Lire p. 16
Les enfants plantent des arbres Lire p. 6 et 7
Vers un label sans tabac à Saint-Léger-sous-Cholet Lire p. 8
L’aide aux animaux au refuge SPA de l’Espérance Lire p. 11 à 14
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Les enfants plantent des arbres Lire p. 6 et 7
Vers un label sans tabac à Saint-Léger-sous-Cholet Lire p. 8
L’aide aux animaux au refuge SPA de l’Espérance Lire p. 11 à 14
Composé de citoyens soucieux d’améliorer le bien-être des Maulévraises et Maulévrais, le conseil des habitants est force de propositions. Il a notamment pour fonction de faire remonter les doléances des habitants. Les réunions réunissant ses membres se déroulent tous les deux mois et sont ouvertes au public. C’est lors de ces dernières que sont analysées les fiches projets et fiches alertes qui parviennent au conseil des habitants, transmises ensuite au conseil municipal qui décide de leur donner une suite favorable ou non. « Certaines de nos propositions se sont traduites dans les faits : achat d’un radar pédagogique, installation de drapeaux à l’entrée du parc Oriental et, plus récemment, la mise en service d’un composteur, en lien avec le conseil municipal des enfants, ou encore, l’élaboration d’un état des lieux des pistes cyclables » relate Richard Vella, animateur du conseil des habitants. Des projets sont aussi en discussion : une coulée verte
réservée aux piétons et cyclistes en lien avec l’association Ça commence par nous ainsi que l’achèvement de la voie de contournement pour diminuer la circulation des poids lourds en centre-ville.
Un autre rôle est confié au conseil des habitants, tiré d’une phrase prononcée par Dominique Hervé, maire de Maulévrier, lors d’une réunion : « Imaginez Maulévrier en 2035 » « Des lotissements verront prochainement le jour à Maulévrier. Nous serons force de propositions pour que ceux-ci intègrent une démarche responsable, que ce soit pour l’éclairage public, l’aménagement de zones vertes ou l’installation de bornes centrales de recharge pour voitures électriques. Nous invitons tous ceux qui le souhaitent à se joindre à nous pour mener à bien ces projets » ajoute le membre du conseil des habitants.
Les dates des prochaines réunions de ces porte-parole des citoyens sont à retrouver via l’application Intramuros.
# 632/14 au 20 décembre 2022
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Depuis quelques semaines, la Commune dispose d’un nouveau support de communication : un panneau d’affichage numérique. Situé à l’entrée de la mairie, ce nouvel équipement piloté par un logiciel dédié permet de retrouver et de télécharger, via un écran tactile, les informations qui étaient précédemment présentées en version papier : affichage légal, annonce d’événements, formulaires, etc., mais aussi le site Internet de la Commune. « Simple de manipulation, les habitants ne doivent cependant pas hésiter à demander à l’accueil de la mairie de
l’aide pour l’utiliser » invite Dominique Hervé, maire de Maulévrier. Cette solution numérique s’inscrit dans le cadre d’un appel à projet du Fonds d’innovation et de transformation numérique des collectivités territoriales. Ce fonds a vocation à financer des projets numériques qui auront un effet sur la vie quotidienne des citoyens et sur leurs relations avec l’administration locale. Le coût de cette installation est de 8 081 € HT et a fait l’objet d’un financement, via la subvention sollicitée, de 6 464,80 € HT, soit 80 % de son coût.
Pour marquer l’installation officielle des jeunes élus du conseil municipal d’enfants (CME), une cérémonie a été organisée en mairie. Les 12 enfants, originaires des différentes communes déléguées de Lys-HautLayon, étaient invités à visiter la mairie, puis ont reçu la cocarde tricolore des mains des maires délégués, avant d’entonner la Marseillaise , en présence de leurs parents. Ils débutent ainsi leur mandat, courant jusqu’à 2025, pour
lequel ils se sont engagés à participer à toutes les réunions de leur instance et à représenter tous les enfants de Lys-Haut-Layon, sans distinction de communes, en étant à l’écoute des projets des divers membres. « Le CME entretient des contacts très proches avec les écoles de Lys-Haut-Layon, qui sont toujours complices de nos activités » souligne Françoise Serrière, ancienne élue et animatrice du CME.
Dans le cadre du renouvellement urbain du centre-bourg de Trémentines, les travaux de démolition de l’immeuble vide, situé place Hubert-Cassin, à proximité de l’église, sont sur le point de commencer. Le chantier concerne les deux bâtiments datant de 1969, totalisant 42 logements, appartenant à Podeliha, entreprise sociale pour l’habitat. Tous les locataires s’étaient vu proposer auparavant un autre logement, notamment dans l’immeuble situé en face de celui qui va être démoli, et qui doit faire l’objet d’une réhabilitation, également inscrite dans la requalification du centre-bourg, ou bien dans l’immeuble neuf, situé à quelques pas de là, place Emmanuel-Bodet.
Un immeuble démoli… Le chantier s’organise de la façon suivante : la déconstruction du bâtiment situé 1, 3 et 5 place HubertCassin, va prochainement démarrer par les travaux de désamiantage et de curage. La démolition à proprement parler aura lieu lors du premier trimestre 2023.
En lieu et place du bâtiment démoli, la construction de deux îlots de six
appartements intermédiaires en rezde-chaussée avec deux étages (du type 2 au type 4) est prévue, avec une livraison estimée au 4 e trimestre 2024.
… et l’autre réhabilité
Concernant la réhabilitation du bâtiment situé 4, 6, 8 et 10 place Hubert-Cassin, elle est prévue durant l’année 2023. Ces travaux permettront d’améliorer significativement le confort de vie des locataires et l’étiquette énergétique des logements.
« Ce projet ambitieux d’aménagement urbain répond à deux enjeux principaux : proposer une offre de
logements adaptée aux nouveaux besoins et usages des ménages et faire de ce lieu un nouvel espace d’accueil animé » précise Jacqueline Delaunay, maire de Trémentines.
« Les différents échanges entre l’équipe municipale, Podeliha et le maître d’œuvre nantais, AÜD Architectes, ont permis d’aboutir à un projet architectural et urbanistique conforme aux attentes, intégrant une dimension environnementale attendue sur la performance énergétique des bâtiments neuf et ancien » ajoute Maurice Dilé, premier adjoint.
> Calendrier de collecte : les permanences
Les permanences pour récupérer les calendriers de collecte des déchets ont lieu à l’accueil de l’Hôtel de Ville/Hôtel d’Agglomération de Cholet, ces mercredi 14 et vendredi 16 décembre, aux horaires d’ouverture habituels.
> Les vacances dans les accueils de loisirs
Cholet Animation Enfance accueille les enfants de 3 à 12 ans pendant les vacances de Noël à Cholet : du lundi 19 décembre au lundi 2 janvier dans les accueils de pleine nature aux Noues et du lundi 19 au vendredi 23 décembre et le lundi 2 janvier dans les accueils de proximité. Au programme : activités et spectacle autour de la féerie de Noël. Délai de réservation à J-7. Infos au 02 72 77 24 00 ou accueilsdeloisirs@ choletagglomeration.fr
> Le marché au complet
Le marché de Vezins sera plus important ce mardi 20 décembre afin de proposer un maximum de produits à l’approche des fêtes, de 7 h 30 à 13 h, place du Général-de-Gaulle. Les visiteurs pourront y retrouver le poissonnier, le primeur, l’horticultrice, le commerçant en épicerie fine, l’apiculteur producteur, un vendeur de vêtements, le producteur de champignons, la charcutière, les fromagers producteurs et un artisan affûteur. Le comité des fêtes ouvrira son bar convivial.
La Chambre de métiers et de l’artisanat (CMA) organise une réunion d’information créateurs/repreneurs ce mercredi 21 décembre, de 9 h 30 à 12 h, à la CMA, 5 bd Pierre-Lecoq, la Novathèque à Cholet
Infos et inscription au 02 41 62 64 87 ou antennecholet@ artisanatpaysdelaloire.fr
Le Campus de la gastronomie organise la 2 e édition du concours photo « Regard de gastronome » sur le thème « la perception de la gastronomie du végétal à travers l’image ». Ce concours est ouvert à tous les étudiants et apprentis, quelle que soit la filière, jusqu’au dimanche 15 janvier 2023.
Inscription et dépôt de la photo : campusdelagastronomie.com/ concours-photo/
Claude Bardon est tombé amoureux de l’univers du cirque voilà 20 ans. Depuis, cette passion s’est matérialisée sous la forme de maquettes occupant tout son sous-sol.
À l’instar d’Obélix, certains sont tombés dedans lorsqu’ils étaient petits. Claude Bardon, lui, a attrapé le virus une fois à la retraite. Ce virus, c’est celui du cirque, qu’il ait pour nom Pinder, Bouglione, Amar, Medrano… « Au départ, je me suis surtout intéressé à Pinder. Maintenant, je me passionne pour tous les cirques. Il y en a tellement. Zavatta, par exemple, il y en a 22 » précise le retraité qui, une fois dans son univers, devient Claudius. Son univers, c’est son sous-sol. L’entrée franchie, le spectacle commence. Les affiches de représentations, au mur, donnent le ton. Mais ce qui attire l’œil, inévitablement, ce sont les maquettes de Claudius qui, depuis des années, s’attache à reproduire, en miniature, des cirques, avec leurs chapiteaux, leurs ménageries, les véhicules de la caravane… On trouve même Yvette Horner et son accordéon sur le toit d’une Traction et d’une DS Pinder, selon l’époque.
CHOLET
Au gré de ses envies, de ses acquisitions également, dans les vide-greniers, les brocantes ou les collections vendues dans les kiosques à journaux, les décors évoluent. « Ça me prend d’un seul coup » reconnaît-il. Alors un chapiteau s’efface au profit d’une grande roue, animée bien sûr.
On pourrait passer des heures dans le soussol de Claudius, à tenter de repérer tous les détails de ses mises en scène, de plus en plus mécanisées, alors que lui ne compte évidemment pas les heures qu’il y consacre. Pour son plaisir, ou celui des autres. Sans doute les deux se confondent-ils.
Car Claudius ouvre volontiers les portes de son univers, aux écoliers, aux groupes de personnes âgées, aux enfants et à leurs parents, gratuitement, durant les vacances scolaires. Avec la crise sanitaire, les visites ont stoppé
net. S’il n’est pas attiré, en tant qu’exposant, par les salons de collectionneurs ou de modélisme, le retraité a bénéficié de la reconnaissance de la presse spécialisée, le magazine Collectionneur et chineur lui ayant consacré un article en août 2021.
Finalement, comme les artistes, Claudius attend impatiemment la reprise du spectacle. Il suffit de réserver sa visite.
Réservation : Tél. : 02 41 65 20 62 de 12 h à 14 h uniquement Entrée gratuite
Magali Mallet, Estelle Reverseau et Angèle Fort, sages-femmes au sein d’un même cabinet libéral, expliquent les multiples facettes de leur profession.
S. h. : En quoi consiste votre métier ?
Magali Mallet, Estelle Reverseau et Angèle Fort : La sage-femme exerce une profession médicale. Notre mission est de suivre la femme en bonne santé, à tout âge, de l’adolescence à la post-ménopause. Une sage-femme peut exercer son activité au sein d’une structure hospitalière, dans les différents services de protection maternelle et
infantile ou en cabinet libéral. Dans ces différents modes d’exercice, elle peut réaliser des consultations (de grossesse ou de gynécologie), des séances de préparation à la parentalité ou des échographies. Elle accompagne la naissance et effectue le suivi postnatal de la mère et de l’enfant. Quand les situations sont ou deviennent pathologiques, nous passons le relais aux médecins.
S. h. : Qu’est-ce qui vous anime ? E. R : On est du beau côté de la vie ! Nous avons la chance d’accompagner les couples dans leur « devenir parents » et de voir les familles s’agrandir. C’est une relation privilégiée, centrée sur l’humain. Nous
apprécions le travail en équipe au sein de notre cabinet, mais également avec nos collègues sages-femmes du Choletais, ainsi que les équipes de maternité et les autres professionnels au contact des femmes et de leur bébé.
S. h. : Quel cursus faut-il suivre pour devenir sage-femme ?
M. M. : Aujourd’hui, il faut d’abord valider la première année commune aux études de médecine (maïeutique, médecine, odontologie, pharmacie et kinésithérapie), appelée Parcours accès santé spécifique, ou une licence accès santé, avant d’intégrer une école de sage-femme pour quatre années d’études, afin d’obtenir le diplôme d’ É tat.
