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infosmobiles 04/2012 numéro 06
Le magazine des professionnels de la mobilité
mobile world congress 2012
spécial nouveautés Les meilleurs smartphones et tablettes attendus dans les mois à venir...
Focus
IntervIew wIndows phone
Retour sur le succès et les promesses du nouvel OS signé Microsoft avec Laurent Schlosser.
test pradaphone LG La gravure de mode des smartphones sous Android.
reportaGe ascendeo
Zoom sur un pure player de l’accessoire à l’échelle paneuropéenne.
TCT Mobile Europe SAS, Le Capitole, 55 avenue des Champs Pierreux 92000 Nanterre – France – SA au capital de 23 031 072 euros, RCS Nanterre B440038222. Visuels non contractuels Le DAS (débit d’absorption spécifique) des téléphones mobiles quantifie le niveau d’exposition maximal de l’utilisateur aux ondes électromagnétiques, pour une utilisation à l’oreille. La réglementation française impose que le DAS ne dépasse pas 2 W/kg.
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Sommaire édito Des nouveautés comme s’il en pleuvait ! Acheter un nouveau smartphone est et demeure un achat d’impulsion. Mot d’ordre : séduire et faire rêver... De plus grands écrans, deux, trois, quatre cœurs pour faire face à des usages de plus en plus gourmands en énergie et en réactivité, des OS nomades qui ont de moins en moins à envier à leurs grands cousins des PC... Le millésime 2012 en matière de smartphones vise bel et bien à rebattre les cartes. Entre marques ombrelles et déclinaisons de gammes, nouvelles technologies embarquées de série, tel le NFC pour le paiement sans contact, et gadgets séduisant (dont un picoprojecteur directement intégré à un smartphone !), les clients auront de quoi rêver de changer de smartphone. Plus sexy, plus colorés, plus accessoires de mode et en même temps outils de productivité nomades que jamais, leurs ventes devraient continuer à progresser, qu’ils soient ou non intégrés à une offre d’abonnement. Sans oublier celles des tablettes, auxquelles l’OS Android donne de nouveaux attraits, face à un iPad encore bien seul. Autant d’occasions de proposer un écosystème d’accessoires essentiels pour en accompagner les nouveaux usages ! Judikael Hirel jhirel@infosmobiles.fr
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Adresse : 78, Bd de la Villette – 75019 PARIS Téléphone : 01 40 40 05 10 - Fax : 01 42 41 78 08 E-mail : redaction@infosmobiles.fr - Site : www.infosmobiles.fr Directeur de la publication : Albert ELBAZ Dépôt légal à parution - N° ISSN : 2119-1646 Imprimé en Union Européenne Rédacteur en chef délégué : Judikael HIREL Directeur Artistique : David BENAMOU Ont collaboré à ce numéro : Driss ABDI, Sofian NOUIRA, Anne POIRIER (6TCOM), Lionel TITREN. Publicité :
• Albert ELBAZ 01 40 40 05 10 – elbaz@infosmobiles.fr • Thierry LELLOUCHE 09 66 85 40 46 – lellouche@infosmobiles.fr
mobipresse
12 Le meilleur des
nouveautés présentées lors du Mobile World Congress 2012.
24 obServatoire Les SoLoMo 36 acceSSoireS 30 teStS Sony Xperia S
30 Le Sony Xperia S, une vraie première.
04 actualitéS
HTC Explorer Viewsonic V350 Alcatel One Touch 282 Asus Transformer Prime Nokia Asha 303 Tiptel Ergophone Blackberry Playbook 2.0 Samsung Galaxy Tab 7.7 Pradaphone by LG Motorola Motoluxe
46 techno futur Éteignez la rue
06 actualitéS 10 interview Laurent Schlosser, Microsoft 12 doSSier Les meilleures nouveautés du Mobile World Congress 2012
22 reportage Ascendeo France
26 Les derniers accessoires du moment
Cette publication est éditée par MOBI PRESSE, SARL au capital de 10 000 euros © Copyright 2012
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actualités Mobiles
Samsung veut faire découvrir ses produits Bientôt une tablette Google signée Asus ?
Le succès de la Kindle ferait-il des émules ? La rumeur vient d’Asie mais semble des plus crédibles : Google et Asus s’associeraient bientôt pour sortir une tablette tactile. Selon le Taïwanais Digitimes, Google devrait sortir sa première tablette tactile d’ici l’été prochain. Fabriquée par Asus, cette tablette dotée d’un écran 7 pouces et proposée entre 199 $ et 249 $ serait l’une des premières tablettes, voire la première, à fonctionner sous Android 5.0.
26%
Les s m les d artpho écisi n en m ons es influ d e d’un atière d’a es cons ncent o sma propriét chat. Pr mmate urs è r a décl tphone ire Fran s sur q çais are q de ua u pou r com ’il utilise tre (26% son ) pare des m r les obile info p sur l rmation rix et o b es p rodu s précis tenir es its.
Kaspersky Mobile Security détecte les malwares
Une récente étude indépendante réalisée par AV-Test.org a distingué Kaspersky Mobile Security comme l’un des deux seuls produits (sur un échantillon de 41) à avoir contré avec succès la totalité des programmes malveillants (malwares) qui leur ont été soumis. Ainsi, la plupart des concurrents en lice n’ont pas été en mesure d’assurer une protection ne serait-ce qu’élémentaire contre le nombre sans cesse croissant d’applications malveillantes qui visent les mobiles sous Android. Rassurant...
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infosmobiles
Comment vendre encore plus de mobiles ? En en faisant essayer les fonctionnalités aux clients.
s
amsung a profité de sa dernière conférence de presse pour faire le point sur ses ventes. « Nous sommes leaders en volume et en valeur depuis 2006 sur le marché français, a notamment expliqué David Éberlé, directeur de la division Télécom de Samsung France. En 2011, nous avons vendu 24 millions de mobiles. Nous avons réalisé un joli score, avec 40,4% de parts de marché. Nous sommes n°1 des ventes en France avec plus de 20 points d’avance sur le concurrent le plus proche. » Avec 11, 5 millions de smartphones vendus, soit 36,6% de parts de marché, Samsung se positionne également en n°1 sur ce segment. Objectif cette année ? Rester leader, vendre plus encore, notamment via l’innovation, entre l’intégration de la technologie NFC sur tous les produits stratégiques. Mais pour vendre encore plus de terminaux, il faut aussi les faire découvrir aux clients : « Nous renforçons les démonstrations dans les points de vente, pour faire découvrir les fonctionnalités de
nos produits, via le déploiement de plus d’un millier de Samsung zones sur lesquelles manipuler les produits et les découvrir en profondeur. » Le Galaxy Note, déjà 5e des ventes de smartphones en France, devrait renforcer encore sa position, avec deux nouvelles couleurs, et surtout une vaste campagne de 180 jours d’animation dans 30 villes qui devrait permettre de toucher un million de visiteurs. De plus, tout nouveau possesseur d’un Note se verra offrir un niveau exclusif d’Angry birds.
focus
Parrot ProPose de dicter emails et sms
Parrot, notamment fabricant de kits mains libres, vient de dévoiler Textfriendly, sa solution pour gérer SMS et e-mails à la voix. Alors qu’accéder depuis un téléphone à ses e-mails et SMS en conduisant est dangereux, TextFriendly permet d’écouter ou de composer, à la voix, des e-mails et SMS directement depuis un kit ou un système mains-libres Bluetooth Parrot. Ce service de gestion 100% mains-libres permet de gérer e-mails et SMS sans manipuler son téléphone, juste via la reconnaissance vocale. Entièrement pilotable à la voix depuis une solution de téléphonie mains-libres Parrot, ce service utilise en effet des technologies avancées de conversion de texte en voix, et de voix en texte. Il suffit d’activer son compte TextFriendly à l’adresse www.textfriendlyclient.com et d’enregistrer le numéro du serveur vocal dans le répertoire du téléphone mobile pour que, une fois la synchronisation faite, le système mains-libres Parrot le compose automatiquement. Il ne reste alors plus qu’à prononcer l’action à réaliser : écouter, composer des e-mails ou SMS, y répondre… Proposé sur abonnement, avec un mois d’essai gratuit, la solution TextFriendly fonctionne avec les systèmes d’exploitation Android, iOS, BlackBerry, Symbian… et avec toutes les marques de téléphones mobiles.
actualités Mobilité
en bref
Mulhouse teste le M-parking en 2012 Les smartphones sont de plus en plus indispensables. En 2012, Mulhouse sert de ville test pour le paiement de sa place de parking par SMS.
u The Phonehouse propose de racheter les mobiles Phone House lance une nouvelle formule de reprise de téléphones mobiles. L’originalité de la formule tient au fait que le client a la possibilité de déposer son téléphone dans les 350 magasins de l’enseigne. Il peut ensuite décider de dépenser librement sa reprise dans le magasin Phone House de son choix (sans obligation de souscrire un abonnement, un IMEI/Série étant suffisant), soit de recevoir un chèque sous 72 heures. Quelle que soit la formule choisie, le client bénéficiera toujours d’une même valeur de reprise. Le réseau Phone House offre ainsi à travers ce service la possibilité aux consommateurs de renouveler plus facilement leur téléphone mobile. Les offres sont de plus en plus nombreuses et étoffées. De leur côté, les consommateurs sont toujours plus friands d’innovation. La possibilité de vendre son ancien téléphone mobile jusqu’à plus de 350 € permet de rendre l’innovation accessible à tous beaucoup plus vite. Le fait que la gamme de Phone House soit par ailleurs enrichie de la majorité des marques d’opérateurs et de fabricants en téléphonie mobile ouvre de nombreuses perspectives aux clients. Le marché, grâce à cette offre innovante pourra se fluidifier grandement. Amateurs d’innovation et de renouvellement fréquents comme indépendants convaincus de la nécessité de ne pas s’engager, tous trouvent un intérêt à profiter d’un tel service de reprise. Il ne serait pas surprenant de voir l’idée, elle aussi, reprise, par d’autres réseaux de boutiques de téléphonie mobile.
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infosmobiles
n simple SMS, et voilà un PV de stationnement en moins ! Plus besoin de carte spéciale ou de chercher sa monnaie, du moins quand on réside à Mulhouse. L’Association Française du Multimédia Mobile, Bouygues Télécom, Orange France et SFR annoncent le lancement d’un pilote de « M-Parking » pour une durée d’un an à Mulhouse. Inédit en France, mais déjà déployé avec succès dans plusieurs villes européennes, le paiement de places de parking par SMS présente l’avantage de faciliter la vie quotidienne des usagers automobilistes et d’augmenter le nombre de places payées au bénéfice des villes. D’autres déploiements devraient suivre en France. Selon une étude menée fin 2011 par l’AFMM, payer le stationnement dans la rue grâce à son téléphone mobile suscite l’intérêt de 76% des possesseurs de mobile. Il faut dire que 53% des équipés mobile en France ont déjà négligé le paiement de leur stationnement car ils ne possédaient pas le moyen de paiement adapté sur eux... 74% d’entre eux trouvent utile de recevoir quelques minutes avant la fin du
stationnement une alerte par SMS. Du côté des collectivités, cette solution est l’une des réponses à un problème majeur : le taux de stationnement payant non acquitté. Depuis le 15 mars, les Mulhousiens clients des opérateurs Bouygues Telecom, Orange et SFR, peuvent payer leur stationnement sur la zone orange (2 400 places) en étant débités sur leur facture mobile. Concrètement, une fois stationné, l’automobiliste envoie simplement par SMS au numéro court indiqué sur l’horodateur, le numéro de sa plaque d’immatriculation et choisit la durée de son stationnement. À la fin de sa période de stationnement, il est averti par SMS pour la prolonger, s’il le souhaite. L’utilisateur est ensuite directement débité sur sa facture opérateur. Dès la seconde utilisation du service, l’usager envoie simplement la lettre « P » pour parking au numéro court pour régler sa place. D’autres villes devraient lancer en 2012 une expérience de paiement de places de parking par SMS.
focus un clavier pour la blackberry playbook Comment concilier le meilleur des deux mondes nomades ? En ajoutant un clavier à une tablette tactile pour la transformer quand on le désire en un véritable ordinateur portable, tout en bénéficiant du confort de saisie d’un vrai clavier. Research In Motion vient de présenter le Mini Keyboard, un nouvel accessoire indispensable pour la tablette BlackBerry PlayBook. Ce mini-clavier ultra portable de seulement 6 mm d’épaisseur est livré dans un étui élégant. En plus d’un clavier complet, il inclut un pavé tactile multitouch intégré permettant aux utilisateurs de naviguer et contrôler le BlackBerry PlayBook aussi facilement qu’en utilisant l’écran tactile de la tablette. Quand ce mini clavier est actif, le clavier virtuel de la tablette se masque automatiquement pour libérer 100% de l’écran tactile. Ce mini clavier est connecté à la tablette via Bluetooth, et intègre un cryptage 128 bits pour conserver la confidentialité du transfert de données et de mots de passe entre la tablette et le clavier. Les utilisateurs professionnels apprécieront !
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actualités Mobilité
en bref Nouvelles formules Pro chez AfoneMobile AfoneMobile lance une offre illimitée sans engagement à destination des entreprises et des professionnels : une offre sans engagement pour les professionnels à partir de 39,90 €/mois HT, avec ou sans téléphone. Ce forfait s’adresse particulièrement aux utilisateurs souhaitant un forfait voix illimité. AfoneMobile y ajoute les SMS illimités et l’Internet à hauteur de 500 Mo. Une deuxième offre pour les professionnels, soumise à un engagement de 12 ou 24 mois, est proposée au prix de 59,90 €/mois HT, et comprend voix, SMS et Internet illimités (1 Go) avec un smartphone à partir de 1 €. « Nous avons toujours été au service des entrepreneurs, depuis notre création, en 1997, explique François-Xavier Goudemand, directeur d’AfoneMobile. Au-delà du prix, les clients peuvent s’appuyer sur notre service clients Pro basé en France, et accessible du lundi au vendredi. Celui-ci gère les demandes en amont et en aval ainsi que les prises de commandes. Le service de proximité est l’atout majeur de notre marque. »
Zéro Forfait rejoint le club des entreprises low cost Zéro Forfait vient de rejoindre le Club des Entreprises Low-Cost, qui a pour ambition de revendiquer la force du modèle low-cost en France. Via des actions communes, les entreprises adhérentes veulent démontrer que, loin d’être synonyme de basse qualité , le low-cost constitue un puissant levier pour le pouvoir d’achat et l’innovation économique. Zéro Forfait est le premier acteur de la téléphonie mobile du Club, aux côtés d’une quinzaine d’entreprises (Formule 1, Netto, Transavia,Tchip...) « Rejoindre ce Club, c’est une occasion pour nous de réaffirmer notre positionnement et notre volonté initiale : proposer des offres simples aux prix les plus justes pour le juste besoin, avec la qualité de service incluse », déclare Patrick Gentemann, président de Zéro Forfait, qui a lancé début février une gamme de « Forfaits Libres » déclinées en huit offres, allant de 3,99 € à 24,99 €.
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Avec Sortir.com, le NFC s’ouvre au grand public Le groupe Crédit Mutuel – CIC, NRJ Mobile et Samsung lancent Sortir.com, le 1er service NFC grand public.
