2
fiche technique
Le sc
por té
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e in
Il s’agit d’une propriété incontournable pour utiliser les bois tropicaux au mieux dans les endroits les plus adaptés à leur nature. Cette notion est abordée par plusieurs concepts qui sont souvent peu maîtrisés et induisent des incompréhensions.
n on
nc a s ais
s sur le bois tropical é l c à es
ma
La durabilité des bois tropicaux a toujours été une caractéristique essentielle. Certaines essences sont naturellement durables et peuvent être utilisées dans des conditions extrêmes où les essences tempérées même traitées n’auraient pas une durée de vie aussi longue.
w w w. a t i b t. o r g
Réalisation :www.impribeau.be
LA DURABILITé DU BOIS
A s s o c i at i o n T e c h n i q u e I n t e r n at i o n a l e d e s B o i s T r o p i c a u x
L’ATIBT encourage l’utilisation, la reproduction et la diffusion des informations figurant dans ce produit d’information. Sauf indication contraire, le contenu peut être copié, téléchargé et imprimé aux fins d’étude privée, de recherches ou d’enseignement, ainsi que pour utilisation dans des produits ou services non commerciaux, sous réserve que l’ATIBT soit correctement mentionnée comme source et comme titulaire du droit d’auteur et à condition qu’il ne soit sous-entendu en aucune manière que l’ATIBT approuverait les opinions, produits ou services des utilisateurs. Toute demande relative aux droits de traduction ou d’adaptation, à la revente ou à d’autres droits d’utilisation commerciale doit être présentée par courriel à info@atibt.org Les produits d’information de l’ATIBT sont disponibles sur le site web de l’ATIBT
Les connaissances clés sur le bois tropical à portée de main
LA DURABILITé DU BOIS
www.atibt.org par Patrick Martin, Michel Vernay, Emmanuel Groutel Photos : © Guy Scherrer (couverture) ; © JL Marshall / Wijma (p. ii) © ATIBT, 2014 Ce document a été produit grâce au soutien du Programme de promotion de l’exploitation certifiée des forêts (PPECF). Ce programme est porté par la Commission des forêts d’Afrique Centrale (COMIFAC) et financé par la Banque de développement du gouvernement fédéral allemand (KfW). Plus d’informations sur le site du PPECF : http://www.ppecf-comifac.com/
A s s o c i at i o n T e c h n i q u e I n t e r n at i o n a l e d e s B o i s T r o p i c a u x
fiches techniques ATIBT
La durabilité des bois La durabilité est une propriété intrinsèque de chaque essence : il s’agit de leur aptitude à résister dans le temps à des attaques d’agents de dégradation biologiques. On entend par agents de dégradation biologiques : les champignons, les insectes à larves xylophages1 (en abrégé ILX tels que hylotrupes et anobium), les termites, les vers térébrants2 marins etc. Remarque : il n’existe pas de bois imputrescible3. Si tel était le cas, la forêt ne serait qu’un immense tas de ce bois mort et non dégradé depuis plusieurs millions d’années. La vie est ainsi faite : tous les bois se dégradent à des vitesses différentes selon les conditions dans lesquelles ils se trouvent. Pour évaluer cette propriété, des essais en laboratoire ont été réalisés sur différentes essences à travers un protocole normalisé (EN 350-1). Les classes de durabilité les plus utilisées sont celles relatives aux champignons lignivores4. Elles sont classifiées en 5 niveaux : Classe de durabilité
Description
1
Très durable
2
Durable
3
Moyennement durable
4
Faiblement durable
5
Non-durable
Remarque : les essais sont réalisés sur le bois duraminisé5. Lorsqu’on parle de durabilité des bois, on ne prend en compte que le duramen, car l’aubier n’est jamais durable.
Qui mangent le bois. Qui font des trous, qui perforent. 3 Qui ne pourrit pas. 4 Qui se nourrissent de bois humide en causant sa décomposition. 5 Le bois est composé de deux parties : l’aubier (dans lequel la sève brute monte) et le duramen (bois de cœur). Sur certaines essences, la différence entre ces deux parties est bien visible (l’aubier étant en général plus clair), sur d’autres on ne peut les distinguer (exemples : sapin, épicéa). 1 2
1
LA Durabilité du bois
Toutes les essences ne figurent pas dans cette norme, mais il est cependant possible de trouver les informations reconnues dans les fiches techniques6 du CIRAD7. Remarque : au niveau de la durabilité vis-à-vis des termites, les essais consistent à enfermer le bois avec des termites affamés. Ce principe : « tu manges ou tu meures » exclue la notion d’appétence, c’est-à-dire « ce bois bien que nourrissant, n’est pas à mon goût et je vais donc m’installer ailleurs » (propos tirés d’un termite bavard qui plus est fine bouche).
