Le Petit journal. 03/05/1930.

Le Petit journal (Paris. 1863)

Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France

Parti social français. Le Petit journal (Paris. 1863). 03/05/1930.

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N" 24.579 - I. Ste CROIX - Le n" 0,25

Samedi

LA TEMPERATURE Probabilité» pour aujourd'hui : Temps nuageux avec belles éclalrcles et quel ques averse* locales.

Température : A Paris, maxlm. +20°.

'Soleil Lev. S h. 29 Couch. 20 h. 7.

• Une :: Nouv. le 28 ; ;P. Q. le 6.

3

Mai

1930

HEURES DU MATIN

Edition de Paris

UN MOIS AVEC LA LÉGION ÉTRANGÈRE

ENTRE BECON ET Q0VRBEV01E

LES FÊTES DU CENTENAIRE DE L'ALGÉRIE

VICTOIRE

AUX ASSISES DE LA SEINE

Dessaboteursont tenté M, Doumergue est parti hier pour Toulon MARCEL S.4URET de Lena Berhstein LalégionEtrangèredepuis1831 de provoquer qui tua son amie il embarquera bord "Duquesne" du où s à L'aviatrice a tenu l'air condamné est une catastrophe pendant 35 heures 46' 55" réclusion S de à ans en entravantla marche

Mis

Eile bat aussi un record mondial

Marcel Sauret, le restaurateur de Ca sablanca qui a comparu hier devant les assises 'de la Seine, a tue une femme, Mme. Boireau, parce qu'elle lui refusait une procuration. nécessaire à la liqui dation de son fonds de comitaerce. Ma^s cette' femme, c'était aussi celle qu'il avait Aimée et pour laquelle U avait quitté sa propre: épouse et son enfant.

Ce meurtrier, qui* son crime accompli, • s'en alla diner, le sourire aux levres, chez un ami, est-il un froid crimlnel satisfait. d'avoir, réussi sa vengeance? Estil un '« passionnel » que le désespoir d'amour a. emporté ?-Nous le saurons peut-être à la fin des débats. Toujours est-il que - Marcel' Sauret, dont une cou ronne,de cheveux blonds somme l'altiére calvitie et .dont les petits yeux 'dardent un regard dur. au-dessus du nez aquilln, se défend avec une intelligence• lucide.

Lena Bernstein a battu le record du monde féminin- de durée déte nu jusqu'à ce jour avec 26 heures 47 minutes. En-effet, la vaillante avia trice qui tenait l'air, depuis jeudi

normaledes signaux Un acte de sabotage qui pouvait pro voquer une véritable catastrophe, mais qui, fort heureusement se résume à des dégâts matériels a été commis da.is la nuit de jeudi à vendredi, sur la. voie ferrée entre les gares de Bécon et" de Courbevoie, à quelques centaines , de mètres du pont de Colcmbes.

Il était environ 23 h. 10 quand, peu après le passdge du train n" 480 qui se dirigeait vers Paris, venant de Marly, M. Anereau" aiguilleur au poste d'entree de la gare de Bécon s'aperçut, non sans étonnement,, que, si ses leviers obéis saient, par contre, les signaux de la voie-qu'ils devaient actionner ne fonc tionnaient plus. Redoutant les plus gra ves conséquences de cette inertie des appareils signalisateurs, M. .Anereau prévint aussitôt le personnel de la rare.

Peu après,-v en pleine nuit, la-voie fut « visitée » par M.: Plick et-par plusieurs employés de la Compagnie et ce ne iut pas sans" surprise que l'on s'aperçut alprs que des éclats de bois entravaient las marche normale des signaux, que;d'au tres appareils avaient été détruits, et* qu'en un ijiot, un acte de sabotage avait été commis à cet endroit- de la voie.

Toutes les gares séparant Paris-de Ver sailles' furent aussitôt prévenues pour que des mesures soient prises afin '.l'évi ter'tout accident. , Averti aussitôt de l'acte irlminel que l'on venait de découvrir, M. -Vanègue. commissaire d<- police de la localité se rendait sur les lieux. De l'enquête ou verte par-le commissaire, il résulte que

Dans la salle d'boimeur.à Sidi-Bel-Abbcs : Trophées tonkinois et vieux costumes de la Légion

XX Le principe des Légions étrangè

res se rencontre à l'origine de toutes les armées du monde. C'est à ia révolution de 1789 et à la proclama tion des droits de l'homme que nous devons le service militaire obliga toire. La liberté tout court s'achète au prix de mille libertés particuliè res. Il est facile de discuter sur ce sujet.

Avant les soldats citoyens, il ; n'existait que des soldats, des professionnels de la guerre, que l'on rétri ...

buait et à qui l'on savait communi-

quer cet esprit de corps qui leur te-.. nait lieu de patriotisme.

Les rois de France entretinrent ". toujours pour le service de la guerre des régiments étrangers composés de Suisses, d'Ecossais, de Piémon: tais, de Rhénans, de Croates.

Ces troupes magnifiques furent .presque mal dirigées. En somme, • toujçurs >

elles restèrent fidèles à celui qui les payait. Et. c'est .l'essentiel. Payées par le roi, payées par l'empereur, les troupes étrangères professionnelles inspirèrent toujours de la méfiance aux gouvernements républicains. On les craignait, sans peut-être se ren dre compte qu'il est plus facile de renverser un roi que d'anéantir l'es-: prit républicain chez un peuple qui. a payé le prix pour l'acquérir.

C'est en 1831 que la Légion étrangère fut organisée avec le statut qui jui donne son organisation: et des ' droits "Çai* sont Encore les siens. Il faut retenir de cette loi du 9 mars 1831 ce principe essentiel qui apaise ' toutes les inquiétudes : la" Légion étrangère ne peut être employée m qu'en dehors du territoire continen tal du royaume.

Voici donc la Légion étrangère ;; "prête à entrer en campagne et à te . rnir' dans l'histoire coloniale fran çaise la place d'honneur qui lui est due, et comme conquérante et com me force créatrice. Dès sa formation la Légion est envoyée en Afrique, en AJgerie où ses deux foyers sont Bône ' et Oran.

Dès lors,; cette machine incompa

rable est lancée. Il ne lai reste plus qu'à acquérir de la gloire et de l'au torité. La campagne d'Algérie en 1835, avec le combat de Muley Ismael, démontre la valeur de cette arme. En 1835, la Légion étrangère, en vertu d'un traité, est cédée à l'Es pagne pour, la soutenir dans la lutte contre don'Carlos. Les légionnaires ^partirent pour l'Espagne la mort dans l'âme.. Ils savaient déjà donner : au. mot : discipliné, brodé sur leur drapeau, une valeur indestructible mais amère, en cette circonstance.

Une ordonnance royale de la même année met sur pied une nouvelle Lé gion à Alger. Sous les ordres du com mandant Bedeau elle participe à l'expédition de Constantine. En 1841, la Légion est divisée en deux régi • ments, le premier à Alger, le deuxiè

étrangère a su donner jusqu'aux li mites extrêmes du sacrifice, s'a véri table mesure et toutes les ressources de sa personnalité. On la trouvé par tout où le combat est sans pitié et souvént saris autre"Issue que' la mort.

On parle peu des pertes subies par les légionnaires. On sait qu'ils doi vent se sacrifier et ce sacrifice est accepté tout naturellement. La Lé gion sait mourir sans publicité. C'est parfois une erreur, car la trop gran de modestie de cette troupe fait, qu'à l'heure actuelle, elle est encore, mal connue par la plupart des Fran çais. Faire de la réclame pour la Légion étrangère, c'est faire connaî tre l'esprit de colonisation de la France, qui, à mon avis, est incom parable. Le Français est un colonisa teur merveilleux, souvent à son insu, car il possède une grande puissance d'assimilation.' Il est naturellement indifférent à tous les mysticismès, ce qui lui permet de les accueillir avec une indifférence aimable qui ne. froisse aucun fanatisme. Il ne possède, et très naturellement, aucun préjugé au sujet de la couleur de peau des hommes. Il s'associe facile ment aux mœurs des uns et des au tres. Il aime les parades militaires et possède d'excellents chefs de ca valerie -qui peuvent être comparés à des caïds, au point de vue décoratif.

Ce que les indigènes d'un pays guer rier conquis préfèrent encore dans la présence des conquérants, c'est le costume, les armes, les chevaux,'les fanfares et les parades de ceux » qui les ont conquis. L'élément civil- : ne représente pour la plupart d'ehtr'e eux qùe des parades administratives où les impôts défilent avec leurs en gins de perception et leur train de combat onéreux.

En haut : le signal saboté, la x indiqua C'est évidemment simplifier par l'emplacement du mécanismeforcé dont trop les résultats d'une pénétration on voit le détail en bas. . (Ph. P. J.) pacifique qui, en leur apportant le ou les saboteurs ont pénétré sur la car, l'autobus et le téléphone, pré le voie après avoir sauté un mur de deux pare, par la force des choses, l'avè mètres de hauteur environ et" en prati nement de sa propre destruction.— quant ur.e -brèche , dans une palissade {A suivre.) qui, à cet endroit, garde le. pont de la ' Pierre Mac Orlàn. rue de Colombes. Dans un chantier de

r~

Il n'y a pas de juges à

Paris»,

pour le violoniste Jacques Thibaud La 12' Chambre correctionnelle de la Seine a rendu, hier, un jugement par lequel elle se déclare incompétente dans le procès que le célèbre violoniste

Jac ques Thibaud avait intenté à un de nos confrères de l'Ouest qui avait attribué à l'abuç du muscadet le retard de l'ar tiste à paraître en scène lors d'un con cert donné à Nantes.

Le tribunal-a estimé, en effet, que l'é dition du journal en cause où il est ques tion de M. Jacques Thibaud n'étant pas mise en vente à Paris, il n'y avait pas lieu pour lui d'apprécié? si l'article avait été ou non diffamant.

Aux Vérités de La Palisse

pereur prescrit la création de batail lons étrangers pour recevoir tous ceux qui veulent se battre pour la France. Le 5* bataillon de marche "de la Légion étrangère est créé à Tours. Le prince Karageorgewitch, ' qui deviendra le roi Pierre I" de Serbie, se trouve dans ses rangs comme ; officier au titre étranger; Après la ; égiment revient - " guerre de 1870, le r Algérie. puis Et ce sont les cam: * en du Dahomey où le général pagnes ; Dodds télégraphie ces mots au mi nistre de la Guerre,/en parlant des ''légionnaires : « Je n'ai jamais eu l'honneur de comjriander de plus ad. soldats'On peut tout leur y *mirables demander. » La Légion est désormais un bloc d'acier d'une trempe i - peu commune. C'est une troupe d'une résistance parfaite. Ils sont rom5 pus à la fatigue, à toutes les pri . vations. La campagne de Madagas car en 1895 démontre l'excellence t de la préparation, et de l'esprit de la C Légion. La campagne du Tonkin en * ' 1883 permet aux régiments étran gers d'acquérir de nouveaux titres de gloire. C'est en 1885 que la Lé gion défend Tuyen-Quang, et ce fait d'armes compte parmi les plus émouvants inscrits aux drapeaux du \ régiment. C'est, ensuite, la guerre ï du Maroc, qui est la guerre de la Lé .

gion.

C'est au Maroc qué la Légion

matin

7 heures 17, totalisait hier matin, à 11 heures 45, plus de 28 heures de vol. Le record mondial était donc battu.

La courageuse jeune femme que. ses insuccès précédents n'avaient jamais découragée, décidait alors de continuer son vol. Signalant'qufe tout allait bien à bord, alors qu'un avion piloté par ; Lalouette lui te nait quelques instants compagnie, elle faisait connaître qu'elle pensait poursuivre jusqu'à la nuit tombée. ,

Elle atterrit à

19

h. 4 m. 58 s. 1/5

II-est pourtant le fils d'une qui fut internée pendant deux ansmère et 11' a gagné du paludisme en. Orient où il fut chasseur, à cheval. La défense, que re

- :

prenant le train , à la gare de Lyon (Ph. P. J.) C'est lundi que- commencentles fê ranée, doit présider la plupart de ces tes officielles devant célébrer le. cen cérémonies, a quitté Paris hier soir, tenaire de l'Algérie. M. Gaston Dou à 19 h. 2, par train spécial, à.la gare mergue, Président-de-la République, de. Lyon, pour Toulon," où 11. s'em qui, pour marquer la profonde affec barquera à bord du cuirassé Duques tion de la métropole à l'égard de ses ne, qui le conduira en Algérie. départements d'au delà la Méditer (voir la suite en troisième page) M. Doumergue

Dix minutes avec M. Bordes, gouverneur général de l'Algérie

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présente avec son habituel brio M» de Moro-Giafferri,, ne "manquera pas d'en tirer un argument.

Ecoutons Sauret raconter son intrigue avec Mme Boireau, -voisine, qu'il avait connue^ en 1926, une dans le faubourg du Temple <où il avait -alors un magasin de coutellerie. Elle devint son amie et, au bout d'un an, abandonna mari pour suivre Sauret au Maroc. son

Sauret. — C'est elle qui me disait que son ménage lui -devenait ..Impossible, que , "J va 'f gâché, sa vie et que Je lui r devais de remmener-au loin. > ' Le président Bacquart. Pourtant, dès — son arrivée au Maroc; elle s'est trouvée malheureuse et elle • a regretté son dé part. Elle la écrit à son mari. , - Sauret. — Je n'en al Jamais-rien su. Elle a toujours été. très gentille avec mol.

A vrai dire, il levait .été. aussi avec elle. Elle n'avait pas un sou. Il avait tenu néanmoins a ce j que la signature de son amie figurât à'côté de la sienne propre au bas- du contrat d'achat du restaurant qu'il avait acquis, à Casa blanca, 60,' rue 'Gay-Lùssac.

Quelle ne fut pas sa surprise lors qu'un beau matin, le 20 août, en ren trant du marché, il ne trouva plus son amie à la maison !

Sauret. — L'Arabe m'a dit : « Patron ne -partie avec un -monsieur. » L'armoire était , vide : 4.500 francs avalent disparu de mon. portefeuille.-. ; . •

Des. lettres menaçantes ;M. .Boireau "était venu rechercher sa

Depuis l'ouverture des fêtes.- du centenaire de l'Algér-te, ilxn'est point aisé de surprendre inoccupé M. Bor des, gouverneur général de l'Algérie, Lors du congrès des anciens com battants alors qu'il faisait visiter , d'été, à ses hôtes le splendide palais M. Bordes — qui, aujourd'hui même, est promu commandeur de la Légion d'honneur — voulut bien. réserver quelques minutes d'entretien au Pe tit Journal.

Très prochainement, monsieur, le — Gouverneur, vous allez accueillir le Pré

femme. Quant au -vol 'des, 4.500 francs, il n'est, bien entendu, pas prouvé. Mais Sauret avait-porté plainte. au Parquet dès le lendemain. '''Sauret.- '—-,-QUe voulez-vous ? Tadorals Mme Boireau. • Mais J'avais trouvé son geste très vilain.

Le .président. — Et" vous avez adressé injurieuse. au .mari une lettre Sauret.—' Une-lettre ' d'amoureux I Je cherchais à me aégcûter de, sa femme.

-1 Curieuse lettre d'amoureux qui était conçue en-ces termes aimables : « Ce n'est pas très gentil d'être parti - sans trinquer avec un ami, surtout lorsqu'on s'est dérangé de • si loin... » Et le tout M. Bordes ' du même - ton blessant et ironique. Une gouverneur général de l'Algérie autre lettre,--adressée aux 'patrons de ' promu aujourd'hui commandeur M. BoireaU, était plus explicite encore : de 'la Légion d'honneur' elle-parlait, de « balle- dans la peau de le diner dans son cabinet . de travail Mme Boireau, si. elle-ne rendait pas les jusqu'à une heure avancée de la nuit.

sident de la République . sur la terré algérienne. En cette circonstance, le Petit Journal serait heureux de recevoir par votre intermédiaire les.,vœux que les Et malgré ce lourd labeur, M.. Bor laborieux habitants de vos départements sourire .la Compagniequi se trouve à. proximité, forment pour le voyage de M. Doumer des sait conserver le même .'invités chacun de et avoir ses pour les malfaiteurs avaient trouvé, A portée gue. qui fait le charmant mot compren de leurs mains, tout le matériel néces heureux de répondre — Je suis très la terre saire pour, servir, à, un sabotage en rè mieux dre sur encore que, ici à votre désir et je tiens même à gle. continue; écrire quelques-mots. Le Petit Journal algérienne, la France — (.Voir la suite en troisième page) répandra ainsi & travers le monde la L. Leportoux. pensée de l'Algérie fidèlement unie à la me M. Caïn est nommé administrateur Métropole.

Quelques instants après le gou général de la Bibliothèque Nationale verneur général de l'Algérie était

M

dans son cabinet de travail. D'une main ferme, il traça ces lignes :

« De l'Algérie, terre Française, monte aujourd'hui, vers Monsieur le Président de. la République, l'hommage respec . et'Indigènes tueux de tous les Français unis dans le même amour pour la Pa trie commune ».

— Une signature... et voilà I

Un-mouvement énergique ponc tua ces derniers mots. E,t M. Bordes

ajouta

:

procès a perdu sonl'Et at contre Une partie de *a propriété de Sanary

tera expropriée pour permettre la construction d'un ouvrage.fortifié

Toulon,' 2 Mai. — Le jury d'expropria tions, spécialement constitué,. a statué aujourd'hui sur la réclamation de Mme Cécile Sorel' contre le projet de la Ma rine nationale de construire une batterie contre avions sur l'un des points de bord de la mer de la propriété que^ l'ar tiste a acquise à Sanaxy, au promon toire de la Cride.

Dans la, matinée, le jury d'expropria. tion, sous la présidenoe de M. Berger, juge au tribunal civil, s'est rendu à Sanary. Il a parcouru' le promontoire et il a écouté les démonstrations-des représentants de la Marine. Les mem bres du jury-, sont .rentrés dans l'aprèsmidi à "Toulon et ont tenu, audience.

M* Lheureux, de la Cour d'appel dej Pa ris, a plaidé pour Mme -Cécile Sorel et a exposé , les ennuis',de sa . cliente lorsqu'aprés l'acquisition elle .s'est trouvée menacée dans la valeiu: ésthètique -du domaine pai> l'installation d'un -ouvrage militaire. M* Devoix de Saint-Marc, de la Cour"d'appel de Bordeaux,'a présenté les arguments de la Société foncière de Sanary qui a vendu le terrain 1 à Mme Cécile-Sorel.. L'Etat était représenté par M* Marcaggij du barreau de Toulon, qui a démontré-la -nécessité dfutiliser le Lit toral pour la défense nationale. Le-Jury a prononcé l'expropriation de la partie du terrain requise par l'Etat . pour y construire l'ouvrage fortifié en question.

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:

Lena Bernstein

ayant tenu l'air, sans arrêt, 35 heu res 46 m. 55 s.

Elle montait un monoplan Far-

maiij muni d'un moteur Salmson à refroidissement par air.

S . remarquable aviàtrice rend, La se détentrice g®uioutre, de.la plus en de durée potir aviateur seul à bord, record qui appartenait jusqu'alors à Lindbergh ave.c la traversée de l'At lantique. New-York-Paris.

A son atterrissage, Mlle Lena Bernstein -fut acclamée par une foule enthousiaste du se'trouvaient toutes les personnalités de l'aéro

nautique civile. Le capitaine Carretier; du 34* régiment d'aviation, lui offrit une magnifique gerbe de fleurs et le nouveau chef du port aérien.

M. Girardot, la félicita au nom du ministre de l'Air. <»

rhomme qui attrape la fortune à la course

LES OBSEQUES

du comte de la Vaulx à l'église des Invalides

Par Jean Lasserre,

La première fois que je l'ai ren contré, c'était dans un « dfeloon » de la frontière canadienne, un matin de printemps, sur la route de Bowdoin (Maine) du côté américain. La pro hibition n'avait pas encore exercé ses-ravages et les honnêtes gens pou vaient boire, quand ils avaient soif.

Notre homme avait déjà vidé plu sieurs verres de whisky. Le patron me le présenta : — Billy Sparkie, un fameux cou reur, ' • Il était enveloppé de lainages et bardé de. cuir. Un bonnet crasseux de renne et de peau de mouton était enfoncé sur .ses jeux. Une écharpe qui avait été blanche lui cachait le

Marcel Sauret " (vu par Dukercy.) i : 4.500 francs et si elle ne consentait à délivrer'la procuration ' nécessaire r>as à Sauret. pour revendre son restaurant et rentrer en France. Mais Mme Boireau n'envoya pas "la procuration à celui i ue, sans: doute, elle avait cessé d'aimer.t — Georges Martin. nez.

(Suite 3' .page.) x '.

—t-L—

PETITS MÉTIERS...

'

Cécile Sorel

dont" sera l'objet le — La réception de la République composera Président une des plus. belles pages de l'histoirealgérienne. Déjà le président Loubet avait reçu un accueil'enthousiaste, mais, je crois pouvoir affirmer que la grande manifestation qui se prépare revêtira un caractère d'apothéose au-moment même où ,1e. premier magistrat de la Républi que débarquera sur le sol de l'Afrique M. Julien Caïn (Ph. P. J.) du Nord.

Un peu . plus tard, l'un des pro Le Journal officiel publie ce-matin un arrêté nommant M. Julien Caïn, agrégé ches du gouverneur général de l'Al de l'Université, directeur du cabinet de gérie me' confiait que M. Bordes re M. Fernand Bouisson, président de la cevait chaque jour plus de 300 con Chambre, au poste d'administrateur gé gressistes. néral de la Bibliothèque nationale, en remplacement de M. Roland-Marcel; — M^is quand peut-il travailler, ne puis-je m'empêcher de, faire remarquer ? nommé préfet du Bas-Rhin. : .J • — lie matin, il se lève vers 6 heures ter, m'apprendre ce à quoi elles m'obli dict'e-ses ordres une heure plus tard et gent! ? ». J'ai bien envie de leur répon EN CINQUIEME PAGE : jusqu'au moment du déjeuner, qui est . dre : « Adressez-'vous à votre député ! » mouvement -.dans lei Un important \ souvent celui d'une réception. Le soir, Mais les députés sont en vacances ! il-n'est pas rare de le surprendre,après ^préfectures.

Et je ne suis pas sûr que les assujettis tireraient d'eux toutes les clartés, tous les .apaisements qu'ils désirent.

Fort heureusement je me souviens que — (Dép. P. J.) M. " Pierre Laval a promis ' de rédiger un commentaire de la loi. Qu'il se hâte g MA ROBE COULEUR DU TEMPS donc! Et qu'il répande à flots son com mentaire. Puisque l'Etat se fait assureur ; le grand rouian de qu'il fasse comme les autres assureurs qui nous inondent de leurs prospectus, qui nous assaillent de leurs courtiers.

Une publicité intensive et persuasive ™ dont nous commencerons la-publi- % est d'autani plus urgente que de l'aveu cation jj; même de ceux qai l'ont voté, le texte DEMAIN DIMANCHE de la loi ne'laisse pas que d'être com pliqué, sinon obscur. M. Louis Barthoù, obtiendra certainement -un succès par exemple, à qui personne ne refuse plus vif encore que les œuvres pré n'hésite à intelligence, vive cédentes du romancier favori des pas ra une femmes et des Jeunes tilles.

Annales qu'à reconnaître dans les « » Dans un cadre enchanteur, une In-' côté de la loi d'Assurances, la loi des trlgue d'amour qui fait penser à un retraites ouvrières et paysannes lui beau conte de fées se' déroule nu paraît a un modèle de clarté vtjfc sim milieu d'événements dramatiques... jflj plicité ». Cependant la loi des retraites Et que vdei-personnages burinés ... de main de maître : l'aristocrati-; ouvrières et paysannes est morte en bas " Mlle G1LBERTE, Mme BAKDUZAC, âge. Accoucheur de la loi d'Assurances, tante-; Jalouse ' et revêche, M. HUM. Pierre Laval voudra éviter, un pareil CHARD. ie nouveau ricHo sentimen tal.' l'envieuse et-perfide-ANGELIKA, sort à la nouvelle-née. II votidra évi'er le vicomte de TREZONNES, dorit ia aussi les < déceptions ou. pis 'encore, les Bgure énergique damlne tout .te roirritations dangereuses * que craint M. jman— ' , 5 y . . volée était !.l. bicyclette sattiex publie éclairant il s'ef ' le Barthou. En que celle • — C'EST UN'flHEF D"CEDVRE D'EMOpayée'vingt bien fuvàii —,-/e .l'ai !