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e paiement sans contact NFC gagne chaque jour du terrain. Le groupe Crédit Mutuel-CIC, NRJ Mobile, Samsung et Skyboard, régie Internet leader sur le marché des sorties et loisirs, annoncent le lancement du service Sortir.com, 1er service NFC grand public pour bénéficier d’information en temps réel. Ce « média urbain » unique propose aux utilisateurs de smartphones d’avoir accès à de nombreux services et informations : classement par les internautes, notes et commentaires sur l’établissement, réductions immédiates chez le commerçant, accueil personnalisé pour les clients réguliers. Cette appli agrège l’information de plus de 120 sites de sorties partout en France. Il suffit au client de taguer avec son mobile une affiche Sortir.com pour accéder à ces informations et profiter immédiatement des réductions proposées. À l’aide de tags NFC déposés chez les commerçants, plus besoin de se renseigner au préalable sur l’établissement ou même d’imprimer son bon de réduction, il suffit de passer devant une affiche Sortir.com pour tout savoir. Pour William Sylvestre, directeur des contenus et des services chez Samsung Electronics France, « l’objectif d’un tel partenariat avec SKyboard est de profiter de la sortie
du Galaxy S2 Cityzi chez NRJ Mobile pour démocratiser l’usage de la technologie NFC auprès du grand public avec un service à très forte valeur ajoutée. » Ce service unique en France est disponible pour les clients NRJ Mobile, Crédit Mutuel Mobile et CIC Mobile, muni d’un Samsung Galaxy S2 Cityzi. Pour profiter des réductions du moment et consulter les avis consommateurs, le client doit se rendre sur Samsung Apps ou sur Google Play Store (Android Market) et télécharger l’appli Sortir.com.
focus l’avantage famille & amis chez budget mobile Budget Mobile vient de présenter une nouvelle offre originale, l’avantage Famille & Amis, une réduction mensuelle de 1 € pendant un an. Pour cela, il suffit d’inviter un ami ou un membre de sa famille chez Budget Mobile et chacun voit son forfait réduit de 1 € par mois. La réduction est appliquée dès le premier mois, pendant 12 mois. Disponible depuis le 1er mars, cette offre est valable pour toute la gamme Budget Mobile. Par exemple, le forfait Mini (30 minutes à 1,99 € par mois) ne coûte plus que 0,99 € par mois avec l’Avantage Famille & Amis et ... un seul ami. Avec l’avantage Famille & Amis, il devient donc possible de réduire à zéro ses factures mobiles pendant plusieurs mois. « Nous encourageons le cumul des mandats... vous amenez 2 personnes, c’est 2 € de réduction par mois pour vous, 3 € pour 3 personnes, etc. et ce pendant au moins un an », déclare José Caballero, directeur marketing de Budget Mobile. Au lieu de dépenser notre argent en campagnes de publicité hors de prix, nous préférons verser cet argent aux personnes qui nous font vivre : nos clients. »
interview Système
300 Par jour
Le magasin d’applications des Windows Phone croit de 300 applications par jour, la majeure partie des plus appréciées y figurent déjà.
windows phone en chiffres
Laurent Schlosser, Microsoft France « Windows Phone a surpris beaucoup de monde. » Quel accueil le marché, les opérateurs, les points de vente et les consommateurs ont-ils réservé aux nouveaux Windows Phones et à Mango? Pour faire le point, Infos Mobiles a rencontré Laurent Schlosser, directeur de la nouvelle division opérateurs et mobilité, créée l’an dernier par Microsoft. À nouveaux marchés, nouvelle stratégie et nouvelle division pour Microsoft ? En effet. C’est l’année dernière à la même époque que Microsoft a changé d’organisation à l’échelle mondiale pour s’adapter à l’évolution du marché. La stratégie «Un PC dans chaque maison » a évolué, avec une nouvelle stratégie Devices & Services, dévoilant de beaux terminaux et des services cloud, qui assurent une continuité d’expérience entre ces terminaux. Notre problématique était de voir comment se doter d’un système de gestion de relations clients, quel meilleur partenaire dispose du meilleur retail, d’un form factor, et sache les expliquer, les vendre, ces services connectés. Notre objectif était donc de créer un écosystème de partenaires pour adresser le grand public, avec une administration partner centric. En France, les opérateurs sont au centre de votre stratégie Windows Phone ? Oui, ce sont d’abord les opérateurs télécoms
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infosmobiles
• Plus de 65 000 applications sur le MarketPlace. • Selon l’institut de recherche Pyramid, Windows Phone devrait être le 2e OS le plus vendu en 2015. • Selon Analytics Strategy, il devrait doubler sa part de marché en 2012 en Europe de l’ouest, passant de 5,8% à 12,3% avec 14,4 millions de terminaux. qui vendent en retail ou en propre. Ils sont préconisateurs en termes de choix de terminaux, et dotés d’énormes services clients pour aider ces derniers à adopter les nouvelles technologies. Les grands acteurs possédant un système d’informations ne sont pas nombreux. Nous nous sommes dits que les opérateurs constituent pour nous le meilleur canal de partenariat pour atteindre le grand public. Dans notre vision, à terme, tous les produits, selon la maturité des marchés, peuvent trouver leur place au sein des produits et services opérateurs. Après quelques mois de disponibilité de la version 7.5 de Windows Phone, quelle est sa perception par le marché ? Clairement, les opérateurs sont très intéressés par ce que l’on peut faire ensemble. Actuellement, on voit bien que l’industrie se concentre autour de quelques acteurs. Il ne faut pas non plus que cela se concentre trop, il doit rester plusieurs acteurs. Sur le marché des smartphones, on a d’abord eu un meneur, Apple, puis Google. Aujourd’hui, Windows Phone propose la même interface Metro que le Xbox live, sans oublier Windows 8 qui arrive. Microsoft est à l’origine du 3e écosystème
de terminaux, qui vont du smartphone à la TV, en passant par la tablette et le PC. Les acteurs du marché ont aussi compris qu’il n’y a a pas que les smartphones. C’est de toute la maison qu’il s’agit, et rares sont les acteurs à même de faire face à une telle largeur d’offres. Microsoft est un de ces acteurs, et cela a complètement changé la posture des opérateurs à notre égard. Concrètement, qu’est-ce que l’arrivée de Nokia a changé pour Windows Phone ? Nokia a su mettre les moyens pour être visible et se-recréer sa place dans la catégorie des grands fabricants de mobiles. Le marché français s’est bipolarisé entre high-end (Samsung et Apple avec d’importants investissements marketing) et low-end (avec peu d’investissements marketing). Samsung a aussi su construire une marque. L’ensemble des modèles en héritent et, pour les clients, cela fait du sens. Sony en constitue également un excellent exemple, avec sa gamme Xperia. C’est peut-être aussi de cela qu’a souffert HTC l’an passé, avec une multitude de modèles et une dilution de ses campagnes marketing. Pour être visible sur le marché de la téléphonie mobile, pour être perçu par le grand public, il faut lancer une campagne marketing à taille critique. Avec Lumia, les clients ont perçu la marque, ils l’ont identifiée. L’arrivée de Nokia s’est faite avec sa capacité industrielle, une gamme, un positionnement prix, une stratégie,
avec un nom pour la gamme. De plus Windows Phone 7.5 est venu apporter les fonctionnalités attendues qui n’étaient pas disponibles dans la version précécente. Aujourd’hui, Windows Phone est au top de ce qu’attend le marché. Nous avons surpris beaucoup de monde avec cette interface, son ergonomie très épurée, inspirée du mouvement Bauhaus. C’est un parti pris, une réflexion de fond, partie d’une mouvement plus global engagé depuis déjà cinq ans. Hstoriquement, l’interaction avec nos machines s’est toujours faite via un clavier ou une souris, alors que les smartphones sont devenus tactiles. L’écran tactile s’est industrialisé, même si, dans un smartphone, l’écran reste ce qui coûte le plus cher. L’utilisation d’un écran tactile suppose de revoir toute la logique de l’ergonomie. Toute la réflexion a tourné autour de comment revoir l’interface de Windows pour tirer pleinement partie de la dimension tactile. Passer à des interfaces « touch » nécessitait de repenser l’ergonomie pour l’adapter. Cela supposait de sortir d’une grille d’icônes classique. Il nous fallait créer une interface pour répondre à l’ensemble des usages les plus courants. Et demain, le fait d’avoir Skype sur un Windows phone, c’est aussi très important. Quand on parle de 4G, il va falloir proposer des services aux consommateurs pour en faire pleinement usage. Pourquoi avoir récemment mis à jour Windows Phone ? Windows Phone 7.5 Refresh est une mise à jour destinée à tous nos terminaux. Nous avons enrichi le code pour que notre OS puisse tourner sur des processeurs différents. Nous l’avons optimisé pour qu’il puisse tourner avec moins de mémoire, sur des tailles et des formes d’écran différents. Nous avons d’ailleurs mis à la disposition des développeurs un outil de simulation de consommation de la mémoire pour voir si l’application va bien tourner ou non sur ces terminaux. Lorsque Windows Phone tourne sur un terminal doté de seulement 256 Mo de Ram, nous avons prévu de ne pas activer quelques fonctionnalités pour ne pas dégrader l’expérience utilisateurs. Par défaut, nous avons coupé la fonction Autour de moi de Bing. La sauvegarde automatique des photos sur Skydrive est désactivée par défaut, et l’on pose une limitation en termes de streaming vidéo et en multitâches. Cela fait rentrer de plain pied Windows Phone dans le milieu de gamme, et répond à la demande des constructeurs. Les constructeurs comptent sur nous pour les aider à se différencier. Ils
voient bien que nous accompagnons le mouvement. L’arrivée de Free Mobile a-t-elle changé quelque chose pour Windows Phone ? Les terminaux qui se vendaient le plus sur le marché (Apple, Samsung) sont souvent des terminaux très chers. Le fait que Free arrive fait que les consommateurs découvrent le prix réel des terminaux, qui était masqué par les subventions. La compétitivité prix/service rendu des terminaux Nokia avec Windows Phone joue à plein en notre faveur. Les Windows Phones séduisent de nombreux segments d’utilisateurs différents, de la vieille dame qui apprécie les grosses touches pour taper le numéro jusqu’aux amateurs du côté social phones, avec tous les flux pour suivre les publications de ses amis sur les réseaux sociaux. L’évangélisation pour faire connaître les fonctionnalités des Windows Phones prend du temps. Plus de 40 000 personnes à former, c’est du travail, un travail de fond. Nous faisons régulièrement évoluer le niveau de connaissance des réseaux, nous travaillons constamment à la montée en compétence des équipes terrain. u infosmobiles
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reportage
Mobile World Congress 2012
Android fait son show Premier salon au monde spécialisé dans la téléphonie mobile et les réseaux, le Mobile World Congress a fermé ses portes le mois dernier. Une fois encore, tous les constructeurs étaient présents à Barcelone afin d’y présenter leurs nouveautés. Deux grandes tendances se dessinent parmi tous les smartphones Android cette année, avec l’arrivée des processeurs quadcore et des écrans de plus en plus grands.
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omme chaque année, c’est à Barcelone que s’est déroulé le Mobile World Congress (MWC). Cet évènement mondial qui regroupe
infosmobiles
toute l’industrie des télécoms a une nouvelle fois été couronné de succès. Pour cette édition 2012, plus de 67 000 visiteurs issus de 205 pays sont ainsi venus à la
rencontre de 1500 exposants : fondeurs, constructeurs de mobiles, concepteurs d’applications, accessoiristes... Plusieurs tendances se sont dessinées cette année, à commencer par l’arrivée des premiers smartphones dotés de quatre cœurs pour encore plus de puissance.
Deux processeurs mais aussi quatre coeurs À l’instar des ordinateurs jadis, c’est au tour des smartphones et tablettes d’embarquer des processeurs qui gagnent
Pour annoncer son nouveau smartphone quadcore Ascend, Huawei avait installé un Pégase entièrement fait de smartphones à l’entrée du Mobile World Congress. Un symbole pour un grand fabricant chinois encore méconnu en Europe mais dont les produits design vont déferler sur le marché occidental.
l’autonomie de la batterie décroit d’autant. Pour pallier à ce défaut Nvidia a intégré un second processeur sur la plateforme Tegra 3. Moins puissant avec une fréquence de fonctionnement de 500 MHz, celui-ci se destine aux applications courantes qui ne nécessitent pas énormément de ressources.
Une offre de smartphones pléthorique chez HTC Chez HTC, le HTC One X est le premier smartphone du constructeur taiwanais sous Tegra 3. Le processeur quadcore embarqué dans ce modèle est cadencé à 1,5 GHz. L’écran tactile de 4,7 pouces bénéficie en outre d’une couche en verre Gorilla Glass de deuxième génération. Plus souple et plus résistante, celle-ci résiste non seulement aux pressions extrêmes pour éviter toute casse mais également aux rayures. Côté définition, l’écran du HTC One X est un modèle haute résolution (720p) qui devrait s’imposer sur les smartphones haut de gamme. Enfin, l’appareil photo affiche une résolution de 8 Mégapixels. Grâce à la dernière version de HTC Sense 4.0, il est également en mesure de prendre des photos tout en filmant en haute définition.
LG dévoile ses smartphones Optimus sous Nvidia Tegra 3 LG a également succombé à la plateforme Tegra 3 de Nvidia, qui équipe l’Optimus 4X HD. Successeur de l’Optimus 2X qui fut le premier smartphone double cœur commercialisé au monde, ce nouveau smartphone bénéficie lui aussi d’un écran de 4,7 pouces avec la technologie True HD IPS. Celle-ci offre un taux de contraste et une luminosité élevés avec une consommation électrique modérée. Dans tous les cas, conscient de l’importance de l’autonomie d’un smartphone dans la décision de choix du consommateur, LG a doté l’Optimus 4X HD d’une batterie conséquente de 2140 mAh quand les en puissance année après année. Après les modèles équipés d’un unique cœur à partir de 1 GHz, puis les doubles cœurs, voici maintenant les processeurs quadcore. La plupart des terminaux présentés ont adopté la plateforme Tegra 3 De Nividia. Celle-ci s’inspire de la solution Optimus introduite par le constructeur sur les ordinateurs portables il y a de cela quelques années. Les quatre cœurs sont épaulés par une puce graphique pour offrir des performances élevés même avec les applications les plus exigeantes. Revers de la médaille, la consommation est élevée et
HTC poursuit dans la droite ligne de sa stratégie 2011, avec une multitude de nouveaux smartphones sous Android attendus dans les mois à venir.
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reportage
Mobile World Congress 2012
Les fabricants japonais Panasonic et Fujitsu mettent en avant leurs smartphones 100% étanches. modèles concurrents se contentent généralement de 1500 mAh en moyenne.
Fujitsu joue la carte de la démesure Le Japon n’était vraiment pas en reste au gré des allées de ce Mobile World congress 2012, notamment avec Fujitsu qui ambitionne de se faire rapidement un nom sur le marché mondial de la téléphonie mobile. Le constructeur a ainsi cherché à se différencier de ses concurrents plus connus en jouant franchement la carte de la démesure. Ainsi, un prototype de smartphone qualifié de plus puissant du monde trônait au beau milieu du stand au Mobile World Congress. Ce terminal sous Tegra 3 s’articule autour d’un grand écran tactile haute définition de 4,6 pouces. Au dos, un impressionnant capteur numérique de 13,1 Mégapixels est intégré pour les photos et les vidéos qui seront-elles aussi capturées en haute définition. Enfin, question de climat ou de prudence, il semble que le Japon accorde une grande importance à l’étanchéité des téléphones. Pour répondre à cette attente, la coque du smartphone de Fujitsu est totalement
étanche. L’ensemble des modèles signés Fujitsu, smartphones et tablettes, étaient d’ailleurs exposés… dans un aquarium rempli d’eau.
Après une année 2011 en demi teinte, LG compte bien revenir en force avec sa gamme Optimus.
Huawei, le Quadcore 100% Made in China Les constructeurs chinois ne sont pas en reste sur le front des solutions quadcore à commencer par Huawei qui va jusqu’à entrer dans le cercle fermé des constructeurs de processeurs pour mobiles aux côtés de Qualcomm, Texas Instrument, Samsung et Nvidia. En effet, Huawei propose sa propre plateforme baptisée Huawei K3V2 et forte d’un processeur quadcore cadencé à 1,5 GHz et épaulé par 16 cœurs graphiques. De quoi partir à la conquête de la planète sans dépendre de qui que ce soit... Le constructeur chinois a présenté deux terminaux qui en seront équipés lors du Mobile World Congress de Barcelone. L’Ascend D Quad est un smartphone sous Android 4.0 Ice Cream Sandwich qui embarque un grand écran de 4,5 pouces. Outre une définition HD (720p), ce dernier offre également une densité de pixels élevée de 330 ppi (pixels par pouce) à l’instar de l’écran Retina de l’iPhone 4S d’Apple. Toujours chez Huawei, la MediaPad 10.1 est une tablette quadcore dotée d’un écran IPS Full HD (1920 x 1080 pixels) de 10,1 pouces. Le constructeur qui insiste sur la qualité de ses produits n’a pas hésité à habiller sa tablette d’une coque unibody. Celle-ci est taillée directement dans l’aluminium à l’instar de l’iPad notamment. Huawei proposera deux versions de la MediaPad 10.1 avec
une connexion LTE pour les marchés qui disposent d’ores et déjà de ce réseau de dernière génération, et le HSDPA+ pour les autres.
