NOTRE PARCOURS
En 1993, Florence Augustine obtient un baccalauréat Lettres et Langues. Après une 1 re année de DEUG Italien, elle poursuit avec l’obtention en 1996 d’un BTS Tourisme-Loisirs avec une spécialité conceptioncommercialisation. Elle met à profit sa formation en débutant dans une compagnie aérienne dans le service du traitement de la billetterie aérienne en vue de la facturation de cette dernière. En 1998, elle monte sur Paris pour développer son expérience dans le tourisme au sein d’une agence de voyages spécialisée dans la location de vacances en France et à l’étranger. En 2001, elle revient dans sa région natale pour mettre à profit son sens du contact et du service en tant que chargée de clientèle pour un opérateur de téléphonie mobile. Durant ses dernières expériences, elle commence à concrétiser son goût pour le mot juste en procédant à la relecture-correction des descriptifs de locations de vacances en français et en italien et respectivement des courriers du back-office. Continuant ses recherches sur le télétravail et son environnement, elle suit en 2003 la toute nouvelle formation au télétravail dispensée en téléformation qui la conduira à l’obtention, suite à la rédaction d’un mémoire, d’une certification avec une mention Très Bien. Afin de déjouer au mieux les pièges qui parsèment notre bonne langue française et offrir un service de qualité, elle décide en parallèle de compléter ses connaissances en suivant une formation au métier de correcteur dispensée par Jean-Pierre Colignon, ex-correcteur du journal Le Monde et Jacques Décourt de l’ESJ de Lille. Forte de ses diverses expériences professionnelles et du renouvellement constant de ses connaissances, elle travaille depuis en qualité de relectrice-correctrice, assistance bureautique et transcriptrice audio. Son goût pour l’exercice littéraire et les rencontres de la vie la guident vers le métier de biographe. Confrontée, au quotidien, à la non-maîtrise des difficultés de la langue française, du moins aux bases du français, elle propose désormais des formations collectives en entreprise, ou individualisées, de remise à niveau en français pour tous ceux qui souhaitent approfondir ou renforcer leurs connaissances, pour acquérir une plus grande autonomie au niveau de l’expression écrite.
NOS PRESTATIONS
Relecture et correction orthographique, grammaticale, syntaxique, typographique de vos écrits destinés à être lus, à la publication classique ainsi qu’à l’édition électronique – d’après les codes de correction en vigueur dans les ouvrages de référence ou selon une marche orthotypographique (les capitales, l'italique, les coupures de mots, les nombres, les mots étrangers, les abréviations, les espaces) et votre charte graphique.
Réécriture suggérée, vérification de l’information. Préparation de copies, application des styles et niveaux de titres. Saisie, mise en forme, mise en pages de vos écrits d’après les normes de présentation usuelles ou selon vos instructions.
Transcription textuelle ou améliorée de vos manifestations oratoires Reproduction intégrale du discours initial à partir de fichiers son audio dont toutes erreurs de syntaxe, répétitions de phrases, formes d’hésitations et onomatopées sont exclues.
Mise en forme stylistique afin d’optimiser le confort de lecture. Réalisation de toute ou partie de biographies à partir de l’enregistrement de votre témoignage oral ou de votre manuscrit.
Remise à niveau en français
Formations de français en et hors entreprise, individuelles ou en groupe, destinées à toute personne souhaitant procéder à une remise à niveau de ses connaissances de base. Liste non exhaustive.
