les délégations ' anglaise et

française.

Pressé par l'argumentation serrée représentant de la France, lord Cecildua déclaré finalement qu'il n'avait pas "d instruction de son gouvernement pour aller aussi loin le voudrait la délé-. gation française.que Le Gouvernement an glais absorbé: la Conférence de Londres n'a pas par pu étudier à fond son propre projet.

La discussion continuera demain.

La visite de M. Schober .il»..

Les rapports de l'Autriche et de • l'Allemagne

lie chancelier.Schober recevant-hier

Londres, 30 Avril. — A la Chambre des communes, M. Alexander, premier lord de l'Amirauté, répondant à un dé puté, a déclaré que le traité naval de Londres fixerait les forces en croiseurs comme suit : L'Angleterre ne continuera pas la construction des deux croiseurs de 10.000 tonnes armes de canons de huit pouces du programme de 1928, ni de ceux du même type du programme de 1929, et le nombre total des croiseurs armés de ca nons de huit pouces dont la construction sera autorisée pour l'empire britannique sera de 15.

Les Etats-Unis, qui sont arrivés à la conférence avec un programme projeté de 23 croiseurs de 10.000 tonnes, armés de canons de huit pouces, n'en termine ront, en. fait, que 15 avant 1936, gardant seulement la .faculté d'en .avoir trois de plus en construction, ne devant pas être terminés avant 1936, 1937 et 1938 res pectivement.

Le Japon s'en tiendra à son chiffre actuel de 1% croiseurs armés de canons de huit pouces et n'entreprendra, pas' de nouvelles constructions, ainsi qu'il avait été prévu auparavant.

soir, les représentants de la presse pa L'Italie va construire sept navires risienne, a précisé ainsi la formule dont 31 avait usé pour décrire les rapports de de ligne et vingt-deux sous-marins l'Allemagne, tant dans ses déclarations précédentes à la presse que dans ses Rome, 30 Avril. — Toute la presse italienne conversations avec M. Briand. annonce en gros caractères la « Une même race, mais deux nations construction, au cours de l'année pro chaine, de sept navires de ligne et de. en deux Etats. » vingt-ideux sous-marins. Elle déclare que

AU COURS DE L'ORAGE EN TOCRAINE .

L'ex-géraht de banque Cloupeau Deux époux sexagénaires qui détourna plus de 8 millions ont été victimes répond de ses'abus de confiance d'un glissement de terre 1 et de ses faux qui écrasa leur maison.

-

Chalon-sur-Saône, 30 Avril. — .Au 30 Avril. — Le formidable ora jourd'hui devant la Cour d'assises de ge,Tours, qui fait rage durant près de cinq Saône-et-Loire a comparu Jean Armand heures,, ahier -soir, dans la région, a pro-, Cloupeau, 45 ans, ejogérant d'un éta-r voqué accident entre Vernou un grave blissement de crédit, à Autun, accusé Chançay. et 500 A mètres de Vernou' ti^abus de confiance qualifiés de faux et habitaient dan* une maisonnette cons usage de faux. truite à flanc de coteau, les époux -ChesL'accusé, né -à Manlay dans la Côteâgés neau, tous deux d'une soixantaine d'Or d'une famille de mpdestes cultiva d'années.

La pluie qui tombait en abon teurs,' intelligent, 'fit de très"- bonnes dance aii plus fort soudain provoqua études et s'orienta vers les -finances de l'orage, probablement après son service militaire. vers 21 heures hier soir, un glissement de la terre re L'acte d'accusation couvrant les rochers du coteau. Cette . recouvrit bientôt la maison dont De l'acte d'àccusation nous relevons masse la toiture s'effondra. n'est que ce que les sommes détournées par Cloupeau matin, vers 5 h. 30, que Ce l'accident fut dé représentent un total de 8.807.004 fr. ; couvert des voisins.-De par nombreux que les sommes employées s'élèvent -à sauveteurs travaillèrent à déblayer la 7.684353 fracs soit écart de 1 mil çt, après cinq heures d'efforts, dé lion 122.650 francs, auquel il convient terre couvrirent dans la cuisine les cadavres d'ajouter la somme représentant les ris aff'reiisemvit broyés des deux sexagénai-' tournes versées à Cloupeau, car 39 abus res. L'un d'eux tenait encore dans sa de confiance et 154 taux et usage de main eouteau et un morceau "de pain un faux-commis au préjudice du Crédit ce qui laisse croire que l'accident les lyonnais lui- sont reprochés. Tous ses surprit moment où ils dînaient. au délits furent commis pour jouer, à la Ce n'est matin que ce que la plupart Bourse de commerce tant pour son pro des communications téléphoniques ont pre compte que pour des clients. : être rétablies pu les localités des avec .

L'ensemble de ses opérations %sur les Partout les dégâts sont blés, cafés, caoutchouc, -sucre,- coton, départements. importants.

On signale des -maisons laine,-etc... atteint plus de cent millions écroulées à Rochecorbon. ïoudre a L'établissement de crédit civilement res- provoqué l'éboulement du Laclocher de ponsable, dut rembourser jusqu'au rè Saint-Epain. glement de 10.826.136 francs. Cloupeau Enfin, l'éboulement qui s'était produit reconnaît l'ensemble les charges rele sur la ligne Paris-Bordeaux entre Tours vées contre lui. ; j et Monts, au cours de la nuit dernière a pu être déblayé et, maintenant la cir L'interrogatoire culation des trains est normale.

L'interrogatoire s'est poursuivi sur 235 chefs d'accusation dont la seule Violent orage dans le Méconnais lecture exigea plus d'une heure. >.

Cloupeau déclare qu'il ne tenait • Mâcon, 30 Avril. — Un orage d'une ex qu'une comptabilité de tête et que ses trême violence s'est abattu la nuit der détournements lui servaient à régler' les nière sur la région ; mâconnaise de 8 différences la Bourse et à payer des heures du soir à 5 heures ce matin. commissions.

L'interrogatoire de Cloupeau coptipue L'orage qui a dévasté la région de Bloi» de se dérouler, ' fastidieux. L'accusé re a fait d'importants dégâts connaît tous ses faux. L'expert Doyen Blo'is, 30 Avril. *- L'orage de la jour a fait un exposé magistral des opéra née d'hier duré toute la nuit et fait tions frauduleuses faites par Cloupeau. d'importantsa dégâts. La Cisse a débor 1 Il indique l'importance des détourne dé et les eaux descendant à torrents des ments qu'il estime à 9 millions. Il pré collines ont raviné les chemins ét les cise les moyens employés pour dissimu routes, des hangars ont été emportés ler, les détournements et termine en par les eaux. Plusieurs bâtiments se sont faisant le bilan des opérations estimant effondrés, des malsons été grave à près d'un milliard le chiffre total dés ment endommagées. On ont signale tou ne opérations faites par Cloupeau à - la tefois aucune victime. . , , Bourse des marchandises..Demain réqul-; Dans la région chOroliaise sitoire et-plaidoirie. la foudre a causé de» incendie» •, ,Charolles, 30 Avril. — Un orage d'une Trois gardiens de la paix blessés grande violence s'est .déchaîné' la nuit : dernière sur la région charollaise de 9 heures du soir à. deux heilres .du la par des énergumènes tin. Plusieurs cantons ont été ' partlcu lièrement éprouvés par la grêle et par La nuit dernière, vers minuit, les gar la foudre. , diens Berthou et Sudre ont interpellé Tué par la foudre' rue dé Bréjmont, à Noisy, quatre cyclis tes dont Jes machines, étaient dépour Contrexéville, 30. Avril. — M. Emile vues d'éclairage. Ils ont voulu les ame Dupont, âgé -de - 60 ans, commerçant à ner- au commissariat. L'un des ' individus Chatenois, qui s'était abrité de l'orage sous un, arbre a été tué par la foudre.

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Ce que dit la Presse LA SESSION DES CONSEILS GENERAUX ' De l'Agence Economique et Financière (M. Queuille) : La plupart des assemblées départemen tales seront» dans l'obligation de ^recourir à de nouveaux emprunts. Mais, rêpetonsle, pour beaucoup de budgets départe* mentaux, la réduction des crédits prévue ré pour le service des emprunts anciens, sultant'de la suppression de l'impôt sur le revenu' de ces emprunts, assurera des disponibilités importantes. Celles-ci per mettront donc de gager un emprunt nou veau susceptible, souvent, de-faire face aux majorations de dépenses que nous venons d'indiquer.

La.loi de .finances de 1930 donne donc, aux conseils généraux des possibilités nou velles de prendre des décisions-favorables è. l'intérêt des départements.• - L'HISTOIRE VRAIE

Les .agents Sudre, Robillot et Bidot

nommé Roger Le Provcxst,

31

ans, de

meurant 12, rue Pasteur à Clidhy, a frappé les gardiens.

Les gardiens Bidot et Robilltt, pré venus, sont arrivés, sur les lieux et ont été également pris à partie et frappés par Le Provost. Ce dernier a été en voyé au Dépôt. L'agent Berthou est blessé à la main: et à la face. Rablllot peirte une plaie à la lèvre supérieure et a plusieurs dents„<cassées. Quant au gar dien Bidot, il est-atteint de contusions légères au bas-ventre.

i

Les accidents de la route

malgré l'appel des verdures-fraîches aux Champs-Elysées, le public s'est bouché les oreilles pour ne point entendre, la tardive et charmeuse invitation du prin temps ; il a passé au Grand-Palais un .après-midi qu'il eut fait si bon vivre .dehors.

•Le vieux'« Salon » en paraissait tout rajeuni, et, par je ne saïs.quelle entente secrète, les femmes, qui s'habillaient n'importe comment pour de précédents vernissages, avaient plutôt fait toilette hier. Les hautes tailles et les jambes en core 'bien visibles sous les robes qui' s'allongent, leur donnent, quand elles sont jeunes et grandes, des allures .de Dianes chasseresses...

Ainsi la foule a trouvé moyen de rem plir, ou presque, le* colossal, palais,,foule moins dense toutefois dans les salles <le la « Nationale » que dans celles des « Artistes français ». Quant au grand hall presque "exclusivement occupé par* la sculpture des « Artistes français et par le buffet, il connut l'affluence des plus beaux jours et la « potinière » s'y tint bien longtemps après l'heure indi quée pour- la, fermeture^ soit six heures du soir.

