Le Petit journal (Paris. 1863)
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Parti social français. Le Petit journal (Paris. 1863). 04/05/1930. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter utilisationcommerciale@bnf.fr.
ATTENDONS-NOUS
LES FETES DU CENTENAIRE DE L'ALGERIE
APRES LA LIBERATION
LES SAUVETEURSfAUREATS DE LA SOCIETE
LA TORNADE AUX ETATS-UNIS
C'EST UN MILLION de Sauvetage dès naufragés glorifiés à la Sorbonne Douze Etats ravagés de dommages-intérêts Une vingtaine de morts que réclame M.Almazoff Des millions de dégâts M. Amy à
Après une magnifiqueréception 'années orageuses à Toulon,M.Doumergueest parti II assigne, solidairen^nt Bien que je déteste prophètes à bord du "Duquesne",pour Alger les préfets police.et la Seine du Nostradamus, qui vatici A UNE SERIE
les
genre nent sur. le temps de la saison pro chaine et qui trouvent le moyen, lorsqu'ils se trompent, de faire ava ler au public crédule la véracité de leurs, pronostics, je . n'ai garde de limiter nos connaissances météoro logiques.
J'ai toujours, soutenu, au contrai
de
Avant son départ, le Président de la République avait visité a Chambre de Commerce, l'Hôtel deYille et présidé unjgrand banquet
re,
i
que si l'on veut se borner à de grandes généralités, le cycle de Briickner- peut iious fournir de très précieuses indications. Que nous ayons, depuis mille ans au. moins, une alternance de pério des sèches et pluvieuses, cela ne fait aucun doute. Ces fluctuations de la pluie sont mises parfaitement en évidence lorsqu'on associe les totaux annuels en prenant une moyenne de cinq années consécutives. C'est ainsi que j'ai pu prédire depuis longtemps le cycle sec qui va, théoriquement, jusqu'en 1935, en partant de 1918. Mais là encore, il est bon de cher cher à interpréter, ou pour tout dire, de comprendre la loi ; et c'est ce
uns de mes lecteurs. \ Une période sèche ne donne pas nécessairement une succession inin terrompue d'années sans pluie. S'il en était ainsi, où en seraient nos agriculteurs ? D'autre part, si 1s, loi s'étend à toute l'Europe occiden tale, il est bien évident que chaque région, au cours du cycle de 17 à 18 ans environ et à peu près, conserve ses caractéristiques, propres. Le cli
mat du façonnais, par exemple, ne saurait être comparé à celui des Iles Britanniques, et en Angleterre même, il existe des particularités qui; différencient l'Ecosse de
lande.
l'Ir
Cette période que nous fixons à 17 années est loin d'être absolument
-
mathématique. Le nombre 17 résulte d'une moyenne établie sur un très grand nombre d'années. H y a mieux, pour une contrée aussi étendue que la France, avec des climats atlantique et méditer ranéen, il existe souvent un décala ge très compréhenrble, et tandis que la sécheresse -semble prendre fin dans le Midi, elle peut encore a'accentuer dans le Norçl. Quoiqu'il en soit "?t à quelqûe cause. que nous rattachions ces effets, qui, certainement, sont liés en fin de compte l'activité solaire,-nous pouyons ' àliîè' d'une façon générale que :HOUs approchons-de la' fin d'un cycle sec. Les années qui" vont -suivre- sontdonc des périodes de, transition-. Par conséquent, Il n'est pas douteux que les dép¥6s8lbfiér atmosphériques de viendront de plus en plus nombreu ses, alternant avec des anticyclones \ dç beau temps. dépression été, Or, qui dit dit en aussi multiplication des orages. En fait, les périodes sèches, lorsqu'elles s'encadrent dans la fin du cycle,
sont marquées par une recrudescea-ce d'orages sur tout notre territoire. C'est d'ailleurs ce que tout le monde peut remarquer depuis le commencement de cette année 1930. Grêle, et pluies orageuses vont donc se multiplier pendant une sé rie d'années avec, peut-être, quel' ques intervalles de repos que per sonne d!ailleurs ne saurait exactemfent prévoir. Un bon averti en vaut deux, dit le proverbe- J'appelle donc l'atten tion de mes lecteurs sur les précau tions à prendre pendant les orages. La réflexion'n'est pas aussi inoppor tune qu'elle le paraît de prime abord. Malgré tous les avertissements et bien que l'instruction soit censée se répandre de plus en plus dans le grand public, nous voyons, chaque
année,'quantité de personnes tuées par la foudre pour avoir négligé les plus élémentaires précautions. Les
cultivateurs surpris par l'orage vont encore, par escouades pour ainsi dire se réfugier sous des arbres ou dans dès cachons de foin, emportant avec eux leurs outils aratoires générale ment métalliques. Ceux qui sont à la ferme conti nuent à vaquer à leurs occupations extérieures au lieu de se mettre l'abri dans les granges, les écuries et les habitations. Le nombre d'hommes tués par la foudre est toujours supérieur à celui des fçmme3 parce que les premiers sont davantage occupés au dehors, et c'est la preuve que la précaution indiquée de rentrer pendant i'orage est justifiée aussi bien par le rai sonnement que par l'expérience. Abbé Th. Moreux,
Directeur de l'Observatoire,de Bourges, '
EN DEUXIEME PAC1E
Notre conte à
:
:
Les deux menteurs
par Robert Dieudonné M. Poincaré à Strasbourg
assailli par un client En haut: , le monument aux .'morts de.Toulon, qu'a salué hicr le rrésident-j à droite: le théâtre où a eu lieu le déjeuner ; au-dessous:"le « Du vC& quesne » sur lequel s'est embarqué M. Doumerl'Arsenal de la Marine et, à droite, l'hôtel de ville sue ; en bas: la porte dè (sur"la, gauche de la photographie) avec-les cariatides de Puget plaudissements de la' foule très dense. (De notre envoyé spécial) A mi-chemin entre la gare - et la Toulon, 3 Mal. — Toulon s'est éveillé sous-préfecture s'élève aux sous un ciel d'azur, un vrai printemps morts. Après .un arrêt ledemonument quelques ins de fête provençale.; Une'légère brise fai tants, le cortège poursuit sa route, sait voltiger les pavillons et les dra L'arrêt à la sous-préfecture ne dure peaux.: Le soleil de tout son éclat et de que quelques minutes. Après avoir reçu tous ses feux, imprégnait de lumière les les représentants des constitués corps montagnes qui.font à la cité.un presti les autorités civiles et militaires du gieux décor. Quelques nuages blancs et département, le Président se rend à s'accrochent aux cimes, toutes proches. pied à la Chambre de Commerce. Une foule énorme se rend de bonne heure sur les parcours du cortège et se Visite à la Chambre de Commerce masse tout au long des larges trottoirs M. Doumergue est accueilli à son' de la vieille, ville. Partout des pavois ont arrivée Robert, président, qui lui été installés. Devant la gare, sur la place présentepar'M. ses collaborateurs de la Cham Albert 1", un escadron de spahis fivec bre de- Commerce et les représentants son étendard, rend les honneurs. La des groupements commerciaux et indus note éclatante de ses burnous rouges et triels du département. blancs, les' -chevaux aux -riches harna En quelques paroles éloquentes, M. chements, piaffant et trépignant,' ior- Robert souhaite'la bienvenue à M. Gas ment . un contraste ravissant avec la ton Doumergue remercie d'être haie des troupes sénégalaises, auxquelles venu dans la vieillequ'il cité et lui succèdent les lignes de fusiliers marins, exprime les sentiments maritime d'attachement dont' les -glorieux drapeaux ondulent des commerçants et industriels. légèrement au vent, face au salon prési Le Président dit combien-il est tou dentiel.' ché la réception qu'il a reçue à. Tou La igare.,a reçu, une brillante décora lon. de Il assure ses hôtes que toute la bien tion, des tentures rouges, des meubles veillance des pouvoirs publics est acquise de style, de la verdure et des fleurs. formations économiques si impor Les autorités arrivent par groupes :• aux tantes la vie du pays ; puis il con l'amiral Vindry, -MM. Cameau, préfet, clut pour remerciant le président de la en Escartefigue, 1 député-maire, les géné Chambre de Commerce et ses collabo raux Ruef, Carence, Caillet, Corap, MM. rateurs de l'accueil si cordial qu'ils lui Matlvat, sous-préfet, Fourment et Re- ont réservé, noult, sénateurs, les membres du Conseil - Avant de quitter l'hôtel de la Cham général, du Conseil municipal, les mai bre de Commerce M. Gaston Doumer res de la région. gue appose sa signature sur le livre d'or L'arrivée du Président des corporations industrielles et com merciales du département. A 10 heures très précises, le train pré il-regagne sa voiture pour se ren sidentiel entre en gare. Les tambours drePuis à l'Hôtel de Ville où une courte ré battent. Les clairons sonnent. lie canon ception doit avoir lieu en son honneur. tonne. La" foule qui- se presse sur les foule La de plus en plus compacte ponts-avoisinants de la gare pousse des qui derrière le service d'ordre se presse acclamations: ménage plus pas que tout à l'heure Le Président descend sur le quai où le ne acclamations au chef de l'Etat, qui deputé-maire, M. Escartefigue. lui sou ses visiblement ému est par la chaude spon haite la bienvenue et, après de-rapides tanéité de manifestations ces - de sym-, présentations, le cortège traverse le sa pathie. lon de réception. Lorsque M. Doumergue , . A 11 h. 15, le cortège présidentiel se paraît dans l'encadrement des lourdes dirige lentement les par rues étroites tentures rouges crépinées d'or, la foule du vieux Toulon, l'antique Hôtel de applaudit, les musiques jouent, l'éten Ville où il arrive vers à h. 30: 11. dard des spahis et les drapeaux des fusi A l'Hôtel de Ville liers, marins et des régiments coloniaux s'inclinent. Le spectacle est magnifique Après lui avoir, présenté les membres et la foule acclame longuement le Pré du Conseil municipal, M. Escartefigue, sident. Les vivats retentirent, d'ailleurs, député-maire, souhaite la bienvenue au tout le long du parçours. témoignage du Président de la République, dans la magnifique enthousiasme qui s'empare niaison commune de Toulon. Il lui a de la population. exprimé la joie et la fierté qu'ont ses Le Président de la République passe administrés, de recevoir- dans leur ville, rapidement en revue la compagnie le premier magistrat de la République, d'honneur formée par les fusiliers ma et lui donne l'assurance qu'ils lui sont rins des ; bâtiments en rade avec leur d'autant plus attachés, qu'il est parmi drapeau. Il prend place dans une voi les enfants, et l'un des plus Illustres, de ture découvente avec ' M. Escartefigue et ce Midi resplendissant. ,, le cortège part aussitôt pour la sous- ' M. Gaston Doumergue dit Combien préîecture, tandis que retentissent les il est ému de se trouver dans la acclamations enthousiastes et les ap- vieille ville : de Toulon, belle par ellemême, par son histoire, par ses ambi tions qui, assure-t-il. se réaliseront cer tainement, car les Toulonnais sauront en être les: premiers et les 'bons ou
Toulon, 3 Mai. — Une grenade, ou placard depuis la bliée au-dessus d'un tombée, aujourd'hui, sur le guerre, -sst parquet au domicile . de M. Rainera Constant, entrepreneur de maçonnerie à Toulon, chemin Croix-Vidal, et a fait explosion. L'ouvrier Maurice Chifflot, 25 ans, a été tué sur le ' coup. Un autre ouvrier, Alexandre Blanc, a été gravement bles' sé ; son état est désespéré. Mme Chif flot a été blessée aux jambes.
DESOBEISSANCE CIVILE Ma paroi# 1... On te croirait dant l'Inde., Il a attaqué le tel ?... —
—
iVon...
le mer» /...
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U n chauffeur de taxi
Une grenade qui explose fait trois victimes
^
Le tailleur Almazoff vient-d'adresser au président du tribunal civil une requê te dans laquelle il assigne en 1 million de dommages et intérêts M. Amy,' sousdirecteur du serviefe de l'identite judi ciaire et, solidairement, le prefet de po lice et le préfet de la Seine, civilement responsables; Almazoff prétend que J'expertise taite par M. Amy, reconnue inexacte par les contre-experts, était la cause de sa lon gue détention et des soupçons qui ont pesé pendant longtemps sur lui. Il dé claré que les prélèvements effectues ont été. faits dans des conditions Illégales, que le rapport d'expertise n'a été remis qu'avec un long retard, enfin que M. Amy s était trompé lourdement et que les er reurs et les fautes commises justifient une demande en dommages-intérêts. . Enfin, il expose que le préfet de po lice et la Ville de Paris sont responsa bles du choix de leurs agents et doi vent, par conséquent, être'déclarés soli daires de M. Amy. La 1" chambre du tribunal civil aura, vraisemblablement à connaître de la
A JOINVILLE-LE-PONT
vriers. (.Suite en 3' page.)
-
de
requête'd'Almazoff. L'avocat d'Almazoff demande que soit recherché l'assassin de Rigaudin D'autrd part,. M* J.-O. Legrand, -l'a vocat d'Almazoff, vient d'adresser "au procureur général, lettre deman dant que l'instructionune ouverte à la suite de l'assassinat de Rigaudin se-poursuive activement afin- qu«&soit découvert l'as sassin de .ee dernier. « Almazoff, est-il dit dans cette re quête, devrait pouvoir intervenir com me partie civile pour aider à cette re cherche. Il ne paraît pas pouvoir le faire, mais la'chambre des mises en ac cusation, saisie de l'affaire, est mainte nant maîtresse de l'information, soit qu'elle y procède par l'un de MM. les conseillers, soit qu'elle renvoie le dossier à l'un de MM. les juges d'instruction ». Et il : termine ainsi : « Aussi Alma zoff vous demande, M; le procureur gé néral, de vouloir prendre les réquisi tions nécessaires que le ; meur-. trier de Rigaudin nepour reste pas plus long temps ignoré ».
que ne font pas toujours quelques-
Nous publions aujourd'hui en 4» page le premier des articles de M. Charles Rouchon-Mazerat qui, sous la rubrique intitulée PROPOS AGRICOLES, traite ra une série «de sujets intéressant l'agri culture et les cultivateurs.
Les avions prêtent secours
L'autre nuit, à la Poire du Trône, trois conduirent à Joinville-le-Pont. Dans cette localité, vers 2 h. 45, quai de Polangis, ils firent stopper^ la voiture, re gardèrent le compteur et, au moment de payer, l'un d'eux sortit de sa, poche uni marteau et en asséna un .coup sur la tête, du chauffeur. Celui-ci jeta-un'-cri. Un. voisin, M. Shagiou ouvrit sa fenêtre et vit trois hommes qui s'enfuyaient; Il descendit; le chauffeur était évanoui sur son siège. Requis, les agents l'ont trans porté à l'hôpital Saint-Antoine Informé, M. Tôuraine, commissaire de individus hélaient un taxi et se faisaient
Chicago, 3 Mai. — Le cyclone qui vient de sévir dans les Etats du moyen Ouest des Etats-Unis a été d'une violence extraordinaire.
Les communications sont encore interrompues avee certaines régions.
Un village entier/ celui de Peuder.
dans le Nebraska, a été complète ment détruit : le chiffre des morts y sera très élevé. Quand la nouvelle d'un cyclone imminent se répandit à Tekamah, les rues s'emplirent d'u ne foule terrorisée. La tempête s'a-r battit brutalement ; des bâtiments Le groupe des sauveteurs, hier, au « Petit Journal '» \ entiers furent transportés à des cen En médaillon : M. Gros et M. Deîannoy, l'un et l'autre, décorés taines de'mètres de la ville; Un en " de la Légion d'honneur de quelques mois fut tué dans . Assis au milieu, la jeune Madeleine Descoubes (de Lorient) et. le jeune: Merlaud fant les'bras de sa mère.' .(Photos P. J.) (de Luçon), un écolier de dix ans < j . L'aviation . rend de grands servi En une cérémonie solennelle que pré ces en aidant aux secours et au ra sidera cet après-midi dans le grand am vitaillement. Les dégâts sont éva t. . phithéâtre de la Sorbonne,. l'amiral Tou- Avant la fête du Mugùet lués — mais ce n'est là.qu'une pr»'chard, ambassadeur de France, les héros évaluation — à 2.500.000 dol de la mer qui, durant l'année écoulée, la Reine des Reines de Paris mière lars. On compte jusqu'à présent plus opérèrent au péril de leur vie de nom breux sauvetages, recevront la juste ré compense de leur dévouement. Deux d'entre eux sont, depuis l'une des plus récentes promotions du minis tère de la Marine, chevaliers de la Lé gion d'honneur. Ce sont les patrons Ju lien. Gros, dont les 42 années de servi ces s'enorgueillissentde 72 sauvetages, et Maurice Deîannoy, qui participa au sauvetage de 59 personnes. A leurs côtes devrait aujourd'hui se trouver se pat. on Charles Evrard, patron du canot de sau vetage de Boulogne-sur-Mer,décédé peu après sa nomination au grade de cheva lier de la Légion d'honneur, qui récom pensait une magnifique carrière de ma rin et de sauveteur. Parmi les autres principaux lauréats, de la Société Centrale de sauvetage des Naufragés, " citons encore : les patrons et canotiers de Guilvinec, de Kerity Penmarch, de Saint-Pierre Penmarch et de Salnt-Guénolé, restés eux-mêmes pendant trois jours privés de. tout se cours ; les patrons Corobleur, Mescoff et Albano, respectivement titulaires de 18, de 5 et de.4 sauvetages ; les com mandants, officiers et marins des ba
teaux Jacques-Freycinet et ImerethieII ; le pilote Gervain, de Saint-PierreMiquelon
;
le patron Lechevalller, qui,
rend visite au «Petit Journal»
de 20 morts.
Mlle Risterucci, reine des reines de Paris, accompagnée . de Mlle Gulbourd, reine du IX' arrondissement, et d'une délégation des forts des Halles, a été re çue hier par 1e Petit Journal, auquel
Le Chef de gare de'Brest est arrêté à Paris , vols de marchandises pour
,/•*'
,
't* Il pillait les colis - au profit de son am'e, employée parisienne
Brest, 3 Mai. A la suite de vois commis .dans des —circonstances partîculièrement mystérieuses, en gare de Brest, une surveillance avait été orga nisée.. Les soupçons se portèrent sur le chef de gare, M. Victor Gaultier, 58 an:, ancien chef de gare à Batignolles-
.
Marchandises. Dans la soirée d'avant-hier, M. Gaul tier avait quitté Brest à destination <"e Paris. Il fut accosté à sa descente-du train à la gare Montparnasse, par deux Inspecteurs de la brigade mobile de Rennes, qui l'avaient suivi, et con duit au commissariat spécial de la gare Montparnasse. Dans sa valise, on trouva notamment des coupons d'étoffe. M. Gaultier ne fit aucune difficulté pour avouer que ces objets provenaient de vols commis dans les colis et qu'il les destinait à. son amie, employée à Paris. Une perquisition iite au domicile de cette dernière a fait dé couvrir de. nombreux objets volés. : chaussures, tissus, etc. (Photo Petit Journal.) Gaultier M. . a été arrêté en vertu A gauche : «Mlle Risterucci, reine ides d'un mandat d'amener d'ins relnes de Paris ; à' droite- : "Mlle Gui- truction de Brest et misduà juge la disposi bourd, reine du, IX' .arrondissement : tion de ce magistrat, devant lequel il entourées -par des forts des Halles. - ; sera conduit demain. (Dép. P. J.) elle venait remettre, au nom des, orphe lins..d$s forts,, des. Halles, un.e„o'ort>eille LE PAIN A 1 fr, 95 LE KILQ de ttiuguêt. Des souhaits de bienvenue A PARIS furent àdrëÈsës aux éhàrmàhïe's reines. Ajoutons qu'aujourd'hui aura lieu aux Halles centrales la .12' ,fèté du muguet, En-corrélation avec le cours des taau profit des orphelins des forts. - L'après- rines, le prix du pain sera ramené de midi : Kermesseset théâtre Guignol; le 2 francs à 1 tr. 05 le kilo a partir du soir : : grand : bal. et' illuminations. " mercredi 1 mai.
par leurs courageuses initiatives et leur abnégation, sauvèrent leurs camarades d'un naufrage certain.. Enfin l,e "maître-mécanicien Cohlc et le quartier-maître Le Gunehec, - repré senteront glorieusement la marine de guerre à cette manifestation où sera en core récompensé le courage'de trois en fants,: le lycéen^Jean Giboin, âgé de Î8 ans, la petite Madeleine Descoubes, 15 ans, et. le benjamin du sauvetage, Jean Merlaud, âgé de 10 ans, dont ,l'exemple mérite d'être connu de tous les enfants de France. Leur réception an « Petit Journal » Les héroïques Sauveteurs maritimes, ce.ux qui, sur- toutes les côtes de France^ n'hésitent pas à risquer leur vie. ppur sauver des existences humaines, sont ve-" nus hier au Petit Journal où l'accueil le plus chaleureux, mérité par leur coura ge, leur était réservé. Conduits par le commandant Chollet, Inspecteur de la Société Centrale de UN MOIS AVEC LA LÉGION ÉTRANGÈRE Sauvetage des Naufragés, 27 sauveteurs, dont certains accompagnés- de leurs femmes aux , coiffes. si- pittoresques étaient réunis dans notre hall et se groupaient devant les photographes. Il y avait, sur de solides poitrines,' les plus belles brochettes ' de. décorations que Ton. puisse voir. Tel vaillant marin n'en avait-il pas 47?...1 Les marines de guerre, de commerce, de> sauvetage étaient représentées par de modestes LA BATAILLE DË C.AMEliOM! AU MEXIQUE E,\ héros qui reçurent les félicitations du Petit Journal, que. le commandant Chol let remercia de son accueil. Et l'on sa bla le Champagne traditionnel: Un épisode de de
Pourquoi sa fêletombele 3 0 avril
1.250.000 francs alloués
M. Poitiers, le chauffeur attaqué
Saint-Maur-des-Fossés, se rendit, hier matin, auprès de la victime, M. Pernand Poitiers, 111, avenue dte la République, à Vincennes. Il a déélaré qu'il pilotait le taxi lui appartenant et fit du drame le récit que nous venons de relater. Il ajouta que l'agresseur l'avait dévalisé de son portefeuille renfermant la recette de la journée et de ses papiers d'identité. Il a donné des trois singu liers clients un signalement assez vague. Le service de l'identité judiciaire a relevé sur le taxi des empreintes qui pourront permettre de retrouver les agresseurs, lesquels sont activement re cherchés par la brigade spéciale. police de
LE NOUVEAU CHEF
la Bibliothèque Nationale par la Rockefeller Foundation
typique sacrifice courage et 60 hommes contre 3.000: Survivants, 3!_
M. S. M. Gunn, vice-président de la Rockefeller Foundation, vient d'aviser l'administrateur général que les trustées de cette institution avaient décidé d'al louer une somme de 50.000. dollars a la Bibliothèque Nationale pour compenser les dommages causés par la guerre à l'accroissement et à l'entretien de ses
collections.