Vaut qu'elle franc* si TION ET DE" SENSIBIIilTE . de.le que, forcera pentes rassurer. «u , ;; de était volée,, donné plu* Monsieur de La Palisse. je n'en aurai* ; pas cent tout vm

me à Bône. De 1841 à 1852, ces régi ments se distinguent à Kolea, à Bou Maza, à Constantine sur la Mou. louya en 1852. En 1854, la Légion em n'ignore pas que la Chambre barque à Orân pour Gallipoli. C'est etLele pubiio Sénat sont mis d'aceord pour la campagne de Crimée. La Légion rectifier, à-laseveille' de son application, s subit encore des modifications. Puis la loi des Assurances sociales. Mais il elle est reformée en 1856. Le 2» ignore cette loi >rectifiée renfer étranger, est à ,Sidi-Bel-Abbès. La me. Or,cele que public — du moins le public Légion fait la campagne d'Italie et français aime à savoir, aime à com "celle 1 du Mexique et inscrit à son prendre — et , dtapeau le glorieux nom de Came- l'inquiète. - ce .qu'il ne comprend pas rone. Elle rentre alors après avoir Je trouve dans mon courrier la preu été à peu près décimée. On la refor- ve .de cette inquiétude ; « Ne pourrlezme et elle reprend le fusil et la pio vous pas, m'écrivent plusieurs corres che afin de prendre part aux opéra- pondants, m'expliquer les Assurances tions dans le Figuig. En 1870, l'em sociales, calculer ££ qu'elles vont me coû

?

Une fâcheuse surprise

détenu par Lindbergh

Il l'écartait de

temps* en temps

pour porter d'une main lourde jus qu'à sa bouche de gros morceaux.de viande fumée qu'il prenait dans une écuelle de terre au bout d'une lame qui aurait éventré un cheval. H in clina-la tête et me demanda : Vous venez du Nord ?

— Oui,

je venais du Nord. Mais Billy

n'avait pas attendu ma réponse et

déjà, > le nez dans son verre, ne m'écoutait plus, Oui... un fameux coureur, ré — péta le patron.

Ce n'est qu'après plusieurs verres de whisky que Billy nous parla. H enleva son-bonnet et jeta son échar pe sale. Son visage était tanné com me une peau de phoque et ses che veux noirs - retombaient en mèches sur son front.

— Vous êtes content de votre hi

ver

?

demanda l'hôte.

J'ai fait deux bon nes courses. Mais comme toujours, à laUn de la saison, l'une si près de l'autre en moins de trois semai nes — que je n'en peux plus et qu'il — A peu près.

va me falloir me reposer six mois. avez-Vous couru ?

— Où question Ma le fit sourire : à Daltona* Beach, bien sûr.

Pas — Ni à Indianapolis. Et il y a peu de chances que vous m'ayez jamais aperçu à Broocklynn et que vous m'y rencontriez jamais.

Et l'hôte m'expliqua : Billy faisait la course de l'or. Il revenait du rude Alaska. Là-bas, jour par jour, heure par heure, des hommes se ruent vers l'or. De leurs pioches, de leurs pelles, ils fouillent le sol. Les uns tom bent le -long des pistes et la neige les couvre . vite. Les autres con tinuent vers la fortune ou vers la mort. Cette « ruée » — c'est le terme même des chercheurs d'or, — Billy prenait ^pas part. H intervenait n'y En haut : Le .cortège quitte les Inva lides ; en.- bas, de droite à gauche : seulement quand deux ou trois hom MM. Tissandier, Besançon- et Santos mes se disputaient la possession d'un Dumont tiennent les cordons du poêle placer ou d'un claim, par exemple -.(Photos-P. J.). quand Hs avaient mal jalonné le gi sement où l'or se cachait dans les (Voir l'article en deuxième page)

V PMHUH

rocs ou dans les flots glacés d'une rivière, quand la propriété leur en était contestée par quelqu'un qui

était passé là avant eux. Alors, pour les départager, on les faisait courir

depuis le gisement jusqu'au bureau da l'or où l'on inscrit la déclaration de propriété, le premier arrivé était le propriétaire. Seulement, sur les pistes du Nord on ne rencontre pas que des athlètes. Ceux qui. n'avaient pas de bonnes jambes se fai saient remplacer par d'autres qu'ils payaient souvent des sommes énormes. dit Bil — Je suis né en Australie, ly. C'est vous dire si le climat• d'ici me dégoûte. Mais je « vaux» de l'or pour eux, parce que je vais plus vite que les meilleurs du pays. La der nière course que j'ai faite, c'était de Sixty Mile, sur la rivière Norwege, à Sea-Lien.J'avais quatre équipages de chiens, mais j'ai couru presque tout le temps à côté d'eux, et à la fin j'ai gagné contre ceux qui avaient fatigué leurs bêtes ,en. restant sur leurs traî neaux. C'est pour un nommé Otto Stilz que j'ai couru — un Bavarois.

Il m'a bien payé et j'aurai des parts dans sa mine.

Ainsi Billy Sparkie courait après

Los bénéficiaires de la loi

sur les Assurances sociales (.Suite)

La cotisation ouvrière et patronale Le financement de la loi des"Assuran ces Sociales est basé sur le principe .iu double versement de l'ouvrier et du pa

O S5

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Le Petit Journal m

croix de la Lé qui le félicitaient de La a Première Madeîon », — Qui? gion.' d'honneur. JeansaToulout a pleuré sera « premier^ Madelan » de France Le concours ëst ouvert par le trtagatinc lui aussi, paraît-il, en félicitant son ca Fantasio, entre les serveuses profession marade. . gentil, très symEt tout cela est très nelles des hôtelleries, des auberges et des restaurants. Seules pourront y pren pashique et même nécessaire. Il est bon dre part celles qui auront fourni un « cer que les artistes aient ainsi le don des

3 — 5-r- 30

LES OBSÈQUES

LES CONTES DU P. '

do comte de la Vaulx Le ebrps du comté de la Vaulx ra mené en France à bord du paquebot De Grasse a été transporté en automobile du Havre & Paris, où les- obsèques ont

été célébrées, hier matin, en l'église Saint-Louis des Invalides.

Au cours de la matinée, de nombreu ses personnalités avaient défilé au siège de i'Aéro-oiub de France, rue Fran çois I"' où le cercueil, recouvert d'un drapeau tricolore et entouré de gerbes de fleurs avait été déposé dans une cha pelle ardente. C'est là que, vers 11 heu res, M, Walter Edge, ambassadeur des Etats-Unis vipt au nom du président Hoovef déposer une, couronne aux cou leurs américaines.

La levée du corps eut lieu quelques instants plus tard, le cortège, en tête duquel marchaient MM. P.-E. Flandih, ministre du Commerce et Laurent-Eynac, ministre de l'Air, s'achemina vers l'église Saint-Louis des Invalides. Au tour du char funèbre se tenaient MM, Santos Dumont, Soreau, président de la Fédération nationale aéronautique, Be sançon, le général de Goys, MM.. -Oubois-Lacour et Tlssandier, de très nom breuses personnalités de l'armée, de l'aé ronautique ainsi que les représentants

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fliiituBiiiiiauiuaiiiuiwiiivHaittiittiRMKii

la desaMlièff®'

L ï pauvre fille ; s'affligeait beaucoup de vojr que ses parents n'avaient plus de pain dans la huche et plus Un seul écu au fond de. leur tiroir allaient-ils mourir de faim ?

Elle se désespérait, cherchant vaine ment,le moyen de leur venir en aide/Elle marchait dans le bois, et te voile de sa tête se courbait, les deux barbes de sa coiffe 9'inclinaient vers le sol où sa longue robe noiré, couverte d'un ta blier, faisait rouler des feuilles sèches et tout le sentier avsit l'air de fumer à son pasâagc. Mais eUe était si tri6te, si triste, qu'elle ne voyait ni n'entendait

ceau, et l'on en trouvait dans Tarmûlré rie toutes les bonnes tiiénagères. ' Les' sous, et même les éeirs, «résoifn&iem dans, la maison. On voyait lé' père et fa mère de la petite dentellière reprendre bonne mine. Us atfïi#nt le, teint frais. Cela «filtait bon le pain" chaud quand ils soulevaient le couvercie de la huche, et U y avait même un gros4 jambon pendu à ia maîtresse-poutre du, ife -plafond. " s : ^ • ;• Cependant, S mesure qu'île engrais saient, leur fille dépérissait. Elle se souvenait du serment fait à la bonne Vierge™

tron que vient compléter dans certai tificat patronal établissant qu'elles sont, larmes. La grande Sarah versait des nes conditions une contribution de depuis au moins six mois, en service, et pleurs sincères sur je plateau ; et Ber. l'Etat. de.. conduite absolument correcte », tlie Bady et d'autres encore. 11 est bon Pour fixer le montant de la cotisa Françaises, naturellement qu'ils soient vibrants, sincères et émotifs fuyait son. geftti!' fiancé... Elles pleuv et tion constituée par le double verse . importantes circonstances je préfère, et de beaucoup en toutes les rait sur la dentelle qu'on allait coudre ment patronal et ouvrier, cinq catégo à J'avoue.-que communiquer savoir la vie de nous pour ces compétitions bruyantes où - la aux trousseaux des mariées... Et cepen ries ont été - établies d'après le montant rôles où al émotions les. dans leurs nous dant, courageuse, toujours, toujours, elle des salaires touchés dans une année par seule beauté physique est en jeu, des les entendre. lons celui-ci, lesquels dans les assurés. faisait aller ses fuseaux... lacs d amour concours comme ; , par an il s'agit de triompher surtout par les 1" Pour les salariés gagnant et festons naissaient sous ses doigts, .-j 12 : fr. par jour), lieu Le juin 1930 francs moins 2.400 (8 un con aura au qualités professionnelles. « Quand MaUn matin, elle fut levée avant le sosi jour, 0 fr.

50 Pré cotisation est de la par delon vient nous verser à boire » com cours pour l'emploi de commis à la leil. C'était le jour anniversaire du mi« soit 3 fr. par semaine, ou 12 fr. par mois fecture la Seine à auquel admis de sont dit la chanson, nous ne lui detnan* racle, et elle Voulait aider dans la forêtj; rien. sur lesquels l'assuré pale personnelle me diplôme, prendre condition part, de sans dons pas d'avoir le visage de Vénus et le . ment 6 francs. ; doucement, le ciel descen à l'endroit où le secours céleste était Alors, tout âgés hommes dames candidats, les et de Minerve, aimons qu'el mais nous 2" Polïr 2.400 à 4.500 francs de salaire port de dit vers la terre qui se couvrit d'ombre ; descendu sur elle, afin de remercier làde 30 de 20 moins de plus et ans au gracieuse ans ',.'f ), la aimable, et jour souriante. soit francs le annuel (8 à 15 par bonne Vierge. disparut, rubicond roulé, ab le soleil janvier épreuves 1930. dusoit 1" Les 24 sont jour, Nos aïeux, sur ce point, étaient fort exi cotisation est de 1 franc par Les gens du village la suivirent. Il faif sorbé par les nuages ; toutes les lu francs par mois, dont 12 francs à payer geants. Et les hôteliers le savaient bien. degré du brevetsupérieur et comportent mières qui jouaient dans les arbres sait un beau temps clair, et ils regai*; différentes énumatières qui seront par l'assuré ; institué, vous accueil avaient-ils Aussi pour s'évanouirent ; le bois s'était fermé, et daient la jeune fille marcher devant eux;; 3» Pour 4.500 à 6.000 francs (15 à 20 lir mérées, cette ainsi de les avantages que charmante les coutu voyageurs, une ils étaient avec son voile penché et sa longue robe 1 effrayaient, les fourrés francs par Jour) cotisation de 1 fr. 50 tant carrière, Pettt Journal Illustré. le par En France, au XVI* siècle, quand par Jour, soit 36 francs par mois, dont me. arrivait noirs. Et voici que le ciel se plissa com noire. . était U dans auberge, Alors. H se; l'assuré tomba on une Puis à payés francs ; elle 18 genoux. par qu'il déchira, soie, s'ouvrit, et meilleur Au se Mieux, marché, C'est diplomatique. me une du « corps — fc 32 maisonnée, (20 d'embrasser d'usage Fou* 9.600 francs toute la la fortune.

5.000 a 4" Etablissements ALLEZ L'absoute ayant été donnée par le en tomba d'innombrables fils de la Vier passa une chose bien étrange.

Ch&telet » francs de 2 cotisation fèminm. jour) personnel poursuivit-il, francs le La été du moins tout par a course, Frères que doivent s'acheter • outils et chanoine Verdri, curé de Sainte-Olotilde, ge, qui allaient doucement jioser sur le ' Le ciel, de nouveau, s'obscurcit, et les'— mois, dont francs 48 jour, soit par d'elles»mÊmes Les servantes venaient dure. Un des concurrents de mon par meubles de jardin, tables, bancs, fau plusieurs d&cours furent enfin pronon tablier noir de 1î plaintive enfant. En fils de la Vifrffe plurent sur la eune? l'assuré à ; francs 24 payer par front arrivant. nouvel tendre leur teuils) Bavarois avait fait venir de San- 5" Enfin chaises fer, rotin, osier, agrès et cés, dans la cour d'honneur des Inva tombant, ils. lui frôlaient le visage, et fille, fis tourbillonnaient comme une raft au , compris salaires en les pour Franciscô un nègre qui n'avait pas tre 9.600 et le maximum de 15.000 <-u de Comme' elles étaient d'ordinaire jeunes et jeux, parasols, tentes, tonnelles, stores lides. tirèrent enfin fale de neige, et .les paysans virent avec; légères la leurs caresses, portes et marquises, fer longue tra tous Flandin la dérobait en retraça genres, M. P.-E. des jarrets en mou de veau. A trois 18.000 fixé pour les assurés obligatoires jolies, celui-ci ne se pas à la pensées. Alors elle fut d^n6 une stupeur qu'en se posant sur la tête . de rouleaux et grillages, bois, l'éminent ses treillages, carrière de brillante pro èt les étions dition. francs Les plus mille de-Sea-Lien, nous graves tondeuses à personnages ou en selon leur résidence (32 à 50 poulaillers, cabanes pagandiste de l'aéronautique que fut le grande admiration, à voir le ioli dessin inclinée, ils prenaient l'aspect d'une cou-y- , gazon, 8 fr.

50 de s'y à chose cotisation toute pliaient côte à côte.

Heureusement je jour) na fi comme une 60 francs.par niariée entremêlée de roses core à lapins, chenils, échelles, brouettes, ap comte de La Vaulx. . que formaient tous ces fils blancs sur ronne de lurent par mois, dont 40 turelle.. lui ai culbuté son traîneau. Sans par jour, soit 80 fr.l'assuré. pouvoir %'y pareils et tuyaux d'arrosage, pompes, Et ils tous, sans 17 juillet 1898, rappela-t- l'étoffe noire. Elle ne se lassait vpas de Le prêtre bolonais Sébastien Locatelli, moto-pompes, baignoires, chauffe-bains, — Depuis lerecevait quoi, je crois bien que nous serions francs. à payer par le baptême de l'air les contempler, s'émerveillant de h fan tromper, ces mots écrits en blanc sur la où U le versement de 1 employé qui nous a laissé l'amusant récit du lavabos, éviers, cheminées en marbre, ILjflftte ballon arrivés ensemble: ça aurait fait du Enderésumé, piloté par le regretté Mau taisie de l'enchevêtrement et de la grâce robe noire : « |e te relève de ton vœu >.

Sur un l'ouvrier variera-selon le mon ménaga articles lessiveuses, de glacières, 1664, France fit qu'il Mallet, retour d'un voyage de vilain. Mais, je ne reviendrai plus ou ra en rice au voyage en En même ténias, une musioue céleste se» salaire, de 0,25 à 1,75 par jour ; du tant à porcelaine, boites ordures, de cave, 5.000 km, en Patagonie, qui lui avait valu, du motif. Elle les trouvait si plaisants à dans le Nord. Il y fait trop, froid. Un l'employeur versant de son côté la som conte qu'il fut ainsi accueilli dans toutes et 1 batteries Légion d'honneur, le nom de regarder qu'elle voulut en conserver fit entendre, et il leur sembla, tant c'était meubles la vannerie, cristaux, et fc'27'ans, Digoin, il A où auberges où il forêt-;. gèlerai les jour je m'y les poumons : ça me équivalente. passa. la Vaulx se retrouve, en effet, à toutes les plus longtemps l'image: Elle retira donc beau, que tous les arbres de la de cuisine, cuisinières, fourneaux et ré étapes l'hôtesse Loire, elle-même belle arriva la fera Il de de la conquête aérienne. jambe. cotisations par y a ..une • me ; chauds de tous systèmes, Meubles rusti chantaient en l'honneur de la oetite den-j , Le versement des précaution, beaucoup de tablier son avec une.perte l'em de même précipita au devant de lui pour l'argent à gagner autre part. On m'a C'est en déplorant ques modernes et de style, lits, literies ;irréparable et pa se l'aéronautique fran l'étendit sur.le sol, et se mit à construire fellière dont le ciel préparait les noces^Là double cotisation ouvrière femme superbe, C'était proposé d'aller courir pour des. hom brasser. d'enfants, phonogra pour complète, voitures une Jean Moura. 3^ ; acquittée par l'employeur léger çhâssis de branches pour l'em est tronale parle Laurent-Eynac avec un M. çaise blonds, que pétrole. cheveux des choix. des articles de 1" cherchent Tous C'est T.S.F. qui du yeux phes, mes « avec forme de timbres qui seront ap vifs porter jusqu'en sp maison. moins dur. Songez que le matin du sous et une peau blanche comme ta nei Succursale Bordeaux, Allées de Tourriy, émotion du disparu. à chaque délivrée posés sur une carte Mais elle.eut peur d'en laisser choir en longtemps ditDES MIGRATIONS^ départ de la course, quand on cra assuré.

COMMISSION — Nos yeux chercheront LA ge,... ». Le bon curé avoue qu'il fut pro silhouette chercher haute alors Elle courut route. son AUJOURD'HUI Il en terminant, ' vjtre 'î chait, la salive se gelait en l'air et Le versement de celui-ci sera retenu fondément troublé par la tiédeur eni les cheveux blancs, Henri de fiancé,, qui tressait des paniers de jonc A SIEGE HIER A PARIS ; ; jeune sous la de l'Aéronautlqûe paye. • française retombait en glace ! vrante de ce baiser, et par le patroh, lorsni l'employé tA FLAMME DU SOUVENIR seVa rani la Vaulx ! étiez nont la prête 3u village, et tous deux, soulevant le fierté n'est la pas l'employeur dépasse dont C'est qui tout Ni vous Là-dessus Billy se leva. coutume & 18 ta. 30, par l'Association des mu mée, une « cette c'est commission des migrations du Bu^. me êtuge une belle cadre fragile, rapportèrent triomphale La possibilité de se soustraire à Engûlermois, tilés O. £9* R, 1., 18* d'oublier votre nom. Car, et lettre à Ai dans dit Erasme faim de plus ?

Vous n'avez une » histoire que la vôtre, l'histoire d'une belle ment le tablier enrichi de ses fins entre reau international du Travail s'est réu base même du — R. I., 3* et a" bis de zouaves. sure qui constitue lala loi Vous Andrelini. poète Fausto le ami rêver bien de ces jeu lacs. Ils étaient plus glorieux queVils nie hier, au ministère du Travail, sous le patron. manda son EXPOSITIONS en plein air, 13 heures, vie, digne de faire de fonctionnement k dont les yeux sont France tes accueilli de cm- place de la'Madeleine, Le Marché des Arts; nes gens Je fus curieux de connaître lé ré- L'employeur est d'ailleurs, responsable arrivez, vous êtes par présidence de M. de Michelis,;.anciisi^, la belle ciel. porté quelque statue levés le eussent naturellement vers sur brassements unanimes, vous partez, ori place Gambette, Groupement amical des igime de cet homme. Il rit. président de la conférence de l'émlgru-v de la double cotisation et des sanctions vice-président procession.

Et d'Oultremont, emballoir, jour de comte Le artistes. son, un les pa vous congédie avec des baisers:. Et si RECEPTION à l'Office national du com de la Ligue de Belgique, ayant enfin Un régime ? Je mange tout ce sont prévues par la. loi contre, et de l'immigration tenue à Borneztion — s'ébahissaient qu'ils croisaient : en 1924. pas vous goûtiez comme ils sont délicats, merce extérieur, 22, avenue Vlctor-Em- apporté au comte de la Vaulx, au nom ceux * que j'ai envie de manger et je bois trons qui ne se conformeraient rjf ' .

• s'écriaientOh I beau c'est 1 approuvé comme examiné et » commission « La Certaines attache bon I M. a ils sentent manuel-JU, Commlnes, de même : viande fumée, whisky, strictement à oette obligation/ de ser par comme » de la Fédération aéronautique interna de France en Norvège, des tionale, le témoignage d'amitié d'un de ils, en joignant les mains avec admira le plan d'une étude que le bureau dolt;^ gin, et des beaux rôtis, des grillades Dispositions spéciales vantes d'hôtelleries lui apparaissent com commercialdésireuses tion, « comme c'est besu I Qui donc a entreprendre sur le recrutement des tra-:'' de se . renseigner sur dées personnes visage colla? nymphes des dévoues plus larges comme la cuisse. des intimes et plus au ses rentrent me « à, résidence,, qui 14 h.

30 salariés de de le ne paya sa tous les bien sûr, que vailleurs étrangers. borateurs, le cercueil a été placé dans le fait ce travail-là ? 11 faut, Et Il remit son écharpe et son bon pasPour 17 heures. » livrée;n . outre commission s'est le cadre des assurés obliga ses ». .

La dans en. jeunes ! des les soient , ; l'emporter mortuaire qui doit Société ce anges >, sauveteurs de la fourgon VISITE des net graisseux. Sa culotte était faite toires et dont le salaire annuel n'excède Avouez que les voyageurs, d'autrefois centrale à un premier examen de la questionÏ naufragés, Petit Jour des le petit village de l'Aisne, à Rozoi- gens marchaient fièrement, sans rien ré concernant au « vers les qu'un tel dé mille pièces qui, de trous en trous, cependant pas 25.000 francs, em avaient bien de la chance, et la collaboration du B.I.T. 'h.;' nal », a 16 h. 30. famille de ; la pondre, car ils avaient fort à faire pour de la Belleval, berceau d'acquitter indul -sont tenus rendre quoi les remplacé l'exemplaire origi seuls accueil avait de avaient la préparation de.la conférence interna- ; ployeurs. .

REUNIONS. —' 183, avenue de Cllchjr, Vaulx où aura lieu ce matin l'inhuma empêcher chemin branches du les variera qui «spéciale que tionale sur lç traitement des étrangers," nal acheté sans doute chez quelque une contribution 2 fr. 40 gents quant au confortable des auber congrès de la Fédération des syndicats tion. délicat jour. ré le accrochassent cheminots et professionnels des de France fr. dont' une deûxi&me session doit être,, 20 par passage : entre 1 au revendeur chinois d'Altona. Billy Il est vrai qu'ils étaient pèu nom ges. la versée Conservatoire Arts et Métiers, des "% Vierge, 'contribution a con ie fils la au des et vent de sera Cette convoquée à Genève par la S.D.N. que était grand. Dans cet accoutrement, Caisse les breux.- Le personnel féminin des hôtels grès du Syndicat général du personnel de UN RELIQUAIRE DE JE ANNE D'ARC seau Sur Garantie. de. générale l'emportât. . il avait l'air* sinistre. Au coin d'un fonds ainsi de aervioe et assimilés des recueillis, la Caisse paiera, n'en finirait; pas s'il devait aujour surveillance, Enfin ils arrivèrent à la demeure de la ' de l'Etat, des départe ACHAT 1RES CHER bois il aurait fait peur aux plus bra en lieu et place des patrons, la moitié de d'hui accueillir par. des embrassades administrations 14 h. 30, 184, précieux ments des déposèrent et jeune le fille, et ta communes ; N'en lui arrivée. aurait la cotisation prévue pour ceux des sa chaque client à son KEKËSTKOJlAN sou 'boulevard Saint-Germain, assemblée géné ves. Au coin-d'une rue on Agenouillée lit. blier pied de avec le son au Mesdames Mesde dont famille et dollar. mon haitons tant... offert un S8, Kue de l'rèvtse, Ï8: lariés chargés de rale de l'Association général» des retrai pas 15.000 moiselles, tâchez seulement de ressem tés des P. T. T. 15 heures, 7, rue des son fiancé devant lui, elle ne pouvait Nous-sortîmes; .

TèL s Prov. 8U-UU ^ tant du salaire annuel dépasse des la Comité d'action nuit résidence.

