Le Petit journal (Paris. 1863)
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Parti social français. Le Petit journal (Paris. 1863). 05/05/1930. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF. Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : - La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. - La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. CLIQUER ICI POUR ACCÉDER AUX TARIFS ET À LA LICENCE 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : - des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. - des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter utilisationcommerciale@bnf.fr.
N 24.581. - St THEODAE - Le N 0,25
LA TEMPERATURE
Édition de Paris
UN MOIS A VEC LA LEGION ETRANGERE UNE GROSSE AFFAIRE LES GRANDIOSES CEREMONIES DU GLOR IEUX CENTENAIRE
Les sous-officiers de la Lésion
Un type de Légionnaire intégral qui connaît tout du sol et du sous-sol — Le "cafard" de la Lumière XXII
Le sous-officier de la Légion pré sente le type du
légionnaire inté gral. .pepuis la guerre de 1914, le cadre des sousofficiers me sem
ble très imberbe^ y a dix ans, un
sous-officier de la Légion étrangère
était un -homme qui avait consa
cré à peu près tout° la meilleure partie de son existence aux obligations infini ment variées qui sont celles d'un sous-officier dans
un régiment étranger d'infan
Un sous-officier de la Légion
terie.
Ah ! ceux-là , connaissent le sol et le sous-sol du Maroc et du SudOranais. Souvent chefs de poste, ils deviennent entrepreneurs de tra vaux publics, architectes, prospec teurs et médecins. Un sous-officier de la Légion étrangère est un hom me dont l'autorité est considérable. C'est toujours un vrai légionnaireformé dans les rangs de la Légion et connaissant, pour les avoir subies lui-même, les mille et -une petites traditions qui font d'un homme quelconque un légionnaire. Car il faut bien le répéter.^ Un homme,; avant d'entrer à la Légion,
n'est souvent qu'un pauvre '.ype quelconque, ni plus courageux ni plus énergique qu'un autre. La faim le conduit vers Sidi-Bel-Abbès, par ce que Sidi-Bel-Abbès c'est le su prême lieu d'asile qui reçoit tous les désespoirs à la condition qu'ils soient vigoureux. Si l'on constate, pour le moment, une légère diminution dans • le nombre des engagements pour la Légion étrangère, c'est uniquement de parce que les jeunes hommesprésentent l'Europe Centrale qui se sont refusés par les médecins. Cet excès de misère physiologique est une des conséquences de'la guerje. ' C'est la Légion,fc'est-à-direla eulftfre specîale "de la Légion-, une cul ture à la fois intellectuelle et phy sique, qui, de cet errant', sans classe et quelquefois déchu devant son pro hom pre regard, fait surgir un autre d'orgueil. me plein ^'endurance et Un légionnaire, avant d'être un lé gionnaire, ce n'est souvent pas quand il a par ' grand'chose, mais couru les rudes étapes dont il a choisi les pistes, il " a le -droit- de se reposer. Les légionnaires ont surtout le droit d'être respectés par tous. Si cette Légion était à vendre en bloc, comme on vend une affaire parfaitement établie, combien de pays n'hésiteraient pas à l'acheter telle qu'elle est,' c'est-à-dire avec le droit d'exploiter sa gloire et les in comparables services qu'elle peut rendre dans cette civilisation nais sante qui cherche à s'équilibrer pé niblement. la Légion étran • Le sous-officier de gère est la machine essentielle qui communique à cet organisme puis sant mais «délicat la pensée des chefs. C'est naturellement le mo dèle du soldat vde métier. Beaucoup parmi les vieux en ont gardé l'as pect physique : le visage boucané barré par là moustache grisonnante. Pour avoir sillonné le bled dans des conditions précaires ; pour agftir surtout'Vécu très près de l'indiglSie, soit au contact des forces supplé tives, soit dans les villes proches des camps, ces hommes connaissent beaucoup de choses et c'est à l'heure des grandes difficultés que chacun apprécie la valeur pratique de , ce qu'ils ont observé et appris. Connaît-on bien le soldat de mé tier, surtout quand ce soldat de mé tier appartient à la Légion ? Je .ne le crois pas. Et il ne s'agit pas ici du grand public français qui ignore, ou plus exactement qui se trompe pro fondément sur la personnalité de: la Légion étrangère, mais des hommes qui ont pour mission de s'occuper de l'armée dans ses moindres dé
tails/ C'est précisément ces moindres dé tails que l'on néglige à cause même du qualificatif dont il sont ornés. Or, ce qui représente peu d'intérêt pour l'un devient beaucoup pour l'autre. H faut vivre avec des légionnaires pour les connaître, c'est-à-dire pour bien savoir ce qu'ils veulent. Le le vier, formidable d'ailleurs, qui sert à
déplacer dans toutes les directions cette collectivité disciplinée et ca fardeuse. c'est l'orgueil. Les officiers qui sont de vrais lé gionnaires le savent bien. Je me souviens des . fins de repas au Guéliz. Commandant de. Corta; capitaine Rio, et vous, jeunes lieutenants si fiers de votre gilet noir à dix-huit boutons, nous avons bu le vin de lïamitié. Omar Khayyam, le poète aveugle, chantait dans notre mémoi re le vin qui rend les hommes plus lucides et plus audacieux. Des silhouettes-de légionnaires erraient dans la longue avenue qui mène au camp ; le ciel d'Afrique purifiait la ville, les hommes et les bêtes. Voyez autour de vous, me dit le — commandant de Corta ; tâtez en étendant la main l'extrême légèreté de ce ciel et respirez son parfum fleuri. Pour ces raisons, mes légionnaires me reviendront toujours. Quand on a vécu ici il faut y reve nir. .C'est le cafard de la lumière... Tenez, allez rendre visite de nia part à S... le fiilleur. C'est un ancien lé gionnaire. Ilv était content de s'en aller. Mais il est revenu tout de njê'
1930
Mai
HEURES, DU MATIN
Probabilités, pour aujourd'hui : Ciel nuageux avec belles éclaircies. +21°. Température : A Paria, maxim. Soleil : lev. 5 h. 26; couch. 19 h. 10. Lune : Pr. Q.ie 5 ; pleine le 12.
Il
5
Lundi
{Croquis de Mac Orlan.).
de fabrication et de vente
de "toiles de maîtres"
DEUX ÉLECTIONS LÉGISLATIVES HIER ,
DansAlgerenfête,colons et indigènes
M. L'HEVEDER, socialiste S.F.I.0.j
Une grosse affaire de fabrication et de vente de fausses « toiles de maîtres » vient d'être découverte à Melun. A la suite d'une plainte en restitu tion d'un bronze confié, pour être vendu, au petit-fils d'un peintre illustre de la fin du siècle dernier, par une galerie d'arts de Londres, le Juge d'instruction de Melun, M. Millon, ouvrit une enquête. Une commission rogatoire fut envoyée à la première brigade mobile, à la suite dfi- laquelle M. Gabrielli, commissaire, découvrit toute un£ organisation- de fa brication et de vente de faux tableaux de maîtres du milieu et de la fin du siè cle dernier, notamment de peintures de Corot et de Millet.
C'est sur la demande du petit-fils d'un 1 peintre illustre, .qu'un « techni cien » fut amené à exécuter des ta bleaux « à la manière de », tableaux qu'il aurait cédés comme copies et qui, grâce à l'apposition postérieure de la griffe du maître, présentèrent par la suite un tel caractère d'authenticité que, non seulement la bonne foi des amateurs, mais celle des experts et même de dt recteurs de. musées étrangers fut sur prise. Ces toiles furent cédées à des prix très élevés, certains Corots, en particu lier, dépassant même le demi-million. Une perquisition chez l'auteur des fausses toiles a permis de découvrir de nombreuses copies. Le Parquet a ouvert une information contre : X... Il est plus que probable qu'elle fie transformera bientôt en une série d'in culpations. -
élu à Lorient Le docteur BOISSIN, U.R.D. élu
à Largentiêre
Les grands chefs, au nom des tribus, proclament leur indéfectible loyalisme •
,
/
i
Liés définitivement à la mère patrie, nous lui abandonnons à tout jamais et avec une entière confiance notre destinée, en revendiquant l-honneur de partager sa grandeur et sa gloire.» (Déclaration du Bachagha de Laghouat)
Morbihan législative avait lieu, hier, à Lorient, pour remplacer M. Bouligand, radical-socialiste, décéaé. Inscrits, 20.833 ; votants, 15.257, Ont obtenu : •Une élection
M. L'Heveder, S. F. I. O., 8.784 voix, Elu. M. Gauthier de Kermoal, U. R. D, 2.813 voix.
•
M. Maulion, cons.
gén., rad.-soc., 2.475 voix. M. Texier, indép. 585 voix.
M. Le Guerhedec, comm., 281 voix.
Aux élections lé gislatives de 1928, M. L'Heveder avait
' obtenu 4,000 suf- M. Louis L'Heveder frages.
wv Ardèehe .
Un scrutin de ballottage eu lieu hier dans l'arrondissement de a Largentiêre, pour remplacer, à la Chambre, M. Da-
\
A LISBONNE...
me, à cause du cafard de la lumière. Ainsi parlait le vieux soldat de Ki LA MISSION GOULETTE pling qui regrettait, la route : de Mandalay et le ûiel sur la baie « où l'auro re apparaissait comme un coup de arrivée sur l'avion de Bailly tonnerre ». Lui aussi, devenu conduc teur de « pirate > dans le brouillard raconte son voyage londonien, subissait le cafard de la lumière et lui aussi regrettait le pays L'avion de Bailly Lisbonne, 4 Mal. « où il n'y a pas "de Décalogue, où à son bord le capi le bien et le mal se mêlent » en dé et Reginensi ayant — finitive assez ' harmonieusement. • taine Goulette et l'adjudant chef MarAh ! légionnaires, vous êtes pres chesseau, qui était parti de Meknès à samedi matin, a atterri à Cin que tous venus-de ces petits bars 7 6traheures, 11 h. 10 après un voyage excel équivoqués nés dans l'ombre des rues lent àmalgré la brume au moment du où la misère européenne décolore les départ. Les aviateurs ont été cordiale A Alger L'Amirauté (à hommes. Vous avez promené sous ment reçus par leurs collègues gauche), où a débarqué le Président de la République.— Le Palais d'été (à droite), résidence : de l'avia toutes les pluies du Nord, de l'Est et tion portugaise. Dès l'arrivée, un méde du gouverneur général, où a eu lieu la grande réception de l'Ouest vos vêtements mouillés cin portugais a renouvelé les panse (De notre envoyé spécial) la présentation-des corps constitués et, en arabe son discours, qui sera ensuite qui adhéraient à votre peau comme ments de Goulette et de Marchesseau, Dix heures du matin. au monument aux morts où le Président traduit en français, les témoins privi cette misère elle-même. Aujour puis un porto d'honneur a été, offert aux Alger, 4 Mai légiés de cette scène ne se lassent pas d'aviation. aviateurs centre Sous le soleil qui la frappe en plein dépose une palme. au d'hui dans la lumière de l'Afrique, d'admirer la somptueuse frise que for Au sujet de leur accident, les avia front, Alger au bord de sa baie d'un bleu Au Palais d'Eté vous regrettez parfois la pluie et la teurs ment, au bord des arcades autour d'un ont' fait les déclarations suivantes: profond sous un ciel d'un bleu plus misère qui furent les deux éléments kilomètres L'avion trouvait à clair, flambe de 80 toute la blancheur de Pendant une heure et demie ce sera jet d'eau central qui retombe en pluie se d'une jeunesse sans issue. Mais vous au«Nord de Tabankort, façades quand il rencon ses et de ses terrasses. Une jusqu'au Palais d'Eté la même poussée fine sur les arums d'un blanc laiteux, reviendrez à la Légion parce que la tra un vent violent mélangé à des burnous rouge et or constellés de dé uus- brise légère avive du rouge aux drapeaux de foules denses et joyeuses derrière les les Légion tout entière rayonne dans la ses de sable, ce qui obligea l'avion a des balcons,' aux pavois des navires, barrages qui les contiennent difficile corations de plus de soixante grands lumière du ciel au-dessus du Figuig, descendre à 60 mètres au-dessus du ,aux vestes éclatantes des spahis qui ment. La curiosité a même fait sortir des chefs. Derrière le Bachagha de Laghouat se du Tafllalet, du Rif'ou du; Haut- sol. pour suivre la piste. Peu après, le ' contiennent sur le boulevard de la Ré gynécées arabes de nombreuses femmes tient, la lance dans une main, le bou Atlas ; parce que dans cette ' lu vent se transforma en une violente publique une foule bariolée et joyeuse. voilées. Européens habits de fête, Arabes por Quant aux indigènes, ils sont extrê clier plat en veau dans l'autre, l'ameen mière .vous avez acheté le droit de tempête. Le moteur ensablé s'arrêta net tant la chéchia à un atterrissage Immédiat, ou le turban fraterni- mement nombreux. Ils tiennent à attes nokal des Touareg du Hoggar. A peine vous absoudre et d'effacer l'ardoise obligeant droit devant soi. L'avion, se trouvait â. :sent dans l'ivresse du soleil et'de la. lu ter que ce centenaire de l'arrivée des discerne-t-on le haut de son visage si vous en éprouvez le besoin. ce, moment à 400- mètres à droite de mière, Toute la ville aux premières sal- Français en Algérie est leur fête autant bronzé sous le voile noir et violet qui L'orgueil-de-la. Légion est encore !a enveloppe toute la tête dont le som piste, à"120-fcilomètres- du Nord de -ves des canons de l'escadre, auxquelles que-la-eôtre. -C'est, d'ailleurs que va lui plus littérairô qu'on ne peut le pen Tabankort, soit 300 kilomètres au Nord •faisaient éoho les sonneries de cloches exprimer au Président de laceRépubli met cependant "reste dégagé. Les pieds des sirènes, s'est ruée que, .dans l'exquis patio du Palais d'Eté, sont nus sur les larges sandales plates ser. Il' éclate et se résume-dans cette de Gao. L'avion fut totalement brisé à et le lemugissement port devant du Président. vers impé-; aviateur^; au le Bachagha de Laghouat Djelloul Ben de corde tressée. Aux affirmations de l'atterrissage, mais aucun des boutade célèbre qui domine Pendant le loyalisme et d'amitié du - Bachagha, .M. tque gouverneur général Lakadar. rieusement et;- sans discussion* les ne fut blessé. ; Leurs blessures aux pieds Bordes s'embarque sur une vedette'pour - — Indissolublement attachés aux tra- Doumergue répond en affirmant l'amour la conséquence de la longue? mar mess des légionnaires. Sur les pan sont égal de la France pour tous ses enfants. che à travers le désert à la recherche de cartes; réglementaires et antialcooli l'eau qui allait leur manquer. La mission — Je suis très touché des souhaita de ques qui portent ces mots en lettres eut la chance de bienvenue 25 avril, rencontrer, le que vous venez de m'adresser d'affiche : L'alcool tue, \ une- main des Touareg qui prévinrent s'adressent et qui par-dessus ma person un chame même à ajouté le la France, dans notre patrie commune. ne ca anonyme a lier qui recherchait la région, des Elle devenue est la vôtre, parce qu'elle ractère cette phrase : Mais le lé chameaux égarés. Ledans 36 avril, le cha tenu à faire de des enfanta a vous occu gionnaire ne craint pas la mort:, melier porta une lettre de la mission pant dans la grande famille nationale Et alors* il n'y a plus rien à dire. aux groupes mobiles de Triuretin qui progressivement la place qui vous : est vinrent due. Je connais votre grand passé, vos chercher les aviateurs et les (A suivre.) qualités. Je vous apporte le salut de la emmenèrent à Pierre Mac Orlan. to-mitrailleuse.Trabrichet dans une au France. ' Dès mon retour, je dirai à mes compa » De Trabrichet, la mission fut ra triotes, qui sont les vôtres, quelle impres menée â Gao. où elle prit l'avion de réconfortante j'ai emportée du spec sion QUILLAN ET CARCASSONNE Bailly et Reginensi tandis qu'un mé
claux-Monteil, élu sénateur. Inscrits : 14.861. — Votants Ont obtenu :
: 14.320
MM. Boissin, U. R. D. ...., « 7.913 voix ELET Froment, S. F. I. O. .. 6.247 voix Au premier tour, dimanche dernier, les voix s'étaient ainsi réparties >: MM. le Dr Boissin; U.RX)., 5.217 voix: Froment, S.F.I.O., 3.345; ; de Marciéu, U.RX)., 3.153 ; Riou, Tad.-soc., 2.444'; Girbon,> communiste, 185 ;- Mathieu, in
dépendant, 66.
Un joueur gravement
., Bordeaux,
blessé
à Bordeaux 4*
Mai.
Au
du
cours match'comptant pour — la demi-finale'du
championnat de France de rugby, 1© joueur agenais Michel Pradié- a, reçu une grave blessure. Il a été transporté d'urgence .'à l'hôpital - Saint-André, de Bordeaux, où. l'on constata qu'il était atteint d'une fracture de la ' colonne vertébrale.ayant entraîné une hémiplé gie partielle; "
V£ ' ,
LA VEILLÉE D'ARMES DANS GOMPIÈGNE -
r
tacle auquel j'ai assisté, et surtout des paroles que m'ont adressées les grands chefs dont je connais la valeur et le dé vouement à la Mère Patrie. 't La réception. terminée, les jolis che vaux arabes aux selles incrustées d'or des grands caïds leur sont amenés dans ces jardins enchantés au palais du gouver neur dominant la baie où fument," im peccablement alignés,, les croiseurs de -l'escadre. C'est - avec.- ces cavaliers du Sud comme une éblouissante*vision du passé qui surgit Urbain Falaize.. ; (Voir la suite en troisième page)
canicien avec les bagages et le cour FONT MATCH NUL EN RUGBY rier à destination de la France par tait sur l'avion de Poulain, via Alger. » La mission a.ramené à Lisbonne trois sacs de courrier destinés au Portugal, en provenance de Quelimane,'du Congo belge et de l'Afrique Equatoriale fran çaise. L'état des aviateurs semble satisfai sant ; néanmoins ils paraissent souffrir du contre-coup des grandes fatigues éprouvées. Bailly et Regînensi, ayant à leur bord les membres de la mission Goulette, sont partis - à 11 h. 20. De nombreux officiers aviateurs ont salué leur départ.
Aux Vérités de La Palisse
Le dernier mouvement préfectoral avait été commenté de diverses maniè res par les journaux d'Alsace. M. André Tardieu a pris texte de ces commentai res pour rappeler deux principes indis cutables, mais discutés : 1 Le choix de la politique â suivre en Une phase de la mêlée > ailleurs, appartient non Pour la demi-finale du championnat de Alsace comme préfets mais au gouvernement ; France de rugby, disputée hier, à Paris, pas aux choix des préfets, agents d'exé malgré - prolongation, les équipes de - 2 Le cution de la politique, appartient aussi QutUan et Carcassonne ont fait match nul.. au gouvernement. -Ayant réclamé son droit, M. André Tardieu, bon prince, ajoute que les no
JEAN MARECHAL a gagné Paris-Tours
Le jeune Français Jean Maréchal qui avp.it été déclassé de la première place dans Paris-Roubaix où il ar-tt fini en tête avec une minute -A'avance, a renouvelé son succès, hier, dans
raris-Tours, battant Marcel Biâot d'une longueur. (Voici les résultats sportifs de la journée en quatrième page.)
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Quatre morts et six- blessés dans une; explosion-Upton (Kentucky), 4,< Mai.; — De l'oxygène 'liquide qui -.devait servir à faire sauter les rochers'^dans une car rière a explosé prématurément,. Quatre .personnes ont ctè:-, tuées, dont un surVéillant ; six ont été blessées.
•MISSES1 DE' FRANCE A ALGER ^Marseille, 4 Mal. —. Par le paquebot « Tlmgad » sont parties pour - Alger. les quatre misses France 1927, 1928, 1929 et Fantasia berbère,.d'après le Delacroix du'Musée de Tours 1930 >: Mlles Roberte Cusey, : Ràymonde Allaln, Laborde. et Yvette Laaller saluer le chef de l'Etat au-devant ditions de --loyalisme -et de fidélité que brousse.Germaine Elles étalent accompagnées de M. du Duquesne que 101 coups'de canon nos ancêtres nous ont léguées, Maurice de Waleffe et vont assister aux nous n'a fêtes du . Centenaire. viennent- de signaler, les •
personnalités vons qu'une seule ambition tou officielles se rangent sous 'les -voûtes jours t et partout la France: servir avec tout . fraîches de l'Amirauté. Le gouvernement notre cœur eti la faire aimer chaque est représenté .par MM.- Laurent-Eynac, jour davantage par les populations dont Flandin, Pernot, Rollln, Marraud, Mori- l'administration nous est confiée. naud et Barety. : Autour des présidents La pacification des esprits, la sé • Doumer et Bouisson se groupe la délé curité, l'instruction, la Justice, l'assis gation parlementaire ayant à sa tête le tance, l'hygiène, prospérité économi vénérable M. Thomson. La ville de Paris que, le bien-être la matériel et moral, tels est représentée par une délégation que sont les principaux bienfaits que nous préside M. d'Andignè. Sont également devons à la France qui et le portent présents MM. Bailby, président de ia signe de inépuisable générosité. son Fédération Nationale des journaux fran Liés définitivement à la mère pa çais, Jacques Lenicque, vice-président du trie, nous lui abandonnons à tout lanu : syndicat de la Presse Parisienne, et et avec une entière confiance notre des Bourrageas, président du syndicat des tinée en revendiquant l'honneur de par Quotidiens régionaux. Sous ces arcades, aujourd'hui gracieu tager sa grandeur et sa gloire. sement décorées, les corsaires barba- . Pendant que ce très grand chef, resques débarquèrent pendant des siè dont le visage expressif rappelle, certai cles leurs douloureuses cargaisons de nes peintures du Moyen Age, prononce chrétiens captifs. Cent ans ont passé, et les tirailleurs sénégalais qui alignent leurs effigies de bronze autour.-du dra peau tricolore symbolisent cette rrrande voix française que nous avons, héri tiers sur ces bords dte la puissance des Romains,. portée plus , loin qu'eux- L'INVITATION mêmes, parce que là où Us s'étaient fait . DOMINICALE craindre nous avons su nous faire
minations faites tendent au rajeunisse ment des cadres, décidé par la loi du 16 avril 1929. Four voter la- loi susdite, il s'est trouvé dans les : assemblées, une majorité mas sive. Elle se retrouvera, sans doute, pour approuver M. ' André Tardieu de l'appli quer. De telle sorte que nous aurons un jour, que nous aurons bientôt, des ca dres rajeunis. II. ne restera plus qu'à les empêcher de vieillir. Car, jusqu'ici, les cadres les plus jeunes ont commencé de tomber aimer. • -ï ' " dès l'accrochage. poussière en la algérienne L'accueil terre sur J'ai déjà plusieurs fois essayé'de mon' La sonnerie aux champs annonce le trer ce que pourraient être, ce que de de la vedette et voici, que, lesteretour vraient être les préfets, si les préfets voulaient réellement être des préfets. De vant eux, il y a une tâche formidable MEDtTERTtATTEE et magnifique. Après cinq, ou six mois de timides essais, ils s'asseoient dessus ! C'est qu'ils se sont avisés que l'initia tive était pour eux plus dangereuse que l'inertie. N'aimant pas le danger, les préfets n'aiment pas l'action. Il faut le leur faire avouer., Et d'abord leur donner l'exemple. L'itinéraire présidentiel Si M. André- Tardieu y parviens, U n'aura pas seulement rappelé des prin ment, le Président Doumergue, nulle cipes,lll aura restauré l'administration ment fatigué d'une traversée qui fut exdans Vrès droits et. dans .ses " devoirs. fcellènte,' sà'ttte sur le -;qjialv: suivi de M? -" Dumesnil,-,ministre d^'la,:'Marine, de.TaComme Charlemagne. S'if n'y arrive pa,s> il ne' résultera de .riyral Durand-Viel eêidji^uaï^chal ^ranehet d'E|perey. Les {présentations>sont la loi,: du ljB $vrU 29. que deux catégo-. {rapides et souriantes." Le epi^ègé is'éries "de préfet? : "celle dçs,anciens qui- 'branle-'au'des acclama'tton^enattendront quelque chose ,'et celle des1 ifiousiàstesmilieu de la 'oule et du'îiraca's'des jîittehflront ,* qui ^quelqu'unnouveaux ;jxfusi<îue^-.qui se relaient surtout le Monsieur de La'JPaiisse/"", cours. :Court arrêt à la préfecture pour
L'invité. — Votre maître n'avait donc ' pas donné mon . signalement, que vous avez eu tant de peine à me trouver devant la gare ?
chauffeur (très correct). —: Si,
Le
Monsieur
Agnès Cassagne, la jeune fille bandit fait d'étranges révélations Toulouse, 4 Mai.
Mlle Nelly Whilhelem qui personnifiera Jeanne d'Arc aux fêtes de Compiègne les 17, 18, 25 et 29 mai. Les préparatifs sont terminés : le samedi 17 mai, à 21 heures, Jeanne d'Arc fera son entrée solennelle à Compiègne
ARTICLES :DE "PARIS
Le chasseur
Agnès Cassagne,
— jeune fille-bandit qui tenta d'assassiner le chaufîeur Joseph Gay et qui fut con damnée\à 10 ans de travaux forcés par la Cour d'assises de la Haute-Garonne vient d'écrire au procureur de la Répu blique, faisant d'étranges révélations. Elle dit notamment avoir agi sous la menace des revolvers de deux bandits par Tfysemonde Gérard bordelais : Go et Chariot, qui ne se raient autres que les - assassins du Dans un bois plein de clair de lune, chauffeur Sentis, tué au volant de son taxi, l'année dernière, près de Tou Un de ces bois, où la fortune Pourrait dormir au bord d'un puits, louse. Il y avait un prince, encore, ., Qui chassait le jour dès l'aurore' Et qui chassait même la nuit.
amoureux
travers la bruyère en friche, U chassait le chevreuil, la biche. Et même les petits lapins ; A travers la lumière et l'ombre, Il chassait des gibiers sans nombre, Parmi la lavande et le thym. A
' *
Mais, depuis plus d'une semaine, Parmi le thym et la verveine, Il dédaignait tout ce qui court ; Il dédaignait tout ce qui vole ; Car, au milieu de l'herbe folle.
Il avait aperçu, un jour,
Parmi la brume des fougères, Une forme pâle et légère Qui courait du val au sommet ; Elle passait entre les branches, Vêtue en mousseline blanche. Sans qu'il pût l'attraper jamais ;
Il crut l'atteindre, on jour, sans dontet Car un ruisseau, coupant la route. Passait entre les arbrisseaux ; Il courut... mais, au crépuscule* Voici, comme une libellule, Qu'elle marchait sur le ruisseau*.