Les classes d’emploi Les classes d’emploi sont des situations d’utilisation des bois. Elles sont définies dans la norme EN 335 (actuellement en révision), mais on trouve des définitions un peu différentes dans la norme NF B 50-105-3 ou FD P 20-651. Remarque : elles ont longtemps été appelées « classes de risque » (jugé trop péjoratif).
Exemples : parquets, meubles, lambris, etc.
© Matthew Byrne
Situation dans laquelle le bois est sous abris, entièrement protégé des intempéries et non exposé à l’humidification.
Classe d’emploi 2 : Situation dans laquelle le bois est sous abris, entièrement protégé des intempéries, mais où une humidification ambiante élevée peut conduire à une humidification occasionnelle non persistante. Exemples : charpentes, éléments de toiture, etc.
© Mirage Floors
La durabilité vis-à-vis des champignons (1 à 5) La durabilité vis-à-vis des insectes à larves xylophages (S sensible ou D durable) La durabilité vis-à-vis des termites (S sensible à D durable) La durabilité vis-à-vis des térébrants marins (S sensible à D durable) L’imprégnabilité (1 imprégnable à 4 non-imprégnable) La largeur de l’aubier (tf < 2 cm, f < 5 cm, m < 10 cm, l > 10 cm, x sans distinction)
Classe d’emploi 3A : Situation dans laquelle le bois n’est ni abrité ni en contact avec le sol. Il est soit continuellement exposé aux intempéries, soit à l’abri mais soumis à une humidification fréquente. Exemples : menuiseries, revêtements extérieurs (partiellement abrités) etc.
© Erik Toerner / Flickr
-
Classe d’emploi 1 :
Classe d’emploi 3B : Conditions plus sévères de la classe 3A Exemples : menuiseries, revêtements extérieurs (exposés aux intempéries) etc.
Classe d’emploi 4 : Situation dans laquelle le bois est en contact avec le sol ou l’eau douce, et est ainsi exposé en permanence à l’humidification. Exemples : clôtures, poteaux, terrasses, etc.
© LCB / Tradelink
Les durabilités sont présentées dans la norme EN 350-2 (voir annexe 2), avec :
fiches techniques ATIBT
© Jodie van de Wetering / Flickr
Les connaissances clés sur le bois tropical à portée de main !
6 7
2
Voir les fiches TROPIX. Le CIRAD est un centre de recherche français basé à Montpellier qui répond, avec les pays du Sud, aux enjeux internationaux de l’agriculture et du développement.
Situation dans laquelle le bois est en permanence en contact avec l’eau salée. Exemples : jetées, pontons, etc.
© Guy Scherrer
Classe d’emploi 5 :
3
Les connaissances clés sur le bois tropical à portée de main !
LA Durabilité du bois
fiches techniques ATIBT
Par ces classes d’emploi, la durée de vie d’une essence n’est pas définie. Par exemple : un tuteur en peuplier (destiné à tenir un pied de tomate) est mis en œuvre dans une situation de classe d’emploi 4. Il n’est pas pour autant recommandé d’utiliser le peuplier en classe d’emploi 4, si l’on souhaite une durée de vie supérieure à un an.
Les définitions ont donc été reprises plus en détail dans le fascicule de documentation FD P 20-651. Elles prennent notamment en compte les aspects suivants :
La relation entre durabilité d’un bois et classe d’emploi ne se fait que par la durée de vie attendue. Commercialement, on utilise à tort la classe d’emploi comme performance de durabilité, en particulier lorsque le bois est traité chimiquement sans que la durée de vie soit annoncée. Si la durée de vie attendue est définie, il est possible d’établir une relation entre classe d’emploi et essence. La norme EN 460 présente une correspondance, qui malheureusement reste très floue. Remarque : Les classes d’emploi 1, 2, 3A, 3B, 4 sont ordonnées par ordre croissant de facilité pour un champignon de dégrader le bois. La classe d’emploi 5 est à part car elle concerne le milieu marin. Exemple : le Basralocus est utilisable en classe d’emploi 5 car il résiste bien aux vers térébrants marins, mais il n’est pas conseillé en classe d’emploi 4 car les champignons le dégradent facilement lorsqu’il est en contact avec le sol. Il peut être utilisé en classes 1, 2, 3A, 3B ou 5 mais pas 4. 8
Le bon bois au bon endroit Dans la pratique ces définitions de classe d’emploi restent difficiles à appréhender, par exemple « exposé aux intempéries » est une notion très variable selon qu’il s’agit de Montpellier ou de Brest 9.
