Blue Box Magazine #01

Le magazine des modes et des cultures

Slow tech Jeanstory Dur à cuir Think different

zéro euro Octobre \ Décembre 08

Culture

Récemment sorti de la Nouvelle Star, Thomas a bien compris que la reconnaissance artistique ne se mesure pas au nombre de passages télévisés. ▼

Le versant féminin des Ting Tings se dévoile, Fujiya & Miyagi font les stars, Jeff Koons se prend pour le roi, et Steven Cohen enfile son tutu chandelier… ▼

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Reportage Du slim tecktonik flashy au baggy hip-hop, le jean s’est greffé à la jambe de l’homme et de la femme ▼ pour rentrer dans l’histoire.

6 Mode Femme

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Découverte en image des 4 looks qui font la tendance cet hiver et qui s’amusent en s’opposant : Gossip Girl vs Brit Rock et Hippy Glam vs Ultra Mix.

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Mode Homme

New College, Esprit City, Urban Sportwear, Lovin Music, 4 exemples de looks pour l’homme.

▼

Focus

Le cuir fait son grand come-back en cette fin d’année 2008.

Fini le temps où il était le symbole des motards roulant en grosses Harley.

BLUE BOX magazine Magazine gratuit d’information de la chaîne Blue Box N°1 gratuit ne pas jeter sur la voie publique

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Directeur de la publication : Georges Gausseran Directeur de l’édition : Patrice Gausserand (05 63 45 43 22) Direction des rubriques modes et accessoires : Stéphane Bourelly : (05 62 47 90 80) Assistante : Laure Fontan (05 62 47 90 80) Crédit photos : Nicolas Boscariol, Fotolia Maquilleur / coiffure Rubrique mode : Delphine Gobessi, Isabelle Idrac Agence Top Model : Apparence Agency Ont collaboré à la rédaction de ce numéro : Carole Lafontan, Emmeline Gaillard, Fabien Pomiès, Sebastien Iwansson, Léa Daniel Graphisme : Cécile Fauré, Christophe Gentillon Illustrationdecouverture:Mydeadpony,colagene.com Service publicité et annonces : Patrice Gausserand 06 11 50 66 38 / 05 63 45 43 22 pgausserand@teddy-smith.com Imprimerie : Roularta (Belgique) Merci à tous nos partenaires : NIKE, ADIDAS, NUMPH, ORANGE, TEDDY SMITH, KILIWATCH et SCHOOL RAG Éditeur : SAS STANDARD 158, avenue Jean-Chaubet, 31 500 TOULOUSE Président : Philippe Bouloux Conceptiongraphique,rédactionetcoordination: Ageel – www.ageel.fr Les prix sont donnés à titre indicatif, des modifications peuvent intervenir sans préavis, sous réserve de disponibilité et référence auprès du réseau Dépôt légal : à parution L’éditeur décline toute responsabilité quant aux visuels, photos, libellé des annonces, fournis par ses annonceurs, omissions ou erreurs figurant dans cette publication. tous droits d’auteur réservés pour tous pays. toute reproduction, même partielle, par quelque procédé que ce soit, ainsi que l’enregistrement d’informations par système de traitement de données à des fins professionnelles, sont interdites et donnent lieu à des sanctions pénales.

Dans le creuset de ce tout premier Blue Box Magazine se trouvent bien chaudement réunies les modes et les cultures. Et au cœur de cette alliance, les pluriels sont forcément les bienvenus ! Ici, pas de « tenue standard exigée », nous nous ouvrons à un chapelet de looks et de tendances. Les Brit Rock se crêpent gentiment le chignon avec les Gossip quand les gars hésitent toujours entre le chic et le sportwear. Dans nos colonnes, exit le culturellement correct... nous vous parlons de tout ce qui nous bouleverse, au-delà des styles et des genres. L’électro minimaliste de Fugiya & Miyagi flirte avec l’extravagance de Jeff Koons et Les Sex and the city n’en ont pas fini de faire de l’œil à Coluche. Magazine de marque, nous sommes à l’image de Blue Box... profondément multimarques. Nous aimons les différences, admirons la diversité des talents et des styles. C’est pourquoi, nous nous sommes fixées comme objectifs de remplir vos platines et de garnir vos garde-robes. Notre seule valeur, la qualité !

Côté cour, retrouvez tous les trois mois, un magazine de 32 pages, sur un maxi-format avec des interviews de stars et d’artistes, des portfolios débordant de looks, un guide d’achat un peu décalé, un zoom sur une tendance qui fait la mode. Côté jardin, vous trouverez un guide culturel débordant de découvertes.

Expo, livre, cd, dvd, danse, ciné... plus d’excuses pour ne plus savoir où donner de la tête. Et pour finir, comme une cerise sur le gâteau, l’agenda des sorties vous amènera sur un plateau d’argent, de précieuses indications pour ne pas rester devant la télé, mais plutôt traîner du côté des backstages. C’est ça l’esprit Blue Box, des modes et des cultures réunies en un seul lieu, des clients formidables et des partenaires fidèles et une fois n’est pas coutume, nous voulons les remercier puisque sans eux cette aventure ne pourrait pas être possible. Nous donnons à tous, rendez-vous en février pour une nouvelle issue, comme on dit chez nous !

Toute première fois

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édito sommaire

Portrait

\ Patrice Gausserand \ Raphaël Vicenzi alias My Dead Pony est autodidacte.

Son approche de l’illustration et de l’aquarelle est donc tout à fait personnelle et mêle média digital, peinture et gribouillages furieux, ce qui donne à ses travaux une touche unique et intime. Si l’illustration paraît de prime abord fraîche et légère, un fond plus sombre et provocateur s’impose ensuite. Son style restetoutefoisabordableetdesclientscommeGraniph, StringRepublicouRideSnowboardsl’ontbiencompris.

Enfin, ses travaux ont été publiés dans des magazines commeComputerArts,AdvancedPhotoshop,Rockpile, Idea Design, ainsi que dans des livres sur l’illustration contemporaine comme Illusive 2, Zeixs Illustration et Fashion Wonderland. Il vit et travaille à Bruxelles, Belgique avec sa femme et sa fille. Il est représenté par Colagene, clinique d’illustration vous pouvez voir son book sur www.colagene.com

WWW.NUMPH.DK Contact France : Barbara COLAS // TĂŠl. : 06 07 57 37 46 // barbarabuffoli@yahoo.fr

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Blue box mag 01_B_SOMEONE

Ses références musicales : Jim Morrisson, -M-, The Velvet

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Underground, The White Stripes...

D

u haut de ses 19 ans, Thomas n’a pas vraiment le profil du chanteur en quête d’une célébrité à n’importe quel prix. Pour preuve, ce n’est pas lui qui a eu l’idée de faire le casting de la Nouvelle Star, mais l’un de ses profs de l’école de musique de Nancy. « Je n’étais pas convaincu par le fonctionnement de cette télé réalité, ni par les productions qui en sortent ».

Plutôt réfractaire, Thomas avoue à qui veut bien l’entendre, qu’il n’était pas très chaud au départ, lui qui se situe plutôt du côté de Jim Morrison et des Velvet Underground, que de la variété française et du r’n’b.

Alors pourquoi se laisser porter par la vague ? Le déclic s’est fait quand il a appris la présence de Philippe Manœuvre, au sein du jury. « En tant que lecteur régulier de Rock’n’Folk, imaginer que j’allais rencontrer son fondateur, ça a été déterminant. Ou en tout cas, ça a contribué au fait que je ne me suis pas senti trop décalé ».

Et dans sa croisade contre les a priori, Thomas affirme même qu’il n’y avait aucune tension entre les artistes en concurrence, « l’ambiance était très relax, rajoute-t-il. On mange ensemble, on dort ensemble. Et quand quelqu’un est éliminé, personne n’est d’humeur à dire ‘chouette un de moins’ ».

\ Médiatisation & créativité \

\ PORTRAIT \

THOMAS, VICTIME DE SA MODE ?

Récemment sorti de la Nouvelle Star, Thomas a bien compris que la reconnaissance artistique ne se mesure pas au nombre de passages télévisés.

Humble et photogénique à la fois, Thomas a été choisi par Teddy Smith pour être le modèle de sa campagne automne-hiver 2008. Et il est bien accompagné !

Originaire de Bastia, Thomas s’est fait remarquer dès le début de la Nouvelle Star 6 par sa reprise folk de Seven Nation Army, le tube des White Stripes. Musicien, corps et âme, Thomas s’est senti assez frustré de ne pas pouvoir jouer ses propres compos à l’antenne. « Mais je me suis rendu compte qu’il y avait quand même une grande liberté de création. Du coup j’ai fait un max pour me réapproprier les reprises. Et c’est quand même tout un travail qui m’a appris à être rigoureux ». Côté cour, la médiatisation, n’a pas eu qu’un impact bénéfique sur Sleepwalker, le groupe de Thom, notre nouvelle star constate : « qu’être subitement sous les feux de la rampe a créé un décalage entre eux et moi. Notamment lors des concerts, où on a ressenti que le regard du public avait changé ».

