Portfolio Anacris Frias Architecte DE
Anacris Frias 30/03/1995 - 26 ans Diplomée en Architecture - Février 2020 1 an d’expérience en agence
A PROPOS DE MOI Curieuse et enthousiaste, je sais m’adapter à toutes les situations. J’adore apprendre et découvrir des façons de faire différentes des miennes. Je suis convaincue que le métier d’architecte doit évoluer, pour se réapproprier les questions de développement durable et de relations entre individus, et surtout se tourner vers des pratiques plus locales et vertueuses pour les habitants. L'urbanisme comme l'architecture doivent devenir inclusifs, au sens large : construire pour répondre à des usages variés et permettre à tous et toutes de s'approprier l'espace, sans réponses préconçues. Je donne une grande importance à la part sociale de l'architecture, que l'on construit pour les gens, mais aussi avec eux. Je crois en une architecture enjouée, collective, et durable.
Pour me contacter 2 place Vincent Auriol 44100 Nantes 06 34 37 86 03 anacris . frias 1 @ gmail . com
SCOLARITÉ
COMPÉTENCES LINGUISTIQUES
Février 2020 : Diplômée de l’ENSAP Lille
Anglais : lu, écrit et parlé - Niveau B2 certifié CLES
2016-2019 : Master en architecture à l’ENSAP Lille
dont 2017-2018 : échange à Escola de Arquitetura da UFMG, Brésil
dont 2018-2019 : Mémoire de recherche - Le réemploi face à la norme
Obtention de la Mention Recherche (ouverture à la thèse) en 2019
2013-2016 : Licence en architecture
Ecole nationale supérieure d’architecture et de paysage de Lille
EXPÉRIENCE PROFESSIONNELLE Août 2020 - Juillet 2021 : architecte DE chez vignault x faure
- Chargée des Appels d'Offres : contact avec les BET, réalisation des candidatures (références, méthodologie, administratif), échange avec les MOA - ESQ à DCE pour le réaménagement d'une salle de change à La Turballe (44) : dessin du mobilier, plan de repérages pour les entreprises, vues 3D pour la MOA
Juillet 2020 : Formation MOOC Bâtiment Durable : "Le réemploi : matières à bâtir" Eté 2019 : stage au CAUE du Nord - réalisation d'une exposition pour les 40 ans du CAUE Nord Eté 2015 : stage en agence d’architecture - SBBT Architecture 28000 Chartres Eté 2014 : stage ouvrier en entreprise de charpente - Charpente Peltier
Portugais du Brésil : lu, écrit et parlé - Niveau B2 certifié CLES
COMPÉTENCES INFORMATIQUES Autocad : + + +
Illustrator : + + +
Archicad : + + +
InDesign : + + +
Photoshop : + + +
SketchUp : + + +
CENTRES D’INTÉRÊTS · Membre du webzine et association nantaise Fragil - depuis Juin 2021 · Membre de l’asso lilloise Une Chambre à Nous - Sept. 2018 / Déc. 2020 · Illustration et design graphique · Développement durable, zero-déchet / · Matériaux bio et géo-sourcés, locaux, de réemploi · Lecture et écriture
Projets d'études ENSAPL 2013-2020
Licence -Troisième année
Recréer l’enclos
Projet d’urbanisme à Saint-Omer
Coupes - 1/200e
Saint-Omer est une ville en reconversion. Elle a de nombreux atouts touristiques, notamment lesSt-Bertin ruines PROJET URBAIN - Abbaye de l’Abbaye Saint-Bertin. Cependant, ce site n’est aujourd’hui pas du tout qualitatif, on y passe sans s’arrêter. Il s’agissait alors de densifier le quartier afin de recréer une réelle vie de quartier au lieu. Le projet se trame sur d’anciens jardins médiévaux, afin de relier Nord et Sud du site. Autour de l’Abbaye, un grand parc urbain profitant à la ville mais surtout aux habitants du quartier.
