L'Azenda hebdo du 11 mai 2018

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musique

SI ON SORTAIT ? LA SÉLECTION HEBDO DES SOIRÉES, CONCERTS, THÉÂTRE, ETC..

CONCERT

danse

THÉÂTRE

VENDREDI 11 MAI

09:00 St Paul 11:00 St Leu 14:00 Piton St Leu Stella Matutina 17:00 St Paul Parc Expobat 18:00 Entre Deux Vavang’Art 18:00 La Saline Le Choka Bleu 19:00 St Paul Lespas 19:00 St Denis Passage Chat Blanc 19:00 St Pierre Les Filaos 19:00 Ste Marie La Terrasse 19:00 Boucan Canot Hôtel Boucan Canot 19:30 L’Hermitage Le Relais 19:30 Le Tampon Luc Donat 20:00 Etang Salé Th. des Sables 20:00 La Possession Oh Suzie Q! 20:00 La Saline Les Cocotiers 20:00 St Paul La Cerise 20:00 Bras Panon Champ de Foire 20:00 Trois Bassins La Souris Mécanik 21:00 St Pierre Le Kerveguen 21:00 St Pierre Le Toit 21:00 St Pierre Drôles De Zèbres

musique

NI AVANT, NI APRÈS

© Nicolas Noël

ALL ABOUT THAT BASS

DANSE © Raj Naik

CONCERT

THE STANLEY CLARKE BAND

Vendredi 18 mai 21h | St Leu | La Ravine | 30-45€

© DR

Le Stanley Clarke Band à la Ravine Saint Leu : on en rêvait, ils l’ont fait. Qui « ils » ? Les organisateurs d’Opus Pocus, en marge mais dans la même veine que le festival high quality qu’ils nous préparent pour juillet. Assurément, la venue de cette légende vivante de la musique internationale, pour une date unique, marquera la saison culturelle du sceau de l’excellence. En d’autres mots, à St-Leu ce vendredi, se déroulera un événement de grande, très grande classe.

PIANO SANO CONCERT

LES CLASSIKS DE LESPAS / « PERSÉVÉRANCES

»

Vendredi 11 mai 19h | St Paul | Lespas | 10-12€

Lespas Leconte Delisle accueille une série de concerts de musique classique, une fois par mois, sous l’appellation « les Classiks de Lespas ». Le septième rendezvous est donné vendredi soir, avec le pianiste Frédéric Chouquet, qui présentera pour l’occasion ses propres compositions. RENDEZ-VOUS MENSUEL

L

es Classiks de Lespas sont un rendez-vous régulier entre le public Réunionnais et les artistes, autour de la musique classique (on s’en doutait), ce qui répond à une véritable attente tant du côté du public que de celui des musiciens. Christophe Sam, directeur artistique et musical pour l’association Les Lignes, explique. Il s’agit en effet d’offrir « la possibilité pour des artistes professionnels Réunionnais de se produire régulièrement » et de faire de cet espace « un port d’attache de la pratique professionnelle en musique classique ». Comme son nom l’indique également, c’est un programme de Lespas (Leconte Delisle). Christophe parle de l’endroit. « C’est une petite salle qui sonne bien sans avoir besoin de sonoriser, c’est un écrin. On a pu y jouer avec des formations peu nombreuses, du récital (par exemple, concerts pour piano et chant), ou du quatuor à cordes. Mais la scène peut accueillir des ensembles plus importants, jusqu’à l’orchestre classique » (35 personnes sur scène). L’idée est de visiter et faire vivre toute la musique classique, d’hier et d’aujourd’hui, dans tous ses styles. Pour finir cette saison dont le fil rouge était l’introspection, Lespas ac-

