photo Mark Henley
MIX 27
21-23.12
Kutcha danse – yoga – pilates
Rue de Carouge 40 - 1205 Genève - www.kutcha.ch
Valse
MIX 27
idée et conception: Marcos Morau chorégraphie: Marcos Morau, Marina Rodriguez et Lorena Nogal pièce créée en 2017 pour le Danish Dance Theatre, entrée au répertoire du BJG en décembre 2020 remontée par Alma Munteanu et Valentin Goniot (30 min)
Works (extraits)
chorégraphie : Emanuel Gat avec les danseurs musique : Nina Simone pièce créée en 2017 lors du Festival Montpellier Danse entrée au répertoire du BJG la même année remontée par Robert Bridger et Tamara Bacci (20 min)
tHE bAD
entrée au répertoire chorégraphie: Hofesh Shechter musique: Hofesh Shechter pièce créée en 2015 à Manchester remontée par Yeji Kim et Robinson Cassarino (25 min)
MIX 27 direction technique & régie lumières: Arnaud Viala régie son: Charles Mugel réalisation costumes: Marion Schmid
Le Ballet Junior de Genève est soutenu par la République et canton de Genève, la Loterie Romande et la Fondation Fluxum
Marcos Morau
Né à Valence en 1982, Marcos Morau a étudié la chorégraphie à l’Institut du Théâtre de Barcelone, au Conservatorio Superior de Danza de Valencia et à Movement Research de New York, où il a obtenu la plus haute note pour son projet de fin d’études ainsi qu’un prix de l’Institut del Teatre. Il a été assistant au Nederlands Dans Theater II, et pour la compagnie barcelonaise IT Dansa. Il a également étudié la photographie et détient une Maîtrise en théâtre. En 2005, il crée La Veronal, une compagnie regroupant des artistes des champs de la danse, du cinéma, de la photographie et de la littérature. Son langage chorégraphique puissant, héritage du mouvement abstrait et du théâtre physique mâtiné d’un esthétisme sombre et surréaliste, lui a valu d’être le plus jeune Prix national de danse
en Espagne, en 2013, et ses créations ont été distinguées lors de nombreux concours internationaux. Le travail de Marcos Morau est programmé et produit par les plus grands festivals et institutions internationales : Avignon, Sadler’s Wells, Rome Europe, Tanz im August notamment. En tant que chorégraphe, il est invité à signer des pièces pour des compagnies parmi les plus prestigieuses de la scène contemporaine : NDT, Les Grands Ballets Canadiens, Göteborgs Operans Danskompani... . Il enseigne également dans plusieurs conservatoires et universités, tels que l’Institut del Teatre ou la Sorbonne Nouvelle. Ses dernières chorégraphies, dont « Sonoma » programmée en septembre dernier à la Bâtie – Festival de Genève, reflètent l’état actuel de l’humanité, ses peurs et ses questionnements sur le monde et son destin. Au printemps 2022, Marcos Morau sera de retour en Suisse pour une nouvelle création sur la musique de Nick Cave à l’invitation du Ballet de Bâle. “Quand je crée, les mouvements ne passent pas à travers mon corps, vu que je ne suis pas danseur, mais j’aime travailler avec d’autres corps que le mien pour créer des univers et des histoires. Ceci me permet de ne pas travailler avec des références usuelles, mais d’en inventer des personnelles. J’ai commencé par le concept
d’une valse, mais pas d’une façon très concrète, plutôt par suggestion. La valse est présente de façons différentes mais les interprètes ne la dansent pas. Lors du processus mystérieux de création, nous avons gardé certains moments comptés sur trois temps et un seul élément de ma représentation visuelle d’une valse, son côté luxueux, des strass sombres évoquant les bals du passé en les traduisant de façon pertinente pour le monde d’aujourd’hui. La musique est toujours importante dans mon travail et j’aime l’explorer et la manipuler. Ici on peut entendre cinq valses mais jamais explicitement. J’ai décalé celles de Sibelius, Tchaïkovsky, Strauss et d’autres encore dans un fond lointain, pour générer des émotions, des ressentis. Pour moi la musique et la danse sont de bonnes amies et j’aime les faire tomber amoureuses l’une de l’autre.” Marcos Morau, propos recueillis en studio, décembre 2020
Photos Gregory Batardon
Cultivant une danse aussi réflexive que sensuelle, la compagnie interdisciplinaire, La Veronal, a trouvé le succès avec des œuvres allégoriques et complexes. Avec «Valse», Marcos Morau, son directeur artistique, construit une succession d’images oniriques créant une sorte de méditation de l’absurde, dont l’esthétisme doit autant aux arts plastiques que visuels. Les danseurs enchaînent positions figées et gestes raffinés, sur un rythme entraînant à trois temps. «Valse» est un exercice de style créé pour le Danish Dance Theater en 2017 par Marcos Morau et La Veronal.