ZTE, un smartphone Era comme porte-drapeau ZTE est le dernier constructeur à avoir opté pour la plateforme Tegra 3 de Nvidia. Le constructeur a cherché à créer l’évènement lors du Mobile World Congress en présentant une multitude de nouveaux smartphones, dont le ZTE Era qui représente le nec plus ultra de la marque. Relativement fin, celui-ci intègre d’un écran tactile de 4,3 pouces. On clôturera cette partie du Mobile World Congress dédiée aux terminaux quadcore avec deux tablettes Tegra 3 de 1,5 GHz. Les ZTE PF100 et ZTE 98 sont deux modèles identiques sous Android 4.0 Ice Cream Sandwich. Seule différence notable : la ZTE PF100 embarque un écran tactile de 10,1 pouces quand sa petite sœur se contente d’un modèle de sept pouces.
LG chasse sur les terres du Samsung Galaxy Note
Un impressionnant prototype signé Fujitsu, qui demande de disposer de la poche adéquate pour parvenir à l’y glisser...
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Chez LG, l’Optimus Vu vient chasser sur les terres du Samsung Galaxy Note avec un grand écran 4/3 de cinq pouces. Compatible avec les réseaux LTE qui sont
pourraient bien changer avec le nouvel Atom Z2460 qui équipera un smartphone commercialisé prochainement par Orange. Cadencé à 1,6 GHz, l’Atom Z2460 animera ce smartphone sous Android 2.3 Ice Cream Sandwich. Une mise à jour gratuite vers Android 4.0 Ice Cream Sandwich sera proposée à une date ultérieure. L’écran tactile de quatre pouces affiche une définition proche de la HD, avec 1024 x 600 pixels. Son capteur 8 Mégapixels pourra notamment enregistrer des vidéos. Cellesci pourront être stockées dans la mémoire interne de 16 Go au même titre que tous les autres fichiers de ce smartphone dont on ne connait pas encore le nom.
Un Panasonic Eluga élégant et étanche On l’a vu plus haut, les consommateurs japonais accordent une grande importance à l’étanchéité de leur smartphone. Un argument qui permettra peut-être à Panasonic de se différencier pour marquer son grand retour sur le marché européen. En effet, le constructeur a présenté l’Eluga Power, un smartphone élégant dont la coque aux contours effilés ne dépasse pas les 9,6 millimètres d’épaisseur. Certifié IP57, elle ne craint ni la poussière ni l’eau. Autre caractéristique atypique, Panasonic affirme avoir optimisé les temps de recharge de
asus innove encore avec son padfone deux-en-un
à présent au centre de la stratégie du constructeur coréen, ce smartphone au format d’écran atypique embarque un processeur Snapdragon double cœur de Qualcomm avec une fréquence élevée de 1,5 GHz. Après deux premiers essais de smartphone et de tablette 3D sans lunettes l’an passé, le constructeur propose également un nouveau smartphone 3D sans lunettes avec l’Optimus 3D Max. Celuici intègre deux capteurs de 5 Mégapixels chacun pour que l’utilisateur puisse réaliser lui-même son propre contenu en 3D.
Asus joue la carte de la polyvalence avec le Padfone. Ce smartphone Android 4.0 Ice Cream Sandwich vient se loger dans une tablette dédiée de dix pouces, multipliant au passage l’autonomie par cinq. La tablette peut également se clipser sur un clavier optionnel pour faciliter la saisie et multiplier l’autonomie par neuf, cette fois. Enfin, en cas d’appel le stylet Stylus Headset fait office de combiné via une connexion Bluetooth. L’Asus Padfone propose des caractéristiques de haut niveau à commencer par son processeur Qualcomm Snapdragon S4 de toute dernière génération. S’il se contente de deux cœurs cadencés à 1,5 GHz, il peut dans la pratique aisément rivaliser avec les modèles quadcore. L’écran affiche une diagonale de 4,3 pouces avec la technologie Super AMOLED qu’on connaissait déjà sur le Samsung Galaxy S. Enfin, avec ses 8 Mégapixels et l’aide du processeur S4, l’appareil photo de l’Asus Padfone est en mesure de prendre des photos mais également d’enregistrer des vidéos en haute définition. Les fichiers multimédia seront ensuite stockés dans la mémoire interne de 16, 32 ou 64 Go. Asus n’a pas encore communiqué de prix pour le Padfone et ses accessoires, qui devraient être disponibles courant avril.
Le géant Intel en embuscade sur le nomadisme S’il règne en maître incontesté sur le marché des processeurs à destination des ordinateurs, et ce depuis des décennies, Intel cherche depuis plusieurs années maintenant à proposer une solution rivale à l’architecture ARM. À la clef : s’approprier une partie de la manne d’un marché colossal que se partagent aujourd’hui Qualcomm, Texas Instrument et Samsung, pour ne citer qu’eux. Si les performances des solutions d’Intel ne sont pas contestées, leur enveloppe énergétique a jusqu’à présent posé problème. En effet, une consommation trop élevée n’est pas en adéquation avec un terminal tel qu’un smartphone, qui ne dispose que d’une petite batterie. Néanmoins, les choses infosmobiles
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Mobile World Congress 2012
Le Nokia 808 Pureview présenté à Barcelone intègre un tout nouveau capteur photo 41 mégapixels.
ZTE devrait sortir de nombreux nouveaux modèles de smartphones et de tablettes en 2012.
la batterie. 30 minutes devraient suffire pour une charge à 50% et 57 minutes pour 80%. Dans les entrailles de l’Eluga Power prend place l’incontournable processeur Snapdragon de Qualcomm accompagné par Android 2.3 Ice Cream Sandwich seulement. Enfin, Panasonic suit la tendance des smartphones doté d’un écran de grande taille avec un modèle de cinq pouces doté d’une résolution HD. Plus classique, la mémoire interne offre un espace de stockage de 8 Go et le capteur numérique affiche quant à lui une résolution de 8 Mégapixels.
Emporia toujours au service des seniors connectés S’il est un constructeur qui aura vraiment été à part sur le Mobile World Congress, c’est bien Emporia. Ce dernier n’a que faire des smartphones Android qui inondent les stands de ses concurrents. Emporia se spécialise dans les téléphones à destination des seniors. Cette année, l’accent était mis sur le design des terminaux, pour sortir des clichés du genre tout en gardant les attributs spécifiques 16
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à la marque. Tous les téléphones Emporia disposent ainsi d’une touche d’appel d’urgence au dos de la coque. Une simple pression suffit pour composer automatiquement un numéro prédéfini. Emporia présentait notamment l’Emporia Elegance Plus, un téléphone monobloc simple d’emploi doté de larges touches destinées à faciliter la numérotation. Proposé à partir de 99 €, il bénéficie en outre de raccourcis astucieusement dissimulés dans les tranches, de part et d’autre du téléphone. Enfin, l’écran couleur, bien que de taille modeste, affiche des caractères dont la taille est ajustable. Emporia s’adresse également aux seniors encore actifs avec le Solid Plus. Certifié IP67, ce téléphone durci résiste non seulement aux chocs mais également à la poussière et à l’eau. Il pourra même rester immergé jusqu’à un mètre de profondeur pendant 30 minutes. Son prix est fixé à 149 €. Enfin, le Safety Plus justifie son prix de 259 € avec un terminal qui s’accompagne d’une montre. Cette dernière ne se contente pas d’indiquer l’heure en intégrant une fonction d’appel d’urgence, bien pratique quand le téléphone est hors d’atteinte.
à conquérir l’Europe. Celui-ci s’inscrit dans la tendance des smartphones dotés d’un grand écran avec un modèle ClearBlack AMOLED de 4,3 pouces. Si ses caractéristiques techniques sont identiques à celles du Nokia Lumia 800, son grand frère marque néanmoins sa différence avec un capteur numérique en façade. Celui-ci sera notamment utile pour les vidéoconférences via l’application Skype qui arrive enfin en version beta sur le Windows Market Place. Autre différence notable, en l’absence de LTE, le Nokia
Des pixels à la pelle avec le Nokia 808 Pureview Si Fujitsu a dévoilé un smartphone doté d’un capteur photo de 13,1 Mégapixels dans les mois à venir, Nokia a frappé un grand coup avec le Nokia 808 Pureview. Etonnamment, ce smartphone de tous les records reste fidèle au système d’exploitation Symbian, alors que le constructeur finlandais s’investit de plus en plus dans Windows Phone. Le Nokia 808 Pureview inaugure un tout nouveau capteur photo de 41 Mégapixels. Un capteur classique de cette taille générerait des fichiers trop volumineux pour être partagés sur les réseaux mobiles. Nokia a donc préféré aller dans une autre direction. Le Nokia PureView 808 récupère ainsi les informations de sept pixels adjacents avant de les compresser en un seul. À la clef, l’utilisateur sera en mesure de zoomer pratiquement à l’infini dans une image pour en ausculter le moindre détail. Nokia qui doit aussi faire face à une concurrence acharnée sur le marché des smartphones étoffe ses gammes sous Windows Phone avec deux nouveaux terminaux dotés du système d’exploitation de Microsoft. Dévoilé au CES de Las Vegas en janvier dernier et jusqu’à présent réservé au marché américain, le Lumia 900 s’apprête
Huawei a impressionné les visiteurs du Mobile World Congress avec ses nouveaux smartphones, dont l’Ascend D Quad.
Lumia 900 proposera une connexion HSDPA deux canaux pour des débits pouvant atteindre 42,2 Mbits/s.
L’entrée de gamme, relais de croissance À l’instar des features phones qui ont connu leur moment de gloire au début des années 2000, l’offre de smartphones abordables s’étoffe chez tous les constructeurs. Nokia qui conserve sa place de numéro un mondial de la téléphonie mobile, notamment via les marchés émergents, propose ainsi de nouveaux modèles dans la gamme Asha. Basée sur le système d’exploitation Serie 40,
Comment peut-on faire entrer autant de Mégapixels dans un boîtier de smartphone ? Nokia fait la course en tête et prouve à qui en doutait encore sa capacité de rebond et d’innovation.
celle-ci a dépassé le milliard et demi de téléphones vendus en janvier dernier. Les Nokia Asha 202 et 203 sont deux téléphones qui offrent à la fois un écran tactile et un vrai clavier aux prix respectifs de 89 et 79 €. Si leurs caractéristiques techniques sont identiques, le Nokia Asha 202 se distingue néanmoins avec deux emplacements pour des cartes SIM. Le Nokia Asha 302 (129 €) va plus loin avec le support de Microsoft Exchange en plus de la connexion 3G+. Un navigateur optimisé est également de la partie pour offrir une expérience similaire à un smartphone d’après Nokia qui destine ce terminal aux amateurs de réseaux sociaux ainsi qu’aux professionnels. Enfin, outre les
L’Emporia Safety Plus est associé à une montre intègrant une fonction d’appel d’urgence.
tarifs des nouveaux terminaux dévoilés à Barcelone, Nokia tente de séduire les joueurs en offrant 40 jeux à télécharger dans le catalogue d’Electronic Arts d’une valeur de 75 euros. Le géant finlandais décline également sa gamme Lumia avec un nouveau modèle commercialisé à moins de 250 €. Le Lumia 610 s’adresse à un public plus jeune qui pourra s’initier à Windows Phone à moindre coût. Décliné en quatre coloris (blanc, cyan, magenta et noir), ce smartphone arbore un écran de 3,7 pouces et propose un appareil photo de cinq mégapixels. Côté mémoire interne, le Nokia Lumia 610 dispose d’un espace de stockage de 8 Go.
Comme le HTC One S, le Xperia P dispose d’un appareil photo de 8 Mégapixels avec des raffinements tels que la détection des visages et des sourires, ainsi que la géolocalisation. Le Sony Xperia P se différencie toutefois avec sa connexion NFC qui facilite l’appairage avec les terminaux compatibles mais aussi le paiement sans fil une fois que celui-ci sera plus répandu. À noter également que si HTC propose d’emblée Android 4.0 Ice Cream Sandwich, il faudra attendre une mise à jour pour en disposer chez Sony qui se contente
Des gammes toujours aussi étendues pour HTC Outre le HTC One X, HTC décline également la nouvelle famille HTC One avec deux autres modèles destinés au milieu et à l’entrée de gamme. Contrairement à son grand frère, le HTC One S embarque un processeur dualcore uniquement. Toutefois, il s’agit du tout dernier Snapdragon S4 de Qualcomm. Celui-ci est censé rivaliser avec les solutions à quatre cœurs dans les applications courantes, notamment grâce à une fréquence d’horloge de 1,5 GHz. Habillé d’une coque en métal très réussie de seulement 7,9 millimètres d’épaisseur, le HTC One S propose en outre un écran tactile d’une diagonale de 4,3 pouces avec une définition de 540 x 960 pixels. Face à lui, Sony n’est pas en reste avec son nouvel Xperia P. Son écran bénéficie de toute l’expertise du géant japonais avec des technologies issues de la télévision HD. Sony WhiteMagic et Mobile Bravia devraient ainsi permettre d’offrir un meilleur rendu, notamment en plein soleil.
Nokia renouvelle son entrée de gamme avec une collection d’Asha hauts en couleur, fonctionnels et pas chers.
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Mobile World Congress 2012
Peu à peu, la technologie de paiement sans contact NFC s’invite à bord de l’ensemble des smartphones.
un écran tactile de 3,5 pouces et un processeur double cœur cadencé à 1 GHz. L’appareil photo de 5 Mégapixels dispose d’un autofocus et d’un flash LED tandis que la mémoire offre 4 Go pour le stockage. De son côté le HTC One V a comme un air de déjà-vu. Il faut dire qu’il reprend le design réussi du HTC Legend avec une coque unibody taillée directement dans un seul bloc d’aluminium. Néanmoins HTC n’a communiqué aucune information sur ce smartphone, attendu au début du deuxième trimestre 2012.
pour le moment d’Android 2.3 Gingerbread. Il reviendra aux HTC One V et au Sony Xperia U d’occuper le créneau en entrée de gamme. Ce dernier adopte le même design que les Xperia S et Xperia P avec notamment un insert transparent en bas de l’écran. Celui-ci participe activement au design du terminal en s’illuminant de différentes couleurs en fonction de l’affichage à l’écran. Côté caractéristiques techniques, on découvre cette fois
Alcatel One Touch, roi de la guerre des prix Spécialisé dans les solutions abordables, Alcatel One Touch a profité du Mobile World Congress pour dévoiler ses nouvelles gammes articulées autour de trois mots clefs : simplicité, différent et intelligent. Premier prix, l’Alcatel One Touch 282 Be Simple (30 €) n’est pas sans rappeler les téléphones proposés
un picoprojecteur dans un smartphone samsung Que ne peut-on intégrer dans le fin boîtier d’un smartphone ? Plus besoin de se connecter, il suffit de projeter ses contenus. Si tous les smartphones fonctionnant sous Android ont la fâcheuse tendance de se ressembler, certains constructeurs font néanmoins des efforts louables pour se démarquer. C’est le cas de Samsung qui proposera le Galaxy Beam, un smartphone classique de quatre pouces qui intègre un pico projecteur de 15 lumens dans sa coque de 12,5 millimètres d’épaisseur. Celui-ci est ainsi en mesure de projeter des images de 127 centimètres de large sur un mur blanc, par exemple. Astucieux : Android Beam permet de partager les photos avec un autre appareil Android compatible NFC d’une simple pression sur l’écran, sans avoir à lancer une application ou à appairer les deux téléphones. Android Beam permet également de partager des contacts, des applications, de la musique ou des vidéos instantanément via la technologie NFC. 18
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Acer a décidé de proposer la technologie NFC à l’ensemble de ses nouveaux smartphones.
par le constructeur Emporia. En effet, ce terminal se destine lui aussi aux seniors avec des fonctionnalités très basiques et surtout un bouton d’alerte afin d’appeler instantanément un numéro d’urgence. Parmi les modèles de la gamme « Be different », Alcatel One Touch met l’accent sur l’Alcatel One Touch 810 Glam. Destiné à un public féminin, il arbore un design de poudrier avec une coque laquée qui dissimule un écran LED sur la face avant. Outre l’heure, celui-ci affiche discrètement les notifications en cas de message ou d’appel. Véritable accessoire de mode, son prix de 80 € permet de l’envisager comme deuxième téléphone pour briller en soirée. A noter que l’Alcatel One Touch 810 Glam peut accéder aux réseaux sociaux (Facebook et Twitter) grâce à son système d’exploitation propriétaire. Le constructeur n’oublie pas non plus les adeptes de smartphones avec la la gamme « Be Smart » forte de différents modèles. Parmi eux, on notera l’Alcatel One Touch 918 (115 €), l’Alcatel One Touch 991 (140 €) et l’Alcatel One Touch 995 Ultra (250 €). Le premier est un smartphone basique sous
EMily : Facebook sur #nokialumia c’est la classe, facile à utiliser et clair. m-Business 2.0 : Nokia Lumia 800... Un téléphone très réussi !