cueille Frédéric Chouquet, interprète et compositeur. CE SOIR, CHOUQUET JOUE DU CHOUQUET ! Il ne joue pas du piano debout mais a beaucoup à dire (oui j’ai osé !). Ce trentenaire de talent compte sur ses doigts pour nous faire voyager le temps d’un concert. Jérémy Chouquet s’est déjà produit ici (il vit à la Réunion), notamment sur des œuvres de Chopin et Debussy, mais ce soir, ce sont ses propres compositions qu’il présentera. Avec un très léger brin de jazz en filigrane, la musique de Frédéric Chouquet semble surtout s’inspirer du style minimaliste. Kezako ? La musique minimaliste « est un courant musical apparu dans les années 1960 aux États-Unis, animé par des compositeurs tels que Steve Reich, Philip Glass... Volontiers consonante de manière tonale ou modale, ouvrant sur le répétitif (elle attire aussi le rock progressif), cette musique réduit au maximum la succession des événements musicaux. Elle peut se réduire à un long accord, avec un minimum de variations, ou à la répétition d’une motif simple ». C’est en d’autres mots, une musique qui paraît simple (dans le bon sens du terme), souvent répétitive,

accessible à toutes les oreilles (même celles qui n’ont pas compris la définition donnée plus haut). Christophe Sam ajoute : «c’est la porte d’entrée la plus facile et la plus abordable pour apprivoiser la musique classique. On la prend un peu à la source. De par sa simplicité et son accessibilité directe pour le public, même novice, elle emmène et accompagne, elle met en confiance. Une fois rassurés sur la musique classique, souvent les gens ont ensuite envie d’aller plus loin, d’écouter d’autres œuvres ». Toutes les occasions de s’instruire sont bonnes à prendre, voilà ce que j’en pense. Bien, reprenons notre fil. Frédéric Chouquet proposera donc ce soir des pièces pour piano, offrant « une vision différente et particulière du rapport d’un jeune artiste à son piano, à son histoire, à son intériorité ». Une invitation au voyage méditatif qui se révèle assez efficace et fort agréable. De bonnes conditions d’écoute, un lieu confortable, un piano qui résonne : 3, 2, 1… Déconnexion momentanée de la machine à cogiter. Lalou

S

HASARDS ET RÉVOLUTIONS

tanley Clarke est un dinosaure du jazz rock fusion, soit dit sans offense. Son parcours, on l’imagine façon biopic à l’américaine. La musique lui doit beaucoup, et c’est pas les bassistes qui diront le contraire. Quand il était enfant, Stanley voulait jouer du violon, mais l’instrument se révéla peu adapté à ses doigts qu’il jugeait trop épais ! Il s’est ensuite essayé au violoncelle, sans plus de succès. Et puis un jour, il a trouvé une vieille contrebasse acoustique, qui traînait dans un coin, à l’école. Bingo. Travailleur, doué, acharné, Stanley fait ses débuts professionnels (oui oui) à l’âge de quinze ans, invité par le saxophoniste Byard Lancaster, pour une série de spectacles. Cette expérience sera l’étincelle qui allumera l’inspiration et les ambitions musicales du bassiste pour des décennies. Quelque temps plus tard, Stanley Clarke quitte sa ville et la Philadelphia Music Academy pour rejoindre New York. C’est là qu’il rencontre et se lie d’amitié avec Chick Rea. Ensemble, ils fondent un des premiers groupes de Jazz Rock : « Return to Forever ». Au sein de cette formation avant-gardiste, Stanley Clarke se fait largement remarquer, notamment pour sa dextérité de jeu littéralement envoûtante, mais aussi par son approche nouvelle. La basse se place en instrument lead, mélodique et harmonique. C’est une libération : l’instrument passe ainsi de l’arrière au devant de la scène. Son premier album (« Stanley Clarke », 1974), constitue déjà un coup de maître. Il connaît un succès mondial. Depuis, son œuvre n’a cessé d’influencer et d’inspirer toute une génération de musiciens. De collaborations en créations et tournées mondiales, il a

