an ca ro x a na c ri san architecte de hmonp
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profil
date de naissance
05 / 07/ 1 9 8 8
architecte DE HMONP ENSA de Paris La Villette (2017), ENSA de Clermont-Ferrand (2014) et UniversitĂŠ Technique de Cluj-Napoca (2013)
contact anca.roxana.crisan@gmail.com +33 (0)7 68 07 65 66 3 r ue C o r n e i l l e | 37000 To u r s
sommairek curriculum vitae
1
expérience professionelle et concours Rénovation d’un hôtel particulier | Tours (37000) Construction d’un bâtiment d’activités | La Ville-aux-Dames (37700) Accueil de Loisirs Sans Hébergement | Truyes (37320) Centre culturel | Ballan-Miré (37510) Le parc du ‘Livada Poştei’ | Braşov (Roumanie)
8 16 22 34 34
projets académiques selectionés Pavillon de representations | Varese (Italie) Le musée d’histoire naturelle | Cluj-Napoca (Roumanie) Centre culturel pour les étudiants | Cluj-Napoca (Roumanie) Cimetiere des Limandons | Thiers (France) Logements collectifs en ville | Cluj-Napoca (Roumanie) Ensemble résidentiel | Cluj-Napoca (Roumanie)
38 44 48 34 34 34
c v EXPÉRIENCE PROFESSIONNELLE
ARCHITECTE EN FORMATION À L’HMONP | AAGB, Tours | novembre 2016 - juillet 2017 Projets de maisons (réhabilitation d’un hôtel particulier dans le centre historique, reconversion d’un restaurant en maison individuelle, extension d’une maison), projets de bâtiments d’activités et équipements (construction d’un ALSH à Truyes) ; COLLABORATRICE D’ARCHITECTE | BVL ARCHITECTURE, LIMOGES | juin - octobre 2016 Concours pour la construction des 48 logements individuels à Beaune-les-Mines ; Concours pour la construction des logements individuels et collectifs à Condat-sur-Vienne ; Concours pour l’extension et restructuration d’un EHPAD à Chateauneuf-sur-Charente (LAURÉAT) COLLABORATRICE D’ARCHITECTE | IRINA BALDESCU ARCHITECTE, BUCAREST et VENISE | 2015 Reconversion d’une école néogothique en maison d’hôte, Seleus (Roumanie) ; STAGIAIRE | FAUVEL-FOUCHÉ ARCHITECTES URBANISTES, POITIERS | juin - juillet 2012 Création d’un équipement culturel bioclimatique à Ballan-Miré (Tours) ; STAGIAIRE | WEST GROUP ARCHITECTURE, BUCHAREST (ROUMANIE) | juillet 2011 Expansion et rénovation d’un centre commercial à Mogoșoaia (Roumanie); Ensemble de maisons préfabriqués à Cluj (Roumanie) ; STAGIAIRE | PREFCON, ZALĂU (ROUMANIE) | août 2009 Centres Multifonctionnels de Cehu Silvaniei, Şimleul Silvaniei, Jibou (Roumanie) ; STAGIAIRE | DARH PROIECTARE ARHITECTURĂ, CLUJ (ROUMANIE) | juin - juillet 2009 Relevés des maisons à Bogata de Sus et Sucutard (Roumanie) ; STAGIAIRE | PREFCON, ZALĂU (ROUMANIE) | août 2008 Relevé du bâtiment, Zalău (Roumanie) ; Proposition de design intérieur.