Il voulut alors/à la nage, Aborder sur l'autre rivage, - - .>,* Et, quand il y fut, tout mouillé —
'
Vil
aprèà^tfe;
Mais cornant encore B la Tit, comme uiie hirondelle, Se poser an peuplier—
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Quelle était cette créature Qui voyageait sur la natnre Blonde comme une rose thé Bien qu'elle fut toujours lointaine, H voyait dans chaque fontaine Comme un reflet de sa beauté !
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Le
Angkor,
—.
U
n'est pas donné à
des comités de secours des départements sinistrés
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cline à la mélancolie. Mais j'étais aussi avide d'afïôotlon, de confiance. A certains instants, je me sentais - bien triste dans S s cette demeure étrangère, fentre ces deux êtres dont l'un restait indifférent, dont \K l'autre m'était hostiie. Car je ne me dissi îc| ©/ mulais pas que Mme Barduzae me détes tait. Pourquoi ? Jalousie d'ex-jolie fem me ? Car elle avait été jolie, paraît-il ! je voulais bien le croire ; mais quelle décadencè 1... Ou bien mesquine rancline de Grand i-oman d'amour petite bourgeoise contre la noblesse de ma DELLY par naissance ? C'était très possible encore. . i ! : Màis surtout, nos naturès sê heurtaient sur tous les points. Ma vivacité de repar tie, ma franchise, mon esprit d'indépehBESUMfi t)U PREMIER FEUILLETON » GtUierte gai hatite chén soit' tuteur est en lutte dance l'exaspéraient.. Nous Vivions vrai aux sarcasme* de lime Barduzae jui iul reproche ment sur un pied de guerre perpétuel, de* d'avoir, un mauvait caractère. .. puis le jour où j'avais quitté mon couvent . regretté, à dix-huit ans. I. (suite) • J'étais la fille du capitaine d'Arblers, tué J'apercevais alors ùh profil lourd, au Maroc dans une reconnaissance. Ma au menton proéminent. C'était! un homme mère faible et pacifique, aussi incapable de bon se retira à Tours, où elle avait de té que de méchanceté, instrument inerte vieux amis. Elle loua un appartement mo entre leS mains de sa femme. Pour éviter deste, car bien que ses revenus lui assuras tout motif de discussion, il acquiesçait sent une certaine aisance, elle Voulait bassement aux opinions changeantes de économiser pour grossir ma dot. Sur 13 Mme Barduzae, et sa pupille savait même palier habitait le ménage Barduzae. .qu'elle ne'trouverait jamais chez lui au M. Barduzae était jugô de {Jaix. Ôn les te mais on cun secours, ai. cas où l'omnipotente dame nait pour des gens honoràbles, prétendrait lui imposer quelque exigence ne les aimait guère dans lé quartier, elle surtout, qui était autoritaire, remplie de inacceptable. J'avais une nature énergique, peu en- prétentions, et passait pour une hurluberlue. Tous droits de reproduction, traduction, adap Ma pauvre mère, depuis la mort de mon tations théâtrales et cinématographiques, émis père, restait de santé précaire. Un jour, sions par T. S. P. réservées, pour tous pays. Copy elle eut Une syncope qui effraya notre ser right by Delly 1930,
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du Petit Jôurnal.
5 — 5 — 30 !
NOS ECHOS UNE IMPORTANTE RÉUNION AUTOUR DE PARIS
tout le monde d'aller voir de . près? en Extrême-Orient, les merveilles de l'an sous la présidence de M. Marcel Héraud cien art Khmer. Du moins, à défaut de l'original, l'exposition coloniale gai se Toulouse, 4 Mai. — Le comité de Se prépare donnera-t-elle exacte nous une Quelle était cette femme étrange ? cours aux Sinistrés a tenu une impor reproduction .des fameux d'Anktemples tante réunion à;la Préfecture de la Hau Etajfc-çç nn elfe ? était-ce un ange ? kor-Vât. Déjà les. tours dressent te-Garonne se par sous fa présidence de M. Qui fuyait.toujours devant lui ? dessus les futaies du \bois de Vincennes. Marcel Héraud. Dans la grande salle du Et, dédaignant tout ce qui passe, On peut, en les contemplant, éprouver Conseil général, prennent place tour à Loin de la vte et de la chasse, ' quelque fierté et quelque, admiration tour MM. Marcel Héraud, Guillon, pré Il s'en fut, au bord de la nuit, de la Haute-Garonne; Ourgaut, pré pour le génie colonisateur de la France. fet sident du Conseil général et maire de Il; y a seulement un quart de siècle, Villemur ermite, vieil Interroger le ; MM."le,Dr Tomey, conseiller ces merveilleux temples a'Angkor étaient général de l'Aude; Estrade, président Qui savait* toute chose écrite à abordables.,Point peine de route pour de Chambre la de commerce et le Dr .Dans le Triangle et danit Sirius, parvenir; marécages partout des dont Guillem de y l'Aude ; Picot, directeur des Le vieil ermite aux yeux de cuivre émanations les pestilentielles étaient Postes & Tulle ; Barraud, conseiller gé Qui lisait couramment les livres fatales, aux explorateurs et aux archéo néral de la Gironde ; Nègre, avocat ; D'Hermès et de Nostradamus. logues qui se risquaient à aller étudier Pendaries, conseiller général du Lot ; le de près ces vestiges d'une civilisation Dr Pezet, maire de Figeac ; Faber, pré coiffée Quelle cette femme est de la Chambre de commerce du « disparue. Les ruines elles-mêmes -étaient sident Lot-et-Garonne D'une étoile ?.. — Cest une fée. ; Bouton, président de tellement envahies la végétation par la Chambre d'Agriculture ; Labat, maire fée ?_. il en est encor ? — Une qu'on approcher. n'en pouvait guère ^ d'Agen Tarris, président de la Com reconnaître : Oui... pour un qui sait En 1907, d'Angkor,, la province jusdépartementale mission des PyrénéesLe grelot de son cœur champêtre qu'.fllors détenue indûment par le Siam, Orientales : Rascol, maire de Villemur ; Et l'astre de ses cheveux d'or. fit retour au Cambodge, notre protégé. Sizaire, maire de Castres ; Tournier, Aujourd'hui, le pays est assaini; les rui maire de Mazamet ; Deltliil, sénateur, fée ? cette Mais l'avoir, comment — Laisse-mol, sont dégagées; une route superbe maire de Moissac ; Vidal, préfet du nes destinée, Tarn-et-Garonne ; Caperan, maire de sur sa — , y mène. Angkor-Vât et Angkor-Thom Montauban. Parmi les délégués du Co Consulter l'oracle... Seigneur ! ouverts études sont des artistes, aux aux mité régional L'oracle dit.- — Comment l'aurai-Je ?... curiosités des touristes. Ce sont des in pour la Haute-Garonne, trouvent Loup, premier pré MM. se piège... — Qu'elle se prendra dans un génieurs français qui ont accompli cette sident ; marquis de Palaminy ; Delfort, Cela te regarde, chasseur !» président de la Chambre de commerce œuvre. ; Dresch, recteur Or, Couzinet, il bien certain si les est président de ; que, Zie lendemain, dans le bois sombre, Français n'étaient pas intervenus, ces la Chambre d'agriculture ; Boubenes, Mille pièges luisaient dans l'ombre, président de, la 0* région économique ; vestiges de la grande civilisation cam Dejean, Effarouchant les rossignols ; bodgienne d'autrefois eûssent totale sorier trésorier-payeur général et tré Et tous les chasseurs du royaume payeur du Comité régional ; MaiL'Oriental, disparu.. qu'il effet, ment en^ ihos, conseiller de préfecture ; CazeCherchaient la trace d'un fantôme Siam, d'ailsoit Cambodge de de ou secrétaire neuve, de la Bourse du Tra Qui marchait sans toucher le sol. leun, l'Oriental, si volontiers conser vail etc.... La Croix Rouge est repré vateur de légendes et de traditions, n'a sentée par M. A. Cuignet, délégué ré La forêt chère aux sortilèges gional. Au début de la séance, M, Marcel le souci des monuments du passé, N'était plus qu'un pays de pièges : - pasVictor Héraud, a tenu à rendre hommage à Hugo qu'un le rapporte jour petits et Aciers, filets grands j général Altard, qui servait à la cour du l'œuvre accomplie par la Croix-Rouge. Mais; parmi le feuillige humide, rajah de Lahore montrait au souverain de ' — Ce serait, a-t-il dit, une l&chaté qws Tous les pièges demeuraient vides... «e pas reconnaître les mérites de cette des monnaies d'Alexandre qu'il avait magnifique organisation qui aujourd'hui menti ! Et l'Oracle avait bien trouvées dans des fouilles. nous a passe ses services. Le gouverne remercie la Grotx-Rouge et espère — Cela est donc précieux ? demanda ment Alors, vers le sotr, à l'orée chefs seront pour lut et auprès Sue Bes dédain. le rajah avec comité régional de dévoués collabora u forêt dorée, De la grande Oui, sire. teurs. — Le prfncfe mourait de douleur i Pourquoi ? M. Héraud préelBt. qu'il ne faut pas — Plus rien pour-lui n'avait de charnue 5. sacrifier l'ensemble des sinistrés, et que — Parce que c'est ancien. Et, dans une dernière larme, . l'on doit être très circonspects sur ia toi — Tu te trompes, dit le Il sentit se briser Son cœur. distribution des secours ; il reconnaît Et, prenant une poignée de terre t loyalement certains flottements. *— Regarde, dit-il, cela est plus ait' Et, voici, dans l'heure profonde, assufe-t-11 ! nous — Nous réparerons, cien que tes monnaies; pourtant ce n'est achèverons l'œuvre réparation de 8i bien Que la Fée, Ame vagabonde,^ pas précieux. commencée par la Croix-Rouge et nous Apparut dans le soir bleuté... L'apologue peut Rappliquer aux rui nous consacrerons entièrement pour in « Toi t » cria-t-11, plus blanc que neige. nes a'Angkor. H est certain que les mener à bien. Et, s'adressant & tous les délégués des « Oui ! moi, qui me stais prise au piège... cambodgiens n'eûssent rien fait pour les côté n'en t est pas de ce nombreux comités locaux, M. Héraud — n protéger. Mais la France, protectrice du termine t Cambodge, sut inspirer à Sisovalh et à Aussi, prince, ô suis fier de ce que vous avez n'est-ce Je mon pas, — — désir sujets de* préserver le de la ses fait grincent et je qui vous remercie de ce que vous fe* Dans Un de ces pièges disparition les de monuments . leurs rea encore. an 7 Que j'ai perdu ma liberté j cêtres. Ainsi ces merveilles furent sau M. Deithll, sénateur et maire de Mon pied rose, même en cadence, Moissac, remercie le ministre et lui dit vées. Aurait pu danser une .danse Combien On reproche son voyage avait été , réconfort souvent' au* Européens Sur tous ces vains ressorts d'acier. et encouragement pour les sinistrés." de communiquer,.aux peuples lointains Mais nous pensons plus que jamais tares et leurs vices. Ils savent aussi au—blen-Stre Oui, je m'envolais dans les heures, C leurs un sinistré, qu'il soit agri parfoisenseigner leur quelques vertus. propriétaire, culteur commerçant, artisan. Mais comment puis-je, Quand tu pleuresi Jean mallïeureux, Lecoq. Ces ministre, oht droit M. le — blonds Te refuser mes cheveux ; à notre sollicitude et doivent recevoir de Oui, je marchais sur la rivière, lê rapides Dès premier secours. jour, nous Artioùr dé dinde. nous sommes tous unis pour les aider sans Mais, sur une larme sincère, Les ménages de dindons Semblent des distinction do clafeseâ, d'opinions, de re Pottrrâls-je poser mon talon. ? plus unis, à etl croire tout âu moins telle ligions. Je l'ai dit à la tribune-du Parle et je le répète Ici qui a été dis histoire qu'une de nos lectrices nous a ment tribué, m . le ministre,i ceest donné Je n'aurais jamais été prise, . en plus sérieusement dehors contée milliard le du monde. du que nouB voté, avons Ni par hasard, ni par surprise, ' . et si vous dites que là période des se Voulant faire bonne chère, di l'autre d'alentour les Dans tous pièges immédiats est ci036, quand cotncours' ; elle tordit le cou au dindon lé mencera donc celle des secours définitifs ? Mais ta m'as tendu ton coeur tendre... manche, de plus baSse-cour. gras •M. sa Heraud allait répondre à cette défendre Et Je n'ai pas sn me Est-06 déeeepôir, $ peiiiê de question, lorsque M. Vidal, cœur : du Contre le piège de l'amour I Toujours est-il que, dès le lendemain, Tarn-et-Gafonnê crut devoir préfet s'expliquer dame dinde,, en son poulailler,' refusa sUr certains abus fle cartes de sinistrés. Le. Polonais a-t-il été victime toute nourriture. De même, pendant deux M. Sizaire, député, maire de Castres, jours. Le troisième, on la trouva morte déclare que si, grâce & la Croix-Rouge, d'une agression ? 11 a pu soulager bien des infortunes et de faim. à la misère immédiate, il faut à . Telle est l'émouvante et véridlque* his parer l'heure actuelle continuer ces efforts Ou.btèii o-t.fl tenté de te suicider t toire d'un oôuplé de dittdons qui, sem conjugués, et, au plus tôt faire l'éduca blables aux pigeons" du bûh La Fon tion morale des sinistrés. C'est la une Le commissaire de police de VahveS, taine devaient s'aimer d'amour très ten bombe jetée dahB l'hémicycle : M. Our M. Zamaron, était informé, ,hier matin, dre.., gaut bondit. Le maire de Villemur s'as d'une affaire qui, d'après les premiers socie aux paroles de M. Sizaire, mais éléments de l'enquête, apparaît assez l'écœurement mahifesté par Voici maintenant le petit-fils dé ajoute que mystérieuse.Un Polonais, Valentin Bussinistrés certains provient de la débâcle ko, 29 aM, manœuvre, cil hôtel, 3, rue l'ex-kaiser qui fait pïfler de lui 1 laquelle on les a trop laissés. dans Ernêat*Renan, à Issy, a déclaré que, Sa, mère la princesse Gécilia de HoJe n'ai pu allouer des secours passant l'autre nuit, vers .deux heures, henzollern vient de s'embarquer sur le qu'après quinze Jours, dtt-11, et quai ' de Billaticôurt, & Boulogne,, à pàqtièbot Aricvr, à destination1 de Bue- ceux-ci provenaient des 1 .000.000 de encore francs proximité du pont, 11 avait été n os-Aires. Cettç travereée n'est pas uji de la ville de Lyon. Allons, Messieurs, nos sinistrés ne doivent pas faire figure de attaqué, par deux individus qui l'avaient mais une phase menuiants plaisance, de voyage : Us ont des droits. Il faut. nntihanii ait vatttm des MM11W M. le Ministre, Inquiète, des régies fixes et invariâ» tourments d'une mèrê et bles pour la répartition muiiot qui cherché à rameftêf l'enfant prodi souscription: oui, mais des que c'est par ses propn (1 sont-ils ? 0 était arrive à se tirer du fleuve; il tenta gue. Le Petit journal Illustré vous ra C'eBt la question que poée le maire ae ensuite de se rendre chez lui, inaiâ ses contera, tout au long, les rOcambbles- Montauban. forcés faiblissant, il entra au poste de ques averttures de ce defefcehdânt des parler —* Pourquoi, s ècfle-t-il, ne police d'Issy, où on le conduisit à l'hô Hohenzollern. des fonds au Comité régional pas ? ou sont pital des Petits-Ménages. Interrogé ce cbb fonds ? Qu'elle est ta somme ï Noue rïiatln par M. Ûesjeux, secrétaire, le ne pouvonst attendre la distribution des BLANCHISSAGES ILLIMITES. Vous 50 millions décla blessé 6 modifié ses premières adopterez le -cOl deml'-sttuplé « Kolfray ». Héraud, calme et Souriant, Et rations : Prix t 6 fr. Très supérieur comme qua préciseM.: — Quand J'ai vu, dit-il, que ceux qui lité. Très inférieur comme prix à tous les Je ne suis pas d'accord avec le maire m'ont attaqué allaient me jeter & l'eau, autres. Aux « IOO.OoO-CHËMlàEâ », Montauban, de Je n'ai pas encore les j'àl plongé dans le fleuve et, & la nage, 69, rue Lafayette et Succursales à Paris. sommes disponibles. Prenez l'argent et ne j'ai gagné l'autre rive. demandez d'où me 11 vient. pas _ Le commissaire insista pour connaître 50.000 paires à 5 /rancs. Marny véhément, Caperan, M. répond ! , le signalement des agresseurs, mais le commence aujourd'hui formldàblé ré sa Je Je ne al demandé, rieh ne vous — bléssé est resté muet, on n'est pas éloi clame annuelle de chaussettes si cou plaide ni pour ville, ni ma pour mon gné de croire que l'agression a été sl< rue des connaisseurs : 50.000 paires de département. Comment allez-Vous Mulée et qu'il s'agirait d'une tentative très belles et très solides' Chaussettes buer ces fonds ? Noue n'avons eudistri lusde suicide. Le Polonais avait joué aux fantaisie aUx dessins inédits sont mises qU'iei que dés sourires. qu'une grande discussion agi» courses, samedi, et avait perdu l'argent en vente au prix invraisemblable -. de 5 Et vpici délégués. Tour à tour, MM. Vidal, te les q\i'il avait sur lui. francs la paire. En outre, une série ré préfet, Caperan, Ourgaut et Rascol, clame, qualité extra-supérieure, én pur maire de Villemur, demandent des expli* COUPS DE POÎNG fil» est en vente à 10 francs la paire. cations. ENTKE SPECTATEURS A BUFFALO Marny, 33 rue Tronchet et 48, avenue Nous aurions préféré que la croixVictor-jEïugo. Bouge continuât son œuvre, car les co* PèSâant Une course de motocyclettes, mités sauraient seuls faire face à leur ne & BufTalo, un spectateur, M. Pierre ReA Royat, au cœur de l'Auvergne t&che. Quincampoix,' à Paris, qulllard, 29, rue cœur de la France, on soigne le coôur et M. Marcel Héi'aud froncé les sourcils dont l'attentionétait soutenuepar l'ardeur les : vaisseaux. Les bains carbo-gazeUx de des coureurs, se leva pour mieux voir. Der Boyat, Vous défendez la Croix-Rouge I II à la température du corps, agis' •—fallait rière, M. oorantln Pennahe&ch, 34 ans, no pas la laisser attaquer 1 C'est régula la artérielle tension métallurgiste, 10, rue de Gentilly, à Paris, sent sur en tard trop I On parle de mobilier, donné se f&cba. Des mots, on en vint aux mains; teurs quasi infaillibles. Il est entendu que le Sinis sinistrés. aux. d'un coup de poing en plein visage. M. tré le d'accepter du « meu droit Bequlllard, qui est-un ancien boxeur, eut Le sucre d'orge Vichy'Etat bonbon di ble aura équivalent un ou en argent sans » la mâchoire fracturée. . préparé à Vichy avec l'eau de préjudice gestif des indemnités de reconstitu M. Farinét, commissaire de police de Vichy puisée aux sources de l'Etat ne Montroiige, fit transporter le blessé & Co- peut être comparé ai. le marquis dé Palaminy prend la chln, pendant que l'agresseur était en laires de la confiserieaux produits slml parole courante, voyé au Dépôt. < ' : il définit les rôles exacts du Co—2— FèUlllèton
Petit Journal
6 Mai 1980
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DO TIEMPS^, fl
LES CONTES DU P.
J.
barras l'autre mttit !' Là tranquillité 1 Elle a son prix, mais j'aime encore mieux, faire un bon_ repas, même .inter rompu, sur un beau tapis de Turquie, qu'un mauvais, à mon aise, sur ce sol tout humide *. II n'y avait en effiei sur . la table que du pain noir et des pommes de terre. On trouva une chaise pour le cousin Pierre, qui s'assit, lorsque cou sine Jeanne s'écria : • Ah ! voilà encore l'autre l Elle désignait .le soupirail, muni d'un grillage derrière lequel apparaissait un
Le rat de ville aux champs
SEINE QUATRE INDIVIDUS VOLENT UN TAXI A SAINT-DENIS ILS SONT ARRETES A CHANTILLY Un chaulleur do taxi. M. Albert Niaard, 34 ans, 1, Impasse Gabriel, à Flcrrefltte, avait laissé uu moment son taxi, samedi soir, au lieudit « Les Quatre Hues », a Saint-Denis. Lorsqu'il revint, sa voiture avait disparu. Celle-ci fut retrouvée; ainsi que les quatre Individus qui s'en étalent emparés, par les gendarmes de Chantilly. Les voleurs, habitant tous à Saint-De nis : Louis Sellier, 24 ans, 6, passage Compolng ; Léon Demonsins, 22 ans, 221, ave nue Wllson ; André Bec, 19 ans. 7. rue de l'Ermitage, et André Rocher, 21 ans, 5, rue Vercingétorix, avaient voulu s'offrir une promenade sans bourse délier. Ils ont <Sté
envoyés au Dépôt.
COLLISION D'AUTOMOBILES Cinq blessés La nuit dernière, vers minuit, l'auto mobile conduite par le chauffeur Charles Dlem, 28 ans, employé de banque, 288, rue de Vauglrard, ù. Paris, est entrée en collision, en face du 48 de la rue ErnestRenan, à Issy-les-Moulineaux, avec une camionnette que pilotait M. Albert Blesla, 32 ans, 38, rue de. la Belgique, à Meudon. Dans le choc, M. Biesla a été grièvement blessé et transporté a. l'hôpital des PetitsMénage. Quatre des occupants des deux voitures, contusionnés, ont reçu des soins sur place ; après quoi il ont regagné leur domicile. UN MAUVAIS FILS Henri Lalou, 37 ans, 48, avenue JeanJaurès, à Drancy, assaillait sa mère, Mme Lalou, née Loyer, 57 ans, de demande^ d'argent. Hier matin, celle-ci ayant refusé? Henri Lalou se répandit en injures contre sa mère,' la menaçant avec un revolver. Ce mauvais fils a été éeroué. — Crétcll s arand'Rue, M. Alphonse Chassaln, ES ans, 76, rue Cliéret, même localité, a été renversé et tué par le taxi du chauffeur Leparîot, 9, rue Blanqul, a Vltry, qui a été Interrogé sur les circons tances de l'accident par M. Tourainc, com missaire de. police de Salnt-Maur. —* ïssy-len-Moullneaux : Au cours de son travail, 7, ruè Marceau, M. Léon Pétreux, 112, rue de Verdun, même localité, est tombé ,du sixième étage dans une cave et s'est tué, •— La Garenue-Cotoinbes : Une collision se produit, rue Veuve-LacraiX, entre le cycliste Antonio Pires, 20 ans, sujet por tugais, rue de Normatidl&i a Côurbevolé, et . une motocyclette que conduisait Henri Thcse, 21 ans, rue des UcHcs-Eibats. a Nan*terre, ayant avec lui Mlle Marcelle Lau rent, 17 ans, môme adresse. Tous trois, relevés avec des contusions multiples, Bont transportés a la maison départemental# de Nanterre. — MoiitreUll-smis-Rnls : Des agents eohstatant, hier, un accident d'automobi les, rue de Paris, furent insultés par deux témoins, Maurice Mangeret, 33 ans, tapis» sler, 18, rue Ernest-tioussel, à Paris, et sou amie, Aline Dldan, 33 ans, brosslére, 60, avenue de Sàlnt-Mandé, à Paris, qui ont été ehvoyés au Dépôt. Salnt-ouen : Avenue Jean-Jaurès, uh—motocycliste, M, Henri Roger, Si ahB, 24B. rue au Lanay, a saint-Denis, est renversée par l'auto du chauffeur Belll Daiio, •?, rue Ampère, même localité. At teint de fractures aux Jambes, le moto cycliste a été transporté à Bichat. Vincennes ! En cueillant au lllas, M.—Emile SteUrer, Gà ans, 29, avenue de paris, est tomba sur un piquet de clôture et s'est crevé un tell. Transporté à l'Hôtel* Dieu, il y a succombé, ».
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M. CATIIALA AU CONGRES
D'ANCIENS COMBATTANTS A SAINT-LEU - : Les groupes de îtt. fcr, c. et l'A, d. m. P. Se Belnfe-et-Oise .ont tenu hier leur congrès annuel à Saint-Leu-la-t'orêt. M., bossignoi,' président général de rtr.
mité régional et fies organisations loca les ; Il préconise d'activet les nomina tions d'experts qui se font par trop at tendre, car la distribution des Beeours n',a pu être toujours en rapport avec les dommages subis. M. Palaminy tient à préciser qu'on doit procéder à 1 expertise des dommages le plus rapidement pos sible permettant de reconstituer les ins truments de travail, le cheptel et l'ou>tlllagè. cela, M. le ministre, U faut <— Et pour agir vite. Vous nous avez dit vouloir part tir de Toulouse satisfait et en complet accord avec le Comité régional, eh bien I nous vous demandons de ne pas mettrë trop de parcimonie dans la distribution de ces millions ; ll vaUt mieux donner trop que pas assee. A cet appel, auquel s'associent leB dé légués du Comité, M. Héraud répond que les sommes seraient au plus tôt données au prorata des besoins des Co* mites locaux, le Comité régional seul
statuant. — s'il faut 60 millions, Je leB donnerai,
S'il en faut plus, je les donnerai encore 1 Mais si manger du g&teah c'est bien, man ger du palii c'est encore mieux I Un Jour vlehdra où l'on dira : et Où sont passés ces millions if n Je veux qu'on ajoute : « Ils ont été dépensés en bon père de fa mille. » C'est ma seule objection cot&me membre temporaire de vos réunions. Je désire partir sur du travail accompli, lais sant la situation nette. Messieurs, nous
sommes d'accord, le Gouvernement tien dra sa parole;
N. C., a fait voter diverses motions qu'il' présentera au prochain congrès des com battants à Lyon. A 11 h. 45, les représentants des sec tions de Seine-et-Oise, avec plus de 60 drapeaux, M. Larroque, sous-préfet do Pontolse, le maire de Saint-Leu, les pré sidents. de ,1'U, N.. C. et de l'A. G. M. Q ont reçu M. Cathala, sous-secrétaire d'Etat nu Travail, MM, Patenôtre-Desnoyers, de Fels et Relbel, ancien ministre des pensions. Une palme a été déposée au monument auic morts, puis un <vin d'hon neur a été servi. 1 Au-banquet qui a suivi, M. Rossignol, de, l'U. N. C., et le vice-président de'l'A. O M- G. ont pris la parole, Le maire.-a re mercié les membres du gouvernement et les congressistes, au nom de la ville. MM. Patenôtrc-Desnoyers, de' Fels et Reibel ont rendu hommage aux efforts des pré sidents des associations, et loué la frater nité qui règne dans les groupements d'an ciens combattants. Enfin M. Cathala a dit son plaisir de se retrouver au milieu de ses frères d'ar mes pour connaître leurs aspirations et il les a assurés de la bienveillance du gou
jours.