Cela n’a pas manqué de perturber l’équilibre du groupe.

Et c’est Dharma Project qui accueille désormais Thomas, sous le regard bienveillant de Philippe Manœuvre, encore lui ! Le chanteur s’explique : « je me suis rendu compte que je n’avais pas forcément les mêmes aspirations que les autres membres de Sleepwalker ». Le talent se construit sur les ruptures, isn’t it ?

\ Top modèle de nonchalance \

Choisi par Teddy Smith pour être l’égérie de la collection automne/hiver, Thomas, s’il s’avoue flatté, n’a jamais été vraiment attiré par l’univers des top models. Ce qui ne l’a pas empêché de se prendre pleinement au jeu. D’ailleurs la star à la guitare, sans être une fashionista, pense que les vêtements ont un rôle à jouer dans la musique : « Le look va avec l’identité musicale, même si ce n’est pas forcément fait exprès. » C’est lui qui le dit !

\Blåbär\

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© Alexander Yakovlev - Fotolia.com

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les coupes

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Historique 1853 – C’est durant la ruée vers

l’or que Oscar Levi Strauss a l’idée de confectionner des pantalons solides avec la toile de ses tentes. Il présente ainsi une salopette coupée avec des boutons pour ajuster les bretelles.

1853-60 – Les jeans de Levi

Strauss sont désormais fabriqués avec du denim, un coton provenant de Nîmes (d’où son nom).

1890 – Le 501 de Levi’s fait son apparition.

1926 – Lee lance le jean à fermeture glissière (ou zip).

1938 – Le jean débarque en Europe avec les GI’s.

1948 – Introduction du jean pour

femme. La fermeture éclair est sur le côté et non devant.

1970 – Symbole du mouvement

hippy, chacun possède son jean patte d’éléphant qu’il customise.

1990 – Apparition du surteint qui

redonne au jean un coup de jeune et dope les ventes.

méthode Délavage

Il existe de très nombreuses façons de délaver un jean.

La plus répandue d’entre toutes, c’est le stone washed, méthode qui consiste à gommer la couleur du jean à l’aide de pierres ponces.

Partant du même principe, le stone bleached associe à la pierre ponce des enzymes de blanchissement afin de donner au jean un aspect « neige ».

Appelé used ou sablage, ce traitement fait par projection de sable à haute-pression donne un aspect « usé » par endroits.

La moustache est encore une autre technique. Grâce à une brosse spéciale et des frottements, on peut faire ressortir un dessin.

Enfin, le jean peut également être usé avec du permanganate, c’est ce que l’on nomme used chimique.

\ reportage \

jean : massive attaque !

Du slim tecktonik flashy au baggy hip-hop, le jean s’est greffé à la jambe de l’homme et de la femme pour rentrer dans l’histoire. De l’ouvrier au hippy en passant par le punk ou le fashion victim, le jean a su toucher tous les cœurs, même les plus dorés. Comment expliquer ce succès intemporel et quasi-universel ? Explications.

Slim ou skinny Coupe ajustée aux cuisses et resserrée en bas, c’est le petit-fils du jean cigarette des années 50. Adoptée par les fashionistas – homme et femme confondus -, il est idéal pour les silhouettes filiformes.

« Le jean ? Ça vient du far-west et des cow-boys, non ? », « moi ça me fait penser aux westerns des années 60 ! ». Effectivement ces deux adolescents attrapés au vif ont tapé dans le mille, le jean est intimement lié à l’histoire de l’Amérique. Et quand on demande au troisième chaland à quel personnage ça lui fait penser : « Christophe Colomb ! » Euh non… quand même pas ! Le jean est né pendant la ruée vers l’or au milieu du xixe siècle. Vendu à ses débuts moins de 1,5 $ aux mineurs californiens, il a tout de suite fait un carton auprès des classes populaires avant d’envahir les villes et la bourgeoisie. Mais il s’était déjà offert quelques tours du monde avec les G.I’s, lors de leurs permissions en pleine seconde guerre mondiale. Ainsi porté par les libérateurs, le jean a eu une formidable campagne de pub.

Porté avec un gros pull en maille et des boots, il est un passe-partout mode qui a gagné son statut de « basic ».

Boot Cut Le bas du jean est légèrement évasé pour devenir plus confortable. Pour les girls, le boot cut est parfait pour accompagner de jolies bottes ou des petites ballerines. Pour le sexe fort, il sied à toutes les silhouettes, même les moins sylphides, puisqu’il grandit. Cette année il devient f lare, comprenez patte d’éph.

Baggy Ample au niveau des cuisses et des jambes, qui a dit que le baggy ne savait pas être chic ? Depuis que Katie Holmes, Claudia Schiffer et Sienna Miller l’ont adopté, il est revenu au goût du jour...

Il est même devenu très tendance et f lirte parfois avec le sarouel. À porter avec un top très féminin pour compenser.

Coupe droite Un grand classique, c’est le jean de base, celui qui se porte dans n’importe quelle circonstance et par n’importe qui. Un incontournable à user et porter le week-end ou a garder neuf pour travailler la semaine.

\ Le jean, symbole de luttes sociales \

Le denim s’est fait un nom sur sa solidité et son endurance, mais il y a quand même une image plus glamour. Effectivement, comment ne pas se rappeler du charisme de James Dean ou d’Elvis lorsqu’ils adoptent ce pantalon pour accompagner leurs Blue Suede Shoes. Porté systématiquement par les icônes rock, le jean n’a eu aucun mal à se faire une place de choix dans la garde-robe des bad-boys de l’époque. Le phénomène prend une telle ampleur dans les années 60 que le jean est interdit dans les écoles, car synonyme de débauche. Mais petit à petit, il redore son rivet. Surtout lorsque les femmes, inspirées par Marilyn Monroe, délaissent leurs jupettes pour adopter le denim.

Le jean devient alors l’emblème de l’égalité des sexes. Même combat du côté des AfroAméricains qui assistent à la messe en jean pour montrer leur liberté. Comme nous le rappelle le sociologue Daniel Friedmann, auteur d’Histoire du blue-jean, « ce vêtement a tellement d’emplois et de symboles qu’il renvoie à une infinité d’usages différents, on ne peut plus lui coller une image en particulier ». Il rajoute cependant que, même s’il continue à être une marque de reconnaissance au sein de certains groupes sociaux bien définis, le jean s’est banalisé depuis les années 80. De nos jours, tout le monde en porte, même les professeurs et les hommes politiques, ce qui aurait été totalement impensable il y a tout juste 30 ans. Mais après 150 ans d’histoire, et s’il est devenu commun, le jean reste résolument indémodable et éternellement déclinable : « il est le seul vêtement qui peut, à l’instar du vin, s’améliorer en vieillissant », poursuit Friedmann.

\ Un objet banal ? \

Avec plus de 88 millions d’exemplaires au monde et 35 milliards d’euros engrangés l’an denier, autant dire qu’il n’est pas près de tirer sa révérence. Comme nous l’explique Stéphane Bourelly, reponsable marketing chez Blue Box, les jeans attirent toute l’attention des leaders du marché. Trois techniques de merchandising ont cours dans les magasins de l’enseigne, poursuit Stéphane « Quand la cellule le permet, on regroupe la jeannerie, homme et femme, en mettant les deux penderies l’une à côté de l’autre. Cela a un impact plus fort. D’autre part, la disposition est la même partout. On commence en haut à gauche avec les slims pour arriver aux baggy, en bas à droite. » Troisième point, dans toutes les « jeanneries » Blue Box, les marques ne sont pas mélangées mais identifiées par leurs logos. De quoi tout de suite les repérer et se régaler !

\ Iwansson et Faboulous Fab \ Pour en savoir plus : vous pouvez toujours visiter le Levi Strauss Museum, à Buttenheim en Allemagne.

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ock R it r B s v l Gossip Gir

\ PORTFOLIO \

Think different !

