ANC Arcueil notre cité n°258 - Juin 2015

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Plan local d’urbanisme

Quel diagnostic ?

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La cantine en chiffres

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MÉDIATHÈQUE

Vélo et culture

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ANC / Arcueil notre cité n° 258 juin 2015 | 1

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63, rue de la Division Général Leclerc 94110 Arcueil Le 18 novembre, Gwenola (un Drouglazet foulard bleu noué et blanc cou) et autour du Arnaud Gueydon bonnet (avec un péruvien) leur raconteront projet solidaire.

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Les chiffres du budget clés 2010

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GRIPPE A(ensemble) : NOUVEAU

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L’urbanisme anime les quartiers| 6 Chloé Cabarrecq, vice-championne | 18 du monde

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GRIPPE

Trois bonnes raisons de se vacciner

se dévoile Le 8 mars, les élèves de Joliot-Curie feront leur rentrée dans la toute nouvelle école Olympe de Gouges, 54/56 avenue Lénine. Un bâtiment particulièrementà la pointe en matière d’économiesd’énergie.

avant-première mondiale

Vous et Internet

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Tous les rendez-vous de décembre et de janvier

Dans le dossier de ce numéro: sept portraits de petits commerçants qui respirent l’humanité.

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Tous les rende

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Faire face

L’INTERVIEW DU

Alain Dubos MOIS : sans frontiè , médecin res et écriva

Régionales :

quiz et moded’emploi

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À VOIR À

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MiLibris :

la nouvelleméthode de lecture

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Enquête Louis Harris

Taux de couverture : 96 % Taux de lecture : 95 % Taux de satisfaction : 88 %

Du du Chaperon- nord au sud, Vert jusqu’au Plateau Kergomard, les grands chantiers de l’année 2010.

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Juin 2015 Carnet de route du maire « Les années qui viennent sont critiques » | 5

Plan local d’urbanisme : les juniors aussi

Vues – In situ Potager partagé à la Maison des Solidarités | 6 Clôture de l’exposition Ayako David-Kawauchi | 6 Festival Erik Satie | 7 Commémoration de l’abolition de l’esclavage | 7 PhL

Double page Le dessus du panier | 8

Ouverts à tous, collégiens et lycéens compris, les ateliers autour du diagnostic urbain s’achèvent et seront résumés mercredi 24 juin à 20h30 à la mairie. Arcueil 2025 se dessine peu à peu.

PhL

| 11 | Actualités

Actualités L’Isit s’installe à Arcueil | 10 Plan local d’urbanisme : les juniors aussi | 11 Nouveaux commerces | 12 La cantine en chiffres | 13

La cantine en chiffres | 13 | Actualités

Mille six cents repas sont servis chaque jour à Arcueil, principalement dans les cantines scolaires. À découvrir : les données sur le contenu de l’assiette et l’organisation du temps du repas.

Découvertes Un potager sur son balcon | 14

Le prologue du Tour, c’est à… Arcueil

Hommage au poète Vincent Jarry | 15 Journée « véloculturelle » le 20 juin à la médiathèque | 16

| 16 | Découvertes | 24 | C’est vous qui le dites |

Convergence francilienne | 17 Jeux | 18

Infos pratiques Pharmacies de garde, numéros utiles… | 19

Expression des groupes

PhL

Samedi 20 juin, deux semaines avant le Grand Départ du 102e Tour de France cycliste, la médiathèque d’Arcueil vous offre une superbe journée « véloculturelle ». Au programme : film, exposition, spectacles, rencontre littéraire et concert.

Textes des groupes politiques municipaux | 20

C’est vous qui le dites

Compagnie Caravane Théâtre.

Hommages à Georges Noëll | 23 Êtes-vous « vélo » ou « bicyclette » ? | 24

Le fil d’Arcueil

Ont collaboré à ce numéro : Sandra Deruère, Tristan Gaguèche, Colline Gori et Kevin Gouttegata Graphisme/mise en page : Gilles Vérant Photos : la rédaction, Éric Demare (responsable photo : Philippe Lorette) Une : photos André Lamourère, Xpressionsurbaines.com, DR, Michel Gombart, Thierry Teston, DR. Secrétariat : Murielle Lemerle Régie publicitaire : Echom – regie@lecho.com Impression : Alliages C.I., Gentilly (13 000 exemplaires) Distribution : Proximes communication

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Fête de la ville

Zic Zazou.

| Encart central |

Samedi 27 et dimanche 28 juin, le bonheur est dans le parc du Coteau pour deux jours de fête commune mais pas banale.

Zebda.

Don Fiasko.

Thierry Teston

mensuel d’informations locales et municipales Rédaction : 10 avenue Paul Doumer 94114 Arcueil cedex Tél. : 01 46 15 09 56 Télécopie : 01 46 15 09 51 Courriel : communication@mairiearcueil.fr Directeur de la publication : Daniel Breuiller, maire d’Arcueil Adjointe au maire, chargée de la communication : Anne-Marie Gilger-Trigon Directeur de la communication / Rédacteur en chef : Laurent de Villepin Rédaction / SR / Édition : Philippe Lorette (journaliste territorial)

DR

ANC/Arcueil notre cité

Michel Gombart

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DR

Tous les rendez-vous de juin

carnet de route

« J’alerte les Arcueillais sur la baisse des dotations financières qui menace notre commune » DR

Daniel Breuiller, maire d’Arcueil, conseiller départemental

Mardi 5 mai | À l’invitation du président de l’Assemblée

nationale, je participe à une rencontre à l’hôtel de Lassay sur le thème de « la ville de demain », qui réunit des universitaires et des professionnels de l’urbanisme. Je siège à la tribune aux côtés d’Anne Hidalgo et du maire de Vancouver pour exposer nos opérations de renouvellement urbain menés avec l’ANRU (Agence nationale pour la rénovation urbaine) et notre engagement dans la géothermie. J’en ressens une vraie fierté pour Arcueil, distinguée ainsi comme une petite ville innovante dont l’expérience complète celles de deux métropoles.

Vendredi 8 mai | Commémoration du 70 e anniversaire de

la capitulation sans condition de l’Allemagne nazie qui signifie la fin du deuxième conflit mondial en Europe. Comme chaque année, avec les associations, les élus de la municipalité rendent hommage aux militaires tombés lors des hostilités, aux prisonniers et résistants morts en captivité ou dans les combats contre l’occupant, et aux déportés juifs arcueillais disparus dans les camps d’extermination. Tous leurs noms ont été gravés sur une stèle à leur mémoire érigée en 2010 place de la République. Cette commémoration est indissociable de celle du massacre de Sétif ce même 8 mai 1945, quand l’armée française a tiré sur la foule algérienne venue fêter la victoire à laquelle les soldats indigènes avaient contribué.

Jeudi 14 mai | Bien que séjournant en province pour cette

journée fériée, j’ai une pensée pour les Arcueillais réunis pour fêter le lancement du joli projet de jardin partagé à l’angle des rues Cauchy et de la Fontaine. Je me réjouis de la dynamique positive associant élus, cadres et citoyens, motivés pour la réussite de ce projet, comme ce fut le cas pour la Maison des solidarités.

Dimanche 17 mai | Clôture de la fête départementale du mini-basket qui a réuni pendant trois jours 500 enfants du département et 140 écoliers Arcueillais au centre sportif Raspail.

Lundi 18 mai | Assemblée générale de l’association Orbival

qui réunit des élus du département. Deux nouvelles nous sont livrées. La mauvaise : la réalisation de la ligne 15 sud (de Pont de Sèvres à Noisy-Champs, via Arcueil-Cachan, VillejuifGustave Roussy et Créteil) prendra deux ans de plus que prévu (soit une mise en service repoussée en 2022), à cause en particulier de difficultés géologiques. La bonne : le prolongement de la ligne 14, qui devait se faire en deux temps repoussant la desserte de Rungis et d’Orly à 2027, se fera finalement d’un bloc (d’Olympiades à Orly, via les gares Hôpital du Kremlin-Bicêtre et Villejuif-Gustave Roussy) pour une ouverture avancée en 2024. Certes, ces délais peuvent paraître encore assez éloignés, mais, pour se rendre compte de l’ampleur des travaux à réaliser, il faut comparer les 15 kilomètres de nouvelles lignes de métro construits pendant la décennie passée aux 200 kilomètres qui le seront durant la décennie à venir !

Mardi 19 mai |

Ma journée commence à une heure du matin, heure où je suis le train Grizzli qui meule les rails entre Arcueil-Cachan et Laplace, opération d’entretien indispensable pour leur permettre de supporter les centaines de trains qui roulent dessus tous les jours. J’ai souhaité assister sur place à ces

travaux pour comprendre leur nature et les conditions dans lesquelles ils sont menés la nuit (respect aux techniciens !), et pouvoir ainsi étudier concrètement les moyens possibles de réduire les nuisances pour les riverains.

Après une courte nuit, je me rends à 8h30 à l’hôtel de la région, où le préfet Jean-François Caranco reçoit les élus pour leur présenter les hypothèses de Territoires qui remplaceront les Communautés d’agglomération au sein de la métropole du Grand Paris à partir du 1er janvier prochain. Pour ce qui nous concerne, le préfet avance trois scénarios possibles : le regroupement du Val-de-Bièvre avec : 1/ Seine Amont (Ivry, Vitry et Choisy) ; 2/ le Grand Orly (Orly et Chevilly) ; 3/ Seine Amont et Grand Orly. Ma préférence va au troisième, car je pense qu’il faudra un territoire d’une taille importante (660 000 habitants dans ce scénario) pour être identifiés et peser. Le préfet s’est engagé à rendre sa décision le 14 juillet. D’ici là, j’invite les Arcueillais à s’informer et donner leur avis en consultant les documents et cartes relatives sur notre site Arcueil.fr.

Le deuxième sujet de la matinée porte sur les transferts envisagés de ressources tirées des activités économiques des communes vers la métropole. L’enjeu est important pour Arcueil, car ce ne sont pas moins de cinq millions d’euros qui pourraient ainsi être brutalement soustraits au budget de la commune.

Je suis satisfait qu’Éric Cesari (UMP), Philippe Laurent (UDI), François Puponni (PS) et Patrick Braouezec (Front de gauche) signent avec moi une déclaration réclamant un gel de ce transfert de ressources pendant deux ans. Le temps d’y voir clair dans la réorganisation des compétences entre les collectivités.

Cette proposition sera adoptée à l’unanimité par l’association Paris Métropole.

Jeudi 21 mai |

Une fois n’est pas coutume, je décide d’écrire à tous les Arcueillais pour leur faire partager la gravité de la situation financière dans laquelle nous plonge la baisse drastique des dotations de l’État aux collectivités (moins 3,2 millions d’euros pour Arcueil d’ici à 2017), à quoi s’ajoute la menace d’un transfert de 5 millions d’euros de ressources fiscales tirées des entreprises de la commune vers la métropole. Je suis déterminé à continuer à ne pas augmenter les impôts locaux et à développer l’implantation d’activités dont nous tirons des ressources pour financer nos équipements et services. Mais les années qui viennent sont critiques et j’estime nécessaire de saisir les Arcueillais de toutes les informations chiffrées et des enjeux pour notre ville.

Vendredi 22 mai | Débat au sein de Paris Métropole sur

le projet d’une candidature « grand-parisienne » pour les Jeux olympiques de 2024. À ce stade, je reste très partagé. D’un côté, mon âme de sportif et le fait qu’Arcueil soit la ville de naissance de la devise olympique me poussent à appuyer cette candidature. De l’autre, l’élu pragmatique que je suis s’interroge sur les risques financiers et le fait que durant plusieurs années les investissements seront concentrés sur les installations olympiques, au détriment d’équipements moins visibles mais plus utiles pour les populations. Et puis, les JO sont plus ou moins en concurrence avec la réception de l’Exposition universelle en 2025, qui aurait sans doute une portée plus forte et plus significative en termes de développement du territoire.

ANC / Arcueil notre cité n° 258 juin 2015 | 5

Vues

In situ

de la Maison 18/04 Partagé Potager des Solidarités Samedi 18 avril, la Maison des Solidarités(1) fêtait son jardin partagé avec « Je donne, je cherche...

Graines, boutures et plants ». Autant une invitation pour échanger des semences que des conseils avisés entre jardiniers amateurs autour du potager, créé il y a trois ans. Il est géré et entretenu par un collectif de bénévoles et par le Green Club du collège Dulcie September. Ensemble, ils ont défini le plan de culture : maïs, haricots, pommes de terre ou encore plantes aromatiques. Du compost y est également fabriqué. Les légumes servent à la cuisine de la maison ou sont goûtés par les collégiens et les écoliers.

