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-

INFO PLONGEE FEUILLE

J.C.

DE L I A I S O N

FRACHON

DE

LA

COMMISSION

43, rue du

Theatre

PLONGEE

39800

SOUTERRAINE

POLIGNY

" EDITORIAL "

Les circulaires " Info-plongBe " ont pour o b j e t une

information mutuelle. sur t o u s les sujets relatifs

$

l a plongée souterraine.

L e u r contenu 6mane partiellement du Directeur de l a Commission, mais pour l'essentiel, i l s'agit de nouvelles provenant de collégues soucieux de cornuniquer les informations en leur possession. C'est le nom de ces correspondants qui figure en t e t e de chaque rubrique. en particulier pour les C . R .

d'explorations: cela ne signifie

nullement qu'ils sont les seuls auteurs des plongees ddcrites . . . ce qui parfois provoque l'irritation des plongeurs "oubli6s". A ceux-là, nous rappelons que,

selon la formule c o n s a c r é e , " les articles publiés sont p l a c é s sous ltenti&re responsabiblit4 de leurs auteurs

, etc

...

etc.

..

"

Aux auteurs, nous demandons d'indiquer, dans l a mesure du possible, taus l e s

participants aux explorations relatees.

J.C. FRACHON


INFO-PLONGEE N015 juillet 1977 p . 2

1

BIBLIOGRAPHIE

1

BULLETIN DE L1AS30C1ATION SPELEOLOGIQUE DE L'EST n414-1977 :J.P.HüMBERT:"Activités de GS CAF Pays de Montb." exploration de 6OOm post-siphon h la source de la batte, 90 St Dizier. Topo.

.p.23-28

.p.63-77 :Y.AUCANT : "Le ruisseau souterrain de Vergetelle, Doubs " exploration de 3 500 rn post-siphon - 6 fig. .p.95-98 :A.BESANCON ,Y.ERARD et all. :La grotte 1 du Moulin de Vermondans (Doubs)" exploration de 1 500m post-siphon - 1 fig. . p 107-115

:DEGOUVE DE N.. LAUREAU et LE BIHAN : "Principales activités 1976 du s . C . Dijon " C . R . plongees de l a Combe-aux-Pretres, du Neuvon, de l a Béze ICbte-d'or), et de Baume-les-Messieurs (Jura) - 5 t o p o s .

.p.166-118 :DEGOUVE DE NUIiJCQUES et LAUREAU : "La topographie en siphon " 2 méthodes de topo i n s p i r é e s des mdthodes spél4a classiques.

VENDRE

A

Commandes 3'8

:

Commission Plong6e FFS

-Arceaux d e protection pour bouteilles (cf. "lnfo-plong4e" -1976, p . 4 1 en m4tal chrom6 ou inox. 30 h 60 Fr. -Combinaisons néoprene (neuves ou occasion) 250 a 400 Fr. -Poignard de plongée 50 Fr.

-

"C.R.

du s t a g e de plong6e -1976" ( 4 4 p . offset 1 13 Fr.

- "Enfon~uren 0 3 " (bull. SHAG-Besançon 1 : inventaire des 3iphons du Doubs 1120 p . offset) 18 Fr. + port.


INFO-PLONGEE NO15 juillet 1977 p . 3

1 INFO-HEXAGONE

- F - * - -

-*--

--

---,---

1nformation:P.LAUREAU 3,rue Vercingétorix 21000 DIJON

GOUFFRE DE LA COMBE AUX PRETRES(21- Francheville) AMONT: nouvelle tentative dans le 5 . 5 m o n t (M.BARSIER et P.DEGOUVE)qui avait 4 t e reconnue sur 100 m en 1 9 7 5 . D4couverte de 100m de galerie étroite avec un courant violent: arret sur btroiture. AVAL:Le siphon aval de la petite riviére "BenUavait Bt4 reconnu par un Parisien sur quelques rnetres (octobre 1976). Une plongée (M.BARBIER, P.DEGOUVE) permet de franchir cet obstacle (100m , -61 qui déboucha dans l e siphon amant de la deuxième rlviére "Ben". Développement

:

8 100 m dont 9UOm de siphon.

SpBldo-Club San-Claudien 1nfarmations:F.JACQUIER 20,rue du Jura 39170 St-LUPICIN GROTTE DE LA GRUSSE (39- St-Claude 1 . Plongée des siphons

terminaux h -60m: AVAL:recannaissance d'une trentaine de mbtres ( - 6 ) dans une conduite forcée. La présence de poissons laisse s u p p o s e r une communication avec I n rivibre extérieure IF.JACQUIER,28.4.77).