VALSE L’Espagne semble trop juste pour contenir le talent de Marcos Morau : des coproductions internationales de La Veronal, sa troupe, aux collaborations avec le Ballet de Lorraine ou le Royal Danish Ballet, chacun veut sa part. Il faut dire que ce jeune homme pressé a les idées larges, mélangeant théâtre, performance et danse.
—Les Echos, Philippe Noisette
Emanuel Gat
Emanuel Gat est né en Israël en 1969. Sa première rencontre avec la danse a eu lieu à l’âge de 23 ans lors d’un atelier animé par le chorégraphe israélien Nir Ben Gal. Quelques mois plus tard, il rejoint la Liat Dror Nir Ben Gal Company avec laquelle il tourne internationalement. Il commence à travailler comme chorégraphe indépendant en 1994 puis il fonde sa propre compagnie Emanuel Gat Dance au Centre Suzanne Dellal de Tel Aviv en 2004, pour laquelle il créée, cette année-là, : «Winter Voyage» sur la musique de Franz Schubert et son interprétation originale du chefd’œuvre de Stravinski «Le sacre du printemps», qui a reçu le Bessy Award de la meilleure chorégraphie pour ses représentations au Lincoln Center Festival à New York. En 2007, il choisit de s’installer en France, à la Maison Intercommunale de la Danse à Istres. Au cours des 25 der-
nières années, Emanuel Gat, dont les créations sont dansées par un groupe riche et divers de collaborateurs de longue date, a acquis une reconnaissance internationale pour son mode d’expression unique et sa compagnie tourne régulièrement aux quatre coins du monde, rencontrant également un grand succès critique. Parallèlement à son travail chorégraphique, Gat conçoit également les lumières pour toutes ses œuvres, ce qui en fait une partie intégrante de son processus de création. Ces dernières années, il a développé une pratique photographique et a présenté des installations élaborées à côté de son travail scénique, sous forme de séries de photographies, dédiées et inspirées de pièces spécifiques. En 2020, en pleine pandémie, Il créé «LOVETRAIN2020», une œuvre pour 14 danseurs sur la musique de Tears For Fears. La première de la pièce se tient entre deux confinements, début octobre et reçoit un excellent accueil du public et des critiques. Elle est de plus distinguée par un prix du meilleur spectacle de danse décerné par le Syndicat français de la critique. Emanuel Gat est actuellement artiste associé à l’Arsenal - Cité Musicale de Metz et crée une nouvelle œuvre sur l’opéra de Puccini «Tosca». Il est régulièrement invité par des compagnies et des institutions pour
lesquelles il crée ou transmet des pièces: en France, il a collaboré avec le Ballet de l’Opéra de Paris, le Ballet du Rhin, le Ballet National de Marseille, le Ballet de Lorraine et le Ballet de l’Opéra de Lyon. Il est également chorégraphe invité de prestigieuses compagnies internationales : la Sydney Dance Company, le Tanztheater Bremen, la Candoco Dance Company, le Ballet du Grand Théâtre de Genève, le Los Angeles Dance Project à l’invitation de Benjamin Millepied, le Czech National Ballet, le Royal Swedish Ballet, le Ballet national polonais, Cedar Lake (NY), Vancouver Ballet British Columbia, le Scottish Dance Theatre et le Staatsballett Berlin. Tout au long de sa carrière, Gat a développé une riche panoplie d’outils méthodologiques et une approche pédagogique originale de la danse. Il enseigne et collabore avec les plus grandes écoles et institutions de danse du monde, et en parallèle, propose à travers sa compagnie Emanuel Gat Dance des programmes réguliers pour permettre aux jeunes danseurs et créateurs de s’immerger dans sa pratique.