Correctrice, une professionnelle au service de la qualité de l’écrit
Corriger un texte, c’est le lire en cherchant et en indiquant toutes les erreurs et les fautes qu’il contient, tant grammaticales, orthographiques que typographiques… C’est aussi, dans le même temps, vérifier le sens et la cohérence, qui peuvent être trahis par un mot manquant, une date erronée, une photographie inversée, voire une simple virgule. Depuis l’avènement de l’imprimerie, et même bien avant celle-ci, jusqu’à celui de la PAO et d’Internet, deux époques se sont succédé, qui déterminent la façon de corriger et l’étendue de l’action du correcteur. À l’époque du plomb comme lors de l’arrivée de la photocomposition, la « saisie » était donc confiée à des professionnels (typographes, linotypistes, clavistes) qui recomposaient les textes manuscrits confiés par l’auteur… La tâche du correcteur consistait à comparer scrupuleusement la copie originale et l’épreuve pour éviter les bourdons et les doublons, à corriger les fautes d’inattention (coquilles) et à contrôler l’observation des règles typographiques (espacements, lézardes…) et la qualité du matériel de composition (lettres abîmées, mélangées, mastics…). Les corrections étaient notées dans les marges de l’épreuve, puis exécutées par le même personnel qui avait composé le texte (corrigeage). L’arrivée de la micro-informatique a permis, à partir de 1980, de confier directement aux auteurs, aux écrivains, aux journalistes ou à des dactylographes un matériel de saisie léger, économique, d’utilisation extrêmement simplifiée (comparable à une machine à écrire) et qui produit un fichier informatique directement utilisable pour la mise en page et l’impression. Le correcteur est souvent lui-même équipé d’un micro-ordinateur. Sa tâche de comparaison avec un texte original est supprimée (la copie et l’épreuve ne font qu’un). C’est le correcteur, premier professionnel de la chaîne de fabrication à intervenir après l’auteur, qui est chargé du « nettoyage » du texte, directement lors de la lecture sur l’écran, et simultanément de son corrigeage. Une tâche supplémentaire, dont se serait volontiers passé « le bon correcteur, attentif et omniscient ». La mise en page elle-même est aujourd’hui du ressort de logiciels de PAO, voire de traitement de texte. Les coupures en fin de ligne (incorrectement appelées aussi césures), les coupures en fin de colonne (veuves et orphelins), les espacements (entre les lignes, entre les mots, entre les lettres), le tableautage et les tabulations, les faux blancs, l’application de feuilles de style, tout doit être vérifié et très souvent modifié.
Enfin, la fonction la plus noble de la correction, toutes époques confondues, demeure : vérifier que le texte a du sens ! Une légende placée sous la mauvaise photo, une note absente à l’appel, un nombre erroné, un pavé de texte masqué par un dessin, un texte ajouté en dernière minute sur la page montée et non relu préalablement… et c’est l’article entier qui perd son sens, quelquefois l’ouvrage entier qui perd tout crédit ! Fautes humaines, informatiques, mécaniques, le dernier maillon de la chaîne de la « prépresse » lors de cet ultime contrôle avant bon à tirer, c’est encore le correcteur (qui prend alors le nom de réviseur). L’histoire des correcteurs inhérente à celle de l’écriture Les premières « fautes » furent commises dès que l’écriture commença à respecter des conventions, à avoir des « règles », liées à la langue qu’elle transcrivait et aux graphies. Pour remédier à ces imperfections, pouvant être la cause de malentendus, la correction est naturellement alors devenue une activité indissociable de toute forme d’écriture. La fonction particulière de relecteur-correcteur, quant à elle, est concomitante à l’apparition d’ateliers de production (ou de reproduction) de textes. Il y a 3 000 ans, en effet, dans les premières boutiques d’écrivains publics inscrivant sur des tablettes d’argile, sous la dictée, les contrats et inventaires de riches caravaniers, sur les marches du temple ou dans les officines lucratives de prêtres rédigeant sur papyrus, à la demande, les horoscopes personnels des fidèles, déjà se tient le réviseur. Par la suite, on commença à produire à la chaîne des copies de « textes sacrés » ou de grands auteurs, comme Homère, pour les bibliothèques des érudits. La fonction de correcteur était devenue primordiale pour garantir au client, lettré exigeant, la rectitude du texte, une production de qualité. Bien avant l’apparition de l’imprimerie, des armées de correcteurs avaient donc déjà couvert la copie de signes discrets qui ne sont pas typographiques, mais indiquent, en la corrigeant, l’erreur du copiste. Ces signes de correction étaient destinés aux lecteurs eux-mêmes, d’où la nécessité d’en fixer les normes, d’user de signes conventionnels précis, et de transmettre le métier. Les anciens typographes qui devaient recomposer à la casse sur leur composteur parfois plusieurs lignes pour une faute ou un mot oublié, et refaire leur page, ont également maugréé après bien des correcteurs… Mais la qualité de l’édition passait et passe encore et toujours par cette phase de correction. Au-delà du gouffre des siècles et des techniques, certains traits du métier de correcteurs ont été préservés. Les langues changent, des supports et des médias nouveaux apparaissent, mais l’œil et la main du correcteur, organes vivants, pensants, sont toujours nécessaires. (Source : www.correcteurs.org - www.correcteurs.com)
Transcriptrice-rédactrice, une professionnelle au service de vos manifestations…
