Le Petit journal. 06/05/1930.

Le Petit journal (Paris. 1863)

Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France

Parti social français. Le Petit journal (Paris. 1863). 06/05/1930.

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Natures mortes académies

LE VOYAGE PRESIDENTIEL EN ALGERIE

MOMENT CRITIQUE L'INDUSTRIE DES FAUX MILLET DU CONFLIT ANGLO-INDIEN

LES CONSEILS GÉNÉRAUX AUX ASSISES

dumont,1ïdivorgI

ienpeintre M. RAYMONDPOINCARE enbâtiment iàipit les chefs-d'œuvrereprend la présidence qui, par jalousie, tuer z le fiancé de son ex-femme Les répercussions du Conseil général condamné dans le monde hindou que lillelaienliliail est de la Meuse c hanteur qu'un el ancien C'est l'ajournement des réformes

GANDHIEST ARRETE

et coups de rasoir

I

-

C'est en regardant ; les « natures Le cortège présidentiel visite Boufarik"et Sidi Ferruch a mortes » que l'on se rend compte que la vie est bien difficile pour les peintres: Jadis, un artiste qui vou puis a rejoint le Palais d'Été et visité ensuite ia Medersa lait donner de l'appétit à ses admi rateurs peignait, avec plus ou moins de talent, un écroulement de vic LE SOIR, LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE A-PKONONCË tuailles. Parfois même, il dépassait son but. L'eau h'en venait plus à la UN GRAND DISCOURS AU BANQUET DES DÉLÉGATIONS FINANCIÈRES bouche, on éprouvait confusément une sensation d'écœurement*.

Que ce fût du gibier, du poisson, des légumes ou des fruits, c'était une profusion qui prouvait à la fois

l'exaltation et la gourmandise du peintre. Aujourd'hui, l'amateur d'art

n'a plus envie que le maître l'invite

LA SEINÉ

tXE

1

teint

qui a exaspéré le mouvementgandhiste «

-

De tranquilles yeux sombres. Un

petit homme débile, la face maigre,

aux grandes oreilles écartées. Coiffé d'un bonnet blanc, vêtu d'étoffe blanche/rude, les pieds nus. Il se nourrit de ris, de fruits ; il ne boit que de l'eau, il couche sur le plan cher, il dort peu, il travaille sans cesse. Son corps ne semble pas comp ter... Rien ne frappe en lui, d'abord, qu'une expression de grande patien ce et de grand amour. Il est simple comme un enfant, doux et poli même avec ses adversaires, d'une sincérité immaculée... » Tel est, peint par Romain Rolland» Gandhi, l'homme qui vient d'être arrêté près de Surate, sur l'ordre du vice-roi, des Indes, pour avoir mis en péril le prestige de l'Empire bri tannique et l'autorité de son gouver nement.

Dans une déclaration qui date de mercredi dernier, le vice-roi affir mait s» détermination de < combat tre sans répit les menées des agi tateurs ». L'arrestation, hier matin, de Gandhi dont on lira plus loin les détails — ne peut donc surpren dre, surtout si l'on veut bien se re porter, aux événements des dernières

aurait plusieurs milliers de fausses toiles disséminées en France et à l'étranger Il y

On peut être commissaire de police et aimer la peinture. Mais il ne semble pas tout d'abord que le goût de l'amateur doive servir les fonctions, du magistrat.

Ce. fut cependant son amour des toiles qui'permit à M. Belin, commissaire à la première brigade mobile, de découvrir l'importante affaire de faux tableaux dans laquelle se trouve compromis 3e petit-fils de Millet. En rôdant, en effet, dans les galeries et chez les -marchands de tableaux, le commissaire avait, en effet, appris que, depuis quelque temps les collectionneurs étaient étonnés du très grand nombre de toiles émanant de peintres connus du XIX* siècle qui leur étaient offertes. Les Millet, notamment,

à cinq ans de réclusion

Aux félicitations de M. Maginot, et à celles que le préfet lui adresse au nom du gouvernement,

l'ancien Président répond par des remerciements émus Bar-le-Duc, 5 Mai, — M. Raymond Polncaré venu de sa villa du Clos Sam-, pigny et M. André Maginot, ministre ae la feuerre, venu de sa propriété de Revigny, ont été, àym'di, les hôtes de M. Raoul Catusse, préfet de< la Meuse, qui recevait à déjeuner les membres du conseil général et,'ses collaborateurs. ; .

La séance,publique du conseil géné-, rai s'est ouverte à 14 heures âO sous la présidence .de M. Poincaré. Les élus cantonaux et le public, debout, applau dissent , l'ancien : chef de l'Etat qui a gagné d'un pas alerte ,'le fauteuil prési dentiel. . M. Maginot prend le premier la parole M. le Président, dit-il, voulez-vous — permettre, me en ma qualité de viceprésident du Conseil général, de vous dire toute la Joie qu'eprouVent nos • collègues de l'assemblee. départementale de vous voir, aujourd'hui, reprendre votre place \au .milieu de nous. Il n'est pas un de nous, en effet, U n'est pas un Meusien comme il n'est pas un Français'digne de ce ' nom, qui n'ait - été* profondément

à dîner, quand il voit un litre de rouge à côté d'un morceau de gruyè re, avec toulj juste quatre petites fleurs pauvres dans un verre pour égayer le menu.

Les pommes sont de pauvres pommes à la livre, tiquetées de grêle, les poires sont-vertes et les bananes pourries. Des poissons n'é talent que leur chair flasque sur une table : tout juste uir lamentable hareng saur. Les miches sont rem (Phot; p.'j:)' placées par un croûton et les nap meurtrier'-.-"'' Maurice'Dumont le pes-de dentelles par une pauvre et son- avocat. M' Siihon-Juqutn*, cctonnade raidie. il n'y a pas de (Voir, l'audience en deuxième page;> honte à n'être pas riche, seulement EÎ'REGINENSI il est peut-être inutile d'étaler un peiné, profondément angoisse BAILLY aussi, casse-croûte qu'aucun mécène ne de voir le.grand, citoyen que vous êtes sera tenté dç pendre sur les murs de éloigné par une cruelle maladie pen semaines. ramenant avec eux dant de longs mois des affaires publiques. sa salle" à manger, tant il craindrait Les fidèles partisans du Mahatma Nous formons le n'ai et: je vœu, ce vœu de couper l'appétit de ses invités.

Goulette et Marchesseau de Gandhi à « l'âme haute » — besoin le dire aussi. de est ardent pas que — Et dis/ des natures ce que je « sincère, pour que votre rétablissementsoit ont atterri hier contentent, plus en effet, com , ne se Boii^et mortes », je pourrais tout aussi bien au complet et définitif et, si nous formons 1920, de la résistance passive me en d'abord c'est en-raison M. Doumergue recevant les grands chefs arabes au Palais d'Eté ce vœu, de l'af le dire des femmes que les maîtres de la non-coopération économi et fection portons, ici, nous que vous car, offrent à notre examen, qu'elles Ils réclament au'gouvernement tous nous vous aimons bien, mais, aussi (De envoyé spécial) Pierre que.

Bordes, général, des notre gouverneur soient nues ou qu'elles soient habil parce que nous nous disons que la France parlementaires du département et des britannique l'autonomie ou « swalées. Pourquoi, généralement, sont- duAlger, 5 Mai. a encore besoin de vous (Applaudisse — La première.ajournée personnalités de sa suite,.est parti à 8 raj et le statut.de dominion : des présidentiel partifculiè» a-été voyage, ments.) et que votre grande -expérience, elles laides ? heures; en automobile pour Boufarik, où promesses ont été faites, pendant la chargée. rement votre dévouement,passionné pour le bien Je ne veux pas . entreprendre la Il semblait que tout ce qu'il y avait à il arrivera à 8 h. 40. Le temps est lé guerre, au peuple hindou, qui atten public peuvent vous permettre longtemps discussion d'un art auquel on «pour Alger d'indigènes, de Français de la mé gèrement couvert, ce qui n'est nullement dent un commencement d'exécu encore de servir utilement la patrie. désagréable,bien (Nouveaux applaudissements,)contraire, au. pour une tion ; la commission d'enquête rait me reprocher de ne rien con tropole, de colons ait voulu, dans ce.pre promenade à travers que Puis,. M. R. Catusse, préfet de la naître. Je. dis tout simplement : mier contact, extérioriser, d'un seul noup, La route nationale la Mitidja. préside sir John Simon qu'emprunté qui et 1 associé de tout cœur aux Meuse, n* • tout ce que leur cœur conte le• ;cortège — M. Cazeau et, & droite, M. J.-C. Millet paroles s'est « C'est pourtant Joli, une jolie fem enbloct avait fait naître sortir d'Alger mérite d'espoirs tant vice-président. du au sa d'enthousiasme débordant. " — me ! » et, sans me flatter, si les nait réputation beauté extraordinaire; de" publié n'a résultat le de pas La ville, encore elle-même s'était,magnifique dit-il, non seulement étaient nombreux, alors que ses histo — Je m'y associe, peintres n'en* connaissent pas, je,me ment parée, Ombragée- d'ormeaux argentés, elle ses. investigations ni, les mesures riographes personnel en mon toute blancheur -nom de au nom de de • ne connaissaient que six tous mes collaborateurs, et ferais un plaisir de leur en présen soleil éblouissant et de couleurs-vêtue; serpente d'abord entre des mamelons qu'elle préconise mais aussi au en vue de remé cents toiles du maître de Barblzon. du gouvernement République de la nom ter.

Lorsque la nuit fut venue, Alger parut couronnés de pins dominant : par instant dier à la situation actuelle.

Sur- ces entrefaites, M. Millon, juge tout entier et, en particulier, au nom de Aussi Ja plaine, merveilleusement cultivée' de a-t-on Les académies qu'on nous offre d'instruction à Melun, fut saisi d'une son chef M. André Tardleu, président du pu voir d'abord Musul plainte la Mitidja. qu'elle traverse.. aujourd'hui ne risquent pas de nous provenant d'une grande galerie Conseil des ministres. La joie immense La ligne mollement, ondulée de l'Atlas mans et Hindous oublier pour un induire en tentation. Je suis per d'art de nous éprouvons-tous à. votr' le prési l'horizon. ferme.

La population de Bir- temps leur séculaire rivalité reli petit-fils Londres, et dirigée contre le que dent reprendre son suadé qu'une fois sur deux, c'est de de Millet, M. Jean-Charles siège Raymond Poincaré manoreis et de Birkadem que l'on ren gieuse, et s'unir dans la lutte com Millet, l'assemblée sein de départemen , au là diffamation, de la vengeance, de contre avant Boufarik manifeste cha mune en faveur du swaraj Puis, galerie 3S ans, courtier en tableaux. La tale ne peut trouver, son égale, j'en ai « aurait confié à M.' Millet deux la certitude, . ». leureusement son enthousiasme au pas intensifiant leur action, la cruauté ou une sorte , de détes celle qu'ont res dans. que sous la di reproductions de, Bodin pour les négo sentie la France entière et le monde civi table sadisme. sage du Président de 'la République. :Ne rection de Gandhi, ils ont, à titre de cier, et elle, ne pouvait obtenir ni.1la res lisé à. la nouvelle de sa guérison. (Nou serait-oe la présence des figuiers de Bar Il suffit d'aller au music-hall, titution des œuvres, ni le règlement de veaux applaudissements.) Nous nous ré barie et des aloès, le paysage -des cam jouissons profondément de voir notre pour savoir — sans arrière-pen compte; M. Millet a ".déjà eu maille à président pagnes -plantées de vignes - coupées 1 de cette chère Meuse, à, sée-qu'll-existe encore de belles partir avec la justioe : il a été condam- Sampigny,réintégrer.

-hautes barrières-de cyprès .A J'ombre, côtés de Mme Raymond. aux né-par le tribunal -de "îa seine -Ét-ff -mois Poincaré qui s'est si affectUeûSeiftfelit filles et que, sans les peindre avec desquels -on découvre s. des mas 1a: lêsiens, 'dé de prison pour abus de confiance et à vouée, comme toujours, pendant sa'mala à toits plats, on pourrait fcroire qu'on des produits de beauté, on pouri'ait 200 francs d'amende pour émission de die, et, que je tiens à, saluer d'Ici bien n'a pas traversé la Méditerranée. . les intecpïéter. sans les trahir et ne chèques sans provision. Il est encore respectueusement. .(Applaudissements.)

Cette impression est encore plus forté , pas laisser supposer à nos héritiers , Boufarik actuellement à dontîl'allée sous le coup de plusieurs Très ému, M. Raymond Poincaré ré- : centrale est-plan* sqûs légères, robes il des n'y a que, poursuites tée de platanes aujourd'hui, presque cen pour des délits analogues.''' pondit en ces termes.: v des «malades, des que pauvres corps M. Millon transmit la plainte de la tenaires. i — Mes chers collègues, je suis profon-, De g. -à dr. : Reginensi, Marchesseau. chairs déformées, verdies, et toutes maison de Londres à -la première bri dément touché des paroles qu'ont bien Boufarik Ballly et t jGouiette gade mobile- et M. Belin, dont l'atten voulu prononcer à mou adresse M. Magi prêtes à se décomposer. tion était déjà éveillée, procéda à une not, M. le préfet, MM. Honnoré et Sesnet.

Boufarik,. petite ville de 13.000 habi L'Olympia, de Manet, est tout de (Voir le texte en deuxfèmé .page)» Le monument de Boufarik' .

Après de longs mois d'absence d'in et tants.-est enquête. si en-effet .. . des Au types les de plus leurs recherches, cours . un xnême> une belle gosse, si j'ose m'-exde-vous im les policiers furent amenés chez un action forcée, je me garderai pirimer ainsi ! Je ne veux pas parler encore plus .somptueuse,"plus fascinante. parfaits de nos colonies agricoles d'Al mais discours,: portuner d'un .vous me UN MOIS AVEC-LA LEGION ETRANGERE Les illuminations pittoresques, et par gérie. Située sur la route de Blidah aux commerçant du quartier Saint-Lazare, permettrez certainement de vous, adresser d'autres peintres, qui n'ont plus ticulièrement-réussies des boulevards légendaires bosquets, de roses qui, d'ail M. Estève, propriétaire d'une toile de a tous vies excuses et remerciements, qu'une réputation de confiseurs, d'Alger- réunissent harmonieusement leurs, ne sont plus que souvenir aujour Millet Le Vanneur- au •bonnet rouge, mes excuses de n'avoirmes , pu assister à potre mais qui nous montraient des fem les procédés les plus divers.et les plus d'hui, Boufarik, en 1835, n'était que k qu'il avait achetée 230.000 francs et qu'il dernière session, mes remerciements non d'éclairage : .projecteurs; lieu d'un.- pauvre marché indigène. espérait revendre 800.000 francs à des seulement pour les sympathies par les mes dont on pouvait avoir envie, en modernes . . éclairage direct Boufarik-aujourd'hui et Américains. La toile était signée et son quelles vous m'avez accueilli tout à indirect, utilisation capitale viticole : tout bien tout honneur.. l'heure, des mats aussi pour le nouveau .de tubes Mitidja luminescents, la florissantpropriétaire néon: et centre et possédait de la certificat au. au d'au un Mais rhabillons les dames et témoignage de confiance que-vous m'avez pre tres gaz rares. culture- du tabac, et des agrumes n'était thenticité "que lui avait délivré M. Jean- donné à notre session, en me modèles plus chastes. nons des Cette grandiose réalisation est.- : due il y .a cent ans qu'un marécage pestilen Charles .Millet. Or, expminée par des réélisant en mondernière absence à cette prési Un de mes amis a fait faire le aux : grands: \ spécialistes Paz ' et - Qilva tiel, autour d'un marché et de quelques experts, la-toile fut reconnue fausse dence que je n'étais point, alors en étqf portrait d'une femme qu'il aimait — dont la .technique éprouvée-, et le bon arbres qui servaient de gibets aux Turcs.

M. Belin s'en fut: donc interroger M. d'exercer, ; et tous nos compatriotes Jean-Charles Millet. Celui-ci dut avouer. la sienne ! — par un peintre qui goût ont contribué donner;, aux, fêtes Le-maréchal Drouet Derlon y ayant.éta comme le disait M. Maginot, se,sont as .cette atmosphère de bli un camp, des- colons s'y Installèrent.

Une vie assez mouvementée ne lui avait sociés à votre manifestation de -bienveil* jouit d'une réputation récente. Cela du ; Centenaire avec un tel empressement, et ils joie-,et de .splendeur que tout-le monde Mais .la. fièvre décimait leurs rangs. pas apporté la fortune. Il avait songé, lance a fini par un divorce. L'épouse a admire m'ont tous donné des: gages sv émouvants et dont le souvenir sera présent En 1842 l'évacuation;fut décidée. C'est pour triompher du. mauvais sort, à se de fidèle considéré que le fait d'accrocher longtemps amitié, que j'ai, grand plaisir à Algérie. alors que le chef des colons écrivit au en servir, du qu'il portait.

Voici nom quel les comprendre aujourd'hui dans l'expres Gandhi cette toile dans son salon constituait La Journée d'aujourd'hui offrira à- M: gouverneur ces lignes qui ont été gra années, il s'était mis à > plagier des, sion de ma gratitude-. Le reste ques de ma vie une injure grave. Le mari avait Doumergue'.la .détente de quelques excur vées, sur ,1e. monument dessins leur, appartient et démonstration, de appartient violé grand-père à tous, loi la de la et à vous :son les venr mes chers collègues et ga dre beau répéter que dans vingt ans, sions dans les environsd'Alger. chers conci authentiques. mes cédant comme, Ce fut alors SI, à nos vœux vous daignez belle, déchaînant ainsi parmi les po — toyens, et compter le portrait vaudrait plus cher qu'un vous pouvez qu'il. sur départ Boufarik rencontra accorder Le les faveurs que nous-vous pulations hindoues un mouvement le peintre Cazeau, alors absolu et infatigable dévouement. mon nous par' "Pierre: Mac Qrjaiî poyr ' demandons, ' établi faisons dé' Chardin, la dame n'a pas voulu cé forts marchand nous nous de tableaux à Paris. ' De vifs applaudissements ont salué M. Gaston Doumergue, accompagné dé démontrer ce qu'on peut faire dans ce d'enthousiasme dont Gandhi n'avait der et voilà notre homme bien marri MM. (Voir la suite XXXII deuxième en peut-être page) prévu -Paul Bouisson, l'ampleur allocution. (Suite en Z' page.)

Doumer, Fernand pbys avec de-bons bras et du cœur. oette qui et pas puisqu'il se remarie et que sa pro des membres du - gouvernement, de M. .(Voir la suite en troisième page) surprit même les autorités de Delhi '-.J.'/ î '*. ; ' Dans quelques mois, au printemps '1 ' mise a dit en regardant le tableau : . lorsque des troupes j usque-là fidèles Nouveaux et graves désordres :•Des lions de 1931,' la Légion \ fêtera le cente d'Agen refusèrent l'obéissance. ... naire de' : sa créatio'n.'Un monument — Comment, mon ami, avez-vous MICHEL PRADIE universitaires vivre si longtemps avec une fem Entraîné par ses troupes, Gandhi pu qui. doit, être élevé dans la cour du à Madrid laide si L'inondation ?... leur avait rendu me semble renoncer peu à peu à ses quartier Viénot et pas ailleurs — oar Mais, comme elle a trouvé depuis, principes de « non-violence ». De la liberté mais échapperont-ils c'est la Légion se.ule qui l'a''payé'-— étudiant tué Un de la divorcée, des photographies témoignera de l'héroisme des légion graves incidents qui allèrent en se ; dix-sept blessés balles ou aux. pièges ? aux charmantes, elle tremble à l'idée que multipliant (à Peschaver, à Chittanaires, des anciens et des jeunes ,A Mai. Agen, 5 On souvient prochain qu'au époux ^oblige, se son cette occâsion la fête du régiment ne un Lorsque, à la Conférence de Londres, gong, notamment), amenèrent lord Perpignan, 5 Mai. — On apprend que; moment — . où le Tarn rompit digue joui- à son tour, à passer par la pa l'Italie réclamait le droit d'avoir sur sa Irwin à prendre la décision que l'on ce matin, à l'Université de-Madrid, de inondant-en quelques heures la ville de se> parera d'un.éclat inaccoutumé.' , lette de son peintre. sait d'arrêter Gandhi, après avoir nouveaux incidents se sont produits en Moissac la ménagerie: d'un cirque tut Il est à souhaiter qu'à. cette, épo mer autant de bâtiments que la France, : voudrais Je ne condamné ses principaux lieute tre les étudiants et la police qui a dû" surprise par les eaux et que quantités pas que l'on me il se trouvait des « rassureurs » pour que un peu de publicité soit faite.sur charger rétablir crût un très vieux monsieur à lu nous dire : « Ne vous Inquiétez point. l'ordre. pour nants. " de fauves périrent dans leurs cages : la Légion .toujours aussi mal conn ue. étudiants-sont montés sur le toit:; Tous, nettes, attaché à des traditions et La « parité » est une' question,.de pres Il va sans dire qu'il est, à l'heure deDes cependant, n'ont: pas • été victimes en dépit des efforts,qui ont été faits l'Université, où ils ont arboré trois du sinistre,. n'ayant de goût que pour des œu^ tige, d'orgueil : Mussolini n'essayera- pas actuelle, impossible de prévoir quel drapeaux car ces jours: derniers le par tous" ceux-qui écrivirent sur ce étudiants Les rouges. qui sta bruit répandait dans la région d'Agen sujet.' Qu'on sache bien qu^ùn hom se rancies.

Point ! mais je n'arrive de la réaliser ; l'Italie,.ne possède ni les seront les répercussions de cette tionnaient- devant l'Université ont vres des' rugissements mo que j de fauves ' étaient pas à comprendre pourquoi tant de les ressources techniques ni les ressour s'engage à la Légion n-èst mesure. Le prestige de Gandhi ne lesté les passants dans la rue!- Des in perçus dans la forêt qui s'étend sur me qui homme peintres font « laid ». croître, cidents financières peut du fait de son perdu, SI l'on éprou que se sont produits aussi à la Fa trente hectares autour du vieux Châ- pas un ces qu'exige .un ter effort,.» tient Les « rassureurs -«-devraient aujour : Mais, à la réflexion, cela « martyre » et conformément aux culté de médecine. La police a dû faire teau-fort: de Castelculier et.de la métai ve quelque surprise à surprendre peut-être à l'époque. Les peintres d'hui reconnaître qu'ils se trompaient réactions populaires habituelles en usage de ses armes ; un étudiant de ia rie de la Ligue. On juge de la panique. dans les-rangs ! de ; notre-infanterie Faculté de médecine a été tué et dix- Dans la .nuit : de-:samedi à .dimanche' le étrangère des' soldats qui. autrefois, pareil cas. Dïautre part, le déchaîne sept font « laid » comme les littérateurs s'ils n'étaient occupés en d'autres - do blessés.. capitaine de gendarmerie d'Agen et possédaient ce;que l'on,appelles-aine font** triste ». Selon la forte expres maines à semer l'Ivraie d'autres' illu ment des passions, l'intensité de la Le communiqué officiel quatre gendarmes armés de carabines de belle situation lutte ont atteint, après quelques se sion d'un critique, ce qui est gai sions. • il devient égale i sont mis M.' guerre se campagne. . en àussi. maines d'agitation, un tel degré pa n'est pas sérieux. Eh i Seigneur, on Le fait est que le fascisme italifen. Pradié, le jeune rugbymen agenais Madrid, 5 Mai. surprenant de con Le .communiqué pu Bielle les accompagnait et on mit com ment tout blessé blié roxystique le donne l'on naître la destinée des œuvres sérieu ayant conçu, une politique en-établit.les dimanche dans le match Pau-Agen, et de ceux -qui -fu par gouvernementaffirme que des me appât un mouton vivant. Les chas nous en peut se deman que éléments étrangers légionnaires der étudiants si les représentants ! pesantes présomp-, sont et dessous peut-être rent de la aux avant d'être -des de l'ordre mêlés ses ; avec des se qui a 'succombé hier à Bordeaux^ sans moyens. Il y a seurs ont clairement- entendu les! rugis manifestants. aux si compacts : des dessous dans les tlon dans le plan du fascisme, mais il ;y , sont en mesure.de falxe face à tou sements des fauves.à distance mais n'ont personnalités civiles remarquables. reprendre connaissance.

L'individu tué éventualités. parait âgé tes les quels tiendrait la petite cuillèr ! d'une tren pu les viser.

Dans le chapitre intitulé : « LâîLéu ; a de la méthode etdfela logique. taine d'années.

Il avait dans Il est question d'organiser une grande gion et la littérature >, j'ai cité quel ses poches Nous avons publié, 11 y a quelques des. papiers d'identité Mussolini ne croit pas: que les traités UN MÉNAGE GAGNE UN MILLION Nous avons eu assez d'embête de Guillau nom battue au dans forêt. la • jours, une déclaration d'un ancien me Crespo, ouvrier boulanger. Parmi les ments... et graves ! pour avoir l'en de X919- aient pour jamais-arrêté le ques ;#oms d'artistes et d'ëcrivaihs haut fonctionnaire britannique qui blessés, le plus grièvement atteint est un qui n'ont pas si « mal toutné » après vie de nous changer les idées, mais cours de l'Histoire. Et même il ne le mécanicien ouvrier Bordeaux, qui Mai; et'Mme est à.

