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Femmes de prière

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Femme de prière

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Femmes de Parole

Vivre dans l’abondance

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Aimer Dieu, aimer son prochain

« Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, de toute ta pensée, et de toute ta force. Voici le second : tu aimeras ton prochain comme toimême. Il n’y a pas d’autre commandement plus grand que ceux-là ». Tout d’abord, j’aimerais introduire mon message par ce verset qui est fondamental car il nous présente les commandements les plus importants. Et qui dit commandement, dit obéissance, ce qui veut dire que nous avons l’obligation de les respecter en les mettant en pratique.

Pour vivre dans l’abondance, nous devons comprendre ces deux commandements qui mettent en exergue un principe essentiel en matière de prospérité : le principe de la semence et de la récolte. Lorsque nous aimons, nous donnons à l’être aimé. Nous lui donnons notre amour, notre temps, notre argent…Nous partageons tout ce que nous avons. Si nous aimons Dieu de tout notre cœur, nous devons alors lui donner avec joie et sans contrainte tout ce que nous avons. Nous devons semer dans son Royaume, pour son œuvre, nous devons apporter nos dîmes et nos o randes. Si nous aimons notre prochain comme nous même, nous devrions également avec joie et sans contrainte donner, partager ce que nous avons. A noter que le prochain n’est pas forcément une personne que nous connaissons, c’est une personne que nous pouvons rencontrer sur notre chemin qui se retrouve en di culté et que nous devons aider. A l’image du récit du bon samaritain dans l’évangile de Luc. Si tous les enfants de Dieu appliquaient ces deux commandements, je vous assure que le monde ne serait pas ce qu’il est aujourd’hui ou encore la vie de certains enfants de Dieu ne serait pas ce qu’elle est.

Refuser de vivre dans le manque

Triste est de constater que beaucoup d’enfants de Dieu, des personnes qui ont accepté Jésus-Christ comme sauveur et seigneur, qui vont régulièrement à l’église, vivent dans le manque. Ils vivent avec le minimum, ils n’ont pas de quoi payer leur loyer, les études de leurs enfants, leurs ordonnances et même l’argent du transport pour se rendre dans la maison de Dieu. Comment ça se fait ? Des situations qui poussent certaines personnes à remettre en question l’existence de Dieu et qui les amènent à perdre la foi. Le problème ce n’est pas Dieu, il est amour et son souhait, c’est que nous puissions vivre dans l’abondance. Le problème, c’est nous ! La Bible déclare que c’est la bénédiction de l’Eternel qui enrichit et il ne la fait suivre d’aucun chagrin (Proverbes 10 : 22). Beaucoup d’enfants de Dieu oublient que la bénédiction n’est pas automatique, je suis enfant de Dieu alors, je suis bénie. Or ce n’est pas ainsi que ça marche. Pour expérimenter la bénédiction, il faut obéir à Dieu. Dans le livre de Deutéronome au chapitre 28, sa parole est claire, il dit si tu obéis à la voix de l’Eternel en mettant en pratique tous ses commandements, tu seras béni. Mais au contraire, si tu n’obéis pas, la malédiction sera ton partage. C’est donc notre manque d’obéissance qui nous amène à vivre dans le manque. Si nous obéissons, nous serons bénis et nirons par devenir riches. Beaucoup de personnes remettent en question les messages sur la prospérité alors que tous les messages de la Bible doivent être enseignés. L’argent n’est pas un problème, bien au contraire, c’est une solution y compris pour promouvoir l’évangile. Ce qui est mauvais, c’est l’amour de l’argent, c’est lorsque l’argent devient le maitre au lieu d’être à notre service.

Si nous refusons la richesse alors nous acceptons la pauvreté. La richesse est un bien alors que la pauvreté est un mal. Dieu nous veut du bien et non du mal, voila pourquoi il dit dans l’évangile de Jean « Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire ; moi, je suis venu a n que les brebis aient la vie, et qu’elles soient dans l’abondance ».