«WORKS» est une pièce célébrant les danseurs. Leur originalité, leur virtuosité, leur engagement, leur courage, leur sens des responsabilités et leur humanité. Un groupe de 10 interprètes remplit la scène dans une succession frénétique de fragments chorégraphiques évoluant à travers différentes constellations, formats, environnements musicaux et procédés chorégraphiques. Tous collaborateurs de longue date d’Emanuel Gat Dance, les danseurs partagent des années de travail artistique commun ainsi qu’une connaissance intime du processus créatif de Gat. «WORKS» est à bien des égards une réaction aux temps changeants et à l’évolution constante de la façon dont la danse, et l’art en général, sont créés et produits. Il s’agit d’une tentative de remettre en question les anciennes frontières et hiérarchies, de favoriser une nouvelle redistribution des responsabilités et des ressources artistiques.
Photo Gregory Batardon
«WORKS» est né d’une collaboration entre Emanuel Gat Dance et le Ballet de Lyon, réunissant dix danseurs de chaque compagnie. Deux ans après sa création, Emanuel a recréé une nouvelle version avec des danseurs issus uniquement d’Emanuel Gat Dance, développant ainsi les idées et thèmes explorés dans la première version de l’oeuvre.
WORKS
Flux de conscience chorégraphique, «WORKS» navigue librement entre questions d’échelle, prise de décision, stratégies collaboratives, notions d’efficacité et de clarté, chorégraphie en temps réel, approches théâtrales et interprétations musicales, afin de révéler les logiques et mécanismes internes des comportements humains. «WORKS» est le parcours personnel d’une dizaine d’individus à la recherche d’une connexion. Une structure chorégraphique complexe et en même temps une danse réduite à ses éléments les plus fondamentaux, où les danseurs “conduisent“ l’oeuvre et la recréent chaque fois à nouveau, examinant le rôle de l’interprète comme créateur sur scène, en direct.
Emanuel Gat maîtrise son art très personnel de la chorégraphie comme une science dont il continue à pousser les limites toujour plus loin pour traduire des méditations toujours plus subtiles.
—Le Figaro, Ariane Bavelier
Hofesh Shechter
Hofesh Shechter suit, à partir de l’âge de quinze ans, l’enseignement de l’Académie de danse et de musique de Jérusalem avant d’intégrer la Batsheva Dance Company trois ans plus tard. Il danse ensuite avec Wim Vandekeybus, Paul Selwyn-Norton et Tero Saarinen avant de s’installer à Londres en 2002. En plus de ses fonctions de chorégraphe, il crée et joue les partitions rythmiques de ses spectacles en raison de sa pratique de la batterie et des percussions qu’il a étudiées avec Dante Agostini à Paris. Sa première chorégraphie, «Fragments», date de 2002. En 2006, il crée «Uprising» puis, en 2007, il reçoit la commande par trois institutions londoniennes majeures, Sadler’s Wells, South Bank Centre et The Place, d’un spectacle intitulé
«In Your Rooms» qui remportera le Prix du syndicat de la critique. En 2008, il fonde à Londres sa propre compagnie. En 2010, «Political Mother Unplugged» est la première création grand format du chorégraphe, et plus de dix ans après sa création, elle tourne toujours sur les plus grandes scènes, déclinée en plusieurs versions, notamment en concert rock dansé ou interprété par Shechter II, la compagnie junior qui donne pendant un an une expérience professionnelle à de jeunes talents venus du monde entier dont, à de nombreuses reprises, des anciennes et anciens du Ballet Junior de Genève. Au fil des années, Hofesh Shechter et sa compagnie ont développé et créés des projets digitaux afin d’être accessible à une plus large échelle géographique, notamment une adaptation filmée de «Clowns» produite par la BBC en 2018 qui a gagné un prix lors de CHOREOSCOPE – The International Dance Film Festival of Barcelona. En septembre 2021, la première de «Double Murder» a eu lieu à Londres et tournera en Europe cette saison. Shechter créée et remonte des pièces pour des compagnies internationales de premier plan telles que le Royal Ballet, Nederlands Dance Theater 1, Alvin Ailey Ame-
rican Dance Theatre, Cedar Lake Contemporary Ballet, Ballet de l’Opéra de Paris, Carte Blanche Dance Company, Candoco, Ballet Royal de Flandres et Batsheva Ensemble. La compagnie est en résidence au Brighton Dome et Hofesh Shechter est artiste associé à Sadler’s Wells. «tHE bAD» est la quatrième pièce à entrer au répertoire du Ballet Junior de Genève après «Uprising», «In your rooms» (extraits) et «Political Mother» (extraits).