Modèles : Clarence et Nadège Photos : Nicolas Boscariol

e Dress cod l ir G Gossip Manteau , 89 e) (Blendshe Blanca Chemisier ) (Only, 45 e la li a Pantalon D 9 e) 3 , ly n (O ) ernis (39 e Escarpin v e she, 39 ) Sac (Blend racelet Collier et B ag, (School R e) 12 e et 25

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e Dress cod Brit Rock orn Blouson B ith, 79 e) (Teddy Sm avid Tee shirt D (House of r Bowie Sta 42 e) the gods, y leg laquĂŠ Jean Pearl ith, 69 e) (Teddy Sm ontinuity sC Chaussure ns, 109 e) e (Doc Mart Sac 39 e) (Blendshe

Mix a r t l U s mv Hippy Gla

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e Dress cod m Hippy Gla winkle Manteau T e) 19 1 (Spoom, carreaux r Chemisie , 29 e) (Blendshe y a Jean Purd , 95 e g a (School R uir c s Chaussure e) 5 9 , (Converse rpe laine a h c ĂŠ Bonnet et Soda, (Scotch & ) e 19 e et 35

e Dress cod ix M ra Ult Doudoune , 59 e) (Blendshe llia e Rob Tu 9 e) (Numph,5 isie ta n Collants fa e) 9 , k (Skunkfun e) 9 (3 ernis Escarpin v

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© Robaard/Theuwkens (Styling by Marjo Kranenborg, CMK)

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\ SHOPPING \

Slow tech 2 3-4

✁ 1_ Knotted chair par Droog Design, est un collectif néerlandais de designers réunis par Gijs Bakker et Renny Ramakers. Il propose un « design en contexte » : utilisation économe des ressources et utilisation de matériaux de récupération avec une certaine forme d’humour. Pour en savoir plus : www.droog.com

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2_ Fisheye One Colors Blu. Vision à 170° pour cet appareil made by Lomographic Society qui marche (encore) à pellicule 35 mm. Prix : 40 e.

3_ Casque Dr Dre. Casque haute-définition de Monster Beats par le célèbre Dr Dre. Prix conseillé : 350 e.

4_ Ipod Touch. Il est très très sensible le dernierné des Ipod’s : un glissement de doigt et la musique fût Prix : à partir de 229 e.

5_ Mirroir. Mirroir sticker « Branche nature » et « Bienvennue » par Tonka Design, 85 e chaque.

6_ Swiss Flash. Une nouvelle LED très puissante et 16 Go de capacité de stockage complètent la panoplie du traditionnel couteau suisse.

Prix conseillé : 149 e.

7_ Ringo Starr pour Nixon. Collection limitée pour cette montre Nixon deignée par Ringo Starr. Tous les bénéfices seront redistribués, notamment à la Tony Hawk Fonfation. Disponible Chez Colette (Paris).

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8_ Protect 486. Le designer Marc Graells s’est inspiré de la Nature pour créer un système antivol complètement révolutionnaire. Projet visible sur www.themarcswork.com

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\ Accessoires \

Bags and shoes

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✠1_ Sac Heritage print (Nike, 59 e) Elite (Nike, 70 e) Shox Vital (Nike, 120 e) 2_ Sac (Blendshe, 39 e) Continuity (Doc Martens, 109 e) Blazer Mid plus (Nike, 120 e) 3_ Sac Heritage Mix (Nike, 39 e) Capri Lace (Nike, 45 e) Racer Track (Nike, 80 e) 4_ Sac SH004 (Converse, 45 e) Chuck Tailor haute (Converse, 59 e) Chuck Tailor cuir (Converse, 95 e) Chuck Tailor basse (Converse, 55 e) Chuck Tailor Patch Print (Converse, 69 e) 5_ Sac On the block (Vans, 49 e) Lesley (Vans, 65 e) Authentic (Vans, 59 e)

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6_ Sac Reno bag (Adidas, 70 e) Low Pro Football (Adidas, 65 e) Stan Smith II (Adidas, 69 e)

soyez audacieux 3G+ GPS TV mails internet

BlackBerry Bold ®

TM

Pour en savoir plus : www.orange-business.com

offre soumise à conditions BlackBerry®, RIM®, Research In Motion®, SureType® ainsi que les marques déposées, les noms et les logos qui leur sont associés sont la propriété de Research In Motion Limited et sont enregistrés et/ou utilisés aux Etats-Unis et dans les pays du monde entier. Utilisé sous licence de Research In Motion Limited.

Orange France SA, RCS Créteil B 428 706 097

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Mode d’emploi

Du cuir toujours du cuir, en été comme en hiver... mais surtout depuis cette année du cuir, des pieds à la tête. En effet, pour être à la pointe, il vous faudra adopter le total look.

Et toutes les occasions seront bonnes pour s’en couvrir : du slim en passant par le gilet, le sac, la jupe, les chaussures et tous les accessoires possibles. Vous l’aurez compris, la mode rock revient au goût du jour. Le côté

rebelle et trash quand à eux disparaissent. Le cuir se veut désormais classe, glamour et décomplexé. Et on peut le retrouver dans plusieurs teintes comme le marron, le gris ou le bleu marine. Mais oubliez-les, pour la saison qui arrive, il faudra le porter noir !

Les blousons se déclinent en plusieurs coupes : bombers, veste ajustée, blouson ou redingote.

Allez-y, libérez vos envies !

\ focus \ Le cuir fait son grand come-back en cette fin d’année 2008. Fini le temps où il était le symbole des motards roulant en grosses Harley. Désormais, le cuir a décidé de prouver qu’il sait être glamour.

Notre sélection de 9 modèles.

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la sélection

DUR à

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cuir?

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✁ Cuirs Homme : 2 - Kiliwatch-Bronsky / 189 e 3 - Schott-Police / 295 e 4 - Teddy Smith-Racer / 195 e 5 - Redskins-Coster / 390 e 6 - Schott-LC8100A / 299 e

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Cuirs Femme : 1 - Kiliwatch-Janis / 189 e 7 - Redskins-Colette / 390 e 9 - Redskins-Samba / 390 e 8 - Teddy smith-Farossa / 149 e

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e Dress Codge e ll o New C sted coat Veste Brea ) oda, 169 e (Scotch &S Polo Trash l 59 e) (Deep Sou h man Jean Britis l, 99 e) (Deep Sou Mix s Chaussure ) e (Levi’s, 99

\ PORTFOLIO \

La preuve par 4

Modèle : Tony Photos : Nicolas Boscariol

e Dress Cody it Esprit C Manteau r wool Mancheste ith, 149 e) (Teddy Sm Stripes Gilet Gyps ith, 49 e) (Teddy Sm Chemise e) (Blend, 59 n la d Jean Rock ith, 99 e) (Teddy Sm ibalta sR Chaussure , 99 e) in k (Reds s Écharpe, e) (Blend, 19

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e Dress Cod rtwear o Urban Sp Pimpoom Doudoune dy Smith, nylon (Ted 89 e) rstar Gilet Supe 9 e) (Adidas, 6 intage V t Tee shir , 29 e) (Kiliwatch uperstar Pantalon S 9 e) (Adidas, 6 s Track re u Chauss e, 80 e) racer (Nik

e Dress Codic s u Lovin’ M ight Blouson L e, 85 e) weight (Nik etro ir Tee sh t R 9 e) 3 l, u (Deep So ué q la ium Jean Prem l, 99 e) (Deep Sou c s Authenti Chaussure ) e 9 5 , s (Van t li p S re Ceintu s, 29 e) E (No xces

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\ Culture \

Ting Tings Vous n’avez pas pu passer à côté des Ting Tings.

Squattant les ondes avec leur pop-électro géniale aux réminiscences new-wave, les hits « Shut up and let me go » et « That’s not my name » doivent forcément vous dire quelque chose. Petit entretien avec Kathie White, l’âme féminine de ce duo irrésistible.

✁ L’électroclash, kezako ?

Avez-vous constaté ce retour des sonorités kitch et rétro dans la musique électronique de ces dernières années ? Et bien pire, avez-vous remarqué que ce revival s’accorde bien souvent avec un retour des tenues f luorescentes que tout le monde espérait avoir enterré pour de bon avec la fin des années 80 ? Non je ne vous parle pas ici de tecktonik, mais bien de ce style de musique à la croisée de la techno, de la pop et de la newwave. Si le genre a bien quelques représentants hexagonaux (Vitalic, Miss Kittin & The Hacker, Sexy Sushi), les fondateurs sont plutôt à chercher ailleurs avec des combos comme Peaches, Fischerspooner, Ladytron ou encore les Allemandes de Chicks on Speed. Au delà du cadre musical, ces groupes se caractérisent souvent par un univers décadent, parfois sombre ou provocant, mais toujours décalé par leur second degré manifeste.

\ Qu’apporte la dualité homme/femme au sein d’un même groupe ? \ Vraiment beaucoup ! J’ai toujours adoré les duos homme/ femme, ça a quelque chose de très spécial et c’est souvent très attractif à regarder. Avant j’étais dans un groupe avec que des filles et ce n’était pas du tout le même rapport.