« On est du beau côté de la vie »
Découverte d’un métierEstelle Reverseau, Magali Mallet et Angèle Fort
Le Parc oriental a fermé ses portes le dimanche 13 novembre dernier, mettant un terme à une année record en termes de fréquentation. « Nous avons vécu une très très bonne saison 2022, reconnaît Alain Caillé, directeur. Nous sommes très humbles vis-à-vis de cela. Le pu blic avait envie de tourisme. Je pense aussi que la hausse du coût des transports et le fait que certains pays n’aient pas encore complètement rouvert leurs frontières a joué en notre faveur. Bien sûr, chaque année, nous faisons des prévisions. Là, nous les avons dépassées. Mais dans tous les cas, notre affluence aurait augmenté. » Avec 207 000 visiteurs accueillis contre 155 000 l’an passé, la fréquentation du plus grand jardin japonais d’Europe a ainsi bondi de 36 %. « Nous savourons ce résultat. Nous avons la tête dans les étoiles, mais nous gardons les pieds sur terre, temporise Alain Caillé. Cela nous permet de continuer à garantir au parc son autonomie financière. Si le succès est là, c’est que la méthode est bonne. »
La programmation aussi, sans doute. Si Hanami, la fête des cerisiers en fleurs, s’avère incontournable – cela fait deux ans de suite que le dernier week-end de mars est le plus fréquenté de la saison –, deux autres manifestations se sont imposées cette année. Le salon
Peur de se tromper pour le cadeau de belle-maman ? Envie de faire plaisir ? Le chèque-cadeau de l’office de tourisme est fait pour vous ! D’une valeur de 10 €, il est valable un an à partir de la date d’achat sur tous les services de l’office de tourisme : billetterie, boutique,
du bonsaï, tout d’abord, entièrement organisé au sein du parc pour la première fois, « qui est en train de devenir un des événements majeurs dans l’univers du bonsaï en France » précise le directeur, et Kamiplay, le premier cosplay de l’histoire du parc maulévrais, qui a déjà trouvé son public.
Le programme 2022 est à peine terminé que celui de 2023 est déjà prêt, avec deux nouveautés : « un week-end consacré à la découverte du thé, les 3 et 4 juin et un autre dédié aux arts du Japon les 4 et 5 novembre » révèle le directeur du parc. Quant à Kamiplay, la manifestation devrait prendre une autre ampleur en s’affichant les 8 et 9 juillet. « Avec ce rendez-vous, nous voulons montrer que le parc peut intéresser les nouvelles générations » avance-t-il.
Bien évidemment, la pause que s’impose le parc à chaque mi-novembre sera, une nouvelle fois, mise à profit pour poursuivre son aménagement. « De nouveaux chemins vont être viabilisés afin de fractionner les flux et allonger le temps de visite, justifie Alain Caillé. Nous allons aussi commencer à installer la forêt de bambous, qui sera précédée d’un porche, à l’entrée de l’île du soleil levant. » Cet hiver sera également l’occasion pour les jardiniers de planter plusieurs centaines de nouveaux végétaux.
Pâtissier chocolatier de formation, Thierry Mayet a collaboré avec de grands noms de la pâtisserie artisanale avant d’installer, voilà huit ans, à La Tessoualle, son atelier L’art sucré. « J’ai pris cette décision quand j’ai constaté que les traiteurs ne faisaient pas eux-mêmes leurs pâtisseries » précise-t-il. Car Thierry Mayet exprime son talent sur commande, pour l’événementiel, les repas de famille, les mariages… « D’avril à fin septembre, je fournis 10 à 15 mariages par weekend » indique-t-il. Un talent reconnu par la profession en novembre 2020, date à laquelle le professionnel tessouallais a été reconnu maître artisan. « Pour devenir maître artisan, il faut au minimum dix ans d’expérience, s’investir dans la formation des jeunes et réaliser toutes ses préparations soi-même » expliquet-il. Cette distinction, décernée par la Chambre de commerce et d’industrie, lui a été officiellement remise le 11 novembre dernier à l’occasion du salon Arts et saveurs d’exception d’Angers (la cérémonie avait été repoussée avec la crise sanitaire). Son savoir-faire désormais pleinement reconnu, Thierry Mayet peut se consacrer à son projet de déménagement de son activité dans un nouveau bâtiment de 200 m² à La Tessoualle où, en plus de Marine, son apprentie en CAP pâtisserie et Isabelle, sa livreuse, l’espace disponible lui permettra de recruter une personne supplémentaire.
Infos :
L’art sucré - 3 rue d’Elbée à La Tessoualle Tél. : 09 83 25 51 81 ou 06 18 44 06 94 lartsucre@gmail.com - www.lart-sucre.fr
coffrets Surprenant Choletais, etc. Savourer des produits locaux, découvrir les dernières pépites des créateurs de l’agglomération choletaise et profiter des activités touristiques du secteur, tout est possible ! De quoi offrir ou s’offrir
Le chèque-cadeau de l’office de tourisme permet de faire plaisir à coup sûr.
de belles (re)découvertes du territoire, différemment et en toute sérénité !
Infos : ot-cholet.fr - Tél. : 02 41 49 80 00
• Office de tourisme du Choletais
14 avenue Maudet à Cholet
• Bureau d’information touristique
14 rue Monnaie à Lys-Haut-Layon/ Vihiers
5 #632 / du 14 au 20 décembre 2022 S ynERGENCES hebdo
Un chèque-cadeau : l’idée parfaite de dernière minuteAlain Caillé, directeur du Parc oriental Thierry Mayet
Le Parc oriental n’a jamais accueilli autant de visiteurs. Un succès qui donne à l’association gestionnaire les moyens de ses ambitions en termes de programmation.
franchit la barre des 200 000 visiteurs
Depuis 2010, la Ville de Cholet compte, dans ses effectifs, quelques milliers d’ouvrières, des abeilles, qui permettent à Cholet d’avoir son miel. « C’est une démarche qui a été mise en place comme un outil de communication, pour sensibiliser la population à l’intérêt des insectes sur la pollinisation , explique Nicolas Tréton, responsable du service Gestion des espaces paysagers à la direction des Parcs, jardins et paysage. Nous avons commencé par trois ruches et en avons eu jusqu’à neuf. Actuellement, nous en avons six, installées au musée du Textile et de la Mode et rue de Livet, que nous pouvons déplacer en fonction de la menace du frelon asiatique. Quand nous les déplaçons, c’est de plus de 3 km, sinon les abeilles ne rejoignent pas leur nouvel emplacement. »
La population d’abeilles et le nombre de ruches pouvant varier d’une année à l’autre, la production de miel suit la même tendance. En 2020, l’année du confinement, les apiculteurs choletais – quelques jardiniers de la Ville qui enfilent de temps en temps la combinaison blanche – ont récolté 40 kg de miel. L’an passé, ils durent se contenter de 10 kg alors que cette année, les six ruches ont permis de produire 65 kg.
Récolté dans le courant de l’été ou en fin d’été, ce miel de Cholet est conditionné en bocaux de 125 g, vendus à l’office de tourisme ou distribué, sous forme de cadeau, lors de certaines occasions ou cérémonies municipales.
Le cru 2022 peut surtout s’enorgueillir d’une première récompense, puisqu’il a terminé 4 e de sa catégorie, le miel toutes fleurs, au concours de miels d’Anjou, organisé par l’Association sanitaire apicole départementale du Maine-et-Loire. « Nous avons découvert ce concours cette année et avons décidé d’y envoyer un échantillon. Cela met en valeur le travail des agents de la Ville » conclut Nicolas Tréton.
Dans un souci écologique, la Commune de Lys-Haut-Layon s’est tournée vers l’écopâturage pour la gestion de ses espaces naturels. Ce mode d’entretien par le pâturage d’animaux herbivores est en place depuis le printemps dernier, dans la zone de la motte féodale (à côté de l’étang du Lys) et celle des Courtils, dans la commune déléguée de Vihiers. Par leur présence, chèvres des fossés et moutons noirs du Cameroun favorisent naturellement la biodiversité et enrichissent les sols, tout en supprimant l’utilisation d’huile et de carburant, nécessaires aux engins mécaniques. « Nous avons fait le choix d’une race de chèvre en voie de disparition. Comme le mouton
du Cameroun, il s’agit d’une espèce rustique et docile. D’ailleurs, nous donnons la possibilité aux habitants d’entrer dans les parcs des animaux » détaille Raphaël Brunet, deuxième adjoint au maire de Lys-Haut-Layon, responsable de la commission Agriculture, gestion de l’eau, rivières, méthanisation et éoliennes. Attention cependant, il est interdit d’y pénétrer avec des chiens, ainsi que de nourrir les moutons et chèvres. « Toute autre alimentation que l’herbe pourrait les rendre malades. Ils ont de quoi manger sur place, 365 jours par an. Leur bienêtre est également assuré par des abris, construits avec du bois provenant d’arbres morts des coteaux de l’étang du Lys » précise l’élu.
Le vendredi 18 novembre dernier, les enfants de la classe de CE1-CE2 de l’école Jean Moulin ont joué les jardiniers. Tout a commencé en juin dernier, après l’appel lancé par Stéphanie Ouvrard, arboricultrice. Cette dernière invitait les enfants à participer à la plantation d’arbres fruitiers. « Le cycle de vie de l’arbre et la sensibilisation à l’environnement étant au cœur des programmes, nous avons répondu favorablement à ce projet » relate Nathalie Coutant, professeure de la classe concernée. Le partenariat a été possible grâce à l’association Des enfants et des arbres, qui subventionne, au niveau national, une centaine de projets avec des agriculteurs et des écoles. Les élèves, accompagnés de parents et de grands-parents, sont donc allés planter
C’est sous un soleil éclatant que les élèves ont joué aux apprentis jardiniers.
74 arbres fruitiers sur la parcelle de l’écoagricultrice, située à la sortie de la commune. « Chacun a mis beaucoup d’enthousiasme à creuser, planter et protéger ces futurs pommiers et pêchers » apprécie l’enseignante.
Afin d’anticiper l’obligation du tri à la source des biodéchets, appliqué en 2024, Valor3e a mené une étude auprès
À l’horizon 2024, le tri à la source des biodéchets deviendra une obligation pour tous, quelle que soit la quantité produite, selon la loi Antigaspillage pour une économie circulaire (AGEC). En aucun cas cette loi n’impose de créer une nouvelle collecte spécifique liée aux biodéchets. Elle concerne le tri à la source, qui peut notamment se faire directement chez soi. Afin de connaître les habitudes des habitants de son territoire en matière de gestion des biodéchets, Valor3e, le syndicat mixte en charge du traitement et de la valorisation des déchets ménagers de notre territoire, a procédé à un sondage au cours du mois de juin 2022, auprès de l’ensemble des habitants résidant dans le territoire qu’il couvre (l’Agglomération du Choletais, Mauges Communauté, Clisson Sèvre et Maine Agglo et la Communauté de Communes Sèvre et Loire, soit un bassin de 330 000 habitants).
Pour obtenir une représentativité du territoire, Valor3e avait fixé un objectif de 660 réponses visées réparties sur la base de quotas à atteindre par collectivité. Le nombre de réponses recueillies correspond quasiment au double de celui escompté initialement, puisque l’enquête a comptabilisé 1 115 réponses. « Cette forte participation des habitants au sondage biodéchets de Valor3e permet d’assurer une représentativité encore plus réelle » souligne Cédric Van Vooren, président du syndicat.
Pratiques actuelles et attentes
Plus de 70 % des habitants du territoire de Valor3e pratiquent déjà le compostage individuel. Sur les quatre collectivités, le compostage individuel apparaît comme une pratique déjà bien ancrée dans les habitudes. 76 % de ceux qui ne compostent pas leurs déchets se
disent prêts à changer leurs habitudes pour y participer. Les sites d’apport, le compostage individuel et le compostage partagé sont plébiscités. Seuls 7 % des habitants ne trient pas leurs biodéchets et ne veulent pas de nouveaux dispositifs de tri.
En moyenne, un habitant du territoire couvert par Valor3e produit 34,7 kg/an de biodéchets. Cette quantité représente 30 % des ordures ménagères résiduelles à l’échelle de Valor3e. À titre de comparaison le Modecom (méthode développée par l’Ademe) national de 2017 évaluait la production moyenne de biodéchets d’un habitant à 83,1 kg/an. Valor3e se positionne donc avec une faible quantité de biodéchets produits par les habitants de son secteur géographique.