EDUCATION ET FORMATION
4
Formation à l’HABILITATION À LA MAÎTRISE D’ŒUVRE EN SON NOM PROPRE | ENSA de Paris La Vilette | 2016 - 2017 ARCHITECTE DIPLÔMÉ DE L’ÉTAT | ENSA de Clermont-Ferrand, France | 2013 - 2014 Domaine d’études Entre ville, nature et architecture - niveau Master 2 ARCHITECTE DIPLÔMÉ DE L’ÉTAT | Faculté d’Architecture et Urbanisme Cluj-Napoca, Roumanie | 2007 - 2013 ÉTUDIANTE BOURSIÈRE ERAMUS | ENSA de Clermont-Ferrand, France | 2011 - 2012 Domaine d’études EVAN - niveau Master 1 DIPLÔME DE BACCALAURÉAT | Colegiul Naţional Silvania Zalău | 2002 - 2007 Classe de mathématiques-informatique-langue anglaise
ATELIERS
ATELIER RE:PRESENTATIONs | 17 - 22 février 2010, Cluj-Napoca (Roumanie) Mise en page et mise en scène d’un projet de design architectural Direction : Hugo Costa (professeur à l’Université Technique de Valencia) et Salvador Gilabert (professeur à l’Université Technique de Valencia) ; ATELIER SOMEŞ RIVERSIDE | 23 février - 5 mars 2010, Cluj-Napoca (Roumanie) Compétences en urbanisme Direction : Eugen Pănescu (Planwerk), David Baxter (Transylvania Trust), Michael Mehaffy ; UNIVERSITÉ D’ÉTÉ | 12 juillet - 27 juin 2010, Cluj-Napoca (Roumanie) Compétences en restauration et design intérieur écologique Direction : Szabolcs Guttman (président de l’Ordre des Architectes Transylvanie) ; ARCHICAD ADVANCED MODELLING TRAINING | 16 octobre 2010, Zalău (Roumanie) Direction : Csongor Birtók (ConSoft Training Center), László I. Tódor (directeur ConSoft) ; ATELIER COOP CLUJ | 25 - 26 février 2011 Compétences en urbanisme et représentation Direction : Association AREA3 (www.area3.ro)
LANGUES
roumain langue maternelle français très avancé
anglais très avancé italien intermédiaire
COMPÉTENCES
ArchiCAD Artlantis AutoCAD Revit Nemetschek Allplan
SketchUp Adobe Photoshop Adobe Illustrator Adobe InDesign Suite Office
CONCOURS ET PUBLICATIONS
2017 : Design graphique et mise en page de la revue scientifique MuseIkon, no1 ; 2012 : Atelier pour le design de la revue de l’ENSACF ; 2011 : Co-autrice de quatre projets exposés pendant les Journées d’Architecture à Cluj (Roumanie) ; 2011 : Rédaction et mise en page du livre : Dana Opincariu (dir.), L’Ambiance des espaces intérieures, Cluj-Napoca, Editura Tehnică, 2011 ; 2011 : Gagnante, collaboration Àgota Lőrincz et Anca Mihai, de la première étape du Concours de Réaménagement du Parc Livada Poştei à Brașov (Roumanie) ; 2011 : Projet (Ensemble résidentiel à Cluj) publié dans les mélanges coordonnées par Dana Vais (dir.), Habitations collectives : Projets d’étudiants de l’année 2009-2010, Cluj-Napoca, Editura Tehnică, 2011 ; 2010 : Projet (Green Hotel. Une alternative possible), collaboration Àgota Lőrincz et Mihai Marcu, publié sous forme d’article dans la revue Arhitext, 2010 (no 12) ; 2010 : Projet (Centre culturel pour étudiants), collaboration Àgota Lőrincz, publié sous forme d’article dans la revue Arhitext, 2010 (no 11) ; 2010 : Gagnante, collaboration Àgota Lőrincz, du Concours de projets d’étudiants ‘Osez !’, organisé par la revue Arhitext, (voir le projet précédent). 5
ex p ĂŠ r i e n c e professionelle et concours
/ atelier d’architecture gilles bertrand | tours
8
rénovation d’un hôtel particulier tours (37000)
localisation 8 rue des Oiseaux 37000 Tours maître d’ouvrage Privé mision complète surface 250 m2 montant des travaux 200 000 € HT
Le projet vise la réhabilitation d’une maison bourgeoise située au 8, rue des Oiseaux, dans le secteur du PSMV de Tours. La maison a été construite vers 1880 par l’architecte Paul Raffet, pour un certain monsieur Bassinet Jacquelin, ingénieur. Le terrain est adossé à l’un des bastions de la ville de Tours, dit « Bastion des Oiseaux », datant à son tour du 17e siècle. La maison est référencée comme élément bâti protégé, notamment pour la façade Sud qui donne sur un jardin et qui présente une modénature très travaillée. La restructuration comprenait la redistribution des pièces (notamment au rez-dechaussée), la démolition d’un appentis de jardin, ainsi que la création d’un atelier dans le prolongement du garage existant. En ce qui concerne le bâtiment principal, aucun travail de ravalement n’est prévu pour les façades, qui sont en bon état. Les éléments de ferronnerie seront conservés et remis en peinture. En revanche, la couverture et la zinguerie doivent être remplacées, car elles présentent de nombreux points faibles. Les installations (électriques, plomberie, chauffage) seront refaites à neuf ou remis aux normes. Les menuiseries extérieures et le châssis de toit seront remplacés par des menuiseries en bois équipées de double vitrage. Toutes ces opérations seront faites conformément aux prescriptions de l’ABF, dans le respect de l’existant. Ce projet m’est parvenu en phase PRO. Le relevé étant déjà fait, mon travail comprenait la mise à point des plans de démolition/construction, ainsi que le dessin de détails. Par la suite, j’ai pu assister M. Bertrand lors de la préparation du DCE et lors du suivi du chantier jusqu’à la réception.