Quand il estima que llheure du départ avait sonné, il se mit en route, à la nuit tombante. J1 ne demandait rien à per sonne, n'est-ce pas ? 11 alhit tout sim plement voir son cousin. Eh ! bien, un damné chat et une- satanée chouette réussirent à l'ennuyer au delà du possi ble et lui firent la vie dure pendant la première partie de la route, n'ayant au cun égard pour sa qualité de rat de ville. Chat et chouette ont de bons yeux; mais un rat peut «e moquer de l'un et de l'autre en se glissant dans des trous dont vernement. l'accès leur est refusé. Or, comme . L'INAUGURATION DE LA MAIRIE les vieilles masures se succédaient quasi DE GANZERAN 6ans interruption,'entre ces gîtes d'une L'inauguration de la mairie de Gan- minute, il n'avait que l'embarras du zeran a eu lieu hier après-midi. M. Bar- choix. II en sortait par les derrières, reller, directeur de "l'enseignement pri pensant avoir dépisté chouette, et chst, maire, représentant le ministre de l'Ins'truction publique ; M. Ancel, sous-préfet et regagnait la grand'route : tout de de Rambouillet; le commandant Garln, suite, ils le retrouvaient, et la 6cène re représentant le Président de la Républi commençait. que, présidaient la cérémonie, entourés de Oh ! Oh I se disait-il. Mon cousin — MM. Pétron, maire ; Besnard-Houesssin et de tous les conseillers municipaux de Jean qui fait fi du plaisir que la crainte la commune. I Je voudrais.bien le voit peut Plusieurs discours ont été prononcés, à macorrompre place. Je n'ai pas encore tâté du entre autres par MM. Ancel, Patenôtre et festin— à sa manière — qu'il m'a pro Pétron et ont été radiodiffusés. La fan fare de l'Ecole militaire préparatoire et la mis, et je suie déjà beaucoup plus em Société musicale de Rambouillet prêtaient bêté qu'il ne le fut, lui, aprèa avoir sa leurs concours. vouré nos reliefs d'ortolans. N'empêche que chat et chouette se disputent ma : Hier, ont eu lieu peau : ils ne l'auront pas. Moi aussi, — Mantes-sur-Seine des élections municipales rendues néces saires à la suite de l'annexion de la com i'ai plus d'un tour dans mon sac, et mune de Gasslcourt A la ville de Man plue d'un détour dans les pattes. tes. La liste présentée par les deux mu Quand ils arrivèrent à l'entrée du ptnicipalités sortantes et comprenant 27 bois, le chat abandonna la partie : tit membres appartenant à l'Union des fran ches, a été èluo tout entière. il ne lui plaisait pas de s'aventuret dans Versailles Nolsy-le-Rol, A : un cy — M. Georges pu rencontrer cliste, Bonnleux, 25 ans, a été tout ce noir où il aurait chasseuf/'i! fût blessé par l'auto de M. Charles Lahr, 180. des animaux tels que, de rue de Vanves, à Paris. devenu proie. Peu de temps après, la — En traversant la chaussée, rue choiiette elle-même se retira du jeu, et Royale, à Versailles, la jeune Denise Bolsson, 8 ans, dont les parents habitent 10, notre ami put suivre en paix son che rue des Bourdonnais a Versailles, a été min, tout en songeant : blessée par l'auto que conduisait Mme -r-C'est égal l Je serais curieux de Marie SoUil, k Salnt-Cloud, 66, rue Gôuvoir ce que mon cousin pourra m'offrir. nod. — Pour Infraction & Un arrêté d'Inter Je connais la chaumière où i) habite avec diction dé séjour, la poilee de Versailles fattiille> puisque j'y suis né, Môi, ia a procédé a l'arrestation du journalier sa Lucien Terrien, 24 ans, 65, rue. Carnot, a camçagne 11 était pas mon fait. Comme les journées m'y semblaient longues 1 Vernoa. > VUIe-d'Âvray Une J'ai t émigré à la ville, et je ne le regrette — M. Lucien Onrubla, auto conduite par a Paris, 3, rue pas. Je m'y suis fait une belle situation, Robert-Lecolni a blessé, rue de Versail les, une fillette de. 12 ansr Renée Froment, sans me vanter. J'y ai dee alertes, je demeurant 63, rue de Versailles. L'enfant n'en disconviens pas, mais quelle, vie de a été admise & l'hôpital de Versailles. bombance I Aussi suis-je gras à souhait, tandis que mon cousin Jean est maigre, SEINE-ET-MARNE maigre !... Ah 1 ce n'est pas à lui que chat et chouette^ feront la chasse t 11 M» GASTON GERARD A INAUGURE peut être tranquille, le cousin Jean t LA FOÎRE-ExrOSITION La chaumière où Je cousin Jean vivait, DE COULOMMlEltS de préférence dans là cave, était bâtié Une folre-expositlon où, dans un cadre à la corne du petit bois. D'y pénétrer fort coquet, sont réunis les produits ré gionaux du commerce, de l'industrie et de ne fut pour notre ami qu'un jeu d'enfaht. l'agrlcultufe avec sections Spéciales des Il faut dife que les nua^ee s'étaient dis beaux-arts et de l'enseignement profes sipés* et la lune éclairait d'une lumière sionnel, s'est ouverte hier, & coulbmmiers. sereine une partie de la Qtchine ronde» Cette folre^exposltion, d'un très haut c'est la Terre que je veux dire, *•+ où Intérêt, qui avait été organisée par la mu nicipalité, l'Union des commerçants, le il y a place pour toutes les espèces vi syndicat d'initiative et les principales So vantes, un peu, somme toute, comtne4 ciétés locales, a été inaugurée par M. Gftston Gérard, h&ut-commlssaireau Tou dans l'arche de Noé. Le cousin qui ve risme, accompagné de M. Pierre Mortier, nait de la ville fut joyeusement accueilli maire, <de M. Garlpui, préfet de Seine- par la famille nombreuse qui, précisé' et-Marne, M. Latour, sous-préfet, de MM. Ménier, Penahcler êt Lugol, sénateurs ; ment, vehait de se mettre à table, avec, Desalht et Cravolsler, députés. Reçu offi pour luminaire, les rayons de la lune qui ciellement par M. Mortier et les membres entraient, sans se gêner, par le soupi du conseil municipal a l'hôtel de ville, où rail. un vin d'honneur lui a été servi, le re présentant du gouvernement —> C'est bien aimable à vous, cousitt a présidé én-r Pierre, suite un grand banquet.au cours d'être venu nous voir, dit cousine duquel il exprima son idée que pour développer Jeanne. le tourisme en France U fallait pratiquer Hé . I Hé ! dit notre amt cousin avant tout une politique du bon accueil. Un concours de pêche; qui groupait 300 Pierre en se ffisant la moustache, votre membres et un concours de tir ont eu lieu famille s'est encore augmentée, à ce que ensuite; Les premiers du concours de je vois. tir ont été attribués i prix ooncours déléga tions, au vétéran Courpalay, 20 deballes, 11 y avait à table plusieurs enfants 87 points ! un junior. Quincy-Cégy, 20 bal âgés d'environ un mois et qui, n'ayant les, 83 points ; concours individuel, au jamais* leur oncle de la ville, ne pou vu vétéran Ernfest Glbert, de TouqUih, S bal les, 27 points i au junior George» Cadine, vaient pas le reconnaître. de Cholsy-en-BrIé, 5 balles, 29 points. — Ne m'en parles pas ! dit Cousine Jeanne en baissant k» yeiix. Le Mcsnil-Ahielot -7: Dans l'ânclèn Ci — Ma foi l fit le cousin Jean, la der metière, les pierres tombales d'une con nière fois que je t'ai vu en ville, j'ai cession ont été- soulevées et déplacées. oublié de t en avertir, il est vrai que Une enquête est ouverte, fait Uh si bon reçafe l.„ : Sous la présidence d'hon- nouâ avons — Meaux neur de Mgr Gaillard, évêque de Meaux, Dame I Je ne peux pas te recevoir com et la présidence effective du vicaire géné me tu m'as rèçu 1 ici, c'est & la fortune ral Mgr Bléry, la Croix-Rôuge fera célé brer dimanche, a 10 heures, une messe du pot, et le pot n'est pas toujours bien solennelle à l'intention des soldats et ma garni. Avec tous ces mioches que nous rins morts pour la patrie, Le sera avons sur les bras I.» prononcé par le R,P. HerVelln,sermon du Collège Les rats parlent parfois comme lès do Julliy. . îa-i L'Association amicale des combat hommes, qui agissent parfois «n rata. tants (section de l'U.N.C.) organise pour I Aussi, c'est ta faute» dit dimanche une promenade à Ermenonville, — Dame Jeanne en baissant encore les strictement réservée aux sociétaires et à cousine leur famille. Les inscriptions seront re yèux. çues Jusqu'au Jeudi. Cependant, notre ami &e disait : < Ce ' Mttry-Mory Louis Mahot, Maurice : — Menaut et Marcel Guérln ont cambriolé, n'était pas la peine de faire tant d'em rue du Pavé, le débit Floury, deux prèmlers sont arrêtés. Guérln, en Les fuite, est recherché.
par JACQUES MORTANE
M. sentinelle de VMRBUN Jean NAVARRE oônnut, le premier les faveurs du communiqué : il créa la Pliasse aérienne. Habile tiiunœuvrlet, virtuose de l'acrobatie et du tir, héroïque en ses combats, Chevaleresque àtiëo ses victimes. Jean NAVARRE /Ut un français au eœiir ardent et généreux. Oé récit dépasse en intérêt tout ce qu'aurait pu inventer un écrivain très in génieux. Jacques MORTAHË avec son habituel souci de vérité, a réalisé là un des meilleurs livres de la collection : LA GUERRE AERIÈNNE ' Un volume : 12 francs chez toUs les libraires, dans toutes les gares, ou contre mandat aux Editions BAUtMNJEtlE, ZI bis, rue du Moulin-Vert, Paris (14')
Barduzae ayant pris sa retraite, ils avaient acheté une maison à Largillais, petite ville de Touraine où vivaient nombre de ren tiers modestes, Comme ils possédaient d'assez jolis revends, ils jouissaient là d'u* ne certaine considération qui flattait la grosse vanité de Mme Barduzae* Celle-ci. en outré, se servait de moi pour s'exhaus ser sur son piédestal. « La pupille de mon mari, une orpheline dolit nous nous som mes tant occupés, que nous traitons com me notre fille... Mlle Gilberte d'Arblers; no tre pupille, la fille de ce pauvre comte d'Arblers qui fut tué au Maroc... Un héros, chère madame !... ( ou cher monsieur) Et là-dessus, elle s'embarquait dans Une description coloréè de l'expédition dônt fit partie mon pèrê et qui M coûta la Vie. Ôe récit, souvent entendu, me Semblait très beau et m'émouvait toujours. Le maiheur voulut qu'un jour, en cherchant un volume de Corneille dans la bibliothèque de M. BardUZac, je tombai sur un livre où 11 était question dè nos conquêtes afrl» caines. Il s'Ouvrit presque de .lui-même à une certaine page, et qu'est-ce que je lus ? LO' récit, mot pour mot, si souvent fait par Mme Barduzae. seulement, iûl, le hé ros ne s'appelait pas le capitaine d'Arblers. Je ne soufflai mot de ma découverte. Quelques jours plus tard, à une réunion chez Mme Geolle, la femme du notaire, je fus présentée à une nouvelle venue : « Gilberte d'Arblers, etc... » Ët Mme Bar duzae commença de raconter. Je la laissai arriver presque à la fin. Puis, profitant d'un moment où elle s'interrompait pouf
ohat.
— Laisse-nous donc tranquille ! dit cousin lean. Ah 1 tu seras bien toujours
la même I Tu t'effraies pour des riens. dit notre afni, qui ne — Il a raison, première modtié de son parla point de la voyage. Un chat ? Moi, je n'en ferais qu'une bouchée. En ville, nous faisons hon ménage avec eux. Nous sommes gens policés, et qui savent vivre: Cousine Jeanne poussa un soupir. Comme elle aurait voulu vivre, elle aussi, « en,'ville » I Mais son mari était un
campagnard endurci. Elle s'excusa de recevoir le citadin .avec'aussi peu d'ap prêts. tout en continuant de regarder du côté du soupirail, d'où le chat conti nuait. lui, de les observer. — Qui c'est donc, ce monsieur ? dit urf des enfants, en naïf qu'il était Un ami, mon petit ami, Répondit Ponde pierre, qui trouvait, décidément, que le repas manquait de chairme S pain noir et pommes de terre, ce n'était' pas son fort ; et puisj ce chat, tout ami qu'il fût, avait des façons de tirer sur le gril lage 1... Lorsque cousin Jean, après avqjr longtemps hésité, voulut déboucher une bonne bouteille, — de derrière le tas de planches qui étaient dans un coin de 11 cave, — cousin Pierre répondit s — Ce n'est pas la peine. Je dois être rentré pour onze heures. Il faut... .II n'eut pas le temps d'achever »a phrase : le chat bondit sur le groupe, qui se dispersa vivement, les enfants eux-mêmes voyant bien que ce monsieur n'était pas animé, à leur égard, de très bons sentiments. Le tas de planches letir offrit de sûrs abris. Quaht à notre ami, connaissant toutes les ruses de guerre, il avait gagn^ le soupirail que le chat venait d'abandon ner, De là, il se mit à trottiner vers son domicile, tout en maugréant t. . — Ah I ce6 campagnards I On ne m'y / reprendra pas. C'était bien la peine de m'invitef I Quel menu, pour un hôte de ma valeur I Et je dis « valeur » dans Je sens, aussi, de bravoure. S'il arrive que le plaisir soit corrompu par la crainte* que faut-il dire de l'ennui quand la crainte s'y ajoute I..t
Henri Bachelia.
"...Je ne
puis faire passer chez mes auditeurs l'étonnément que nous éprouvions, mes collaborateurs et moi, en faisant les autopsies..." Extrait du compte rendu de la com munication du professeur Delbet ài l'Académie de médecine sur l'action.bio logique du chlorure de magnésium dans le cancer, l'arthritisme et un certain nombre d'affections, compte rendu remia ou envoyé gratuitement, sur simple de mande, par la pharmacie 1"*, 26, boule vard Sébastopol, à Paris, dépôt général du Total Magnèslent. La production des houillères françaises en mars 1930 Lee houillères françaises ont
produit
pendant le mois de mars tonnes pour 26 Jours de travail au lieu de 4.578.460 en février pour 24 jours de travail. • La production moyenne paï jour ou* vrable qui était de 190.769 tonnes en fé ,
1930, 4.799.883
vrier s'est établie en mars 1930 à 184,611 tonnes au lieu de 179.&66 en mars 1928. Ainsi l'ensemble des mines situées dans les anciennes frontières a fourni avec 165.509 tonnes une extraction jour nalière en progrés de ?9.362 tonnes sut le chiffre de 1913. Les houillères lorraines ont apporté u» contingent Supplémentaire de 19.102 torines par jour de travail. La production de coke métallurgique s'est élevée en mars 1930 à 443.909 tonnes au lieu de 392.950 tonnes en fé vrier et de 411.328 en mars 1929.
1RES CâEtt BUOOX ACHAT J&ERËSTEDJiAN 38, Bae de l'rèvtefct 38 TèL i Prov. 89-69
Si vous n'allez pas, Madame,C"'îbrer lé Centenaire de l'Algérie vous pouvez du m< passer d'agréables
GUERRE DES AILES (Tome V)
vante. Celle-ci, au hasarda courut chez la voisine. Mme Barduzae arrivas donna lès soins nécessaires, puis revint le lendemain et les jours suivâhts. Elle manquait de discrétion, elle n'avait rien des idées ni des goûts ^e ma mère. Cependant la ma lade se sentait si seule, si faible qu'il lui semblait bon d'avoir à sa portée une per sonne prête à lui porter secours. Elle accueilit doûô les avances.de Mme Barduzae. IPuis les vieux amis moururent et elle se vjit plus isolée encore en cette ville où, claustrée dans le chagrin de son veuvage, elle n'avait pas fait de relations. Sa santé s'affaiblissait chaque jour. En même temps grandissait l'influence de la voisine* J'é tais à cettè époque Unfe fillette vive et af fectueuse et je chérissais maman. Mais déjà Mme Barduzae et moi étions en escarmouches, à la grande désolation de nia mère. Pauvre maman ! Elle mourut douce ment, un jour d'hiver, comme j'atteignais, mes: quatorze ans. Quand je repôrte ma pensée vers de moment, les heures doulou reuses revivent âvec une intensité poi gnante. Elle était ma seule affection. Nous n'avions que des cousins éloignés, incon nus pour moi. Jé n'aimais pas les Bardu zae. Cependant, c'était à eux que ma mère confiait le soin de ma tutelle. J'accueillis la nouvelle sans enthousiasme et, dans mon malheur, je me trouvai satisfaite d'entrer dans un couvent, tant j'avais eu peur un moment de demeurer chez eux. Us me firent sortir aux vacances, pen dant les quatre ans de mon internat, M.
Le rat de ville ae répondit pas tout de suite à l'invitation que lui avait faite, ».u dernier moment, son cousin, .qui ha bitait à la campagne ; mais on ra-cçnte — et je crois qu'on Je tient de source sûre, — qu'il ne tarda que de quelques
M la 7*
MODE
moments en lisant
M
qui paraît chaque semaine LA MODE, eu vente partout : le numéro : 60 centimes
HUILE HESIEUR HUILE DE TABLE
respirer, tandis que Se répandait dans la salle un murmure de componction, je dis paisiblement : Mais vous vous trompez, madame ? C'est de la mort du capitaine X... que vous parlez là, Elle rougit et me jeta un coup d'oeil endessous. — Que dites-Vous ? Qu'est-ce que signi fie cette réflexion stupide ? — Mais regardez, madame, dans le vo lume intitulé c Nos conquêtes d'Afrique ». A la page 42, vous trouverez ce récit tel que Vous venez de le redire. Il n'y manque pas un mot, je crois» La rougeur s'aCcentua sur le teint bla fard. Mme Barduzae fut un Instant sans répliquer. Enfin, elle dit, en évitant de me regarder : •"Il se peut qu'il y ait des coïncidences entre cês deux morts. Mais cê que je ra conte, je le tiens de votre mère elle-même. Depuis lors, elle ne refit plus le récit menteur. Mais son animosité contre moi S'acCrut de toute' sa Vanité blessée. Peu m'importait. J'étais heureuse dé lui avoir montré que sa supferchetie se trouvait dé couverte, car le .mensonge m'est odieux et je lui en voulais d'avoir ainsi trompé ma
confiance d'enfant. . A dix-huit ans, je sortis au couvent, bien marrie d'aller pourvue de brevets et très vivre chez mon tuteur. La Mère Supérieu re, ma confidente, m'avait dit : « Soyez bonhe et patiente, n'indisposez pas contre vous Mme Barduzae, par une humeur'ba tailleuse. U faut faire des concessions dans
la
ma petite fille ». J'arrivai dono pénétrée toute de bonnes dispositions à la villa des Palmes <— ainsi nommée, sans doute, en l'honneur de celles que porte M. Barduzae et je fis de louables efforts les pour conserver le plus, longtemps pos sible. Je ne crois pas «l'adresser des louan ges imméritées en déclarant que je fus angélique, pendant près d'une année. Mais il advint que Mme Barduzae s'autorisa de ma patience pour me traiter en vaincue. Elle était de ces natures qui ne baissent pavillon que devant plus désagréable qu'elles. Je le compris très Vite et sortis bée et ongles. Ce fut l'état de guerre. L'existence était pénible pour mol et j'as pirais à mes vingt et un an, qui me per» mettraient dé remercier les Barduzao en les quittant avec ravissement. Cette date bien heureuse serait atteinte dans huit mbis. Jusque là, il faudrait patienter... Et Où lrais-je ? ; Je ne savais encore. Probablement, je me retirerais comme dame pensionnaire en quelque couvent, jusqu'à mon mariage admettant que je trouve un mari & — engoût, mon car je n'avais rien exagéré en disant à Mme Barduzae que je serais quel Vie.
que peu difficile.
Alors, s'il le fallait, je restèrals vieille fille, Je chercherais quelque occupation
intéressante, je tâcherais de me rendre utile à mon prochain. \ Mais... oui,, vraiment, j'aimerais mieux le mariage — pourvu que le mari me plût beaucoup.