Le vendredi 2 décembre dernier, Saint-Hilaire-du-Bois, commune déléguée de Lys-Haut-Layon, a vécu une nouvelle session de plantation d’arbres, avec un objectif : en totaliser 5 000, à l’horizon 2025. Fruit du partenariat entre la Municipalité et l’entreprise Dozlign, ces végétaux vont prendre racine dans le premier sentier participatif et agroécologique de la localité, nommé l’Escapade des galopins, implanté sur un terrain municipal. L’idée ? « Reboiser SaintHilaire-du-Bois » résument Fabrice Maillet, maire délégué de la commune et Yoann Sourice, responsable de la société Dozlign, tous deux les mains dans la terre. « Le projet consiste à créer un espace pédagogique et de balade, pour améliorer le cadre de vie de tous. Habitants et riverains en profiteront pour se rencontrer, échanger et observer l’évolution des arbres au fil des saisons » détaillent-ils. Pleinement investis dans la démarche, les 70 enfants de l’école maternelle et primaire Notre-Dame ont vécu, pour
l’occasion, une matinée pas comme les autres, troquant cahiers et stylos contre bottes, gants, pelles, fourches et brouettes. Si les petits étaient en charge de placer granules, filets et tuteurs, les plus grands plantaient les arbres avant de reboucher les trous avec la terre. « On aime bien faire ça. Après, ça va ressembler à de gros arbres, comme une forêt. On sera fier de dire que c’est nous qui les avons plantés » se réjouissent les apprentis jardiniers. « C’est bien de planter des arbres, en travaillant tous ensemble » abondent d’autres écoliers.
Œuvre collective C’est en effet de façon collégiale que cette plantation s’est déroulée. Enfants, accompagnés de leurs enseignantes et de parents, membres de la Municipalité et agents municipaux ont tous œuvré à cette création. « Il y a également les deux paysagistes de la commune, Martineau Rochais Paysage et Nature et Création, qui sont venus naturellement nous prêter main-forte. Cela prouve que tous ensemble, on est capable de faire beaucoup » se réjouissent les instigateurs.
Démarche durable
Noisetiers, châtaigniers, chênes Tauzin, aulnes de Corse, sorbiers des oiseleurs, cormiers ou encore troènes sont les essences d’arbres choisies pour boiser le site, selon différents critères : leur production de fruits, leur résistance climatique ou leur intérêt pour la biodiversité. Tous ces plants sont financés par l’entreprise Dozlign, fabricant de produits anti-insectes naturels et éco-conçus – dont l’usine est située à Montilliers, à 5 km du lieu de plantation – grâce à la vente de sa gamme de produits l’Otentik. De plus, si un arbre planté compense en moyenne 1 000 kg de CO 2 au cours de sa vie, le site reboisé présentera un autre intérêt écologique : il accueillera des ruches, installées par l’association L’aut’ruche, dont l’objectif sera de sauvegarder des espèces d’abeilles, dont le miel qu’elles produiront leur sera réservé. Enfin, aucun engrais chimique ne sera utilisé sur ce site, seul l’amendement viendra fertiliser le sol.
des habitants, dont les résultats ont été analysés. Décryptage.
S’il fait moins parler de lui, le virus de l’immunodéficience humaine reste actif et le Collectif choletais santé sexuelle, qui réunit une vingtaine de partenaires, poursuit ses actions de sensibilisation autour de cette maladie et des autres infections sexuellement transmissibles (IST). Particulièrement autour du 1 er décembre, journée internationale de lutte contre le Sida. « Nous intervenons spécialement auprès des jeunes, en leur précisant qu’il n’y a aucun mot tabou, explique Fabienne Fichet, sage-femme et responsable du Centre gratuit d’information, de dépistage et de diagnostic (Cegidd) au centre hospitalier de Cholet. Nous abordons ainsi différents thèmes, en classe ou sous forme de conférence : les IST, comment se protéger, les traitements post-exposition, la contraception, le consentement, etc., mais aussi les lieux ressources si on a pris un risque. »
Le Cegidd en est un, comme le centre de santé sexuelle (anciennement centre de planification et éducation familiale) de la Ville de Cholet, situé au Pôle social. Via des rendez-vous obtenus rapidement, on y parle dépistage des IST, contraception, conseil conjugal, interruption volontaire de grossesse, suivi gynécologique, vaccination, etc. Le tout de façon gratuite et anonyme au besoin, sans jugement, aussi bien pour les femmes que les hommes, pour les personnes mineures que majeures.
Infos : https://irl-sanstabou.fr/
La démarche n’en est qu’à ses prémices, mais déjà, la Commune de Saint-Léger-sous-Cholet affirme sa volonté de prétendre au label Espace sans tabac. C’est via ce dispositif que la Ligue contre le cancer accompagne les collectivités dans la mise en place d’espaces publics extérieurs choisis où il est interdit de fumer par arrêté municipal. Les élus saint-légeois se penchent ainsi sur la question. « Depuis longtemps, le tabac est un sujet qui revient dans nos échanges, non seulement pour le côté environnemental avec les mégots qui prolifèrent, mais aussi pour le problème de santé publique qu’il représente, expliquent Claudia Tharreau et Chantal Ripoche, adjointes au maire en charge de la Vie sociale. La Commune dispose déjà de deux cendriers récupérateurs, qui permettent le recyclage des mégots. Elle espère poursuivre la dépollution, mais a choisi d’axer la prochaine démarche du côté de la santé. »
Ainsi, des espaces comme les aires de jeux, les abords des deux écoles, du centre socioculturel intercommunal Ocsigène ou de la maison de l’enfance pourraient entrer dans ce cadre. « Ce projet nous tient à cœur avant tout pour les enfants. Il est important de donner l’exemple et de dénormaliser le fait de fumer aux yeux des plus jeunes. On sait que la meilleure solution, c’est de ne jamais commencer… » poursuivent les élues.
En France, il existe déjà 3 730 espaces sans tabac, dans 48 départements. Ceux de Saint-Léger-sous-Cholet pourraient faire partie des prochains.
Ses atouts : sportive, débrouillarde et communicante. Le petit hic : elle n’a aucun sens de l’orientation ! Pour autant, Auriane Chadrin s’élancera, l’été prochain, dans la 8e édition de l’Europ’raid, une aventure solidaire en voiture, à travers le Vieux continent. Au programme : environ 10 000 km, 20 pays à traverser en passant par une douzaine de capitales et une centaine de sites classés au patrimoine mondial de l’Unesco.
L’étudiante choletaise pourra compter sur les deux autres membres de son équipage, Thibaud Bregeon et Noah Fourneron, et sur une balise GPS et un carnet de route, pour la guider sur le droit chemin ! Chaque soir, les trois amis devront rejoindre les bivouacs choi-
sis par les organisateurs, dans des lieux inédits, où seront organisées des soirées culturelles riches en émotion.
Dans le coffre de sa Peugeot 205, le seul véhicule autorisé pour ce road-trip, le trio baptisé Tic N Tac #1 (une autre équipe de copains, alias Tic N Tac #2, part également) embarquera 70 kg de fournitures scolaires, ainsi que d’équipements sportifs et de matériel médical, qui seront distribués aux enfants des écoles croisés sur la route, tout particulièrement en Europe de l’Est. « Lorsque Thibaud m’a parlé de ce projet, j’ai tout de suite accroché. J’aime l’idée de ce raid humanitaire, je me réjouis de
découvrir de nombreux pays et des paysages magnifiques mais aussi d’aider ceux qui sont dans le besoin, c’est en parfaite cohésion avec mes valeurs » témoigne la jeune femme de 19 ans, étudiante en deuxième année de BTS communication à l’Esupec à Cholet, également présidente du bureau des élèves. Définitivement engagée.
Infos :
Initiative du premier confinement pendant la crise sanitaire, la distribution de cartes, dessins et petits bricolages perdure au sein d’Adomi facil à l’approche des fêtes de fin d’année. Les élèves des écoles publiques de la Ville de Cholet ont participé activement à ce projet en confectionnant, quel que soit leur âge, ces petits présents. « Les enfants adorent faire plaisir et les personnes âgées sont très sensibles à cette attention » détaille É meline Clémot, responsable de
secteur et coordinatrice du projet au sein de la structure. Les agents du service de maintien à domicile de l’Agglomération du Choletais prennent ensuite soin de choisir les cartes, en fonction des personnalités des quelque 425 bénéficiaires, puis se chargent de jouer les facteurs. « C’est aussi un bel outil pour engager un échange » conclut Virginie Deshaies, responsable d’activité.
Infos : Adomi facil - Tél. : 02 72 77 22 80
Le centre socioculturel le Coin de la rue propose des services à domicile encore trop méconnus des habitants du territoire. Ces derniers peuvent bénéficier du portage de livre. Un âge avancé, une grossesse, un handicap, une immobilisation provisoire… Quelle que soit la raison qui les empêche de se déplacer à la médiathèque de Lys-Haut-Layon, les amateurs de lecture peuvent demander à se faire apporter des ouvrages. Des bénévoles n’attendent que de partager ce moment, qui « coupe l’isolement social et l’isolement tout court grâce à l’ouverture avec les livres » annoncent-ils. Romans, bandes dessinées et autres documentaires sont choisis avec soin, sur-mesure, selon les goûts de chaque demandeur. D’autres volontaires se tiennent également à disposition pour de simples visites au domicile de personnes qui se sentent seules,
portage de livres permet à chacun d’accéder à la lecture.
éprouvent des difficultés pour se déplacer ou souhaitent rencontrer de nouvelles personnes. Il s’agit juste, alors, d’amener de la compagnie, discuter, se promener ou jouer à des jeux de société…
Infos :
Centre socioculturel le Coin de la rue 2 rue du comte de Champagny à Lys-Haut-Layon/Vihiers Tél. : 02 41 75 42 70 accueil@csc-lecoindelarue.fr www.csc-lecoindelarue.fr
Chaque année, les Lions clubs Cholet Cité et Cholet Mauges éditent un almanach, à des fins caritatives. Le fruit des premiers exemplaires vendus a, en effet, profité au Téléthon. La contribution des sponsors participe également au soutien des actions locales, régionales, nationales et internationales à venir pour les clubs service, au profit des plus démunis, des malades, des accompagnants et des victimes de catastrophes naturelles ou d’événements géopolitiques. À l’instar des précédentes éditions, l’Almanach du pays choletais 2023 raconte, aussi et surtout, les petites et grandes histoires du territoire, écrites par une dizaine d’auteurs des clubs. « Nous faisons aussi appel à des rédacteurs extérieurs, souvent spécialistes dans leur domaine » précise Georges Jan, responsable de l’équipe. Ainsi, dans ce 11 e numéro, on découvre les secrets de l’escalade, le parcours de l’ancien industriel choletais Léon Cligman, également grand amateur d’art moderne, des
associations locales, etc. Sans oublier les traditionnels jeux, recettes, aphorismes… « Nous voulons intéresser les lecteurs avec des sujets qui les touchent, nous faire connaître en nous inscrivant dans la vie de la cité et en démystifiant l’image des clubs service, évoquer nos actions engagées dernièrement et récolter de nouveaux fonds » résume Philippe Blaison, membre du Lions club Cholet Mauges.
É coles, associations, particuliers, entreprises… Nombreux sont ceux qui se mobilisent pour les opérations Boîtes de Noël solidaires en ce mois de décembre. Le principe est simple. Dans un carton ou une boîte à chaussures vide : chacun place cinq petits présents. Sont ainsi demandés : une gourmandise (chocolats, biscuits, bonbons…), un vêtement chaud neuf ou de seconde main en bon état (bonnet, écharpe, foulard, mitaines, chaussettes…), un produit de beauté (eau de toilette, vernis, crème, maquillage…), un loisir (livre, jouet, jeu de société, carnet, matériel de création, écouteurs, enceinte, bijou…) et un mot doux (lettre, carte, dessin d’enfant…). L’objectif : faire plaisir et apporter de la joie aux plus démunis ou isolés. Les produits d’hygiène ou de première nécessité ne sont donc pas à privilégier. On emballe le tout, en précisant éventuellement à qui se destinerait ce cadeau : enfant,
adolescent, adulte, femme ou homme. À Cholet, jusqu’au mardi 20 décembre, la maison de la presse Chez Nana et la boulangerie l’Ami du pain s’associent pour recevoir ces boîtes, qui seront remises ensuite au Secours populaire. Jusqu’au vendredi 16 décembre, Leroy Merlin et l’Autre faubourg sont également points de collecte pour une opération menée dans tout le département.
Pendant les vacances de Noël, les musées de Cholet proposent deux ateliers Mix’âges. Ils réunissent petits et grands autour d’une même thématique.
Contes au fil du temps… Qu’ont donc en commun la Belle au bois dormant, le Chat botté et le petit Poucet ? Entre le rouet, les habits de marquis et les bottes de sept lieues… le textile bien sûr ! Et s’ils se retrouvaient le temps d’un atelier pour mêler conte et bricolage autour du textile ?
Les enfants, à partir de 7 ans, et les adultes sont invités à réunir ces trois héros, le mercredi 21 décembre, de 14 h 30 à 15 h 30.
É coutons les couleurs… En lien avec les collections de la galerie d’Art du musée et après l’observation de plusieurs œuvres,
les enfants découvrent l’univers des couleurs au travers de contes, puis d’un petit atelier.