AM0NT:Le siphon amont,$ 150m de la base des puits,a 6té franchi (F.JACQUIER, et A.ROUILLER,28.4.77).11 mesure 10m ( - 2 ) . Au-delh, 70m de galerie émerge@, et nouveau siphon franchi :L+2Om,prof.-5IF.JACQUIER,21.5.77~.Au-del, exploration de 150m de galeries, jusqu'h un 3éme siphon non plonge. Développement 1000m env. Prof. -85.

RHONE-ALPES ET LANGUEDOC-ROUSSILLON Union Sv4140 St-ambroix

Tnf~nnations:J.JOLIVET17.av des Claviéres 30100 ALES Nous avons omis pellier ( c f . "Tnfo-Plong6e" n'13 n'14 p.6-7) o n t été réalisées en Voir sur ce probléme 1'6dltorial

de prdciser que les plongée du CLPA Montp . 6 ) et de D.BERNARD(cf. "INFO-PLONGEE" commun avec J.JOLIVET, da 1'U.S.St Ambroix. de la présente circulaire.

OUEST G.S. de l a Charonte 1nformations:C.BARRO~S-GARATIN 19,rue A.Camus 16800 SOYAUX Expddition "TOUVRE 76" La Font de LUSSAC (Charente)

1NTRODUCTION:Le complexe hydrologique de la Touvre a fait ces derniéres années l'objet de nombreuses expéditions et expériences h caractéres scientifiques. (Protee 70 - Turbidite II - Le Bouillant 74,75 voir information n'7. Malheureusement de nombreux conduits découverts lors de Turbidité 11 et quallfids de secondaires n'avaient pu etre explorés faute de temps ou de conviction.


INFO-PLONGEE NO15 juillet 1977 p . 4

Le programme Touvre 76 se devait de combler c e t t e lacune: I o Exploration des conduits 3.1. et Touloumdjian 2 " E t u d e camplete du h a u t de la diaclase d'alimentation de Lussnc et recherche

+ photos. formes de creusement et positionnement, pr8lévement d'échantillons

de nouveaux departs 3' Etude des

PRESFNTATION DE LA " FONT DE LUSSAC ". L'Bmergence de L u s s a c est une source ascendante de t y p e vauclusien qui se caractdrise en dessous de la cote -15m par un chenal subvertical de fortes dimensions. Elle est install6e sur une diaclase dJorientatîon N.S. dont le somet s'est effondre ce qui forme une fosse de 4,5 m de profondeur pour une longueur de 25m. Elle est encombrde de gros blocs d ' u n volume de 1,5113. De nombreuses fissures latérales sont les temoins d'une fragmentation importante et les bords de l'effondrement sont envahis par une végetation luxuriante. A u f o n t de c e t t e vasque s'ouvrent deux puits descendant jusqu'h une profondeur de -13m. A ce niveau i l s d6bouchent dans une merne salle au nord de laquelle s'ouvre un petit couloir par où arrive l'eau sous pression. Ce couloir permet d'accéder la c o t e -21. Lh i l s'élargit brusquement en une cavité large de 5,5 m e t haute de 10m. On progresse alors horizontalement sur une trentaine de rnetres pour découvrir une pyramide de cailloux de 2,5 m de haut. Au-dala de ce cône, le couloir s'évase h nouveau e t permet de descendre h -25 sur une plate f a m e . Ici on ne distingue p l u s les parois, tout est immense et noir. Le dernier palier se localise h -35m, puis c'est l a c h u t e verticale jusqu'h -60 où l a p e n t e continue tandis que le puits (Puits F r a n ~ o i sBouton) se retrecit. A -70m. s'ouvre une grande diaclase verticale d'orientation E.Q., perpendiculaire h l'axe gbnbral. C'est p a r cette cassure, d'où sort le courant violent, qu'est alimenté la Font de Lussac (débit moyen 87611s 1 . m D E MORPHOLOGIQUE PRELIMINAIRE DU CONDUIT B.I.

Plongeurs Longueur Scaphandre Eclairage Température

Thévenin, Barroumes 5 0m Profondeur -7, -2lm 2 x 2 . 9 ~ 3 + 1,6m3 (secours 2,lm3) Cristal + torche (secours cristal) 13,2*

