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ATELIER ZÜNDEL CRISTEA AZC a été fondé en 2001 avec l’idée d’explorer l’architecture et ses techniques pour améliorer nos environnements bâtis. Plus que des concepts, nous avons toujours cherché à créer des édifices qui prennent vie. Grâce à des concours et des commandes directes, notre agence a abordé plus d’une centaine de projets, d’échelles et de programmes divers. La liste de nos réalisations commence avec les premiers bâtiments publics dédiés à l’accueil des enfants, en passant par des logements sociaux ou médicalisés, des équipements sportifs, des amphithéâtres, des immeubles de bureaux, des maisons privées, jusqu’aux huit nouvelles stations de métro à Rennes et à Paris. En collaborant avec des équipes d’ingénieurs et des spécialistes, AZC participe au suivi de toutes les phases de projet de la conception à la construction, avec l’envie de repousser les limites de l’inventivité et de l’innovation. La plupart de nos projets ont été publiés, exposés ou primés dans de nombreux pays et nous ont souvent donné l’occasion de nous exprimer sur des sujets de développement durable, de mixité ou des sujets techniques innovants, illustrant nos engagements. Les prix obtenus lors des concours internationaux, aux Etats-Unis, au Royaume Uni et un « Best Residential Award» au Mipim en France, ont donné à notre agence une reconnaissance internationale. La finalité de notre métier est concrète et matérielle. L’architecture est le fruit d’un effort collectif et il faut rappeler à quel point ce que nous faisons résulte de l’organisation d’un travail d’équipe. AZC est aujourd’hui une agence de 15 personnes, des architectes qualifiés venant du monde entier. Nous parlons francais, anglais, allemand, italien, roumain. Le mélange culturel qui définit notre agence, nous donne aujourd’hui l’envie de transgresser les frontières…

www.zundelcristea.com

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équipe actuelle

Grégoire ZÜNDEL Irina Cristea Juliette REY Roland OBERHOFER Jeremias LORCH Alberto GATTI Gwenaël LOUBES Stefano LUNARDI Sophie PAOLOZZI Adrien FOURNIER Laurie TIRADAS Arthur COUDEVYLLE Alba BUI Nathalie RAYNAL Gregorio PETTONI POSSENTI Pawel FRATCZAK Sergiu LEUCA Sigifredo Gomez LEMOS Radu UNGUREANU Ana Rita GOMES


Présentation de l’agence

AZC est une agence fondée en 2001, avec l’idée de mettre l’architecture et ses domaines techniques, artistiques ou socioculturels, au service de tous ceux qui désirent réaliser des projets. Nous aspirons à une production architecturale qualitative, qui se détache de la routine des bâtiments qui sont fabriqués et utilisés partout dans le monde. Apres plus d’une centaine de projets abordés, d’échelles et de programmes divers, nous espérons aujourd’hui contribuer pleinement à la l’évolution de la culture architecturale de notre époque. La plupart de nos projets sont destinés à un large public; des logements, des équipements sportifs, des amphithéâtres, des immeubles de bureaux, des maisons privées et certains très spécifiques qui permettent l’accueil des populations fragilisées. Nous avons également en chantier, huit stations de métro, dont quatre à Paris et quatre à Rennes et une nouvelle station en étude au Grand Lyon.

A travers quelques nouvelles réalisations, qui présentent des contextes et usages divers, nous souhaitons partager nos préoccupations actuelles qui visent la cohérence globale, la compréhension des enjeux et la justesse des projets d’architecture. Nous ne sommes pas seuls dans les projets, des partenaires nous accompagnent dans cette expérience commune, engageante et signifiante ; ils nous permettent de réfléchir à nos propres actions qui ont rapport aux projets. La qualité de la coopération est un élément essentiel de la démarche architecturale, à travers elle il est possible de finalement atteindre la cohérence des projets.

Grégoire Zündel et Irina Cristea


Suresnes, France

Siège social de SAS Pacemar Réhabilitation d’un immeuble de bureaux réalisation 2012 - 2015 Maîtrise d'ouvrage SAS Pacemar / LDA Maîtrise d’œuvre AZC Fluides - Choulet / Structure - Batiserf / économiste - Forgue Façades - Van Santen / PCA Mission Conception et construction Surface 4.933 m²shon Coût 12 M € ht Démarche HQE / BBC

glais

Village An

quai Gallieni

La Seine

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Le contexte naturel de la ville de Suresnes, présente une valeur paysagère d'exception, qui accumule les avantages d’un relief animé, orienté en amphithéâtre vers la Seine et le bois de Boulogne. Ce site, porteur de situations motivantes, donne à voir un secteur urbain vibrant d'intensité, retentissant sur toute la métropole, jusqu'au quartier de la Défense et au-delà. L'urbanisation assez récente des rives de la

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Seine, associe diverses typologies, dont des zones pavillonnaires comme le quartier anglais, ou des typologies plus hautes de bâtiments modernes. Pacemar SAS, holding de Louis Dreyfus Armateurs, a fait l’acquisition d’un de ces immeubles modernes, datant de 1989. L'immeuble fait partie d'un ensemble homogène, ouvert sur le quai Gallieni et implanté entre les rues du Bac et du Port-aux-Vins.