Avec Jules (batterie, clavier), on écrit et on compose ensemble, il y a vraiment quelque chose qui se passe. \ N’est-ce pas trop dur d’assurer la baraque en étant que deux sur scène ? \ Si carrément ! On est obligé de se donner à 100%, on ne peut pas se cacher ou se reposer sur les autres. C’est parfois assez épuisant. \ Vous n’avez jamais eu envie d’avoir des musiciens en plus ? \ Oh non, si on reste deux c’est qu’on n’arrive pas à imaginer d’instrument supplémentaire qui vaille vraiment le coup. Comme on compose tout le temps à deux, on ne se voit pas prendre une personne en plus pour qu’elle se mette derrière nous pendant les concerts. \ Aviez-vous prévu dès le début d’envahir le dancefloor ? \ Quand on a commencé à composer à Manchester, on ne savait pas encore que notre musique allait être écoutée, on le faisait juste pour nous. Ce n’est qu’après, lorsqu’on a commencé à jouer pour des fêtes où les gens bourrés se sont mis à danser, qu’on s’est dit qu’on était sur la bonne piste. \ Vous êtes devenus célèbres très subitement, comment faites vous pour garder les pieds sur terre ? \ En vrai, on n’a pas vraiment eu le temps de réaliser, cela fait quatre ou cinq mois qu’on est très occupés. On était dans un autre monde ces derniers temps, toujours sur la route,

c’était assez surréaliste. On n’était pas en Angleterre quand l’album est devenu numéro 1. C’est seulement lorsqu’on est revenu à la maison, il y a quelques semaines, qu’on a réalisé que les gens nous reconnaissaient dans la rue. \ Peaches, Le Tigre ou CSS… avez-vous des affinités avec eux ? \ On est fan de ces groupes, on a forcément été un peu influencés par eux, mais nos origines se situent plus du côté de la new wave et de groupes comme Blondie que du punk. Et pour être honnête, lorsque j’étais plus jeune, j’écoutais surtout des groupes genre les Backstreet Boys (boysband du début des années 90, ndlr). Je sais que c’est la honte, mais on aime encore. On essaie de faire de la variété créative, contrairement à tous ces groupes ultra commerciaux des années 90 qui ne faisaient qu’interpréter, ils ne composaient rien. \ Pour qui fut écrite la chanson « Shut up and let me go » (« Tais-toi et lâche moi ») ? \ Cette chanson ne fut pas écrite pour une personne en particulier, c’est surtout un gros « fuck you » aux labels et au business qui ont mené en bateau notre groupe précédent, Dear Eskimos. Désolée pour les gros mots mais il faut savoir que je suis en permanence entourée de 4 mecs et ça n’a pas que des bonnes influences sur moi (rires…). \ Que retirez-vous de tous ces problèmes de maison de disques ? \ On a appris notre leçon ! La priorité avec Ting Tings, c’est de garder notre liberté créative à 100%, ce qui est finalement assez rare avec les majors. Et puis on a enregistré notre album nous-mêmes, plutôt que d’aller chez un gros producteur qui nous aurait fait le même son que tous les autres groupes. \Iwansson\

Kid Loco

The Streets

Fujiya et Miyagi \ cd \

Celui qui effectua ses débuts dans les années 80 au milieu des punks, avec la création de Bondage Records marque son retour avec un maître mot : le chant. Et oui le Kid chante et en anglais ! Sur des mélodies pop-lancinantes, sur une rythmique entêtante et hypnotique (« The Specialist »)... les voix qu’elles soient réelles ou imaginaires sont omniprésentes.

Cet album concept renferme toutes les influences de ce musicien qui se prétend pourtant sans étiquette. Finalement, c’est peut-être la couverture de l’album qui nous donne la clé de l’énigme : Party Animals... est en vérité un musée du trip-hop. Écoutez sa collection, elle vous révélera tous ses secrets.

En 2002, Mike Skinner aka The Streets avait mis la barre haute avec Original Pirate Material, un disque de très bonne facture.

Deux ans plus tard, A Grand Don’t Come For Free, l’a réellement fait connaître du grand public avec des singles marquants comme « Dry your eyes ». Après un 3e album qui n’a pas rencontré un franc succès, Mike Skinner nous prouve qu’il a des ressources et surtout un talent d’écriture remarquable. Exit les satires sociales, pour sa dernière galette sous ce pseudonyme, The Streets a choisi de traiter de thèmes beaucoup plus personnels. Textes toujours aussi piquants et flow particulier, voilà un rappeur qui ne ressemble à aucun autre.

/ Party Animals & Disco Biscuits / (Village Vert / Pias) /

/ Everything is Borrowed / (Wea) /

Welcome dans le monde d’Alice au pays de l’électro merveilleuse.

De prime abord le quatuor venu de Brighton, UK, ouvre nos oreilles sur des contrées vaporeuses et bucoliques qui invitent à la méditation musicale. Une fois nos tympans accoutumés et les premiers brouillards dissipés, le lapin blanc apparaît et nous conduit dans un labyrinthe nommé Fyjiya & Miyagi. Ici pas d’étiquette, mais une électro en costume qui se distingue par une singularité reconnaissable entre toutes. Avec Lightbulbs (chez Pias), 3e album, le groupe poursuit dans la continuité. Les mauvaises langues souligneront la ressemblance avec Transparent Things, leur précédent opus. Mais à bien y écouter, on ne s’y tromperait pas !

\ cd \

\ cd \

© Delis Kleiman

/ Lightbulbs / Pias /

Tate Moderne © Rothko

Rothko

C’est l’histoire d’un mec...

© Mars Distribution

/ cinéma /

Les avis étaient partagés. Certains super enthousiastes à l’idée de retrouver l’un des comiques préférés des Français sur le grand écran faisaient face à ceux, plus septiques qui pensaient que tourner un film sur Coluche sans Coluche c’est peine perdue.

Les deux camps risquent fort de se réconcilier devant l’écran, puisque qu’Antoine de Caunes, le réalisateur, n’est pas tombé dans le piège. Son film n’est pas un reader digest des spectacles de Coluche. C’est un portrait moins marrant de Michel Colucci qui est

ici mis en boîte. Nous sommes à l’automne 1980. Coluche triomphe sur les planches du Gymnase et annonce sous la forme d’un gag son intention de se présenter aux élections présidentielles de 1981. Tourné à la façon d’un reportage, caméra à l’épaule, le film nous dévoile au jour le jour et dans l’intimité, un Coluche vulnérable et complètement dépassé par les événements (menace, diffamation, conflit politique...) qui décidera quelques mois plus tard de mettre un terme à cette campagne. De ce fameux « épisode des Présidentielles » Coluche en sortira divorcé, dépressif et surtout brisé en deux.

Ne manquez pas cette tranche de vie du plus populaire des enfoirés, magistralement interprétée par François-Xavier Demaison avec qui la ressemblance peut être parfois troublante.

Coluche, l’histoire d’un mec // Sortie le 15/10 // Réalisé par : Antoine de Caunes // Avec : Laurent Bateau , François-Xavier Demaison , Léa Drucker ...

\ expo \ C’est un intellectuel. Un homme cultivé que nous propose de rencontrer la Tate Modern de Londres. Un des ces artistes qui aiment à concevoir un travail avant de le réaliser. Pas d’« action painting » pour lui, mais plutôt une vision méditative de la peinture. La forme, la spacialité, la couleur... voilà les trois mamelles qui ont nourri le travail de Rothko. Il cultive les champs de couleurs qu’il vaporise sur la toile. Il rapproche sans jamais les superposer des teintes propres à sa seule palette. C’est ainsi que la visite que nous propose le célèbre musée londonnien plonge le visiteur dans les dernières productions du peintre notamment ses séries. Toutes ses œuvres nées après le divorce consumé avec une femme dont il jalousait la réussite. À découvrir sur les bords de la Tamise jusqu’au 1er févier 2009.

Notes \ livre \

Si vous êtes un féru de la blogosphère et que vous vous intéressez un poil au 9e art, peu de chance que vous soyez passés à côté du blog, bouletcorp.com.

Lancé en 2004, ce dernier atteignait déjà en juin 2007 près de 30 000 visites/ jour. Un phénomène donc de grande ampleur que l’on doit au dessinateurscénariste-coloriste Gilles Roussel, plus connu sous le pseudo de Boulet. À son actif, outre ce blog qui dépote, une quinzaine d’ouvrages dont les tomes 5 et 6 de la série Donjon Zenith (chez Delcourt) où il a assuré le dessin, aux côtés de Lewis Trondheim et Joann Sfar. Born to be a larve en sous-titre du premier tome de ces Notes, ça donne le ton, illico presto : le lecteur pourra suivre les aventures de Boulet à travers des petites saynètes du quotidien et sous la forme de récits en deux-trois planches sur un ton franchement sympa, pas moralisateur pour un sou et rentre-dedans à souhait. Ici, c’est la SNCF qui en prend pour son grade, là, ce sont « les vendeurs de chez Surcouf », plus loin, c’est une leçon du type « comment éviter les gros lourdingues en 3 actes », alors que l’auteur n’hésite pas à jouer aussi la carte de l’autodérision.