Le jardin accueille toutes les bonnes volontés et leurs mains plus ou moins vertes pour planter, désherber, et donc jardiner. « C’est important de comprendre, à tout âge, que l’on peut produire ses légumes, développe Sophie Chabot, membre du collectif et présidente des Paniers d’Arcueil(2). Une tomate que l’on cultive soi-même est meilleure, elle a le goût du travail, de l’enrichissement et cela ne coûte que du temps. Un jardin partagé(3) a cette vertu pédagogique. » ■ KG (1) Maison des Solidarités, 102 rue Marius Sidobre.

Contact : info@lamaison.asso.fr ; tél. 01 41 24 28 10.

Photos KG

(2) Les Paniers d’Arcueil constituent une Amap (Association pour le maintien d’une agriculture paysage). Contact : Amap-paniers-arcueil.org.

Samedi 18 avril, c’est en musique et en présence de l’ambassadeur du Japon en France, Yoichi Suzuki, et de quelque trois cents Arcueillais que s’est déroulé le « finissage » de l’exposition Les éphémères d’Ayako David-Kawauchi à l’Espace Julio González. Aux dessins de l’artiste s’ajoutaient ceux créés par les écoliers de la ville lors d’ateliers animés tout au long de l’exposition(1), soit neuf cent vingt portraits réalisés au fusain et à la pierre noire - « façon Ayako » - que le service municipal des arts plastiques avait essaimés dans l’enceinte de la galerie et dans toute la cour. Un événement qui a fait l’unanimité auprès de tous les participants venus en famille et qui s’est achevé par un concert de koto, un instrument traditionnel japonais, et de saxophone. Éphémère mais réussi.

■ CG

18/04 Travaillée SD

Clôture de l’exposition Ayako David-Kawauchi

(3) En ce qui concerne le jardin partagé de la rue Cauchy et le collectif « Arcueil, ville comestible », le contact est : ville-comestible@mairie-arcueil.fr (informations sur Arcueil.fr > Environnement > Ville comestible).

De gauche à droite : l’artiste, Ayako David-Kawauchi, l’ambassadeur du Japon, Yoichi Suzuki, le maire d’Arcueil, Daniel Breuiller, et son adjointe chargée du développement culturel, Juliette Mant.

6 | ANC / Arcueil notre cité n° 258 juin 2015

Photos CG

(1) ANC/Arcueil notre cité n° 256 avril 2015, p. 20.

10,12/05 Osloïte Festival Erik Satie

Photos SD

C’est à un nouveau voyage musical à travers l’Europe que nous a conviés l’association Parade pour l’édition 2015 de son Festival Satie. Il a débuté à Arcueil le dimanche 10 mai, à l’Espace Bogino de l’ancienne ferme Dimet, par un concert destiné aux plus jeunes et interprété en majeure partie par des enfants norvégiens en costumes traditionnels, venus spécialement d’Oslo. Cette matinée s’est terminée par du chant lyrique, ce qui n’a pas manqué de susciter l’intérêt des auditeurs. Le festival s’est poursuivi par deux soirées ouvertes à tous, le dimanche 10 mai à l’église Saint-Denys et le mardi 12 mai de nouveau à l’ancienne ferme Dimet, durant lesquelles ont été jouées des œuvres d’Erik Satie, bien sûr, mais aussi d’autres compositeurs français tels que Germaine Tailleferre, Maurice Ravel ou encore Claude Debussy, par des musiciens français, serbes, russes, suédois et italiens. ■ SD

Commémoration de l’abolition de l’esclavage

10/05 Festive

Photos CG

C’est avenue Laplace, sur la placette jouxtant le centre culturel Anis-Gras, tout près de l’école Aimé Césaire, qu’a eu lieu, dimanche 10 mai, la cérémonie officielle commémorant le 167e anniversaire de l’abolition de l’esclavage. Une nouveauté, puisque depuis neuf ans cette manifestation, organisée en partenariat avec des associations et des bénévoles arcueillais, se déroulait sur le parvis de l’hôtel de ville. Aux discours et lectures des représentants des associations Ifafe (Initiatives des femmes africaines de France et d’Europe), Acadom (Amicale club des Antillais et départements d’outre-mer) et Lambidou, ont succédé ceux des élues politiques Christiane Ransay, initiatrice de cette célébration, et Carine Delahaie, adjointe au maire chargée du travail de mémoire. L’événement s’est poursuivi en musique et en danse dans la cour d’Anis-Gras, autour d’un succulent buffet africain concocté par le comité Ifafe d’Arcueil. Un joyeux moment de partage. ■ CG

ANC / Arcueil notre cité n° 258 juin 2015 | 7

Double page

Les moins de 11 ans du Cosma basket entraînées par Philippe Benisti : Charlotte Scarmoncin, Olivia Lema, Néfélie Vassilias, Cassandra Mionnet, Camille Scarmoncin, Selma Pons, Tania Mathieu, Cassie Randriamanambelo, Erina Niama, Gladys Nuefename (de g. à dr., en jaune).

Deux équipes de jeunes filles du Cosma basket-ball ont décroché la Coupe du Val-de-Marne, samedi 23 mai, dans un gymnase Jean-Pierre Ducasse plein à craquer.

Débutée dans une ambiance survoltée, l’après-midi avait plutôt mal commencé après la défaite des benjamines (moins de 13 ans), face à l’Union sportive de Villejuif (28 points à 35). Mais, galvanisé par l’événement, le groupe des poussines (moins de 11 ans) écrasait ensuite l’US Ivry-sur-Seine (35 à 12). Cette formation avait déjà remporté le championnat départemental, après avoir dominé toute la saison dans la division la plus élevée possible pour leur catégorie d’âge.

Dans la soirée, l’équipe minime (moins de 15 ans) devançait l’US Alfortville (24 à 19) et réalisait ce même doublé coupe-championnat.

Certes sans grand chelem, la journée fut « une belle réussite, avec du monde dans les tribunes et une bonne ambiance grâce notamment aux bénévoles qui ont répondu présent. À la fin, c’est le basket qui gagne », se réjouissait Kévin Neveu, responsable de la communication du club arcueillais. C’était la première fois que le Cosma organisait les finales de la Coupe du Val-de-Marne.

La première fois également que des équipes féminines arcueillaises remportaient la compétition. ■ KG

Photographies Kévin Gouttegata 8 | ANC / Arcueil notre cité n° 258 juin 2015

Les moins de 13 ans du Cosma basket entraînées par Philippe Benisti : Moumie Goribe, Isild Lanni, Beatriz Heizinger, Marine Simonet, Sabrina Colpin, Aurianne N’Dede, Heta Niakate, Loreleï Gheysens, Audelyane Bamgwemi, Maeva Guehi (de g. à dr.).

Coupes du Val-de-Marne de basket-ball au gymnase jean-pierre ducasse

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Cosma basket > Tél. 01 45 47 11 58 > cosmabasket@free.fr > Cosmabasket.free.fr

Les moins de 15 ans du Cosma basket entraînées par Fréderic Arnold : Pauline Ruet, Joyce Etoumdi Mwogo, Anna Baro, Jade Capelle, Alicia Bossert, Albane Papin, Kenza Bouraima, Maissane Sahli, Céline Thamrong, Milady Czternasty (de g. à dr.).

ANC / Arcueil notre cité n° 258 juin 2015 | 9

Actualités

en BRèves

en court

Enquête publique sur le prolongement de la ligne 14

Une école

L’Isit, un établissement supérieur de langues, s’installe avenue Jeanne d’Arc de la traduction et de l’interprétariat, les autres trouvent des emplois dans la communication, les ressources humaines et le management.

Jusqu’à présent, l’Isit était installé rue d’Assas (Paris 6e), dans les locaux de l’Institut catholique de Paris où il se trouvait à l’étroit. À partir de septembre, l’Isit va donc emménager dans un immeuble de trois étages au 23 avenue Jeanne d’Arc. Ces locaux de 5 000 m2, vacants depuis le départ de la société Toshiba il y a quelques années, sont en cours de rénovation (voir photo ci-contre) pour aboutir à un bâtiment avec « une façade colorée et des baies vitrées », équipé d’un amphithéâtre de 150 places en rez-de-jardin.

■ LdV

Une machine

Une expo et un film

Un engin explore le sous-sol en vue de la réouverture de la Bièvre

Pour un nouveau modèle de croissance

DR

En service pendant la seconde quinzaine de mai, une machine sonde le sous-sol autour du lit de la Bièvre (sur la photo, devant le centre sportif F.-V. Raspail), pour préparer la réouverture de la rivière d’ici deux ans sur deux tronçons, le long de la rue de la Division du Général Leclerc et de l’avenue François-Vincent Raspail. ■

10 | ANC / Arcueil notre cité n° 258 juin 2015

LdV

L’Isit, qui signifie Institut supérieur d’interprétation et de traduction, mais qui préfère désormais s’intituler comme « l’Institut de management et de communication interculturels », est une grande école française de statut associatif fondée en 1957, dans la dynamique du traité de Rome qui donnera naissance à l’Union européenne.

Cette école forme près d’un millier d’étudiants (dont 10 % d’étrangers) à la maîtrise de trois langues (dont obligatoirement le français et l’anglais), mais aussi au « management interculturel ». En clair, selon les explications de sa responsable de la communication, Nathalie Schwartz, cela signifie que si 30 % des étudiants restent dans les secteurs traditionnels

Arcueil s’engage pour la COP 21, la conférence mondiale sur le climat qui se tiendra à Paris en décembre prochain.

Pourquoi la croissance actuelle « énergivore » est-elle une machine infernale ? En quoi les indicateurs quantitatifs de richesse sontils moins pertinents que les indicateurs qualitatifs de bien-être pour mesurer la croissance ? Comment l’agriculture urbaine, la transition énergétique, les monnaies locales et autres initiatives portées par des acteurs de terrain peuvent-elles changer la donne ? Telles sont les principales questions analysées et illustrées dans le film de Marie-Monique Robin et l’exposition qui l’accompagne. Une projection suivie d’un débat, en présence de la réalisatrice, aura lieu le vendredi 26 juin à 20h à l’Espace Jean Vilar. L’exposition se tiendra du 11 au 26 juin dans le hall de l’hôtel de ville (vernissage le lundi 15 à 18h30). Cette initiative de la municipalité d’Arcueil est organisée avec le soutien des associations Alterconsos du Val-de-Bièvre, Alternatiba et Les Butineurs du Val de-Bièvre. ■

Une enquête publique sur le prolongement de la ligne 14 du métro de Paris (de la station Olympiades, terminus actuel, jusqu’à Orly, via les stations Hôpital du Kremlin-Bicêtre et Gustave Roussy) se déroule jusqu’au 9 juillet. Un registre est à la disposition du public à la mairie d’Arcueil, où le commissaire enquêteur sera présent le 3 juin de 14h à 16h et le 9 juillet de 16h à 19h. Arcueil est concerné sur une centaine de mètres, dans le quartier du Plateau, où le tunnel passera à cinquante mètres de profondeur.

Accessibilité aux handicapés : avis aux commerçants

Comme l’exige la loi, tous les commerçants, dont les locaux ne sont pas aux normes, doivent déposer un document (nom de code : Ad’Ap, comme agenda d’accessibilité programmée) détaillant le calendrier prévu des travaux nécessaires, ou expliquant le cas échéant les difficultés pour les réaliser. Ce document doit être déposé avant le 18 septembre prochain à la mairie qui le transmettra à la préfecture.

Renseignements complémentaires auprès de la Mission handicap au 01 46 15 08 73.

La métropole du Grand Paris en débat

Paris Métropole, l’association qui réunit plus de deux cents collectivités de la région parisienne, organise des débats citoyens sur les attentes de la population à l’égard de la Métropole du Grand Paris, intercommunalité qui verra officiellement le jour le 1er janvier prochain. Une métropole pour quoi faire ? Quelles évolutions urbaines ? Quelles décisions à prendre pour réduire la pollution, les nuisances et les déchets ? Telles seront les questions débattues le lundi 22 juin à partir de 19h30 au siège de la Communauté d’agglomération du Val-de-Bièvre (7/9 avenue François-Vincent Raspail à Arcueil), en présence des maires. On peut aussi s’informer et participer en ligne sur le site Mongrandparis.jenparle.net.

Cadre de vie

Actualités

Plan local d’urbanisme

Quel diagnostic ? Quel horizon ?

Une longue phase de concertation a permis aux habitants de multiplier les appréciations sur leur ville et, par ricochet, d’exprimer déjà leurs souhaits pour les dix prochaines années.

A

rcueil mérite bien une synthèse.

Elle interviendra le mercredi 24 juin, à 20h30, à l’hôtel de ville.