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DERNIERE HEURE I L"f 5-5 — 30
Le Petit Journal
DE L'ALGERIE (SUITE DE LA PREMIERE PAGE)
La fantasia du Caroubier
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SENLIS A FETE
SERVICES SPECIAUX TELEGRAPHIQUES. TELEPHONIQUES ET TJ5F. du « Petit Jounwl »
LE COMMANDANT EN CHEF SOCIALISTES ET FASCISTES)
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A LA GLOIRE DE LA PUCELLE
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le cinquième centenaire
AU GRAND PRIX DU MAROC
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nouvelle RENAULT.193Ô
a l'égale préférence der
de Jeanne d'Arc
hommes et des femmçi. Un bon repas ne peut
Après un déjeuner intime-au palais d'été, à l'issue duquel il remit la 1cravate se terminer sans pas Vieille Mgr des troupes britanniques Maglione de Autriche manifesté Cure présence ont de commandeur au gouverneur général en en Bordes, le Président de la République rendu, en traversant le Jardin "" 1 1 9 "" aux Indes a donné sa démission Une bagarre à Sankt-Poelten s'est d'essai, à l'hippodrome du Caroubier. La ville de Benlis a commémoré le Une fouie immense avait pris place dans cinquième centenaire - du passage de les tribunes et aux abord? de l'enceinte. Jeanne d'Arc dans ses murs par une La'journée d'hier s'est passée Vienne, 4 Mai. Les formations SO' Un vent frais agitait les drapeaux des cérémonie religieuse. L'évêque de Beauciaillstes ont concentré plus de 10.000 notables incidents et les bannières roses et fauyes vais avait demandé au nonce de venir sans hommes à. Sanift Poelten où les Heim- pylônes corporations des musulmanes.A son ar présider ces fêtes, Mgr Maglione, qu'as wehren défilé aujourd'hui ont au nom' terrain,, rivée le le Président est ac sistaient Mgr Forny, Mgr Le Senne, sur 4De notre correspondant partteulter.) bre d'environ 5.000 hommes. cérémonie clamé. La commença par la évêque de Beauvais, Mgr Gaillard, évêLondres, 4 Mat. — On mande 'de Bom Les mesures d'ordre prises pour éviter présentation au chef de l'Etat d'un su que de Meaux, officia donc dans la ttebay que le générai sir Philipp ' Chet- un conflit n'ont pu empêcher quelque® arabe perbe oheval qui lui est offert, thédrale magnifiquement décorée, wood, commandant en. chef des troupes incidents de se produire dans la ban britanniques aux Indes, a démissionné- lieue immédiate de 1 Sankt-Poel1<en, où avec la haute -selle dorée, par les caïds Aux premiers rangs de l'assistance, on Sud. Puis a lieu, avec le cérémonial remarquait le sous-préfet de Seniia, les Il quitter» -son poste Je 3 juillet prochain. l'on signale notamment une rencontre du d'usage, la remise des décorations aux adjoints, le conseil municipal, les mem Il sera remplacé par la général, sir C.-J. entre une colonne de camions automo chefs. bres .du conseil général et du conseil Deverejl. montés par tes Heimwehren et un grands applaudissements foule, de le Aux la d'arrondissement, le colonel et les offi D'autre part, sir Norman Boiton, com biles 400 membres de$- for détachement de 8 en Hgne, 4 I. 240 Président remet de les insignes grandmissaire des provinces du Nord-Ouest, mations socialistes, rencontre au cours ciers du 4* régiment de spahis maro à Ben Gana Cactaga', des Zibans; cains, de nombreux fonctionnaires et re qui a quitté les Indes, hier, pour raison de laquelle des pierres ont été lancées croix de grand officier au bacihaga de l'oued présentants de sociétés locales. de santé, a également donné sa démis d'un camp à l'autre. Zouf et aux aghas de Larbaa et des sion.' Le panégyrique de Jeanne 4PArc fut ' l'amenokal Ksoura. Trois caïds et du Le seul incident que signalent les mes La gei.darmer.e de Sankt Poelten as | aont commandeurs. Le chef sages des Indes est l'explosion d'un dé clare que les incidents qui se sont pro touareg, très grand, doit se baisser pour tonateur à Kirkeç, près de Poqnan. L'en duits sont sans importance. * gin avait été pris par des hindous dans Outre 7ÔQ gendarmes .et 500 hommes que le Président l'embrasse, mais 11 gar son voile. M. Doumergue lui remet, un une îabrique çte munitions. Deux des troupe mobilisés, le gouvernement de poignard porteurs de l'engin ont été blessés par de d'honneur et vient reprendre de la Basse-Autriche a jugé l'explosion. Arrêtés, Ils ont fait des provisoire place dans la tribune, au milieu des sa Sankt-Poelten du d'envoyer à opportun présidents à suite, desquels on s'attend & renfort prélevé des Chambres et des mem aveux la Vien garnison de la sur révélations des importantes. La gard* du gouvernement. et d'interdire strictement aux forma* bres de la fabrique de munitions et oeUe de ne Le des troupes commence aus lions socialistes, contrairement-au pro- sitôt, défilé l'Arsenal ont été renforcées. rythmé par la HWWW H»' 1» nouba iiuuu» du UU 5* a tirailtuawhrtai 'l'apch 'riii rentre de la «Wt. mmmp ^nktVoriten M. Gadgil, président de la Ligue de vfn^ril ' don defile compagnie tet eu rs en le afin attn d'assurer d ville dfi de Sankt-Poelten ann a assurer i«l nM kaltl et une çn ten(le orlentale. la jeunesse de Poonan, st été arrêté, au départ an bon ordre des Heimwehren, jourd'hui, ainsi que le chef du Conseil Viennent ensuite un détachement de Un autre défilé de 16.Q0Q membres des "njarins de .guerre mahratte Ohankarran Dei. Heimwehren indigènes, un escadron du l" a eu lieu aujourd'hui à| spahis, faes' détachements Celui-ci a été condamné cet après-midi, Laxenburg, près de gendarmes de Vienne. engagées dans cette épreuve à un an d'emprisonnement et 100 roupies et de forestiers indigènes. Plusieurs cen d'amende. taines de goumiers noirs, bleue, rouges UNE BAGARRE A MADRID ont enlevé les 3 ou blancs, passent au trot de leurs fi Une belle manifestation d'amitié A LA CONFERENCE DE M. UNAMUNO nés montures ; parmi un groupe, un du classement toutes catégories cavalier ohante une mélopée mélancoii que, pleine de la nostalgie du désert. franco-yougoslave Kms à ayant couvert Perpignan, 4 Mai. — Selon des nou» Le défilé des troupes indigènes s'achève Important voiles reçues de Madrid, un par les mëhartstes qui forment deux quaitn a eu lien hier à Zagreb service d'ordre avait été organisé cq ma groupes, les Chambaa en costume bleu est préparéeavec de viellles"RneChanip«qne* tin en prévision d'une conférence^que ciel, dont les bêtes sont plus robustes, deXwnci?Armaqnacj*elSi plantes dç raontaqne fairs devait Unamuno professeur le et les touafegs, tout enveloppés dans aromatiques et vivifiantesdont le savant mélange Zagreb, 4 Mai. — L'inauguration des . avant cinéma. Mais dans de salle jours noirs, voiles une et dont les chameaux constitueIç secret de la"VleilteCure"cteson bouquet nouveaux locaux du * Cercle des Ami3 captivant et de son action.bienfaisantesur l'organisme de la France » et Je vernissage de l'ex que le professeur ait_ pénétré dans la [ sont renommés pour leur ligne élégante, GROUPÉES de Jeunes vingtaine salle, gens ar Pour assister à cette fête, méharis» une feraposition de peinture, française, de ces de matraques envahirent cette der tes, naguère pirates du désert dont ils vure et de dessins ont donné lieu au més Ils ren sont de.venus «les gendarmes, ont fait jourd'hui à midi, à une imposante mani nière se portant vers la scène.socialiste leader contrèrent alors le 2.000 kilomètres, étant venus, les uns les festation d'amitié franco-sctugaglave. Lq cathédrale oit, a été célébrée la M. rouèrent de le M. Prieto et coups. confins de la Tripalitaine, les autres de Le ministre de France, MgfËmlle Dard.. commémoration jusmieux défendit de. Prieto la son frontière i du Rio se Oro, où ils de remercié qui contribué tous ont gueta ceux moment çù le public vint le dé tent les rezsous. Or&oe à leur loyalisme prononcé par l'abbé Jally. Un très beau Avec cette performance, RENAULT vient de mon» ' à l'installation du Cercle français dans qu'au et au dévouement trop souvent méconnu programme musical a été exécuté.' ' les splendides locaux qu'il oceupe actuel livrer.' ; trer - une fols de plus - Pindiççutable qualité çtla par furent assaillants Finalement, les ex des officiers et sou%*pfAciers français lement. H a profité de cette occasion L'après-roidi, évêques le et les nonce , faite mise au point de ses fabrications* Déjà, en 1928. pulsés de la salle. On croit qu'ils appar- qui les commandent, les automobiles ont été officiellement à l'hôtel de pour déclarer que rien ne peut être plus tiennent reçus au parti du Dr Albinana et! peuvent aller d'Alger à . Gao sans un re- ville par la municipalité et le conseil trois VIVASjx (6 cyl.) avaient triomphé dans cette flatteur pour.le représentant de la l'u.ncommandait. I les celui-ci voiver. que municipal qui leur fut présenté par Mi ce que l'estime dont Jouit la culture de M. Unamuno fit ensuite sa oonxé- 1 épreuve, soutenant 11Q de moyenne. TOUR DE FRANCE partie millénaire cité lft la <croate, q\ii dans Louât, premier adjoint. : son pays revue, en est le clou, comporte un défilé des trouantique berceau de l'idée yougoslave, ar rence lorsque la calme fut revenu. Il y a quelques semaines quatre VIVASIX (6 ey!.) A Compiègne, les préparatifs cinéma, la foule fut sortie -du A la a anciennes reconstituées par le colopes dent foyer du mouvement de libération réélisaient la meilleure moyenne de tous les concur* MOTOCYCLISTE sont hâtivement poussés nouveau assaillie par les partisans du nel François, chef d'état-major. Ce sont .nationale. Albinana. mais la- poliçe. chargea d'abord les éléments du corps de débarCompiègne vit dans la fièvre. C'est, du Rallye Transsaharien : 51 km. 600 sur rents si la France, a-t-H dit, qui connais Dr — dégager la rue. quement de 1830, lignards du 14', grena en effet, le 17 mai, dans'quelques jours, Catégorie 5Q0 cmc. 'depuis si longtemps le courage des régi pour 6,500 km ; la double traversée du Sahara. diers du g*, fusiliers du 15' et du 32% que commenceront les grandes fê.tes or ments croates, "la-France qui voue aima voltigeurs du 48', chasseurs du 4' régi ganisées pour la gloire de la Pucelle, toujours sou» les noms divers, Illyrlens, « GRAVE ACCIDENT PENDANT Le 25 mars, une REINASTELLA (8 cyl.), puis» er exSerbes, Croates, Slovènes, Yougoslaves, put UN STEEPLE-ÇHASE MILITAIRE ment léger, artilleurs du 3'/ chasseurs à ..— Nous sommes prêts, nous annon santé voiture de' grand? tourisme et cependant SQUQ vous prêter quelque assistance, elle en est cheval du hier 13'. M. Fournier-Sarlovèze, députéça ' largement recompensée par le spectacle On remarque l'alignement impeccable maire de Compiègne, qui a rallié toutes conduite par une femme, remportait brillamment le On accident a eu Heu 4 Mai. Sans pénalisation de votre union nationale et de votre Jeune cetN»noy, de aprê9»mi0l pendant les courses qui ces détachements et la beauté des les bonnes volontés, tous les talents, vitalité qui ne demande qu'à s'épanoir. Rallye Paris-Cannes tous les,, enthousiasmes, autour de l'èLe ministre a assisté ensuite au ver* tendard de Jeanhe. magnifiques et différents succès ont été rem Ces nissage de-l'expositionfrançaise de pein ^ Et il nous exposa ce que sera'ce ma* ture. régiment d'artillerie, effrayé par une banportés dans des- épreuves particulièrement difficiles . enasseurs d Afvi'nnp »i. iTi H , oi-1 An gnifique cortège, îque et spahis ayant les plus hau été groupant échappés d'une de panards banquet offert de. v été 34. Rue de Lisbonne.Paris A 13 heure?, un a des voitures tout à fait semblables aux mpdèleç L 'adju- I Successivement à, la peine sur oe soi afri- tes autorités civiles et religieuses, cette désarçonné cavalier. sine, son par a l'Institut français. par cain devenu français GréndïAmié» brisée et une dant Dubois a eu une jambe 49. Av. de la par eux. Toutes apothéose- à laquelle participeront six livrés au,public. «• hémorragie interne, Il a été transporté à ces vieilles troupes, immortalisées par la mille figurants en costumes superbes. , Paris l'hôpital militaire. | lithographie, méritaient d'être è l'honLes affirment ———_ — l 'Incontestable supériorité de la au début même de ces fêtes du LE DIMANCHE POLITIQUE Ils" | neuio-égyptie ELLE TIRE SUR SON MARI centenaire. Hélas I le temps passe et construction automobile françai$e et des voitures avant les fantasias ..sur lesquelles doit se ' £ , ' > \ .'!/•' <» RENAULT car, dan» ces compétitions, s'ali M. Rio, sous-seerétaire Piahas pacha • recevra ce malin d'Etat ^ Les bénéficiaires de la (oj gnaient les marques mondiales les plus réputées. les instructions du gouvernement Marine à la à foire-exposition la nard, 30 ans, a tiré cinq coups de. revol gyration de la statue de René Vlvianl. 3«ti tfw . Cuire Assurances de l'Ouest ver sur son mari, éleotricien, 38 ans. les sociales sur Celui-ci, qui a été atteint au* jambes L'inauguration du monument . transporté été & projectiles, matin, deux lîennea, 4 Mai. à Ce 10 h.. par a (De notre cçrrespandanl particulier.) de René l'hôpita} Vivianî d'Avignon. (Suite) Rio, ' M. sous-secrétaire d'Etat : à la ma ; Londres, 4 Mai, — Nalias pacha, pre . . Le Parquet a ouvert une enquêta.' été rine, à principale la porte de a reçu mier ministre d'Egypte, a reçu oe soir, Le monument dé René Vlvianl fut la foire»exposition de la Bretagne et de L assurance maternité le Marseille, annonçant dépêche de une ENTOURE DE SES AMIS, Inauguré en présence d'une tré»- nom la région de l'Ouest, M, Lemaistre, par heures, du départ par avion, à 11 cour* L'ouvrière ou l'employée assurée obli breuse assistance.,; UN JEUNE HOMME SE TUE et maire de Rennes, Conseil (seine). le muni 53. ckamps-éiysées, rier diplomatique apportant la réponse .POUR M. Thomson, tout d'abord, rappela les cipal, le général Tenant, commandant gatoire a également droit : CHAGRINS D'AMOUR DES du .gouvernement du Caire aux derniè ^apes de-la carrière de Vlvianl. ma 1' Aux soins en nature, médecin et che* le 10' aorps, et de nombreuses person médicaments v res propositions britanniques, lesquelles durant toute la grossesse exemple. conclut-Il, suffU pour nalités. Tunis, 4 Mal. Vers une heure du L ~ contenaient les concessions extrêmes que ' et pendant les I 1 rer 1U ? °n ?® ut brillamment déAprès une minute de silence au mo« l'accouchement six mois qui suivent le Foreign Office est disposé & faire aux matin, un Jeune homme de 20 ans, Henri tra-| , fendre Je les sol, droits, lft , pleine sécurité, nument aux morts de 1870, le ministre, ; représentant de commerce, exigences ties nationalistes égyptiens. Il Bordery, i i l-l » I ! I I t i =» * » i =*i==»4Sri l ^ » I if développement économique, le complet a* A l'indemnité journalière de mala principales amis l'une versait des des avec est 1probable que le courrier arrivera de* avenues, lorsque soudain il s'arrêta, une I épanouissement _de la patrie elle-même, au son de la Marseillaise, a commencé die durant six semaines avant et sixi visite. U a été reçu à l'entrée du pa semaines après l'accouchement (si main matin ae bonne heure ô. Londres détonation retentit et le jeune homme I î<>ut restant fidèle au principe . de la s<?- sa tou * hdarité villon négociations de la marine par-le commandant tefois l'assurée interrompt complète des peuples dans une paix prgaet l'on espérait que les tomba sur le sol. • pourraient reprendre &. 10 h. 30 au Fo II s'était tiré une balle de revolver. dans | £Kue et lédoude h la doctrine dont la Huot, capitaine de vaisseau. Le ministre ment tout trav&il .salarié durant :cette réalisation doit assurer i avenir même de a longuement félicité les officiers. Après reign Offiœ. Toutefois il apparaît com la région du cœur, secouru aussitôt, il I l'humanité. ' • * s'être très intéressé àux stands des hos période). en cours .de route. me peu certain qu'il en soit ainsi, Bien expira La femme d'un assuré, si elle désespéré n'est Le motif de geste est atPuis le sénateur après son Duroux, avoir pitaliers sauveteurs bretons, & l'école que Nahas pacha et ses collègues aient 41»**» •t *=i i i* remercié le Président de la République d'industrie, à l'école des chemins de pas salariée elle-même, a droit, unique l'intention de se rendre au ministère des trlbué à des chagrins- intimes". dé sa présence, montra l'unité de vie de fer de l'Etat, à celle de préapprentissage ment aux soins en naturç„'ca qualité de Affaires étrangères à l'heure indiquée, ils BAYONNE J'Jiçinnie politique. " avoir visité la section"d'horticulture, conjointe de l'assuré. • et se .borneront à. déclarer & M. Henderson SABOTAGE D E VOIE PRES D E . qu'il leur est nécessaire, avant de pour Si, çomme ,1e le eroi?, dit-il, ja n* le oortège a continué par la section agri L'assurance-invalidité — leur noblesse suivre les négociations, d'étudier avec et la du caractère cole, Ohauvreau M. .ingénieur chez it l'ex un Une excavation avait été creusé» Les six mois de soins prévus dans homme d'Etat se mesurent'à la rectitude soin la réponse de leur gouvernement. ploitation, représentant M. Dautry, rails, vigilance les la politique, mais ligne de sa sous éc l'as aux gages jtu'li ne était accompagné par M. Thomas, chef l'assurance-maladie étant écoulés, On s'attend donc à un nouveau retard. | de . donner, d'un cesse fit échouer l'attentat convictions, René suré, cantonnier a ses s'il rétabli, n'est-pas & jnUieujc Conférence est soumis les de la Dans d'arrondissement. on Vlvianl offre exemple, nous rare d'une ce # visite médicale. se montre de plus - en plus sceptique Un banquet a ensuite réuni tous Jes Une vie tout entière consacrée aux Idées qui quant à une issue satisfaisante . des pour à sa I, l'pnt inspiré Bayonne, 4 Mai. En procédant dés sa Jeunesse, A la fin de organisateurs de - la foire-exposition. Si sa capacité de travail est reconnue A. V'homms mod«rn« eal parlers. ' tournée journalière sur le parcours sa carrière, vous le retrouverez pur de tout MM. Jenouvrier, sénateur, Joanqic, se réduite des deux tiers, le malade esti un homm* pressé. Cepsndant, Cambo-Itxassou, un cantonnier de la I reniement, ayant seulement corrigé dans crétaire de la préfecture, Lemaitre, mai» soigné encore -durant cinq ans. Il ne Pasteur répétait fréquemment 1 « San* touche plus son indemnité journalière, " * 8' S0Ucl8UX iul re de Bennes, Bahon Èault, président, voie, M. Gonzalez, a découvert, & envi- I fl®a ne * on 8SPflct hygiène, pas de' bonne santé possible L 'élection du nouveau », et _ pas de conserver. qu'il veut np» «t solgnâ, malt 11 recommandait a ses élèves les lavages Guer'nier, ont pris successivement la pa rpais il reçoit pendant ces cinq années, ron 4 kilomètres de Cambo, une exca- permettait pension à titre temporaire. Conseil National de Monaco vation sous la voie, mesurant deux me- ' M. Dumesnil, ministre do la Marine, role.. M. Rio,s'est ensuite levé et a pro- uneCette au TbymolrDoré. Cet antiseptique mêle A p^r des procédés rapides. pension est égale à 40 % du sa* Veau des ablations prévient, en çfïat, tou très de diamètre sur huit de profondeur, retraça ce que fut la vie de Viviahi, qui nprfcé un discours où 11 a rendu hom Pour la* soins de la chsv». tes les infections possibles, en même laire de l'assuré été d'abord si chercha celui-ci situation lui moyen Mise courant, la de Itxassou a une pro- mage aux organisateurs de cette mani gare au lure.uns . applicationquotidienne Nice, 4 Mai. — Ce matin, à 9 h. 30, put alerter temps qu'il adoucit et assouplit i'épldert immatriculé avant l'âge de 30 ans. ,à temps les gares de la ligne curant l'Indépendance. festation. PÉTROI.E de HAHN n'exige propriétés hygiéniques le mettent Ses me. Elle varie, dégressivement, de 40 % dit a eu lieu au nouveau Palais de Justice et un accident grave fut ainsi évité! | — C'est au barreau qu'il la, chercha et M. Champetier plan des produits simila'res. premier de Ribas au préside salaire à un minimum de 600 francs par 1 de Monaco l'élection du nouveau Con Les voyageurs du premier train durent Ma trouva, Quelle profession pouvait mieux awe très peu de temps et dissout Exigea le Thymol-Doré réputation immédiatement les sécrétion» universelle été faite dontlesla hygiénistes seil de la nation monégasque; Une seule être transportés par des autobus depuis I convenir fc son génie ? Mais, à peine dé» à Saliea-de-Béarn le banquet an, si l'invalida a été immatriculé après: a par liste, formée, par M. Eugène Marquet Itxassou. Les travaux de réfection se et les poussières nuisibles de tes plus réputés et pur le corps médical ans et proportionnellement à ses an de l'U.N.C. des Bassçs-Pyrénées 30 était soumise au suffrage du collège élec poursuivent activement, 9 ?,« f nées la Journée. Çlle rend inutiles les tout entier. Prix s le flacon, ï fr. ; le V de ? versement. la dlrec- | '.la ^litique devait toral. Les opérations de vote étaient pla tion du conducteur de lasous Car j ellç « aiïssl, La . Salies-de-Béarn, 4 Mai. pension devient définitive après lavages long; «t ennuyeux qui, 1/3 litre, U fr. le litre 17 fr.. Impôt com voie. M. Cham : pris. Chez tous les pharmaciens, partucées sous la présidence de M, Lucien 1 parer de l'activité insatiable de cet hom- petier de Ribes, ministre — des Pensions, cinq ans s'il est reconnu que la capa être pouvant renouvelés n« mewrs, droguistes, herboristes, grands hik* Bellanda de Castro, conseiller, à .la Cour présidé aujourd'hui à S.alies-de-Béarn cité de travail de l'assuré reste réduite a I chaque Jour, DANS TYPHON 220 NOYES LE nettoient gssins de nouveautés. Qros : O. C. ne qu* lé ministre dé conclure en rappe- le banquet des anciens combattants des deux tiers, d'appel. Il y avait 22 votants, ont été • 71. rue du Temple. Parts <a*). passagèrement EST ABATTU JAPON! QUI S SUR LE •élus': MM- Bellerio; A. Crovetto; M. la phrase que M. René Viviani le 4 membres de l'U.N.C, des Basses-Pyré ' Cette L'assurance-vieillesse Iqtlon hygiénique, sou $oût Médecin; Notari; Passeron,. à l'unani " 1914 14 à la face dit monde " clamait " nées.-''.", veraine contre la chute des mité. MM. J3ernasconi. Blot, .Cerèsole, Toklo, 4 Mal. —• On annonce que le Soyons des hommes, une {ois de plus L'assuré obligatoire M. Paul immatriculé A Reynaud Provence en cheveux*, les pellicules «t tés E. Orovetto, pioSredy, Marquet et Va nombre dés personnes qui ont été noyées debout, et acolamona la France lmtuorl Age maximum de 30 ans recevra, lors trican, à l'unanimité moins une voix. au cours du typhon qui s'est abattu sur, t»US;/l démangeaisons de la tite, Forcalquier, 4 mai. — M. Paul Rey- qu'il atteindra 60 ans, une pension égale v ... M. Notari, élu et non candidat, a dé' la côte japonaise s'élève maintenant à La réception rud, ministre des Finances, assure la conservation de I4 à l'hôtel de ville en voyage à 4Q % de son , salaire moyen. miselonné. la grande de pèche qui titre 22Q. Sur flotte privé dans le département des C'est-à-dire qu'un ouvrier ou employé chevelure, l'sssoupllt, fine la : ^ 'se trouvait au large de la côte, 2£> cha Le Président à'e^ rendu ensuîte à BaSses-Alpes, a été reçu aujourd'hui par âgé de 30 ans maxlmuiri en 1930, bénét coiffures«ns graisser, et permet QUARANTE MILLE - MANIFESTANTS lutiers seulement ont pu être sauvés. Les l'Hôtel de Ville où il fut, reçu par M. la municipalité de Manosqùe, Après ficiera en i960 d'une retraite annuelle d'obtenir, sans peine, le mou dégâts matériels sont évalués à 15 mil Brunei, maire, qui prononça uzl discours. avoir. assisté, dans cette localité, à un de 4.000 francs s'il gagne 10,000 troncs DEFILENT DANS LES KUÇS vement et (a ligne désirés. lions de yens. Justement fiers de la visite du premier banquet, le Ministre s'est rendu à For- par an. DE BUCAREST C'e?t le produit parfait pour magistràt (iuvpws. Ifs Algériens sont çalquier, où un vin d'honneur lui a été Durant la période transitoire, la pen l'hygiène capillaire de l'hommè heureux dé lui montrer, en terre afrt offert par le Conseil municipal. Des al sion de l'assuré qui aura cotisé moins Bucarest, 4 Mai. Le Congrès génémoderne. locutions ont été prononcées par le mai' de 30 années, sera réduite proportion calne, une œuvre française. * > rai du parti, libéral, dans sa séance de le Forcalquier, de ministre et M. nellement à la durée des versements ÇN VPNTg PARTOUT :, avons consciance, Monsieur la re clôture, a adopté le nouveau programme LE MOUVEMENT DlPLQJlATJtQUE ; iur- Noua.1dit Honnorat. Le ministre quitté Forcal a effectués. Président, notamment M. Brunei, de pharm., pari, s«l. de colf„ etc. du parti et le manifeste qui va être ,1a grandeur de; notre tâche, du caractère quier à 17 heures, se rendant à Digne, ALLEMAND Toutefois, à. partir de 193S, elle ne adressé au pays; où ii sera l'hôte de la municipalité. sacré'dé'notre rôle.. ;v : être inférieure à 600 francs par -, pourra La-clôture du Congrès a été suivie De la Gazette de Vosa (M. Georg Une grande tgehe. car nous devons elle et s'augmentera progressivement d'une manifestation des membres du Bernhardt) : nous montrer dignes de nos pères qui ont 12 personnes inculpées à Marseille an fur et à au mesure que les assurés coti fait, ce pays, qui ont transiormé comme parti, venus de tout le pays, qui ont .... ..., -. ; . le 1 . douteux Il nouveau que seront plus longtemps. n est pas dans l'affaire d'escroquerie par magie la sombre et sinistre forteresse, défilé dans les rues de la capitale en secrétaire d'Etat poiiti* j un norrinie le cafççst le plus D'ici 1935, les assurés actuels des re pressait rciaHiqureufis popuift80 une suivant l'itinéraire autorisé par le mi que intelligent. Quant a sa pensée poUw^ I tiou opprimée tlepulp des siècles compagnies d'assurances aux traites ouvrières et par une paysannes recevront nistre de l'Intérieur. Le cortège a duré que, il est assez difficile de se former un I soldatesque avide, en cette belle et riante allocation de francs par an, qui 500 une rçcommandabledes trois heures. On évalue à une quaran jugement, car il ç a pas en v«ité le goût olté, épanouie, libre et fiére, qui a deJ4 s'ajoutera & la Marseille, rente viagère Mal. oncle»'I '4 Un complément produite la. conversation quavait son taine de- mille le nombre -des assistants. pour . — oonquiB les premiers rangs parmi les plus d'information vient d'être les qu'ils versements déjà ('AGRESSION CHAUFFEUR par opt DU ordonné effec avare de ses mots et semble renfer- { belles dans La manifestation s'est déroulée dans ilmé.estSon villes France, triomphant de stimulants. Mais il papil1 été première tués la fois titre loi de la de pour nom a Vinicalo, 1910. l'affaire du au navire qui jp aortl fut d'une longue POITIEHS JOINVIULE-LE-PONT chrysalide. ordre A parlait, oa » un ^ sans le moindre incl prononcé dans l'opinion publique, lors-1 U Dans tous les cas, l'assuré obligatoire coulé capitaine large de par dent. son lui» M. Bou, au Apres Medlne, conseiller u'11 obtint la direction du service de la 4oit pas ressem > pourra demander la liquidation antici nç fenquête hier recher poursuivie pour ,.D,N. au ministère des Affaires étrangé- municipal indigène,/ apporta l'hommage Saint-Raphaël.Douze persqnnes sont poursuivies peur pée- de sa pension à 65 ans; bu l'ajour cher les auteurs de la sauvage agression I de la population musulmane. LE COMMANDANT res. Il s'y fit remarquer par l'opposition bler à une affreuse tentative d'escroquerie au préjudice des nement de cette liquidation à 65 ans. dont a été vlotlme, l'autre nuit, quai de manifestait à i égard de l'entrée dej musulmans Les d'Alger, tout DES FORCES POLICIERES DU CAP S^'ll comme Polangia, à JoinviUe-lçrPqnt. —. La pension le chauffeur s'en compagnies trouvera 1 Allemagne dans la S.D.N. Il ne. man« I d'assurances, naturellement le chargement ceux. (je l'Algérie entière, le citadin et ayant été fictif, dit l'accusation. de taxi Fernand Poitiers, dç Vincennes, MORTELLEMENT BLESSE réduite ou augmentée d'autant, quait pas d'exprimer sa méfiance a l'éïard I jB fa)lahi D'au t-mteUectuel et le kammes, tisajie ; il doit être sont n'a pas encore donné de résultats. L'homme AU COURS D'UNE ECHAUFFOUREE çl© 1% nouvel^ institution. Si bien qu on [ ayiourd'liul iraternellement unis aux no« tres inculpations sont encore envisagées L'assurance-décès qui asséna uni coup de marteau sur la disait qu'il était plutôt directeur minis-pvUationg françaises de ce pays pour re- d'où le complément d'information . tète du chauffeur, pour le dévaliser, n'» or délicieuse bois* tériel contre la S.DU. i çevoir le premier magistrat de ui Bépu* En cas de décès,d'un assuré obliga pu être u»e donné. arrêté, malgré les In minutieuse^ . Worçester (Province du Cap), 4 Mai . blique," lé fêter et glorifier en commun, toire, sa veuve ou ses ayants droit re vestigations des policiers. On sait) que le éohauffourée Une sérieuse lieu a eu même élan, la commémoration la d'un —« L .4 40' ASSEMBLEE GENERALE çoivent une allocation, une fois versée, signalement qui a été donné des agres désormais qui son cet après-midi entre la police et des DU TOURING CLUB DE FRANCE plus éclatante et lç plus expressive de très égale est A 20 du qui, facilite % salaire annuel moyen seurs vague, ce ne |î'wtivre Iranoafee en Algérie; 183Q, 1930, Indigènes. La poliçe a dû ouvrir le feu la tâche des enquêteurs. pas du décédé, mais qui, travaillant peuple dans la'pros l'union à principe, en dates mémorables, inscrites en lettres d'or ne à Le blessé, toujours en traitement à l'bô' sur ces derniers. Le commandant des vous peut être Inférieure périté de & 1.000 francs. Idans les annales de l'histoire de l'huma l'Algérie à la et grandeur de Le Touring-Club tenu, de France hier, forces policières a été mortellement at pltal Saint-Antoine, était, hier, dans un a nité, et qui marquent de façon lumineuse la France. lA quarantième assemblée générale. suivre) état satisfaisant. teint par un coup de -hache à la tête saLes demander toujours . la découvert*, moral et peuple d'un rapports, financier, par fu >jn autre Plusieurs de ses hommes ont été tués rent approuvés & l'unanimité, Le dîner officiel peuple, qui s'est découvert soi-même, d'un LES ELECTIONS MUNICIPALES UN BUREAU PE RENSEIGNEMENTS ou blessés. La police a dû, .finalement, peuple s'est qui donné à L'assemblée a ratifié, 6 l'unanimité, dif« l'autre peuple . . et partout l'origine DE MANTES-GASSICOURX battre en retraite, Des renforts ont été férentes décisions de son conseil d'adml- I sanÈ restriction, qui a lié son sort au Le retour du cortège, au Palais d'Eté, A 14. PREFECTURE DE POWÇÇ demandés au Cap. nistratlon. puis elle a confirmé dans leurs ! ®len et veut vivre avec lui» confondant, pour le diner officiel $ui termine la jour A la suite du rattachement de la com -* Brésil M fonctions les nouveaux membres du ' même | dans un même icleal, un même destin et née, s'effectue au milieu d'ovations en Les services, de. la préfecture de polies de Gassloourt. & celle de Mantes, reçoivent chaque Jour un hombreujt conseil, et qui sont MM. Paul Vallat, Ar- j une meme pensée. » thousiastes qui confirment de la façon mune MERMOZ EST ARRIVE élections des municipales ont eu lieu bier blic qui y est appelé pour les affairespu doin. Audigier, Docteur Behague, Maurice Dans sa réponse, M. Doumergue a la plus ' éloquente déclarations les des SAINT-LÛUIS-DU-SENEÇAl dans cette Bernard iy/an Imbert, Maurice Margot, exprimé l'émotion profonde que lui a élus de la ville. Il ville, pour la nomination de 27 filus diverses i »flu d'éviter deis pertes les metEEeu^b de est sept heures, mais oonselllers municipaux, lia liste de» can enjP5. le préfet de police fait baron Petiet, général Qou-1 proourèe cette reprise de contact r^id Installer a avec comme l'Algérie n'a pas l'heure d'été, didats de M. Qoust, ancien député, Union un bureau chargé d'indiquer Marignane, 4 Mal L'aviateur Mer I i^Bérie, A M. Bou Medine, M. pouvis} la nuit est tombée et. soui? le ruisselle des Gauches, est passée en entier aveo teurs-le service auquel Us doiventaux Enfin, l'assemblée renouvelé 9 pour trois I s'adres mojs est arrivé, ce matin, 4 .10 h. 10. de ft .rtpondu qu il ne faisait au le mandat des conseillers sortants : ment des lumières, Alger, illuminée,-sem une moyenne de 1:560 voix contre un« ser et l'endroit où se trouve ce servlçe. Ge Fort-Etienne. Il çst arrivé, & 13 h. 40, à ans . les divers éléments ble moyenne de 800 vols à la liste d'Alliance bureau fonctionne depuis plusieurs lQUre. mm L. Auscher, R. Chapiam, Edmond I cwe différence entre étrç ce qu'elle est en réalité, «ne démocratique . Saint-Louis.v i de la population qui ne forment qu'un capitale et 800 voix & la liste com Il est situé à l'entrée da là préfecture ds Charles yallot, E. Scbwarberg. Chaix,. de contes de fées. /— U. F. muniste.