Le plus officiel de nos Salons, malgré le vieillissement et malgré toutes les at taques, retient encore la faveur du pu blic. Le vernissage de 1930 fut des plus agréables que j'aie vus depuisunlong temps. — Louis Paillard. • •

31

La VIEILLE CURE doit renommé» mondiale auprès de» connaisseurs A 1a hâuts qualité det vieiilei'-FineChampagne1 dei'GrandaArmagnacs'd'origine contrôlée par TÉtat,:qui-entrent

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dan* «on ' inimitable composition. "

TUE UN DE SES COMPAGNONS

La nuit dernière, à. Maulette, ..arron dissement de Mantes, deux ouvriers agricoles; se sont pris de- querelle dans la grange de - la ferme*de. M. Benoist, cultivateur à Dtoulette. ... de ^ L'un d'eux, Jean-Marie Goyec, âgé 30 ans, né à Beuzec-Conq (Finistère) a donné ,un coup de couteau en plein cœur à son compagnon, Marcellin Fes sant", âgé de 36 ans, né àPleumeur-Bodou (Côtes-du-Nord), qui a succombé peu de temps après.

• lie meurtrier qui avait pris la •fuite s'est constitué prisonnier- hier matin vers 6 heures, â la gendarmerie de Houdan.

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La gloiredes.grandes,Iiqueurs^r^çaises

" vernissage"

Le Salon débuta,, hier, sous d'heu reux auspices! Il faisait beau, le temps s'était paré .'de- douceur et -de clarté,, et,

Kodak"

6x9 avec anastigmat ,6,3 250 plus coûte fr. ne que

Elle eei aiissi par excellence U liqueur de la famille pour le« vertu* de» 5» plante* de monta* gne. aromatique* el vivifiantes, dont le «avant mélange constitue '

an "Salon"

PRES DE MANTES, UN OUVRIER AGRICOLE

Quelles seront les forces en croiseurs des puissances, navales

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l'inviolable «ecret de&VwlUCur*> de ion bouquet captivant et "de-

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•on action bienfaisante sur l'or ganisme. qo'elle rèconlofte ei réchauffe sans" le troubler»

.^Amateurs des bonnet chose* de notre France,. gofltes une premiire.fou la uiUt Cttrt, vous la redemanderet une- seconde ^fois» ; .ensuitéetloujoursvousl'exigereft

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MARCELSAURET UN PRETENDUARRIERE-PETIT-FILS

Six. tués, vingt-trois blessé» Les du e Mai qui tua son aniie du roi Louis, XVI parité de droit refuse à l'Italie la qu'on lies accidents la de route ont fait, Un accord commercial se trouve remplacée par la parité de hier, six morts et vingt-trois blessés. fait. Si l'Italie compte quelques unités comparaîtra demain Près d'Epernay, un cycliste, M. J. Pedevant le tribunal civil de Versailles franco-haïtien mainte flotte moins, en sa se compose raudin, la 20 ' aijs, cultivateur, a été tué A Bourse Travail, du mee Bu -Petit Parisien (Lucien Romier) : p^r une auto. Voulant doubler un ca t.ings, organisés par l'Union deux nant, dans la plus grande partie, d'uni des Syndi sera mis en vigueur le 4 juin tés jeunes et qui ne craignent la com à Reims, un cycliste, M. Emile cats confédérés, se tiendront ce matin devant te jury de la Seine Devant le" tribunal civil de- Versailles, mion, vraie, l'Histoire L'Histoire qui demeure, paraison avec aucune puissance navale. on ne l'écrit pas avec des apothéoses ou Houant, • 45 ans, a été mortellement à 10 heures, dans les deux grandes sal un procès intéressant, intenté, au prinea procès Individuels. Elle déborde large blessé par un autre véhicule venant en les avec lé concours -des orat'eurs des Louis Un accord'commercial entre la Fran M. Stimsonremet à M.Hoover des ' de Bourbon descendant de Nauninverse.

•syndicats Près ment les faits des grands hom parisiens adhérents à et gestes, de Vitry-le—Fran sens la C. C'est M? de Moro-Giafferri qui défen dorf et se prétendant l'arrière-'petlt-flls ce et la Répulique d'Haïti a été signé général, L'action ministre, d'un d'un çois, M. G. Jean Rlchell T. mes. et femme, Ma ' sa demain Marcel Sauret,-un resta'ira- du roi Louis XVI, à .été appelé hier. A à Port-au-Prince, le 12 avril 1930. 11 copié du traité naval d'un négociateur subit constamment des rie, 27 ans, motités tous deux sin' la Les chômeurs volontaires-feront poin dra une teur' de Casablanca: qui vint à Paris ce titre, le prince LOuls de Bourbon re mis vigueur sera le 4 juin prochain; influences auxquelles le protagoniste même motocyclette, ont été, le premier, ter leur carte, selon la coutume, à l'en en . date où prendront fin la convention Le Président le présentera an Sénat obéit sans parfois même les soupçonner : grièvement pour y tuer son ancienne amie, "Mme vendique l'héritage du roi ainsi que son trée blessé, des salles. et la seconde tuée par : Boireau Influences commerciale du 29 juillet " 1926 et- l'ar l'entourage, des tragique de bureaux, aventure des où : les his nom • patronymique." prochaine la semaine De son côté, le syndicat unique du bâ- toires d'argent ont Jeur" rôle, une auto, avec laquelle Ils étaient en états-majors, du miliçu politique, des ex trés rangement complémentaire du 22 jan autant et En: 1916, .11 faisait~la connaissance & en collision. En tournée électorale timent a convié ses membres dans une plus que les histoires d'amour. vier 1927 qui régissent actuellement le Washington, 30 Avril. — M. Stimson perts, des relations ; influence du passé, à bicyclette, Paris d'une dame Heitz, rentière, de M. Jaillet,- ma'ire de Tour- autre salle de la Bourse. â remis aujourd'hui au président Hoover influence de l'opinion publique... La chror régime des échanges franco-haïtiens.

En 1926,.

Marcel Sauret, alors cou meurant 9,, avenue de Saint-Ouen qui, nique de-la Grande Guerre et des négo nus, a fait'une chute er s'est blessé. Près Les « unitaires » se sont, par "contre, telier faubourg du Temple, Outre le traitement de la nation la une copie du traité naval 'de Londres. ciations de Versailles reste tout entière à de Chalon-sur-Saône, une auto a ca abstenus, cette fois, ' d'organiser les ha sait la connaissance- d'une à- Pa'ris, fai s'enthousiasmant pour. la - cause -de, la plus favorisée, le nouvel accord assure La cérémonie a été très courte. voisine- -ma survivance, n'hésita nas à remettre au éorire du point de vue .des influences ca poté : dix personnes qui y avaient pris bituels meetings de la rue Grange-auxriée, Mme Boireau aux produits .essentiels de l'exportation M. Stimson a exprimé ses regrets que chées, qui furent souvent l'enlevait, et... fort prince des subsides pour alimenter Sa décisives. place ont été blessées ; l'une d'elles, Belles et de l'avenue Mathurin-Moreau. proprement. U vendît française le bénéfice d'une détaxe de quelques-uns des délégués n'aient pu y ce n'est plus l'Histoire des. hommes,Cela, tout son fonds .aban propagande. C'est ainsi qu'à des reprisés jeune fille de 16 ans, est agonisan Les importantes mesures d'ordre prises donna , 33 1/3 % femme sur le tarif haïtien. Nous,ac assister et a remercié le président du court, laquelle ne s'Inscrit pas sur le mar une et son enfant et, différentes,-, elle versa des sommes d'ar sa propre te. Dans la région de Montbéliard, un pour assurer la tranquillité de -la. rue cordons en contre-partie "notre tarif privilège qu'il lui avait conféré de pren bre, mais commande la courbe générale motocycliste, nouvelle à Casa-' gent Importantes-dont le montant glo emmena sa compagne M. Pierre Croëll, a été tué sont pour beaucoup' dans cette absence blanca où, minimum aux principaux produits de la dre part aux négociations de Londres des événements. les économies de Mme bal s'élève à 300.000 francs. Mais s'aavec auto ; un ami qui l'accompa de réunions. par une République d'Haïti 'à leur importation comme chef de délégation.

Boireau et les siennes, il achetait" JALOUSIE .un percevant en 1927 que les démarches du gnait, M. Barberet, le conducteur de Les syndicats extrémistes- ont cepen- restaurant.

Le président Hoover, répondant à M. en France. > 1 ont 1 • dant prince de Bourbon ne donnaient aucun adressé de pressants appels à leurs - > l'auto, M. Bidot. été blessés, le pre -.

En outre, les deux pays s'engagent, Stimson, a exprimé son appréciation du Du Journal (Clément Vautel) :.

L'idylle mier grièvement. Près de Serves (Drô- adhérents, depuis les cheminots : et les dire — résultat, Mme-Heitzdéposait une plain — si l'on peut ainsi dans un délai de six mois. à dater du travail accompli par les délégués amé daté métallurgistes dura jusqu'au 20" août te en escroquerie et abus dè confiance 1929, me)-, auto s'est écrasée jusqu!aux contre une machinistes des ;» la S'il est des amours sans jalousie, il est un théâtres 12 avril 1930, à prendre toutes mesures ricains. quelle M. arbre Boireauvint qui rechercher M. Paul Etienne, ont été Invités 33 ans, négo aussi — et sans doute plus souvent — ; à cesser le sa : au-Parquet de Versailles. Ce fut-, M. Gay, nécessaires en vue de réprimer l'em Au cours du déjeuner qui a suivi, M. .des travail femme fut ciant à Saint-Percey, et jalousies sans amour:, celles-là' sont assez heureux pour 'la Juge,; d'instruction, qui • fut chargé' de. a été tué et le dront ce soir. Mais, bien peu répon ploi de fausses appellations géographi Hoover a discuté de la date à laquelle exclusivement le vaniteuses à persuader de suivre à-Paris. et même docteur Bouvat, maire de Saint-Peray, cet appel ! cette affaire, mais, après expertise,1 un ques d'origine. le traité sera soumis au Sénat. Il y a surtout chez la femme —plus intéressées blessé.' Une auto- s'étant renversée, près Les communistes tenteront de se rat L'amie de avait-elleSauret emporté non-lieu fut. rendu en faveur du prince Le nouvel accord est conclu pour une peu de chances pour que ce soit avant qu'intéressantes... Mme Gribouille défend de Bédarrïdes, les quatre traper dans à titre de souvenir, les 4.500 francs cités dérobés industrielles de Bourbon. occupants, ont de la durée de trois années. Il pourra être lundi. Le président y joindra probable sa. situation en tuant l'homme dont elle été blessés, dont deux grièvement banlieue.

Là, dans le portefeuille du restaurateur ? cependant, M. toutes C'est pourquoi Mme Heitz' attaque le tentati : prorogé par tacite reconduction pour ment un message spécial. ne peut se passer, non pas au point de Emile Juven, 56 ans, et de manifestations Ce n'est prouvé.