-
j par 'Piette Mac Orjàh XXI La bataille de Camerone au Mexi , que fut livrée le 30 avril 1863. Cette
date a été.choisie par les régiments étrangers d'infanterie pour célébrer leur fête annuelle-selon la coutume de tous les régiments.
'
Aux Vérités de La Palîsse J'ai connu un petit garçon dont le
plus vif plaisir était de mettre ses doigts dans le nez: de son frère. Comme son
frère protestait, l'agresseur répondait « L'air est à tout le monde ! » Je pro pose d'envoyer ce petit garçon, aujour d'hui d'âge mur, à Genève où les mem bres du Comité d'arbitrage essayent de trouver une définition de T « acte hos tile A quel moment-l'acte devient-il ho* tile . ? Un acte,: même*: hostile, entraîne t-il la cessation de la. paix ? La cessa, tion de l'état -de -paix doit-elle s'appe ler la guerre ? Tels sont les sujets qui mettent? aux prises ;.les délégués des grandes puissances; Quand leurs débats seront terminés nous aurons un « Dic tionnaire de la langue diplomatique ». Mais ' nous n'aurons -aucune garantie nouvelle contre le risque ide guerre. « J'étais partisan du protocole et de l'assistance mutuelle, a déclaré, lord Cecil. Mais mon pays m'a désavoué. Al lons-nous continuer à nous frapper la, tête contre - an ( mur ? Parce que nous ne pouvons pas avoir le plus, ne feronsnous rien pour avoir quelque chose ? » Pareil langage n'est pas resté sans écho. Le Comité d'arbitrage va faire L'amiral William V. Pratt quelque chose pour n'avoir rien. qui succède à l'amiral CharlesF. Hughes Car il n'y a rien, rien de solide, .rien comme commandant en chef des forces de valable en dehors de la volonté net navales américaines tement affirmée par les puissances que tout acte d'agression, que toute atteinte JIIIIIIIIIIUMimUHICIIUIMIMMIMIimilUMIIIlIMMItiaaUllMIII aux traités, seront immédiatement et sé ' EN DEUXIEME PAGE vèrement réprimés,et punis par elles. L'Europe a besoin d'une haute magis Ma robe couleur du Temps trature pour juger les délinquants de la paix, et d'une bonne gendarmerie pour assurer l'exécution des jugements. Tou tes les controverses ,grammaticales et . byzantines de Genève në répondent pas à ce besoin. Elles ne contenteront que les casuistes et ne réjouiront que les humoristes. ; Monsieur de La Palisse. î»We e*P
•
DE LA MARINE AMERICAINE
Un légionnaire de 1863 ; - : (Croquis' de Mac Orlan.)
Cet exploit est en effet parmi'., les plus typiques. Il illustre merveilleu sement tout ce que l'on peut dire ou écrire sur l'esprit de sacrifice de la Légion, étrangère. Il ne s'agit pas d'une bataille où chacun joue sa chance et se mêle selon ses réactions à un cataclysme à peu près organisé. Ce n'est pas une'grande bataille his torique que celle de Camerone, mais c'est un exemple de ce qu'on peut obtenir des légionnaires quand ils sont au feu. Une soixantaine de sol-'dats, officiers et sous-officiers de la Légion étrangère tinrent, en échec pendant plus de dix heures une trotipe de deux mille ennemis. Ils en tuèrent trois cents. Quand cette faible compagnie du l*r régiment-, étranger se rendit au colonel Milan qui commandait les troupes mexicai nes, elle était réduite à un caporal et deux légionnaires. L'officier qui le& commandait, le capitaine Dan jou, avait été tué au début de cette lutte invraisemblable. ' L'affaire de Cameione se passa & peu près ainsi. J'abrégé le récit si émouvant que le capitaine Maine, un des trois survivants, nous en a laissé. • '
wv
Le régiment étranger est échelon né sur la ligne d'étapes entre la Vera '
Cruz et Puebla. C'est une tâche ha rassante et meurtrière, telle que la guérilla l'impose. Dans la nuit du 29 au 30 avril, la 3* La main articulée du capitaine Danjou compagnie du 1" bataillon, comman amputé en Crimée^ tùé'à Camerone dée par le capitaine Danjou, reçoit
i'ordre d'éclairer et d'assurer la sé sur la route que doit suivre un LE PRINCE DE GALLES curitéconvoi de munitions qui se di gros va=t«il s'habiller à Rome ? rige sur Puebla. Au matin, les légion naires font le café au point d'eau Rome« 3 Mai. r-/Le; Labor» fasciste, de Palo Verde. Le soleil commence publie une déclaration du tailleur ro déjà son offensive. Soudain, un ap main Cucci, affirmant que-le prince de pel avix armes, fait bondir aux fais Galles lui a commandé ainsi qu'à d'au ceaux les soldats avant même que le tres tailleurs de Rome, 12- complets. café soit bu. Des nuages de pous Cucci croit que le prince a voulu ainsi sière montent de la route. C'est la rendre un hommage à la-mode-italienne, absolument différente de ^a mode an cavalerie du colone' Milan.
glaise.
_
. La Légion la reçoit à la baïonnette,
-.
«aUMWB»
Le
IÂ
repousse plusieurs charges et gagne une hacienda à l'ouest du village de Camerorie. On s'organise. Au colonel Milan qui somme le ca pitaine Danjou de se rendra, celuici répond simplement: « Nous avons des cartouches ». La latte reprend,
CALVADOS
EURE
3*
compagnie.
L'EXPOSITION D'AVICULTURE
plus que cinq : le — Nous n'étions sons-lieutenant Maudet, un Prussien ,
D'EVREUX
"nommé Wonzel, Cattau, Constantin et
C'est du 32 au SB mal Evreux, 3 Mal moi... Les cartouches allaient s'épuisant. que se tiendra a Evreux l'exposition d'avi Bientôt il ne nous en resta qu'une à culture/ comprendra toutes les espô« cbacun. il était 6 heures,environ efc.nous . L'exposition de basse-cour, les animaux d'animaux ces combattions depuis le matin... •. les et oiseaux de cage et de vo a fourrure » Joue... Peu ! dit le lieutenant : nous lière. lâchâmes nos cinq coups de fusil et lui Les récompenses - seront décernées par
en téte, nous bondîmes en avant, baïon nette au canon... Une formidable dé charge nous accueillit... Cattau s'était ."leié eu avant de son officier... il tomba >:irappé de dix-neuf balles. En dépit de fut luicv> dévouement, le lieutenant . -mêiuq. frappé de deux balles. Nous étions /"çncore trois debout > Wenzel, Constantin et moi... C'en- était fait de nous quand un officier supérieur, qui'se trouvait au premier rang des assail lants. leur ordonna de s'arrêter et d'un brusque mouvement de son sabre releva les baïonnettes qui nous menaçaient : Hcndes-vous, nous dit-il. ; , » — Nous nous rendrons, répondis-je, si vous nous laissez nos armes et notrei ïourniment et si vous vous engagez à .'.soigner notre lieutenant que voilà blessé. » L'officier consentit à tout. Il m'offrit le bras, donna l'autre à Wenzel blessé... Nous arrivâmes dans un petit. pli de terrain où se trouvaient le colonel Mi-' lan et «son état-major : « C'estMà tout ce qu'il en reste ? » demanda-t-il en nous apercevant. Et sur réponse affirma tive : « Ce ne sont pas des hommes, ce sont des démons ! » On nous donna de l'eau et des crêpes de maïs sur lesquelles nous nous jetâmes avec avidité. »
une dizaine de juges de la Société Centra le, tous spécialistes dans les races août mises à leur appréciation. Amfrevllle-feur-lton
Oc incendie
— . dans un s'est déclaré ces Jours derniers bols situé a Amfreville-sur-Iton >et appar tenant a M. Auguste Botté, maire de la commune. Environ dix hectares de bols la proie des flammes. ont été Conctica : Au Cours d'une manœuvre de—nuit en gare, le conducteur de train, Louis Clément, 40 ans, 54, rue de Caen, à Llsleux, a glissé du marchepied sur. lequelil se trouvait et est tombé sur la vole ou il a été écrasé. La fete de — Crlquebenf-sur-Selne : mai. 11 La fan mal aura lieu le dimanche fare muniolpale de Crlquebeuf donnera vin concert l'après-midi. — Evreux : La prochaine session du !
conseil général ouvrira le 12 mal
&
10 U. 30.
réunion de l'an — La première née des courses hippiques d'Evreux a lieu aujourd'hui, ii l'hippodrome de Navare. : M. Lefebvrc. — La Haye-Malherbe cultivateur conduisant son Montaure, a automobile, a renversé M. Alphonse Briole. âgé de 55 ans, employé dans une entre prise de ciment armé et demeurant a La Haye-Malherbe. M. Briole a eu la jambe gauche fracturée et a dû être transporté ù l'hôpital d'Elbeuf où son état a èr.6 On peut méditer très longtemps Jugé très grave. in sur le fanatisme militaire et légion dustriel — La Guéronlile : M. Chaubeyre, remis & M. Al à Guéroulde, la a naire de ces soldats dont l'équiva bert Porquerel la médaille d'or du travail. lent né se rencontre pas fréqueir>i — Saint-S(';bastlen-de-Jlor»ent : One section d'anciens combattants affiliée à ment. Nous avons, pour la plupart d'en l'U.N.C. vient d'être constituée.
tre nous, fait la guerre et la guerre dans l'infanterie. Nous avons compté des -heures et des minutes dont U est difficile de faire comprendre exacte ment la puissance. Il nous est donc possible d'estimer à sa valeur exacte, qui est celle d'un farouche désespoir, l'attitude de ces légionnaires 1 qui combattirent et qui moururent pour
MANCHE
— Granvllle : Sous les auspices du V.C.G., le « Circuit du Calvaire ». épreuve
régionale pour les coureurs licenciés de l'U.V.F., se disputera le dimanche 25 mal, sur le triangle route d'Avracche-route de Vllledleu. ; Pontorson : M. Lucas, Jardinier, a — été tamponné devant la gare par une auto et a eu lo crâne fracturé. Le malheureux est dans le -coma.
un motif nettement sentimental : l'honneur de la Légion. Les quatre régiments étrangers ORNE d'infanterie hé pouvaientrguère choi sir dans .leur unique livre d'or une Aleliçon : Au marché d'Alençon, bais page plus représentative de leurs se — sur le blé, le sarrasin, le mais, la farine traditions afin de célébrer la mé de blé, le foin, la volaille et. le beurre. * lie conseil général de l'Orne a voté moire de ceux qui l'inspirèrent.' La les—fonds à l'acquisition d'une bataille de Camerone n'appartiënt propriété nécessaires située dans le département et qu'à , la Légion. Elle donne à la ré susceptible de remplir les conditions pour préventorium. sistance humaine et à l'idée de sa devenir un Bourrler, M. 38 ans, cantonnier de la — domicilié à Pacê. crifice qui. peut exalter le courage vole, travaillait en gars une étendue singulière. de Damlgnl. lorsqu'en voulant passer de Les mémoires du caporal. Maine vant -un wagonnet en marche il tomba s jepues ïul passèrent sur le corps. Il constituent un document psycholo les dut^etre transporté à l'hôpital d'Alençon. gique de premier ordre. Les grands — Argentan : Foires de la semaine. Or mystères qui secouent le monde et ne : 3. Sées, Àthls, Mortagne : S, Carrouges. Tlnchebray. Calvados ! 4. Oaen ; S, parfois le bouleversent ne sont pas Poni-l'Evêque, Ouilly-le-Basset { 6, Notred'essence divine. C'est encore l'hom Dame-de-Courson. Balleroy : 7, Lisleux : 8, Manche qui Livarot. porte en soi-la'plus grande : fi, Quettehou, Barenme Saint-James Torlgny, ton, : 6. Cuves, Vll part d'inconnu que l'on puisse trou ledleu ; 7. Llthaire, Pontorson, ver, sur cette terre où son activité La Haye-Pesnel •; 8. Saint-Clair, Marlgnjr, Tellfantastique se trouve provisoirement leul, Brlcquebec -, 10, Quetteville,LeAvran-
ches. Beau-mont. Sarthe : 5, Mamers : 7, Le GrandTLucô, Sillé-le-GuUlaume ; S. CûiîE Saint-Calais ; 10, Marolles-les-Brault. Mayenne LE CORPS DO : 5. Bourgnouvel, Bfelgéard : 6. DE LA VAULX Ballée,- Champgeneteux : 7, Juvlgné ; 8, 10. Andoulllé, Salnt-Denls-de-Gastlne ; ftozoy-Bellevale inhumé hier été Grez-en-Bouère. à a — M. Delange a été élu maire de la commune de Juvigny-sur-Orne. Chateau -Thierry, 3 Mai. — A l'église de, Rozoy-Bellevale ont eu lieu aujour d'hui à onze heures en présence d'une nombreuse assistance les obsèques du LA COMMEMORATION comte de La Vaulx. Etaient présents MM. Portant, inspec DU CINQUIEME CENTENAIRE teur général représentant le ministre de DE JEANNE D'ARC A EU l'Air, Santos-Dumont,, Dubois, La Cour, Eu. 3 Mat. — Des dispositions ont été bnr»n de la Doucette, colonel Renard prises afin d'arrêter les cérémonies en pré l'abbé Lecolcq, archiprêtre de Château- vision des fêtes commémoratlves du cin Thierry, Loreau, etc. La fanfare et les quième centenaire de Jeanne d'Arc. anciens combattants de Viels-Maisons, : Les courses d'Aumale au assistaient à la cérémonie. L'<évêque 'de — Auinale l'hippodrome Bols-Robin, lieu ront sur Soissoa's s'était fait représenter. Des dis le lundi de Pentecôte SJuln.duPrix Con cours, on 1. été prononcés par M. Renard seil Général {2J.00 îr.) : Coursedû d'Ama et M. Jamain, maire .de Roeoy. (800 Ir.) ; Pris dete Eleveurg.de Che Les membres de la famille ont ensuite teurs demi-sang (5.000 îr. ; Prix du de vaux da la Vic reçu au cha.eau de La Vaulx les per Gouvernement <«.000 fr.) ; Prix(1.1Ô0 Steeple-Ciiase toire, militaire étaient sonnes qui venues assister aux Prix de 4a Ville (10.060 fr.) et Prixfr.)de; obsèques. Saint-Cyr, Steeple-Chase militaire. Bosc-lc-Hard s Au marché aux bes • — UdbondtLiice des mutièTes nous Jotcc tiaux : vaches' berbagéree, de 1.200 à 2.200 ; bétons, <io 800 h LfiOO ; vaches à ajourner notre feuilleton amoulllantes, de .2.500 <i 3.200 ; porcs cou CŒUR DE MIDINETTE reurs, de '280 h 460 ; porcs gras, de O à de Jean Clairval 9.40 le kilo ; porcs maî tres, de 60 a 260 ;
limitée.
(4 suivre.)
SEINE
Feuilleton
Ou
Petit Journal à Mal ,
1930
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COULEUR DU TEMPS?|
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LES CONTES DV ?. .h mètres, vôûs auriez pu nravertîr. Vo'us M. Poincaré a présidé Les béiiéliciiîires de h loi auriez suivi une'li^ne de tramway Et de la haine : hier à Strasbourg sur ies Assurances sociales LES DEUX MENTEURS — :Si dans dix minutes, je ne suts'pas è une gnre de chetnin de fer pour' pren l 'Àssemblée générale dre le dernier train, méfiez-vous ! je XSuite) Puisque dîner des tu suis capable de tout. an — vas au des Àmis de l'Université Les avantages-de la loi ciens, élèves de ton lycée, j'en profiterai Comme s'il y avait des traîne, a mi
INFERIEURE
porcs de lait, de 200 & 280 î veaux gras, tle 13.50 a 16 ; veaux maigres, de SO & 2âU. — Dieppe s La flottille de pêche vient ae s'accroître de deux nouveaux chalu tiers : le « Marguerite-René », jauge 185 tonneaux, 33 m. 35 de long et 6 30 de large et le « Nord-Caper v, Jauge m. 416 ton neaux, 4B m. 3b de long et 8 m. de large. On a retiré, du bassin Bérigny, le -t*corps d'un nommé Louis ùevasseur, 34 eus, cimentier, a Dieppe, qui était disparu "de son domicile depuis plusieurs jours. .— NeurchRtel-en-Bray ; Le Comité agricole de l'arrondissement tiendra ses assises le 1er Juin prochain, dans cette ville. Plus de 6.000 francs de prix et des médailles seront distribuées & l'occasion ae ce concours. Royville : On signale la disparition de—M. Edouard Michel, parti à Rouen avec son frere. Heures des marées de demain A Granvllle, pleine mer'A midi 30. A Cherbourg, pleine met » 1 h. 2 du matin et 1 h. 35 du sdt. Au Havre, pleine mer à 2 h. 29 du ma tin et à S h. 9 du soir.A Trouvllie, pleine mer 2 h, 31 du matin et & 3 h. li du soir. A Dieppe, pleine mer a 3 h. 59 du ma tin et à 4 h. 31 au soir.