Si la série est prévue en quatre tomes, cet ouvrage compile les billets d’humeur de la première année d’existence du blog (2004 à 2005), face à des planches noir & blanc qui mettent en scène Boulet à la genèse du livre… Drôle et irrévencieux. Une seule chose à dire : vivement la suite !

De Boulet // Collection Shampooing // Éditions Delcourt // Prix : 12,90 € // 192 pages

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© John Hogg / FNB Dance Umbrella

Jeff Koons

Steven Cohen / danse /

Il sera seul sur scène. Avec ses masques peints sur le visage et ses talons aiguilles démesurés. Tout de corps vêtu ! Steven Cohen en solo ou plutôt en soli puisqu’il a choisi de présenter trois œuvres qu’il a conçues, réalisées et qu’il interprétera seul dans le cadre de cette 37e édition du Festival d’Automne à Paris. Ce chorégraphe de génie a fait de son corps, son arme fatale. « Mon travail traite de la douleur d’être humain et de la joie d’être en vie et, à l’image de nos vies-mêmes, ce travail est une complète/incomplète expérimentation », c’est ainsi que S. Cohen parle de Dancing Inside Out, le premier des trois programmes qui sera suivi par deux films : Maid in South Africa et Chandelier. La vidéo de Chandelier a été réalisée en 2001 en Afrique du Sud au milieu des SDF noirs de Johannesburg pendant la destruction de leur bidonville par les employés municipaux de la ville (habillés en rouge) dans un ballet où la violence est omniprésente. « Les artistes ont toujours dépeint la vie sociale de leur époque, par mes déplacements en chandelier-tutu à travers leur bidonville en état de destruction et par le fait de filmer, c’est ce que je fais aussi : une peinture digitale de la vie sociale, à moitié imaginaire, et à moitié horriblement vraie ». Et surtout complètement bouleversant.

Du 6 au 8 novembre au Centre Georges Pompidou - Paris, www.www.festival-automne.com

Sex and The City, l’intégrale \ dvd \

19 dvd // L’intégrale collector Saisons 1 à 6 // Paramount // Sortie le 7/10 // Prix : 129,99 e

Avec ce coffret collector, c’est l’idée cadeau toute trouvée pour assurer à Noël. Car de ta grandetante à ta meilleure amie, de ta mère à ton petit copain, tout le monde en pince pour Sex in the City ! Cette série télé américaine met sur le devant de la scène quatre New-Yorkaises dotées d’un sex-appeal et d’une répartie renversants. Impossible de ne pas tomber sous le charme de Carrie, Charlotte, Samantha ou Miranda, tant leurs aventures, entre luxe, mode et volupté, offrent une vision grinçante des relations hommefemme aujourd’hui. Au menu de ce petit objet fort bien fait (une tour à tiroirs de qualité et stylée, tel un luxueux écrin à bijoux), on a la chance de retrouver l’intégrale des 6 saisons de la série mais aussi un dvd bonus inédit. Pour ne pas en rater une miette sans devoir rester devant le petit écran tous les vendredis soirs…

Il a vraiment l’air sympa Jeff Koons. L’oeil naïf et le teint frais, il paraît bien loin de la polémique suscitée par l’installation de ses oeuvres au château de Versailles.

Et quelle polémique ! Voir un homar tout rouge en aluminium suspendu au milieu des salles fastueuses de la propriété royale n’a pas été du goût de tout le monde. Et pourtant comme le soulignent Elena Geuna et Laurent Le Bon, les deux commissaires de l’exposition : « Jeff Koons - Versailles est un moment exceptionnel qui voit le château de Versailles renouer avec les artistes de son temps au cours d’une promenade qui fait (re)découvrir des lieux connus et méconnus du domaine ». Pas élitiste pour deux sous, l’Américain Koons, aime reprendre des objets de notre quotidien pour les détourner, les questionner et mieux les décaler.

Son imagerie pioche allègrement dans le catalogue populaire des biens de consommation courants. Et ça marche, puisque en plus d’être dans le top five des contemporains les plus connus, il est également l’artiste qui « se » vend le plus cher au monde.

Il faut dire qu’il était à la bonne école, lui qui a fait ses premières armes comme trader à Wall Street.

D’ailleurs, il ne réalise jamais d’œuvres lui-même. Il enfante une idée qu’il fait réaliser par ses proches collaborateurs. On connaît forcément son Mickael Jackson en porcelaine ou son Inflatable Rabbit, lapin gonflable réalisé en inox en 1986. Les plus grands collectionneurs se l’arrachent, retrouvant en lui le même charisme qu’Andy Warhol ou le même génie que Marcel Duchamp et ses ready-mades.

\ expo \

© Jeff Koons - Photo Laurent Lecat / Éditions Xavier Barral

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Et quand il tire dans le kitsch, tout le monde applaudit. En présentant 17 œuvres de Koons à Versailles, la France accueille ainsi la première rétrospective de l’artiste en Europe. Et interroge forcément sur le rapport qui existe entre l’art et son environnement, entre l’œuvre et le lieu où elle s’expose.

Un questionnement renforcé par le fait que chaque œuvre a été sélectionnée in situ par Jeff Koons lui-même pour entrer en relation avec le thème de la pièce où elle allait trouver place. Le contraste est de mise ! Et le voyage continue dans les jardins avec Split Rocker, une sculpture réalisée avec plus de 100 000 fleurs et installée dans le Parterre de l’Orangeraie.

Déroutant !

Titre de l’œuvre : Trois aspirateurs Hoover convertibles, deux shampouineuses Hoover Deluxe, un Shelton.

Jusqu’au 14 décembre au Château de Versailles

Dans le monde de Fable II \ game \ Il y a des jeux comme cela qui arrivent à susciter chez les joueurs une attente phénoménale.

Il est vrai qu’après l’énorme claque infligée par le premier volet, on était en droit d’attendre une seconde gifle. Et on peut dire que Peter Molyneux et son équipe de développeurs des studios Lionheads ont bien répondu à nos espérances. Forte identité graphique, gameplay soigné, possibilité de se balader dans un royaume fantasticomédiéval immense et complexe, jeu en coopération, en multi joueur et nombreux mini-jeux, vous l’aurez compris, Fable II veut surprendre, innover et relancer le genre action/RPG. De quoi donner un sacré mal de crâne à tous ses concurrents. Mais ce n’est pas tout, Fable II se place sous le signe de le LIBERTE. D’une manière générale, comme dans tout RPG qui se respecte, les relations sociales constituent une part primordiale du gameplay, vos choix tout au long du jeu influencent donc totalement l’aspect physique de votre personnage et de votre fidèle compagnon de route, un chien.

Libre à vous donc d’être bon ou mauvais. Et comme la liberté de mouvement n’est pas oubliée, vous pouvez décider par exemple de partir quand une personne vous parle, sauter une haie, plonger dans un lac de manière à vous rafraîchir et explorer tous les recoins du monde qui s’offrent à vous. À vous de découvrir le reste.

Lionheads/Microsoft. Disponible sur Xbox 360 et PC. Prix : 65 e

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Le 13 novembre à Châtillon (92), Théâtre à 20h30, 24.20 e

\ rock \

Le 15 novembre à Marcoussis (91), Salle Jean Montaru Le 20 novembre à Orléans (45), Astrolabe à 20h30, de 8 e à 13.60 e

Halle Tony Garnier à 20h30, 45 e

Girls in Hawaii

Le 21 novembre à Villefranche-sur-Sâone (69), Théâtre à 20h30, de 12 e à 20 e

Le 24 octobre à Lille (59), Zénith à 20h30, 45 e

\ pop & rock \

Le 25 octobre à Nantes (44), Zénith à 20h30, 45 e

Le 29 novembre à Agen (47), Florida à 21h, de 13.60 e à 15.60 e Le 6 décembre à Massy (91), Centre Culturel Paul Bailliart à 21h, 18 e

© Miguel Rosales

Asian Dub Foundation

Comme leur nom ne l’indique pas forcément, les Girls in Hawaii sont six et sont des garçons. Ils ne viennent pas d’un île, mais de Belgique. Avouez-le, présenté comme cela, c’est de suite beaucoup moins exotique. Mais, pas de problème quant à leur musique. Car le groupe propose du pop rock mélodique, tantôt énergique, tantôt doux comme une caresse du vent mais tout simplement ensorcelant. Au début de l’année, ils ont sorti leur second album Plan Your Escape. En tout cas, une chose est sûre, nous on les suit les yeux fermés.