5 l'agonie.

Le M. Checonsidère que depuis la grande in poste de secours a soigné également un ce n'est pas la mode. Nous ne tenons souhaite pas. La Société des Nations-lui nevaux, de Bassens,— 'près de Bordeaux, surrection de 1857 la situation n'au sergent de ville, un agent de police, un plus du tout, à notre réputation de paraît'trop faible pour empêcher à l'ave viennent de gagner le lot de million un et un chauffeur. Les postes légèreté d'esprit, à ce don de spon nir l'usage de la force dans le règle de francs au tirage du. Crédit Foncier. rait jamais été aussi critique aux In ouvrier maçon pansèrent également d'autres per voisins tanéité, à cette fantaisie qui,n'avait ment des difficultés internationales. Il Mme • Chenevaux. a été institutrice à des. contusionnées, sonnes » pas la prétention d'être profonde, veut que l'Italie soit prête à I' « heure Bassens ; son mari est employé -aux Il semble bien que les événements mais dont un mot était bien souvent cruciale ». Ses inquiétudes, ses ambir chantiers de la'Gironde. Ils ont trois des jours prochains ne pourront que Un formidable incendie enfants. confirmer opinion cette affirmées. publiquement autorisée. plus évocateur qu'une pensée réflé tions, il les a chie et tarabiscotée.

L' « Ere Nouvelle » croit qu' « il est a ravagé l'Etat de New-York Car tout se tient : la peinture, la difficile à des observateurs impartiaux littérature, le théâtre. Il n'y a rien, d'admettre que l'Italie augmente sa New-York, 5 Mai. entre aes futilités ineptes ou des puissance navale, alors que ses. besoins Un incendie s'est restent les mêmes, par simple , dilettan déclaré dans l'Etat —de New-rYork pre productions laides ou pesantes. nant soudainement des proportions in Toutefois, j'ai une idée person tisme ». ; «" ' ' quiétantes. Activé par le vent et par la nelle : c'est qu'au fond, cette façon Certes, Mussolini n'a rien d'un di sécheresse de la brousse, il se transfor réaliste qui calcule d'être cette façon de faire, ce n'est lettante. C'est un ma bientôt en un gigantesque brasier peut-être" qu'une crrence. Il est. tel non pas les besoins immédiats, mais les s'étendant sur une superficie de plus de lement difficile d'avoir de l'esprit ! besoins éventuels de l'Italie. Il serait ex milles.

40 .

Alors, on triche : on peint du cessif de prétendre qu'il 'préfère la Les autres points menacés sont : Cegruyère, on peint des bonnes fem guerre. Mais il s'y prépare. , darhurst, Young Club et Lawrence (Long-Island) ainsi, que la station mes en. pain d'épices, on fait des « Observateurs impartiaux », prenons réalités: aérienne de Lake-Hurst. ' Et conscience des aussi statues en fil de fer, on écrit des nous ne A Nashua; 1.000, personnes sont -ac livres et des pièces comme... nous attardons pas à' récriminer vaine tuellement <sans - abri ; lés dégâts sont Au fond, c'est si facile de ne pas ment. En ces jôurs où la France fête le évalués à .3 millions et demi de dollars. . acheter un livre, de ne pas aller centenaire glorieux de la xônquête alg'éPlus:de-200:maisons ont été détruites. voir une pièce, et de ne pas passer rienne, commencée par Charles X .et-ses dans les salles du Salon ou devant ministres, U appartient à'3a République /. ËN TROISIEME PAGE : ( les boutiques des marchands de ta de calculer les 'besoins futurs < de : la LA,DAME PREVOYANTE ; Paûr ,l'application du plan Young . . bleaux !

France et de les^ssurer* . .•ILÎni.drajne de famille clans l'Oise ' i Maquette dn monument de la Légion pour son centenaire « La Légion-fc .•*£ Cêsr.stmi doute parce qu'elle craint 4*arriver.-en. relarit.qu'elfe, m'a _ , Àe Robert Dieudonné. .

Monsieur La .Palisse, donné-rendeg-vouê à une station de métro qui n'eu pat encore terminé*. jeune fille assassinée Une en Gironde *es morts (1831-1931) »

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LA LÉGION ;

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•*.

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et son monument

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Aux Vérités hier matin est mort de La Palisse

Ce qu'il faut faire pour elle

^près

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avoir abandonné la capote kaki et la ceinture de ' flanelle bleue.

La Légion au lieu d'être un pré texte à des discussions enfantines et stériles devrait constituer l'origine d'un principe d'entente entre des peuples,que les événements et l'in térêt contraindront à s'allier dan? un avenir peut-être peu éloigné..

Cet immense creuset, d'où un homme nouveau ne tarde pas à sur gir, est nécessaire pour le monde particulièrement le monde européen qui devra ' prochainement compren dre les nécessités d'un nouveau pa triotisme, non sentimental,- mais d'affaires: La Légion étrangère avec ses quatre régiments d'infanterie, ses pionniers et sa cavalerie n'est peut-être qu'une anticipation, c'està-dire le germe de l'armée qujl com battra pour détendre là vieille Eu rope évidemment assez menacée.

Qu'on sache bien que le légionnai re n'est pas un bandit. Tous les élé ments existent dans l'alliage de la Légion, comme ils existent dans n'importe quelle collectivité d'hom mes qui ne sont plus des enfants.

Les traditions de l'arme leur impo sent. cependant, à tous, un esprit unique de bravoure et de discipline au feu.

Les grandes crises de fantaisie tra gique chez les légionnaires ne sont qu'exceptionnelles, et telles qu'elles sont, elles deviennent presque néces saire, pour ce corps qui subit jusqu'à l'exaltation lav poésie farouche de son activité. Il faut soutenir la Légion.

C'est-à-dire qu'il faut mieux payer ces hommes qui ont construit la plu part des routes du Maroc. Il faut surtout, leur donner un uniforme qui ne puisse se confondre avec aucun autre uniforme de l'armée fran çaise. Le jour où un légionnaire res semblera ;à s'y méprendre à un sol^ dat. d'infanterie, il n'y aura plus de légionnaires. Mieux, que pal- l'effet de toutes les propagandes dirigées . contre elle, la Légion disparaîtra.

Il faut donner a la Légion étrangère le tabac gratuit — comme à toute l'ar mée d'Afrique, d'ailleurs. Ï1 faut lui donner ce qui lui est nécessaire pour meubler ses ateliers de machines-

nos éc:ssos Les bons milliardaires.

— Il y a ae milliardaires; bons il y en a de mauvais.

Ces derniers sont ceu.\ qui n'ayant vécu que pour amonceier de l'argent, sont in» capables d'excuser, ou, tout au moins, de justifier par l'emploi qu'ils en font, l'afflux entre leurs mains de tant de ri chesses. Harpagon milliardaire est le plus odieux des avares.

6-5-30

Le Petit Journal

Se croyant menacé» La nouvelle affaire LA CONDAMNATION TIBERIUS FRIEDMANN un sexagénaire tue son gendre divorcé meurtrier avait tué femme d'un coup de fusil en vente traditionnelle et sensationnelle. des faux tableaux du sa On stock d'une série supérieure,

gros diminuée, en pur fil, au prix exception Saintes, '5 Mai. — Un drame de-fa nel de 10 fr. est également présenté à l'avait faire qui épousé Petit, rabougri, l'œil et le atone pour nez PREMIERE mille des plus navrants vient de se., (SUITE DE LA PAGE) l'occasion de cette exposition. Mamy, Duinont, long, Maurice divorcé qui produire dans la petite commune dç ce 33, rue Tronchet et 48, avenue Victor- • M. Cazeau, originaire d'Avignon, con pouvait plus de ami ne Nieul-lez-Saintes, voici dans quelles se passer son ex naissait certes la peinture. Il fut, en femme.

Hugo. . enrager son Raoul qui tua son rival, circonstances. A Nieul, vivait la famil e/et, tout d'abord peintre en bâtiment, Peyelfer,etfond dès est qu'il larmes le Duret. dont le chef est à peine âgé en de posséder ce qu'on nomme assis dans le box des accusés. Tout son AUJOURD'HUI puis, flatté soixantaine d'années. Cette fa d'une « un joli talent d'amateur », voulut interrogatoire va être entrecoupé de 11 comparaît aujourd'hui devant mille de cultivateurs jouit d'une excel LA FLAMME DIT SOUVENIR sera rani aussi faire des tableaux. H n'y gagna ni sanglots qui seront meilleure On en a connu quelques-uns de ce gen mée, lente réputation dans la commune. Il sa les jurés à 18 U. 30, par l'U. N. C. de Cour- gloire ni fortune. Et cependant, si con se... avec la faiblesse mentale, défen recon y a troife 'ans. la fille de M. Durst re, en Amérique; de ces milliardaires bevole. témoigne point de nue par le docteur Truelle. originale dépit oeuvre Qu'une ne femme, amoureux, par Moïse Drouet, maçon, actuel épousa ATTRIBUTION du Prix âtrassburger, qui, après avoir brassé, au cours de leur techniquement génie, il acquit, par flirte qu'elle son homme n'aime pas avec &gé de 26 ans. Une parfaite euun lement Divorcé par... amour des Champs-Elysées, à, 11 heu lant, existence millions sur millions, ont été 26, avenue tel de qu'il put patte qu'elle aime, faire celui un coup « » enrager tente régna tout d'abord dans le jeures 30, et du Prix de la .Renaissance, & imiter à Ce criminel a l'illogisme d'un enfant pour incapables de créer un atome de joie. gré tels des maîtres du siè paraît-il, aventure courante et ne ménage. Mais, ' bientôt, le mari sa 1 c'est, 14 heures, 11, .rue Royale. con , Mais il y a de bons milliardaires. Ce EXPOSITION de la France artisanale, cle passé, dont les lauriers l'halluci- arriéré. c'est en tout cas, le sujet de cent co montra violent et brutal. Il menaçait Pourquoi divorça-t-il d'avec .fem à 15 heures, 44, des Champs-Elynaient. sa avenue médies. Mais qu'elle aille jusqu'à épou souvent ses voisins, même sa famille,^ sont ceux qui ne se contentent pas d'a Léa me,' Beauters, amie, déjà di une Ce fut talent spécial qui servit de le flirt pour mettre l'aimé hors de et ces temps derniers, des scènes péni voir su gagner, de l'argent à foison, et DEJEUNERS. — A 13 heures, au Cla- base à sorçceentente avec M. Jean-Char-: vorcée une première fois, mère d'une ser quitte a exaspérer jusqu'au crime bles devin- e-nt plus fréquentes. lui, qui savent le dépenser généreusement,in rldge, déjeuner du Comité d'organisation les Millet. Elle était des plus simples. fillette de huit ans et qu'il avait épou l'homme qu'elle a pris comme mari., et Dans la nuit de samedi à dimanche, telligemment. Ceux-ci ne font pas la cha de l'Exposition de la Chasse à Leipzig ; M. Cazeau fournissait les tableaux. M. sée à Deauville, au cours d'un congé plus jouet aventure c'est une déjeuner Amitiés comme : des Internationales. une ouerelle plus violente éclata. Mme lui avait donné le patron chez le rité; ils font le bien, ce n'est pas la même REUNIONS. que Millet, conservé de qui qui avait griffe coûtaàto vie à la celle fut Ce 17 heures, & Faculté la rare.

Drouet dut, comme elle le faisait sou — quel il travaillait comme chailiïeur ? Renée chose: La charité humilie toujours'un peu de Médecine, assemblée amènera aujour vent, générale de la Li- son aïeul, l'appliquait, et, usant des pa L'explication Vignon et qui aller se réfugier chez ses parents, qu'il donne au président d'hui devant les jurés de la Seine' son française contre le cancer ; 20 h. 30, piers de famille, établissait les certifi ceux auxquels on la fait. Il y a pour les ue avec f.:n enfant. Son mari l'v suivit, du Pont-Neuf, A.> C. du 223» R.; cats d'authenticité. L'activité de M. Ca- est vraiment déconcertante.

Friedmann. époux assassin, Tiberius bons milliardaires un moyen d'être chari 7,T.rue 28, mais .11 trouva la porte close. C'est boulevard Solde Strasbourg, Dumont.

Je ; suis divorcé (sic) me naturalisé Fran D'après Roumain était C'est grande. les premières — . alors qu'il eut l'idée dé contourner la tables sans humilier personne ; c'est fêrlno, un .76', 276' R. I. et 36' R, I. T., 331' zeau j'espérais parce faire accepter que & mes de belle prestance. âgé de çais, 27 et maison pour pénétrer par une porte de ans d'aider- les collectivités intéressantes, R. I. ; 20 h. 45, mairie du VIII" arrondis constatations, il aurait fabriqué 3 ou parents mon mariage'avec cette femme.

1924, avaitil y Arrivé dans notre pays en derrière qu'il savait ne pas être fer réunion de propagande de l'Asso 4.000 Millet, sans compter quelques De Ils s'y étaient d'abord opposés. c'est de soutenir de leur fortune les sement, métiers d'y avant tous les fait mée. Mais son beau-père avait ; prèsciation Corot, Bisley, Monet Cezanne. parisienne et des anciens combat peu Le président. — Mais non. Vous avez un gas, grandes œuvres du génie humain, de fa tants et victimes de la guerre. représentant de divorcé le maison devenir d'une senti la manœuvre et sortit, armé d'un fUn expert qualifié parce qu'elle vous tronjpalt in voriser téclosion de tous tes progrès ; CONFERENCES. — Conférences scolai dignement.

'1 gagnait fusil; où lar boites à poudre de riz pour lui faire peur. Drouet. pris . produire n'est rien, sinon en art, Dumont. Je n'étais pas trompé. c'est, enfin, puisque les milliardaires res de la Semaine coloniale de 1930 ; duMais de fureur, s'élança sur lui. Se croyant gement sa vie.

— moins 1en commerce : le tout est de Le président, 14 li. 45, au Musée du Louvre : « Les Et le colonel russe ? c'est sûr de-lui, de sont des rois, suivant ta formule moder paysans viVre, Heureux i— sans, en "danger, Duret épaula et fit feu. Son du XVIIe siècle d'après les frères vendre! Il faut, pour convaincre les hési Dumont. — J'avais pardonné le colonel gêne à gendre, qui s'écroula, atteint en pleine Renée qu'il fit aucune sa cour ne, de réformer les injustices de la mau Lenaln », par M. Funck-Brentano ; 17 tants, avoir à sa disposition, au moment russe. meurtrier s'est constitué prison Le parisien, Vignon, un gracieux manequin vaise politique mondiale — injustices heures, à la Sorbonne : «L'Ile de Gotland, voulu, un expert compétent, et qui com Il mansuétude la jusqu'à lais poussa nier. qu'il avait rencontrée un coir, au ciné », par M. Ner- prenne les choses. Les deux compères ser prononcer le divorce contre lui. qui se traduisent par les crlielles fantai la Crète20de la BaltiqueConservatoire «fr» ' ' des mois de mai de heures, ' man ; au sœur, sa .... i! avec au ma, sies de change — et d'appuyer de leurs Art; trouvèrent homme.

C'était lui aussi cet Dumont. — Pour que ça aille plus vlte-l l'année dernière. Il avait un peut surfait et Métiers, enseignement préparatoi LES AUTONOMISTES ALSACIENS milliards la cause des peuples qui, après re de mathématiques ; 20 h. 30, au Club un artiste, un vulgarisateur anonyme du Meurtrier hasard SE REORGANISENT sa situation sociale. Il s'était dit Amé avoir vaillamment lutté dans la guerre, du Faubourg, Salle Wagram : ,« Mariage chant : il chantait dans les cours. Un Persistant dans par...attitude qui bluff Son officier ancien aviateur. ricain, divorce », avec les docteurs Vachet, abonnement chez le coiffeur, une visite une pa d'amoureux réussit au delà de ses es luttent encore, et non moins vaillamment et Strasbourg. 5 Mal. — Les autonomistes in chez le tailleur raît de plus plus de paradoxale, Pelletier, etc, 20 li, 45, 16, sin rue en ; ce gentleman firent en un puisqu'on, l'accepta époux pérances tentent, de se réorganiser. Hlei* alsaciens dans la paix pourr rétablir une situation Sorbonne : « La science et le déterminis .auquel nul pour gulier meurtrier passion" "l » ne veut « pouvait intedrlre s'ap de ne groupements autonomistes, la mariage deux eut les mmédiatement le et Langevin La 21 M. heures que victoire par : plus, elle-même est impuissante me », ; maintenant, qu'il y « la moin que la .i Montallon. peler M. de La vie,, dès lors, Landegpartei du député Hauss, et le parti . syphilis », par le docteur pinard, 66, bou lieu dès le' 20 juin. dre passion dans à leur assurer. ses :.us. " député Dahlet, ont tenu belle le progrésêlute du fut Saint-Michel ; 93, me de Rochepour gueux.

Friedmann croyait ne devoir, ce leur congrès annuel On sait mécanicien Peyelfer le que Carnegie fui le premier en date des levard à, Strasbourg et ont ohouart : « La révision des traités », par L'ouvrage était aisé : il suffisait d'a était devenu le fiarr-1 de succès qu'a son charme person décidé de fusionner. Une prompt ex-femme, son com On bons milliardaires américains. sait M. de la Far. voir l'air entendu. Une autre tâche lui avec laquelle Dumont n'avait dé mune a été adoptée dansrésolution Il le devait nel à adresse. et au son il cessé laquelle eut pas artistes, BAL l'Aide amicale a de aux qu'il couvrit les Etats-Unis et l'Ecosse, incomba : il relevait sur les catalogues d'être en relations. 1 pit. Amie, depuis plusieurs années, d'un, déclaré que l'autonomie doit rester le Magic-Clty, à 22 heures. les numéros des toiles 'authentiques et Le président. officier pilote-aviateur, du nom de Bar premier but politique à atteindre. son pays d'origine, de bibliothèques pu* COURSES à Enghten.

C'est bien cela, pour — les reportait dos des tableaux faux. au bliques et gratuites et qu'il créa, en tous n'est-ce pas, que vous l'avez tué, le 14 dé bier, qui ne lui avait pas été fidèle, le Dès qu'ils eurent appris tout cela, et jeune mannequin avait épouse Fried Une bagarre dans bal à Romainvïlie INFORMATIONS DIVERSES de la bouche même des intéressés qui cembre, dans un taxi, rue Collette ? pays du monde, des fondations en vue de un Dumont.

Pas du tout.

Je ne savais mann pour reconquérir l'homme qu'elle récompenser l'héroïsme civil. Rackèfal — était son fiancé. aimait. Dès le 6 Juillet, elle l'avait re anciennes élèves de l'école de ne .firent aucune difficulté pour avouer pasLequ'il ler senior donna aux laboratoires et aux Haut — Les président. et accueillirent Vous connaissiez même le riant cette les commercial pour au joint. en pu Un agent blessé ; trois arrestations• — universités plus de 50 millions de dol jeunesEnseignement comme votre rival ? filles, donneront leur bal annuel blicité inespérée, les agents de la pre moinB -colère mit Roumain Le «as en ne se Dans un , bai, 16, rue de Brazza, À lars.. Rockefeller junior, généreux ami samedi prochain, 10 mal, à 22 heures, mière brigade mobile, sous la direction Dumont.

— Non. fondit en larmes. Puis il aile supplier Romainvillc, Il Le président.

Alors, pourquoi l'avez» de salons CJarldge, profit dans les du — au une bagarre éclatait, di de la France, a contribué par des doué de M, Gabrielli, se mirent en devoir de vous tué ? femme de reprendre la vie commune sa élèves des de Revue leur caisse les toiles falsifiées. importants, à la réfection du palais de de l'école à 21 secours. .Dumont. — Parce qu'il m'avait pris à la et parvint à la revoir plusieurs fois. manche soir, entre plusieurs danseur». h. 30. Cartes & l'entrée saisir Us se rendirent d'abord à Barblzon forge.

Même, il l'avait persuadée de consentir Pour y mettre fin et faire expulser les Versailles, Hier encore, il répandait ses (26 francs). ' . ...Seulement, il est curieux que Dumoftt à habiter une chambre, 4, boulevard perturbateurs, le patron de l'établisse La société de l'Abri a tenu, au Mu où, grâce aux soins pieux d'un vieil ami outils, ses bibliothèques de livres. La 'libéralités sur la Cité Universitaire et sée—social, Las-Onze, son assemblée et admirateur du peintre, M. Douin, a ait eu, comme par hasard, un revolver Magenta, tout près de l'hôtel où 11 de ment, M, Delhantal, fit appel au gar rue Bibliothèque Nationale.. la dien de la paix Simon, de service il Légion étrangère ne oossède même sur générale. été créé un petit musée Millet, peu con sur lui, revolver qu'il avait pris chez son meurait lui-même, au 22.

Carnegie disait naguère riches dê 1 La aérienne temporaire Parisliaison aux des Français, mais f^rt apprécié des patron, quelques heures -auparavant, Le 6 août, U tente un coup décisif. Il proximité. Dès que celui-ci parut, l'un pas un appareil dé prises de vues qui — nu Niort l'achemi être utilisée Faites des individus, Henri Rosset, 20a ns, 12, pourra le bien de votre pour touristes anglo-saxons. pourrait être manié par un légion son pays ; « « pour faire revenir sa femme avec donne congé de la chambre du numé mai courrier postal du 6 9 nement du au des Loriots, se précipita sut lui naire. Car on sait tout faire à la Lé vivant ; il n'y a pas de mérite à ne don• inclus et non du 3 au 8 comme il avait — Toutes les toiles de Barbizon sont lui », avait-il dit à l'instruction. ro 4 et obtient que sa femme vienne le chemin Prenant fait et cause pour frappa. et le Mais aujourd'hui, soit qu'il fasse l'im rejoindre au 22, emportant tous ses fausses, avait cyniquement déclaré M, ner qu'après sa mort ». été prévu précédemment. gion. l'énergumène, consommateurs et dan bécile, soit que la prison l'ait rendu réel effets. Etait-ce la réconciliation ? Non. Suivre inlassablement — tomme le Un thé a été offert dimanche, par Jean-Charles Millet.

— Au moment de clore cette série allaient faire un mauvais parti à Libanais de Paris, en l'honneur de M. M. Douin, dont la parfaite honnêteté lement incapable de re comprèndre luiCe fut le drame. A 2 h. 30 du matin, seurs d'articles, je reçois le bulletin de fait john D. Rockefeller «- un tel con les Aad, grand patriote et ami de la France. ne peut être mise en cause, n'en veut même, il affirme que son geste est la Friedmann. après avoir sonné' le garçon l'agent Simon, lorsqu'arrivèrent des l'Union des Sociétés d'anciens lé seil, c'est mériter la reconnaissance de que M,.Delhantal avait envoyé rien croire. Il a, du rest:, rompu toutes conséquence d'une sorte d'accident. 1J d'étage, descendait l'escalier de , l'hôtel renfort:-, de tous, tirer sal et argent les plus chercher. son gionnaires fondée en 1901. Le siège LA LOI DES ASSURANCES SOCIALES relations avec M. Millet, dont l'attitude plaide une vague légitime défense très en tenant dans ses bras sa femme qu'il . joies.

Jean Lecoq. nés une courte bagarre, social de cette société est à Mar AL'« OFFICIEL » venait de tuer d'un coup de revolver au Il y eut encore — lui parut louche en-plusieurs circons voisine du hasard. laquelle de lts agents parvin Dans scènes cours conditions, les a qui ont sein gauche : tances. M. Douin s'est du reste montré précédé ces seille. C'est là que les anciens sol ** à rent arrêter Henri Rosset. ainsi qi» le drame perdent, évidemment, Sur la demande d« M. Pierre Laval, mi très a/ecté par ce scandale. Il a été toute espèce demeurer voulu Elle n'a dats des régiments étrangers peu avec pas ENTRE NOUS, MESDAMES. — On nistre — Marie la Toulgoat. femme 42 ans, 39, de signification. Les fae moi, a-t-il du Travail, le « Journal Officiel » constitué conservateur du séquestre mis expliqué. Désespéré, J'ai sente vent venir trouver un peu de récon vient de couronner une rosière qui tou vient d'éditer à Ferrand, Noisy-le-Sec, et la filiie tions de à cinémas Dumont la porte des texte codifié la légis cl ;> un pris mon revolver pour me suicider. Au toutes les toiles du musée, en at et des brasseries où Léa fort. à défaut de confort. chera une modeste dot. Après la Céré lation des assurances celle-ci,-Raymonde, de et 17 sociales qui sera mis sur Beauters braqué ans. Toutes paravant, je l'ai sur elle en di leur expertise.