plan de masse 0 0,5 1
état projeté | plan du rez-de-chausée 0
10
0,5
1
2
2
photos prises lors des OPR
axonometrie dressing pour la chambre parentale
axonometrie bibliotheque du sĂŠjour
11
plan du rez-de-chausĂŠe 0
12
1
2
5
construction d’un bâtiment d’activités la ville-aux-dames (37700)
maître d’ouvrage Privé (SCI Alphatest) mision partielle surface 1200 m2 montant des travaux 960 000 € HT
Le projet représente une construction de bâtiment d’activités divisible pour la société Alphatest, qui fabrique des composants électriques pour les ampoules LED. La partie Sud du bâtiment abritera les bureaux et la partie d’assemblage d’une entreprise qui fabrique des luminaires. La partie Nord est destinée à la société Alphatest. Les deux ailes sont réunies par un showroom destiné aux fournisseurs et aux distributeurs. Le site est entouré par des parcelles à vacation commerciale, industrielle et artisanale. L’une de ses particularités est le fait qu’il se trouve en zone inondable, une situation qui nous a imposé un choix de matériaux insensibles à l’eau. En accord avec le programme, la façade principale a été divisée en trois séquences. La première est bardée de panneaux de polycarbonate blanc et sert de signal urbain. Rétroéclairée pendant la nuit, elle mettra en évidence l’activité de l’entreprise. La deuxième séquence comprend le showroom et l’entrée du bâtiment, traités avec un bardage bois à claire voie. Le showroom se prolonge à l’arrière avec une terrasse en bois. La troisième séquence abrite les bureaux et les espaces de production de la société Alphatest. Elle est marquée par un cadre blanc qui dirige la vue vers l’entrée principale. Un bardage métallique sobre permet d’asseoir le bâtiment sur la parcelle. La commande a été directe : le gérant de la société Alphatest a contacté l’agence pour réaliser ce projet. Dès le début du projet, j’ai eu l’occasion d’échanger directement avec le maître d’ouvrage, ce qui m’a permis d’affiner le programme et de rédiger un schéma fonctionnel assez précis. Initialement, AAGB a eu une mission complète, mais lors de négociations, le bureau d’études Realtis s’est engagé à assurer le suivi des travaux.
plan du rez-de-chaussĂŠe 0 1 2
plan de masse 0 2
14
5
10
5
accueil de loisirs sans hébergement truyes (37320)
localisation rue du Chateau Jouan 37320 Truyes maître d’ouvrage Mairie de Truyes mision complète surface 400 m2 montant des travaux 250 000 € HT
Le projet vise la construction d’un bâtiment abritant un Accueil de Loisirs Sans Hébergement (ALSH) dans le prolongement de l’école maternelle existante. Le terrain st situé en frange du centre bourg de Truyes, à proximité de l’Espace Sportif Communautaire (à l’Est) et de l’actuel Centre de Loisirs Périscolaire aménagé dans une partie du château de Bel Air (au Sud). L’ALSH se trouve dans le périmètre d’un monument historique du XIIe siècle, sans co-visibilité. L’opération consiste en une construction de bâtiment en rez-de-chaussée simple, accolé à la partie Sud-Ouest de l’école maternelle. La jonction des deux bâtiments se matérialise par la création d’un sas de distribution. Le projet a été pensé comme un pliage origami qui se développe au premier plan de l’école maternelle. Ce pliage s’observe également dans la couverture de l’équipement. Les salles d’activités sont orientées Sud et Ouest ; elles s’ouvrent toutes sur l’espace extérieur engazonné et clôturé. À l’Est du projet, une cour en enrobé traversant la parcelle dans le sens NordSud desservira les entrées de l’école et de ALSH. Ce projet a été le premier sur lequel j’ai travaillé dans ma nouvelle structure d’accueil. Ma responsabilité était de finaliser les éléments du permis de construire (plans, perspectives etc.). Ensuite, suite aux remarques de l’ABF, qui considérait que l’ALSH se trouve en situation de co-visibilité avec l’église Saint-Martin (monument inscrit datant du XIIe siècle), j’ai dû intégrer ses remarques pour déposer un permis modificatif.
/ fauvel fouchĂŠ architectes urbanistes | poitiers
16
centre culturel ballan-miré (37510)
localisation 14 Boulevard Léo Lagrange 37510 Ballan-Miré-Miré maître d’ouvrage Communauté d’agglomération Tour(s) Plus mision complète surface 1400 m2 montant des travaux 2 400 000 € HT
En qualité de stagiaire chez Fauvel-Fouché Architectes, l’une des missions que j’ai suivies concernait le concours pour la création d’un centre culturel à Ballan-Miré, dans le parc Heller. Ce parc est en réalité une belle prairie, ponctuée de grands arbres et inclinée en pente douce depuis le boulevard Léo Lagrange (à l’ouest) jusqu’à la rue du Commerce (à l’est). Il s’agit d’un espace naturel rare en milieu urbain. La proposition pour le nouveau Centre culturel envisageait la constitution de deux pôles : la médiathèque et la salle de spectacle. La volumétrie générale traduit cette organisation dans deux ailes articulées autour du hall à double accès. En front de rue se trouve la salle de spectacle haute et massive ; dans le parc, la médiathèque est ouverte sur la nature, au calme. Elle se glisse entre les arbres pour préserver le maximum de sujets. Au cœur du bourg de Ballan-Miré persistent des cheminements piétons entre les équipements publics et commerciaux. Le Centre culturel s’inscrit dans un parcours qui conduit du parc Beauverger à la place de l’église par le parc Heller, et du parc de Beaune et la maison de retraite. Il est accessible à la fois depuis la Rue du Commerce et le Boulevard Léo Lagrange. Le volume de la salle de spectacles sert de signal, du côté du Boulevard Léo Lagrange. Il constitue un objet singulier et repérable. Depuis la rue du Commerce, c’est le volume transparent et légèrement décollé du sol de la médiathèque, placé en position frontale, qui ponctue la perspective. La topographie du terrain est respectée, l’équipement culturel s’adapte à la pente existante.