Cette synthèse sera celle de l’ensemble du « diagnostic concerté », préalable à l’établissement, fin 2016 ou début 2017, du futur plan local d’urbanisme (PLU).

Depuis février, cette concertation a été mise en pratique le plus concrètement et le plus efficacement possible, grâce à des travaux en petits groupes dans les assemblées des six quartiers d’Arcueil, puis au sein d’ateliers thématiques (« Arcueil, une ville pour tous ? » ; « Arcueil, une ville à taille humaine ? »), et enfin au moyen d’une balade urbaine (samedi 6 juin, à partir de 10h, depuis le parvis de la mairie). De multiples réflexions et questions ont fusé au cours de ces réunions. Il s’agit donc désormais d’y voir un peu plus clair. Vivement le 24 juin ! « Faire ressortir la nature, c’est le désir de tous, non ? », a littéralement scandé une habitante, lors du premier atelier. Le sujet de la nature en ville a souvent émergé.

Reposant par conséquence le problème des liaisons douces, piétonnes et cyclistes,

« afin d’échapper au flux automobile et à la ville bétonnée ». D’aucuns de regretter la vie d’hier, celle des cartes postales anciennes, celle, par exemple, du « superbe marché des Quatre-Chemins ». Il est vrai que le quartier du Plateau, qualifié aujourd’hui de « périphérique », hélas, recherche désespérément un peu de son dynamisme et de son aménité perdus.

Ville et village « Arcueil, ville à échelle humaine », pour reprendre le titre du livre de l’architecte danois Jan Gehl (Pour des villes à échelle humaine, un ouvrage et une vision promues avec conviction par une participante aux ateliers), pourrait être le slogan de nombreux habitants, soucieux de conserver l’essentiel de l’identité de leur ville un peu village, voire angoissés par les pouvoirs de la future métropole du Grand Paris.

Quelle sera la cité des dix prochaines années ? Comment s’y loger, s’y déplacer, s’y distraire ? Des interrogations qui concernent tout Arcueil et tous les Arcueillais. Et vaste chantier intellectuel, politique et citoyen, dont les nombreux enjeux nécessitent… une synthèse éclairante. ■ Philippe Lorette

Arcueil en 5 chiffres > 22 000 habitants – estimation 2015 (20 100 habitants selon l’Insee en 2011) > 10 650 logements – estimation 2015 (9 570 logements selon l’Insee en 2011, dont 4 515 logements sociaux, soit 47,2 % du parc total) > 16 300 emplois > 360 commerces > 60 équipements culturels, sportifs, cultuels, sociaux…

Deux temps forts en juin > Samedi 6 juin, rendez-vous à 10h, devant la mairie, 10 avenue Paul Doumer : balade urbaine sur le thème de « Arcueil, une ville durable ? ». > Mercredi 24 juin, à 20h30, salle du conseil de la mairie : réunion publique « révision du plan local d’urbanisme, diagnostic et restitution de la concertation ».

Contacts > Service urbanisme de la Mairie d’Arcueil : hôtel de ville (niveau -1) ; tél. 01 46 15 08 42 / 43 > Arcueil.fr/espace-plu > Concertation PLU Arcueil

Les juniors aussi

PhL

Même les jeunes Arcueillais s’y sont collés. Une « session PLU » était organisée à leur intention le vendredi 22 mai dans les locaux du Point information jeunesse (8 avenue Paul Doumer).

Plus de trente juniors ont planché, eux aussi en petits groupes, sur la ville telle qu’elle est vue, vécue, ressentie et enfin désirée. « Je suis venu de mon plein gré, sourit Axel, 17 ans, élève de première S à l’Institut Notre-Dame à Bourg-la-Reine (Hauts-deSeine). L’urbanisme, la ville font partie de mon programme de géographie. Mais avant tout, cela m’intéresse beaucoup. Il s’agit de mon environnement le plus proche. » Les nombreuses critiques (négatives ou positives) et suggestions des cinq groupes donneront le sel de la grande réunion du 24 juin à l’hôtel de ville. ■ PhL

ANC / Arcueil notre cité n° 258 juin 2015 | 11

Actualités

en brèves

Nouveaux commerces

Brocante de l’avenue Laplace, samedi 19 septembre

Des fleurs et Dubois Transformer la réalité en rêve

Théâtre à Laplace des arts

DR

Gwendoline Dubois. Tél. : 06 19 69 53 34.

Adresse électronique : desfleursetdubois@gmail.com.

Site Internet : Desfleursetdubois.com.

DR

CG

BTS d’architecture d’intérieur en poche, Gwendoline Dubois, 27 ans et arcueillaise depuis 2010, décore palaces et hôtels de luxe.

Mais le contact humain lui manque. Il y a un an, elle suit une formation et se lance dans un projet fou : devenir « accompagnatrice de rêves ». Ce qu’elle veut, c’est transformer un événement, quel qu’il soit – fête, mariage, communion, Bar La jeune Arcueillaise Mitzvah ou autre –, en Gwendoline Dubois fait montre moment magique, excepd’une impressionnante créativité tionnel. Et bien sûr tout en dans l’art de la décoration florale. fleurs. Avec l’élégance qui la caractérise, elle met toute sa créativité au service de ceux qui lui font confiance. Elle réalise décor, scénographie, coin photo, bar à bonbons, mur végétal, centre de table, bouquet de mariés, couronne de fleurs, boutonnière... Mais pas n’importe lesquels. Ceux dont vous rêvez ! Demandez-lui la lune, elle vous l’offrira certainement, vite fait, bien fée. ■ Colline Gori

Restaurant Istanbul Spécialités turques, préparation maison

CG

Arcueillais depuis dix ans, Kadir Acar vient d’ouvrir son premier restaurant kebab le 22 avril dans une avenue Jeanne d’Arc en pleine transformation. Originaire de Gaziantep en Turquie, royaume incontesté du kebap et des baklavas, le jeune restaurateur, qui travaille en famille, pro-

Au fond, une salle de vingt-cinq couverts donnant sur un petit jardin.

12 | ANC / Arcueil notre cité n° 258 juin 2015

Cette année, « Laplace en fête », le traditionnel vide-grenier organisé par l’Acalcva (Association des commerçants et artisans de Laplace, centre-ville d’Arcueil), se déroulera le samedi 19 septembre, de 6h à 18h, avenue Laplace, où les travaux du réseau de géothermie seront alors terminés.

Les réservations d’emplacements s’effectuent dès maintenant auprès de « Sylvie Style » (tél. 01 45 46 20 66) ou « Au lapin doré » (tél. 01 45 47 01 30).

Tarif de base : 20 euros les deux mètres linéaires.

pose de la viande 100 % halal, 100 % fraîche, préparée à domicile avec des sauces maison.

Totalement invisible de la rue, la salle de vingtcinq couverts qui donne sur un petit jardin est équipée de deux téléviseurs et de l’accès gratuit sans fil à l’internet.

Spécialités maison : boulgour, sauce blanche et Adana (bœuf, steak haché, sauce épicée). Treize formules avec frites et boisson : de 5 euros le panini à 8 euros le best food (deux steaks, escalope, poulet, œuf Boursin), en passant par les merguez (6 euros), les boulettes ou le poulet (6,50 euros). Dix assiettes : de 7,50 euros (trois merguez, boulghour, frites, salade) à 11 euros (quatre viandes grillées). De nombreux petits prix : le döner kebab dès 4,50 euros, la petite barquette de frites à 2 euros, le baklava à 3 euros…

Sur place ou à emporter. La carte bleue et tous les tickets restaurant sont acceptés. ■ CG Restaurant Istanbul. 3 avenue Jeanne d’Arc. Tél. : 09 50 02 02 96.

Ouvert tous les jours de 11h à 23h.

Il y a un an, cinq jeunes artistes fondaient l’association Laplace des arts dans des locaux situés 56 avenue Laplace, en face d’Anis-Gras. Objectif : y développer leur art.

Le théâtre pour le comédien Matthieu Gambier, professeur au cours Florent ; la création culinaire pour Emmanuelle Lavaur ; le cinéma d’art et d’essai pour la projectionniste Andrea Fontanille ; la promotion des écomatériaux pour Daovone Fribouavong.

Puis l’envie est venue de créer des événements dans leur salle commune.

Aux soirées théâtre en appartement et cinéma, ont succédé trois concerts dont celui du Woodbell trio le 22 mai. Mercredi 17 et jeudi 18 juin, place au théâtre, avec Gunther Cabaret, création de la Compagnie La Rue noire, à 20h, suivie de La Nuit de Madame Lucienne de Copi, à 21h45.

Tarif : 10 euros. Réservation indispensable sur laplacedesarts94@gmail.com.

Restauration

Actualités

La cantine en chiffres Mille six cents repas sont servis chaque jour à Arcueil, principalement dans les cantines scolaires. Quelques données sur le contenu de l’assiette et l’organisation du temps du repas.

L

e lundi 11 mai se réunissait la commission consultative de la restauration scolaire.

Les parents et les directions d’école étaient peu représentés, et c’est dommage parce que la réunion a permis d’en savoir plus sur la composition des repas et l’organisation des cantines scolaires de la commune.

Depuis 2006, ces repas sont fournis par le Syndicat intercommunal pour la restauration collective (Siresco), qui approvisionne quinze autres villes de la région parisienne.

Ce syndicat met en avant son identité de « service public » face aux grands groupes privés de la restauration collective (Sodexo, Elior, Compass). À Arcueil, le prix réel d’un repas (incluant nourriture, logistique et encadrement des enfants) est de 9,10 euros ; la Mairie en subventionne une partie avant le calcul du tarif applicable selon le quotient familial.

Charte de la pause méridienne

des aliments labellisés « bio » qui est passée de 9% en 2012 à 14% en 2014 (contre 2,4% au niveau national). Du pain bio est servi en particulier à tous les repas.

Concernant la qualité, à Arcueil, une fiche d’appréciation des menus est remplie par le personnel afin de savoir quels sont les aliments appréciés et ceux qui le sont moins (comme le blé et le maïs, qui ont été supprimés des repas pour les personnes âgées, à leur demande, ou les carottes en sachet et les lasagnes de légumes qui n’ont pas la cote actuellement ).

Une charte de la pause méridienne

La réunion a été aussi l’occasion de présenter une nouvelle charte qui consigne les engagements de la municipalité pour l’organisation du temps de la restauration scolaire. Une centaine d’employés (agents d’entretien et d’office, Le bio en progression Atsems et animateurs) sont mobiwww.arcueil.fr lisés pour réceptionner, réchauffer, Régulièrement, les cuisines du servir et encadrer les repas des écoSiresco sont auditées par un laboliers. Deux services (le premier ratoire indépendant. Les produits, Dans les cantines des écoles maternalles, un adulte est assis à de 11h30 à 12h30 et le second mis en barquette sous opercule et chaque table de tout-petits (2 et 3 ans). C’est un point important que l’on trouve dans la nouvelle charte municipale qui organise l’heure suivante, les enfants étant conservés entre trois et cinq jours le temps de la restauration scolaire. pris en charge avant et après par les maximum après leur confection, munales, mais aussi dans les crèches et animateurs dans le cadre d’un « temps sont « tracés » tout au long de leur parau domicile de soixante-dix personnes récréatif » pour les grands et de repos cours, de la réception des denrées à leur âgées ou dépendantes. Plus de la moitié pour les petits) sont organisés dans livraison dans les offices, pour veiller au des entrées, les deux tiers des plats et la toutes les écoles, ce qui permet de ne pas respect de la « chaîne du froid ». Résultat : quasi-totalité des garnitures sont « faits surcharger les salles de restauration. zéro intoxication à déplorer. maison », c’est-à-dire confectionnés Le taux d’encadrement est le suiÀ Arcueil, mille six cents repas sont dans les cuisines du Siresco. Un motif vant : en maternelle, un adulte est assis à servis chaque jour ouvré, principalement de satisfaction concerne la proportion chaque table avec les tout-petits de deux dans les cantines des treize écoles comet trois ans et un toutes les trois tables pour les quatre et cinq ans ; en élémenVous avez dit gaspillage ? taire, l’équipe est constituée sur la base respectée d’un animateur pour vingtDans la restauration garniture, fromage, dessert des produits : sélectionner cinq enfants. Sébastien Poli, responsable collective, le taux de et pain – qui est encore la une pomme moins grosse ou du service Enfance, souligne que la misgaspillage attendrait jusqu’à règle. Aujourd’hui, le Siresco un yaourt demi-format pour sion de ces animateurs est « d’éduquer 25 % des denrées servies, teste cette option une fois les petits. Problème : jusqu’à au goût et à l’alimentation, mais nous ne donc non consommées et par semaine, en veillant à ce présent, les industriels forçons pas les enfants à manger ». Pour qui finissent à la poubelle. que l’apport nutritionnel des de l’agroalimentaire ne les responsabiliser, un « chef de table » Outre la sensibilisation repas « allégés » soit égal proposent pas de formats est désigné et aide à débarrasser. et l’éducation, un moyen à celui des repas standard. différents pour les produits Enfin, pour l’instant, la règle reste identifié pour réduire Et ce jour-là, si certains se de grande consommation le repas servi à table, par opposition au ce gaspillage serait de plaignent d’un repas moins utilisés dans la restauration self-service, même si les cantines des généraliser le repas à quatre complet, on observerait en collective. ■ LdV deux écoles nouvellement construites composantes plutôt que effet moins de gaspillage.