La NERVASTELLA
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LES GRANDES ÉPREUVES CYCLISTES
Vainqueur moral de Paris-Roubaix Maréchal a remporté le 23° Paris-Tours C'est -, par un temps superbe qu'a été disputée, hier, la 23* course cycliste Pa ris-Tours. Cette épreuve, considérée à jus* te titre comme la revanche de Parls-Roubaix, avait réuni- 68 concurrents, parmi lesquels se trouvaient toutes les vedettes de la route, à l'exception toutefois des Italiens. Le-'départ fut. donné , dans le Parc de Saint-Cloud, un peu-avant la côte dite du Pont-Noir, à 8 heures 40. Tous les coureurs qui avalent été poinçonnés la veille étalent là. Dès le départ, Charles Péllssler et Fer dinand - Le Drogo emmènent le peloton à toute allure sur la belle route macada misée qui, par Vllle-dlAvray et la. côte de Picardie, mène à Versailles. Les routiers empruntent-ensuite.la vallée de.Chevreuse pour gagner Chartres. Le-train est tou jours. très vif et le.peloton qui passe a Limours.à 9 heures 30 ne compte plus déjà qu'une trentaine d'unités. Tous les favoris sont là. Du départ à Chartres, -la moyenne a été de 40 kilomètres à l'heure.
SPOR
Le Petit Journal
LE PRIX BLANCHET En battant la Section Paloise, le S.U. Àgenais
a ouvert hier s'est qualifié pour la finale du championnat de rugby la saison d'athlétisme Le vingt-huitième prix Blanchet ne fut digne ni de ses dev ,nciers ni de -la réputation attachée à cette vieille ma nifestation. Il est vrai qu'il marquait le début ' de. la saison athlétique; 1930 et qu'on ne saurait , trop-exiger dîune pre mière tentative. Toujours est-il qu'il . souSrit de l'insuffisance du' nombre des participants; comme du : défaut d'une honne organisation! Le 100 mètres re vint à. Beigbeder qui battit Parrain de justesse ; les autres finalistes étant as sez loin.- Ce fut d'ailleurs une '.pauvre finale d'qù ! la classe semblait- presque totalèment 'exclue. L'apparition de Moulines: dans )e 400 «
5 — 5—30
II! 4
AVIRON -
adverse qui eut .le., tort,de,sortir, de ses ; buts. En seconde ml-temps, .Mlle Pomlés augmenta par deux fols la marque- sur -.ex ' ,ploits personnels. • - . . n'est La finale, dont la date -pas encore<. • fixée, aura donc, lieu entre le C.A;S.G. de Marseille et Fémina Sport. Il est k remar quer que c'est la première année..qu'uneéquipe- de province arrive en finale.' • - -' -
Paris ;3. :Bertin (CJ4. France) ; 3. Egglman (Enghlen). , Double seuils débutants : 1. MaugêBervés (C.N. France) ; 2. Basse-Seine ; 3. Fontenaibleau-Samois. ' Deux Juniors et barreur ; 1. S.N. JSnghlen. (Lécuyer-Beryck ) ; 2.'CM. France i 3. Fontalnebleau-Samols. Quatre yoles débutants l. C.N. Meulanals ; .2.. C.O. Billancourt. ; 3. C.N. Paris ; 4. Basse-Seine ; 5. C.N. Paris. Deux, débutants : 1. C.O. Billancourt ; • 2. C.N. France ; 3. S.N. Enghlen. Skiffs seniors : 1. W. Beryck ; 2. Lécuyer.' ; 3. Deforville, tous trois d'Enghlen; Quatre débutants outtrlggers : 1. S.N. Basse-Seine ; 2. S.N. d'Enghlen ; 3. C.O. Billancourt; .4. C.N. France; 5. C.N. France. Quatre seniors barrés, : .1. CJI. Fontai; nebleau-Sambis (Cretté; Salivay,. Veron, Maréchal) ; -2. CJJ. France ; 3. S.N. En
BOXE : Au Central Sporting CluJ) ,
Les régates d'Enghien Les. régates organisées hier sur le lac d'Enghlen, en face le jardin du casino, qui. était bondé de spectateurs, ont rem porté un très,vif, succès. La lutte fut, en général, acharnée'sur les 800 mètres du parcours et l'enlevage final décida de la plupart des courses.. Voici les résultats . Skiffs débutants : "1. Jacquelln (CH.
Les matcheB disputés au - Central. Spor- ; une . minute. A cinq minutes sont-Van Club ont donné .'les résultats 8U1-," tlng Bruaene et Wauters qui ont crevé. vants • : • . Le peloton de tête, riche d'une tren (Paris) bat• rounds. Harlvel Huit. * — commandement taine de coureurs, et au Hanse Bruay) aux points. duquel se distinguent le plUB souvent Huit rounds. — Krystoforskl (Bruay).' Charles Péllssler, Maréchal et Mervlel, bat Médlcis (Paris) aux points. . passe à Chartres à 10 heures 50. Le reste Dix rounds. — Andry (Paris) bat ; Gan- du lot passe deux minutes après. -.-aû - deuxième "(Bruay)thier; ; abandon La situation ne se modifie -guère Jus (Paris).. bat .-Gerdal; .gandjack round ; . que Bonneval, qui est passé par le pelo 5''round (Bruay), abandon• au ; Van-^ par ton de tête à 11 heures 50. Mais, entre (Paris) Stelnmann' (Bruay) bat brabant cette dernière ville et Châteaydup, de aux points. , . « , . . s nombreux coureurs lâchent pied et, à ce dernier contrôle, atteint à 12 h. 01. les ESCRIME : Des champions y. hommes de tête ne sont plus qu'au nom bre de quinze. Parmi eux, on remarque mètres, où jll; remporte-péniblement'et ' à la. salle Wagram A. Magne, Mervlel, Aumerle et Maréchal.' de justesse une victoire sur le jeune\sta-' •" Le gros du peloton est à 3 minutes. L'al diste Bigay ne fut pas concluante :\sans Ce; soir, à .la Salle Wagrçm, sera organi lure s'est ralentie. ghlen.sée une réunion,-à laquelle participeront , . .. . se le passé de i notre 1 recordman, on aurait Après Chàteaudun, les démarrages fut Classement 'de'Ja épreuve Coupe (débutants) ; de. nombreux champions-ef dont' voici'le " font nombreux et trois hommes : le Sté- pu doùter. En somme cette Billancourt, ' 1. C.O. points 11 2. — j ex se- programme : phanols Benoit Paure. le plstard MarclUac beaucoup plus probante pour Bigay que 14>- touches - : Marzl sabre France Match CtN. C.N. Paris;-12 et points en au quo : > ; et le vainqueur des 81x Jours de Paris, pour le'" vainqueur. " Contre-Ozlol de-Pignol, champion'deParle. 4. S Jî. -Enghlen, 15 points. Charles Pellssier, parviennent à lâcher la' journée fut la intérêt de Le gros Match & l'épée en 10 touches : Emile ' leurs adversaires et. à s'assurer un leger rencontre inattendue de. Sera ; Martin et Belge, contre Philippe ' Cattiau, Barbier, avantage. Ils se ravitaillent ensemble à de ,Ladoumègue. Dans l'ombre, Séra, en d'Europe. champion ---' < SPORTS FEMININS : Vendôme à 13 h. 5, précédant leurs pour Marcel touches l'épée 10 & Grèce, Match récents succès: : en en suivants, au npmbre d'une trentaine, couragé par ses Le Championnat de France Rives "contre Edward. Gardère, champion; d'une minute. Dans ce peloton, on remar avait préparé ça course, laissant Ignorer de France au fleuret. de football que Leducq.Suter, Boulllot, Decrolx, De- qu'il allait y participer. C'est à l'instant Assaut de fleuret : Erwln Casmlr, cham . waele, Ronsse, Aumerle, Taverne, uoussse du départ que Ladoumègue apprit la càrcassonnais échappée-, d'un joqeur. Une pion'd'Allemagneaux. trois armes, contre ' En battant la, Clodo.par 3 buts & 0, au Godlnat et Van Rysselberghe,. présence de oet adversaire sur lequel il '• V' Robert Anchettl. maitre c stade de la Porte d'Orléans, Fémina Sports le Avant Ch&teaurehault, Bouillet et Van ne comptait pas. 10-touches. fleuret Match ainsi, en .finale. plus .com au la Il dispur et n.'y qualifiée finale > Patis-ont été aura s'est la de -la Coupe et à Bordeaux A -pour Rysselberghe tentent ' à .leur tour de s'éHelena Mayer (Berlin). championne^, du, Vançon mena le premier kilomètre^ en tées de poules- de. trois « La "Française ». du me l'année dernière, demi-finales, 500 deux hier les de s'assurent chapper. Ils. une avance monde, contre Mlle Jenn'y; Addams; c^iam-, "cinq. Martin après les poules de , à .un train assez lent. , : v : \Iais France rugby. de Le match fut joué devant un public pionne de Belgique. mètres qu'ils conservent Jusqu'à 8 kilo 2'i9", soit Championnat de mètres- avant Ambolse où un peloton de ne le quittait pas-d'une semelle, ' tandis si -à Bordeaux le S.U. Agenais s'est qua AUTOMOBILISME : Le Tour assez-nombreux, par une-température es Match -au sabre en :18« touches : "Nado ' modérer l'ar Nadi, -à contribua tivale, qui sept coureurs les rejoint. L'avance est en que Ladoumègue restait' -sagement en lifié pour la finale en éliminant la Sec ce champion du monde professionnels France de troisième position. A. quatre cents mè tion paloise, joueuses. deur des core de 25 minutes sur l'horaire.. été trois armes, contre' ;Roger: Ducrçt, contre, à Paris, les deux aux par tête de Ambolse, le en A groupe a faus ^arrivée,'Martin réactions,-les Clotenta de.: Tourne Malgré vives champion'Olympique 1924: tres de quelques > France Commencé le 18 avril, le d'autres et dix-neuf ser compagnie à ses concurrents, mais adversaires, l'U.S. Qulllanaise et l'A.S. automobile par devant les ]•; core rattrapé s'Incliner épreuves, doaldlennes durent Avant sera .dlspjuté' ces .et motocyollste organisé par Carçassonnaise ne parvinrent pas à se l'épée! hommes, emmenés', par Maréchal," traver Ladoumègue . jouè néanmoins, épreuve à qui, Gustave Rives, du titre Challenge détentrices cessait de de le France, et notre Motocycle Club de départager, malgré 110 minutes de jeu. le sent la ville, suivis à deux minutes par près- Bientôt ne. dernier prenaitserrer en 'trois tdu- ' hier. rent en dessous de leur forme. s'est terminé par équipes de six tireurs le Jourmil, lui-mê confrère; ce •Prantz, Ronssse, puis Mervlel. l'organisation," devront donc et Carcassonne dont, Quillan additionnées et re 85 concurrents avalent pris le départ, Un premier but fut marqué par Mlle ches Au- mur de Bléré, trois hommes se dé me la tête pour finir par un de ces jouer, dimanche prochain, et la finale soixante-deux Sports. & Dunlop confiée été terminèrent, en sorte que Thomas, sur une faute de la gardienne a tachent nettement, et pour deux d'entre petits . tro}s cepts mètres, dont il. a le devra, de ce fait, être, reportée au 18 l'épreuve remporta' un très- beau succès eux, ce sera définitif : Brossy, Marcel Bldot secret, efc auquel jiul encore n'a pu ré mai. classements dans quels furent.les Voici v• et Maréchali Ils ont un kilomètre d'avance sister. A l'entrée^ de la ligne droite, se catégorie chaque S.U.' sérieuse : Agenais causa une Le à la sortie de Véretz^Brossyest lâché peu voyant. passé par Leduc, Martin aban 175 cmc. — 1. ex-tequo : HomMotos Sec éliminant la surprise, pas' après. . non en * , maire, Sourdot, médaille d'or ; Vonln. Dor. et donna. triomphant Au vélodrome de . Tours, Maréchal Paloise, mais tion; par un en lot de Le 5.000 mètres groupait un moy,. sans pénalisation. Marcel Bldot suivent seuls. Maréchal mène points. écart de 14 ; Motos 250 cmc. — 1. ex-sequo : Fernand . , tout le- sprint. et l'emporte par une lon bons, coureurs. Il donna la confirmation : C'est, en effet,, par 19 points à 5 que Fralchard, Péan, Pahaln, Baudard, Moutandis que le se dil déclin que Dartigues avait laissé les Palois furent battus. Voilà, certes une ret, Blla, médaille gueur sur Marcel' Bldot,entrée, Ray-; l'orchestre argentin Salvador-Fia#**' d'or; Gruyère, Coulon, Service de mené par observer, pendant la saison de cross- : Tableau cond groupe fait son Le ro et 20 attractions. différence'-que 'l'on ne pensait pas de tous .sans pénalisation. Charles Péllssler et Ronsse. celui-ci fut , Jamais country. cour . en . ne Motos 350 1 cmc. — 1. ex-tequo : Jolly, AUJOURD'HUI Maréchal, le premier réel de Parls-Rouvoir enregistrer' à cette étape -du Cham Petitpierre, seconde mené toute, la Après avoir Heno, Perrotin, Debalsleux, CAMEO.— n peut faire beau, 11 peut' se, fols balx, où 11 fut déclassé, a prouvé une pionnat. Théâtre GENERALE. REPETITION ef de Krohf, Lavenne, et fait Flahaut, tous sans, Von — Escho- faire mauvais, le soleil peut: luire ou 1»; gros de plus des magnifiques qualités. Est-ce moitié de la course des spectacle but Madeleine, ouvrit le :« Agen pénalisation. -la sur ' de pluie peut tomber, rien ne. peut ralentir score par un ? N'a-t-il pas été forts pour lâcher Beddari, De Mey finlt . : , un nouveau Petit-Breton prises avec Beethoven 30 aux Debret, 1. 2 h. répliqua 500 11ers Motos : ex-aequo. : le succès du grand film sonore,-parlant-et cmc. —: », par. un l'élève d'Oscar Egg, lui-même formé: par par. remporter une victoire bien méritée.. coup franc puis Pau, médaille Kaas, Rirl. d'or Dumoulin, Leclerc, chantant de Marcel L'Herbier : Nuits de ; Petit-Breton ? Il a accompli les 253 kilo Marchai, dans le -dernier tour, combla essai transformé; Avant la mi-temps, Qaplet, Klchard, . pénalisation 30 tous 8 h. Princes, d'après le roman de J. .Kessel.Opéra-Comique, sans ; REPRISE. «— mètres du parcours en 7 heures 26 secon le retard qui le séparait de Beddari et Agen -réussissait deux nouveaux essais 7. Lafleur (40 points de pénalisation). Gustave Nuits de Princes est Interprété par : Glnk de M. Armaillis ' Les ,' (gala) : -. des.. • et menait ainsi au repos par. 9 points Motos-740 cmc. Colllgnon, sans péna second. termina Manès, Catelaln, et continue à fàlre ' Jaque Doret. — LE CLASSEMENT :nl-temps, Agen seconde 5. Dans la à comprenait 110 lé Jadis, Blanchet lisation, médaille d'or. un SECONDEde Zou I de^ salles combles au Caméo. ^ DE SERVICE LE .. auxquels essais marquait deux Voici le classement1 de l'épreuve : • An-; Sldecars .600 cmc. — 1. ex-aequo : encore mètres haies.,Cette année, le lia a dis , 1. Jean Maréchal, en 7 h. 25 s..; 2. Mar paru: pour-laisser la-place à un; 200 mè-^ venait s'ajouter un drop' goal. Malheu drleux, Garon. sans pénalisation, médaille' (folles-Wtigram) sera reçu ce soir. L'ASSOMMEUR. Le dernier film '.de cel Bldot, à une demi-long. ; 3. François très haies, duredjfent Théâtrales jouée d'or. fut Nouvelles partie " ' ' reusement', la interprété Sternberg, réJ. hybride' que et qui par Bancroft, course -ne Bonduel, à' 1 minute; 4. Van Rysselberghe. pond à 750 1.. ex-œquo : Voitures sport produptfon cmc. fréquemment le ba être meilleur de .elle dégénéra, l'on dit ^t spécialisé. — -sa en. ' aucune * même tempB ; 5. Charles Péllssler, même De la Valette, Annlex, Letailleur, ChauSARAH-BERNHAKDT. — avec Les Nuits de Chicago, vient d'arriver • THEATRE lui-même pris à AU "L'arbitre fut haies'vit'.'la rentrée. 200smètres garre. de Ce; 7 1 ex ; vlère, Venlel. Colllaty, Mme Lang, Mme Le Mon Curé chez les pauvres est une pièce & Paris et est actuellement- soumis au temps ;. 6. Ronsse;, même temps Mervlel. Bernard, ancien .champion de Prancehje partie à la .fin de la> rencontre.Bigot, médaille d'or ; Camuset, Gillard, œquo ; Brossy. Prantz. Moineau. ; dans laquelle Félix Oudart triom visa de la censure. > Pierre Magne, Decrolx, Dossche. Taverne. 110 mètres, et'la-délaite-de-Viel par"Bu- ; Le-match de -Colombes entré: Quillan Mme Leblanc, Mme Jeanne,: tous sans pé- nouvelle Nor Rolla Intitulé L'Assommeur et Monteux et Il est phe avec Henri sera pro Hector Martin, Schaffner. ; Blsseron. Au et Carcassonne .souleva' de nombreuses Alice jeté dans une - salle spécialisée.de la ,rive et Yvonne-Hébert, Noro Line man, merle ; 19. ex œquQ : Vervaecke, Tallleu, protestations du public, tant la' factuw gauche. Tlssot. C'est'un immense succès. . Benoit Faure, Rebry. du jeu fut indigne de deux- grandes
y
COURRIER DES THÉÂTRES
Un passage'des concurrents aux portes de Paris Ainsi le passage à Chartres se fit-il avec 25 minutes d'avance et à Limours, .avec 27 sur l'horaire probable. • » 50 Salnt-Arnould est atteint à 9 heures emmenés de vingtaine coureurs par une Un second pelo par Ponton et DewaeJe.remarque Francis ton, dans lequel' on Péllssler, Aumerle, Marcel.-Bldct," suit A
POUR LA 14* FOIS Victor Linart est champion de Belgique
Ce qu'a donné en football Le temps
La Nuit de l'Elégance
CŒUR
Feuilleton du Petit Journal.
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la journée d'hier
chaud et le soleil brillant n'ont pas empêché six à sept mille spor tifs parisiens de-se rendre à. Saint-Ouen pour assister à la-rencontre franco-alle mande qui se jouait au Stade de Paris en Hier* après-midi, au vélodrome Buflalo. tre le Wormatla et l'Entente for championnat de Belgique mée par le C. A.Worms a été disputé leFavorisée Paris et le Red . Star , de demi-fond. par le temps, la Olympique. réunion mise sur pied à cette occasion a Le match semblait devoir être intéres remporte un vif succès. sant. Voici les résultats : i Il tint ses promesses et fut tré? at Grand Prix de Belgique de vitesse : Les séries qualifient Mlchard, Bergamtnl, Fau trayant. Débutant à toute allure, les Joueurs-pa cheux, Scheerens. Pianl et Kaufmann. Première demi-finale : 1. Faucheux ;; risiens, plfis vîtes et plus souples, surpri rent un'peu les footballers allemands qui 2. Bergamtnl• ; 3. Scheerens. Mlcbarddcrhl-flnale; 1. Deuxième. ; paraissaient gênés'par l'allure vive à la : , Kaufmann. quelle leurs adversaires conduisaient les 3. Pianl 2. ; Finale des seconds : 1. Kaufmann ; 2; opérations. Puis: ils se mirent au'diapa Pianl ; 3. Scheerens. . son et, par petites passes précises et souFinale des premiers : 1. Faucheux ; 2. ventes fols exagérées quant & leur fré Mlchard; à un pneu ; 3. Bergamlnl. quence, ilségalisèrent se placèrent au niveau des Pa la marque qui était Prix Robert Pfotln (vitesse) : 1. Engel ; risiens et mi-temps arriva sur le but La à 2. Vallère.; 3. Roudy. un uns Championnat de Belgique de demi-fond score de 3 buts pour l'Entente, et deux (100 lcm.) : 1. Victor Linart,'en 1 h. 19 m.; pour Wormatla. 2. Adelin Benoit, à 5.100 mètres ; 3. VerAprès la reprise,_ les Français augmen keyn, à 5.100 mètres ; 4. Wynsdau. à 6.250 tent leur-avance d'un ,but, mais les Alle métrés ; 5. Cloespin, à 9.300 mètres. mands égalisent et il semble que le match Ont abandonné : Aerts et Tollembeeck. va se terminer sans vainqueur, lorsque sur Dans-l'heure, 75 km, 800 furent couverts un centre de Monsallier, Langriller mar tète que le but vainqueur. par Linart. Au début. Linart prit la malgré jusqu'à fin et la la et conserva ce, Pour le championnat du Nord, qui, .hé machine sans lequel 11 las I est loin d'être terminé, l'Olympique un changement de aurait battu de nombreux records. Victor Lillois a dû s'incliner devant l'Excelslor de Linart est donc champion de Belgique de Tourcoing, par 3 buts à 2, l'Union Sportive demi-fond pour la quatorzième fois. Tourquennoise a battu le S. C. Fivols. der-: vitesse Paris de de nier du classement, par 5 à 2. Pendant championnat Le que l'Amiens A. C. écrasait le R. C. Lens, des amateurs et indépendants' par 6 buts à 0. Ces matches ne servent qu'à compléter la série des rencontres qui Au Vélodrome Municipal, le Champion composent ,1e championnat du Nord, car nat de Paris de vitesse des amateurs-et les deux.clubs qui descendront en Promo des indépendants est revenu à Beaufrand. tion sont d'ores et déjà désignés, ce sont S'étaient classés dans les quarts de fi le S. C.- Flves , Le chamet le R. C. Arras: nale : Rlbeyre, Létoffé et. Beaufrand. Per- pion certain étant le B. C. Roubalx.:rln avait gagné le repêchage. Dans les Le vainqueur de la Coupe de France, le demi-finales. Létoffé battit Rlbeyre, et ,C.. Sète a infligé une rude défaite au Beaufrand vainquit Perrln. Les deux man F. sélectionné du Sud-Est par ,5 à 0; Ce ches de la finale furent gagnées par Beau onze qui est tout simplement remarquable, d'une La Suisse frand, devançant chaque fols Létoffé et l'Allemagne jouaient-à Zu longueur.- La finale des seconds permit à rich, après l'excellente tenue ; des -et Perrin de battre. Rlbeyre. Joueurs suisses contre la-JBïanoe et la Honfrle. oa pouvait s'attendre à ce 1 que leur qulpe se comporta très bien' contre les » footballers « allemands. Il n'en fut rien. L'équipe, complètement '- dominé» suisse' C'est le - vendredi 16 mai, à 20 'h. 30, pendant la, première qu'aura lieu au Claridge, « La Nuit'de buts avant le repos. ml-temps encaissa 4 l'Elégance », organisée au profit des . Par la suite, les.Suisses se comportèrent « Gueules cassées » sous le patronage des Allemands augmentèrent les mieux, mais plus hautes personnalités mondaines, po*- cependant leur avantage d'un but.; sans lltlques et artistiques.t . . leurs réussissent' à sauver adversaires -^os plus grandes vedettes ont que, • tanu - à . . l'honneur. : apporter à cette manifestation leur con ( ,. cours , spontané e» le programme réunira A «Amsterdam, la Belgique et la Hollande " firent match nul par deux buts à deux, tous les noms aimés du public. Cette fête de suprême élégance, au •cours après une partie qui passionna les spec de laquelle nos couturiers et fourreurs tateurs. Lè succès des rencontres Hollan présenteront.leurs derniers modèles, aura de-Belgique s'affirma.une fols de plus. De lieu: par la suite annuellement, et devien nombreux Belges étalent présents au stade dra- une des manifestations' auxquelles olympique qui connut une Journée aussi l'élite du monde élégant voudra, toujours brillante que celle de la période des-jeux assister. Retenir ses places au Claridge. de 1928. — L. Oamblin. —89—
équipes. Touche/s et mêlées se succédè rent sans répit,et. la hantise d'être battu fit oublier à chaque adversaire qu'il faut attaquer pour gagner.. • En somme, mauvais, match; très mau vais match, à l'issue duquel il est im possible de dire quel est' celui des deux adversaires qui parviendra à se qualifier pour rencontrer Apn en. finale. —A. B. Le match nul QuillanrCarcassonne La demi-finale du . championnat' "de . France qui opposait hier, au Stade >'ves du ..Manoir, ,à Colombes, l'Union Sportive Qulllanalse et l'Association Sportive Car-, cassonnalse, s'est déroulée devant 15.000 spectateurs. Quillan. domine au début..en s'appro-
5 Mal 1930
de
MIDINETTE Grand roman-reportage d'amour et d'aventure» i
par Jean CLAIRVAL DEUXIEME PARTIE
ENTRE DEUX AMOURS
D'une cage à l'autre (suite) I. Le traiit n'arrivait à Nice qu'à minuit. Le& deux voyageurs qui avaient somnolé pendant presque tout le trajet en descen dirent engourdis et bouleversés. Mlle Clémence ne les attendait pas. Ils devaient apprendre plus tard qu'elle s'é tait réveillée à Marseille, avait vainement exploré le train a la recherche de Paulette, puis était allé trouver le chef- de gare, ce qui l'avait obligée elle aussi à prendre le train suivant, une heure après (les com munications entre Marseille et Nice étant naturellement plus fréquentes qu'entre Nice et Paris). Jacques loua une chambre dans un hô tel voisin de la gare et en fit donner une
autre à Paulette. . à Ils, repartirent le lendemain matin sept Jaurès par le tortillard provençal qui
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^lii p|*i^*pllS|
SPECTACLES & CONCERTS
Opéra, 8 h.