RĂŠalisation - Bureaux - Suresnes (92)


Le bâtiment initial d'environ 4.300 m², réalisé en béton armé avec une structure de type poteaux-poutres, a été conçu sur cinq niveaux, un sous-sol de parking contenant 88 places, un rez-de-chaussée et quatre niveaux en superstructure. Le rez-de-chaussée était à l'origine de forme triangulaire, les trois niveaux intermédiaires en forme de T étaient composés de deux barres approximativement perpendiculaires. Le quatrième niveau du bâtiment se rétractait dans une barre unique, orientée nord-sud et s'ouvrant sur une large terrasse accessible. Le toit terrasse était occupé par des édicules techniques. L'objectif de l'opération était de réaliser un projet de réhabilitation et d'aménagement en plateaux de

bureaux, pouvant répondre au développement des services et des effectifs du groupe LDA. La réhabilitation des espaces de travail est aujourd’hui un sujet transversal fondamental, qui permet de minimiser l’impact écologique des constructions, par une requalification énergétique, technique et architecturale. L’analyse fine et précise des bâtiments existants et éventuellement dégradés, l’étude de leur future affectation et de leur transformation plutôt que leur destruction, sont les prémisses d’un développement durable.

EXISTANT

rez-de-chaussée

1er au 3ème étages

4ème étage

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PROJET

rez-de-chaussée

1er étage

2ème et 3ème étages

4ème étage Réalisation - Bureaux - Suresnes (92)


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Le projet de rénovation a demandé une approche technique globale de réhabilitation et de rénovation qui s’est appuyée sur des outils de simulation fiables , maquette numérique et simulation des performances énergétiques. L'équilibre énergétique est résolu par une approche subtile visant une mise aux normes « sur mesure ». Pour ce bâtiment, il a été important de mettre en évidence, à travers un nouveau départ architectural, les potentiels d’un patrimoine pas trop ancien et de fournir des réponses durables aux questions d’aménagement des espaces de travail, dans un souci de performance technique et de pérennité. Sans exclure ni gommer la structure et la morphologie initiales du bâtiment, notre projet a consisté à lui donner une nouvelle image, porteuse de modernité. L’intervention architecturale s’est appuyée sur trois principes. Premièrement une réorganisation des plateaux en espaces fluides, efficaces et baignés de lumière naturelle, autour d’un atrium monumental et d’un patio, qui se creusent à l’intérieur trop épais généré par la forme initiale du bâtiment. Deuxièmement, une disposition des espaces de circulation généreux, visibles et bien éclairés naturellement, qui encouragent l’accessibilité, les parcours et les échanges à l’intérieur du bâtiment. Troisièmement, la conception d’une nouvelle façade, qui assure une bonne enveloppe thermique et

acoustique, tout en préservant la transparence et les vues imprenables sur un environnement d’exception. La forme initiale du bâtiment, nous a permis de le réinventer architecturalement. Sa nouvelle image s’exprime à la fois dans la retenue et l’économie de moyens, et dans la prise en compte de besoins et souhaits exprimés par les gens qui l’utilisent. Un travail important a été entrepris pour identifier chaque élément intérieur majeur ; principalement le hall d’entrée, prolongé par l’atrium et la rampe, ensuite la salle des maquettes et les plateaux de bureaux avec les circulations, la cafétéria et les espaces de détente, auxquels nous avons attribués des traitements spécifiques, sur mesure. Le principe général est celui de postes de travail en plateaux. Les plateaux sinueux traduisent en surfaces, l'organisation des services de Louis Dreyfus Armateurs, qui vise à regrouper spatialement les services, ou au moins les rapprocher, dans le but de former de véritables pôles fonctionnels et de rationaliser les moyens. La conception des plateaux, prévoit à travers des faux planchers et des cloisons transparentes, une organisation spatiale modulable des postes de travail et leur évolution à moindre frais, sans pour autant porter atteinte au confort de travail.