Mais qu'il ves fetnme, tôns rapidement pas prince sera ce Louis de Bourbon devant le tri sa : a. vue sentimental, mais au point de vue deux demeurant à Voréppes une période de six mois et renouvelé . .réprimées de sûr, le c'est le ressentiment service ""prit, (Isère). par d'ordre. que matériel.-La bunal de Versailles .'et lui -réclame les question d'argent est â l'ori Près après entente entre les deux parties. Il EN POLOGNE, UN DEPUTE COMMUNISTE . de Sauzevaunais, désormais, dans le de Sauret, auto la gine "bien des de drames dits passionnels. cœur une 300.000' francs qu'elle-dit lui aydir priêcon ERREUR est applicable à l'Algérie et à l'Indo duite place Mme de l'affection.

Burdeau, N'EST Il, de Chabanais i-lns par PAS COMPTE ne songea tés. "Mais,- à - cette demande, Ip ; prince chine.

FAIT FEU SUR LES A GENTS CHARMEURS OFFICIELS ' (Charente-Inférieure), qu'à qui rentrer n'avait Mais, France. li en pour Louis, pas complètement aveugle, et qu'àssfsde permis, écrasée s'est contre quider situation arbre: commerciale, il lui, un sa Du Matin (Guy Launay) : M' Jean Perinard, réplique qu'il ~a LA LOI DE FINANCES DEVANT trois des occupants ont été blessés. A' Après avoir passé la journée.. & la fallait — le contrat d'achat du restau te Il est .arrêté considéré les fonds versés: par Mme LES COMMUNES lia mort a fait un signe au charmeur Sannois, une .automobile oùse trou campagne,. Jacques Mondolini, âgé de rant-ayant été signé du- nom de Mme Heitz comme' des libéralités Varsovie, 30 Avril. —..Hier à Lodz, d'oiseaux et non com des Tuileries, « Petits— Petits.;. vaient MM. Catala père et fils, a capo 25 ans, demeurant 18, rue Henrï-Monier, Boireau et du sien — Une : procuration me des prêts, ce qui députés deux communistes essayé l'empêcha ont le -pas, Londres, 30 Avril. —? La Chambre des Pstt... Pstt... » Et en vol "plané, comme té. M. Catala a été tué et son fils bles prenait un taxi à Montparnasse, et al de son ancienne > amie. H çssaya, en "en 1927, d'organiser de s'engager réunion dans .écrit la à lui une qûl pierrots, par les lait rue descendaient rentrer du Communes a commencé chez sé.' lui, marron " 1, 20 heures, vain, par des lettres et par: diverses en taire don de 300.000 francs pa discussion de sans l'autorisation des autorités. La vers nier lorsqu'il serait pour cueillir sur un • poignet tendu po quand, à proximité de son domicile, il tremises, de l'obtenir. ' " la loi de finances. Elle $ adopté l'article lice invité le entré de pain, -possession le de les s'étaient morceau charmeur, l'héritage qui pauvre en de personnes a crut reconnaître, à la terrasse d'un bar, qui prévoit un impôt additionnel sur la. rassemblées à circuler, Le 9 octobre, il débarquait à Paris, au Louis XVI. tombé DEUX FIANCES fenêtre, SE NOIENT de est s'écraser sa venu mais les poli bière, de 3 shilling jpar baril. un individu avec lequel il s'était pris de domicile des époux Boireau,; à une-heu le pavé. Voici vingt ans que. tous les ciers ont été attaqués à coups de pier sur Au nqm du prince de- Bourbon, M* , querelle la veille au soir. jours, où il cet ami des moineaux savait leabsent. des mari et pl+ re • Périnard le député communiste et Zarskl a geons leur donnait la becquée. Il était Boulogne-sur-Mer,30 Avril. — Les ca;Faisant arrêter sa voiture, Mondolini * a donné -lecture de certaines LE GOUVERNEMENT POLONAIS res fait feu Il a été arrêté sous l'in une curiosité, une attraction, les badauds davres de M. Jean Jyselins, 19 ans, mi sortit un revolver de sa poche et £t -feu — Mes 4.500 francs ! Ma. procura pièces attestant les titres de-son cllept. exprime ses regrets aux Soviets culpationsurdeeux. délit de droit commun.

Selon l'avocat, il, ne fait pas de-.doute et les étrangers s'arrêtaient pour le regar neur, et de Julienne Deprez, 20 tous sur celui qu'il supposait être son adver tion 1 . .

La police a dispersé le rassemblement; der. B appelait par leur nom ses favoris, deux fiancés, ont été retirés du ans, que les sommes versées par Mme Heitz canal de saire. Les témoins de cette scène voulu Mme Boireau refusa.

Sauret avait Londres, 30 Avril. — On mande de trois personnes ont été légèrement coiir qui le connaissaient et se perchaient sur la Deule. Les corps étaient enincés furent bien employées pour la propa et rent, s'élancer sur le voyageur irascible, déjà sorti son revolver : épaule, le bord de son chapeau.

Moscou sur Patek, -son M. tusionnées. échsjjfpe ministre gande et aux recherches du document de Po liés que mais ( oelui-ci, sautant de la voiturç, de soie apparte une L'essence,-l'auto chassent tous les Jours nantpar logne,-s'est rendu auprès de M. Litvinov, bêtise," Tu m'obliger prouvant à faire une s'enfuit par la rue Clauzel, où il-fut • — à la jeune fille. que le* prince " était ' réellement vas les oiseaux qui ne trouvent plus dans çommissaire aux Affaires étrangères* l'héritier LE RAPPORT D'EXPERTISE du roi Louis 2CVI. C'est "dans Les désespérés avaient décidé d'en fi arrêté, un chauffeur. ayant barré la si tu ne me. laisses pas arranger ma l'atmosphère 'empuantie de la Ville, la auquel il a présenté les regrets du gou conditions vie 1 route DANS L'AFFAIRE LAGET nir fuyard. plutôt * ces le crottin leur, dis que -M* Périnard deman manne, ou au a.vec la vie à la suite de remontran vernement polonais à la suite de la dé pensaient les percherons et que de au tribunal de. débouter Mme Heitz les" bidets de ces que la mère du jeune homme avait Cependant, deux personnes avaient La femme se met à rire. Deux* coups de sa -demandé." fiacre, bienfaiteurs inconscients. Et ce faites à sa fiancée. couverte d'une bombe, à la légation soété blessées: MM. Fernand Tissier, 28 "de feu éclatent. Mme Boireau s'écroule^ : Montpellier, 30 Avril.

Le rapport pendant, tous moineaux, gavroches viétique ces à Varsovie.

L'affaire a été .renvoyée, à quinzaine 1 * ans, et Georges Peignot, 29 ans, demeu morte. du doyen Fonzes-Diacon,— professeur àla, aériens, faisaient la gaieté de la rue. Ne ' rant tous deux 7, Cretet. Peu griè pour entendre les,conclusionsdu minis . pourrait-on dans les squares et jardins, M.. HERBEXTE CHEZ M. BRIAND vement atteints, rue Faculté de Pharmacie . . de Montpellier, Madrid Les élections générales après (J'al.,perdu la tête ! dit, classique tère .public. " : — au chargé d'analyser les ,restes de Mme créer des charmeurs officiels ? Ils nour "pansement à ~ ront lieu au mois de décembre prochain. "" > ' l'hôpital Lariboisière, les deux i blessés ment, Sauret. \ f avec de la mie de pain et des On sait déjà que le Parlement est con Vve Pitoiset, tante du docteur Laget, riraient M. Aristide.

Briand hier graines, matin, cette ailée reçu, purent leur domicile. gent a et archaïque qui regagner Mais l'accusation, se fondant sur cer » .

La Corogne, 30 Avril—Le ohalutief voqué et doit se réunir avant la lin de exhumée dernièrement à> Villeveyrac, ne nous rappellerait les Jour* heureux du M. », .

Herbette, ambassadeur de France à Après interrogatoire, Mondolini pris indices tain'! la® l'année. précis, a soutiendra Mariucha assez . sera pas déposé avant deux semaines. pasaé. a sombré. Sept personnes ont Moscou. le chemin du Dépôt, /i thèse ,de la préméditation..., été notées...-.

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AU FIL DES' SPORTS

Le Petit Journal

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CHRONIQUE DES DISQUES COURRIER D ES THÉÂTRES COURRIER DE LATJSLF. [e LES

Les aéro-clubs scolaires Bergeron* On connaît cette heureuse formulé de d l'après-midi d'un faune (5), subtile abrégé ou réduit, aussi éloigné du ment "nuancé par Colonne et Gabriel On parle sans cesse de propagande l'opéra ou de la sélection que les por Pierné, et la Marcheécossaise (2), par aéronautique,, à la façon des choristes pot-pourri tatifs de 1930 le sont des phonographes Pasdeloup et Inghelbrecht. des Hugenots chantant pendant des mi a pavillon d'il y-a un quart de siècle, et Excellents enregistrements d'orchestre, nutes interminables « Partons, partons », qui permet de réunir en cinq ou six dis encore, que ceux de Beatrix et Penedict tout en restant immobiles. On nous dit les éléments essentiels d'une œuvre (1), de Berlioz, et de deux admirables qu'il faut encourager l'aviation, mais on ques lyrique dont la reproduction intégrale cri préludes de chorals de Bach (1), parfeit peu dans cette .voie. On disante nécessiterait une vingtaine pour le l'Orchestre philharmonique de Berlin ; .or palabre, on se remuq, on banquette, moins. Grâce à l'idée de Hermann Wei- des Danses hongroises 5 et 6 (6), de on espère des récompenses, on fait des gerï et Hans Maeder, il devient possible Brahms, par la Garde républicaine ; de ronds dans le sable, c'est tout. de supprimer tout ce qui n'est pas im la.. Symphonie pastorale (3), par l'Opéra Et l'on a tendance à oublier ceux qui portant au point de vue musical ou in de Berlin ; de l'ouverture du Vaisseau travaillent vraiment, mais sans truit, dispensable au progrès de l'action. fantôme ; de la charmante Petite musi seuls pourtant'les tapage.