Le métier de transcriptrice-rédactrice consiste à retranscrire par écrit l'enregistrement numérique mais aussi de produire un texte original à partir de cette transcription intégrale ou de notes prises durant la réunion. Partant de cet enregistrement original, la transcriptrice identifie les intervenants, restitue l'intégralité de leurs interventions, ajoute des indications sur le déroulement de la réunion (rires, protestations, votes, projections de transparents ou de vidéos, etc.), fait ressortir la chronologie de la réunion (heures de début de séance, de suspension de fin...). Ce texte original peut être un compte rendu totalement réécrit, ou encore une synthèse. Le compte rendu ainsi produit constitue donc une image parfaitement fidèle et précise de la réunion, et peut par conséquent servir de document de travail pour les participants. Mais il ne peut faire référence en cas de contestation (devant les tribunaux, l'inspection du travail...) ; dans ce cas, c'est la transcription intégrale qui fait foi. Quel que soit son statut, la transcriptrice pratique très souvent le télétravail car sa présence physique n'est pas forcément nécessaire, puisque les éléments de la réunion (enregistrement, documents...) lui permettent d'être totalement autonome dans son travail. La transcriptrice-rédactrice intervient pour traiter les réunions organisées par : - les entreprises et leurs instances représentatives du personnel (comités centraux d'entreprise, comités d'établissement, conseils d'administration, assemblées générales d'actionnaires, CHSCT...) - les collectivités territoriales (conseils municipaux, communautés urbaines, conseils généraux, régionaux...) - les grandes institutions (Assemblée nationale, Conseil économique et social, ministères et organismes relevant de l'Etat...) - les organismes de l'économie sociale - les sociétés de communication et de marketing (colloques, séminaires, symposiums, réunions de consommateurs...) - les organisations diverses (partis politiques, syndicats, fédérations...).
Plusieurs types de comptes rendus peuvent être proposés : - le compte rendu intégral "in extenso" pour une reproduction fidèle. Il s'agit d'une reproduction intégrale des propos dans leur plus stricte réalité, y compris les hésitations, les redites, les onomatopées... - le compte rendu intégral retravaillé (révisé) pour un texte directement exploitable. Le texte est retravaillé dont toutes erreurs de syntaxe, répétitions de phrases, formes d'hésitations et onomatopées sont exclues pour une meilleure compréhension. Il est rédigé à la 1re ou 3e personne du singulier. En plus de la transcription intégrale des réunions, il est de plus en plus souvent demandé aux professionnels du traitement des réunions, un document plus synthétique, plus facile à diffuser et à utiliser, bien que n'ayant pas la valeur probante du compte rendu intégral.
Biographe, une professionnelle au service de la mémoire d’une vie Notre attrait pour les détours, les contretemps que prend la vie, ses cheminements, les horizons que nous ouvrent ses rencontres, mais aussi par un goût prononcé pour l’exercice littéraire, le relationnel nous ont guidés vers le métier de biographe. Le projet d’Au bonheur des Mots propose à un public de personnes âgées mais pas seulement la rédaction de l’histoire de leur vie, issue de leur témoignage oral. L’offre phare se présente sous la forme d’un livre contenant le récit de la personne – histoires d’enfance de guerre, d’amours, de combats, de voyages, de métiers – et s’enrichit de photos, documents d’archives et de l’arbre généalogique familial. L’homme a toujours cherché un moyen de conserver et de transmettre ses pensées. Grâce à l’apparition des premières écritures en 3 300 avant J.-C. puis avec le développement de moyens de communication, ils consignent par écrit leurs mémoires, leurs coutumes. L’appropriation de l’écriture au fil des siècles permet à l’homme de transcrire son expérience et de transmettre son savoir. Écrire sa vie n’est pas réservé qu’aux écrivains ou aux célébrités. Tous, autant que nous sommes, nous, les anonymes, nous avons aussi une histoire à raconter, la nôtre. L’aventure d’une vie est faite de passions, de bonheurs inoubliables, de hasards, d’anecdotes, de drames parfois. Ces événements méritent d’être inscrits dans un patrimoine familial, collectif, pour expliquer, transmettre son expérience ou tout simplement laisser une trace à ses proches. Tous les témoignages sur les époques passées sont inestimables et précieux. Le livre d’une vie est un produit affectif. Il raconte, il témoigne, il est un reflet de la personne, de son regard sur le monde. Notre philosophie repose sur le respect du témoignage oral. D’où la nécessité de rester le plus proche possible de la façon de s’exprimer de la personne, son vocabulaire, ses expressions en définitive sa couleur de langue. Chaque histoire de vie a le style de son auteur. Un récit oral retranscrit possède une texture très personnelle qui reflète une manière bien à soi de s’exprimer. Notre travail consiste à s’approprier l’univers linguistique de la personne. L’oralité est une matière malléable. Un travail d’écriture, de réécriture, d’adaptation est à réaliser. Ce travail structurel a beaucoup d’impact sur le résultat final et permet de recréer une émotion, de mettre en exergue cet univers de mots personnel. La mise en valeur d’un témoignage oral nécessite un travail de respiration du texte pour dégager du discours une structure avec ses suspensions, ses accélérations afin de rester fidèle à l’oralité.