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NOS ECHOS
La dangereuse souffrance. — On vient de. abattoirs l'essai
faire ùux de r.iedins et de pistolets automatiques datts le but d'abattre, les vnimatix de bouche rie sans ies faire souffrir. Ces expérien ces aboutiront-elles au résultat qu'en escomptent tes amis des animaux ? Depuis plus de vingt ans, des appareils de ce genre sont en usage dans tous les abattoirs d'Angleterre et d'Allemagne. On ne se sertv dans tes abattoirs anglais que du •« humain killer », da « tueur humain », qui ne rate jamais son coup et qui abat la ' bête sans qu'elle ait te temps de souffrir.. Chez nous, on en est encore aux essais, et ton continue à em ployer, pour tuer les animaux de bou cherie, les procédés primitifs dont: la cruauté indignait déjà Sébastien Mercier, le pamphlétaire, à la fin du- XVMI' siè
En échange des redevances auxquel les sont astreints les assurés .obliga Strasbourg, 3 Mai. — Ce matin, à 11 toires, ceux-ci bénéficiant d'avantages • heures, V, Poîncarê a présidé rassem nature et én espèces destinés à "cou blée générale de la Société des Amis'de vrir les risques d'une maladie de mater l'Université de Strasbourg,. dont il est nité, d'invalidité, de vieillesse et de dé le président. Il a prononcé, à cette oc cès. L'assurance-maladie casion, un discours. Le discours de, M. Poincaré 1* Les assurés malades reçoivent .' •- * s • y • des indemnité , soins nature 2' . Une . ; en M. Poincaré exprime d'abord sa joie Journalière. de se retrouver dans la charmante mai 1* Soins ; son -de la rue Oeiler que tons les .amds Les soins en nature sont assurés pen de l'Université de Strasbourg ont le" i roit de regarder comme, kur foyer familial dant six mois pour le salarié, sa femme Le président a déclaré que la Société et les enfants à sa charge. Us compor 1 des Amis de l'Université de Strasbourg tent : médicales dépenses A. Les propreles à plus continue rendre précieux ser — vices & notre grande Université alsa ni&nt dites : L'assuré est remboursé du cienne et qu'elle la seconde de plus en prix de chaque visite, consultation ou plus efficacement dans sa haute mission soin donné par le médecin, selon un littérairement scientifique. M. Poincaré tarif établi, en principe, par chaque a ensuite rettacé l'œuvre d'André Hal- Caisse d'Assurance; Toutefois, l'assuré doit prendre à sa lays, • l'ôminent écrivain qui était viceprésident-des Amis de l'Université de charge 15 % de la somme dûe, si son salaire est inférieur à 20 francs et Strasbourg. 20 %, si son salaire est plus élevé. M. Poincaré a rappelé qu'André Haîlays a été, avec le recteur Pfister. un B. — Les médicaments et les appa des principaux fondateurs de là Société reils : des Amis de l'Université de Strasbourg, En outre des soins médicaux, les assu Il n'avait pas attendu, dit-il, l'explo rés reçoiveht le prix des médicaments i -— sion des hostilités pour s'efforcer de res et des appareils de prothèse qu'ils doi serrer les liens qui attachaient l'Alsace a vent se procurer, ce prix étant fixé dans la France. tes limites d'un tarif national. _ il aï- Là encore l'assuré doit prendre à sa Pour reprendre un mot dont charge 15 % de.; sommes dues. Mais s'il
cle.
j André Hailays Il y a trop de gens encore, dans ce a se servir il se plaisait à flâner de pays; qui rougiraient de se montrer pi malt côté des Vosges comme dans Paris. toyables aux. bêtes. Et c'est pourquoi l'o ceI/ahclen président du Conseil, très ap pinion publique ne s'êineul guère quand plaudi, termine par ces mots : " on lui parle d'éviter aux animaux d'ali précieusement le —- Nous garderons ment des souffrances inutiles. Puisque souvenir d'André Hallays, çe bon serviteur et jamais nous no ces bêtes doivent être tuées, qu'importe de l'Alsace française vue' exemple qu'il grand le de perdrons la façon dont on les tue ! laissé. nous a Eh bien, il importe beaucoup. Dans Le discours de M. Poincaré fut lon l'intérêt des consommateurs, il ne faut guement applaudi. pas que la bête souffre avant de mourir. Le docteur Dollinger, secrétaire géné La chair blessée secrète des toxines vio ral, et M. Debrix, trésorier, ont ensuite lentes. Et ces poisons restent dans la présenté leurs rapports qui ont été ap viande qui arrive sur nos tables. prouvés. En remplacement d'André Halîays, le comte de Eitt-Guizot n été élu Dans la-plupart des abattoirs étran >de la Société des amis de gers et surtout dans ceux des pays 'du vice-président Nord, on ne surmène pas l'animal qui l'Université. A midi M.' PoincaTé a levé la séance, doit être sacrifié; on. ne le frappe pas; on Avant de quitter Strasbourg ne cessé pas de le nourrir et de l'abreu Le président, à l'issue de l'assemblée ver. On laisse même reposer ies bStes a été très entouré et a reçu les quelque temps avant de les abattre. La générale félicitations de nombreuses per vives qualité de la viande y gagne. Chez nous, ton'ne se préoccupe guère sonnalités. Poincaré et Mme Poincaré passent d'éviter la souffrance aux animaux. On la M. journée à titre privé à Strasbourg et expédie à Paris des bêtes qui devraient rentrent demain dimanche à Sampigny. être abattues sur place, car leur état M. Poincaré a confirmé' au correspon . de misèK physique leur permet à peine dant du Petit Journal qu'il ne pronon de supporter les fatigues du voyage, j'ai cera aucun discours à Bar-le-Duc. Par contre le Président nous a autorisés a vu, lors d'une visite que je fis naguère annoncer qu'avec les vacances parle à ta Villette, dans des parcs trop étroits, mentaires son comme sénateur de malheureuses vaches étiques de Bre prendra fin et congé qu'il assistera à la ren tagne qui n'avaient positivement que la trée de juin. Ajoutons que M. et Mme peau sur les os; j'en ai m dont la cori Poincaré, en traversant & pied-' ies tues ne arrachée laissait pisser le sang; d'au de. .Strasbourg, ont été reconnus par de tres dont le corps était couvert de plaies.. nombreux passants; qui ont salué respec On ne devrait pas amener tout cela à tueusement l'ancien président du Con seil.., 1 Paris. Il ne devrait entrer à fabattoir ' ' ' ". " '.V'"" que des bêtes parfaitement'saines et ca .' 1 •' président du Conseil pables dè demeurer en santé jusqu'à Une nbte du
l'heure de Tabatag^ Il fùut éviter la souffrance aux bêtes destinées à l'alimentation. Si on ne te fait pas par souci d'humanité, qu'on le fasse, du moins, dans^l'intérêt de la santé publique. —Jean Lecoq.
sur la nomination du nouveau préfet de Strasb ourg
s'agit d'un salarié notoirement indigent, toutes les dépenses sont sunportées par tie par la Caisse, parti j.cv la Com* mune où U réside. C. — Frais d'hoi^Ualisation ; Si l'assuré malrtie doit être soigné dans un hôpital, hospicç ou asile, les frais spéciaux d'hospitalisation sont supportés par les Caisses d'Assurances. Ces frais, toutefois, ne seront acquittés que dans la limite des tarifs les pînrj' bas perçus dans les établissements 'de l'Assistance Publique pour les malades payants. 2° Indemnités : En dehors des soins et-des médica ments, des prestations en argent sont accordées aux assurés malades, sous forme d'indemnité journalière. Cette indemnité varie selon la caté gorie à laquelle appartient l'assuré en fonction du montant de son salaire, Elle est au minimum de trois francs par jour pour le salarié qui gagnel moins de 8 francs par jour. Elle atteint 6 francs pour un salarié de 8 à 15 francs, 9 francs pour un sa-, larié de 15 à 20 francs, 12 francs pous un salarié de 20 à 32 francs. Enfin, le. maximum est de 18 francs par Jour pour les salaires supérieurs à 32 francs par Jour.
L'indemnité commence â courir à da ter du sixième jour de la maladie et même A partir - du quatrième Jour, si l'assuré a trois enfants à charge. Elle peut être servie dans un délai de six mois, après quoi, l'assuré, ?il y a lieu, passe à l'assurance invalidité. tA sutvret
LEGION D'HONNEUR i
Est élevé & la dignité de grand'crolx. — Si Bouazlz ben M'Hamed ben Oana,cheikh el Arab, Bachagha des Zlbans «t Arab Cheraga (annexe fle Blsltra). Sont élevés à la dignité' de grand offi cier. — SI Abdelaziz fcen SI SmaH ben MosEarli AU Baehaglia de l'Oued Souf (annexe d'En Oue*3): Si Dehllte ben DJelloul ben SI HadJ Lakhdar, Agha des Lafbaa (annexe de iaghouat); SI Ahmed ben Mohamed, Agha des Ksour (annexe de GéryWUe). :i . Commandeur. — Ahmed bon. Abdelka» der, Caïd -des Oaïda des Oulad AbdeUcadër: Si Mohammed oulil Si Zerroufel ben Mo hamed, Caïd des OUlad Eoubelceur (an-' n exe d'Ain Sefra) ; Tahla ben Si Saïd,; Caïd des Oulad Sidi Yovmés çt Ztalna (an-' n exe de DJelfa) ï - AJthamouk ag Yemma Amenokal des Hoggars (annexe du Hogg&r). Officier. :. Ahmed ould Cheikh Khéllfa ; SI Mohamed el Keblr ben Si El Bachir Tidjani. chevalier.' — Ahmed ben Ahmed ben Chaaohou, Djelloul ould Ali, Ahmed ben JDiab ben Lakhtiar, Harzalla ben ; Badj Kaddour ben Mouissa. DjellotH ben Salah, Boumezrag ben Oohman, Boutoleb Dabou ben Boutaleb, fil Mamsour ben Bouhaker ben N&Jl, Moulay Mohamed Takkl ould Sldl Mohamed Larbl, Baodl ould Moiia ou Hammou. Médaille mliltalt*. Ahmedben ChelSti, ichlr ben Améur, — Mohamed ben Djel loul, Mohamed ould Mostefa, Cheikh ben Boufimaa, Keblr ben Kballfa, Messaoud El Anlil ben Abdallah ben Chaouat. Baba hen "El Hadj Maxteni ben El HadJ Aomar.
Le président du Conseil, ministre de l'Intérieur, communique la note sui De la terre à la luné. vante. : 11 paraît que le voyage de la terre à « Divers journaux alsaciens, à l'oc la lune n'est plus qu une question d'ar casion du mouvement préfectoral publié de gent.,... Le principe de la navigation samedi matin, posent la & question Strasbourg savoir si la nomination intersidéra] serait mis au point.. Pour, d'un préfet annonce une nou •aller faire un tour à bord de la blanche velle nouveau politique. Phébé/JI ne manque, â nos savants, que Il est inconvenable qu'une telle ques quelques capitaux. Sans doute un gé tion puisse être posée. La politique, en néreux multi-milliaisdaire se trouvera-t-il Alsaoe, comme ailleurs, est l'œuvre du DES AVERTISSEURS DE POLÏCE SÏIU LA VOIE FUB1JQUE à point pur commanditer ce beau voya gouvernement et non des préfets. Cette politique, qui, depuis la formation du ge. ï cabinet, en novembre 1929, s'est affir Des avertisseurs de police seront ins Peut-être les audacieux touristes rap mée avec clarté et, semble-t-il, à la sa tallés sur la vole publique, Â Paris, à porteront-ils de cette aventure quelques tisfaction de l'Alsace, sera demain ce partir du mois de juillet, et se poursui recettes utiles pour le bonheur humain] qu'elle était hier. vra A raison de deux arrondissements Mais en attendant cette nouvelle conquê Le gouvernement, soucieux de main par mois. ;. te, il est sage de ne compter que suV tenir les principes fondamentaux de ne saurait, d'autre soi et d'améliorer les conditions de son notre droit public,soit discuté son pou admettre LA VIE MILITAIRE que existence par une intelligente adminis part» vigueur, cadre voir, des lois dans le en tration de sa vie, aussi toutes les femmes de désigner, l'exécution de sa polipour doivent-elles lire La Mode qui leur en t-ique, les fonctionnaires qu'il estime les Les éf*det militaire» seront dorénavant seigne à tirer pajli de tout et à tenir plus propres à la mener a bien. gratuite» L'application de la loi du 16 avril 1929' Rappelons leur maison avec iine ingénieuse écono aux candidats aux «colas mi n'implique d'ailleurs, à l'égard des pré litaires cl-après mie. : termes'de l'artl. fets et sous-préfets qui sty trouvent sou -cle 152, de la loi.qu'aux de Finances, les £léves' l<es rhumatisants se soignent à Dax, mis, ni préjudice matériel ni préjudice français des écoles Polytechnique, Spéciale dans le calme et le confort. Femmes moral. Elle a pour objet, en sauvegar militaire (Salut-Cyr), du service de Bantô militaire, Navale, des l&génleure mécani et enfants y profitent des vertus salu dant au maximum les droits acquis, de ciens de la marine et de l'école princi l'administration de taires de ses eaux salées et de ses eanx rajeunir les cadres du pale service de la Santé de la marine,: préfectorale comme ont été rajeunis, U y; sont -entretenus mères. Bon Casino, ses jeux assurent le sé a quelques années, les cadres supérieurs établissements. gratuitement dans ces ' de l'armée. ' jour le plus attrayant. Cette mesure heureuse doit Inciter t>ien Jusqu'à ce que soit des étudiants à préparer les examens d'ad fies hôtels parfaitement aménagés, Cette loi recevra, possèdent chacun leur établissement atteint le ibut consacré par de massives mission pour ladites écoles. tbefmal ; au Splendid chaque salle ôe majorités a la Chambre et au Sénat, Ce que -coûte ia main-d'vencfe civile ; bains particulière possède les eaux ther son application normale. » ! La substitution de la main-d'œuvre ci males permettant le traitement chez soi. vile à la main-d'œuvre militaire contera Dax est, à. proximité de la Côte les de la bureaux l'année 1930-31 (du l" avril 1930 au S mal, Depuis le pour .— Basque e't de sa vie mondaine, une Compagnie 5 31 mars 1931), 87 millions pour l'easemaéropostale sont transférés , >ble ûùs services ûe l'armée. grande station thermale. / avenue Prledlanc!. »>
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Je n'ignorais pas qu'il suffisait qu'une hiver toutes les invitations ! Je n'avais opinion, un goût ou une antipathie fussent que faire, disiez-vous, à ces réunions mon exprimés par mol, pour qu'immédiatement daines, et vous avez su trouver des prétex * i • Mme Barduzac fût d'un avis contraire. Les tes, alors. Les yeux froids enfoncés dans la bouf Samponi. d'origine italienne, bavarda, in discrets et quelque peu excentriques, ne fissure blafarde du visage laissèrent voir ©/ \® lui plaisaient guère. Mais du moment où une irritation que je connaissais bien. La i; je semblais faire fi de leur matinée, ils lui voix ae fit plu? sèche, plus impérative. je n'aime pas ces réu devenaient aussitôt chers. , — L'hiver, oui, desquelles la pleurésie nions au sortir Je ripostai tranquillement : Vi qu'ils les marient t Je leur vous guette. Maintenant, c'est autre chose. Grand roman d'amour — Eh bien, Je vais répondre que nous acceptons. Gll bonne sincèrement chance. cette souhaite 11 Mais ils n'ont par DELLY pas besoin de notre présen berte.Je n'ai' : • • pas de robe convenable pour cela. — jpour ce ©.» •M*,*' Mme Barduzac pinça ses grosses lèvres la circonstance, madame. ombragées d'un duvet ioncé. -i- votre blanche de l'année dernière V CHAPITRE I Elle est trop fanée ; je ferais honte accueillez cette ainsi Est-ce que vous — — Un matin de juin, Mme Barduzac entra ? Nous les avons vus cinq Ou à vos amies Samponi, si élégantes., dans ma chambre, où je terminais une tles gracieuseté Mme Barduzac ne releva l'Ironie de six lois, et c'est vraiment fort aimable de pièces de mon trousseau. Elle s'assit sur leur part- d'avoir songé à nous. mon accent.. Elle réfléchit un instant, en unique fauteuil le et qui n'é pauvre, mon cas-là, on promenant ses doigts . charnus sur -son — Evidemment. Mais en cesplein. tait pas neuf, gémit sous le poids respec aime Enfin, peignoir violet, Puis elle conclut : toujours avoir son salon table de la lemme de mon tuteur. Il faut vous en faire faire une. les remercierons avec la même grâce nous — Il arrive chose nour ennuyeuse, dont ils usent â notre égard, et tout sera une cette dépensé. — — Je ne comptais pas sur Gllberte. Il y a des dépenses nécessaires. dit. ' ' ' — Je demandai sans m'émouvoir : Elle ajouta, en jetant un coup d:œll sur Mme Bardurac leva ses larges épaules. madame Quoi donc, ? la pièce de lingerie à laquelle Je travail cela peut se passer ~ Les Samponi donnent une matinée — Vous croye2 quedonner ainsi ? H faudrait — tin prétexte lais ; dans quinze jours et nous invitent. Vous mettrez un peu moins de bro plausible, et nous n'en avons pas. —. Samponi voilà, ? En Idée Les 1 bien, une il faut en chercher un, ma derie & votre trousseau, qui pourrait-aussi — — Eh être fait de tissu moins-fin. Ce sont des • Ma voix prenait, une intonation de dé dame. dain^ qu'accentua une moue Irgére. rien du tout, car je économies bonnes & réaliser quand on a — 3e ne chercherai idée Mais c'est Ils bonnp ! cher une — ne voîa pas pourquoi vous vous dispense une dot qui, après tout, est médiocre, au chent a marier leurs filles, ces pens ! temps où nous sommes. riez de vous rendre à cette matinée. Je ripostai sèchement ; Je la regardai avec surprise. Tous droits dp reproduction, traduction adaptnttor.s théâtrales et. cinématographiques,- érnlsc'est — Que voulez-vous,, j'aime mieux me — Comment, pourquoi ? Mais sioes par T. S. F. réservées pour tout pays. Copy» vous-même, madame, qui avez refusé cet priver d'autre Chose, faire mes robes t r:glit by Dclly 1930. —1—
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Cacn : Voici les prix pratiqués au — de Oaen i poulets, 27 it 30 fr. piete capitaine Danjou est tué et le marché ce ; canards, 22 à 25 tr. ; oies, 507 à 55 fr.la ; sous-!ieutenant Villain prend.le com dindes, à 80 fi\ i pigeons, fr. ; mandement. Au; loin on entend les pina, 20 65& 30 tr. ; -œufs, 6 ïr. 80 la -dou beurre zaine éclats assourdis d'une fanfare. Les détail, : 1B fr. en gros, 14 fr. le ' kilo' ; au légionnaires écoutent. Il est midi. Le Lë tribunal correctionnel a prononcé. — suivantes : Constant sergent Morzicki à plat ventre sur le les condamnationscultivateur à Çagny, Lerbourg, 46 ans, toit voit venir 1.200 hommes d'in mois d'atntsfKle û\ pour 100 prison de et fanterie mexicaine. A une deuxième homicide par imprudence ; Marthe Fouftte, S mois sommation, la Légion refuse -de Be geray. 28 ans, sans domicile la pu publics outrages prison de pour rendre. Il ne s'agit pas de vaincre. deur ; Louise Brard, 40 an», 1 moisà de pri Il s'agit de mourir pour la vieille son pour filouterie d'aliments ; Maxime . Légion, 46 ans, vannier au Tronquay, pour que tous-ceux qui, plus 4Lefrauçois, prison do pour vol. l'occasion tard, porteront la puissent moisDeuuviUe-sur-Mer , de ; A _ c*ire : « Il est impossible de faire la — fête de la Bonne Presse une matinée récréative sera donnée au Patronage des mieux. » à Deauville, rue Albert-Fracasse Le sous-lieutenant Villain est tué. garçons, 4 dimanche prochain 4 mal, 16 li. 45. le Un à un. officiers, sous-officiers et lendemain lundi, à 20 li. 80, soirée avec programme. légionnaires tombent dans cette fer- le même l'ont-l'livêque ! La fête patronale — ~me infernale. Le, soleil brûle la peau. Saint-Georges célébrée ù Pennedeple, sera L'eau manque et les vivres. Les le il mai. , gé„ : XTne reunion Mexicains tentent d'enfumer les dé nérale — TrouvHle-snr-Mer mai prochain 4 lieu dimanche fenseurs de l'hacienda. A 5 heures, à 14 h. aura 30 précises, ralle de l'hôtel de ville, le colonel Milan gnvole une troisiè de Trouville, «u cours de laquelle une sera fBite par un délégué de me sommation. Les légionnaires ne conférence mutualiste sut les avantages France la répondent pas. Une tragique exalta considérables la loi accorde a tous les que tion les domine. Le caporal .Maine, mutualistes. qui devint plus tard capitaine, ra conte ainsi les derniers moments de
la
retit Jomnai
mes chapeaux moi-même et avoir de joli linge qui me révient moins cher que celui dont vous faites l'acquisition dans vos grands magasins de Paris. — Naturellement, vous n'avouerez ja mais que vous avez tort t Cela promet de bons moments à l'homme chanceux qui vous choisira pour femme 1 Sous une forme variée, ce pronostic m'était lancé à la tête vers ia fin de tou tes nos discussions, qui étaient fréquentes.
pour aller dîner chéz Mathilde qu* tu ne peux pas voir «n peinture. Je ne J'empê che pas de voir tes amis, tù n'as pas le •droit _ de tn'empêcher de voir les miennts. Raymond haussa les épaules : •— Ah 1 vous allez en échanger des idées générales, toutes deux 1 Plus bête Que Mathilde... Ce n'était pas tout à fait son opinion» Mathilde n'était pas bête '; ce que lui reprochait surtout Raymond, c'était le jour où elle s'était avisée que son mari courait la prétentaine, qu'elle lui avait rendu la monnsie «le sa pièce, avec uneparfaite liberté d'esprit : — Si lui, pourquoi pas moi ? répé it'-el le à chaque occasion, en petit ta
nègte.