partagé la scène avec les plus grands. Georges Duke, Jeff Beck, Stewart Copeland, Billy Cobbam, Lenny White, Jack DeJonhnette, Stan Getz, Paul McCartney, Quincy Jones, Marcus Miller, Aretha Franklin, Stevie Wonder, Herbie Hancock, trop nombreux pour les citer tous … Les années passent et l’étoile Clarke monte encore. Bassiste vedette du jazz fusion, il sait marier à la perfection l’énergie rock, les harmonies jazz et l’âme funk. Son talent et sa créativité sont sollicités pour le cinéma et la télévision. En parallèle, il compose au cours de sa carrière plus de quarante albums. L’art de Stanley se voit honoré de toutes les façons imaginables : disques d’or, de platine, nominations aux Emmy, assez de Grammy Awards pour s’en faire des étagères, et même la clef de la ville de Philadelphie… Les magazines et critiques, spécialisés ou non, reconnaissent son génie. Il est probablement aujourd’hui le bassiste et contrebassiste le plus acclamé dans le monde. Mega star, Stanley Clarke n’en a pas pour autant oublié d’où il vient. Sa carrière s’est construite de hasards, de chances (qu’il a su saisir), de rencontres et de mains tendues. C’est pourquoi il se tourne lui-même vers la future relève, en encourageant et en invitant à son tour de jeunes musiciens. C’est aussi pour lui une façon de faire vivre et perdurer la musique. COURS, PUBLIC, COURS À LA RAVINE ! La Réunion, parfois c’est loin, pour certaines choses. Parole de Yab la Plaine, un concert de ce genre relève du mythe. Vous l’aurez compris, Stanley Clarke en live à la maison, c’est une occasion qui ne se présentera peut-être plus. C’est le genre de concert dont vous pourrez dire « j’y étais », une chance à ne pas manquer pour tout mélomane qui se respecte.

LES ÉBLOUIS - CIE YANN LHEUREUX

Mardi 15 mai 17h30 | St André | Domaine de la Vanille | nc St Benoît | Mercredi 16 mai 17h | CASE Bras Fusil | Jeudi 17 mai 17h | Plateau les Girofles Jeudi 17 mai 15h | St Pierre | IUT Terre Sainte | nc Vendredi 18 mai 19h | Les Avirons | Parvis de la salle Georges Brassens | nc

ROULEZ JEUNESSE Pour ce premier concert à la Réunion, Stanley Clarke sera accompagné de quatre jeunes musiciens exceptionnels : • Beka Gochiashvili, piano. Jeune prodige, « Premier prix du concours de piano du Festival de Jazz de Montreux à 13 ans, il rejoint en 2012 le groupe de Stanley Clarke, à 16 ans » • Cameron Graves, claviers. « Pianiste de Kamasi Washington (The Epic, 2015 ; Harmony Of Difference, 2017), il est également un membre fondateur du West Coast Get Down ». • Shariq Tucker, batterie. « Vainqueur du Guitar Center’s 26th Annual Drum-Off (2014), devant 5000 inscrits, ce jeune talent venu du Bronx est le nouveau batteur du groupe ». • Et, pour son premier concert à La Réunion, le maestro a souhaité inviter le percussionniste Salar Nader, disciple du maître de tablas Zakir Hussain. INTERVIEW

2 questions à Yann Vallé, organisateur des concerts « By Opus Pocus » et du festival du même nom. Faire venir une «légende vivante» : grande idée !... Pourquoi précisément Stanley Clarke ? Parce que c’est un immense musicien, qui n’est jamais venu à La Réunion, qu’il y est très attendu, que ce projet est particulièrement intéressant et que nous avions appris que le groupe préparait une tournée en Europe en mai 2018. C’est quoi le concept «By Opus Pocus» ? Nous organisons d’autres concerts dans l’année, sans lien direct avec le festival mais avec la même exigence artistique, la même attention portée à la technique (et généralement la même équipe technique), le même souci de l’accessibilité et de la convivialité. Il nous a paru intéressant de le faire savoir en regroupant ces différents projets hors-festival sous l’appellation « By Opus Pocus ». La fréquence n’est pas du tout arrêtée. Lalou

Yann Lheureux et sa compagnie ont décidé de bouleverser certaines habitudes, pour cette toute nouvelle création, « Les éblouis ». Le sujet est grave : la maladie d’Alzheimer implique de terribles et irréversibles pertes. Mais Yann Lheureux explore le thème sous un autre angle, et avec une passion sincère. Quand la mémoire et les repères s’étiolent, les perceptions changent. Perdus ou éperdus, oubliés ou éblouis, ou tout à la fois… Et si ces gens venaient raconter cette autre manière d’être au monde, à la vie, à soi ? Cette œuvre est à découvrir de toute urgence et je m’en vais vous dire pourquoi.