Peyelfer deux avaient lancé La société n'est pas riche. Je con monie, l'élue, selon une clause du testa en vente, aujourd'hui, 31, quai Voltaire, tendant des, passaient leurs soirées Tu Je te sant : « vois, pourrais tuer com» verres et des ; la mi Poursuivant leurs recherches, poli les 60. prix de 1 fr. cela. tremblait. imposée, Ma main Le ment, ira recueillir la demeure & carafes de au qu'il adressa son ex me coup » la paix et sur les gardiens se sur en temple les touchantes photographies; ciers parcouraient hier diverses galeries se est parti, je comment. sais femme ne tombe de ohoisir mécanicien injuriés. du donateur. les avaient entre le qui représentent sa façade, ses bu parisiennes et saisissaient plus de trois et lui y LA REORGANISATION oublié J'ai le de monsieur, bon nom oe ses poursuites ; l'incident de Sans doute, Friedmann a quelque peu Après interrogatoire de M. Brunei,cents toiles fausses. Ils saisissaient. éga l'hôpital; Lariboisière reaux et le dortoir où les anciens lé mais la nature affable, indulgente et DU MINISTERE DU TRAVAIL où les deux rivaux varié dans son récit. Le fond de sa commissaire de police, assisté de M. Pélement chez M. Estèvè le Vanneur au portèrent, gionnaires peuvent encore trouver mélancolique que, cfe son vivant, il eut en se disputant, la femme thèse est resté cependant toujours le goud. secrétaire, les trois Inculpés ont bonnet il Mais paraît-il, rouge. asile, y a, en la certaines nuits, vie quand qu'ils certainement, m'est .infiniment sympa aimaieht tous deux ; le drame même : affolement, exaspération, déses été écroué's. un L'application rte la loi sur les Assuran des d'œuvres centaines disséminées core même enfin, au cours duquel Dumont poir, plalde-t-il. rèprend sa cruelle offensive. Est-ce thique.

L'agent Simon, atteint de multiples ces sociales constituant une lourde charge France à l'étranger. et Ce en l'administration du centrale minis ne sera père sauta dans taxi où Léa Dumoret, pour et M» J.-J. du de voulait le Beauters avocat Il faire du bien à. contusions, a dû interrompre son ser si normal qu'une telle mélancolie son pro tère du Travail, M. Pierre Laval a décidé, dahc pas avant une huitaine de Jours au civile procès, fiancé étaient la victime, partie enfermés et et Peyel tua vice. au domine jusqu'à sa fin le destin d'un chain, qui lui apparaissait sous les traits de déléguer dans les fonctions.de secré plus tôt que 'les enquêteurs pourront son général fer tout cela n'a plus l'avocat soutiendront, de ni d'ac aimables d'une jolie croyait créature.

Il : au sens, con légionnaire ? Ce sujet pourrait être à la vertu des jeunes filles. Il l'encoura taire général, le directeur générât de l'an transmettre aù parquet de Melun le dos cent. Un mauvais rêve, et voilà tout ! traire la thèse de la préméditation Au Office national des Assurances so sier de la procédure déjà fort volumi L'abondance des matières nous oblige à développé et conduirait très loin geait. Il se rendait compte qu'un cœur cien de débats qui dureront deux Jours, Dumont. à Je> demande cours pardon ciales, M. Aron. ajourner la publication de notre — Tout ce qui s'achève, s'achève dans neuf est un bien précieux, un trésor qui D'autre part, et en vue d'assurer une neux. Et alors commencera la véritable la mère de Peyelfer M* de Moro-Gkilïeri luttera contre -mx, ! feuilleton la mélancolie. Il n'y a pas d'allé produit des intérêts de bonheur. Mais il coordination complète des Assurances so instruction. l'éblouissante ardeur qu'on lui con Contrairement femmes fatales avec aux « » CŒUR DE MIDINETTE • Jusqu'à présent, le parquet de Melun de cinéma, qui sont grandes et brunes. naît, pour enlever l'acquittement de ciales avec la Mutualité, le ministre du gresse dans une tin. même dans-la avait réfléchi que ces intérêts-là ne sut Travail • par Jean Olairval . décidé que, désormais, les deux n'est saisi que de la plainte de la mai Léa Beauters est blonde et petite. C'est Friedmann. fin d'un travail, quand ce travail est liraient pas aux hommes, ni* à la capi' services acorrespondants groupés seraient de Londres, son pour un fait annexe à un bout dé femme de rien du tout, qui réellement le prolongement d'urne tallste. Et il y avait ajouté. Car il con en une seule du-ectlon, dont M. Gaston l'affaire des faux'tableaux.

La perqui tremble et pleure à la barre, en avouant Les bénétieiaires de la loi naissait son temps.

Roussel sera chargé. personnalité, a v: sition faite dans l'atelier de M. .Caaeau, son inconduite.

•Il demeurait- tellement" sceptique en .

Voici donc la dernière surpris plein travail, escale. Le son en a décélé une Le président. qu'il rendit obligatoire la vi cœur Pourquoi avez-vous très quantité grande bateau qui me ramenait à Port-Ven site sur sa tombe. Il s'était dit : « Elles Une de toiles fausse trompe Dumont, — les Âssurauees sociales 59-61, Rue Lalayette. Baris iUX') mariée ? aussitôt sur ment signées de illustres.

Quand noms dre franchit la passe si maladroite prendraient l'argent, le bonheur et elles Léa Beauters (pleurant).

Tél. : Trudaine 02-63 (7 lignes) Hl ! H1 ( le dossier sera complet, la question se Je ne sais pas. •. .a t» < —'• Inter-Trudaine 44 ment encombrée. Toutes mes vali ne viendraient seulement pas dire (Suite) de connaître la Le nature président. exacte Vous Juré, à l'ins posera avez — Cte Chèques postaux n* 3.259 ses et mes vêtements sentent l'odeur merci. » magistrat n'est truction, Aucun n'était de l'inculpation relevée Peyelfer votre contre les que cause pas en du Maroc- .et de l'Algérie. Des Or, il voulait qu'<dles viennent. Il avait contrairement aux bruits répandui fabricants de faux chefs-d'œuvre. En amant. ' Abonnements 1 au umois S mois Charges de famille de rester toujours tout seul. Il avait Léa Beauters.

Hl I Hl ! l'était. silhouettes hautes et sveltes de sol peur Il dehors l'escroquerie de — paraît qui ne Selne-et-Olse.. 80 avec son scepticisme, ses doutes, 42 21 En dehors de tous les avantages ci- Seine, dats marqués par la fatigue réappa transigé à douteuse des certificats Visiblement, cette « traîtresse » re pas cause (De noire çorrëxponûant particulier détresse. Et l'histoire de son testa France Colonies.... ' et 82 43 22 sa abusifs d'authenticité, il y aura lieu pentie est maintenant décidée à tout dessous concédés par la loi aux assu Etranger : Tarif A.... 140 70, 35 raissent dans ma mémoire. Elles se ment est celle de tant de pauvres hU7 Strasbourg, 5 Mai. ordre du Par pour sauver celui qu'elle a rendu rés obligatoires, des avantages spéciaux Etranger : Tarif B.... 200 100 50 mêlent à celles des légionnaires que mains qui nous disent : « Je sais bien garde dés Soeàux, urife—enquête discipli de décider si l'on doit y ajouter le faire criminel.

Il est peut-être un peu tard. sont attribués aux assurés, chargés de d'apposition de fausses signatures. j'ai connus autrefois. Ceux-là occu que vous ne viendrez pas pour moi de naire est actuellement en cours au délit LE PETIT JOURNAL PUBLICITE Celui-ci ne saurait exister que si les Dans une éblouissante improvisation, famille. pent dans les immenses cimetières main.'Mais venez, ça ne fait rien, venez; Palais de justice de Strasbourg, cohcer- œuvres Campinchi M® soutenu intérêts L'indemnité,journalière maladie les de de 1.

69, rue Lafayçtte a n'étaient pas encore i . .... fcsiant le tribunal cantonal, institution tombées reproduites . de la banlieue parisienne une petite je vous ferai un cadeau. » la mère de la victime, partie civile au est majorée de 1 franc par enfant de* domaine dans le public.

Or, viendra Et pensent Elle peut'locale alsacienne. : « place réglementaire. Une main amie être qui Millet, notamment, est procès, dont il avait été chargé la moins de 16 ans. Jean-François même moi. tout de peu pour un „» journaux avaient Des autonomistes vient quelquefois arracher l'herbe décédé en 1875 et l'on sait que le délai veille. Après un ferme réquisitoire de 2. La pension d'invalidité est majorée Francine. depuis lancé trois jours des bruits ten — de protection des œuvres artistiques est l'avocat général Carrlve, M» Simon-Ju- de 100 francs par enfant et par an. pour dégager le nom de celui qui ACHAT THES CHUtt scandale dancieux. annonçant un' grand quin a prononcé pour l'accusé une cha' 3. L'allocation de décès est majorée de de cinquante années après la mort de dort là son dernier sommeil, KEKËSTEDJ1AN. dans la magistrature. Aucun magistrat l'auteur II faut ajouter à ce délai les leureuse plaidoirie.

100 francs par an.

Le citron.

FIN. 38, Kue.de Trevise, SU n'est impliqué dans cette affaire qui se cinq ans de la guerre qui forment mo Maurice Dumont a été condamné à La loi prévoit également des pensions Que de personnages vont, à des titres résume TèL : Prov. réalité à gui suit..

HleM. d'orphelins 5 de réclusion à 30.000 oe et francs de qui ne peuvent être-inférieu en ans ratoire. divers, traverser la Méditerranée, tous gel, greffier chef tribunal dommages-intérêts. canto en au M. GEORGES D'ESPARBES .

M. Millet et M. Cazeau, qui ont un — Georges Martin. res a 120 francs par an et par orphelin.

— temps-ci. Attention mal de mer 1 nal de Strasbourg, depuis ces était plusieurs au Le chômage involontaire domicile et semblent QUI VA QUITTER FONTAINEBLEAU chercher ne curieuse. plaquette qui années, spécialement chargé de la sec à fuir leurs responsabilités,pas Il existe ont été lais LE RETOUR DE LA MISSION G0ULETTE Le risque-chômage n'a pas été com EST L'OBJET DE MANIFESTATIONS donne toute une nomenclature de remè tion des faillites. M. Hiegel avait irré sés en liberté provisoire. une pris parmi les avantages accordés par DE SYMPATHIE des contre ce fâcheux et très douloureux gulièrement conclu un arrangement avec Les marchands de tableaux la loi. de trois faillite syndics de Strasbourg. figure-celui-ci Parmi mahise.

En présence Couhé, du de M. te chef Mais en cas de chômage involontaire eux : émus Le Conseil municipal de Fontainebleau sont transmettait leur Il affaires toutes les ne pas cabinet ministre l'Air, du de représen main pendant toute suite de manque de travail le chô un citron dans la importantes et en compensation 11 re a voté, dans sa dernière séance, une nir Les marchands de tableaux, qui con tant M. LaUrent-Eynac, MM. Renvoisé, par traversée ! la meur ne perd pas le bénéfice des ver adresse de sympathie à M. Georges cevait d'eux une somme de 12,60 sur les naissaient tous fort bien M. Jean- chef du secteur nord des aéroports, sements effectués pour son compte à d'Esparbès, qui va quitter prochainement Nous vous communiquons cette re taxes réalisées par eux sur ces affaires Charles -Millet, s'ils ignoraient pour la Chaumié, directeur de l'aviation . la Caisse d'Assurances. com le palais dont il était le zélé conserva cette.' Mais nous ne vous en garantis Les autres syndics, qui réclamaient de plupart M Cazeau, ne paraissaient pas merciale, et de Mmes Reginfensi et Gou- C'est cette caisse qui verse pour lui, teur depuis vingtreinq ans. D'autre part, sons pas l'efficacité. puis longtemps, ont fini par porter émus, hier, par le scandale qui venait lette, venues attendre leurs époux, durée maximum de 4 mois par les amis de l'éminent homme de lettres plainte. Cete plainte fut transmise au d'éclater. Seule, les étonnait la profu l'avion de Bailly, ayant à bord Goulette pourlaune double cotisation ouvrière et pa lui ont offert un banquet -, et,, au cours Hier a eu lieu dans les Salons du garde des Sceaux. De là l'enquête don i sion des toiles fausses ; mais tous se et Marchesseau, et venant de Biarritz, an, prévue tronale par la loi. d'une réunion intime, mais touchante, Palais d'Orsay, le banquet de l'Union est chargé M. Matter. j;ip,e d'instruction faisaient fort de les découvrir et de pou d'où il était parti à h. 45, s'est posé à Délais d'application les employés du palais ont manifesté les Fi'utera Espagnola en Franoia, qui grou près du tribunal de Strasbourg, En .at voir, sans erreur, authentifier une toile. 4 h. 20 l'aire d'atterrissage du Boursur regrets que son départ leur causait. tendant sa ; conclusion. M. Hiegel esi — C'est, d;t M, Paul Guillaume, une get. Il s'agissait de l'appareil Farman- L'assuré obligatoire n'est pas admis pe tous les importateurs de fruits- suspendu avantages de la loi dès le Jour de de ses fonctions. Le délit de affaire purement technique. Si, dans Titan Gnôme et Rhône "O franco-espagnols.

— lequel aux immatriculation. avec corruption de fonctionnaire Un stage préalable n'est plus de pas l'espoir d'acheter bon marché une toile Bailly, Reginensi et Mai-sot ont battu son Le VI" congrès national des grains Ce banquet auquel assistaient fixé relevé, été de qui est 3 mois pour l'assu jusqu'à présent croyons-nous, de valeur, l'ajpateur s'improvise connais tous les records de vitesse sur Paris- a 200 convives s'est clôturé par un bal qui s'ouvre ce matin. maladie et maternité ; d'un an fut un vrai succès et ne se-termina que contre les trois syndics en question. seur et' s'adresse à des courtiers mar Tananarive et Tananarive-Parls en huit rancel'assurance-décès, . pour tant pis le matin. rons. pour lui. Chez nous, 11 jours chaque fois. On ne saurait trop l'assurance-invalidité dededeux ans pour Le VI' Congrès national des grains, et 5 ans pour possède toutes garanties.

LEGION D'HONNEUR admirer le beau geste de solidarité ac —«O— « . organisé par la Fédération française des De-M. Arsène Aubry, à Parts ; KA suivre> — Qu'un imbécile, opine M. Jacques compli par la sympathique équipe volant l'assurance-vieillesse. syndtcnti de marchands de grains, grai Digestive, exquise et tonique Bernheim, laisse gruger et croit pou au secours d'infortunés camarades se MINISTERE nes cïe sentence, dérivés et produits du Il ne faut pas ailleurs chercher voir acquérir de maître pour Très fatigués par leur voyage, Gou œuvre une DES AFFAIRES ETRANGERES sol, se tiendra à la Bourse de commerce Les raisons du succès unique de pain, cela prouve seule lette et Marchesseau, un morceau qui souffrent de de Paris, aujourd'hui et demain.

Chevaliers. — M. François Salager, agri ment son ignorance. J'ai vu, voici quel blessures aux pieds occasionnées par De la liqueur « Cherry-Rocher » J une Quatre commissions : arbitrage, règles culteur en Tunisie < M. Nlnangoln, ins que temps, l'un de ces fameux Millet. marche de huit jours dans le désert, et usages ; grains, graines de semences, Chaussettes à 5 francs. — La grande pecteur honoraire de l'Agriculture en Tu C'était une contrefaçon ridicule.' étaient, malgré tout souriants, heureux consacre une magnifique composition éri couleurs ' pommes de terre, se partageront les tra quinzaine de chaussettes a commencé nisie. nombre Le faux des est effrayant. d'avoir . été accompagnés leurs _ par ca .. vaux du congrès, qui comporteront les hier chez Marny avec le plus vif succès.

Mais cela n'a pas d'importance, conclut marades Reginensi et Bailly.

Hazebrouck d'Alger Les obsèques la contredu : questions suivantes : rapports avec la On sait que 30.000 paires de jolies et amiral — Wackernle, décédé en M. Joseph Hessel, expert près la Cour Après avoir vidé une coupe de Cham Toulon, ont a meunerie, vente du blé à dix jours, bon solides chaussettes fantaisie à S fr. ont eu lieu & Cassel, la ville natale de l'ami d'appel. Toutes les œuvres authentiques pagne, les aviateurs sont allés prendre de compensation, été tissées spécialement poux cette mise ral^ sont connues, cataloguées. un repos bien mérité.

Le Petit Journal

enquête à Strasbourg

BIJOUX

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LE PETIT JOURNAL ILLUSTRÉ à

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6 Mal 1930

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©U TIMP1 Grand roman d'amour

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RKSHME DES DEUX PRUSiTERB FEUILLETONS Gilbeite _.d'Arbicrat fille d'un capitaine tué au Mttioc, eut sous la tutelle du ménage liardusae, dont le# idées et les goûts ne conviennent guère <1 l'édu cation bQiynèn de la jeune fille, qui est constamment en ImMc uux surcuameit de Mme liarduzac. "

II,

Dans l'après-midi de ce jour où Mme Barduzac m'avait fait part de l'invitation desjSamponi. je sortis pour faire quelques courses. Le temps-était orageux ; je m'ep allais sans entrain, avec le même air lassé, je pense, que tous les gens coudoyés par moi. Comme je traversais une rue, un , homme jeune, pien mis, me .salua. Je re le docteur Borday, un jeune mé connus decin que Mme Geolle avait récemment Tous droits de reproduction, traduction, adap tations théâtrales et cinématographiques, émis sions par. T. S. F. réservées pour tous pays. Copyïlgiit by Delly 1930.

présenté à Mme Barduzac, lors de sa der nière soirée mensuelle. : Tout en continuant ma route, Je me re mémorais quelques mots aimables pronon cés par ce jeune homme, qui avait ane figure agréable et des manières distin guées. H m'avait regardée ce jour-là un peu plus longuement, peut-être, qu'il n'eût dû le faire, et j'avais détourné les yeux en prenant un petit air digne. Parce que j'é tais jolie, s'ensuivait-il que l'on pût se per mettre de me dévisager ainsi ?

Car j'étais jolie. Dire le contraire eût été de la fausse humilité. La régularité de mes traits laissait peut-être à désirer, mais j'avais un teint délicat, des cheveux châtain doré qui ondulaient "tout seuls, et de grands yeux noirs vifs et doux. D'après ce que m'avait dit un jour Mme Geolle, ma physionomie devait être très expressi ve. En outre, j'étais mince, bien faite, ha billée d'un rien, et mes mains, la finesse de mes- attaches dénotaient mon origine aristocratique, s'il fallait en croire tou jours Mme Geolle.

Ces constatations ne me rendaient pas vaniteuse. Jusqu'ici, j'ignorais la coquette rie. Si j'aimais être gentiment mise,, ce n'était aucunement dans le but d'attirer l'attention masculine. Celle-ci, je dois le dire, me laissait fort indifférente, aucun des cinq ou six jeunes gens que j'avais pu connaître jusqu'à ce jour, dans le cercle des relations de Mme Barduzac, n'ayant eu l'heur d'attirer ma sympathie.

En songeant ainsi, j'avais atteint le ma gasin « Aux Roi? Mages >, but de ma sor

tie. Près de la poste, je croisai M. Huchard, métrage nécessaire après m'être assurée un ancien commerçant, ami des Barduzac, que j'avais sur moi, assez d'argent. Puis, chez lesquels U venait chaque dimanche la jolie étoffe enveloppée, je l'emportai, dîner et faire sa partie. Il avait très lar toute satisfaite de mon achat et pas fâ gement dépassé la cinquantaine, portait chée de jouer un tour à Mme Barduzac. perruque brune et essayait de me faire la Elle traversait précisément le vestibule cour, sans se rebuter de ma froideur. Cet comme j'entrais. Son regard fut aussitôt te fois encore, il m'adressa un grand salut attiré par mon paquet. et s'arrêta pour me demander des nouvel — Qu'apportez-vous là, Gilberte ? les de Mme Barduzac, en bombant son tor — De l'étoffe, madame, de la batiste se sous une jaquette du bon faiseur. Je ré bleu pâle pour faire ma robe. pondis en quelques mots brefs et le quittai De la batiste... pour votre robe ?

• — pour pénétrer dans le magasin. / Vous avez choisi sans moi, et sans deman-» Au rayon de mercerie, Je fis mes petites der conseil à Mlle Boitte ? emplettes. Cela réglé, je flânai un instant — Je n'ai pas besoin de l'avis de Mlle entre les comptoirs. Des étoffes de tous Boitte, car je compte faire cette robe moigenres, dépliées, offraient aux yeux des même. acheteurs l'invite de leurs nuances va Elle leva un peu les bras en laissant riées. Il y en avait pour tous les goûts. échapper un ricanement; bien Mais le mien s'arrêta sans hésitation sur — Ah ! ce sera du joli ! Vous serez une batiste bleu pâle un bleu doux, dé mise ! Mais je n'ai'aucunementenvie d'at licieux qui rappelait — celui d'un ciel d'été, tirer les mqqueries de tous, en conduisant après la pluie, chez les Samponi une caricature. pensai : « Voilà comme je voudrais Je ripostai : Je . robe, pour la matinée des Samponi ».

Soyez tranquille, Je ne vous ferai ma Et aussitôt un plan s'élabora dans mon pas— honte. Et j'aurai une toilette complè . esprit.

Mme Barduzac allait vouloir me tement à mon idée. conduire chez sa couturière, qui m'habil — Elles sont sensées, vos idées !... Mon maL lait Toutes deux, en outre, m'impose trez-moi cela. i raient leur goût, lequel n'était jamais Je défis le paquet- et, dans la salle à conforme au mien. Si j'achetais cette manger, j'étalai l'étoffe sur la table. Sous étoffe ? J'étais adroite, je ferais cette 10- le jour ensoleillé qui pénétrait librement b: 'moi-même... Mme Barduzac serait fu- ici, elle me parut plus jolie encore. rleusè, évidemment, mais il faudrait bien Mme Barduzac leva les épaules et plissa qu'elle acceptât le fait accompli, ce maga- son nez, qu'elle avait large et court.

Sj1 ne reprenant pas les marchandises. r- C'est une étoffe trop légère, qui ne T7n commis s'approchait- J'indiquai le fera pas d'usage. Et ce bleu ! Quand vous

prise

aurez porté trois fois votre robe, vous ver rez et qu'elle sera devenue !

Ses gros doigts palpaient la: batiste et elle renifla de dédain.

— ... Cet achat est une sottise ! Aussi avez-vous eu bien soin de le faire sans me consulter...

Je me retins pour ne pas répliquer : « Naturellement I » .

— ... En outre, vous n'ignorez pas que le bleu pâle a toutes mes antipathies. Sans doute est-ce pour cela que vous ave£ choisi cette nuance ?

— Oh ! pas du tout, madame I C'est simplement parce que je l'aime.

D'un geste méprisant, elle rejeta l'étoffe.

Vous ne serez jamais une femme sé — rieuse, Je l'ai toujours prédit à mon mari, et il peut constater aujourd'hui si j'ai vu Juste.

Elle sortit là-dessus en levant les épau les, mouvement fréquent cl^ez elle au

cours de nos entretiens. Et, bien vite, j'em portai la batiste azurée qui semblait un léger morceau de ciel.

Je dois dire en toute sincérité que ma robe était une des plus charmantes parmi celles qui embellissaient la réunion des Samponi. Je l'avais ornée de fort belles broderies blanches qui me venaient de ma mère et qui, à elles seules, lui don naient un aspect d'élégance discrète, car par ailleurs la façon en était très simple.

Un coup d'œil sur mon miroir m'avait ap pris qu'elle m'allait fort bien et que ce bleu pâle seyait admirablement à. mon teint. Mme Barduzac, cependant, trouva

par nos soldats

1830

moyen de me dire aigrement, en m'inspectant de la tête aux pieds avant le départ : Cette toilette.; ne vous va en aucune —. façon. Votre teint n'est décidément pas fait pour les nuances claires. Mais peu vous importe, pourvu que vous échappiez aux conseils des personnes expérimentées.

Ce jugement ne m'émut pas. Au contrai re,. il me confirma dans l'idée que ma toi» lette était fort réussie. Et les compliments plus ou moins bien tournés que me glis sèrent mes danseurs achevèrent de m'en

convaincre.

L'après-midi était chaude et belle. Aussi quittait-t-on volontiers les salons pour se répandre en groupes dans le jardin très ombragé oû le buffet était dressé. En ter minant une danse pour laquelle il avait été mon cavalier, le docteur Borday me de manda si je voulais prendre une coupe de Champagne. J'acquiesçai et il m'emmena au dehors.

— Voyez, me dit-il à mi-voix, en me montrant une échancrure bleue dans le feuillage touffu des vieux hêtres, « votre robe est de la couleur du temps ».

Il ramena son regard vers moi, et Je rougis un peu, car une lueur d'admiration y avait passé.

Nous nous assîmes non loin des tables du buffet et causâmes en vidant lentement nos coupes. Il avait un tour d'esprit, une culture Intellectuelle qui le mettaient audessus des autres jeunes gens présents a cette réunion. Son regard était agréable, un peu câlin.

(A

suivre)

DERNIERE HEURE Le voyage présidentiel SERVICES SPECIAUX TELEGRAPHIQUES. TELEPHONIQUES ET T-&& du Paiii «

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A LA CHAPELLE-AVX-POTS PRES LE BEAUVAIS

}our défendre

LES TROUBLES AUX INDES

Conférence des trésoreries (SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE) cette évocation puissante de la mère a Cette prière fut exaucée et aujour patrie.