(Olympe de Gouges et Aimé Césaire) ont cinq – entrée, plat avec L’autre piste concerne la taille été conçues pour s’adapter à cette option.

■ Laurent de Villepin

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Découvertes

Nature en ville

Un potager sur son balcon N’en déplaise à Voltaire, il n’est pas si facile de cultiver son jardin quand on habite un appartement. Pourtant, des solutions simples existent…

Q

ue ceux qui aiment savoir ce qu’ils mangent et déguster le fruit ou le légume de leur labeur se rassurent, il est tout à fait possible de créer un potager sur son balcon ! Le 29 avril, à la Maison de l’environnement, l’association villejuifoise Jardicité a proposé un atelier présentant différentes astuces pour y parvenir.

Radis, salades, tomates, petits pois, aromates... On peut faire pousser plein de choses sur son balcon. Tout dépend toutefois de la surface dudit balcon et de l’ensoleillement. Il faut savoir par exemple

que tomates et groseilles ont besoin de beaucoup de place et doivent donc être plantées dans de gros pots. Il est même conseillé de ne planter qu’un pied de tomate par pot. « Mais dans ce récipient, vous pouvez très bien associer au pied de tomate des aromates, de la laitue ou de la roquette, explique Stéphane Kulesza, animateur loquace de Jardicité. Il faut éviter autant que possible de laisser la terre à nu, car celle-ci se dessèche plus vite. » En ce qui concerne l’exposition, si tomates, aubergines, thym, romarin, sauge ou coriandre nécessitent beaucoup de soleil, menthe, laitue à couper, persil

et cerfeuil se plaisent à l’ombre. Quant à l’arrosage, mieux vaut privilégier l’eau de pluie, l’eau du robinet étant trop chlorée. « On peut trouver graines et plants dans tous les commerces spécialisés ou bien auprès de voisins ou amis qui ont un potager et qui acceptent d’échanger des boutures », ajoute Stéphane Kulesza.

Il existe également des « grainothèques », comme celle qui vient d’ouvrir à la bibliothèque municipale de Fresnes, où l’on peut prendre ou déposer des graines gratuitement. ` ■ Sandra Deruère

Votre mini-potager en trois étapes 1. Quel contenant ?

2. Quel substrat ?

Tout, ou presque tout, peut servir de contenant : des matériaux souples comme des sacs plastiques ou en toile, mais aussi des pots en terre cuite ou en plastique, des bacs, des coffrets en bois pour bouteilles ou même des palettes en bois, qui, placées verticalement, constituent d’excellentes étagères pour des aromates ou des laitues.

Le contenant doit être percé pour laisser l’eau s’écouler.

Les plantes grimpantes aimeront se faufiler sur des croisillons ou des filets de pêche.

Afin que le fruit ou le légume puisse correctement s’épanouir, il est essentiel de respecter la règle des trois tiers : • à la base (2.1), une couche drainante : cela peut-être du sable ou des cailloux, laissant ainsi s’écouler l’eau qui ne doit pas stagner ; • au milieu (2.2), une couche de terre de jardin peu riche en général ; • au-dessus (2.3), une couche de terreau au contraire très riche.

Il est également possible de recourir à la technique

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du « lasagna bed » (culture en lasagne), alternant une couche de matière verte azotée (tonte, feuilles vertes justes broyées...) et une couche de matière brune carbonée (paille, feuilles mortes...), avec du carton comme base drainante.

2.3

3. Quel fruit ou légume ?

2.2

2.1

Il est possible de faire pousser tout ce que vous voulez, à condition de respecter quelques règles.

Les carottes et les poireaux par exemple ont besoin de profondeur et donc d’être plantés dans un contenant en hauteur. Pour gagner de la place, il est possible de regrouper plusieurs espèces dans un même pot, par exemple (photo ci-dessus) un plant de tomate avec du basilique et du thym.

En revanche, alliacées (oignons, poireaux...) et légumineuses (pois, fèves...) ne font pas bon ménage. ■ SD

Culture

Découvertes

Hommage ému au poète arcueillais Vincent Jarry

66 rue de la Division du Général Leclerc Tél. 01 41 24 32 17 Agglo-valdebievre. fr/page/maisonlenvironnementarcueil Dimanche 7 juin à 11h Convergence francilienne : lire p. 17.

Mercredi 10 juin à 16h Atelier de fabrication de panières.

Du 16 juin au 19 juin Exposition des œuvres de l’artiste plasticien écologiste Temandrota.

Samedi 20 juin de 14h à 19h Récup’party : pour réparer ou recycler un objet qui ne fonctionne plus.

Mercredi 24 juin à 14h30 Atelier de fabrication de confitures maison.

Dimanche 28 juin de 10h à 17h Atelier de fabrication de peintures végétales.

Y avait un’ lampe Y avait un’ lampe Une ampoule Qu’était amoureus’ d’un papillon Seul’ment chaqu’fois qu’i’ v’nait Amoureux L’antenn’ frémissante et déployée Ell’ foutait son verre entre lui et l’filament L’papillon i’s’ cognait I’s s’cognait l’front et la trompe et l’antenne Comm’ça l’assommait il allait boire un coup Dans un calice èd’ fleur Puis i’ rev’nait Sombre et papillon de la nuit L’ampoule ell’ voulait rien savoir En fait elle avait peur Peur qu’si ell’ laissait tomber son verre Y ait son filament qui s’embrase D’un coup Catastroph’ mortelle Pensait-elle Et puis un jour Y a l’papillon Qu’a pris son élan Qu’a cassé l’verre D’un coup d’boule Et i’ s’sont embrasés tous les deux Vincent Jarry

Samedi 23 mai, la médiathèque d’Arcueil se situait au « 1 Rue des Poètes » pour y accueillir les amis de feu Vincent Jarry.

PhL

Bientôt à la Maison de l’environnement

« On peut chanter, on peut slamer, mais on ne peut pas faire ou déclamer de la poésie. “Poésie” est presque devenu un gros mot », s’étonne et se fâche Samuel Jarry, fils du poète arcueillais Vincent Jarry, décédé le 3 mars dernier à l’âge de 72 ans.

Résistant donc à l’air du temps, une scène ouverte, en guise d’hommage, lui était consacrée samedi 23 mai à la médiathèque municipale Louis Pergaud. Amis musiciens, chanteurs, et poètes bien sûr, y ont exprimé artistiquement leur sensibilité et leur émotion dans une salle polyvalente transformée pour l’occasion en cabaret.

Trois heures durant, l’esprit du prolifique Vincent Jarry, fondateur de la maison d’édition Poèmes en gros et demi-gros et de la revue Rue des Poètes, a habité ce lieu culturel, qui sait, avec habileté et sincérité, décliner à foison le mot « Rencontre ». Et la poésie, fort heureusement, n’est pas exceptée.

■ Philippe Lorette

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Découvertes

Médiathèque

Le prologue du Tour, c’est à… Arcueil !

Samedi 20 juin, soit deux semaines avant le départ du Tour de France, la culture vélo – une fois n’est pas coutume – fait étape à Arcueil. La médiathèque et la petite reine formeront un couple parfait. Au programme : film, show, rencontre littéraire, exposition et concert.

En spectacle, à 15h et 17h

Clément Leroy… de l’équilibre redevenu champion du monde d’équilibre surplace à vélo. Les doigts dans le nez ?

Clément Leroy – Non, je n’ai pas remporté l’épreuve les doigts dans le nez. Même si ça aurait pu être au programme ! Cette année, à Melbourne (Australie), c’était plus classique qu’à Lausanne (Suisse) en 2013. Après deux minutes en équilibre, il fallait lâcher une main, puis la seconde au bout de trois minutes. Enfin, après quatre minutes, ils nous ont demandé d’ôter un pied du vélo. C’était assez difficile, car c’était sur un sol bien plat, alors que je préfère une pente douce. J’ai gagné d’une quinzaine de secondes.

Vous êtes resté plus de deux mois en Australie. Pour quoi ? Pour qui ?

J’adore voyager, et, comme j’étais obligé de me rendre de l’autre côté du globe pour la compétition, je voulais rentabiliser mon billet. De plus, j’aime beaucoup dormir chez l’habitant et c’était une superbe opportunité pour tester ce concept en dehors de l’Europe. En Australie, ça marche super bien. Mes sponsors ont apprécié que je commente quotidiennement mon voyage via mon blog(1) et ma page Facebook. Ça leur a offert plus de visibilité, et moi ça m’a permis d’avoir plus de fonds pour continuer à vivre de ma passion.

Chez l’habitant, vous faites une démonstration de surplace dans le salon ?

Oui ! À chaque fois, c’est le deal. Quand on m’ouvre la porte, j’ai le vélo sur l’épaule. Du coup, je le laisse dans le 16 | ANC / Arcueil notre cité n° 258 juin 2015

© Clément Leroy

ANC/Arcueil notre cité – Le 4 avril, vous êtes

Clément Leroy (26 ans, 1,70 m, 63 kg) est né le 6 juillet 1988 à Châteaudun (Eure-et-Loir). Il a été recordman du monde du 50 km en marche arrière (en 2001) en 2h 48’ 8’’, champion du monde de « Best Trick » et d’équilibre surplace en 2013. Et il est redevenu champion du monde de surplace en 2015. Ci-dessus, le 18 mai, devant Uluru (Ayers Rock), en plein centre du désert australien,

salon le temps d’aller chercher ma voiture. Puis, à l’heure de l’apéro, j’enfile mon costume et le salon se transforme en salle de théâtre. J’adore surprendre. Mes hôtes ne savent jamais à quoi s’attendre durant le spectacle, et la réaction suscitée par la fin inattendue du show est tout le temps très amusante.

Qui êtes-vous ? Un sportif ? Un showman ? Un artiste ? Un extraterrestre ?

Avant tout, j’ai envie de dire que je suis psychologue cogniticien, spécialiste de l’apprentissage. Et ce qui est drôle est que j’ai pu vérifier dans ma vie personnelle les théories apprises sur les bancs de l’Université ! Je trouvais mon job un peu trop classique, alors j’ai voulu tenter de vivre de ma passion, et ça marche plutôt bien. Aujourd’hui, aux yeux des gens qui me rencontrent, j’ai l’impression d’être au croisement de ces quatre qualificatifs : sportif, show-man, artiste et extraterrestre.

Comment vous est venue cette passion du surplace ?

D’abord, j’ai découvert la marche arrière, après un rêve improbable, il y a une vingtaine d’années. Puis j’ai pratiqué le monocycle, puis le pignon fixe. J’ai toujours aimé faire des figures sur mon vélo.

Et en surplace on peut faire tellement de choses : jongler, se déshabiller… J’ai commencé à bosser davantage ce trick [figure acrobatique – NDLR], et aujourd’hui je vis de ça. À Arcueil, le 20 juin, que ferez-vous ?

Sans trop nous en dire.

Je donnerai le meilleur de ce que je sais faire sur un vélo. Je jonglerai en équilibre, perché sur des tables, et j’essaierai, comme à mon habitude, de me déshabiller tout en restant en équilibre sur le vélo.

Quel est le rêve ultime de l’artiste sportif ?

Mes deux rêves ultimes sont d’animer le Tour de France au sein de la Caravane du Tour et passer chez Patrick Sébastien dans Le Plus Grand Cabaret du Monde.

■ Propos recueillis par Philippe Lorette (1) Unvelodanslesalonplusunsaucisson.com.

en court

Dr

PhL

Dimanche 7 juin, tous les cyclistes convergent vers Paris

DR

La première étape du Tour de France 2015 se déroulera à Utrecht (Pays-Bas) le samedi 4 juillet. Le prologue, lui, aura pour cadre inédit… la médiathèque d’Arcueil, 1 rue Louis Frébault, à quelques pas de la « Anquetil est fascinant, amorce mairie, et pour date le samedi le journaliste Michel Dalloni, qui s’entretiendra avec l’écrivain 20 juin(1).