Ce rendez-vous, programmé le jeudi 22 décembre, de 10 h à 11 h, est réservé aux familles avec des enfants de 3 à 6 ans.
Un adulte doit être présent pendant toute la durée des deux ateliers. L’entrée est gratuite pour les enfants et un accompagnateur.
Infos et réservation :
> Musée du Textile et de la Mode
Rue du Dr-Roux à Cholet
Tél. : 02 72 77 22 50
> Musée d’Art et d’Histoire 27 avenue de l’Abreuvoir à Cholet Tél. : 02 72 77 23 22
Les Instituts universitaires de technologie (IUT) proposent, depuis septembre 2021, le Bachelor universitaire de technologie (BUT), une formation bac +3 sélective et professionnalisante, qui permet d’entrer de plain-pied dans le système licence-master-doctorat. La pédagogie est axée sur l’acquisition de compétences concrètes qui permettront aux diplômés de proposer des solutions opérationnelles.
Dans les 108 IUT de métropole et d’outre-mer, où étudient 150 000 jeunes, l’année universitaire en cours est marquée par la hausse du nombre d’alternants, le lancement du tierstemps régional et l’intervention croissante de professionnels. Autant d’éléments qui attestent de la proximité entre les IUT, les entreprises et les territoires.
Pour Patrice Mangeard, directeur de l’IUT d’Angers-Cholet, qui s’exprime au nom des directeurs des six IUT des Pays de la Loire* :
« L’audace réformatrice des IUT, qui ont lancé le BUT il y a un peu plus d’un an, est récompensée. Il y a bien une rencontre entre des jeunes qui veulent suivre un cursus professionnalisant et des entreprises qui font confiance aux IUT sur le déploiement du nouveau diplôme. Oui, en Pays de la Loire comme partout en métropole et outre-mer, le BUT a trouvé son public. Et l’an prochain, l’attractivité de nos six établissements devrait encore se confirmer »
La rentrée 2022 a aussi été marquée par l’entrée en vigueur du tiers-temps régional, qui permet à chaque IUT de consacrer une large part du temps d’enseignement à faire découvrir aux étudiants les réalités sociales et économiques de son territoire. Région par région, les IUT donnent ainsi une coloration locale à l’enseignement, le diplôme restant unique dans la France entière.
En outre, toujours dans l’optique de faire découvrir aux jeunes la réalité des organisations et entreprises, de plus en plus de professionnels de toutes les branches interviennent auprès des étudiants. La participation de professionnels aux enseignements est, en effet, une marque de fabrique des programmes en IUT, et pour l’année universitaire en cours, ils assurent 25 % des heures d’enseignement. Ces professionnels jouent également leur rôle dans les nouveaux Conseils de perfectionnement créés dans chaque IUT, afin de faire évoluer le contenu des enseignements et les pratiques pédagogiques. Ces conseils sont, par ailleurs, composés d’enseignants et d’enseignants-chercheurs, ainsi que d’étudiants, actuels et anciens.
* La région des Pays de la Loire compte six IUT : Angers-Cholet, Laval, Le Mans, Nantes, Saint-Nazaire et La Roche-sur-Yon.
Alors que les futurs bacheliers sont à la veille de faire leurs choix quant à leur poursuite d’études, les Instituts universitaires de technologie (IUT), à l’image de celui de Cholet, dévoilent leurs atouts.
La Société Protectrice des Animaux (SPA) est, historiquement, en France, la première association qui œuvre dans le domaine de la protection animale. Depuis 176 ans, elle se mobilise pour venir en aide aux animaux en détresse et pour promouvoir le bien-être animal. Ces cinq dernières années, elle a sauvé 210 000 animaux dans ses 63 refuges et maisons, dont le refuge de l’Espérance, à Cholet. Comme Gyps (en photo, lire description p. 14), de nombreux animaux attendent un foyer qui les accueillera, de façon responsable.
Synergences hebdo : Comment vous est venu votre engagement pour les animaux ?
Mathieu Beddiaf : J’ai toujours aimé les animaux. C’est une cause qui me tient à cœur. Avant, j’étais responsable de refuge d’une petite association indépendante, en Martinique. Je m’étais d’abord investi bénévolement puis je me suis lancé en tant que salarié dans le cadre d’une reconversion professionnelle, mon métier d’origine étant responsable qualité. J’y ai vu l’opportunité de faire plus pour les animaux, tout en trouvant ma voie. Les animaux recueillis n’ont pas for cément un passé facile, notamment en Martinique, où il y a beaucoup de maltraitance, d’animaux en divagation et en souffrance.
S. h. : Pouvez-vous nous présenter le refuge de l’Espérance ?
M. B. : L’association nationale SPA nous alloue, comme aux autres refuges, un budget annuel. Nous sommes intégralement financés par la générosité des donateurs. Pour ce qui est du fonctionnement, je suis accompagné d’une équipe composée de six agents animaliers. Nous pouvons compter aussi sur de nombreux bénévoles. Une soixantaine est à nos côtés cette année. Nous avons un noyau, qui vient régulièrement, ou certains, juste quelques heures. Chacun s’investit comme il le souhaite. Tous les ans, nous en recrutons de nouveaux. Il est d’ailleurs possible d’en faire partie en 2023 en proposant son aide, à partir du 1 er janvier prochain. Nous accueillons également des jeunes, âgés de 11 à 17 ans, qui viennent faire des promenades avec les chiens, via le club jeunes. Nous recevons beaucoup de demandes de leur part, ce qui est une bonne chose, car cela signifie que cette génération est sensible à la cause. Malheureusement, nous ne pouvons pas répondre favorablement à tous, car la présence de ces jeunes s’accompagne forcément de bénévoles encadrants.
S. h. : À quelles problématiques êtes-vous confrontés actuellement ?
M. B. : Nous accueillons malheureusement un grand nombre de chiens qui ont été adoptés pendant le confinement. Il y a notamment des malinois, une race qui a besoin de beaucoup d’exercice mental et physique et qui fait maintenant l’objet d’abandons. Il y a aussi les
couples qui se séparent et ne gardent pas leur animal. Et puis certaines personnes, en proie à des problèmes financiers, ne peuvent plus s’occuper de leur compagnon.
Il y a également les animaux qui nous arrivent, en lien avec l’avancée en âge de leurs propriétaires, qui ne sont plus capables de s’en occuper, ou qui quittent leur domicile pour entrer en Ehpad. Et puis, il y a les cas de décès des maîtres aussi.
Nous accueillons des animaux toute l’année, mais il y a toujours un pic au moment de la saison estivale. Les départs en vacances restent, de nos jours, une cause d’abandon.
S. h. : Quel message souhaitez-vous faire passer à ceux qui projettent d’accueillir un animal ?
M. B. : L’abandon est toujours un traumatisme pour un animal. Quand on décide d’en accueillir un dans son foyer, il faut réfléchir avant aux responsabilités que cela engendre, en termes de temps, de budget, de mode de vie. J’invite aussi à avoir déjà une solution pour les vacances. L’abandon n’en est pas une.
S. h. : En quoi consistent les adoptions SOS ?
M. B. : Il s’agit d’animaux présentant une pathologie ou un âge avancé, à la recherche d’une retraite dans le confort d’un foyer. Il y a aussi certains animaux pouvant être placés en famille d’accueil définitive. Les frais liés à la pathologie sont alors pris en charge par la SPA. Faire ce choix peut constituer de très beaux sauvetages.
Le refuge de l’Espérance, situé à la Bonnauderie, à Cholet, est l’unique structure SPA du département. Il a ac cueilli 483 animaux en 2021, soit une hausse de 10 % par rapport à 2020. Un chiffre qui ne devrait malheureusement pas baisser quand viendra l’heure des calculs, une fois l’année 2022 achevée.
En tout temps et en toutes saisons, les salariés, épaulés de nombreux bénévoles, agissent au quotidien pour remplir les missions de la SPA : - recueillir les animaux de compagnie abandonnés et/ou maltraités, - les soigner, - les faire adopter et leur donner une seconde chance, - sensibiliser l’ensemble de la population aux droits et devoirs envers les animaux, - lutter contre toute forme de maltraitance, y compris l’abandon et le trafic, - éduquer les générations de demain, avec pédagogie, au respect de l’animal.
Le refuge de l’Espérance peut accueillir une quarantaine de chiens. Ils sont répartis dans trois bâtiments de 12 boxs, auxquels s’ajoutent deux autres boxs à l’accueil, réservés aux portées de chiots ou aux animaux blessés, bénéficiant alors d’une surveillance constante. « En principe, chaque box accueille un animal, mais s’il s’agit de chiens de petite taille, ils peuvent être deux » précise Mathieu Beddiaf, responsable du refuge choletais.
Laïko, mâle de sept ans plein de vie, cherche maîtres fermes et patients. Il aura besoin d’une activité régulière pour se dépenser.
À cela s’ajoutent huit parcs de détente qui permettent aux chiens de sortir tous, par roulement. « De cette façon, ils en profitent chacun leur tour. En fonction des groupes qui s’entendent bien, on peut, là aussi, les mettre ensemble. »
Concernant les chats, la capacité d’accueil est de 120 animaux, qui trouvent leur confort dans les six chatteries collectives que compte le refuge choletais. « Avant de les mêler aux autres, ils sont mis en quarantaine, le temps de les tester au FIV (sida du chat), les vacciner
Thal, gentille femelle de huit mois, dernière de sa fratrie à attendre une famille. S’entend avec les chats et les chiens (jeunes enfants à éviter).
et les stériliser. »
Chaque chatterie dispose de sa cour extérieure. « Lorsque nous sommes en saison des naissances, nous avons en plus une à deux pièces réservées aux chatons » explique le responsable.
Le refuge de l’Espérance peut également accueillir des NAC, autrement dit, nouveaux animaux de compagnie. Lapins, furets, rats, cochons d’Inde ou chinchillas disposent d’une pièce dédiée.
Vara, grand lapin mâle stérilisé (âge ignoré) qui s’entend bien avec ses congénères et a besoin de se dépenser à son aise.
Le refuge de l’Espérance dispose de parcs dans lesquels les chiens viennent se dépenser tous les jours. Les chats disposent également d’un accès à l’extérieur, via leur chatterie.
Adopter est un acte sérieux et une démarche qui se doit responsable. C’est un engagement financier et personnel afin d’offrir bien-être et santé à son compagnon à quatre pattes. En tant qu’être vivant, chaque animal, quelle que soit son espèce, mérite du temps, de l’attention et de l’amour ! L’adoption responsable, celle qui dure toute la vie, est donc le plus beau cadeau à offrir à un animal de refuge qui, ayant déjà connu l’abandon, sera éternellement reconnaissant à sa nouvelle famille.
Avant d’adopter, assurez-vous de prendre en compte tous les aspects que cela implique pour éviter de prendre une mauvaise décision. Rappelez-vous qu’un animal a un coût jusqu’à la fin de sa vie : vétérinaire, nourriture, vacances… Ces obligations vous engagent sur plusieurs années, c’est pourquoi il est important de ne pas les oublier et de ne pas les minimiser. Adopter est donc une décision qui prend du temps et un acte réfléchi. L’adoption responsable fera le bonheur de votre animal et aussi… le vôtre !
Par l’adoption responsable, la SPA veille à ce que cet engagement soit mûrement réfléchi pour éviter un nouvel abandon et un retour au refuge quelques semaines après l’adoption. « Nous étudions le profil de l’adoptant, afin de déterminer quel animal lui correspondra le mieux. » En effet, pour aboutir à une adoption réussie, le refuge de l’Espérance fait remplir un questionnaire qui permettra d’en savoir plus sur le mode de vie du potentiel adoptant : compo -
sition du foyer, horaires de travail, vie en maison ou en appartement, présence d’un autre animal, pratique d’un sport envisagée avec l’animal, etc. « De plus, les primo adoptants doivent fournir un certificat d’engagement, qui rappelle tous les soins dont le chien ou le chat doit faire l’objet, les dépenses que cela peut engendrer, etc., ou un certificat sur l’honneur si l’adoptant a déjà eu un animal. Puis une semaine de réflexion est imposée. »
« En moyenne, les animaux restent deux mois en refuge. Mais certains sont là depuis beaucoup plus longtemps, souligne Mathieu Beddiaf. À chaque adoption, ce sont deux animaux qui sont sauvés : celui qui est adopté et celui qui prend sa place. »
En effet, lorsque vous adoptez, vous permettez non seulement à un animal de rejoindre un foyer aimant, mais aussi de libérer une place en refuge pour un autre animal qui attend une seconde chance.
Pour toute adoption à la SPA, une participation financière est demandée. Elle permet de couvrir les frais vétérinaires qui ont été administrés à l’animal lors de sa prise en charge (stérilisation, identification, vaccination, soins, etc.). Le montant de la participation dépend de l’espèce, de l’âge et de la situation de l’animal lors de l’adoption.