L'ARRESTATION des principales puissances d'hui Boufarik est devenu une des plus En cette année du centenaire de la coquettes et plus riches bourgades de la libération et de l'affranchissement de région avec l'immense étendue de ses l'Algérie, que -de magnifiques résultats, créancières de l'Allemagne vignes, de ses champs de blé, d'oran etqueaussi de merveilleux progrès déjà réalisés DE GANDHI gers et de citronniers, avec ses plan splendidesque de beaux espoirs, que de '

son père

une femme e'gorge

«

s'est ouverte hier à Paris

{SUITE DE LA PREMIERE PAGE) '"{De- notre correspondant particulier.)

Londres, 5 Mai. «— L'arrestation de Gandhi a causé, non seulement aux In» clés, mais aussi à Londres, une ,émotion intense. On se demande, en effet, de quelle manière les volontaires de la désobéissance accueilleront cet événe ment et dans toutes les villes des. Indes les autorités prennent des-mesurés sus ceptibles de parer à toute éventualité.

La décision du gouvernement d'incar

Elle va discuter l'emprunt destiné à mobiliser les obligation? prévues par le plan'Young

tations de tabac et ses distilleries d'es sences parfumées et d'alcool.

Les habitants de Boufarik acclament avec enthousiasme le Président de la République.

L'inauguration du monument au génie colonisateur

perspectives entrevoyons dans l'avenir du peuple nous algérien, qui est et qui ne peut être qu'un tout homogène, une partie intégrante du peuple français, uni dans le nveme culte d'amour pour la France et poursuivant le môme idéal Voir la France toujours plus grande, plus: prospère, plus glorieuse !»

LE BANQUET DES DELEGATIONS FINANCIERES

son mari Beauvais, 5 Mai. — Un drame, dû une fois de plus à l'intempérance, ensan glanté aujourd'hui le bourg deala Cha-

pelle-aux-Pots.

Au lieudit « Les Planquettes » vivait la famille,JLetrain, le mari, 35-ans, ma çon et bouvier; sa femme, née Camille Ledoux, 30 ans, et leurs deux enfants, figés, la fillette de 9 ans, le garçonnet de quatre ans. v Letrain, qui s'enivrait fréquemment, menait la vie dure à sa femme qui, à plusieurs reprises, dut se réfugier chez ses parents, habitant une maison voi sine.

Samedi, à la suite d'une dispute plus violente encore que de coutume, Mme Letrain se réfugia avec ses enfants chez ses parents et ne réintégra qu'hier le domicile conjugal. Aujourd'hui à midi, Letrain qui n'avait pas cessé de boire, commença, aussitôt rentré, par briser quelques meubles, puis, «'armant d'un poignard, cria à sa femme : « Je vais te faire ton affaire. » La petite Jacqueline, 9 ans, s'interposa et réussit à se faire remettre l'arme. L'i vrogne sortit alors pour aller boire de nouveau. Son absence fut.de courte du rée et sa femme en profita pour donner du pain à ses enfants et les envoyer à l'école. Quelques minutes après, Letrain était de retour. Les violences recomn mencèrent aussitôt. Des voisins virent Mme Letrain sortir précipitamment de sa maison suivie de son mari qui l'em poigna par les cheveux et la terrassa.

S'étant échappée, la malheureuse se précipita .chez ses parents, toujours poursuivie par la brute.. M. Ledoux, qui achevait de se raser fit face à son gen dre, mais celui-ci, maintenant son beau-' père contre le mur, le frappa violem ment. Mme Letrain, saisissant le ra soir de M. Ledoux, se précipita au se cours de son père et d'un coup violent , trancha la gorge de l'ivrogne s'é qui croula, tué net.

Le Parquet de Beauvais, accompagné du médecin-légiste, s'est rendu sur les lieux. La meurtrière, qui a déclaré ne pas regretter son acte, a été mise ert état d'arrestation.

Une Sage :

LA SESSION

des Conseils généraux Précaution digeslive (SUITE DE LA PREMIERE PAGE)

Aù conseil général de la Meuse Puis, le Conseil général a adopté à l'unanimité le vœu suivant, présenté par

M. Honnorat : « Le Conseil général de la Meuse ex prime à son président, M. Raymond Poincaré, la Joie profonde que lui cause sa complète guérison et se félicite de voir le. grand citoyen, dont la Meuse est légi timement flère, en état de continuer à la patrie ses èmlnents servicesr II adresse au gouvernement, présidé par M. Tardieu, l'expression de sa confiance pour mener à bien, dans l'ordre, la concorde et la paix, l'œuvre de redressement économi que qu'il- a su vaillamment entreprendre.

Il tient à remercier M. André Magl^ot, ministre de la Guerre, des efforts qu'il fait en vue de protéger nos frontières d'assurer contre toute agression la déet fense du pays. » M. Lebrun en Meurthe-et-Moselle Nancy, 5 Mai. — La session d\f conseil général s'est ouverte matin, sous la présidence de M. AlbertceLebrun, vice-pré sident du Sénat. M. Lebrun a exprimé les vœux du conseil qui accompagnent M. Gaston Doumergue pendant son voya ge en Algérie où le visage de la France apparaît dans l'œuvre civilisatrice qu'elle, a accomplie pendant un siècle. Il a pro noncé l'éloge de la colonie dont les sen timents unanimes ont supprimé toutes les divergences d'Idées et d'Intérêts entre les divers éléments de la population.

Si vous êtes sujet à des indigestions vous souffrez inutilement, car vous

pouvez obtenir un soulagement rapide et certain en prenant de la Magnésie Bismurée. Les gênes digestives doivent très souvent, leur origineà-l'hyperchiorhydrie ou excès d'acidité, et la Magnésie Bismurée .neutralise l'excès nuisible prévenant ainsi les brûlures, les pesan teurs, les renvois acides,les gonflements t tous les malaises qui suivent la fertentation ies aliments. AveclaMagnésie*Bismurée vous n'attendez pas des heures pour éprouver un soulagement ; elle agit en quelques minutes et son emploi n occasionne pas l'accoutumance. « La Magnésie Bismurée,qui est inoffensiveet facileà prendre, se trouve en poudre et en" comprimés dans toutes les pharmacies»

.

Hier matin s'est ouverte, à 11 heures, Devant le monument élevé à la gloire dans une annexe de la Commission des du génie colonisateur de la France, mas réparations, 18, rué de Tilsitt, la réu se sculpturale impressionnante, grandio Le. soir a eu lieu le grand "banquet des nion des délégués des trésoreries des se, muraille blanche de 40 mètres de Délégations financières. Dans un dis principales puissances créancières de large et de 15 mètres de haut, sur' la cours très applaudi, M. Bordes, l'Allemagne : Belgique, Franck, Grande- quelle se détachent les statues des héros neur général de l'Algérie, a gouver cérer Gandhi avait été tenue secrète. Bretagne et Japon, afin d'étudier les dont l'Algérie est fière et des' bas-reliefs l'œuvre admirable des pionniersretracé L'arrestation a eu lieu après minuit, au propositions faites par les dirigeants de qui évoquent les travaux des premiers taires et civils-venus pacifier cette mili par camp de Karadi où le chef nationaliste a Banque des règlements internationaux colons et les splendides récoltes dont au tie de l'Afrique du Nord. Et 11 a conclu: reposait paisiblement, ne se doutant de au sujet de l'émission de l'emprunt 'de jourd'hui bénéficient leurs enfants, de — Mais, au-dessus de tous, très haut, rien. Le magistrat du district, le chef de 300 millions de dollars destiné à mobi Président de la République, salué par resplendissants danB l'apothéose de leur la police et son adjoint, accompagnés liser la première tranche des obligations M. Froger, maire de Boufarik, prend pla gloire, apparaissent les enfants de notre d'une vingtaine de policiers armés, pé du plan Young. : ce dans une tribune, face au monument. terre morts pour la patrie ou, muettes nétrèrent dans la chambre de Gandhi. La réunion, qui avait on caractère La foule crie avec enthousiasme c vive dans leur douleur, les victimes de la Ce dernier ne les entendit, pas entrer et strictement privé et sur laquelle aucune Doumergue, vive la France, vive la Ré grande tourmente. Pourquoi d'ailleurs *°US cette évocation ? Dans un esprit aussi le chef de la police dirigea sur la fi information n'a été donnée, s'est ter publique ». andV averti et aussi perspicace vôtre, ce le ,B : que ce meS minée à Gandhi 13 Au de heures 15. du pa* les rayons d'une lampe gouvernement M. Léon défilé de nos physionomies algériennes gure nom çfè** 1 ;( électrique.

On sait qu'actuellement l'Allemagne a Baréty, sous-secrétaire d'Etat au Bud s'était formé de lui-même; vous le aP" —< «t ® , leu* ratifié Un incident le à plan Young déposé get, prend dans Nous et l'ordre la le parole.

Bas-Rhin de placer contempliez ses d'un regard qui en embras .avons a « vous elle . instruments C'est de ratification. sait d'abord la noble mandat.'d'arrêt La Belgique tout ordonnance, vous méditiez sous pour évoquer la lut Strasbourg. 5 Mai. — Le départ de M. », dit-il à Gan dhi, lorsque celui-ci s'éveilla. Sans la et la France ont déjà ratifié et sont te opiniâtre que la nature sur cette terre sur les leçons qui surgissent en ce passé; Borromée, préfet du Bas-Rhin, a soulevé vous vous prépariez à rendre à tous ces peine vaincue livre perpétuellement bons moindre émotion, le chef de la désobéis- prêtes également à déposer leurs Instru Incident, un cet après-midi, conseil au Algériens, qui furent de grands ,°{Seevn° général sançé demanda seulement la permission ments de ratification. D'autre part, i'An à l'homme, ' du Bas-Rhin dont la session été a Français, l'hommage leur doit la que • ouverte à 16 heures, sous la présidence de 109 de se. l%ver les dents, rite >qu'accomplit gleterre et l'Italie sont sur le point de bîrtss , Certes l'Algérie dans toutes ses par patrie. es* — ws M. QberJclrch, sous-secrétaire d'Etat, pré religieùàeiiient.tout Hindou à son réveil. ratifier le plan Young. Par' conséquent, ties a eu à vaincre, depuis un siècle, des De. votre bouche, Monsieur le Président «a sident du conseil, général iteP*** du Bas-Rhin. >116 e Cstte autorisation lui fut accordée. En les instruments de ratification des quatre difficultés et des dangers quelque peu de la République, tomberont des paroles — Dans discours d'usage, aS son M. Oberklrch mais nulle part mieux qu'à que nos populations attendent avec un et° r e ' tre temps, les disciples de Gandhi, qui puissances dont l'adhésion est néces Identiques, rendu hommage & M. Borromée et a ex a Boufanfc, frémissement joyeux comme étant celles se synthétise cette lutte con-' avaient appris la nouvelle, arrivaient les saire à la mise en vigueur du plan tinuelle etnetragique primé la reconnaissance du conseil géné de la France elle-même et parfois, qui les recueille l'homme Young que bientôt déposés. seront à Il est ral et de la population, Après un aperçu après autres les dans la chambre. uns eu à livrer &.la.nature.et au milieu am ront avec un filiale piété: et, c'est pour sur la situation politique et économique.

Prié de; se hâter, Gandhi demanda à ses prévoir que l'émission de l'emprunt' de abiant. déjà vous ' manifester respectueusement Oberklrch a rendu hommage à l'aotion M, iOO millions de dollars lieu dans (fidèles de lai chanter un hymne hindou, aura la reconnaissance de l'Algérie qu'en son De cette lutte, l'homme sort toujours éolatante si quelques semaines avec laquelle le préaident du et que, par' consé anobli, grandi. puis remit à l'un des assistants une nom Je lève mon verre, Monsieur le Pré Conseil, M. Tardieu, quent, a su défendre à La Je plan Young entrera prochaine--, Et M. Léon sident,"en votre honneur. > lettre adressée au vice-roi. Il sortit du ment Haye, les Intérêts Baréty de la France. de conclure. vigueur.

Le discours de M. Doumergue camp entouré d'agents et-fut conduit à C'estenMM. Nous confiance, a-t-il dit; avec avons « Farnier et Blzot, directeur, — De cela, l'Algérie peut être certaine et la gare. TJn wagon spécial avait été ac- et directeur-adjoint les brillantes qualités d'homme d'Etat qui marchant Répondant d'un même pas vibrant d'un aux discours, le Président du mouvement gé même lui sont M. croché-au train de Borivili, une gare des néral Tardieu propres, saura con être sûre que les de la République dit sa joie de voir cœur, elle peut fonds, qui représentaient à duire notre cette vole pays prospé en de environs de Bombay. Deux officiers de séancedes besoins de développement économique l'Algérie puissante et en plein .dévelop son d'hier, matin, la trésorerie' fran et social sont rité qu'il s'est assignée comme la t&che police, dont un Européen, accompagnè compris et la pement. Parlant de la prise d'Alger, M. connus par essentielle de sa politique. -» çaise. métropole. rent le leader nationaliste. A trois cents 'Doumergue Après son discours, M. Oberklrch a dit : Une œuvre de colonisation n'est jamais VOUS yards environ dé la gare de Borivili, le, O» . donné lecture d'une motion par laquelle ( terminée.

Le Comité Fustel Gandhi d'Arbitrage de Coulanges, dont stoppa,et train prit place dans nous le conBeil général rend hommage à rémi —r ECLAIRER MM. Mercier, Froger, prennent ensuite avons, il y a peu de, jours, célébré le nent administrateur qu'est M. Borromée une automobile qui attendait. Les stores centenaire, écrit qu'il était fort a rare la parole. Leurs discours sont vivement qu'un grand fait ait été compris et qu'il assure du fldele attachement du en furent baissés et, comme le chauffeur par ' conseil général et de la population du a discuté la convention applaudis. portait un costume civil, personne ' ne ceux-là mêmes qui avalent travaillé à le Bas-Rhin.

Le cortège parcourt encore les rues produire et 11 ajoutait qu'il semblait être put se douter que le chef révolutionnaiAu moment de -mettre aux voix cette pittoresques ré hindou de Boufarik pour se rendre au-dessus des forces de l'esprit humain financière trouvait à l'Intérieur de la se motion, M. Michel Walter, député de Haà la coopérative des tabacs. Les plan d'avoir l'intuition nette du présent. .voiture. Un peu' plus tard, l'auto, escor s'est levé. Il s'est opposé à la guenau, INAUGURATION TRAGIQUE teurs de la Mitidja ont construit là un Qu'il y ait eu, au lendemain de la prise tée de' deux voitures transportant des mise aux voix de cette motion et en a dé D'LN AERODROME MEXICAIN et au cours des années qui sui grand hall moderne de dimensions con d'Alger posé policiers, ; faisait son entrée à la prison autre qui déclare : notamment : une virent, en présence d'énormes difficultés Genève, 5 Mai. — Le Comité d'Arbi sidérables, décoré de banderoles multi et Le Conseil Général du Bas-Rhin, en de Yerida; non loin de Poona. a de responsabilités redoutables, des Une auto renverse trage et tribune de Sécurité-a achevé,-au présence des décisions ministérielles con colores, Entre les cours balles une de tabac, un doutes, des tâtonnements et des hésita I Son régime en prison de çes deux séances d'aujourd'hui, grand espace vide a été- réservé. Une cernant les. changements dans l'adminis tions sur la conduite à tenir, c'est cer tration, contenant 2.000 1 du projet de convention table examen est dressée tain et fort compréhensible. personnes Le ' gouvernement des Indes versera pour un vin d'honneur. » Considère ces changements adminis d'assistance financière et notamment Mille personnes sont Mais ce qui n'est pas moins certain; debout qui applau c'est chaque mois a\i directeur de la prison de.l'article tratifs comme susceptibles d'amener une 1,de la.Convention, qui pré dissent et acclament le Président de la que,-sous tous les régimes qui se 7 livres 10 shellings pour détente dans la situation politique du une somme.de sont, suoeédè depuis.l'initiative prise par Six morts ; 36 blessés que l'assistance financière sera République. pays, que lé détenu n'ait pas à se contenter voit Gouvernement de la Restauration, au donnée dans tous les cas de guerre ou Répondant au toast de M. Vagnon, le New-York, 5 mal. — On mande de » - Félicite le Gouvernement d'avoir dé de l'ordinaire 'des autres prisonniers. gouvernement cun s'est dérobé devant ne de où Conseil claré de le de le Président de la République prononce les devoirs qu'imposaient les conséquen Mexico à l'Associated Press qu'au cours guerre menace que la politique, en Alsace comme Gandhi a été arrêté en vertu de l'or la société ailleurs, est l'affaire du Gouvernement et prendra une décision de ce une allocution très applaudie pour fé ces de ce premier acte. de l'inauguration du nouvel aérodrome donnance No 25, promulguée en 1827, ce préfet, du non pas Tant 11 est vrai qu'en, France, sous les de Guadalajara, à l'ouest du Mexique, en faveur d'une partie contrac liciter les colons de leur admirable ef qui.-permet -au gouverneur de le garder genre déclare Et rester fidèle à Une politi » impliquée dans la guerre ou dans fort". ' agitations de surface, toute action que une automobile enfoncé sup-* des qui, en prison sans le faire juger aussi long tante a tout que l'Instinct un en sauvegardant l'intérêt UTILISEZ profond de notre race devine ports de la tribune chargée de de guerre. , i supérieur temps qu'il lui plaira. Sa libération dé la liemenace de la specta nation, tiendra compte "L'allocution ' du Président propre à servir les grands intérêts natio teurs, laquelle délégué de la Finlande a Insisté des revendications DIFFUSEURS régionales de notre po pendra donc, sans aucun doute, de la écroulée. s'est poursuit, poussée, avec naux se sous sa que'l'on dis tienne des compte pour pulation.

Deux mille personnes entraînées sous » tournure que prendront les événements positions du pacte de Paris, qui a ren une continuité que rien, Jusqu'au succès, M. Doumergue dit notamment,: M. Golllard, secrétaire général de la pré l'échafaudage peut interrompri.-. ne ont dû être dégagées.

On au cours des prochains jours. fecture du la guerre illégitime. A son -vis, Au du du Bas-Rhin, L'Algérie très cours rapide, qui représente trop voyage est aujourd'hui indissoluble retiré 6 morts et 36 blessés.

— Le communiqué du gouvernement l'unanimité exigée du Conseil ppur o- rapide, ministration au conseil général en l'ad que t'ai fait en Algérie, J'ai tenu ment associée à notre avenir et à notre a à. rendre visite & ce centre de Boufarik fortune. préfet, s'est opposé à la misel'ab du sence Qiminueralt les l'assistance, corder aux ga .

GRAVES EXPLOSIONS Le gouvernement a publié un commu ranties de sécurité.. dont Je connaissais l'histoire car Je suis, Sa population voix de cette seconde motion en raison • Indigène, : que nous rou niqué disant notamment que Gandhi moi aussi, un vieil Algérien (vifs app.). Je lons instruire, doter du plus grand bien- DANS UNE USINE' DE LIVERPOOL de son caractère nettement politique.

M. délégué la de France, Le Après une courte discussion, les deux savais la transformation prodigieuse qui être et élever graduellement jusqu'à nous, avait été arrêté en tant que principal Massigll, s'est rallié au point de .motions du vue été opérée avait ont été renvoyées à la commis l'effort et surtout la- grâce au concours éclairé et - dévoué de par instigateur de la campagne de désobéis représentant de la Finlande. Il a sou volonté de Quatre • morts 110 blessés ; sion colons-et de ses ses habitants ; son élite, est venue sans hésiter verser sance aux,Jois,,d'infraction à l'ordre so ligné que l'intervention du Conseil te mais rien n'Instruit mieux que le specta son sang pour la défense, de notre sol et La question des douanes à la frontière cial et en tant que responsable des gra produirait en cas de violation d'un en cle. des faits. {De notre <correspondant particulier.)de indépendance.' notre ' suisse . t ves désordres qui ont éclaté dans toutes gagement international; mais il faudrait Mon admiration tout & l'heure était Elle a contribué à notre salut.

Londres, 5 Mai. — Deux formidables Elle est les parties des Indes. « Un tel mouve tout de même que l'on (stipulât dans la constante quand Je traversais cette immen donc plus Annecy, 5 Mai. — Le conseil général de que Jamais près de notre cœur explosions, qui ont détruit en partie la ment, ajoute le" communiqué, aboutit convention, que lé Conseil aura l'obliga- se plaine où tout respire la. richesse et Je lui en donne- l'assurance et-Je-la la Haute-Savoie s'est LES-BAINS sous la prési H- r le travail. J'ai l'explication de ce remercie au nom de la Patrie commune. fabrique de ' tourteaux ' Bibby, à ' Liver-r dence de M. Fernandréuni inévitablement à des>. aotes -de violepee titfft' d'â£fcordeir l'assistance financière à ^appelle David, ministre de ont causé la mort de quatre ou l'Agriculture, présldeati- 'qui.-au par ce que Je vols ici. Vous avez Et il termine ainsi, au milieu des pool, iiiiiiniiiiKliii . qui deviennent de jour en jour-plus fré moins: que certaines obligations ne soient résultat de «cours vriers, réussi tandis individuellement, 110 de leurs .parce que, que discours, vous camara dit notamment son applaudissement a quents et échappent désormais au con pas remplies; de cette façon les Etats en aviez la volonté, non seulement, mais de tous les convives : : des ont été blessés, dont une vingtaine I Les contestations trôlé de Gandhi. » soulevées « par la De l'œuvre déjà accomplie et qui n'est, très grièvement. contractants auraient le sentiment que parce que vous avez en même temps com . «ijw Suisse contre le maintien du cordon doua que c'était par la mutualité, l'union, Messieurs, qu'un' commencement; nous L'émotion aux Indes était la convention leur accorde des garanties priscoopération Il 11 hgures 20 lorsque la premiè nier frahçàls & notre frontière politique le droit d'éprouver une légitime re explosion produisit a que voUs pouviez décupler avons des Bronches supplémentaires. vont être prochainement examinées , se onzième éta au fierté; elle nous a donné une grande forces.

Les fêtes oentenalre vos du • . auront ' Dès qu'ils eurent appris la nouvelle de quant Après une discussion longue et ani permis de constater les résultats que vous confiance en nous-mêmes; elle nous a en ge de l'immense immeuble, haut de 65 au fond, par la Cour de La Haye. l'arrestation de leur chef, les volontai- mée, Nous pleine confiance dans la dé. s avons mètres. articles l'ensemble des Presque j. été. aussitôt après, une deu clsion des juristes ren avez obtenus.' Vous aures. de» visiteurs, là richis d'enseignements précieux; elle nous a jiinininiiuii' ' res du Congrès nationaliste ont parcou composent. qui la xième .

I montré voyé au ! Comité de rédaction, et M. prospérité en résultera. explosion ébranla le bâtiment, M. Fernand David, ensuite, examine la la route à suivre pour que notre a 29 MAI - 30 SEPTEMBRE ru les rues. dq Bombay. Munis de son Cobian, passionné de tandis pays, paix, été d'Immenses délégué de dé naine l'Espagne, ni sans que flammes a Le cortège à.. part 10, heures de Bou sor situation générale du le problème et jalousie contre personne, toujours rarêt, taient-par les -fenêtres. Plusieurs pays nettes pour attirer l'attention de la fou signé comme, rapporteur. , farik éta agricole. pour Sidi-Ferruch, lieu du débar dqns sa sécurité le, ils, s'arrêtaient à tous les carrefours effectivement assurée, à s'écroulèrent et les blessés, appelant quement de 1830. la conciliation et à l'entente, ait un ave ges Dans le Nord etr d'une voix forte, demandaient à la à l'aide, poussaient des NAIIÀS cris déchirants. prospéré Il, suit deux magnifiques allées nir PACHA HIER de pla REÇU A paisible et digne do population' de cesser tout travail et de Des quatre morts, deux seulement ont . Lille, 5 Mal. — Le. première session ort passé, des durs-combats qu'il a son tanes traversées de champ d'orangers et grand dû LUS INSTRUCTIONS prendre part, ce soir, à une grande ma du conseil général du Nord est des souffrances et des épreuves pu être, identifiés. Les deux autres sont dlnalre de citronniers, puis des vignes à l'infi soutenir, ouverte à la préfecture. La nifestation. Les autorités ont immédia DE SON GOUVERNEMENT qu'il a vaillamment supportées, des gloi absolument méconnaissables et leur journée aujourd'hui ni. été consacrée a aux travaux des tement fait appel à la population bri res qu'il a acquises, du haut idéal de identité ne pourra être établie que lors bureaux et des commislons. les Tous villages allons tra La première que nous Justice, de tannique. Les forces régulières et auxi et de civilisation qui qu'il aura été possible de procéder à séanoe publique Londres, 5 Mai.— Le courrier Igyp verser jusqu'à Sidi-Ferruch ont revêtu l'a, de toutprogrès lieu mardi & 12 neu aura temps et en toute circons l'appel des blessés, dont quelques-uns res 30. liaires ont .été mobilisées, tandis qu'il a tien est arrivé cet après-midi à Croy- leur de fête.