Raymond, qui n'était pas à l'abri des soupçons, craignaii que sa femme, Cor' lompue par une amie si affranchie, ne contactât' è l'occasion une pareille in»
dépendance d'esprit,
ne voulait {jas renoncer à ce bauqiiet.qui-était pour lui une gtande at 11
traction, chaque année, dans le cours des mois aesëz ternes. Il fie pouvait pas ptononcer une interdiction dent le seul résultat eût été de mettre sa jeune femtîie hors de soi. Il aurait préféré h voir aller chez ea mère ou chez sa tafite, qui ne pouvaient donner à 6a belle que d'txceltents conseils ; mais il pensa se fltoetrer plus malin en rusant ï Remarque que je ne t'interdis p&s de voir ton amie. Et même j'aitnerais mieux qu'elle vînt ici plutôt que tu al lasses chez elle où tu peux être exposée à rencontrer n'importe qui. Enfin, fais comme tu voudras 1 En smoking, sur le pas de h porte, il rentra encore dans l'appartement : — Veux-tu que je te dépose, en pas sant ? — Tu es bien gentil, mais ic ne suis pas prête ; je te mettrai en retard... Elle ne tenait pas du tout à ce que Raymond sût où elle allait, car elle n'al lait pas chez Mathilde. Elle allait re trouver un courtisan qui, jusqu'à pré sent, n'avait rien pu obtenir d'elle, tant i! était timide et respectueux ; cepen dant, 51 avait fini par la décider à venir dîner avec lui, à la campagne, dans une auberge des environs de Paris, en auto mobile. oh 1 en tout bien, tout honneur 1 pour être ensemble, pour bavarder «il peu I et elle était plus attirée par l'aven ture que par la tentation, d'autant plus qu'elle s'estimait assez forte pour y ré sister. Elle fila donc vera la porte Maillot, où l'attendait 1e ravisseur, cinq minutes après que Raymond eût descendu dans le souterrain du Norâ-Sud pour rejoin dre le quai d'Ofsay.
En tout cas, je n'épouserai pas le premier chien coiKé qu'on me présentera, comme l'a fait cette pauvre Elise Duteil qui est si malheureuse aujourd'hui. Je resterais vieille fille plu tôt que d'accepter ufk personnage qui me
sait
1
Qui sait
I
serait complètement inconnu et que je n'aimerais pas. Mme Barduzac prit cet air offusqué ai amusant sur sa grosse figure boursouflée. •>- Vraiment les jeunes filles d'aujour
nuit, dans la vallée île Chevreuse i
Isabelle n'était plus qu'une loque quand, à quatre heures du matin pasea une voiture de laitier, qui la conduisit à Versailles, où elle trouva un camion des Halles qui la mit-à la porte d*e SaiirtCloud, où le premier taximètre voulut bien la charger pour la descendre à sa porte.
.
•
, Elle était tellement affolée, elle avait
préparé des mensonges assez solides ; de gagner du temps, qu'eue pour tâcher ne prit r:;:eune précaution. Toutefois, surprise ue ne pas trouver Raymond, les poings fermés, dans l'antichamb.-e. elle s'ariéta, écouta, respira et se précipita boudoir, jamais elle ne s'était vers désh.jjillée si vite ; elle entra dans ses draps comme s'ils lui apportaient ia plus sûre protection. Aucun bruit, rien.:. Elle se releva, rangea ses vêtements, prit «un bain, enfila son peignoir, et se dirigea vers l'atelier, de son mati : , — C'est gentil de rentrer sans me dire bonsoir, dit-el!e. — Mon chéri, répondit-il, il
était
.
mi
nuit et tu dormais si bien 1.., Ce fut tout juste si Isabelle ne 'ui cria pas : « Sale menteur 1 » N'empêche que voilà un petit ménagé tranquille, pour au moirt6 sis mois. : •
Robert Disudonné. :
——— «
UNE RELIGIEUSE REÇOIT LE RUBAN ROUGE
Cet après-midi, liî. Dieppe, 8 Mal. député, ancien minis Robert Tùoumyre.— tre, a remis, en présence de MM. Blgnon, sénateur, ancien ministre, et Godefrcy, sous'-préfet. et de nombreuses personna lités; la croix de la Légion d'honneur & Mme Chalet, en religion sœur Félicité, qui dirige depulB trente-quatre ans l'or phelinat de N.-D.-rles-'Plots. ti Dieppe. -««S»»
LA LIGUE D'ACTION FEMININE OUVRE LA SEMAINE DE PROPAGANDE D'HÏGIENE
Aujourd'hui, à 10 heures, un autocar dans lequel auront pris plaoe vingt -la mes, chacune munie de deux mille tracts, partira du quartier du Roule pour parcourir les marchés en plein air et s'arrêter devant les églises des XVÏI» et. XVIII' arrondissements. Louable pron»r;r;^àî, noble apostolat pour la lut te contre la plus terrible des maladies : la syphilis. Ces vingt ' propagandistes qui appar tiennent .à la Ligue d'action féminifae pour le suffrage W la lutte contre les "maladies sociales, .répondentainsi à l'ap pel à elles adressé par le ministère de la Santé, par l'intermédiaire du comité de propagande d'hygiène, qui a organisé une Grande Semaine du 2 au 8 mai. Souhaitons que leurs efforts soient ré compensés par l'accueil bienveillant que Or, le hasard est an grand maître leur réserveront les laborieuses popula Après le banquet. Raymond se lai&E<a tions des arrondissements nord de la entraîner par des amis : il erra de la capitale. rue Fontaine à la rue Frochot, de la place Pigalle à la plaoe Blanche, rentra LA FETE DES FRUITS DE FRANCE : chez lui par la première rame, vers cinq ET DES CO LONIES, AU TR OCADERO heures et demie du matin, et, comme il n'était pas extrêmement rassuré sur les La fête des fruits de France et des conséquences de ce retour tardif, il re colonies, donnée hier soir au Trocadéro, gagna sa chambre, sur la pointe des avec le concours de l'Office général dés pieds, en espérant que sa femme ne se fruits, sous la présidence'denM. 1 Gaston réveillerait pas. Il couchait'dansson ate Gérard, haut commissaire du tourisme, très grand succès. recueilli lier — puisqu'il était peintre sur un a Fendant un trois heures, les spectateurs > divan,,et elle, sur uii aiitre divan, dans ont.applaudi une vingtaine de groupe un boudoir, parce qu'il est bien établiau ments artistiques des provinces "françai jourd'hui qu'il est du dernier bourgeois ses et des colonies qui:défilèrent sur la de ooucher ensemble et même d'avoir scène en costumes pittoresques. une chambre à coucher. Pauvre Raymond I qui preniez tant Soins intime» de précautions, vous auriez pu faire tout le fracas du monde sans autres risques que de.craindre un grand malheur, puis que votre femme, depuis onze heures du soir était en carafe, — panne de magné to 1 •— sur un petit chemin peu fréquen
N322GS13S0!
té entre Rambouillet et .les Vaux-deCemiy.
A ntiseptise
et Varfame
Si le séducteur timide avait organisé
cet arrêt, avec Je secret espoir que dans la solitude et dans la nuit naine, Isabelle lui tomberait dans les bras, il avait dû
revenir assez vite de ses illusions. D'oibord, elle s'était inquiétée j puis, quand elle l'avait vu pendant un beau quart d'heure, courbé dans la mâchoire entr'ouverte du capot, elle lui avait posé des questions si nettes, qu'il avait un peu
perdu toute son assurance. Puis, elle avait donné libre cours â ses récriminations t — il ne manque que ça, si vous «vez «ne panne 1 Des larmes d'abord : ' — Que vais-je dire  mon mari qui déjà doit se figurer ?... Puis la colère : — Mon cher, quand cm -invite une femme honnête à dîner, «n s'arrange ppur ne pas la compromettre ! Du dédain ; — Si votre tacot s'arrête tous ies dix
1RES CHER BIJOUX ACHAT KL'KESTKDJIAN S8, Koe de lYevlse,
TèL :
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Le Petit Journal Rue Lafayette, Parts OX') Inter-TmdaUie 44 Cte Chenues postaux n* 3.259 , jL)KRLU<N;uent8 1 aa « tnote » flMfti Seine, Selne-et-Oise.. 80 42 21 France et Colonies.,,. 83 43 32 35 Etranger : Tarif A.... 140 70 Etranger i TariX B-.. 800 100 60 "LE PETIT JOURNAL PUBLICITE 59. rae Lafayette .. .. .... i» S9-6X,
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Prenez confiance en vous-même!... Et pour cela» connaissez vous bien... «n demandant des conseils an fakir Fhakya-Khan, par l'intermédiaire du
PETIT JOURNAL ILLUSTRE
d'hui sont intolérables 1 Aimer l.» aimer l — Je les retire pour la nuit, madame. Ce mot-là n'existait pas dans le vocabu — Vous avez la manie des compiica-, laire de la jeune personne bien élevée, en tiûns. A quoi cela sert-il, ces fleurs, sinon à vous faire perdre du temps ? Moi, je mon temps. peut-être pas n'en mets jamais nulle part, — Elle ne le prononçait son idée. Ainsi, par exemple, tout haut, mais en cachette, certaine — Chacun envie j'ai toujours de faire la grimace de ment™ artificiels que vous cou Sans paraître m'entendre, Mme Bardu vant les fleurs précieusement dans si votre salon. vez zac poursuivit d'un ton doctoral :
Elle eut un geste de dédaigneuse supé — Moi je me suis mariée après avoir ' vu deux fols M. Barduzac. Nous avons fait riorité. V . goût, Gilbert©... n'avez de Vous pas
Il ne m'impressionnait guère et j'évitais cependant un bon ménage. d'y répondre, afin de ne pas éterniser ces — Je n'en doute pas. M. Barduzac ferait entretiens peu ! agréables pour lesquels bon ménage avec Lucifer on personne. Les soupçons de sourcils que possédait Mme Barduzac tenait à avoir le dernier Mme Barduzac firent mine de vouloir se mot. Aujourd'hui, Je ne sais pourquoi, l'impa rapprocher. tience me prit si fortement que je répli — Je désirerais savoir, mademoiselle, quai ce que vous prétendez insinuer par là? mauvais — Eh oui, l'homme chanceux l Mais ce Oseriez-vous me comparer aux ne sera pas le premier venu, vous pouvez anges ? Je pris une mine ingénue. m'en croire, madame. 1- Je voulais dire 40e — Oh t madame — Que voulez vous dire par là ? Atten s'entendait avec tout le monde dez-vous quelque prince, quelque milliar mon tuteur et qui) faudrait vraiment avoir un carac daire ? Je répondis aveç un sourire Ironique : tère plus qu'infernal pour ialre mauvais — Qui
•
ménage avec iuL — H a ses défauts Aussi et j'ai besoin de patience — qualité qui ne tue manque pas, je dois l'avouer. 6ur ce, ellé se leva, non sans effort. Son
regarc investigateur fit le tour de ma chambre et s'arrêta sur quelques roses, trempant dans un vieux rouén. Gll — Je vous ai déjà fait remarquer. berte, qu'il est mauvais de conserver des fleurs dans une chambre.
~ pas le moindre goût. Et des prétentions, avec cela !... des prétentions à revendre i Elle sortit sur ces mots. Je repris mon ouvrage ; mais un agacement me restait dr cette visite et mes points n'avaient plus ta finesse nécessaire. Je me levai, en se couant les brins de fil attachés à ma jupe, je fis deux ou trois fois le tour de ma chambre et vins m'accouder à ma fenêtre. Le jardin des Barduzac s'étendait de vant moi — un jardin bien soigné, avec une pelouse au milieu, d'étroites plates-bandes le long du mur, quelques arbustes et ur. jeune marronnier. Mme Barduzac n'aimait pas les arbres. Comme conséquence de Cectc antipathie, le jardin restait inacces sible pendant l'été, dès que le soleil se montrait. Dans une des petite allées couvertes de sable rougeâtre, M. Barduzac se promenait en complet de coutil et panama rabattu sut le: yeux. Il traînait un peu sa jambe gauche, à cause d'un rhumatisme et s'arrê tait à chaque pas pour contempler ses iA suivre) fleurs.
DERNIERE HEURE SERVICES SPECIAUX TELEGRAPHIQUES, TELEPHONIQUES ET
M. Fatel,
de
ex-prësÉnl
l'ami» législative liÉie un accueil eattiousiasle
à
Cal
notre correspondant particulier,) Londres, 3 Mâi. — L'arrivée à Calcutta 4e M. Patel, l'ancien président de l'as semblée législative, démissionnaire de puis quelques jours, » donné lieu à des {De
désordres. Urne foule énorme, qui s'était assem blée pe matin à la gare de Howrah, a fait à M. Patel un accueil enthousiaste. Des membres du pongrès et des corporations officielles avaient organisé une proces sion, mais, les attroupements étant in terdits, la police somma les manifes tants.de se disperser. Ceux-ci n'ayant pas obtempéré à l'ordre, les agents char' gèrent avec des cannes de bambou. Au cours de la mêlée, 13 personnes furent blessées plus ou moins grièvement.Parmi oelles-d se trouvait le pundit Madan Mohan Malavjia qui a été sérieusement blessé à la tête. Malgré l'interdiction de la police, plu sieurs centaines d'Hindous se sont réunis ce soir, dans l'-espoir d'entendre un discours de M. Patel. La loule ayant refusé . de se disperser, la police a chargé une seconde fois, blessant plusieurs manifes tants, dont un musulman, ? Dans une déclaration faite & la presse, l'ancien président a stigmatisé la. bruta lité de la police. procession ne s'était pas encore — La a-t-iJ ..formée, dit, et la police aurait rétablir le calme sans avoir recours & pu la manière forte. Les seuls journaux qui paraissent en core depuis la promulgation de l'ordon nance du vice-roi sont Je Statesman et le Bengali. La presse hindoue s'organise puur éditer un journal en commun De son côté, la Chambre de commerce hindoue a envoyé un message au viceroi, lui demandant de ne plus exiger les cautionnements des journaux et de rap porter l'ordonnance, afin de sortir de l'impàsse'actuelle. C'est la première fois' qu'une organisation aussi modérée que la Chambre de commerce intervient en faveur de Gandhi. Dans les. autres villes. des Indes, on signale quelques manifestations dues à la célébration de'la journée de Peshawar, notamment à Lahore, Mooltan et Amrityar, Dans cette dernière ville, de nombreuses arrestations ont été opérées par la police et la troupe. Au nombre des arrêtés se trouvent le docteur Kitchlow et M. Kajiancliand Dev, respective ment président et secrétaire du comité du congrès de Lahore. XJne Journée de deuil a été proclamée dans la ville et s'est passée dans le calme. GREVE UNIVERSITAIRE A MADRID
Madrid, 3 Mai. — Les étudiants ont décidé pour aujourd'hui une grève de 24 heures pour protester contre les inci dents survenus & l'occasion de .l'arrivée à Madrid du professeur Unamuno. Au cours dé la journée, six person nes ont été blessées dont un lieutenant; de la Sûreté, lç.fils du docteur Xolina docteur' lui-même, un étudiant, un ca poral de la sûreté, un agent et un ou vrier de la ville. • DECOUVERTE D'UN ARSENAL CLANDESTIN A BERLIN
Berlin, 3 Mai. — La préfecture de po, lice de Berlin publie le communiqué sui
vant
E REICHSTAG A TERMINE A DISCUSSION DU BUDGET
PR EMIÈRE LECTURE
EN
:
Ce matin, vers. 7 heures, ; les'canots du «club sportif allemand d« la Marine, sur le lac de StoessBn, près de Berlin, ainsi que l'habitation d'un conseiller d'Etat de. l'Office des brevets, ont été l'objet d'une perquisition de la police. L'action été couronnée de succès et l'on a saisia2 fusils, 4 pistolets, des fusils mitrailleurs, des grenades à main, plu. sieurs centaines,de cartouches, une quan tité de pièces de. rechange pouï- fusils mi . trailleurs et plusieurs centaines d'insignes de l'organisation Ehrhardt. Une instruction est ouverte contre tous les
.
membres du club. La police recherche» si les armes et munitions n'appartiennent pas à l'orga : nisation Wilcing qui, on le sait, est inter dite en Prusse. Trois arrestations ont été ' opérées. ,.
{De noire correspondant particulier.) Liège, 3 Mai, — L'Exposition interna tionale de Liège a été inaugurée aujour
d'hui en présenoe de la famille royale et de nombreuses personnalités belges fit étrangères. L'exposition comprend cinq grandes le croiseur B pour sections, à savoir : une section de Ja grande industrie ; une section des scien Berlin, 3 mai. — Le Reichstag a ter ces et applications ; une section d'art miné aujourd'hui la discussion en pre wallon ; une section d'agriculture et une section de tourisme et des sports. L'eKmière lecture du budget de 1930. ; aosition, qui s'étend sur soixante-cinq Il s'est ensuite ajourné au 15 mal. hectares de terrain, répartis tout le long Au cours des débats, les démocrabes et de la Meuse, comporte un secteur nord le centre se sont prononcés contre les crédits pour la construction du croiseur- et. un secteur, sud. Plus de trente-na cuirassé B. Durant toute la discussion tions >y sont représentées. La, plupart ont des pavillons particuliers. La par aucun orateur nationaliste n'a pris îa édifié ticipation la plus importante est fournie parole, ce qui est sans précédent dans la France qui, â elle seule, occupe l'histoire parlementaire allemande, no par plus de 40.000 mètres carrés. tamment dans les questions budgétaires. La' cérémonie d'inauguration s'est C.':La levée de l'interdiction roulée dans la grande salle du palais des du « Casque d'Acier » est ajournée fêtes, bâti au ceptre de l'exposition, où Le ministre de l'intérieur du Reicli, se trouvaient réunis 2.000 invités, parmi M, Wirfcb, a fait savoir au ministre-pré lesquels le corps diplomatique au grand complet ; les plus hautes personnalités sident et au ministre de l'Intérieur de civiles, militaires et religieuses du pays Prusse, par lettre en date du 2 mai, étaient ainsi que 150 qu'il renonçait à l'entretien prévu pour yjournalistesreprésentées, belges étrangers. et la 9 courant, à propos de la levée éven La famille royale, qui était accompa tuelle de l'interdiction du casque, d'acier gnée de MM. Jaspar, premier ministre en Rhénanie et en Westphalle.' ministre du Travail, 3 été M. Wirth justifie sa décision par lt- et Hysmans, à descente du train, à Liège, reçue, sa discours prononcé à Magdebourg, par un le de la province, M. par chef du Casque d'Acier, M. Dusterberg, Pirard. gouverneur souverains lies ont traversé la qui affirma que l'organisation « ne sau ville milieu d'une foule enthousiaste. au rait placer aucune espèce de confiance Ils ont fait entrée à, l'exposition en leur en des hommes tels que MM. Curtius et tre une double haied'acier formée parWirth ». motocyclistes. 1.700 Après l'exécution dé Dans ces conditions, 1! est probable la Brabançonne et de }&• Marseillaise par que l'interdiction du Casque d'Acier sera une chorale liégeoise, des discours or maintenue dans ces deux provinces. été prononcés par MM. Gérardon. prési dent du Comité exécutif de l'exposition: AU MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES Digueffe,' président du Conseil d'admi nistration ; Hymans, ministre de l'In DU REiSH dustrie et du Travail. Devant l'assemblée, le roi Albert a Berlin," 3 Mai. — Le cabinet du Reich prononcé un.discours d'une belle envo a décidé aujourd'hui le nommer M lée, qui a été. fréquemment interrompu Bernard'von Bulow secrétaire d'Etat par les applaudissements. aux Affaires étrangères. Son prédécesseur, M. von Schubert, serait nommé à l'ambassade près du La disparition de Koutiépoff Quirinal, dont le titulaire actuel, M von Neurach, remplacerait à Londres M, M. Bonrtzeff a été entendu Stahmer. par M. .Faux-Pas-Bidet D'autre part, M. Roland Koester, mi M. Bourtzeff ayant exprimé sa con nistre à Oslo, est nommé chef du per viction sonnel du ministère des Affaires étran que la disparition du général gères, en remplacement du professeur Koutiépoff ne pouvait avoir été provo Schneider qui rentre dans la vie privée. quée que par des agents du Guépéou désigna récemment les personnalités LE CHANCELIER SCHOBER A QUITTE oviétiques qui, d'après ses renseigne ments, avaient effectué ou dirigé l'en LONDRES lèvement. A la suite de oes ' déclarations, M. Londres,'3 Mal. Le chancelierScho — Faux-Pas-Bidet,'' commissaire aux ren. ber, rentrant fi Vienne, via Ostende, a seignements généraux, a prié M. Bourt quitté Londres à 14 heures. zeff de préciser affirmations ses en une M. Henderson, ministre : des affaires officiellé." déposition . étrangères: des représentants du pre Maintenant les termes de ses précé mier ministre et du Foreign Office; le déclarations, Mt. Bourtzeff a ex dentes ministre d'Autriche et le personnel de la posé les résultats de l'enquête menée par légation ont salué le chancelier à son lui dans certains milieux soviétiques de départ. Berlin. M. Schober a déclaré qu'il emportait un souvenir Ineffaçable de son séjour en tamment — Bien que ces renseignements, et no les noms des agents dont. les Angleterre et en particulier de l'en, déplacements suspects permettent d'aftirthouslaste réception des souverains à la participation mer a l'enlèvement du . Windsor. général Koutiépoff. m'aient été fournis par une source des plus sûres, a-t-11 ce DRAME RUE SAULNÏER pendant reconnu, Je puis encore four, nir aucune preuve dene cette culpabilité. Après une discussion un gendre , M. Bourtzeff a seulement voulu .'aire part à ses compatriotes d'une conviction justifiée ti ses-yeux par certaines coïn tire six coups de revolver cidenoes révélées au cours d'une enquête
sur son beau-père
y--.s ..;et
le-manque"
Dri drame'de' famille qui aurait "pu avoir ,des conséquences graves, a mis en émoi, hier, après-midi, • le quartier du Faubourfe-sMontmartre. Depuisdéjà long, temps, M. Léon Martin, 64 ans, chemi sier,'3, rue Saulnier, vivait en mauvais termes avec son gendre, Emile Chéron, 25 ans, monteur en T. S. F., demeurant dans le même immeuble. Les discussions étaient fréquentes entre les deux hom mes. Hier, au cours d'un repas de fa mille, des mots violents furent échangés. M. Martin, exaspéré, se précipita sur son gendre. Les deux antagonistes, après avoir reçu chacun quelques coups, furent séparés. Une réconciliation eut lieu. Le chemisier descendit peu après de son appartement. .Son gendre le suivit dans l'escalier. Au moment où M. Mar tin allait monter dans son auto, Emile Chéron déchargea sur lui à bout portant les six balles de son revolver. Les coups heureusement ne portèrent point; Le chemisier n'eut que la tempe droite érai'lée. • Immédiatement maîtrisé, le monteur en T. S. F. a été coudult .au commissariat de police du quartier du
L'ORDONNANCE DU PRESIDENT DE LA COUR DE LA HAYE SUR L'AFFAIRE DES ZONES FRANCHES Faubourg-Montmartre, où, après interro. gatolré de M. Pêne, commissaire de po; Genève, 3 Mai. — Le greffier de la lice, il a été consigné à la disposition de Cour permanente de justice de La Haye la justice. Comme certains points res communiqué ce qui suit au sujet de l'af tent obscurs dans cette affaire, l'en faire des zones franches de la Haute- quête continue. • Savoie et du Pays de Ç5ex : ON REALISE DES ECONOMIES « 3je président, de la Cour a rendu A L'OCTKOI une ordonnance fixant de la manière suivante les délais envisagés par l'article 4 du oompromis du 30 octobre 1924 : Poursuivant la réforme du service de l'Octroi, en vue d'opérer de nouvelles éco » 1° Pour la présentation « documents, de nomies M. Renard, préfet projets et observations » le jeudi 31 de la Seine,personnel, d'arrêter vient les mesures juillet 1930 ; suivantes : : » 2" Pour la présentation des « répon Dans les gares de voyageurs, l'emploi de ses » le mardi 30 septembre 1030. » machines enregistreuses, assurant, auto L'affaire sera par conséquent en état matiquement un contrôle Intégral, per mettra la suppression des 126 agents jus au début du mois d'octobre prochain. ! qu'alors chargés de ce contrôle. L'installation du téléphone d^ns toutes LA FETE NATIONALE POLONAISE les portes principales, tout en assurant une liaison plus étroite entre ces bureaux A ETE CELEBREE HIER et les Inspecteurs divisionnaires et l'ad ministration, rendra possible la suppres de 30 agents cyclistes, chargés Jus Varsovie, 3 Mai. — fête nationale sion qu'à jour d'assurer ce service. polonaise a été célébrée aujourd'hui. Cescecompressions s'ajouteront Dans la matinée, un service divin a été à ' celles qui ont étéd'effectifs la conséquence célébré à la cathédrale Saint-J<ean. Y ont recte ou indirecte de la suppression di du assisté : le président de la République, bulletin vert, soit 96 agents exclusive le cabinet tout entier, les membres du ment affeotés au service des automobiles corps .diplomatique ainsi qu'un grand dans les différents , postes de la périphérie nombre de représentants de la Diète tt et 72 agents employés au service de nuit. Cet ensemble de mesures se traduit, en Sénat. du définitive, 314 suppressions d'emplois par A midi a eu lieu une revue sur îa et économie qui, si on' ajoute les une y place du Maréchal-pilsudski, ft laquelle économies correspondantes de matériel, çnt pris part toutes les troupes de la approchera de 6 millions de francs. . garnison. 220 de ces suppressions sont d'ores et • déjà effectuées : le surplus se poursuit au et à mesure des vacances qui se pro Une cérémonie a eu lieu hier en fur duisent dans les cadres et la reforme sera l'église de l'Assomption, à l'occasion de entièrement réalisée vers la 11b de l'année. la fête nationale polonaise. M. Aristide Briand s'est fait représen En présence de M. Eugène Lautier. ter par M. Bavelier, sous-chef du proto sous-secrétaire d'Etat aux Beaux-Arts, cole. et de M. Georges Prade, conseiller mu nicipal du quartier de la" Santé, a eu «t,>. .....DELMONT — M. ALCIDE lieu hier le vernissage de l'Exposition A VISITE nnnuelle de peinture de la Cité univer LA MATERNITE DE RABAT ,
la
.