salle de spectacle
médiathèque
initial / proposé Nous avons essayé de respecter le plus possible l’empreinte initiale des bâtiments (en rouge), pour garder la plus grande partie des arbres.
coupe A-A 0 1 2
18
5
10
plan masse 0 2 5 10
20
plan RDC 0 2
5
plan étage 10
20
0 2
5
10
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coupe B-B 0 1 2
5
10
19
façade est façade ouest
La composition volumétrique s’appuie sur une logique de blocs de hauteur variables, décalés. Les toitures-terrasses en pentes douces s’enchaînent ou s’inversent. Chaque rupture permet l’entrée de la lumière naturelle et la ventilation. La proposition recherche une ambiance sereine où intérieur et extérieur se mêlent pour constituer un tout vivant et cohérent.
20
0 2 5
10
20
vue de la médiathèque 21
/ concours | brasov (roumanie)
22
le parc de livada postei une prairie urbaine
localisation Brasov (Roumanie) maître d’ouvrage Mairie de Brasov + Schaeffler Roumanie équipe Ágóta Lörincz, Anca Mihai, arh. Daniel Serban surface 27 000 m2 année de réalisation 2011
Le concours « Réaménager le Parc Livada Postei » a été initié par Schaeffler Roumanie, en partenariat avec la Mairie de Brasov. Son objectif était celui de réaménager le parc et de lui donner une nouvelle identité, contemporaine. Situé au pied d’un versant boisé, au sommet duquel se trouve la Tour Blanche, une construction défensive du XVe siècle, le parc est lié à cette dernière par un chemin appelé Könige Weg (« Le chemin des rois »). Dans son état actuel, l’aspect du parc est irrésolu, entre naturel et urbain. À nos yeux, son point d’attraction est la pelouse orientée vers de sud, qui se trouve au centre du parc. Cette particularité, ainsi que la proximité de la forêt, nous ont persuadées d’accentuer le caractère naturel du parc. Nos références étaient les magnifiques prairies naturelles que l’on trouve dans le voisinage de la ville de Brasov. De plus, le nom même du parc (« Le Verger de la Poste ») témoigne de son histoire. Avant d’être un espace public, il était sans doute un verger. Pour faire référence à la mémoire des lieux, nous avons proposé des arbres fruitiers au bord de la prairie centrale. Pour faire contraste avec toute cette végétation ayant un aspect sauvage, les autres interventions ont eu un caractère clairement anthropique. Les allées soulevées en métal, les banques en acier, les placages métalliques font également référence au patron de ce projet, Schaeffler, producteur de pièces métalliques. De la centaine des projets participants à la première phase du concours, huit ont été sélectionnés. Le nôtre a été parmi ces huit derniers. Il a été apprécié pour sa typologie de parc de design, pour les interventions qui respectent le relief, mais également pour la volonté de protéger le plan végétal initial.
a-a
prairie en fleur à quelques kilomètres de Brasov vue aérienne du parc de Livada Postei schémas de plantation
Légende arbres existantes arbres proposés sambucus racemsoa spires bebulifolio coloneaster dammeri
printemps
été
b-b
automne
hiver
plan de l’aménagement 0 2
24
5
10
20
détail a-a détail b-b 0
0,5
1
2
vue de l’entrée du parc
plan d’éclairage nocturne 02 5 10
20
coupes transversales 0 2 5 10
20
25
projets académiques sélectionnés
03
02
01
28
0 25 50
100
le pavillon de representations interventions dans un territoire industriel
localisation Dans le cadre du domaine d’étude EVAN (Entre ville, nature et architecture), l’accent a Varese (Italie) été mis sur l’entrelacement des échelles et sur le travail du général au particulier. Cette
vision est reflétée par ce projet de fin d’études, dont une attention particulière a été
type du travail donnée à la stratégie urbaine, la base de toute démarche architecturale. La stratégie a en equipe, été donc développée dès le premier semestre, en équipe. Ensuite, chaque étudiant a individuel
poursuivi son propre projet architectural.