8 9
4
- l e climat (avec une carte de France détaillée voir annexe 1) ; - les conditions locales (zone côtière, fond de vallée non ensoleillée, proximité d’une source d’humidité générant des périodes récurrentes de brume ou de brouillard… ; - le type de conception (les conditions d’écoulement et de désorption de l’eau de pluie, influent directement sur la pérennité de la partie d’ouvrage considérée visà-vis du risque fongique ) ; - la massivité (plus un bois est massif plus sa capacité de désorption est limitée) ; - l’exposition au vent de pluie dominant. Lorsque la classe d’emploi est correctement définie, le choix d’un bois peut être effectué en fonction de la durée de vie attendue de l’ouvrage. L3 : Longévité supérieure à 100 ans ; L2 : Longévité comprise environ entre 50 et 100 ans dans l’utilisation initialement prévue ; L1 : Longévité comprise environ entre 10 et 50 ans dans l’utilisation initialement prévue ; N : Longévité incertaine et dans tous les cas inférieure à 10 ans (solutions à ne pas prescrire dans le bâtiment).
Quoiqu’il en soit, un bois très durable, en classe de durabilité 1, peut être utilisé avec une durée de vie acceptable en milieu favorable aux agents biologiques de dégradation, c’est-à-dire en classe d’emploi 4. Inversement en classe d’emploi 1, il est possible d’utiliser des bois peu durables, c’est-à-dire de classe de durabilité 5 (sans oublier le risque de dégradation par les insectes à larves xylophages et par les termites).
Angélique, bois de Guyane. Voir la carte de France en page 10.
5
Les connaissances clés sur le bois tropical à portée de main !
Annexe 1
LA Durabilité du bois
fiches techniques ATIBT
Annexe 2 Résineux Nom français
6
MV min kg/m3
MV kg/ m3
MV max kg/m3
Champignon
Hylotrupes
Anobium
Termites
Imprégnabilité
Aubier
Largeur aubier x
Agathis
430
490
530
3_4
S
S
S
3
nd
Douglas
510
530
550
3
S
S
S
4
3
f
Douglas
470
510
520
3_4
S
S
S
4
2_3
f
Epicéa
440
460
470
4
SH
SH
S
3_4
3v
x
If
650
690
800
2
S
S
nd
3
2
tf
Mélèze
470
600
650
3_4
S
S
S
4
2v
f
Pin des Caraïbes
710
750
770
3
S
S
M_S
4
1
m
Pin Laricio
510
580
650
4v
S
S
S
4v
1
m_l
Pin maritime
530
540
550
3_4
S
S
S
4
1
l
Pin de Parana
500
540
600
4_5
D
S
S
2
1
l
Pin radiata
420
470
500
4_5
S
SH
S
2_3
1
l
Pin sylvestre
500
520
540
3_4
S
S
S
3_4
1
f_m
Pin weymouth
400
410
420
4
S
SH
S
2
1
l
Pitchpin
650
660
670
3
S
S
M_S
3_4
1
m
Pitchpin cultivé
400
450
500
4
S
S
S
3
1
m
Pin de Murray
430
460
470
3_4
S
S
S
3_4
1
m
Sapin
440
460
480
4
SH
SH
S
2_3
2v
x
Sitka
400
440
450
4_5
S
SH
S
3
2_3
(x)
Sugi (Cryptomeria)
280
340
400
5
D
nd
S
3
1
f
Western red cedar
330
370
390
2
S
S
S
3_4
3
f
Western red cedar
330
370
390
3
S
S
S
3_4
3
f
Western hemlock
470
490
510
4
S
SH
S
3
2
x
Western hemlock
470
490
510
4
S
SH
S
2
1
x
Yellow Cedar
430
480
530
2_3
S
S
S
3
1
f
Térébrants marins
7
Les connaissances clés sur le bois tropical à portée de main !