La présentation par Nokia d’un smartphone doté d’un capteur de 41 Mégapixels aura été l’un des moments forts de l’édition 2012 du Mobile World Congress.
Android 2.3 Gingerbread. Il est doté d’un écran tactile de 3,2 pouces et d’un appareil photo de trois mégapixels. Décliné dans quatre couleurs, le One Touch 918 sera également disponible dans une version double SIM. L’Alcatel One Touch Smart 991 offre un écran tactile plus grand (quatre pouces) et un capteur VGA est intégré sur la face avant pour la vidéoconférence. Il se décline en trois couleurs (orange, violet ou
turquoise) pour apporter une touche de fantaisie. Enfin, l’Alcatel One Touch Ultra 995 est doté d’un écran de 4,3 pouces. Haut de gamme chez le constructeur, il inaugure une interface sous forme de carrousel et pourra bénéficier d’une mise à jour gratuite vers Android 4.0 Ice Cream Sandwich d’ici l’été. Alcatel One Touch ne sera pas le seul à proposer des smartphones Android 4.0 ICe
Cream Sandwich à des prix agressifs.
Acer tout en rondeurs et tout en couleurs Acer s’est également illustré avec le Liquid Glow annoncé quelques jours avant l’ouverture du salon. Ce smartphone tout en courbes sera disponible cet été dans différents, rose, blanc ou noir. infosmobiles
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GOTCHA : Simple, rapide, réactif et complet. Yannick : Nokia Lumia 800 + Zune sur PC = un régal :-) Fred : Le vrai GPS avec
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Mobile World Congress 2012
Pour le meilleur des deux mondes, le stylet fait son retour pour accompagner les tablettes tactiles. Côté design, l’affichage de l’écran tactile varie en fonction de la couleur de la coque. Avec le Liquid Glow, Acer va à l’opposé des canons actuels en proposant un écran modeste avec une diagonale de 3,7 pouces seulement. En contrepartie, la résolution de 480 x 800 pixels permet d’offrir une densité de 252 pixels par pouce. Les connexions habituelles sont au rendezvous (HSDPA, Wi-Fi n et Bluetooth A2DP) sans oublier le NFC. Acer a d’ailleurs précisé que cette technologie sera dorénavant intégrée dans tous ses smartphones. Voilà une belle façon de précéder la tendance et de mettre e avant une technologie appelée à transformer les smartphones en un véritable porte-monnaie dématérialisé, une fois les commerces et services publics suffisamment équipés.
De nouvelles Samsung Galaxy Note à l’horizon Le succès des smartphones géants de Samsung aidera-t-il le constructeur coréen à partir avec succès à la conquête du marché des tablettes ?
Le Mobile World Congress 2012 aura également permis de découvrir les nouveautés des différents constructeurs, hors Apple, en matière de tablettes. Outre les modèles quadcore vus plus haut, il était ainsi possible de prendre en main les tablettes telles que la Samsung Galaxy Note 10.1. Déclinaison de 10 pouces du fameux Galaxy Note, elle n’est pas sans rappeler la Galaxy Tab 10.1 du géant coréen. On notera la présence de deux haut-parleurs de part et d’autre de l’écran tactile qui permettent de différencier en un clin d’œil les deux cousines. Plus puissante, la Galaxy Note 10.1 embarque pour sa part un processeur double cœur cadencé à 1,4 GHz. Un logement est également prévu pour insérer une carte SIM afin de passer des appels téléphoniques. Du côté des applications, la Galaxy Note 10.1 profite de S Memo et S Note. Comme son nom l’indique, S Memo est destiné à la prise de notes manuscrites à l’aide du stylet qui est fourni par Samsung. S Notes est une application similaire qui dispose de Les deux atouts des nouveaux modèles signés Alcatel One Touch : un design véritablement différenciant et un excellent rapport qualité-prix.
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la voix, gratuit ! Dubois Nicolas : Le Nokia Lumia est un véritable bureau portable.
fonctions avancées. En effet, plusieurs modèles prédéfinis sont disponibles afin de créer des documents plus élaborés, tels qu’une carte postale personnalisée ou même un site Web.
ZTE et Fujitsu sur le marché des tablettes tactiles
83 % DES UTILISATEURS LE RECOMMANDENT* MAIS LE PLUS AMAZING C’EST CE QU’ILS EN DISENT.
À l’opposé, ZTE applique la même recette aux tablettes qu’aux smartphones. Le constructeur multiplie ainsi les références et présentent deux tablettes pour le milieu et l’entrée de gamme à côté des modèles quadcore. La ZTE V96 est une tablette Android 4.0 Ice Cream Sandwich de dix pouces. Elle renferme un processeur Qualcomm double cœur cadencé à 1,7 GHz. Plus modeste, la ZTE V9S adopte elle aussi une solution à base de processeur double cœur fourni par Qualcomm. La fréquence d’horloge est limitée à 1,2 GHz et Android 3.2 Honeycomb sera installé de série. Enfin, Fujitsu joue une fois de plus la carte de l’étanchéité avec sa tablette Arrows. Tout comme le smartphone du constructeur, celle-ci baignait carrément dans un aquarium. Le reste des caractéristiques est néanmoins plus classique avec un écran HD et un processeur double cœur cadencé à 1 GHz. Et si Android 2.3 Gingerbread est installé d’origine, il se dit que Fujitsu pourrait proposer une mise à jour vers Android 4.0 Ice Cream Sandwich.
Les consommateurs vont-ils suivre les constructeurs ? Au final, cette édition 2012 du Mobile World Congress aura prouvé une fois de plus que les constructeurs ont bien du mal à se différencier sur le marché du smartphone Android. Si la course à l’armement reprend de plus belle avec les processeurs quadcore, il n’est pas certain que les consommateurs suivront pour autant cette course à la puissance . À l’inverse, les écrans de plus en plus grands semblent gagner les faveurs du public. Samsung, qui fut le premier à se lancer dans la brèche avec son Galaxy Note, est à présent imité par plusieurs concurrents qui voient là un nouveau débouché. En attendant la 4G qui promet des débits proches de l’ADSL sur mobile, et qui permettra aux grand opérateurs nationaux de marquer eux aussi leur différence avec Free Mobile. u
DAS : 0,94 W/kg (1)
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* Sur 3 200 utilisateurs de Nokia Lumia 800 au 31/12/2011 – Source Nokia. (1) Le DAS (débit d’absorption spécique) des téléphones mobiles quantie le niveau d’exposition maximal de l’utilisateur aux ondes électromagnétiques, pour une utilisation à l’oreille. La réglementation française impose que le DAS ne dépasse pas 2 W/kg. Nokia et Nokia Lumia 800 sont des marques déposées de Nokia Corporation. Microsoft, Windows et le logo Windows sont des marques déposées de Microsoft Corporation. Les autres noms de produits et de sociétés mentionnés sont des marques déposées ou des noms commerciaux appartenant à leurs propriétaires respectifs. Visuels non contractuels. Tous droits réservés. © 2012 Microsoft Corporation. © 2012 Nokia. R.C.S. Paris B 493271522.
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reportage ascendeo
ascendeo, l’accessoire à l’échelle européenne Véritable pure player de l’accessoire, ascendeo est à même d’accompagner ses clients sur l’ensemble de l’Europe de l’ouest. Entre marques exclusives et muvit, la marque maison qu’ascendo fabrique et commercialise, focus sur une joint venture à l’échelle paneuropéenne.
L
es amoureux invétérés de produits Apple n’ont pas besoin qu’on leur présente muvit, la marque d’accessoires créée par ascendeo France, qui auparavant s’appelait Manhattan, puis MCA. Il faut dire que, bien avant que l’iPhone n’existe, dès 1995, la société concevait et vendait des gammes d’accessoires design et bien pensés à même de compléter les produits Apple. « C’est tout sauf une marque de distributeur, explique Philippe Lang, directeur général d’ascendeo France. Elle est distribuée par Apple. Même avant l’iPhone, nous concevions déjà des accessoires pour l’iPod, à une époque où il n’y avait pas d’iPhone. Cela nous a donné un niveau d’exigence en termes de qualité qui n’existait pas en téléphonie, qui fait de muvit une marque à la croisée entre technologie et mode. Dans son positionnement, on retrouve
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différentes valeurs : c’est une marque associée à la jeunesse, à la mobilité, à l’international. Et puis nous avons une équipe de designers qui travaillent sur la marque, basés moitié ici et moitié à Milan. Ils viennent tous de l’univers Apple, ils ont Apple dans les gènes. »
Une joint venture à l’échelle européenne
À chacun son pays, à chacun la connaissance fine de son marché : la joint-venture ascendeo, créée en 2008, regroupe en fait quatre entreprises, une par pays d’Europe de l’ouest, quatre accessoiristes en mobilité, chacun pure player sur son marché. « On ne vend pas de téléphone, d’abonnement, on ne fait que de l’accessoire», souligne Philippe Lang. Notre joint venture regroupe ascendeo France, une société en Hollande, la deuxième du pays (qui couvre le Benelux
depuis Amsterdam), une société en Italie et une dernière en Espagne. »
Un marché en pleine concentration L’ambition de cette association : bâtir un acteur paneuropéen proactif sur la concentration du secteur. « En 2008, il s’agissait d’un secteur en devenir. Aujourd’hui, l’actualité est à la concentration, chez nos clients et chez nos fournisseurs, explique le directeur général d’ascendeo France. Globalement, l’industrie est en concentration dans notre métier de distributeur, coincé entre clients et fournisseurs. Notre stratégie est de bâtir un acteur paneuropéen proactif sur la concentration du secteur, qui l’accélère. » Cela permet aussi à ascendeo d’accompagner certains de ses clients sur un déploiement européen. « Mais nous le faisons en connaissant les particularités, les différences sur chaque marché, du fait des goûts, des subventions des opérateurs. L’idée est de pouvoir convaincre un client, comme Auchan ou la Fnac avec qui nous aurons un accord cadre européen, qui désirent avoir un partenaire unique pour fabriquer et distribuer
Avec une équipe de six designers basés à Paris et Milan, ascendeo propose des accessoires à mi chemin entre mode et technologie, tel ce casque I’m DJ.
ascendeo france en chiffres • Conçoit des accessoires depuis 1995 ; • Joint venture créée en 2008 ; • Plus de 6 000 références en France.
des accessoires. Mais il faut avoir l’expertise du marché dans les pays pour les accompagner sur l’ensemble des services. Nous sommes persuadés qu’il faut cultiver la proximité avec le client, et proposer des services locaux pour les accompagner. »
Une pléïade de marques fortes et originales Avec plus de 6000 références en France, ascendeo se place en challenger derrière Modelabs sur le marché des accessoires. Son arme secrète : des produits originaux. « Nous proposons Maloperro, une marque qui marche très bien, détaille Philipe Lang, White Diamonds, une société allemande, Barça, dont nous avons la licence mondiale, du fait de notre présence à Barcelone. Nous fabriquonds aussi les accessoires pour mobile Crémieux, une marque CSP+. Et nous allons bientôt sortir une gamme plutôt féminine, sous la marque Brigitte Bardot, qui devrait faire des scores très forts à l’export. Effectivement, quand nous mettons nos clients face à l’ensemble des marques que nous proposons, ascendeo propose une véritable diversité de formes, de couleurs, de goûts... L’effet synergique est assez fort. Si l’un de nos fournisseurs veut se développer plus rapidement, nous lui proposons d’entrer dans plus de 20 000 points de vente. Et si nous avons du succès auprès de nos clients, c’est aussi parce que nous sommes
un bon fournisseur. Notre succès, on le leur doit aussi. À nous de plaider auprès de nos clients pour une répartition équitable de la valeur ajoutée. »
muvit, la plus verte des marques de mobilité Une des autres qualités des produits fabriqués par ascendeo France sous la marque muvit ne se voit peut-être pas toujours au premier coup d’œil, mais s’apprécie au fil du temps : le respect de l’environnement. « Sur le territoire de marque de muvit, nous veillons à être le plus vert possible. Nous avons lancé un projet baptisé Respira avec le certificateur SGS, qui a abouti en novembre dernier. Nous sommes les premiers à avoir fait l’effort de calculer les traces carbone précises des accessoires fabriqués, depuis les composants et l’assemblage jusqu’au transport, à l’utilisation en France, sans oublier leur recyclage ou leur destruction... Nous sommes devenus la référence paneuropéenne pour SGS, avec ce projet. À des clients très engagés, citoyens du monde, nous avons expliqué que nos produits ont impact environnemental faible, et proposé de réduire leur trace carbone de 40% sur une période de trois ans. Nous mettons aussi nos clients face à leur responsabilité. Nous sommes capable de faire un certain nombre de choses, mais il faut aussi que les enseignes acceptent de
jouer le jeu. Nous avons remplacé le PVC des emballages par du PETG, qui se décompose beaucoup mieux. Nous proposons même une coque en maïs, des produits en bois couché, des écouteurs en bambou... ». ascendeo est également depuis peu une des trois sociétés autorisées par Sony à fabriquer des accessoires pour la gamme Xperia : « ils adorent nos produits, se réjouit Philippe Lang. Ils sont plus verts que verts, avec des règles en interne en sus des règles européennes, un degré supérieur de contraintes sur les produits. Ils sont notamment pointus en ce qui concerne l’usage des chlorydes utilisés pour délaver. Le niveau d’exigence de Sony est bien supérieur à celui de Samsung, qui n’a pas le même souci environnemental. Mais c’est une bonne école, nous avons aussi appris avec eux, sans oublier les synergies avec notre équipe design à Paris. On essaye en permanence de développer de nouveaux services pour nos clients, de fournir de nouveaux canaux de distribution à nos fournisseurs. Au fond, nous fonctionnons un peu comme Apple : quand vous achetez, vous devez pouvoir avoir accès à un écosystème, un environnement complet, des accessoires et tous les services de plus en plus différenciants à proposer autour. » Et vu le succès d’Apple, ascendeo devrait comme la célèbre marque à la pomme poursuivre sa trajectoire...
ascendeo est le premier distributeur des produits Jabra en France, dont cette nouvelle collection tout spécialement conçue pour les sportifs.
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observatoire Marché Les SoLoMo Android
Comment satisfaire les SoLoMo ?
Entendre ceux qui se
Les SoLoMo, c’est quoi ? Un nouvelle acronyme pour une nouvelle clientèle, sociale, locale et mobile, qui ne quitte jamais son smartphone et peut se géolocaliser à tout moment. Mais comment parvenir à satisfaire une cible aussi nomade et connectée ? Civiliz, nouvelle plateforme de dialogue client, a réalisé une étude sur le comportement dans les magasins de cette nouvelle génération.
taisent
Satisfaire ses clients est important, mais réussir à capter les voix de ceux qui se taisent ou qui s’expriment ailleurs est devenu une réelle demande de la part des enseignes. Avec le développement et l’importance des réseaux sociaux, une nouvelle génération de consommateurs a vu le jour : les SoLoMobiles, baptisés ainsi par la société Civiliz, en référence au terme SoLoMo, créé aux USA pour résumer la combinaison des tendances Sociales, Locales, Mobiles. Le smartphone est l’outil de communication favoris des SoLoMobiles qui l’utilisent pour partager des avis, rester actifs sur les réseaux sociaux et pour pouvoir se géolocaliser à tout moment.
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Amateurs de tweets et d’avis géo-localisés Ces nouveaux consommateurs, plus exigeants sur la qualité des services proposés, s’expriment de facon plus naturelle et spontanée que les autres clients. Ce sont donc des personnes à suivre par les marques et les enseignes ! Possesseurs de smartphone, âgés de 15 à 35 ans, les SoloMo sont deux fois plus actifs que la moyenne des Français sur les réseaux sociaux. Ils se géo-localisent, commentent les blogs et s’expriment quatre fois plus sur Twitter que l’ensemble des Français.
Des clients surinformés et qui s’estiment majoritairement mal accueillis
Plus on est connecté et amateur de réseaux sociaux, plus on en sait, et moins on est patient ! Près de 57% des SoloMobiles déclarent avoir été mal accueillis dans un point de vente au cours du dernier mois. Pour le reste des consommateurs, ils ne sont que 37 % à déclarer la même chose. Vérité ou perception personnelle ? Dur à distinguer...