Fo-mtjon g6r~érale: A u fond du puits Barroumes, -7, la sortie du conduit B.I. s'effectue sur un plan horizontal. Son entres est en partie obstrué par des blocs provenant de la fosse d'effondrement. Le conduit se développe en joint de stratification, i l est de dimension modeste (largeur 3,2m, hauteur 1,5m ) . Une Btude pr6cise du j o i n t de stratification a permis de constater qu'il était plus marqué du c6t6 gaughe que du cbté droit, à l'occasion d'une couche, blanche et tendre. d'une dizaine de centimétres d'épaisseur [nous avons trouve la meme dans la source du Coly en Dordogne1 . Le plancher du conduit e s t rocheux, sans aucune trace d'allüvionnement excepté dans les cupules rencontrds dans les 8 premiers métres oh nous trouvons une fine pellicule de sable et d'argile. A partir de 10m nous constatons la présence d ' u n d é p b t d'argile (1 h 3 cm d'bpaisseurl; i l devient beaucoup plus important (7 cm environ) vers la font du conduit, l n verticale d u puits de jonction avec la diaclase d'alimentation da Lussac. Au plafond du conduit nous remarquons un chenal d'écoulement particulièrement marque ( f a u t e de temps nous n'avons pu l'btudier). Le conduit B.I. se termine $ la profondeurde -8,5m, distance 50x1. s u r un puits, de 1,8 m de diam&tre, en forme de vrille. L e s parois sont très découpées ( t r a c e importante dtn21uvionnement et de dissolution). Entre -10 e t -11 nous trouvons plusieurs accumulations d'argile situées .& la base de chen i n é e s d'orientatian différentes. A -12m, nous ddbouchons dans l a diaclase d'alimentation de Lussac,nous descendons jusqu'à -21 afin d 1 6 t a b l f r un point de jonction precis pour le rattachement h la topographie génerale.


INFO-PLONGEE NO15 juillet 1977 p . 5

Plancha H


'JaTuJap urnr qa se1 'sqnoa np axcnos el g sa>rej 9 7 9 q u o anA a p s a s r ~ ds a ~ ~ ~ u sa? r a ~ d . ,, apuoN np asuPssTPuuo3,,p ~ a r ~ u a ~ a j'u~o3~~ 1 ~ d y ' y ap u o r q a a ~ - pP I snos ' s u a ~ s s ~ ~sn~ C n a 6 u o ï dsap J Q a~ 6 ~ u ~ n oap q s d n m ua q s a u o y d ~ sua a@6uold el dns unu g~ s ~ n a l n o a qdno3 un

m u o t s s ~ m oP3I Jauuaju! ua JrolnoA uarq ap a e f i u o l d - a b a q e ~ n ~ua s (Jauuop g S ~ A Pun q u a m e ~ d m - sqno3 no) e a u a t ~ q d x aa u n queAg s a n f i q ~ l o axnp suop - u ~ m e psnou 3a 'qarns a3 p sJuernal? sa1 snoq JasTleJ3ua3 ap aIqPqFPynos Jsa T I 'aaea-jja ~ ~ P ~ J P D UapP Janbruqaaq ~ aun q , n b ?suTa 'surosaq sou q gqdepe p ~ ~ a u wu nq , p u o r q d a ~ u o a JrTnaqe TuarwAap .quaurallanquan? 3uoJAens ~ n bsalIao qa ' s a a n a a u w u sa3

' u r n F ua ' S S ~ ~ N ~V 'e ~~d B F J ~1 aPu o ! f i @ ~ ea'3~axa u n , p s ~ o l 'spJe3ue~q sadAq sJaAep ap sressa :[ayonps) efinoa-a~d ap aqqods.JaTudap ~ T J A Pua ' 3 - r J P ~a b e ~ y p~ ~ q u a r n a q ~ ~ad p~p ~ ~ u~n ,ap xs ~a n one~ 'mçT ep uoyd-s un suap 3rq3rj qssaïq u n , p a f i ~ p ~ ~ a: (uw~n ~r )q u o u f i ~ q r gap a q q o ~ 9 ap

3Qssn9 ap u o ~ J P q u a m t T e , pasQlaPrp mG'g 'jodd 'mgp . q s ~ p' I - B qTnpuo3 a ï : adXq xnap) a y y b ~ o , pau93 u n , p s a a 1 ~ q ~ ~ a uquos ? 6 Salta :sq~idquos s 7 a m o s s m a 1 sFPm ' m a y d + q u - , l p s a a s n a a ~ ~ n~su o sseun sanb~anu ' ( r n z ' ï p 8 ' 0 ) sapAaïp nad qa s e ~ r ~ l n 3 ~quos - 3 s à ~ ~.s'puo~~e x juos sqaumos sJna1 : adXq auam np quos 'TT- qe OT- a q u a 'uorqa~or ap sj'nd np sallaa aqnoq :aJnss!j m e sarqgq nA s ~ s du o m u s , u snoN

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QI g


INFO-PLONGEE NO15 juillet 1977 p.7 DIX NEUF ANNES D'EXPERIENCE EN PLONGEE SOUTERRAINE par J. HASENMAYER

-

"19 annees d1exp6rience en plongée souterraine se r6sument pour moi en trois régles de s6curitb intangibles : -plonger seul -progresser lentement -concevoir un materiel de plongée plusieurs niveaux d e s6curit6.