à Saint-Omer
FRIAS Anacris - Atelier Ber
Licence -Troisième année
Soulever le Sol
Galerie de photos et belvédère à Saint-Omer
Il s’agissait ici de proposer un lieu mêlant un habitat individuel et un espace public. Ce projet s’inscrit face à l’Abbaye de St-Bertin, sur un site comprimé entre une maison individuelle en R+1 et un ruisseau asséché la plupart de l’année. La parcelle est longue mais fine, ce qui représentait l’un des enjeux de ce site. Le projet propose d’utiliser le sous-sol du lieu pour créer une salle d’exposition de photos, puis un studio d’habitation séparé. Le studio profite d’une verrière pour faire entrer la lumière, lorsque le musée est éclairé grâce à un second-jour et des failles dans la structure. Au dessus s’érige un lieu étonnant, servant à la fois de lieu d’exposition en plein air, mais également de belvédère à la ville et l’Abbaye. Il s’agit d’une structure bois s’inspirant des charpentes traditionnelles chinoises, le Dougong.
Master - Première année
Cultiver notre jardin Potagers urbains à Flims
Ce projet se situe à Flims, une ville suisse très touristique durant la période des sports d’hiver. La rue principale est très habitée par les touristes, mais lorsqu’on rentre dans le vieux village, on découvre un tout autre univers, avec de très belles habitations typiques de la Région. A force de balade, on peut tomber sur une grande place très atypique, devenue un parking informel. Elle est en très forte pente, et en son centre se situe une crèche dans une vieille grange en bois empilé. L’ensemble est très dégagé, mais ne sert pour autant à rien d’autres que se garer. Tout autour, de nombreuses granges sont encore érigées, mais elles semblent pour la plupart abandonnées. De plus, toutes les maisons possèdent toutes un potager. L’idée a été de faire de ce lieu un grand parc urbain, qui est finalement devenu au fil des recherches un très grand potager urbain, qui pourrait permettre de nourrir les habitants, mais également de proposer un parcours historique dans la vieille ville. Le terrain étant très fortement en pente, il permet un jardin en restanque, où chaque niveau est l’occasion d’une nouvelle rencontre avec des habitants cultivateurs.
Master - Première année
De la zone au parc
ANALYSE DE SITE - SYNTHESE
Étude urbaine sur la ZA de la Martinoire Ce projet a été réalisé dans le cadre du Master Territoire de l’ENSAPL. Il s’agissait à l’origine d’une étude urbaine sur la frontière Franco-Belge. Côté français, la densité urbaine est forte, avec les villes de Roubaix et Tourcoing. Côté belge, il s’agit plutôt d’une « ville diffuse», ni vraiment urbaine, ni vraiment rurale. Entre les deux se pose la question de la frontière : vit-on de la même façon d’un côté et de l’autre ? la frontière est-elle une ligne ou une épaisseur ? que se passe-t-il précisément sur cette ligne ? Après une visite de site à vélo, il est ressorti que la frontière était en fait constituée d’une épaisseur « servante », une épaisseur que l’on préfère reléguer « au bout de la ville », à savoir des parkings, des zones d’activités, des culs-de-sac, des zones asphaltées mais désertes. Cela pose de gros problèmes pour l’écoulement des eaux, la destruction du paysage et des écosystèmes, et le sentiment d’appartenance. Ce travail se porte spécifiquement sur la zone de la Martinoire, où il a été projeté de construire un bâtiment logistique détruisant d’avantages la vie de ce site. Il s’agit donc de proposer un contre-projet, et d’envisager cette zone comme un parc pour les habitants alentour.
Succession d’espaces servants à la frontière et perte de sens
Le site est sujet aux fortes inondations.
Master - Deuxième année
Le réemploi des matériaux Initiation à la recherche en Master dirigée par Antonella Mastrorilli et Ghislain His
Il s’agit d’une recherche menée de Septembre 2018 à Juin 2019. La problématique de recherche est la suivante : En France, quelles démarches possibles pour utiliser concrètement des matériaux de réemploi pour l’architecture ? Il s’agit ici de comprendre comment les normes prescrivent l’utilisation de ces matériaux, puisqu’elles semblent être la plus grande raison pour laquelle le réemploi ne se déploie pas. Ensuite, il est question d’étudier des exemples qui ont fait le pari du réemploi, selon 4 approches, afin de montrer qu’il est toutefois possible de s’y atteler.
LE RÉEMPLOI DES MATÉRIAUX, AU DELÀ DU MANIFESTE
Ce sont les questions d’économie de moyens et de développement durable dans l’architecture qui m’ont dirigé vers cette recherche. Grâce à celle-ci, j’ai plus m’intéresser en détail à la norme en architecture, et particulièrement ce qui peut rendre son évolution vers des pratiques plus durables difficile.