Inspiré. tance, parure > été procédé à une distribution d'armes don. Il s'est immédiatement rendu au L'ordre- du jour de cette première ses ne paraissent pas devoir survivre. ' Ce haut idéal, il est aussi le vôtre, frè parmi les employés de3 banques et des près de Nahas pacha, auquel, il a re A Sidi-Ferruch sion est assez chargé. Lassemblée dépar res algériens ! tementale devra discuter le rapport du malsons de Tous les 1 commerce. maga mis les documents dont il .étajt porteur. i Aussi est-ce avec enthousiasme que Je préfet sur la reconstruction et la liqui UN CAMION AUTOMOBILE à l'Algérie, fleuron de la couronue sins hindous et la plupart des boutiques La délégation égyptienne a de- suite De Boufarik & Sidi-Ferruch, la route bols, dation des dommages. Il examinera de appartenant à des Mahométans ont été commencé l'étude de la réponse du gou traverse dé nombreux vergers, potagers française, témoignage et récompense de nombreuses questions : assistance, lutte nos qualités et de nos travaux, réconfort* tombe fermés; ainsi que le Stock Exchange, la vernement du Caire, afln.de pouvoir re et vignobles et une forêt épaisse. d'un pont contre la tuberculose, construction et de notre patriotisme, gage et promesse Le Président arrive à 10 h. 45 au mo de Bourse'du coton et celle des céréales. prendre dans le plus bref délai/la négo fonctionnement centre anticancéreux nobles et belles aestineee.. la ligne Paris-Saint-Germain et spécialisation du nument eommémoratlf.

Deux détachements'du régiment d'East ciation avec M. Hendersofi; sur de l'Université de Lille C'est uné stèle de marbre très simple Lancashi;;e ont pris position à Jacob's au point de vue Industriel. De nombreux Uhe jeune fille de 20 fort vœux ont été déjà déposés sur lè bureau mais émouvante, qui commémore Circle, dans le quartier des fabriques, ans Congrès Pour lé eucharistique Un l'événement camion historique Elevée de gros fréquentes, 1830. service où les émeutes sont de la ville du conseil général. et dans au trouvée est assassinée de Courbevole, conduit par le chauffeur Dans le Jura divers postes de police, afin de prêter de Carthage 1.800 personnes au sommet de la petite presqu'île de Si Ernest Lagrassière, suivait, hier aprèsmain-forte aux agents, le. cas échéant. Se .sont embarquées à Marseille di-Ferruch, elle est le centre d'un pa Lons-le-Saunier, 5 Mai. —La première midi, la du Transvaal, De plus, la brigade des automobiles lé norama immense des côtes et des cam à rue la Gasession ordinaire du conseil général du Le bandit est arrêté tt renne-ColomBes, le long de la ligne du Jura s'est ouverte sans incident. M. Be pagnes algériennes. Un bas-relief sculpté gères, organisation volontaire, a été Bordeaux, 5 Mai. — La région de chemin de. fer, lorsqu'il monta sur le noit Barnet, qui présidait en l'absence de Mftïseillè, 5 Mai. —- Plus de 1.800 sur la façade symbolise la France et alertée et se tient prête » intervenir en congressistes catholiques rendantCastillon au l'Algérie, enlacées. Une inscription rap vient d'être mise en émoi par trottoir, au pont de la Puce, défonça la M. Dumont, sénateur, retenu à Paris pour EXPOSITION INTERNATIONALE -se i cas de besoin. sont Congrès Eucharistique Carthage de de famille, a fait l'éloge de la loi Industrie, Sciences et Applications, AH un crime vraisemblablement crapuleux. barrière, et tomba sur la voie. Les deux raisons A Karachi, la police, craignant des partis cet après-midi de Marseille à bord du pelle":. " ' les sociales et en parti wallon ancien, Agriculture, Congr&s> sur Une jeune fille de 20 ans, Mlle Simone voies Parls-Saint-Germain ont été obs culier assurances troubles à là suite des menaces proférées paquebot Gouverneur-Général Tirman, qui » Ici, le 14.juin 1830, par ordre du roi dispositions favorisant des les agri Musique, Sport» et Tourisme, Attractions X, sous le commandement du gé Boussac, vendeuse de journaux, a été truées pendant cinq heures. -Les pom culteurs, par les volontaires, a réquisitionné les leur était spécialement réservé, et des Charles MAI-NO V EMBUE de Bourmont, l'armée française vint tuée, de trois coups de -revolver, par un piers de Courbevoie ont été appelés et Dans la Côte-d'Or armes et les munitions chez tous les ar courriers Musiaplia et La Marsa II, à des néral arborer ses drapeaux, rendre la liberté aux jeune homme de réputation déplorable la gare Saint-Lazare, avisée, a fait in muriers et les a transportées à J'Arse- tination de Tunis.

Dijon, 5 Mal. — La 'première session dU mers, donner l'Algérie à la France. Cent Roger Dupoy, 20 ans, cultivateur, à terrompre le courant et a envoyé une Conseil ijal, ' situé à 13 kilomètres de la ville, ARROSEZ j général s'est ouverte sous la pré* après, République française la ayant Saint-Laurent-de-Combes. puissante les lieux grue de l'acci sur Dans un seul magasin, les policiers ont Des communistes chinois enlèvent ans sidence, du docteur Chauveau, sénateur, donné à ce pays la prospérité, la civilisa votre JARDIN ; dent Mlle Boussac avait quitté dégager Castillon les pour voies. qui a parlé des récentes élections sénato saisi 700 armes, et 600.000, cartouches 'Algérie tion la Justice, l reconnais avec missionnaires espagnols des Le chauffeur, qui souffre d'une vio riales et du r&le de la haute assembléè, ainsi qu'un quintal de poudre à canon, sante adresse a la mère-patrie l'hommage dimanche matin, pour aller porter, à avec les : "'ï bicyclette, lente des Il passé journaux à commotion, les abonnés travaux parlemen attachement. do Impérissable n'a rien a en revue ses dire son Tuyaux pu, » sur talres récents. Une adresse été votée, caoutchouc L'assemblée législative ; environs et encaisser le montant de les causes de l'accident. M. Vanègue, Shanghaï, via Londres, 5 Mai. — Le a Sur l'autre façade est inscrite une des laquelle le conseil général se fait un correspondant du Times télégraphie que phrase de la proclamation du général quelques abonnements pour une somme commissaire de police de Courbevoie, a par est ajournée indéfiniment devoir de rendre hommage au travail et Increvables et inusables 27 avril, des communistes ont attaqué de Bourmont, au corps expéditionnaire : de 80 francs environ. Ses parents, in ouvert une enquête. à persévérance la Marques Durand lesquels dé En même temps qu'il .ordonnait l'ar le avec son quiets de ne pas la voir revenir, aver capturé Père Herde Taiho le la ville et voué président donné Catalogue celle La de la France est de a sa comme cause mesure « : ' restation de l'instigateur-du mouvement, tirent la gendarmerie, tard .dans la soi LA DECOUVERTE DE LA CHAUSSURE rapporteur devant le Sénat de tous les i»UKANI>. lï8. Boulevard qui, Téussit à s'enfuir dit-on, jus rera, Montrez-vous l'humanité. dignes de votre PARIS l'erelrc, de résistance, le vice-roi a signé un dé qu'à Anking. Le jour suivant, les com belle mission. Soyez Justes et 'humains rée. et les recherches commencèrent. textes relatifs & l'œuvre si ardue et si DE LA VICTIME PERMET cret ajournant sine die l'assemblée lé munistes attaquèrent Youchan et enle après la victoire. » Elles ne donnèrent de résultats que le complexe de solidarité humaine, qui Si vous DE RETROUVER L'AUTEUR oppressé gislative. On se souvient que le président vèrent les Pères espagnols Hidalgo et comptera parmi lendemain les plus matin. réalisa vastes défilé des Le . troupes tions sociales de la Troisième République.

D'UN ACCIDENT " de cette assemblée, élue sous le régime Arito, dont Vers 10 heures, en eflet, on découvrit est sans nouvelles jusqu'à de la Constitution de 1919 qui accorde présent. ; on Puis M. Gaston Doumergue, entouré le cadavre de la malheureuse; près du moindre effort au COMME DANS .....

LES à l'Inde une certaine autonomie admi CONTES DE FEES bois Remises, des à mètres Chambres 500 du présidents bourg et des des deux Dijon, 5 Mai. — Eugène Martin em nistrative, M. Patel, a donné sa démle- Le consulat japonaisde Kharbine des assiste au défilé du 9* zoua de Villemaurine. La mort avait été pro ployé à la Compagnie ministres, de l'Est, et de sion il y a quelques. jours,: soulignant' Le Shah de Pei se fait venir tirailleurs, 13" sénégalais voquée de trois balles de revolver à la meurant à Isrsur-Tille, ayant trouvé du du 5' ves, Si vous souffrez d'emphysème* russo-<Jii«<>is attaqué bandits .par le« par ce geste le différend fondamental du 5" chasseurs d'Afrique et des marins tempe, à la main gauche et dans la ré-* sur la iroute une chaussure de femme, d'asthme, de bronchite chronique, Si qui sépare l'assemblée législative des gion du cœur. lies poignets es le cou fit des recherches et découvrit dans le 'du bataillon de côte. d'Amérique d'or auto votre capacité respiratoire est ré autorités ' britanniques. • L'assemblée Tokio, 5. Mai. —- Deux bandes d'apa- Cette revue magnifique .dans ce cadre portaient des ecchymoses: preuve que la fossé, le corps de Mme Mallard, 57 une ans. duite, coréens comptait, en effet, une. majorité natio ches russo-chinois ont attar fille vous et vous trouverez bien du dû se défen A la suite d'une enquête on a appré incrustée de à Jamais illustré émeut profondément malheureuse jeune a pierres acquise précieuses général traitement naliste, dre courageusement avant de succomber hendé à la sortie d'un village, un auto aux idées d'autonomie, qué, la huit dernière, le consulat tous ceux qui y assistent. au Pulmoll. Le Pulmoll débarrasse et conflits ou- tout au moins désaccords' japonais de Kharbine, brisant les vitres Le président félicite lè général Pa- fous' les coups de son assassin, les bronches des muco mobiliste dont la voiture était, en par Celui-ci, arrêté dans l'après-midi, fit tie, brisée et qui paraissait affolé. avec l'autorité centrale étalenc fréquents. et les fenêtres. Trente-deux meneurs ont quin, commandant la division d'Alger sités qui le^ obstruent, il ouvre à Il a Cherbourg, 5 Mai. bord A Le gouvernement de Delhi du et celui été arrêtés. qui présente les troupes. La comtesse de des aveux complets. Il prétend avoir avoué avoir causé un accident. Il se pa — l'air les alvéolés pulmonaires et per de Londres — avaient-ils des raisons de Bourmont -est présentée au chef de agît sous l'empire de la passion; niais nomme René Vougelot, chauffeur au quebot Minnetonka.-avA vient de passer met une respiration plus aisée.

Il craindre une aggravation en profondeur LES ROIS DE SiAM ET DE CAMBODGE l'Etat qui lui exprime l'émotion qu'il a le vol qu'il a commis du portefeuille de service d'un Parisien. en rade de Cherbourg, se trouvait une arrête la toux et, en même temps, magnifique automobile fabriquée en de ce désaccord de principe ? Mais ne ressentie à l'évocation du haut fait.ac la victime, semble montrer qu'il a froi fortifie, de r— =— Amérique et tonifle, —-r destinée !—; renforce les bronches ' devaient-ils pas redouter également l'in Perse. compli, sous le commandement du géné dement tué pour voler. au Shah SE RENCONTRENT A SAIGON Le congrès international Cette voiture d'une est valeur inestima et l'appareil pourrait avoir respiratoire fluence la foule Bourmont. ral de que tout .entier. sur des gandhistes l'aveu formel de ce dé Après un nouvel instant ,de, recueille Grave sccid&nt d'auto près de Chambér des chemins de fer s'est ouvert ble puisque seul le moteur est un moteur 10 fr, 50 dans toutes les pharmacies." de série. Tout le reste de la carrosserie est, en réalité, l'ajourne • saccord, qui Saigon, 5 Mai. — Le roi et la reine de ment et une pensée à ceux qui se dé —0>est fait de plaques d'or incrustées dé hier Espagne ment de l'assemblée ? vouèrent là pour la Patrie, le, président " Siam"sont arrivés à Saïgon. \ en pierres précieuses qui forment l'emblème Deux'morts; trois blessés Le roi du Cambodge, revenant du cap remonte en voiture. royal. L'intérieur la voiture est re Le retour au Palais d'Eté M. BRUNING EST DECIDE A AGIS Saint-Jacques, arrivé à Saigon, s'est Chambéry, 5 Mai. — A. Saint-Pierre Madrid, 5 Mai. —' Le Congrès inter couvert de soie et de des fourrures de loups rencontré, l'après-midi, avec le roi de d'Alblgny, d'Albertville, 'de route à ki national des chemins un fer de rapidement Russie sont étendues commence Le cortège file sur le parquet. sur une lomètre du Pont-Royal, une automobile aujourd'hui ses travaux Dortmund, 5 Mai. — Dans un dis- Siam, à un thé offert au Palais par le route Sénat.

Des Toutes au pierres arrive midi précieuses parfaite à les et Palais avaient été au conduite par M. Achille Gauthier, pro trains spéciaux sont arrivés à Madrid remplacées pendant la traversée çours au congrès annuel du parti du gouverneur général. d'Eté, après traversé avoir Staouel, priétaire à Saint-Maximin, a heurté un amenant de, nombreux délégués étran fausses pierres, mais les véritablespar de centre de Westphalie qui s'est ouvert Guyotvillc, Pointe-Pescade Alger et gem LE CAISSIER EX SON AGRESSEUR ans aujourd'hui à Dortnmnd, le chancelier LES TROUBLES EN AFRIQUE DU SUD s'arrêter. Sur tout arbre et- versé sur un talus en bordure gers. au nombre de 1.503 environ. Parmi mes seront remises en place long trajet, des ce par Eriining a déclaré que le temps der de la rivière, Le conducteur a été tué les personnalités qui assisteront aux tra joaillier royal lorsque l'auto arrivera le ETAIENT DES COMPLICES d'Algérois milliers acclament chaleureu à pourparlers infructueux entre les grou le coup ; sa femme, qui l'accompa vaux du congrès on cite notamment Téhéran. sement le- Président de la République sur < Mai. Worcester, 5 Quatre personnes maintenant gnait, .passé. s'agit, Il est eu les deux jambes brisées ; sa MM. Czapski, sous-secrétaire d'Etat aux Caissier de la Société' des cafés du Bré pas. a « a' de couleur et — la France. et un indigène ent été tués Le Président déjeune dans l'intimité fille a été grièvement blessée. Son beau- communications de Pblogne, Besser,' sil, t-il dit, d'empêcher que le crédit de l'Ai Bernard Boignaud était chargé de LA VIE AERIENNE l'échauffpurée d'hier. dans 15 transporter Il dans une banque la recette y. a iemagne soit miné tant a upoint de vue frère, M. Théophile Couturier a été conseiller plénipotentiaire allemand, Palais d'Eté. au de maison.

Xe 17 mars dernier, il était blessés. sa financier qu'au point de vue politique transporté dans une clinique de Cham Corpmullei* directeur des chemins de fer Visite assailli à la Medersa indigènes, par mais un Anny Juhnson a pris son vol un certain Maurice Raou'x, Ce ne sont pas les béry avec le crâne • horriblement frac allemands, douze délégués japonais et Il est temps d.'agir sans craindre l'im qui lui jetait du poivre dans les yeux et popularité en vuo de sauvegarder l'es groupes d'hommes de couleur en état turé ; il est mort er, arrivant. Le cin un délégués chinois. l'Australie Président Le pi>ur de la République ciérobait rendu les 30.000 l'rancs de sa sacoc&e. a d'ébriété qui ont été la cause de l'in visite à la Medersa d'Alger. quième,occupant-de la voiture, M. Char prit parlementaire allemand. » Drame lamentable Londres, 5 ? Non, comédie que Mai. L'aviatrice Amy — cident. les Poulet, été 54 blessé légère Boignaud Raoux -«s». ans, et : a de réception Johnson Au la pris machinée dequi fut faite vol, seule à bord cours de concert et dont Ils avaient a son Les polytechniciens visitent Tout est calme maintehant dans la à M. Doumergue, renient.

LES DETTES RUSSES ANGLETERRE Belhadj, avaient partagé les appareil, matin M' à Croydon, pour bénéfices. professeur son ce localité. Le capitaine Carter est dans de Droit musulman, champé les de bataille de Verdun prit la parole. se rendre en Australie, Elle se propose Arrêtés, ils ont comparu hier devant état très grave, plusieurs policiers Un navire-école belge arrivé est de batrre le Londres, 5 Mai.— A lit Chambre des un record de Hinkler, lequel «Votre visite la 12* chambre correctionnelle. Le talent & la Medersa, malcette Cinquante été blessé* à la tete. ont , po son de la science où sont enseignés les effectua 1928 le même à Bnenos-Aires en et de M' s Charles Giron et Francoul leur £• communes, M. Henderson, répondant à liciers armés sont par :.is hier soir du Cap voyage, cou Verdun, 5 Mai. — Près de trois cents vrit 35.300 kilomètres principes de la civilisation humaine, tant 15 jours et de valu de n'être condamnés qu'à -8 mois de une question, déclare qu'un accord a été pour Worcester. en élèves de l'Ecole Polytechnique ont par mi. ' prison avec sursis. Le père de Boignaud. en français qu'en arabe, est un signe évi conclu avec le gouvernement des Soviets Buenos-Aires, Mai. 5 Le bateau les dent du haut intérêt champs de bataille brigadier de gendarmerie en Suisse, avait de portez et couru la rive vous quj — Des Indes à Londres pour l'établissement d'une commission école belge Avenir porte l' arrivé , le est gouvernement Républi hier de la que droite: désintéressé la Société des cafés du Brésil. mardi ils rendront se : Les anciens combattants e sur la rive — Anvers mixte ' d'experts et de certaines sous mutilés 5* Mai. Baa3orah, Lettres, intellectuels Buenos-Aires. musul L'équipage que aux aux L'aviateur été Indien salué arrivas gauche; français Ils la journée de à Anvers. !«$» a mercredi sera Tata qui rend seul—à bord .— r— r— — commissions paur Tçxamcn de la ques ont visité le portsont . mans. » se d'un enthous.asme l'hô avion, été ont & avec les représentants Franeiiort-sur-le-Meln et consacrée i . à la reçus par visite la citadelle La de garnisoi: et : — des Indes en Angleterre, a pris son vol ce française de Bad-Kreuznach tion des dettes russes à l'Angleterre.

Et M' Belhadj finit son discours par de la presse et par la population. tel de vins. i de la ville. a évacué matin a destination de Badgad. ville sans incident.

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A TRAVERS LES DEPARTEMENTS

Apprentissages

Une matinée au Moulin-Rouge

Une force morale avait certainement (Souvenirs des années 1885-1900) voulu l'appareil funèbre de beaucoup de AISNE par Henri Duvernois plaisirs, la fête montmartroise en ces C'était hier...

Quel joli titre de particulier. Des êtres de famine han > NdReiit -I 'Artaud'•: Aujourd'hui,. b, :collection, séduisant! taient les endroits où d'autres, plus heu quel et Vic programme lQ."hs' 30. ont' lieu Jes obsèques de M. tor-Vallée. maire de Nogent-l'Artaud, con « C'était hier... » Hier qui nous parait reux, soupaient. De pauvres filles, vê seiller d'arrondissement du canton de si loin. Hier plus oublie, plus ignoré que tues par miracle de quelques oripeaux Charly, chevalier de la Légion d'honneur, Jadis." Hier, le consulat de Sadi Carnot tant bien que mal assemblés, crachaient cfeel de bataillon de'réserve et président leurs poumons en un rire qui avait des de l'Association Interrégionale des sociétés et de Félix Faure, les collets tylédicis prolongements de râle, -Beaucoup, fei ne gymnastique et d'éducation physique. et les robes Princesse. Boklini et la gnant la gaminerie,chipaient leurs mou M. Vallée est mort presque subitement en (Jîndara. la Czarine et la Berceuse choirs aux messieurs, qui ^'osaient pas à -Reims, son " domiplle, 38. rue Voltaire, le corps a été ramené "à Nogent-l'Artfaud, bleue, le « Modem Style » et les pre protester, et. revendaient, vers trois heu mouchoirs vo dans la Jburaee d'hier, i miers « accès » du Métropolitain, la rue res du' matin, leur lot deprès dé. carrefour..... du lavabo.

Au du Caire et Sadda Yacco... Une époque lés à un recéleur tapi -r- Suint-Quentin à: Fontalne-Uteite, l'Etoile-du-Berger un fin de la Goulue mourant mendiante » lointaine, chimérique, mais que je sens La - mqtocycllste,.M. Achille -Lecai't. 25 ans, de à l'hôpital est sinistre. Sa danse n'avait Lesidins. .revenait de Fiesnoy-ie-Grand, pourtant-frémir encore dans mes souve rien de gai. Son partenaire, Valentin le dérapa, sa .chaîne ayant-sauté, et fut, pro nirs.de tout petit et de jeune garçon. glabre, maigre à faire peur, le jeté sur lè sol'où 11 se fractura le cr^ne. Ht;nri Duvernois, le père de l'inou Désossé, nez troué de petite vérole, vêtu de noir, On "le transporta à l'Hôtel-Dleu de SaintQuêntln, mais 11 y succomba quelques bliable Edgar, Henri Duvernois, dont on son chapeau haut de forme vissé sur la heures après. a enfin entrepris de réunir les contes tète, un bout de cigare dans le coin de Vve Devaux, née Solssons Mme .-w: les meilleurs contes d'au la bouche, semblait, au cours du qua Blanche Bordier, 67 ans, 38 ter, cité Saint- délicieux; — Henri un croque-mort derviche. La jam Duvernois nous peint, drille, Crépln, a été renversée par ùn cycliste.à jourd'hui — érigée, be son talon dans sa main, la l'angle du boulevard Jeanne-d'Arc et de avec une exquise sensibilité, ses années Goulue elle-même blonde au visage dur, Ifi rue Salnt-Remy; Elle a été transpor d'enfance d'adolescence.

Quel charme et semblait reprocher d'avance à cette tée- aux hospices -la Jambe gauche frac dans ces pages, et quelle fantaisie pre foule l'ingratitude qu'elle lui témoigne turée. . ' 25 Verdilly Moret, Maurice ms. nante à mi-chemin du sourire et des lar rait plus tard. : . domicile de manouvrier. fixe, auteur Les sobriquets aussi étalent sombres : sans Jugez-en sur ce début : • cambriolages commis au préjudice de M. mes Il1 ia Goulue, Grille d'Egout, le Désossé. Le « y a des points de sensibilité par peintre de Tfrérasse. rentier, et de M. ï'héventn, dé orgies macabres, le terri bitant de boissons, a comparu devant le lesquels les enfants heureux finissent ble gnome ces Toulouse-Lautrec devait en tribunal correctionnel qui l'a condamné:à par ressembler aux enfants malheureux. fixer à jamais la désolation. Tandis que quatre ans de prison et a prononcé contre Les uns souffrent de ce qu'ils voient et les étoiles se figeaient dans leur qua lùl'-la- pèlne de la rélégation, v— Vervlns : A Burelles, des ouvriers de ce qu'ils entendent, les autres de ce drille immobile, un morne troupeau, agricoles polonais étalent venus passer la qu'ils devinent. C'est une question de ivre de soif et de faim, circulait sans nuit, dans un hangar' dépendant de la nature : aux cœurs rudes dans le promenoir. Et les étran tout est joie trêve croyaient ferme Mansard. Four se coucher, Ils allu et plaisirs; qu'il s'agissait là-dedans mèrent une bougie qui communiqua le. aux cœurs tendres tout est gers de -même, un peu, d'amour... La feu à la paille. Tpus s'enfuirent, mais peine et misère. J'ai connu un bohème tout musique seule faisait illusion... l'up d'eux, Jean i^lsnlewskl, 43 ans,1 qui qui offrait des jouets d'un sou aux bébés Une matinée au Moulin-Rouge. L'or ét&lt en état d'ivresse,' fut grièvement riches, alourdis soie. fourrure de et de chestre entame une valse... Une dan hrtllé. Conduit à l'hôpital de Vervlns, 11 décéda. Le hangar a été complètement « Je suis le seul, déclarait-il, à les pren- seuse décoiffe un admirateur de la pointe ydétruit, ainsi que.des appareils agricoles « dre en pitié. Ce sont de futurs pau- du soulier... On fait cercle, on applau et 5.000 bottes de paille. dit : « Plus haut 1 Plus haut I » Elle « vres... » IMeur parlait avec la-défé? hausse épaules... Elle n'obéira pas...