année de réalisation Le fil conducteur de notre projet était l’eau, la rivière Olona, qui traverse la ville de 2013-2014 Varèse du nord au sud. La rivière constitue également le principal axe de communica-
tion ; l’autoroute vers Milan poursuit son trajet. Au niveau du territoire, l’Olona constitue alors un lien important avec la métropole de Milan. Pourtant, au niveau de la ville, elle est perçue comme une rupture, car la ville de Varèse s’est développée de ses deux côtés. Témoin de l’industrialisation du XIXe siècle, l’Olona est encore polluée. Puisqu’elle est imprévisible et tumultueuse, cette rivière a été canalisée. Notre proposition réconcilie la ville avec son rivière autour de cinq nœuds, chacun montrant le caractère diffèrent de l’eau : ressource motrice, potentiel paysager de ses berges, mobilité territoriale, ressource agriculturale et carrefour régional. Nous avons conçu le deuxième nœud de développement, « Cité des Arts ». Elle comprend un musée (01), développé autour de la ruine d’une ancienne manufacture de soie, une École des Beaux-arts (02), située dans un bâtiment industriel réhabilité, et le théâtre ou « Ca’ del Teatro », le projet présenté par la suite (03).
Les cinq nœuds de développement au long de la vallée.
coupe transversale 0 1 2
30
5
10
01 | État initial Le bâtiment en U n’a aucune relation avec l’eau. L’Olona est canalisée et entièrement inaccessible.
02 | Espaces publics Deux espaces publics différents sont crées par rapport à l’Olona et au quartier.
03 | La relation au viaduc La partie opaque est située au niveau du viaduc pour se proteger de la pollution fonique.
04 | Aménager l’eau Un amphithéâtre situé sur la rive Ouest permet l’accès à l’eau.
05 | Le grand escalier Orienté vers l’Olona, il invite le public à suivre cette forme de feuillet plié pour accéder aux salles de spectacle.
06 | Vues / éclairage Les deux salles offrent des vues differentes : vers le parc de l’Olona et vers le parvis d’entrée.
07 | Le toit Le toit plié constitue une référence aux sheds des bâtiments industriels.
08 | Signal Pendant la nuit, la double peau est diffusément illuminée et constitue un signal au niveau de la ville.
Transparent Le hall d’entrée permet une relation directe avec les berges naturalisées de l’Olona.
Translucide La peau en polycarbonate filtre la lumière dans les espaces communs situés aux niveaux supérieurs.
Opaque Les salles de spectacles peuvent être éclairés ou obscurcis, en fonction du type de représentation accueilli.
31
faรงade est 0 5 10
20
faรงade sud 0 5 10
20
coupe transversale 0 1 2
32
5
10
Dans l’aménagement, il y a une transition entre le parvis du théâtre (minéral, réalisé en béton), le parc d’à côté, où les matériaux sont moins « durs » (dalles en béton désactivé, stabilisé) et les gradins situés sur l’autre berge.
plan +3,00 m 0 2
5
10
plan +6,00 m 0 2
5
10
plan +9,00 m 0 2
5
10
plan +12,00 m 0 2
5
10
33
coupe transversale 0 0,5 1
34
2
3
Le matériel de la façade a été choisi par rapport au passé industriel de la vallée : le polycarbonate. Le bâtiment devient alors presque une machine, dont on voit les mécanismes qui la mettent en marche. L’intention était de transformer l’architecture en un mécanisme qui permet d’apercevoir tous les inner workings du bâtiment et de transposer l’usager en une autre posture : celle d’un acteur. Le matériel utilisé, ses reflets et sa transparence créent une liaison discrète entre le bâtiment et le parc, faisant semblant que ce dernier intègre l’architecture.
axonométrie éclaté
35
36
le musée d’histoire naturelle de cluj-napoca un jardin pour les oiseaux
localisation Cluj-Napoca (Roumanie) type du travail individuel année de réalisation 2013-2014
Le projet de fin d’études soutenu en Roumanie est plus proche de l’architecture que de l’urbanisme. Le Musée d’histoire naturelle de Cluj-Napoca a une importance distincte, car il est dédié à Emil Racovita, le premier biologiste qui a étudie la vie arctique et le père de la biospéologie. Le musée actuel d’histoire naturelle est abrité dans un bâtiment datant du XIXe siècle, au rez-de-chaussée. Cet espace insuffisant n’arrive pas à héberger dans les meilleures conditions les collections uniques, organisées souvent sous la forme de plusieurs « cabinets de curiosités ». Le projet propose la construction d’un nouveau bâtiment pour héberger le Musée. L’ancien édifice, relié au nouveau, n’abritera que les cabinets de curiosités, construits sur mesure pour mettre en valeur les anciennes collections. Le nouveau bâtiment enrichit la portée éducationnelle du Musée grâce à une collection compréhensive, réorganisée, orientée vers le public et surtout vers les enfants. L’organisation du nouveau musée met en valeur les qualités du site : l’espace vert, fondamental pour les habitants de la ville et pour la faune urbaine. L’environnement peut jouer un rôle éducationnel complémentaire. L’espace ornithologique est le meilleur exemple. La promenade dans cette section offre des informations concernant les oiseaux, tout en permettant également le bird spotting. Les pinsons, les bouvreuils et les panures à moustaches du parc peuvent être observés à partir de cet espace ornithologique, à l’intérieur du musée. Les visiteurs peuvent également les nourrir dans le balcon situé à l’autre bout de la salle. Voici donc l’idée qui a animé le projet en son entier: amener les visiteurs dans un musée qui constitue un espace vif, vert et vivant dans la ville.