“Je veux que le public de mes spectacles soit réveillé, qu’il ressente mon travail depuis ses tripes. Faire confiance à ses tripes est pour moi comme croire à la nature, ou à Dieu, ou à une raison d’être ; une source, une étincelle vitales. Croire en une force supérieure et meilleure que nos esprits limités et oppressés culturellement.” Hofesh Shechter
Photos Gregory Batardon
“[tHE bAD] est une tentative de faire une pièce sans penser, car je pense beaucoup. Nous l’avons créée en Allemagne et j’ai décidé que toutes les répétitions se passeraient de nuit. Quand vous travaillez de nuit, le temps n’existe plus. Et puis j’ai pensé «Quels sont les éléments avec lesquels je ne travaillerais jamais ? Des académiques dorés !» Voilà pourquoi nous les avons choisis. C’est l’expérience de création la plus incroyable que j’ai vécue. Rien n’était respecté. Nous avons vécu dans un espace temps où nous ne savions jamais si c’était sérieux ou non. Vous avez juste à accepter que ce qui arrive, arrive. C’est une pièce où tout est permis. ”
tHE bAD
Chevauchée échevelée, tHE bAD met en jeu une tribu d’interprètes sur une partition percussive. Sur le doré de ses costumes, ricochent une gestuelle musclée sous influence urbaine et la part de tension et de liberté qui réside dans le monde de la nuit. C’est, selon son créateur, la «tentative de faire une pièce sans penser», sans constamment évaluer s’il est bon ou mauvais. Ici, il expérimente le mouvement et l’interaction entre les corps comme langage chorégraphique complet, de l’énergie la plus folle à l’épuisement qui suit la dureté d’une discipline maitrisée. Cet extrait d’un triptyque intitulé «The Barbarians» est la 4ème entrée au répertoire d’une pièce d’Hofesh Shechter. Ce chorégraphe renommé, installé à Londres, sait, à coup de lumières et de rythmes endiablés, immerger les spectateurs et ses danseurs dans des ambiances de fin du monde. Celles-ci racontent tant la noirceur de nos sociétés actuelles que la certitude que le genre humain a les moyens d’en inventer de meilleures.
Adepte de l’électrochoc, le chorégraphe Hofesh Shechter manie son et lumières avec virtuosité. — Le Monde, Rosita Boisseau
Question à Yeji Kim
Comment aborde-t-on la reprise, le remontage d’une pièce ? Pour moi, remonter une pièce, c’est principalement partager mon expérience. Bien sûr, les jeunes danseurs doivent apprendre les mouvements et les enchaînements mais le principal est d’échanger avec eux sur ce que c’est de travailler pour une compagnie professionnelle. Sur scène tout a l’air beau, mais le travail ne l’est pas toujours. Ce que les interprètes du Ballet Junior ont traversé pour apprendre «tHE bAD», je l’ai vécu aussi et ainsi cela permet d’aller ensemble dans le mouvement et dans la pièce. Yeji Kim, assistante de répétition et danseuse de la compagnie Hofesh Shechter depuis 2009
Uprising (2011)
Propos recueillis par Alma Munteanu, lors d’Impromptu #1, répétition publique le 26 novembre.