Nos services s’étendent du service ponctuel à la prise en charge complète du travail rédactionnel. Différentes possibilités sont offertes : En racontant oralement vos souvenirs, nous recueillons vos propos grâce à un enregistrement audio. Nous vous soumettons le texte rédigé pour approbation. Une fois la version finalisée agrémentée ou non de documents d’archives et photos, nous vous remettons les livres imprimés et reliés selon le nombre d’exemplaires souhaités. Si un projet d’écriture est déjà initié, il peut être complété par le biais d’entretiens. Si un manuscrit est achevé, nous proposons de le dactylographier, le corriger, nous procédons à sa mise en pages et sa mise en forme si le manuscrit est destiné à l’impression ou à l’édition. Ce service concerne également les communautés, les entreprises, les associations, les collectivités locales, etc. pour relater l’histoire d’un quartier, d’une commune, d’une ville, d’un combat social, juridique, etc. Parce que nos aînés sont la mémoire vivante du passé, la vocation d’Au bonheur des Mots est de tisser une vie dans l’enchevêtrement des mots, de conserver sa trame entre les pages d’un livre, gardien de la mémoire d’une vie.
La formation, proposée par Étoffe de vies, a été conçue pour former au métier de biographe. Elle nous assure les moyens d’une autonomie dans l’exercice de ce métier et vise à nous permettre de développer notre pratique d’écriture de récits de vies, en nous dispensant les connaissances littéraires, relationnelles, juridiques et commerciales, le savoir-faire et la méthodologie nécessaires à l’exécution du métier de biographe.
Formatrice en français, une professionnelle au service de la langue française
Moult métiers requièrent une bonne possession de la langue écrite. En sus des compétences propres à la fonction pour laquelle vous postulez, de plus en plus d’entreprises réclament des compétences transversales, dont de posséder des compétences langagières. La manière dont nous appréhendons l’écrit a bien changé. Sans doute est-ce dû à l’usage que nous en faisons avec les SMS, les tweets limités à 140 caractères, ces contacts épistolaires ou qui nécessitent une orthographe simplifiée. Toutefois, la langue française dans sa non-maîtrise peut être un obstacle pour chacun de nous dans la pratique quotidienne de son métier, dans l’évolution d’une carrière, la recherche d’un emploi, ou encore le développement de son réseau professionnel ou privé. Des formations col lectives ou personnalisées Les formations que propose l’agence Au bonheur des Mots sont adaptées pour tous ceux qui souhaitent, dans une démarche professionnelle, se remettre à niveau en orthographe, grammaire, et faire valoir cette compétence. Les cédilles, les trémas les circonflexes, les traits d’union, le genre, le pluriel, l’accord du participe passé, du verbe avec son sujet, les adjectifs de couleur, les homophonies les plus courantes (mots de même prononciation mais d’orthographe et de signification différentes) n’auront plus de secrets. Constituées de règles orthographiques, grammaticales, typographiques, lexicales, syntaxiques, ces formations vont s’attacher aux difficultés, mal ou pas du tout gérées par les correcteurs orthographiques.