Le 16 décembre à Bourg-en-Bresse (01), Théâtre à 20h30

\ jungle & dub & drum n’bass \

Le 17 décembre à Istres (13), L’Usine à 21h, de 16.70 e à 19.70 e

En éternel mouvement au niveau de la composition de leurs membres, ces Anglo-indo-pakistanais sont de vrais bêtes de scène. Et leur musique électronique mélange les genres et les sonorités. Cela passe aussi bien par le dub, hip-hop, dancehall, drum’n’bass, ragga, jungle, et rock.

Le 18 décembre à Béziers (34), Théâtre Sortie Ouest à 21h, 19.70 e

Thomas Dutronc

Le 20 novembre à Bordeaux (33), 4 Sans à 20h30, 21.70 e Le 21 novembre à Angouleme (16), La Nef à 20h30, 21.70 e

Keziah Jones

Le 22 novembre à Brest (29), La Carene à 21h, 24.80 e Le 25 novembre à Rennes (35), Salle de la Cité à 20h30, 25 e

\ soul and funk \

Le 26 novembre à Herouville St Clair (14), Big Band Café / BBC à 20h, 23.70 e Le 28 novembre à Sannois (95), Emb à 20h30, 20 e Le 29 novembre à Nantes (44), Olympic à 20h30, 19.60 e Le 1er décembre à Maubeuge (59), La Luna / Espace Sculfort à 20h, de 8 e à 11 e

Le 4 décembre à Annecy (74), Le Brise Glace à 21h, 17.70 e

Le 18 novembre à Lille (59), Aéronef à 20h30

Le 9 décembre à Montpellier (34), Le Rockstore à 19h30, 21.70 e

Le 3 décembre à Villeurbanne (69), Double Mixte à 20h30, 25 e © Yann Orhan

Le 5 décembre à Dole (39), La Commanderie à 20h30, 23.90 e Le 10 décembre à Perpignan (66), El Mediator à 21h, 19.70 e

Le 20 novembre à Paris (75), Bataclan à 19h30, 25.30 € Le 21 novembre à Angers (49), Chabada à 20h45, 18.70 €

Être le fils de personnalités aussi célèbres que Francoise Hardy et Jacques Dutronc aurait pu constituer pour beaucoup une difficulté pour se faire un nom.

Pourtant, Thomas, lui, a réussi à imposer sa touche dans le milieu de la musique. Reconnu tout d’abord pour ses talents de guitaristes jazz, il n’a pas tardé à se faire apprécier du public et des critiques pour ses talents de chanteur. Ses deux morceaux « Jeune, je ne savais rien » et « J’aime plus Paris » sont diffusés fréquemment sur les ondes depuis quelques mois.

PATRICE

Le 22 novembre à Brest (29), Cabaret Vauban

\ reggae & folk & soul \

Le 24 novembre à Bègles (33), BT 59 à 20h30, 18.70 € Le 25 novembre à Tournefeuille (31), Le Phare à 20h, 21.70 €

NTM

© Nathadread Pictures

\ hip-hop \

Le 21 octobre à L’Union (31), Grande Halle à 20h30, de 27 e à 34 e

© DR

Plus besoin de présenter l’un des groupes les plus connus et les plus prolifiques du rap français.

Véritable pilier du mouvement hip-hop en France, NTM restera à tout jamais dans l’histoire de cette musique venue de la rue grâce à des titres phares comme « Ma Benz », « Pass pass le oinj » ou encore « C’est arrivé près de chez toi ». En 1998, ils connaissent leur apogée grâce au carton du disque Suprême NTM, incontournable pour tout fan de rap qui se respecte. Depuis, Joey Starr et Kool Shen ont poursuivi leur carrière chacun de leur côté. Pour fêter les 20 ans du « couple », les deux acolytes se sont réunis pour une tournée exceptionnelle. À ne manquer sous aucun prétexte.

Le 23 octobre à Lyon (69),

Le 29 novembre à Nancy (54), L’Autre Canal à 20h30, 24 e

Le 19 novembre à Biarritz (64), L’Atabal à 20h30, 21.70 e

Le 15 novembre à Rouen (76), Club 106 à 20h30, 18.70 €

Le 18 octobre à Montpellier (34), Zénith Sud à 20h30, 45 e

Le 28 novembre à Grenoble (38), Summum à 20h, 27 e

\ chanson française \

Le18 novembre à Tournefeuille (31), Le Phare à 20h30, 23.70 e

Le 2 décembre à Strasbourg (67), Laiterie à 20h, 25.90 e

Le 17 octobre à Toulouse (31), Zénith à 20h30, 45 e

Le26 novembre à Ramonville (31), Le Bikini à 20h30, 23 e

Le 23 octobre à Paris (75), Bataclan à 19h30, 27.50 e

Le 14 novembre à Langueux (22), Salle du Grand Pré à 20h30

Le 16 octobre à Bordeaux (33), Patinoire Meriadeck, 45 e

Le 25 novembre à Mérignac (33), Le Krakatoa à 20h15, 21.60 e

Le 22 octobre à Lille (59), Aéronef à 20h, 18.70 e

Le 25 octobre à Grenoble (38), Summum à 19h, 21.60 e

Groupe de rock indé né aux débuts des années 90 du côté d’Anvers, dEUS est une des toutes premières formations de rock belge à avoir connu une certaine popularité au niveau international.

Après trois ans de silence, les voilà de retour suite à la sortie de leur 5e album en avril dernier, Vantage Point. L’occasion pour eux de défendre de nouveaux titres sur scène, mais aussi de conquérir un public encore plus large grâce à des titres plus éclectiques et plus dansants.

Le 24 novembre à Paris (75), Bataclan à 20h, 35.10 e

Le 19 décembre à Perpignan (66), El Mediator à 20h30, 18.70 e

Le 24 octobre à Marseille (13), Dock des Suds à 20h, 21.50 e

dEUS

Né d’une mère allemande et d’un père sierra-léonais, Patrice a été élevé dans le métissage des cultures. Mais il ne s’arrête pas là puisque sa musique, elle aussi, puise ses racines dans divers courants musicaux.

Le chanteur se nourrit ainsi de reggae, jazz, blues, soul, funk ou encore de hip-hop. Pour notre plus grand bonheur et celui d’Ayo...

Le 18 octobre à Lyon (69), Transbordeur à 20h30, 24 e Le 21 février 2009 à Montpellier (34), Le Rockstore à 20h, 24.20 e

Moriarty \ folk \

Prenez cinq musiciens armés d’instruments improbables tels que des harmonicas ou des kazoos, ajoutez à cela un esprit folk et des chansons d’inspirations blues et country : vous obtiendrez un délice très riche nommé Moriarty.

Le 25 octobre à Quimper (29), Le Pavillon Penvillers à 19h, 28 e Le 28 octobre à Vendôme (41), Le Minotaure Scène à 20h30, 16.70 e Le 30 octobre à Bordeaux (33), Rock School Barbey à 20h30, 19.70 e

Vous avez certainement déjà entendu parler du Nigérian et du fameux titre « Rythm is love ».

Cinq ans de quasi-silence et le voilà de retour dans les bacs avec Nigerian Wood (Because Music). L’occasion, pour celui qui a commencé en chantant dans le métro parisien, de prouver qu’il est toujours aussi doué quand il s’agit de mélanger les ambiances afro funk et la soul music.