Il y sera donc question de vélo en Paul Fournel (en photo), auteur général et de Jacques Anquetil du remarqué Anquetil tout seul.

Pourquoi ? Parce qu’il est à la en particulier. Pourquoi Maître fois un palmarès, un souvenir et Jacques ? Eh bien, parce qu’il y un fantôme. Dans son livre, Paul a un demi-siècle, les 29 et 30 Fournel sait parler avec justesse mai 1965, Anquetil réalisait et élégance de toutes ces dimensions du champion, mais aussi de luile plus grand exploit de l’his- même, de nous-mêmes, de nos toire du cyclisme : le doublé phantasmes. Je suis admiratif du Critérium du Dauphiné libéré – travail et de l’art de Fournel. » Bordeaux-Paris. Une exposition rappellera ce morceau de légende, ce défi à la fois stupide et grandiose, réalisé par un champion hors normes.

Le temps fort (de 15h30 à 17h) consistera dans la rencontre littéraire avec l’écrivain Paul Fournel (Anquetil tout seul, et aussi Besoin de vélo, Méli-Vélo…). Michel Dalloni, ancien directeur de la rédaction de L’Équipe et récent auteur du délicieux 100 questions sur le vélo, s’entretiendra avec Paul Fournel, entre brèves lectures et questions du public.

Ce n’est pas tout : Clément Leroy, champion du monde en titre d’équilibre surplace à vélo, aura ouvert l’après-midi à 15h avec un show extraordinaire qu’il rééditera à 17h (lire p. 16).

Enfin, à partir de 17h30, l’auteur-compositeur-interprète Richard Fredon proposera son concert En roue libre, titre d’un album qui conjugue cyclisme, poésie, tendresse, nostalgie.

Sans oublier la matinée (dès 10h30), avec la projection du film Les Triplettes de Belleville.

L’entrée est libre et gratuite pour toutes ces animations. ■ PhL (1) Programme détaillé à télécharger sur Mediatheque-arcueil.blogspot.fr.

partager la joie d’être ensemble à vélo, de découvrir des itinéraires pour rejoindre Paris, puis participer à une parade colorée et bon enfant dans des rues délivrées des autos, jusqu’au cœur de la capitale (LouvreRivoli), avant un pique-nique géant sur les pelouses des Invalides.

La participation est gratuite et ouverte à tous. Matériel requis : un vélo en état de marche, un pique-nique et de la bonne humeur.

Plus d’infos sur Mdb-idf.org et Mdb94.org.

Juin, un mois très numérique dans le Val-de-Bièvre La Communauté d’agglomération du Val-de-Bièvre s’associe au festival Futur en Seine et propose un copieux programme d’animations et d’ateliers autour du numérique dans les sept villes de l’agglomération. Signalons notamment, à l’espace numérique

de la médiathèque d’Arcueil, l’atelier « Bien connaître Facebook pour l’utiliser en toute sécurité » (le samedi 13 juin à 10h30) et deux ateliers « Création de mini-jeux en langage Scratch » pour les enfants de 7 à 11 ans (le mercredi 17 juin à 14h et 16h).

Otoradio tout neuf Neuf heures de direct pour fêter ses neuf ans.

Le défi de la webradio associative Otoradio (« Oto » pour « Ouvre tes oreilles ! »), dont les studios sont situés à Arcueil, rue Pierre Brossolette, a réussi ce défi anniversaire mercredi 20 mai.

Autour du fondateur d’Otoradio, le jeune Arcueillais Alexis Raposo (à dr.), tous les chroniqueurs étaient présents : Hugo Ivorra (« Otosport »), Bastien Cornu (« Sciences et culture »), Céline Périquet (« Les coulisses de la

PhL

Vélo, culture, littérature…

La prochaine « Convergence francilienne » aura lieu le dimanche 7 juin. Le peloton du Val-de-Bièvre partira de la Maison de l’environnement, 66 rue de la Division du Général Leclerc, à 11h.

Ce grand rassemblement « manifestif » est organisé par l’association MDB (Mieux se déplacer à bicyclette), en partenariat avec des associations franciliennes, et le soutien de la région Île-de-France et d’une centaine de villes franciliennes.

La Convergence permet à tous, le temps d’une journée, de

radio »), Ketty Moutoussamy (« L’Histoire s’la raconte » et « ça passe ou ça casse ») (de g. à dr.), ainsi que Philippe Lorette (« J’attends mon Tour »).

Cette avenante preuve par neuf heures est multi-rediffusée sur Otoradio.com.

ANC / Arcueil notre cité n° 258 juin 2015 | 17

Jeux

Mots croisés Horizontalement : 1. Filles de l’Est 2. Fourgon peu amène 3. Début de curiosité - Levant 4. Jamais vues 5. Mauvaise redif - Personnel 6. Réel 7. À prendre à l’envers - Du pareil au même 8. Train-train - Enlèveras 9. Fait maison 10. Rasent - Annonce la matière.

Verticalement A. L’homme de l’Ouest B. Rassemblera C. Pronom - Précèdent le réconfort D. Évitées - En piste E. À poil - Poussé de bas en haut - Cru F. Finit la partie par le bas - Géant mytho G. Premier cours - Passent leur chemin H. Connectés - Agira I. Lentilles Vigoureux J. Chien d’arrêt - Personnel. ■ CG A

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Arcueil d’hier et d’aujourd’hui

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Les rues Henri Barbusse et de Stalingrad

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commencent toutes deux 1 avenue Laplace et finissent à la limite de Gentilly. La première, anciennement dénommée Grande Rue, puis rue de Gentilly jusqu’en 1936, porte le nom du romancier Henri Barbusse (1873 - 1935), lauréat du prix Goncourt en 1916 avec Le Feu. Le groupe scolaire situé aux numéros 8 et 10 de la rue porte son nom.

La rue de Stalingrad, anciennement dénommée rue de la Glacière, puis rue Benoît Malon, porte depuis 1948 le nom d’une bataille qui demeure parmi les plus meurtrières de l’Histoire. Les combats, qui se sont étalés du 17 juillet 1942 au 2 février 1943, ont coûté la vie à environ 750 000 soldats et 250 000 civils ; ils s’achevèrent par la victoire de l’armée soviétique sur l’armée allemande. Le siège d’Opaly, l’office public HLM d’Arcueil et Gentilly, se situe au numéro 51, en contrebas de la ligne B du RER. Question : Que trouve-t-on au numéro 17 de la rue de Stalingrad ?

Réponse : La cordonnerie-caverne d’Ali Baba de l’artisan Jacques Bennoit.

Sources : Arcueil, rues d’hier et d’aujourd’hui, par Robert Touchet (éd. Centre culturel communal Erik Satie), Arcueilhistoire.fr.

Retournez votre réponse en mentionnant vos nom et adresse, y compris pour les internautes, avant le 15 juin, à ANC/Arcueil notre cité, hôtel de ville, concours photo, 10 avenue Paul Doumer, 94110 Arcueil, ou à communication@mairie-arcueil.fr, ou encore à l’accueil de la mairie.

Quinze bonnes réponses tirées au sort seront retenues. Les gagnants recevront chacun deux places de cinéma valables à l’Espace Jean Vilar.

18 | ANC / Arcueil notre cité n° 258 juin 2015

Solutions des mots croisés du numéro précédent Horizontalement : Horizontalement 1. Catapultes 2. Américaine 3. Cordées - In 4. Humus - Sans 5. Ères – Can 6. Cas - Lance 7. Ac - Bustier 8. Chrétienne 9. Heurtés - Il 10. Ère - Er - Eau. Verticalement : A. Cache-cache B. Amouracher C. Termes Rue D. Ardus - Ber E. Pies – Lutte F. Uce (écu) - Casier G. Lassantes H. Ti - Ancin (canin) I. Enin (nine) - Eenia (ainée) J. Sensé - Relu.

Erratum - La rédaction présente ses excuses à ses fidèles cruciverbistes pour le poisson qui s’est glissé par erreur dans la grille du mois d’avril.

?

La photo représente une cabane en osier tressé ; DU N°257 elle a été prise rue du Général de Gaulle, entre les écoles Danielle Casanova et Aimé Césaire. Jean-Marc Locoste, responsable du service parcs et jardins de la Ville d’Arcueil, précise qu’ « une tranchée du réseau de géothermie est passée à travers le labyrinthe végétal. Les jardiniers ont alors eu l’idée de fabriquer cette cabane en osier vivant ».

Ces branches de saule (Salix viminalis) proviennent du parc des Hautes-Bruyères, à Villejuif, non sans l’accord du Conseil départemental du Val-de-Marne.

Les quinze bonnes réponses tirées au sort sont celles de Caroline Goguet, Enzo Boisset, Éric Fort, Lahoussine Homssa, Alexandra Traina, Simone Benoit, Stéphanie Bahier, Augusto Gordon, Anne de Coligny, Maryline Chesnel, Éloïse Paller, Patrick Machard, René Jammes, Lucie Sassin et Maria Da Silva. Ces lecteurs gagnent chacun deux places de cinéma valables à l’Espace Jean Vilar.

SOLUTION DU CONCOURS

CG

Que représente cette photo ?

Où a-t-elle été prise ?

c o nc o u r s photo Q u ’e s t- ce que c ’e s t

10

CG

Vos élus

État civil Ils sont arrivés

Robin Fabbris • Léo Divac • Markus Javel • Léonard Cabel Demoury • Martin Hudut • Éva Dedebant • Enora Bernard • Zoé Boi Guidon • Malo Dupont • Lysanna Valétudie • Éloane Mercier • Gabriel Fournier • Aaliya Bikwaku Nkombo • Ismail Sumareh • Alyssa Léticee • Lou Moreau • Elinor Uzan • Naïla Rezzouk • Avigaël Belabes • Souhayb Chergui • Lina Abidi • Naïm Pastisson • Mathilde Socrier-Agapi

Pour rencontrer vos élus, prenez rendez-vous en appelant au numéro indiqué pour chacun.

Ils se sont dit oui

Maire

Alexandre Barbiero et Anne Pardoen

Daniel Breuiller 01 46 15 09 00 Conseiller général Vice-président de la Communauté d’agglomération du Val-de-Bièvre Campus Grand Parc – Enseignement supérieur et recherche

Ils sont partis

Hélène Brousse veuve Alloncle 100 ans • Odette Dortet veuve Goujean 91 ans • Thanh Tam Nguyen 71 ans • Mohand Makouf 76 ans • Cho Arse veuve Anney 46 ans

Adjoints

Infos pratiques Pharmacies de garde 7 juin – Pharmacie Kerveillant Moricet 13 avenue de la Division Leclerc - Cachan 01 46 64 05 46 14 juin – Pharmacie Levy 91 avenue Aristide Briand Cachan – 01 46 65 54 62 21 juin – Pharmacie Minier 30 avenue Carnot Cachan – 01 46 64 05 90 28 juin – Pharmacie de la Citadelle 6 rue de la Citadelle Cachan – 01 45 47 34 40 5 juillet – Pharmacie Talbot 4 rue Gallieni Cachan – 01 46 64 09 36

centre de santé Centre municipal de santé Maï Politzer 3 rue du 8 mai 1945 01 46 15 08 09

CADRE DE VIE

SVP Cadre de Vie 01 82 01 20 10

Collecte sélective des déchets 01 41 24 22 80

Enlèvement des encombrants

MAIRIE

01 82 01 20 15

mairie@mairie-arcueil.fr 10 av. Paul Doumer.

Ouverte le lundi et le mercredi de 9h à 12h, de 13h30 à 17h30, le mardi de 9h à 17h, le jeudi de 13h30 à 19h et le vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h30.

Fermeture le jeudi matin.

Déchèterie mobile le samedi

Une déchèterie mobile, où l’on peut déposer gravats, encombrants, appareils électroménagers, etc., est installée le premier samedi de chaque mois, de 9h à 13h, sur le parking de la mairie d’Arcueil, 10 avenue Paul Doumer. Cette déchèterie mise en place par la Communauté d’agglomération du Val-deBièvre est aussi présente – et accessible aux Arcueillais – le deuxième samedi du mois à L’Haÿ-les-Roses (104 avenue Gabriel Péri), le troisième samedi du mois au KremlinBicêtre (5-13 rue Marcel Sembat) et le quatrième samedi à Villejuif (19-23 rue de l’Épi d’Or). Quel que soit le lieu, le déposant doit présenter une pièce d’identité et un justificatif de domicile.