MARIVAUX-PATHÉ
MENJOU parle français dans
jouer dans' le camp de Quillan; Touches et mêlees se succèdent -sans qu'aucun camp ne parvienne 4 s'assurer un- ava-n** tage -marqué.-Les avants,, conservant la balle, ne. donnent 4 leurs;arriéres aucune, farrivée de concurrents à Versailles occasion d'attaquer , et. le^ public ma nifeste contre ce -jeu dont la pauvreté naltsrttlon ; -14. Mme Venlel, 14 points do est réellement désespérante. * • pénalisation. : Enfin, de chaque côté,., quelque», atta Voitures-sport 1:100 cmc. — Huberdeau: eont'iamoreées. mals sans ques de trois-quarte. pénalisation, médaille d'or. 1 elles restent sanç' résultat et la,ml-temps Vdltures sport-;1:500 'cmc. — Landais, . est ' sifflée^.alors .que rien n'a <été, marqué sans pénalisation.; ~ ......... de part et d'autre. Voitures-sport 1 3 litres. — ' lr. ex-sequo : • : Le début de; la -seconde ml-temps ' ne ;,Pesato, »Beroy, médaille d'or'; Levolt -pas • s'améliorer la 'facture' dt* jeu. Collas, tous, sans pénalisation. jeune, Touches. mêlées .et on ; recommence. : Voitures sport 5 .-litres. —' 1. ex-œquo : : Pour un geste - de brutalité,; Séguter est. Morel, ; Dlipme, ,'médaille d'or; Rovln, "de prié par l'arbitre de quitter -. le ; terrain. Oodon.' BrossUn.'tous sans -pénalisation. Quillan Joue" do'nc 'à 14 contre..15. Noturellement.' le pneu ' Dunlop mit; à . Un? attaque dangereuse de CarCasson- -cette .succès à son occaglon. de nouveaux de-pied à suivre est 1 coups ije 'par , de longs en-effet,-avec Il-triomphai actif. une vlngarrêtée .de : justessé-et'QuillanrépIlqtie par .talne- de concurrents -tanb motos, qu'en en une belle <attaque, de i trols-quarts, qui ' T -' voitures. - , termine en toupie. ' ^ autorise Sègulçr à reprendre L'arbitre, L'Italien'Varzi a triomphé ' . . sa' place. ' dans ,1a' Targa Florio Mais: la .fln'.du' tefnps -réglémentaire"jur-i i .. , vient' alors que "rien n'a erfcpïe été 'mar Madonles, en'Sicile, §ur 'le. clreuit-des a qué,- 11-ïàut.donc- reijourlr' aux-rprotonga- éte . disputéevlaLîépreuve; Florlp.21« Targa 1 ' tions, : " - t.. . ' -qui..-comportait's cinq .tours :d'ûn-.circuit JDans lçs prQlopgatlons;: -.Qulllah, corn-, :de 108 v kilomètres; ',sé<t 540 kilomètres, «'une-, attaqué;. metjce ; par-dpmlner-'et avec".envlîon' li400;.vlrages au :taur, revint BaIllette"et". S'oIer''n!est-: arrêtée que sur lltalleri "couvrit la distancé Varai,".qui •à les buth tle~ Cai'caàsonhë 'qûfi parvient," G. h.' 55i.m, 16 s.-4/5, temps qui consse degageri pat'des* touches- successives:" • en. tituecle-'Tecord, ? 'l'épreuve.-. Le', Français Les - dey* 'équipes changent :de camp Chlron.se classa,fle i à molris -de'2-ml'Seconde après cinq' -minutés ; de .repos "et Quillan ûutœ :du vainqueur, 'réalisant ' le tempsvde continue & idomlnerî Les Quillanals-man 6 h. 57 m.:6."s. 8/5. ". quent deux essais de peu-jet une ."tentative i La; couree.'seiréduisit à-nu duel.Vàrzl; de.:drop*goar,n!est pas plus heureuse*. -La' ChlronrDivo.Celui-ci,-valnqueur des.deux fin.-- arrive.* Rien, îtfa- été: 'marqué' et les dernières, cassa^ épreuves, une au deux équipes devront rejouer dimanche çohrs du troisième 'tour.' A*la fin roue du qua ' prochain; trième tour, Varzi menait avec 24 secon , ; . formule des seulement d'avance sur Chlroji,- qui La du;prochain précédait Nuvolarl,! Tonelll, Camparl et championnat' -de France 1 WJlllams. , Dans la : séance, qu'il .a tenue; hier, le Le classement Conseil de la Fédération française de rug i. by a .adopté: le projet-soumis, par la com 1. Varzi,; en 6 h. 55" 16'' 4/5 moyenne mission des calendriers pour le prochain horaire 78. km. 023,. battant le' record de championnat:de '^France., Les ,40 clubs - de Divo,-. en 1929, de,'.20' 25" ; 2. Chiron, en division .d'excellence seront répartis 6 h. 57' 5" 3/5 ; 3. Conelli, en-7 h. 3' 13"; huit poules de cinq dont lés deux preen 4.-Camparl, en 7 h.. 3' 54" ; 5. Nuvolarl, miers seulement seront qualifiés. Les seize en 7 h. 13'.'r' ; fl. Morandl, en.7 h. 18'- 21''; clubs qui auront franchi cette étape joue-- 7. Dlvo, en 7 h. 19' 51" ; 8. Maseratl, >àn ront- les huitièmes- de ' finale. Les huit 7 h. 29' 12'^. vainqueurs disputeront les quarts ; de -Dlvo, après avoir abandonné, a rem finale et41 ;y. aura ensuite les -demi-finales placé Williams a,u clnquème tour.
MON GOSSE
DE PÈRE
'
Un passage du' 5.000 mètres frènnè, en un temps moyen. Un nouveau venu, Castaing, se qualifia dans sa sé rie avec un temps meilleur que celui de la finale. Finalement, le Prix Blanchet' devient la. propriété, du C.A.S;G. avec 64 pointa devant le Stade Français, 43 points, et .." le R.GP., 33 points. . : On ne peut-raisonnablement tirer.au»' cune ; conclusion de cette réunion,,, trop avancée pour laisser observer des dé tail? dignes de considération,et " de —jédlt. — P. Lewden. Les résultats 1:500 -mètres plat. '-r- 1. Ladoumègue
......
(C.A.S.G.), 4' 2" 2/5.-2. Leduc (C.A.S.O.), ; 3. Leclerc (R.O.P.) ; 4.. Cleau- (CA. S.G.) ; 5. Vancon ;(S.P.) ; 6. Leroy, (R.CJ1.-) : 7. Charaval (R.CJ1:) ; 8. Conty (S.P0. Finale des pre 200 mètres haies.
4' 5"
miers : l. Dufrenne (SJF:),-26" 3/5; 2: Cas-: taing (S.F.) ; 3. Bernard (C.A.S.G.). ; 100 mètres plat. — Finale :. X. Beigbeder (C.A.S.G.), 11" 1/5 ; 2. Parrain (S.F.) ; 3. Prlnguet .(R.CJ.) ; 4. -Balensl (R.CJ1.) 5. Verraux (8.F.)'; ,6.. Robert ^S-F.).,.- ' 400 mètres plat. •—Finale : 1. Moulines. , (C-A.S.Q.), 50" 2/5; 2. Bigay (S.F.); 50" 3/5 ; 3. Galtier (SJf.) ; 4. Lasserre .(C.A. ë.G.) ; .5. Parmaptle'r ' (C.A.S.G.) ; 6. Andrieux {8.F:). ! : Saut en hauteur. — 1. Phillppon (SJP.), 1 m. 75 après barrage ;. 2. Zwalhen (S.F.)v. I m. 75; 3. Tribet, (R.S.O.), 1 m. 75 ; 4. Dupire (S.F.), 1 m. "75 ; 5. Fouin (S.P.). X m. 70 J .e. Aussell (R.C.F:), et Hein (CA. 5.G.), 1 m. 65. 5.000 mètres plat. l.-Demey (R.C.Fi), (R.OJ, .) i 15' 30:' 4/5 ;. 15',24" ; 2. Marchai — 3. Beddari (C.A.S.G;),15'? 35" : 4. Raymond (C.A.S.Q.): 5. Servaes (R.CJ".); 6. Dartigues (C.A.S.G.). •
les déposa à Tourrettes vers neuf.heures fit demie. Aux Ombrages, l'accueil fut glacial.' La surveillante avait précédé Paulette sans s'inquiéter d'elle davantage, déclarant am plement que la jeune fllle avait profité de ce qu'elle s'était un moment assoupie pour tromper sa confiance. Jacques qui avait tenu à accompagner Paulette pour se porter garant de sa bon ne conduite, l'excuser et au besoin la-dé fendre; excipa vainement de sa. qualité de tuteur et eut beau expliquer, qu'étant ap pelé dans le Midi, il avait fait coïncider son voyage avec celui dé «a filleule,, ce'qui n'avait rien de répréhensible. Il ajouta qu'il n'avait commis d'autre faute que de l'emmener quelques instants auprès de lui dans un compartiment où il faisait plus chaud que dans celui où elle était et ou il n'y avait d'ailleurs prs de place pour lui. C'était à leur insu que le train s'était séparé' au même mo ment.- , La directrice reçut cette version avec scepticisme. lui dit-elle — Notre devoir,deMonsieur,, froidement,serait refuser l'entrée da no tre maison à Mlle Fanelli. Nous étions-dé cidés à envoyer ce soir-même à la direc tion de notre œuvre un rapport très sévère, blâmant la surveillante qui n'aurait pas dû s'endormir mais établissant la culpabi lité très nette de votre filleule. Sans aucun doute, nous aurions été approuvés de ne pa- la conserver et elle aurait été ren voyée à Clernçont. - i
...
Nous voulons bien œpendant garder le silence sur cette étrafige avénture, mais à" une condition : vous ne ferez 1 aucune visite à Mlle Fanelli pendant ; la durée de son séjour ici. » . ' Jacques. Nil blêmit. On le soupçonnait d'avoir odieusement'abusé de son rôle de protecteur et de guide moral, on lui infli geait une sorte de déchéance. Il comprit cependant qu'an se fâchant, il risquait de perdre Paulette. H allait Jonc se- sacrifier une fois de plus à son amour. Il embrassa sa petite protégée une der nière fqis et, les poings crispés, Jes larmes aux yeux, maîtrisant ses nerfs avec peine, il partit sans tourner la tête... »
.
IL — Au patronage Un' deux stick, La lête à l'astic, La fête à la, youm'lata, ; . C'est le roi des papillons ' Qui s'a mordu le menton En faisant trois tourbillcfns
' t,
Ding, din, don. . Dans la. cour des « Ombrages > plantée de palmiers et de sycomores, ,des fillettes menaient là ronde.•Une petite - Bellevilloise, "arrivée depuis quinze jours leur avait appri§, quelquesunes, de ces',chansons naïves .'et baroques qu'entra Pantin et Bagnolet, les gosses des fortifs se passent de génération en géné ration. Et toutes reprenaient en choeur-ces mots sans suite dont ^incohérence • mêùie semblait les griser. -
PROGRAMME DES SPECTACLES
Il obtient'
UN TRIOMPHE C'est un film PATHÉ-NATAN ——njpr™»— CE "SOIR
:
FbLIES-BERGERE, 8 h. 80 : Un Coup de Folie; 80 sensations de M. Louis Lemarchand (MM. Randall, Castel, Lemercier ; Mines Valbelle, Betty Campson, Troïsky, Carletta Contl, Zulaïka). PALACE, 8 h. 30, : La Revue de la Femme (la grande étoile mondiale Raquel Meller ; le célèbre fantaisiste Salnt-Gra-
Tannhauser.
Com.-Franç.,—8 h. 30. Le Carros. Voix hum. Opéra-Comique, 9. h. r- Les Armaillis. ; ' Odéon, 8 h. 30. — Le Lion, amoureux. «nue-Lyrique, b &. 80. — Ciboulette. Marchand de Ventes. Aihert-i", 8 h. 45 Ambigu; — Relâche. > Antoine, 8 h. 45: — Bobard. > . • ? A polio. — Rel&che. ! Arts. 8 h. 15 — Lies-Criminels.. Atelier, 8 h. 45. —- Le Stratagème. -. Athénée, 9 h, — Barrlcou. .. , Avenue. 6 h. 15. —Jardins de Murola. Bouffes-Parisiens. — Relâche. ' Caumartln, O h. — Françoise. Ch.-Ki.vH. (Com.). 9 h. Prof: d'anglaïa. - r Anna Pavlov». Ch.-Elys (Th.), 9 h. Robert le tnrate. ; chaieiet, 8 h. su. — — Cluny, 8 h.-80. —Patte-en l'air. Daunnii, 8. h. 45. Par le temps qui oourt. Déjazet. 8 h. .30. — J'marle ma femme.' Edouard-VII, 8 h. 46. — Tu m'épousera*.. Eldorado, 8 h. 30. — Et poum. Folies-Wng., 8 b. 30. — Zou. opérette.Oymnase, B h. — Mêla : r;; (Iranil-Oulsnol, 8 b. 46. — l*,QrlTte. ", : Madeleine. B h. 46. — Vive le Tltefctr^. Marlsny, 8.h. 80., — Coupe de roulis. " . iMailiurlns. 8 h. 45. Prlsonn. "d.- m. cour. Michel. 9 b. — Pardon, Madame. ' •• Micliodiére, 8 h. «6. ~ Le Sexe fêltil*. Mogurtnr, 8 h. 30. — Le Chant du Oéeert. Nouveautés. 8 b «0. — Radubêc joneM. Nouv.-Tli., 8 h. 30. Noces de Jeann. Galat. . <Euvre, 9 h. — L'Acheteuse. , Palnin-Riiyal 8 h. 80. — L'Amour' à l'Am*" • ricatne. " , de Paris. 8 b. 40- — Uariua. l 'he.itre Théâtre. Japonais."1 ' : r PI galle, 9 h . l'orH'-saint-Mnrtm. a ta. 16. — Uyr«n9tJîe. Bereerae. ; Potlnière. — Relâche pour., répétition*. ~ Kenaissance. 8 b. 30. — Business (Sergl*: - 'A v ne, Rollan). Sarah-Bern., 8 h. 30. M. Curé ch. les paUT.i Scala, 8 h. 45.Là-Haut. siiim-rtieorgwi, B h. — Etienne Studio Champs-Elysées.' — Rel&che. ..... ', Trlanon, 8 h. 30. Mousquetaires-au,Cour.; i. - ? \urlelcs. 8 h. 30. — Topaze. •• ?r
...
Folles-Berg. — Un Coup de Polie (revu*), Paris Miss (Mistinguett) h. 80 : Toto, t'nslno de Paris. Dora Stroeva, Salvador Pizarro, Leblanc Empire. 8 h. 30. Toto; Dora Strœva; 20 ; *t,l'ulace. — La Revue de la Femme. . et Ducharm.; 20 attractions,, Muvol. — La Parade du Nu < revue}.' CONCERT MAYOL, 8 h. 30 ; La Parade Cirque d'IIiv. Novelle Bros'; Çtetson; ete., M dû tfu (MM. Carol, Charpinl; Mmes Peggy- Médrano; , Mat. — Accractlons. Vère, Paulette Franck). Quel Phénomène (H. Llovdl»Novelle °«ramonnt. CIRQUE D'HIVER, 8 h. 30 Palace. '. Quand nous 1 étions ;. deux. -. Aubert' Bros ; Stetson ; Zoiga et Rachel ; les '50 «!amco, mat., soir. — Nuit de Prineee, • chevaux de Carré. etc... ' Madelelne-Clné. — Réouverture le -7/msi. Sainte-Hélène., :;L'écuyer h. 30 Oaumont. MEDRANO, 8 CIRQUE ; — Napoléon, i'les Caïtoits de Par?* clowns Môulin-Kouge-ciné.Sous Vasconcellos les Roberto de, ; Falrbanks) (D. -fer -Le Masque de liés Loyal,.les che Olympia. et Carletto, Porto, roll, l'Outrage. Sous ' 'apuclne. -Ciiie-C etc... vaux, ,, — , . Marlvaux-Pathé.Mon Gosee. de Pérei ursuillnes. — Terror (de Roy del-' ftutb); CASINO DE PARIS. —• Mistinguett, «Ell de ,l*nrls. —/Thérèse Raquln. " -sdans- la Maison qui brûle, les Coups de Agriculteurs. — Trois heures d'une vie.. vent; Fleur de Bille, le Mariage de la Carillon. La Femme sur la Lune ; C&ariot Miss, triomphe au Casino de'Paris. iMiis-l.liider-l'athê. Mystère tfUl» Boee^ Elertrl<sPalace. — Fécondité. ' ; ; ii- : Capitaine Swing. ' : ArtlNtlc "{Clgale-Clné. soirs, formida de fer. le EMPIRE. — Tous les — L'£scadron ble comique américain Toto ; Dora Stroe Impérlal-Patlié. — Evangellne. ' va ; les danseurs Leblanc, Ducharm et Le Cotisée. — Le Cavalier noir.
nler).
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.. . ... EMPIRE MUSIC-HALL. 8 ,
.
leur revanche dès qu'elles se reEt toi, Paulette,, tu n'en sais pas, des phistes aux < Casinos des courants d'air » naient des carrefours, les « scies » à la mode,, ces trouvaiént ensemble à la. récréation, -en se ' ' belles • chansons comme ça ? de café-concert plus ou moins or- laissant aller à leurs mauvais instincts! Paulette s'était tenue jusqu'alors . à refrainsqui Malgré tout,: la jeune fille s'accommpdébordent des bouges dans la l'écart de çès petites presque toutes plus duriers et qu'on fredonne en sourdine dans dait mieux des « Ombrages >- que de Clerjeunes qu'elle et dont les jeux ne l'atti- rue lej ateliers en tirant l'aiguille, et jusqu'aux mont. raierin pas. •. t. complaintes séculaires qui font la joie des La méthode d'éducation employée dans journée première dans C'était, sgi sa enfants du peuple. les* patronages qui recueillent les petits , nouvelle geôle. Elle était dépaysée et l'in Cependant, comme la ronde est" finie, dévoyés triés par le Tribunal des .enfants cident de la veille qui la privait des visites une fille de quinze Gaby Simonel rappelle les écoles pratiques plutôt*qi)ë les, ans, do Jacques, son seul ami, l'avait désempa vient proposer à Paulette : maisons de correction. rée. Elle se sentait plus seule parmi ces à l'Enfer Paradis On n'y exécute pas^ comme jflans les prli*. et — Veux-tu jouer au étrangères qui allaient être ses camarades avec sons, de ces travaux sordides et toujours nous ? ^ isolée eût été tout. de elle si que paulette ne demande pas mieux, mais pareils qui n'apprennent rien, tel»' que : connais je ne que une troisième détenue, Lucienne Gisors, chaussons de lisière, épissures, érrçouchet— Mol, vous savez,répliqua-t-elle timi vient tirer Gaby par la manche : des chansons tristes, tes, lanternes de papier, évèntails, dra •
dement. Cette réponse fut accueillie par des , éclats de rire. Penses-tu, fit la délurée Suzy, c'est du — chiqué !; ça fait sa Sophie, mais avec nous, les grands airs, ça n'prend pas, mon p'tit. Non, mais, tu t'rends compte, des chansons tristes I Elle veut nous faire croire qu'elle est une gosse de riche ! Nous, iron p'tit, tu comprends, on est des purëes " et on rigole ! Pourtant, Paulette avait dit vrai. Très bien élevée par sa mère qui rie la laissait pas aller seule, elle ne s'était jamais mê lée aux « quilles > de ;>on âge qui gamba dent sur les glacis du houlevard Victor. Et depuis que son beau-père était veuf, elle >n-était plus guère sortie de chez lui que pouf faire les commissions. Elle • ignorait lés rqmances qui, retien nent les midinettes et .les petits télégra
cette mijaurée. Tu peaux. fleurs artificielles, couronnes de — Laisse-la donc, pfirles etc... ' sais bien qu'y a rien à faire avec elle. ' solides l'a bonnes et noté On y enseigne de pro En pension, Sully-Prudhomme
, dans un mélancolique poème : « les déli fessions qui permettent à l'élève, garçoncats sont malheureux ». Les enfants mal ou fille, de se placer après un stage deélevés s'adaptent plus vite aux mœurs deux ou trois ans (qui peut être réduit
vulgaires de ce genre de communautés où ils font d'ailleurs autorité. Tout, dans ce milieu formé de « rendus » et de * laissés-pour-compte » de la so ciété, heurtait la nature fière et sensitive, fine et tendre de Paulette. Elle faisait songer au duvet fragile de certains fruits de luxe qu'un rien écorche et qu'on cou che avec mille précautions sur un lit d'ouatei Ici elle n'était entourée que de filles bruyantes et grossières qui pouvaient faire illusion tant qu'elles étaient ^'étu de parce que le moindre mot trop libre ou le. moindre geste équivoque étaient aussi tôt réprimés sévèrement, mais qui pre
•
dans certains cas jusqu'à six mois) et de gagner assez rapidement sa viè. C'est le système dit de la « Liberté sur veillée » qui; parmi tous les moyens dé ' redressement moral et de préservation employés jusqu'ici ,a donné les meilleurs résultats. ' --1 aussi les patronages On apprend dans ' à tenir un ménage et ce n'est pas leur moindre avantage. Paulette se familia risa tout de suite avec les menus travaux qu'on lui proposait et s'y intéressa," .s^ns se douter que quelqu'un guettait en si . lence l'occasion de l'approcher—
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LES COUR SES
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Longchamp
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Prix flehBwijtoçne,.20.000 fr., 1.850 1. Manchester,'; a M. Fernand Adda m.t'C: Turner) ; 2. Gralndorge ; 3. Hpld AU. —' N. pl. : Dark Plrat, Géranium Cendre."
Les dégrèvements et la Bourse ment, et peut-être,principalementviséepar le ministre des Finances, porte en
Le Petit Journal
^ générale" du >8 avril; serait-mis-en paie ment,- aux càisseslidé la*-Société, A- par tir du 2 mai courant; à raison de 25 fr. 20 pour les actions nominatives ;
LES LAURÉATS de noire Concours desJProduils régionaux
Courrier de la T. S. F. -ECOUTEZ AUJOURD'HUI : 14 h. 30 : EaltKo-Lyon Concert.