A

nagramme des « oubliés », qui devait être le titre à l’origine, « Les éblouis » se base sur un point de vue original. Inspiré de ce qu’il vit et découvre aux côtés de sa mère atteinte d’une maladie de type Alzheimer, Yann Lheureux choisit d’en « parler » en d’autres termes que ceux d’une perte (de la mémoire, d’autonomie, d’identité, d’activité…). Qu’est-ce qui, en parallèle, apparaît ? Comment ces gens, pris entre un passé évaporé et un futur sans projection possible, évoluent-ils en funambules sur le fil de l’instant ? Qu’auraient-ils à dire ?

Ils sont perdus éperdus Yann Lheureux n’est habituellement pas un adepte de ce genre de thèmes dans son travail de création. Après une parenthèse de plusieurs mois en Corée qui lui permet une prise de recul, il décide de changer de démarche pour cette fois. La maladie est entrée dans sa vie car elle touche sa mère. Il s’y intéresse donc depuis quelques années. Il entame alors un véritable travail d’investigation, dans des EHPAD, auprès de gériatres, de scientifiques, de patients, collectant ainsi témoignages médicaux et personnels. Nourri de toutes ces rencontres et observations, Yann rejoint la poésie de l’écrivain Christian Bobin, dans son ouvrage « la Présence pure », dont il s’inspire également. Il y a quelque chose de profondément touchant dans ce placement involontaire, irrémédiable, dans « l’effervescence » d’être dans l’instant et seulement cela. On oublie qui l’on est : nous voilà amené de façon totalement incontrôlée à renégocier à chaque instant nos goûts, nos clichés. En effet, avec les souvenirs et les habitudes, se déconstruisent aussi les a priori intégrés et les croyances (y compris

sur nous-mêmes). Oublié, le passé : « on retente l’aventure » dans les petites choses de la vie (Yann parle de sa mère qui ne buvait jamais de vin et qui, l’ayant oublié, s’est trouvée à en apprécier un verre). Dans ce que l’on appelle « la perte des convenances », on peut de même voir une déshinibition de ce que sont les gens (pour le meilleur et pour le pire). Le chorégraphe s’est demandé « ne sont-ils pas plus eux-mêmes qu’ils ne l’ont jamais été ? », et d’ajouter « il y a moins de filtres, ils sont moins liquoreux, plus abruptes ». C’est aussi ce qu’avait relevé Christian Bobin : « la maladie d’Alzheimer enlève ce que l’éducation a mis dans la personne et fait remonter le coeur en surface ». UNE EXPÉRIENCE, UN PARTAGE « J’ai eu envie de créer un cycle de travail autour de ça, qui serait ponctué de chorégraphies », explique Yann Lheureux. Après deux résidences à la Réunion, le spectacle est prêt à être partagé. Créé pour les espaces publics, il s’inscrit dans une volonté de rappeler le droit de cité pour ces personnes « qu’on enferme bien volontiers, par pudeur, par honte, ou par facilité ». La compagnie revisite les espaces urbains, à la rencontre et en grande proximité avec les spectateurs. L’interaction avec le public est un enjeu majeur des Eblouis. Sur le plan dramaturgique, l’accent se porte davantage sur « une aventure sensible, poétique et physique » que sur une recherche de « spectaculaire » (bien qu’il y ait quelques passages de ce registre). Les artistes évoluent en une sorte de déambulation sur l’espace de jeu, sur des créations sonores intégrant des textes de l’écrivain François Beaune. Celui-ci a en effet été sollicité pour la mise en mots des témoignages et moments