1
le cabinet des curiosités
2 1
l’exposition immersive
plan masse 0 10 25 50
3
100
le jardin des oiseaux
Le musée (1) est situé à la limite du centre historique (ligne pointillée), dans le parc Mikó (3), pas loin du Parc Central (2) et du Jardin Botanique (4), formant une « ceinture verte » autour du centre-ville.
01 | Le parc Mikó Actuellement, une oasis urbaine pour les oiseaux.
05 | Vitrages Ils mettent en évidence l’entrée et la Salle des Baleines. 38
02 | Le site Il permet un lien direct avec le bâtiment historique.
06 | La double peau Pour éclairer naturellement les expositions.
03 | Le jardin Le creusement semicirculaire crée un jardin intérieur.
07 | Le toit végétal Son rôle est celui d’attirer les oiseaux et les insectes indigènes.
04 | La pente Les niveaux sont décalés pour mieux s’installer dans le terrain.
08 | Panorama Le dernier niveau est un belvédère sur le parc.
La double façade permet l’éclairage naturel des objets photosensibles (fourrure, plumes). Toutefois, elle joue également un rôle symbolique. Elle reproduit les couronnes des arbres par son filtrage de la lumière, un concept que les Japonais appellent komorebi. En outre, l’acier Corten de la façade est un hommage discret à la décoration Art Nouveau de l’ancien bâtiment.
Pour souligner le rôle éducatif du Musée, le nouveau bâtiment protège une exposition permanente organisée autour de l’évolution de la vie sur Terre. Ainsi, au niveau +1 on trouve une expo montrant l’apparition de la vie, on continue vers la Salle des Baleines, la Faune du Monde (niveau 0), la Faune de Roumanie (niveau -1) et les invertébrées, insectes et minéraux au niveau -2.
39
plan R+2 0
5
10
20
plan R+1 0
5
10
plan RDC 02 5
40
10
20
20
plan R-1 0
5
10
20
coupe a-a 0 1 2
5
La cafeteria, situé au rez-de-chaussée, donne une vue sur le jardin. Le moulage d’un apatosaure lève son col faisant semblant qu’il se nourrit des feuilles des arbres du parc.
41
42
centre culturel pour les étudiants interventions dans un tissu protegé localisation Cluj-Napoca (Roumanie)
L’intention de ce projet était d’implanter un programme architectural déjà défini (un centre culturel pour les étudiants de l’Université Technique) dans le centre historique de la ville de Cluj-Napoca. Cette ville est caractérisée par son architecture type du travail hétérogène, témoignant des transformations successives, dont l’urbanisation du en binôme XVIIIe siècle et la systématisation de l’époque communiste ont laissé les traces les année de réalisation plus visibles. Pourtant, ces transformations n’ont pas affecté le parcellaire, qui est 2009 encore protégé. Le site que nous avons choisi est situé sur la rue Petroseni. Dans les plans du XVIIIe siècle, il correspondait à deux parcelles, assemblées autour d’une place. Une ancienne ruelle, parallèle à l’enceinte médiévale, sillonnait d’ailleurs une partie de ces parcelles. Par conséquent, nous avons proposé d’ouvrir l’accès piéton qui reprenait le trajet de cette ruelle et de réaménager la petite place. Les deux volumes du bâtiment, liés par un troisième, vitré, évoqueraient les deux parcelles. Pour achever l’insertion du bâtiment de manière discrète, nous nous sommes inspirées de l’aspect composite de ses environs. Ce dernier a été traduit dans la volumétrie dynamique et plissée du toit. En plus, l’acier Corten permet de camoufler le Centre culturel parmi les toitures en tuile de ses bâtiments voisins. Ses fonctions passent graduellement du public au privé. Au rez-de-chaussée se trouve la cafétéria et l’espace d’exposition, tandis que les studios, les bureaux et la médiathèque sont situés aux étages supérieurs. Le projet entier a été conçu autour de l’idée d’articulation : entre les deux volumes et les deux parcelles, entre le bâtiment et ses voisins, entre l’espace public existant et la nouvelle place, entre l’ancien et le nouveau.
b
Programme 1 salle de conférence 2 foyer 3 salle de sport 4 médiathèque 5 espace activitiés 6 bureau ONG 7 jardin 8 atelier des artistes 9 espace expo 10 espace reprographie 11 cafétéria
1 a
2
3
b
plan de situation 0 10 25 50
01 | État initial Deux parcelles et deux bâtiments côte à côte.
plan sous-sol a
100
02 | Translation Les deux bâtiments deviennent deux volumes.