01 46 15 08 80

OFfice public de l’habitat arcueil-gentilly (opaly) 01 46 15 32 00 51 rue de Stalingrad

URGENCES

En cas d’urgence médicale grave : SAMU : 15

Pompiers : 18

Numéro vert pour les urgences :

0 825 00 15 25 SOS Médecins :

01 47 07 77 77 Pharmacies ouvertes 24h/24h :

01 45 62 02 41

Centre communal Sécurité Sociale D’ACTION SOCIALE Alain Chaumet (vice-président) : 01 46 15 09 23

Permanence de la Caisse primaire d’assurance maladie tous les lundis de 9h15 à 12h au 15 rue Émile-Raspail.

Collecte des déchets végétaux Le service saisonnier de collecte des déchets végétaux fonctionne dans les quartiers pavillonnaires jusqu’au 25 novembre prochain. La collecte a lieu tous les mardis à partir de 7h du matin.

Ces déchets, qui sont destinés à être compostés, doivent être présentés dans un sac en papier de 100 litres. On peut se procurer gratuitement de tels sacs au siège de la Communauté d’agglomération (7-9, av. F.-V. Raspail à Arcueil, du lundi au vendredi de 9h à 17h30).

Christian Métairie 01 46 15 09 24 Premier adjoint Éducation - Affaires générales Conseiller communautaire délégué à la Communauté d’agglomération du Val-de-Bièvre : Protection et mise en valeur de l’environnement – Mise en œuvre du réseau vert Anne-Marie Gilger-Trigon 01 46 15 09 23 Développement sportif Vie associative Relation internationales Communication Vice-présidente de la Communauté d’agglomération du Val-de-Bièvre Habitat - Logement Max Staat 01 46 15 08 96 Développement et renouvellement urbain Carine Delahaie 01 46 15 08 96 Santé - Travail de mémoire Emmanuel Blum 01 46 15 09 24 Habitat - Logement Lucie Dauvergne 01 46 15 08 96 Développement durable Environnement - Cadre de vie Amigo Yonkeu 01 46 15 09 23 Animation et projet social des quatre cités Conseiller régional d’Île-de-France Anne Rajchman 01 46 15 09 24 Personnels - suivi et évaluation des services publics locaux Jean-Michel Arberet 01 46 15 08 96 Petite enfance - handicap Système d’information Juliette Mant 01 46 15 09 24 Développement culturel et éducation populaire

Sophie Lericq 01 46 15 08 96 Démocratie - Citoyenneté Quartiers Sylvie Sapoval 01 46 15 08 96 Prévention - médiation sécurité

Conseillers délégués Simon Burkovic 01 46 15 08 96 Espaces verts Nature en ville Hélène Peccolo 01 46 15 09 24 Jeunesse François Doucet 01 46 15 09 23 Économie sociale et solidaire Francine Ketfi 01 46 15 09 24 Restauration pause méridienne Philippe Mauguin 01 46 15 09 24 Finances Olivier Nadiras 01 46 15 08 96 Transports déplacements Antoine Pelhuche 01 46 15 09 23 Retraités lutte contre isolement Christiane Ransay 01 46 15 09 23 Politique de la ville Travaux bâtiments Kamel Rouabhi 01 46 15 09 23 Commerce

Conseillers

à la Communauté d’agglomération de Val-de-Bièvre

Constance Blanchard, Max Staat, Christiane Ransay et François Doucet

Député Jean-Yves Le Bouillonnec 01 49 69 69 66 / 62 2e lundi de chaque mois de 16h30 à 18h30 à l’hôtel de ville d’Arcueil

Sénatrice Esther Benbassa Permanence le premier et le troisième jeudi du mois de 15h à 17h, à l’hôtel de ville d’Arcueil. Pour prendre rdv, envoyer un mail à e.benbassa@senat. fr, ou par tél. au 07 78 87 10 95 ou au 01 42 34 27 42.

ANC / Arcueil notre cité n° 258 juin 2015 | 19

Expression

des groupes

groupe Gauche

La responsabilité des textes des groupes politiques municipaux incombe à leurs auteurs.

citoyenne et Citoyens

Contact : groupegauchecitoyenne@mairie-arcueil.fr

Métropole du Grand Paris : les futurs territoires s’esquissent

Aboubacar

Aboubacar Diary Diary

Daniel Breuiller

Daniel Breuiller Le janvier 2016 verra la naissance de la Métropole du Grand Paris. Cette date marquera également la fin de la Communauté d’Agglomération du Val-de-Bièvre (CAVB) dont le périmètre sera intégré Antoine Lucie Dauvergne Pelhuche dans un territoire métropolitain plus vaste, lui-même sous ensemble de la future métropole. Pour Antoine Lucie Dauvergne mémoire, la CAVB est compétente en matière de collecte des déchets, d’aménagement de voierie, en Pelhuche matière de transports (Valouette), de rénovation urbaine, de politique de la ville, d’éclairage public, de distribution d’eau et de l’assainissement des réseaux ; elle gère également d’importants équipements Anne-Marie culturels et sportifs (théâtres, piscines, conservatoires…). Au 1er janvier prochain, ces compétences Gilger-Trigon seront métropolitaines.

Anne-Marie

1er

Anne Rajchman

Christian Métairie

Gilger-Trigon Le Préfet de Région vient de mettre en ligne plusieurs cartes présentant des projets de regroupements des territoires de la petite couronne parisienne. Par souci de transparence envers les Arcueillais, la municipalité a Christian Métairie décidé de mettre immédiatement en ligne ces documents sur son site Internet. Le sujet est important puisqu’il s’agit de déterminer les limites du nouveau territoire dans lequel Arcueil coopérera au sein de la future métropole.

Pour notre part, nous déplorons des délais de concertation très contraints, puisque les villes ont moins de deux semaines pour faire remonter un avis au représentant de l’Etat. Impossible donc d’associer les populations à ces questions qui, bien que complexes, n’en auront pas moins des conséquences sur le développement de nos territoires dans les décennies à venir.

Anne Rajchman

Christiane Ransay

Christiane Ransay

Sylvie Sapoval Parmi les scénarii divulgués par l’Etat, nous privilégions l’intégration du Val de Bièvre à un territoire rassemblant le territoire de Seine Amont (Ivry – Vitry – Choisy-le-Roi) et le Grand Orly. D’abord parce que ce territoire serait garantirait un rapport équilibré entre habitat et activité économique, ensuite parce que ce territoire comporte des projets importants en devenir comme le projet Cancer Grand Parc et le Sapoval développement à venir du pôle d’Orly. Enfin parce que ce futur territoire qui compterait 660.000 habitants, atteindrait une taille permettantSylvie de « peser » face aux territoires métropolitains voisins dont certains pourraient atteindre plus d’1 million d’habitants dans les Hauts-de-Seine et que Paris sera un seul et même territoire.

Ce redécoupage territorial ne s’effectue pas dans des conditions optimales : Le calendrier est très contraint, les compétences de ces territoires (qui seront rétrocédées par la Métropole du Grand Paris) sont encore méconnues et les ressources dédiées incertaines. La place des minorités politiques et des citoyen-ne-s franciliens au sein des instances de gouvernance de la future métropole ne sont pas pris en compte à ce stade par le législateur.

Pour notre part nous demeurerons vigilants et appelons les Arcueillais-es à suivre attentivement la reprise des débats parlementaires dans quelques semaines. Nous vous invitons également à venir vous exprimer sur le projet métropolitain le 22 juin, de 19h30 à 22h au siège de la CAVB - 7/9, avenue François-Vincent Raspail à Arcueil.

groupe Arcueil Écologie

groupearcueilecologie@mairie-arcueil.fr

Serons-nous « COP » d’agir pour le climat ?

Dans moins de 6 mois, du 30 novembre au 11 décembre, la France accueillera à Paris la Cop 21. Dernière ce nom, un peu mystérieux, un enjeu crucial pour l’avenir de notre planète.

Qu’est-ce que la Cop 21 ?

Il y une vingtaine d’années, nous avons commencé à prendre conscience des conséquences du dérèglement climatique, ces conséquences sont de plus en plus visibles : élévation du niveau des mers, augmentation du nombre et de l’amplitude des catastrophes naturelles (inondations, sécheresses, ouragans...), menaces sur la production alimentaire… Ces catastrophes touchent chaque année plus de 200 millions de personnes dans le Monde.

Pour les scientifiques, ces bouleversements climatiques sont liés à l’activité humaine, en particulier aux émissions de Gaz à Effet de Serre (GES), le dernier rapport du GIEC (Groupe International d’Experts sur le Climat) l’a encore confirmé.

Au sommet de Rio en 1992, a été ratifiée la Convention cadre des Nations unies pour le climat. Depuis 1995, une COnférence des Parties (COP) a lieu tous les ans pour actua 20 | ANC / Arcueil notre cité n° 258 juin 2015

liser cette convention. C’est la 21e conférence qui se tiendra à Paris cette année.

Agir à Arcueil ?

À la conférence de Kyoto en 1997, un certain nombre de pays industrialisés ont pris l’engagement de réduire de 5 % en 2012 leurs émissions de GES par rapport à 1990.

Dans le Monde entier des mobilisations citoyennes s’organisent pour sensibiliser l’opinion publique et faire pression sur les gouvernements pour que la Cop de Paris soit une réussite.

La Cop de Copenhague en 2009 devait prolonger et accroître ces engagements mais aucun accord n’a pu être trouvé.

À Arcueil, de nombreuses initiatives vont voir le jour (expositions, films, conférences...).

Nous vous invitons à vous y associer.

Les objectifs de la Conférence de Paris

Des dizaines de milliers de citoyens du monde sont attendus à Paris. Vous pouvez donc aussi, si vous en avez la possibilité et l’envie, participer à la réussite de la Cop de Paris en proposant un hébergement à l’un d’entre eux. http://www.cop21.gouv.fr/fr http://leclimatchange.fr/ http://jesauveleclimat.fr/

À la Conférence de Paris, chaque pays devra faire des propositions pour limiter ses propres émissions de GES et la Cop devra s’assurer que l’ensemble des contributions permet de limiter le réchauffement de la planète. Selon les scientifiques, un réchauffement de plus de 2°C serait irréversible.

Par ailleurs, pour permettre aux pays les plus pauvres de poursuivre leur développement sans accroître le dérèglement climatique, une aide annuelle de 100 milliard de $ sera créée à partir de 2020, la Cop en déterminera les modalités.

Enfin, la Cop doit organiser la réduction des aides à l’utilisation d’énergies fossiles.

Francois Doucet,

conseiller municipal délégué à l’économie sociale et solidaire

Groupe des élu-e-s du Front de gauche du conseil municipal d’Arcueil PCF – Parti de gauche et citoyen-ne-s

Restauration scolaire : un service public local indispensable La restauration scolaire est un des premiers services publics locaux assurés par les villes. Facultative, cette mission est essentielle pour les familles, 80% des enfants scolarisés y sont inscrits pour bénéficier d’un temps d’accueil entre deux temps scolaires, se restaurer et se détendre.

180 agents territoriaux se mobilisent quotidiennement à cette fin.

La restauration scolaire peut être gérée directement par la ville ou faire l’objet d’une délégation de service public ou privé ou encore, comme à Arcueil depuis 2006, opter pour une démarche de coopération en adhérant à un syndicat intercommunal.

Très divers, les syndicats intercommunaux concernent le plus souvent la production et distribution d’eau, l’électrification, la gestion des ordures ménagères. Ils sont sans fiscalité propre et dépendent des contributions des villes membres. Ils sont régis par les dispositions du Code général des Communes.

Le Siresco (Syndicat intercommunal de la restauration scolaire), auquel Arcueil a confié la compétence de fabrication et de

groupe Parti socialiste

livraison des repas, est le prolongement institutionnel de la ville. En mutualisant les ressources, il réalise une performance économique de maîtrise des coûts et des contributions financières des villes (le coût unitaire du repas scolaire, de 3,14€ en 2014, est le même que celui de 1994). Fort de ses 16 villes adhérentes, il est un centre-ressources pour aborder les différents enjeux sociaux, éducatifs, culturels et sociétaux.

Par exemple :

prévision et consommation des repas (en 2014, l’écart était de 0,43%), adaptation des quantités aux besoins des enfants, conception de menus à 5 et 4 composants, accompagnement des convives pour une meilleure consommation du repas.

• Développer des approvisionnements issus de l’agriculture respectueuse de l’environnement et des êtres humains en cherchant à privilégier les produits de saison et de qualité, à promouvoir les circuits courts, à établir des liens mutuellement avantageux avec les producteurs. L’engagement du Siresco pour une alimentation bio durable se traduit par une démarche constante et des résultats concrets en progression : pain bio à tous les repas et un second ingrédient tous les quatre repas.

OUI, les politiques publiques de coopération ont de l’avenir.

