Ahmed s’intéresse Ahmed T
peintre dessin et à
est né et et d’en r
permet
est ses
Ces
peint
exemple femme
de
Il
r C’est
de
il ne peint de r
peintre Il
des été en même temps et de peindre ses Il de ses
tiennent
Très métier sensibilité et âge il le
les des les
à vie
de
de
Il
de
des
de
Elles
à T
il ne le de
et les
de
des et
vives
et des à exister L'ensemble de à l'œil les éléments des et de
les le
r
3
rester tout près de ce qu'il cherche à peindre. Mais inutile de préciser que le réalisme de est un réalisme créateur, et que si la photographie évoque le résultat de la toile, l'œuvre ne ressemble en rien au support qui a servi à sa
Certains tableaux de semblent être sortis d'un rêve. Ils sont peints sans couleurs ; des abrégés, en quelque sorte, d'une réalité aux tons Il ne s'agit pas pourtant d'un choix esthétique, mais d'une nécessité. hume la peinture quand il entre dans des ateliers de peintres pour qui la question des moyens consubstantiels à l'exercice de leur art ne se pose pas. On peut voir dans les champs qu'il représente une curieuse perspective d'autodidacte, plane et et dont rien ne dissimule la ligne où terre et ciel se rejoignent. Il songer à la ligne d'horizon telle qu'on peut l'observer à la mer
Dans les paysages qu'il peint, accorde un très intérêt aux arbres. Et ce n'est jamais au d'un arbre qu'il s'intéresse, mais aux inquiétantes de ses branches. De telle sorte qu'il n'existe pas d'arbres anodins ou paisibles dans les tableaux de : tous sont animés par une vie prête à bondir, tous présentent des aspects menaçants. Là où il va, s'émerveille devant les grands arbres. extraits d'un texte, publié par Aziz Daki en mars 2001
4