Comptez : - 250 € pour un chien, - 300 € pour un chiot de moins de 6 mois, - 150 € pour un chat ou un chaton.
La participation est libre pour le NAC (hamster, rat, lapin, furet, etc.) et les animaux en adoption SOS.
Pendant cette période de fêtes, certains sont tentés d’offrir un animal en guise de cadeau. Une mise en garde s’impose contre ces achats compulsifs : les animaux ainsi acquis se retrouvent souvent abandonnés quelques mois plus tard. Alors même si la tentation est grande, l’accueil d’un compagnon est une décision trop importante pour être prise à la légère. Il s’agit d’un engagement qui représente une lourde responsabilité, sur le long terme, et qui ne vient pas sans inconvénients. Il est donc essentiel que le futur propriétaire prenne le temps de la réflexion et fasse lui-même la démarche de choisir l’animal qui correspondra à ses attentes et à son mode de vie. La rencontre avec son animal est aussi une étape indispensable qui va conditionner l’harmonie et l’équilibre familial au cours des années à venir. Enfin, si le cadeau est destiné à votre enfant, soyez conscient que vous en serez les véritables responsables.
Un animal n’est pas un cadeau de Noël
Prem’s : braque de Weimar de huit mois, plein de qualités, qui a pourtant déjà connu plusieurs foyers. Prem’s est un phénomène : sportif accompli, il est génétiquement programmé pour de la dépense physique à laquelle il faudra impérativement répondre. Il recherche une famille assez présente, car il supporte mal la solitude.
Athéna : femelle de deux ans dont l’éduca tion reste à faire, notamment l’apprentissage de la marche en laisse. Elle est timide au premier abord mais une fois la confiance installée, c’est une chienne adorable. Une famille avec enfants en bas âge est à éviter car peu délicate dans ses mouvements, elle pourrait les faire tomber.
Gyps : berger allemand de quatre ans, arrivé au refuge suite à une enquête pour négligence. C’est un grand chien puissant mais bien dans ses pattes. Joueur, il fera le bonheur d’une famille, où il sera le seul animal (incompatible chiens et chats).
Doly (à g.) et Casimir : mâles d’environ dix ans confiés au refuge suite au décès de leur maître, en 2019 et ils sont toujours là… L’équipe du refuge souhaite, idéalement, que le duo reparte ensemble pour une nouvelle vie dans une famille chaleureuse. Casimir, avec ses problèmes de surdité, se repère grâce à son compagnon Doly. De plus, depuis quelque temps, il souffre d’hyperthyroïdie et est sous traitement. Ils sont proposés en adoption SOS en famille d’accueil définitive (la SPA prend en charge une partie de l’alimentation et des frais vétérinaires).
Fara : femelle de sept ans, toute douce et délicate, qui arrive de fourrière. Porteuse du FIV, elle est en adoption SOS.
Théa : femelle de deux ans, arrive d’une fourrière. Très gentille, elle est en demande d’affection.
Infos :
Refuge de l’Espérance - Route de Toutlemonde La Bonnauderie à Cholet - Tél. : 02 41 71 99 99 Horaires : ouvert du lundi au dimanche, de 14 h à 17 h (fermé le vendredi)
Avant toute chose, sachez que votre animal sera très heureux de partir avec vous en vacances et de bénéficier d’un bol d’air à vos côtés ! Dans vos recherches de locations saisonnières, parmi les critères « avec vue », « avec piscine » ou « avec Wifi », vous pouvez sélectionner « animal accepté ». Mais si vous ne pouvez pas l’emmener, de nombreuses solutions existent pour le faire garder.
> Chez un proche : certainement l’idée à laquelle on pense immédiatement. Il s’agit d’une excellente solution, d’autant plus si votre animal connaît la personne en question. Mais vous pouvez élargir votre cercle à toutes les personnes en qui vous avez confiance.
> Chez un particulier : cet échange de bons procédés s’étend à des personnes volontaires que vous ne connaissez pas mais qui partagent votre amour des animaux. Tout comme vous, elles ne savent pas à qui confier leur animal et souhaitent limiter leurs frais. La mise en relation est possible grâce à des sites web spécialisés.
> Par une aide à domicile : ce service est généralement assuré par des personnes qui résident chez vous durant votre absence. Elles s’occupent ainsi de nourrir votre animal et de le promener autant de fois que nécessaire. La mise en relation est garantie par des sites qui vérifient la fiabilité des gardiens. Bien qu’ils soient gardés par des inconnus, les animaux restent dans leur maison en bonne compagnie et ne perdent pas leurs repères.
> Par un pet-sitter : il s’agit d’une personne rémunérée pour se rendre à votre domicile afin de nourrir, câliner et promener votre animal aux heures et à la fréquence souhaitées. En revanche, ce mode de garde est plutôt à réserver à des week-ends ou vacances courtes, car la solitude peut rapidement se faire ressentir. Certains pet-sitters proposent d’accueillir votre animal à leur domicile. Une rencontre et une visite préalable sont évidemment nécessaires et une séance d’essai est conseillée.
> En pension : les pensions sont gérées par des professionnels de la gestion des animaux. Pour choisir celle qui vous conviendra, à vous et à votre animal, vous pouvez en contacter plusieurs et vous rendre sur place pour vérifier la propreté, la taille des boxs et des lieux de vie, la température, la sécurité des locaux et le nombre de personnes y travaillant. Il est important de noter que la pension doit posséder un agrément de la préfecture pour exercer (à vérifier auprès de la Direction départementale de la protection des populations de votre département). Il sera demandé que votre animal soit à jour de ses vaccins et de ses traitements antiparasitaires et vermifuge. Pensez à demander un contrat correspondant à la durée de garde de votre animal : chaque prestation fournie doit y figurer.
Si certains savourent des vacances imposées par leur pays en raison de la coupe du monde de football et vivent l’effervescence de cette compétition fédératrice, d’autres Qatariens ont choisi de mettre à profit ce temps de repos forcé pour… travailler ! Depuis mi-novembre et jusqu’à ce samedi 17 décembre, l’équipe nationale jeunes de tennis de table de l’état du Golfe persique, accompagnée par deux coachs, a pris ses quartiers au Centre de ressources, d’expertise et de performance
sportive (Creps) de Nantes. Âgés de 9 à 14 ans, les quatre pongistes (une fille et trois garçons) sillonnent également les salles des Pays de la Loire, pour affronter, en toute amitié, d’autres joueurs de leur catégorie. « Nous avons rencontré plein de gens très sympas, tout le monde nous aide, c’est une chance de faire ce premier camp d’entraînement en France » explique Khalid El Kuwary, l’un des coachs. À plusieurs reprises, ils ont fait étape à la Stella. Mais comment donc en sont-ils arrivés là ?
Lancée l’an dernier, la régate de Noël de l’Association des régates choletaises (Arc) est programmée ce samedi 17 décembre, à 13 h. Cette sortie sur le lac de Ribou s’appellera désormais la balade du gaucher contrariant. « C’est un hommage, en accord avec sa famille, à Marcel Herpson, notre trésorier, décédé cette année, précise Bernard Delafosse, formateur. C’était quelqu’un qui aimait la perfection. On l’appelait le gaucher contrariant parce qu’il aimait bien inverser certains équipements sur les bateaux pour les monter à gauche, pour plaisanter. »
Le souvenir de cet ancien trésorier facétieux devrait apporter de la convivialité dans cette randonnée nautique à laquelle chaque adhérent peut inviter un ami extérieur au club. Attention, la combinaison mais aussi les gants, le bonnet et les chaussons, sont obligatoires. Une pause vin chaud
est prévue sur le parcours. Puis, à 17 h, un buffet clôturera cet après-midi en présence du père Noël. Il est demandé à chacun d’apporter un cadeau (pas plus de 5 €), pour rendre ce Noël de l’Arc encore plus convivial.
Avant ce mercredi 14 décembre
Tél. : 06 07 96 82 30
Tél. : 06 87 10 23 87
Tout simplement grâce au nouveau directeur technique et entraîneur national du Qatar. Son nom ? Julien Girard.
Les amateurs de ping de la région se souviennent de cet ancien co-entraîneur de La Romagne, passé ensuite par Villeneuve-surLot en Pro A, puis missionné par la Fédération internationale de tennis de table dans différents pays en voie de développement, pour promouvoir son sport. « J’y organisais des formations d’entraîneurs, des stages, je rencontrais les autorités, etc. Le Qatar, qui suivait mon parcours, m’a appelé en début d’année pour rejoindre l’équipe dirigeante » expliquet-il. Pas seulement pour quelques jours ou semaines cette fois-ci, mais pour plusieurs mois, voire plusieurs années, emmenant femme et enfants. « C’est une belle expérience qui va ouvrir l’esprit de mes filles de 10 et 7 ans et va m’apporter professionnellement. Je suis chargé de la détection et de la formation des jeunes de moins de 15 ans, pour qui je suis sélectionneur national, avant qu’ils ne partent vers l’académie Aspire quand ils sont plus âgés. Je dois aussi développer l’accès au sport des jeunes filles. » Ici ou ailleurs, ce révélateur de talents ne fait que poursuivre son chemin.
Au basket, les catégories baby, mini-poussins et poussins sont regroupées au sein de l’école de basket, qui concerne les enfants âgés de 5 à 11 ans, autrement dit les U7, U9 et U11 (U pour under). À Cholet basket, elle réunit, cette saison, 120 enfants.
Les écoles de basket peuvent prétendre au label Minibasket décerné par la Fédération, à condition de promouvoir la discipline auprès des plus jeunes. « Nous intervenons dans
certaines écoles de Cholet et du PuySaint-Bonnet et nous participons à l’opération Kinderday imaginée par la Fédération, qui est une journée découverte, où chaque enfant peut inviter un copain , explique Alex Chalopin, entraîneur responsable de l’école de basket. Toutes ces actions permettent d’obtenir le label bronze, d’abord. Sur les trois prochaines années, nous nous préparons à remplir tous les critères pour aller vers le label or » révèle-t-il.
#632 / du 14 au 20 décembre 2022
Quatre jeunes pongistes et deux coachs sont dans l’Hexagone jusqu’à ce samedi 17 décembre, avec leur manager français, Julien Girard, ancien entraîneur du club romagnon.
à la StellaMarcel Herpson L’association Cholet basket a officiellement reçu le label bronze, pour trois ans. ARC Cholet basket
Les crèches des églises du territoire sont souvent l’affaire de passionnés, souhaitant maintenir la tradition. En voici trois exemples, différents par la taille, communs par la passion.
Certaines sont plus imposantes que d’autres, qui n’ont pas bénéficié des mêmes moyens humains et matériels pour leur édification. Cela ne les empêche nullement, à chaque Noël, d’émerveiller petits et grands par le décor qu’elles représentent, le scintillement de leurs guirlandes ou leurs jeux d’éclairage. Les crèches de Noël nous renvoient irrémédiablement à notre enfance, à cet interminable avent jusqu’au 25 décembre au matin, quand les cadeaux sont enfin au pied du sapin.
« Tous les ans, nous essayons de nous renouveler » À Saint-Christophe-du-Bois, la réalisation de la crèche est affaire de générations. « Il y avait déjà une petite crèche dans un coin de l’église quand j’étais enfant de chœur » se souvient Yannick Biteau, l’un des bénévoles contribuant aujourd’hui, avec Dominique Manceau, à prolonger la tradition qui voulait également que la guirlande électrique soit celle du char qui défilait à la Mi-carême. Déjà à l’époque, il n’était pas seul. Désormais, ils sont une vingtaine – « une bande de copains » – à se relayer durant trois jours pour effectuer le montage. S’étalant sur environ 40 m², c’est l’esprit traditionnel qui prévaut dans la représentation de la nativité par les bénévoles christophoriens.
« Tous les ans, nous essayons de nous renouveler. Les gens l’apprécient. Nous faisons en sorte que les enfants puissent entrer dans le décor. »
La crèche de Saint-Christophe-du-Bois reste
en place jusqu’à la fin janvier. D’ici là, les rois mages auront rejoint l’étable.
Des personnages de belle taille
Au fur et à mesure que l’on s’en approche, une fois franchi le seuil de l’église de Trémentines, on croit la crèche sculptée dans la roche, tant le papier qui la décore entièrement a été adroitement froissé. « On a de plus en plus de mal à en trouver du bon » reconnaît Sylviane Meignan qui, avec Sylvie Guilleau, sont un peu les maîtres d’œuvre de la réalisation de la crèche trémentinaise, depuis au moins une dizaine d’années.