Ce sont sans Après le Freischutz, Lohengrin, Le que du soir (3) de Mozart ; de la Uabal'intérêt, qu'ils qui présentent de parce Barbier de Sévilie, La Chauve-Souris (1); nera (2) de Chabrier à qui l'on com ont la ft>i. de la nous arrive Carmen (1) ; comme les pré mence enfin à renùrt: justioe ;froide où cette de connais Je est Marsch 2), groupes (. cédents, le chef-d'œuvre de Bizet ; un peu ap Muldigungs . foi soit plus peu ardente, j>lus belle que pelé à rencontrer le meilleur accueil de la Chauve-Souris (6) dans une sélec dans les Aéro-Clubs scolaires et post- auprès de la grande majorité des ama tion bien faite et bien jouée, et même de scolaires, fondés par le regretté Henri teurs de musique mécanique, qui n'est Zavipa (7), de Hérold, qui paraît tou Bèrgeron, mort à la tâche. pas composée de millionnaires et qui doit jours un peu poussiéreuse-grand violon char à le flambeau transmit Il Maurice Maréchal, notre sa d'ailleurs de moins en mpiijs l'être. mante femme qui, moderne Vestale, Avec l'orchestre Lamoureux, dirigé par celliste a exhumé trois pièces de Caix l'empêche de s'éteindre* Albert Wolff, Mme Brohly est une bril d'Hervelois, dont la mélodie pure mérite émouvate Mme Bergeron, ' avec une lante Carmen,, tandis que Don José em cette vulgarisation, et que vous pourrez direction la piété, a tenu à conserver prunte à Henri Saint-Cricq une voix classer, à côté du Rigaudon de Dardanus Elle mari. de. l'œuvre entreprise par son généreuse que nous avons déjà entendue (2). par le quatuor Andolfi. n'a pas voulu voir d'autres — il y a dans des manifestations moins profanes, Si vous voulez danser, il vous sera loi toujours des ouvriers de la dernière et notamment dans le Partis Angelicus sible de faire appel au jazz de Sapi Woo-, heure — s'attribuerle bénéfice moral du (2), de Franck. : La musique vocale est ding (2), à moins que vous ne préfériez travail déjà accompli. Aidée de. jeunes largement et plus qu'honorablement re les tangos chantés d'Alina de Silva (2) apôtres, elle a donné à son association présentée dans, lès envois du mois qui ou de l'orchestre Pizarro (6), ou encore une extension qui ne fait que croître vient de s'écouler ; voici les Chanteurs Carlos-Gardel, (5) toujours (égal à luichaque année. De tous côtés, sur le ter de Saint-Nicolas, dans deux très "beaux même dans ses nostalgiques chants ar ritoire français, se créent des groupe chœurs a capella du XVI' siècle, dont le gentins. Enfin, quelques virtuoses vous ments autonomes, reliés au "bureau di O Jesu Christe (3), de Van Berchem : fourniront un appoint,suffisant pour une recteur. C'est la propagande la plus les chœurs de l'Opéra de Berlin, dans soirée au music-hall ; les accordéonistes sûre, la plus efficace, car elle s'adresse Fidelio (1) , et l'émouvant soprano de Vacher (5)^ou Alexander (7), les chan-; les génies de Hedwige von Debicka dans L'Alléluia teurs George] (7) — qui a été souvent aux jeunes d'où sortiront' emploieront l'avion (1). de Mozart. qui demain et ceux meilleur — et Amato (1) ainsi que le rubrique C'est, .plutôt dans chemin.de fer. cette, que siffleur Attic (7),.Alibert et.Ouvrard, le comme nous usons du , populaire, fils (2), beaucoup plus amusant et ori-, De multiples avantages sont, accordés sous l'étiquette de musique que nous préférons ranger les mélodies ginal dans d'autres morceaux de son aux aéro-clubs scolaires et post-scolai béarnaises, dont le naïf et large Bous abracadabrant répertoire de « troupier .cotisation modicité de la res, malgré la qu'éth bére (4V-. harmonisé par Philippe volublle ' Jean Coupet-Sarrailh. .

(5 francs par an). iCette année une grande fête sera or Gaubert lui-même (aurons-nous bientôt ganisée lé 25 mai, à l'aérodrome Mo- « Aquçros mountinos », dont les lettrés (1) Polydor, (2) Pathé, (3) Parlophone, rane-Saulnier, à Villacoublay : virtuo de noblesse remontent à Gaston Phœ- (4) La Voix de son Maître, (G) Odéon, (6) Columbia, (7) Edlson-Bell. sités, exercices de groupe, descentes en bus, « La haut sus la mountagn'os berdure mélanco Lou », et toutes ces parachute, vol à ' voile sur un planeur « construit entièrement par les adhérents, liques Muettes,- pendant qu'on les chante ?). Joi rien ne manquera. Il faut souhaiter que encore au pied des Pyrénées de folklore; prêteront notre gnons-y, pour rayon les as, comprenant leur devoir, airs les bretons, joués vieux sur la bom leur concours à cette manifestation.Bol- barde et le binioiMpar Le Guennec et Le D'ores et déjà> JjIme. Adrienne singulièrement Bouc; cette Gavotte de aviateurs et les Bsrnsteln, land, Mlle Lena Guéménée-sur-Scarff (3), dont beau les concur Vinchon, Albert seront parmi connaissent entraînants les motifs participation coup rents. Et l'entrée; pour la être fixés leur francs. Voilà sans provenance sur M. Roger BOURD1N, aux frais, tie sera que de.S n'oublions davantage la chanson pi prohibitifs pas tarifs de l'Opéra-Comlque : qui nous change des baryton que Suzanne Nivette détaille dé 188.706 Le Kol malgré lui « Romance ordinairement adoptés .pour des réunions carde La Belle est au jardin ." Cbabrlsr et oit les pro licieusement du Roi » (1" acte) au. but moins intéressant (3), d'amour laquelle malgré Victor lut C'est Alix, a tenues.

Le Bol un ami « pour « messes ne sont pas toujours Chabrier écrit il" acte) un accompagnement d'orchestre Mais la publicité et le tape à l'œil per qui n'est ARTISTIQUE L'ASSOCIATION pas indigne de ceux qu'il com mettent des miracles si décevants !.— DES CONCERTS COLONNE posa pour les « Echos de France ».

Jacques Mortane. • la direction de M. G. PIERNE : Si vous êtes assez éclectique pour ad» sous Prélude h l'après-mldl a un 123.689 mettre que l'amour de notre vieux ter {en.-2 parties)....- Debussy faune roir n'exclut pas celui des modernes, Mlle Lucienne RADISSE, violoncelliste: Ronchlm Napoll vous aurez le choix, outre le Pacific (5), 166.225 A ., Pergolése de Honegger, où l'évocation des monstres Sicilienne est fidèle jusqu'à la hantise, et L'orchestre de Danse «Odéon Mllltnry» COMEDIE DES CHAMPS-ELYSEES. — d'acier » nouvelle édition du Boléro- (1), dè 165.802 Quudrllle ûe. « La Mascotte Audràn •'Le Prof d'Anglais, comédie en, 3 ac- une 2', et 4* flg.)......

3" (1".

Ravel, dont l'exécution par l'orchestre 166:898 Quadrille de La Mascotte » « tes de M. Régis Gignoux.

Lamoureux sous la direction du maître Audran flg.)

(5» Régis GiJe ne puis que féliciter M;Théâtre, de en personne nous semble supérieure à Les Enfants terribles, mazurka. Corbin la précédente par Coppola. entre de BACH et HENRV LAVEKNE gnoux, car- il a donné au petit nombreux Debussy : au violon, La Fille 165.927 Chez le pharmacien (scène co M. JouVet une pièce qui est un Bach Lavsrne mique) chef-d'œuvre de gaîté originale, d'ob aux cheveux de lin (2), où l'archet \ resjuge, scène Bach taverne Gignoux Chez le M. fois d'esprit. a de Cantrelle s'affirme tigieux de corn. servation et une CUBAIN TYPIQUE L'OJKCIIESTRE plus comme celui d'un de nos meilleurs écrit une comédie légère- d'une saveur CABTELLANOS Maëstro E. du . exquise et qui ne- tombe. jamais, dans artistes. ; au piano, avec Lazare-Lévy 165.908 Bruno Zayas, Danzon cu amusé d'un dans les Trois Préludes (1) et Mariusle gros comique ; mais elle Castellanos bain ..................

Lavine Mi Tumbao, bout à" l'autre, Elle est, comme je vous François Gaillard dans Général Prélude Son cubain. Castellanos l'ai dit. curieusement construite, comme (5) : à l'orchestre, enfin, avec le :

AUJOURD'HUI : Théâtre 15 h. ECOUTEZ REPET1TÏON GENERALE..

ParlB P.T.T. : : Menuet<(Mozart); i PigaUe, 9 h. : Théâtre Jàpofaals (tragédie, C'est Paris Ciboulette (Hahn). — de« comédie, mimodrame, combats)...— Les 16- h. pas 80 Bordeaux-Lafayette Matinée portes seront fermées dès le lever du ri enfantine.; 20 n. ; Radio-Lyon ; Les

THEATRE"ANTOINE

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desProduifs régionaux «• <

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— Contes d'Hoffmann (Offenbach) •; Faust (Gnuiiod) Théâtrales Nouvelles Ave Maria (Schubert) ; .Espana (Chabrier). — 20 h. 45 Paris P.T.T. : OP$RA. — Le ténor'Thlll, de passage à Anniversaire de la mort de Musset : Chan de Fortunlo. musique d'Offenbach. — *••••••»•* Paris, paraîtra lundi dans Tannhauser, son i Ue h. : Petit Parisien : Ouverture da FlSUITE auprès de Mme Germaine Lubin et de M. 21 M. JEAN S ARMENT déllo (Beethoven) Petits Les Riens (Mo ; 300 Bons-pour Rouard. une photographie agran COMEDIE-FRANÇAISE.— Le program zart) ; Fête polonaises du Roi malgré lui dissement Sartony 30 x 40 qui sera exé (Chabrier), —; 21 h. .Radio-Paris ;• Sym cutée sur présentation-ou envol du bon de la matinée d'aujourd'hui est chan phonie Dimanche : MATINEE me en la (Messager)Fragments accompagné de la photographie a agran ge/ Au lieu d e'L'Ecole des Femmes, on symphonique des Alaïtres Chanteurs (Wa dir (Suite).

Jouera Le Voyage de 31. Pêrrichon. On gner).

21 h. : Radio-Maroc : Marche 608. M. Lefour, rue des Mécaniciens, 25, — commencera par tes Précieuses ridicules. nuptiale (Mendelssohn); Orphée (Gluck); Cité de Bulre (Aisne) ; 609. Mme Gentil, 3taGAITE-LYRIQUE. — M. Georges Le Tableau de Service vard Symphonie-en spl (Mozart) ; Sou Maiche,(Doubs) : 610. Mme Vallet, rue a mineur baryton Ponzlo pour une venir de théâtre (Schumann). a engagé le la Guichére, Ecoche (Loire) ; 611. M. Masde Barbier représentations du de AUJOURD'HUI ; serie ETRANGER. — 15 h. : National Daven- slcart, avenue du Maréchal Foch, NeulllySévilie,-nul auront lieu dans le courant try. : Chants.de Westminster. — 18 h. 40 : Plaisance (S.-et-O.) ; 612. M. Lebris, al .MATINEES. — Comédie-Française, 1 h; de mai. C'est le très grand succès rem i Londres : Vaudeville. — 23 h. : lée Jean-Jauréa, -Toulouse (Haute-Ga 45, Les Précieuses ridicules. Le Voyage de posté récemment a l'Opéra, dans le rôle Londres régional régional ronne) ; 613. M. Delaunay, Saint-Jean: Musique de danse.