Expérimenter l’abondance en 2022

Pour vivre l’abondance, nous devons prendre la décision d’obéir à la voix de l’Eternel, à sa parole. Prenons l’exemple de la veuve de Sarepta (1 Rois 17) qui n’avait plus d’espoir parce qu’elle vivait dans le manque. Sa seule solution était de mourir, mettre n à cette vie di cile. Dieu n’a pas permis qu’elle et son ls meurent et à envoyer son serviteur, le prophète Elie. Alors qu’il ne lui restait plus grand-chose, un peu d’huile et un peu de farine, le prophète Elie lui demande de lui préparer une galette pour qu’il mange. Une demande surprenante et pourtant salvatrice car Dieu lui promet après avoir fait cela qu’elle ne manquera plus de farine et d’huile, en d’autres termes, elle vivra dans l’abondance. Peut-être avez-vous déjà été dans une situation similaire, un serviteur de Dieu vous demande de semer tout ce qu’il vous reste. L’avez-vous fait ? La Bible nous encourage à le faire. La veuve de Sarepta a obéi à la demande du prophète Elie et a été délivré d’une situation qui la conduisait à la mort. En 2022, expérimentez l’abondance, prenez la décision de refuser le manque, prenez la décision d’obéir à la parole de Dieu, quelles que soient les situations.

Femmes de Parole

Femmes dans le ministère, le nouveau rendez-vous de l’Association des Femmes de Valeur !

Le 9 juillet 2021, l’Association des Femmes de Valeur a organisé la 1ère édition de « Femmes dans le ministère », un événement qui s’adresse aux femmes qui ont un ministère (pasteur, évangéliste…) qui sont des épouses de serviteurs de Dieu ou qui servent dans un ministère. Cet événement qui a été très apprécié par les femmes conviées sera de nouveau au programme des activités de l’association des femmes de valeur cette année.

L’objectif de la conférence était bien sûr l’épanouissement des femmes dans l’Eglise, le pasteur Tania Mahoungoud à d’entrée de jeu donné la vision de l’association femmes de valeur : valoriser, encourager et former les femmes a n qu’elles s’épanouissent dans l’Eglise et dans leurs ministères. En e et, sur les 4,5 millions d’habitants que compte le Congo, 95 % de la population est chrétienne et en majorité les femmes, a-telle signi ée. Pourtant celles-ci sont peu visibles dans les cinq ministères (évangéliste, pasteur, prophète, docteur, apôtre) , alors qu’il est possible comme dans d’autres pays qu’il y ait des femmes docteur ou apôtre. Dans les églises, c’est pareil, les femmes sont souvent engagées dans la chorale ou les services d’accueil mais n’osent pas s’épanouir dans d’autres services, (l’audiovisuel, la technique, les instruments…).

Durant son intervention, le pasteur Tania Mahoungoud, a incité les femmes à suivre l’exemple de Déborah, Ruth, et Esther, trois femmes qui malgré leurs occupations et conditions de femme servaient Dieu avec ferveur sans limite, “parce qu’une femme épanouie dans l’Eglise vie pleinement sa vie, elle est connectée avec Dieu et elle connaît son identité en Christ”.

Maman Christiane Beletoko qui était la deuxième oratrice de cet événement a tout d’abord rappelé aux femmes qu’elles ont été créée pour être les missionnaires de Dieu, pour apporter la bonne nouvelle. La servante de Dieu, s’est appuyée sur Juges 4, 5 pour parler de Déborah. Elle a rappelé aux participantes qu’être servante ou femme d’un serviteur de Dieu nécessite d’avoir un bon planning, doit savoir équilibrer son temps et être constante, le secret pour réussir, c’est d’abord aimer Dieu : “ la femme doit agir parce qu’elle a reçu du Seigneur. Lorsqu’on reçoit le seigneur la vie change. La vie de la femme samaritaine a changé lorsqu’elle a rencontré Jésus » a-t-elle expliquée.

Maman Christiane Beletoko a exhorté les participantes, à être attentive à l’appel Dieu et à être des brebis même en dehors de l’Eglise, “entrons forcement dans le plan de Dieu, servons Dieu avec amour que l’on soit servante de Dieu ou femme d’un serviteur de Dieu mettons Dieu au premier plan et lui agira.” a-t-elle conclue.

Christelle Packa, la troisième oratrice également servante et épouse de serviteur a débuté son intervention en rappelant aux femmes qu’elles ont de la valeur car elles ont été créées à l’image de Dieu. ”Nous avons Dieu en nous. Nous sommes sur la terre en mission pour rendre compte à Dieu un jour. Dieu nous donne des armes pour suivre sa mission. Connaître son identité et faire alliance avec Dieu nous permettrons d’être des vainqueurs partout et dans n’importe quelle situation.” a déclaré la servante de Dieu, tout en conseillant les participantes à être à l’écoute de Dieu et à se soumettre à son appel.