Des clients mécontents mais discrets qui s’informent par eux-même
Les avis sur les commerces locaux se multiplient Avec 45 millions d’internautes en France, quoi de plus logique que tous ces consommateurs se transforment en consom’acteurs et partagent leurs goûts et passions en ligne ? La preuve : en 2011, ils ont posté pas moins de 1,1 million d’avis en ligne sur des commerces locaux : hôtel, restaurant, bar... À titre de comparaison, l’Allemagne, qui compte 65 millions de personnes connectées, n’a engendré que 612 000 commentaires postés en ligne. La raison de cette véritable explosion : le boom des applications SoLoMo (Social, Local, Mobile), qui permettent à chacun de commenter les lieux où l’on se trouve depuis l’écran de son smartphone. Nomao a ainsi répertorié, dans son étude publiée en mars dernier, cinq catégories de lieux commentés en ligne par les clients SoLoMo : manger, se loger, visiter, faire du shopping et vivre la nuit. En étudiant les termes utilisés, Nomao a constaté que les Français et les Anglais apportent plus de’importance au service et à l’accueil, “Accueil chaleureux” étant le terme positif le plus utilisé par les Français. Nos voisins européens, eux, privilégient le cadre. Les termes les plus négatifs utilisés dans les avis ont très logiquement trait à la piètre qualité du service et aux prix élevés.
Si les SoloMo ne sont pas satisfaits, ils ne sont guère différents dans leur réaction de la moyenne des Français : un quart a décidé de ne pas retourner dans ce magasin, soit un peu moins que la moyenne, 20% en ont parlé autour d’eux. Un sur quatre n’a pas réagi, par manque d’habitude. Un bon quart a fait une remarque au vendeur. Mais seuls 1% des SoLoMo ont écrit une lettre de réclamation, contre 5% en moyenne. Moralité : s’ils ne sont pas satisaits, ce n’est pas si facile de le savoir, et de ne pas perdre leur clientèle parfois volatile. D’autant plus que pour se faire une idée sur un magasin, ils feront plutôt confiance aux canaux d’information indépendants (sites d’avis de consommateurs et associations de consommateurs) qu’au service clients de l’enseigne.
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Accessoires
Services compris Nomadisme connecté oblige, l’écosystème d’accessoires au service des smartphones et des tablettes ne cesse de s’élargir. Tour d’horizon des dernières nouveautés à emporter, services compris.
Faites vos jeux
Les amateurs de jeux vidéo vintage vont transformer leur iPad en console de jeu, avec cet iCade Core, qui embarque Pac-Man, Asteroids, Centipede, Battlezone et 200 autres jeux qui ont traversé le temps. Ion Audio Icade Core
À projeter
Il est encore loin, le temps où tous les smartphones intègreront un picoprojecteur. En attendant, celui-ci se glisse en poche pour se connecter à un smartphone ou un PC et projeter l’équivalent d’un écran plat sur n’importe quel mur, avec une luminosité de 80 lumens, une résolution de 854 x 480 pixels et un contraste de 1000:1. Sagemcom Picopix PPX2480
Voilà l’été
Accessoire de mode oblige, la collection printemps-été 2012 du spécialiste en maroquinerie haute couture pour appareils mobiles s’habille de couleurs ensoleillées, tel ce fourreau vertical orange et blanc grainé. Issentiel Rayures
Au contact
Le plus grand ennemi des smartphones ? C’est la mauvaise chute... Ascendeo propose désormais les coques indestructibles signées Otterbox, dont ce modèle compatible iPhone 4 et 4S. Otterbox, Impact noire
Haute protection
Astucieux : le rabat de cet étui pour iPhone 4 et 4s est doté d’ouvertures pour pouvoir répondre aux appels et consulter l’heure sans avoir à le retirer. Macally Flip
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De haut vol
Un module à connecter à son iPhone suffit pour télécommander ce mini hélicoptère d’assaut via un joystick virtuel. Il suffit d’appuyer sur l’écran tactile du smartphone pour lancer ses six missiles. Griffin Helo TC
Pur son
T’nB propose un bundle dédié à la gamme Pure, intégrant un casque audio Pure et les écouteurs assortis. Proposé en 3 coloris,noir, blanc et rose, ce casque est équipé d’un bandeau en toile nid d’abeille et de coussinets en topskin uni- color, qui le rendent aussi confortable que branché. La qualité d’écoute permet à chacun de s’évader au son de ses morceaux préférés. T’nB Pure
Avis aux vengeurs
La déferlante des vengeurs arrive en salle, réveillant le mythe des super-héros made in América. Une excellente occasion d’arborer une coque pour iPhone et iPod Touch vintage ornée d’un des huit personnages de comics immortels, de Hulk à Iron Man en passant pas Spiderman et Captain America. Chaque étui est livré dans un emballage Edition collector. PDP, coque Marvel
De bon son
Au volant
Ce câble jack 3,5 mm / 3,5 mm intègre un micro et un bouton décrocher-raccrocher. Il se connecte au smartphone et à la prise auxiliaire du véhicule, pour se servir de son smartphone comme d’un kit mains libres, écouter la musique ou les consignes du GPS, en utilisant directement les haut-parleurs de la voiture. Cellular line, câble auto
Cuir et classe
Classée parmi les PME françaises les plus prometteuses, Noreve Saint-Tropez dévoile avant l’été ses nouveaux modèles d’étuis cuir haute qualité pour smartphones, tablettes et autres produits nomades : nouveau logo, finition intérieure encore plus soignée, et texture et coloris désormais assortis au cuir extérieur. Etuis Noreve Saint-Tropez
Ces mini enceintes dotées de 8 h d’autonomie possèdent un châssis en métal avec une suspension basse fréquence faisant office de caisse de résonnance. Le modèle Bluetooth intègre également un micro pour recevoir des appels en mains libres. Ryght Y-Storm
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À vue d’oeil
Il suffit de porter ces lunettes 3D, autonomes ou à connecter à son smartphone ou sa tablette, pour avoir devant les yeux l’équivalent d’un écran géant vu à 20 mètres de distance. Leur télécommande au format poche sous Android 2.2 permet d’accéder à Internet, de visionner des vidéos Mpeg 4, ou de consulter ses dossiers et applis... Epson Moverio BT-100
Le bon rayon
Ce chargeur solaire portable pour objets nomades possède 4 oeillets de fixation pour s’adapter aux surfaces courbes et à tout type de support : vitres, sacs, sol... Il pèse seulement 260 g et fait à peine la taille d’un agenda une fois plié. My mobile power Power 6 USB
Dans le bain
Sans dessus-dessous
Tête en haut ou tête en bas ? Ce socle ultra-fin permet de fixer son iPad 2 dans la position que l’on veut, posé sur une table ou suspendu lorsqu’il est vissé à un placard. Le support magnétique permet d’insérer ou d’ôter rapidement l’iPad. Macally Magstand
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Les smartphones craignent l’eau, c’est connu. Hormis les rares modèles étanches, bien sûr... Cet étui proposé en noir ou en jaune est étanche jusqu’à 6 mètres de profondeur. L’Aquabox protège votre smartphone de l’eau, du sable, de la poussière et des chocs. Sa membrane de silicone transparente laisse accès à toutes les fonctions tactiles, sonores et vidéo. Enfin, cet étui est rendu insubmersible grâce à un bracelet flottant. Vog Import Aquabox 200
Vidéos volantes
Parrot vient d’améliorer son célèbre drone commandé par iPhone : désormais, le célèbre quadricoptère high-tech pilotable en Wi-Fi depuis un smartphone ou une tablette intègre une caméra HD pour enregistrer puis partager vidéos et photos. Grâce à la nouvelle appli de pilotage AR.FreeFight 2.0, les joueurs peuvent enregistrer les vidéos et photos de leurs vols en HD sur la mémoire de leur smartphone ou de leur tablette, et les partager en quelques clics avec la communauté AR.Drone via YouTube ou Picasa. Parrot AR Drone
Esprit design
Disponible en deux couleurs, Nuage ou Asphalte, cette coque design est conçue en polycarbonate structuré. Elle arbore une plaque en métal brossé et un design gaufré alternant finition mat et glossy. Belkin Meta
En musique
Complet et polyvalent, ce StudioConnect permet de contrôler, composer, jouer et écouter sa musique partout, tout en rechargeant son iPad. Il combine l’audio et le recording MIDI (Musical Instrument Digital interface), pour des enregistrements de niveau professionnel. Griffin StudioConnect
Son de luxe
Ce casque haut de gamme garantit une image sonore aérée idéale pour tous les amateurs de Hi-Fi et de Home Cinéma. Il propose un son stéréo sans compression de la dynamique, grâce à la technologie de transmission sans fil numérique développée par Sennheiser. Sa portée va jusqu’à 100 m en champ libre et 30 m en intérieur. Sennheiser RS 220 infosmobiles
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Sony Xperia S Deux cœurs vrombissants
Fiche technique DAS : 1,30 W/kg Dimensions : 128 x 64 x 10,6 mm Poids : 144 g Taille écran : 4,3 pouces Résolution : 720 x 1280 pixels 3G/3G+ : Oui/Oui Bluetooth/Wi-Fi/GPS : Oui/Oui/Oui Capture Photo : 12 Mégapixels Capture vidéo : 1920 x 1080 pixels Mémoire interne : 32 Go OS : Android 2.3 Gingerbread + interface Sony Batterie : 1750 mAh Autonomie en appel / en veille : 7h30 30
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Après avoir repris du poil de la bête en 2011, Sony (sans Ericsson) compte bien redevenir un acteur majeur de la téléphonie mobile en 2012. Pour y parvenir, il s’appuie sur une nouvelle gamme de smartphones Android, dont le Xperia S est la figure proue.
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l existe des mobiles plus marquants que d’autres dans la carrière d’un constructeur. Le Xperia S fait assurément partie de ceux-là. Il s’agit en effet du smartphone des grandes premières pour le Japonais. D’une part, il est le tout premier à sortir sous la seule marque de Sony, depuis que ce dernier a racheté les parts d’Ericsson dans leur coentreprise Sony Ericsson. D’autre part, cet appareil est aussi le premier modèle de la marque à disposer d’un processeur double. Enfin, son écran HD de 1280 x 720 pixels est également une nouveauté chez Sony. Sans préjuger des ventes que fera le Xperia S, il est certain
d’occuper une place de choix au palmarès de Sony. Mais ce ne sont pas ces considérations qui feront pencher la balance en sa faveur quand viendra l’heure du choix pour les clients en boutique. Heureusement, Sony n’a pas laissé son bébé désarmé face à la concurrence. Au contraire même, puisque la fiche technique de ce smartphone est elle aussi de haute volée.
Un design identitaire À l’heure où la plupart des smartphones concurrents affichent des designs assez semblables, constitués de bloc de plastique
noir ou blanc, Sony arrive encore et toujours à se démarquer de la meute. Évidemment, avec un écran 4,7 pouces, cet Xperia S ne saurait boxer dans la catégorie des poids plumes en termes d’encombrement. Heureusement, il est assez étroit et offre du coup une prise en main agréable. Ses 144 grammes sur la balance ne passent pas non plus inaperçus. Mais, comme pour l’encombrement, le poids ne pose pas de problème. Toutefois, ces mensurations font que ce smartphone semble plutôt s’adresser à une clientèle assez masculine. Sony a opté pour un design quasi identique pour ses Xperia S, U et V. Le format est assez anguleux en façade, et dispose d’un arrière légèrement bombé. Dans l’ensemble, l’aspect de l’appareil est à la fois sobre, épurée et très harmonieux. Et en aucun cas classique. Les finitions sont de très bonne qualité. La petite surprise du chef, qui donne tout son piquant au design, est à aller chercher du côté de la bande transparente située sous l’écran. Elle n’a pas qu’un rôle esthétique puisqu’elle fait aussi office de zone de notifications visuelle. Sony a également abandonné les touches physiques : entre la barre transparente et l’écran se nichent trois touches sensitives.
Android 4.0 d’ici l’été Une fois le smartphone allumé, l’utilisateur est accueilli par Android 2.3 Gingerbread. Cela peut paraître étonnant de retrouver cette version alors que le premier mobile sous Android 4.0 Ice Cream Sandwich, la toute dernière version du système d’exploitation mobile de Google, a vu le jour il y a plus de trois mois. Néanmoins, les temps de développement d’un smartphone variant de 12 à 18 mois, il est clair que le constructeur n’a pas eu le temps d’implémenter sur le tard Android 4.0. Toutefois, il a promis que son Xperia bénéficierait de cette mise à jour majeure d’ici l’été. Pour le reste, Sony a reconduit son interface maison, dans une version un peu actualisée. Elle se distingue toujours par sa présentation propre et épurée. Elle est de plus éminemment tournée vers les réseaux sociaux, avec de nombreux widgets qui permettent de les consulter plus facilement. Mais il faudra se contenter de Facebook et de Twitter. De moins de manière native car pour les autres, les applications proposées sur le Google Play Market (ex-Android Market) permettent de pallier ces manques. Côté performances, Sony n’a pas joué la surenchère comme ses concurrents qui affichent pour la plupart un smartphone Android quadruple cœur dans leurs nouvelles gammes. Non, le constructeur
japonais a préféré miser sur un chipset Qualcomm Snapdragon MSM8260 double cœur cadencé à 1,5 GHz, auquel est associé une puce graphique Adreno 220 et 1 Go de mémoire vive (RAM). Une configuration matérielle pas aussi ronflante que celle des quadruple cœur, mais tout de même excellente. Et qui nous semble plus équilibrée car rien ne sert aujourd’hui d’avoir plus de deux cœurs sur un chipset. Les applications qui en tirent partie sont en effet quasiinexistantes. En pratique, le Xperia S est un modèle du genre qui dispose d’une excellente réactivité et qui ne ralentit quasiment jamais.
Un roi pour le multimédia Outre sa réactivité difficile à prendre en défaut, le smartphone vedette de Sony se distingue aussi grâce à de très bonnes capacités multimédias. À commencer par le capteur photo de 12 Mégapixels qui permet de capturer de belles photos, tant en termes de couleurs, que de piqué ou de gestion des contrastes. La capture de vidéos en 1080p est à l’avenant avec un rendu à la fois détaillé et fluide. Enfin, le tout s’affiche sur un magnifique écran de 4,3 pouces LCD à rétro-éclairage LED, doté d’une résolution HD (720 x 1280 pixels). Son rendu profite de la technologie Sony Mobile Bravia Engin. Il est l’un des meilleurs du genre avec de belles couleurs fidèles et des contrastes irréprochables. En casant plus de pixels sans toucher à la taille de l’écran, Sony offre à son nouveau smartphone un affichage d’une finesse rare.
POuR › Un design soigné et original avec la barre transparente ; › Une très bonne qualité de fabrication ; › Un superbe écran, notamment au niveau de la résolution ; › Le navigateur Web très performant profite à fond de cette résolution ; › Fluidité et réactivité de l’interface ; › Excellent en capture de photo/vidéo ; › Utilisation intelligente du NFC avec les SmartTag ; › La mémoire interne généreuse de 32 Go.
cOntRe
› Pas d’accès aux réglages depuis le menu des notifications ; › Pas de gestion native des formats vidéo les plus populaires ; › Pas de SmartTag fournis avec l’appareil, ils sont en option ; › Absence de lecteur de carte mémoire microSD.
tROis Détails SmartTag : le NFC entre en scène Même si la technologie sans contact NFC montre le bout de son nez dans un nombre croissant de smartphones, c’est encore Sony qui en fait l’utilisation la plus intelligente. Le constructeur propose en effet des SmartTag. Il s’agit de petits accessoires programmables à disposer à des endroits clés. Il suffit ensuite de préciser une séquence d’actions à faire lorsque le smartphone passe à proximité de ces accessoires pour qu’elle s’enclenche au moment voulu. On peut par exemple laisser un SmartTag sur la table de chevet et le programmer pour que le smartphone se mettent en mode avion, lance un lecteur de livres et active une alarme. Les possibilités sont très nombreuses ! Une télécommande pour les produits Sony du salon La convergence entre les produits Sony est l’un des leitmotiv du constructeur nippon. L’application Media Remote présente dans le Xperia S offre la possibilité de prendre le contrôle de la plupart des appareils Bravia de Sony. L’utilisateur peut ainsi piloter sa TV ou son lecteur Blu-Ray directement depuis son smartphone. La certification Playstation Comme évoqué dans le précédent point, Sony joue à fond la carte de la convergence entre tous ses produits. Ainsi, certains smartphones de la marque, dont cet Xperia S, bénéficient d’une certification Playstation. Elle leur donne accès à un catalogue de jeux issus des meilleurs titres disponibles sur la première Playstation. Ces jeux sont bien sûr adaptés à une utilisation sur un écran tactile avec des contrôles adéquats, qui apparaissent directement sur l’afficheur. Pour le reste, la configuration matérielle du smartphone lui permet de profiter de tous les meilleurs jeux disponibles sur le Google Play Market (ex-Android Market).