M. Perrichan. — Opéra-Comique. 1 h. 45, de Figaro, par Ponzlo, qui a décide M. des-Essartlers (Calvados) ; • 614. M. CasLe Louise:' —• Odéon, Cid, Le Retxmr im Bravard à s'assurer de son concours. san, rue, Gai Grenier, 3, Avignon (VauIgu :.6 FRANCE, Vendredi 2 Mal prévu. " DATES RETENUES. — Ambigu : 6 imal, V cluse) 615. M. Chicot, Cannes-Ecluse des Cêlestin fait 12 h. Kadlo-I.yon, 291 m. 3. Concert, en-, enGaité-Lyrlque, Ch&telet, 2 h. 80 ; Am répétition généralede (S.-et-M.) ; 616. M. Quentin (père), rue Léon Jean Kolb tourloupettes, et' 12 h.

MM. Radlo-l'aris, bigu. 2 h. 45 ; -Daunou. Marigny, Mogador, de 1.724 m. Chants tradi de Marest, Camblin (P.-de-C.) ; 617. Mme tionnels du Comtat Venalssin ; Prières Savds, rue Henri Monnler, 2 h. 30 : Mlchodlëre, Nouveautés, 2 h. 45: Bellères.

12. Paris ; 618.

Palais-Royal, 2 h. 30 ; Porte-Saint-Mar Gymnase, 7 mal, répétition générale . Journalières de Darius Milhaud, avec le Mme Macker, rue Henri Monnler, — Félix 12, Pa tin, 2 h. 15, même spectacle que le soir. de : (reprise), de M. Henry Bernsteln. - concours de MM.. Charles Gradwohl, ris ; 619. Mme Bloch, square Maubeuge, Edgard Monys et Jean Manuel.

6, Paris ; 620. M. Pujol, quartier do l'Oae12 h. 25 Paris P.T.T., 447 m. Concert rale. Le Pontet (Vaucluse) : 621. M. VI12 h. 30 Lille P.T.T., 265 m. Concert. latte l'Oserale par Le Pontet (Vau 12 h. 30 Radio-l'aris, 1.724 m. 1. Disques: cluse) a 622. M. Denis, ; rue Pasteur, 57, « Quelques œuvres de Anton - Dvorak Llqncourt (Oise) : 623. Mme Martyr," rue (1841-1904) » : Symphonie du nouveau Sonsois, 10. Châtlllon-sur-Selne (Côtemonde. Humoresque,' Vtlse en la ma ci'Or) ; 624. ,. jeur, Quatuor en fa, Danses slaves Fournier, 2, M. Matray Goyet, rue J.-B. Bourg-de-Thlzy (Rhône) : (1-2-3-4).

625, M. Qulquandon, rue Pasteur, 10, 12 h. 30 Radio L.L., .368 m. Concert.

Bourg-de-Thizy (Rhône) : 626. Mme De12 h. 30 Radio-Lyon, 291 m. 3. Concert. morez, Equipages Mnes, Blanzy-Montceau12 h. 80 Radio-Maroc, 414 m. Concert. les-Mines (S.-et-L.) 627. Mme Varlgny.

12 h. 45 Marseille P.T.T., 316 m. Disques. rue de Joinville. 55,; Fontenay-sous-Bols.

13 h. Radio-Toulouse, 381 m.> Clarinettes, (Seine) ; 628. M. Jean, rue de iNogent, 30, 13 h, Nice-Juan-les-l'ljis, 248 ,m. Concert. Fontena'y-sous-Bois.

(Seine).

• 13 h. 25 Paris P.T.T., 447 m. Jazz.

200 Colis de 10 kilos, produits Capl14 h. 30 Paris P.T.T., 447 m. DiBqués. ta» (Pâtes alimentaires diverses). — 62S, 15 h. 80 Bordeaux-Lafayette, 304 m. Mu M. Lusson, La Personnlêre,.Botz-en-Mau» sique de. chambre. i. ".es (M.-et-L.) : 630. Mme Bussiére, Mon 16 h. 45 Radio-Paris, 1.724 m., 1. Concert: tée de la Grande côte, 91-, Lyon (Rhône) ; Dans les nids cachés (Hermann) ; 631. M. Bertrand, avenue de la Gare, 14, Quatre, chants populaires arméniens Nevers (Nièvre) ; 632. Mme Lafay, place MAI, 1*' ( Dlran-Alexianlan) ; Scène d'amour Jules Ferry, 8, Tarare (Rhône) ; 633. M. (Roubaud) ; Prélude en si bémol mi Colin, avenue Damplerre, 121, ValencleniPRESENTATION A BUREAUX FERMES neur (Defossé) ; Rondo brillant (We- nes (Nord) : 634. M. Vidallne, rue natio ber) ; Ce soir-Iâ.,. ( Dunals Harry-Ber-? nale, 28, Clermont-l'Hérault (Hérault) i ; de la grande production française vlly) ; Sonate (Leclalr) ; Izeyl, orches- 635. Mlle Mesnard, rue de la Boucherie, Limoges (Haute-Vienne) 636. tre (Pierné).

Sallca, entièrement SONORE et PARLANTE de 16. h. Rudio-AIaroc; 418 m. Disques. de l'Eglise, Nouvion rue et Catlllon (Aisne) ; 637. Mme Lépine August'6, 16 h. 30 Marseille P.T.T., 816 m. Concert Meaux-Magny (Rhône) : 638. Mme Chi symphonique.

I cot, Cannes-Ecluses (S.-et-M.) ; 639.. M. 18 h. Radio-Toulouse, 381 m. Danse.

18 h. 35 Radio-Toulouse, 381 m. Tangos Gros, rue de la Barre, Nort-aur-Erdre (Loire-Inférieure) ;, 640. M. Lorlon, bou chantés. levard Guynemer, 37. Vlry-Châtlllon (£].19 h. Itadio-Toulouse, 381 m. Mélodies. et-O.) 19 h, 30 Radio-Toulouse, 381 m. Orches : 641. M. d'Hallevln, 43, rue Delambre, Paris ; 642. Mme Dolteau, 9, tre viennois.

Vavin, Paris ; 643. M. Thomas, 64, rue 20 h. Radio-Lyon, 291 m. 8. Concert. du Faubourg Salnt-Denls, Paris ; 644. rue 14.

20 h. Radio-Maroc, 414 m. Concert.

Drouln rue Mansigny, Etrépagny (Eure|i ; 20 h, Petit Parisien, 329 m. Jazz, 645, Mme Pottler a Couesmes-en-Froullip 20 h. 15 Lille P.T.T., 265 m. Concert.

646. M. Faucher, 15. boule 20 h. 20 Tour Eiffel, 1.445 m. Concert : (Mayenne) Lafayette. vard Clermont-Ferrand (PuyMozart (Hahn) ; Chanson d'amour de-Dôme) 647. M. .

Prost; 48, rue de l'Ar: (Schubert) ; Troublez-moi/(Moretti) ;Le Creusot (Saône-et,-Loire) : 648, Les Saltimbanques (Ganne-Casade- tlllerle.

Royer, 16, cité de, la Lorraine, Vmd'après le célèbre roman sus), fragments d'opérettçs Le Ma Mme(Vosges) 649. M. Jumentler, place de Mme lluguette Garnler cey riage au tambour (Vasseur) ; L'amour Carnot, Douai : (Nord) : 650. M. Waelkens, masqué, Monsieur. . Beaucalre, Isollne 203, du Tilleul, Tourcoing rue (Nord) ; (Messager).

Alice ROBERTE 20 h. 25 Radio-Toulouse, 381 m. Chant, 651.' M. Legrand, rue François Delavlsne, Amiens (Somme) : 852. Mf. Grenier, 143.

-opéra-comique et opérette.

Chabeull, Valence-sur-Rhône avenue 20 h. 30 Radlo-Vltus,' 809 m. Concert : (Drôme) de 653.

André ROANNE M. Legros, 10, rue Victor ; Poète et Payasn- (Suppé) ; Les Pê Hugo, Pont-à-Mousson (M.et-M.) : 8 ,'i4. cheurs de perles (Bizet) i; Chant hin-' M. Laculsse. 10, rue de Talllerand, dou (Rlmsky-Korsakoff) : Chant In (Marne) ; 655.'M. Rage, 32. rue deReims I M. de CANONGE l'Ali dien (Friml) ; Cavallerla rusticana* gulllerie, Montpellier (Hérault) ; 8(i6.

(Mascagni) ; La Rose noire (Aubry) ; Mme Coûtant, rue Sainte-Geneviève,Laon SuzyPIERSON Ce n'est que votre main (Erwln) ; Les (Aisne) 657. Mme PraJtfUx a Montlgny; deux pigeons. fur-Aube (Côte-d'Or) : 658. Mme Lapen20 h. 30 Radio L.L., 369 m. Concert î Ou drle. 3, ,rue Roanne (Loire) : 659'. verture de Poète et Paysan (Suppé) ; M. Lhayraud, Gaz, 27, Florlan, Aies (Gard). rue bleus : : L'aurore sur la lande;/ Pastels (A Suivre,) d'Orient (Tshesuokoff) ; Le Joyeux postillon (Pesse) ; Valse en si bémol Ces lauréats n'ont aucune erreur dans . (Fauchey) ; Sérénade (Schiff) ; La' leurs réponses d la question principale Princesse c^ardas (Kalman) : Airs de (40 villes).!

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X H I. I I II dia caractères et au Behrems (violon et piano) : Romance, La correction de leurs solutions plutôt grâce aux rest Hier, Le Tremblay Souvenir d'Italie, Chanson du Maitre,: alors poursuivie (suivant le même logue, qu'à l'action qui, est inexistante. procédé Légende boîte : M. André Pascal et Mlle Sue ci-dessus) Un répétiteur d'anglais dans une sur leurs réponses d Ut francs," C'est en avril 1931 que l'Exposition Henriette (apprentis), 8.000 Roget ; Trois pièces pour euxiéme question Sultan fert Prix épousé bachot, Valfine, une à a subsidiaire.

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Jacob • époux de se d'Auge. — 9 part. — 1/2 1„ 8/4 !.. 2 1. n en à tirer son : Suite pour violon seul (Pas celles des nations étrangères y partici 21 h. Marseille P.T.T., 316 m. Concert. ^ GAUMONT-PALACE inédites.

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ETRANGER Introduction comment M. etc...