Ciel marquent aux C'est les facile les Fils du rence que EURE trop de lever la jambe pour tout petits, les amusait d'une: grimace, montrer orgueil ses jupons bouilavec les éblouissait d'un cadeau et disparais lonnés ddnt l'achat est. une ruine... Il MEURTRIER D'USE fiE VEUVE sait après avoir doré d'un peu dè féerie faut trouver autre chose... Elle hésite un i EST CONDAMNE A CINQ ANS ces mornes aurores-.. Le fait est qu'ils moment... Elle a trouvé... En tournant DE RECLUSION le suivaient d'un regard étonné et re sur elle-même, elle jette la traîne de sa Evreux, 5 Mal. — La deuxième session connaissant. Un salut de la petite main longue jupe sur son bras gauche... Elle • dansera comme si elle avait uïi enfant à dé: la'Cour d'assises de l'Eure s'est ou gantée, le pauvre jouet serré sur le endormir... verte aujourd'hui. Éous la présidence de M. Et cet enfant sera figuré par lingot, conseiller à. la Cour d'appel de cœur, comme un trésor. « Rendez-moi la traîne de sa jupe...' Cette jupe, elle la ltopen, assisté de MM, Caclielon et Lé- cette horreur, tout de suite! Vous êtes presse contre sa poitrine ; d'un geste vpque; Jugés au tribunal de l'Eure. La tou, glapissait la gouvernante. J'en maternel, elle en. rabat un morceau, première audience a vu comparaître l'oucomme elle rabattrait un voile sur de vi'tej- agricole Albett-Paul Dunumel, domi rendrai compte à votre pspa.. s> doux yeux baignés de sommeil... Cet en cilie a Bosc-Reguoult, 55 uns, inculpe de « — II va recevoir u.ie gifle, déclarait fant imaginaire, elle le berce, elle le cou 1026 L'accusé .était depuis le lo mfUrtre. qu'importe : Je lui aurai fourni cataire des époux Qarnler et, a la mort du l'autre, d'un regard ineffable. La salle est ve itlarl, 11 conçut l'espoir d'épouser sa veuvej les .lotions essentielles de la générosité, pleine à craquer. Tout le monde veut Mais celle-ci lui préféra M. Nouche. Un de la gratitude et de l'injustice. 11 se assister à cette pantomime nouvelle, à Jdur qu'il avait. surpris ce dernier the'i souviendra de moi... » ' cette danse inédite. 3t tout le monde l^mè Garnier, 11 fit'une scène a-celle-ci tard, beaucoup comprend, Certes, mais plus même les marchands de bes « au cours de laquelle-, lui arrachant un plus tiaux, venus entre deux paquebots pour tard, quand le souvenir devient un couteau qu'elle avait dans les màlhs, 11 rire un peu à Paris, même'une négresse l'en "frappa à deux reprises. Puis 11 prit la dédoublement, quand l'homme appe fijtftë, tandis que sa victime rendait le santi de jours cherche dans les endroits adipeuse qui écarte brutalement les gens dernier soupir. L'Inculpé, habilement dé; où il vécu jadis le parfum évanoui de afin que le léger fardeau de la danseuse fèndu par M" Gorges Menon, a été con a ne soit pas touché. Dans cette fumée, damné & cinq ans de réclusion. son enfance... » quelque chose de clair passe ; dans cette Le livre entier tient les rares promes touffeur, c'est comme un peu d'air^rais .

Le Troncq : Nous avons annoncé, ses on applaudit. Fini... La femme ne salue de cetté dernière page. . — qu'un vol hier, de 120.000 francs avait été Elle rejette violemment sa traîne, Duvernois Enfances Henri Les « ». plus...commis au préjudice d'un marchand de Son fonce premier professeur, Mlle Joséphine ,et sortsur les spectateurs qui s'écartent M. Bellay. L'enquête s'est poursui porcs, en courant, comme une folle, vie.,' hier, sans succès. Le vol a été commis Perrenaud. laquelle, à ses débuts, ayant si elle venait de perdre son en comme pendant une absence du marchand de donné des leçons à vingt-cinq centimes fant. duré qu'une heure, le cachet, s'estimait porçs, absence qui n'a jj'on parvenue au faîte n'a toujours aucun soupçon, « Elle va voir le sien, explique la né i .rr- Louvlers-: Le cours municipal de des des richesses parce qu'on la payait un gresse obèse... il est malade... » — Henri sin, organisé à l'école des garçons est obli franc la leçon d'une heure. Le collège* Duvernois. gatoire pour tous les apprentis de la mé tallurgie, du bâtlment-et du bols, âgés de e f l'éternelle aventure, que nous avo.is « Apprentissages », Collection < C'était tous connue, après le héros de Vallès, Hier... lu à 18 ans. a, éhez Hachette.

Les séances de tir au fusil Lebel, qui après le Jack d'Alphonse Daudet : ie -~ on^ commencé le 27 avril 1930, au stand costume singulier, ridicule, ' dont nous MOUVEMENT JUDICIAIRE des Fosses, se poursuivront aux dates clâprés : 4. 11, 18. 25, 29 mal ; 1" ,15, 29 affuble une maman trop soucieuse d'oriJuin et 6 Juillet, date où aura1 lieu le gi.ialité : tandis que les petits cama Sont nommés Président concours, d'honneur. rades n'acceptent que le vêtement oui à la-Cour d'appel : de Rennes deM.chambre Ronde

~

— Menllles

Les membres de la société

:

conseiller à Amiens. ,*. de pèche de Menllles, réunis en assemblée ressemble au leur. Les chers vieux pas let,Conseillers à : Amiens, M. Lorgnler, Ju ont procédé au renouvellement de sages parisiens, tant délaissés et pour ge d'Instruction f énérale à Amiens. ; 6, Angers, M. eur bureau qui se trouve- composé comme tant si commodes sous le.-ciel pluvieux Curmer, sous-chef de' bureau ' au minis M._ .Feuillet, suit : président d'honneur,, la""Vllle-Lumïere... tère de la Justices-à de Douai, M. Bourdln, M;' Firmlh Goub'ert" maire ; président, Juge d'instruction à Boulogne-sur-Mer parait Hugo, qui Victor ; A de vée-president. -M. H. Boltel ;• secrétaire- ; propos Lyon, MM. Perrot, a la Ré de procureur Vallée membres trésorier,: m. Georges : bien'avoir été, pour Duvernois comme publique faisant fonctions de Juge d'insJfM. Victor Qûervel,-A. Deniel, B. Ducel- tout autre, le Dieu de son enfance, no Iwuttion à Lyon et Yon, procureur a Uer, ; membre.-: .suppléants : MM. Georges Vienne ; à Rennes, M. Fapln-Labazormémorialiste remet enfin; dlére-Ruillier-Beaufond, tre charmant Taverne, J. Leclerc et Eug..Duval: substitut à Brest; les choses au point, au sujet de certain à Poitiers, M. Debect, vice-président . — Tour ville-lu-Chapelle : Dimanche 11 du dé inauguration de l'électricité et prêté à Leconte de Lisle tribunal de Poitiers. fameux, mot d'inté monstration qui ne manquera,pas et si délibérément faussé par les éru-: Avocats généraux prés, la Cour d'appel resser les agriculteurs. : Paris, M. Lyon-Oaen, substitut géné ' dits aussi-bien que par les pamphlé de : Une souscription est ou — Yéblei-on les ral près ladite cour ; de Grenoble, M. habitants, en vue de taires : verte p9j;ml Sarrallh, substitut, général près ladite l'érection d'un monument Sur la tombe , Il' difficile Victor Hugo. de est cour. ren « fié M. l'abbé Mascot, ancien curé décédé.

Substituts du procureur général prés la Le montant s'élève en ce moment 'à près dre maintenant l'effet que nous produi Cour d'appel de : Paris, MM. Lecour et dç 2.500 francs. saient ces quatre syllabes. Fétichisme si Mongibeaux,' substituts près- le tribunal ~~ mais lui ont succédé de la Seine ; d'Orléans, M. Chevassu-Pél'on d'autres veut, OISE qui ne valent pas celui-là. Déjà, cepen rlgny, substitut à Orléans ; de Grenoble.

M. Massier, substitut à Nice. critique perçait l'admira dant, la sous Procureurs de la République près le LA CHASSE AU CONSEIL GENERAL tion. Bête avait tribunal l'Himalaya comme de : Vienne, M. Blet, substitut^ », < DE L'OISE " , . à Valence Boutade recti dit.

Lisle... à Leconte de ; Reims, M. Sabattler, procu . général fier. ' Quelqu'un avait insinué deva.it reur & Poitiers Beauvais, 5 Mai. —/Au conseil ; Poitiers, M. Laboulbérie, dé l'Oise, après une vive discussion sur conseiller & Poitiers d'Argentan, M. ; l'&uverture de la chasse au faisan et à la Leconte de Lisle que Victor Hugo était, Fualdès, substitut à Mont-de-Marsan. perdrix, il a été décidé, par .17 voix contre au fond, assez bête. « Oui; mais bête Vice-président du. tribunal de Poitiers: 8, que l'assemblée départementale réela- comme l'Himalaya ! » avait riposté l'au M. Rlchez, Juge -audit tribunal. murait une ouverture générale le même Juges au tribunal de ; Toulouse, M. de teur de Poèmes barbares. Cela n'est Parade, jour pour la perdrix et le faisan. substitut audit 'tribunal ; Amiens, tou(t à fait la même chose.. » M. Eyraudr pas Juge au Puy ; Boulogne-sur• i— Beuuvuls Le petit Duvernois a. d'ailleurs, entre Mer, M. Magnin, Juge d'Instruction à Be : On a découvert, hier après-midi, le cadavre de M. Doré. 68 Victor Hugo, le grand Duvernois sançon ; Besançon, M- Rémond, avocat : ans. habitant rue de l'Echelle, qui s'était vu consacré à cetteet rencontre des lignes Lyon, M. Raugé, substitut audit tribunal; asphyxié dans son logement. a Montbrison, M. Lefrançots, Juge suppléant Faubourg-Saint-Jacques, du fort Bue touchantes. ' du ressort de Grenoble ; Marseille, M. Fa' ' .— conduite l'auto par M. Bordas, domicilié A dix-sept ans, le futur conteur est vier, Juge à Valence ; Lille, M. Longerenversé Mlle Claire & - Saint-Denis a vlalle. Juge à Orléans ; Spinal, M. RePressent, 20 ans. repasseuse. La Jeune hors de page. Le voici secrétaire de la nouard, Juge à Belfort ; Bejfort, M. DeBibliothèque Charpentier ; et cela nous larbre, juge suppléant du ressort de Colfille a été gravement contusionnée. d'arrêter AnOn vient Chantilly : mar ; Nantua, M. Perrler, Juge & Salntvaut toute une série de fins médaillons : Mlhlel — Beck. 1S ahs, ajusteur, rue de Alphonse Daudet, dré-Louis : Charlevllle, M. Masson, Juge a dont le cœur égalait- Dunkerque l'Ermitage a Sal-nt-Denls : Louis Sellier, ; Dunkerque, M. Delon, ouvrier verrier,-24 ans, S. passage Com- le talent ; Abel Hermant. dont j'ai pu cien magistrat ; Caen, M. Leroy, Jugean dé polntr, à Saint-Denis ; Léonce. Demalzan- apprécier,' moi aussi; «-la confraternité paix & Caen ; Béziers, M. Coste, Jugje à Pré clmmantç, l'affectueux dévouement oe, aide géomètre,-19 ans. avenue duAndré ; Poitiers, M. Vignaud, magistrat a AJacclo sident Wllson.' à Saint-Dents, et honoraire ; Coutances, M. Anthony, juge -Rpcher, ajusteur. 18 ans, rue V.erclntéto- ses amis » : Emile Zola, inscrivant sur suppléant du ressort de Caen ; Berge rlx, à Paris, Ile avalent .volé un taxi, a chaque album qu'on lui présentait cette rac. M. Alzac, juge suppléant du ressort Saint-Denis, mais s'étalent Jetés contre un apalissade naturaliste : « Une œuvre de Poitiers. candélabre à Chantilly, et; l'un,.d'eux, d'art Substituts du procureur de la Républi est une observation.de la nature à que Beck. avait été blessé à la main gauche. . près le'tribunal de la Seine : MM. fils fer Edmond de Je tempérament de Des Welles-rPêreunes : Brouchot, travers substitut à..Versailles et Rlbes, un » ;• i— tés sur la ligne électrique & haute pension, Concourt, « très beau, de haute sta substitut du procureur général a Orléans; pnt provoque un arrêt du courant-et privé ture, avec sa moustache de soie blan Versailles. M. Caiùboullves, substitut â > Reims ; Toulouse, M. de Robert, substitut dp force-et de lumière pendant plusieurs heures, les communes de Salns-Moraln- che, son regard noir où; malgré l'âge, à Poix ; Poix, M. Taurines, Juge suppléant du ressort de Toulouse ; Lyon, M. Chatln, 1 vfllers. Perrières, Abbemont,- Eoyaueourt palpitait toujours une fièvre artiste... » ; Çt? Welles-Pérennes. Le saboteur est un Jean liichepiti, Juge d'instruction à Montbrison ; Valence, « somptueusement cou mfvrler a gricole de la ferme de La-Morr Politi. Juge suppléant du ressort de jlére, Pirsl Martin. 16 ans, qui a fait des vert d'une cape doublée de peluche rou M. Besançon .; Brest, M. Creen, substitut ft aveux. ge, et qui sabrait ses dédicaces en s'a- Salnt-Malo ; Salnt-Malo, M.- Garnier, at • . titulaire au ministère de la Justice; musant, avec son beau rire de vain tache SEINE-INFERIEURE Nice, M. Mouton, substitut à Bourg ; : queur... » Bou-;;, M. Hauw, attaché titulaire au mlAprès la maison d'édition, le journal uisccii? de la Justice ; Nantes, M. Dupin, 'il—- NeiifcliAtel-eu-Uray : Le syndicat (je vois encore, aux environs de 1900, suLiiUtut à Saumur ; Saumur, M. NocJuge suppléant à Caen ; Boulogned'Çlevage et de Contrôle laitier du Pays Duvernois. secrétaire de rédaction qiJet, sur-Mer, M. Lemolne, substitut a Laon ; dé Bray a effectué le classement des meil Henri leures vaches contrôlées : 27 vaches à la Presse, rue du Croissant, où je ve Laon, MM. Charbonnler-Lebreton, Juge étalent inscrites pour un contrôle de dix nais presque chaque soir, y comptant suppléant du ressort de Dijon et Thibaurtiois. Elles, ont fourni une production to nombre d'amis ; tous ses camarades lot, Juge suppléant du ressort de Besan tale de 140.517 kilos de laft et 6.613 ki vantaient çon ; Llsieux, M. Esnaud, Juge & Cou bienveillance). esprit et son sa 5.204 de soit beurre, tances ; Aurillac, M. Maillet. Juge & Ber los 7 de une moyenne Le journalisme, le reportage, sans gerac ; Valenclenues, M. Darondel, juge kilos de lait et 244 k. 900 de beurre ; m' k. '300-de lait pour.l k. de beurre. Pre- quoi, depuis Chateaubriand et Hugo — d'instruction à Avesnes. rrfier prix « Bigadln », à M. Lesecq. de maîtres journalistes — il n'est plus pos PouvTend. 6.852 k. de lait et 339 k. 100 de-beurre : premier prix « Biche », à. M. sible d'introduire dans les lettres frai.- RIXE TRAGIQUE ENTRE VOISINS Une' femme est grièvement blessée tifiyel. de - Prèauville, 5.655 kll. de lait et çaises le sens aigu de la vie. Le jour -311- k. 700' de beurre. 22 génisses ont pro nalisme, le temps des duels, époque an 89.849 kilos de lait et 4.264 k. 900 de duit Metz, 5 Mai. — Deux familles voisines, Beurre, soit une.'moyenne'de 4,084 kilos tédiluvienne ; et, entre beaucoup d'au 5e lard et 183 k.- 800 de beurre par. gé tres, cette estampe très parisienne, les les Weidmann et les Langbourg, demeu nisse'. 21 k. de lait pour 1 kilo de beurre. funérailles de Coppée : « A l'enterre- rant à Sainte-Marie-aux-Chênes, se haïssaient de longue date. Les querelles P" taureaux d'élevage Issus de vaches con Catulle poète Humbles, des du mont premier Le coptrôlés._ prix étaient journalières. Celle qui trôlées étalent à M. Leblond. de Cate Mendès me disait : « Regardez, regar s'éleva presque hier soir, eut un dénouement « Matador ». nay. dez bien ces petits employés, ces cou tragique : Jean-Pierre Langbourg, 68 -... . settes. ces humbles bourgeois, toule celte ans, fit teu sur ses ennemis avec un SOMME foule. Vous voyez ce que vous ne rever pistolet automatique. « J'ai tiré sur le tas, a-t-il déclaré au doute jamais : l'hommage de rez sans magistrat après son arrestation. de motocycliste ïAoMoreull : sUn écrivain populaire vrai dernier Paris au avait dame qui lies balles accompagné d'une ont atteint à l'abdomen reull, discuter populaire. chi On pourra ment dirigeait Abl'arriére, vers Mme Weidmann, dont l'état est très se pris plpce à bevllle, lorsqu'à Ja sortie d'Amiens, 11 dé caner tant que l'on voudra : il était grave. été aimé. » . se Jeter sur un talus. Il a des rapa et alla blessé.

Son amie n'a que grièvementLe théâtre et son apprentissage, le Un hydravion en panne amerrit contusions sans gravité . rn-,eg:s,uné théâtre où « les anciens montaient la et coule en Méditerranée là plus qu'ailleurs ». Rien de garde, et UN COUPLE D'ESCROCS ARRETE •piquant comme certaine histoire de col L'équipage etl sain et sauf PRES DE LIMOGES laboration entre Max Maurey et Henri gendarmerie de La Mal. 5 Limoges.

— Sollgnac a procédé ce matin à l'arresta Duvernois. Tous deux, depuis, ont pris Alger, 5 Mai. — Un hydravion com tion d'Adrien Oury. 29 ans, né à Paris, et leur revanche... mercial piloté par l'aviateur Devisas qui de Marie Glbonne. 20 ans. originaire de souvenirs si charmants, si sensi avait quitté Marseille Ces à 9 heures Thouron. qui étaient recherchés par plu bles. s'arrêtent à 1900... Tous leurs lec à destination d'Alger,hier &. été obligé sieurs parquets, notamment par' celui de innombrables, ils ravis, heures d'amerrir 13 à la suite d'une seront et teurs vers escroquerie.

Les deux Tarbes. pour voya de Après avarie moteur d'auto les, la suite. réclatr-erom en vue de la pointe an geurs, qui avaient eu une panne mobile à environ 80 kilomètres au Pescade, eurent recours à un garagiste qui en d'Apprentissages, i quand les an constata que la voiture ne leur apparte nées L'équipage d'Alger. nord a été recueilli nait pas. Les deux • automobilistes, con j nées de maîtrise ? la vedette Colonel Casse, mais l'hyduits devait le procureur de la Républi .Raymond Esçbolier... par drayion a .ooulé..ay. reraorquage, . que n'ont-voulu faire aucune déclaration. *

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COURRIER DES THÉÂTRES

capture le cambrioleur de l'appartement de M° Guyot 'r On

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...

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musical; est nommé administrateur de la Bibliothèque de l'Opéra en remplacement de M. Bouvet, qui prend sa retraite.

OAITE-LVRKJllE. Tous les admira « •*« »:• teurs du célèbre ténor—Vlllabella, de l'Opé ra, voudront l'applaudir dans La Dame Blanche, à partir de Jeudi, ainsi que Mar celle- Ragon, de l'Opéra-Comique, et Gil bert Moryn.

-—- ^uite •—; ; LES DEUX MASQUES vont revivre. Ils Les lauréats suivants sn'ont aucune. er . s'installeront de juin à septembre au reur dans. leurs réponses à la question Théâtre des Menus-Plaisirs. principale (40 villes).

Tous n'ont indiqué exactement que 11 — sur 12 — des Produits Préférés dési gnés par le Référendum (première ques tion subsidiaire) ; en outre aucun d'eux ne les a placés tous exactement dans l'ordre idéal ; les erreurs de places commises ont constitué les fautes d'écarts.

La correction de leurs solutions s'est . alors poursuivie (suivant le même procédé, que ci-dessus) sur' leurs réponses à la deuxième question subsidiaire.

AUJOURD'HUI MATINEE POUR LES AUTISTES. — Re

Ses deux receleurs l'accompagnent au Dépôt

Vç LES LAUREATS ff\! de notre Concours' des Produits régionaux

naissance, 2-h. 30 : Business.

REPETITION ÇENEÇALE. — Potinlére.

9 Coucou, comédie en trois ac Dans. l'après-midi du mardi 22 avril, tesheures-: dè Mme Charlotte: Lysês. Le specta l'appartement de M' Guyot, avocat, à la cle, commencera par. : L'Aimable Voleur.

Cour d'appel, 108, r. de Rennes, qui était comédie en un acte de MM. Lucien Roà ce moment-là en villégiature en pro zemberg et Robert Bodet. vince, recevait la visite d'un cambrio Nouvelles Théâtrales leur. Les sept pièces furent complète . ment mises à sac. Tous les objets de OPERA. —: M. Prod'homme, critique quelque valeur qui s'y trouvaient furent volés : titres, bijoux, objets d'art, argent et jusqu'à un appareil de T-S.E., le tout représentant une somme considérable. La manière de procéder dénotait un pro fessionnel.' Une enquête fut aussitôt en treprise par ' les brigadiers chefs Cheflo et Busbuler et les inspecteurs Kaus et Well, de la Voie publique, sous les or dres de M. Badin, commissaire à la po lice judiciare, établit que dans l'aprèsmidi de ce même jour, un individu s'était présenté ' chez la concierge,,de

a

(2.500PRIX;)

SPECTACLES ET CONCERTS

3DE^CA.insr

7

mandant une locataire demeurant au premier' étage. Ayant reçu le. renseigne ment réclamé, il était monté au qpatrième chez M' Guyot où, avec une pincemonseigneur, il avait facturé la. porte et

visité tous les meubles.

Des renseignements, supplémentaires permirent d'établir qu'il s'agisait à r>eu près sûrement d'un dangereux repris de

RÉOUVERTURE

GALA

MAI de

Loc, ouverte

Loc. GRAT.

POUR LES SOIREES

8 JOURS D'AVANCE

justice, Jacques Pierre -Beylac, dit Jean, 22 ans, né à Troyes, ouvrier graveur sans domicile fixe. Il a subi depuis 1924 deux condamnations dont l'une à 18 mois de prison et .5 ans -d'interdic tion de séjour pour vol qualifiés. Il est, de plus,- déserteur du 401* de défense contre les aéronefs et avait été pour ce la, détenu au fort de Noisy, après sa! sortie de la prison de Poissy d'où 11. s'était évadé fin-d'avril. -

, Beylac, arrêté,'fit dés aveux completsà M: Badin et- son arrestation a en traîné celle des deux receleurs à qui il' avait vendu la majorité des objets qu'il, avait dérobés chez 'M* Guyot. Il s'agit' de Georges Mollard, dit Jo la Bosse, 31 ans, né à Levallois-Perret, plombier,demeurant en hôtel; 13, rue Moret, et ayant subi depuis 1924 quatre' condam nations, et Georges Louis Grieu, 45 ans. né à Boulogne-sur-Mer, camelot de meurant en hôtel 5, rue Simon-le-Pi'anc, titulaire lui aussi,- depuis 1924, de trois

condamnations.

"

•

s

LES COUR SES l'rlx de Salnt-Lcu (à vend.), 6.000 fr., 2.000 m. .: X. Slnfra, à M. Ad. Hoffmann (A. Eéinette) ; 2. Hallucinée ; 3. «Atlantic ï'light. — N. pl. : Musqùé, Queen Elea-

nor, La Capucine, Bastille, Petit Loup, La Flboulette, Sibylle, Sabahallah. — 11

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1 1., 314

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1.

1.

1/2, 1 11.

1/2.

2 — Mutuel. — G. 7.50; P. 5.50, 7. Prix de Chevreuse (& vend.), 7.500 fr;; 1.600 m. : 1. Kermebel, à M. Léon Voltçrra (E. Pecharman) ; 2. Careate ; 3. lapa.

Negron, Brlscart II, — N. pl. : Garonne, Lugano, Trirème, L'Ousse, Trlpllcata, Bet ty, Pam, Lady Llana, — 13 partants. — Tête. 3 1., 2 1.

Mutuel; — G. <19.50; P. 8.50, 10, 15: Prix Pénélope (Poule de Produits, Pou liches), 40.000 fr., 2.000 m,,: 1. Diadème, à M.' Marcel Boussac (C. Elliott) ; 2. Parth for Ever ; 3. Honey Sweet. — N. pl. : j?lnsovlno, Pro Patrla, Fata Morgana, Aude, Marylebone, Carlnosa 11 (tombée). — 9 part. — 2 1., c. tête,, 1,1. 1/2.

Mutuel. — G. 158; P. 42.50, 21, 43.

Prix du Val-Salnt-Martln (hand.), 15.000 fr„ 2.500 m. : 1. Va Sans Crainte, à M. Raoul Devort (C.-H. Semblât) ; 2.

Pépin le Bref ; 3; Enfer. — N. pl. : La Llzalne; Mythe, Frontlgnan, Palko, Ané'Dernier Dollar Klng, Soldeur, Nandl,. res, Rosace, Noisette 11. — 13 partants. — 2 1.. 1 1., 2 1. 1/2.

Mutuel. — G. 21; P. 0,63.50, 12.60.

Prix Sainotirai, 10.000 fr., 1.500 m. : 1.

Le Vin Chaud, & M. J.-E. Wldener (J. Marshall) ; 2. Merle Blanc ; 3. Jolly Glrl. de — N, pl. : Helvellyn, Momentlne, Bols Roâe, Huit Sous, Amenemhat, Zlpa, L'Amourette, Manlcure, Tramontalne IJ. part.

1 1. 1/2, C. tête, 2 1. " — 12 Mutuel. — — G. 20.50; P: 8, 11, 10.

