Depuis la Naissance de l’Agriculture, voici 8000 ans avant notre ère, l’Homo Sapiens altère, modifie, voire menace son environnement comme aucun être vivant avant lui. Le monde que nous connaissons aujourd’hui est l’héritage de millénaires de terraformation coordonnée de nos pairs.
Pourtant, l’architecte et l’urbaniste, deux des acteurs majeurs de la modification de notre environnement physique, s’interrogent peu à peu sur l’impact de ces transformations sur la biomasse. Les espèces disparaissent au compte-goutte avec l’expansion de la société humaine. Si ce paradoxe est historique, il s’est notoirement accéléré avec le bond technologique du Sapiens, et - fait totalement inédit – l’Homme met aujourd’hui des moyens en œuvre pour ralentir le phénomène.
Dans cette optique, je me suis lancé dans la rédaction d’un Mémoire de Fin d’Etudes qui valoriserai une architecture qui ne serait plus totalement dédiée aux Hommes, mais commencerai à prendre des dispositions favorables pour d’autres espèces – faune et flore.