Allegro Triomphale,' etc., demandez Sieglinde, et Tempo dl miet vous vous -' ; vitera autour >du Palais d'Angkor, re sance II (tombé), nuetto( Phillpp) ; Nerto, Les blondes 12 h: National Daventry, 1.554 m. 4. So CIRQUE. MEDRANO, 8 h. 80 : L'éCUyer Gignoux a pu bâtir trois actes çhar- Aiglonne IV (tombé), Poreuse, -r 15 part. production exacte de «lui qui - -dressé indolences (Widor) ; Nerto, La ZigaRoberto de Vasconcellos : les clowns Calnates (Mozart, Beethoven).

1/2 1„ 11., 8 1. mauts là-dessus ? Je vous le repète, —Mutuel. dans le ciel d'Extrême-Orient ses den liés rella (Widor), l'auteur 12 h. Midland régional, 479 m. Cotacert.

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123.75, 123.50, mal-juin 133.50, 123.2G, 123.50, 4 de mal 122.50, 122.25, 122, 121.75, juijl.-août 120.25, 120, 119.75 tous' payés.

— Farine-fleur : cote officielle 188, cour.

178, mai 170, mai-juin 170, 4 de mai 170, Juill.-août 166.50 tous nominaux. — Maïs base de liqùld. 103, cour. 102, mai.95, 4 de mai 95, 4 de juill. 92, 6 de juill. 90, tous nominaux. — Seigles : cote officielle 75, cour. 72, mal 76, mai-Juin 78, 4 de mai 78, juill.-août 82, tous nominaux. — Avoi nes diverses : cote officielle, 66, courant 70.75, mai 64.25, 64, 63.75, 63.50, 63,75, mai-juin 63.60, 63.25, 63, 62.76, 62.50, 4 de mai 62.75, 63, julll.-août 63, 62.75, tous payés. — Orge de brasserie : cote officiel le 75.50, cour. 76 N, mal W S, mal-juin 74 P, 4 d.e mai «5 V, julll.-août 72 V. — Sucre : cour. 234, 233.50, 233, 232.50, mal 234, 233.50, juin 234.50, 234, 3 de mal 234.50, 234, 3, de juin 235, 234.50, sept.

228.50, 229, 3 d'ofct. 219.50, 219, 3 de nov.

219.50, 219, tous payés.— Alcools libres :

cour. 740 P. • Farine de consommation (cote officieu se de la farine établie par la Chambre syndicale de l'industrie meunière pari sienne) : -191, Physionomie de la Bourse de Commerce Blés : Tendance faible en sympathie avec une baisse sensible des marchés de province et cours en perte de 4.75 à 1 76 Avoi — Farine-fleur : sans affaires. nes : pour le même motif que— le blé, l'avoine rétrograde de 1.75 à 2.50. — Sei gles ; cours nominaux, sans affaires.

— Sucres : le sucre termine aux environs des cours d'hier 15 heures. — Alcools li bres : calme, assez bon courant d'affai res., — Huiles : sans affaires.

HALLE AU BLE (Paris, 30 Avril) En blés, la tendance est faible, l'offre débordant largement la. demande. En avoines, marche également faible en sym pathie aveo le ble ; petite demande. Le marché est nul en orges. Escourgeons sans affaires. La lourdeur domine sur les sons. On cote très approximativement aux 100 kilos départ ; Blés (76-77 kilos)- : Beauce, Loiret 121 à 122, Touralne, Indre, Poitou, Loir-etCher 120 à 121. Allier, Cher, Nièvre 123 à 124, Vendée, Anjou, Loire-Inférieure 114 à nq, Oise, Some, Aisne 122 à. 124. Nord, Pas-de-Calais 123 à 124, Aube, Marne, Selne-et-Marne 122 à 123, Yonne, Côte-U'Or 123 à 124, Sarthe-Mayenne 117 à 118. — Seigles : Bretagne 61 à. 62, autres régions 65 à 67. — Sarrasins : Bretagne 82 a 83.

Avoltifes : grises Beauoe, Eure, Brie 61 à— 62, grises ni ver Poitou, Centre 60 à 61, noires Brétagne 59 à 63, grises 68 à, 62, bigarrées 54 a 55, jaunes et blanches 59 à 60, ligowo 60 à-61.

Orges : de brasserie, Beauce G9 70, —• Gâtiliais 70 à .

71, Sarthe-Mayenne 70 b, 71, Berry 70 à 71, Champagne 73 à 74. — Escourgeons : bonnes qualités, Beauoe 68 à 69, Poitou, Charentes 66 à 67. Oise, Aisne, Champa Sons ; dlsp. ordinaires gne 69 à 70.

37 à 40, belles—Qualités 42 a 45.

Marché de la CHAPELLE, Paris, 30 Avril Fourrages. — Paille de blé : prem. quai.

190, deux. 175 & 185, trois. 160 à 170.

— Paille de seigle : prem. quai. 190, deux, quai. 175 à 185, trois, 160 à 170. — Paille d'avoine : prem. quai. 185, deux, 170 à 180, trois. 155 à 165. —- Foin : prem. quai. 380, deux. 355 6. 370, trois. 335 à 360. — Luzerne ; prem, quai. 395, deux.

370 à, 386. trois. 350 & 360. >— Regain : prem. 385, deux. 360 à 370, trojs. 340 â 345.

SUIFS (Paris, 30 Avril) Cours officiel du suif indigène nu 43° 1/2, franco Paris, 365 contre 367.60 la se maine passée. —: Cours commercial du suif en branches au rendement de 70 0/0, frais de fonte en moins, 255.50 oontre 257.25 mercredi dernier.

MARCHE DES INNOCENTS Pommes de terre (Paris, 30 Avril) Les stocks de l'ancienne récolte s'épulsant. on note une certaine plus-value sur les Esterling du Nord, les autres caté gories sont «ans changement notable. On cote approximativement 100 kilos départ : Esterling du Nord.aux 40 à 43 : Sau cisses de Bretagne, 20 fc 21 ; Institut de Beauvals de Bretagne, 20 : Saucisses rou ges du Loiret. 20 a 21 : Fin de Siècle de Bretagne, J6 à 17: Royale d'Orlé%ns, 15; Rosa Ardennes. Marne. 40.

MARCHE DU HAVRE (Clôt.), 30 Avril Cotons : 1anv. 495. fev. 496, mars 496, mai 503, juin 504. juill. 604, août 600, sept.-497, «et 494 no*, 493, déo.-4£)4. Ten dance facile. Ventes : 3.550 ^balles. — Cafés : janv. 2o4. fev. 252.25, mars 253, avril 286.25. mai.275,25, juin 272.25, lui».

266.60, aoû'u 2yu.u0, ^ui, oct. 259.60, nov. 258.50. déc. 256. Tendance faible.

Ventes ; 1.250 sacs. •— Laines ; avril 900, mal 900, juin 900, Juill. 900, août 900. sept. 900. oct. 900 Tendance calme.

Marché de LIVERPOOL (Clôt.), 30 Avril Cotons américains : mai 8.14, juin 8.11, Juill. 8.10, août 8.02, sept. 7.97, oct. 7.92, nov. 7.91, déc. 7.92, janv. 7.92, fév. 7.94, mars 7.90, avril (1931) 7.98, mal (1931) 8.

MARCHE D'ALEXANDRIE(Clôt.) 30 Avril Cotons : Ahsmouni, juin 19.84, août 18.70, oct. 17.75, déc. 18.04, fév. 18.42. Bar kellarldis, mai 28, juill. 27.30, nov. 25.80,

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Feuilleton du Petit Journal. 1" Mal 1930

L h MAISON

sans enfant grand roman passionnel et dramatique

par Maxime La Tour g TROISIEME PARTIE

LA FAUTE DE SIMONE

VII. — Le drame (suite)

Simone s'affolé encore davantage.Elle n'ose toujours pas cesser de regar der sa victime, et cependant, il lui faut chercher quelque chose pour s'envelopper et dissimuler ainsi les taches accusatrices.

Pas à pas, toujours face au corps de Ju lien Martin, elle est arrivée tout près de

la porte.

Un vêtement de couleur sombre pend en cet endroit accroché à la patère du porte manteau.

Elle reconnaît la cape du soir de drap soveux et léger, dans laquelle le Jeune homme aime à se tiraper pour aller au casino.

Simone, s'en est emparée.

Elle s'y enroule et quitte enfin la cham bre tragique.

Derrière elle, le pêne claque sèchement serre nerveusement la cape noire autour de son corps frêle. dans la serrure. # Devant ellç, il y a un homme tnaalmé, ' Sur le palier, où trois heures auparavant elle marchait d'un pas si sûr, elle hésite et couché dans une flaque de sang..» cli&nc6lle.

C'est l'obsession, le caucher'Sx qui la Devant ses yeux, 11 y a comme un brouil poursuit et dont elle ne ptat se dé lard de sang qui l'empêche de reconnaître faire. son chemin.

Du reste, elle n'aurait pas l'énergie de Heureusement, c'est l'heure du dîner, 11 lutter; n'y a personne dans les couloirs, personne C'est à peine si elle à la force de se sou dans les escaliers. tenir encore.

D'en bas. de la salle à manger et du jar L'effort de tout à l'heure a été si rude din fleûri ou l'on dîne sous les pommiers, qu'il l'a anéantie et qu'elle est près de monte le bruit des cristaux qui se mêle au s'évanouir. bourdonnement des conversations et à la Déjà, voici les premières maisons; bien mélodie d'un orchestre jouant en-sourdine. tôt elle sera aux « Glycines ».

Va-t-il falloir traverser les lumières, se A l'entrée de service l trouve-t-elle la montrer aux dîneurs ? Pour ne pas tom présence d'esprit de commander au chauf ber, Simone doit s'appuyer à la rampe du feur. grand escalier.

Docile, le domestique obéit.

Mais non, voici la cour où les arbres bas, prend le raccourci, ét par une petite éclairés d'en haut projettent d'étranges rue11 aboutit aux communs do la villa. ombres.

Simone se glisse comme une marau L'auto est là, tout près, qui attend pa deuse par la porte réservée au personnel. tiemment ainsi que son chauffeur somno La voici dans le jardin. lent, A présent, il lui faut gagner la maison.

Simone s'engouffre dans la voiture plu Le jour s'achève. tôt qu'elle n'y monte, par le soleil mourant, des nua • — Vite, à la maison, commande-t-elle gesColorés rouges courent dans le ciel. d'une voix brève presque sans timbre.

Leur reflet sur le sable des allées fait Le ruban de la route se déroule dans la lumière blonde de la lin du jour, et les tressaillir la jeune femme.

Elle croit y voir le sang de Julien. poussières du chemin semblent de l'or qui vole.