VeRDict Sony a décidé de ne pas se livrer à la même surenchère technique que ses concurrents. Ce qui n’empêche pas son Xperia S de se révéler très performant. Il est surtout compatible avec toutes les applications les plus gourmandes. Pour le reste, c’est un superbe smartphone, tant sur le plan de la qualité de fabrication que sur celui des capacités multimédias ou de la qualité de l’écran. Un quasi sans-faute, donc. infosmobiles
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HTC Explorer Pour débuter en beauté Avec cet HTC Explorer, le constructeur taïwanais propose un smartphone d’entrée de gamme qui ne paie pas de mine mais qui en offre beaucoup pour pas cher.
FiChe teChniqUe DAS : 0,526 W/Kg Dimensions : 116 x 57 x 13 mm Poids : 108 g Taille écran : 3,2 pouces Résolution : 320 × 480 pixels 3G/3G+ : Oui/Oui Bluetooth/Wi-Fi/GPS : Oui/Oui/Oui Capture Photo : 3 Mégapixels Capture vidéo : 640 x 480 pixels Mémoire interne : 90 Mo OS : Android 2.3 Gingerbread Batterie : 1230 mAh Auto appel/veille : 7h33 / 445 h
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TC a présenté à l’occasion du Mobile World Congress de Barcelone, début mars toute une nouvelle gamme de smartphones Android, les HTC One. En parallèle de ces modèles qui vont attirer sur eux la lumière médiatique, le constructeur taïwanais dispose aussi d’un smartphone d’entrée de gamme, pour ceux qui ne peuvent se permettre d’investir dans leur téléphone portable. Il s’agit du HTC Explorer. Ce mobile au tarif très raisonnable est pourtant bien un smartphone à part entière, avec des caractéristiques techniques plus modestes. Il embarque un écran de 3,2 pouces pour une résolution de 320 x 480 pixels, un processeur Qualcomm cadencé à 600 Mhz et un capteur photo de 3,15 Mégapixels. Au niveau des connectivités, il demeure en revanche irréprochable, avec le Wi-Fi 802.11b/g/n, le Bluetooth 3.0, la 3G+ et le GPS.
Un faux air de galet Même si le look de l’appareil n’a rien de bien original, HTC a tout particulièrement soigné la fabrication de son produit. Le design est sobre et efficace, dégageant même une certaine bonhommie du fait de la présence de bords très arrondis. Pour ceux qui veulent un peu plus de piquant, le constructeur propose aussi ce mobile dans d’autres coloris comme le orange, le bleu ciel, le blanc, le violet ou le bleu. Le panneau en métal brossé à l’arrière apporte une petite touche d’élégance à laquelle on ne s’attend pas forcément pour ce type de smartphone. Un bon point, donc. La coque ne souffre d’aucun jeu et l’ensemble est constitué d’un plastique de bonne qualité. Même si cet Explorer n’est pas des plus fins avec 12,4 mm d’épaisseur, ses autres dimensions compensent largement son épaisseur. Il offre au final une excellente prise en main. Forcément, à ce niveau de prix, il ne faut pas s’attendre à un écran de qualité supérieure. Celui que l’on trouve dans ce smartphone propose de bons angles de visionnage, mais pêche un peu en termes de rendu des couleurs. Cela n’a toutefois rien de rédhibitoire, surtout que la luminosité est correcte. L’ensemble s’avère donc très correct.
Une belle réactivité Cet écran permet d’afficher de manière claire et lisible Android 2.3 Gingerbread auquel le constructeur a superposé son interface HTC Sense. Très riche en fonctions, elle demande un petit temps d’adaptation pour en maîtriser toutes les subtilités. Mais
au fil du temps, HTC Sense se révèle très agréable à pratiquer. D’autant plus que ses performances sont assez honorables sur cet Explorer qui optimise parfaitement ses ressources, modestes sur le papier, pour offrir un fonctionnement assez fluide et réactif. De ce point de vue, ce smartphone est même un peu meilleur que le Wildfire S chez le même constructeur. Côté multimédia, la capture de photo et de vidéo est assurée par un capteur photo de 3,15 Mégapixels. Ce dernier est dénué de flash et d’autofocus, ce qui interdit toute photo de trop près. Sans surprise, les photos réalisées ne sont guère convaincantes dans l’ensemble. Mais elles permettent tout de même d’assurer l’essentiel, du moment que les conditions de luminosité sont bonnes. Enfin, l’un des points les plus remarquables de cet Explorer est qu’en dépit de son statut de smartphone d’entrée de gamme et d’un processeur de seulement 600 MHz, il est capable de gérer la technologie Flash. C’est un véritable petit tour de force que le constructeur taïwanais a réussi là. Il faut normalement un smartphone avec un processeur cadencé à au moins 1 GHz pour supporter le Flash. Sur l’Explorer, le navigateur Web le gère pourtant très bien, avec une réactivité surprenante. Seuls les contenus Flash les plus lourds comme les vidéos en HD peuvent véritablement poser problème. On apprécie aussi la fonction radio RDS, très simple à mettre en œuvre.
POUR › Design assez réussi ; › Réactivité honorable pour ce type d’appareil ; › L’interface HTC Sense est très riche en fonction ; › Le lecteur vidéo lit les DivX/Xvid ; › Le navigateur Web gère le Flash.
COntRe
› La qualité des photos et des vidéos capturées.
VeRdiCt Malgré le prix assez bas auquel il est proposé, cet HTC Explorer ne fait pas de concession sur son interface et ses fonctions. HTC Sense, à son aise sur le petit écran, tourne de manière satisfaisante. La capture de photos et de vidéos est en revanche à la peine. Mais on ne peut pas tout avoir…
Marque Franรงaise de Maroquinerie Premium pour mobiles
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ViewSonic V350
Le double communicant ViewSonic se lance dans la commercialisation du V350, un smartphone Android peu onéreux qui a la particularité d’être double SIM.
FiChe teChniqUe DAS : 0,761 W/kg Dimensions : 60,9 x 114 x 12,45 mm Poids : 125 g Taille écran : 3,5 pouces Résolution : 480 x 320 pixels 3G/3G+ : Oui/Oui Bluetooth/Wi-Fi/GPS : Oui/Oui/Oui Capture Photo : 5 Mégapixels Capture vidéo : 640 x 48 pixels Mémoire interne : 512 Mo OS : Android 2.3 Gingerbread Batterie : 1500 mAh Auto appel/veille : N.C. / N.C.
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n France, les mobiles double SIM n’ont pas vraiment le vent en poupe. Toutefois, le constructeur Viewsonic a décidé de tenter sa chance malgré tout avec le ViewSonic V350, un smartphone Android qui a donc la particularité d’être double SIM. Tous ceux qui ont l’habitude d’emporter deux mobiles avec eux regarderont d’un œil attentif cet appareil. Car il s’agit tout simplement du premier smartphone Android à proposer la fonction double SIM en France. Néanmoins, tout smartphone qu’il soit, il ne faut pas s’attendre à une bête de guerre avec ce ViewSonic V350 qui dispose de caractéristiques relativement modestes. Il propose notamment un écran de 3,5 pouces pour 480 x 320 pixels et un capteur photo de 5 Mégapixels. C’est un processeur Qualcomm MSM7227 cadencé à 600 MHz et 512 Mo de mémoire vive qui donnent vie à l’ensemble. Une configuration qui permet tout de même à Android 2.3 Gingerbread de tourner de manière assez fluide et réactive. À condition d’oublier l’interface rajoutée par Viewsonic... Il s’agit en fait d’une adaptation de SPB Mobile Shell, une interface que l’on trouve sur le Google Play (ex-Android Market). Elle est assez jolie, mais a tendance à ralentir l’appareil. Heureusement, l’utilisateur peut passer outre et revenir à la seule interface de Google.
Même constat pour les vidéos capturées en résolution VGA de 640 x 480 pixels : elles disposent de peu de détails. Aussi mieux vaut les laisser dans le smartphone et ne pas les exporter sur un écran plus grand.
Deux oreilles valent mieux qu’une Mais ceux qui vont s’intéresser à ce ViewSonic V350 ne devraient pas, à priori, faire des fonctions multimédias une priorité. Ce qui fait de cet appareil un modèle assez unique, c’est bien sa capacité à accueillir deux cartes SIM. De ce point de vue, cette fonction très pratique est globalement bien gérée par le smartphone. Elle n’est toutefois pas parfaite. Ainsi, la 3G+ ne fonctionne qu’avec l’une des cartes SIM, celle qui est située à l’emplacement « SIM 1 ». Il n’y a pas non plus de signalisation du double appel lorsque l’utilisateur utilise une SIM et qu’un appel arrive sur une autre. Certes, on peut imaginer que le cas se présente rarement, mais cela aurait été dans la logique d’un tel appareil. Enfin, la gestion de deux cartes SIM n’est pas sans impact sur l’autonomie puisqu’il faut espérer tenir au mieux une journée de travail quand les deux cartes sont activées.
Un design presque sans reproche Pour ce qui est du design de l’appareil, il ne souffre pas de défaut notoire. Bien sûr, vu le prix auquel il est proposé, il ne faut pas s’attendre à des finitions haut de gamme. Mais les plastiques choisis par le constructeur remplissent parfaitement leur office. Le cache batterie qui occupe la majeure partie de la face arrière se pare même d’une imitation de l’acier brossé assez réussie. On regrette tout de même l’espace vide trop important sous l’écran, sur la face avant. Viewsonic aurait pu gagner près d’un centimètre sur la longueur de son appareil. En l’état, il n’est pas vraiment encombrant. Mais la compacité n’est pas non plus son point fort. Heureusement, le smartphone tient bien en main et ne souffre d’aucun problème d’ergonomie majeur. Le ViewSonic V350 ne fait pas non plus l’impasse sur le multimédia avec son capteur photo de 5 Mégapixels et ses lecteurs audio, vidéo et photo dédiés. Néanmoins, le capteur en question ne peut se frotter aux meilleurs du genre. Disons que si les sujets sont fixes et que la luminosité est bonne, les clichés seront honnêtes. Mais à la moindre contrariété, la photo sera au moins partiellement floue.
POUR › La gestion de deux carte SIM ; › Une qualité de fabrication correcte ; › Des performances honnêtes pour les tâches du quotidien. ›
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› Pas de gestion de la technologie Flash pour le navigateur Web ; › Quelques lacunes dans la gestion de la fonction double SIM ; › Un capteur photo qui ne tient pas toutes ses promesses.
VeRdiCt La principale qualité de ce mobile, c’est évidemment d’être un smartphone Android double SIM, ce qui ne court pas les boutiques. Cette fonction n’est pas parfaite, mais est plutôt bien gérée dans l’ensemble. Pour le reste, les performances sont assez honorables, à condition d’oublier les applications gourmandes.
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clavier alphanumérique sont à la fois grands et bien lisibles. Les touches centrales de navigation dans le menu sont placées au dessus et en dessous du bouton de validation « ok ». Cette proximité peut en revanche entraîner quelques erreurs de saisie, ce qui peut parfois être agaçant, mais qui n’a toutefois rien de rédhibitoire. Sur les flancs de l’appareil, on retrouve des boutons de raccourci pour gérer le volume, lancer la fonction radio FM, verrouiller et déverrouiller le mobile, ainsi que pour allumer et éteindre une Led sur le haut de l’appareil, qui fait office de lampe torche. Une fonction qui s’avère très pratique. Tout comme la radio FM qui est bien pensée et facile à mettre en œuvre.
Un socle de recharge inclus
Alcatel One Touch 282 Un bon compromis pour les seniors
Alcatel se lance à son tour sur le marché des mobiles pour seniors avec ce One Touch 282. Un pari gagnant ?
FiChe teChniqUe DAS : N.C. Dimensions : 110 x 56,5 x 13 mm Poids : N.C. Taille écran : 1,8 pouces Résolution : 160 x 128 pixels 3G/3G+ : Non/Non Bluetooth/Wi-Fi/GPS : Non/Non/Non Capture Photo : Non Capture vidéo : Non Mémoire interne : N.C. OS : Propriétaire Batterie : N.C. Auto appel/veille : N.C. / N.C.
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e marché des seniors aiguise de plus en plus d’appétits dans le monde de la téléphonie mobile. En plus des marques comme Emporia et Doro qui se sont spécialisées sur cette thématique depuis bien longtemps, d’autres comme Alcatel font leurs premiers pas dans ce domaine. De là à penser que le constructeur manque d’expérience sur ce marché particulier, il n’y a qu’un pas, mais qu’il faut bien se garder de franchir. Car, contre toute attente, ce One Touch 282 (OT 282) est une belle réussite. Comme tous les mobiles actuels pour seniors, il s’agit d’un appareil d’entrée de gamme. Mais quand ses concurrents sur ce créneau s’affichent à plus de 60 €, l’OT 282 se place pour sa part à moins de 50 €. Ce n’est pas pour autant qu’il sacrifie les principales fonctionnalités que l’on est en droit d’attendre d’un tel produit. À ce tarif, il ne faut évidemment pas s’attendre à une qualité de fabrication luxueuse. Mais l’OT 282 n’en reste pas moins constitué d’un plastique de très bonne qualité, à la fois solide et agréable au toucher. Les dimensions de l’appareil sont assez compactes, ce qui lui confère une bonne prise en main. Quant à l’écran couleur de 1,8 pouces, il est suffisamment contrasté et bien défini pour proposer un rendu irréprochable.
Vraiment adapté aux seniors Côté ergonomie, Alcatel fait preuve d’une étonnante maîtrise pour un premier mobile dédié aux seniors. Ainsi, les boutons du
Pour le reste, l’OT 282 est sans fioriture. Il va à l’essentiel, permettant à l’utilisateur d’appeler, de recevoir des appels et d’échanger des SMS. Il propose également de profiter de quelques fonctions devenues indispensables comme le réveil ou la calculatrice. Mobile pour seniors oblige, Alcatel a tout de même placé une touche de SOS à l’arrière de l’appareil. Un appui long sur ce bouton permet d’envoyer un SMS avec un message d’appel à l’aide à cinq contacts préenregistrés. L’interface du mobile est un modèle de simplicité, avec des grosses icones claires et intelligibles. Enfin, le constructeur a eu la bonne idée d’inclure un socle de recharge dans le pack du mobile. Il suffit de le poser dessus pour que la recharge commence.
POUR › › › › ›
Qualité de fabrication ; Ergonomie bien pensée pour les seniors ; Touches de raccourcis latérales ; Socle de recharge ; Fonction radio FM.
COntRe
› Touches de navigation haut / bas trop proches de la touche de validation.
VeRdiCt Pour un coup d’essai, c’est un véritable coup de maître que réalise Alcatel sur le segment des seniors. Son One Touch 282 n’est certes pas parfait, mais il dispose de suffisamment de qualité pour charmer la cible visée. Surtout que ce mobile est nettement moins cher que les concurrents.
Innovation pour monde mobile depuis 1990 Plus de 15 millions d’accessoires vendus par an Une vision unique et exclusive du marché de l’accessoire Des produits vendus dans plus de 50 pays à travers le monde Une équipe Française à votre disposition
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Tablettes
bien adaptée à un environnement Android avec de nombreux raccourcis dédiés.
De la puissance à revendre
Asus Transformer Prime
Un tigre sous le capot
Asus marque l’histoire des tablettes tactiles avec cette Tranformer Prime qui s’avère être la toute première dotée d’un processeur quadricore Nvidia Tegra 3. Mais tient-elle ses promesses ?
A
sus avait réussi à surprendre son monde avec la première tablette Transformer l’année dernière. Le constructeur s’était démarqué de la concurrence avec un concept bien à lui. Il avait accolé à une tablette assez classique un dock-clavier qui transformait l’ensemble en véritable petit netbook sous Android. Une idée brillante donc, surtout que le prix de l’ensemble restait raisonnable. Pour le nouveau modèle, la Transformer Prime, Asus garde la même base. Mais Asus propose cette fois la première tablette au monde équipée d’un chipset quadruple cœur (4-PLUS-1) Nvidia Tegra 3. Si la première Transformer jouait dans la cour des netbooks, cette Transformer Prime lorgne plutôt du côté des ultrabooks. Ces derniers sont à la fois plus fins, mieux fabriqués et nettement plus performants que les netbooks. Asus commercialise d’ailleurs une gamme d’ultrabooks, les ZenBook. On sent que le constructeur s’en est très fortement inspiré pour la conception externe de sa nouvelle tablette.
