- Enfin des vacances , me dis-je. Ne plus être pendant quelques heures dans cette dimension parallèle où vivent toutes les créatures surnaturelles, j'étais dans le monde des humains. C'était tellement bien de sentir l'air chaud sur mon corps, voir ce soleil et ne penser plus qu'à une chose, bronzer. Je sentais ce sable glisser entre mes pieds, j'entendais la mer quand on fermait les yeux. Et surtout ne pas avoir à se battre contre quelqu'un. Juste ne rien faire. Maintenant je savais ce que ressentaient les humains quand ils disaient le mot vacances. Ne rien faire, juste bronzer. Mais on m'avait toujours appris à rester sur mes gardes. - Sarah ! entendis-je crier J'enlevais mes lunettes de soleil . Je regardais autour de moi mais il n'y avait personne. - Sarah ! entendis-je à nouveau Je venais de comprendre, cette voix venait de ma tête. C'était encore George qui venait d'utiliser la magie pour s'introduire dans tout mon corps. - Je suis en vacances, protestais-je. Et je t'ai déjà dit de ne plus jamais t'introduire en moi. - Désolé, je sais que tu as pris des vacances dans le monde des humains mais tes parents m'ont dit que tu devais rentrer immédiatement. - Pourquoi ? Il y eu un long silence. J'imagine qu'il était en train de demander à mes parents la permission de me dire ce qu'il ce passait de très important , pour que je gâche le seul moment de vacances que j'avais très rarement. - Parce que le clan des vampires veut ta peau depuis que tu as fait mourir l'un des leur rien qu'avec un regard et ta magie. Ils savent que tu es sortie et que tu es toute seule. - C'est pas si atroce que ça, leurs nouvelles. Je m'attendais à plus terrible. - Sarah ! Ils sont toute une armée ! - Et alors ? C'est censé me faire peur , je suis une sorcière , l'une des plus puissante même, je peux les anéantir quand je veux avec mes pouvoirs mais mes vacances seront gâchées. - Sarah, ne fait pas la maligne, tu ne vas pas te battre contre une armée de vampires à toi toute seule. - Je vais gérer, ne t'inquiètes pas. Je coupais la connexion mentale, ou plutôt la magie de Georges de ma tête juste au moment ou une sorte de porte temporelle s'ouvrit, sur le sable, pas très loin de là où je me trouvais. Heureusement qu'il n'y avait personne sur la plage. Je restais assise sur ma chaise sous mon beau parasol à fleurs. Je vis le chef des vampires, Darkos, sortir en premier. Avec qui je m'ettais souvent pris la tête. - Comme on se retrouve, dis-je en souriant. Je n'avais toujours pas bouger de ma chaise.
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- Je t'avais dit qu'on se retrouverait, dit-il. - Et je t'ai répondu que je n'aurai aucun plaisir à te revoir, je me souviens. - C'est le cas ? - Oui, et en plus tu me déranges. -C'est dommage, dit-il. On se regardait dans le blanc des yeux. - Je sais que tu n'as pas peur, donc on va passer directement droit au but. Pourquoi as-tu tué un de mes hommes ? - Je sais, tu ne m'apprends rien et tout ça rien grâce à mon regard et une petite formule. Je jetais un regard à deux de ces hommes hors du rang, en récitant une formule dans ma tête pour les endormir quelques jours, ils s'effondrèrent juste après. - Que leurs as-tu fait, cria -t-il surpris. -Je les ai juste endormi pour quelques jours. -Enlève ce sort ! - Non, dis-je en souriant. - Ca t'amuse, pas vrai ? - Beaucoup oui. Il se jeta sur moi, je l'évitais et lui mis un coup dans les côtes. Le voyant à terre ces soldats voulaient venir l'aider. Il les stoppa. -C'est moi qui m'occupe d'elles, n'approchez pas. - Comme c'est mignon, ricanais-je. Je me mis sur lui avant qu'il ne se relève. Je m'approchais de son oreille. - Sauf que aujourd'hui je suis en vacances, alors on va attendre avant une autre bataille entre nous deux . Je le regardais dans les yeux, je le sentais essayer de se défendre. - Sauf que comme tu m'as empêcher de profiter de mes vacances, je vais partir. Sur ce, je te dis, au revoir et à une prochaine fois. Je récitais une formule et disparu dans un nuage de fumé. J'atterris dans une petite ville , mes vacances n'avaient pas duré longtemps mais sa m'avait fait un bien fou, maintenant je devais retourner chez moi . La porte temporelle qu'on avait vu apparaître tout à l'heure se montra devant moi, sans même que je ne la demande .
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