Ne va-t-elle plus pouvoir vivre sans que Mais la Jeune femme ne volt rien, ne toujours s'impose à elle l'horrible vision de son crime ? pense à rien, Aveuglée par une vision terrible, «lie Ses pas alourdis traînent au sol et les

BOURSE DE PARIS DU 30

•

BOURSE de COMMERCE de PARIS Blés

V. «j»

Une très grande Irrégularité règne sur tout le marché dès l'ouverture. De nou veaux et nombreux dégagements pèsent sur l'ensemble de la cote. Puis en séance la tendance s'alourdit nettement. Les af. faires sont peu actives. On finit dans les plus bas cours et en molns-value parfois sensible sur les niveaux de la veille.

La liquidation de fin de mois s'effectue normalement. L'argent est à, 2 3/4 % au Parquet, contre 2 1/2 % à la dernière échéance. Mais 11 faut teïiir compte que beaucoup de malsons qui fournissent ha bituellement des capitaux au Marché pour les reports préparent leurs souscriptions aux actions de la Banque des Règlements Internationaux, ce qui les oblige k con server par devers elles une somme impor tante. En Coulisse, l'argent vaut 5 1/2 %.

Les avis des places étrangères sont peu satisfaisants et en clôture la tendance res te faible. Le découvert, profitant de l'am biance défavorable, pèse d'ailleurs sur les cours et comme la contre-partie se dérobe 11 est relativement facile d'obtenir des re culs sensibles.

Au parquet les Rentes françaises ellesmêmes sont en baisse, le 3 % perpétuel

à 87,05 contre 87,85, le 6 % 1920 à 188,10 contre 133,85. Les Banques abandonent du terrain : Banque dé France 24200 contre 24875. Crédit Foncier 5636 contre 5725.

Cependant la Banque de Paris est résis tante à. 3100. Aux chemins de fer, le Nord revient de 2530 à 2450. Les transports en communales valeurs de navigation, les valeurs de métallurgie et d'automobiles, les titres d'électricité, de produits chi miques, de charbonnages sont en molnsvalue.

Le Rio perd 110 fr., le Suez 375 lr„ l'Azote 129 fr., la Royal Dutch 35 fr., la Banque Ottomane 30 fr„ la Banque du Mexique 36 fr. Le Foncier Egyptien, la Central Mining, les Fonds Ottomans tous bien tenus.

En coulisse les diamantifères et les mi nes d'or font assez bonne contenance. Les cuprifères, les caoutchoucs et les pétroles sont faibles.

Informations financières et économiques

AVRIL 1920

VALEURS SE NEGOCIANT A TERME ET AU COMPTANT J

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^ perpétuel

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Banque d'Algérie.. 1U80Û 16825 . 16750 Banq. Nat. deOéd. 1635 1600 10 fit) .

Ba*iq, Perla P .*Bps. 3105 .. US .. 3125 •. . :: 2165 ..

Banq. Union Paris., 215Q ,,

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CompagnieAkrer.. 2305 Gomp. Nat. d'Esc.. Iti65 Crédit Com. Franco 1620 Créd.Fonc. France 5725 Crédit Lyonnais..., 3165 Crédit MobilierFr. 8C5 Société Générale.,, 1815 Rente Foncière..., 1223 Sté Gèn. Foncière.. 605

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18475 ..

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Société Civile.. 25750 1156 1605 1240

Midi

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2530 Orléans 1373 Santa-Fê 2775 Métropolitain 1323 Lyonn, deg Baux..! 3570 DiBtnb. Electricité. 3480 Cic Gén. d'Eloctr.., 3635 KJeclr.de )a Seine., 1042 Electr.Gaz Nord,., 1213 Thomson 1115 E!eelro-M«t.D(ves. 2640 ForpeaNord et Set, 1601 Tréitleriçs Havre,, Citroën (actions)... 2255 1025

Peugeot..

847 Goiimàres.

1583 Letis 1324 » Vieoigne-Nœux..., 1470 Boléo 320 Penarroya...

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Union Europénne,.. 1905 1845

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1560 1282 1420 306 1080 1965 1070 940

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2060 940 1980 1930

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735 985 , 2810

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VALEURS SE NEGOCIANT AU COMPTANT

Banque dè Paris et des Pays-Bas

Il est rappelé que l'Assemblée Générale VALEURS Cours Cours VALEURS Cours Cours du 15 avril 1930 a fixé le montant du di préçéd- du jour précéd, du jour vidende pour l'Exercice 1929 à fr. 100. par action, sur lesquels un acompte de fr. 25 1152 .'.,1160 Grand-Combe..., PARQUET 1216 ..1202 fin U?m' a été payé le 23 décembre 1929, et a décidé 4 % 1025 (gar. ch.). .,(5605 . d'Algérie.

5755 le solde, que soit fr. 75, serait payé le 7 6% 1927 4600 ..4605 ..

Guergour .. mal 1930, sous déduction des Impôts éta «28......... ..

Mokta ol Hadld ... 10050.. 10005.. blis par les lois en vigueur, soit à raison Obïigat. 6 0/0 1927.

3240 3200 Ouenza Bons Très. 5% 1924 SainUGobaln^...... 5240 .. 5-500 .. de fr. .63 par action nominative et fr. 63,48 1% Rhône Poulenc.., 8640 2610 . par action au porteur, contre remise du 7 % 1026 1927 Bozel-Maletra 1.* coupon n" 106 au siège Social à Parla et Cais. Aut.4^%1929 Suer. Brésiliennes 585 571 i!

Gréd.

National 1919 228 Coloniales 230 aux succursales de la Banque à Amster — 1920 Agence Havas...... 1419 .. nia .. dam, à Bruxelles, à Genève.

Le problème de 1-azote Depuis longtemps déjà le marché de l'azote et des engrais artificiels en général traverse une crise sévère de surproduction.

Cependant les principales sociétés intéres sées loin de restreindre leur activité ont.

au contraire, très largement augmenté celle-ci sans tenir aucun compte des pos sibilités du marché. La crise, naturelle ment,. s'en est trouvée aggravée. A tel point que les principaux producteurs se sont réunis en conférence Internationale, récemment, à Paris, dans le but da cher cher un terrain d'entente entre le groupe anglo-germano-chllien et ,1e groupe fran co-belge. Or cette conférence, contraire ment a tous les espoirs qu'avalent pu faire naître les difficultés mêmes au milieu des quelles se débattent les producteurs, a la mentablement échoué en raison, dît-on, de l'intransigeance des délégués améri cains. C'est fâcheux pour l'ensemble de cette industrie. Empressons-nous de dire toutefois que la France Jouit situation privilégiée en ce sens qued'une sa consommatlon qui s'accroît régulièrement est su périeure à sa production. Cependant 11 est a craindre que l'échec de cette conférenae ait pour résultat de précipiter la conclu sion d'une entente entre les producteurs chiliens pour une stabilisation des prix des nitrates, Il serait en effet question de la création d'une société au capital de 75 millions de livres qui aurait pour ob jet de réorganiser toutes les Compagnies chiliennes productrices. Le gouvernement ohillen prendrait un Intérêt de 50 % dans cette société et en échange abolirait to talement les droits d'exportation les nitrates. On voit le danger. Il estsur consi dérable et nous aimons à croire qu'il sera compris des membres, de l'ex-conférence de l'azote. Une nouvelle baisse dès prix des engrais artificiels serait catastrophique pour la plupart des sociétés productrices qui viennent d'engager de gros capitaux dans le développement de leurs installatlons.

— — déc.

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MessageriesMarit, Electricit. dp Paria Energie Industr.,..

Union d'Electricité Matfldano Cuivres «t Pyrites AguUas Nickel

iilec. Seine part

Sosnowice Joumont Câbles télégraph.

Forgea de Firquny Aciéries de France Longwy Michevllle Paris-Outreau ....

Chant, de .oire St-N(ualre — Méditerranée —

ChàtH.-Commentry Denaln-Anzin

Pontgibaud Pivea-Ulle..

Aciéries Marine.

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Marchés étrangers Berlin, 30 Avril.

Les affaires sont tou jours très calmes — et les cours fléchissent des l'ouverture. Les pertes vont de un à deux point». Les Potasses supportent nombreuses prises de bénéfices ; par ailde leurs Siemens recule assez fortement sur d'importantes ventes pour compte étran ger. La baisse du cuivre pèse sur les Cuprifères. On note par contre la résis tance de Farben sur la nouvelle de la con clusion de contrats le Trust Chimique anglais. En séance, par la tendance reste i"aible et l'on finit sur une note peu satis

tions sont encore plus restreintes que d'habitude, Cependant la tendance géné rale est un peu plus soutenue, On note des demandes plus importantes sur les Fonds d'Etats et Chemins anglais. Les va leurs Industrielles s'inscrivent en légère reprise, notamment les Gramophones. Pé troles calmes mais résistants. La baisse du cuivre pèse sur les Cuprifères et sur les mines rhodéslennes. Mines d'or et de dla

mant indécises.

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L'annonce de l'abolition de la taxe

d'Etat de débarquement et d'embarque ment a donné lieu à quelques erreurs d'interprétation, certains ayant pu croire que les passagers n'auraient plus désor mais .aucune somme à débourser il leur

Soins à donner aux vins

1005 1G02

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CHANGES

Canada

1004 1011

SOCIETE GENERALE #

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Bilan au 28 Février 1930 ACTIF Espèces en caisse, au Trrésor et à -la Banque 836.006.324 20 de France Avoirs dans les Ban ques et chez les Cor 2.327.309,350 47 respondants Portefeuille Effets et Bons de la Déf. Nat... 6.059.278.027 65 154.989.367 56 Coupons à encaisser-• 161.498.716 07 Reports

596.828.516 87 Avances sur garanties..

Comptes cour- divers.. 8,182.446.236 02 Rentes, Actions, Bons et

et Obligations Participations financières Immeubles et Immobi lières parisienne et dé partementale Comptes d'ordre .......

Actionnaires Acompte de l'Exercice..

Jjes vins qui contiennent encore du

sucre non fermenté sont souvent la proie des maladies de toutes sortes.

Pour éviter ces maladies et soigner vos vins lisez dans le n" 1764 du

Petit Journal Agricole

l'article de M, G. Buchet.

Ce numéro contre 0 fr. 60 chez tous

les marchands de journaux et 01,

Paris, 9e.

graviers qu'elle remue lui semblent des Vin, — Arrêtée chaînes qu'elle tire après elle..

A six heures, et demie, Jacques ayant Enfin, voici la maison. suffisamment perdu au baccarat et à la Simone va l'atteindre. roulette, avait quitté le casino pour re Mais elle appréhende un nouveau dan* prendre le chemin des « Glycines », ger Le temps était si beau, l'air si pur, qu'il Ne va-t-elle pas rencontrer son mari et n'avait pu se défendre du désir de flâner son frère ?