Réalisation - Bureaux - Suresnes (92)


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On distingue deux types de postes de travail, le poste en open space et le bureau fermé et vitré. Chaque place est constituée d’un plan de travail standard, ou d’un plan de travail élargi pour la lecture de plans de navires ou de cartes marines, d’un poste informatique et d’une capacité de rangement avec placard. La flexibilité des aménagements, implique de nombreuses contraintes techniques au niveau de l’isolation acoustique, du renouvellement de l’air, des équipements électriques, de l’éclairage performant et de la transparence. Sur certaines parties des plateaux, ont été prévus des espaces support, de réunion et d'assemblée mutualisés au niveau de chaque étage, équipés d'appareils audiovisuels et de téléconférence et faisant l'objet d'un traitement acoustique qualitatif. Une salle du comité exécutif et une salle de formation multi-usages, complètent le programme. L’atrium et le patio sont deux respirations nécessaires au cœur des plateaux où la lumière naturelle faisait défaut. L’atrium permet le positionnement d’une rampe monumentale, élément fédérateur au cœur du bâtiment, qui invite à parcourir l’espace en douceur et de prendre contact visuel avec les plateaux. La grande hauteur de l’atrium permet de comprendre l’organisation de l’ensemble et fait entrer le ciel au cœur du bâtiment. Le patio est né de la nécessité d’apporter la lumière du

jour au cœur du hall d’entrée et de faire un mouvement de courtoisie vers le village anglais en se retirant sur les deux derniers niveaux. La nouvelle façade est le reflet de la vocation maritime de la société. L'objectif est de favoriser l'identification de la société et de former un signal architectural. Sa conception, le traitement de l’atrium et du patio, assurent d’excellentes qualités de transparence et d’éclairage naturel des plateaux et des circulations, qui font les caractéristiques essentielles du bâtiment. La double peau vitrée, ventilée naturellement, assure une parfaite isolation thermique et acoustique en raison notamment de la proximité avec le quai Gallieni. Entre les deux vitrages, des stores à lamelles orientables permettent une protection solaire optimale. Les ouvrants permettent un nettoyage depuis l’intérieur. Enfin, la topographie se caractérisant par un fort dénivelé, la toiture du bâtiment a été conçue comme une cinquième façade, sans laisser à vue les équipements techniques qu'elle abrite, dans la mesure où elle est largement visible.

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14ème arrondissement, PARIS, France

NDBS Construction d’un ensemble résidentiel et médical sur le site de L'hôpital Notre-Dame de Bon Secours réalisation 2011 - 2017 Maîtrise d'ouvrage GROUPE 3F Maîtrise d’œuvre AZC Bureau d'études TCE - Igrec Ingénierie Façades - Van Santen Paysagistes - Atelier Villes et Paysages Mission Conception et construction Surface 14.000 m² shon Coût 30 M € ht

rue des Pla

ntes

Démarche HQE / BBC

Phase 2 - 2017

Phase 1 - 2015

rue

AZC

G

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Le travail pour l’ensemble hospitalier de Notre-Dame de Bon Secours traite une double problématique. D’une part, la construction de la ville sur elle-même par le remodelage d’une parcelle occupée et d’autre part, la question de l’intégration dans la ville des populations vulnérables ou vieillissantes. Les deux étant intimement liées, la qualité de notre réponse, sera une condition de la réussite de l’intégration

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des usagers du site dans la ville contemporaine. Le vieillissement, la maladie ou le handicap ne doivent pas être considérés comme des « problèmes» à gérer mais comme des aspects de la vie que l’architecture doit traiter avec dignité. Le projet porte une grande attention à l’inscription dans le site, à la distribution et au dimensionnement intérieurs, aux choix des finitions et aux ambiances.


Réalisation - Résidentiel-médical - Paris (75)


L’ensemble immobilier Notre-Dame de Bon Secours est situé au 68, rue des Plantes, dans le 14e arrondissement à Paris. Limité au sud et à l’est, respectivement par la rue Giordano-Bruno et la rue des Plantes, la parcelle a une surface de près de 3 hectares. L’histoire patrimoniale du site est un long processus d’édification qui commence en 1875. Aux côtés des premiers pavillons et de la chapelle vont être rapidement édifiés de nouveaux bâtiments en continuité architecturale, suivant une implantation orthogonale le long de deux axes, alternant le bâti et les espaces de jardin.

En 1985, des démolitions et de nouvelles constructions viendront rompre la cohérence architecturale et perturber la lecture et l’utilisation de ce site. Le transfert récent de la maternité sur le site de l’hôpital Saint-Joseph est l’occasion de convertir le site de la rue des Plantes en un pôle sanitaire et médico-social de premier plan et de retrouver un ensemble architectural harmonieux et fonctionnel. La transformation du site de Notre-Dame de Bon Secours reflète l’évolution typologique et technique des programmes de soins, du bâtiment linéaire de la fin du XIXe siècle, vers des immeubles médicaux à larges plateaux.

rez-de-chaussée

1er étage

AZC


2ème étage

3ème étage

4ème et 5ème étages Réalisation - Résidentiel-médical - Paris (75)