Montée en gamme
FiChe teChniqUe DAS : nc Dimensions : 263 x 180,8 x 8,3 mm Poids : 586 g Taille écran : 10,1 pouces Résolution : 1280 x 800 pixels 3G/3G+ : Non/Non Bluetooth/Wi-Fi/GPS : Oui/Oui/Oui Capture Photo : 8 Mégapixels Capture vidéo : 1920 x 1080 pixels Mémoire interne : 32/64 Go OS : Android 4.0 Ice Cream Sandwich Batterie : 25 Wh Auto active/veille : 12 h / 300 h
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Il faut dire qu’entre la première Transformer et cette Transformer Prime, il y a un monde en terme de design et de finition. Ainsi, le plastique laisse place à un revêtement arrière en aluminium qui lui donne plus de cachet. Le design de la tablette a également été bien plus travaillé que celui de son aînée, les bords anguleux laissant leur place à de belles courbes. Le look de l’appareil emprunte énormément à l’iPad. Malgré la finesse de l’ensemble, la connectique reste très complète avec la présence notamment d’un port microSD et d’un port micro-HDMI. Une fois la tablette sur son dock-clavier, on a du mal à ne pas voir un ZenBook de petite taille. D’ailleurs, ce dock-clavier a lui aussi subi une cure d’amaigrissement puisqu’il est moitié moins épais que celui de la première Transformer. La disposition des touches reste en revanche identique. Elle est très
Comme évoqué en préambule, si cette Asus Transformer Prime était si attendue, c’est bien évidemment parce qu’il s’agit du premier appareil à disposer d’un chipset quadruple cœur Tegra 3. Nvidia a baptisé cette technologie 4-PLUS-1 car les quatre cœurs qui fonctionnent ensemble sont accompagnés d’un cinquième cœur. Ce dernier est sous-cadencé et prend le relais pendant les opérations ne demandant pas beaucoup de puissance, permettant ainsi de sauvegarder l’autonomie. En pratique, on peut compter sur une dizaine d’heures en utilisation légère et 5 heures en utilisation très intensive, ce qui est honnête pour ce type d’appareil. Il est compliqué de se faire une idée des prouesses graphiques de la tablette car les contenus multimédias adaptés sont encore très peu nombreux sur le Google Play Store. Néanmoins, sur les rares jeux compatibles, la puissance du Tegra 3 est indéniable et en met plein la vue. Enfin, pour ce qui est de la fluidité et de la réactivité de la Prime, il n’y a rien à redire, Android 4.0 Ice Cream Sandwich tourne admirablement bien dessus. Elle enfonce d’ailleurs n’importe quelle autre tablette Android de ce point de vue.
POUR › Le très bel écran Super IPS+ ; › La fluidité et la réactivité du système ; › Le concept avec le dock-clavier toujours aussi efficace ; › La fluidité et la réactivité d’Android 4.0 ICS.
COntRe › Un port USB en moins sur le dock-clavier ; › La barre des tâches reste apparente, même pour les films et les jeux.
VeRdiCt L’Asus Transformer Prime est sans conteste la meilleure tablette Android de 10 pouces du moment, et d’assez loin. Elle offre une fluidité et une réactivité de tous les instants. Elle s’avère également être un monstre de puissance technique. Néanmoins, il est dommage que peu de contenus multimédia en tirent vraiment partie.
Guide Mobile iT
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Mobiles
Nokia Asha 303
Le petit qui voit grand
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Avec l’Asha 303, Nokia propose un mobile d’entrée de gamme riche en fonctions, qui se permet même d’embarquer un clavier azerty.
okia a beau avoir alloué une part importante de ses ressources internes au développement de sa nouvelle gamme de Windows Phones Lumia, il n’en n’oublie pas pour autant ses mobiles d’entrée de gamme. Le constructeur finlandais développe en parallèle une gamme Asha à moindre coût. Ces appareils ne sont pas des smartphones à proprement parler, mais ils disposent tout de même de nombreuses fonctions équivalentes. Le porte-drapeau de cette gamme Asha n’est autre que le Nokia Asha 303, un mobile doté d’un clavier azerty en façade, à la sauce BlackBerry. Malgré son prix très attractif, ce mobile propose une qualité de fabrication et un souci du design nettement au dessus du lot pour ce genre d’appareil. Les plastiques utilisés par le constructeur sont de très bonne facture. Nokia s’est même permis d’ajouter un cache-batterie en métal brossé qui occupe la majeure partie de la face arrière. L’ensemble ne manque pas de caractère et permet une très bonne prise en main. Le constructeur a en effet réussi à garder un format compact malgré la présence d’un clavier azerty en façade.
à 1 GHz, ce qui lui garantit une très bonne réactivité. L’écran a beau être multipoint, on ne peut pas utiliser les fameux gestes de pincement pour zoomer ou dézoomer dans une image. Même le fait de tapoter deux fois sur un point de la photo ne déclenche pas un zoom. Il faut donc s’en remettre aux icones « + » et « - », ce qui n’est pas très ergonomique.
Un capteur photo pour la forme Pour le reste, on apprécie tout particulièrement les nombreuses fonctions dont dispose ce mobile comme la gestion des mails, le navigateur Web, les jeux pré-embarqués, le calendrier, etc. Côté multimédia, le capteur photo 3,2 Mégapixels fait un peu mieux que de la figuration en proposant une qualité photo décente pour le prix de l’appareil. Mais sans plus. Ses productions n’ont pas vocation à s’exporter sur un écran plus grand. Dommage, au passage, que le constructeur n’ait pas pensé à ajouter une touche de raccourci pour la fonction photo. L’épaisseur de près de 14 mm aurait en effet largement laisé la place pour ce genre de bouton sur le côté droit de l’appareil. Enfin, pour ce qui est des fonctions téléphoniques, le Nokia Asha 303 ne réserve pas de mauvaise surprise notoire. La qualité audio en conversation est irréprochable, tant pour l’appelant que pour l’appelé. Son autonomie est à l’avenant puisqu’en usage moyen, il faut compter entre deux et trois jours d’utilisation.
Un clavier très correct
FiChe teChniqUe DAS : 1,16 W/Kg Dimensions : 116,5 x 55,7 x 13,9 mm Poids : 99 g Taille écran : 2,6 pouces Résolution : 240 x 320 pixels 3G/3G+ : Oui/Oui Bluetooth/Wi-Fi/GPS : Oui/Oui/Non Capture Photo : 3,2 Mégapixels Capture vidéo : 640 x 480 pixels Mémoire interne : 170 Mo OS : Nokia S40 Batterie : 1300 mAh Auto appel/veille : 7h10 / 720 h
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Le clavier se situe sous l’écran et se compose de 37 touches. Ces touches sont assez petites, mais suffisamment bombées et souples pour offrir une bonne ergonomie. Seuls ceux qui ont de grandes mains risquent d’avoir du mal à les maîtriser. Juste au dessus du clavier, on retrouve une barre de quatre boutons incluant notamment un raccourci vers la messagerie et un autre pour lancer le lecteur musical. Une fois le mobile allumé, l’interface peut sembler un peu complexe de prime abord. Mais une fois que l’utilisateur en maîtrise les tenants et les aboutissants, elle s’avère assez bien pensée. La prise en main demande juste un petit temps d’adaptation. On apprécie tout particulièrement la multitudes de raccourcis personnalisables que l’on peut ajouter sur la page d’accueil ou dans le menu « Aller à ». Ce Nokia Asha 303 étant doté d’un écran tactile, les interactions sont nettement plus intuitives que par le passé pour ce genre d’interface. Ce mobile bénéficie de plus d’un processeur cadencé
POUR › Le design et la qualité de fabrication ; › La réactivité du mobile et de son écran tactile ; › Les nombreuses fonctions ; › L’autonomie.
COntRe › La qualité photo ; › La touche musique ne sert qu’à lancer le lecteur musical et pas à le contrôler.
VeRdiCt Nokia frappe un grand coup dans le segment des mobiles d’entrée de gamme. En plus d’être réactif, autonome et de disposer d’un bon clavier azerty, son nouvel Asha 303 se montre également très généreux en termes de fonctionnalités.
Tiptel Ergophone 6030
Deux SIM pour un mobile À l’inverse de certains de ses concurrents, l’Ergophone 6030 ne se contente pas des fonctions de base, loin de là. En effet, deux ports pour cartes SIM sont prévus sous la batterie afin de disposer de deux lignes avec un seul téléphone. Pendant un appel, l’autre ligne est occupée mais il reste bien entendu possible de laisser un message. Pour passer un appel, il suffit de composer le numéro de son correspondant puis l’Ergophone 6030 demandera quelle carte SIM utiliser.
Pour les seniors qui en veulent plus
Une touche de multimédia
Avec ses larges touches et sa touche SOS, le Tiptel Ergophone 6030 a tous les attributs d’un téléphone à destination des seniors. Pour autant il se démarque de ses concurrents en proposant deux emplacements pour carte SIM, pour utiliser si besoin deux lignes sur le même terminal.
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ares sont les constructeurs qui proposent des solutions à destination des seniors. Des sociétés comme Doro ou Emporia ont néanmoins investi ce marché depuis longtemps, suivis à présent par Tiptel avec l’Ergophone 6030. Comme son nom l’indique, l’accent est mis ici sur l’ergonomie. Ainsi, ce téléphone à clapet se pare d’une coque soft touch qui favorise la prise en main tout en lui apportant une certaine classe. À cela s’ajoute un clavier doté de touches très larges afin de faciliter la saisie. L’écran couleur n’est pas en reste avec une police de caractères suffisamment grande et des icones explicites. Pas besoin de se plonger dans le manuel pour maîtriser toutes les subtilités de l’Ergophone 6030. On notera également qu’un socle chargeur est fourni : il es plus agréable à utiliser qu’un simple câble micro USB pour recharger la batterie.
Des fondamentaux
FiChe teChniqUe DAS : 0,660 W /Kg Dimensions : 105 x 54 x 21 mm Poids : 109 g Taille écran : 37x49 mm Résolution : 320x240 pixels 3G/3G+ : Non/Non Bluetooth/Wi-Fi/GPS : x/x/Non Capture Photo : 0,3 Mégapixels Capture vidéo : Non Mémoire interne : N.C OS : Non Batterie : 900 mAh Auto appel/veille : 34 h / 3 h
Comme tous les téléphones destinés aux seniors, l’Ergophone 6030 intègre également une touche d’appel d’urgence au dos. Une pression prolongée de deux secondes suffit pour déclencher un SOS. Un SMS contenant un texte d’appel à l’aide est alors envoyé automatiquement aux numéros préalablement programmés (jusqu’à cinq). Le téléphone compose ensuite automatiquement un premier numéro d’urgence prédéfini par l’utilisateur. Une fois la connexion établie, l’Ergophone 6030 passe directement en mode haut-parleur. Celui-ci diffuse un son aigu mais suffisamment puissant pour entendre son correspondant même si le téléphone est éloigné. Si l’appel n’aboutit pas, le numéro suivant est composé et ainsi de suite. Seule une nouvelle pression prolongée sur le bouton SOS désactive l’appel d’urgence.
Un appareil photo est également intégré à cet Ergophone, ainsi qu’une radio FM. Ce dernier s’active via le menu principal ou plus simplement via la touche de raccourci sur le clapet du téléphone. Si un casque permet d’améliorer la qualité de la réception en faisant office d’antenne, aucun n’est fourni, malheureusement. Pire, la prise casque n’est pas au format standard jack 3,5 mm ce qui n’arrange pas vraiment les choses. Le son est donc diffusé par le haut-parleur qui, comme on l’a dit plus haut, fait la part belle aux aigus. L’appareil photo bénéficie d’un bouton d’accès direct sur le clavier. D’une résolution de 300 000 pixels, il ne faudra pas trop lui en demander. Tout aussi gênant, le capteur est placé au dos du clavier plutôt que derrière l’écran. Il est donc difficile de viser avec ce dernier tout en pointant l’objectif vers son sujet. Enfin, on notera la lampe torche intégrée qui s’active via un bouton dédié en façade ainsi que l’enregistreur qui permet de conserver des extraits de conversation quand on ne peut pas prendre de notes. Toutefois la mémoire interne limitée exige d’utiliser une carte mémoire.
POUR › Revêtement de qualité ; › Deux emplacements SIM ; › Touche d’appel d’urgence.
COntRe
› Appareil photo ; › Prise casque 2,5 mm.
VeRdiCt Outre les fonctions habituelles des téléphones destinés aux seniors, l’Ergophone 6030 propose deux ports pour cartes SIM et quelques fonctions avancées intéressantes. En revanche, on se passera de l’appareil photo, trop décevant.
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Tablettes
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BlackBerry Playbook 2.0 Renaissance
Après presque un an d’existence, la BlackBerry PlayBook profite enfin de la mise à jour 2.0 qui en fait une tablette autonome. Une véritable transfiguration qui la rend éminemment attrayante.
arfois, une réputation ne tient pas à grande chose. Le constructeur canadien RIM l’a appris à ses dépens en voulant lancer trop rapidement sa tablette, la BlackBerry PlayBook. C’était il y a un peu moins d’un an. À l’époque, tous les constructeurs jouaient des coudes pour sortir LA tablette qui pourrait venir faire de l’ombre à l’omnipotent iPad d’Apple. RIM sortit alors sa PlayBook un peu dans la précipitation. Il ne lui manquait pas grand chose pour être prête. Mais les lacunes en question allaient s’avérer lourdes de conséquences. Le constructeur avait en effet envoyé à toute la presse spécialisée américaine une version comportant des bugs, avec très peu d’applications, et surtout une ergonomie étrange puisqu’il fallait absolument qu’un smartphone BlackBerry soit connecté à la tablette pour profiter pleinement de ses capacités. Sans surprise, la presse américaine s’est montrée impitoyable avec la PlayBook. RIM se bat depuis pour redresser l’image de sa tablette. Le pire dans l’histoire est que le constructeur avait rapidement réglé les soucis de stabilité technique de celle-ci. Enfin, la récente mise à jour 2.0 apporte la plupart des fonctions qui lui manquaient initialement.
D’excellentes finitions
FiChe teChniqUe DAS : N.C. Dimensions : 194 x 130 x 10 mm Poids : 425 g Taille écran : 7 pouces Résolution : 1024 x 600 pixels 3G/3G+ : N.C. Bluetooth/Wi-Fi/GPS : Oui/Oui/Oui Capture Photo : 5 Mégapixels Capture vidéo : 1920 x 1080 pixels Mémoire interne : 16/32/64 Go OS : BlackBerry PlayBook OS 2.0 Batterie : 5300 mAh Autonomie : 10 h
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Commençons d’abord par un rapide tour du propriétaire avant de passer en revue les nouveautés. Pour sa première tablette, RIM a opté pour un format très compact, avec un écran 7 pouces de très bonne qualité. Il dispose d’une résolution 600 x 1024 pixels. Ce n’est pas la plus élevée qui soit pour une tablette. Mais, étant donné la taille de l’écran, le rendu n’en reste pas moins très fin. La fidélité des couleurs, le niveau des contrastes et la luminosité sont également à l’avenant. La PlayBook profite d’une excellente qualité de fabrication. Elle est superbement assemblée et respire la solidité. Il y a tout de même un revers à cette médaille : la tablette apparaît comme assez lourde vu son gabarit. Cela va surtout gêner ceux qui souhaitent taper plus de deux lignes de texte ou qui veulent jouer pendant un moment. À force, les poignets fatiguent. Mais la grande force de la PlayBook est sans conteste son superbe système d’exploitation, BlackBerry
OS Tablet, basé sur QNX (Linux). Il est très intuitif et gère le multitâche de manière parfaite. Il fonctionne de manière fluide et réactivité et ne rame quasiment jamais. Bref, c’est une belle réussite. La PlayBook aurait certainement connu un autre sort si RIM l’avait d’emblée équipée de cette version du système d’exploitation. Le navigateur Web est lui aussi un modèle du genre puisqu’il gère parfaitement le Flash et dispose d’une ergonomie irréprochable.