Cette recherche a aussi fait l’objet d’une mention recherche (permettant d’accéder au doctorat) qui a été validé avec Mention Très Bien en Novembre 2019.
FRIAS Anacris Séminaire d’initiation à la recherche - Domaine Matérialité et Tectonique 2018-2019
ÉCONOMIE CIRCULAIRE
RÉEMPLOI
MÉMOIRE DE RECHERCHE
la filière des déchets dans la métropole lilloise
centre de recyclage
BELGIQUE
centre de tri des déchets
En parallèle, j’ai pu réalisé un projet sur la gare d’Eau de Lille. Il s’agissait d’analyser la filière des matériaux afin de définir comment y intégrer une ressourcerie. Celle-ci permettrait de gérer les déchets issus des constructions et déconstructions autour du site.
BELGIQUE
matériaux authentiques
centre de valorisation organique
LILLE
centre de recyclage
Ce projet a été les prémisses du sujet de mon Projet de Fin d’Études.
DÉCHETS ? RÉEMPLOI JE RECHERCHE : DES MATÉRIAUX DE CONSTRUCTION, DES PRODUITS ISSUS DE DÉCONSTRUCTION, DES SPÉCIALISTES DU RÉEMPLOI, DES BRAS POUR M’AIDER À RÉCUPÉRER DES MATÉRIAUX, DES GISEMENTS DE DÉCHETS DE CONSTRUCTION, DES ENTREPRISES QUI JETTENT TROP ET VOUDRAIENT FAIRE AUTRE CHOSE, TOUT CE QUI A RAPPORT AU RÉEMPLOI DES MATÉRIAUX EN GÉNÉRAL
Cartedéchetteries de la gestion des déchets (tous types) à Lille centre de tri et de recyclage ressouceries
SI TU PENSES POUVOIR M’AIDER, CONTACTE-MOI AU 06 34 37 86 03. JE PAYE EN COOKIES.
Vue depuis Euratechnologies - L’aspect industriel est maintenu
Affiche à destination des particuliers
Un projet pilote de valorisation de la matière à Lille réalisé en groupe de 3 étudiantes - dirigé par Damien Antoni
81% des déchets français proviennent du BTP. C’est de ce constat alarmant que nous avons mené ce projet de fin d’études, dans notre groupe de 3 étudiantes. Il s’agissait ici d’envisager comment faire évoluer les filières de matériaux du BTP, pour qu’elles entrent dans un schéma plus vertueux . Nous avons choisi de traiter la fin de vie de ces matériaux, juste avant qu’ils ne deviennent des déchets. Pour cela, il a été envisagé de créer un lieu permettant la récupération, le tri, la valorisation et la revente de ces matériaux, sur un même site. Ce programme a été imaginé pour fonctionner de pair avec les entreprises locales, les déchetteries et le traitement des déchets de la ville, afin d’avoir une boucle fermée et surtout locale. Les bâtiments sont eux-mêmes construits à partir de matériaux issus du réemploi, traités de façon à leur redonner une valeur (esthétique, économique…), pour montrer l’intérêt que ces matériaux peuvent avoir. Ce lieu est donc à la fois un lieu d’achat mais également un démonstrateur des capacités de tels matériaux.
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Projet de fin d'études
Microville du réemploi
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Schéma de principe montrant le détournement des déchets de la filière classique vers une filière locale et écologique
Plan de la structure de réemploi des matériaux : de la réception à la revente
ENTRE INDUSTRIE ET ARTISANAT
Le socle
Le passage
Vues des 4 principes fondateurs du projet : le socle, le passage, la nappe et la capsule
RÉEMPLOI
RÉINVENTER LA FILIÈRE
La nappe
La capsule
Projets d'études UFMG, Brésil 2017-2018
Magic-o-Cube
Mobilier urbain à Belo Horizonte
Cubo mágico
Ce projet a été réalisé à deux. Il s’agissait d’imaginer un projet (un objet, un bâtiment, une réhabilitation) qui s’inscrive dans l’histoire et la vie à Belo Horizonte. Après une étude des usages dans la ville, il nous est apparu que les sans-abris, comme souvent au Brésil, se déplacent sur de grandes distances afin de revendre ce qu’ils trouvent dans la rue. Nombreux sont ceux qui utilisent des chariots de supermarché pour déplacer avec eux tous leurs biens. De ce constat, nous avons voulu créer un mobilier qui puisse être disposé dans la ville, et utilisé conjointement par les sans-abris et par les autres habitants de la ville. Le module se décline en 3 usages : l’armoire à vêtements, la bibliothèque et la cuisine. Pour ce projet, nous avons créé ce dépliant qui s’imprime sur une format A0 en recto verso. Sur la face jaune, le fonctionnement du cube. Sur la face bleu, une carte de Belo Horizonte recensant tous les lieux qui peuvent être utilisés et partagés par les habitants, qui préfèrent souvent la sécurité de leur appartement.