.'exposition de Liège a été inaugurée aîer par les souverains
Le centre et les démocrates refusent les crédits
La police charge et blesse treize manifestants
'
T-SJ. Ai « P«& loowd »
LE CENTENAIRE DE L'INDEPENDANCE BELGE
sitaire.
: Rabat, 3 Mai. Alolcie Deimont — M. visité la Maternité fondée par la maréft chale Lyautey. Mme Lucien Saint, qui dirige cette œuvre à laquelle elle a donne • une large extension, a présenté au mi nistre les docteurs François et Jean Mar* mey. et. Mme Croizeau, qui préside îa Goutte de,Lait. M. Alcidé Delmont,' après diverses visl tes, a exprimé £ Mme Lucien Saint see
:
Le voyage présidentiel (SUITE DE LA PREMIERE PAGE)
En quelques mots éloquents et fort ap plaudis le président célèbre tout le char me de ce Midi qu'il aime pour toutes ses vertus et aussi parce qu'il synthé tise les qualités éminentes de la race. Puis il termine en priant le députémaire de Toulon de dire à ses adminis trés combien il les remercie de leur ac cueil. Une superbe gerbe de fleurs, o/erte par 1p. municipalité, est remise au chef de l'Etat qui, avant de quitter l'Hôtel de Ville, signe le livre d'or de Toulon.
A la mairie
Quai Cronstpdt, sur le seuil de la mai rie, M. Doumergue est accueilli par un groupe de tambourinaires qui exécutent magistralement un air provençal et par de charmantes jeunes filles en costume provençal qui lui offrent des fleurs tan dis que l'une d'entre elles lui récite un compliment dans le dialecte du pays. Les bâtiments sur rade .ont hissé grand pavois et Jes équipages rangés leà la bande rendent les honneurs. M. Gaston Doumergue remercie en quelques mots aimables puis, toujours applaudi par la foule, il remonte en voi ture pour gagner le théâtre municipal ou va avoir lieu le banquet. Sur le parcours, l :enthousiasme est tel que les splendides spahis de l'escorte présidentielle ont toutes les peines du monde à- maîtriser leurs chevaux ner veux. A midi 15, le cortège arrive au théâ tre municipale , Un banquet île 500 couverts
Le banquet offert au Grand Théâtre en l'tiohneur du Président de la Répu blique par le Conseil municipal, le Con seil général et la Chambre de réunit près de 500 conyives. Commerce M. Gaston Doumergue a à sa droite MM. Escartefigue, maire de Toulon et
J.-L. Dumesnil, ministre de la Marine ; Robert, président de la Chambre de commerce ; Laurent-Eynac. ministre de l'Air ; le maréchal Franchet d'Espérey; le général Carence ; le contre-amiral Laborde, etc. A la gauche du Président,. ont r>ris place MM. Fourment, sénateur, prés) dent du Conseil général ; Pernot, minis tre des Travaux publics, P.-E. Flandin, ministre du Commerce ; Renoujf, Louis Martin, le vice-amiral Vlndry, préfet maritime, etc. La musiaue des équipages de la flotte agrémente.^e repas des meilleurs mor ceaux de son répertoire. Au dessert, c'est M. Escartefigue, mai re qui ouvre la série des discours, MM. Fourment et Robert prennent-ensuite la parole. Puis, M. Doumergue se lève.
Le discours de M. Doumergue A l'heure de son embarquement pour l'Algérie, M. Doumergue ne peut que faire un rapprochement de ces deux\dates du 3 mal 1830 et de celle d'aujour d'hui qui magiquement évoquent â elles seules toute l'histoire de l'Algérie, Tou lon vit le duc d'Angoulême et le. roi Charles X passer la flottr en revue avant qu'elle ne s'élançât & la conquête. — Aussi, Messieurs, avant d'aller pas ser la revue des forces navales qui vont être concentrées dans la baie d'Alger, estce une grande joie pour moi de pouvoir, de cette ville, où la marine est tant ai mée, lui adresser, en même temps que mon salut, les éloges qu'elle mérite. » Toulon est intimement liée & cette histoire de là Méditerranée où la marine de notre pays joua toujours un rôle de
premier plan. Mais ce n'est pas & vous, Messieurs, • que j'ai h faire l'éloge de notre marine, à vous qui ia voyez tous les jours & l'œu vre et qui savez quel puissant élément personnelle; d'activité et quelle précieuse garantie de paix elle est pour la grande France. Terrible tempête dans la baie d'Àoiva A cette ..marine, qui • est pour »Tou-> Ion, ce que le, coeur est à-un-organisme humain, c'est-à-dire un organe capital, jV 9* " ' ' . fui.— . . Toklo, 3 Mal. la Une ville joint les ressources de son com violente tempête — ragé fait actuellement, dans la région merce. de la baie d'Aniva,-. au sud de l'Ile de r— A côté des ressources fort appré Sakhaline. Environ 200. pécheurs sont ciables que vous procurent le. tourisme signalés manquants et l'on craint qu'ils et , les villégiatures sur vos côtes, la va riété des cultures rendues possibles par ne se soient noyés. ' le climat et par le sol, l'industrie et le commerce en vole de développement cons tant, vous en fournissent d'autres très DIX TUES DANS UNE MINE substantielles. EN ESPAGNE Et voici que le port de Toulon, tout en — restant un grand port militaire, veut dé. un port de commerce vivant et fré Madrid, 3 Mai. -— Un violent coup de venir quenté. » grisou s'est produit. aujourd'hui dans Tout ceci est à. là gloire » de la cité mine de Barrualo (province des une As et à l'honneur de la population et le turies). Dix mineurs ont été tués. Président de la République de conclure C'est en son honneur que je lève , — LA SOUSCRIPTION POUR LES VICTIMES mon verre, c'est à U prospérité durable et croissante du département du Var et k DES INONDATIONS DU MIDI Dans une note communiquée par l'agence Havas, le comité central de la Oroix-Rouge française explique son rôle dans la répartition des secours aux vie limes des inondations du Midi. Nous en extrayons les passages suivants La Croix-Rouge n'a Jamais été que ln «mandataire du Comité de la souscrip tion publique en faveur des victimes des inondations du Midi. Elle n'a jamais eu à sa disposition qu'une minime partie des .fonds recueillis par cet organisme. Sa misRion, conçue en termes assez étroits, lui faisait un devoir de répartir ces fonds en secours de première urgence, à l'exclu sion de toute action de reconstitution quelle qu'elle fût, la reconstitution étant Ou domaine de l'Etat. » C'est le comité de la souscription pu blique qui, dans sa séance du 26 avril, i décidé qu'en raison do. l'importance iportance iInat tendue des fonds recueillis, ceux-ci «ne sauraient être affectés entièrement & une action de premiers urgenoe ; que la mis sion de la Croix-Rouge était, par suite, terminée ; qu'il fallait, en conséquence, remettre au gouvernement le soin d'utili ser au mieux des intérêts des-sinistrés la majeure partie, non employée encore, du produit de la souscription. » A L* « OFFICIEL » Le JouAial ofjiclcl .publie ce
matin
la loi ayant pour objet de réorganiser: la protection des monuments naturels et des sites de caractère artistique, his torique, scientifique, légendaire ou pit toresque. Commerce : Un décret autoï'lsant la Chambre de commerce de Paris à con tracter un emprunt de seize millions de francs, en vue de l'agrandissement et de l'aménagement du bassin de Pantin. Par décret M. Lamasse est nommé agent de change fe Nancy en remplacement de M. Marie, démissionnaire. Intérieur : M. Bailly, dit Laurent-Baiily. est nommé adjoint au maire du XVII" arrondissement de Paris, en remplace ment de M. Brunot, décédé. Instruction publique : M- Prudhomme; critique musical, est nommé admi nistrateur de la Bibliothèque publique de l'Opéra, en remplacement de M. Bou vet, admis b la retraite. Finances ; Par arrêté du ministre du Budget, M. Bouthilllor, inspecteur des fi nances, est nommé chef-adjoint du ca binet du ministre du Budget.
35^.
FLAN
la grandeur de la ville de Toulon que je vous invite & boire avec mol. »
Le discours de M. Doumergueest chà' leureusement applaudi. A 14 h. 15 le cortège présidentiel quitte le théâtre pour se rendre au carré du port où attendent les vedettes qui doi vent emmener le chef de l'Etat et suite à bord des cuirassés Duquesne sa et Suffren qui appareilleront à la fin de l'après-midi pour l'Algérie,
Sur la vedette présidentielle
Dans le sévère décor du quai de l'Horloge qui vit tant de glorieux dé parts, les spahis, l'escorte, les marins, les coloniaux et les fantassins s'immobi lisent encadrant la large esplanade. La vedette présidentielle accoste. Le dent y prend place avec l'amiralPrési Vin dry, l'amiral Vedel et M. de Fouqulères. Le pavillon présidentiel claque à l'avant, et, au moment où le petit navire s'éloi gne, les acclamations retentissent avec des cris de « Vive Doumergue « Bon voyage ! ».
>,
et de
Président salue longuement • Le l'embarcation franchissant la passe traet verse la rade.
Le
«
Duquesne
et le « Suffren appareillent »
La vedette présidentielle accoste bien tôt le Duquesne, m Gaston Doumergue M. J.-L., Dumesnil, . ministre de la Ma rine, le contre-amiral Vedel, M. Jules Michel, le lieutenant-colonel Gransaro. et M. Rossy, directeur adjoint du cabl-net de M. Doumergue, montent à bord La vedette où ont pris pl&ce MM. , Flandin, Pemot, Laurent-Eynac e Louis Rollin accoste à son tour le Suf fren. Les'ministres montent à bord. Une salve de 101 coups de canon salué l'arrivée du Président à bord du. Duquesne qui a hissé le pavillon prési dentlel. ' , A 15 h. 35, les deux bâtiments appa reillent poiir Alger.
Une parole de. Mgr Simeone, évêque de Toulon et de Fréjus Mgr Simeone, évêque de Fréjus et de Toulon, dans l'audience que lui a accor
ï=R.EÎ3Sr3D
dée le Président de la République, lui a
M. Champetier de Ribes
préside à Vernon e 8 e Congrès de l'U.N.C.
dit textuellement:
Vernon, 3 Mai, —- M. Champetier de . . . Associés bons français de tou Ribes, ministre des Pensions, a présidé aux tes—les classes et de toute? les opinions, aujourd'hui la première du hui nous vous sommes reconnaissants de la tième congrès de J'U. N. séance C. haute dignité avec laquelle vous re Il y avait là les délégués de 35.000 présentez le pays et du soin impartisl avec anciens combattants. M. Georges Pi lequel vous protégez tous ses intérêts. M. Doumergue a remercié cordiale neau, attaché de cabinet, accompagnait Champetier de Ribes. ment l'évêque de ses bonnes paroles qui M.Parmi les principaux vœux que les an traduisaient très bien sas sentiments, car ciens combattants normands ont émis,
n'a d'autre but que de maintenir de leur séance d'études, figu union, l'ordre et. la paix entre tous les au cours le rent : maintien de la pension aux Français. remariées, la réalisation des re veuves a première journée du Président vendications des prisonniers de guerre, le vote d'une subvention supplémentaire à Alger de 20 millions aux pupilles de la Nation, Alger, 3 Mai. — Demain, aura lieu la fixation à 40.000 francs du maximum Alger, en présence du Président de îa de prêt pour la construction des habi République, la fête donnée en l'honneur tations à bon marché, la réduction du des indigènes de l'Algérie. chiffre actuel de 250 membres aux sec Des délégations de tous les corps tions d'anciens combattants pour avoir ayant des effectifs indigènes et mu droit à des délégués au comité des com sulmans participeront à cette grandiose battants. cérémonie. Le ministre, reçu par M. Bodenan, . La marine sera représentée uri préfet de l'Eure, a assisté à la séance par détachement de Baharia (matelots indi •blénîère et a prononcé un discours dans gènes) portant la chéchia au lieu du tra lequel il a exposé les avantages que le ditionnel béret des matelots français.' budget vient d'accorder aux anciens On verra également des gardes fores combattants, principalement la retraite tiers, des gendarmes indigènes, des cava du combattant. liers des communes mixtes, des goumiers cheval et enfin des méharistes-Toua Congrès des syndicats professionnels reg et Chaamba. < des cheminots
La fête en l'honneur
des indigènes
ins&aHBftaaaé L'AVION AU SERVICE DE LA SCIENCE
lasérum envoyé de Paris à Alexandrie pour sauver an enfant
;
Un avion spécial piloté par Lalouette est parti hier du Bourget emportant à Alexandrie trois tubes de sérum antlpolyomyélltique provenant de l'Institut Pasteur. L'avion qui doit arriver de* main soir fera escale à Munich et Bu dapest. Ce sérum est destiné à un .en fant de quatre ans atteint de paraly
Le 10" Congrès annuel de la Fédéra sie. La fête commencera par un défilé de tion des Syndicats professionnels des méharistes suivi d'une course méhara Cheminots de Franœ, 5, rue Cadet, s'est ALCOOL MENTHE qui se disputera sur 4 kil. 500. ouvert hier matin, à Paris, 133, avenue Dès l'arrivée du Président de la Ré de Cllchy. Près ' de, 200 délégués publique, escorté d'un peloton de Ba- représentant 233 syndicats des di chagas et d'Aghas, au burnou flam vers réseaux y compris l'Algérie et l'A1boyant, montés sur des chevaux magni sace Lorraine, étalent présents. Des dé fiquement harnachés, aura lieu la remise légués, étrangers avalent également pris du cheval offert par les Bachaga Djel- place dans la salle. ioul ben Lakhdar, de la Confédération M. Py, de Vesoul (Est), préside la• des Alrbaa, au chef de l'Etat, au nom séance, assisté de M. Le Moal, de des indigènes. Rennes (Etat) ,et de M. Bildan, du Cette cérémonie se déroulera en pré Gontrôle commun. Les rapports, moral sence de tous les goumiers et méharis- et financier, sont adoptés à l'unanimité tes et sera immédiatement suivie d'une Ils font ressortir la très grande progres remise de décorations et de souvenirs sion de la Fédération au cours de l'an aux chefs indigènes. C'est à ce momc-it née écoulée, son' action mesurée mais què Amenokal des Touareg, du Hoggar feftne, ses initiatives sociales hardies. Akhamouk ag Ihemma, recevra un poi L'apr|s-midi, les Congressistes se sont gnard d'honneur des mains de M. Gas réunis en commission pour étudier les — La Foire Saint-Germain, qui attira ton Doumergue. questions suivantes : 1° Facilités de chaque année la foule, place Salnt-SUlCarrousel et fantasias circulation <régime 1924) ; 2o Assuran plce, n'aura pas lieu cette année. La tra dition sera reprise en 1931. ces sociales dans les chemins de fer La fête continuera par un défilé gé 3° néral de toutes les troupes puis un car fer.Rationalisation dans les chemins de rousel sera exécuté par les spahis. La VOUS fête, se terminera par des fantasias ainsi Les cfwminots au ministère qu'il est de tradition dans toutes les des Travaux publics ECLAIRER manifestations indigènes -et chacun Le clief-adjoint du cabinet du minls à pourra admirer les splendides et intré tre des travaux publics a reçu, hier pides cavaliers que sont les goumiers une délégation de la Fédéra algériens, lancés à toute allure, debout après-midi, tion des Cheminots de France à l'occa sur leurs étriers, la bride sur le cou de sion du Congrès annuel de cette organi leur monture, luisant parler la poudre sation. Cette délégation, était conduite dans une chevauchée impressionnante, plusieurs membres du bureau Sédé par La fête symbolisera une fois de- plus ral et composée délégués de de tous les 'union féconde en heureux résultats des réseaux et notamment Français et des indigènes en la personne vinciaux et de plusieursde délégués pro dames. du "chef de l'Etat. La France montrera Au de cette réunion, cours on a pro avec le plus grand éclat qu'elle est fi cédé à .un examen détaillé des principa dèle à la population musulmane de l'Al , gérie qui, de son côté, voudra témoigner les revendications des cheminots : salai, allocations charges res. de famille; pour toute sa respectueuse déférence au Pré sident de la République ainsi que son indemnité de résidence, primes de tra. vail. semaine anglaise, retraites. Le mi. loyalisme à la mère patrie. nlstre des travaux publics sera saisi des résultats de cette conversation et son re M. René Manaut est arrivé présentant a assuré les cheminots de UTILISEZ liier à Alger l'intérêt tout particulier qu'il leur porte DIFFUSEURS Alger, 3 Mal. — M. Manaut, sous-se et du désir qu'il a de voir aboutir leurs légitimes revendications. crétaire d'Etat â l'Intérieur, est arrivé ce matin à Alger. Il -a été reçu à la gare maritime par M. Bordes,*gouver LE CONGRES DE L'ASSOCIATION neur général et Ifs autorités civiles et GENERALE DES MUTILES militaires. et de la section de l'U. N. C.