Minimes, réunion du et revenir de son extase, toute leur Devant la poste, une splendlde ou 18.000 francs selon bler-, à Madelon : de la bonne grâce, de mutilés de Selne-et-Olse et de Seine-etnatu devront famille voyait d'innombrables rêva": de elle chargés elle Ces en 40 CV brillait au clair soleil du ma ; 17 heures, 12, rue Titon, assem côté l'au la bonne hupteur : un mot aimable, un Marnegénérale leur de acquitter penchées sur des travaux sem rellement femmes de la Société des Amis de th^ de tout l'éclat de ses nickels et tre moitié de la cotisation, soit 1 fr. 75 sourire... Et le citent sera content, — blée blables et faisant courir le fil à l'aide de la Bibliothèque Forney ; 20 h. 30, mairie de sa peinture neuve. Billy s'installa par jour ou 40 francs par mois, qui leur Jean Leçoq. remplace générale assemblée IV* arrondissement, du qu'elle instruments connaissait petits ne demanda poli > > > •> > avec au, volant et me retenu par le patron lors de leur de la Fédération nationale des veuves et l'huile de' foie de morues de pas. tesse s'il ne pouvait me déposer nulle sera ENTRE NOUS, MESDAMES, — Pour orphelins de guerre ; 28, boulevard Blpaye. ; s'éveilla, elle fut , elle matin, quand Au blessés de la Faoe les également Strasbourg, part entre Boston et New-York où il Les patrons seront tenusgarantie la quoi ce gros bouquet de lilas qui est sur gors ; 8, rue Danton, assemblée; générale, persuadée qu'un miracle s'était accom de verser à la Caisse de table où j'écris me cause-t-il un tel des sections de Paris et de province de allait s'embarquer. la pli «n sa faveur. moitié des cotisations fixées lorsqu'il plaisir ? Plus de plaisir que toutes les l'Association des fils des tués ; 20 h. 45, "WV : ; , (ceux-ci retraités salariés de pelote de lin, fleurs de l'année. Il est partagé, 27, rue Vlvlenne, assemblée générale 4e Elle alla chercher • une autres L'autre nuit dans un cabaret de s'agira n'étant pas admis au bénéfice de la loi si j'en juge par toutes celles que je ren l'Amicale des 2' et 2* bis de zouaves ; et s'ingénia à reproduire le joli travail Montmartre, j'ai retrouvé Billy, ju sont exemptsde tout ver contre les bras .chargés de grappes. naturellement 21 heures, 6, .avenue de la République, des fils de h .Vierge'. Êlle eut bien dé la ché sur un tabouret, il ingurgitait au sement). De ' plus les patrons, devront C'est que le lilas est, d'après le long réunion de propagande de l'association rine. Ses petits doigts emmêlaient le fil, bav "de grands verres de whisky ; acquitter à la Caisse de garantie la to temps de l'hiver où nous arrivent des « Pour nos «niants » : 14, rue Turblgo.

Loups Chausseefallait défaire les nœuds, comprendre ; 8, rue de la sanglé dans un smoking impeccable, talité du montant de la double cotisa paniers -de fleurs sans parfum, la pre Amicale,des 204*. anciens du d'Antln, Amicale des lé secret.du dessin, recommencer sans tion pour ceux des salariés étrangers qui mière fleur parfumée.. qui l'eût reconnu ? Je l'abordais. église Salntk religieux, midi, SERVICE frn. EJle s'acharna si bien qu'au bout de de résidence permanente en C'est aussi qu'elle apporte avec elle Augustla, pour l'anniversaire de la mort n'ont — Comment ça va, Billy Sparkie ! Francepas régu travaillent pas et qui n'y huit jours elle avait reproduit le gra toutes sortes de raisons sentimentales de de Napoléon I". ÇVôtr t'annonct en dernière page) Il grommela : moins. mois du trois CONFERENCES. heures.

Club 14 depuis l'été, les lièrement au l'aimer.

Elle vacances dimanche annonce tablier.

Le cieux dessin — de connaît ici ? son me — Qui (Ces dispositions spéciales ont été in prochaines,les beaux soirs où flotte dans Faubourg, 15, boulevard de Rochechouart: les la virent coiffer la Vierge, la paysans Je lui rappelai notre rencontre. sérées New-York », avec « Pour et contre dans la loi afin d'avantager les l'air léger sa douce odeur. Elle rappelle Srlnoesse Blbesoo, M. Donner, etc. ; 15 Je ne suis jamais revenu dans salariés pères de famille et pour éviter, à la plupart d'entre nous des souvenirs non point de fleurs, mais de ce bizarre — Conseils du Rocher 64, : * eures, rue te Nord, dit-il en souriant. Et vous ? en même temps, que les employeurs exquis : le petit jardin ou le grand parc d'hygiène ouvrage fait de trous et d'étoiles, qu'ils le D les r par nerveux pour », Avaient tenu entré leurs doigts et con soient tentés d'embaucher de préférence, familial et les jeux en plein air de notre Vachet ; 17 heures, à .l'Institut d'Etudes a — Moi, non plus. retraités célibataires, ébahi. templé air salariés alanguis de d'un C'est ou soirs de Jeunesse L'Ile des première la bien les à Sorbonne Vous fait.

Scandinave^, : ; < un avez 59-61, Rue Lafayette, Paris (IIP) ' J — (A. suivre) de la Baltique », par étrangers).

Déjà les femmes rêvaient d'en mettre nos seiae ans, quand nous formions tant Ootland, la Crète Tél. pays trop dur. : Trudaine 02-63 (7. Usnes) '"ï.

M. Nerman ; 17 h.:30, 13, rue Béranger :. rêves I... beaux de la jeune robes suppliaient leurs et ^ Vous plus ? sur Inter-Trudalne 44 courez déterminés — Non. ne « Les maladies nerveuses, etc., destiné à enfermer reliquaire Ce est était tou beau rêve d'amour calme, mais beau rêve, C'était En fort donner. mettant fille leur de un un Je ne vais plus courir : meuraît ee en Ote Chèques postaux n* 3.259 • », par M. Mangln- de par les lignes des mains .

— où l'eruîroit prise Jeanne lu terre rêves durent Les d'amour beaux pas : o ne Rapp Bonne 45, 4, à mouvement.

Nous 20 promit la Balthazard h. : à besogne, celle-ci square par la jours ne j'ai assez d'argent pour vivre tran en [toujours. « La magie; comme science pure », par fut brûlée à Rouen. Les « Compagnons Dame A.bonnniu<-.nt8 1 an fi inola 8 isola si point marier ciel de du quille et je suis trop vieux : j'ai tîmes que lorsque les garçons nous Mais ils nous laissent toujours un peu, Mme se ne porteront reliquaire Jeanne d'Arc 21 heu de Canudo (discussion libre) ; ce -» 21 i Selne-et-Olse.. 80 42 trente-cinq ans. Mais j'ai couru de mirent dehors.' quand ils se sont disperses, un doux res, 66, boulevard Saint-Michel : e La œuvre du sculpteur Maxime Real del elle faisait renaître l'aisance dans 6a Seine, , , ^3 43' 23 Colonies...., France et 82 maison. syphilis », par le D r Mllian. puis que nous nous sommes vus. La Devantla porte du cabaret une su parfum de lilas.

Sorte, sur les routes de France. pauvre Tarif 35 70 A.... 140 : 14 h. 30, 42, rue de, Proven dernière fois, c'était au Cap, pour perbe 40 SV, belle et puissante comr- Et nous l'aimons peut-être encore FETES..

Et- les commandes affluèrent. Tout le Etranger —artistique 50 Tarif Etranger B....

200 100 l'Armée Sa du matinée de : / ce, dans reflétait durera frégate DÉLÉGATION On de qu'il dentelles.

Une sa voulait mine diamants. monde des Avant j'avais ne de nous savons parce en que mo de Cité de Refuge ;; UNE une la iC. profit lut, au mandait pour en garnir' son col, pour LE PETIT JOURNAL PUBUCITB été employé par des chercheurs de peinture fraîche et dans ses aciers pas bien longtemps : il y a plusieurs 20 h. 30, au Trocadéro, fête des provin qu'une saison 59. rue Lafayette il n'y clarté saisons de de Fruits "l'aube.

Les France Un de roses ; a ». i de la "League of the Empire" recouvrir son lit, pour orner son linge.

-— ces françaises c pétrole. C'est au Cap que ça a été nickelés toute la des déjeuner embaumée, aimable, si 30, 12 h.

Mais si BANQUETS. de lilas. le volant.

Billy tîur. sommeillait leur — ber Figurez-vous une im nègre Les nouveau-nés en avaient à au >le plus attendrissante si jolie 1... Cher ii- Soirées de Médan : 19 h. 30, au Lycée et si M. Marraud Pierre chez de et bourrade d'une réveilla ' me Louls-le-Grand, déjeuner familial de l'As < mense arène avec des milliers de las 1 — Francine. ; sociation manda des anciens éléves 49, avenue étions hurlaient. plus qui Nous -*•.. types : ' Amicale des 161* et 361* l'Observatoire, vais de Je vous PRATIQUE, ATTRAYANTE, INSTRUCTIVE de cent à faire la course. Il y avait ,M. Pierre Marraud, ministre de l'Ins — Où allez-vous ? faites mesdames, R. I. Ne nous pas, BALS. — 22 heures, au Clnrldge, Asso truction publique et des Beaux-Arts, a un mécanicien qui était venu avec accompagner. les fautes des autres. payer dans monter au' de UeU. Mais sa flambé ciation amicale des anciens éléves du Ly reçu hier une délégation de 150 mem route.

31 en une Ford. Elle a avait été qui trom Une femme jeune Condorcet cée m'en bras et bres de la « League of the Empire », : au Palais d'Orsay, les élè fallait jalonner sur deux kilomètres voiture, il nie prit le supérieure militaire d'épouser simple pée, trouvé Préparation tout de la un association d'universitaires anglais qui ves a à deux cent milles de là. H y a deux traîna. Nous descendîmes ainsi à monsieur ' Paris. de n'aimait • qu'elle; • • • compte parmi les plus importantes de la pas..., pour . paraît chaque semaine. C'est le journal que toutes types qui sont morts sur le chemin. grands pas les pentes de Montmar taire DIVERSES INFORMATIONS Grande-Bretagne. Le ministre a rappelé monsieur qu'elle bisquer le peu un suivait.

Billy L'automobile, nous C'est un ^ étudiant d'Oxford qui a le tre. les femmes doivent lire les '«changes cordiaux qui, depuis 1926 de cette aimait. Puis, quand «lie a eu bien fait Demain,-à 14 h. 30, 70, rue Falgulère, surtout, m'étonnais je s'aperçut que mieux couru, après moi. J'ai gagné, produire cessé de trie n'ont en se bisquer le monsieur qu'elle aimait, elle a « Chanteuse de Rue », pièce en 3 actes, ^ mais j'étais bien fatigué. Qu'est-cë cpurse inattendue, tandis qu'il aurait LA MODE, en vente partout : le numéro : 60 centimes Uni les of the Empire League et la Lhande, R.P, > du « inspirée, des ouvrages qu'elle n'aimait monsieur quitté le pas voi monter dans été si facile de sa des Séminaires et versités françaises. au profit des'Œuvres, que vous buvez ? l'adorait, lui, elle est qui, et revenue au auxquels vient en:aide Missions des toujours le whisky ? ture. commerce aimable entre person — Cedes qu'elle aimait.

— Vous aimezvieil Aiguilles.

Petites monsieur l'Union des dit-il.

De Universités de deux grandes nalités Vous ami. comprenez, me Au Cap, .

C'est un L'assemblée générale de VAssaeTfctton -T-. n'aimait qu'elle monsieur — Je Résultat peut qu'être favorable, a dit nations rie ne : plus, je ne peux l'enseignement-(fondation c'était la seule chose que je pouvais puis que je cours membres de des au développement des senti l'a abattue d'une balle de revolver. Taylor). aura lieu demain dimanche, à 10 le ministre, LE DOMAINE DE LA DOUTRE boire. Il y avait des concurrents, qui plus rester assis. Alors je marche, je pas d'amitié qui unissent/nos deux ments (amphithéâtre EdElle morte.

Sorbonne est à la heures, | . grands pays. » avant la course, auraient bien voulu d<2QS6 é L'Affafre type pour la loi Loucheur ontr# et gar-Qulnet). ,mesdemoiselles, Méditez sur plus peu, un ensuite remis les Vraiment, Pierre Marraud courrez M. vite malade. est vous ne a Un nombre verre me rendre A la date du 26 avril, le — ce drame, malheureusement banal. Ne des—chômeurs Inscrits est de 1.208, dont Insignes d'officier de l'Instruction pu bu dans un bar. On peut mettre un jamais ?

La semaine blique à Mme Ord-Marshall, secrétaire pas avec le cœur des hommes. 910 homirtes et 293 femmes. gentil petit poison dans un cocktail. Billy eut un, sourire mélancolique. jouez SB kilomètres de Parla chômeurs béné générale de la League of the Empire », nombre dernière, des le le C'est un jeu dangereux pour tout .

Mais j'avais toujours ma bouteille de — Au fond j'aimerais bien courir monde. ficiaires d'allocations était de 1.273, soit commandeur de« l'Ordre de l'Empire bri Centre élégant la. proche, banlieue Est au milieu de* rrandi donuliies Forestiers. Magnifiques terrains, toutes superficies, whisky sur moi. encore. Mais où le ferai-je ? Y a-t-il pour cette semaine une diminution de tannique qui a présenté la délégation, prix très iru 70 imités.

Placement & plus-value — paiement i volonté.

Billy me quitta pour aller danser. des mines d'or ou de diamants, des gâts. .

Puis il revint boire. Mais il semblait poches de pétrole à découvrir en cères. Lanmes de théâtre... larmes sin Bureau sur place ouvert . Samedis après-midi. Dimanches et Fêtes.

VOIR EN SIXIEME PAGE poursuivais je générale fortune annuelle statutaire La L'assemblée ?

Dès avait qu'il que place. tenir Société "LA FRAfiCE FOSCiERE" 64. rusTallbout. Paris-9 core en ne pas suite la liste des lauréats (le la de tard parler Il n'est trop piour patronage, des apprentis comité du de glace en dp pas a plaines la les & course sur sablé bu, il retournait inviter une femme notre concours des 'Produits Ré TéL ; Trinité dl-65 & WrtiR — Approtetiuu préfectoral^ du Lurville, président de d'elles eu lieu hier après-midi dans la salle du brûlant, elle désèrts core : de où les l'entraî Quinzaine photograpbtlaquelle, gionaux. n'importe pour mairie de la du X comité de patronage — e 20 J Qlllet <837. (Douierdéporfèl* Mairie.)

— artistes, a pieuré d'émotion que. tt Courrier de'l l'Union des coffre" la x. S, ~ F. ~ fond d'un endormie s'est présidence des tan la M.' cirée au arrondissement, de piste la son sous au ner sur Bertin, maire adjoint. en écoutant les discours de camarades valses. Il de- fort.-Elle engraisse: Moi aussi. blues des des ou gos,

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Le Petit Journal

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OZOIR-LA-FERRIÊRE

-38— Feuilleton

Justement un drame — Aucunement. mystérieuxpassionne en ce mondain assez s'agit d'une Il Cannes.

Nice et moment princesse russe assassinée en automobile L'enquête sur la route par des inconnus. serja longue et intéressante. ;J'ai offert à mon journal de m'en charger. J'y ratta cherai ensuite une série d'articles sur la colonie étrangère de. la Côte d'azur. De te sorte, j'espère pouvoir rester environ un mois dans ce pays de soleil et de fleurs où vous allez vivre yous-même désormais et j'irai vous voir de temps en temps.

du Petit JournaL d Mal 1930

CCEOR MIDINETTE Grand roman-reportage d'amour et d'aventure»

'

par Jean CLAlRVAt DEUXJJSMJE

PARTIS

ENTRE DEUX AMOURS

O'une cage à l'antre, (suite) Elle avait levé vers lui ses beaux yeux clairs où tout le printemps souriait... Qu'y avait-il derrière ce regard ? Quelle ten dresse, quel abandon, ou... quelle indiffé rence, feinte par pitié .ou par politesse ?

Il eût tout donné pour le savoir, mais la jeune fille ne livrait rien de son cœur. Elle dit seulement : imprudence nous commettons, — Quelle Là surveillante peut-se réveil Jacques i ler d'un moment à l'autre, et venir nous surprendre...

• . m'arrangerai je Qu'importe, avec elle.

— insensible' douté à Elle ne serait sans pas une recommandation qui lui vaudrait une . meilleure situation dans un pensionnat que je connais.

—Mais vous-même, ne risquez-yous jrien en vous absentant ainsi ?

X.

—

.

.

—'Quelle Joie ! merci, Jacques. de seront des entrevues brèves — Hélas, et gênées, au cours desquelles nos paroles et nos gestés seront surveillés, où nous ne pourrons rien nous dire. Voici donc les derniers moments que nous passons en semble, sans' témdlns, dans toute la sin cérité de nos âmes. Paulette, ma . chère petite, je voudrais que cette minute ou. je vous crois un peu mienne; où-je me grise du parfum-de vos cheveux, où je sens bat tre votrç cœur contre le rpien, se prolon geât toiite ma vie !...

Sans un mot, Paulette crispa sa petite main dans celle de son ami. quand nos yeux se — Tout à àl'heure, sont croisés travers la vitre de votre compartiment, reprit-îl, une envie Telle m'est venue de Vous emporter avec moi, de descendre à la première gare, et d'aller nous cacher tous les deux dans un petit coin perdu de cette Provence heureuse, où tout chante dans la lumière éternelle.

mais quelle r —Hé^as, dit-elle, tout cela n'est que tres circonstances prenait ici une excep chimères. Avez-vous songé aux conséquen tionnelle gravité. loiie ! . petite mai toute louerais Je vous une ces de votre téméraire projet, si nous le ! La surveillante, Mlle Clémence, rédige —quelque part dans la campagne, parmi réalisions ? Je ne suis pas libre. On me rait un rapport qui appellerait sans doute son les oliviers et les mimosas. J'en connais rechercherait, je serais vite découverte et des sanctions sévères dont la pauvre Pau qui ont des volets bleus déteints par le ce serait un joli scandale. Et même, si on lette ferait tous les frais. soleil, et des tuiles d'un rose fané. L'été, ne me retrouvait pas tout de suite, quelle Une seule chance de salut : Mlle Clé leur terrasse se pare de glycines ou de ex istence serait ia nôtre, toujours inquiète mence se trouvant en faute, elle aussi, clématites, et l'hiver des rosiers grimpent et toujours menacée ? puisqu'elle avait laissé échapper sa pri* à l'assaut de leurs fenêtres pour vous of Paulette; je suis prêt à tout pour sonnière, attendrait peut-être Paulette à — frir une coupe de parfum... Elles sont fai vous garder ! la gare de Nice, de façon à arriver avec et Mais vous le regretteriez bientôt, vo elle à Tourrettes-sur-Loup,et expliquerait tes pour l'amour et pour le bonheur rle elles mourir, vient tre coup de tête, quand vous vous verriez le retard d'une manière qui; arrangerait quand quelqu'un y définitivement compromis et votre situa lés choses.' bercent d'un suprême enchantement...

De toutes façons, il ne fallait pas télé songer à tout cela, Jacques ?... tion gâchee !

— Pourquoi petite notre », puisqu'on — Que m'importerait cela si vous aviez graphier aux « Ombrages — Paulette, la voyez-vous, infinie la aurions Clémence allait faire. moi...

Tout ignorait Mile maison ?... Nous mer ce que un peu d'amour pour ce que pour horizon. Nous connaîtrions par leurs l'avenir me réservé, quel qu'il soit, je Le télégramme eût fatalement révélé une noms tous les gens et toutes les bêtes du l'accepte de grand cœur, s'il ne me sépare négligence qu'elle n'avouerait peut-être voisinage et ils seraient nos amis. Nous pas de vous ! pas. s jardinerions un peu, nous irions ensem L'unique solution était de prendre le De nouveau, elle se tut... Et, au même ble au marché du village, nous ferions de moment, Jacques Nil s'aperçut que le train trair suivant. Mais il était huit heures et grandes promenades et; la nuit venue, était depuis plus d'un quart d'heure en demie du matin et il n'y en avait plus j'essaierais d'écrire des livres, pendant que gare d'Avignon alors qu'il ne devait y sta avant cinq heures de l'après-midi 1 tu lirais-.. Et je suis sûr . Paulette, que je tionner que huit minutes.

Alors, ils sortirent de la gare et Jacques ferais quelque chose de très bien, puisque H se pencha à la portière.

Nil ayant mis sa valise à la consigne (celle j'aurais toujours près de moi la musique — Eh bien, monsieur, lui cria un em de Paulette était; restée ' avec Mlle Clé de ta voix et la griserie de tes yeux... ployé, vous êtes arrivé I mence) ils errére&t dans la ville. Il faisait s'en allons à Nice ! beau et l'air était plein d'une douceur ? Mais nous H s'était mis à la tutoyer sans aper — Comment d'elle... voitures enivré Il l'avait Lés Nice rap-t sont parties, triste d'automne. cevoir, encore pour — étaient prochée de lui, et, maintenant, il la tenait monsieur, elles Ht. se rendirent au vieux pont dont en avant. Cette voi lèvres Avignon, ainsi qull est l'arche inutile semble se morfondre a en serrée contre sa poitrine, et ses ture-ci ne va qu'à chevelure. indiqué blonde la accrochée la à l'exté nui puis allèrent s'asseoir dans le magni erraient dans sur pancarte Elle releva enfin la tête et il chercha rieur du wagon : « Paris-Avignon ». ' fique jardin public qui est l'un des plus dans ses yeux ce qu'elle allait décider- Cependant, la surveillante filait à ce pittoresques de France. Les feuilles mor tes tourbillonnaient autour d'eux. L'heure Mais son regard était affectueux et triste moment vers Nice !...

L'incident qui eût été comique en d'au était exquise à cause de la fluidité de l'at et. ne trahissait pas encore son secret...

— Le beau rêve, en effet,

mosphère et des nuances rares et tendres qui voilaient le Dùm ?omnie d'une soie

transparente.

Mais le charme était rompu.

Jacques Nil avait pourtant momentané ment réalisé son rêve .d'avoir Paulette à lui seul, loin ie toute contrainte lui, et de tout contrôle. Mais une sourde an- " goisse pesait sur eux st les oppressait... lis étaient dans l'état d'esprit de ces condamnés à qui l'on permet toute fan.taisie et tout caprice cuelques minutes avant leur exécution mais qui ne pensent qu'au châtiment qui les attend.

Ils n'avaient pas de goût à vivre leur, bonheur, parce qu'ils e savaient fragile,fugace et mal équilibré-et ne pouvaient oublier, fût-ce un instant, qu'il allait leur' échapperVers quatre heures, après avoir déjeu4' né sans appétit, ils revinrent' a la gare,, la^ et silencieux. Leur? pensées les réunis- 1 saient et pourtant, ehes étaient différent

t

tes.

Jacques Nil se disait

ne m'aime pas, puisqu'elle n'aurait pas voulu fuir; avec moi ».

Et Paulette réfléchissait : « il m'aime certainement puisqu'il est prêt à tout ris- «. quer pour moi. mais moi y,.. J'ai de l'af fection pour lui, évidemment, mais la reconnaissance que je l'ii dois et cette sor~ te de respect que m'inspirent son dévoue^ ment, sa réputation, son âgé. m'empê-^ chent de ressentir pour lui ce que je crois:

* Elle

être l'amour.

,

•

"

-

(A

suivre). ,

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te

vice=roi des Indes

LA MOBILISATION

n'a pas décidé encore de la dette allemande du sort de Gandhi r.

Celui-ci Jance un nouvel appel aux musulmans

noire correspondant particulier.) ' Londres^ 2 Mai. — La presse londo* tiierftie de ce soir parle d'une nouvelle déclaration que lord Irwin aurait faite Rujourdlhui en réponse à une requête des principaux leaders musulmans des Indes, suppliant le gouvernement de né gocier avec Gandhi et ses partisans.

Cette déclaration, au cours de laquelle ~le vice-roi a notamment réaffirmé sa détermination^ de combattre sans répit les menées des agitateurs, n'est autre que celle faite mercredi dernier. i

'

(De

Gandhi a prononcé aujourd'hui à < Bander un nouveau discours devant ses fidèles. Il a lancé un nouvel appel aux '

musulmans, les engageant à prendre part à la campagne de désobéissance., « Je ne leur demande pas de se bat tre, a-t-il ajouté, mais s'ils en expri maient le désir, je ne m'y opposerais pas. ». ..