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A l’issue de la démolition des bâtiments les plus problématiques du site, dont la maternité, une large opération de construction a été prévue en deux phases, pour des raisons de relogement et de site occupé. La première phase, livrée actuellement, comporte la construction d’un nouveau bâtiment, accueillant un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) de 98 places et une crèche de 64 berceaux. Il s’implante sur le site de l’ancienne maternité démolie, à l’angle sud-ouest de la parcelle, côté rue GiordanoBruno. Le projet comprend également la réhabilitation du bâtiment, en front de rue, de l’ancienne école d’infirmières, appelé « le château » dans lequel prend place un nouveau centre médico-psycho-pédagogique (CMPP). Ces programmes occupent une surface totale de 14 000 m² (shon). La seconde phase, qui sera livrée en 2017, verra l’édification d’un foyer d’accueil médicalisé (FAM), à l’angle nord de la parcelle, côté de la rue des Plantes. Notre travail a commencé par la réorganisation de l’ensemble du site. Il s’agissait tout d’abord de repenser l’organisation des accès et les différents flux sur le site. L’entrée principale est maintenue au 68, rue des Plantes, mais une entrée secondaire est ajoutée sur la rue Giordano-Bruno.

Entre ces deux accès, la circulation des différents usagers, véhicules et piétons, a été redéfinie, séparée par catégories et sécurisée. Un travail paysager vient renforcer la présence des grands axes. L’axe principal est-ouest qui relie l’entrée au « grand jardin » a été redéfini par l’insertion en retrait du nouveau bâtiment EHPAD et le traitement homogène du sol. Le « grand jardin » a retrouvé un usage partagé entre le parc, les jardins potagers et le jardin de la crèche. Les nouveaux axes créés ont été rendus accessibles aux personnes à mobilité réduite et leurs revêtements ont été renouvelés. Cet aménagement du site permettra aux résidents de bénéficier de soleil, d’air et de verdure. Le cadre de vie proposé favorisera l’appropriation des espaces par les habitants, des orientations optimales, des vues dégagées, de la lumière.

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Nous avons dessiné un immeuble en R+5 qui vient se connecter au « château ». Formé de larges plateaux organisés autour de deux patios plantés, son écriture résidentielle rompt volontairement avec l’image fonctionnelle des hôpitaux. Le rez-de-chaussée est réservé aux accès, aux espaces communs et à la crèche. Les unités d’hébergement sont installées dans les niveaux R+1, R+2, R+4 et R+5. Elles sont distribuées sur les pourtours du bâtiment. La circulation des résidents, organisée en « huit », autour des deux patios, se fait donc en coeur de bâtiments, dans un éclairage naturel doux, offrant un sentiment de confort et de sécurité. Alors que dans ce type de programme, les espaces communs se trouvent souvent implantés au rez-dechaussée, nous les avons installés au milieu même du bâtiment, au troisième niveau. En effet le niveau R+3 est une rupture horizontale dans la volumétrie du projet. Les niveaux R+4 et R+5 ont une emprise moins importante que les trois premiers niveaux, ce qui permet de créer de généreuses terrasses. C’est également une respiration dans le programme, l’étage étant réservé aux activités collectives qui prendront place dans de grands espaces vitrés donnant sur les jardins intérieurs. Des terrasses couvertes, comme de grandes loggias intermédiaires se trouvent également aux deux premiers étages.

Le rez-de-chaussée est libéré pour une transparence maximale vers le jardin et pour abriter la crèche. Les terrasses et les patios font entrer la lumière et dégagent des vues généreuses sur le quartier et les espaces paysagers. L’hébergement des personnes se fractionne en unités de 12 à 14 lits. Cette échelle permet d’une part de gérer les liaisons techniques et les flux, mais aussi d’améliorer les conditions de travail des soignants et celles de la vie quotidienne des résidents. Chaque unité s’identifie par une cuisine ouverte, une salle à manger et un salon donnant sur une terrasse couverte.

Réalisation - Résidentiel-médical - Paris (75)


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16ème arrondissement, PARIS, FRANCE

Amphithéâtres Université Descartes Démolition et reconstruction de deux amphithéâtres à l’IUT Paris Descartes réalisation 2011 - 2015 Maîtrise d'ouvrage Université Paris Descartes Maîtrise d’œuvre AZC Fluides - Choulet / Structure - Batiserf / Economiste - Forgue Mission Conception et construction Surface 906 m² shon Coût 3,2 M € ht

illes de V ersa ave

nue

quai Louis Blériot

Démarche HQE / BBC / Plan Climat Ville de Paris

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Les deux amphithéâtres et leurs annexes, sont implantés au cœur d’un îlot adressé au 143, avenue de Versailles à Paris, sur la dalle terrasse coiffant le parc de stationnement enchâssé sur un niveau de l’Université Paris Descartes. Afin de clarifier la lecture de la cour, l’évidence nous a conduits à proposer un volume d’apparence symétrique, dans lequel sont regroupés les deux amphithéâtres, les salles de cours et leurs locaux connexes. Outre une fonctionnalité idéale, cette configuration spatiale compacte permet d’offrir autour du nouveau bâtiment, un véritable espace fluide. L’approche architecturale du projet, reflétée par une optimisation volumétrique maximale, répond à des contraintes structurelles, réglementaires et économiques. Les choix structurels et fonctionnels de répartition des espaces servants et servis ont directement dictés l’apparence sobre du projet. Afin de minimiser l’impact sur l’infrastructure du parking existant, la nécessité de réaliser un volume léger en surélévation s’est imposée, en veillant à une

