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numéro Avril - Mai - Juin 2016
ctus Démocratie participative, tous acteurs ! decryptage Le budget 2016
rencontre
Les familles à énergie positive
sommaire
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BAssens Actus 64 | Avril Mai Juin 2016
Le mot du Maire . . . . . . . 3 echos . . . . . . . . . . . . 4 & 5 ville en mouvement . . . 8 & 9 focus . . . . . . . . . . . . . . 10 Une démarche expérimentale pour les riverains soumis aux risques industriels
Decryptage . . . . . . . 12 & 13 Le budget 2016
focus & Rencontre . 14 & 15 Les familles à énergie positive
Grand angle . . . . . . . 17 > 21 La démocratie participative
focus 7 Un projet éducatif partagé autour de valeurs républicaines
Rencontre . . . . . . . . . . 22 Christian Dubois, une vie d’engagement
rendez-vous . . . . . . . . . 23 Venez fêter 35 ans d’amitié avec Kleinostheim !
carte blanche . . . . . . . .25 Projet doudous : ils sortent de l’ombre !
Instantanes . . . . . . 26 > 29 Expressions politiques . . 30
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Retrouvez Bassens Actus et l’ensemble des publications de la ville de Bassens sur www.ville-bassens.fr Directeur de publication : Jean-Pierre Turon - Responsable de la rédaction : Benjamin Labro - Conception/Rédaction : service communication, Benjamin Labro, Hélène Dejeans, Sophie Villattes, Marie Merle, Sylvie Souleyreau, services municipaux Photographies : Mairie - Daniel Charpentier (sauf mention spéciale) Régie publicitaire : Covision Mérignac, 05 57 81 70 77 Création graphique et réalisation : Service Communication Impression : BLF - Tirage 3700 exemplaires - Dépôt légal : 1ème trimestre 2016 Contact : Mairie de Bassens 42, av. Jean Jaurès 33530 Bassens - Tél. 05 57 80 81 57 - Fax. 05 57 80 81 58 contact@ville-bassens.fr - www.ville-bassens.fr
le mot du maire Quelle est l’actu’ de ce début d’année ? Comme chaque début d’année, la préoccupation première est le bouclage du budget mais l’événement marquant aura été l’inauguration de Lesieur au mois de janvier. Au-delà de la satisfaction d’accueillir une entreprise de cette envergure, cet événement aura permis de dire aux nombreuses personnalités présentes, dont le Premier Ministre accompagné de quatre Ministres ainsi que les Présidents de Bordeaux Métropole et de la nouvelle région Aquitaine, que la commune avait joué un rôle majeur dans cette implantation, démontrant ainsi que l’échelon communal avait toujours sa pertinence. Le dynamisme de la zone industrialo-portuaire en est l’illustration : la filière de démantèlement de navires est maintenant « ancrée », l’installation de De Richebourg est en cours et l’entreprise SPBL s’agrandit. Ce fut également l’occasion de dire que la baisse des dotations aux collectivités locales, en particulier à Bassens, était très excessive, injuste et dangereuse pour l’emploi. À ce sujet, j’ai pu rappeler aux responsables des entreprises présentes que la vitalité de la ZIP devait davantage profiter aux habitants, en particulier aux jeunes de la commune. Vous avez évoqué la baisse des dotations. Comment avez-vous bâti le budget 2016 ? La baisse des dotations de l’Etat (914 000 euros en 2013, 555 000 en 2015, 295 000 en 2016) et l’augmentation de la participation aux mécanismes de redistribution pèsent lourdement dans les finances de la commune. À titre d’exemple, la dotation de solidarité versée par la Métropole baisse chaque année de 25 000 euros et la somme à verser au Fonds de Péréquation des Ressources Intercommunales est passée de 11 000 euros en 2012 à 86 000 en 2016. Pour y faire face, il a fallu stabiliser le budget de fonctionnement, afin de maintenir les investissements, et trouver de nouvelles ressources. Même si ce n’est pas dans les mêmes proportions que par le passé, le dynamisme de la Zone, renforcé par les récentes implantations d’entreprises, contribue activement à abonder le budget municipal puisqu’elle paye entre autres une part importante de la taxe foncière. Cette discipline budgétaire, qui a ses limites, nous a permis jusqu’à présent de faire face sans réduire la qualité de service au public. Cependant, les nouvelles charges qui s’annoncent et les investissements à prévoir avec la mise en accessibilité des bâtiments publics, sans oublier les opérations de rénovation urbaine du quartier de l’Avenir (Moura - Les sources - Beauval), nous obligent à augmenter le taux des impôts locaux de 1,5%. Depuis 2005, nous n’avions pas actionné le levier fiscal. C’était il y a plus de dix ans. Aujourd’hui, cette décision s’impose pour pouvoir répondre aux défis de demain. Jean-Pierre Turon Maire de Bassens, Conseiller délégué Bordeaux Métropole
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Développement Durable : conférence, ateliers et composteurs gratuits
echos
PanOramas a son « QG »… Préalablement à la Nuit Verte, manifestation tout public qui aura lieu le week-end des 24 et 25 septembre 2016 et qui s’inscrit dans le cadre de la biennale panOramas, les dispositifs artistiques alternatifs investiront le parc des Coteaux, de Bassens à Floirac en passant par Lormont et Cenon. Quant au « QG », il ouvrira à Séguinaud au mois d’avril. C’est un lieu unique qui accueillera événements, moments festifs, résidences d’artistes, repas partagés mensuels, etc. et où vous pourrez obtenir tous les renseignements liés à cet événement. Le « QG » est ouvert à tous, alors n’hésitez pas à y faire un saut. Rendez-vous vendredi 29 avril avec votre pique-nique pour le premier repas partagé.