"Mon dquipement standard se compose de 2 ou 3 blocs totalement indbpendants, avec manom6tre de contrble, d'un vetement h volume c o n s t a n t confectionne par moi-meme (depuis 19671, de quatre eclairages fixés sur casque(par exemple mini-lampes halogbnes), d'une cointure d'accus, d'un f i l d'Ariane en d4vidoir ventral ou sur avants-hras, d'une pince universelle, d'un masque h verre optique, de palmes 16ghres. d ' u n casque anatomique enveloppant, d'un double profondimétre et d'un compas de direction. En cas de nécessité s'ajoutent un scaphandre de relais, une bouée, un scooter a main et un propulseur dorsal.

"Le siphon le plus important fut pour moi mon premier siphon. Je l'ai franchi en 1959, h 2 300 m de l'entrée de la Falkensteiner HEhle (Jura Souabe), et ai découvert au-dela 8000 rn d e galeries vierges. Depuis octobre 1959, mes plongdes ont porté sur 128 siphon3,avec plus de 13 kilombtres de siphon vierge explor6. Les principaux sont les suivants : ,1961 :Blautopf (Jura Souabe) fOQm de long., prof -42 ,1962-67: Achtopf (Jura Souabe), resurgence du Danube souterrain. 650m de long, fort courant visibilit6 env. lm. ,1964 :Brunnemsteigh6hle (Jura Souabe, Geilingen Aufhausen 1 : 28 siphons. ,1967 :Frickenhahle (Alpes. Garmisch-Partenkirchen) 9 siphons, 385m de longeur, eau température 5", expédition de 3 jours. -1968 :Almyrea ICréte,fraklien 1 :source salée. 10 m3/s environ. ,1972-76:Sardaigne (golf dlOrrosei) e n v . 3 km de nouveaux siphons. .1973 :Rinquelle (Suisse, Walensee): 930m amont, eau température 5 " C , temps de plongde 289 m i n u t e s . .1976 :Rinquelle :850rn aval, violent courant aspirant

En France .1970 :Grotte de la Balme (IsBre} ,1973 ,1975

: :

: 825m Source de l a Loue (Doubs) 700m. -48 Frais-Puits (Haute-Sa6nel: un siphon, trois

directions, 2 2B5m.

"Le centre d'interbt de mes recherches 6tant l'expiaration des conduits noyés, je n'ai pas rnentionn6 t o u t e s las galeries que j'ai explorées derriére siphon. Leur addition atteint 6 6701-11. Dans les g r o t t e s française, ces explorations post-siphon s o n t peu importantes, "Un point essentiel est l e risque d'accident en plongee. Mon exp&ience, en 19 a n s , réunit p a s moins de 30 c a s . Cela va de l'égarement an eau trouble, lors d'une plongée en a p n é e , en passant par une intoxication au CO2 en plong6e profonde, juaqu'h une lutte acharn6e contre un violent courant aspirant vers l'inconnu.


INFO-PLONGEE NO15 juillet 1977 p . 8 Sans aucun doute , l a plongée souterraine e s t une entreprise dangeureuse. Voici par exemple trois incidents auxquels j e ne m'attendais pas :

- un dérhglement de profondimétre, qui n'indiquait que 28m p o u r une p r o f o n d e u r voisine de 70m (conséquence accident de d6compréssian 1 , - perte du f i l d'ariane tcons4quence: 500 rn de recherche 2i -Zorn, avec 700 litres d'air). - un quart d'heure de tentative dlBquilibrage d e s oreilles, dans l a p a r t i e descendante d ' u n s i p h o n , pour p o u v o i r regagner l a sortie (avec l a c o n s o m a t i o n d'air que cela "J'ai dQ a p p r e n d r e que t o u t e faute technique et t o u t dbfaut dans l e m a t 4 r i e l p e u t coater l a vie. On na peut éviter c e s dangers que p a r la connaissance parfaite de toutes les techniques de plong6e, et un scaphandre double. "Dans l'état actuel des informations et des publications. les vrais dangers des "siphons-meurtriers" sont encore inconnus. J e considGre q u ' i l s r6sident dans les points suivants :

.panique en siphon .vertige ( narcose 1 en siphon .gngnil l e lors de glong6es en groupe. Ce n'est p a s le lieu de développer c e s divers phénombnes. On peut dire cependant qu'il s'agit de c a r a c t é r e s pre-existants, qui se revelent lors d e s plongées en siphon et mettent en danger de mort. Ces risques peuvent a'eviter par :

.aécurit4 e t calme dans chaque phase da l a plongée. .entrainement h la plongee sans visibilité et p a r fort courant. .proscrire les plongees en groupe.

"Vivre, c'est toujours $ t r e en danger de mort. Plonger en siphon, c ' e s t vivre intens4ment

...

"

J o c h e n RASENMAYER

7534 Pferzheim-Birkenfeld Herrenalberstraase (Allemagne)

traduction

:

J.C.

FRACHON.


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