Installée derrière l’autel, au pied du retable de la Vierge Marie, mis en valeur cette année par un éclairage particulier, la crèche de l’église compte une vingtaine de personnages, de belle taille, qui servent sans aucun doute depuis plusieurs décennies. Le chameau d’un des rois mages, tout comme l’âne et le bœuf présents dans l’étable, sont d’ailleurs recouverts de peluche, ce qui ne se fait plus depuis bien longtemps. « Je suis de Trémentines et j’ai toujours vu une crèche dans l’église » abonde Sylviane Meignan, qui souhaite susciter des vocations pour que de nouvelles générations rejoignent l’équipe et perpétue, ainsi, la tradition.
Un décor très
À La Séguinière, on peut passer sur le Vieux pont !
autour de Georges Rochais. « Elle était réalisée en haut de l’église du temps de l’abbé Chauveau » se souvient-il.
La crèche de l’église Notre-Dame-de-l’Assomption s’attache à reproduire l’histoire de la nativité, dans un environnement très ziniérais. Nombreuses sont, en effet, les reproductions de sites de la commune, auxquelles vient s’ajouter, cette année, la baillie de la Marche. Sans oublier le Vieux pont, évidemment, qui peut supporter le poids de plusieurs personnes. Il faut dire qu’avec des dimensions de 25 m de long par 5 m de haut, il y a de la place pour toutes ces réalisations !
Véritable entreprise de construction, la crèche de La Séguinière réunit une vingtaine de bénévoles, avec certains corps de métier bien identifiés, chaque année début novembre,
Cette année, la joyeuse bande a accueilli un petit nouveau, Jacques Brin, un électricien de plus, qui ne fut pas de trop pour passer les mètres supplémentaires de câbles nécessaires à mettre tout le décor en mouvement. Car, dans la crèche de La Séguinière, l’eau s’écoule en cascades, les santons de Provence se promènent, la roue des moulins tourne… Bastien et Robin, deux jeunes garçons, ont également joué les manœuvres, tandis qu’Annita Vigneron, connue à La Séguinière pour ses cours d’art floral, est venue apporter quelques touches végétales authentiques dans cet univers de mousses et de branches. Imposants, les rois mages possèdent chacun leur monture : un cheval, un chameau et un éléphant. S’ils figurent déjà dans le décor, à l’écart, Gaspard, Melchior et Balthazar se rapprocheront de l’étable, une fois l’Épiphanie venue.
Infos :
> à Saint-Christophe-du-Bois, ouverture tous les jours jusqu’à 19 h
> à Trémentines, ouverture le samedi 10 décembre, de 10 h à 12 h, les mercredis 14, 21 décembre et 11 janvier, de 10 h à 12 h, le mercredi 28 décembre, de 15 h à 16 h 30 et le samedi 7 janvier, de 14 h 30 à 16 h. Visites guidées possibles sur réservation au 06 81 77 09 79
> à La Séguinière, ouverture tous les jours de 8 h à 19 h, jusqu’à fin janvier. Visites guidées possibles, sur réservation au 07 83 46 10 47
L’association La culture vous veut du bien termine l’année en beauté, en proposant deux événements exceptionnels. Le premier, se tenant ce vendredi 16 décembre, à 20 h 30, en l’église de Toutlemonde, est un concert des Ségui’Singers, chorale de La Séguinière. Composé de 50 choristes, cet ensemble vocal vient célébrer ses 15 ans de chansons, de convivialité et de partage.
Le second rendez-vous est donné ce samedi 17 décembre, à 16 h, à la salle paroissiale. La chanteuse professionnelle Marjorie Lantz vient jouer son spectacle ciné concert en live, consacré à l’univers de Disney. Il sera suivi d’un goûter.
Apprendre à danser avec plaisir, être bien dans son corps, progresser, le tout dans une ambiance conviviale, sont les valeurs qui constituent l’essence d’En k’danse. Créée en 2005, avec 32 élèves à ses débuts, l’association connaît un succès grandissant et jamais démenti depuis. Elle compte aujourd’hui 165 adhérents. « Nous accueillons nos élèves de l’éveil (à partir de 4 ans) jusqu’à l’adulte, par âge et par niveau, dans des cours dont l’effectif se situe de 11 à 15 élèves » détaillent M arie Humeau et Magalie Jouet, coprésidentes.
Forte de sa progression, l‘association multiplie les temps forts : stages de perfectionnement, stages de découverte vers d’autres univers de danse, ateliers chorégraphiques et différentes manifestations locales. « Cependant, le point d’orgue de
chaque saison, c’est le gala de danse qui ravit petits et grands, par la qualité de ses chorégraphies et de ses costumes » poursuivent les coprésidentes.
Les cours ont lieu à l’espace Jeanne d’Arc et sont dispensés par É lise Duflos-Frichot. « Formée au Studio de la danse et au Pont supérieur de Nantes, notre professeure a obtenu son diplôme d’état de danse jazz en 2014. Au cours de sa formation, elle a pu travailler avec de grands noms de la danse et de la pédagogie jazz et a travaillé différentes techniques. La confiance en soi, l’écoute et le respect de chacun sont au cœur de son enseignement. Le développement artistique de chaque élève a une place primordiale dans ses cours ainsi que le développement technique
L’Orchestre d’harmonie de Maulévrier présente son traditionnel concert de Noël, ce dimanche 18 décembre, à 15 h, à la salle des fêtes. Au programme, des pièces musicales aux univers et inspirations variés : les Blues brothers, Léonard de Vinci, Disney ou encore le Brésil ne sont qu’une partie du voyage que les musiciens feront partager, sous la direction de Sophie Grimault. « Nous débuterons notre concert en fanfare avec une œuvre de Franco Cesarini. Ensuite, nous inviterons le public à la découverte festive et chaleureuse de
la Sardaigne avec Kimbe. Puis, la pièce maîtresse du concert, Leonardo , nous fera remonter le temps et partager l’intimité de Léonard de Vinci. La suite du programme sera tout aussi riche en rythme, couleurs, émotions diverses et variées » invite la directrice musicale, au nom de tous les musiciens.
Réservation : www.harmoniemaulevrier.com Tarifs : 8 € plein, 5 € réduit, gratuit moins de 10 ans
En k’danse propose différents cours, pour enfants et adultes.
qu’elle considère comme pilier d’un bon apprentissage » apprécient les coprésidentes.
Les inscriptions sont possibles tout au long de l’année, dans la limite des places disponibles, après un cours d’essai gratuit. Par ailleurs, l’association propose la location de ses costumes réalisés par les bénévoles, afin d’agrémenter divers événements.
Infos :
M agalie Jouet au 06 79 60 78 85 Marie Humeau au 06 75 31 65 03 enkdanse49122@gmail.com http://enkdanse.free.fr
Location de costumes : Corinne Oger Tél. : 06 11 72 26 89
Le dimanche 13 novembre dernier, les commémorations du 11-Novembre étaient l’occasion de se souvenir que l’association des Anciens Combattants (AC) coronaise était née 100 ans auparavant. C’est par la voix de Jean-Pierre Vincent, président des Anciens combattants, que cet anniversaire était conté.
« Notre section a été fondée en 1922 par les survivants de la guerre 14-18. Quarante-huit jeunes de Coron sont morts aux combats lors de cette guerre. » Leurs noms sont gravés sur le monument aux Morts du cimetière et sur une plaque de marbre dans l’église « 48 hommes jeunes. Aujourd’hui, ce serait l’équivalent de quatre équipes de football qui disparaîtraient » compare Jean-Pierre Vincent lorsqu’il intervient dans les écoles.
« Après la libération de la guerre 39-45,
le 8 mai 1945, les AC de 39-45, les prisonniers de guerre et ceux du Service de travail obligatoire ont rejoint le groupe des AC de 14-18. Les Anciens d’Algérie 1954-1962 n’ont été reconnus AC que 10 ans plus tard. » La section des Anciens combattants de Coron comprend trois groupes : les Anciens combattants d’Algérie et d’Afrique du Nord et leurs conjointes, les veuves d’Anciens combattants, ainsi que les Soldats de France et sympathisants et leurs conjointes. « Depuis sa création,
beaucoup de nos camarades nous ont quittés et notre nombre diminue chaque année : 15 anciens combattants actuellement à Coron. Nous sommes une catégorie en voie de disparition, mais cela veut dire aussi que nous n’avons pas eu de guerre depuis 60 ans ! Malgré tout, il y aura, toujours des Anciens combattants parmi les militaires, les gendarmes et autres serviteurs de l’État. C’est pour cette raison que le groupe des Soldats de France et sympathisants va assurer la
relève afin de perpétuer le souvenir de nos ancêtres qui ont passé une bonne partie de leur jeunesse au service de la France. »
Et Jean-Pierre Vincent de conclure, s’adressant à toutes les générations : « Devenons des soldats de paix grâce à une arme extraordinaire : la mémoire. C’est un devoir envers tous ceux qui nous ont précédés aux combats et ceux qui servent actuellement la France. La paix, si fragile, doit être la priorité dans notre vie de chaque jour »
battements
-
Caen - Grecque - Deux du Nord ou dans le noir - Courte période – 11. D’usage courant - Posséda - Voile d’avantDisque compact – 12. Rayure - Fin d’infarctus - Sinécure – 13. BernésVoisin de la dorade - Centre d’accueilParfum inconnu de l’argent –14. Conserves - Variété de cerise (en 3 mots) – 15. Début de rififi - Déchet organique - Les États-Unis - A fini par subir les attaques du taon - À offrir, une fois remises en ordre – 16. Comme un film projeté sur la toile (3 mots) - LarcinsRude et insensible – 17. L’avoir, c’est être dur et impitoyable (un) (3 mots)Unité de résistance électrique –18. Supérieure d’un couvent - Bout de bois - Marchepied – 19. TronquentParoi musclée – 20. Affichent leur bonne humeur - É normément de peine (3 mots)
Note - Arrose Strasbourg - Possessif – 7. On a celui de ses artères - Prêt – 8. Dépassé, périmé - Casque médiéval – 9. Induit au renouveau - Le point essentiel (4 mots) – 10. Nationale - Le cœur de
gros coucous –
A. Tracé de phénomènes électriques actifs – B. Tache opaque - CondimentÉ crivain italien – C. Conçut les premiers frigos - Porteur génétique - Attend la vis pour être fixé – D. Dans une pièce cornélienne (5 mots) – E. É prouvais de
l’angoisse (4 mots) - Termine marri –F. Débute va-nu-pieds finit diva - Au centre de l’œil - Récipient - Règle à dessin – G. Syndicat - Roi rouge - À demi enrobé - Préposition – H. AttacheraConspuer en s’élevant - L’actiniumPronom relatif – I. S’exprime en toute confiance (5 mots) – J. Drame nipponPistolet mitrailleur - Paire - UsagesFabuliste grec – K. Suit le crime chez Dostoïevski (2 mots) - Donc apprisUn coureur qui manquerait d’ « r » ou sortie de sommeil la tête en bas –L. Outil de jardinage - Passionnée - Tête d’écho – M. Adulte en devenir - Pour les urgences, au Nevada – N. É crivain d’origine sénégalaise - Un reliquat en vrac ou une distance russe décapitée –O. Résidu de son féminin (2 mots) - Non blanchi – P. Condamnés à NurembergCongé d’un voisin - Musique de chambre – Q. Vieux do - Collaborateur d’écrivain - Vaccin – R. Financier français (prénom et nom) – S. É preuves motos tout-terrain - Cercle lumineux –T. Commence et finit tôt - Venus au monde, mais mal - É motionnées
Mots croisés : Coups de cœur par Joco L. C.
Photoreporter, Gilles Bassignac s’est promené au sein du Parc oriental pendant une année entière. De ce besoin de retour à la nature est né un livre. Son ouvrage, Parc oriental de Maulévrier : une parenthèse enchantée , est donc le fruit d’une cinquantaine de visites à travers les 15 hectares, avec le soutien et la bienveillance des équipes. Ses prises de vues y montrent l’essence même du jardin japonais, la beauté de ses paysages changeants, l’évolution au travers des saisons et la nature sublimée par le travail des jardiniers. « Lors de mon séjour au Parc oriental, j’ai rencontré la nature en majesté mais aussi les hommes qui la servent avec une infinie patience. Regarder les jardiniers tailler aux ciseaux les pins et les ifs dorés ou retirer une à une les chenilles de pyrale
qui colonisent les buis est une leçon que je n’oublierai jamais » explique l’auteur. L’ouvrage est accompagné de calligraphies originales des quatre saisons par Maaya Wakasugi, artiste calligraphe japonais.
Infos : Disponible en librairie Tarif : 35 €
La répétition publique de cette pièce, dont le thème est une personne sans-abri, est ouverte à tous, à partir de 9 ans.