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21 h.- 20 Londres, 356 m., —<•
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et Daventry,
1.554 m. 4. La Chauve-Souris (Strauss),,'
h. 46 : RadlojParis : Ouverture du Roi 21- h. 20 Daventry (Midland régional), 479 Conjugueur, Vent "Coulis, Choc, Braiuna. elle une menace contre la reprise espé d'Ys (Lalo) ; Fantaisie impromptue-(Cho-' >" > Mercenftry Mary. — 10 part. m. Programme national. l. ... pin) i 1/2. rée ? ; Ma Mère l'Oye, pièces enfantines — 22 « Ingratitude de la Bourse !... > s'est h. 20 Londres, 356 m., et Daventry,, enc., 3/4 1. :'Berceuse (Ravel), 20 h. Radio-Paris i Ainsi s'explique en gros l'apathie du 22 fr. 19 pour les actions au porteur, — écrié M. Jacob, syndic des agents de Mutuel. v- G. 143; P. 26, 7, 10.60, m. 4. Musique-de Haydn. (Mozart) ; L'Oiseau prophète (Schu- 22 1.554 Prix d'Argenteuil, 20.000 fr„ 1,400 m. : change, sentant bien que, les pouvoirs marché. Nous ne dirons pas : se justifie. contre remise du coupon numéro 5. — h..,40 National Daventry, 1.554 -m. 4. -ilsétaient trois petits Oiseaux mann) ; « Le ' pessimisme jamais' -Chœurs. n'a 1. KoenlgsœarJitfU,. raison Aux banques d'affaires, .terminé Pierre Werthel- publics se jugent en somme assez mal en ma (Fierté) ; Premier quatuor avec piano . on a' . —SUITEtière à boursière, la mer (E.- Haynesl ;. 2. King Arthur : .3. récompensés, oonfiance est calme -la Banque Paris de (Pâui-é). —' 20 h. 20 : Tour Eiffel : Une car -3.120 pro sur de l'opinion, ; DANSE de MUSIQUE aux DE yeux Poseur. — N. pl. : Cardénio, Wlnnlpeg, leur effort créatrice, et l'activité boursiè l'Union Parisienne à 2.110 ; l'Union Eu- 800 Colis de .10 .kilos, prqduits Capl-' soirée artistique chez le Sous-Préfet en 22 h. 80 Londres Régional. en vue de donner, dans le prement Recordman, ; Red Chariot, Priory Wood, 0. On prévoit, que le dit tan (Pètes alimentaires dlv.erses); (suite). 1889. — 20 h. 30 :. Paris P.T.T. : Quelques 23 h. National Daventry. programme des détaxes, un tour de fa àre. même factice, est apte à stimuler et ropéenne, Etival (resté, -au poteau). Controverse. célébrés. : L'Invitation & la .valse ranimer l'économie tout'entière-:•vidende des Usines- Slèoda? société filiale 755» M. Tilquln, rue d'Aniche prolongée, valses — veur au marché. 10 Valge én là bémol (Chopin) ; 1.. 3 1., 3 1. (Weber) Hémery, ; rue Valsé Il faut donc souhaiter que la Bourse de l'Union Européenne, sera de 90 cou Somain (Nord) ; 756. Mme Mutuel, — Q. 61,50; P. 12. 6.60, 12,ti0. Si 3c marché est resté atone après le de la symphonie fantastique (Ber Regnessou, Reims (Maïne) ; ; 757. Mme PETITE CHRONIQUE Prix Dar'n (Poule: des Produit»), .40.000 vote des dégrèvements qu'il avait si im réponde, tôt ou tard, aux exhortations ronnes-tchéco-slovaques cpntre 70 pré Thomas, lioz). 20 h. ,30 : Radio-Vitus % Petite place Lycée, Laon (Aisne) du 6, : —Ir., 2-100 m. : 1. P&tipliar, à M. J. D. Cohn patiemment réclamés, il faut pourtant de M. Paul Reynaud et de M. Jacob — cédemment. Celui de la Société des Mi .758. Mme Leroy, rue de Neuilly, 48, Rosny- suite (Debussy), r— 21 h.,: Petit Parisien : (B. Chancelier) : 2. Commanderie : 3. incriminei; des facteurs plus sérieux, et puisque aussi bien, toutes oçs réserves nes et Forges, autre filiale, serait porté sous-Bols (Seine) ; 759. Mme Hollande, rue Ballet de la, Petite Fonctionnaire (Messa Onafraslm\ls. — N. -pl. : Fayoum, Roma d'un ordre plus général, qu'une simple faites, ;les dégrèvements, demeurent d'autre part de 150 à 160 couronnes. Mayran, 8, Paris -; 760. M. David, rue du ger).— 21 h. 30 : Radlo-Béziers : Séréna Réparation jjies piles et accumulateurs ' Nélusko rin, m. Bon Diable, Ménés XI, réaction sentimentale. Il arrive souvent, soit au cours de trans Drac, 11, Grenoble (Isère) 761., M. Tho de et rondo (Mozart). d'une incontestable utilité. — Les banques étrangères sont diver mas, 45, rue des Cordellers, ;Laon' (Aisne) ; ETRANGER. . 18 National Daport, soit par suite d'un choc ou même - Dorlflor, Aïgon, Janeiro, Pure-Gold. Mea. 16 h. : — sement traitées. — La part de réserve 762. Mme Despréaux, 140, boulevard de -ventry, La mode a été, cette année; & la for 13 part. — 1 l., 3 l„ enc. h.. d'entretien que les bacs en'' L'Homme \ —Mntnei, 20 35 Londres pat manque : : -— G. 28.50; P. 10.50; 17, 20.50. mule du dégrèvement. • On en a ainsi La physionomie de là semaine de la:'Société "Générale,de, Belgique con l'Hôpital, Paris'; 763. Mlle Herbaux, 8, et son Désir (Mllhaud). celluloïd contenant les plaques et l'élec— Prix de la Sol ne, 25.000 fr., 2.600 tinue à' ; dot)rier lieu a 'des'échanges-régu- rue des COrdeliers, Laon (Aisne) ; 764. trolyte des accumulateurs présentent quel : forcé la vertu au point d'en faire, une 1. Tawrla, à M. Edward"'Esmond (L. m. ' à' ' 7.860. t'Ajoutons atjx.' indications-. M, Morin, 5, ;rue Alphonse Daudet, Pa •11ers Cor- panacée universelle. C'était- abuser le ques fissures. Le liquide s'écoule, atta FRANCE, Mardi « Mat Les dégrèvements, que la Boùrsé atjdell) : 2. Horac ; *8. Mélèze (rétrogradé public Mme Decaudaln, 765. Grande ris rue, quant petit à petit les objets qui entou- < données,','sur. les--impor-' ; ; : c'était préparer à la clientèle tendait 'depuis si-longtemps, onji' mfli? :que; nous avon^ 12 ; Ecour't-Salnt-Quentin, h. Radio-Lyon, de la deuxième place la troisième): — 766, 291 3. .Concert, (Pas-de-C.) i m. rent ; ces bacs. Le moyen lé plus simple réallsés'.par Cette ^Société »Ime Énockaert, 14, rue du Moulin, Tour 12 h. 25 Paris P;T.T., 4471 m, -Concert ' N. pl. : Ordre du Jour, Kettering, Cada- une désillusion supplémentaire. L'effica été. votés par Je Parlement, qui est; nialni- , tants' bénéfices plus sûr de faire convenablement • : et le, des derniers exercices et survies coing (Nord) ; 767. Mme Dubois,- 1,6, quai cité d'une réforme fiscale est ici néces tenant au.cours val, WlUlbar, The Slmshlne Beisauv6. of. Marseille (Gilber) 8 partants. la'réparation est peut-être ennuyeux, ; dégrèves vacance#. Mais en. Aubade (Que!) . C. tête; dividendes ' distribués, que' son-' conseil Desbordes, Douai (Nord) ; 768; M. sairement limitée; à raison de la nature ments sont loin •d.'avoir eu xes . *,' Pllarica (Sentis) ; ' 01 téte, 1 1. 1/2; puisqu'il enlève le ' plaisir habituel ' de l'effet-revivitdirection comprend,;entre antres per mens, rue du Brun Pain, 37, Tourcoing Mutriet. —, G. 21: P. 10, 32.60, 8. Ch^pson: (Granlschtaeden) même du marasme boursier. le -Hans, : de ; l'écoute, il mais remet à neuf les bacs 1 qu'on-esçomptait'. fiant .Tout au -:on- sonnalités, MM.- J. iJadot,; gouverneur' (l^ord) ; 769. Mlle Breemersch, rue Jean , Joueur de flûte (Ganne) ;. Menuet an- détériorés. Les opérations Prix -de TEtoHç (à réel.), 20.000 fr.' 'Sans doute, tombent dans l'erreur sont * tralre, la.Bourse a été,"cette semaine, E. Francqui .yicergouvernéur le oàron Baptiste St, Fllxécourt (Somme! ; 770. • cien (Sgambattt) .; Ça n'est pas Uni ; décrites ci-après dans leuri effectuer 2.400 m. : 1. Porte Dorée, & M. Gusta-ve contraire logique. ordre ceux qui prétendent, avec M. franchemènt ' décevante,,l'activité étant r Jory, au bourg de Cherré (Sarthe) ; Les Fleurs du passé (Lenolr) ; Broad Vider le liquide acidulé et rincer plusieurs Beauvols (G. Duforez) •: 2. -Rat's Tall ; Blum, et : G.' Theunis, direc-' Mme l'abaissement des impositions toujours restreinte, au minimum, de, telle Carton de Wiartque l'Eglise, Fouchecourt, -place'de 771. M. 3. Flapper. — N. pl. : Pordham, Bougival, 'Melody (Brown)- : Chanson triste fois à l'eau pure jusqu'à ce que l'eau de Blanzy-sur-Bourblnca (Saône-et-Loire) ; < way Lumineux," Gouvernail, Sire de Gtosrou ne peut pas plus ranimer le marché que sorte que les offres survenues à-l'ooeaf- ' teurs. . (Tchaïkowsky) Marche . persane vidange n'ait aucune pdeur d acide ; net-'; . ;:On ne note que-peu de'changement 772. M. Marguin. -24, rue -Bauffremont, (Strauss) ; Jeanine (Volfe) ; Princesse vres, Chanson de France^ Daily Mail, la superfiscalité n'avait modéré la « fu sion de la liquidation ont entraîné uç toyer et gratter l'endroit où se trouve la Mlle d'assurance Brlenne-le-Château (Aube) .773. Stanley Palis, Sost; Juvénile, Btllble, ln- rie de hausse » de l'autre année. valeurs .fies ; Ozarda etles (Kalman) sur Marseille, sOli sur fissure ; et où se produisent les suinte- ' véritable effondrement des cours. Unè titres des, « , 192, rue Lafayette, Paris ; 774. M. Meyer, vestiture* (Chagnon). sociétés v -Carlr.a, 1 16foncières? iimmobif: part. ef 1/2 1., mouvements ve Les amples des of » ments • -— cours — fois de plus, le. fait accompli a déprimé lier La Générale Foncière 'terminé Sardaigne, rue Nationale, Coudes - (P.-de- 13 h. 30 Lille P.X.X., .895.m. Concert. — cette dernière opération est im enc.' ' ' : portante, faut que les lames de cellu fraient clientèle » 3 1.. alors à la épar es. des a le marché : on a acheté tant que les à 587. Dôme) ; 775. Mme 'Glrau'd, "7, place des 12 h. 30 Kâdlo-Parls, 1.724 m. 1. Disques: loïd soientil très Mutuel., -r- G. 42: P. 14. , 15.50, 23.60. ' propres si l'on veut obte Terreaux, Belley (Ain) ; 776. Mme Du RleusBec (hand.), 30.000 fr., 4.000 gnants ;et des joueurs des chances de allégements de taxes n'ont pas été réa Ouvertures classiques romanti et nir résultat. « bon \ Prix Il suffit maintenant un Lesactions des plus-values et de différences si fortes lisés et,-aussitôt après, on grands réseaux pont, 3 bis,, place du Parc, Sèvres (S.-et.:— Ouverture d'Idoménée (Mo : 1. Tereus, à M. Edward Esmond. (L. soh français ques m. pris de ,p faire la réparation a proprement dite. Léoutre, 4, chemin de là ont payé un Passez lqurd tribut Olse) : 777. M. Cordell) ; B. Slbérick ; S. Bésant. —' N. que la dime, pourtant considérable, pré bénéfice. Ouverture de Ruy Blas (Men- Pour cela, on plonge une zart); ' de cel Renard (Doubs) Voûte, 778.-M. Bwançon ; pl. : Frelon, Mlrbat, suroît, Epi de Fran levée par les impôts sur les opérations Ces. allégements exercetont-ils, malgré à la baisse. --r. Le Nord .est' revenu à à Villiersrsur-Loir delssohn) ';sOuverture de 1812 (Tschaï- luloïd dans de l'acétone etlamelle l'applique 779. on (Loir-et-Cher) ; kowsky) - ; << Quelques mélodies de directement sur la partie nettoyeei jusce, Double-Dutch, Pompey, Moche, Brlght de Bourse ou les valeUïs mobilières, tout, à M longue, une influence"salutai •2.450. ; le Lyon à 1.590 : <l'Orléans: à Mme Samain, 23, rue du 1Mont-valérlen, Colours, Hérodlas, Tonka, Petrouchka. — pouvait être allègrement supportée. Charles Gounod- » : Mireille, Faust, gu'à ce que l'adhérence soit suffisante, 1.354 Midi'à 1.22G. ; l'Est à, 1.152 ; le (Seine) ; -780. M'. Poiré, 1, cité la Suresnes de la tenue cote ? C'est re sur Romé'ô 14 part. —, 8/4.1., 1 1. 1/2, 1 1. 1/2, pos 'Juliette, 'Philémon et Baù- ne recharge de l'accumulateur suit ni- : et —-Les chemins étrangers restent ani Saint-Guillaume, Plixecourt (Somme) : Il à'en va plus de même quand, les sible 'et même probable. Il est à crain Mutnet -r- G.'40.50: P. 20,60, 22, 17.50. oscillations ciB Siegfried (Wagner). cessairemeht cette réparation. : ' s'amortissent, quand ''es dre, cependant, que nous n'assistions pas més mais irréguliers. — On continue, ce 781. 'M; Vlrot, route de Montcenis, Le 12 h. 30 Radio-Lyon, 291 Concert. 3. m. Les Hier, Bruxelles piles tension de plaque sont Simonet, ;-782. M. Creusot (S.-et-L.) rue cons à enregistrer pendant, de bonnes de cours tendent à la stabilisation. La à une reprise véritable du marché mo h, 30 Radio-Maroc, 414 m. Concert.1 tituées par Kde nombreux petits éléments Neuve, Cusset (Allier) ; 783. Mlle Robin, 12 mandes Congo-Grands-Lacs GEANT} à devient le STEEPLE-CHASE charge jadis légère surcharge 12 sur h. 45 Marseille, 316 m. Disques. connectés en série, Il arrive que ces cori-r / bilier aussi longtemps (S.-et-O.) subsistera, de 1.015 boulevard Chanzy, 6, Gargan que ; 13 h. Radio-Toulouse, DE BRUXELLES l'action Railways Electri paralysante. et 381 Jazz. ; sur m. nexions place soient coupées pour les mêmes Lellèvre. Bayart, 1, Bottel le monde, une crise des matières cité à 953,50 784. M. 18 'h. Nlce-Juan-lea-Plns, 248 m. Concert. raisons que noits avons données 100,000 francs. — B.OOO mètres les actions Bref, un rajustement fiscal qui ra par les et Jul; sur Mme (Oise) 78S. Breteuil-sur-Noye ; pour les ' premières. Or, 1929 avait' accéléré - la parts des Réunis .belges à'400 13 h. 30^ Paris P.Ï.T., 447 m. Disques. 1. Albatros (i3. à la baronne > J. de mène l'impôt vers les proportions d'a?- •lente accumulateurs. Si et 6.850 Sébastopol, Marseille (Boula .40, existe i- la : lian, coupure rue baisse des prix de gros ; les pre 15 h. Radio-Lyon, 291- m. 3. Concert. Crawhee (T. Bobinson) 14/10 ; 2, Dark vant-guerre, devrait suivre Montlnaissance M. Pralaux, ches-du-Rhône) 786. même de la connexion,' les actions capital de le et de dividen il sur mê ; sur Way 66, a"' M. M. Sevadjian (H. Iïowes) me suivi beaucoup trop, tard — le arajus miers mois de 1030 n'ont fait que conti de Cairo-Héliopolis à 1.908 et 4.§85. L'as gny-sur-Aube .(C.-d'Or) : 787. M. Thuil- 15 h.>45 Radio-Purle, 1.724 m. 1. Concert : zinc ou sur le charbon, la soudure d'un La Verhera (Lacome) ; Petite chanson fil de remplacement devient délicate. — 11/2 ; '8, Bonsoir 66f, au comte'Cornet de tement du marché. nuer... Il y a bien eu une légère reprise semblée. ordinaire Ses actionnaires de lier, cité Saint-Maurice, 200,' Fllxécourt (Hure) ; Chant du crépuscule (Fau- Dans ce cas, il suffit de courctrcuiter l'éht'-~ Ways-Ruart (G. Gemers) 5/1 ; 4. Alonso * dtf blé et du coton en thars, sur les cours cette dernière Société, (Somme) : 788.-M. Saffré, rue au Garde, dégrèvements le avril ont le Mais si les tenue 28 chet) mé à ; La Source (Davidoff) ; Solitude ment. Un de plus, 71, M. Van Stalle (Lolseau.) 9/1. Buxiéres-les-Mlnes (Ailler) : 789. M. Baules -plus bas atteints à ce moment, mais à Héliopolis, approuvé les un de moins, la'ten (Nérlnl) comptes de Mutuel. (O.; Quelques fleurs (Zoubaloff): sion totale ne varie que dè très Pesage : G. 12 Ir. ; pl. '! fr., rite de substituer à une surtaxe excep elle fut assez Insignifiante Neuves,-Lacanche a Maisons bant, rue peu; Si-, ; aux mé l'exercice 1929, dont les produits et "reve d'Or) Valse rêvée (Hesse-Dëlsaux) ; Berceu: . de la 8 fr., 9 fr. 50. — Pelouse : G., J.2 fr. ; pi;, tionnelle une quotité d'impôt raisonna taux, Tourette, 700. Mme 2a soudure rue non est facile et la ; pile remine on commit la brusque cessation nus se sont élevés, rappelons-le, ft République,. 57, Montatalre (Oise) : 791; (-Hue) ; Sérénade à, Lisette (Caludi) (Hi 7 fr. 50,10 f*„ ll-fr.-50. bon état. en ble, et par là, d'établir un régime nor des moyens : ' , artificiels longtemps main*- 198.622 livres égyptiennes contre 170.478 M. Rongere, rue _Forte-Torteron. 8, La danse des Libellules (Lehar-Le0 SaintGRANDE COURSE DE HAIES mal propice à l'action, leur vertu reste tenus pour, soutenir torey). A les du-cuivre, suivre. cours On arrête, — Henri Le Roy, 19 ans-sans ~ ' DE BRUXELLES surtout négative. Ils ne sauraient à eux .ce ,qui démontre,. une. fois pour l'exercice précédent. Le dividende Lô (Manche) 16 plus, sque .de domicile que fixe, qui avait volé 800 francs'à Handicap. -— 60.000 francs. — 3.000 mètres seuls suppléer à l'absence d'élan du mar tous les efforts qui s'opposent, été fixé,-comme prévu, à 48 piastres 22 a 18 h. Radio-Toulouse, 381 m. Danse. Da ef ami, M. Robert Roblne, opérateur de aux son Ces lauréat« 'n'ont aucune erreur aans 18 h. -85 Radio-Toulouse, 381 . 1. Le,Revenant 67}, à M. Ch. Bourg (A. ché. action de capital, contre 45. Ce di Orches par m. cinéma, fets surproduction 119, faubourg -du Temple, qtal de. C'est principale la vains. à sont question réponses la DepauXv) 13/4 ; 2-. Sea RoVer 60, & M. G. tres-divers.- • vidende payable est 5 mai. Le prési leurs Ol, il notoire, 11 est trop vrai que cette le sera l'hébergeait. (40 prix des villes). réaction matières des . L. de Mola (A. Kalley) 7/1 : 3. Trlcoche pre dent a déclaré que les ventes faites au 19 h. 30 Radio-Toulouse, . 381 m. Trompes Tous ont indiqué ezaatement tea 1K -— Roger Falco, 20 ans, sans domicile ,60, à M. Ed. BeUet (Ch. Salgan) *10/1 ; 4. pour rendre à la Bourse son élan, perdu» mières et des produits agriooles, suoeéde Chasse. fixe ni profession définie, et Jean Beaupar le référen 10 h. 50 Radio-Lyon, 291 m. Concert. Tacite 64J, au baron L. Janssq^n (P. Van il faudrait" encore agir sur l'ensemble Hei, dant & des hausses maiilfestemeht ex cours de l'exercice 1929 se sont élevées à Produits préférés désignés det, 21 ans, 5, rue Sainte-Marthe, sans subsidiaire), mètres carrés, au prix moyen de dum (première question ma» 20 h. Radio-Maroc, 414 m. Concert. den Berghe).-12/1,. — 1 long^-et demie, causes qui l'affectent. cessives ces dernières années, qui conti 72.451 t places tous exacte' 20 h. Ratllo-l'arls. 1,724 m. 1. Lectures lit profession définie, pour vol, chez M. Louis ne les a trolB longueurs et demie. 'Tout-d'abord,-par une conséquence nue à pbscr sur les bourses de valeurs 150 piastres environ, .et que l'amortisse aucun d'euxl'ordre tailleur, 20, rue de Loos, do les'erreurs de dans idéal Mutuel. 1—..Pesage. : G., 20 fr. 50 ; pl., naturelle, la Bourse pale de sa dépres mobilières. ; des obligations se fera désormais ment téraires : Contes d'Alphonse Daudet, Rachmann, .' ment 10.000 francs de pardessus. ' faute.* constitué tes places ont commises 0 fr. 50, 13 fr. 50, ,20 fr. 50. — Pelouse : sion présente la fièvre de naguère. Péni lue par Mlle Mona Sangor ; :Transmlsrachat indi d'écarts. rapport Bourse. Le par en de baisse du taux l'argent Et la G., 22 fr. ; pl., 10 fr. 60,17 fr; 50, il fr, 60. tence forcée, mais prélude à ' sion de la Gaîté-Lyrlque de l'opérette: — que, d'autre part, que les ventes de ter '«» une acti sous l'action concentrée des grandes La correction de leurs solutions s'est Ciboulette (Reynaldo Aujourd'hui,; Saint-Cloud. vité plus saine rétablie sur des Hahn). bases banques oentsvks (cette semaine même, rains sont' en progression, mais que les alors poursuivie (suivant, le. même procède, 20 h. 20 Tour Eiffel, 1.445 m.: Concert : solides. ffelglque, la Banque d'An revenus des loyers sont en légère régres que ci-dessus)- sur leurs réponses i la partants et montes probables Cependant, cette1 . activité Pièces la de de concert (Rameau) Banque ; Sonate normale est gleterre, la Banque de New-York et Ja sion. Les produits de l'électricité, eaux deuxième question subsidiaire, (Haendel) ; Concerto (Haendel) : So Prix,-de1 Saint-lieu. — (A vendre). — 8.000 iïkncS. —'2.000 mètres : Sost 56 „(N. elle-même affectée par le contre-coup Banque de France ont abaissé presque et tramways sont normaux, i nate (Bach) :, Concerto brandebourvaleurs de geois (Bach). P.) ; Jit'usqùé-56 (R.-'Slrvaln) : La Capuc. de la dépression économique en perspec simultanément Les transport en com BOURSE DE COMMERCE — ont leur taux d'escompte) a mun 20 h, 64i (W/ 'Anderson) ; Queen El. 54J (X. tive.' Dépression limitée,' non négligea* été certainement 26 Lille P.T.T.,,265 m. Disques. marché. Les Voitures peu de activée et, en quelque S'échangent Phillptf)' Allant.' Pl. 54i (R-, Brethès) ; ble. Perspective à laquelle la Bourse 11e 20 h. 25 Rndlo-Toulouse, 881 m. Orchesà 2.795 ; le Métropolitain à . ralentissement sorte, légitimée, le BastillW 64f (G. tre. par — Èemaine Mai du 28 Avril au 2 peut rester indifférente. ; les actions et les parts Parisienne économique et, par là, ne devient plu3 1.307 20 h. 30 Radio-Lyon,'291 m. Concert. A cef causes d'ordre général s'ajour ce facteur de hausse qu'on s'était plu Electrique à '849 -et/4.110. Le conseil-'de. 235.5 20 h. 30 Nice-Juan-lcs-Plns, 248 m. Con cet'te dernière société.a décidé de porter cert. ' Semblât) 5 Maholnet,51- (A, Chéret) ; Mi tent celtes, plus particulières, qui tien» à reconnaître en elle pour-l'avenir; le capital 20 de à, h. 45 paris P.T.T., 447 m. Vieilles <65 100 millions l'é roir 51.'(M; Arlello) ;. Hall-uolné 40} (R. nent à l'êtat-du marché des capitaux et En outre,, le. pouvoir d'achat a été, slt mission, bien près-du pair, de par chansons Vincent),: Sibylle-401 (G. Garnie^ ; ,Sln- à; la situation monétaire. 140.000 : -La Lune (Daloroze) : Les vie actions brisé, moins amoindri. La non au (Dupont) Carriers' fra 49}: (À... Reinette). ; Sabahall. 491 (J. de ; Les Chimères (Pri quelques nouvelles 250 francs. Pour le présent, et depuis chère accroit ses ravages au sein de l'é vas) Sous tonnelle la Dodson). (Couard); Tou; Les transactions continuent de déjà, boursières conomie générale. Ët le paradoxe est cu transactions mois les — Jours des désignons Atlantlfc Fllght, (Densa) Nous roses Queen souffrent de la concurrence très active ; Chantez : > valeurs, d'animation-les de manquer, sur (Lejollvet) constater, fileanor» rieux -printemps Grenier d'une part, Le farines une navigation. • ; d'actions et grandedeabondanoe de moyens de paie (Béranger-) .; ' Les Cërlses (Dupont) ; -— Aux canaux, le Sues est Prix ,Tie Lo«(rpré, v- l0.000 francs. — que leur font les émissions La chanson du Rouller (Renard) ; Mé2.100 mètres : .Llbourg 58 (N. P.) ; Lllas surtout les placements d'obligations. Au ment, dé capitaux liquides qui regorgent en recul assez marqué à 18.250; . . après Blés valeurs lodle (Audran) ; Envoi de fleurs (DelLes industrielles, 54 (F. Pécharman) ; Melahlor-51-.(J. Mé- trement dit, l'on paraît être entré dans clans les dépôts des banques, — . , met) une mon avoir nard) : IieCandçrquet 61 (R. Brethès) i une période plus bancaire que boursière. tée des prix et des budgets de participé-à l'accès ; Au pressoir (Monnler) ; La de faiblesse de plus en l'ensemble -du-marché, ohanson Capio 51 (tr.'"tâché)' ; Azalaïs 51 (N-. p.) t. des heures (Privas1) : Le* Lé même l'avenir, crainte du sont'redres Pour une se plus lourds, d'autre part, avilisse vite (Vlmeux) un d'Esttoutael Ka Ou T.ôl- (if. Rabbe) ; Cas ; Chanson des Larmes Avofnes fait jour. Comment, en effet, ment du loyer de l'argent et un fléchis sées assez nettement (Privas) Deux St (G. Bouillon) ; Pont A-ve. 61 (P. D.) ; ordre secpnoevoir ; cœurs (Fontenailles) ; toute une partie sement du rendement des valeurs mobi —• Les valeurs d'électricité ont compté, que La Jalouse (Botrel) Allobtogé 51 (t. Tur&erh; Der. Nan. 49à ne pas ; Le roi d'Yvetot oette semaine,- au - nombre de celles qui Seigles (Béranger) ; La voix des chênes (Oau(K. P.)., : S. Pe. ,VII 49} (R.' Luquet) : des dégrèvements/-r- ceux qui soulagent lières. Maman, ! „ ont montré le plus- de. résistance .les titres étrangers.—; à pour bût prot Mlrella 48 (N. P.) ; PareWell 48 (R. Bè- bller) ; La Berceuse printanière (Pri Mouvement de» cour9Benolst-Mary vas), xïeè Thomson, M. dans son réper; i;Q98 ; Distribution,, 2A30vi ûhe) : Dalmatlë 48 (W,' SibbrlU) ; Mes .clamé,- 'd'orienter une' latge pârt Quelle joie pour la bonne maman d'ap tQire scènes et -t-'Les Rentes française», après di- Energie.du Nord, de la France,, 1.192 ; lyonnaises. sagère 48 ^G, Nlnot) : P. Borgh. 