guarda-roupa
Parque Municipal Rodoviaria
R. Rio Grande Do Sul Praça Sete
biblioteca
cozinha
Parklet R. dos Inconfidentes
Mirante de fumec
Praça da Assembléia
Praça da liberdade
P ARTAGER - (C OM) PARTILHAR Prendre part à ; Diviser (un ensemble) en éléments qu'on peut distribuer, employer à des usages différents. Ter ou tomar parte em ; Dividir em partes iguais ; Fazer distribuição
«Raposos é legal!»
Organisation d’une fête et exposition à Raposos (Brésil) Raposos est une petite ville dans laquelle l’activité minière est toute juste arretée, ce qui a laissé aux habitants une cicatrice profonde. Elle souffre également de l’influence de Belo Horizonte. En effet, la migration pendulaire y est très forte, et de ce fait, les habitants de Raposos pensent qu’ils sont obligés de sortir de leur ville pour trouver des activités intéressantes. Nous avons réalisés plusieurs immersions dans la ville, pour comprendre ce qui manquait aux habitants. Selon nous, la ville était déjà pleine d’oppotunités intéressantes, il suffisait de les réveler à ceux qui habitent Raposos durant toute l’année. Pour cela, nous avons aidé les habitants, en collaboration avec des personnes influentes (par leur personnalité et pas nécessairement par leur statut social) de la ville, à mettre en place une journée sans voiture sur un axe important de la ville. Il s’agissait d’organiser une fête dans laquelle chacun pouvait exposer ou vendre ce qu’il savait faire, pour montrer qu’à Raposos aussi, il y a des talents et de l’envie. Avec cela, j’ai réalisé en colloboration avec une autre étudiante lilloise une exposition sur le renouveau de la région Hauts-De-France post-minier, afin de montrer que ce n’est pas forcément une fatalité
Arbre d’accueil
As Cidades Invisiveis
Pour ce travail, l’idée était de rendre visible les Indigènes vivant en ville. En effet, ils sont nombreux à venir dans les grandes villes afin de vendre leur artisanat ou étudier à l’université, pourtant, ils sont encore perçus comme «bizarres», «déguisés» voire «sauvages» par les habitants. Il était cependant essentiel pour nous de ne pas se positionner en héros, mais de vraiment leur laisser la parole. Après plusieurs interviews, il a paru évident qu’il manquait aux nouveaux arrivants des informations essentielles pour bien s’installer en ville. Ce travail, réalisé suite à de nombreuses discussions avec eux, souhaite combler ce manque. C’est un «arbre généalogique» des personnes ou associations à contacter, selon diverses thématiques. A terme, cette arbre devrait être affiché à la gare routière, et mis à disposition de chacun pour y apporter ses propres informations. A cela s’ajoute des flyers regroupant ces informations, pour que celles-ci puissent être emportées par qui en a besoin.
Ce projet a été réalisé en collaboration avec 2 enfants de 12 et 13 ans ainsi qu’une collègue de l’école d’architecture. Durant ce projet, nous devions discuter avec des enfants de leur vision de l’architecture, et surtout, les pousser à s’interroger sur leur ville et leur rapport à l’urbanité. Pour cela, ils ont d’abord écrit des textes descriptifs sur leur trajet. Au fil de la discussion est entrée l’idée d’imaginer leurs propres villes invisibles, comme elles existent chez Calvino. Les textes ont été réalisés avec eux, tandis que les illustrations viennent de notre compréhension des villes invisibles qu’ils ont imaginées.
Réalisation d’une pancarte d’accueil pour les Indigènes du Brésil
Réalisation d'un livre d'après Les Villes Invisibles d'Italo Calvio
DOCUMENTAÇÃO
Premier jet de ce travail, selon les premiers témoignages.
Un des flyers proposés : «comment réaliser ses papiers d’identités»
Il en résulte un petit livre format A5 de 17 pages, regroupant les textes des enfants, nos illustrations, et quelques questions et activités à partager avec eux.
