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Notre message : Les “Learning Cities
Voici, en quelques phrases, nos principales découvertes. De quoi satisfaire le lecteur pressé!
Nous avons expliqué que le concept de Smart City reposait sur deux idées: une optimisation des systèmes de gestion de la ville par la donnée et une participation accrue des citadins au renouvellement de leurs villes. De ces deux idées découlent deux grands fantasmes. Nous les nommons la Data City, la ville gouvernée par la donnée. Et le Smart Citizen, le citadin à l’enthousiasme béat vis-à-vis du digital.
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Ces fantasmes, nous voulons les remettre en question. Car les Smart Cities d’aujourd’hui, à l’image des sept villes que nous avons étudiées, sont confrontées à deux limites. Première limite: l’impact de la donnée sur les services urbains y reste encore relativement limité. Seconde limite: ces villes souffrent souvent d’un manque d’engagement des citadins vis-à-vis de la tech, allant parfois jusqu’au rejet. Avant d’être des Smart Cities, il s’agit plutôt aujourd’hui de Learning Cities, qui testent, tâtonnent, apprennent à capitaliser sur le digital et à nouer un dialogue fructueux avec leurs habitants.
Riche d’enseignements, cette année sur le terrain nous aura donc permis de déconstruire les fantasmes que beaucoup projettent sur la Smart City... À commencer par nous-mêmes. Non, il n’existe pas encore de Data City intégralement «dirigée» par la donnée. Non, la plupart des habitants des villes ne sont pas des Smart Citizen à l’enthousiasme inconditionnel face à la technologie. Fières de leurs succès, conscientes de leurs marges de progression, ces Learning Cities avancent pas à pas.
Suivez-nous alors que nous les découvrons!
Partie 1 Partie 1 Partie 1 Data city Data city Data city
LOIN DU FANTASME D’UNE DATA CITY DIRIGÉE PAR LA DONNÉE, LA RÉALITÉ DE PROJETS DIGITAUX EN PHASE DE TEST.