03 | Raccord Le deux corps sont unis par un troisième, vitré.
coupe a-a 0 1 2
44
5
04 | Hauteur Le bâtiment s’adapte au niveau d’hauteur du site.
0 1 2
5
10
05 | Toit plié Le toit se plie en fonction de ses voisins.
coupe b-b 0 1 2
5
b
b
b
4 a
a
a
1 6
5 6
b
b
b
6 plan 1er étage a
5
10
a
0 1 2
5
plan 3e étage a
10
07 | Espace public Le RDC du bâtiment s’ouvre vers la place.
0 1 2
5
10
b
06 | Passage La ruelle parallèle à la muraille a été ouverte.
0 1 2
plan 2e étage
7
9 a
10
b
11
plan RDC
a 0 1 2
5
10
45
La façade en acier Corten permet l’intégration du Centre culturel dans son site. Elle fait référence à ses voisins, avec leurs charpentes et toitures en tuile. Pourtant, sa forme est distinctement contemporaine : une gemme, découpée en fonction de ses environs. L’architecture du centre culturel devient objet, presque sculpture. Elle ne semble cependant pas étrange à son contexte.
46
47
48
le cimetière des limandons un jardin suspendu
localisation Thiers (France)
Un projet de cimetière relève toujours d’une vision personnelle, malgré ses limitations programmatiques ou architecturales. Il témoigne de l’image individuelle que nous avons sur la mort, une image façonnée par nos modèles culturels, par nos envies et type du travail nos croyances. Notre vision associe le cimetière avec les églises rurales, la plupart en individuel bois. Leurs clochers sont visibles à côte des pâtures ou des vergers. C’est une image année de réalisation idyllique, mais puissante, qui renforce l’idée de réintégration dans le cycle de la vie. 2012 Par conséquent, le cimetière représenterait un espace vert, un lieu de la mémoire, qui célèbre l’inévitabilité et la beauté de la mort. Le projet concernait l’agrandissement du cimetière des Limandons, soit dans son emplacement actuel, au cœur de la ville, soit dans un autre, ailleurs. Notre intention était celle d’aménager un cimetière-parc qui relierait deux quartiers isolés : le quartier mixte développé autour de la zone industrielle Le Breuil et les faubourgs Les Belins et La Vidalie. Suite à l’orientation nord-nord-ouest du cimetière, favorable à ce programme architectural, nous avons créé un dialogue visuel avec la ville qui se trouve sur la colline opposée. Le cimetière devient ainsi un belvédère qui permet d’admirer la ville, mais cette dernière s’ouvre à son tour sur le cimetière, qui regagne ainsi son importance. Quoiqu’il ait été déplacé, le Cimetière de Limandons est encore accessible à pied depuis le centre-ville. Ce positionnement conserve son ancien caractère urbain et garde la relation qu’une ville doit avoir avec ses morts et son histoire : l’intégration à la place de l’isolation. L’aménagement d’une place autour de l’église St. Symphorien renforce
01 | Connecter les quartiers Le projet propose une promenade qui relie deux quartiers isolées : Le Breuil et les faubourgs Les Belins et La Vidalie.
02 | Orientation et perspectives À cause de son orientation Nord favorable, on arrive à créer un dialogue visuel avec la ville qui se trouve sur la colline opposée. 5 minutes à pied
03 | Rapport à la ville / accessibilité Quoiqu’il ait été déplacé, le Cimetière de Limandons est accessible à pied depuis le centreville et les quartiers limitrophes. 50
l’importance de cette dernière dans le quartier et crée une transition entre la promenade de la Vallée des Usines et le nouveau cimetière. Les matériaux utilisés relient le projet et son contexte : les murs en béton sablé rappellent les rochers, le bois symbolise la colline et sa forêt. Quant à l’acier Corten, il fait une allusion à l’histoire industrielle de la Vallée des Usines. L’idée du projet était de créer un cimetière-parc, plus proche de la nature, mais qui pouvait dans le même temps mettre en valeur la mémoire de ce lieu par rapport à la ville de Thiers.