« L’objectif est d’encourager les femmes à servir Dieu. Au Congo et notamment à Pointe-Noire, il n’y a pas beaucoup de femmes qui osent exercer leur ministère Nous voulons au travers de ces réunions les forti er grâce à des partages d’expériences mais aussi bientôt leur proposer des formations. Nous aurons donc un nouvel événement de ce type en 2022 qui intégrera ces deux aspects » Tania Mahoungoud, présidente de l’Association des Femmes de Valeur.

Femmes d’intérieur

C’est une femme qui prend soin d’elle et qui prend soin de sa maison Belle & bien dans sa peau

Oser couper ses cheveux !

La coupe courte a été annoncé comme l’une des tendances de cette nouvelle année. Vous avez envie de changer de tête ? Vous y aviez pensé en 2021 mais vous n’avez pas osé ? Vous avez bien ré échi ? Vous êtes maintenant décidé ? Allez-y, de toute façon, ils niront par repousser !

Couper ses cheveux est pour certaines, une décision qui a été longuement muri avant de se lancer, alors que pour d’autres, c’est une habitude, elles n’hésitent pas et le font, quand elles en ont envie. Quoi qu’il en soit, la vérité, c’est qu’ils niront par repousser ! En plus, c’est tendance et nalement, une coupe à la garçonne, ne remet en rien notre féminité. Par ailleurs, il y a plusieurs modèles de coi ures courtes, optez pour celle qui vous ira le mieux, n’hésitez pas à demander conseil à votre coi eur/coi euse. Alors vous voulez passer le pas, allez-y ! Parfois cela s’accompagne aussi par des changements importants dans notre vie, pourquoi s’en priver ?

Elles les ont coupé, elles témoignent ! Qu’est-ce qui vous a motivé à couper vos cheveux ?

FG : une longue série de tresses en tous genres (box braid, tresses couchées avec ou sans mèches, etc.)… c’est une façon de faire respirer mon cuir chevelu et mes cheveux qui en ont beaucoup sou ert. LB : Je vis dans un pays où il fait très chaud les ¾ de l’année (en République du Congo), avoir une perruque, un tissage, des mèches, et/ou autres rajouts devient par moment un calvaire et se révèle pas pratique car on ne peut pas se laver les cheveux tout le temps… On a parfois la tête qui ne sent pas bon à cause de la chaleur, cela peut être très gênant. Je me sens plus libre et à l’aise avec les cheveux courts, que je peux laver à souhait. Quand je me rends à la salle de sport ou la piscine je ne me pose plus de question sur le devenir de ma coi ure. Et la cerise sur le gâteau, c’est le gain de temps au quotidien, juste un petit coup de peigne et hop, je suis coi ée ! Ce sont aussi des économies en perspective car il n’y a pas grand-chose à faire, je vais chez le coi eur une fois par mois, avec 1000 frs CFA pour rafraîchir ma coupe à la garçonne. J’ai aussi appris à m’apprécier sans arti ce et j’avoue que cela va bien avec la forme de mon visage qui est bien rond.

Est-ce que c’était la première fois ?

FG : Non, depuis mes 10 ans, il est rare pour moi d’enchainer 5 années consécutives sans coupe très courte. J’ai grandi entourée de femmes aux cheveux courts et naturels donc ce n’est pas un problème dans ma conception de l’esthétique. Et comme on dit aujourd’hui : la liberté de ça ! LB : Non, toute petite je ne supportais pas vraiment la douleur des tresses, je n’avais jamais adhéré au slogan « il faut sou rir pour être belle », c’étaient les tresses ou les cheveux courts, le choix pour moi était clair ! Comme j’aime bien changer de look, depuis près de 10 ans c’est quasiment chaque année que je garde les cheveux courts pendant la période la plus chaude et je laisse pousser pour me coi er de façon plus féminine le reste de l’année. Mais j’avoue qu’avec l’âge, je prends plus de plaisir à arborer mes cheveux courts !

Vous l’avez fait, vous avez osé couper vos cheveux façon garçonne, qu’est-ce qui vous a motivé ? Comment vous vous sentez ? Partagez votre témoignage en nous écrivant sur femmes2valeur@yahoo.fr ou sur notre page Facebook.

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