Le Comité d'arbitrage de Genève

continue l'examen du projet de convention générale " Genève, 2 Mai. — Le comité d'arbi trage et de sécurité a continué ce matin la discussion du projet de convention générale en vue de renforcer les moyens fie prévenir la guerre.Il examina tout d'abord l'article 6 qui prescrit que les dispositions du traité jïè s'appliqueront qu'à titre de récipro cité, c'est-à-dire pour des différends entre les hautes parties contractantes.

XJn renvoi au comité de rédaction fut prdonné.

Il en fut de même pour l'article 7 de la convention qui prescrit que le traité t

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pourra être interprété ir difiant de quelque façon

comme mo • que ce soit la 'mission du Conseil de la Société des ^Nations telle qu'elle l'ésulte du pacte,

jîie gouvernement britannique avait pro posé un amendement à ce texte consis

Les banquiers réunis à Bruxelles

n'ont pris aucune décision pour l'émission de l'emprunt Une nouvelle réunion est fixée pour le S mai, à Paris

votre correspondant particulier.)

Bruxelles, 2 Mai.— Les banquiers qui préparent à Bruxelles l'émission de l'em (De

prunt pour la mobilisation d'une pre mière tranche d'obligations Young se sont réunis de nouveau au siège de la

Banque Nationale. La séance, commen cée à 9 h. 30, s'est terminée & 13 h. 45.

Les membres des sous-comités ont fait différents rapports, ; puis a eu lieu l'assemblée générale, que présidait M. Mac Garrah..La réunion plénière s'est poursuivie jusqu'à 18 heures et les tra vaux ont été déclarés clos sans qu'au cune décision n'ait été prise. Les con versations des banquiers, nous assuie-ton, n'avaient pas pour but de prendre des décisions sur les modalités de l'em prunt Young, maïs seulement de procé der à, des échanges de vues. Ceux-ci fu rent très nombreux. Us portèrent sur tout sur des questions techniques, maïs la question de la tranche à attribuer à chaque pays ne pouvait être résolue définitivement, dans l'ignorance où l'on était des conditions et de la situation des différents marchés financiers inter nationaux. Celle du taux d'émission ne pouvait l'être davantage pour les mê mes raisons et, enfin, la fixation du taux d'intérêt des ^coupons est très délicate à établir, certains pays frappant les re venus de taxes plus ou moins élevées, alors que d'autres ne prélèvent aucun impôt sur les coupons d'obligations.

L'ensemble des questions à étudier était donc fort complexe et des éléments documentaires considérables ont été ap portés ; ils seront utilisés par les re présentants de la B. R. I. lors de leur prochaine entrevue, qui aura lieu lun di 5 mai, à Paris, avec les représentants des trésoreries créditrices.

CINQ TUES ; QUINZE BLESSES POUR LE 1" MAI EN INDOCHINE

Hanoï, 2 Mai. — La journée du 1" y ajouter que le traité ne peut mai a été relativement calme dans le être interprété non plus comme impo Tonkin. M. Barry, résident Thaïsant aux hautes parties contractantes Binh, a blessé grièvement d'undecoup de .l'obligation d'interrompre ou d'empêcher revolver un manifestant qui le menaçait. l'action entreprise,, conformément aux A Ben-Thuy, en Annam, un millier ïecommandations du Conseil, ont manifesté. Une bagarre v'Après discussion, le préambule et les d'indigènes produite entre la garde indigène et Articles 8, 9, 10 et lit relatifs à la date, s'est les manifestants.

Cinq de ces derniers la ratification, à la notification à la ont été tués et quatorze iSociété ont.été blessés. des Nations, à la mise en vi Cinquante arrestations ont été opérées. gueur,- à la durée, à l'enregistrement, en Aujourd'hui, le calme est complètement mot aux clauses de style de tous les un traités élaborés sous les auspices de la rétabli.

Société des Nations, ont été également —t Le Président de la Confédération Tenvoyés au comité de rédaction qui aura. la tâche difficile et délicate de helvétique télégraphie à M. Hoover ^concilier autant que possible les diffé au sujet du relèvement des tarifs rents points de vue exposés afin de soudouaniers 'mettre au comité, pour un débat en seÎConde lecture, un texte de projet entiè Berne, 2 Mai. — La situation mena rement révisé. çante créée pour certaines branches de suisse par le relèvement des Le prochain mouvement l'industrie droits de douane américains a engagé M. Musy, président de la Confédération diplomatique

tant à

en Allemagne

»

—

Le Reichstag discute

MARCEL SAURET LE DÉPART de M. Doumergue devant les Assises de la Seine H était accompagné de MM.. Du-

Ce que dit la Presse LES ACCORDS SUR LES REPARATIONS ORIENTALES De l'Europe Nouvelle (déclaration-tîr

difications ont été apportées à l'horaire çais et suisse n'avaient pas permis jus qu'à présent de trouver les bases d'un ac de la journée. * cord.

Le banquet offert au président par la De son côté, le gouvernement français, ville, la Chambre de commeroe et le con par lettre datée du 29 avril 1930, a Informé seil général du Var dans la salle du la que l'accord en question n'avait théâtre municipal ne commencera qu'à pu,Cour être conclu. midi -quinze et le moment où s'embar Dans ces conditions, le président de la queront M. Doumergue les ministres et Cour, M. Anzilotti s'est rencontré aujour leur suite pour se rendre sur le Duques- d'hui, en présence du greffier dé la Cour, avec les agents des deux gouvernements ne est retardé de trente minutes. prés la Cour, en l'affaire, afin de prendre C'est à 14 h. 45 que le président pren acte du fait que les négociations n avaient dra passage, sur le quai de l'Horloge pu aboutir à un accord, et d'entendre les dans l'Arsenal, à bord de la chaloupe vœux des parties en causes au sujet de la du vice-amiral Vindry commandant en durée des délais de procédure qu'il in chef la 3' région maritime, afin d'être combe dés lors au président de leur im conduit sur le ' Duquesne. A 15 heures, partir.

Aux termes du compromis du 30 octobre le navire lèvera l'ancre ainsi que le 1924, en effet, 11 appartient'désormais à Colbert et le Suffren et les trois bâti la Cour de relier l'ensemble des questions ments sous le commandement du con qu'implique l'exécution tie l'article 435, tre-amiral Descottes-Genon feront route alinéa 2, du Traité de Versailles. »• décision du président, M. Anzilotti, sur la côte algérienne, Le 7' régiment surLaces points de procédure sera rendue de spahis d'Orange et le 3' régiment Incessamment. » . d'infanteriealpine d'Hyères sont arrivés.

Us se joignent aux 4".-et 8'< régiments STRASBOURG de tirailleurs sénégalais, au 2* régiment M. POINCARE A d'artillerie coloniale de «ampagne et aux compagnies -des équipages de la flotte Strasbourg, 2 Mai. — M. Raymond . honneurs. rendre les Poincaré et Mme Poincaré, qui avaient pour Sampigny quitté en auto au début de MM. Paul Doumeret FernandBouisson l'après-midi, sont arrivés ce soir à Stras descendus bourg.

Ils sont dans un-hôtel se sont embarqués à Marseille de la ville où des appartements leur Marseille, 2 Mai. — A bord du Porthos avaient été réservés.

Conformément au désir de M. Poin qui fera escale à Alger sont partis MM. caré, aucune réception n'a eu lieu.

Paul Doumer, Pernand Bouisson et de M. Poincaré présidera, demain ma nombreuses personnalités qui vont as tin, heures, une réunion du comité sister aux fêtes du Centenaire de l'Al et à à119 heures l'assemblée générale de gérie. la société des Amis de l'Université de M. René Manaut qui recevra le chef Strasbourg dont il est le président. Le discours, qu'il prononcera à, oette occa de l'Etat la Terre

à s'adresser directement par télégram M. - Loucheur) : me à M. Hoover.

SI l'on envisage la 'portée politique des accords on a pu dire avec'certltude qu'elle ^ Bèriïn; "2 Mal Suivant ia Gazette LORD TYRRELL A LONDRES — beaucoup plus grande qu'on ne. l'Ima est &e Voss, M. von Schubert, secrétaire gine en général. Sans ces accords, 11. était :"d'Etat de mettre en application le aux Affaires étrangères, serait Londres, 2 Mai. — Lord Tyrrell, am Impossible césigné. pour remplace!' 'M. Sthamer, bassadeur Plan Young ; notamment le .fonctionne à Paris, arrivé est soir à ce la Bauque d'Allemagne ment de des règlements inter à ambassadeur Lon tomme Londres où restera il quelques jours.

Il était arrêté, nationaux suspendu. Mais dres. vient s'entretenir M. Arthur Hen les friction avec surtout de qui avaient causes - Quant au Successeur de M. von Schu derson de diverses fâcheusement questions politi Influencé relations de les de la bert, on cite» le nom de M. Bernard von Hongrie et de voisins depuis fin la de étrangère.. ses que 'Bulow, actuellement chargé des.affaires la . guerre, disparaissent. On peut .espérer de la S. D. N. aux Affaires étrangères. une véritable et Importante détente dans M. von Bulow est âgé de 45 ans et est Mermoz s'envolera ce matin l'atmosphère. Les puissances Intéressées ,îe petit-fils de Bernard Bulow qui fut ne vont plus s'affronter à la S. D. N. com me elles le faisaient jusqu'à présent.' Sans secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères de Kénitra pour St=Louis doute, un certain nombre de questions, le bous Bismarck, et neveu du prince von procès des archiducs par exemple, seront ®ulow, ancien chancelier du Reïch. posées devant l'organisme de Genève. Mais Marseille, 2 Mai. — L'aviateur Mer elles le seront d'un accord commun et moz, accompagné de MM. Baujac, Da- non pas par des parties dressées l'une bry, Glimé et Bidault a pris son vol cft contre l'autre. > LE CHANCELIER SCH0BER Africaine sur matin à 5 h. 7 de Saint-Laurent-de-la- Nous ne devons pas oublier que, pour chez MM. MacDonald et Henderson Salanque pour Saint-Louis du Séné nous, les affaires d'Autriche et de Bul s'est embarqué hier pour Alger garie étalent déjà réglées. Le voyage actuel gal via Kenltra. du chancelier Schober à Paris s'explique signalé Après avoir à son passage Port-Vendres, 2 Mai. — M. René Ma précisément en partie comme un geste de Londres, chancelier Schq- 10 h. 38 2 Mai. — Le * faviateur Cap Gâte, améri au a sous-secrétaire d'Etat à l'Inté remerciement à égard naut, " notre notre .ifcer et le ministre d'Autriche à Londres pour à d'hydravions la base de Kenltra (Ma attitude règlement moment du. au autri rieur a quitté ce matin Perpignan où il ,-ee sont -rendus dans la matinée au Fo- roc) à 14 h. 10 pour chien. ravitailler.

Il se était venu prendre-part aux travaux du 'leign Office. Ils ont eu un entretien' compte repartir demain L'Autriche a-désormais repris liberté matin sa Général des Pyrénées-Orien qui a duré une heure avec M- Hender- Saint-Louis du Sénégal où, après pour financière. Il en sera maintenant de même Conseihdont partie,, pour aller une tales, fcon, ministre des Affaires étrangères, et pour la Hongrie ; tous les gages lui seront s'embarquer ilà fait il l'Amé nouvelle escale, s'envolera Port-Vendres vers à destina rendus. Les opérations financières néces jont conféré ensuite avec Sir Robert rique du Sud. saires à rétablissement de son ordre inté tion d'Alger où il doit recevoir M. Dou Vansittart, sous-secrétaire d'Etat perma rieur lui seront possibles. Pour la Petite mergue. nent au Foreign Office. / SABOTÉ Entente, le problème capital des biens cé LE SIGNAL > Après avoir visité Scotland Yard, le dés est régie. Des garanties sont apportées DE NOUVEAUX IMMEUBLES chancelier et le ministre d'Autriche ont aux Hongrois lésés par les réformes agrai déjeuné avec M. MacDonald, à Downing res. Celles-ci, dont le rôle est essentiel (SUITE DE LA PREMIERE PAGE) ' Street. pour l'évolution de la politique Intérieure, à loyers moyens vont être construits .

Une lourde traverse de bois avait des Etats de la Petite Entente, pourront Dans la soirée, M. Schober a reçu les achevées. Tout permet d'espérer que représentants de la presse internatio été posée sur la voie montante, des être La construction -des -habitations à les de l'Europe orientale trouveront, loyers outils, pays des plaques de tôle avaient été nale. Il a déclaré qu'il a discuté avec M.. moyens, dans le cadre de la loi grâce aux accords qui viennent d'être con Henderson de la situation générale en jetés sur les deux voles sur une lon clus, Loucheur, solution la se poursuit avec activité. C'est que réclame l'organisa Autriche, qui est satisfaisante. Il a con gueur de plusieurs mètres ; enfin, une tion pratique de leurs commission de l'habitation, ainsi la rapports économi que firmé que l'emprunt négocié est destiné scie à bois et un tronçon de rail de ques. présidée par M. Guillaumm, a pris con 1 m. 20 de longueur avaient été posés aux chemins de fer et aux P. T. T. DECISION LA PRESIDENT naissance, hier, d'une communication de DU Parlant, ensuite de son voyage à sciemment sur un rail conducteur et sur DE LA REPUBLIQUE CONCERNANT M. Edouard" Renard, préfet de la Seine, Rome, M. Schober a dit . un rail de roulement, ce qui avait pro l'informant que des maisons à loyers LES CONDAMNES DE ÏEN-BAY voqué, du suite contact, par coup un « vois que ce voyage ii-été interprété moyens allaient être mises en chantier — Je » déréglant la plupart des si Du Journal : dahs certains milieux comme la manifes de feu électriques. aux portes de Salnt-Mandé, de Sainttation d'une plus grande activité diploma gnaux Le Président de la République vient de Cloud et de" Ménilmontant ce qui QBrD'après les enquêteurs, il serait prouvé faire tique de l'Autriche et indique une nou sa décision à l'égard de tera à 10 les immeubles du même genre velle orientation dans la politique étran que les saboteurs auraient préparé leur treize connaître condamnés à mort de l'affaire de construction. des gère. Il me faut donc préciser que ma vi coup bien avant le. passage du train 480 de Yen-Bay. La commission a entendu un rapport site à Rome était dans le cadre de notre qui traverse à toute allure la gare de La grâce a été écartée pour quatre des de M. François Latour, dont elle a ac politique étrangère tendant à éliminer à 23 heures 8. Les criminels au condamnés : Dang-Van-Luong, cultiva cepté 'tous les malentendus et toutes les. cau Bécon les conclusions, décidant la cons tenté de faire dérailler le train teur ; Ng-Than-Thuye, caporal de tirail truction, ses de mésentente qui pourraient nous raient par l'office public-d'habitations Dang-Van-Tich, commerçant : empêcher de conclure des accords avec les de 22 h. 56 venant des Moulineaux, leurs à d'habitations à type in bon marché, caporal. mais celui-ci, comme d'ailleurs une ma Ngo-Hau-Hae, autres puissances. termédiaire Trois condamnés voient leur peine com entre l'habitation à bon •Le chancelier sera reçu demain par le chine haut-le-pied qui a passé à 23 h. 2 muée celle forcés à des travaux per7 marché et l'habitation à loyer moyen, ,-TOi à Windsor. a poursuivi sa route sans encombres, pétuitéen: Nguyen-Van-Hong, tirailleur « c'est-à-dire d'appartements dont le mais non sans avoir dérangé sur les Bui-Vajj-Bot. tirailleur : Nguyen.-Vanloyer oscillerait entre 1.746 francs pour voies tout le matériel qui . y avait été Thinli, caporal.

Mgr Vérdier s'est embarqué placé et qui devait provoquer la catas dans Trois condamnés seront déportés à vie une pièce et une cuisine et 4.920 francs cinq pièces et une cuisine. : Pham-Cao- pour trophe. Seul le train n° 480 a .broyé la Kien. une enceinte fortifiée commission s'est également occu La Dona-Van-Hop, insti hier matin, pour Naples fraversé dont les éclats ont déteuit, tuteurcommerçant;Dang-Van-Truoc, cultivateur. pée de la démolitiondes immeubles d'ha ; comme nous le disons plus haut, plu condamnés s'en tirent Trois enfin avec bitation et de l'élaboration des textes sieurs appareils signalisateUrs. Dangdéportation simple la peine de la : nécessaires pour en éviter Marseille, 2 Mai. — Mgr Verdier, car Bto-Van-Hol, ti législatifs Van-Tlnh. commerçant ; l'abus. dinal archevêque de Paris, est arrivé ce railleur ; Nguyen-The-Klioat, médecin.

UN GESTE MAGNIFIQUE matin par le rapide de Paris et s'est Il reste-encore à examiner les dossiers embarqué h bord du Président-Dal-Piaz qui ne sont, d'ailleurs, pas encore parve PARIS RASSEMBLE LES POETES ministère des Colonies, do tren qui est parti à midi à destination de M. ROCKEFELLER PORTE nus au autres condamnés à mort. te-neuf Naples et de Tunis., DOLLARS LA PROHIBITION AUX ETATS-UNIS A Du Matin (M. Stéphane Lauzanne) QUATORZE PROVINCES CHINOISES libéralité en faveur Pendant huit jours consécutifs, des cen ADHERENT AU GOUVERNEMENT taines de témoins ont défilé devant la DE PEKIN commission Judiciaire do la Chambre, mu de la Cité Universitaire nie de pleins pouvoirs d'instruction. Ces témoins venaient de toutes les parties des Londres, 2 Mai. — On mande de Pékin Etats-Unis et appartenaient à toutes les que quatorze provinces ont accepté de classes la société : il y avait des mé se joindre au mouvement séparatiste et M. Rockefeller, dont chacun sait l'a decins, de des avocats, des clergymen, des reconnu l'autorité du gouvernement du mitié pour la France et l'a, en maintes universitaires, des industriels, des fer nord de la Chine comme la seule coali circontances, prouvée de magnifique ma miers. des savants, des statisticiens, des tion possible et le seul moyen de rame nière, vient dé s acquérir un titre nou journalistes, des écrivains, des brokers et de simples « pères et mères de famille ». ner le calme dans le pays. Ces quatorze veau à la gratitude de notre-pays.

Ceux qui ne pouvaient comparaître en qu'il procédé & à désigna la suite des entretiens provinces ont donc la A a eus ont envoyé leur déposition par personnes tion de délégués qui se rendront à Pé New-York avec M. André Honnorat, M. écrit. Quelques-uns l'ont adressée par. kin pour y discuter la nomination du Rockefeller, qui avait, en 1928, consenti câble. président dju nord. une libéralité de 2 millions de dollars & A chacun, le président de la commission la Cité universitaire, a décidé de porter d'enquête posait cette simple question : libéralité à 3 millions et demi de dol — Quel? effet. Belon vous, a eu la pro DEUX TUES, QUINZE BLESSES sa hibition lars.

AU COURS D'UNE MANIFESTATION Voici la lettre par laquelle son ami, Et les réponses ont varié comme les du ciel ou se sont entre-choquèes nuages EN ARGENTINE M. Fosdick, vient d'en informer officiel les vagues de la mer. comme lement M. Honnorat.

'Buenos-Aires, 3 Mai. — Un certain « Mon cher Sénateur, M. John D. Rockefeller m'autorise SANGLANTESGREVES DANS L'ILE DE CUBA ftombre d'ouvriers boulangers de -San » connaître qu'il est prêt & à faire vous Martin qui se livraient à une manifes donrer les ressources nécessaires, Londres, 2 Mai. vous tation sur la voie publique en dépit de Jusqu'au chiffre La loi martiale a 3.500.000 maximum de — l'interdiction qui leur en avait été faite dollars pour la construction et l 'aména été proclamée dans la petite ville cubai par les autorités, se sont heurtés à la gement de l'immeuble qui abritera les ne de Régla où des grévistes ont livré» police. servicesgénéraux de la Cite Universitaire.» combat à la police.

On signale deux morts et 12 blessés. Le poète hindou Rabindranath Tagore Deux gardiens de la paix ont été tués Ce geste, d'une largesse sans précé dent, ne pourra manquer de rendre plus La police a saisi de nombreuses ar dont une exposition de peintures s'ouvre et quinze manifestants blessés.

Une cinquantaine de personnes ont vive la gratitude que le- grand Améri mes et a procédé à l'arrestation d'envi aujourd'hui rue Pigalle, et, à droite, été arrêtées. cain s'était partout acquise en France, ron 300 personne». la comtesse Mathieu de Nouilles

3.500.000

sa

(SUITE DE LA PREMIERE PAGE)

de 1930

chômage.

TES®

(SUITE DE LA PREMIERE PAGE)

mesnil, ministre de la Marine ; Flan- .On sait la suite. Le 9 octobre, Sauret din, ministre du Commerce ; Pernot, arrive à Paris et aussitôt achète un re ministre des Travaux publics ; Lau- volver. . le budget rent-Eynac, ministre de l'Air et Roi- Le président. — Qu'avez-vous lait en lin, ministre de la Marine marchan suite ?

— J'ai tué le temps... et va s'occuperdu "croiseur B" de ; du maréchal Franchet d'Espe- Sauret.

-En attendant de tuer son amie. rey, de l'amiral Vedel, de MM. de Il ...

Fouquières, chef du protocole ; Jules 17 se présenta chez elle, rue Civiale, â h. 30, à l'heure ou il savait le mari Berlin, 2 Mai. — Le Reichstag s'est Michel, secrétaire général de la pré absent.

Une courte discussion eut lieu réuni cet après-midi,, pour aborder en sidence ; Roquère, secrétaire général toujours première lecture la dispussion du bud de «l'Intérieur et directeur de la Sû francs. sur la procuration et les 4.500 get pour l'année 1930. . .

Sauret. <— Elle m'a ri au nez. EUe s'est La séance a débuté par l'exposé de reté générale, et du lieutenant-colo M. Moldenhauer, ministre des Finances, nel Gransard, attaché à la prési f... de moi. (Sur le ton le plus froid). J'ai la tête. Je lui al dit : « Tu m'as qui a déclaré que la réduction des im dence. La compagnie P.L.M. était re perdu ïalt g&cher ma vie et tu ne veux rien pôts est le problème capital de la poli présentée, dans le voyage présiden faire pour que l'arrange. Tu vas m'oblitique financière et économique du gou tiel, par MM. Cordier, président du ger à te mettrejeune balle dans la peau. » vernement.

Conseil d'administration ; Margot, J'ai sorti mon revolver et J'ai tiré.

M. Moldenhauer a dit ensuite que directeur général Prudan, inspec Il tira deux fois, tuant net la malheu ; l'élaboration du budget de 1930 a pré teur général,- et Poncet, commissaire reuse. Puis il alla dîner chez l'ami qui senté d'énormes difficultés par suite du spécial l'avait invité. de la gare de Lyon. manque de réserves. Avec l'aide de l'em Sauret (Toujours froidement ). —Je A l'arrivée sur le quai, à 18 h. 55, prunt des allumettes de 515 millions de donnerais ma vie pour racheter la sienne. marks, il sera possible de mettre à dé les honneurs ont été rendus au Pré On imagine aisément les incidents couvert pour un milliard de marks de sident de la République par une com auxquels ont donné lieu l'interrogatoire dette flottante au cours de l'année 1930. pagnie de la Garde républicaine. Le et les dépositions des témoins entre Le ministre estime que, pour l'année chef de l'Etat a été reçu par M. TarM» de Moro-Giafferi et M' Dreyfus, avo 1931, le gouvernement,pourra opérer une 3îeu, président du Conseil, le de cat M. avec Boireau, civile au pro partie réduction des impôts de 600 millions de quel il s'est entretenu cès longuement, dont et la fillette, aux mignonne marks. cheveux dorés, tous les membres du ministère ac assiste aux débats. Du Les débats dureront jusqu'au tuellement haut de son siège l'avocat général Gauà Paris et non retenus iar début de juillet del, ministère public, suivait la discus leurs fonctions ; MM. de Gaiffier sion beau sang-froid. avec un La commission des chefs de partis du d'Hestroy, ambassadeur de Belgique; Plaidoirie et verdict Reichstag a décidé de fixer la deuxième Quinonès de Léon, ambassadeur d'Es lecture du budget au 16 mai. La troi Malgré l'émouvant appel de M' de sième lecture aurait lieu fin juin, de pagne; le général Gouraud, gouver Moro-Giafferi faveur d'une absolu sorte que les vacanœs parlementaires neur militaire de Paris ; Jean Chiap- tion totale, le en jury a rendu un verdict commenceraient au début de juillet.