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logements collectifs en ville vivre en ville autrement localisation Cluj-Napoca (Roumanie)
Ce projet visait l’implantation d’un immeuble de logements à la limite du centre historique de Cluj-Napoca. C’était le premier projet de logements collectifs que nous avons abordé. type du travail Le site du projet se trouve sur la rue Einstein, une rue ayant un caractère hétérogène, en binôme dû à l’existence de différents bâtiments appartenant à plusieurs périodes historiques. année de réalisation Cependant, on y trouvera plusieurs traits communs : la hauteur prédominante est de 2009 deux niveaux, le front est continu des deux côtés de la rue et la plupart des bâtiments ont la configuration d’un L. Sachant que le site imposait une série de restrictions concernant la façade du bâtiment, visible dans la rue, nous avons préféré de créer quelque chose d’inédit dans la partie de derrière. Par conséquent, la construction a la forme d’un T : le devant a un front continu et se raccorde à la corniche discontinue de la rue par un décalage entre ses niveaux. Quant à la partie de derrière, elle forme deux cours : l’une est semi-publique, l’autre est privé. Dans la partie qui donne sur la rue nous avons imaginé l’installation des logements de type studio ou T2, deux par niveau, décalés en hauteur. La partie de derrière se compose de trois duplex, disposés sur deux niveaux. Les deux cours ont des fonctions entièrement différentes. Celle du nord est plus étroite et facilite l’accès aux duplex ; l’autre, du sud, est élevée à cause d’un parking à moitié enterré. La cour orientée vers le sud est partagée par les locataires des duplex. Le projet est né d’une série d’expériences. Nous avons assemblé plusieurs maquettes afin d’arriver à un espace moins conventionnel et scrupuleusement réfléchi. L’objectif était la construction de logements à un standard élevé, tout en profitant au maximum d’une parcelle ayant des dimensions réduites.
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plan terasse plan 2e étage plan 1er étage plan RDC >
Ce bâtiment s’adresse à deux types particuliers de résidents : aux jeunes et aux familles. Les studios généreux, à planimétrie ouverte, sont destinés à la première catégorie. Quant à la deuxième, les familles abandonnant souvent le milieu urbain pour s’installer dans les banlieues, où les parents envisagent une enfance plus heureuse pour leurs petits, elles occuperaient les duplex. Le motif le plus souvent invoqué est le manque d’espace (et surtout d’un jardin). Par conséquence, nous avons imaginé quelques logements duplex, avec un jardin partagé, une compromis entre urbain et suburbain. 56
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plan masse
faรงade nord
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ensemble résidentiel intégrer le parc dans l’architecture
localisation Cluj-Napoca (Roumanie)
Le but de ce travail était celui d’aménager un ensemble résidentiel sur un site déjà donné : au pied de la colline appelé « La Forteresse ». Au sommet, elle porte les traces d’une forteresse bastionnée construite au XVIIIe siècle. Le site est composé de plutype du travail sieurs parcelles, dont certaines sont construites et d’autres sont en friche. La pente du en binôme versant est très accentuée et boisée jusqu’en haut. année de réalisation 2010 Pour profiter le plus possible du voisinage du parc «La Forteresse », nous avons proposé une volumétrie ‘brisée’, ayant l’apparence de celle de l’ancienne fortification bastionnée, car le parc se continue dans notre aménagement. Pour achever cela, nous avons « décomposé » chaque immeuble : il comprend deux volumes à deux logements par niveau, réunis au rez-de-chaussée. Chaque logement a des orientations solaires variées, mais aussi des terrasses généreuses, orientées vers le sud. Cet aménagement est également inspiré par les immeubles des logements situés à l’ouest (voir la page suivante). De la même manière que notre ensemble, elles ont de niveaux décalés en hauteur. Ce décalage permet un positionnement meilleur par rapport à la pente accentuée du terrain. En souhaitant que l’ensemble soit neutre par rapport à la végétation qui l’entoure, pour qu’il constitue l’élément principal de l’aménagement, nous avons proposé des volumes simples, blancs, reflétant la végétation grâce à leur matériel de façade : le verre sablé. On donne alors l’impression que les bâtiments flottent dans le parc, qui parachève leurs façades.
vue de l’ensemble des logements situés à l’ouest du site.
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plan 4e étage > plan 3e étage plan 2e étage plan 1er étage plan RDC 012
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01 | Un volume L’ensemble reprend le rythme des bâtiments situés à l’ouest.
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02 | Divisé LLa typologie des quatre appartements par niveau est divisée en deux.
03 | Pivoté La rotation du volume crée une orientation des façades vers le sud.
04 | Fragmenté Les immeubles sont fragmentés pour une continuité avec le parc.
05 | Décalé Les niveaux décalés permettent d’éviter les espaces obscurcis.
06 | En commun Les deux corps sont réunis par un RDC commercial et des terrasses.
07 | Vues Chaque immeuble offre des vues vers la rivière Somes et le parc.
Ventilation naturelle Le terrain en pente favorise la ventilation naturelle grâce aux courants d’air ascendants qui viennent de la rivière Somes.
Ensoleillement Les baies vitrées orientées vers le sud apportent de la chaleur et de l’énergie. Des brise-soleils en verre sablé préviennent le surchauffage.
coupe transversale 0 1 2
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j e vou s r e m e rc i e d e v o tre a ttenti o n ! pour plus de renseignements, n’hésitez pas à me contacter : anca.roxana.crisan@gmail.com