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et donc ?

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c’est quoi ?

c’est quoi ?

Tout ça c’est très intéressant, mais pourquoi ce numéro ? se demande-t-on. C’est très simple : la graffithèque va connaître une transformation profonde. Sur la couverture de chaque exemplaire on peut voir le numéro du magazine écrit en (très) gros. Or, ce numéro ne peut pas passer à trois chiffres étant donné la mise en page actuelle. Pour que la parution puisse continuer, une refonte de la charte graphique est nécessaire, et donc une évolution de la publication. Comme on le voit, les enjeux sont énormes.

À ce jour, la graffithèque s’appuie sur un corpus de 6378 photographies dont environ 1100 ont été publiées. Le magazine paraît sans interruption depuis mai 2019 en se nourissant des contributions de toutes les personnes qui ont souhaité participer au projet en envoyant leurs images, recommandations, contacts, retours et conseils. Le numéro 100 marque un cap et surtout donne un prétexte (encore un) : celui de laisser une respiration avant de revenir avec du neuf.

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Le format va donc changer, et en attendant il faudra faire preuve de patience même si je sais que ça va être dur. Pas de panique, si vous êtes en manque de graffs il y a de fortes chances pour que vous en ayez juste à côté de chez vous, et si ce n’est pas le cas c’est sûrement que vous n’avez pas bien cherché. Pour les photographes en herbe qui voudraient continuer à m’envoyer leurs découvertes, n’hésitez pas, je suis très heureux de les recevoir. Pensez simplement bien à indiquer le nom du ou de la photographe et celui de la ville où le cliché a été pris.

Et si vous désespérez et que le vide des murs vous effraie, vous avez vu assez d’exemples alors allez-y, graffez !

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