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L'arrivée des présidents du Séna et de la Chambre
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Aujourd'hui ont heu, & Salnt-Leu-laForêt, les congrès départementaux de Alger, 3 Mai.—M. Doumer, président l'Association générale des Mutilés de , dti Sénat, 'et'M: Bouissoii, président de la Chambre'des députés'et leur suite, ont débarqué à 16 heures, à la gare ma dence du Conseil, et M, Cathala, sous-se ritime, où les troupes ont rendu les .crétaire d'Etat 'au Travail, sera servi, honneurs. 12 h. 30. dans les salons de l'hôtel de. la Croix-Blanche. A 15 heures, grande ker 'AYANT LE CONGRES EUC HARISTIQUE messe dans le parc de la propriété com munale et concert par la musique du 6' régiment d'Infanterie. Le Mgr Vcrdier est arrivé à Tunis Tunis, 3 Mal. — Le cardinal Verdier, archevêque de Paris, est arrivé aujeur d'hui, â Tunis, avec Mgr Baudrillart, de l'Académie française : Mgr Heylài, évê que . de Namur, et un groupe d'évêques irançais ainsi que de nombreux mem bres du congrès eucharistique de Car tilage qui va tenir ses assises cette se maine. Les prélats ont été reçus par Mgr Lemaitre, archevêque de Carthage, à leur débarquement.
Ce que dit la Presse L'Algérien Slaouti qui avait tué iii
1
LA QUESTION D'ORIENT LIQI^DKE
par peur un autre Algérien 1 a été acquitté
Du Radical (Editorial) : Onze ans après le traité la paix est enfin faite -dansdelesVersailles, Balkans. Au moment même où le chancelier au-' trlcliien Schober arrivait à Paris, hôte du gouvernement français, les plénipoten Le débitant algérien Bouzid Slaouti, tiaires des gouvernements balkaniques, qui a comparu hier devant la cour d'as réunis au Quai d'Orsay, signalent les ac sises de la Seiné, a tué un homme, dans cords réglant définitivement le problème geste impulsif, sous l'empire de la ardu des réparations orientales, sous la un crainte et de l'affolement. présidence de M. Louis Loucheur. Une grande date et un grand acte. Il s'agit de Guininau qui le 2 dé Et non pas même une liquidation de la cembre 1929, était entre, déjà ivre, dans grande guerre— mais une liquidation de le café tenu par Slaouti, S, rue du Potla question d'Orient qui date de bien de-Per, à Paris. Slaouti refusa de lui avant 1914 — qui a empoisonné !a-poli tique européenne tout au long du XIX' servir à boire. Une bataille commença siècle, qui, par l'annexion brusquée de entre les deux hommes. Expulsé par des l'Herzégovine, a déclenché la guerre bal consommateurs, Guininau s'enfuit, en kanique de 1012, qui, par les conséquen courant, vers son hôtel. ces; de celle-ci, a directement provoqué la grande guerre. — 'H va sûrement chercher un revol Des tribulations de tous ces peuples du ver I pensa tout haut Slaouti. pioche Orient est sorti, enfin, en 1919, un En effet, cinq minutes après, Guininau état de/choses nouveau. revenait, une main dans sa poche. Slaou LE CENTENAIRE DE L'ALGERIE ti, terrifié, saisit son browning et tira sans que son compatriote ait eu seules La Journée Industrielle (M. C.-J. Giment le temps de prononcer une parole. gnoux) : Guininau, touché au cœur, mourut après La Franoe continue, par delà la Médi quelques minutes d'agonie. terranée ; et cette liaison de cette Légitimé défense ? La victime n'avait, liaison administrative; ce quicœur, est assez pas de revolver sur elle. Mais il est cer différent du cœur, ne peuvent pas exclu tain que Slaouti s'était cru menacé : re entièrement l'ajustement "délicat, sur le plan économique notamment, 3es pos Je me voyais déjà mort ! a-t-il dit sibilités et des besoins. Ceux-ci sont par- à — l'audience. fols dissemblables parce que la nature Après défilé des témoins et le réqui les a faits tels : ces heures de mutuelle sitoire dele l'avocat-général Carrive, M' J. et reconnaissante confiance seront' sans L. Thaon prononcé a faveur doute propices pour cimenter jusqu'en ses dé Claouen détails une union qui a défié le temps. ti une chaleureuse plaidoirie. Slaouti a été acquitté. A PROPOS DU PROGRAMME NAVAL ITALIEN DEUX DOMPTEURS BLESSES De l'Ere Nouvelle : ; PAR LA MEME LIONNE S'il était acquis que l'Angleterre a In vité la France, l'Amérique et le Japon à délibérer pendant deux mois Deux graves accidents se sont produits meil leurs moyens de faire régner lades paix sur hier à la ménagerie installée dans un les mers pour permettre à un cabinet am grand d'attractions parc de la porte ; bitieux de préparer précisément ce Maillot. L'après-midi, la lionne Sultane qui peut mettre cette paix on tout blessé le dompteur Petit ; quelle autorité resterait-il dans le danger, monde ale grièvement soir, le dompteur gouvernements Albertini été gra aux qui seraient ré signés à considérer un tel separadoxe com vement blessé aux reins et àa la cuisse me un fait acquis et inévitable ? gauche par la même lionne.
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fléchi sur des liquidations, des ventes da Wall Street, des avis de pluies dans le Texas et la région du Centre, des ven tes dans le Sud de la nouvelle récolte. Clôture faible. -4 New-York : Estimations des recettes de cotons pour la semaine prochaine : 65.000 balles. — Blés oux d'hiver n° 2 disp. (en doll. et oents le bushel), 1 19 1/2.: — Blés durs d'hiver nu 2 disp. (en doll. et cents le Lushel). 1 05 1/2. — Maïs bigarré n° 2 d'hiver disp. (en cents le bushel), 88 1/2. -*• Faiine de printemps (en doll. et cents )« baril), 5 35 & 5 60. — Sucrqa (en cents par livre) : Centrifuge Cuba 96° -Iroits payés prompte livraison, 3 30. A terme Mai 1 52, jull. 1 53, sept. 1 61, oct. 65; déc. 1 70, janv. (1931) 1 71, mars 1• 76, mai 1 82. — Cafés (en cents par Hvre) : Qlep. 8 3/8, mai 8 68, jull. 8 45. sept. 8 Si5, déc. 8 05, Janv. (1931) 8 01, mars 1 83, mal 1 78. — Ventes approximatives : 10.000 sacs. — Huile de coton.(en oents par livre), disp. .8 80. — Pétrole raffiné (en doll. et cents les 100 galions); 16 66. Saindoux (en cents par livre), 11. — —L Suif extra (en cents par livre), 6. — -«•* rébeuthine (en cents le gallon), 50 va. — Cuivre F. A. S., disp. 14 vend. — Etala, disp. 33*50. MARCHE DE SAVANNAII (Clôt.-), 3 Mal Térébenthine (en cents le gallon), 44 1/4.
Mermoz s est envoie pour Saint-Louis Kenltra, 3 ,— Mai. — L'aviateur Mermos décollé matin a & 7 heures pour ral ce lier Saint-Louis-du-Èénêgal. .
«
BAILLY ET REGINENSI
sont arrivés à Lisbonne
Lisbonne, 3 Mal. Les aviateurs Bailly et Reginensi— sont arrivés a 11
h. 15. Us repartiront demain diman
che.
MOUVEMENT JUDICIAIRE Sont nommes : Notaires & la résidence de : Aubngne, MM, Aglot ; Cosnes (Nièvre) Asselln et Willieneourt ; bégrie (Sartheh Aveline: Marcenat (Cantal) Bigot; Saint-» Julier.-l'Ars (Vienne), Delage : Salnt-Jeande-Luz.. Dihigo ; Valréas (Vaucluse) Evesque ; Courtemer (Orne) Jacquemin : Montignac (Dardogne) Mazerollo ; Dôle (Jura)
sentiments d'admiration
LEGION D'HONNEUR MINISTE3E DE L'AIR
Est nommé chevalier : M. Paulllaç, pi lote-aviateur. A tltxe posthume, est nommé chevalier: M. Marçei Bebort, .{idjudant-chef du l« r groupe d'ouvriers d'Aéronautique. « A trouvé une mort glorieuse au cours d'un raid qu'il tentait d'accomplir entre Paris et Sa&on, «n vue de l'établissementd'une lieison postale rapide entre la Métropole et l'Indochine. »
défeii'iBei*
Uae mouche tuée eu mai, c'est cinq quatrillioas de mouches de moins en septembre (dictionnadre Larousse.)
Périmony. Avoués prés la Cour. d'Appel de Besan çon. MM. Kleflor ; Paris. Môurlaque. Avoués prés le Tribunal de 1" Instance de Deux-Sèvres, M. Bigot : du Nord, M; liodin : de la Corse, section d'Ajacclo, Mi Lertora : de la Seine, M. Mallnvaud. Huissiers du tribunal de 1* de l'Oise, section de Compîègne, Instance M. Barbarant : l'Eure, M. Bultel : Tarn-et-Garonne, M. Cadene; La Lozère. M. DoUsson 1» : Currcze. M. Durlï. Oflices supprimés : l'Office notarial de Pronsac ; l'Office notarial de Pont-SaintJ
Esprit. Honorartat conféré : MM. Baudev!&, Beaugonin. Cornier, Cotrel, Guillebert, ài* eer. Picard, Thomas, anciens notaire».
LA VIE SPORTIVE
PROPOS AGRICOLES
La culture des céréales
COURRIER DES THÉÂTRES LES COUR SES
RUGBY - Le Championnat de France
La merveilleuse opérette Les quatre équipes restant en course dans le championnat de France de rugby américaine Le Chant du Désert Le rôle du pulvérisateur disputeront aujourd'hui les demi-finales. A Bordeaux, sur le terrain du Parc des qui obtient tous les soirs à acide sulfurique Sports de Lescgure, la section Paloisc ren triomphe indescriptible à le S. U. Agenais, tandis qu'à Lors 'd'un de mes- récents voyages ; à contrera Paris, au Stade Yves du Manoir, l'U. S. un travers les réglons agricoles, je pus ap .Quillanaise, tenant du titre, aura l'A. S. M0GAD0R, sera donnée en précier l'état gérerai très favorable des Carcassounaise comme adversaire. Après un début de saison qui ne fut matinée à 2 h. 30, aujour céréales sur" toutes les terres propres., très heureux, car elle ne put que pas Je remarquai, par contre que. comme rarement . en ligne sa meilleure d'hui dimanche, avec toute lés ; années précédentes, les mauvaises équipe la mettre section cepen herbes envahissantes commençaient dant à franchir lesPalolse—parvlnt divers échelons et elle sa grande et brillante distri . leurs ravages et en maints endroits eut le grand mérité d'éliminer en quart eompromettajpnt les récoltes. de finale le Stade Français l'un des grands bution. .
du championnat. -'Les mauvaises herbes sont, pour les favoris Pourtant dans ce dernier match comme cultures, des ennemis terribles, juste dans les précédents, les Béarnais ment redoutées de tous nos agriculteurs, âuèrent un sérieux fléchissement enmarfin car il- est compréhensible que leur dé e partie. La Section Faloise disposera veloppement se fait au détriment des: cette fols 11 est vrai de ses meilleurs plantes cultivées, auxquelles elles sous éléments et l'on doit prévoir une partie traient les éléments nutritifs contenus très disputée. Agen possède, en effet, une
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équipe complète dans toutes-ses lignes et capable de se qualifier pour la finale si son adversaire faiblit 9 nouveau dans le dernier quart d'heure. ' Entre Quillan et Carcassonne. deux JEAN SARMFNT clubs rivaux du même comité, celui du Languedoc, la lutte ne doit pas être moins sévère. L'equipe quillanalse possède des Dimanche : MATINEE /hdividualltéfc plus brillantes que son adversaire mais le jeu très serré des arcassonnals ne laissera aux champions de tinuer ses ravages. France de la saison dernière que le mini Le Tableau de Service d'occasions. Pourtant mum nous croyons lutter Pour contre, cet adversaire, le le jeu individuel l'emportera sur le travailleur des champs avait recours au que AUJOURD'HUI jeu collectif et que Quillan figurera en sarclage, de plus en plus onéreux par finale pour la troisième fois consécutive : MATINEES. — Comédie-Française, 1 h. suite.de la raréfaction et des.prix de la —r. M. G. 46, La Passion. — Opéra-Comique, 1 h. 45, . .. Manon. —Odéon, 2 h. 30, Le Rosaire. — main-d'œuvre agricole. Ce «ystème est Le prix ATHLETISME : Trianon-Lyrlque, 2 h. 30, Les 28 Jours praticable dans les cultures de légumes, Blanchet de Clairette. appelées justement plantes sarclées ; , Gaité-Lyrique, ,2 h. 30 ; Albert-I ,r , Am au-stade Jean-Bouln, bigu, mais' à" peu près Inopérant et lnterml-. Cet après-midi, Athénée, Ave "Atelier, Antoine, Arts, déroulera \la première réunion Inter ndble dans les cultures de céréales, non. se h. 45 CaumarBouffes-Parisiens, 2 ; nue, de la saison d'athlétisme. L'annuel tln, 3 h.; Com. des Champs-Elysées, 2 h. moins justement appelées cultures sa clubs abandonné un certain prix Blanchet, lissantes. ; Châtelet. 2 h. 30 ; Cluny, Daunou, 2 temps, renaît de ses cendres. Le program 45 h.'45; Déjazet, 2 h. 30; Edouard-VII, recherches entreprises Qr, des par nos 1 me de cette très vieille épreuve a été légè 2 . : Eldorado. 2 h. 30 ; Folies-Wagram, chimistes agricoles, nous ont conduit à rement modifié : le 110 mètres haies se 2 li.-45 2 h. 30 ; Grand-Gulh. 45 remplacé par.un 200. mètres haies. gnol, 2 ;h. Gymnase, des méthodes de destruction, économi trouve Madeleine, 3 h. ; Marigny, 45 ; Lès autres épreuves sont : 100, 400, 1.800 Michel, Mlchodiere, 30; Mathurins, 2 h. ques, avantageuses, et bien souvent ra et- 5.000 en plat. Il est fort possible Que 2 h. 45 ; Mogador, 2 h. 30 ; Nouveautés, dicales. "... l'on assiste, dans le 1.500 mètres, à un 2 h. 40; Nouveau-Théâtre, 2 h. 30 Œu ; : Je veux parler ici de la destruction duel Ladoumegue-Séraphln-Martln, • qui h. Palais-Royal, 2 45 2 h. 45 ; Th. vre, ; i>ar réunion. Plusieurs des mauvaises herbes les pulvéri serait le clou de la h.;. Porte2 h. 30 Plgalle, 3. de Paris, sations d'acide sulfurique sur céréales épreuves hors challenge : un relais 4, Saint-Martin, 2 h. ; 15 ; Renaissance, 2 h. (blé,- seigle, avoine,, orge) que nous en lois 250 mètres, un saut en hauteur, un 45 ; Sarah-Bernhardt, 2 h. ; Scala, 2 h. 30; saut à la perche et un lancement de ja Suint-Georges, 2 h. 45 Studio 2 h. 45; seigne M;. Rabaté. • velot compléteront le programma des Variétés, 2 h. 30, même; spectacle que le Préparer une solution dosant de 8 à épreuves d'athlétisme. Le Bacmg, le Stade soir. 14.% d'acide sulfurique,'suivant la na Français et le O. A. S. G. sont engages ! le Prix Blanchet. i ture'des herbes à détruire et aussi l'état dans Les Premières de la Semaine encadrée réunion Cette par un d'humidité de l'atmosphère et du sol. A match de footballsera qui opposera le C. A. l'aidé -d'un pulvérisateur, répandez 1.000 S. G. et le C. O. Billancourt LUNDI, soirée. Potinière, répétition gé et un match à 1.500 litres de ce mélange par hec de rugby qui verra en présence le nérale de Coucou. — Première mardi. • C. A. S. MERCREDI, matinée, répétition généra "terrain traiter. à tare dé à Deux trois O. et l'A.S. Bortolse. — P. Lewden. 'Arsène Lubin, banquier. — Première le d heures"après; vous pouvez voir la par CYCLISME Le vingt-troisième soirée. en celle prendre" un aspect^ fâcheux, les' her JEUDI, soirée, Opéra, répétition géné Paris-Tours bes g»sen t. grillées, et'jaunies sur le sol, rale de la Tentation de Saint' Antoine cependant que le blé lui-même présente Pour la 23' fois sera disputée aujour — Gaité-Lyrlque, reprise de La Dame; organisée Blanche. des trace$ de brûlures. Mais, pour lui, d'hui la course Paris-Tours Solxante-dlxl'Auto. confrère. notre VENDREDI, soirée. Studio des Champs-? le .mal n'est ; qu'apparent, car l'œil bien par engagés dans sept sont concurrents Elysées, répétition générale de La Bocca enveloppé dans la gaine que forment les l'épreuve dont le départ sera donné à délia Verita. feuilles de la plante, conserve toute sa Salnt-Cloud à 8 h. 30. L'Itinéraire qui — Première, samedi soir. soirée, Théâtre des Arts, re SAMEDI, vigueur et repart plein de vie et de passe par Versailles, Limours, Ablls, Char prise de Sainte Jehanne. sève, au lieu que l'herbe, à l'œil végé tres, Chateaudun, Vendôme, ChateaureDIMANCHE, matinée. Gaité-Lyrique, tatif bien / apparent est grillé, et que nault, Ambolse et Bléré comporte 253 ki première, ii ce théâtre, de Mireille. lomètres. la plante Entière meurt. i Depuis la victoire de Henri Péllssler en Spectables de la Semaine Ce. traitement a raison, à doses plus 1922, aucun français ne parvint à ga ou moins élevées de-la plupart des her gner l'épreuve. Deman, Mottiat, VersOl'ERA. — Lundi, Tannhauser. — Mer phueren et Suter deux fols et Frantz fu bes: i Boris Godounov. — Vendredi, Monna sept credi, effet les vainqueurs de rent ces en Une solution à 9 % ou 10 % détruit : dernières Vanna. Samedi, Faust. —Dimanche, années. — moutarde, ravenelle, liseron, renouées, Samson et Dalila, Soir de Fête. Au Vélodrome Buffalo .renoncule des champs, matricaires. COMEDIE-FRANÇAISE.— Lundi, Le Unp- solution à 12 % détruit : Gesses .La Belgique ne possédant pas de piste Carrosse du Saint-Sacrement, lia Voix faire disputer son championnat de humaine, J3oubouroche. — Mardi, jeudi sauvages, vesces sauvàges, coquelicots,\ pour derrière motos, c'est au Vélo et. dimanche, La Passion. — Mercredi, re demi-fond niellé, bleuets,, bourrache. .y drome Buffalo que cette épreuve sera dis présentation de retraité de M. de Féraudy. : Quapt aù chardon, il- ne se trouve putée cet après-midi. Victogt Linart, qui Vendredi, Le Passé. .