rationalisation des éléments structurels, en composants modulaires simples et répétitifs, en métallerie d’acier, associables entre eux sur le site. Le système constructif avec des éléments du commerce, permet le franchissement de grandes portées et quelques prouesses de la superstructure. Au sud, la partie supérieure des amphithéâtres est en encorbellement sur les espaces du rez-de-chaussée, pour laisser libre l’implantation des salles de cours et de bureaux. Grâce au principe constructif parfaitement adapté au projet et au site, le nouveau bâtiment est beaucoup plus léger que les ouvrages en béton armé des volumes existants préalablement démolis. Aucun confortement des assises et des ouvrages existants n’a été nécessaire pour la réalisation de cette surélévation unitaire et compacte, autre que ceux engendrés par l’adaptation altimétrique de la toiture terrasse. Pour maîtriser le coût de l’opération et des installations spécifiques et aussi pour aller dans le sens des contraintes urbaines imposées par le site, nous avons rendu accessibles et de plain-pied tous les espaces recevant du public en les regroupant en rez-de-chaussée.

façade sud

coupe longitudinale

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rez-de-chaussée

1er étage

toiture Réalisation - Enseignement - Paris (75)


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Inversement, tous les locaux très encombrants des installations techniques, sont logés en partie supérieure, sous la toiture et rendus invisibles et inaccessibles au public. Cette répartition permet de libérer l’espace très précieux du rez-de-chaussée, le rendre transparent et en continuité avec le deck. Même si l’aménagement des abords, était initialement hors programme, nous avons réussi à l’intégrer au budget du projet en proposant un traitement homogène en bois, qui vise à étendre l’espace intérieur des salles dans la cour qui était auparavant délaissée. Dans la conception des amphithéâtres nous avons recherché une disposition conviviale, la plus compacte en plan et en élévation. Chaque amphithéâtre est constitué de huit gradins hauts et neuf rangées. La distance du fond de la salle à l’écran est considérablement réduite, au bénéfice d’une meilleure visibilité et d’une distance de projection d’environ 14.5m. La largeur des gradins est de 0.90m et chaque place dispose d’une largeur de 0 .56m. La première rangée se trouve à 5.0m du tableau, les personnes à mobilité réduite occupent cinq places dans l’axe de la partie basse de la salle. Les angles horizontaux et verticaux de visibilité sont respectés. Le confort acoustique est assuré par le choix et le positionnement des enveloppes intérieures, du bac

acier micro perforé et des panneaux en bois perforés. Toute l’enveloppe opaque des amphithéâtres, est réalisée en éléments en bac acier, avec isolation thermique renforcée et respirante présentant un faible rapport d’amplitude thermique et garantissant un temps de déphasage supérieur à douze heures. Le chauffage, la ventilation et le rafraîchissement des amphithéâtres sont assurés par des unités autonomes de type pompe à chaleur air/air. Ces systèmes thermodynamiques sont composés d’un compartiment pour le renouvellement et le traitement de l’air, d’un compartiment d’extraction pour la récupération d’énergie sur l’air extrait et d’un compartiment technique regroupant les composants frigorifiques et les organes de régulation. L’échangeur à haut rendement, permet une première récupération de calories sur l’air extrait chaud. Ces calories sont transférées côté air neuf. La récupération est ensuite complétée par le fonctionnement de la pompe à chaleur. En été, le cycle frigorifique est inversé. L’intérêt de tels systèmes réside dans la performance énergétique qu’ils engendrent par rapport à une solution de chauffage traditionnel associée à un groupe de production frigorifique.

Réalisation - Enseignement - Paris (75)


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RĂŠalisation - Enseignement - Paris (75)


Strasbourg, FRANCE

Gymnase des Deux Rives Construction d’une salle omnisports et d’une salle d’armes réalisation 2011 - 2015 Maîtrise d'ouvrage Ville de Strasbourg Maîtrise d’œuvre AZC Fluides - Jost / Structure - Hagenmüller / Economiste - E3 Pilotage - Cap Avenir Mission Conception et construction Surface 4.830 m² shon Coût 8,3 M € ht

route du Rhi

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Démarche HQE / BBC

avenue Aristide Briand

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Les Fronts du Neudorf constituent actuellement l’opération immobilière d’envergure de la ville de Strasbourg, visant à combler un ancien vide qui sépare le centre, des quartiers Sud. Le projet urbain profite notamment de la position centrale du site et de la qualité paysagère du canal, pour répondre à l’étalement urbain de logements et d’équipements vers la périphérie de l’agglomération,

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par une alternative de densification. Le projet de gymnase, est un des éléments majeurs du quartier. Sa volumétrie et ses alignements sont très visibles depuis le carrefour de la route du Rhin. Il répond à un double enjeu, celui d’une expression contemporaine ambitieuse et d’un dialogue respectueux avec son environnement.