Hofesh Shechter au Ballet Junior
Political Mother (2018)
In Your Rooms (2014)
Photos Gregory Batardon
Répétitions tHE bAD
année
Feiza Bessard
Yaëlle Chassin
Malou Chaumont
Mélen Constant
Emma Delvac
Marcus Diallo
Benjamin Fouquet
Noé Girard
Jethro Kitutila
Mariana Mendes Faria
Tara Prosser
Léa Puffet
Elisa Rouchon
Adrian SanchezValdepeñas Fernández
Enorah Schwaar
Anaïs Vallières
Nathan Yann
1
è re
Baptiste Berrin
année
Eloïse Ginestar
Paul Grégoire
Artémus Grolleau -Biroteau
Léo Khebizi
Anthony La Rosa
Tamara Savelieff-Horan
Gabin Schondorf
Quentin Pons
Pauline Rousselet
Lola Rusica
Lexane Turc
2
ème
Yumio Chanoki
année
Tanguy Crémoux
Mila Endeweld
Ludivine Ferrara
Jérôme Février
Jeanne Garcia
Anatole Hasslauer
Mattéo Lochu
Antonin Mélon
Hera Norin
Emma Rouaix
Karn Steiner
3
ème
Eva Coste
Alaïs Marzouvanlian
Photo Adrian Moser
PRIX SUISSE DES ARTS DE LA SCENE En 2021, les Prix suisses de théâtre et de danse ont été regroupés sous la dénomination unique de Prix suisses des arts de la scène, décernés sur recommandation des deux jurys fédéraux de danse et de théâtre. Ainsi, l’Office fédéral de la culture distingue les personnes ou institutions qui contribuent à la diversité de la création culturelle des arts de la scène en Suisse. Dans cette catégorie sont récompensé∙e∙s les interprètes exceptionnel∙le∙s, d’autres performances et contributions artistiques dans le domaine de la transmission, de la documentation et de la politique culturelle. Les lauréates et les lauréats reçoivent 40 000 francs chacun∙e. Les distinctions sont décernées par le Jury fédéral de la danse et du théâtre. Elles ne font pas l’objet d’une mise au concours. Cette année, le Grand Prix suisse des arts de la scène/Anneau Hans Reinhart a été attribué à Martin Zimmermann. Depuis plus de 20 ans, ses travaux uniques en leur genre dessinent de nouvelles perspectives dans le domaine des arts de la scène. Les autres prix ont été attribués à Nicole Seiler, au Ballet Junior de Genève, aux deux festivals de danse urbaine Groove’N’Move et Breakthrough, à Mathieu Bertholet, Tanya Beyeler, fleischlin/meser, Joël Maillard, Antje Schupp, Manuel Stahlberger, «LUMEN» de Jasmine Morand, «L’Homme apparaît au Quaternaire» d’Alexander Giesche et Mirjam Gurtner. www.schweizerkulturpreise.ch
L’équipe
Direction Patrice Delay Sean Wood Présidente Beth Krasna
Sean Wood
Patrice Delay
Répétitrices Alma Munteanu - Tamara Bacci Equipe pédagogique Emilio Artessero Quesada Tamara Bacci - Patrice Delay Gérald Durand - Mariene Grade Kate Ketchum - Néfeli Skarmea Sean Wood
Beth Krasna
Intervenants 2021-2022 Marthe Krummenacher Cindy Van Acker - Tuur Marinus Kiyan Koshoie - Simon Wehrli Administration Sylvette Riom, assistante de direction Technique Arnaud Viala, directeur technique Charles Mugel, régie son
Alma Munteanu
Tamara Bacci
Yasmine Hugonnet Seven Winters 13—15 janvier
Association pour la danse contemporaine
21 — 22
pavillon–adc.ch
2022
ALL I NEED
Edouard Hue, Beaver Dam Company Jeudi 13 & vendredi 14 janvier • 20h
HYBRIDITY
CocoonDance Lundi 31 janvier & mardi 1er février • 20h
LES PROMESSES DE L’INCERTITUDE
Cie Moost Vendredi 25 février • 20h
080
Cie H.M.G. Vendredi 8 avril • 20h
OÜM
Steps: Cie Massala Samedi 30 avril, 20h • Dimanche 1er mai, 17h
L’HOMME À TÊTE DE CHOU
Cie Jean-Claude Gallotta • Groupe Émile-Dubois Jeudi 12 mai • 20h
ALLEGRIA
Cie Accrorap Kader Attou Samedi 12 mars, 20h • Dimanche 13 mars, 17h
Culture et communication 022 306 07 80 • scc@vernier.ch www.vernier.ch/billetterie
Ville de Vernier