d’histoire racontés, entre fiction et réalité. Côté sonorisation, le dispositif est d’ailleurs très particulier : les danseurs portent les enceintes en bandoulière, dans une volonté de « spacialiser » le son. Ce défi technique répond au souhait de mobiliser le public, l’amener à se déplacer. Les 4 interprètes ne sont pas seulement des danseurs (comédiens, circassiens…) et ont été choisis aussi pour la personnalité qu’ils expriment. Pour la dimension intergénérationnelle de la thématique, ajoutons que les membres de cette équipe sont âgés de 20 à 57 ans. VIVRE L’INSTANT : LE MAL DE NOTRE TEMPS ? La maladie d’Alzheimer est un des maux de notre époque. Aujourd’hui, qui n’a pas ressenti une fois ce besoin d’arrêter le brouhaha des cogitations pour vivre l’instant présent ? D’ailleurs, on nous sert l’expression à toutes les sauces, et dans toutes les cantines, sur les divans des psy, aux rayons développement personnel, ou encore du côté des enseignements spirituels… Pauvres de nous, « le passé nous écrase contre l’avenir », comme dit La Boétie, et nous voilà bien en peine de le saisir, ce fameux instant. Et ce temps, la maladie l’efface ou le redéfinit, et l’interprétation que l’on s’en fait, n’est peut-être qu’une question de point de vue… Mais je m’égare ! Sans verser dans la naïveté d’un regard faussement joyeux sur le drame humain, affectif et familial que constitue cette terrible maladie, « Les Eblouis » se veut un partage poétique, tendre, parfois drôle, curieux, se gardant de la stigmatisation ou du pathos qui enferme. Une expérience sous-tendue de sens, à voir, à vivre, à sentir… qui visiblement laisse aussi à réfléchir ! Lalou

SAMEDI 12 MAI

09:00 La Possession 09:30 Le Tampon Luc Donat 10:00 St Paul Le Maïdo 11:00 St Leu 11:00 Piton St Leu Stella Matutina 16:00 St Pierre Média. R. Barquissau 16:00 St Paul Le Maïdo 16:00 Piton St Leu Stella Matutina 18:00 St Denis Cité des Arts 19:00 St Gilles Hôtel Les Aigrettes 19:00 St Leu Ronda. Chez Tiroule 19:00 St Leu Ronda. Les Filaos 19:00 Entre Deux Vavang’Art 19:30 St Gilles les H. Saveurs exotiques 20:00 Etang Salé Th. des Sables 20:00 St Paul La Cerise 20:00 Bras Panon Champ de Foire 20:00 St Pierre Drôles De Zèbres 20:00 Trois Bassins La Souris Mécanik 21:00 Le Port Le Kabardock 21:00 St Pierre Le Toit

DIMANCHE 13 MAI 14:00 L’Hermitage 16:00 Boucan Canot 16:00 Le Port 18:00 La Saline 19:00 St Paul 19:00 St Leu 19:30 St Leu

Lé Pié dan l’O Ti Boucan Le Port Le Choka Bleu La Cerise Ronda. Chez Tiroule Ronda. Les Filaos