— Samedi, Sapho. fu'affaibli,- mais la- plupart du - temps remporta treize fois le titre,"aura comme —Matinées Jeudi, La Passion. — Same Uffisammept'retardé; pour ne pas arri adversaires, Wynsdau, Thollembeeck, Be di, matinée : poétique. — Dimanche, Lés LiCloespin. noit, H. Aerts, Verkeyn et récolte. maturité avant la Trois à Henry. ver fols de plus le favori. Cette Seuls résistent au traitement : Chien nart est une encadrée .. — Lundi et jeudi. le Grand Prix LesOl'ERA-COMIQUE. épreuve sera Armaillés. dent, folle avoine, ivraie, vulpin des de Belgique'de vitessepar Mardi, Louise. — Mer réunira neuf credi, La Tosca,—Cavalleria champs, agrostés rampant, ail, abouée & concurrents Mlchard, qui Rusticana. — Faucheux, Kauf- iVendredi, Carmen. : Samedi, Les Noces musçari. chapelet, — Les Contes mann, Plani, Bergamlni, Leene, Scherens,.; de Figaro. Dimanche, d'Hoff— Ce grand prix, "Pour avoir les résultats recheronés, U Marcel' Jean et Chéron. mann. couru en trois séries, deux demi-fi faut effectuer le traitement d'assez bon* sera Matinées : Jeudi, Georges Dandin, Leà trois coureurs. finale nales et une l'apparition évidemment heure, c'est Sicilien peintre. Dimanche, ne AUTOMOBIL1SME - La 21' Madame ou-l'Amour Butterfly, Masques — et Bergamasdes mauvaises herbes qui fixe, mais il Vques. ne-faudrait pas attendre un trop -grand i. Targa Florio . " ODEON. —•«"Srttndl, Le Lion amoureux. développement-de la-.ceréale, ear la- dé _ circuit des Madonies, en Sicile, Sur "le double Mardi, La Passion, Le Verre de pression qui suivrait' entraînerait un re sera la 21» Targa — aujourd'hui disputée Vin blanc. des Char Mercredi, L'Ecole tardement dans l'évolution de la plante, FJorla, épreuve créée en. 1906. Le parcours latans, Le Chapeau — chinois. 'ce "qui pourrait se .traduire par une diml- de l'épreuve est de 540 kilomètres so}l — Jeudi, La ]Saanette d'alarme. Vendredi Le Ro — riullon 1dù rendement; ; circuit qui comporte en saire, La Belle éveillée. du cinq tours La Samedi, « — petite Chocolatière. L'Arlé: -L'époque favorable;est, suivant les cas, viron 1.400 virages. Dimanche, — Ces cinq dernières années l'épreuve fut iienne. du Vf janvier au 15 avril, la meilleure, remportée Cosfrançaise. voiture par une Matinées : Jeudi, Le Lion amoureux, Le dUil5 février au 15, imatis.. : Materassl 1926, 1925 et tantml en en Triomphe du Silence. Samedi, La dou IV est évident que pour les cultures de 1928 et 1929 franchirent ble Passion, Le Verre—de Vin blanc. Divo 1927 et en printemps, l'époque doit être retardée ; victorieusement la ligne d'arrivée. Divo. Dimanche, L'Ecole des Charlatans, Le — on peut.alors traiter 30 à 45 jours après réalisa la meilleure moyenne l'année der Chapeau chinois. (es semailles ; il est à conseiller d'em nière avec 74 km. 360. TRIANON-LVRIQUE. — Lundi, Les Les vingt concurrents suivants pren ployer des doses moindres. ; x Mousquetaires au Couvent. — Mardi, Rêve Conelll, Cliiron, : Divo, L'acide sulfurique détruit la plante dront le départ de Valse. Mercredi, Princesse Czardas. Mag-' Nuvolarl, Varzl, Campari, — par sop ' pouvoir déshydratant, c'est-à- Williams, iMfnoïa, Morandl. Balestreto, — Jeudi, Les Saltimbanques. — Vendredi, Ghersi, gi. dire par son" avidité-d'eau, qui lui don Borzacchlni, Maseratl, Arcangell, Buggl- Le Barbier de Séville. — Samedi, VArté (Gala Odéon). ne la propriété d'absorber les molécules erl, Bittmann, Neuzlone, Fagioll et Ip- sienne Matinée de cellules : Dimanche : Princesse Czardas. pollto. aqueuses contenues dans les doit C'est entre les quatre premiers que l'herbe ; d'où il est net qu'il faut re COURRIER MUSICAL chercher pour le traitement un temps se disputer la course.. SOCIETE PHILHARMONIQUEDE NEWsec, chaud, attendre que la rosée soit YORK. — 9 heures, Opéra, sous la direc partie; etc... • ttaquer et les endommager, surtout tion de M. A. Toscanini : Symphonie traitée est donc débarras aceux • La céréale de coton. (Haydn) ; La Mer. (Debussy) ; Rondo Vé ~sée des mauvaises herbes ; elle se trouve nitien de les (Plzzetti) ; Boléro (Ravel) ; Maitres propriété nettoyer la Outre ae ! ' plus fortifiée au lieu d'être. affai sols, l'acide sulfurique a encore le mé Chanteurs (ouverture, Wagner). blie, .et ' apuès un ralentissement de rite de modifier le milieu alimentaire quelques jours, elle repart plus forte : 4ps cultures, rendant plus assimilables SPECTACLES & CONCERTS son ' tallage s'effectue plus rapidemsnt, bien des éléments nutritifs, en les trans et sa résistance à la.base est plus gran formant en sulfates. Cette action ne se LES MATINEES D'AUJOURD'HUI. — de, ce qui permet de plus fortes applica manifeste que dans les sois riches en Folies-Bergère, 2 h. 30 ; Casino de Paris, tions ; de- nitràte, qui, immédiatement chaux, d'où il est recommandable de 2 h. 30 ; Empire, 2 h. 30; Palace, 2 h. 30: après le traitement, sont fort à con- bien chauler préalablement les parties à Concert Mayol, 2 h. 30 ; Cirque d'Hiver, 2 h. 30; Cirque Mcdrano, .2 h. 30 ; Le : sellier. traiter, qui subiront d'ailleurs une légère Paramount,. 2 h.; Aubert-Palace, 2 h. 30; Il convient de signaler que l'acide décalcification au contact de l'acide. : Caméo, 2 h. 30 ; Gaumont-Palace, 2 h. 30; sulfurique est un produit éminemment Ses bienfaits ne se bornent pas là ; il Moulin-Rouge-Cinèma,2 h. 30 ; Olympia. toxique, et par suite, très dàngereux si intervient- énerglquement et enraye le 1 h. ; Clué-Capuqlnes, 2 h. 30 ; Marlvauxl'on ne s'entoure pas des précautions in- développement du plétin, il atténue la Pathé, 2 h. 30 ; Ursulines, 3 h. '; Œil de Paris, 3 h.; Agriculteurs, 3 h.; Clné' dispensées.' C'est ainsi, qu'il ne faut rouille etises méfaits, et sur les b!és ge 2 h. 30 ; Max-Linder-Pathé, 2 l'acide, de l'eau de dans lés- il agit comme régénérateur et re Carlllon, - jamais -verser '30 h. Electrlc-Palace, 2 h. 30 ; Cigale, ; car on ^provoquerait une projection oe constituant. 2 h. Le Collsée, h. 30 ; Artistlc, 30 2 ; la maise toxique, mais toujours de l'aci- • Ce sont là des avantages qui ne Uol- 2 h. 30. dç dans.- de l'eau. Veiller éga ,vçnt pas . permettre à l'agriculteur d'hé lement à l'ouverture des bonbonnes, siter sur l'achat d'un pulvérisateur, qui CE SOIR : l'entrée 4e l'air doit se ; faire lentement, est non seulement avantageux, mais in FOLIES-BERGERE. 8 h. 30 Vn Coup sinon les projections se produiraient dispensable. Moi-même agriculteur ex de Folie, 80 sensations de M. : Louis Leégalement. ploitant, j'ai eu l'occasion d'apprécier marchand (MM. Randall, Castel, Lemercier : Mmes Valbelle, Betty Campson, brûlure, SJn pas de se laver Immédia ses bienfaits, et cette année encore, Troïsky, Carletta Contl, Zulaika). dou intervention j'estime aura que son tement à grande eau. Lors de l'épandaà 8 h. 30 : La Revue de la PALACE, ge. il est à conseiller de revêtir des vê blé en bien des cas un rendement «m- Femme (la grande étoile mondiale Raquel tements usagés, de préférence de laine, promis. Meller ; le célèbre fantaisiste Saint-GraCharles Rouchon-Mazerat. nier). car les gouttes de solution peuvent les s ;
âans
et qui souvent ont été ap portés sous'forme d'engrais coûteux. Le mal ne s'arrête pas là: ; l'herbe ne se coptente pas de voler la nourriture de la: plante,, elle lui ,vole. l'air, le soleil, la pluie, elle l'enlace, l'étouffé, com plique sa récolte et sa graine qui tombe sur la terre fructifie et se Retrouve da'ns les années qui suivent, pour con le sûl,
k
«
VITTEL
e68— Feuilleton
du petit'Journal.
4 Mai-1980
ooo ooo
LA MAI50«
sans enfant grand roman passionnel et dramatique
par Maxime La Tour
la
TROISIEME PARTIE
FAUTE
de simone
IX. — Césaire agit (suite)
.
La jeune actrice avait remplacé ^aul Josâerand par uu jeune Américain iort riche.' Elle n'en était que plus éblouissante, et de mise plus tapageuse aussi. Césaire, qui n'avait pas vu sa fille de-piiis-longtemps lui-en fit la remarque. : 1111et.— Conime tu es jolie et élégante,
te
!
:
-
c'est une question de maquil — lage et de couturier, avait répondu la pe tite en ietant un coup d'œil vers la glace. qui t'amène, pitchdunet* — Et qu'est-ce té ; et raconte-moi. un peu pourquoi ' tu. ' pènses ce'matin à ton'bonhomme de père ? Peuh
!
Lulu s'était assise. journaux, l'affaire — T'as vu, dans les
Martin-Privas ? demanda-t-elle plus de préambule. -
sans
"GRANDE à jeun et aux repas SOURCE" i'eau des arthritiques
.
Hier, Vincennes EMISLEME ROYAL ET ENFANT DE TROUPE FONT DEAD-HEAT
et du Charme ; 20 attractions. CONCERT MAYOL. 8 11. 30 : La Parade ' La Société du Demi-Sang a bénéficié du Nu (MM. Carol. Charpini; MmesPeggy{jour sa réunion du d'un',temps gplendide Vère, Paulctte Franck). Prix Conquérant qui. n'avait pas manqué CIRQUE D'HIVER, 8 h. 30 : . Novelle d'attirer tous les fidèles du Trotting sur Bros ; Stetson ; Zoiga et Rachel ; les 50 le Plateau de Gravelle où se trouvaient chevaux»de Carré, etc... ' nos meilleurs trotteurs de quatre CIRQUE MEDRANO, 8 h. 30 : L'écuyer réunis à ans ; tous sujets de premier Roberto de Vaseoncellos ; les clowns Cal- ordre, l'attelage La s'est terminée par un .course roli, Porto, Carletto, liés et Loyal, les che passionnant dead-heat entre Emblème vaux. etc... Royal et Enfant de Troupe qui ont passé le poteaux dans la même battue. Fromental .et Pronostic ont fourni de gros rapports au Pari-Mutuel ; la.défaite d'Excellente B a été cuisante pour les joueurs de la favorite dans le Prix du Dauphiné. En somme gros succès pour cette réu nion dont le steeple-chase final fut chau dement disputé. Prix de Lugny (monté), 12.000 fr., 2.600 m. : 1. Ecureuil D, h. M. Saint (E. Marie); 2. En Avant : 3. Evelyne II. — N. pl. : Epi. Etoile du Nord, Esclavelles, Eleusis C, Edelweiss C, Ecouis, Eros X, Emeraude II. — U part. — 3'58"l/5, 4'01"3/5, 4'03"2/5J 4"04", Le fcll. en T31"l/2. Mutuel. — G. 50.50; P. 14.50. 13.60, 19. Prix de Meaux (att.), 10.000 fr., a.250 : m. : 1, Fllibert Jockey, à M. Fernand Jac quier (Tcherkassoff)^; 2. Flavlgny II ; 3, Fathma, — N. pl. : .Floride II, Frelu quet O, Fourlre, Fredaine, Fleur d'Osier, Fontarie II. — 9 part. — S'39"2/5, 3'40", 8'43"2!6, 3'48"4/6. Lë kll. en l'37"3/10. Mutuel. — G. 8.50; P. 6, 10. 6.50. Prix de Mont-de-Marsan (monte), 20.000 fr., 2.800 m. : 1. Des-Grleux, à M. J. Borrher (E. Carré) ; 2.' Chevlllon ; 3. Drôle de Gosse n. — N. pl. : Dan Juan II, Coq du Berry, Corsaire, Ebène II, Mafalda M, Clair de Lune III. — 9 partants. — 4'12Vl/5,* 4'12"4/5, 4'14"l/5, 4'17"l/6. Le kll. en: l'28"l/2. Mutuel. G. 25; P. 10, 12.50, 12.50. Prix Conquérant (att.), 200.000 francs, -2.900'm'.:; 1. Emblème Royal,.& .M.iL. Dasso'nvllle (Begou) ; 1. Enfant de Troupe, ù M. A, Gypteau (A. Gypteau) (dead heat); 3. Eslx. — N. pl. ; Eleagnus, Eclipse, Ex press, Eurvlllé,' Etoile d'Arqués, Extra Dry, Eros ' III. — 10 parti — 4'09", 4'09"l/0, é'k a • 4'll"2/5. Le kll. en I'28"9/10. Embl. Royal Enf. de Tr.: Mut. G. 6. P. 7.50; G. 24, P. 13.50; 12. DEs]ç£l/VHES — AV£C SPUODZS pRU Prix Ilemlne (monté), 40.000 fr., 2.250 SÉALEX^N 0RE:D.UMA5ii(| m. : 1. Fromental, à M. P. Chamon (Verzèle) ; 2. Facteur ; 3. Fou du Roi II. rN. pl. : Fromerie, Fumiste, Francœur L, -/PEÇTACLC PERMANENT de U"AMHo«s i'prytr. be/ PLACES DE «O « nîr FOSNC/.!* Fleur de Serpolet, Floréal II. — 8 part. — ûià&Làr écQu. d/rpèm 3'31", 3'82',', 3'32"2/5-, 3'33". Le kll. en l'33"4/5. Mutuel. G. 125; P. 14, 6.50, 6.60. DOUGLAS FAIRBANKS Prix du Dauphiné (att.), 15.000 francs, 2.250 m. : -1. Pronostic, & M. ThT de Caba parle en français dans le prologue nes (R.-C.. Slmonard) ; 2. Emouchet ; 3.. Errçlnence Noire. — N. pl. : Excellen te B, Dix Louis. Epamlnondas, EglantlIII; Dakota, Diamant IV, Dame Jean ne AU MOULIN-ROUGE ne, Doncaster, Dentl. — 12 part. — 3'23" 1/5, 3!24"3/5, 3'24"4/6, 3'25"2/5. Le -kU. l'30."3/10, SOUS LES TOITS DE PARIS enMutuel. — Q. 144.50; P. 25, 16.60, 10. Prix. de Salnt-Wandrllle (St., chev. de selle, poids moyen et lourd), 12.000 fr., 3.600 "m. : 1. Géranium III, au comte J. de Vienne (G. du Brell) ; 2. De Caen. — N. pl. : Dragey, Croquemltaine III, Co^ - sfe * cote Gauloise, Duc d'Arvor.,— 6 part. — V 5 1., 5 -1., 6 1. Mutuel. — G. 29.50; P. 12.50, 12.
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55 (T.
rat.
ECHECS 2.982. — Problème, par Kallna (1928) " * B : 12. N : 9.
& * iw
Le
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Moulin-Rouge Cinéma
»
donne
•depuis vendredi cette œuvre parfaite de René Clair, remarquablement interprétée Albert Préjean, Pola Illéry, Gaston par Modot, Edmond Gréville et Jane Pierson, L'excellence de là distribution et la qua lité du film assureront un succès énorme à la belle salle de la place*'Blanche. ——-O——
FOLIES-BERGERE. Le nouveau ét Un' Coup de Folie, formidable spectacle : — 80 visions d'art et de joie, de M. Louis Lemarchand, continue & faire les plus belles recettes de Paris, au célèbre musichall de la rue'Rlcher. Aujourd'hui mati née. PALACE. — En matinée et en soirée : Raquel Meller dans la nouvelle Revue de la Femmg. avec le célèbre fantaisiste pariBien Saint-Granier, Loulou Hegoburu, et -une troupe formidable de 300 artistes, 80 girls et boys.
EMPIRE. — Aujourd'hui, matinée et soirée : le formidable comique américain
Toto ; l'orchestre argentin Salvador Pi zarro ; le trio de danse Leblanc, du Charm et Ray ; la jolie trapéziste Tamara ; Dora Stroeva et 20 attractions.
MEDRANO. — Matinée et soirée du nouveau spectacle, dix débuts, /numéros Inédits en France, les fanutux clowns irré sistibles de Médrano. Et toujours la triom phale haute école de Roberto de Vaseon cellos, chef-d'œuvre d'équltatlon.
f ilm passe cette se maine sur l^écran du Gaumont-Palace. Cette puissante réalisation de ijupuPlck, d'après le scénario d'Abel Gance, émeut profondément le cœur des foules qui ne restent pas insensibles aux dou leurs c'u grand Empereur. O'Jtte belle fleure est personnifiée par Werner Krauss, entouré de : A. Bassermann, Suzy Pierson, Georges Peclet et GAUMONT-PALACE. — Le grand Napoléon à Sainte-Hélène
Philippe Herlat.
ELECTRIC-PALACE Fécondité, d'a près le chef-d'œuvre d'Emile Zola, conti nue une brillante carrière à i'Electric Palace. «0 ANS D'INTERDICTIONde SEJOUR
Berthe Mathieu-, 54 ans, sans domicile fixe, déjà titulaire de 270 années d'inter diction de séjour, vient d'être à nouveau arrêtée. Elle s'était présenté chez Mme Beauvliain, 81, rue-Champlonnet, confec tionneuse, et lui avait demandé du ' tra vail à faire à domicile, alors qu'elle l'avait déjà escroquée de cette façon U y a quelques mois. Après interrogatoire du commissaire du quartier Clignancourt, Berthe Mathieu a été envoyée au Dépôt.
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• V _. ' 'SUITE —r-'. ; 20U Colis de 10 kilos, produits Capltan (Pâtes*alimentaires diverses] (Suite). 724. Mme Duval à Plllemoli^e (Jura); 72&. Mlle Prud'hon a Salnt-Laurent-de-Chamousset (Rhône) ; 726. Mme Ramvez, 2, rue Armand Desnosse, Montataire (Oise)-; 727. Mme Bœhmer, 59, rue Serrurier, Laon (Aisne) ; 728. M. Martin, 139, bou levard Lavolsier, Clermont-Ferrand (Puyde-Dôme) ; 729. M. Meurisse, rue du Pe tit Canton, Anor (Nord) •; 730. M. Morunler, 37, rue des-Boulets, Paris ; 781. M. Hotte, Grand'place, Orlgny-Salnte-Ben^lte (Aisne) ; 732. Mme Foureur, 73, rue du Docteur Thomas, Reims (Marne) ; -733. M. Lavenne, 3, faubourg Etienne - Do]et, Saint-Claude (Jura) ; 734. Mme.Bldoye, 1, rup de la Collectivité, Le -Mans (Sarthe) ; 735. M. Olive, 10 bis, rue du . Lion, Bondy (Seine) ; 736. M.-Toulotte, r-e de la Gare, Pernes-en-Artols (Pas-d'erC.Î ; 737. Mme Caux, 6, rue de l'Eglise; Desvres (Pas-de-C.) ; 738. M. Preslier, rue Cambournac, Aublgny-sur-Nere (Cher) 739. Mme Aftallon Marie, 9, rue Gérando, Paris ; 740. Mme Aftallon Jacqueline, B, rue Gérando, Paris ; 741. M. Plgot, Savlgny (Yonne) ; 742. M. Porte-Vasseur, rue des Cordellers, 8, L&on ( Aisne) ; 743. Mme Vve Mondet, Grande rue,- Mallemort (B.du-R.) ; 744. M. Dupuy, rue Cerlce, Tull# (Corrèze) ; 745." M. Varlet, J rue. du. FortMahon, 21, Vaux-sur-Laon (Aisne) ; 748. M. Wagnon, rue de l'Epine, 6, Tourcoing (Nord) ; 747. Mme -Coddée, rue Saint» Jacques, 61 ter, Douai (Nord) ; 748. M. Varlet, boulevard Gras Brancourt, Vauxsur-Laon (Aisne) ; 749. Mme Aftallon, rue Gérando, 9, Paris ; 750. M. Aubertln, ruq Mayran, 8, Paris ; 751. Mme Duvernols, rue de Martray, Meursault (C.-d'Or), ; 752. M. Petltout. place du Marché, 9, Laoa (Aisne) ; 753. Mme Brunetti, rue du Doc teur Heulln, 6; Paris ; '754. M. Puaux, rue du Rempart, 2, Dunkerque (Nord) ; \A Suivre.) '•..•..M*-
il^B i
m m-m Les Blancs
jouent
m m
Mat en deux coups. Solution du numéro 2.959 : G. Thoren. 1. R-5D. R-5TR ; 2. D-6FR*. R joue ; 3. Mat par D*-l„„ R-7TR : 2: D-5R", R joue ; 3. Mat par D'-l..., T-7D ; 2. Tr6CR, ad lib. 3. Mat par D-8TR*-1..„ T-8CR ; 2 DXF*. ad lib. 3. Mat par D*-l..., T ail leurs ; 2. DXF*, ad lio. 3. Mat par D7TR». Solutions justes : Drallleb, Genty, Mau rice et Lucien Descorps, E. Lebrun, R. Fontaine, Jean Maire, René Tlnant. :
DAMES '
2,983. —' Problème, par F. Gourcy : B : 16 P. N : 15 P.