• Heureusement qu'en ce moment ni l'un tout en entrant chez lui.

C'était justement le moment où la plage, ni l'autre n'errent par les escaliers. .s'anlmant d'une foule élégante, offrait le Sans doute, Jacques et Paul demeurés sur la terrasse du salon doivent guetter le coup d'oeil le plus pittoresque.

Jacques s'était amusé à se mêler un peu retour de la retardataire. ' D'autre part, les domestiques sont à l'of à tout ce monde dont les ridicules lui sem blaient toujours du plus haut comique. fice. attendant l'ordre de servir.

Et puis, 11 était rentré.^ Le chemin est libre jusqu'à sa chambre.

Un moment, il avait tourné, et fait les Simone n'y court pas, elle y vole. pas dans la villa.

Une nouvelle force la soutient et l'em cent NI Paul ni Simone n'étalent là. pêche de tomber dans l'escalier où elle Sans doute le frère et là sœur, entraînés bute aux marches.

Mais, une fois franchi le seuil de l'asile par des amis rencontrés, avaient-ils été où elle vient se réfugier, cette force l'a prendre l'apéritif dans quelque endroit en vogue. . bandonne.

Ils seraient de retour tout à l'heure, Cette fois, Simone n'en peut plus. dîner.

Elle doit s'appuyer aux murs, chercher pour Jacques avait consulté sa montre, elle un soutien aux meubles pour faire un pas. marquait sept heures moins cinq.

En vain tente-t-elle de se défaire de la Aux « Glycines », on se mettait d'ordi cape qui l'enveloppe; elle ne réussit pas à naire à table à sept heures et demie. en dérouler le drap.

C'est tout juste si elle parvient à arra — 11 est temps que j'aille remettre un cher de sa tête la grande capeline blan peu d'ordre dans ma toilette, se dit le jeu che qui tient ses boucles prisonnières. ne homme, pressé de secùûer la poussière de cette brûlante journée.

L'effort qu'elle a dû faire pour accom plir ce mouvement achève de l'anéantir, A peine arrivait-il à la salle de bains et elle tombe, sans connaissance, sur son que la sonnerie du téléphone se faisait en Ut. tendre.

Capital

PASSIF ;

Réserves Bénéfices reportés à nou

33.820.037 82 25.649:440 90

71.397.038 75 129.159.964 83 305.614.500 » 12.500.000 » 13.896.498.011 14 623.000.000 » 306.573.348 68

19.015.494 54 veau " ét à dividendes Intérêts 4.470.559 10 payer aux actionnaires Comptes de chèques.... 3,722 932.367 66 383.739.400 » Dépôts à échéance fixe,, Comptes courants dlv... 8.090.381.620 33 Acceptations à payer.... 356.229.564 28 389.155.766 55 Comptes d'ordre .......

13.896.498.011 14

Bientôt, le valet de chambre était venu prévenir Jacques.

Madame venait de téléphoner pour sa

voir si Monsieur était rentré.

Peu surpris de cette question de ça fem me, le maître de maison était bientôt re descendu au salon-

Paul ne devait pas tarder à l'y rejoindre.

— Tu es seul, mon vieux ? avait ques tionné le jeune homme.

Mais oui, je vous attendais, Simone et toi.—Au fait, qu'en as-tu fait, de Simone ?

Rien. Ou plutôt si, elle m'a laissé tomber aux courses, à Trouville, et je suis revenu avec les d'Hautmont. Elle n'est pas rentrée, ma noble sœur ?

—

— Non, seulement elle

a téléphoné.

D'où ça.

— Je ne sais pas, c'est Joseph qui a ré pondu.

— Et qu'est-ce qu'elle voulait ?

— Savoir si j'étais là.

—Eh bien, mon vieux, rallia Paul Josserand, tu en as de la veine, toi ! Ta fem me s'occupe de toi,.même en son absence ; à notre époque c'est rare !

Tous deux rirent un moment.

Et puis, Paul se mit à donner des dé tails sur sa journée, sur les bourses van tant les gagnants qu'il avait joués, décriant les autres, faisant un tableau amusant et caricatural du public.

— Simone a eu un de ces succès i dit-Il enfin. Mais, un succès dont tu n'as pas idée !

(A suivre) —

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(1 dollar)...

Danemark (100 c.).

Espagne (100 pes.).

Hollande (100 fl. .

Hongrie (100 pen.i.

Ilalio (100 lires)....

Norvège (100 cour.)

1905 2 5£ % Roumanie (100 loi)..

1910 2 Serbie (100 dinars).

1910 3% Suede (100 cour.)..., 1912 3%...., Suisse (100 francs). ..

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Bakou...) (part).

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482

arrivée en France ou à leur départ, Cette façon de voir est erronée. La taxe de débarquement et d'embarque ment, établie par l'article 69 de la loi du 27 décembre 1927 a été abolie par le Parlement.

Toutefois, les passagers ont toujours à payer daps les ports français comme faisante. dans beaucoup d'autres, certaines légères Au marché monétaire, l'argent au Jour redevances péages, droits de quai, le jour vaut 5 1/2 à 7 1/2 % et l'argent etc., dont ledites est destiné à l'amé au mois 5 1/2 & 6 1/2 %. L'escompte privé nagement et produit l'assainissement des ports. a. revient 4 4 1/4%.

Londres, 30 Avril.

Le Stock Exchange devant être clos le — 1" mai, les transac

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Monîbard-Auînoye

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Industr. Pétroles. 1010 ..

Lille-Bon.-Colomb. 780 ..

Poliet et Chausson 3035 ••

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DROITS DE SOUSCRIPTION Négociations jusqu'au

Librairie Hachette 2040 .• 2035 220 ,. 221 Petit Journal Bergougnan ' 1051 .. 1051

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Tunis 3% 1892 3 % 1902 Indochine 3 0/0 1909 3 % 1902 Maroc 4 % 1914....

Maroc 5 % 1918,...

Algérien %., Argent. 41/2%18J.l Brésil 5 % 1909 Chine 5% 1913 Egypte uniliée Espagne Extér...

Italien 3 M Japon 4% 1905 4% 1910......

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Cr. Fonc. Colonial.

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Parisienne Eleotr, Omnibus...'

Nord-Sud, »,.

Française de Tram

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Cours

VALEURS

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Le Petit Journal

6

m^nt Jnstantane

A TRAVERS PARIS Trafiquant de stupéfiants arrêté.

— Les inspecteurs Martin, Mettra et Morettl ont arrêté, dans un grand café, près de la Madeleine, au moment où 11 .vendait, des stupéfiants, Léon Bromberger, 25 ans, sujet autrichien, danseur mondain, de

- 5 - 30

meurant 23. boulevard des Batignolles, sous le nom de Bruck. Léon Bromberger, qui est déjà titulaire de cinq condamna tions pour trafic de stupéfiants, a été envoyé au Dépôt.

Tombée sur la vole du métro.

A la Thérèse station ' du métro Italie, Mme — Wagner, demeurant à Bagnolet, 15, rue Paul-Bert, qui se trouvait sur le quai, fut bousculée par un voyageur inconnu et tomba sur la voie. Retlree aussitôt, elle a

été admise à la PJtlé.

Coup de couteau. — Boulevard de la Gare, à la sortie d'une usine, l'Algérien Amar Harach, 266. rue du Château-desRentlers, a été frappé d'un coup de cou teau à la tête par un compatriote qui a pris la fuite. A la Pitié.

Les désespérés.

Dans son apparte ment, 29, rue de —Vaugirard. M., Pierre Bourdin, 33 ans, s'est tiré un coup de revolver dans la poitrine. Il a succombé h. la Charité.

Jules Moussât, sujet italien, 61 — M. 166, ans, rue de Grenelle, a tenté de se suicider en absorbant le contenu d'un flacon de laudanum. A Laannec dans un état grave.

La cambriole.

Des. malfaiteurs se sont introduits, 8. —rue Bachaumont, dans les locaux occupés par une entreprise dé tissage où ils ont soustrait pour plusieurs milliers de francs de marchandises.

M. Lanteron, 76, rue Montorgueil, a déclaré avoir reçu, l'autre nuit, la visite de cambrioleurs qui lui auraient dérobé pour 1.000 francs de bijoux.

Place de Accident de la circulation. l'Opéra, le médecin-principal— Romieu, médecin-chef de l'Ecole Militaire de Saint-Cyr, a été renversé par un taxi. Re levé avec de multiples contusions, le praticien a refusé tout soin et a regagné son domicile.

Un générateur explose. — Boulevard de cons Poissonnière, dans un chantier truction, un générateur d'acétylène ser vant à l'éclairage, a fait explosion. Deux ouvriers, MM. Lebouge, 27 ans,, demeu rant à Gaillon, et Jules Ferrahd, 57 ans, 9, rue Paul-Bert, ont été blessés. Tous deux ont pu regagner leurs domiciles après pansement à l'hôpital Larlboisière.

Accident du travail. — TJn graisseur, Louis Pallier, 56 ans, -38, rue Lecourbe, occupé à la réfection de l'ascenseur d'un Immeuble, 8, place de la Concorde, est serré sous la cabine de l'appareil et meurt écrasé.

Sas cures sensationnelles, des milliers de manifestations de reconnaissance. -, Traitemsrô rationnel des maladies de la peau, da tous les Vices du Sang, de l'Mritisme, ds i'Artério-Sclérose, des Troubles circulatoires et des Maladies des femmes.

Dn eczéma guéri en un moi».

Affligé depuis deux ans d'un eczéma et «yant pris inutilement.quantité de re mèdes, j'ai eu recours à votre Dépuratif Richelet. Je n'ai pas tardé â constater une amélioration sensible et aujourd'hui, après seulement un mois de traitement suivi i la lettre, je suis complètement M. Louis Delarge, guéri.

US, rue St-Lionard, à Liège.

Boutons et Démangeaisons disparaissent Cuérison radicale d'un psoriasis.

fl a «aavé ses jambe». plu» de " Souffrant atrocement depul» frois ans d'une mauvaise circulation du «ang qui m'avait laissé des varices et des Ulcères profonds, j'avais inutilement issayé quantité de remèdes et ce n'est Richelet que ?ue grâce à votre Dépuratif Aujourd'hui, ai pu sauver mes jambes. plus de douleurs, plus de congestion, de*

Une efficacité à toute épreuve.

Je viens vous remercier et en même temps vous féliciter pour votre merveil leux traitement Richelet. Atteint d'acné depuis 4 ans, j'avais en vain essayé tous

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4e vingt ans, ce qui me permet de re prendre mes occupations et mon travail.

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Ses jambes étaient de plomb.

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