-pe, préfet de police ; Paul Guichard, affirmatif, écartant d'ailleurs la prémé directeur général de la police muni ditation et mitigé par les circonstances Les nationalistes dissidents et Verlaint, directeur de l'ex atténuantes. rompent avec M. Hugenberg cipale, ploitation de la compagnie P.L.M. Sauret a été condamné à cinq ans de La Conférence des députés nationalis réclusion et 35.000 frames de dommages tes dissidents, réunis sous la présidence et intérêts envers la partie civile. A l'is Ce que sera la visite du comte Westarp, a décidé d'adresser sue de l'audience, les jurés ont signé, A au chef du parti, M. Hugenberg, ainsi l'unanimité un vœu demandant au Pré du Président à Toulon qu'au président du groupe au Reichstag, sident de la République de réduire à une lettre pour exposer le point de vue deux ans de prison la condamnation de (De notre correspondant particulier.) des députés dissidents.

Sauret et tendant à ce que le jury soit Toulon, 2-.Mai.-— Le Président de la Cette lettre, signée par 28 députés na République désormais à délibérer sur l'appli a fait connaître qu'immé cation des admis tionalistes, déclare que l'immixtion de la diatement après peine. l'arrivée du train prési direction du parti dans les circonstances dentiel à 10 h. 35, il se rendra en pèle spéciales dont il est question dans ia rinage monuments des marins et Un communiquéde la Cour de La Haye résolution du 25 avril n'est pas justifiée soMats aux morts à la guerre et que les députés dissidents se réservent 1914-1918.deLeToulon cortège aussitôt formé des sur la question des zones franches pour l'avenir toute liberté d'action. cendra donc l'avenue ; Vauban, s'arrêtera le boulevard de Strasbourg, et le Genève, 2 Mai. — Le greffier de la Une usine de Boulogne-sur-Mer sur Président descendant de sa voiture ira Cour de Justice internatio droit au monument et déposera, une pal nale depermanente qui, suit La Haye communique me. Ce n'est qu'après cette touchante au sujet de l'affaire des zonesceiranches est détruite par un incendie cérémonie que commenceront les récep tions officielles qui auront lieu à la de la Savoie et du pays de Gex. «.Par lettre datée du 28 mars 1930, le sous-préfecture d'abord à là Chambre Conseil Cinq ou six millions de dégâts suisse a porté à la con de Commerce de Toulon et du Var en naissancefédéral de la Cour que les négociations suite enfin et à la mairie.

Quelques engagées les mo entre gouvernements fran Boulogne-sur-Mer, 2 Mai. Une

— usine de porte-plumes*et de crayons, à, laquelle est annexée la fabrication de produits de fards, a'été complètement anéantie cette'nuit par un incendie. Elle occupait près de 350 ouvriers. L'incendie n'a été maîtrisé que vers 6 heures du matin. Les dégâts se chiffreraient entre cinq et six millions. M. Farjon, président du Conseil d'administration de la So ciété et sénateur, est arrivé de Paris .ce matin. H n'y, aura cependant pas de

.VIII

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sion sera surtout consacré à la mémoire d'André Hallàys, vice-président des Amis de l'Université de Strasbourg. L'assem blée procédera à l'élection de son suc cesseur qui sera probablement le . comte de Witt-Guizot.

LE CYCLONEDES ÉTATS-UNIS

a causô un grand nombrede morts New-York, 2 Mai. — Au cours du cyclone qui s'est abattu dans la soirée d'hier sur huit Etats du Centre-Ouest et du Nord-Ouest, on compte une trentaine de morts et plus de 150 blessés. Six per sonnes ont disparu.

Quatre, personnes ont péri au NordOuest du Kansas et au Nord-Ouest de l'Etat 'de Missouri. Cinq autres person nes ont trouvé la mort à Tekamanna , (Nebraska).

Trois automobilistes ont été noyés par une trombe d'eau à Lake-City.

De nombreuses habitations légères se sont écroulées sous la force de l'ouragan et plus d'un millier de familles se trou vent actuellement sans abri.

LES PRISONNIERS COMMUNISTES SE SONT MUTINES EN LETTONIE

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HUILE LESIEUR ARACHIDE RUFISQUE EXTRA VIERGE AuLfe cLe cl Sq auùùi nu&iitiu&

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Riga, 2 Mai. — Hier après-midi, les communistes incarcérés ont tenté de provoquer des troubles dans de nom breuses prisons de Lettonie.

A Riga, dans la prison centrale, les communistes ont détruit le mobilier et brisé trois fenêtres. On a dû faire appel à la troupe pour arriver à les isoler dans ' une cellule spéciale.

Des manifestations semblables se sont produites à Daugavpils, à Libau et à Mitau. Partout, les communistes ont été isolés rapidement.

Le total des-mutins ainsi isolés s'élève à plus d'une centaine."

Partout, l'ordre a été rétabli.

LES MEUBLES SIGNES

PAUL GIORDANO

M. Martineau, qui traversa le Sahara

en moto, es^ arrivé à Paris Le jeune sportif, M. Martineau, qut seul sur une moto vient de traverser le Sahara d'Alger à Lagos par El Golea, Goa et Tchad est arrivé hier à midi, avenue de la Grande-Armée.

Acclamé par la foule, M. Martineau a été reçu par divers constructeurs d'automobiles et de nombreuses person nalités sportives.

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Il reconnut avoir utilisé les fonds pour Tunis, 2 Mai. — Un Incendie a dé —La huitième assemblée quinquennale truit acheter des tableaux destinés à faire & un garage. Un mécanicien a été Conseil international - des femmes se New-York une exposition dé la peinture du tiendra à Vienne (Autriche), du 26 mal tué et un autre blessé. Les dégâts sont française. importants. au 7 juin. : ., ,...,

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Le Petit Journal

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Les bienfaits du Crédit agricole Les prix de vente de la plupart des

Qu'en accord avec les institutions de crédit agricole, dont les possibilités devront être développées en conséquen ce, l'Office national des mutilés et l'Of fice des combattants créent une organi sation d'ensemble du crédit agricole en faveur du plus grand nombre de leurs ressortissants. v> : . notamment, Offices au lieu Que ces « de distribuer leurs crédits affectés à' ce chapitre, avec irrégularité et lenteur,les utilisent en vue de la constitution de naisses de caution destinées, d'une part, & suppléer aux garanties insuffisantes des emprunteurs à «- long terme » et, d'autre part, à diminuer les charges importantes des emprunteurs à « moyen terme » en évitant à ceux-ci les frais considérables d'hypothèques. pupilles se pré <t S" Que. l'Office des des occupe également, par-l'institution à caution,-de procurer ses res caisses de sortissants, à leur majorité les avanta ges-du crédit agricole.: . ; tôt le plus voté pro-, soit Que au 4" « jet de loi instituant une caisse de cau~> tion nationale destinée à permettre aux gazés et aux tuberculeux de s'installer à .i " la campagne. ». . « 2°

denrées agricoles continuent à'baisréduction ser ; il s'ensuit une tellenombre de des recettes qu'un grand cultivateurs se trouvent momenta nément dans l'obligation d'emprun ter pour payer leurs dépenses d'ex ploitatiou.

Ils ne devraient pas hésiter à s'a dresser de préférence aux caisses.de crédit agricole, où ils trouveront,, à moindres frais et sans formalités ennuyeuses, les sommes qui leur sont nécessaires.

Les opérations faites par ces or ganismes- sont de 1 trois sortes prêts à court terme, prêts à moyen terme et prêts à long terme.

Les prêts à court terme sont con sentis pour une durée de trois ou six mois, avec faculté de renouvelle ment ; ils sont destinés à des achats d'engrais, de semences, de produits anticryptogamiques, ou à couvrir le paiement des salaires, etc...

L'emprunteur souscrit un billet, des combat portant engagement de rembourser Les revendications sont tout à fait justifiées, et il la somme mise à sa disposition; à tants in l'expiration du délai fixé. Lorsque me semble facile de les accueillir sans qu'il en résulte la les caisses doivent elles-mêmes es tégralement pour les caisses compter à la. Banque de France moindre difficulté agricole, l'effet qui leur est remis pour se de crédit La constitution de caisses de cau procurer les fonds, l'échéance ne tion donnerait toute garantie au su peut excéder trois mois. des avances Mais comme le crédit agricole dis jet des remboursements supprimeraient pour les in et elles pose de ressources propres suffisan téressés frais onéreux et les. for tes provenant des dépôts de fonds malités les qui retardent l'attribution effectués par les adhérents, les bil \ " lets souscrits peuvent comporter une des prêts.

Avant de solliciter une avance échéance plus éloignée. de crédit agricole, les L'intérêt est payé d'avance ; il est d'une caisse doivent demander leur; fixé, suivant les caisses, à 4 ou 4.50 cultivateurs souscrire affiliation et une ou plu pour 100 par an. parts de 20 à 25 francs qui Il est généralement réclamé à sieurs et qui leur l'emprunteur des garanties complé restent leur spropriété, intérêt annuel. N'ou mentaires représentées soit par un rapportent un pas qu'il s'agit d'une œuvre dépôt de titres,' soit par la signature blions mutualité qui doit, pour fonc d'une caution solvable, parent ou de tionner, disposer d'un fonds social. ami. charge imposée aux intéressés Dans, le département du Loiret, Lad'ailleurs faible ; la plus forte est nous acceptons' de Taire fléchir ! la part du capital étant souscrite par règle lorsque les caisses locales qui qui n'ont pas be reçoivent'les demandes acceptent de des agriculteurs des opérations. donner leur propre garantie; en soin d'effectuer La loi exige que les adhérents cas de non remboursement, la som soient déjà membres d'un syndicat me est prélevée sur les réserves de ou d'une mutuelle pour bien mar ces caisses.

• le caractère de solidarité du Le montant des prêts à court ter quer à crédit agricole. me est . habituellement limité H suffit aux personnes qui dési 50-000 francs ; il peut atteindre bénéficier des avantages de 100.000 francs avec des garanties rent intéressante institution, de de cette spéciales. leur affiliation à une caisse Les prêts à moyen terme sont des mander ; il en existe de nombreuses, tinés à faciliter des achats de maté locale sur le territoire fran riel. d'animaux de travail, des amé disséminéesintéressés s'en procure nagements de bâtiments ruraux, etc. çais ; lalesliste en consultant les an Ils sont consentis pour cinq à quinze ront nuaires locaux ou en s'adressant au ans. contre un intérêt fixé à 4 ou Directeur des Services , agricoles du 4.50 0/0. département et à ses collaborateurs Le montant des avances est géné les professeurs d'agriculture. ralement limité à 50.000 francs ; le Marcel Donon, remboursement s'effectue par an Sénateur- du Loiret. nuités égales comprenant capital et

intérêt; ' , Il est exigé en garantie soit un dé pôt de titres, une assurance sur la vie et le plus souvent une hypothè que sur les biens appartenant à l'emprunteur, ou à sa famille.

Les prêts à long terme ont pour but de faciliter des achats de petites : propriétés ou de parcelles de terre -isolées destinées à accroître le patri moine cultivé, toutes opérations qui aboutissent à développer ou à fortifier la petite propriété rurale.

1 familles ménages, des De jeunes trouvent dans d'ouvriers ruraux

IL, 33 S

s

3 — 5 — 30

COURRIER

Deux Selles attitudes. d'Anna paVloVa

à la fin, un crescendo extraordinaire de rires. C'est la plus merveilleuse adap tation - sonore qu'on puisse souhaiter un film comique

THEATRE ANTOINE

t

CE SOIR :

Troïsky, Carletta Conti, Zulaïka).

PALACE, 8 h. 30 : La Revue de la Femme (la grande étoile mondiale Raquel ,-GraMeller ; le célèbre fantaisiste Salnt-

Le Tableau de Service

nier).

EMPIRE MUSIC-HALL,.8 h. 30

! "Toto,

Dora Stroeva, Salvador Pizarro, Le Blanc et du Charme ; 20 attractions.

AUJOURD'HUI MAYOL, 8 h. 30 : La Parada Comédie-Française, duCONCERT MATINEES. Charplnl; Mmes PeggvCarol, (MM. Nu 1 n. 80, gala au bénéfice de la maison Vére, Paulette Franck). • : Le Ma de retraite de Pont-aux-Dames CIRQUE D'HIVER, 8 h; 80 ! ' Novell» riage de Figaro, Gros Chagrin. — Odéon Bros ; Stetson ; Zoiga et Rachel ; les 60 2 h. 30, La Double Passion, Le Verre de chevaux de Carré, etc... vin blanc.

CIRQUE MEDRANO, 8 h. 30 : l/écuyer Ambigu, 2 h. 45 ; Eldorado, Th. Pigalle, Roberto de Vasconcellos ; les clowns Caïa li. 30 ; Porte-Saint-Martin, 2 h. 15, rolj, porto, Carletto, liés et Loyal, les che même spectacle que le soir. vaux, etc...

PREMIERES REPRESENTATIONS. — Théâtre des Champs-Elysées. 9 h. -. Gisèle, PALACE. — La Presse enthousiaste pro ballet en deux actes, de Théophile Gau clame le triomphe de Raquel Meller dans musique Corelll, tier, Saint-Georges et la nouvelle Revue de la Femme, avec le d'Adam, interprété par Anna Pavlova. célèbre fantaisiste parisien Saint-Granier. opé Zou, Folies-Wagram, 8 30 h. : Aujourd'hui, matinée et soirée. ' — Gandera, rette en trois actes de M. Félix EMPIRE. — Aujourd'hui, matinée & avec M. Jean Boyer pour les couplets, musique de M. Joseph Szulc. irix réduits avec le nouveau i CHANGEMENT DE SPECTACLE. — Ce soir, à la Comédie-Française, à 8 h. 45 Amoureuse et Le Pain de ménage, au lieu trio de danse Leblanc, du Charm et Ray; la Jolie trapéziste Tamara ; Dora Stroeva des Marionnettes.

Nouvelles Théâtrales

THEATRE SARAH-BERNIIARDT.— De

plus brûlantes étoiles des Ballets de Serge de Diaghilew, La célébré danseuse russe Anna Pavlova, qui fut une des personnelle, vq. paraître, à partir de ce soir, au Théâtre tme troupe et qui, depuis plusieurs années, s'est constitué artiste recevait les journalistes et <des Champs-Elyséesdans une série (le ballets inédits. Hier après-midi, la grande >oublié elle m'a pas ce que sa gloire doit à Paris. ses amis et s'entretenait avec eux le plus cordialement du monde, car

-A.TJ

A la Comédie-Française Importantes décisions Le taux de la part L'assemblée générale des-sociétaires de vient d'avoir la Comédie-Française quidécisions en ce lieu a pris d'importantes Irréguliers dont qui concerne les congés l'abus cause de graves dommages à la gestion de la Comédie. Désormais, selon avec la demande de l'assemblée, d'accord MM. les commissaires aux comptes,décret 81ré blot, Quilhène et Yonnel, le strictement serait congés glementant les appliqué.

Ensuite l'assemblée ayant approuvé & < l'unanimité — moins la voix d'une so ciétaire à part entière —< le rapport de M. Emile Fabre, la part entière pour l'exercice 1929 fut fixée à 81,000 francs, ce qui donne le douzième à 0.750 francs.

3? REGIES

RE S

MUSIO-HA LL

main dimanche, à 2 h. 30, première ma : tinée du nouveau grand succès comique Mon Curé chez les Pauvres, avec Félix Oudart, Henri Monteux et Rolla Norman, Yvonne Hébert, Line Noro et Alice Tlssot.

FOLIES-WAGRAM.—. Demain, à 2 heu matinée de Zou I le nou res 30, première succès des Folies-Wagram. veau grand Aujourd'hui sa PIGALLE. THEATRE —première matinée 30, à 14 h. mai, medi 3 des spectacles du Théâtre Japonais. En soirée, à 21 heures., Jeudi, samedi, dimanche, matinées à 14 h. 30.

UNE MATINEE POUR LES ARTISTES, de Business, aura lieu à la Renaissance mardi prochain. S'inscrire à l'Union des Artistes.

PALACE : La Revue de la Femme, revue à grand spectacle de MM. Henri Varna, Saint-Granier et Earl Leslie La belle revanche qu'a prise Offenbach, - immortel, sur toutes les musiques percutantes de notre époque 1 L'écla tant tourbillon qu'est le final de la pre mière partie dans la nouvelle revue du Palace ! Quel entrain ! Quello ga'ité I La Grande Duchesse, là. belle Hélène, La Vie Parisienne... entrées, quadrilles, chahut... Comme tout cela est bien pa risien, bien français... et comme tout cela est supérieur en esprit, en joie... comme t-out cela est irrésistible. élégan < Et ces costumes de 1860, ces aucune ces un peu tapageuses, sans femmes faute de goût néanmoins. Ces à la dans ce décor des Variétés, théâtre qu'à mode, — ces femmes qui n'ont montrer leurs épaules pour plaire.

Le rétrospectif a son prix. Il renseigne amusants, leçon unie : documents mesdames, vraiment, Faut-il malicieuse. et courtes que chevelure soit courte prestige ? les Le robes pour exercer 'votre MM. Dunouveau spectacle monté parsupérieure frenne et Varna prouve ment que l'on peut réussir au music-uall sans l'aide multipliée des lignes nues de ' la femme.

-w Fost : ' Jenny Carré, Fernand Ochsé etpalma du trois noms à inscrire en tête Ces Femme. de la rès de La Revue d'adora dessiné trois purs artistes ont revue bles costumes, et grâce à eux, laprendre probablement music-hall de va nouvelle. Les maquettes orientation une des décors ne font pas moins honneur à Fernand Ochsé, Paul Colin, Fost et Hadauze.

<WV

/

grand renouvellement d'idées. Fleurs, bibelots, fanfreluches, miniatures : on mais là intex*vient ne peut s'en passer —du décorateur, du le. talent rénovateur metteur en scène. Bt costumier et du fois encore, décou nous croyons, cette pendules féeriques, des vrir des roses,, tableautin féminins, per un des dessous san.

L'actualité, brusquement, entre deux aspects changeants de la vie, ramène exis toutes choses à notre égoïste petiterapide tence quotidienne par un tableau Parade presse. comme un article depopularité francod'amour, écho de la Chevalier en est américaine de Maurice <w«<

Les sketches ne jurent point dans cet ensemble de tableaux artistiques. Celui un élé du « Ravalement » emprunte présentation & la ment de folle hilarité de Saint-Granier sous les traits et sous les atours de la burlesque comtesse de Pétarmon, vieille coquette en quête d'un

rajeunissement par Voie chirurgicale.

Saint-Granier excelle dans ces com positions comiques ; son « oncle d'Amé rique » n'est pas d'un moindre attrait dans l'excentricité.

Cela n'empêche pas .notre revuistecomèdien d'être un délicieux chanteur une et de lancer avec un art subtil dont Chéri titre chanson : jolie — — il est l'auteur.

«VVV, : . de ' la Raque! Meller,.• super-vedette des à donner cou revue, sait elle aussi délicate.

Le plets leur nuance la plus timbre caressant de sa voix prête beau

CONCERT DE LA PHILARMONIC SO CIETY. — 9 heures. Opéra, sous la direc tion- de M. Toscanini : Symphonie héroï

; Variations sur un thè que (Beethoven)(Brahms) Haydn de ; Nocturne et me Scherzo du Songe d'une Nuit d'été/ (Men; Prélude et Mort d'Yseult coup de charme à .tout ce qu'elle inter delssohn) prète. Ses oeillades^pénétrantes, son sou •(Wagner).

FETES DU PEUPLE,— Ce soir, 8 h. 45, rire un peu dédaigneux, toute sa grâce mairie de Montmartre, 138* concert, sous enfantine et tendrei sont bien à elle. la direction de M. Albert Doyen.

Qu'elle chante en français- ou en es pagnol, nous retrouvons tout cela exac SPECTACLES & CONCERTS tement, minutieusement. Ravissante én toilette bleue, en toilette blanche, avec des voiles ou avec une mantille, Raquel, personnage du passé ou du présent, d'un pays ou d'une époque, demeure inva

une grande Il y a dans cette revue exactement un variété d'idées ou plus

un exemple.

COURRIER MUSICAL

et 20 attractions.

tion.

.

Revue excellente, troupe excellente.

En tête des distributions de sketches un comédien de classe, Palau, spirituel, me suré, expérimenté plus que tout autre.

Des chanteuses agréables : Liliane Lucey, Hélène Régelly. D'adroits fantaisis tes des deux sexes : Max Berger, Betty Spell. Il faut citer encore Jean Trace,

Jean Brun...

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La danse dans la Revue de la Femme a un grand éclat.

«John Juan — d'une fine et nerveuse silhouette, . et qui porte une hardiesse distinguée dans le masque — et- Zelda, au suave visage — renouvellent avec intelligence l'attraction du « couple de danseurs ».

Géorgie Hayes va, vient, monte et descend un escalier, saute, court sur pointes le1 plus naturellement du monde sur pointes toujours elle exécute — et les plus difficiles acrobaties ; chorégra phiques.

Mails Doris Niles, par le visible soin • qu'elle met à varier ses danses, par l'ha bileté dont elle témoigne dans cet art qui va des variations classiques à, des fi gures orientales, par la belle santé spor tive qui nourrit des formes à la fois solides et souples, par tout le « carac tère » qu'elle sait donner à chacun de Dcris Niles mérite une ses numéros place à part — et enviable dans le succès de cette revue. — Edouard Beaudu, « MON FILM », que dirige notre excel lent confrère Paul Perret, organise avec la collaboration de Paramount, un grand concours cinématographique doté de cent mille Irancs de prix et dont les conditions détaillées sont publiées dans le numéro de cette semaine.

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PARIS chain 9 mal : Le Vie privée d'Hélène de Troie et La Coquille et te Clergyman» réalisé par Germaine Dulao, vient d'arrê ter les programmes de ses prochains spec tacles. Nous pouiTons voir bientôt a In coquette salle de la rue de l'Etoile tout»» une série de films à succès : Le Monas» tère de Sandomir, La Vengeance de Jacob Windas, Les Nouveaux Messieurs, Let Deux Timides, Un Chapeau de paille d'Ita lie., Gardien de Phare, La Montagne sacjée, L'Equipage, Le Chant du Prisonnier, Metropolis, Force et Beauté, Milak chas seur au Groeland, Fauves d'Abvssinie.

Port, La Nature et :la Vie, etc...

AU CARILLON, 30, boulevard BonneNouvelle, en exclusivité sur les boulevards, une anticipation qui devient une réalité.

Un fllm fantastique de Fritz Lang, le réa-, lisateur de Métropolis : La Femme sur la Lune, de la fantasmagorie 1 de l'amour I du sang !

PROGRAMME DES SPECTACLES

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—

LA DIRECTION DE L'CEIL DE

CINEMA,

riablement Raquel. Sa personnalité suf fit à son succès.

Cependant dans cette revue où la bon ne humeur de chez nous circule de scène en scène, passe la rampe, rebondit, ne s'arrête jamais, Loulou Hegoburu repré sente « l'article parisien » et tient le succès le plus vif.

Elle chante, joue, danse, fait de l'a crobatie, fait des grâces, fait des ba gues. Elle n'est jamais la même. La voici jeune fille de la « Valse- bleue- », la voici gigolette ; la voici petite femelle, zoulou... Dix visages, dix silhouettes : Loulou Hegoburu mérite dix victoires — et elle les remporte sans effort.

Carlos Conté est lié à sa réussite. Lui aussi sait varier son Jeu et son physi que. Habit noir élégant, sauvage* hirsute Ce jeune artiste, toujours sympathi ... que dans tout ce qu'il fait, ajoute main tenant à son talent de danseur des mé rites de chanteur qu'il faut louer éga lement.

/

.

MEDRANO. — Aujourd'hui, première spectacle, dix débuts, matinée du nouveau numéros inédits en France, les fameux clowns irrésistibles de Mèdrano. Et tou jours la triomphale haute école de Roberto de Vasconcellos, chef-d'œuvre d'équlta~

wm

qui annonce pour vendredi pro»

Opéra, 9 h. Concert Philarmonlque d«r New-York. .

Comédie-Française, 8 h. 45. Amoureu».

Oj)i:ra-Com-, 8 h. 30. La Fiancée vendue» " Odeon, 8 h. 15. — Vautrin. (faite-Lyrique, 8 h. 30. — Ciboulette.

Alhert-l«, 8 h. 45..— Marchand de VenlM. Ambigu, 8 h. 45. •— Mlle Beulemans.

Antoine, 8 h. 45. — Bobard. ' Apollo, 8 h.45. Au temps d. rais. (Marnact 1?". 8 k' 16- — Les Criminels.

Atelier, -8 h. 45.

Le Stratagème.

Barrlcou.

Atlit'née, 9 h. — — Avenue, 9 h. 15. — Jardins de Murcle.1 linutter-Parisiens, 8 h. 45. — Flossle.

Caumnrtln, 9 h. — Françoise.

Ch.-Hiys. (Com.). g h. Prof d'anglais.

Ch.-Eiys (Th.), s h.