RĂŠalisation - Sport - Strasbourg (67)


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toiture

RĂŠalisation - Sport - Strasbourg (67)


détails de façcades

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Sur un îlot découpé en forme de L, d’une surface totale d’environ 3600m², le volume s’est imposé par la taille du programme. Un équipement sportif est un volume incompressible. Les gabarits imposés par les normes sportives, laissent peu de place aux volumétries complexes. Notre approche est pragmatique, compacte, elle prend en compte l’échelle imposante des longues façades. Le projet aménage la transparence à travers le bâtiment et permet des vues transversales dans les deux directions. Il respecte les alignements imposés par les règlements urbains, propose une géométrie rigoureuse mais non rigide et une architecture contemporaine. L’encaissement de 2m de la grande salle, réduit le volume du bâtiment et le met dans un rapport idéal avec le parvis. L’intention architecturale est intimement liée aux choix constructifs, qui sont argumentés par les demandes du programme et la volonté de la ville d’employer massivement, une ressource renouvelable, ne manquant pas d’atouts écologiques, le bois. Plus précisément, notre projet est constitué d’un socle en béton qui abrite le terrain d’évolution du gymnase, les gradins, les vestiaires, le hall et la cafétéria, surmonté par une boîte contenant la salle d’escrime avec ses vestiaires. Ces éléments mélangent des systèmes constructifs appropriés, clairement et totalement assumés dans la

volumétrie extérieure de l’édifice autant que dans ses intérieurs. Le choix du béton s’est imposé pour le socle qui est fortement sollicité par l’usage de la grande salle omnisports et par l’accueil du public. Ses façades sont réalisées en doubles panneaux préfabriqués, en béton avec âme isolante. La superstructure qui couronne le socle est composée de poteaux en bois avec âme métallique. Les poteaux qui ont d’abord un rôle structurel, sont placés à entraxe de 1,6m et définissent l’architecture des façades leur imposant un rythme et une épaisseur réguliers et assurant leur transparence. Entre les poteaux, l’enveloppe est formée des vitrages en partie basse et des panneaux isolés en bois en partie supérieure, ce qui donne au gymnase une importante arrivée de lumière naturelle des trois côtés. L’image transparente et claire vise à mettre en valeur le site.


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En franchissant le seuil du hall d’entrée, le volume de la salle omnisports apparaît entouré des lames verticales en bois qui reproduisent l’image d’une clairière. Le gymnase de Neudorf accueille l’activité sportive des divers clubs et associations: escrime, hand-ball, basketball, badminton, gymnastique et draine un public varié de scolaires et adultes. Le positionnement des salles omnisports et escrime est imposé par le programme, avec la salle d’escrime en haut. Nous avons confirmé le programme en essayant d’obtenir la volumétrie la plus judicieuse. L’ensemble bénéficie de deux accès, le premier au niveau du parvis à travers le hall principal, est destiné à tous les publics, le second au niveau de l’aire de livraisons est réservé aux clubs, scolaires, matériel sportif, nacelle, ambulances. Les deux accès sont de plain-pied avec les aires extérieures qui les desservent et accessibles par des véhicules. Pour la salle omnisports, les vestiaires sont traversants. Les vestiaires de la salle d’escrime sont accessibles directement depuis la salle. La buvette se trouve en mezzanine, prolongée par une terrasse accessible. Entre le hall et la mezzanine, superposée aux vestiaires de la salle omnisports, se trouve un étage caché, inaccessible au public, qui accueille la plus grande partie des locaux techniques comme la chaufferie et les locaux CVC avec accès direct à la rue, sur la façade nord.

Pour répondre aux exigences de pérennité et de facilité d’entretien d’un tel établissement, mais aussi pour maintenir l’offre dans un budget acceptable, nous avons abordé ce projet avec beaucoup d’attention et de questionnement. Le bâtiment est performant du point de vue énergétique, il bénéficie d’un éclairage naturel optimal dans les deux salles de sport et dans tous les espaces de circulation, le hall, les grands axes de déplacement, une partie des vestiaires. Il peut être ventilé naturellement dans les salles, pour éviter le risque de surchauffe.