Un arrière-goût d’Android Au rayon des nouveautés les plus marquantes apportées par la mise à jour de l’OS de la tablette, l’apparition du gestionnaire d’emails figure en bonne position. Aussi étonnant que cela puisse paraître, la PlayBook en était jusqu’ici dépourvue ! Pour recevoir et envoyer des emails depuis la tablette, il fallait absolument la connecter à un smartphone BlackBerry. Même si cette possibilité existe toujours, le temps où elle était obligatoire est révolu, et de belle manière puisque le nouveau gestionnaire d’emails est vraiment très complet. Enfin, Rim a eu une idée de génie en permettant aux développeurs Android de rendre leurs applications compatible avec la PlayBook de manière très simple. Le nombre d’applications sur le BlackBerry App World était jusqu’ici assez famélique. Il est toujours loin de rivaliser avec l’App Store ou le Google Play Store, mais il se garnit petit à petit et son avenir est désormais assuré.
POUR › Design et qualité de fabrication ; › Enfin complète en termes de fonctions ; › Réactivité et fluidité du système d’exploitation ; › Fonctions multimédias remarquables ; › Les applications Android arrivent petit à petit.
COntRe › Un peu lourde à la longue.
VeRdiCt La BlackBerry PlayBook 2.0 est une excellente petite tablette. Elle dispose d’un OS fluide, réactive et très agréable à utiliser. Et aussi de fonctions enfin complètes, tant en termes de Web que de messagerie ou de multimédia. Dans sa catégorie, elle est de loin la meilleure. Seul le manque d’applications peut poser problème.
Samsung Galaxy Tab 7.7
entre confort et nomadisme. Comme évoqué en préambule, l’écran représente l’incontestable point fort de la Samsung Galaxy Tab 7.7. C’est donc la première tablette qui dispose d’un écran Super Amoled Plus, d’une définition de 1280 × 800 pixels. Cette technologie d’écran, la même que celle des smartphones Galaxy S, S2 et Note chez le même constructeur, flatte la rétine en saturant légèrement les couleurs. La plupart des utilisateurs aiment beaucoup le rendu. Mais les puristes sont nettement plus réticents.
Plein les yeux
Habituellement, les tablettes les plus compactes sont également celles qui sont le moins chères chez les constructeurs. Samsung fait une entorse à cette règle avec cette Galaxy Tab 7.7.
Des performances au rendez-vous
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amsung ne ménage pas ses efforts pour rattraper son retard sur Apple sur le segment des tablettes tactiles. Après plusieurs modèles de 10, 8,9 et 7 pouces, voici un nouveau doté d’un écran de 7,7 pouces. Mais la Samsung Galaxy Tab 7.7 n’est pas qu’une simple tablette de plus venant compléter la vaste gamme du Coréen. Elle a en effet la particularité d’être la seule de tout le marché à disposer d’un écran Super Amoled HD. Cela n’a rien d’anecdotique, comme nous le verrons un peu plus loin. En termes de positionnement, cet afficheur fait monter en flèche le prix de la tablette. Aussi surprenant que cela puisse paraître, cette petite ardoise de 7,7 pouces est l’une des plus chères disponibles chez Samsung.
Un écran inédit
FiChe teChniqUe DAS : 0,08 W/Kg Dimensions : 196,7 x 133 x 7,9 mm Poids : 340 g Taille écran : 7,7 pouces Résolution : 800 x 1280 pixels 3G/3G+ : Oui/Oui Bluetooth/Wi-Fi/GPS : Oui/Oui/Oui Capture Photo : 3,15 Mégapixels Capture vidéo : 1280 x 720 pixels Mémoire interne : 16/32/64 Go OS : Android 3.2 HoneyComb Batterie : 5100 mAh Auto appel/veille : 20 h / 1100 h
Le premier contact avec l’appareil est très bon. Il s’agit d’un beau produit, qu’on aurait pu penser un peu plus léger pour sa taille. Toutefois, ce poids n’est pas dérangeant. Au contraire, il affirme le soin apporté à la qualité de fabrication de l’appareil. Son assemblage est également très soignée. Côté apparence, Samsung est cette fois passé outre certains de ses codes de design, ce qui n’est pas plus mal. Disponible en noir ou en blanc, la Galaxy Tab 7.7 est moulée dans un assemblage d’aluminium et de plastique. Quant aux dimensions de cette tablette aux mensurations particulières, il est difficile de faire la différence avec une tablette de 8 pouces ou de 7 pouces. Mais ce qui compte, c’est le fait que la prise en main soit très bonne. Cet appareil est clairement le compromis idéal
Pour le reste, la Samsung Galaxy Tab 7.7 dispose d’un hardware meilleur que les autres tablettes du constructeur puisqu’elle embarque un chipset double cœur Samsung Exynos cadencé à 1,4 GHz, et épaulé par 1 GHz de mémoire vive. Les performances de la tablette sont de fait très satisfaisantes. Une fois la machine allumée, pas de surprise puisque c’est de nouveau Android 3.2 HoneyComb qui est aux commandes. La capture de photos et de vidéos est un brin plus décevante avec le capteur photo de 3,15 Mégapixels capable de filmer en HD 720p. Toutefois, les résultats sont assez corrects. Enfin, la réapparition du port microSD est une excellente nouvelle. Mais l’USB Host, qui permet de brancher un périphérique USB externe, et le port HDMI sont en revanche toujours portés disparus. Pour profiter de ces fonctions, il faut en fait acheter un adaptateur MHL en supplément.
POUR › Le superbe écran Super Amoled HD ; › Le format compact qui ne sacrifie pas le confort visuel ; › La très bonne qualité de fabrication ; › Le retour du port microSD ; › Fonctions téléphoniques complètes pour le modèle 3G.
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› Pas de port USB-Host et HDMI.
VeRdiCt Même si son prix la met hors de portée de certaines bourses, cette Samsung Galaxy Tab 7.7 est un très bon modèle qui mêle écran hors-norme, compacité et performance. Une valeur sûre.
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Smartphones
LG Prada 3.0
L’Android haute couture
cette mémoire est en fait agencée en 2 x 512 Mo. L’utilité de ce point est difficile à démontrer. Ce qui est certain en revanche, c’est que le Prada 3.0 dispose d’un système très fluide et réactif. Android 2.3 Gingerbread tourne à la perfection dessus.
Une interface en harmonie
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Pour leur troisième collaboration dans l’univers de la téléphonie mobile, LG et Prada se fendent d’un smartphone Android bien ancré dans son époque. Et qui se voit surtout doter d’une fiche technique à la hauteur de son design.
FiChe teChniqUe DAS : 0,32 W/Kg Dimensions : 127,5 x 69 x 8,5 mm Poids : 138 g Taille écran : 4,3 pouces Résolution : 400 x 854 pixels 3G/3G+ : Oui/Oui Bluetooth/Wi-Fi/GPS : Oui/Oui/Oui Capture Photo : 8 Mégapixels Capture vidéo : 1920 x 1080 pixels Mémoire interne : 8 Go OS : Android 2.3 Gingerbread Batterie : 1500 mAh Auto appel/veille : 5 h / 330 h 44
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G et Prada, c’est une vieille histoire d’amour qui dure. La collaboration entre les deux sociétés a débuté en 2006, aboutissant à la création de deux téléphones en 2007 et 2008. Le Prada LG 1.0 s’est vendu à plus d’un million d’exemplaires. Ce mobile a été le premier téléphone portable à proposer un écran tactile pour le grand public, grillant de quelques semaines la politesse à Apple. Quant au modèle 2.0, il innovait aussi à sa manière en proposant d’acquérir avec le téléphone une montre originale, qui, une fois synchronisée avec le téléphone, signalait à son utilisateur les appels, les SMS, etc. Pour leur troisième partenariat, LG et Prada signent cete fois encore un smartphone dans l’air du temps. Le design est toujours le fruit d’une collaboration étroite entre LG et Prada, avec des lignes minimalistes à la clé.
Noir, c’est noir On retrouve bien sûr le logo Prada juste au-dessus de l’écran, ainsi que sur l’arrière de l’appareil. Le dessin général, avec les bords carrés et le revêtement qui remonte un peu sur la face avant, n’est pas sans faire penser à celui du Lumia 800 de Nokia. Le dos de l’appareil présente un motif dit Saffiano signé Prada, en harmonie avec la boîte dans laquelle il est livré. Si le dessin de ce motif est très réussi, il est dommage qu’il soit constitué de plastique et non d’un matériau plus noble. Surtout pour un smartphone qui se positionne dans l’univers du luxe. Néanmoins, on s’y fait vite et la prise en main de l’ensemble reste bonne. Au-delà des considérations esthétiques, ce n’est pas parce qu’il joue dans la cour de la mode que ce Prada 3.0 n’a rien sous le capot. Au contraire, même, puisqu’il intègre un chipset double coeur TI OMAP cadencé à 1 GHz. S’il ne s’agit pas de la plateforme double processeur la plus performante du moment, elle est toutefois largement suffisante pour faire parfaitement fonctionner le smartphone. Surtout que LG n’a pas oublié de flanquer les processeurs de 1 Go de mémoire vive. Le constructeur affirme même que
LG lui a ajouté sa propre interface utilisateur, Optimus UI. Il est intéressant de constater que le constructeur a poussé le concept minimaliste plus loin que dans le simple discours marketing ou sur le design de l’appareil. L’interface utilisateur du smartphone est elle aussi emprunte des mêmes codes épurés. Toute en noir et en blanc, elle se marie à merveille au look du Prada 3.0 et l’ensemble arbore un air classieux. Toutefois, Google étant intransigeant sur l’aspect des icônes de ses applications, ces dernières gardent leurs couleurs de base, ce qui jure un peu avec l’harmonie du reste. Mais cette ombre au tableau ne rompt pas le charme. Enfin, le capteur photo de 8 Mégapixels permet de capturer des clichés assez bons. Les couleurs sont parfois un peu fades, mais dans l’ensemble, les résultats sont acceptables. Même constat pour les vidéos capturées en 1080p qui ne sont pas les meilleures du genre, mais qui s’avèrent tout de même assez honnêtes.
POUR › Le coffret luxueux dans lequel est livré le smartphone ; › De très bonnes performances en utilisation au quotidien ; › Très bon lecteur de vidéo avec la plupart des formats pris en charge (avi, mkv, etc.) ; › L’écran Nova Plus très lumineux.
COntRe › La mise à jour Android 4.0 ICS ne devrait arriver qu’au 3e trimestre 2012 ; › Le dos joli, mais en plastique.
VeRdiCt Malgré le fait qu’il s’agisse d’un mobile siglé « Prada », ce nouveau smartphone Android de LG ne dispose pas d’un design qui tranche radicalement avec les autres. Toutefois, son look n’en reste pas moins efficace. Ses performances en termes de fluidité, de réactivité et de multimédia étant au rendez-vous, il reste tout à fait recommandable.
Motorola Motoluxe L’Android raisonnable
Même s’il ne porte pas forcément bien son nom, le Motoluxe fait un très bon petit soldat Android qui partira au front avec tous ceux qui ne veulent pas se ruiner en achetant leur nouveau smartphone.
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otorola a pour la première fois levé le voile sur ce Motoluxe pendant le CES de Las Vegas, en janvier dernier. À l’époque, il semblait quasi certain que ce mobile ne serait jamais distribué en Europe, car il arrive souvent que le constructeur américain sorte un smartphone uniquement sur son territoire d’origine. Pourtant, le Motoluxe a réussi à se frayer un chemin jusqu’en France. Il s’agit d’un smartphone à la fiche technique honnête, à défaut de renversante. Un appareil qui oscille entre l’entrée et le milieu de gamme donc, misant beaucoup sur son design pour séduire les foules. Disponible en noir ou en blanc, le Motoluxe mesure seulement 9,9 mm d’épaisseur. Il tient parfaitement en main et le plastique dans lequel il est composé est assez agréable au toucher. Le cache-batterie à l’arrière est usiné dans une pièce de métal qui ajoute une touche d’élégance à l’ensemble. Mais les lignes de l’appareil restent assez classiques à l’exception du bas de la face avant qui arbore le logo du constructeur de manière un peu trop ostensible. Toutefois, apprécier ou non le design de cette partie demeure une affaire de goût. La présence d’une grande Led de notification dans cette zone s’avère en revanche bien pratique.
Quelques petites saccades
FiChe teChniqUe DAS : 0,464 W/Kg Dimensions : 117,7 x 60,5 x 9,9 mm Poids : 123,6 g Taille écran : 4 pouces Résolution : 480 x 800 pixels 3G/3G+ : Oui/Oui Bluetooth/Wi-Fi/GPS : Oui/Oui/Oui Capture Photo : 8 Mégapixels Capture vidéo : 800 x 480 pixels Mémoire interne : 1 Go OS : Android 2.3 Gingerbread + MotoSwitch Batterie : 1400 mAh Auto appel/veille : 4h30 h / 400 h
Sans surprise, c’est Android 2.3 Gingerbread qui accueille l’utilisateur une fois l’appareil allumé. Le constructeur a abandonné l’interface Motoblur, pour la remplacer par une nouvelle baptisée MotoSwitch. Elle permet de profiter d’une miniature des écrans d’accueil en appuyant deux fois sur la touche « Home ». Motorola a également eu la bonne idée d’ajouter deux widgets qui offrent la possibilité d’accéder rapidement aux contacts avec lesquels l’utilisateur interagit le plus, ainsi qu’aux applications les plus utilisées. Ces widgets sont bien conçus et assez ergonomiques. Quant à l’écran de 4 pouces (800 x 480 pixels) sur lequel tout s’affiche, il est de bonne facture. En revanche, force est de constater que l’interface est un poil lente. Ce n’est pas flagrant tout le temps, mais lorsque les pages d’accueil sont vraiment chargées en widgets, l’interface saccade un peu. Si cela n’a rien de rédhibitoire, cela peut tout de
même être agaçant pour les amateurs de mécaniques bien huilées. Nous avons en revanche tout particulièrement apprécié l’écran de verrouillage qui permet de lancer jusqu’à six fonctions sans avoir à déverrouiller le smartphone.
Bon pour le service Pour ce qui est des performances en utilisation réelle, outre les quelques petits ralentissements évoqués plus haut, qui surviennent occasionnellement dans l’interface, le smartphone s’avère assez bon au quotidien. Il permet notamment de gérer de front la navigation sur des vraies pages web, les jeux populaires mais pas trop gourmands comme Angry Birds Rio et le visionnage de vidéo HD 720p. Le fait de jongler entre toutes ces applications via le gestionnaire de multitâche se fait de manière assez fluide, ce qui n’était pas gagné d’avance avec le processeur cadencé à 800 MHz. Mais le Motoluxe s’en est parfaitement sorti, sans aucun ralentissement notable. Pour le reste, ce smartphone dispose d’un capteur photo de 8 Mégapixels, capable de filmer dans une résolution de 800 x 480 pixels. La présence d’un capteur de cet acabit sur un mobile au prix raisonnable est un indéniable atout. Sur le papier, du moins. Car dans les faits, les résultats sont assez décevants. Ils restent toutefois au-dessus de ce qu’offrent les autres smartphones dans cette gamme de prix.
POUR › Design particulier, qui peut plaire à certains et rebuter les autres ; › La qualité de l’écran et sa résolution par rapport à la gamme de prix ; › Les performances, correctes dans l’ensemble ; › Quelques bonnes idées dans l’interface.
COntRe
› La qualité des photos et des vidéos capturées ; › L’absence du service de partage MotoCast.
VeRdiCt Le Motorola Motoluxe n’est pas un smartphone aux prétentions exagérément élevées. Mais pour le tarif auquel il est proposé, il s’en sort avec les honneurs. Il se révèle capable de gérer l’utilisation courante et le multimédia de manière convaincante. On ne lui en demande pas plus.
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techno futur Le meilleur de demain
Avec son mobile, on peut payer son parking, louer une voiture... mais aussi éteindre ou allumer les lumières d’une rue quand on y arrive ou bien qu’on la quitte !
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Éteignez la rue ! Q
ue ne peut-on faire avec son téléphone mobile ? Payer son parking, louer une voiture, trouver une place où se garer... Mais demain, vous pourrez même, alors que vous rentrez chez vous, allumer les lampadaires quand vous entrez dans une rue, et éteindre la rue en la quittant. C’est ce que propose déjà en Allemagne la société Dial4light : une démarche associant géolocalisation et écologie. Quand il n’y a personne, inutile d’allumer l’éclairage public le soir (sauf quand il s’agit d’une aussi beau lampadaire que le Solar Tree ci-contre, alimenté à l’énergie solaire et permettant d’y recharger son mobile). Choisissez votre itinéraire avant de partir sur le site de Dial4light, envoyez un SMS en partant, et tel Michael Jackson dans Billy Jean, la lumière suivra vos pas ! www.dial4light.de
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