LUNDI 14 MAI 19:00 Aurère

Mafate

L’AGENDA

DANSE PROJECTION

GRATUIT

Zarlor circuit culturel : sur les traces des premiers habitants 6/9€ Leu Tempo 2018 - Jour 3/4 Divers A simple space 18€/21€ Festival des îles de l’océan indien - jusqu’au 13/05 10€/15€ Soirée Salsa Fanfare Talku Les Classiks de Léspas #7 (Classique) De 10 à 12€ Ghetto Influences Chakires HeYs + Pamplemousse & Minibar(d) (Hard/Metal) N/C François S. So Ouate (chanson/folk) festival du film d’aventure 2018 14€ Ziskakan + Kénaelle 22€ Bourb’On Rocks (Pop/Rock) Hocine B. (World (Musiques du monde)) Sly Sugar Gyptian (Ragga/Dancehall) 11€ Dj set | The Grinders Firmin Viry + Coulèr Péi + Mélanz Nasyon (Maloya/Séga) 6/10€ Verzonroots (Reggae) Forest Pooky (Pop/Rock/chanson/folk) 3€ Zarlor circuit culturel : sur les traces des travailleurs engagés 6/9€ festival du film d’aventure 2018 14€ Balade-Spectacle au Maïdo «Grand Bord» 8€ à 20€ Leu Tempo 2018 - Jour 4/4 Divers A simple space 18€/21€ Maloya dousman BASS Connection #1 (Ragga/Dancehall) 5€ A simple space 18€/21€ Soa Los Chilenos Tropicales (Latino) Forest Pooky & Mlle Rouge Taboo (Pop/Rock) Don Magicus 40€ Sawyer (Pop/Rock) Ziskakan + Kénaelle 22€ Z&T (chanson/folk) Black M (Variétés) 11€ Latino Party Dj set | Techno #8 - Nothing Famous Dagoba + Warfield (Hard/Metal) 15/18€ Rock Breath (Hard/Metal) Les Dimanches Electroniques Bal Lontan (Maloya/Séga) Clubbing | Private Boat #3 David Doré (World (Musiques du monde)) Compagnie Aberash Mounawar (World (Musiques du monde)) Pamplemousse + Riske Zero (Pop/Rock)

50€/55€ 10€

festival du film d’aventure 2018

MARDI 15 MAI 18:30 St Leu 20:00 St Paul 20:00 St Denis

Yourtes en scène Ô et le squelette au chapeau La Cerise Anna Serra Cité des Arts Chronique d’une conversation sensible

MERCREDI 16 MAI

09:00 Trois Bassins 10:30 St Leu Kélonia 13:30 St Paul La Cerise 14:30 St Leu 18:00 St Pierre Le Five 18:00 Le Tampon Si peu d’endroits... 19:30 St Gilles Hôtel Le Récif 19:30 Ste Clotilde Téat Champ Fleuri 20:00 Le Tampon Luc Donat 20:00 St Paul La Cerise 21:00 St Pierre Le Toit

JEUDI 17 MAI 16:00 Entre Deux 18:30 St Denis 18:30 St Paul 19:00 Grand Bois 19:00 St Pierre 19:30 St Pierre 19:30 Ste Clotilde 19:30 St Denis 20:00 St Gilles 20:00 St Paul 20:00 St Gilles 20:00 Trois Bassins 21:00 St Pierre 21:00 St Pierre

Vavang’Art Th. du Grand Marché Lespas Le Zinzin Show Room Le Toit Téat Champ Fleuri Cité des Arts Téat Plein Air La Cerise Le Balcon La Souris Mécanik Le Five Le Toit

8/5€ 6€/12€

Zarlor circuit culturel : nature et terroir des Hauts 6/9€ Balade-Spectacle à Saint-Leu «Kélonia» 8€ à 20€ Atelier Couture Marmaille 80€ par mois Zarlor circuit culturel : de Boucan Laleu à Kartié 3 lettres 6/9€ Baila Latino Soirée jeux de société So Ouate (chanson/folk) festival du film d’aventure 2018 14€ Frédéric François 52€ Lindy hop Improvaganza 5€ Initiation Capoeira Pa Mwin Lotèr : Carlos Liscano X Cie Kisa Mi Lé Maloya dousman Apéro Zinzin#8 Salsa Cubaine Mano Gypsy Trio (Jazz/Blues) festival du film d’aventure 2018 Où va le monde ? Frédéric François Prof Jah Pinpin (Jazz/Blues) Soirée Body Temptation Galactic Funk (Electro) After Kiz Mano Gipsy Trio (chanson/folk)

10€ 5€ 6€ 2€ N/C 14€ 54.50€ 25€/55€

| bars, cafés-concerts, artistes, Musiciens, organisateurs, producteurs : vos souhaitez faire paraître vos dates et votre programmation dans ces pages et sur azenda.re ? envoyez vos infos à contact@azenda.re

5€


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