NOS SECTEURS D’INTERVENTION
Depuis, de nombreuses collaborations clients se sont mises en place dans la correction de rapports, comptes rendus parlementaires, magazines, lettres d’information, nouvelles, mémoires d’histoire locale, la transcription audio de dîners-débats, colloques pour des clients, tels des agences corporate, en communication éditoriale, en communication événementielle, conseils en relations presse, relations publiques et en communication pour l’emploi, des cabinets de conseil en lobbying, des éditeurs, des institutions publiques, des CE et CHSCT. L’agence est affiliée à la société Missions Cadres pour sa gestion comptable et juridique.
Missions Cadres Réseau d’indépendants salariés www.missions-cadres.com
L’externalisation, une dynamisation des services aux entreprises
Avoir recours à un prestataire externe, c’est utiliser les prestations d’un professionnel, ponctuellement ou régulièrement, seules ou en complément d’un fonctionnement interne déjà existant. Notre objectif est de mettre en place une collaboration efficace et de qualité avec nos clients qui leur permette de se recentrer sur leur cœur de métier. Vous recherchez : • la maîtrise de vos coûts de gestion • à faire face à une surcharge de travail • la confidentialité dans l’exécution de vos travaux
Formation/certification au télétravail
Formation validée par l'ANDT (Association nationale pour le développement du télétravail et de la téléformation), visant à préparer complètement au télétravail et au statut d'indépendant (cf. www.andt.org)
Nous offrons : • un service sur mesure, souplesse et flexibilité d’organisation • l’optimisation dans la gestion de la qualité de vos écrits
Formation au métier de correcteur
Une formation au métier de correcteur soutenue par des corrections et préparations de copie de textes de presse et d’édition assure de notre maîtrise des difficultés de notre langue afin d’en déjouer toutes les difficultés en conformité aux règles en vigueur (cf. www.centreec.com).
PRESSE Ils nous ont consacré leur plume
La Revue du télétravail et de la téléformation – N° 93
Rebondir – N° 121
La Nouvelle République du 24 janvier 2005
La Nouvelle République du 23 février 2005
La Nouvelle République du 26 janvier 2007
Touraine Économique, le magazine de la CCI de Touraine – oct./nov. 2005
Ils nous ont prêté leurs oreilles
• RCF Saint-Martin Des chiffres et des hommes ! Magazine économique sur les entreprises en Touraine Diffusion le jeudi 9 juin 2005 à 18 h 16 Rediffusion le samedi 11 juin 2005 à 11 h 45 www.radiorcf.com • France Bleu Touraine Métier passion Diffusion le vendredi 9 septembre 2005 à 10 h http://www.radiofrance.fr/chaines/france-bleu/ • France Bleu Touraine Chronique Bleu pratique Diffusion en février 2007 du lundi au vendredi • RCF Saint-Martin Soyons curieux Diffusion le mercredi 7 mars 2007 à 18 h 45 Rediffusion le jeudi 8 mars 2007 à 12 h15 Mag’ économique Diffusion le lundi 30 avril 2007 à 18 h 15 Rediffusion le jeudi 3 mai 2007 à 19 h15
•
France Bleu Tourai ne
Inv ité de la rédaction en Touraine : « Pourquoi le niveau d’o rthographe baisse-t-il en France ? » Diffusion le mardi 2 septembre 2014 http://www.radiofrance.fr/chaines/france-bleu/ •
RCF Saint-Marti n
L’invi té de la rédaction : « Le bon usage de l’orthographe est-il fondamental ? » Diffusion le 23 juin 2014 Journal local : « L’orthographe est malmenée » Diffusion le 17 juin 2014 à 8 h 02 et 12 h 13.
Ils nous ont prêté leurs yeux
•
Twideco TV
« Entreprendre sans un rond, c’est possible ? » Diffusion le 10 juin 2009 en direct de la CCI du Loiret Émission visible à ce lien : http://www.dailymotion.com/video/x9k3qr_ccientreprendre-quand-on-na-pas-un_news
Relations presse Au bonheur des Mots TĂŠl. : 02 47 96 03 74 Florence Augustine florence.augustine@aubonheurdesmots.com www.aubonheurdesmots.com