Le Théâtre régional des Pays de la Loire (TRPL) accueille en résidence la compagnie L’atelier des fictions. Une répétition publique est proposée le jeudi 22 décembre, à 16 h. La troupe y présentera son travail autour de son prochain spectacle Là, quelqu’un , d’Eddy Pallaro. Un conte initiatique, où il est question de dépassement de soi et des préjugés. Un frère et sa petite sœur sont à l’intérieur d’un grand magasin. Pendant que leur mère tarde à finir ses
courses, ils regardent de l’autre côté d’une vitre, dehors. Là, quelqu’un est blotti dans un sac de couchage, les yeux clos, emmailloté de la tête jusqu’aux pieds. Le garçon et la petite fille font de nombreuses hypothèses sur la vie de cette personne et sur ce qui a pu la mener ici. La petite fille décide de sortir à sa rencontre malgré l’interdiction de son frère. La répétition publique, se tenant au théâtre Interlude, sera suivie d’une discussion avec l’équipe artistique. L’entrée est libre et sans réservation.
Un objet attire notre attention dans un coin du musée d’Art et d’Histoire. Découvrons-le.
Ce sucrier d’une vingtaine de centimètres de hauteur en forme de balustre est fait de bronze argenté. Exposé dans la galerie d’Histoire du musée, cet objet offre l’occasion de retracer l’histoire du sucre, resté pendant longtemps une denrée de luxe.
Avant l’importation de cet ingrédient en Europe à la Renaissance, on sucre ses plats avec du miel. Arrivé d’Asie par le biais du commerce avec les pays musulmans, le sucre se fait plus présent dans les préparations culinaires à partir du XVe siècle, mais il reste réservé aux tables des grands seigneurs. Bien
que son existence soit connue de tous, il demeure pendant longtemps une denrée chère.
Avec le développement du commerce transatlantique au XVIII e siècle, le goût des Européens pour le sucre devient très important.
Présent sur la table aux côtés du sel et des épices, chaque convive peut ainsi sucrer ce qu’il souhaite : fruits, viandes, légumes, desserts… Pour cela, on utilise des saupoudroirs.
Le caractère raffiné de ces objets témoigne de la préciosité du sucre. L’esthétique des premiers sucriers (ou saupoudroirs) est conditionnée par l’utilisation du sucre en poudre. Ils sont cylindriques, de grande taille (la hauteur varie de 17 à 24 cm) et munis d’un couvercle ajouré
en forme de dôme. Vers 1700, leur silhouette s’affine et prend une forme de balustre répandue dans toute l’Europe. Ils sont ornés de beaux décors de godrons, de lambrequins et de profils à l’antique. Ces sucriers en forme de balustre ont servi pendant les XVII e et XVIII e siècles. Ils peuvent être en étain, en argent, en faïence et en porcelaine. Le sucrier saupoudreur disparaît autour de 1750. Il est remplacé par des petites terrines appelées pots à sucre, de forme ronde ou ovale, surmontées d’un couvercle indépendant. On y prélève le sucre à l’aide d’une cuillère, parfois percée de trous.
Les musées de Cholet
En partenariat avec la Commune, le comité des fêtes organise à nouveau le marché de Noël, qui se déroulera sur la place de la République, ce dimanche 18 décembre, de 10 h à 18 h. 24 exposants seront réunis pour ravir les papilles des visiteurs et leur permettre de clôturer leurs achats de Noël grâce aux créations locales exposées : maroquinerie, bijoux, produits de beauté, peintures… La Commune et le centre communal d’action sociale offriront aux enfants
une attraction gratuite : la Maison du rire. Le père Noël sera également de passage ce dimanche au May-surÈvre. Petits et grands pourront être photographiés avec lui par le club photo, entre 10 h et 13 h.
Pour ceux qui ont réservé leurs places, la fête se poursuivra à l’espace culturel LS Senghor, pour le spectacle B&B chorale du collectif Jamais trop d’Art où, à 18 h, le père Noël offrira goûters et friandises aux enfants et un vin chaud aux parents.
Le marché dominical de Saint-Légersous-Cholet prendra des airs de fêtes, ce dimanche 18 décembre, de 9 h à 12 h, place du 15-Décembre-1963. Les commerçants habituels recevront le renfort d’un animateur, Gérard Brousseau, bénévole bien connu des Saint-Légeois, qui animera cette matinée. Il disposera d’une enveloppe
de 350 € de bons d’achat offerts par les commerçants du marché, à gagner via un quiz. Les enfants trouveront un sculpteur de ballons et pourront rencontrer le père Noël. Vers 12 h, la Municipalité offrira le verre de l’amitié à tous les Saint-Légeois présents.
Noël à Cholet Mer. 14 déc.
Animations
• Sculpture de ballons De 15 h 30 à 19 h, place Travot
• Démonstration de hockey sur glace par le Hockey club choletais (participation possible pour les enfants de moins de 12 ans) À 16 h, patinoire de la place Travot Sam. 17 déc.
Animations
• Maquillage pour enfants De 14 h 30 à 17 h 30, place Travot
• Parade du père Noêl avec son char (réalisé par les carnavaliers de Cholet) et les spectacles en déambulation FierS à Cheval de la Cie des Quidams et Les jouets de la Cie Remue-Ménage Départ à 18 h, place Travot
Spectacles
• La boîte à musique de Noël , des élèves de la classe de percussions du conservatoire du Choletais À 10 h 30, Arcades Rougé
• Fanfare Val’Music À 15 h 30 et 17 h, Arcades Rougé
• Crèche vivante À 19 h, place Rougé
Dim. 18 déc.
Animation
• L’Envolée Fantastique (échasses) par la Cie Famille pénichilline À 15 h 45 et 17 h 15, Arcades Rougé
Spectacles
• Fanfare Val’Music
À 15 h 30 et 17 h, Arcades Rougé
• Crèche vivante À 18 h et 19 h, place Rougé
Mer. 21 déc.
Animation
• Sculpture de ballons De 15 h 30 à 19 h, place Travot
Pour participer, les enfants doivent se procurer le dépliant disponible à l’accueil de l’Hôtel de Ville, dans Cholet mag, à la ludothèque, à la médiathèque, à l’office du tourisme ou sur www.cholet.fr en téléchargement. Les enfants accompagnés d’un adulte doivent se munir d’un stylo et bien regarder les vitrines du centre-ville…
Départ depuis la place Travot
Lire aussi les informations pratiques et le détail des animations dans le n° 629 de Synergences hebdo et sur www.cholet.fr
Toutes les animations du réseau des bibliothèques du Choletais sont à retrouver sur e-changes.cholet.fr/
Infos au 02 72 77 23 41, médiathèque Élie Chamard, place Jean-Moulin à Cholet
Mer. 14 déc./Cholet
Atelier parent-enfant Atelier Snoezelen, organisé par le centre socioculturel le Verger. Tarif : 2 € par famille + 10 € adhésion Infos et inscription au 02 41 65 14 99 De 10 h à 12 h, centre socioculturel le Verger, rue du Bois-Régnier
Mer. 14 déc./Cholet Café presse Organisé par le centre socioculturel le Verger sur le thème : « le choix de la coupe du monde au Qatar était-il judicieux ? Nos Bleus… » Gratuit Infos au 02 41 65 14 99
À 14 h 30, centre socioculturel le Verger, rue du Bois-Régnier
Jeu. 15 déc./La Romagne Une fois n’est pas coutume ! Le centre socioculturel intercommunal Ocsigène organise, pour les plus de 65 ans, une rencontre avec les élèves de la Maison familiale rurale (MFR) le Vallon afin d’échanger avec eux sur une autre époque, les traditions, les jeux d’autrefois…
Possibilité de covoiturage. Infos et réservation au 02 41 56 26 10 À 13 h 45, MFR le Vallon, rue des Sports
Jeu. 15 déc./Cholet Ciné débat
Le Ciné club choletais propose une séance ciné débat avec le documentaire Ruptures , sur une génération qui sort des codes, prête à tout pour vivre en accord avec ses convictions. Tarif : 5,50 € Infos et réservation auprès du CGR ou www.cgrcinemas.fr/cholet À 20 h, CGR, Arcades Rougé, 30 rue Bretonnaise
Ven. 16 déc./Maulévrier Marché de Noël
Organisé par la ferme Gaborit, avec des producteurs bio (fromage, chocolat, confiture, volaille, pain) et des artisans locaux (maroquinerie, etc.). Vin chaud et solidaire pour l’association Les sourires d’Enzo.
Infos www.bernardgaborit.fr De 15 h à 19 h 30, La Grande Nillière
Sam. 17 déc./Cholet
Repair café : jeter ?
Pas question !
Plutôt que de les jeter, venez réparer vos objets aux côtés des membres du repair café. Infos au 02 41 65 66 51
De 9 h à 12 h, centre social Horizon, allée des Vanneaux
Sam. 17 déc./Cholet
Concours de palets laiton
En doublette, sur plomb, organisé par l’ASPTT Cholet. Tarif : 8 € par pers., palets fournis avec 2 € de caution.
Un lot pour tous. Pré-inscription possible par SMS au 06 08 41 88 45 À 14 h, salle d’activités et de loisirs du Val de Moine, 65 avenue du Lac
Dim. 18 déc./Cholet
Dimanche anti-solitude
Après-midi jeux de société et goûter. Ce moment de partage est proposé pour les personnes seules, chaque 3 e dimanche du mois.
Infos au 02 41 65 14 99 À 14 h 30, centre socioculturel le Verger, rue du Bois-Régnier
Mer. 21 déc./Cholet
Le cinéma des enfants
Séance de cinéma gratuite avec la projection du film Le Pôle express puis présence du père Noël pour saluer les enfants.
Infos et inscription au 02 41 49 84 00 ou accueil.cholet@residencesmontana.com À 15 h, résidence Montana, 70 rue de Lorraine
Sam. 31 déc.
Lys-Haut-Layon/Trémont Soirée conviviale
Organisée par le centre socioculturel (CSC) Le coin de la rue. Soirée sans alcool, repas animé, karaoké, danse et jeux. Covoiturage possible. Tarifs : libre (min. 5 € par pers.), gratuit moins de 12 ans. Places limitées.
Infos et inscription jusqu’au 16 déc. au CSC, 2 rue du Comte-deChampagny à Vihiers/Lys-Haut-Layon ou 02 41 75 42 70
À partir de 19 h 30, salle des fêtes, place de la Mairie
Sam. 17 déc./Le May-sur-Èvre
Soirée dansante de Noël
Organisée par Tic Tac Rock. Soirée multidanses où chacun amène un plat salé ou sucré à partager et ses
couverts. Boissons offertes. Tarifs : 8 € adhérent, 10 € non adhérent. Infos et inscription sur www.tictacrock.fr ou 06 80 23 94 59 ou 06 78 61 16 10
De 19 h 30 à 2 h, salle Jean Ferrat, 1 rue Jean Moulin
Sam. 17 déc./Cholet SOC : portes ouvertes
Le SO Cholet organise une journée portes ouvertes 100 % féminine pour essayer le football. De 10 h à 12 h, pour les filles nées en 2011 ou après, puis de 14 h à 16 h, pour celles nées en 2010 ou avant. Goûter offert à toutes les participantes. Infos au 07 68 09 51 94 ou lucien.renaudin@socholet.fr Stade Pierre Blouen, 95 rue PorteBaron
Dim. 18 déc./Cholet Tournoi de tennis Doubles surprises organisé par la JF Tennis. Ouvert à tout public licencié à partir de 14 ans. Changement de partenaire à chaque match. Apéritif offert à chaque participant. Tarif : 3 €. À partir de 9 h 30, Bordage Luneau, allée Bérard
Dim. 18 déc./Cholet Rugby
Le RO Cholet reçoit SAC Clisson pour la
10 e journée de championnat Honneur. À 15 h, stade Roland Geneste, 2 rue des Orfèvres
Jusqu’en juin 2023/Cholet
GVC : APA
La Gymnastique volontaire choletaise propose des cours d’activité physique adaptée (APA) pour personnes en surpoids ou en réadaptation. Infos au 07 88 14 15 37
ou gvccholet49@gmail.com De 17 h 30 à 18 h 30 et 18 h 45 à 19 h 45 (les mar.), centre social du Planty, 55 rue du Planty
Jusqu’en juin 2023/Cholet
GVC : cours d’essai
La Gymnastique volontaire choletaise propose des essais gratuits aux cours de cross training. Activité sportive, conviviale et dynamique pour adultes et adolescents. Infos au 07 88 14 15 37 ou gvccholet49@gmail.com De 19 h 45 à 20 h 45 (les mer.), salle Alain Mimoun, 13 av. Pdt Kennedy
Ven. 16 déc./Cholet Football
Le SO Cholet reçoit Red star FC lors de la 16 e journée de National. À 20 h, stade omnisports, av. A. Manceau
Sam. 17 déc./Cholet Hockey sur glace Les Dogs reçoivent
> À Lys-Haut-Layon/Vihiers Mer. 14 déc. CinéMômes : Opération père Noël Film d’animation (0 h 43) À 10 h 30
Dunkerque lors de la 12 e journée de Division 1. À 19 h 20, patinoire Glisséo, av. A. Manceau Sam. 17 déc./Cholet Basket
Cholet Basket reçoit JDA Dijon lors de la 14 e journée d’Élite. À 20 h, la Meilleraie, avenue Marcel-Prat
Tarif : 3 € Le Cinéfil, place Saint-Jean à Vihiers Programme 24 h/24 au 02 41 75 83 66 - www.cine-vihiers.fr Facebook le Cinéfil Vihiers
Festival organisé par l’association Aux films de la Moine, en partenariat avec la Ville de Cholet et l’Éducation nationale.
