TOUT CE QUE EUROPALIA-TURQUIE NE VOUS DIT PAS
ENTRAVES À LA LIBERTÉ D’EXPRESSION
© Graham Seely
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Eren Keskin, avocate et militante des droits humains renommée, a été condamnée à 10 mois de prison fin 2014 pour « dénigrement de la nation turque » (article 301 du Code pénal). Son dossier est devant la Cour suprême d’appel. Si la Cour confirme sa condamnation, elle serait emprisonnée et considérée comme prisonnière d’opinion par Amnesty.
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Imaginez que vous puissiez encourir une peine de 4 ans de prison pour avoir caricaturé ou critiqué vos dirigeants… En Turquie, cela ne relève pas du seul fruit de l’imagination. Les journalistes, les militants politiques, et toute personne critiquant le gouvernement courent le risque d’être traduits en justice en vertu de lois liberticides qui musellent la liberté d’expression. Les lois régissant la diffamation et le terrorisme sont utilisées de manière abusive pour poursuivre ceux qui émettent une critique légitime, par ailleurs protégée par les lois internationales des droits humains. La censure sur internet et la pression que le gouvernement exerce sur les médias ont pour conséquence que des journalistes sont menacés, attaqués, licenciés et forcés de s’autocensurer. Les enfants ne sont pas épargnés comme en témoigne le cas de deux enfants turcs âgés de 12 et 13 ans poursuivis en justice pour « insulte » au Président alors qu’ils avaient arraché une affiche à l’effigie du chef de l’État.