Travaux Annexes
Sieste transportable Construction d’un fauteuil à sieste roulant
Réalisé en collaboration avec un ami étudant, ce projet propose une autre utilité au célèbre triporteur. Il s’agit d’un fauteuil réalisé à partir de plaque d’OSB pour les contreventements et de tubes de récupération pour l’assise. Ces tubes en carton comprimé servent normalement à protéger les rouleaux de papier d’imprimantes, mais ils sont ensuite jetés faute d’utilité. Nous avons vu en eux un potentiel confortable, c’est pourquoi ils deviennent à terme ce fauteuil. Il faut maintenant trouver un très bon ami pour vous balader partout !
Chantier Participatif Habitarium avec Yes We Camp
En mai 2018, à l’occasion de l’exposition Habitarium, le collectif Yes We Camp a lancé un chantier participatif, afin de construire un camping sur les toits de la Condition Publique à Roubaix. J’ai participé pendant 4 jours à ce chantier à la construction des «chambres-appartements», des portiques en bois qui, montés ensemble, formaient de petites chambres familiales. Sur ce chantier, les plans étaient déjà réalisés, mais il a parfois fallu faire quelques adaptations. En tout cas, l’ensemble s’est monté assez vite, avec peu de moyens, et c’est ce qui m’a intéressé dans ce travail. La collaboration entre architectes et «non-architectes» était aussi passionnante, puisqu’elle a permis de faire ressortir des solutions assez inattendues.
Réalisations de Courts-métrages
«Au Boulot!» Réalisé en collaboration avec 2 amies. Film en stopmotion. Un étudiant en architecture a du mal à travailler. Malheureusement, ce n’est pas vraiment sa faute...
«Minas não tem mar ? » Réalisé en collaboration avec 1 amie, au Brésil. Ce film montre en quelques scènes le rapport nostalgique et difficile qu’entretiennent les habitants du Mines Gerais avec la mer.
Stage de Master
Raconter 40 ans d'Histoire
Réalisation d'un prototype pour le centre d'interprétation du CAUE Nord / Stage de Master En 2019, le CAUE Nord a commencé un long travail de recherche pour convertir leurs locaux ÉPOQUE INDUSTRIELLE en centre d'interprétation du département, au travers de son histoire architecturale. J'ai eu la chance de participer à la recherche graphique et spatiale de ce centre, en premier lieu réalisé sous la forme d'une exposition temporaire, vouée à devenir permanente par la suite.
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Mon travail a porté sur l'identité visuelle de cette exposition, qui devait correspondre à l'identité du CAUE, notamment en reprenant le code du rose et violet. J'ai également travaillé sur la scénographie de cette exposition : il s'agissait de rendre cette exposition ludique pour les enfants tout en étant assez pointue pour les adultes. C'est cet objectif de toucher un public large qui nous a permis d'imaginer une scénographie mobile, rassemblant des photos, des films, des cartes et des jeux, pour que chacun vive l'exposition selon sa propre sensibilité.