Tarif unique : 3 € Infos : Cinéma CGRArcades Rougé www.cgrcinemas. fr/cholet
Mer. 14 déc.
Alors qu’elle débarrasse l’appartement de son père disparu, dans son spectacle Ou presque , Virginie Hocq fait entrer le public dans une ronde de cartons remplis de souvenirs et de surprises. Tarifs : 35 € plein, 33 € réduit, 30 € abonné AdC, 23 € très réduit, 20 € abonné très réduit et jeune. Infos au 02 72 77 24 24 Réservation sur culture.cholet.fr À 20 h 30, théâtre Saint-Louis, rue Jean Vilar
Mer. 14 et jeu. 15 déc./Cholet Le garçon à la valise
Passionné d’astronomie, le jeune Jack Mancini partage sa vie entre les services à la pizzeria, les nuits en garde à vue pour comportement violent et une mère irresponsable. Tarifs : 25 € plein, 23 € réduit, 18 € abonné AdC, 13 € très réduit, 10 € abonné très réduit et jeune. Infos au 02 72 77 24 24
Réservation sur culture.cholet.fr À 20 h 30, théâtre Saint-Louis, rue Jean Vilar
Jeu 15 déc./Cholet Atelier parent-enfant Pour les 0-3 ans, organisé par le centre socioculturel le Verger, pour partager un temps sur la découverte du massage de bébé, de la gestion des émotions et de la relaxation. Tarif : 2 € par famille + 10 € adhésion Infos et inscription au 02 41 65 14 99 ou accueil@cs-leverger.fr De 9 h 30 à 11 h 30, centre socioculturel le Verger, rue du Bois-Régnier
Conférences ouvertes aux adhérents de l’Université du temps libre. Infos sur : www.utl-cholet.fr
Mer. 21, jeu. 22 et ven. 23 déc. Cholet
L’association propose des animations, à savoir :
- relaxation dynamique parent/enfant, mer. à 17 h. Tarif : 15 € le duo
- soin sonore, le voyage musical relaxant et ressourçant, jeu. à 19 h 30. Tarif : 15 € par adulte
- dégustation en pleine conscience, ven. à 19 h. Tarif : 15 € par adulte Inscription obligatoire au 06 81 26 82 48 74 rue du Paradis
Pour fuir la guerre dans leur pays, deux enfants, Nafi et Krysia, bravent tous les dangers : passeurs, loups, montagnes, travail forcé, océan déchaîné… Dans cette pièce, la Compagnie Grizzli mêle les arts du théâtre et la marionnette. À partir de 8 ans. Tarifs : 7 € plein, 6 € abonné, 4,50 € abonné jeune, 17 € famille. Réservation au Jardin de Verre ou 02 41 65 13 58 ou www.jardindeverre.fr À 10 h (mer.) et 10 h et 14 h 30 (jeu.), Jardin de Verre, 13 bd Gustave Richard
Mer. 14 et jeu. 15 déc./Cholet Ôlo,unregardsurl’enfance
Par la Compagnie Le bruit de l’herbe qui pousse. Éclaboussées du souvenir de l’enfance, les gribouillis, ces traces colorées, évocatrices de sensations ou d’émotions, vont se mélanger dans une énergie créatrice et joyeuse. Public : de 18 mois à 5 ans. Tarif unique : 4 € Info au 02 72 77 24 24
Réservation sur culture.cholet.fr À 16 h et 17 h 45 (mer.) et 9 h 15 et 11 h (jeu.), théâtre Saint-Louis, rue Jean Vilar
Après une décennie d’existence à sillonner les routes, fouler autant de scènes qu’il y a d’âmes à rencontrer, la Jambe de Frida tirera sa révérence ce samedi. Ultime passage au Jardin de Verre, scène qui l’a vu naître, grandir, s’épanouir, puis enfin, s’arrêter. Une soirée si particulière qui s’annonce chargée en souvenirs et en émotions. La Jambe de Frida a convié deux groupes pour agrémenter cette soirée. Tarifs : 15 € plein, 11 € abonné, 7 € abonné jeune, 31 € famille Réservation au Jardin de Verre ou 02 41 65 13 58
ou www.jardindeverre.fr
À 20 h 30, Jardin de Verre, 13 bd Gustave-Richard
Sam. 17 déc./Cholet
Les Z’Improbables fêtent Noël Spectacle de cabaret d’improvisation dans lequel les comédiens créent en direct des histoires où tout est possible. Soirée interactive où le public a son rôle à jouer, car c’est lui qui propose les thèmes dont devront se saisir les improvisateurs. Le tout accompagné par des musiciens déjantés !
Tarifs : 7 € plein, 4 € réduit, gratuit moins de 10 ans À 20 h 30, Bar’ouf, 2 place Saint-Pierre
Pour paraître dans ces pages, un seul contact : asangibault@choletagglomeration.fr ou 02 44 09 25 20
Jeu. 15 déc./Cholet Voyageurs et « savanturiers » Sur le thème « Marco Polo et les routes de la soie : l’incroyable voyage ». Tarif : 6 € De 14 h 30 à 16 h 30, Hôtel de Ville et d’Agglomération, salle Paul Valéry
Le May-sur-Èvre
Cours de chant Huit séances pour travailler deux chants et deux séances pour approfondir la technique vocale. Tarif : 105 € le trimestre soit 10 € la séance. Cours adulte : mer. de 19 h à 20 h ou jeu. de 19 h 30 à 20 h 30 Cours adolescent : mar. de 18 h 15 à 19 h 15
Infos et inscription au 06 52 81 82 88 ou stanydol.coachvocal@gmail.com
Ven. 16 déc./Le May-sur-Èvre Concert
Avec Maychantant (chorale adulte et
Jusqu’au dim. 22 jan./Cholet Carte blanche À l’origine de ce projet, l’entreprise Saint-James, spécialiste de la maille, a sollicité les étudiants du lycée de la Mode. pour ennoblir et sublimer ses chutes de production. Le défi d’une trentaine d’étudiants était de recycler des chutes de textile dans l’esprit wabi-
L’association Connaissance du monde propose un film en conférence pour voir le monde autrement. Présentation du film Dans le sillage des baleines par Guénola Violeau, auteur. À noter que la séance initialement prévue le ven. 16 déc. sur la Malaisie a été avancée au ven. 2 déc.
Tarifs : 10,30 € plein, 8,10 € réduit Infos www.connaissancedumonde.eu Réservation auprès du CGR ou www.cgrcinemas.fr/cholet À 14 h 30, CGR, Arcades Rougé, 30 rue Bretonnaise
chœur d’enfants) et Cholet Expression (chœur d’hommes). Une partie des recettes sera reversée au profit du Téléthon. Tarifs : 5 €, gratuit moins de 12 ans À 20 h, église Saint-Michel
Sam. 21 jan./Cholet
Concert avec en 1 re partie, Cholet Gospel et en 2 e partie, Amazin’Gospel, chorale de Nantes. Tarif : 10 €, gratuit moins de 12 ans Réservation : office de tourisme du Choletais, 14 av. Maudet ou 02 41 49 80 00
À 20 h, église Saint Louis-Marie Grignon de Montfort
sabi, un concept japonais qui célèbre l’imperfection. L’exposition met en avant quinze silhouettes. De 10 h à 12 h et de 14 h 30 à 18 h, du mer. au sam. et de 14 h 30 à 18 h, le dim., musée du Textile et de la Mode rue du Docteur Roux > Ce sam. 17 déc., visite guidée à 14 h 30
Vendredi 25 novembre - Le May-sur-Èvre
À l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, un programme d’actions autour des violences intrafamiliales et conjugales a été déployé dans l’Agglomération du Choletais. Parmi celles-ci, des pochoirs éphémères ont été dessinés au May-sur-Èvre (photo), comme à Cholet et à La Séguinière. Ils rappelaient le numéro 3919, à composer par les femmes victimes ou les témoins de violences. Ce numéro, accessible du lundi au samedi, de 8 h à 22 h, est gratuit depuis un poste fixe et invisible sur les factures.
Vendredi 25 novembre - Cholet
38 artistes des Pays de la Loire regroupent quelques-unes de leurs œuvres, actuellement et jusqu’au 2 avril prochain, au musée d’Art et d’Histoire. Dessins, peintures, volumes, vidéos, installations composent un riche panorama de l’art contemporain. Les 43 œuvres présentées sont réparties selon cinq thématiques : gestes et outils, matière vivante, espaces/paysages, corps et figures, puis le temps des récits. Pour découvrir ces nombreux artistes intervenus dans les établissements scolaires du Choletais, la médiation culturelle du musée propose un programme de visites guidées et d’ateliers pour tous les publics (les dates sont et seront à retrouver dans notre rubrique À mon agenda et sur cholet.fr).
Quatre classes des groupes scolaires la Bourie et Turpault ont participé aux plantations de la seconde partie de la sapinière, sur le site du Centre horticole municipal. Outre le fait d’apprendre les techniques de plantation des sapins et de faire découvrir la nature aux enfants via des animations pédagogiques (d’où viennent les graines et comment se déplacent-elle ? comment reconnaître les arbres ? à quoi servent-ils ?…), les participants savent désormais que le fruit de leurs efforts sera, à terme, utilisé pour décorer la place Travot lors des futurs Noël.
Si le grand prix du concours d’animaux de boucherie de haute qualité, organisé par l’Agglomération du Choletais (AdC), a été remporté par une vache Rouge des prés de l’Earl la Barre du Voide, commune déléguée de Lys-Haut-Layon, cette 19e édition a été marquée par l’attribution d’un prix spécial Alain Breteaudeau, en hommage à celui qui fut vice-président de l’AdC en charge de l’Agriculture et maire de La Romagne. Afin de remettre ce prix, son épouse était accompagnée de leur fils et leurs filles. En conclusion de la lecture du palmarès, Gilles Bourdouleix, maire de Cholet et président de l’AdC, a annoncé que la salle des cotations du foirail portera désormais le nom d’Alain Breteaudeau.
Samedi 3 décembre - Cholet
Si le 4 décembre correspond à la fête de la Sainte-Barbe, c’est avec une journée d’avance que les pompiers choletais ont vécu ce temps fort. À cette occasion, plusieurs sapeurspompiers choletais ont été promus ou décorés, en reconnaissance de leur engagement, en présence de Gilles Bourdouleix, maire de Cholet et président de l’Agglomération du Choletais, Florence Dabin, présidente du Conseil Départemental de Maine-et-Loire et du Service départemental d’incendie et de secours et Ludovic Magnier, sous-préfet.
Du sport, des concerts, des tournois de belote, des lotos, des dictées, des randonnées, des spectacles… Dans plusieurs communes du territoire, les animations étaient nombreuses à l’occasion du week-end dédié au Téléthon.
Au May-sur-Èvre, les sapeurs-pompiers ont même donné de leur temps pour laver les voitures des habitants ! Plus de 200 personnes ont également participé à soutenir la recherche sur les maladies rares, notamment génétiques, en profitant d’un dînerspectacle très apprécié pour sa variété. Chants, danses et musique ont, en effet, ponctué la soirée grâce à la participation de plusieurs associations de la commune ou des environs : la batterie fanfare, En k’danse, les chorales Des jours heureux et Humains, le groupe Country Sway et le chanteur Thierry Vergereau.
Lundi 5 décembre - Cholet
À l’occasion de la journée nationale d’hommage aux Morts pour la France de la guerre d’Algérie et des combats du Maroc et de la Tunisie, le maire de Cholet et président de l’Agglomération du Choletais, Gilles Bourdouleix, a déposé une gerbe au monument aux Morts de la place du 77e RI.
Il fallait être bien couvert pour affronter la météo ! Mais les Choletais, attachés à la coutume du premier dimanche de décembre, étaient bel et bien présents pour parcourir le Tour de Cholet, à vélo, en trottinette, en courant, en marchant, avec ou sans leur compagnon à quatre pattes… De toutes les façons, ils étaient environ 2 500 a avoir profité d’une chaussée fermée à la circulation automobile le temps d’une balade dominicale.