• Enrichir la variété des menus proposés : élaboration sur un cycle de 40 jours (la réglementation impose un cycle de 20 repas), travailler à la diversité des plats.

Francine Ketfi,

conseillère municipale déléguée à la restauration scolaire et au temps de la pause méridienne

• Réduire les déchets organiques de fin des repas : maîtrise accrue de l’écart entre

elusps.arcueil@gmail.com

Le collège au cœur de la politique éducative municipale Nos enfants sont ce que nous avons de plus précieux. Aujourd’hui pourtant, nous n’arrivons pas à leur offrir ce qu’il y a de meilleur à l’école. A force de 10 années de renoncements politiques, de politiques conservatrices, attentistes, fatalistes, et malgré l’énergie admirable de nos enseignants, l’École ne parvient plus à tirer chacun de ses élèves vers le haut. Le niveau général baisse, les inégalités croissent et l’excellence patine.

L’école française est ainsi plus inégalitaire aujourd’hui qu’hier, plus qu’ailleurs et plus que par le passé.

C’est pourquoi nous devons investir dans l’Éducation C’est pourquoi elle est redevenue le 1er budget de l’État et c’est pourquoi le Gouvernement a lancé cette réforme du collège, maillon clé de la chaîne éducative. Cette réforme a l’ambition de permettre la réussite de chacun et l’excellence accessible à tous. Pour mieux comprendre la complexité du monde

et pour apprendre plus de choses, elle généralise l’enseignement de la seconde langue à 100% des élèves dès la 5 e, développe les enseignements interdisciplinaires et augmente le temps consacré à l’accompagnement personnalisé. À l’échelle de la Ville, le groupe socialiste se félicite que l’éducation représente 40% de nos dépenses et soit le 1er budget de la Ville. Au-delà de ce qui est de notre compétence, comme l’entretien des écoles, nous assumons le choix politique, depuis de nombreuses années, de faire de la réussite de tous les élèves de notre ville une priorité.

Avec le collège Dulcie September, nous construisons un véritable partenariat renforçant l’action publique à destination des collégiens. Nous travaillons efficacement avec les équipes pédagogiques et éducatives que nous saluons pour leur professionnalisme, leur engagement. Nous intervenons directement

au profit des élèves les plus en difficulté avec du soutien scolaire, ou pour lutter contre les exclusions, grâce au dispositif d’inclusion. Nous sommes présents lors des temps libres grâce à nos animateurs jeunesse, ou encore par la mise à disposition des équipements sportifs et culturels de la Ville. Nous travaillons avec les parents et tous les acteurs du collège pour qu’il puisse être à l’image de notre ville dans sa mixité et son dynamisme.

Cette école au service des promesses de la République est celle qui doit aujourd’hui, pour demain, tous nous rassembler.

Philippe Mauguin,

conseiller municipal délégué aux finances

ANC / Arcueil notre cité n° 258 juin 2015 | 21

Expression

des groupes

La responsabilité des textes des groupes politiques municipaux incombe à leurs auteurs.

Ndlr – Les faits évoqués dans cette tribune ne se sont pas déroulés à Arcueil mais dans la ville de Rennes.

22 | ANC / Arcueil notre cité n° 258 juin 2015

C’est vous

qui le dites

Hommages à Georges Noëll Ce 30 mars, Georges Noëll nous a quittés.

Architecte, peintre, sculpteur, ancien élève des « Arts déco » (École nationale supérieure des arts décoratifs) puis des « Beaux-Arts de Paris », il était arcueillais depuis presque soixante-dix ans.

Fondateur en 1970, avec quelques amis, de l’Association d’Animation Artistique, dite les 3A, qui fête donc ses quarante-cinq ans cette année, il en fut tour à tour, trésorier, vice-président, puis président pendant quinze ans.

Dès 1995, des cours furent proposés à des débutants ou à des personnes désireuses de se perfectionner en peinture.

Georges Noëll a assuré, depuis cette époque, deux ateliers de deux heures chaque semaine (au Bahut, avenue du Président Salvador Allende). Il y était encore présent il y a quelques mois.

Lorsqu’on demande à ses élèves de parler de Georges, on comprend que c’était une personne chaleureuse, un animateur plus qu’un professeur, soucieux de conduire leurs premiers pas vers la peinture et sa technique. Il utilisait sa grande gentillesse pour que chacune et chacun puissent s’exprimer au mieux de sa personnalité, ce qui ne l’empêchait pas de leur rappeler la rigueur dans le travail.

Ses remarques confirmaient la jeunesse de son esprit. Il donnait son temps bénévole sans compter ; son humanisme discret a imprimé une marque au sein de l’association.

Georges était aussi un artiste, un peintre, un dessinateur de talent qui ne se mettait jamais en avant. Son œuvre qu’il laisse est surprenante de modernité renouvelée, n’a-t-il pas eu Marcel Gromaire comme maître aux « Arts déco » ? Son amitié, sa personnalité joviale, vont manquer à ceux qui le connaissaient.

Lorsque j’ai lancé le comité de lecture à la médiathèque d’Arcueil, il y a quatorze ans de cela, Georges et son épouse Jacqueline ont été les premiers à répondre à l’appel. Ne ratant jamais une séance de cette assemblée, Georges transmettait à loisir ses connaissances architecturales et l’on pouvait compter sur ses goûts avisés des livres d’art pour éclairer les autres lecteurs. Les multiples résumés des ouvrages qu’il a laissés montrent que Georges était un pilier de la lecture à Arcueil. Ses lectures, sa gentillesse et sa générosité d’offrir le vin d’orange qu’il confectionnait de ses propres mains vont nous manquer.

Wahed Allouche, directeur de la médiathèque d’Arcueil

Georges était un homme de l’art, il aimait faire le compte rendu d’un livre d’art qu’il avait apprécié, les sciences l’interrogeaient également. Mais Georges était un facétieux, il aimait aussi nous faire partager les romans policiers ou les histoires un peu farfelues qu’il avait découverts dans ses lectures. Mais surtout il était un homme à l’écoute de l’autre, et dans ce comité l’écoute de l’autre est importante, sans oublier le coup de main qu’il donnait si nécessaire pour installer la salle.

Lors de nos agapes annuelles, nous appréciions son vin d’orange qu’il avait confectionné en pensant à l’amitié qu’il allait partager.

Nous assurons Jacqueline, sa femme, fidèle lectrice du comité, de nos pensées émues.

Les 3A

Colette Touillier, membre du comité de lecture de la médiathèque d’Arcueil

« c’est vous qui le dites », c’est votre page ! Pour y prendre place, deux adresses : ANC/Arcueil notre cité, hôtel de ville, 10 avenue Paul Doumer, 94110 Arcueil et communication@mairie-arcueil.fr.

Concours des balcons et jardins fleuris 2015 Inscriptions jusqu’au 1er août

Ensemble, faisons d'Arcueil une ville toujours plus agréable !

Deux catégories :

1 Maisons avec jardin visible de la rue

2 Balcons et/ou fenêtres visibles de la rue

Renseignements auprès de Cécile, service parcs et jardins. Tél. 01 46 15 08 24.

Passage du jury prévu mi-septembre Bon d’inscription (à renvoyer au service parcs et jardins, 10 avenue Paul Doumer, 94110 Arcueil - cecile.pojaghi@mairie-arcueil.fr) Nom et prénom (ou collectif d'habitants) :.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Catégories :

1

2

Adresse : .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Étage :. . . . . . . . . . . . . Escalier :. . . . . . . . . . . . Tél. et courriel : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

ANC / Arcueil notre cité n° 258 juin 2015 | 23

TG

C’est vous qui le C’est vous quidites le dites

Sandrine Benzaki

Thierry Bur

PhL

TG

TG

PhL

Annie Thauront Maurice Serber

Pascale Delaunay

Êtes-vous « vélo » ou « bicyclette » ?

Quels sont vos rapports avec la petite reine ? Fougueux ou placides ?

Sportifs, récréatifs ou utilitaires ?

Le savoureux René Fallet (1) proclamait : « Ne dites pas “ J’ai un vélo ”, si vous possédez une chose informe munie de pneus ballons, d’une sonnette et d’un porte-bagages, vous feriez rire le monde, le monde merveilleux du vélo.

Vous n’avez qu’une bicyclette. Le vélo, c’est une femme. La bicyclette, c’est un “travelot” en bottes d’égoutier. » Mais bon, vous avez sans doute le droit de penser autrement…

Sandrine Benzaki, 40 ans, assistante commerciale à Arcueil, habitante de Créteil (Val-de-Marne) : « Bicyclette ! C’est en tout cas le mot que j’emploie. La bicyclette belle balade autour du lac du Der-Chantecoq, près de Saint-Dizier correspond à un loisir que nous pratiquons volontiers aux beaux (Haute-Marne), avec les sacs à dos, les sandwiches, les gourdes jours autour du lac de Créteil avec les enfants. Elle fait aussi par- et les petits impers. Chacun à son VTT, que l’on nettoie, que l’on tie de nos vacances. On est équipé, on possède l’attelage qui se graisse, que l’on bichonne. » fixe à la voiture. J’ai un excellent souvenir, par exemple, d’une Thierry Bur, 49 ans, à la recherche d’un emploi dans l’informatique, habitant du quartier Jules Ferry : « Ni l’un ni l’autre, car je ne suis pas du tout amateur de deux- déplacements, je privilégie la marche à pied et les transports en roues, quel qu’il soit. À mon avis, c’est beaucoup trop dangereux commun. J’ai tout de même de bons souvenirs à bicyclette, loisir d’en faire en ville, où les pistes cyclables sont rares et les voitures que j’associe aux vacances, au soleil... J’ai par exemple aimé circutrès nombreuses. En plus, c’est une pratique qui est trop soumise ler à deux-roues à l’île d’Yeu, où les voitures sont strictement interà la météo et je ne suis pas un grand amateur de sport. Pour mes dites et où il est possible de se promener en toute sécurité. » Maurice Serber, 59 ans, retraité (ancien responsable de guichet à La Poste), habitant du quartier Jean Macé : « Vélo ou bicyclette ? Je dirais… bicyclette ET vélo ! Je suis Guadeloupe, où je me rends chaque année. Mais là-bas aussi c’est bicyclette, car j’aime me promener en deux-roues. Cela m’arrive assez dangereux, car on est souvent contraint de rouler sur la route. très régulièrement, le week-end, lorsque je suis à Arcueil : j’ai Je suis aussi vélo... Mais devant mon écran de télévision. J’apprécie mon circuit habituel, passant par Gentilly, la porte d’Orléans, beaucoup ce sport. Je ne manque jamais les classiques de prinMontrouge... Je regrette toutefois que les pistes cyclables ne soient temps, ni bien sûr le Tour de France ; en juillet, je suis un fidèle de la pas suffisamment sécurisées. Je pratique également la bicyclette en Grande Boucle. » Annie Thauront, 70 ans, retraitée (ancienne économiste), habitante du quartier Jules Ferry : « Je n’apprécie ni l’un ni l’autre ! Cela fait plus de trente ans que en commun. L’un de mes derniers souvenirs à bicyclette remonte je ne suis pas montée sur un deux-roues. Je ne me suis jamais sen- à mai 1968 : à cause de la pénurie d’essence, je me déplaçais en tie très à l’aise dessus et, de toute façon, je trouve cela incompatible tandem avec mon mari. Je jette tout de même un œil chaque année avec la vie urbaine : il y a trop de circulation automobile, trop de sur le Tour de France, pas pour suivre la compétition, mais pour pollution. Je préfère de loin marcher ou bien utiliser les transports admirer les paysages de notre pays. » Pascale Delaunay, 44 ans, sans emploi, habitante de Cachan (Val-de-Marne) : « J’ai trois vélos, je fais du vélo et j’aime ça. Ce n’est pas une il y a les vols, qui sont fréquents, c’est vrai. Mais je ne mets pas histoire de sport, mais de transport. Je n’ai plus de voiture, je me cher : cinquante euros maximum en brocante ou sur Leboncoin.fr. déplace quotidiennement à vélo, à raison de quinze à vingt kilo- L’important, c’est que ça fonctionne bien, et surtout que je sois à mètres par jour, au moins. Je fais tout avec mon vélo : je fais mes l’aise dessus, que je roule en toute confiance avec. Et puis il y a les courses, je rends visite à des amis… C’est bien plus pratique que la automobilistes… C’est triste à dire, mais ils se foutent de nous ! » bagnole : ça passe partout, ça se gare partout… Malheureusement, (1) Le Vélo, par René Fallet, aux éditions Denoël, 1973.