LA Durabilité du bois
fiches techniques ATIBT
Feuillus Nom pilote ATIBT
MV min kg/m3
MV kg/ m3
MV max kg/m3
Champignon
Hylotrupes
Anobium
Termites
Imprégnabilité
Aubier
Largeur aubier
Abura
550
560
600
5
nd
S
2
1
m
Acajou d'Afrique
490
520
530
3
nd
S
4
2
f
Afrormosia
680
690
710
1_2
nd
D
4
1
tf
Aiélé
490
500
530
5
nd
S
4
1
m
Ako
430
450
460
5
nd
S
1
1
x
Amarante
830
860
880
2_3
nd
D
4
1
f
Andiroba
610
620
640
3_4
nd
M
3
nd
f
Aniégré
540
580
630
4_5
nd
S
1
1
x
Aulne
500
530
550
5
S
S
1
1
Térébrants marins
M
x
Avodiré
540
550
560
4
nd
S
4
1
x
Ayous
370
390
400
5
nd
S
3
1
x
Azobé
950
1060
1100
2v
nd
D
4
2
f
Bangkirai
700
930
1150
2
nd
D
4
1_2
f
M
Basralocus
720
750
790
2v
nd
M
4
2
f
D
Bilinga
740
750
780
1
nd
D
2
1
f
M
Bintangor
630
660
690
3
nd
M
4
2
f
Blue Gum
700
750
800
5
nd
S
3
1
f
Bouleau
640
660
670
5
S
S
1_2
1_2
x
Nom pilote ATIBT
MV min kg/m3
MV kg/ m3
MV max kg/m3
Champignon
Chêne rouge d'Amérique
650
700
790
4
Hylotrupes
Anobium
Termites
Imprégnabilité
Aubier
Largeur aubier
nd
S
2_3
1
f
Dibétou
520
550
590
3_4
nd
S
3_4
2
f
Doussié
730
800
830
1
nd
D
4
2
f
Erable sycomore
610
640
680
5
S
S
1
1
x
Eyong
700
730
800
4
nd
S
3_4
1
x
Faro
480
490
510
4_5
nd
S
2_3
1
l (x)
Framiré
520
550
560
2_3
nd
S
4
2
Freijo
520
540
550
2
nd
M
3
1
f
Frêne
680
700
750
5
S
S
2
2
(x)
Fromager
290
320
350
5
nd
S
1
1
x
Greenheart
980
1030
1150
1
nd
D
4
2
f
Hêtre
690
710
750
5
S
S
1_(4)
1
x
Hickory
790
800
830
4
nd
S
2
1
x
Ilomba
440
480
510
5
nd
S
1
1
x
Iroko
630
650
670
1_2j
nd
D
4
1
m
Jarrah
790
830
900
1
nd
M
4
1
f m
Kapur
630
700
790
1_2
nd
M
4
1
Karri
800
880
900
2
nd
nd
4
1
f
650
710
750
3
nd
M
3_4
2
m
Bouleau jaune d'Amérique
550
670
710
5
S
S
1_2
1_2
x
Kasai Kempas
850
860
880
2
nd
S
3
1_2
f
Bouleau à papier
580
620
740
5
S
S
1_2
1_2
x
Keruing
740
750
780
3v
nd
S
3v
2
f
Bossé clair
570
580
630
2v
nd
S
4
1
m
Kondroti
470
480
490
5
nd
S
1
1
l
640
670
720
2_3
nd
M
3
1
f
710
730
760
3v
nd
M
3_4
1_2
f
Bossé foncé
600
690
850
2
nd
S
4
1
m
Kosipo
Bubinga
700
830
910
2
nd
D
4
1
f
Kotibé
Cedro
450
490
600
2
nd
M
3_4
1_2
f
Koto
510
560
630
5
nd
S
1
1
x
730
750
770
3
nd
M
4
2
m
530
540
550
5
nd
S
4
nd
f
Cerejeira
550
600
650
3
nd
M
2
2
m
Lati
Charme
750
800
850
5
nd
S
1
1
x
Lenga
Chataignier
540
590
650
2
S
M
4
2
f
Chêne chevelu
710
770
860
3
nd
M
4
1
l
Chêne rouvre
670
710
760
2
S
M
4
1
f
Chêne blanc d'Amérique
670
730
770
2_3
S
M
4
2
f
8
Limba
550
560
600
4
nd
S
2
1
(x)
Longhi
700
730
800
4
nd
M
2
1
x
Louro vermelho
600
620
650
2
nd
D
4
2
m
Mahogany
510
550
580
2
nd
S
4
2_3
m
Makoré
620
660
720
1
nd
D
4
2
m
Térébrants marins
D
9
Les connaissances clés sur le bois tropical à portée de main !