Le 29 octobre à Dijon (21), La vapeur à 20h30, 21.70 e Le 30 octobre à Nancy (54), L’Autre Canal à 20h30, 25.30 e Le 31 octobre à Strasbourg (67), Laiterie à 20h, 24.90 e Le 3 novembre à Clermont-Ferrand (63), Coopérative de Mai à 20h30, 23.20 e Le 4 novembre à Montpellier (34), Le Rockstore à 20h, 26.40 e Le 5 novembre à Ramonville (31), Le Bikini à 20h30, 24e, Complet Le 6 novembre à Eysines (33), Salle du Vigean à 20h30, 23.70 e Le 9 novembre à Rouen (76), Club 106 à 20h, 20.70 e Le 12 novembre à Nantes (44), Olympic à 20h30, de 21e à 27e

Le 22 octobre à Merignac (33), Le Pin Glant à 20h30

Le 13 novembre à Paris (75), Olympia Bruno Coquatrix à 20h, de 33e à 44e, complet

Le 23 octobre à La Rochelle (17), La Coursive / Scène Nationale à 20h30

Le 14 novembre à Lille (59), Aéronef à 20h, 22.70 e

Le 4 novembre à Huy (99), Centre Culturel à 20h30, 32.25 e

Le 27 novembre à Angers (49), Chabada à 20h45, 25e

Le 5 novembre à Lille (59), Aéronef à 20h, 22.70 e

Le 21 novembre à Saint-Herblain (44), Salle de la Carrière à 20h30, 27.50 e

Le 7 novembre à Armentieres (59), Espace Culturel Le Vivat à 20h30 Le 9 novembre à Fourmies (59), Théâtre Municipal à 20h30 Le 12 novembre à Marseille (13), Palais des Congrès à 20h30, 37 e -

Nneka \ soul \

Le 13 novembre à Montluçon (03), Centre Atahnor à 20h30, 23 e Le 14 novembre à Perpignan (66), El Mediator à 21h, 24.70 e Le 15 novembre à Serignan (34), La Cigalière à 21h, de 28 e à 32 e

© Youri Lenquette

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Le 1er novembre à Queven (56), Centre Culturel Les Arcs à 20h30, 20.60 e

Du 19 novembre au 21 novembre à Paris (75), Olympia Bruno Coquatrix à 20h, de 35.20 e à 50 e Le 25 novembre à Monaco (98), Moods à 20h30, de 37.50 e à 47.50 e Le 27 novembre à Voiron (38), Grand Angle à 20h, 35 e Le 2 décembre à Evry (91), L’Agora à 20h30, 24.20 e Le 4 décembre à Nantes (44), Cité des Congrès à 20h30, de 35 e à 38 e

Ces derniers temps, avec Asa, elles prouvent à la terre entière que le Nigéria possède des chanteuses soul qui valent le détour. On se prend même au jeu des comparaisons avec une certaine Lauryn Hill car Nneka se

Théâtre Lino Ventura à 20h30, 15.70 e

SebastiAn

Le 14 novembre à Clermont-Ferrand (63), Coopérative de Mai à 20h30, de 16 e à 20 e

\ électro \

Le 18 octobre à Marseille (13), Dock des Suds à 19h, de 31.50 e à 36.50 e

Petit frère de Daft Punk au même titre que Justice, SebastiAn est considéré comme l’un des artistes les plus talentueux de la scène électro actuelle. Car, le dj sait se livrer au petit exercice des remixes. Et on peut même dire qu’il excelle dans cette pratique.

Que ce soit les Klaxons, Daft Punk, Bloc Party, Sebastien Tellier ou encore, plus étonnant, Nâdiya, tout le monde y passe ! Et peu importe le style musical d’origine, SebastiAn, à la manière d’un caméléon, sait s’approprier tous les morceaux et y mettre sa patte.

Nul doute que sur scène, il saura vous surprendre et vous ravir.

Le 19 octobre à Orléans (45), Astrolabe à 18h Le 21 octobre à Strasbourg (67), Laiterie à 20h, 21.90 e Le 22 octobre à Tourcoing (59), Le Grand Mix à 20h30, 18.80 e Le 23 octobre à Beauvais (60), L’Ouvre Boîte - Asca à 20h30, 16.70 e Le 24 octobre à Lyon (69), Transbordeur à 20h30, 22 e Le 25 octobre à Annemasse (74), Château-Rouge à 20h30, 23 e Le 4 novembre à Angers (49), Chabada à 20h45, de 15.50 e à 18.50 e Le 5 novembre à Nantes (44), Olympic à 20h30, 17.60 e Le 6 novembre à Le Mans (72), Les Saulnières à 20h, 18.70 e Le 7 novembre à Bordeaux (33), Rock School Barbey à 21h, 19.70 e Le 8 novembre à Montpellier (34), Le Rockstore à 19h30, 21 e Le 7 février à Paris (75), Elysée-Montmartre à 19h, 27.50 e

Herman Düne

Le 18 et 22 octobre à Rennes (35), L’Antipode/MJC Cleunay à 20h30, de 6e à 10e

\ folk \

THE DODOZ

© Pete Murray

© DR

\ rock & pop \

Ils sont quatre, trois garçons et une fille et font parler d’eux depuis quelques temps, il s’agit bien sûr des Dodoz, un groupe pop rock toulousain. Tout juste sortis du lycée, rien ne semble pouvoir stopper leur fulgurante ascension.

Le 21 novembre à Montfavet (84), Salle des fête d’Avignon à 20h, 21.80 e Le 22 novembre à Annecy (74), Le Brise-Glace à 21h, 15.70 e Le 23 novembre à Lyon (69), Ninkasi Kao à 20h, 19.70 e

Le 4 octobre à Amiens (80), Grand Wazoo à 20h30

Le 24 novembre à Ramonville (31), Le Bikini à 20h30, 20 e Le 26 novembre à Nantes (44), Olympic à 20h30, 17.60 e

Le 16 octobre à Agen (47), Centre Culturel Le Passage d’Agen à 20h, gratuit

Le 27 novembre à Rennes (35), Université de Rennes / Le Diapason à 20h, 19.70 e Le 28 novembre à Herouville St Clair (14), Big Band Café à 20h, 18.70 e Le 29 novembre à Tourcoing (59), Le Grand Mix à 20h, 17.70 e Le 2 décembre à Paris (75), Olympia Bruno Coquatrix à 20h, de 30.80 e à 34.10 e

Le 17 octobre à Mérignac (33), Le Kra à 20h15, 13.70 e Le 24 octobre à Larnod (25), Le Cylindre à 20h30, 13.70 e Le 25 octobre à Bourgoin-Jallieu (38), Abattoirs à 20h30, 11.60 e

Camille

\ chanson française \

Le 5 novembre à Clermont-Ferrand (63), Coopérative de mai à 20h30, De 6 e à 11 e Le 14 novembre à Paris (75), Point Éphémère à 20h, 14.60 e

© Marie de Crecy

Le 29 novembre à Ris Orangis (91), Le Plan à 20h, 16.60 e

Phénomène à part de la chanson, sorte de Björk à la française, Camille s’est fait connaître du grand public grâce à son titre « Ta douleur ». Pour son dernier album, Music Hole, elle choisit de marquer encore plus sa différence en se servant de son corps pour faire des percussions et chante en anglais.

Le 28 octobre à Troyes (10), Espace Argence de Troyes à 20h, de 33.80 e à 37.80 e Le 30 octobre à Vendôme (41), Le Minotaure Scène de Vendôme à 19h, 25.30 e Le 31 octobre à Caen (14), Le Cargo à 21h, 31.50 e Le 1er novembre à Rennes (35), Salle de la Cité, à 20h30, 34 e Le 5 novembre à Reims (51), La Cartonnerie à 20h, 30.20 e Le 9 novembre à Le Mans (72), L’oasis, 27.90 e Le 12 novembre à Lille (59), Théâtre Sebastopol à 20h30, 32 e Les 13 et 14 novembre à Grenoble (38), MC2 - Grand Théâtre de Grenoble à 20h30, 33.60 e Le 22 novembre à Serignan (34), La Cigalière à 21h, de 28 e à 32 e

THE DO

\ folk & rock \ Le duo formé par Olivia et Dan s’est fait connaître grâce à leur single « On my Shoulders », dans les têtes de tout le monde durant de nombreux mois et repris dans un publicité récemment. Mais la formation franco-finlandaise ne se limite pas à ce morceau, « Bridge is broken », « At last » et « Playground hustle », entre autres, sont là pour nous le rappeler.

Le 6 novembre à Saint-Lo (50), Le Normandy / Ecran Sonique à 20h30, 21.60 e Le 7 novembre à Rouen (76), Club 106 à 20h, 20.70 e Le 8 novembre à Lorient (56), Espace Cosmao Dumanoir à 20h30, 19.70 e

Le 25 novembre à Paris (75), Zénith 20h, de 33 e à 38.50 e

Le 12 novembre à Grenoble (38), MC2 - Grand Théâtre à 19h30, 25 e

Le 29 novembre à Lyon (69), Transbordeur à 20h30, 31.70 e

Le 13 novembre à Nice (06),

Le 20 novembre à Ramonville (31), Le Bikini à 20h30, 22 e Le 21 novembre à Montfavet (84), Salle des fêtes d’Avignon / Montfavet à 20h, 21.80 e Le 22 novembre à Istres (13), L’Usine à 21h, de 18.70 e à 21.70 e Le 27 novembre à Reims (51), La Cartonnerie à 20h, 21.20 e Le 28 novembre à Paris (75), Olympia Bruno Coquatrix à 20h , de 33 e à 38.50 e

Le 3 novembre à Bordeaux (33), Rock School Barbey à 20h30, 21.70 e Le 4 novembre à Nantes (44), Olympic à 20h30, 17.60 e Le 5 novembre à Strasbourg (67), Laiterie à 20h, 21.90 e Le 17 novembre à Paris (75), Au Zénith à 19h, 37.30 e

\ soul \

Le 13 décembre à Nantes (44), Olympic à 22h, de 14e à 19e

Le 20 octobre à Marseille (13), Cabaret aléatoire de la Friche à 21h, 21.70 e

Le 18 novembre à Brest (29), La Carene à 20h30, 22 e

Jamie Lidell

Le 5 décembre à Rennes (35), Musik Hall – Parc des Expos Rennes Aéroport à 20h

Composé des frères André, David-Ivar et Neman, la formation Herman Düne ne cesse de nous enchanter grâce à ses ballades pop et folk nostalgique à souhait. Et même si André a décidé de quitter le bateau pour entamer une carrière solo sous le pseudonyme de Stanley Brinks, le groupe barbu français d’origine suédoise qui marche le mieux en ce moment promet de garder sa naïveté ensoleillée, ouf !