Le Jockey E. Bouillon a été mis à pied Jusqu'au 25 mal Inclus pour n'avoir pas conservé sa ligne & l'arrivée du prix Pé nélope.

Aujourd'hui, Enghien

PARTANTS ET MONÏES PROBABLES Prix- de la. Vilaine. — (Steeple, & ven 3.700-mètres :'Le dre). — 7.500 francs. — Caprice 72 (M. Théry) ; Carlton 72 tM. Dalré) ; La Cantl. 70 (C. Poujade) ; Dan-; dlri II 70 (N. P.) ; M. Lois. II 67 (N. P.) }l Kanjar 67 (R. Olio) : Le nénu. 67 M-.

Lacaze) ; Cllsson 67 (L. Iggleden) ; Babs's Vo. 67 (N, P.) ; Argus II 07-(M. Maglnot); Magie Fan.-67 (M. Bertal) -; Savoy. IV 67< (N. P.) ; Beau Dr. 67 (P. D.l" ; Balkla II 64 (N.. P.)- ; Poupette 64 (E. Juge) ; Jour de "G. 64 (R. Trémeau) ; Pr. d'Alep 64 (C.

Sautour).

Nous désignons : Cllsson, Argus II. Prix de Nolrmoutier. — (Haies): —.

10.000 francs. — 3.700 mètres : Don Cour: 65 (M. Brunet) ;' Noirlac 66 (N. P.) ; *Iyo 65 (G. Cervo) ; Yesternlg 63 (H. Hartveld) •; Danvou 62 (P. D.) ; Suc. de P: 60. (J. Bedeloup) ; Madré 60 (P. Férat) . ; Gratitude 60 (L. Lolseau) ; Gull. de S. 60 (C. Gardlner) ; Auguste II 60 (H. Audouard) ; Rodos 60' (R. Lock) ; Résoné 60 (N. B.) ; . Valeur Or 60 (P. D.) ; ^erre Rouge 60 (N. P.) - ; La Fugue. 60 (J. Teaa-

dale).

Nous désignons : Valeur Or, La Fugue.

Prix de l'Arinorlque. — (Haies, a ren

dre);

7.500 francs.

3.200 mètres

:

— Vidocq—71 (J. Léger) ; Dark Pa. 71 (V. Diez) ; Marshal F. 71 (M. Fruhlnsholtz); Le Caprice 68 (M. Th'éry ) ; ' Rocantln 67 ('A. Cérez) ; Pointeur 66 (J.-B. Lassus) ; Mécano 66 (M. Fruhlnsholtz) ; Valensole 66 (R. Haes). ; Credo 65 (M; Théry) ; Le Gave 65 (E. Davis) ; Anubis II 66 (G. Chaussemy) ; Le Seurre 65 (VUleJoubert); Bab's Vo. 65 (N, P.) ; Poltlna 65 (J. l'easdale) ; Make 'Has. 65 (N. P.) ; La 3rlo-

che 63 (N. P.) ; Bouture 60- (J.-Bede loup) .; Galaad 60 (F.-Aupetlt) ; Aubaine II 60 (G. Cervo).

Nous désignons : Le Caprice, Marshall French., ;; - -, -.

Steeple-Cliuse .de Quatre Ans. — 40.000 francs. — 4.000 métrés : Javelot II . 69 (M. Fruhlnsholtz) ; Pr. Henri 68 (J. 3edeloup) ; Kllkenny 65 (P. D.) ; Guéthury 64 (H. Haes) ; Vive la Joie' 62 (C, Sau tour) ; Le Drapeau 62 (R. Lock) : Corvlsart'62 (J. Peckett) ; Everjolly 62 (R. Ba gnlard) : S. Gêne XI 62 (H. Haes) ; L1 ber. vm 62 (R. Rouellle).

Nous désignons : Kc-urie Max de Kl vaud. Prince Henri.

Prix de la Sèvre. — (Haies, handicap). francs. — 3,600 mètres : Archar —r 12.000 70 (A. Cérez) ; Belluaire 68 (H. Haes) '; Beaumar. 67 (A. Kalley) ; Le Soleil-.66 (V. Diez) ; Kllkenny 66 (G. Cervo) ; Le Mlnar. 66 (C. Maupas). ; Le Cande. 86 (R.. Bagnlard) ; Sapor 65 (N. P;) : Mlrella 65 (R. Lock) ; Don Cours. 64 (M. Brunet) ; Soukl 64 (N. P.) ; Framb, P. 63 (J. Belmondo) ; Falko 63, (N. .'.) ; Dèce 63 (M. Chancelier) ; Nanan 62 (C. Domlnlcl) ; Vin Fin 61 (P. Di) ; La Cer titude 60 (E. Juge) ; Coco Chéri 60 (R ' Haes).

Itellualre, Le Soleil..• désignons Nous : Prix de l'Aunls, — (Steeple, handicap) — 3.400 mètres : Labi — 12.000 francs. che 72 (W. Butler) ; Très Spo. 70 (N p.) ; Kerjean 69 (A. Kalley) ; Archer «a (N. P.) ; Sacols 67 (W. Butler) ; Caderouss. 67 (A. Diez) : Xbulre §5 (V. Diez); Domitlus 63 (ÎJ. P.) ; Gràndee 62 (N. P.) : Sari Slgn. 61 (N. P.) ; Carlton 61 (N. P.) : Friponne. 61 (J. Bedeloup) ; Geralda 61 (P. D.) ; Charme 30 (M. ertal) ; Légionnaire 60 (R. Haes) ; Dénis 60 (N. P.) ; Saboïa 60 (G. Cervo) : lia Rou. II 60aR. Bagnlard) ; Iftlkar 60 ;P. D.) ; Maghzen 60 (N. P.). ' Nous désignons : Kerjean, Ecurie A. Vell-Plcard. , ,- ., 7.500 francs Prix lloche. — (Monté).

Alors 2100 Eh mètres : ; Cigare — 2.100 2100 ; Blenv. II 2100 : Epi 2100 ; EUde C. 2100 ; Eleus V 2100 ; Déjà. III 2100 ; orall 2100 ; Dare Da. 2125 ; Clé Clé 215 Corsaire 2150 ; Ecouls 2150' ; Etna II 2150 ; Edelw. C 2150 : Daphnlne -2150.'

Nous désignons : Daphnlne, Cigare.

Demain, Mercredi ; Courses au 'i'rem blay. -r La Morlaye. •

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JACQUES FEYDER INTERPRETE PAR

ANDRE LUGUET Le seul iilm

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français réalisé en Amérique

CE SOIR

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FOLIEStBERGERE, 8 h. . 30 : Un Coup de Folie, 80. sensations de M. Louis Lemarchand (MM. Randall, Castel, Lemercler ; Mmes Valbelle, Betty Campson, Troïsky, Carletta Contl, Zulaïka).

PALACE, 8 h. 30 : La Revue de la Femme (la grande étoile mondiale Raquel Meller' ; le célèbre fantaisiste Salnt-Gra-

nler).

Hier, Saint-Cloud

200 Colis de 10 kilos, produits Capl-. tan (Pâtes alimentaires diverses) (suite).

792: M. -Chotln, rue Queuleu, 108, Metz

RENSEIGNEMENTS COMMERCIAUX BOURSE de COMMERCE de PARIS 6.10, Service et Midi, 5.65.—.Moutons: nl vernals 9.75, bourbonnais et berrichons 5 MAI (Dernière cote) cour. 121.50, 121, 120, 119.75, 120, 120.25,. 120, Juin 119.50, 119.25, 119, 4 de mal 118, 118.25, Julll.-aoat 115.50, 115.75, 115.50. 115.25, 4 de sept. 114, 114.25, 114.60 tous'toayés. — Farine-Heur : 170 V, juin 170 V, 4 de -mal 170 V, juill.-août 166 V. 4 de sept. 165.50 N. — Maïs : cour. 95. .

Juin .95, 4 de mal 96, 4 de Juin. 92, 6 de julll. 90, tous nominaux. — Seigles : - jur.

73 N, juin 78 V, 4 de mal 78 N, Juill.-août 82 N, 4 de sept. 82 N. — Avoines diver ses : cour. 63.25, -63, 63.25, 63.60, juin 63.50, 63.75, 4 Mb mal 64, 63.75, 63.50, JUllL août;64,-63.75, 63.50, 4.de sept. 65, 64.75, 65 : tous payés. — Orge de brasserie : cour. 71.75 P, Juin 72 à 73, 4 de mai 73.50 V, Juill.-août 72 V, 4 de sept. 77 P. — Su cre : cour. 229.50, 230, 230.50, 231, ]Uln 231, 231.50, Julll. 231. 231.50, 232, août 232, 232.50, sept. 226.50, 227, 227.50, 3 dl oct. 217. 3 de nov.- 216.50, tous payés. — Alcools libres : sept. 760 P. BOURSE DE COMMERCE DE PARIS Farine-de consommation (cote officieu se dé la farine établie par la Chambre syndicale de l'Industrie meunière pari sienne) : 189. Physionomie de la Bourse de Commerce .

Blés ; l'abondance des offres occasion Farinene une perte, de- 2.25 à 4 fr. lleur ; sans affaires. — Avoines—: en bais se de 0:75 ' à 2.25 pour la même raison que le'blé.. — Seigles : cours nominaux, sans 1 affaires. — Sucres : tendance sou tenue et cours1 en-'hausse de 0.50 à 1 fr. libres : tendance calme, affai — Alcools modérées:-— Huiles ; sans affaires. res Marché de la VILLETTE (Paris, 5*Mal) :

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ifieitr. .

Vac8)e.

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porc.

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Extrêmes poids, vifs :

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Boeufs 7.11; vaches 7.17:

4 03 4 au U ûil 5 oit 6 U0

taureaux 5.94;.

veaux 11.25; moutons 10.13; porcs 9.1B. Extrêmes viande nette : BœufB 12.20; vaches 12.40; taureaux .

18.60: moutons 20.30; porcs 10;' veaux 18.14. ' Bœufs : amenés 2.336, Invendus 10 ; vaches : amenées 1.167, Invendues 6 ;

taureaux- ; amenés 390. Invendus 1 : veaux': amenés 1,849, Invendus5516; mou ; porcs: tons ; amenés 9,933, Invendus amenés 3.170. Invendus néant.

"Observations : Vente bonne, cours en hausse sur gros bétail et moutons : ven te très ferme.- cours en hausse sur les veaux : vente mauvaise, cours en baisse sur les porcs. _ "Ote Cours officieux dlouverture. — On limousins Bceufs : au deml-kllo net : ' 6.55, t/lancs 5.65, gris 4.95, manceaux 4.95. qualité ord. en manceaux anglaisés 4.80. charolals et nlvernals 5.55. choletais. nan tais. vendéens 5.20, sortes de fournitures 5.15. -viande à saucissons 3. — Vaches : bonnes génisses 6.05, bonnes vaches 5.55, petites viandes de toutes provenances 6.05, — Taureaux : qualités entre deux 4,70, sortes de fournitures 4.60. — Veaux: qualité ordinaire 8.65, champenois 7.50 manceaux 7.50, gournayeu* et picards

' :

Sellier, 74, rue Chambry.Laon (Aisne); 3 805. Mme Lauraln, 5, rue Trois Ralslnets, Reims (Marne) ; 808. Mme Fournler, 67, M.

rue Nationale, Evlan-les-Balns (HautéSavole) ; 807. M. Roffat, rue Planavals, Vlllemontals (Loire) ; 808. Mme Carrère, 1 39, rue Fontaine, Paris ; 809. Mme Cochln, 30, rue Fontaine, Paris ; 810. M. Schwelnberg, 22, rue Ernestine, Parla . ; 811. Mme Boy, 39, rue Fontaine, Paris .;

812. M. Forgeot à Nult-sur-Armançon (Yonne) ; 813. M. Gorlet à Essleny-leGrand (Aisne) ; 814. M. Pallleron,-79, rue • Pétaln, Metz (Moselle) ; 815. M. Duneau à Nouan-sur-Lolre (Loir-et-Cher) ; 816.

M. Picard' à Le Pré-d'Auge (Calvados) ; Apollo, 9 h. — Au temps des valses.

817. Mme Rolhlon, rue de la. FUeterle, Art». 8 h. 15.

Les Urlminels.

Atelier, 8 h. 45.—— Comédie du Bonheur. Ambert (P.-de-Dôme) ; 818. Mme Clau del, 16, Impasse SRint-Louls, Moulin-Ga Athenée, -9 h. — Barrlcou.

(S.-et-O.) : 819. M. Godon, 1S, lm-^ lant Avenue, 9 h. 16.

Jardina de Murcle.

— gasse du Canal, Moulin-Galant (S.-et-O.); Bouffes-I'urlslens. — Relâche.

20. Mme Falcetta. <32, rue du Docteur Caunmrtiii, 9 h. — Françoise.

Gauthier, Knutanee (Moselle) ; 821. Mlle Cli.-Elys. (Coin.), 9 h. Prof d'anglais.

Mlchaud, Montrotler (Rhône) ; 822. Mme Cli.-Elys (Tli.), 9 h. — Anna Pâvlova.

Peduran, quai de Grenelle, 47, Paris ; 823.

Uiateiet, 8 b. su. — Robert le firoio.

Desjouls, l'Ecusson, 31 bis, ' Mme de rue Cluny, 8.h. 30. — Patte en l'air.

824.

M. Alençon (Orne) Bernard, rue du' ; Dauuoii. 8 h. 45. Par le temps qui, court. Docteur Gauthier, (Mo- .

32, Knutange Dcjuzet, 8 h. 30. — J'marle ma femme. selle) 825. Mme Matray^ Goyet, rue ; Edouard-VII, 8 h. 45. — Tu m'épouseras. Fournler, Bourg-de-Thlzy (Rhône) ; J.-B. 826. , Eldorado, 8 h. 30. — Et poum.

NanLemalre, Mme Chrétien, Charles rue Folles-\Vag., 8 h. 50. — Zou 1 opérette. ' teull-le-Haudouln (Oise) ; 827. Mme Se Uymiiase, U b. — Mélo. lon, rue Charles Lemalre, NanteuLl-le- r (>raiid-<!ulgnul, 8 b. 46. — La Griffe Haudoln (Oise) ;*828. Mme Rafflnat, ave-i Madeleine, 8 b.45. — Vive le ltieatre. nue de la Gare, Aublgny-sur-Nêre (Cher).

Marigny, 8 h. 80. — Coups de roulis.

A suivre..

Matliurins. 8 h. 45. Prlsonn. d. m. cœur

EMPIRE MUSIC-HALL; 8 h. 30 : Toto, Doru Stroeva, Salvador- Plzarro, Leblanc et Ducharm ; 20 attractions.

CONCERT MAYOL, 8: h. 30 : La Parade du ^u-(MM. Carol, Charplni; Mmes PeggyVére, Paulette Franck).

CIRQUE D'HIVER, 8 h. 30 : Novelle Bros ; Stetson ;. Zoïga et Rachel ; les 50 chevaux de Carré, etc...

CIRQUE-MEDRANO,8 h.-30 : L'écuyer Roberto de Vasconcellos; les clowns Cal9 h. — Pardon, Madame. roll, Porto, Carletto. Ilés et Loyal, les che- Michel, Michodiere, 8 b. 46.

Le Sexe faible. vaux, etc...

Mogudor, 8 b. 80. — —Le' Chant du Désert PALACE. — Toute l'Espagne avec Ra Nouveautés, 8 b. 40 — Kadubec (oper.i ou v.-Th., 8 h. 30. Noces de Jeann. Galat. quel Meller dans la nouvelle et triomphale NŒuvre, 9 b.— L'Acheteuse.

Revue' cfe la Femme. Tout Paris avec Pal.-Royal, 8 h. 30. L'Amour à l'Amérlc.

Salnt'-Granier. Au 10" tableau : « La lé 1 lieûtrc Paris, tt D. lu — ftivlu» de gende du Nu Persan », Plgalle, 9 h. — Théâtre Japonais.

8 b. lb. — Cyrano d( CONCERT MAYOL. L'étrange Char t'orte-Salnt-Martln.

Bergerac. plni, pour la première fois music-hall, Potinlére.

Joue, chante, danse dans au — Demain : Coucou. ' Parade du Renaissance, : Nu lit revue 'qui fait courir tout Paris au -ne. Rollan).8 b. 30. — Business (SergiConcert Mayol. ' Sarah-Bern., 8 h. 30. M. Curé ch. les pauv Scaia, 8 h. 45. — Lâ-Haut.

LE PAKAMOUNT. — La photo capri iSalnt-Oeorgr».

Eltlenne cieuse ' ; le' mécano .féminin • ; l'équipage Studio Ch.-Elys.9 h. — Paquebot Tenaclty.inattendu- ; le 'dépannage impossible ; la Trlanon, 8 h. 30. — —..Rêve Valse. de séparation douloureuse ; la chasse aux Vurlétés, 8 h. 30.

— Topaze. empreintes digitales l'enlèvement du oon docteur ; te moraliste à double face la poursuite des ravisseurs ; la maison; hantée ; les parois à-double fond ; l'enfer folles-Uerg. — on Coup de Folle (revue) jaune; l'éternelle victoire/ Tels pourraient Casino de Paris. Paris Miss (Mistlnguetti être les -titres de quelques-uns des chapi Empire, 8 h. 30. Toto; Dora Strceva; 20 at tres. Irrésistibles et variés de la comédie Palace. — La Revue de la Femme.

Mayol. — La Parade du Nu (revue). interprétée par Harold 'Lloyd : Quel Phé Cirque d'IIiv. Novelle Bros ; Stetson, etc.. nomène i maintenue' en raison de son Mcdrano.

Attractions. Mat. J. d. O. succès, à l'affiche du. Paramount.

Paramount.— Quel Phénomène (H. uloyd) ARTISTIC. —' La coquette salle de la Autiert-Palaee. Quand nous étions deux mat., soir. — Nuit de frinces rue'de Douai, passe cette semaine,, un film Cameu, Madeleine-Ciné.

-Interprété — Demain réouverture. sonore, 1 par Victor Mac Laglen Capitaine Swing. Les actualités de la se : Gaumont.

— Napoléon à Salnte-Héléne. les toits de Paru maine complètent heureusement cette Moulln-Kouge-Clné.Sous Olympia.

Le Masque fer de (D. Fairbanks) belle production.

Clne-Uapuclne. — Sous l'Outrage.

Marlvaux-Patké. — Mon Gosse de Père.

PROGRAMME DES SPECTACLES Ursullnes. — Terror (de Roy del Ruth). Œil de Paris.

— Thérèse Raquln.

Opéra. —Relâche.

Agriculteurs. -— Jazz ; Club 73.

Comêdle-Frunçalse,8 b. 15. — La Passion. Carillon.<La Femme sur la Lune ; Chariot Opéra-Comique,-8 h. — Louise. • Max-Lliider-PatUé. Mystère Villa Rose.

Odéon, 8 h. 30. — Double Passion. Ëlet-trle-Palace. — Féoondlté. uaite-Lyrique,'8< h. 80. — Ciboulette.

Artlstlc. — Capitaine Swing.

Albert-l", 8 h. 45. Marchand de Venise Clgale-CIné. — L'Escadron de fer.

Ambigu, 8 h, 45. Célestln f. d. entourl. Impérial-Pathé. — Evangellne.

Antoine, 8 h. 45. — Bobard.

Le Cellsée. — Le Cavalier noir.

Blés

(Moselle) ; 793. M. Rosse, pla ce des Marchés, 40 Reims (Marne) ; 794. M. Ercullsse, rue d'Arras, Halilicourt (P.-de-C.) ; 795. Mme Lepleux,'rue Mi chel Lefournier, Port-en-Bessin (Calva dos) ; 796. M. Gllquln, rue Clalrmarais, Reims (Marne) ; 797. Mme Chemorln, rue Bofchamp, Marclgny (S.-et-L.) ; 708. Mme Buecher, rue Tretalgne, 18, Paris ; 799.

M. Lamlzet, rue Condé, 36, Le Creusot (S.-et-L.) ; 800. M. Cublzolle, rue- Richebourg, 2 bis, Lons-le-Saunler (Jura) ; 801.

M. Levy Jacob, rue Daubenton, Lille (Nord) ; 802. Mme Charvieux, 18, Grande rue, Belley (Ain) ; 803. M. Debray, 4, rue de la Ganne, Commentry (Ailler) ; 804,

8.90, brebis métisses 7. albigeois et limou sins 7.30, ariégeols, agenals, toulousains 7.80, Haute-Loire, Sarthe, Vendée 7.50, Midi 6.50, africains 7. — Porcs : du Cen tre 6.43, limousins et auvergnats 5.79, co ches 4.79. — Physionomie : Marché actif,

beaucoup de monde, les arrivages sont un peu restreints pou: les besoins, saut en porcs. Vente bonne aux abattoirs, .res ferme sur les veaux. Hausse de 20 fr. en gros bétail. Hausse de 100 fr. sur les veaux. Hausse de 40 fr. en moutons. Bais se de 20 fr. en porcs.

MARCHE DU HAVRE (Clôt.), 5 Mai Cotons : Janv. 478, fév. 478, mars 477, avril 477, mal 498, Ji-in 492, Julll. 488, août >485, sept. 482, oct. 477, nov. 476, uec 477. Tendance calme. Ventes 4.150 bal les, — Cafés : Janv. 250.50, ±év. 248.75, mars 249, mal 274, juin 269, julll. 263.25, août 262.25, sept. 257.75, oct. 256.25, nov 255, déc. 252.50. Tendance calme. Ven tes : 1.750 sacs. — Laines : mal 910, 'uln 910, Julll. 910, août 910, sept. 910, oct.

910. Tendance calme. * MARCHE D'ALEXANDRIE (Clôt.), 5 Mal Cotons : Ahsmounl, juin -19.81, août 18.08, oct. 17.18,' déc. 17.62, fév. 17.88. Sakellarldls, mal 28, Julll. 26.50, nov. 24.01, janv. 25.22.

Marché de LIVERPOOL (Clôt.), 5 Mal Cotons américains : mal 7.92, juin 7.86. julll. 7.86, août 7.77, sept. 7.71, OCt. 7.66, nov. 7.64, déc. 7.66, janv. 7.67, 'fév. 7.69, mars 7.72, avril 7.74, mal (1931) 7.77.

MARCHE DE NEW-YORK (Clôt.), 5 Mal Cotons (en cents par livre) : Disponi ble 16 55, mal-16 34 a 16 35, Juin 16 25, JU11. 16 44 à 16-48, août 15 70, sept. 14 75, oct. 14 61, nov. 14 55. déc. 14 70 à 14 72, Janv. (1931) 14 78. — Nouveau contrat : Janv. (1931) 14 55, fév. 14 61, mars 16 68.

OCt. 14 30 & 14 32. nov. 14 35, déc. 14 39 A 14 45. — Ont fléchi sur l'augmentation des ventes de la nouvelle récolte, des li quidations de l'ancienne récolte, des câ bles plus faibles de Llverpool, des nou velles défavorables de la situation politi que aux Indes, des nouvelles de temps favorable, des ventes du Sud et de la Wall Street. Clôture Irrégullére. — Blés roux d'hiver n" 2 dlsp. (en doll. et cents le bushel), 1 18 7/8. — Blés durs d'hiver n° 2 dlsp. (en doll. et cents le bushel), 1 05 1/4. — Mais bigarré n» 2 d'hiver dlsp. (en cents le bushel). 88 5/8. — Fa rine de printemps (en doll. et cents ic baril), 5 35 à 5 60. — Sucres (en cents par livre) : Centrifuge Cuba 96" droits payés prompte livraison, 3 30. A terme : Mal 1 47. jull. 1 52. sept. 1 61, déc. 1 69.

Janv. (1931) 1 71, mars 4 77, mal 1 84. — Calés (en cents par livre) : Dlsp. 9 .'/8. mal 8 58, jull. 8 37, sept. 8 21, déc. 8 01.

— Janv. (1931) 7 97, mars 7 88, mai 7 78. — Ventes approximatives : 9.000 sacs. — llulle de coton (en cents par li vre), dlsp. 8 75. — Pétrole raffiné (en doli. et cents les 100 gallons), 13 25. — Saindoux (en cents par livre), 11 00. — Suif extra (en cents par livre), 6 1/4. — Térébenthine (en cents le gallon), 50. — Cuivre F. A. S., disp. 14 vend. — Etaln. disp. 33 50.

MARCHE DE CHICAGO (Clôt.), 5 Mal Cotons (en cents par livre) : Jull. 16 10. oct. 14 40. — Blés (en doll. et r<entw le bushel) : Dlsp. lncoté, mat 1 00 1/4 a 1 00 1/8, Jull. 1 01 1/2 à 1 01 3/8, sept.

1 04 1/4 à 1 04 1/8, déc. 1 09 1/8 à 1 09. (en cents le bushel) : Dlsp.