Anna Pavlova. cnatelet, 8 u. 80. — — Robert le Pirata.

Patte en l'air.

Ciii ny, 8 h. 30.

I>auiiou,"8 h.'45.—Par le temps qui court, Déjazet. — Rel. Dem.: J'marie ma femme.

Edouard-V II, 8 h. 45. — Tu m'épouseras.

Eldorado, 8 h. 30. — Et poum

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h. 30. — Zou, opérette. u a. — Mêla Grand-Guignol, 8 h. 45. — La Grlff».

Madeleine, 8 h. 40. — Vive le Thô&trtu Marigny, 8 b. 30. — Coups de rouiia.

Mathurlns. 8 h. 45. Prlsonn. <s. m/ cnettr, Michel, 9 h. — Pardon, Madame.

Micliodtére, 8 b. 45. — Le Sexe faible.

Mosador, 8 h. 30. — Le Chant du Désert.

Kadubeo (ooer.l, Nouveautés. 8 h. 40.,.— Nouv.-Th„ 8 h. 30. Noces de Jeann. Galafc

Folies-VVag., 8

UN TRIOMPHE SANS

EGAL®

La plus magnifique présentation de

L'ESTHETIQUE DU NU

|

1

PARADE DU NUI! .revue qui lait courir Paris

(Euvre, 9 h. — L'Acheteuse.

Palnls-Royal 8 h. 30. — L'Amour a l'Am*« ricalne. l'hi-atre de Paris. 8 a. 40. — Marina. 1 Pigalle, 9 h. — Théâtre Japonais.

-QUEL PHENOMENE I l'orie-Saint-Martln. 8 h. 16. — uyrano de Bergerao.

Potiniére. — Relâche pour répétitions.

Renaissance, 8 D. 80. — B usines* (Senla ne. Rollan).

Saralt-Bern., 8 b. 30. M t Curé ch. les pauv.

Là-Haut.

Scaia, 8 h. 45.

Saliu-Goiir«es,9— h. — Etienne.

Stnuio Uliamps-Elysées, 9 H. — PaauebOtT Tenaclty.

Trlanon, 8 h. 30.-— La Fille du Régiment, Variétés, 8 b. 30. — Topaze.

Folles-Berg. 0n Coup de Polie (revue).

Casino de Paris. Parle Miss (Mfstlnguett) Empire, 8 h. 30. Toto: Dora Strœva; 20 ai.

Palace. — La Revue de la Femme.

Mayol. — La Parade du Nu (revue).

Cirque d'Hlv. Novelle Bros ; Stetson, ete».

MC'draiK). — Attractions. Mat. J. B. IX "nramuunt.. Quel Phénomène (H. Uoyd), Aubert-I'alace. Quand nous étions deux.

Came», mat., soir, — Nuit de Princes.

Madeleine-CInè. — Réouverture le 7 mal, Gaumont. — Napoléon & Sainte-Hélène.

Moulln-Uouge-Clne.Sous les toits de Parla Olympia. Le Masque de fer (D. Fairbanks) Clne-Capuvlne. — Sous l'Outrage.

Marivaux-Pathè. — Mon Gosse de Pére.

Ursullnes. — Terror (de Roy del Rutb). Œil de Paris..— Thérèse Raquln.

Agriculteurs. — Jazz ; Club 73.

Carillon. La Femme sur la Lune ; Chariot Mu.v-IJnUer-l'atbe. Mystère Villa Sioea.

Eleetrlc-Palaee. — Fécondité.

Artlstic. — Capitaine Swing.

Harold Lloyd i L'Escadron de fer.

Cigale-Ciné.

— Evangeline.

— continue à faire la joie des grands et Impérlai-Pathé. des petits. Sow premier film sonore Le Cotisée. —Le Cavalier noir.

Quel Phénomène ! que le « Paramount » 22, rua La cambriole. — A 5 h. 45, maintient à son affiche cette semaine d'Avron. dan* volés été ont francs 3.500 combi le tirolr-calsse de Mme Pélissler, débitan encore est une bien savoureuse et, naison de mystère, de rire, d'horreur et te de boissons. Le voleur s'est enfui Une en d'aventures. Les péripéties irrésistibles poursuivi, n'a pu être lerejoint. d» commissaire ouverte par dans déroulent est quête mouun du scénario se >ement endiablé et déchaînent, du début police.

AU CONCERT MAYOL .

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a—g—MigMiinnw—iim

Veuillez nous suivre, madame. l'Hostellerie de la Noé ? questionnait Jac les — ouvrit yeux. elle Bientôt, immédiatement.

Il faut que je la vole Le temps d'embrasser mon mari. qui ques dévoré par l'angoisse. qu'est-ce ? blessée —67— Feuilleton du Petit Journal. 3 Mal 1930 — — n'es Tyt pas Simone, rendus — et Montrez-nous le chemin.

Jacques Face à face, oui. signe Jacques.

Simone fit tête interrogeait la Do que ? arrivé bien compréhensi Comme il. arrivait à l'escalier, le policier t'est Je n'ai rien, murmura la jeune fem de candé muets par une émotion qui, d'un c'est Et coup vous — — s'&irirêtiâ ble, se regardaient douloureusement. assommé front, plein avez asséné labre en patron me. est rentrée votre ....

Ma pauvre petite, je ne comprends trouviez, qui s'avançait.

Martin vous policier vous —? Comment Julien -• avec Le cham femme de affirma . ne demanda-t-il à la Simone Pri dans la chambre 26. Vous avouez ? pas grand'chose Éi ce qui t'arrive, madame bien êtes Vous — demanda-t-il.

Jacques, mais le cruel pour moi, c'est de bre. femme jeune la J'avoue, murmura ? vas — voix faible. auto. ' te voir partir ainsi, tellement pitoyable, et« voulez-vous ? d'une Que Oui, moi. c'est me — Mais, en qui conduisait , ?'; ~ Savoir de vous ce que vous avez fait — Alors, madame, veuillez changer de de ne rien pouvoir pour te garder. elle — C'est c'est — Très vite, elle séchait ses yeux et, domi le chauffeur.

Non, < où vous étiez aujourd'hui entre cinq et costume et vous préparer à nous suivre. et Où est-il ? interrogea Jacques qui se nant les sanglots qui gonflaient sa gorge, ? grand roman passionnel et âramatique cela Où heures.

— sept — l'office. cauche elle essayait de se reprendre : vivait s'il un monsieur... demandait pas ne par Maxime La Tour Mais, —A conduire Mademoiselle, veuillez Je que tir aies de la peine pas veux ne Bien. de — chargé suis madame, je Répondez, — mar. . il ne le» — auprès du chauffeur. monsieur laconi à cause de mol, Jacques. Non, non Martin. répondit Julien police, poste Au de de meurtre le l'enquête sur — â l'un de fauc pas. Ainsi tu vois, je ne pleufe plus.

En parlant, il avait fait signe ? s'exclama quement mort l'homme.

Martin.... est —Julien PARTIE TROISIEME détachant du Jacques. vais où je dois aller. Tout cela est m'en Je qui, s 8e ' compagnons Intervint.

Paul ses à tour son LA FAUTE DE SIMONE > bien triste histoire va, mais j'espère emboîtait lé pas à la jeune domes expliquez-nous . tué Martin ? demanda presque une monsieur, groupe, enfin, Mais N On a — bien qu'il n'en sortira que du bonheur — VIII. — Arrêtée (suite) ainsi arrêter tique. ma Josserand.

Paul simultanément pourquoi venez vous Interroge ce wattman sur ce que tu pour toi. effaré est-elle ? demanda le policier. geste Où ca sœur. avait d'un — Simone, elle, l'esca montant — Dans IX. — Césaire agît sais, commanda le chef en Monsieur, je n'ai pas d'explicationsà derrière son bras nu, comme sa chambre. ché yeux — ses — Dites-lui lier. * de descendre. affreuse vision. vous donner, dit le, chef des policiers. Mme L'émotion avait été grande à la crèche trop masquer une de .

Jac formée pour — petite troupe, Bientôt la devant d'avouer vient Privas vous Simone appris par les journaux Elle ne peut pascelle du mort, n'est-ce avait est lorsqu'on cette arri cape hommes, — deux des Paul et Voici de — le elle est accusée.

Jacques et Paul, d'un même mouvement, ques, la femiiie du patron était accusée ? demanda encore le policier en pal le crime dont Simone. que pas de chambre vait la à l'arrêter.

Je de m'enjoint ne d'assassinat. s'étaient avancés vers Julie. tissu sur lequel était assise la jeu mandat qui dire de plus. le pant femme jeune appa ouverte la porté La Jacques puis rien vous Qu'est-il arrivé ? interrogea Mais personne n'en avait été bouleversé Mme Privas. pâle lit, ne de — son travers couchée auto levée rut, en s'était accident ? une comme Simone d'une voix angoissée. Un autant que Maria. i Jacques, les yeux exorbités, regardait complètement inani et cire une gémit la comme pas,.monsieur, à lire pe cherchant mate.

Je ne sais anxieusement sa femme, La mort de Julien la frappait déjà dou — servante. chambre, elle mée^ il femme de évanouie, sonné véri Ayant Madame y sa est d'elle-même, la tite chambre, sans doute en en elle, jusqu'au fondapprenait. femme de La choisit elle-même une robe dans sa garde- loureusement. robe....

N'était-il pas ce qu'elle aimait le mieux a du sang sur saelle est blesséeN ! s'exclama voulant porter secours à sa maîtresse, l'a té sur tout ce qu'il cabinet de toi dans le puis, passant robe, Dieu, continuait Mon policier : robe Le d'avoir son enfant ? la et sombre avant — la de dégagée chan cape de vait devoir mit porte la attenant, lette s'élançant pour se en avéz manteau vers Jacques on pris ce pour ca Vous au De quoi Julien avait-il pu se rendre cou blanche, si admirée quelques heures — vêtements. de de souillée votre courir auprès de sa femme. du ger robe sang Inaculée, votre ; cher créature, paravant, apparaissait, froissée, Simone reparaissait dans la chambre, en pable envers cette délicieuse pouviez Vous Mais le policier lui barrait le chemin. ? n'est-ce ne victime, pas dans une sang. auprès de Mme Pri de larges taches de Conduisez-nous ici, dans robe tailleur, un nécessairé de voyage à la pour qu'elle l'eut ainsi assommé Noé la l'HosteUerle de de rentrer Simone. précipité — vers chambre d'hôtel 9 Jacques s'était main. 1 • état ? vas,, ordonna-t-il. cet prodi s'empressait de il Maria connaissait trop Martin pour ne Aidé de Paul, prête, dit-elle simplement.

Je suis elle est sans connais étals monsieur, Tu à Mais, Noé l de la L'HosteUerle — femme.

— — guer des soins énergiques & sa , sance, malade, blessée peut-être.-

sans enfant

FOLIES-BERGERE, 8 h. 30 : Un Coup tde Folie, 80 sensations de M. Louis Lemarchand (MM. Randall, Castel, Lemercler ; Mmes Valbelle, Betty Catnpson,

M. JEAN SARMENT Dimanche : MATINEE

Françoise, ODEON. — la Double Passion, pièce COMEDIE CÀUMARTIN. — 3 acte» de, M. Robert Va: opérette en en 3 actes de M. A. Villeroy. une laire, miuique de M. Léo Daniderff.

M. Villeroy s'est fait de son artsigné ; conviait idée très haute- ; aussi n'a-t-il La Comédie Gauniartin nous<jui et valeur réelle d'une .pièces des opérette sans que hier à entendre une d'une nome tenue. Il y a, dans sa flou* renouveler le genre se laisse agréable velle comédie de l'Odéon, une émotion entendre, elle ne vise pas à l'ori certaine, concentrée- ; le genre de la ment ginalité, elle a "plutôt pour nous l'at tend à dramatique se comédie grande re trait d'une camarade de jeunesse perdre, et il faut encourager ceux qui, trouvée.

Daniderff de M. musique La s'efforcent à l'exemple de- M. Villeroy,Chose gaie et sans prétention ; il y u peu l'existence. cu est prolonger d'en personnages et voilà une pièce toute cette forme de crédit un excellent rieuse ! A trente ans de distance, c'est de désignée pour emporter cet été en mais bien réapparaît, d'acquérir propre. qui Duel un moyen le thème du pour distraire les habitués de lutte de voyage, et Françoise Afin d'encourager ce service des traité de façon différente : laphysique. de Courson jeune casinos. l'amour de devine et moral l'amour "dont terme, prêts à long on de trente six printemps, vit heu veuve philosophe, grand a Erivan, Pascal les heureuses conséquences sociales, son ch&teau de province en dont reuse dans Jacqueline Obanterel, Denise cousine élevé sa et son frère Fred spéciales sont im tre sa fille des redevances de est -union cette l'esprit formé ; il a-t-elle con peine a tuteur de l'enfant. A posées à la -Banque de France et des meurée chaste ; Pascal possède l'âme nu l'amour, elle devint veuve après un son avances sont .faites par l'Etat à un de Denise, mais cellerci a cédé d'af aussi a-t-elle gardé les an de mariage, homme Martigues, faible taux d'intérêt., Robert à corps d'une jeune fille. frivolité qui dé goûts et la malheureuse II est demandé aux bénéficiaires faires assez audacieux ; Robert opération Veut Fred dans une jaloux, est dont il Pascal, rembour teste le. de payer 3 0/0 par an ; ruine sa nièce ; celle-ci ne se laisse pas pré Pascal consent.

Denise qui épouser le châ sement doit avoir lieu dans un délai voit les mécomptes auxquels son elèvt abattre et propose de vendrehobereau jeune à variant entre dix et vingt-cinq ans : se heurtera. En effet, après un an de teau trois millions un Alain de Laurière vient il s'effectue par annuités "égales mariage, Denise a pu juger son mari, du voisinage ; peine entrevoit-11 Fran au château, à Jacqueline comprenant le capital et les inté son manque de scrupules, sa lourdeur ; çoise, discuter af qui laisse ra crise. rêts; un héritage imprévu provoque 11 n'a aucune en à celle faires avec lui ; -mais sa conduite le Les caisses régionales sont autori Denise conformantcohéritier, .Pourtant château. d'acheter le vie refuse un et cousin de son mère vient faire sées à reporter une. échéance, lors mari cu lendemain la . comtesse le Alors, millions. de sept legs demande fournit en mariage. une preuve pide et brutal se dévoile. Il va Jusqu'à im pour son fils une que l'emprunteur ! Mais bonheur plausible de gêne momentanée. va s'arranger, l'intervention de Pascal qu'il sait Enfin tout plorer Françoise toute attente, c'est Pour garantir le remboursement tout puissant sur la volonté de Denise, contre a choisie et qu'il aime pour des prêts à long terme, les emprun et Pascal prêche la résignation à De qu'Alain grâce et sa frivolité. Françoise a eu le legs, & condition sa teurs doivent accepter une hypothè nise, qui acceptera beau s'affubler d'un costume a la Marie divorce elle rema le se ; simple biens, qu'elle leurs aura ou de Laurière devine son que sur tous louer la fran Stuart, Mme faut Il Pascal. riera avec la Mais Françoise biens acquis les primesautier. avec ment sur lesquelles cette charme l'énergie avec chise et de de mère complétée par un pièce est écrite, la simplicité voulue de honteuse et bonne faut refuse somme prêtée, l'astuce toute 'contrat d'assurance sur la vie. venir comtesse, et il générale, la force avec laquelle de ligne sa & lui faire ac sa fille pour arriverMme Des avantages spéciaux sont con les scènes sont conduites. Je ne ferai Marguerite bonheur. le ca cepter sentis aux pensionnés de guerre, qu'un reproche à M. Villeroy : leunité & son ordinaire, Pierry, a été comme n'a Robert d'intérêt une est de pas lesquels le taux ractère pour fantaisiste, fine et. émue, elle a détaillé De mal comprend que l'on et parfaite réduit à 1 0/0. = couplets avec un art délicat qui ce mufle brutal ; des se soit donnée-à Guilbert. Mlle Cail Déjà, beaucoup en ont bénéficié, nise d'aus fait penser & Yvette présentait sous pas il le nous ne lot a une jolie voix, sait s'en servir et et c'est en vue de faciliter le retour si vilaines couleurs au début. comédienne. Mme Alice à la terre de ces grands serviteurs Mlle Annie Dufcaux a fait dès pro est adroite vieille comtesse, qui con en du pays que le 14» Congrès national grès extraordinaires, depuis son prix Bonheur pratiquée, s'est l'avoir elle naît la vie pour de l'Union fédérale tenu à Oran en du Conservatoire ; en deux ans, couplets, et sous un as de grande fait bisser ses grotesque tre le 19 et le 23 avril dernier vient, est devenue une comédienne et voulu a su pect . un peu de tout premier plan. néanmoins M. Georaprès avoir entendu ^un rapport très classe, un artiste public. émouvoir le tenu le dur rôle de Denise avec gé, qui mis fort adroitement a documenté de M. Moreau, d'émettre Elle ces trois a naturel puis autorité, unè belle un d'en plein les vœux suivants : a été .

Nous ne actes en scène,rôle sant, un foyer remarquable. fêtard de vieux l'avenir de train dans un intendant. inquiets titulaires sur accordés soient pas Que sommes MM. Géo 1" aux « elle est à la hauteur de ruiné et etdevenu tenu ont de la carte-du combattant, les avanta Mlle Ducaux, Robert Arnoux GESttly a été in Leclerc rôles.

M. grands les bonification tous (intérêts de 0/0 1 avec autorité et bonne humeur les ges du avec triste personnage le dans téressant notamment) concé d« 0;50 par enfant de l'oncle et du fiancé. — sauvé, M. Richard Wilm rôles Veber. dés aux pensionnés de guerre par les mari, qu'il abien.

Pierre lois du 9 avril 1918 et du 5 août 1920. > est toujours

LA M/tlSOM

clOUR

1DU

les torts devaient ve» pas soupçonner que la madame Pri nlr de lui, et que, si jeunec'est qu'il l'ar crime, vas avait commis untriste nécessité.. vait acculée à cette Elle avait ainsi deux raisons plutôt qu'une de se désoler lorsqu'elle reçut 1» > visite dé Césaire, toujours à Paris.Césaire vie de fols première sa Pour la se trouvait en présence d'un cas de cons4 cience. de dancing appris, avait qu'il au Tout ce

Montparnasse, cette conversation qu'il moins avait surprise et qui n'était rien qu'un complot contre Simone, il n'en avait jamais rien révélé à" personne. * Pourquoi, puisqu'il en avait la possibili té, ne se décideralt-ll pas à déposer pour détendre l'accusée ?

C'est qu'en lui, se livrait un étrange combat. l'au Il y avait d'un côté son devoir, de tre son désir de faire le bonheur de Ma* ria.

Simone, dans l'Idée du bonhomme, était l'obstacle â ce bonheur.

Or, une fols la Jeune femme condamnée, Maria pourrait espérer voir son enfant reconnu par Jacques Privas, dont elle de viendrait la femme.

1} allait se rendre â la pouponnière afin de voir Maria et le pitchounet, espérant bien que, là-bas, lui viendrait l'Inspiration qui mettrait fin à ses doutes, à ses hésita^ lions, lorsqu'il avait reçu la visite bien inattendue de sa fille Lulu.

(A suivrt). i

.-

UN BEAU VOYAGE... POUR DEMAIN

Terre à la Lune dans la fusée de M. Esnault=Pelterie De la

LA VIE SPORTIVE AU FIL DES SPORTS Le Zeppelin

a une mauvaise presse en Espagne

LEGION D'HONNEUR

Renseignements commerciaux

Ministère de l'Intérieur (Algérie)

UOURSE de COMMERCE de PARIS

Sont promus ou nommés : Commandeur : M. Pierre Bordes, gou verneur général de l'Algérie.

Officiers : MM. Broussals, conseiller.,gé néral du département d'Alger ; Galle, pré sident des délégations financières algé riennes ^ Morsly Taïeb, professeur d'hy giène à la Medersa de Constantlne.

Chevaliers : MM. Guastavtno, délégué financier ; Oppetlt, sous-préfet d'Orléansville ; -Perrette, secrétaire général hono raire de la mairie de-Blida ; Plançon. mai re de Gouraya ; Florin!, président d'hon neur de la Ligue des familles nombreuses de Constantlne ;, le docteur Marbot, mé decin de colonisation & Mondovi ; Peste, secrétaire général de la mairie de Phillppeville ; «Gûelpa; adjoint au , maire de BordJ-Bou-Arrerid] ; D r Larmandé, prési dent de l'Association des mutilés de Sldlbel-Abbés ; Jeanmot, conseiller générai du département d'Oran, maire d'Arssew > 811vat, maire d'Oucd-Taria ; Amenna Moha med beri Amar, Instituteur public à Cherchell ; Ould Aoudla Boudjema, avocat a Miohelet ; Fergônl Ali, commis de l'ad ministration départementale ; Moka Messaoud ben Yahia, conseiller municipal de Sétif ; Hammamda Mohammed ould Ha bib, caïd à Tlrelne, conseiller municipal de Saïda. .

2 M AÏ-(Dernière

cote) disponible (cote officielle) 125 50 à 126,50, cour. 123.25 a 123, jultt 122.75 a 122.50, 4 de mal 121.25 a 121, Jull.-août 119, 119.25, 119, 4 derniers 116.75 a 116.50 .tous payés, — Farine-fleur : cour. ,170 N, Juin 172 tf, 4 de mai 172 V, jUll.'-ioût 165.50 N. 4 derniers 165.50 N. Maïs : cour. 95. Juin 95, 4 de mal, 95, — 4 de Juil 92, 6 de Juil. 90 tous nominaux. — Sei gles : cour. 73. Juin 78. 4 de mai 78, juil.aoùt 82, 4 derniers 82 tous nominaux. — Avoines diverses ; cour. 64 à 64.25, Juin 64.75 à 65, 4 de mai 65, Jull.-août 68.50, 4 derniers 66.25 à 66.50 tous payés. — Orge (le brasserie : cour. 73 A, Juin 73.50 N; 4 de mal 75 N, Jull.-ao.ùt 72 N, 4 der niers 77 A. — Sucres :-.cour. 230.50, 281 231.50 P, juin 231 à 231.50 P, Juil. 231 & 231.50 P, août 231.50 k 232 P, sept. 226 à 226.50 P, 3 d 'OCt. 21g à 216.50 P, 3 de nov. 216 à 216.50' — Cote offlcieUe (cour tiers assermentés) 231.50 à 232. — Alcools libres : cour. 750, Juin 760, Juil 765, août 765 à 760, sept. .760 tous payés Farine de consommation (cote officieu se de la farine établie par la Chambre syndicale de l'industrie meunière pari sienne) : 190.

Physionomie de la Bourse de Commerce Blés : Tendance lourde et prix en re cul de 0.50 l fr. — Farine-fleur : Sans affaires. — Avoines : L'avoine bien de mandée gagne de 0.25 à, 0.50.

Seigles : Cours nominaux. Sans affaires. — au tres : La faiblesse est la note dominante du marèhé, les offres sont nombreuses et la demande Insignifiante. On note une perte de 2 à. 2.50 sur la campagne' en cours etNde 1 à 1.50 sur la future tècolte. — Alcools libres : Tendance calme avec un . bon courant d'affaires.

Il n'y aura pas de cote les samedis des mois de mal, Juin, juillet, août, septem bre, sauf les samedis 31 mai et 30 septem bre (dernier? tours ouvrables du mois).

AVIS IMPORTANT. La Bourse de Commerce de Paris sera—fermée le samedi pendant les inois de mal, juin, juillet, août, septembre, sauf les 31 mai' et 30 août (derniers Jours ouvrables du mpls Marché du HAViiB (Clôt.), 2 Mal Cotons : mal, Juin 503, juin. 500, août 496, sept. 492. OCt. 490, nov., déc. 489, Janv., tév. 490, mars, avril 489. Tendance facile. Vente : 4.250 balles.

Cales ; mai 274, Juin 270, JUll. 264.25,' àbût 263^5-, sept. 258.75, OCt. 257.25, nov: 256.25, déc 253.75, Janv. 251.75, fév. 250, mars 250.50.

Tendance calme. Vente : 750 sacs. — un îtes : mal, Juin, juil., août, sept., oct. J10 Tendance soutenue. ' Marché de-LIVËHPOOL (Clôt.), 2 Mal Cotons américains : mai 8,09, Juin 8,06, juil. 8,04, août 7,96, sept. 7,90,' oot. 7,85, nov. 7,84, déc., Janv, 7,«6, fév. 7,87," mars 7.89, avril 7,91, mal (1931) 7,93.

MARCHE D'ALEXANDRIE (Clôt.), 2 Mal Cotons : Ahsmouni, Juin. 19,85, roût 18,40, • oct. 17,60, déc. 17,88, fév. 18,27 ; Sakellarldls, - mai 28, lull. 27,01, nov.