Ces lauréats, n'ont aucune erreur dan» leurs réponses à la question principal* (40 villes). Tous ont indique exactement les 13 Produits préférés déstgnés par le referQn» dum (première question subsidiaire), rrtau) aucun d'eux ne les a placés tous exacte• ment dans l'ordre idéal -; les erreurs de Les Blancs jouent et gagnent places commises ont constitué les fautes Erratum. — Au 2.978 (G. Coladan), ré d écarts. : tablir un pion blanc à 19. La correction de leurs solutions s'-est Salution au numéro 2.960 : G. Rebardeau. alors poursuivie (suivant le même prooMé B : 50-45 27-21 33-29 32-28 20-24 24-15 que ci-dessus) sur leurs • réponses' û Ut . N : 40-49 26-17 24-42 49-47 23-41 perdu deuxième question subsidiaire. Nota : A la condition d'ajouter un pion blanc à 25, comme nous l'avons Indiqué ; Renseign ements commerciaux autrement, sur 33-29, les N. peuvent jouer 23-25 et le gain n'existe plus. L'idée était Jolie. Malheureusement, même avec cette rectification, le problême comporte une HALLES CENTRALES (Paris, 3 Mal) démolition par 43-39, 50-44, 39-34, 27-21; Fruits : Vente active pour les fraise* 25-20 et 33-4 gag. seulement ; bananes, 100 k„ 540 à 580 ; Solutions et observations justes : P. fraises d'Hyêres, 10 à 40 ; Pa Broyer, J. Bergier, Jullue (Sedan), J. Risse, ris. le plateau, 8 laà corbeille, Espagne.. 40. oranges ; Maud B., Gabriel Dentroux, A. Buquet, F. 100 k.. 180 & 300 Algérie, .280 à 320 : ; Bourdou, Louis Forcy père, Jean Maire, pommes choix, 600 à 1.400 communes, ,; G. .Waryn, Le Damier Thiernols, Foucault à 450 ; pruneaux, le kilo, 5 .& 12 ; père et fils. Raoul Bourdon, E. Llet, J. 250 Algérie, 100 k., 400 à >700. — -8L,e— tomates Thomas. René Tlnant. guines ; Marché bien approvisionné...Ven te active. Artichauts Alger, le cent, ÛO ft JEUX D'ESPRIT ET CURIOSITES 130 ; Midi, 60 à 200 ; asperges -Midi,* la 2.984. —. Charade, par H. Prunier : :5 à 40- ; carottes nouvelles, 1.50 à D'une fauve couleur, parmi les graminées, 4botte, ; communes de Meaux, 100 k.. 20 à 40: Mon premier se récolte à la chaude sai- cerfeuil, 100 a 300 ; champignons de cou |son ; ches, 100 k., 1.000 à ; choux, nou Dans le massif alpin ou dans les Pyrè- veaux,..le cent, 60 à 801.400 60 à 80.: .Paris,.. ; | nées. choux-fleurs Angers, 60 ù 250 ; cresson, Mon deux est Imposant. Faites la Jonction. 18 douz., 20 à 45 ; èplnards, 100 k., 20 Un délicat poète apparaîtra sans peine : 80 ; fèves Midi, 200 & 240 ;-haricots vertaChez Banville, 11 avait rencontré la plu- Espagne, 650 & 1.000 : Algérie, 500 à 1.300; Ipart navets nouveaux, la botte, 1 à 2 ; com Des fervents Parnassiens, : parmi lesquels muns, 100 k., 70 à 420 ; oignons; 20 | Verlaine, 50 ; oseille, 50 à 100 ; persil, 100 à ifiO î " * Albert Mérati Valade, et c'était avec art poireaux, 100 bottes, 40 à 125 : pois Algé Qu'il composait ses vers où la grâce at- rie, 100 k., 250 & 400 ; Midi, 250 &'500. ; I tendrle pommes de terre Algérie, 200 à 250 ; Midi, , S'aille heureusement à la phllosophié. 230 à 270 ; Hollande. 50 à 80 ; radis Paris. 2.985. — Triangle svllabique, par Raoul 3 bottes, 1.50 i 2.50. ' ' ' : . , Bourdon : Marché de In CHAPELLE. (.Paris, 3 Mal) Plusieurs saints ont porté ce nom - Paille rte l»lé : prem. quai. 190, 'dïux. 175 à 185, trois. 160 à 170. — l'ailie'«le Qu'aussi revendique une danse : seigle,: Ensuite un maréchal de France * prem, quai. 190, deux. 176 à Î85, Que, î^EroBirevoyait,ialt baron,. trois. 160 à 170. — l'aille d'avolne -. prem, .. Un oxyde auquel le'chimiste quai. 185, deux. 170 à. 180,- trois. 155 ' 185. — Foin : prem. quai.: 380, deux.. 355 A trouvé des emplois heureux ; <tie : prem. & 370, trois. 335 & 350.«3ftiàïfcer Certain insecte désastreux ; ' quai. 395, deux. 370 à 385, trois: 350 a 360. Un. excellent feuilletoniste. Regain : prem. quai. 385, deux. 860- A 2;986 Logogrip/ie complet, par G. Leconte : — 370. trois. 340 à 345. Pratiquer certain sport, mais loin de l'E- Marché d'ALEXANDRIE (Clôt.), 3 jlal Cotons : Ahsmouni, Juin 19.82, août ; De „ ce verbe enlevez tour & tour[quateur une let- 18.18, OCt. 17.30, déc. 17.62, fév. 17.99. Sa[tre. kellarldls. mal 28, julll. 26.67, nov. 25:15, _, . : de laine, tissu. Pour le pain, ma- janv. 25.52. C'est |iaxeur. Marché de LIVERPOOL (Clôt ), 3 Mal ,, ' Maraude. Oncle ou cousin. Pays qui nous Cotons américains. : mal 8.11, juin 8.07, f Julll. vit naître. 8.06, août 7.97, sept. 7,91, OCt. "JB6, Pratlcipe pieux. , Personne' valeur. nov. 7.85, déc. 7.87, Janv. 7.87, fév. 1£9, sans Solution du numéro 2.961 : « Ana mars 7.91. avril 7.93. mai (1931). 7.95. gramme « (Raoul Bourdon) : Aumônier, MARCHE DU HAVRE (Clôt.); 3 Mal. Roumanie: Cotons Janv. 490, fév. 490, mars 488, Solutions justes V. Eveno, René Félix, avril 488, : mal 504, Juin 504, julll. ,00, E. Brunot, E. Vasseur, André Darne, Félix août 497, sept. 493; oct. 489, nov. 488, >l'ec. Bonvalot, Olivier du Couëdlc, G. Waryn, 489. Tendance soutenue. Ventes ; 400 bal A. Vçrnerie, La Marine (Ambieteuse), H. les. — Cafés : Janv. 249.50, fév. 247.75, Prunier, Th. Chevillot, Raoul Bourdon, mars 248.25, mal 271.50, Juin 267.50. Julll. Ch. Part. R. Tlnant. 261.75; août 260.75, sept. 256.50, oot. 255, nov. 254. déc. 251.50. Tendance soutenue. PETITE POSTE Ventes mal 910, sacs — Laines .il plusieurs : Pour les conditions d'a Juin 910.4.000 Julll. .910, août 910, 910, sept. bonnement à Nos Récréations, s'adresser & oct. 910. Tendance calme. Poivre* : M. Vlvarrat, Montéllmar. Le numéro spé Saïgon, Janv. 635, fév, e35. — 685, mars mal cimen 1 fr. 50. — J. Clément, G. Waryn, 635, Juin 635, Julll. 636, août 635, «ept. J. Maire, G. Rebardeau : Bien reçu ; exa 635, oct. 635, nov. 635, déc.. 635. minerons. Hector PASCAi.
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ECOLE
BERLITZ 31, bonlevard des Italiens,1 Paris : 7 et 8 MAI NOUVEAUX COURS
(Particulière et collectifs)
- > Débutants et Perfectionnement
L'Inscription est ouverte Notice franco. L'Kcole est ouverte toute l'année
LANGUES ^ %mmuV IV AN T E Les désespérés. — Dans le lavabo l'un café de la rue de Grenelle, M. Glnlllo Mossa, 51 ans, 32, faubourg Salnt-Honoré, s'est donné la mort en absorbant-plusieurs cachets de véronal.
Visitez du 3 Mai au 30 Octobre l'Exposition internationale de Liège
à la pouponnière ; mais cette fois au lieu — Mais oui, hélas 1 c'est lui, soupira d'être le joyeux boute-en-train qu'il avait Maria. coutume de se montrer, il devait se faire — Tu en es bien sûre ? violence pour dissimuler sa préoccupation. — Voyons, naturellement, j'en suis cer Cependant, la tristesse de Maria l'avait taine. Je croyais vous l'avoir déjà dit. surpris. — C'est exact. Tu ni'as dit en effet que bé ! fillette, -ça ne va pas ? le Eh, le père de ton fils s'appelait Julien Mar — profité pitchounet bien tu es pas, ou ne tin. Seulement je ne le croyais pas. à mai ton aise ? — Pourquoi ne le croyiez-vous pas ? Et, comme sa belle-rfille répondait né Vous voyez mes larmes ; je ne pleurerais gativement, il avait insisté ; ainsi pas un homme qui ne me' serait mauvaises chagrins, Tu des de as — rien.. nouvelles ? Césaire réprima un geste de colère. Maria n'avait pas résisté plus longtemps Pleurer cet infâme Martin, c'était un à la douceur de confier sa. peine. comble, et cela le révoltait.. petit C'est le père du qui est mort, — — Je me demande s'il ne t'a pas été avait-elle avoué. plus funeste que bon, et s'il n'aurait pas J- Mort 1 s'était exclamé Tramire ; et mieux valu qu'il ,ne tp fût rien, ronchon comment cela ? na Tramire. c'était Martin Jjilien qu'on Oui !... ce cela ? s'étonna — Pourquoi pensez-vous dit—avoir été assassiné par Mme Jacques. Maria. ai ne vous pourtant rien dit sur Privas... une affaire sensationnelle dont lui qui Je $ût pu vous donner cette opinion. tout le monde parle ; vous devez bien être au courant. — Non, tu ne m'as rien dit, s'enflamma le bouillant Marseillais, et c'est bien ce Bien sûr, qu'il était au -courant ! Seulement la chose à quoi il ne compre que je te reproche. Pourquoi m'as-tu men nait plus rien, c'était l'ascendance de son ti et raconté que c'était un homme très bien, un « monsieur » quoi, alors que ce peùt-lils. Maria s'entêtait à lui donner Julien n'était qu'un sacripant ! Maria connaissait les colères de son Martin pour père, alors que Thérèse Pri elle savait sa promptitude à beau-père, vas et sa belle-fille étaient persuadées que c'était l'enfant de Jacques Privas. s emporter, mais aussi elle avait expériCette fois, Césaire décidait qu'il saurait mené son cœur; Bile ne -voulait pas voir toucher" à la le mot de cette énigme. prétends que c'est ce mémoire; de Julien qui, certes, avait iété — Ainsi donc, tu Julien Martin le père de ton petit '/ Ge- un mauvais garçon, mais dont'la triste fin
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Césaire se mordit la langue, pour ne pas comment ne pas la suivre ? Il n'y a que ça de passionnant dans les ga révéler qu'il connaissait Simone et pour zettes ! , quoi il la connaissait. —.Hein, ça te passionne aussi, toi qui Lulu reprenait de plus belle. Eh gens-là ? n'as pas de rapports avec ces Mais l'autre, tu l'avais vu, celui;là. bien, tu penses un peu ce que ça peut me Il — était avec la vieille Privas, le soir'où faire, à moi qui les connais. tu les a épiés, tu te rappelles, dans le ca — Tu connaissais "ce Julien-Martin ? binet particulier, à Montparno ? demanda Césaire d'un air détaché. je me rappelle, bagasse ! — Oui, oui,j'aurais bien cru que le Mar Même, — Je te crois, et Mme Privas aussi, tin— mijotait puisque c'était la sœur de mon ami. Même Ëeile-mère. un .mauvais coup avec la D'après ce que Paul m'avait que j'ai été reçue par elle, chez elle. raconté et ce que je savais par moi— Eh bé. je ne savais pas. ça me met le cœur à l'envers, même, la réunion de ces deux clients-là — Moi, cette histoire-là. Je ne peux pas croire que n'annonçait rien de bon. Mmp Privas, si gentille, si aimable, enfin Té, je vous ai dit sur le moment ce — qui a été si bonne pour moi l'année der que j'avais entendu. nière à Deauville, ait commis un crime et — Oui,_bien peu de choset Tu ne te rap à être elle condamnée peut-être pelles rien d'autre ? va que Martin, la mort de de type un ce Que veux-tu que je me rappelle ? cause — fond cher, I qui ne valait pas ' au — Est-ce que je sais, moi ? Mais si on ? • Tu avait pu trouver un moyen de tirer Mine ^ -- 'J^enpenses M sûre. comprends, suis Tu ne Simone Privas de ce mauvais pas, ce que — bcgueule de et Privas, au lieu de faire la j'aurais été contente! passais tête la quand je avec son arriver, il tourner des Ça peut y a coups ie — !" irete, me disait bonjour gentiment ; fina théâtre justice en lement. elle m'a laissée venir chez elle ; I ju I u était repartie, laissant Tramire et ça, tu sais, ça ne se fait pas dans le plus troublé que jamais. monde. Ce qu'elle lui avait dit de Simone, il le si les luges demande Je peu un me — il ignorait la reconnais de Mme Privas ne seront pas plus _sé- savait déjà ; mais que sa fille avait vouée à la jeune vèrec que moi. Aussi, si elle devait être sance Privas. condamnée, cette femme-là, j'en ferais Mme C'est sûr qu'elle en' serait malade, — une maladie. petite, répétait-il ; c'est sûr, elle a cette pitchounette I là, point A ce povre — Tu du cœur,.ma Lulu! la coùnais rigoler, tu ,pas, ne peux Dans l'après-midi, Il était donc arrivé toi—1 — Té,
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EMPIRE MUSIC-HALL, 8 h. 30 : Toto, Dora Stroeva, Salvador Pizarro, Le Blanc
JEUX ETRECREAT10NS
effaçait les fautes.
Pourquoi ne m'avez-vous pas dit que vous le connaissiez ? demanda-t-elle. Parce que je ne pensais pas que ça — t'intéresserait, riposta Césaire. bien dit que — Pourtant, je vous avais c'était le père de mon fils ? — Je ne le croyais pas. — Mais enfin pourquoi, voyons, expli quez-moi pourquoi ? Résolument, il commença son récit, ta contant, exactement cette fols, la couver sation de Thérèse Privas avec Martin e 1s pacte qu'ils avaient conclu tous deus pour déshonorer Simone et faire la for tune de Maria. Au fur et à mesure que son beau-père pariait, la jeune femme commençait & comprendre ce qu'elle ne s'était pas ex pliqué jusqu'ici. Les soins, les gâteries, les attentions de Thérèse Privas, tout cela venait de ce qu'elle croyait bien que l'enfant de Maria était son petit-fils. pourquoi n'avez-vous pas — Pourquoi, parlé ? demanda Maria, Interrogeant Avec anxiété le Méridional. de toi, fillette, pour aider à — A cause ton bonheur. possible — Mais il n'est pas de bonheur malheur d une pour moi au prix du femme pour laquelle je n'ai que sympa thie, que respect, s'emporta Maria. voyais ma — Le savais-je, mol ? Je te Privas, grâce à qui toa riée Jacques avec petit avait un nom et une fortune 1 " f . —
U sutvrel J
4-5-30
Le
COURRIER DE LA T.S.F, Rsdio-Paris Bourrée de la 2* kondlnq (Beethoven) ; L'hirondelle (D&-; quia) ; Chanson d'amour (Schubert) : . Mazurka (Chopin) ; Sérénade.à la Pou pée (Debussy). — 15 h. 30 : Radio-Paris : Si l'étais chef 1 de gare (M. Yvaln), de L'Enlèvement Kadubee ilè' ' ' J'pperette " " ; ~ au Sé : rail, ouverture (Mozart). — 16 b. 30 : RadloL.L. ; Etude (Chopin) ; .Prélude et Fugue (Bach); La jeune Religieuse (Schu bert) ; Invitation au voyage '(Dupai*). — : : suite anglaise (Bach) ; Menuet (Haydn)
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& 18 b. Prenez RADIO-PARIS le deuxième concert entendrez Vous des « SOIRS DE PARIS » offert par les parfums
BOURJOIS « FLOSSIE »
Audition do
interprété par ses créateurs Jacquellre FRANCELL et JCOVAL h. 10 : radio-Paris : Fantaisie sur le Jour «t la nuit (Leeocq). — 20 h. 80 : Radio L.L. ; Songe d'une nuit d'été, ouvérture (Mr.idelssohn) ; Idylle. Danse vil . lageoise (Oijubrier) ; Le Ruisseau, Marguprito -ati rouet. Sérénade (Schubert). — 21 h. „• Petit Parisien : Berceuse héroïque (Debussy). — 32 h. 30 : Paris P.T.T, : Vir-, et musique de danse. tuoses russes 'ETRANGER. — 15 h. : National Daven• ' tfy : Cantate de Bach, r— 20 b. : Lon dres : 'Magnificat. — 20 b. 40 : Vienne : Chants. FRANCE, Lundi S Mal 251 m. S. Concert. Kadio-Lvon, 1 12 h. 13 "h. 25 Paris P.T.T., 447 m. Concert Speaking of Kentuc&y (Gilbert) ; 61 J'étais jardinier (Chamlnade) ; Tierra Hispana ' (Sentis) ; Invano (Tosti) ; La civette Berthe Sylva ; Surcoût (Plaiiquettç) r; Therc's Somethlng ' ; About you (May) ; Lolita (Ruzzl Peccia) ; Lettre . à m'amour (Smet) ; Trlnk (Bendlx) ! Trinlç, Bruderlein' Rose-Paris Moraina (Espinosa) ; s >" (Boyer). ;12 h. 80 Lille P.T.T., 265 m. . CCmoert. *12 h. S0 Radio-Paris, 1.724 m. 1. Disque3: '' ' Lè film sonore et parlant : Broadway mélodie de Broadway, Melodv La v : . *. Vous Gïuskin et destiné, Lud m'étiez •: Paris orchestre La chanson de ; $on (Maurice Chevalier) ; Le chanteur de jazz ; My llammy ; Hallelujah ; Waiilng at tlie end of the road. Daniel i Haynes ; Old tlme religion. Les Face Jubllee Singera ; Le fou, chantant : Bonny Boy, Paul Robeson ; Mon petit, Nicolas Amato ; La route est belle : lia route est belle, Complainte de Jim, ' André Baugé ; Chanson païenne : -"Tu sais, Georges Metaxa ; The Trespa passer î Loto, Gloria Swanson ; La ; rade d'amour : My love parade, Nobo* ' dy's uslng lt now, Paris, stay the same, S. Maurice Chevalier, My dream lover, Marche des grenadiers. Jeannette Macm Donald ; Schow boat : Old mon ri ver, Why do you-I love. 12 h. 30 Radio-Lyon, 291 m. 8. Concert. Radio-Maroc, 414 m. Concert. <. 12 b. 80 12 h. 45 Marseille P.t.T., 318 m. Disques. . 12 h. 45 Bordeaux-Lafa}ette, 304 m. Con-13 h. Radio-Toulouse, 381 m. Soll lnstruv ments. Nice-Juan-les-Plns, 248 m. Concert. > 13 h. 18 tt. 25 Paris P.T.T.,' 447 m. Jazz. 14 li. 30 Pai-ffi PJt.ll, 447 m. Disques. 15 h. 30 Radio-Lyon, 291 m. 3. Concert. 15 h. 30 Berdeaux-Lafavette, 304 m. ConM.: 13< li. 45 Badlo-Paris, 1,724 m. 1. Orches tre Gayina : Ouverture du Roi d'Ye 5 et 6 (J.: " v fLalo) ; Danses hongroises, Brahms); Fantaisie impromptue (Cho piano par Renée Malvolpin), solo de espagnoles à danser (LaPièces 1 sln : . Fandanparra-Grécourt) Zambra, : . gaillo, Agarenif, Jo^a ; La neige qui tombe (Taze). ; Chanson Louis XIH et Pavane (Coupcrin-Kreisler), solos de " ' violon par Cécile Meurlce :• Les Brin•" ' ntfes, divertissement (Massenet) Sé rénade espagnole (Glaeounov) ; Arle quin (Popper), solos de violoncelle par Alice Meteheu ; Ma Mère l'Oye. pièces 1 enfantines (Ravel), -
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