Réalisation - Sport - Strasbourg (67)


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RĂŠalisation - Sport - Strasbourg (67)


12ème arrondissement, PARIS, France

RESIDENCE PLANCHETTE Résidence médicalisée et services d’accompagnement pour personnes handicapées réalisation 2007 - 2015 Maître d'Ouvrage ELOGIE Maîtrise d'oeuvre AZC Bureau d'études TCE - OTE Ingénierie Mission Conception et construction Surface 2.250 m² shon Coût 4.5 M € ht

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rue du Charol ruelle de la Planchette

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rue de Charenton

Démarche HQE / BBC



façade sud-est, ruelle de la Planchette

façade nord-est, rue de Charenton

rez-de-chaussée

1er étage

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coupe transversale

coupe longitudinale

2ème étage

3ème au 5ème étages

Réalisation - Résidentiel et social - Paris (75)


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Ce projet est lié à l’histoire de la parcelle du numéro 232, rue de Charenton, qui est longée par la ruelle de la Planchette, un ancien chemin présent sur les plans de la ville depuis 1789 et qui menait aux champs cultivés. Dans un contexte foncier et immobilier tendu, lié au système urbain complexe de la ville de Paris et du quartier de Bercy, le projet a mis sept années pour voir le jour. Le site est entouré par des bâtiments voisins hauts, qui dessinent des masques d’ombre et par une maison d’angle qui l’étrangle et dont le propriétaire refuse de vendre. Néanmoins, l’orientation est intéressante, et les règles d’urbanisme vont dans le bon sens. Dans la partie Nord, côté rue de Charenton, on peut construire sur six niveaux, dans la partie Sud en cœur d’ilot, sur trois niveaux. Comme dans tous les environnements urbains historiques, les règles de construction de la parcelle n'ont pas vraiment laissé de la marge dans la définition de la hauteur, largeur, longueur, du bâtiment. Le volume final de l'édifice, retranscrit de manière fidèle la superposition des contraintes : l'accès minimal à la rue de Charenton, l'étendue en coeur de l'îlot dans la partie calme et protégée, lui confèrent une situation entre rue et jardin, avec surtout, une grande partie ensoleillée en solstice d'été. Avec une morphologie en baïonnette, le site nous a engagés à un exercice architectural intéressant. Les contraintes urbaines, combinées aux éléments du programme, nous ont amenés à réfléchir à la manière

la plus efficace d’y installer les 2150m² constructibles. Le volume résultant après l’application des règles d’urbanisme, se glisse comme un corps vivant entre les édifices existants, il résulte d’une approche pragmatique qui vise à « remplir » tout le gabarit disponible. Côté rue de Charenton, les gabarits importants et la morphologie de la parcelle, nous amènent à des volumes de proportions surprenantes qui se plient en toiture. Coté ruelle de la Planchette, la façade en alignement, se plie en partie supérieure, suivant scrupuleusement les gabarits. La peau extérieure, lisse, fait face à la ville. Des fenêtres des tailles généreuses, approchant du carré, apportent un maximum de lumière et de transparence dans tous les espaces intérieurs, ce qui est un luxe à Paris. Les espaces de vie s’organisent autour des deux patios; leurs proportions ont été retravaillées pour s’adapter aux normes, ainsi qu’aux besoins en matière d’éclairage naturel. La lumière naturelle est présente dans tous les espaces de vie ainsi que dans les circulations. La grande hauteur des bâtiments voisins, offre de vues plongeantes sur le site. Par conséquent, le bâtiment a été étudié dans tous les détails, pour les rendre cohérents et agréables.


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Dans la conception et la réalisation, nous avons fait l’exercice d’un bâtiment sobre et adaptable, pensé en termes de « réalité d’usage » considérée sur du long terme. Nous avons envisagé l’agrandissement futur du projet par l’acquisition de la maison d’angle. Pour traiter en cohérence l’ensemble des problèmes de santé, de confort thermique et acoustique, nous avons donné de l’importance aux besoins des utilisateurs. La première attention est portée au contact avec l’extérieur. La qualité de l’enveloppe et des ouvertures extérieures est essentielle pour déterminer la qualité d’un bâtiment. Des grandes baies mettent les espaces intérieurs en relation avec la ville et le voisinage. La deuxième attention est portée aux échanges à l’intérieur du bâtiment. Nous avons recherché la transparence au sein de la parcelle, la qualité des espaces communs et des circulations, conçus comme des coursives largement vitrées, qui donnent la possibilité de se voir, d’échanger, de se rencontrer. Ces espaces de transition déterminent la qualité de la vie en cohabitation. La troisième attention est portée à la répartition des fonctions. Le bâtiment accueille plusieurs fonctions, autour des espaces privatifs des studios. Des espaces communs et d activités et loisirs, largement accessibles, des espaces de travail pour le personnel en charge. Enfin, si la question de l’énergie est centrale, les questions de bien-être, de confort et de santé, occupent une place centrale compte tenu de la demande sociale.

Le rapport des occupants avec la ville a été une de nos principales préoccupations. En rez-de-chaussée sur la rue de Charenton, se trouve le hall d’entrée, sur la ruelle de la Planchette on retrouve un accès de service et entre ces deux entrées, au long de la ruelle de la Planchette, l’administration, l’accueil des familles et une partie du pôle paramédical. En dessinant la circulation en baïonnette, nous avons distingué au cœur de la parcelle des grands espaces et coté ruelle de la Planchette les petits bureaux. En partie centrale il y a la salle polyvalente, visible directement depuis le hall d’entrée et les deux grandes salles dédiées aux activités et à la lecture. La présence de grands espaces centraux vitrés, comprenant le patio qui est lui-même une « salle extérieure », aide à préserver la transparence au niveau du rez-de-chaussée.