Nom pilote ATIBT Mansonia
MV min kg/m3
MV kg/ m3
MV max kg/m3
Champignon
610
620
630
1
Hylotrupes
LA Durabilité du bois
Anobium
Termites
Imprégnabilité
Aubier
Largeur aubier
nd
D
4
1
f
Maronier d'Inde
500
540
590
5
SH
S
1
1
x
Mengkulang
680
710
720
4
nd
S
3
2
f
Meranti Dark red
600
680
730
2_4
nd
M
4v
2
f
Meranti Light red
490
520
550
3_4
nd
S
4v
2
m
Meranti Yellow
560
630
660
4
nd
S
3_4
2
m
Meranti White
600
630
670
5
nd
S
3v
2
f
Térébrants marins
fiches techniques ATIBT
Nom pilote ATIBT
MV min kg/m3
MV kg/ m3
MV max kg/m3
Champignon
Hylotrupes
Anobium
Termites
Imprégnabilité
Aubier
Largeur aubier
Térébrants marins M
Sapelli
640
650
700
3
nd
M
3
2
m
Sepetir
650
660
670
2
nd
S
4
2
l
Sesendok
420
480
530
5
nd
S
1
1
nd
Silver Beach
540
550
5
nd
nd
4
1
m
Sipo
590
660
2_3
nd
M
4
2
m
640
Tchitola
590
610
640
3
nd
M
3_4
1
l
Teck
650
680
750
1
nd
M
4
3
f
1_3
nd
M_S
nd
nd
nd
Teck de plantation Tiama
550
560
570
3
nd
S
4
3
l
Tilleul
520
540
560
5
nd
S
1
1
x m
Merbau
730
800
830
1_2
nd
M
4
nd
m
Mersawa
520
650
740
4
nd
M
3_4
nd
x
Tola
480
500
510
2_3
nd
S
3
1
m
Tornillo
370
520
660
3
nd
S
2_3
nd
f
Virola
400
440
480
5
nd
S
1_2
1
x
Moabi
770
800
830
1
nd
D
3_4
nd
Moral
750
890
960
1
nd
D
3_4
nd
f
Movingui
690
710
740
3
nd
M
4
nd
f
Walaba
890
900
910
1
nd
D
4
3
f
Wengé
780
830
900
2
nd
D
4
nd
f
Muhuhu
830
910
960
1
nd
S
4
nd
f
Mutenyé
760
820
880
3
nd
M
3_4
2
f
Niangon
670
680
710
3
nd
M
4
3
m
Noyer
630
670
680
3
S
S
3
1
f
Noyer d'Amérique
550
620
660
3
nd
nd
3_4
1
f
Okan
850
920
960
1
nd
D
4
3
f
Okoumé
430
440
450
4
nd
S
3
nd
f
M
Légende relative aux tableaux précédents : La durabilité vis-à-vis des champignons : 1 = très durable ; 2 = durable ; 3 = moyennement durable ; 4 = faiblement durable ; 5 = non durable
Olon
500
550
640
3
nd
M
2_3
2_3
x
La durabilité vis-à-vis des insectes à larves xylophages, Hylotrupes (capricorne des maisons) ou Anobium (petite vrillette) : S = sensible ou D = durable
Orme
630
650
680
4
S
S
2_3
1
f
La durabilité vis-à-vis des termites : S = sensible, M = moyennement durable ou D = durable
Ovengkol
720
780
820
2
nd
D
3
1
m
Padouk
720
740
820
1
nd
D
2
nd
m
Pau Amarello
730
770
810
1
nd
D
3_4
nd
x
La durabilité vis-à-vis des térébrants marins : S = sensible, M = moyennement durable ou D = durable
Peroba rosa
650
750
800
3v
nd
S
3
1
f
Peuplier
420
440
480
5
S
S
3v
1v
x
Quaruba
450
490
510
4
nd
S
3
2
m
Ramin
560
630
670
5
nd
S
1
1
x
Rauli
530
580
610
4
nd
S
2
2
f
Red Balau
750
800
900
3_4
nd
M
4v
2
f
Robinier
720
740
800
1_2
S
D
4
1
tf
10
L’imprégnabilité : 1 = imprégnable ; 2 = moyennement imprégnable ; 3 = peu imprégnable ; 4 = non-imprégnable La largeur de l’aubier : tf < 2 cm ; f < 5 cm ; m < 10 cm ; l > 10 cm ; x sans distinction La durabilité vis-à-vis des térébrants marins : D = durable ; M = moyennement durable ; S = sensible. « nd » = performance non déterminée 11