25,50, Janv, 25,81. >' MARCHE DE NEW-YORK (Clôt.), 2 Mai Cotons (en cents par livre) : Dlsponibleble 16 60, mal 16 38, juin 16 44, Juil 16 50 à 16 51, août 15 75, sept. 15 20, OCt. 14 88 à. 14 90, nov. 14 86, déc. 14 96, janv.

Blés

:

BOURSE DE PARIS DU 2 >>>

.

La tendance s'est plutôt améliorée en ce sens que, contrairement k ce qui se produisait régulièrement depuis quelque temps peu après la cotation des premiers cours, on n'a pas eu 6, enregistrer aujour d'hui de ventes concertées. Aussi, bien que les affaires fassent toujours défaut, les cours de la veille ont pu être conso lidés sans la moindre difficulté. SI le mar ché de Paris reste livré à lui-même,"t'està-dlre si aucune pression, aucune ma nœuvre boursière de professionnels, ne .vient Influencer arbitrairement la iCote, il est permis d'espérer que grâce & la di minution du loyer de l'argent et au libre Jeu des facteurs techniques excellents dans l'ensemble, la reprise des affaires se développera progressivement au fur et-à mesure du retour de la confiance, La crise sévère dont souffre notre marché

MAI

1930,

VALEURS SE NEGOCIANT A TERME ET AU COMPTANT. VALEURS

Malgré ses succès, le Comte-Zeppelin, merveilleuse machine de précision, ne Nous avons fait un beau voyage, un rencontre S % perpétuel.... pas partout des partisans en beau voyage pour demain.-Nous sommes thousiastes.

3 % amortissable Certeç> & nous émerveille 5% 1915.1916...... allés dans la Lune,' et non point remor depuis deux ans.' Il a accumulé les 4 % 1917.. qués par nos rêves, mais bel et bien prouesses, sans toutefois nous faire ou 4% M* ...........

5 % ifâO amoMlss entraînés par les données très scienti blier ceux qui l'ont précédé et qui con ,.

6% 1920 fiques qu'hier soir M. Esilault-Pelterie nurent un destin tragique.

Banque da France.. exposa dans le En Allemagne, les sceptiques sont > Banque d'Algérie. . amphithéâ grand Bonq. NaL. doCréd.. nombreux, malgré la' fierté nationale.

Banq. Farta P.-Bas., tre de la Sorbonne Et l'Espagne ne semble pas plus admiBanq. Unldn Paris.

Les voyageurs rative, si l'on en juge par ces lignes pa CompagnieAldrer..

Not. d'Esc.,. étaient fort nom rues dans le Heraldo de Madrid :. n'est pas en effet aussi : naturelle que Gomp.

Crédit Corn.

France. d'aucuns le prétendent. Sans vouloir nier Créd.Fonc. France, breux, car, s'il embrouil Il conviendrait de ne pas « l'existence d une crise économique mon Crédit Lvonnals.,.. n'existe encore de ler tes choses et d'éviter que, sous le diale, dont certains intéressés exagèrent à Crédit Mobilier Fr.. est lunobus il <t », nouveauté, prétende la Générale;.. couvert de plaisir répercussions probables sur Société on les déjà une science dissimuler l'inefficacité actuelle des di Rente Foncière;... place, nous persistons & croire que Sté notre Gcn. Foncière.. nui se préoccupe rigeables pour desservir une ligne régula situation France dans trouve se une Suez des relations Inter libre de navigation aérienne. privilégiée tant par l'activité de son — parts Fondât,. planétaires, l'astro marché intérieur que par la protection Est. — Société Civile..

Nous référons récent voya nous au » barrières L'exactitude douanières. de ses nautique, dotée ge du Comte-Zeppelin, qui a mis 27 Lyon de cette opinion se manifestera automa Mldi....^ d'un prix annuel, heures pour effectuer le voyage de Trietiquement le Jour où les vendeurs pro Nord qui lut, en 1928, drichshafen Orléans 1.700 peine à Séville, soit à fessionnels cesseront d'exercer leur ta Santà-Fe attribué à un ingé kilomètres, c'est-à-dire qu'en automo Nominations au titre indigène lent. , Grands officiers : MM. Mahieddlne Mo , s'est Métropolitain,..... nieur allemanddu marché, En clôture la fermeté Lyonn. des Eaux... bile on aurait pu couvrir la même dis~. hammed Ben Tahar, caïd de la C. Mv de DifiLvib. Electricité. plutôt accentuée et l'dn finit sur la Cie Dans l'état) de tance en moins de temps (.moyenne : Mo Gén. d'Klectr...

Mahhl ben l'Arba Khodja . ;Mansour des plupart des environs aux groupes connaissances, nos l'heure). kilomètres à Electr.de 62 Seine.. là M. de Beni Mansour; hamed, agha de C. M. Esnault-Pelterie rien ne s'oppose plus hauts cours. En coulisse, les valeurs Electr.GazlaNord;..

Kadould.

Mohammed Hadj » En outre, si l'on examine l'itiné Benchenane Sud-aîvicaines particulièrement ont été Thomson théoriquement à ce raire suivi, on voit que l'appareil a bien dour, agha des douars Traho et Sidl ben Blectro-Mét. Dires. légèrement terminent recherchées et auForpeaNord et Eal. que nous 'allions dans la Lune, Il suf peu de « plafond », puisqu'il n'a essayé Moussa, C. M. de Mascara. de la veille. dessus des cours Tréttl enes. H a vre.. fit que le véhicule dans lequel nous nous de franchir aucune chaîne de monta Commandeurs ; MM. Abld Koulder ben Citroën (actions)... trouverons soit animé d'une vitesse de gnes, même dans les parties les moins Ali, ancien caïd :,Madoul Tayeb ben Hadj Peugeot Coumères.,... ben Mohammed, ancien caïd ; Benaffane 11.180 mètres par seconde, ce qui, en élevées.

Lens caïd Ouled Khellfa du douar Larbi, vérité, est une assez belle vitesse, puis Vicoigne-Nœux...

De plus, il ne s'est même pas risqué Mlmounould » Bouzld Aïssa C.M. de Sebdou Boléo que l'obus de la Bertha ne faisait guère A survoler le golfe du Lion. De même,' ben Bouhamoud, caïd des; Ouled Aliben Penarroya que 1.300 mètres dans ce temps.

Platine.....

Il n'a pu être amarré à Séville au mo Ameur C. M. d'Aflou ; Hamldat K^Jdour Interdépendance financière Elabhss.Kuhlmàn..

Ce n'est point, au reste, dans un obus ment de son arrivée, parce qu'il régnait ould Hadj Mohammed, conseiller général Phosphates Gatety.. d'un sortant canon, comme le prévoyait à ce moment-là, un modeste vent de du département d'Oran ; Nouredlne KadProd. Chlm. Alain..

11 n'a paru qu'aujourd'hui Jamais plus Jules Verne, que nous irons dans le,vide 20 kilomètres qui s'y est opposé. Il fut dour ben Eddlne, caïd des Ouled Mlmoun Réunts.. aussi évident que tous les grands mar Chargeurs Transatlantiq. ord., M. d'Aflou ; Abdelmadjid Car nous serions, dès le départ, très pro obligé de < gagner du temps » en allant Gheraba, C.Menàceur, financiers chés sont solidaires. La prochai Voitures à Paris...

Khaled ben caïd du douar Tifprement réduits en un liquide nauséa jusqu'à Cadix, pour attendre que le fech, Air liquide.. émission obligations allemandes Caoutc. des ne Souk-Ahràs Bendallamor C. M. de ; Iudo-Cbine.

Non, bond. vient de nous en fournir la preuve en pro Rafïïn. Soy ce sera dans une fusée, et vent se fût apaisé avec la maree des Mohamed ben Mostefa, cadl & Cpnstanord... général abaissement nouvel voquant un qui filera d'autant plus aisément que le cendante, ce qui s'est produit à 17 heu- tlne; M'Rad Hadj Tahar ben Ahmed ChéUnion Buropénne.. du loyer de l'argent dans le monde. En vide sera plus parfait. Sans doute, est-ce T6S. rlf, caïd des douars Oued-el-Aaar et Blreffet, à quelques Jours ou quelques heures Menten, C. M. de l'Oued-Cherf ; Sraatl encore là moyen de pauvre, et qui sem d'intervalle la Belgique, l'Angleterre et la » En résumé, le dirigeable paraît, Mohammed VALEURS SE NEGOCIANT AU COMPTANT el Khatlr, agha de Tocqueblera. un jour, aussi ridicule qu'une pour l'avenir, un moyen dé transport Fédéral Réserve Bank de New-York ont Mohammed vllle Lablod caïd Saïdl, Ben ; draisienne à un motocycliste. Mais « tout à fait joli et intéressant »; :tout du'douar abaissé le taux de leur escompte de 3 1/2 C. M. de Aliane Hlana, Tablat ; modestes, & 3 % ; tandis que dans le même temps c et ne ménageons pas ce que l'on peut faire pour favoriser ses Abdellah ben Lakhdar, caïd du douar ElCours soyons vaiiecbs prôcôdCours Cours Valeurs VALEUES prôcôd la France conservait la tête du mouve jour du „ du ]out' nos peines. D'après les derniers travaux progrès et son amélioration est certai Euch, C. M. de Tablat : Reguleg el Hai ment en diminuant le sien de 3 à 2 1/2 %, des, Allemands, qui. suppose une vitesse nement digne de louanges. Mais donner bld ould el Hadj Miloud, délégué financier. taux" le plus bas du monde entier. Notons tirand-Conkbe 1879'2.6Û% PAKQUET d'élection de gaz de 4.000 mètres par de l'argent pour établir aujourd'hui des Officiers : Ait Kacl Omar ben Bamdane, Marlea passant retrouver 1880 3%. dans l'his que en pour 4% 1925 ch.).

Igar. il Omnium d'Algérie. seconde, nous faudra quitter la Terro lignes régulières dont la régularité ne Ben Aomar Mohammed ben ' Kaddour, ltti)l -3 toire iM.?. de la banque 11 aussi faible taux un -6 % Guei'goiir.

1892 2.60%.,...

Mohammed ben Henni, Moha avec 27 tonnes pour en faire parvenir dépassera pas deux voyages, cela ja Bouthlba faut remonter à 1898.

5% 1028 Mokta el Hadid ..

18i.9 2.60% med Belkebir Benamar ben Slimarl, SllObllgût. 6 0/0 192?.

Ouenza solidarité une sur la Lune.

Cette marchés des financiers mais, malgré toutes les garanties que mani |4iî06 3% .......

Benalloua Hamlda ben Hamlda.

Très, Kacl, Bons 5% 1924 Sainl-Gobain Et nous ne partirons pas dès le pre peuvent donner à ce sujet les techni ould Mohamed, Daho Daho ben Moham 1912 3% est l'indice de l'évolution profonde des 7% IffiW Hhôno PouUtnc..

1!'20 5 1/2 0-0.. conceptions économiques financières et mier jour pour l'astre nocturne. Com ciens intéressés dans les entreprises med, Hakml Mohammed ben Maamar, 7 % 1927.

Bozol-Mûletra....

1921 61/2 0/0..

Cais. Aut.4'1%1929 qui a ruiné la guerre.

Suer. Bréaillemies 1D22 60'fl...... me l'avion qui fit d'abord" des bonds constituées à cet effet.

Mammar el Habib ould Mohammed, BelCréd.

National 1919 Coloniales La ruBslte des opérations prochaines dé 1023 60 0 — avant les vols, la fusée Interstellaire, ». Que ceux qui en doutent veuillent haddad Salah ben Azlz, Benarous Kaddour 1920 Arrence Havas...., ' 1126 7 0/0...... pendant très largement de l'intérêt qu'el ; . — 1921 Librnirie Hachette sous forme d'avion au* ailes tronquées, bien prêter attention aux petits détails ben Lakhdar.

1927 7 % les présenteront les capitaux dispo Bons déc. pour 6% Itttg , Pclit Journal,...., Chevaliers : Àbboud Sllmane ben Ail, effectuera de Tapides voyages sur notre suivants: 6%1uiU. nibles 102£ il Bej'gougnan y a avantage évident & augmenter Bon# — Bakalem Mohamed ben Lakhdar, Bend'ba 6 % Janv. 1923 iuduBtr. Péti'oles. globe. Paris-Dakar en 18 minutes, Pa l'importance de la 8% « 1879 entre le taux marge » Les Allemands qui, avec les Améri 6% juin 1923 Lllle-Bonj-Colomb.

Ameur Rablà .ben BouchenAmeur, oen ris-New-York en 23 minutes ; le tour cains du Nord, se placent à, la tète de nala Mohammed -ben Mlssoum, Benzakofficiel du loyer de l'argent et l'intérêt que — C% U> 1883 3 % Janv 1924 Poliet et Chausson — 1885 2.00 %.... porteront les obligations allemandes. De Ouest-Etui du monde en l heure 30.

4 %,...

NouvellesGalerie» l'aviation mondiale et ont établi une kour Abderrahmane, Boucetta Mohammed 1895 2.80%..:, Etat 5 plus en ce qui concerne la Banque de % 1919 Bolgc ch. fer réuni* am 3% Enfin nous tenterons le beau voyage. quantité de lignes régulières de navi ben Ahmed, Bouzellffa Hannachl ben Mo (1931) 15 05. — Nouveaux contrats.: Oct: France Tunis 3«/0 1892....

Congo Gds Laeu... ii)09 3%.. i. qui 57 59, 62, déc.

14 redoute les 14 14 14 67, Janv. effets accentués nov.

Mais partir n'est rien. Revenir est tout. gation par avions, n'en ont organisé hamed, Dehnoun Saïd ben Ahmed, Derradj (1931) 14 74, fév. 14 83, S 1902 % (S»t Asiat.

Danois — 1913 81/2 %.. d'une Inflation crédits, 14 des l'abaissement 92 à mars Indochine ..

Ki'euger 30/0 190 and Toll.

Comment pourrons-nous atterrir avec aucune de dirigeables.

1913 4 0/0 AU ben Ahmed ben Taïeb, Dual Laggoun 14.93. du de l'escompte: 3%'Ï9U2 Marché taux ' modérément Les présentera actif.

Cie Suéd.'A)lumet. l'avan 0/0 lib — .1917 5 — ben Boulafed, Hadjl Mohamed ben Koul cours ont t% 1914.... ce bolide lan&é à 12 kilomètres à la se Keraclee (action).. fléchi sur des cables de Llver- tage, de favoriser les mouvements de ca Maroc » N'est-on pas en droit de suspecter der, Hallml Ali ben Brahlm, Mousserati Maroc S % 1916....

Royul DutcU conde ? Comment freiner ? Eh bien ! que ce soit « nous » qu'ils prétendent Omnibus 4% pitaux les places pool, des de-temps favorable, li où avis des l'argent vers est plus Algérien '6 % Pan.'Ob.Bons à lots Mohamed ben Koulder, Chérit Oussedlk Central Pae 4%--« c'est très simple. On retournera l'appa dater de ce système merveilleux, nous, ben Mohamed Amziane, Hadj Hamou Ab- quidations par.de petites maisons sur les cher. Ainsi l'effet des placements en va Argent. 41/2% 19^1 Est 6 %.

Transatlantiq, 8%.

Brésil & % 1909..... reil, et les gaz propulseurs deviendront donnant ainstla priorité en la matière'? delkader, Bel,khorlssat Mohammed, Ben-, mois rapprochés, puis, ont repris sous l'ef leurs étrangères, si vivement .recomman Chine UanuboSave Adr,.

— 5% 1852-54-56... dés depuis quelque temps, se trouvera- Egypte % 1913 Clôture à fet de couvertures. peine — 4% 1912. soute amortisseurs. de qu'il lieu Nom pro y a croyons Housslne Lahcène, untdee Benelben » ammour renlorcé.

Kapugne Ester... % noi — Blés roux d'hiver n» 2 disp, (en t-il céder, avec prudence en ce qui concerne hadj Djelloul Medleded oul(l Mohammed, nue.

En route pour la Lune — 82/^ Quant doll, et le bushel), Blés marché cents finanoler 1 21 1/2. — 11 est & Italien 3 ^ % au %.

— Kadcontribuable de Bensafir Ail ben Belaïd, Benyakhou et l'argent du ne pas Japon 4% 1905, qu'àprés craindre durs 3 % Ardennee.. d'hiver 2 disp. (en doll. avoir salué et cents la nouvelle n° — Nous voilà donc en route pour la Lu nous laisser bluffer par un progrès cer da ben Daho, Cheikh ben Belkhelr, Cher- le bushel), 1 06 3/4.

1921...

EN BANQUE — 4% 1910.

Maïs bigarré n» 2 mesure 11 se montre Indifférent à ses ré Soc. — 6% type S Vu 1855...

— Marseillaise. gui-Hassen ben Dlab P.-L.-M. Mohamed, Tayeb L'impression début n'est pas fort tain, mais nullement sanctionné .par la ould Khalfallah, Hassoul Mohammed ben d'hiver disp. (en cents le bushel), 89. — percussions qui ne le touchent ni Immé Cr. Fonc. d^Algéne ne. rniro-fl«l.

4985 ri i v.. au .. ? agréable. La sensation de pesanteur, en pratique. » ni diatement ll»3 152 Banq.

Hydro-Elec.Franc.

Farine printemps directement Indo-Chine.. de cents le Mortane. (en doll. et l'argent Jacques hors.

Dahou, Hamlat Djelloul Smaïl.

Hamould — Fonc. Colonial.

Part Herachie..... 675'iu. 6t>200...• raison de l'augmentation constante de 5 55 6. 5 60. — Sucres (en cent? banque ayant toujours été bon marché. Cr. Hacheml ben Mohamed, Mlmouni baril), Enlr.

459 mou Immobilière dcH Mines.. 4&7 Aevur. fusion 3% — livre) : Centrifuge Cuba 96" droits Toutefois la baisse du loyer de l'argent Chem. fertuniaienb vitesse, se multiplie par quatre. Tous par .23S' 231 ..

Pétroles, Hadj Abdelkader Mlmoune, Akrouf Omnium champion ben «fus.3%nouv.

Vuijlamy, BOXE : — l'avantage de faire paraître Ht»t Aigeriisn Steauo Romana... H« . 145 .. les gestes deviennent impossibles aux Arezkl ben Mohammed, Benelbedjaoul payés prompte livraison, 3 30. A terme : présentera ... plus avantageux Bakou.. *.'i5 Ouest Algérien 6%typel92i le Juil.

50, sept.

Mal 1 53, 1 1 57, oct.

1 61. rendement de certaines Parisienne Electr.

Hassen ben Hamou, Benseghlr Seghlr ben . 261Ô — de France, bat par knock-out membres trop lourds; Une hébétude to ...

2730 Malopolake (part).

Midi 6% & revenus variable ce qui n'est Benyahia Omar ben AU, Boulke- déc. 1 65, Janv. (1931) 1 67, mars 1 72, valeurs cas Omnibus............ *^5% Cr. Gén.Pôtr.lpart) •10200. 9950 . tale s'empare de l'être. Mais la vitesse le champion alle<maiiid Domgœrgen Bachlr, négligeable.

Cafés cents livre).: mal 1 78. (en par 685 Mord-Sud..

Extreme-Orient... 682 roua Bachlr ben Ahmed, Bramkl Mouloud Disp. 9 3/8,—mal 8 50. juil. 8 35, sept. 8 14, -- 4 fatidique est atteinte. La fusée d'elleFrançaise de Tram Cie Indo-Chine... 750 . 740 Abdessalam Cie Parisienne ben AU, Khaznadar ben Mo ,de Distribution bril même poursuit sa route. Alors il n'y a 3140 . 3120 .. nord-Eapagne Hulchintion Les couleurs allemandes n'ont pas hammed^ Maiza .Seddlk ben Brahlm, Ben déc. 7 98,' Janv. (1931) 7 94, mars 7 84, — 3% nouveau.

2520 , 2490 .. où Jacob Saragosse.........

Sumali-a salle Wagram, cap soir,'à la d'Electricité lé, hier plus du tout de pesanteur. Dans le corps mal 7 74. — Ventes approximatives : Kadl M'Ahmed el ben AU. 4200 ..

MessagerieeMarit, Pointe-a-Pitre(act.)

4325 1921.

6% légers, type et champion des poids — 18.000 sacs. — Huile de coton (en cents vil sera procédé le mardi 20 mai à 9 h.'S0 ElectriciL. de Paris de la fusée les humains flottent, sans Domgcergen,-champion 82 ..

U. Ebp. Prod.Chim. 82 ..

Nord "" série F..

(5% Finances plume poids des Driebbers, Energie Indutitr.,.. disp. livre), 8 80. — Pétrole raffine aux bureaux de la Banque de Amazone 5 % 1906.. 194 .. 18S &0 par poids. Il faut secouer la bouteille pour avaient Paris, 8. rue Union d'Electricité Chevaliers ; MM. Gorguet, inspecteur Argentin 6% 1910'. 455 .. 4.\4 . : affaire respectivement à Henri doll. et cents les 100 gallçns). 16 65' d'Antin. au tirage obli Mallidano Brésil 5% 1014-.... 396 V 396 .« sort de en faire sortir les bulles d'eau qui er Vulllamy, champion de France, et à Sl- principal des contributions directes a (enSaindoux 1.100 au (en cents livre), 11 10. gations 8 3/4 % de cette compagnie, 4 Cuivres et Pyrites iColorohie 5% 1906. 2415 . série B. rent au hasard. Dans 48 heures nous mendé, non boxeur sans plus. nouv.

Nice ; Poisson,- publiclste financier ; Le- — Suif extra (en centspar [Mexique 5 % 1899.. 7066 !! par livre), 6. — rembourser le 1»- juillet 1930.

Aguilas aérie C — 2 4 %1921.....

0800 serons, sur la Lune.

C'est par k.-o. au 7« round, que le Fran cordier, secrétaire général de la rédac-, — 'Nickel.:,...,.,....

Monaco Térébenthine (en Je gallon), 51. — cents type compté « out » tlon à l'Agence Economique et Finan Cuivre F. A. S., disp. 14 vend. — Etaln Soc. Fin. de Parts 5000., 4975 ..

Elec. Seine part Orléans 6 % £t qu'est cela ? Le jour où nous pour çais élimina l'Allemand DROITS DE SOUSCRIPTION SosnDWica.......^. (paru i550 .. 7500 •• i. directeur général de disp. 33 30.

—, dlic secondes aprêa la réception,d'un cro cière ; Boemare, — rons dompter l'énergie intra-atomique, chet 181 Victoria....

Jounaont l'Union financière syndicale Halbronne, .. 186 .. ; au menton, MARCHE DE SAVANNAH (Clôt.), 2 Mal Parquet Câbles 3^1884.'/: nous pourrons faire du 60 kilomètres Vulllamy, télégraph. , première fondé de pouvoir de banque : Bauzon, Térébenthine (en cents le gallon), 44 1/2 après une mauvaise ForgesdeFirminy — par seconde et en 3 heures 28' nous at reprise,; remonta Négociations Jusqu'au : le courant, ,puls chef de bureau à l'admlnlstratlpn cen à 44 3/4. bien 2 <A % 1895 Aciéries de France — COURS DES CHANGES teindrons la Lune. Plus vite encore, tou « jouant.» du direct du gauche en vir trale ; Léon Lévy, directeur de la succur MARCHE DE CHICAOO (Clôt.), 2 Mal -G.C.Î *0 1855 6 mal : Cptr. Ind. du Sel : 1.046-85-60. Longwy...-.

6% 1921 type Mlchevilta jours plus vite. Et qu'importe 1 En vertu tuose, il calma- l'ardeur belliqueuse de son sale de.l'Agence Fournier, k Strasbourg. Cotons (en cents par livre) : Juil. 16 16.

Etatfi-tJnls (1 doll.)

Coulisse Ouest 3 %.

Pans-Outrean Angleterre (11. sW pendant théorie deuxième d'Einstein, .... de la Nous sommes heureux de relever dans oct. 14 68. que adversaire, mal en point dés le Blés (en doll. et cents le Chant, de Bi-etag..

Aile, (100 reicham<) — 3%nouveau Négociations — Jusqu'au : match cette promotion le nom de M. Léon Lévy, bushel) : Disp.' Incoté, mal 1 01 8/4 A 9 mal : Mines et Minerais France. notre aéronef brûlera l'espace, notre vie round. Au fur et à mesure que le ArçentlnoliOOpes.)

— /i87i la Loire chevalier : 4,50. nommé Domgcergen Légion Belgique <100 bel.). de de la déroulait, la résistance d'honneur. tout compte h fi/8, — d'autant.