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ÉPOQUE MÉDIÉVALE Am int eaquia ad undit hicipiendis estrum quunt et que omnihil ligeni ulloratur? Occusanis rem imus unt quiae cum quas abo. Nequuntibea voluptae. Itate ex et aut voluptat lantibearum doluptatatem eveliquia post doloreic torrorum facepro magnis endi aut evendis eumquas solor as volende sequam inihil ipsam sit exerovitas im rendaerum ini iur seque volente que omnis aciiscim eatibusam, officia sendit quam hiliti sed quae nonsequo dem que net eictorepere pore volorro exped quam exceptia pos doluptati te re ommosae veniet essenesequis pra corestia volo qui volorpor rem esectur as et exeres aspidic ienditibus nos poresequia nonseriorrum quos unt, quibuscil mos sam non con eum aspideb isquodis as id eatectiore cusanturio. Cepudanis doloreperum estem reium faceatquam sit voluptatur? Me delecusto torem qui blaborroris eium ut quiberr oriorro eati nobit
Proposition de scénographie pour la frise chronologique sur linéaire de murs
ré-enchanter l’habitat et les lieux de vie
RESTAURER LE PATRIMOINE
1994
DATES IMPORTANTES : - 13XX : DATE DE XXX
1492
Hôtel de ville, Lezennes
2013
Conservatoire, Roubaix
PRÉSERVER 1995
Archives du monde du travail, Roubaix
RÉVÉLER
2006
SE SOUVENIR
Lycée Charlotte Perriand, Genech
2010
Lagunes de Lescaut
2001
Au moment de la création de la Ville nouvelle de Villeneuve d’Ascq (1967) une solution est recherchée pour palier aux problèmes d’assainissement des eaux pluviales de la ville nouvelle. En effet la rivière de la Marque qui coule à l’extremité Est de la ville nouvelle, est bien un exutoire naturel gravitaire mais trop petite pour recevoir directement les eaux pluviales de la ville. Par ailleurs, le site du parc du Héron juste à l’amont de la Marque, s’avère être une zone très imperméable et souvent inondée. En s’appuyant sur des opérations menées à grande échelle aux Pays Bas et en Scandinavie, les aménageurs imaginent alors de stocker provisoirement les eaux de pluie dans des bassins intermédiaires et régulateurs aménagés en chaîne, dans le tissu urbain avec un déversement du trop-plein dans la Marque. Ce système axé sur un petit affluent de la Marque, le courant de Maitre David, permet alors d’économiser 25% sur l’investissement d’un système classique de canalisations et réduit aussi beaucoup les coûts d’entretien. 7 lacs reliés entre eux sont alors créés entre 1969 et 1976.
PROTÉGER 1995
Théâtre des 3 chênes, le Quesnoy
1983 : LE BÂTI INDUSTRIEL COMME PATRIMOINE recensement du patrimoine industriel pour l’Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France du ministère de la Culture
2009-18
Restauration de la Salle Sthrau, Maubeuge
RÉHABILITER 2014
Panneaux A2 à compléter par les visiteurs de l'exposition
POUR ALLER PLUS LOIN :
Restauration de la Villa Cavrois, Croix
Autour des 7 lacs de recollement des eaux, un vaste parc autour de l’eau à l’echelle de la Ville Nouvelle est imaginé par le paysagiste Jean Challet. Il y prévoit 3 entités paysagères en relation entre elles : l’ensemble Ouest de 50 ha à dominante de bois mais aménagés de façon urbaine ( parc urbain), l’ensemble Est de 62 ha autour de l’eau et des zones humides ( Lac du Héron) et 18 ha de la colline des Marchenelles. Pour évacuer les 900 000m3 de déblais de creusement des lacs, 3 zones de dépôt sont créées au fort des Marchenelles, et en lieu et place d’une décharge et sur la colline du Héron en rives Nord-Ouest du lac. Ces mouvements de terrain sont appelées la colline des Marchenelles (point haut 40 m) . Suite à des questions de pollution et d’effondrement plusieurs tentatives de plantations sont effectuées. Son modelage et son boisement définitifs sont pris en charge par la commune (commission extra-municipale) sur préconisations de l’ONF et l’EPALE et l’assistance technique des paysagistes concepteurs Bernard Debroux et Christiane Delvaux. Les travaux de plantations débutent en 1981. La
volonté communale est de reconstituer un boisement forestier plurispécifique régional, avec quelques clairières engazonnées desservies par un réseau de chemins de promenade. Après 10 ans de gestion forestière active par la ville, le site de la colline des Marchenelles est ouvert au public. Le reste du parc du Héron est ouvert au public en 1983. Entre temps, les abords sud du lac sont sauvegardés de la construction d’un nouveau quartier décidé par l’EPALE, par l’action d’une association locale de sauvegarde et de valorisation du parc du Héron. En 1985, la commune acquiert les terrains le long des berges du lac pour bloquer définitivement toute construction. Les 73 ha du parc sont depuis Novembre 1995, classés réserve naturelle volontaire. Depuis 2002, le site reconnu comme espace naturel métropolitain est géré par l’ENLM ( Espaces Naturels Lille Métropole).
PARTIE I : LE SOCLE - HYDROLOGIE - GESTION DU SOL
PARTIE II : LE RÉCIT DES HOMMES - ÉPOQUE INDUSTRIELLE
SUR NOS SITES INTERNET : - PHOTOGRAPHIES DU LAC DU HÉRON - LA MARQUE
Restauration de la Contregarde du Roy - Citadelle de Lille
Un panneau présentant une réalisation repérée par le CAUE pendant leur 40 ans d'existence
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Anacris Frias Architecte DE