4Ç {G. abondante^ disponibilitésentre Jes mains ses, , . 20 Radlo-Bénlers, prendre h. 45 fl. iter^es,fluctiiàtionS., 219, Concert. .au-depVatard)-.-....a que son grand fils, dont elle est:si 6ftt terminé m. Electricité et Gaz^du Nor&, 1,2609 ; rqpubliop-ivers»les jflafcements exté du*v.' j-;. t. ^TENDANCE - ,• DXI .MARCHE " ' Bordeaux-Lafayette, flére, 30 h,' 45 vient dlétre -nommé.à un poste-Im 304 Con« ' d'Estournel, m. Nous désignons : Cos huitaine, Le rieurs ?,pomment ne pas discerner -que ;sous.de leitts cours de . à 'î'ex- tiôns et parts Jeumont, „862 et 2.Ç8Q, ; vê&du, é certi portant. Son' }Oés temps derniers, -d'activité et de Canderquet, •• : ' " nous oepitlon^des' avons 1920, 6',% Energie 1 industrielle, 525." tes bénéfices 6, bonne santé.aapparenoe Bl:hJ Petit donné direc 'l'Angleterre; tnal blés oonfiance d» Prix de Chcvreuse, — (A-vendra). —: .cette ^opération de déflation, expreSsé' 192.7 et. 5 % /emprunts 1 Parisien, 829 m. Concert t Ou pas pays aux 1928. Un facteur, dont il-y d'exploitation, de l'Energie industrielle, eaandln'aves,: ft 'tl'Italie etvà' la Suisse. Ces verture 'dû- Carnaval de Venise (Amb. teur, de l'entreprise, qui a tout au de suite t.600 frahes. —; 1.600 mètres Badabent, a-' lieu-de tenir compte est-la: mise 'en pendant le mois de mars; sont en aug ventes! jointes à des offres plus nombreux - Thomas) 'i Joyeuse Vienne (Johann: compris qu'il aurait là un collaborateur (W. Sibbrltt)Négton 62 (A. KelnetStrauss) ; Illys (Louis Ganne) ' ; Jon- sur lequel 11 pourrait compter. application -prôdiaine des Assurances, mentation de 23 % par rapport à ceux ses de la oulture.-.notamment dans le Cen "(G.-Rowla^d) ie) ; Careste 61} ; Pauline cap) ; -<* 15.000 franco. — 2;5Ô0 mètres; t dafls Faites de vos fils des hommes sains, ro- 1 tre UOuest, malgré ' et provoqué, Appoint âorghèse sociales, qui: fournira inté ont ny mène la danse - (Krének) ; Alle <G^ Vataïd) ; Briscard. II Nil 56 (N. P.) : Mythè 54} {L. CordellL: du même mois de l'année précédent?, un valse les syndicats gretto flûte achats (Godard), bustes, des et actifs, au sang généreux, aux nerfs ,'.agricoles, et pour une 39} (J, Hleyte) ; .Lugano 68}« -(R; Ixet- Prohtigna 64 (V. d'Etat; Flora)' : Diplomate 53 ressant au marché de nos forids . Voir la suite en sixième page baisse orchestre (M. notable prix, Lavalllotte) bien des la meunerie Ainsi vous leur ferez don de Danse trempés. mond) i Trirème . 68 ((J, Elissetche) ne ; moins" du verser (B. Trémeau) Pavot Pourpre 53 (P. D.): puisque la* moitié manifestant toujours que dès besoins très d'Antar (Dupont) ; Cortège burlesque ce qui contribue le plus au succès dans la ii'Ousse 65 ..(®i Hervé) ; Garonne 57 (P. White CloV. 63; (N. f.) ; Va Sans Crainte ment annuel de 10au% portant suîi»6Q restreints. Toujours aussi, la farine:-se (Chabrler). vie. ' BANQUE NATIONALE FRANÇAISE Barreau). ^ Pani 66 (-R. TrémeaU) : Trl- 62 (C.-H. semblât) ; Ealko 52 (G. D.ufot milliards de salaires, soit : -.. . une sommé vend. n\al.' la tendance",-est.faible, v 21 h. Marseille P.T.T., .316 m. Concert. Sans doute, vos,. enfants traversent des >(H. jPanttill) l Kermebel H rets) :. t>llcata ; Anéres 51 (R. Reinette) ; Pépin la de $ milliards,-doit être obligatoirement Les offres d'avoines sont plus libérales, 21 30 Nice-Juan-les-Pins, h. périodes 248 Danse. dangereuses Pécharman) (F. m. Pli COMMERCE EXTERIEUR pour leur santé. A • ; Héllciana,53} (N. P.) ; Bref 51 (J, Cornut) : Enfer 48 (G. Va* -ét surtout: dans ^e Centre . ^remployée dans l'Ouest, et l'époque rentes françaises. la de croissance, notamment, Betty 58}r;4Gï 63V:fG, Iana etty Dufores) ; en 63} (E. Ler tard) : Reine des tireurs 46 (N., fi.) I ' la. vente en. est malaisée. Il -n'est pour • ETRANGER parfois &po-< les s'affaiblir. très s'étioler, 46} vous iux) Marché calme ions Obli* -49 (J. Lyon) Lady Llan " et voyez ( roux1 ; ; en La Puria 45 (N. P.) ; Soldeur 45 (R. Vin* —* ainsi, ,fluestlon,d'affaires dire .12 h. Londres ./régional), .356 m. sei de Concert. p?s C'estmoment difficile l'usage undes (A. H.. LMialIeJ. que gâtions à court terme du Trésor, en -'m- L'Assemblée,générale, de la Banque Na gles. lies .acheteurs tie sarrasins sont peu .12 h. National Daventry, 1.554 m. -4. Bal-. Pilules Plnk leur cent) ; Mottocle 44 fM, Béguirlstaln) ; La franchir permettra de Nous désignons : Pauline BorghèSe, Ga Llzaine 43 44} (H. Bignoret) ; JDem. Nan. prunts , gagés par des annuités de. l'Etat tionale Française :du Commerce extérieur, nombreux,<Pas de transactions en orges. - lades. défaillance,.car les Pilules Plnk enri ronne. titres du Crédit National. i f J. Chevalier) ; Dol. King 42 (R. Bêche) : tenue le 3 mai, sous la présidence de Les escourgeons; sont négligés. Le marché 12 h. 30 National Daventry, 1 554 m. 4. sans et «n chissent le sang, retrempent les nerfs et Produits. (PouW Prix Penelope. — dfe fonds étrangers, l'activité est M. Albert Buisson, a -approuvé les comptes dea mais, est plus -'calme, parce qu'on at — Pagode 42 (R. Bèrihe) Rosace 40 (A.-P. Orgue. Aux donnent Poullches)«"-v«, 4 ûiOOO.francs. — 2jOOO. mè Robin) ; Nois. II 40.(A.; Bunlcer). une puissante impulsion à l'ofga" .l'exercice 1929 qui font apparaître un tend des mats nouveaux de là Plata et 13. h. National Daventry,' 1.554 m. 4, Mu Blâme épuisé. de nulle. Cependant, les turcs presque Lrtj-VoulEie'ee, P.) Command, <N. tres : -•« — ; * Nous désignons Antres, Enfer., qu'on offre concurremment des mais des de : '8.526.868 francs. sique légère., M. G. Papy, demeurant a Raynaud, com ont été l'objet d'une reprise appréciable, bénéfice 86 (N. P.) Jï{ ' Pro. Pstria' 56 (Ci^H. Sem ' Prix Samouraï. : 10.000 francs. 1.600 Landes. L'Assemblée décidé 474 14 h. Daventry, m. Musique légère. a - la distribution — 56 (V. Flora)— Ker l'Unifié à 66 et le 6 % à 57,40, mune de Mayrevllle, par Pech Luna (Au blât) r-Minerve III 56" (N. P.) : El Goléa mètres : Merle Blanc ' d'Un dividendo brut do 8 %, soit 10 fr. Notre marché sucrier, qui avait long National : 30 Daventry, 16 h. 1.354 m. 4, de) est très satisfait des . Pilules Plnk. 56 (N. P.) : Diadème B6 - (C. ElUott) ; mebel 56 (F. Pécharman) : Momentln 56 le Dans compartiment des banques action, payable à partir du 1" Juin temps résisté, dans une certaine mesure, Orgue. : Etant très affaibli et Merveille 56* (N.' P;fFinsovino 56 (L. (E; Haynes) ; Le Vin Ch. 66 (J. Marshall)! françaises, -de faibles tendances ont pré par souffrant beau « à l'ambiance lourde des places étrangères, 17 h. 15 National Daventry, 1.554 m, 4i coup de prochain, au Siège Social de là Société et de CordellT i-iyblennè 'ÈS- (N. P.) ; Manieurs Huit Sovis 54 (J. Lyon) Bois de Rose 54 valu déclare tête, M. Papy, ce maux gé parait laisser gagner par la faiblesse se Violon-, aux guichets & Paris et en province des au début de la semaine, mais on Bftnques les sont Pilules Plnk rétabli mesqui ont 56 (N. P:) 'Pût. Marml. 66 (N. P.) ; Mé- (M. Dairé).. ; Amenemht ; 54'. (M. Bonaven* nérale. La baisse été, durant suivantes toute la y a 18 h. 40 National Daventry, 1.554 m. 4, forces. >~* : hall 6 6(W P.) ; Fata Môïg 56 (P. Keogh): ture) : Galérien 54 (N. P.) : Cagnea 64 a regagné quelque terrain par la suite. Banque de Paris et » des Pays-Bas,-Crédit semaine écoulée, régulière,- sans réactions,* = Musique de Mendelssohn. Les Pilules Pink donnent journellement Parth f. 6v. 66 (E. "Goldin) ; Tea Party (N. P.) : Porte Dorée 51 (N. P.t ; Zlpa On: a fini, cependant, au-dessous dès LyonnalB, Comptoir ' National et la olôture de vendredi s'est faite en lB h. 40 Daventry (Midland régional), 479 d'Escompte des preuves de leur efficacité'dans tous les 66 (N; ;P.)îilberti'n III 66 (N. P.)': Jo-. . 61 (S. HochetJ : Helvellyn. 51 (L. Rob- cours d'il y a huit jours. — La Banque de Paris, Société Générale, De Neunlze reoul de 6 & 8 points en moyenne sur Concert. d'anémie, neurasthénie affaiblisse celle du'samedl -précédent. C'est la coq- 19 m. cas conda 56 (N, fi.) i Miss Mous 56 (N. P.): son) Mi'Amourot, 51 (A. Chéretl ; Manl- de France est restée à 241240 ; le Crédit et Cle, Lehldeux et Ole. ' National h. Daventry, 45 1.S54 4: , m. général, troubles de-la croissance l ment ktide 56 'tIi,.' Wche) r frifega 56 (N. P.) r cure 51 ' îR": Vlnc'ën't) : 'Tram. II 51-.(Ri Lyonnais b, 3.125 ; la Banque Nationale Le report & nouveau s'élève â, 7.261.196 séquence. de liquidations de positions re et Concert. : . du d'ftge, retour d'estomac, de Tîoney.Swe 56 (E. Bouillon) ; Marylebon Daniel) : Jolly GlTl 51 (R.. Brethèd) j de:Crêdit à 1.820 ; la Parisienne de Ban-- francs. portées jusqu'ici depuis plusieurs mois. maux maux 20 h. Londres (régional), 356 m. Orches tête, épuisement 38 (C. Bouillon) ; Carinosa, II 56 (W. Clia. de F. 51-.(N P,). nerveux. L'Assemblée renouvelé' le mandat tre.. • V* gue à 550. d'administration a* conseil Le f En vente Seanlan) : B&rmen 56 (N. P.). toutes Dé* ' aans Merle de cette dernière, dans d'administrateur — Nous désignons : Le Vin Chaud, de' Fermé Ader, Daventry :' MM. Solssous (Midland 20 h. et régional), 479 pôt Ph ls P. Barret, 28,les pharmacies. : A Leury, prés de Sols— sa séanoe du 29 Poirier. Paris. Nous .désignons ; .Carinosa 'II, Flneovl- Blfttto. Ballu, : rue M. Marie Gaston, 45 ans. débitant et m, Orgue. avril, a décidé que le dividende brut de Toutes les résolutions ont été adoptées sOns, francs boite, Ub. 8 la francs Demain! 45 les 6 boites, plus ÇonrscS à Enghlen. tué Mardi conseiller municipal (régional), : s'est d'un 21 h. 05 Londres Bal 356 coup m. — 30 fr. par action, fixé pdJt.'.du Val Saint-Martin. — (Handl- La Morlaye. J 0,50 de par l'assemblée a l'unanimité. timbre-taxe par boite. de revolver. 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15
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à92
part.2
Sucres
j'ai réussi
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à totti cotsp —69—
Feuilleton du Petit Journal, 6 Mal 1930
LA MAISON
sans enfant ffrand-roman passionnel et dramatique ' .
par Maxime La Tour
J
TROISIEME
PARTIE ; LA FAtfTE DE SIMONE ÏX. — Césaire agit (suite) . , . Mais Je ne connais pas M. Privas,, je 11'ai que faire de son nom et de sa for .
!
tune, et je ne me pardonnerais jamais d'en profiter au détriment de sa femme. Du resté, 11 ne sait évidemment rien de" tout cela, lui ? • . u Sans -doute,- sans doute, fillette; mais, je t'en'prie, ne te fâche pas, c'est mauvai* pour le lait. • - j • Ah ! qu'est-ce que cela peut faire — quand il -s'.agit de la vie, de l'honneur • d'une femme !- Papa Césaire^ vous devez révéler au* juges- ce qué vous savez/ vous Élevez tout, dire pour innocenter cette malheureuse'.
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Tous droits de reproduction, traduction, tatloris.tBpâtràlea et cinématographiques, adap.émis sions--par T, s. P. réservés pour tous pays. Copy right by? &f*xûn0-Lfe Tout 1930.
public, à l'égard- de l'accusée, allait sin X. —<• les- assises-. gulièrement faciliter la tâche de l'avocat Aux assises de là Seine, le- procès de général, qui, sûr d'emporter '"une coïidàmSimone Privas s'achevait,dans une atmos nation-sévère, ne se donnât même pas la phère de bataille, devant un auditoire où. peine de requérir longuement, puis se ras-, lè Tout Paris mondain côtoyait de nom seyait au milieu d'un concert de. murmu breux représentants du personnel du res approbatifs, à peine réprimés par le
Déjà le président s'en était emparée et y Vous avez demandé à être entendue » J'étais persuadée que Simone ne pou— délibération, jetait les yçux.. avant .toute de. messieurs .les. vait ou ne voulait pas en avoir. / , . est là demandait le Cette ? président. jurés lui le demanda ? personne » Il était de mon devoir d'apporter un — président & l'huissier. Oui, monsieur le président, fit Thé rejnède à cet état de choses, Notre maison, — — Oui, monsieur le président, et elle in rèse Privas d'une voix légèrement étran notre fortune devaient avoir un héritier. siste pouï être entendue avant que" le Jury ' glée. » Un jour, en visitant |a crèche de nos ' ,. Elle dit-ell«f, délibère. apporterait, des . ne magasins, je me trouvai devant un bébé Puis, haussant le ton, elletajoutait . : « Paradis Terrestre ». président. -éléments nouveaux à l'information. exactement trait pour trait à J'entends:ainsi revendiquerla part de ressemblant L'interrogatoire de la jeune femme avait Le défenseur de Simone avait. alors a-t-elle fait Que connaître lors les ne — fils lorsqu'il avait son âge. Cet en — Responsabilité qui m'Incombe dans le ftion. été bref. entâmé plaidoirie. de audition ! observa le prési première sa sa .< fant, devait, coup sûr,,être quelque fils ... Julien Martin. de .Elle avouait avoir assommé Julien Mar 'meurtre ' Messieurs de la cour, messieurs leâ ' dent tout faisant aVec humeur, en un ; — > de Jacques. Je me renseignai Sur dansl'auditolrô naturel tin et se déclarait prête à expier- son. jurés, Simone Privas a tué Julien Martin geste d'acquiescetnént frémissement à l'huissier. Un courut son compte. Sa mère Maria Dalerme une crime. pour se défendre contre les entreprises de r' -Et plus bas, de façon à n'être entendu -tandis que Simone Privas, à qui l'appari de nos employées, n'était pas mariée et ne Sur le mobile de celui-ci, elle demeurait cet homme qui voulait abuser d'elle... - que de ses assesseurs, il ajoutait : tion de sa belle-mère avait paru causer la nommait le père de son enfant. D'au obstinément,.. - farouchement muette, se Et, étayant son argumentation d'abord. — C'était bien la peine de produire "n plus profonde stupeur, la considérait avec tre part, pas elle était chaudement recom contentant de nier avoir jamais été la sur le passé, l'enfance et la jeunesse de Si certificat médical constatant qu'elle était une sorte d'égarement. mandée par mon fils, qui l'avait engagée, maîtresse de l'aventurier.. venir d'état hors de déposer... les qu'elles exemples avait entendre, fit prémone, sous La le eus lui-même; cour - - - va vous comme vendeuse. Tout cela n'é .. quelques té — raison les En de ses aveux, puis parfait les le bonheur quê-l'huissier qu'el "disparaissait > Pendant yeux, sur tait-il pas probant ? Je me mis à chérir v . un «ident.: ' moignages qui s'étaient ensuite fait en le avait donné à Jacques dans un ménage instant,-tous les' regards s'étaient fixés Ét cet enfant et je tentai de confesser la mè lui ayant rapidement fait donner ses tendre avaient été complètement dénués partout cité en exemple, ïl avait réussi à sur la porte qui venait de lui livrer-pas prénoms et qualités, puis prêter le re.* Elle était jolie et charmante," mais ne nom d'intérêt. habileté établir, était qui train allait où avec une apparaître le témom en semblait pas comprendre mes allusions, sage et par il' demandait : Qu'auraient pu apprendre au- - jury des de ramener à l'accusée une bonne partie de la dernière heure, annoncé à la curio serment d'usage, à diré que nous' ne sa mes insinuations. témoins qui n'avaient assisté à rien et ne des sympathies, que la jeune femme était sité générale. , — Qu'avez-vous 'déjà? Mon fils, de son côté, ne parlait de > chions pouvaient -parler que de • menus faits aussi Incapable de tromper son mari que Celle-ci n'allait p£s être déçue. et continuait à entourer sa jeune ayant soit précédé, soit suivi le crime. Maintenant « la- grande patronne » s'é rien de tuer un homme- à moins que le se Après quelques secondes d'attente, on d'une amoureuse attention. Il fal Mme Thérèse Privas avait-fait produire cond de ses actes n'atteignît précisément voyait en effet sûudajn se dessiner sur le tait ressaisie et plus aucune trace du trou femme lait à tout prix désunir couple stérile -un certificat médical établissant' qu'elle un homme voulant la contraindre au pre ,'seuil de la salle, une Silhouette haute et ble qui l'agitait tout à l'heure ne subsis pour reconstituer l'autre, cecelui dont Dieu était dans un état de santé lui interdisant mier. mince, bien connue de tous .les assistants, tait en elle. > avait béni l'union. la barre comparaître été où elle avait de à Le défenseur s'était rassis à son banc au qu'ils appartinssent à la haute société Voilà ! fit-elle avec l'autorité qui lui — coutumière. .milieu d'un brouhaha » Pour cela, je mis tout en œuvre ; mais citée. que le président, parisienne ou au personnel du <1 Paradis était J'étais désolée de ne pas :j'avais faire, rien ne semblait devoir On se- contenta alors de lire sa déposi malgré sa très réelle autorité, , était Im Terrestre V. avoir de petits-enfants. Mon fils unique écarter beau l'un de l'autre des époux, restés tion devant.le,-^-juge • d'instruction : un puissant à réprimer et qui l'empechait de ; Cette silhouette n'était autre que celle était cependant marié depuis près de dix aussi amoureux qu'aux premiers temps de exposé sec et banal de ce qu'elle avait re lire aux jurés les questions Sur lesquelles ils de Thérèse Privas. ans. Pour hioi c'était un chagrin constant. -leur mariage. marqué d'inquiétant et de suspect dans les allaient avoir à répondre dans leur cham Très pâle, visiblement en proie à une J'ai rendu ma belle-fille Simone responsa relations de sa belle-fille avec Julien Mar bre de délibération, quand on vit l'huissier émotion qu'elle ne parvenait pas à sur ble de cette stérilité. « Pas d'enfants » > C'est alors que j'eus recours à Julien Martin. tin. audiencier s'avancer vivement .vérs le tri monter, la-« grande patronné » s'appro n'est-ce pas la devise de*bëaucoup de jeu Une atmosphère d'animosité, chez le bunal, une-carte à la mala. cha de labarr». nes femmes modernes ? U suivre) - •
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REPRÉSENTE Revue économique et financière (Suite) Les valeurs de métallurgie ontbat, — tu en retraite comme les autres, mais elles se sont un peu reprises, aux der nières séances : ' Firminy, 600 ; Forges et Aciéries du Nord et de. l'Est, 1,620 ; Aciéries de la.Marine, 1.530.- Traitant-de la situation générale dans sa revue mé tallurgique, l'fcIsine expose « qu'en ce qui concerne la métallurgie européenne et particulièrement" celle groupée dans te pacte de l'acier, il y a lieu -de consta ter que le ralentissement, de la produc tion est relatif. Les chiffrés tjonnés pour le mois dernier étaient; en effet, appro ximativement les mêmes que ceux du début de l'année dernière. On se trouve donc en présence d'un ralentissement dans l'accroissement de la consomma tion bien plus que devant une crise vé
ritable. Ce ralentissement a été d'ail leurs, Jusqu'à présent, encore peu "per ceptible pour le marché intérieur fran çais *. — irrégulière Tendance sur les titres de—produits chimiques. Quelques-uns d'entre eux ont bien résisté, par exem ple Kuhlmann à 1.084. — Citons encore, parmi les plus animés, les actions et les, parts de la Compagnie belge des indus tries chimiques à 403 et 4.575. ••— Résistance des valeurs d'automobi le : les «étions et les parts Citroën ont terminé à 990 et 316. — On mande, de New-York que la si tuation du marché du cuivre est obscure. Des ventes ont lieu aux environs de 12 cents la livre et une grande indécision règne parmi les consommateurs. Affecté par l'ambiance défavorable de notre pla cé, le Rio Tinto est revenu à 5.110. — lies autres cuprifères ne valent guère mieux : Tharsis, 572 ; Tanganyika, 318. —Les plombiféres sont calmes et relati vement résistantes. — Stannifères tou jours très quelconques. — Les charbonnages restent, lourds : Courriéres, 1.567 ; Bruay, Lens, 1.280 695. — Signalons, cependant, dans' le groupe étranger, la résistance de l'Eka-
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Néanmoins, nous retrouvons la plupart d'entre elles-sans grand changement : lu,Central Mining à 2.230 ; la Goldfields à 270.50 ; la Rand Mines à 385 ; la . Transvaal à 205. légère amélioration des va Très • — leurs de diamant. — La De Beers a ain points à 1.145. si. regagné quelques Par contre, la Jagersfojitein a faibli —à ,
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Quintonine
semblée générale pour le lundi, 2 Juin 1930, & quatorze heures précises, salle d'Iéna, 10. avenue d'iéna, à Paris. L'Assemblée générale est composée des actionnaires, propriétaires . d'au moins vingt-cinq actions de capital ou de Jouissance, ayant, au plus tard le mercredi 28 mal, à quatorze heures, Jus-, tifié au domicile administratif de la com pagnie, l. rue d'Astorg, & Paris, du dé pôt de leurs titres, soit dans les Caisses administratives, soit dans les établisse ments et maisons de banque agréés par la Compagnie.
Pierre vivante taillée et sertie d'après
Semaine du 28 Avril au 2 Mai eoe tr ebs.t eas.7seos.s
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avec la vraie
sont convoqués en As
La Quintonine redonnede la santé.
COURS DES CHANGES
L'arbitrage n'a que médiocrement — soutenu les mines d'or cette semaine.
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ferme à 150 ; la Malacca et la Padang sont-quelcoqques à.252 et-835. Marchés étranger» New-York.]—Les affaires ont ,été sen siblement moins actives à Wall Street, au cours des dernières séances! Pour-cet te raison, la* tendance est plus irrégu lière aussi. ' ' i ; „ , . boursière'a Londres. Cette semaine été écourtée—d'un jour,,1e Stock Exëhan'ge'ayant; chômé jeudi pour le iBank hôllday. Les premières séantes: de la-semai ne ont été mauvaises 'et les : dernières plus' satisfaisantes, en vraison de .la lion ne impression produite par l'abaissement du" taux d'escompte de'la Banque d'An gleterre. • "'Bruxelles.'— ' L'abaissement "du taux d'escompte de la Banque - nationale - de •Belgique, renforcé d'une mesure'.sembla ble à Paris, à Londres et à New-York, a produit le meilleur effet.'. Les" valeurs spéculatives du terme se sont.orientées à la hausse et celles du ..comptant ont suivi.assez rapidement. V v
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240
UCT
Les actionnaires
la STAhDA 162 RueStlAUR PARI5X1
cars S. A. T. O. S.' les frais paysages.de la Vallée de la Seine a lieu les dimanches et jours fériés. Le départ se fait de la gare de Bouen (R. D.) à midi, en correspondance avec le'rapide partant de Paris-Saint-Lazare à 10 h. 5. On passe par Duclair (arrêt pour le dé jeuner), les Abbayes de Jumièges et de Saint-Wandrille, Caudebec, les forêts de Brotonne, de la Londre et de Grand-Cou ronne. Vers 18 h. 45, retour à Rouen où plu sieurs express permettent de rentrer à Fa' ris dans la soirée. Prix du parcours : 45 francs. Pour toiis renseignements complémen taires, s'adresser aux gares du réseau de lfEtat ou aux Bureaux de Tourisme des gares de Paris (Saint-Lazare et Montpar nasse.)
Officiers Ministériels'
t Boauséjour (pr. gare). lac; libre et bateau
PRfîPRIFTF ^ Enghlcn-les-Bains, 2, rue r&àUrnllL I Cco
401m. lit tic pCclie
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à p.: 50.000 f. Adj. ch. not. Paris 27 pr visit. s. place les mardi, jeu di, samedi et dimanche après-midi et à 31e Thion do la Chaume» not., 8, bd Sébastopol, loc. M.
mai. fc'adr.
Imprimerie du « Petit'Journal » 61, rue Lafayette Le gérant :
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