Propos recueillis par Philippe Lorette et Tristan Gaguèche – Interviews réalisées les 11 et 19 mai à Arcueil

24 | ANC / Arcueil notre cité n° 258 juin 2015

juin 2015 Du 3 au 6 à 14h et 19h30

WELCOME TO THE FUTURE Anis Gras

La pièce décrit les retrouvailles d’amis d’enfance autour d’un pique-nique.

La forêt où ils avaient tant aimé jouer est devenue un parking désaffecté.

Samedi 13

Samedi 20 de 14h à 19h

Médiathèque

Maison de l’environnement

Futur en scène

RÉCUP’PARTY

Ateliers à l’occasion du festival du numérique. De 10h30 à 12h30 : la face cachée de Facebook (à partir de 13 ans). De 14h30 à 18h30 : atelier montage photo (à partir de 12 ans).

Un grille-pain, un téléphone portable qui ne fonctionnent plus ? Un vêtement abimé ? Des réparateurs seront gratuitement à votre disposition Avec aussi des animations pour enfants.

Les 2 et 16 de 18h à 20h Le 13 de 10h à 15h

THÉÂTRE

Samedi 13 à 19h30

Spectacles des ateliers Le Bahut, 18 av. du Président Allende UCompagnie d’Ophée Le rêve de Bobine, les 6 et 7 (aussi du 19 au 21 à Anis Gras), Le voyage de M. Tortue et Le pays gourmand, les 13 et 14, Paradis noir, du 25 au 28.

Anis Gras

Réservation : 01 46 65 90 37 compagnie.ophee@laposte.net

Du 5 au 27

Café tricot

Galerie Julio Gonzalez

Pour la journée mondiale du tricot, les rampes d’accès de la Maison des solidarités vont être habillées de tricot.

19e PRIX ANTOINE MARIN Comme chaque année, douze artistes de renom parrainent douze jeunes plasticiens âgés de moins de 40 ans. Vernissage et remise des prix vendredi 5 juin à 18h30.

CONFÉRENCES

Maison des solidarités

LE CRI DE ROSA PARKS

Le lundi à 20h à Anis Gras Le 8 : Guillaume Duval - Peut-on sortir de l’Europe du trop peu et du trop tard ?

Le 15 : Frédéric Landy - Inde : l’émergence d’un grand pays ?

Samedi 6 de 14h à 18h

FÊTE SPORTIVE DES ENFANTS Stade Louis Frébault

Arcueil.fr

UFalaises et plateaux Dans les bois, la marguerite, du 10 au 14 ; Roberto Zucco, du 24 au 28.

Réservations : 01 49 12 11 35

Performance littéraire et musicale à partir du livre de Pascal Quignard, La haine de la musique.

UThéâtre de l’Epopée Artistes à thème, les 4, 6 et 7 juin ; Les acteurs de bonne foi, les 5, 6 et 7 juin ; La reine Margot, du 12 au 28.

Ouvert aux enfants de 3 à 12 ans. Tombola et grande loterie. Renseignements : 01 45 47 11 58.

Mercredi 17 et jeudi 18 à 20h

Réservation : 01 49 85 02 20 theatre.epopee@wanadoo.fr

Anis Gras

LES BROCANTES DE JUIN

L’association accueille la compagnie La Rue noire avec deux spectacles burlesques et poétiques, Gunther Cabaret et La nuit de Madame Lucienne .

Accueil dès 19h.

Dimanche 21

Dimanche 7 de 15h à 18h

CAFÉ DES ENFANTS Anis Gras

Spectacle avec le collectif Suivez-moi jeune homme, suivi d’ateliers et d’un goûter.

Samedi 20 à partir de 10h30

PROLOGUE DU TOUR DE FRANCE Médiathèque

10h30 : projection du film Les Triplettes de Belleville ; 15h et 17h : spectacles ; 15h30 : rencontre littéraire ; 17h 30 : concert.

Et aussi : exposition sur Jacques Anquetil

TOUS EN SHORT

Stade Louis Frébault

Benjamin Lecomte, gardien au FC Lorient, qui a grandi à Arcueil, est le parrain de cette initiative.

De 9h à 12h : Festifoot (garçons 9/13 ans).

De 13h30 à 15h30 : plateau Fillofoot (filles 9/13 ans).

A partir de 15h : match de gala (U15 garçons Cosma, U16 féminines PSG).

17/19 rue du

Tous en short !

Un événement organisé par la section football du Cosma

Parrain de

Benjamin

gardien au

De 9h à 12h

l’initiative

Lecomte

FC Lorient

:

Festifoot (garçon De 13h30 à

s 9/13 ans)

15h30 :

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15h :

ans)

match de gala

U15 garçons Cosma U16 féminine s PSG

Dimanche 21 juin 2015 de 9h à 17h

au stade Louis Colonel Fabien

- Arcueil l

Renseigneme

Frébault

nts : 01 45

47 11 58

Mardi 30 à 19h30

MOI, MARGUERITE DURAS ET LA MER Anis Gras

© DR

Deux dates, deux lieux où trouver des objets qui encombrent les uns et réjouiront les autres.

Dimanche 7, rue Emile Raspail et rue Cauchy : vide-grenier, avec Arcueil Village Dimanche 28, avenue Paul Doumer : foire aux miettes pendant la Fête de la ville, avec Arcueil Animation

LAPLACE DES ARTS

Une pièce de théâtre au cours de laquelle un jeune homme fasciné par l’écrivain Marguerite Duras parvient à rencontrer son idole.

Arcueil.fr

L1

, l i e u c r A ’ d i a u O’Q ntôt ! c’est bie

rc du Coteau

ût 2015 au pa Du 4 juillet au 21 ao

15h à 19h Du lundi au vendredi de ts s ciné s musique s spor spectacles s danse ateliers s détente s s de la ba s es ag sorties s st

le site à partir du 20 juin sur Programme disponible ns le prochain ANC Arcueil.fr et inclus da

Les rendez-vous de juin Jusqu’au 9 juillet Du 3 au 6 Vendredi 5 à partir de 17h30 Vendredi 5 à 18h30 Samedi 6 de 9h à 19h Samedi 6 de 14h à 18h Samedi 6 à 14h30 Dimanche 7 Dimanche 7 à 12h30 Dimanche 7 de 15h à 18h Lundi 8 à 20h Mardi 9 à 20h Mercredi 10 à 14h Le 13 de 13h à 18h et le 14 de 9h à 18h Lundi 15 à 18h30 Lundi 15 à 20h Mardi 16 à 19h Mercredi 17 de 14h à 17h Jeudi 18 à partir de 19h Jeudi 18 à 19h30 Samedi 20 à partir de 10h30 Samedi 20 de 14h à 19h Dimanche 21 Mercredi 24 de 19h à 21h Jeudi 25 à 20h30 Vendredi 26 à 20h30 Le 27 à p. de 18h et le 28 Dimanche 28

Profondeur - Exposition ETR Balistic Welcome to the future Vendredi soir à la Maison Prix Antoine Marin - Vernissage et remise des prix Collecte alimentaire de l’épicerie Fête sportive des enfants Loto Dédé Ifi Vide-grenier - Arcueil Village Repas - Coteau d’Arcueil Café des enfants - Spectacle et ateliers Guillaume Duval - Conférence de l’UPA Ady Gasy - Ciné-débat - UFAL Val de Bièvre Loto UNRPA Tournoi Frantz Goram - catégories U12 et U13

5 av. de la Convention Anis Gras Maison des solidarités Galerie Julio Gonzalez Maison des solidarités Stade Louis Frébault Ecole Henri Barbusse Rues E. Raspail et Cauchy Ecole Jean Macé Anis Gras Anis Gras Espace Jean Vilar Maison de la Bièvre Stade Louis Frébault

Sacrée croissance ! - Vernissage exposition Frédéric Landy - Conférence de l’UPA Concert de fin d’année du conservatoire Atelier arts plastiques enfants et ados Vernissage expo Marché éphémère - Maison des solidarités Concert de fin d’année du conservatoire Prologue du Tour de France Récup’party Tous en short - Avec Benjamin Lecomte Atelier arts plastiques adultes - Vernissage expo Conseil municipal Sacrée croissance - Soirée-débat Fête de la Ville Foire aux miettes - Arcueil Animation

Hôtel de ville Anis Gras Espace Jean Vilar Centre Marius Sidobre

Centre Marius Sidobre – 26 rue Émile Raspail Espace municipal Jean Vilar – 1 rue Paul Signac ☎ 01 41 24 25 55 - N° de réservation : 01 46 15 09 77 Médiathèque Louis Pergaud – 1 rue Louis Frébault ☎ 01 49 08 51 70 Galerie Julio Gonzalez – 21 avenue Paul Doumer ☎ 01 46 15 09 89 / 75 Anis Gras – 55 avenue Laplace ☎ 01 49 12 03 29

Maison de l’environnement – 66 rue de la Division du Gal Leclerc ☎ 01 41 24 32 17 Maison des solidarités – 102 rue Marius Sidobre ☎ 01 41 24 28 10

Cinéma Jean Vilar Du 3 au 9 juin

. Les jardins du roi VO . Jauja VO . L’épreuve VO . Un peu, beaucoup, aveugl ément . Mad Max : Fury Road VO . En route ! 3D . Les quatre cents coups Du 10 au 16 juin

. Retour à la vie VO . La loi du marché . Bonté divine VO . L’ombre des femmes . Les quatre cents coups . La Nuit au musée : Le sec ret des pharaons Du 17 au 23 juin

. Trois souvenirs de ma jeu nesse . Graziella . Le talent de mes amis . On voulait tout casser . La tête haute . Le château de sable Ciné-concert : La princesse aux huitres VO

Espace Jean Vilar Espace Jean Vilar Médiathèque Maison de l’environnement Stade Louis Frébault Centre Marius Sidobre Hôtel de ville Espace Jean Vilar Du 24 au 30 juin Parc du Coteau . Être Av. Paul Doumer . Casa grande VO . La porte d’Anna . Qui c’est les plus forts ? . La révélation d’Ela VO . Manglehorn VO . À la poursuite de demain

Le fil d’Arcueil

Tél. 01 46 15 09 56 / Fax 01 46 15 09 51 communication@mairie-arcueil.fr

Le fil d’Arcueil, juin 2015, supplément au n°258 d’ANC / Arcueil notre cité • Directeur de la publication : Daniel Breuiller, maire d’Arcueil • Rédacteur en chef : Laurent de Villepin, directeur de la communication • Rédaction : Sabine de Jacquelot • Conception graphique : Aude Charaudeau • Secrétariat : Murielle Lemerle • Imprimerie : Alliages C.I.

Événement

Pendant une heure, les changements de décor et de costumes (plus de trois cents !) se succédaient à un train d’enfer pour offrir à chacun du rêve en onze tableaux fous fous fous. Ce divertissement haut en couleur, mis en scène par Dorian Bedel, réunissait une cinquantaine de figurants et quarante danseurs de l’association Speedy Rock Club. Les deux représentations ont attiré au total près de cinq cents spectateurs. Qui a dit que le parc du Coteau n’était pas un décor de rêve ?

■ Texte et photos : Colline Gori

La

à rêve

Un spectacle écrit et mis en scène par Dorian Bedel Costumes et distribution : une centaine de bénévoles Arcueillais, avec la participation des associations Cœurs des Antilles et Speedy rock

4e Son et lumière

vendredi 29 samedi 30

mai

de 22h à minuit Au parc départemental du Coteau (entrée au 56, avenue F.-V. Raspail)

Renseignements et réservations

Arcueil Animation, 59 avenue Emile Raspail Tél : 01 46 63 72 63 Tarif : 5 e (gratuit jusqu’à 5 ans) www.arcueil.fr

Photographies prises lors de la répétition du 26 mai

Les 29 et 30 mai, Arcueil Animation proposait une « rêve party » au parc du Coteau, avec son quatrième spectacle son et lumière baptisé La Machine à rêve. Et quelle machine ! Capable en un seul clic de propulser le public dans l’espace et le temps ; de mêler mousquetaires, cow-boys et guerriers de l’espace ; de faire venir le père Noël en plein mois de mai ; de faire voyager simultanément aussi bien en Inde, qu’en Russie, au Pérou ou en Chine ; de transformer hommes, femmes et enfants en pièces de jeu d’échecs…

machine

Arcueil Animation présente

Pierre Mendy

Près de cinq cents spectateurs conquis par la machine à sons et lumières d’Arcueil Animation

ANC / Arcueil notre cité n° 258 juin 2015 | 27

g n i p p o Sh Le

oire !

N e h c a V n o ç fa le b Incroya

Dès le 24 juin

!

Étonnement garanti

2H

PARKING GRATUIT!* * Voir condition en magasins.

centre commercial d’Arcueil www.la-vache-noire.com