Le 15 novembre à Perpignan (66), El Mediator à 21h, 21.70 e

en septembre 2003, revendique comme sa principale influence musicale, l’électro-rock, mais aussi d’autres formes d’art, comme le design, le cinéma et la mode, avec des paroles humoristiques en anglais approximatif et portugais.

Avec Lovefoxxx en meneuse de chant hystéro-énergique et un beat ravageur, le dancefloor ne met pas bien longtemps à s’embraser et les bouches à s’enflammer. 6 filles, 1 garçon, combien de possibilités ?

Réponse sur scène.

Yeah baby ! Représentant de la blue-eyed soul anglaise avec Amy Winehouse, non seulement Jim n’annule pas ses concerts au dernier moment, mais ses performances scéniques sont promptes à dérider un croquemort. En effet comment résister à ce pur mélange de soul et de funk qui aurait pu se fondre à merveille dans le catalogue du mythique label Motown ? Et pourtant pas évident de jouer sur le même terrain qu’Otis Redding ou Prince quand on est un blancbec originaire de la campagne anglaise. Mais il suffit de voir une seule fois l’animal en concert pour comprendre que son charisme n’a rien à envier aux modèles précités.

Si en dix ans Jamie Lidell est passé de l’électro tortueuse à la feel-good music, cet artiste complet n’a en rien perdu de sa fougue initiale.

Son dernier album (Jim, Warp, 2008) a d’ailleurs été, à juste titre, acclamé par la crème des critiques musicales. Lancé dans une tournée mondiale qui l’amènera de New-York à Berlin, Jamie passera sur l’Hexagone pour 6 dates qui promettent d’être mémorables.

Le 19 octobre à Bordeaux (33), Site Les Terres Neuves à 20h00, 17.70 e Le 20 octobre à Tournefeuille (31), Le Phare à 20h30, 17.70 e Le 21 octobre à Montpellier (34), Le Rockstore à 19h30, 20 e Le 27 novembre à Tourcoing (59), Le Grand Mix à 20h00, de 14.70 e à 18.70 e Le 6 décembre à Bruxelles (Belgique), Halles De Schaerbeek à 20h00, 24 e Le 7 décembre à Luxembourg, Rockhal à 20h00, 29 e Le 10 décembre à Strasbourg (67), Laiterie à 20h00, 16.70 e Le 19 décembre à Paris (75), Bataclan à 19h30

Cansei de Ser Sexy \ électro-rock \

Alias, CSS qui veut dire littéralement « marre d’être sexy ».

Et elles en ont peut-être assez d’être sexy, mais elles le resteront sans doute malgré elles, tant les six Brésiliennes et le batteur/ producteur qui composent ce groupe singulier affichent une détermination à toute épreuve, dans un style qui doit au meilleur des groupes arty de la fin des années 70, The Slits pour la démarche militante, post-féministe, Lizzy Mercier Descloux ou Tom Tom Club pour le métissage des rythmes, punk, funk ou electro.

Ce groupe de São Paulo, formé

I’M FROM BARCELONA \ pop & folk \

© Fredrik Skogkvist

plaît à alterner les ballades soul, la plupart du temps, et les paroles rappées, sur certains morceaux. Et même si elle sait être douce, ses paroles sont, elles, engagées et sans concession.

Revoilà la grande famille suédoise de I’m From Barcelona autour de son leader charismatique Emanuel Lundgren. Et attention aux yeux car ces 29 membres n’ont pas l’habitude de faire les choses à moitié. Lâcher de ballons, machines à bulles et confettis, les faux Barcelonais, mais vrais Scandinaves, ne lésinent sur rien lors de leurs prestations en live.

Alors, certes, depuis leur dernier album Let me introduce my friends et la grosse claque pop folk qui allait avec, les Suédois ont fait évoluer leur musique. Sur leur second disque, Who killed Harry Houdini, on a pu découvrir un autre côté de l’univers de Emanuel Lundgren et de ses compagnons.

Mais, que l’on se rassure, malgré quelques morceaux plus sombres, l’esprit festif et envoûtant est, lui, toujours là. Vous l’aurez certainement compris, avec I’m From Barcelona, il y a de grandes chances que vous passiez un agréable moment. La preuve pour ceux qui en doutait que la Suède ne se résume pas uniquement à une chaîne de magasins de meubles en kits ou à des petits pains grillés.

Le 24 octobre à Amiens (80), Zénith d’Amiens à 20h, 25 e Le 25 octobre à Lille (59), Splendid à 19h30, 21.70 e Le 26 octobre à Rennes (35), Ubu Club à 19h, 15 e Le 27 octobre à Nantes (44), Olympic à 20h30, 18.60 e Le 28 octobre à Ramonville (31), Le Bikini à 20h30, 19 e Le 31 octobre à Paris (75), Bataclan à 19h30, 27.50 e Le 1er novembre à Vendome (41), Le Minotaure Scène à 20h30, 18.70 e Le 29 novembre à Caen (14), Le Cargo à 21h, 17.80 e

30

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36 - SAINT-MAUR . . . . 114 avenue de l’occitanie, 36250 SAINT-MAUR (ouverture prévue fin novembre) 37 - TOURS. . . . . . . . . Zone Commerciale FUSA PARC, place Nicolas COPERNIC, 37100 TOURS Nord 40 - MONT-DE-MARSAN. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 rue Marcel David 40000 MONT-DE-MARSAN 40 - ST-PAUL-LES-DAX. . . . . .2253 av. de la Résistance/Route de Bayonne 40990 ST-PAUL-LES-DAX 42 - SAINT-ÉTIENNE. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Place des Ursules, rue Ronsard 42000 ST-ÉTIENNE 46 - LE MONTAT . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . LOT 2 Lieu dit Peche Biel 46090 LE MONTAT 47 - MARMANDE. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 35-37 rue du Général de Gaulle 47200 MARMANDE 47 - AGEN . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ZAC Agen Sud Avenue de l’Atlantique 47000 AGEN 49 - ANGERS. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 63 rue du Mail 49000 ANGERS 49 - CHOLET. . . . . . . . . . . . . . . . . . . Zone Commerciale Carrefour - 12 Rue Pagannes 49300 CHOLET 51 - CORMONTREUIL. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Rue des Carreaux 51350 CORMONTREUIL 56 - PONTIVY. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51 rue Albert de Mun 56300 PONTIVY 56 - LORIENT. . . . . . . . . . . C. Cial Carrefour Zone Keryado-4 bd Pierre Mendès France 56100 LORIENT 58 - NEVERS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Zone des Grands Champs 58000 NEVERS 63 - AUBIERE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 rue des Chazots, 63170 AUBIERE 63 - CLERMONT-FERRAND. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 avenue Julien, 63000 CLERMONT-FERRAND 64 - PAU. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18 cours Bosquet 64000 PAU 72 - RUAUDIN. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Family Village 1 bd des Hunaudières 72230 RUAUDIN 75 - PARIS. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 rue Turbigo 75001 PARIS 76 - LE HAVRE. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 rue Jules Siegfried, 76600 LE HAVRE 81 - ALBI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70 Rue Croix Verte 81000 ALBI 81 - ALBI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. Cial Géant Casino 81000 ALBI 81 - CASTRES. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 Rue Emile Zola 81100 CASTRES 82 - MONTAUBAN. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 880-910 avenue Henri Dunant 82000 MONTAUBAN 83 - SAINTE-MAXIME. . . . . . . . . . Espace Chancori 100 route plan de la Tour 83120 SAINTE-MAXIME 83 - TRANS-EN-PROVENCE. . . . . . . . C. Cial CARREFOUR - RN 555 - 83720 TRANS-EN-PROVENCE 84 - SORGUES. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. Cial Avignon Nord ZAC St Anne 84700 SORGUES 87 - LIMOGES. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C. Cial Saint Martial 87000 LIMOGES 89 - AUXERRE. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 rue des Fourneaux Zone des Clairons 89015 AUXERRE

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