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Au niveau de l’entresol sont disposés les locaux servants destinés à l’entretien, à la buanderie et au personnel, éclairés par des hauts jours. En partie centrale, autour des patios à travers lesquels ils prennent de la lumière naturelle, se trouvent trois grandes salles d’activités. Nous avons également identifié les espaces dans lesquels les résidents serraient amenés à passer plus de temps, comme les salles d’activités et les circulations pour privilégier l’éclairage naturel. Les espaces qui seront utilisés occasionnellement comme la kinésithérapie et la psychomotricité, sont éclairés par des hauts jours en entresol. En gardant la même configuration et disposition de la circulation qui se superpose à tous les niveaux de l’édifice, nous avons créé une formule efficace de disposition du programme. Aux étages nous avons repartis 26 unités de vie, n’imaginant pas un lieu de sommeil situé en rez-de-chaussée. Les patios sont des points de contemplation à la manière des patios japonais, lieux vers lesquels s’orientent les vues depuis les espaces de vie communs. La circulation cesse d’être un « couloir » pour devenir un « parcours». On se rend d’un point à l’autre du bâtiment en regardant dehors.

L’architecture recherche la dualité dans le choix et l’application des matériaux. Coté ville, une peau d’aspect neutre, discrète et pérenne, en parement extérieur en béton à haute résistance, de couleur grise, donne une tenue urbaine à l’édifice. Coté patios un bardage en bois de mélèze, qui ne necessite pas d’entretien, assure un aspect chaleureux à la vue des habitants.


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projets en cours


Denfert Rochereau - Paris 14ème Residences 88 chambres - Jeunes Filles Aveugles de Saint Paul - Livraison 2017 Paris Habitat

ZAC du port - Pantin 93 125 logements neufs, activitĂŠs, commerces - Livraison 2017 NEXITY AZC


CITY HALL - Boulogne Billancourt 92 70 logements neufs, activités - Livraison 2016 ICADE + ADN

Green Home - Nanterre 92 140 logements Neufs, centre d'affaires, équipement culturel - Livraison 2016 Bouygues Immobilier Projets en cours - Logements


INET - Strasbourg 67 Bâtiment administratif et de formation (5 760m²) - Livraison 2016 CNFPT

VULPIAN - Paris 13ème Réhabilitation d'un Bâtiment de bureaux (800m²) - Livraison 2016 Privé AZC


Le Cristallin - Boulogne Billancourt 92 Réhabilitation d'un Immeuble de Bureaux (10 544m²) - Livraison 2016 Gecina

BINET - Paris 19ème Hôtel d'entreprises (7 300m²) - Livraison 2017 RIVP Projets en cours - Bureaux


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stations de mĂŠtro en cours


4 stations de Métro Ligne 14, Paris 75 Construction de 4 stations de métro pour le prolongement de la ligne 14 - livraison 2019 RATP

3 stations de Métro Ligne B, RENNES 35 Construction de 3 stations de métro pour le prolongement de la ligne B - livraison 2018 SEMTCAR AZC


station de Métro "Gare" sur la Ligne B Rennes 35 Construction d'une station de métro pour le prolongement de la ligne B - livraison 2018 SEMTCAR

station HÔPITAL LYON-SUD, LYON 69 Construction d'une station de métro pour le prolongement de la ligne B - livraison 2019 SYTRAL Projets en cours - Métro


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concours


Operation Mixte Euronantes - Nantes 44 Immeuble mixte 200 logements, Bureaux et activités - Concours 2014 ATARAXIA + GHT

Immeuble Mixte N2 ZAC Clichy Batignolles - Paris 19ème Immeuble mixte 165 logements, Bureaux et activités - Concours 2015 KAUFMAN & BROAD AZC


Operation Mixte ZAC DU BAC D’ASNIERES - CLICHY 92 Immeuble mixte 165 logements, Bureaux et activités - Concours 2015 SEM 92 / COGEDIM RESIDENCE

NOUVEL IMMEUBLE OMS - Genève Suisse Immeuble de Bureaux 24 000m²- Concours 2014 OMS Concours - Logements et Bureaux


FLI - Saclay Immeuble mixte Bureaux et Laboratoires de recherche 5 850m² - Concours 2014 Université Paris Sud

Operation de bureaux - Tours 37 Immeubles de Bureaux et activités 5 400m²- Concours 2013 SEM MARYSE BASTIE AZC


Adidas World of Sports - Herzogenaurach, Allemagne Immeuble de Bureaux 46 000m² - Concours 2014 - Mention Spéciale ADIDAS

Concours - Bureaux


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