— Maïsmai 78 5/8. jull. 80 1/4, sept. 81, 79 3/4, déc. 75 3/8. — Avoines (en cents le 3ushel) : Mal 40 5/8, Jull. 40 1/8, sept. 39 '/4. déc. 42 1/2. — Seigles (en cents le oushel) : Dlsp. Incoté, mai 57. Jull. 61 S/4, sept. 66 1/4, déc. 70 1/4. — Saindoux (en cents par livre) : Dlsp. 10 25, mal 10 25, Jull. 10 40. sept. 10 60. — Bacon (lard) (en cents par livre), 14 25.

t

VILLE DE PARIS TIRAGES-DU

5 MAI 1930 .

EMPRUNT 4 0/0 1875 Le numéro 251.470 gagne .100.000 franc*., 171.121 50.000 10.000 131.616 335.155 10.000 361.582 10.000 143.05» 5.000 172.716 5.000 5.000 235.965 5.000 242.003 Les 25 numéros suivants gagnent cha-cun 1.000 francs : 4.003 29.548 40.948 81.477 149.362 190.126 203.050 205.337 215.485 241.316 247.282 281.203 281.273 291.227 838.431 410.868 :410.471 424.222 443.183 460.472461.279 465.948 468.866 497,032 499.581 En outre, 4.715 autres numéros ont été

appelés au remboursement au pair.

1 EMPRUNT 3 0/t> 1912 Le numéro 718.(>3!) gagne 50.000 francs.

454.071 10.000 — — —

Les

5

numéros suivants gagnent cha

cun 1.000 francs : 19.857; 228.317 491.354 514.863 657.584 Les 81 numéros suivants gagnent cha-: cun 500 francs 2.991 43.561 76.163

115.701

193.336 202.156 226.326 290.780 342.674 386.606 413.784 461.416 499.976 560.288 628.137 692.436 713.551

4.469 49.95?

84.655 130.296 193.344 219.286 251.941 296.956 349.302 .404.429 437.395 479.455 610.039 565.040 642.450 692.782

:

5.242 •* "IO-BS».

56.673 60.630 88.946 99.945 155.959 185.274 196.400 198.401 220.606 223.420 276.708 282.525 304.700 313.950 351.379 353.998 407.605 410.520 442.637 459.292 488.042 493.410 630.504 536.951 569.562 604.547 651.827 658.192 695.709 697.163

17.722'

68572

110.543 193:165

199.486^

223.645 285.234 330.260 374.765 411.400 460.421 493.668 540.139 610.117 672.702 699.417

CREDITFONCIERDE FRANCE -TIRAGES DU

5

MAI 1930

OBLIGATIONS FONCIERES 3 0/0 1878 44.03H gagne lou.ôuu Trancs.

Le numéro 789.712 — 100.0(10 —.

— 25.000 — 7<i!).444 — — 10.000 — DTK.7^1 — — 1.5l6.(i33 10.000 — — Les — 5 numéros suivants gagnent chacun 5.000 francs : 175.128 1.354.333 1.460.204 1.513:094 1.766.566 Les 90 numéros suivants gagnent cb&r,

cun 1.000 francs

:

37.141 43.234 130.739 163.691 194.548 213.917 255.575 253.289 293.388 300.631 300.345 304.748 306.194 312.647 £118.460 344.828 353.10B 354.462 361.718 : 375.760 405.048 413.011 421.175 428.379 443 892 447.540 460.831 463.911 465.006 484.035 542.816 648.799 665.B68 670.636 884.299 699.519 701.303 710.605 755.206' 790.219 818.762 827.630 855.099 857.488 857 989 872.072 907.914 938.308 971.597 978 190 1.019.518 1.033.690 1,043.737 1.076.957 1.130.979 1.131.605 1.148.684 1.091.564 1.178.298 1.191.726 - 1.198.972 1.222.880 1.262.641 1.263.197 1,268,158 1.261.151 1.334.795 1.348.602 1.395.979 ' 1.397.404 1.405.311 1.415.626 1.430.932 • 1.447 891 1.452.467 1.517.818 1.562.386 1.594.493 1.634.220 1.635.616 -1.639.163 1.660.116 1.677.355 1.706.340 1.708.417 1.709.682 1.714.511 1.760.604 1.789.101 1.798.578 OBLIGATIONS FONCIERES 2.60 % »885 Le numéro 457.887 gagne 100.000 francs.

206.404 — 25.000 — — Les 6 numéros suivants gagnent cha cun 6.000 francs : 14.867 222.062 267.350 ' .

295.902 843.352 954.170 Les 45 numéros suivants gagnent cha

cun 1.000 francs

:

73 905 177.807 99.703 870.660 215.417 478.829 411.237 555.271 502.450 715.701 736.185 621.820 760.012 772.735. 782.624 803.070 832.393 834.995 844.337 856.434 883.673 884.275 977.707 995.744 11.761

38.095 148.687 301.059 428.963 539.856 686.355

73.060 160.925 333.923 448.899 540.240

,92.380 191.422 888.719

490^16

602.273 746 469 809.874 878 851 996:304

En-outre, 2.394 autres numéros ont été appelés au remboursement au. pair. .

OBLIGATIONS FONCIERES 8 1/2 % 1913 Le numéro 723.578 gagne 100.000 francs.

25.000 — ' 175.843 — — 5.000 — i' 244.648 — — 452.622 5.000 — — — Les 60 numéros suivants gagnent cha cun 1.000 francs

53.386 202.663 217:150 219.649 301.496 289.433 411.851 409.853 542.949 534.501 572.358 595.381 616.036 661.322 689.700 696.157 800.425 811.278. 818.232 887.096 969.872 987.372 3.676

195.787

36.021 202.007 219.324 300.986 410.675 540.537

53.726 208.810 234.100 301.564 436.377 559.527 623.951 722.034 846:459

'93:440 213.822 287-052 813.057 496 359 562.386 645.988 780.172 867.1C9

988393 997-566 Le Crédit Foncier publie I* liste compléta de ses tirages et des lots restant * rem bourser dans son BULLETIN OFFICIEL tri-mensuel qui donne tous les numéro* sortis aux 107 tirages annuels ooniport&nt 8.808 lots dont 6 de i^n million, S da 500.000, W de 250.000, 10 de 200.000. * de 150.000, 87 de ÎOO.OOO, etc.

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POl'lt

1931

"(ANNUAIRE SILVKSTIUE) Cet Annuaire, qui est un guide indispen sable pour i les Associations Agricoles et pour tous ceux qui sont à la tête du mou vement agricole de leur pays, est égaie-, ment d'une nécessité absolue aux FOUR NISSEURS DE L'AGRICULTURE, car ii

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Londres, 5 Mai. Les affaires sont tou jours aussi calmes—et la tendance générale, se. ressent fâcheusement de la baisse sur-i. venue b Wall Street. D'autre part on est .mal impressionné par la nouvelle du rte-, trait''d'or & la Banque d'Angleterre et l'on craint de noufeaux. et importants re traits pour aujourd'hui. Ponds d'Etat et Chemins anglais alourdis. Les valeurs in dustrielles cèdent aussi du terrain ainsi m que lea titres d'arbitrage. Faiblesse des pé M troles en sympathie avec New-York. Grou pe minier en baisse. Les'' stannifères et les cuprifères sont ramenés en arrière et les' Hhodéslennes après avoir offert une cer taine résistance à l'ouverture sont finale ment entraînées dans le mouvement de les Fraudes sur beurre réactlcn.

Berlin. 5 Mai. —: Tendance plus faible b l'ouverture, cependant les ne dé-'; Des inspecteurs du-. service 'de la ré* passent pas généralement 2 perte? points. pression des fraudes a la préfecture de ques titres s'améliorent même, entreQuel au police ont .arrêté hier Warcei Brunei, 32 tres, Loreng. Les valeurs a revenu fixe 25, ans, rue de Torcy, vendant Sur les sont toujours animées et bien orientées. marchés de banlieue, notamment d'issy. En séance les affaires demeurent aussi coide Oentilly et de Naullly, de la margarine mes qu'au début. Recul de Chade. Puis en pour du beurre. M. LaVayfleé, directeur clôture, l'ambiance est meilleure.

On espè du Service, a mis le fraudeur & la dispo re un prochain abaissement du taux sition de M. Pagéa.^uge d'instruction. cofapte de la Relchsbank. On finîtd'eq- sur une note plus soutenue. • • : En sixième page Au marché monétaire, l'argent au Jour le vaut 6 1/2 à 7 1/4 %. Argent nu ' le courrier de t.s.f. moisJour6 l/3à 6 1/2.

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d'Antin, Parla.

Pour être tout à fait

à la page il faut lire. :: :: la page des :: PETITES ANNONCES

Vin généreux au quinquina

Feuilleton du Petit Journal. 6 Mal 1930 çant, s'il ne m'obéissait pas, de révéler, Car, ainsi que la jeune femme l'avait a droit à la miséricordede la justice, c'est — Non... mais j'ai été amenée tout à son indignité à mes enfants-: Ce que j'at l'heure ici par quelqu'un, qui non seule décidé, tous deux, matin de l'audience, qu'à l'origlûe de toute cette malheureuse tendais de lui, c'est qu'il fît la cour à Si ment m'a décidée à faire les déclarations s'étaient présentés le chez Thérèse Privas et histoire se place une erreur, commise non mone et la compromit si bien que son que vous venez d'entendre, mais encore à là, ayant presque dû forcer porte —r seulement par elle, mais encore par l'in mari se trouvât forcé de divorcer. Mais la rétablir exactement ce qui s'est passé ils l'avaient, plusieurs heuressadurant, si culpée... réalisation de ce plan ne devait pas aller dans l'esprit et le cœur de ma bru... Veuil bien sermonnée que, mise dans l'obliga sans difficultés, liées les unes de ma belle- lez entendre à présent cette personne, tion de nier contre » Il s'agit de la ressemblance, ressem l'évidence d'avouer ou blance frappante, je le reconnais, entre fille, les autres enfin de Martin lui-même. dont la déposition achèvera l'œuvre que, faute, Thérèse, s'avouant soudain vain sa -mon entant -*< le fllg de Julien Martin —* Le temps passait. Cet été, les bulletins sur ses conseils, j'ai entreprise ici et dont cue, s'était décidée à tout atten qu'on ce et M. Jacques Privas, le directeur du « Pa que je recevais de mon émissaire étaient je me repens amèrement. dait d'elle. grand roman passionnel et dramatique radis Terrestre meilleurs les uns que les autres. < j'espère Et qu'alors il pardon » Et sera tous plus me trois n'avaient alors par Maxime La Tour Abusées eu ressemblance. cette Mme » par » Tout semblait en bonne voie lorsque ne d'avoir agi je l'ai fait... Je suis

—70—

LA MAISOn

sans enfant

comme soudain le crime se produisit. : d'ailleurs prête à expier ma faute, «t Sans doute, Martin a-t-il voulu trans » dans ce but. je me tiens à la disposition rROISlKME PARTIE former réalité la comédie je l'a . en que la justice.

LA FAUTE DE SIMONE vais chargé de jouer pour détacher mon deOn avec quelle stupeur croissan X. —• Les assises (suite; flls de sa jeune femme, et, profitant d'une te la devine déposition de Thérèse Privas avait ».Je le connaissais déjà, mais sans qu'il minute de désarroi de ma bru, a-t-il cher été suivie et quels revirements ses paro lé sût. Je savais, grâce à une agence de ché à en f&ire sa maltresse. JE lie se sera les avaient produits parmi les renseignements, qu'il avait, plusieurs an défendue, et pour une fols, l'innocence esprits les plusdéjà hostiles à l'accusée. nées auparavant, détourné une somme l'aura emporté.

Le machiavélisme dont cette belle-mère considérable de la caisse de son père, >'On ne peut donc dire que Simone avait fait preuve et qu'elle avouait — en honnête percepteur du .département du est coupable du meurtre que vous jugez S'en repentant d'ailleurs —provoquait îforcl, dont la vieillesse misérable devait aujourd'hui : elle n'a pu agir qu'en état une indignation à peu près, générale dans êtrB consacrée dès lors à payer les dettes de légitime défense... et, en tout état de le public. qu'il- contracta pour réparer la faute de cause, ce meurtre j'en suis la seule respon Ce fut donc devant une assistance deve sable, vous savez à présent pourquoi. soii;fils et.ne. pas être révoqué. nue houleuse et bien prête à manifester Mais » L'homme qui avait été capable de cela ce que nous ne savons toujours hautement ses sentiments qu'on introdui — répliqua le président, c'est pourquoi sait le .témoin nr- devait avoir ni cœur, ni • conscience. pas, annoncé Thérèse Pri C'était lut qui allait servir mes projets. votre belle-fllle s'obstine â. nous cacher vas, et qui n'était autre par on l'a deviné —• s J'attirai Julien Martin chez moi, Je les causes de son geste... SI vraiment ce ( que Maria Dalerme, plus—jolie que jamais l'observai et je m'aperçua que ma belle- fut de sa part un geste de défense, comme sous les voiles de deuil encadrant son fin fllle ne. lui déplaisait pas. C'était l'essen vous le prétendez généreusement, que né visage pâli par l'émotion. tiel. le dit-elle ! ou alors il faudrait, en admet Comme l'avait dit la « grande patron .

J'avais attendu d'avoir convic cette tant votre thèse,.

1 » supposer . qu'elle cher ne » tout, ce qui venait de se passt, était tion pour m'ouvrir de mes projets à cet che une condamnation. > son oeuvre — et aussi celle de Césairë Traaventurier. Je les lui exposai en le mena Avez-vous quelque idée ce.sujet ? .aUre. » -

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liz-e récemment dans une financière revue : , . yde-pttyer jusqu'au ,» * Il nous est imposé bout, lès fautes que nous avons, d'un cueur si léger, commises à la lin de 1928 et au début de 1029, sa hissant toutes les va leurs à un niveau injustifié... Bi noua avions eu la chance de. Bénéficier d'une baisse àussi sensible que celle qui a ra; hls sur pied la Boll»-se de New-fork, nous n'en serions pas' 1& où nous sommes e>, après la secousse, nous nous sérions bien vite remis à la besogne I ».

Cette remarqite est déjà du passé. ,11-, est bieh Vrài qu'il y a deux^ou trois ans la « marchandise excellente en soi des, valeurs françaises », pouf reprendre l'ex pression' d'un de nos cohfi-ères, était trçjp tfhére pour tenter les acheteura. Les vn-_ l^urg se capitalisaient alors de 1 à 3 %Mais. depuié, il y a eu de nombreuses aug mentations de capital ; d'autre paH, beau coup db dividende déclarés cotte ahote sont supérieurs âuai précédents ; enfin, les Indications de bilans récemment nubiles permettent d'envisager des plus-values de couts et des augmentationsde répartitions pour les eîSereTces à venir. Comme, par ailleurs, beaucoup d'emprunts à long ter-me arrivent à la limite de leur amortissefheht ou sont remboursés par anticipation,- * l'écart entre le rendement :— qui dimi nue — des valeur» & revenu nsë et celiii ektefiaible r— des titres revenu,varto—• ble, se détend de plus-en plus. Il n'est donc pas surprenant qu'on ait constaté, en ces dernier» temps (notamment par la diminution des émissions d'obligations.) un revirement en faveur des seconds. .

Ce revirement sera-t-il durable 11l sém-. ble quîon puisse le présumer. Les dégiêvements et la supDre^slon des actions & vote plural le favorisent, en effet.. En ou- ,' tre, il faut tenir compte de ce fait que 16" " ;oût du Jeu est éternel et qu'il no peut rouver satisfaction sur le marché deç obligations. Au reste, il serait surprenait, que le» mêmes capitalistes, qui ont tahtv r.r, protesté depuis quelque temps contre le. dommage que leur causerait les actions à, vote privilégié, portent intérêt aux titres & revenu axe, lesquels ne leur laissent bù cun moyen dé défense dans les sociétés- : auxquelles ils s'intéressent.

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VALEURS SE NEGOCIANT AU COMPTANT VALEURS

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La tendaaee s'est une alourdie sous l'effet déprimant ûe la Dlesse des places étrangères. Le maïAise n'a épargne ailciin -' groupe, et certaines ttinéreucea en baisse sont i-.ssez Keusible». Cependant les affaire», sont peu àoihWeuses et le recul de la cpte, est. beaucoup plys le résultat d'une contre , • partie inexistante que l'effet de ventes massives. *" Toutes les places .' irangéres ou -,ù- peu • prés ont été mauvaises. Londresnotam ment a parû mal disposé. Il est vrai ij,uc le développement des troubles aux Indes : est un élément aiâez lnqulétaïit. A NewYork, la tendancé est également très fai- ' ble et des réalisations -considérables Ont- . alourdi la cote. A Bruxelles le§ atfalreH,. .: sont nulles -, etc. Il faut reconnaître que Paris est assez excusable de ne pas avoir fait preuve ' de fermeté en présence de . y .telles conditions extérieures. 1 Il ne faut cependant paB désespérer, r car, JufcqU'ict, rien n'a été fait pour sou..; tenir pràticiuement la cota : ; 14 marché est resté livré à'lui même. SU â> la veille des vastes opérations financières envisa gées, les profeasionriels de tous ordres se s décidaient à intervenir, 11 Serait facile.,de 4 remonter le couraiit.

En clôture le marché 's'est affaibli ' : nouveatij et la plupart deâ valeurs,' tant françaises qu'étrangères, terminent aux alus'bas cours de la séance. Parmi les. veeUrs les plus résistantes (noua n'entendons fias dire par là qu'elles ont été _ermed) il faut iciter les charbonnages. Le , ,î, lait le ' plus saillant de la séance reste : l'universalité dt' la bs.lf.B0. Pas un titre, pour ainsi dire, n'a éeh&ppé a la Vague de ! pessimisme qui a déferlé eur la bourse.

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2100 980 ; 223 407.

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64 62 50 270 261 421 884 259 256 217 206 . <149 50 144 18g 50 181 ; ir» 255 ! 2248 , .

838 814 . ;.

400 62 270 50 260 419 417 372 JohannesburgG., £58 .. 25; caoutchoucs...... 216 .. 205 141 Eaettrn ..... 150 Gula Kalum^ong...

184 .. 180 245 Kuala Lampur..'.t.* 857 MaUcoa.

252 248 835 Padung., .. 81* M Coro*-^" '60 '©«ato»..i»»..5Q À72 Tha^rtis .........

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Assemblée générale annuelle du 5 mai 1930

L'assemblée générale ordlnairë des ac tionnaires de la Société Générale s'est réunie, le 5 .mal, sous la présidence de M. André Homberg.

Le rapport du Conseil d'administration souligne que l'annee qui vient de s'écou ler a confirmé le succès de la réforme monétaire : aujourd'hui le franc, garanti par une des plus importantes encaisses métalliques du monde et par des réserves massives de devises, est devenu in instru ment m&nétnlre d'une incomparable soli dité.

Il a suffi du retour à la sécurité moné taire pour que l'épargne française, dont le courant ne s'était Jamais entièrement interrompu, même pendant la période de l'inflation, tendît à reprendre sa puis sance traditionnelle. Mais la restauration de nos finances publiques n'a été obtenue qu'au prix d'un effort fiscal dont le poids s'est fait lourdethent sentir sur les affai res et que vient d'atténuer une récente loi de dégrèvements.Il faut espérer main tenant qu'un aménagement plus ration nel de notre «systéthe d'Impôts, ainsi tiue les allégements nouveaux qui pourront intervenir dans le cadre de l'équilibré budgétaire rendront plus supportables les charges encore trop souvent prohibitives qui entravent l'essor de 'l'économie fran çaise.

Ensuite, le rapport fait un exposé de la situation économique de notre pays pendant l'année 1929. La Ffahce, grâce à la diversité de ses productions, à la si tuation parfaitement saine de ses grandes entreprises et aux propres besoins de sa consommation intérieure qui se main tient à un niveau satisfaisant, a échappé evans une 'large mesure au malaise,, des affaires qui apparaît dans le monde entier. ' Le rapport constate cl'autrn part que, . les prethiers mois de 1929 le pendant marché des capitaux a continué à bénéfi cier du mouvement d'affaires qui avait oaractérlsé l'année précédente. Au cours de cette période, de nombreuses sociétés ont estimé les circonstances favorables pour augmenter leur, capital. Puis la fai blesse des bourses étrangères, notarhment de oelle de New-York, a fait sentir ses effets en France et l'activité des transac tions s'est considérablement ralentie. Ce pendant, les valeurs à revenu axe ont poursuivi une hausse régulière et soute nue, stimulée bar la politique d'amortis sement de la Caisse autonome.

La Société Générale, au oours de l'an née 1929, a procédé h l'augihentation de son capital de 500 titillions à (326 tail lions. Cette opération lui a procuré des ressourcée nouvelles dont l'emploi a heu reusement Influé sur' les résultats de l'exercice.

Dans le domaine des' opérations finan cières, elle a participé à la conversion des obligations de la Caisse autonome d'amor tissement et au placement de nombreuse emprunts émis par les collectivités publi1 ques et les affaire? industrielles et com merciales.

Le bilan soumis aux actionnaires fait ressortir l'activité des affaires de banque; le concours prêté à la clientèle commet» clalé apparaît dans l'accroissement des comptes courants divers, en progression LA PROBITE COMMERCIALE de 491.031.000 francs; le mouvement des OUVRIERS escomptes commerciaux a atteint un supérieur à celui de l'année précé 9, rue Fontaine, Paris (y). chiffre ON dem. bonne3 ouvrières domicile pr ta Trinité 47-00. , dente. bliors femmes et enf av. certlf. résidefic.

Le rapport fait ensuite mention des VDizetilogcl, 89 bis, r. Réaumur, Paiis^') résultats P. ALIMENT. VINS CHARBONS pr. Paris, 8 satisfaisants obtenus par les à 900 aft. en progrès. 20% net. Beau logt. ON demande un bon chef mécanicien de filllales, notamment par la Société ano l'Industrie française, eau, gaz, électricité. Loyer 5.500. Bail 12 a. sucrerie de 40 & 80 uns. Bien au courant nyme dp crédit .(721). du matériel de.sucrerie, Prix 75.000, Moitié comptant, i dont le premier exercice a pris fin le 31 Ec, A.li. GO P.J. décembre dernier. .

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a pu pour sauvegarder son honneur De là le meurtre est venu que vous allez Ju ger. »

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Mais, une fois aux mains de la justice, .

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elle allait bien se garder de révéler qu'elle

se trouvait alors en état, de légitime dé

fense.

.

... ... » Elle ne voulait pas d'un acquitt-"*^ ~ _qui la rendrait à son mari... mai' condamnation qui libérer?" ' lui permettrait de se com qu'à sauter ensemble en automobile pour Thérèse Privas, puis Mme Jacques Privas, ment arriver au Palais de Justice à' point ont cru que j'avais été la màitresse fant. à son enfant et à la nommé. ' de M. Privas... que' mon enfant était de ' Êh bien ! c'est cette Mais, déjà Maria Dalerme, interrogée par lui. me aujourd'hui qu'il n'y , le président, attaquait : » Et alors... pendant que la .mère était sang entre son petit et le .

— Mme Jacques Privas n'est pas une amenée à concevoir le plan que vous con Privas... criminelle, mais une victime. Julien Mar naissez à présent, l'épouse — elle tin. dont j'ai été la maîtresse, était un avec Une générosité sublime, facilitait exisi - »'La ressemblance la être infâme, je le sais aujourd'hui, bien réussite de ce plan, pourtant ignoré d'elle, entre l'un et l'autre... . mais t» capable d'avoir voulu abuser de l'incul en décidant dé sacrifier au bonheur de cause.

Alors, tirant de son corsage, à pée. C'est ainsi que la malheureuse jeune son mari et de sel'enfant qu'elle lui attri brusqlae, une petit sachet d'étou femme a été mise dans la nécessité de buait par erreur..,, même qu'elle contemplait si triste commettre son crime... qui débarrasse la p OUI... Mme Jacques Privas a pris vo dans l'hôtel borgne de la rue Sfiint-IX société d',un individu dangereux et capa lontairement toutes les la de apparences, ble de toutes les vilenies. femme qui trompe Son mari pont pousser le matin où Jacques Privas était venu Cela, Mme Thérèse Privas nous l'a le sien à reprendre sa liberté au profit de rechercher pour transformer h jams _— dit, fit observer le président. C'est autre Sa maîtresse supposée et de l'enfant de son existence — .elle expliquait : chose que nous attendons de vous. Voyons, cette maîtresse.

Il y a là une lettre de mon père. à< ma — nière. continuez. ' *" » Ce simulacre de l'adultère était dan Ma Oui... mère était je devine...

Vous voulez ouvrière savoir gereux » une pauvre — un partenaire tel que Julien provinciale pourquoi Mme Privas conçut le dessein de Martin, avec qu'Un beau monsieur de Parisqui demandait qu'à faire de avait détacher son fils de sa belle-fille... et cette femme ne séduite..

Je suis le fruit de leurs égarée sa maîtresse d'un ins aussi pourquoi cette dernière n'a pas vou tant... amours. B y a dans cette petite envelop le nom de mon père, au bas de lettre lu révéler ce qui l'a poussée au meurtre. » A la minute où elle en a eu conscien pe, Eh. bien, je vais vous le dire. ce, alors qu'elle se voyait sans défense de établissant nettement sa paternité: Si* malgré sa/ifoute grave,Mme Privas vant le misérable, -elle à lutté' cdâune jelle %l

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Comment

Pourrai-je

w Mnisou J-B. Gobart-Martin »ue* Ucuumur - St-Den s PARIS - Mtftro : Réaumur-Sébaslopoi.

6-5-30

Le Petit Journal *n

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