Et, Juil.

1 03 3/4 1 08 ralentira 1 01 5/8, sept. /1875 se se 13 mal ; i/i 0 . Franco Javanaise, c. 9 : 4% St*Naxalre Canada (1 dollar)...

Lévy, — le crochet M. lorsqu'il encaissa qui est Journaliste de tact et et \in I 07 5/8 à 1 07 1/2, déc. 1 12 1/4 1 13 23-22.

1676 4 0/0 fait, en une existence humaine, nous au faiblissait D.tnepiurk (100 c.).

— Méditerranée souffle de à était à de grand mérite, Strasbourg, 11 bout le libérateur est, 1892 2 V'i corr 1/8. — Mats (en oents le bushel) : Disp », « Espagne (100 pes.).

27 mal : Prodnlts Organo Chimiques, o. Châlil.'Comroentry rons le temps, si nous ne nous attardons et 1894-96 21/20/0 les dévoué défendre respondant Petit Journal.

Denatn-Anjun devant .

Incapable du de Hollande (100 11.).

82 1/4, se 7/8, 79, Juil.

80 3/4, sept.

79 mal 3 167-160. : 1898 2% Pontgtbaud pas aux-escales, de visiter la Vole Lac- fougueuses offensives du champion fran Hongrie'(100 non.).

76 5/8, déc..

1899 2 %. _ Fives-Uile.... ltelio-(10û lires).... £(§£ progrès. iTt montra çais qui en se 1904 2 %.... , Aciéries Marine...

Norvège (10U cour.)

Marchés . (étrangers refusent mathématiciens Ces eut se 1905 S " Dans ce match, l'escrime classique Monta taire tête mécanicien la Roumanie (100 lel).. \rien Mais ils peuvent neaussi, Un a 1910 2 n'est-ce le pas sur la bataille furieuse et désor Ariége Uiwiu z Seil>ie (H»0 dinars).

Londres, 2 Mal. — L'abaissement du Montbard-AulnoVe <1^0 3 plaident devail le Tribunal de CommercB écrasée par le camion . taux Suecio (100 cour.).... oZ n pas ? capoter au> virage des logarithmes. donnée. io<4 1912 3%.. « d'escompte Senelle-Maubeuge. de la Banque • Suisse (100 francs). d'Angle Drlebbers-Slmendé qui match le Avec 1919 5 0/0 Citroën (parts) terre réparait ranime Autriche (100 sch.) qu'il les transactions. a Et voici des cartes postales Les Fonds ' Décen. 1922 6% Franc, des Métaux se termina par la victoire aux points de Portugal <100 es.)... d'Etat sont . particulièrement recherchés Charb. duTonlun.

1923 6% Tchécoaiov. (100 c.) l'issue des 10 rounds pré dernier, ~ ce a la d'un incident le A suite Esnault-Pelterie n'a votau et s'inscrivent que progrès 1924 M. survenu 6% pas appréciables.Les Bethune .......v... en Finlande (100 inks) — les choses n'allèrent pas seules. Les 14 novembre 1928 à l'Alcazar Un grave accident- s'est produit hier Chemins anglais Obi.1924 Mar 6 >4% Aniche de tpmolgnent Pologne (100 zlot.).. aussi de bien nous ayons fait pour rien, avec iyi, le vus, les les tête, accrochages, de 19257%Meti pous coups Ansin.. soir dans atelier de répa à 17 h.

30, Indo-Chine (piasl.) meilleures dispositions, — un i.... seille, les de représentation de même après la que la Cormaux au cours saut lunaire. Il nous offrit, sées furent à l'ordre du Jour et les deux — 1928 5% généralité automobiles, bis, 59 des valeurs rations Industrielles locales.

4>6%.... pour ave 1929 chiffres sur le tableau noir, des cartes hommes méritaient bien les avertisse d'une revue —le public avait brisé une Les valeurs Internationales et les Pétroles Commentry-Fouro, Jean-Jaurès. postales. D'abord des fragments d'un ments dont ils furent pénalisés. Rarement partie du mobilier du théâtre — M. nue très Irréguliers, plutôt faibles. Grou M. Louis Marin, sont film, qui est, pour lui, beaucoup mieux les habitués de la salle Wagram-assistè Franck, directeur de cet établissement, L'un des ouvriers, minier sans tendance bien définie, avec rent à une rencontre aussi heurtée et peu avait assigné, hier, devant le tribunal 42 ans, 10, rue du Mont-Cenis, était oc pe qu'une anticipation aventureuse. une nuance du fait du flé plaisante à suivre. cupé & la réparation d'un camibn, lors chissement dedela lourdeur, Et de Seine, AGENCE FOURNIER de la M. Antoine Commerce ferons-pous. ce dit-il, Ainsi, plupart des métaux com — charmant.

Girardln, un « ancien » qui reprend Raslml, imprésario de la tournée, lui que le palan qui la soutenait ayant cédé, muns. sera du service actif, remporta une nette vic réclamant 200.000 francs de dômmages- II eut la tête écrasée par le lourd véhi Berlin, 2 Mal. — , Dispositions générales Puis l'on nous fit voir ce que .'ous toire sur Lepage qui fut compté out » intérêts. « l'assemblée générale annuelle qui a eu satisfaisantes à l'ouverture, sur la bonne cule. La mort fut instantanée. un ar au 2* round. Hier, Maisons-Laffitte verrons. Un savant, qui est aussi lieu hier sous la présidence de M. de LaImpression laissée par la déclaration par M. Rasimi, de son côté, avait « appelé tiste, a, en effet, avec une bénédictine lande à l'unanimité les résolutions la I. G. Farben, d'un dividende de 12 %, Prix de 'Montmagny (à z6c1.), 6.000 îr.. qui luia voté en garantie » 'les principaux interprètes La «reine des fraises» de Bièvres plus un bonus de 2 %. Par ailleurs, patience, recomposé ce que sont les pay étalent soumises. Le dividende, LE CONGRES NATIONAL on 2.100 m. : 1. Brodeur, à M. Henry Couut égal le sol de de la revue, le célèbre comique Dranem précédent, fixé à 30 francs Relchsbank la pense être au que sages. lunaires pour qui foule amenée va (H. Breûtnall) ; 2. Anoste ; 3. Oronte — pour les actions A a* été Suzette O'Nill, 65 fr. pour C et et a réduire son taux d'escompte à la suite N. la planète morte, paysages d'une inso DES AGENTS DE SURVEILLANCE et sa charmante femme, pl. : Crown Jewel, Feu et. Flamme. les actions B, sous déductionà des de l'abaissement décidé tant en Belgique Oascoimette, Impôts. que cette dernière était char lite grandeur, dans l'air sans atmosphè DES ADMINISTRATIONSDE L'ETAT alléguant Lanuiiis, Le Llarot, Novo, Angleterre gée et de la mise point spectacle France du en qu'aux Etats*' a en parcourir au Alvéole, Cilspourrons Mont Jacques Yves, re,-et qjue nous Unis. On note cependant la falbleSBé des son, InRose. qui avait mécontente le public.

Partlbus, Zorongo, Pourquoi Pas, NOUVELLES MARITIMES folle- allure encore, puisque nos enjam valeurs de Sole artificielle et de Berger.

YVonhette. —» 18 part. — Congrès du Syndicat présidée Le général du l'audience mètres.

A d'hier, M. Peau de dix-huit par bées y seront de Les Fonds d'Etat allemands sont fermes. 11,41., Satin, 11. de surveillance de Magne, José Théry, personnel service et M* de de Terre, M. au nom Pauvre chère vieille chose Les valeurs de. Navigation s'améliorent, Mutuel : Q. 425 : P, 87, 8.50, 40 qui, demandé Franck, tribunal fils assimilés, s'est d'ordon ouvert Conservatoire POSTAGE maintenant au a au ses pour étroite Grande animation sur Farben. Allure un trop Prix Badajox, 10.000 fr.„ 1.400 m. ; 1. commission l'envoi d'une l'objet Métiers.

Il rogatoire des Arts et durera-encore ner lrréguliére leur plus possession clôture, peu le taux de Amérique du Nprd. — Pour New-York déjà, sentent en en à M. S. Guthmann (W. Slbbrltt); et demain. La séance d'hier à Marseille pour faire une enquête sur l'escompte privé n'ayant pas été réduit, Méfiato, le 7 via Le Havre.

2. de leurs ancestrales convoitises : . la aujourd'hui Chef Noir 3.

Champion du Roi. : -r Amérique contrairement à ce que l'on espérait.

Centrale et Antilles. — Pour a été ouverte sous la présidence de. M, les Incidents, M" Lévy-Oulmann et de N. pl.' : Saint Gilles, Young Chum, Œil Lune. — Jean Grimod.

Harambure, assisté de M. Antoine la Ra Havane Cavallé, du Muséum, de M. Beau, et Vera-Cruz le 21 via Saintau nom de Bœuf, Flavlen, Castillan, walter Scott. simi, se sont opposés à cette requête.

A Courbevoie, 60.000 litres d'huile Sybarltlo, Tower, Dublin, Jaboteur, Bé- Nazaire.

Conservatoire des Arts du et Métiers, Pierre Lœwel a, soulevé l'incompé rat, Bright Sun, Galante, Centaury, Câ Mouvement administratif, et de M. Manln, des Travaux Publics. M' FRANÇAIS f lina, Sumatra, L'Abbesse de Menin. DeLONGS-COURRIERS la proie des f lammes Il y fut et il y sera traité des ques tence du tribunal, déclarant que ses sont Grasse, de New-York au Havre le Queen's Guard, Queffonds, ,Amazolie VllXt tions corporatives : traitements, règles clients, Dranem et Suzette O'Nill . sont 2 Ile-de-France, doit quitter le Havre le ; (Casse Noix prenant la part a ne pas des artistes et-non des entrepreneurs de d'avancement, hygiène, propagande.

Sont nommés : 7 pour New-York. les faits paris chance sont course sur sa Un incendie s'est déclaré hier à ? h. remboursés). 23 part.

Ro Les congressistes s'attachent surtout spectacles justiciables du tribunal de Préfet du Bas-Rhin : M. Pierre — — 2 1. 1/2. 1 i» LONGS-COURRIERS ETRANGERS du matin dans un. entrepôt d'huiles rue 8/4 1. de à faire aboutir trois revendications prin Commerce. land-Marcel, administrateur général Corvée, Montrose, de la à Courbevoie, dont le siège de Saint-John a Cherbourg L'affaire a été mise en délibéré.

Mutuel : G. 13 ; P. 7.50, 39, 35.60 en remplace^ cipales ; ils demandent : 1° que les trai la Bibliothèque nationale, le 2 GcO'Washington, de New-York a social 44, ; est de la Grande-Ar Prix Provins <& de vend.), 10.000 rr„ avenue mis a tements soient, selon un coefficient 6, meut de M. Emmanuel Borromée, Cherbourg le 2 Berlin, de New-York à 2.400 ; Paris.

1.

Kerlton, à Léon mée, à M. Gramer Le bâtiment LE PREFET SEINE m. : DE LA VISITE contenant l'Intérieur. de 10.800 francs au début ; 2° qus la Cherbourg la disposition du ministre deMarcel le 2 Montcalm, de Cherbourg ; (A. Rabbe) 2-.

Irmlnsul 8.

Telamon.

60.000 litres ; d'huile a été la proie des ; — Ber limite d'âge pour les retraités ne soit LA FOIRE-EXPOSITION D'AUBERVILLIEBS le 2 Montréal Stuttgart, Préfet de la Somme : M.remplacement pour de Cher M. pl. : Adana, Le Huila, • Tartarln, Ves: flammes.

Les pompiers de Courbevoie Mlle Chauvean été reculée, il avait bourg de le 2 l'Allier, New-York comme en ques préfet pas Berengaria, en pour nard, Maintenance, LavaLlée, Myrrhe II. — reine pour les fêtes du 15 juin qui ont combattu le sinistre se sont pro, doit quitter Cherbourg le 3; pour New5e M. Georges Remyon, mis à la dispo tion au Parlement ; 3° l'amnistie pour élue 1..

10 part.

8 1/2 1:, 1. 1/2.

1 — Accompagnéde M. Jouhannaud, secré prochain, à Bièvres, et ses. demoiselles rendus maîtres du feu et l'on pouvait Mutuel : G. 57.50 ; P. 20.50, 16.50, 21.50 York ; Reliance, doit quitter Cherbourg les fonctionnaires. sition du ministre. général/de la Préfecture, M. Re d'honneur : Mlles Vandernot (à gauche) affirmer que dès 3 h: 40, le sinistre était Prix Blribl, 25.000 fr., 1.600 m. : 1. le 3 pour New-York ; Empress-oJ-France, taire .

Préfet de l'Allier (20 : M. Deiaporte, nard, préfet de la Seine, a visité, hier éteint, lies maisons d'habitations voisi Sea Cràg. à M. H.-S. Gray (W. Slbbrltt) ; doit quitter Cherbourg le 3 pour Québec; et Dupont. conseiller de préfecture de la Seine.

SANITAIRE L'ETAT après-midi, la foire-exposition d'AuberTake lt Easy. — N. pl. : Dickens, Sul- Statendam, de New-York, attendu à Bou nes dont les occupants avaient été aler 2: Préfet des Côtes-du-Nord : M. Fran le 3 ; Westerniund, de New-York, villiers, dont -avons entretenu nos Les concerts d'aujourd'hui tés ont pu être préservées. Les dégâts plcio. Janlstra. — 6 part. — 1 1. 1/2, logne attendu & Cherbourg le 3 ; Califomia, cisque Varenne, préfet de l'Ain, en rem DES REGIONS INONDEES DU MIDI lecteurs lundinous L, 1.

3/4 ' dernier, à l'occasion de non encore évalués, sont très Impor 1/2 Mutuel . de New-York, attendu à Glasgow le 4. placement de M. Touzet, appelé à d'au G. 12,50 P. 7.50, 11 : : inauguration. tants.

La maison employait son 12 ouvriers Prix Fits-James 12.500 fonctions. de (w.-hand,), tres (De 16 à 17 heures) La Commission de contrôle -et de sur M. Pierre Laval, ministre du Travail, lesquels ne chômeront pas. On ignore fï., 2^00 m.. : 1. Ail Pacha, à M. Yves .

Préfet de l'Ain : M. Francis Laban,, sanitaire, composée du docteur maire d'Aubervillïers, entouré de MM. veillance républicaine TUILERIES.— Garde (M. causes exactes de l'incendie que l'on Bouillon (R. Tondu) : 2. Hazar ; 3. Husecrétaire général hors-classe ' du Pas- Péchin, député de : la Seine, président, Foulon, député, maire-adjoint, Dené- Dupont) : Ouverture de Gwendaline (Cha- les chet. — N. pl. :• Dllemma. Recordman: FUlbert Jockey, Fathma. — Prix de Mont ' de-Calais.

Parisot, de la gent, président de l'Union commerciale brler) i Récit et Polonaise (C.-M. Weber); attribue à un court-circuit.

Jacques professeur du Nectar, Epamlnondas, Heusky, Glenara, de Marsan, (monté), 20.000 fr., 2.800 m. : ,, Faculté de Nancy, et du médecin géné et industrielle, et des membres de l'U La Walkyrie (R. Wagner) ; Dionysiaques Préfet de l'Yonne : M. André Vlgulé, LE DRAME DE LA RUE DE LYON Verlaine. Prodigieuse II, Rodrigue, Héli- Don Juan H, Des Grieux. — PRIX CON Schmltt). préfet de l'Aube. du service sani nion commerciale, reçut le Préfet et les (F.CHAMP-DE-MARS. directeur Sacquépée, ral clana. La Furia, (Saint Didier ne prenant QUERANT (attelé). 200.000 fr„ 8.800 m. : Préfet de l'Aube : M. François Na- taire de l'armée, vient de centrer & nombreux invités .qui avaient été con M; Peyraud) Marche française — 24» d'Infanterie pas part à la course les .paris faits sur sa Emblème Royal. Eléagnus. — Prix HénUde la Suite MEURTRIER LE PAOLI : talelll, sous-préfet hors .classe .de Bé- Paris après avoir visité toutes les régions viés. chance sont remboursés!. — 14 part. — ne (attelé), 40.000 fr., 2.250 m. : Facteur, algérienne (Salnt-Saëns) ; Le Freischilts 3/4 1.. 1 1; 1/2, 1 I. Francœur L. — Prix du Dauphlné (atte thune.

EST RECONNU FOU ', ..'i inondées du Midi.

(Weber). ; Sérénftde espagnole (GlazouAlutuel 25 lé), 15.000 fr., 2.250 m. : Excellente B, G. P. 10, 16.50, 20 : suivi dans le . ; mouvement cou Ce sera Elle a remis à. M. Désiré Ferry, minis PLUS DE 160.000 FRANCS DE BIJOUX now) ; Scherzo de la sonate n° 12 (Bee Prix Merlin, 12.500 fr..

2.000'm.

Eminence 1.

Noire. — Prix de Saint Wancomplé mouvements ; rant du mois de thoven) ; Menuet de la VIII' Symphonie Le 4 avril dernier, un instituteur ar Arques la Bataille, à M. A.-K. Macomber drille (steeple), de la Santé publique, un rapport tre PERDUS chevaux de selle poids . mentaires.

(Beethoven); Danses norvégiennes (Grieg). situation sanitaire de détaillé la Flylng (E. Goldin) 2.

Fool ces 3.

Jojo. lourd, et 12.000 (r., 3.600 m. : Duc : : — moyen PLACE DE MONTROUGE. — 23* d'in rivé récemment du - Sénégal, Charles N. pl. : Emperor, On se souvient que le gouvernement, régions. sur IÉC. Ciel, Chardon Gratte d'Arvor, Croquemltalne tirait plusieurs Paoli, 35 de Rltorff, Stéphanie courtière, Mme 9, fanterie coloniale -: Au Pays lorrain, ou ans, coups .

Boulanger, Flavlen présence de l'encombrement créé par Rouge, Le Annlbal III, attiré l'attention des Elle a pouvoirs rue. Thérèse, a signalé à M. Pêne, com verture (G. Balay) ; Aubade printaniére revolver, sans motif; sur le patron d'un PRIX CONQUERANT l'administration dans Dunkerque, Montmorency, Fenouil, les décrets de 1926 publics sur la nécessité de procéder & missaire du Faubourg Montmartre, (Lacome) ; Andante.de la Première sym restaurant de la rjje de Lyon, M. Auger. gny, Termite. préfectorale et de la suppression à peu la —- 200.000 fr."— 2.800 m. verdunisation des eaux et à la vacci qu'elle avait perdu, hier matin, rue Ca phonie (Beethoven) ; Fantaisie •sur Mi Ce dernier fut grièvement blessé. Sur la 1 I, 1/2 1.Gracieuse. — 14 part. — 3/4 1., Au trot attelé. Poids libre près complète de l'avancement, a pré nation préventive contre la typhoïde et det. un sac renfermant un brillant de gnon (A. Thomas) ; Marche d'Athalie demande de son avocat, M' Pierre Leh17 ; P. 8. 9. 8.S0 Mutuel G. poulains entiers pouliches de 4 ans et : pour senté aux Chambres un projet de loi la diphtérie. f (Mendelssohn).

Prix l'Orge (haies), Paoli été Oe 10.000 fr., soumis à 8.200 a un examen qui. a été voté par elles à une forte onze carats 16, un brillant de deux car SQUARE D TJTEMPLE. — 8« d'Infante mann, Eclipse Leboucher particulièrement l'en Elle insiste au comte de Gram?do Express.. sur docteur mental.

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7 part. — Enfant de Troupe........ Bégou — mobiliers et des maisons effondrées zet). signer une ordonnance de non-lieu.

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Quelques minutes de démonstration ou quelques lignes d'une notice à lire avec attention et voilà notre fillette .ou notre garçonnet ; fin prêt à enregistrer les atti tudes de papa et de maman, de gràndpère et de grand-mère ainsi que de toute la famille, amis et relations com prises ! De nos jours le petit Chaperon Rouge prendrait une!photo de sa ren contre avec le loup, qui déguerpirait en entendant le déclft de l'instantané ou le bruit de la manivelle ou du moteur du ciné d'amateur ! C'est pourquoi il faut armer de bonne heure les enfants fâe cette firme à, répétition qu'est l'ap pareil photographique, non pas pour faire peur au loup, mais 'pour prendre sans .cesse dés Instantanés qui compçserorit le-plus précieux livre de souve nirs que l'on puisse rêver.

Napoléon disait qu'un simple croquis lui en disait plus qu'un long rapport, la grande tourmente a prouvé cette vérité du grand soldat, les appareils photogra phiques enregistraient du haut des avions des documentations qui en di saient plus que d'interminables rapports, Une page de photos dans un album nous dit souvent beaucoup plus que de longues descriptions, ce qui n'empêche pas l'auteur de conter sans apprêt, na turellement, toutes les histoires que ces images font remonter à sa mémoire. La photo n'aurait-elle que cet avantage qu'il suffirait pour engager les parents a la faire pratiquer de bonne heure à leurs enfant^ mais elle en a d'autres, nous y reviendrons.

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Cette apparente tncurabilité n'est pourtant qu'une illusion déplorable. t£lle peau s'explique par ce fait que la thérapeutique fait fausse route. Les maladiesde agissant extérieur superficiellesdues accident à maladies locales et des un sont pas ae du dehors, mais des maladies générales, dont la cause " interne " est l'empoison à s'altérer, les nement du sang. Lorsque le sang vient, pour une raison quelconque,irritent de plus "ianés, que son flot impur ne cesse de baigner par dessous, s d'elle mime. s'alimentait si elle s'aggrave a eue meme» s alimentaitcombattreles inlection persiste ou s aggrave comme en plus et ll'infection à borner traitânent rationnel saurait D'où cette conclusion que le se ue symptômes externes du mal : il faut qu'en même temps on tout d'abord il s'attaque à la cause profonde, qui est l'Impureté du sang. Hors de là pas de guérison définitive, pas de salut.

La preuve de l'exactitude de cette théorie, c'est le succès universel et constant du traitement des CHARTREUX DE OURBON, qui se résume dans l'emploi simultané du BÂUHE DES CHARTREUX (qui décongestionneet cicatrise les tissus enveni més, résorbe les boutons, calme les démangeaisons et les douleuvs), et ae la célèbre

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L'Hi ven); Mftïche turque (Mozart); répertoire; Les Pantins de Violette Bons do 18, 15,. 16, 20, 25 et 33 ans (500, son (Daquin); Valse écossaise rondelle Valse de Parade d'amour; La 000 ou 1.000 francs). — 11* Série (N» ex (Adam); ' -vvv • valse (We. Invitation.à la (Schubert); Quand la dame; Mar trait de la roue : 1.000.277 40.341 49.220 auberge; Vieille Obtenus sur plaque Veri Chanson d'amour (Schubert); ber); d'amour, Mme Lina Ty- 52.0!)9 54.978 57.857 00.730 03.015 06.491 Parade che de tas, les beaux clichés sont . -Bilboquet pédicure;- Le -Vol du bour ber; M, Jean Lumière, dans son réper 09.373 72.232 80.617 92.4(0 90.284 98.108 Mazurka (Rlmsky-Korsakofl), admirablement rendus le don ; sur Ninon (Lacombe) 115.437 118..310 121.195 124.074 120.958 Aubade à 109.079 toire; v papier Dora, qui dâhne des (Chopin); La Traviata, air de yioletta Frascati, valse (Litolff); M. Gaston 147.106 KH.3S0' 207.5(>5 224.S39 265.1-15 208.024 (BiL'Arlcsienne,-Menuette (Verdi); Riefler, dans son répertoire; Fantaisie 273.782 270.001 302.572 311.209 314.088 316.067 images très fines et des, noirs Jlode Sévllle.'air de Barbier Le zet); la Nuit (Lecocq); Was 819.N10 322.725 325.WW 328.483 334.241 337.120 sur le Jour et(Souza). profonds, de quoi satisfaire Valse du pas des fleurs (Rossini); slne 3-)4.39-t 357.273 300.152 363.031 8(15.010 303.739 Post hington * l'amateur ou le professionnel lé plus (Delibes); Manon, Gavotte (Masse- 20 h. 15 Lille P. T. T., 265 m. Concert.

374.517 377i}2C 380.305 3S3.181 3S(i.003 38S.912 ^iet); Dolly (Paure) ; Sérénade à la 20 h. 20 Tour Eiffel, 1.445 m. Concert. exigeant ; le Doradou aux mêmes avan 81)1.821 391.700 397.579 400.45S 403.337 400.216 tages, est indiqué pour les clichés sous poupée (Debussy).

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(Mercier Pujol). de l'opérette 21 h. Radio-Toulouse, 381 m.

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