… Et la BD a son festival Rive Droite « Métissages, rencontre entre les cultures » est le thème du 15ème festival BD « Bulles en Hauts-de-Garonne » accueilli cette année par la ville de Floirac, à la M270 précisément. Projet intercommunal autour de la lecture et des pratiques liées à la BD, le festival se décline en parcours BD et ateliers à destination des scolaires, en rencontres et expositions dans les différentes médiathèques (Bassens, Cenon, Floirac et Lormont), et en temps forts tout public les 9 & 10 avril. Zeïna Abirached, dessinatrice de BD libanaise est l’invitée d’honneur de cette édition 2016.
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Le mercredi 1er juin, la ville propose une grande soirée dédiée au développement durable avec une conférence sur le thème « Biodiversité et changement climatique », et des ateliers avec des conseillers spécialisés pour faire des économies à la maison. Des composteurs seront également distribués gratuitement, à condition de vous être préalablement inscrit. Comment faire ? Contactez simplement le Pôle des politiques contractuelles / Agenda 21 au 05 57 80 81 57, et précisez si vous souhaitez un composteur en bois ou en plastique. Ce dernier pourra être retiré le 1er juin au sous-sol de la salle des fêtes de Bassens, à l’occasion de la soirée. Pour faire votre choix de composteur : rendez-vous sur le site internet de Bordeaux Métropole, partenaire de l’opération, rubrique actualités / distribution de composteurs.
Culture & accessibilité La loi de 2005 pour « l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées » inscrit le principe de l’accessibilité de « tous à tout ». La médiathèque de Bassens contribue à cette exigence par différents dispositifs dont une boucle magnétique (le son émis est transmis directement à l’appareil auditif de la personne) à l’accueil et dans la salle de conférences et spectacles, des documents en large vision et des ouvrages en braille (fonds important appelé à s’étoffer). Afin de répondre au mieux aux attentes du public, et en particulier des personnes en situation de déficience visuelle ou auditive, la médiathèque a commencé un travail d’indexation des DVD : des logos spécifiques sont apposés sur ceux disponibles en audio description et/ou avec sous-titres français. La recherche s’en trouve ainsi facilitée, recherche également disponible via le portail de la médiathèque.
L’association peut apporter son aide à la stérilisation des chats de la rue (même très sauvages). Les chats sauvages sont ensuite replacés sur leur lieu de vie ou placés dans des familles d’accueil. La majorité des naissances apparaît dès avril-mai, il faut à tout prix intervenir avant l’arrivée des chatons pour faire stériliser un maximum de chattes errantes. Par ailleurs, l’association organise deux fois par mois des journées d'adoption pour placer les chats et chatons sociables.
www.ecole-du-chat-bordeaux.com
Permanences de la Police Municipale Permanences dans les bureaux du lundi au vendredi de 9h à 10h30 et de 13h30 à 14h30. Avenue Jean Jaurès (ancienne école) L’équipe est sur le terrain en dehors de ces horaires. Contact : 06 82 67 14 35
Recrutement des volontaires pour l’UEFA Euro 2016 Du 10 juin au 10 juillet, Bordeaux accueille le 3 ème plus grand événement sportif du monde ! Participez à l'UEFA Euro 2016 et devenez l’un des 520 volontaires recrutés par Bordeaux Métropole pour l’occasion. Inscriptions :
echos
L’école du Chat libre pour la stérilisation des chats errants
Depuis 2012, les centres 15 constituent la porte d’entrée aux soins pour la population en dehors de l’ouverture des cabinets médicaux, et restent surtout le point d’appel unique pour toute urgence 24h/24. Le 15 est avant tout réservé aux urgences de santé de jour comme de nuit. Il permet aussi d’obtenir un conseil médical ou d’accéder à un médecin de garde en dehors de l’ouverture des cabinets médicaux (nuits, week-ends et jours fériés).
Quels comportements adopter en cas de problème de santé ? Le jour / en semaine de 8h à 20h et le samedi matin : contactez en priorité votre médecin traitant, seulement en cas d’urgence, appelez le 15. La nuit et le week-end, le soir à partir de 20h, le samedi après-midi, le dimanche et jours fériés : vous avez un problème de santé qui ne peut pas attendre l’ouverture habituelle des cabinets médicaux ? Ne vous déplacez pas aux urgences : appelez le 15. En fonction de votre état de santé, un médecin vous donnera les conseils nécessaires, vous orientera vers un médecin de garde ou programmera une visite à domicile, et, en cas d’urgence, il vous dirigera vers un service d’urgence ou organisera l’intervention d’une équipe adaptée.
URGENCEodSération
à consommer avec m
-end La nuit et le week idi, le dimanche, les
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Le soir à partir de 20h
J’ai un problème de santé qui ne peut pas e attendre l’ouvertur ts habituelle des cabine médicaux
Je reçois des conseils médicaux
Le jour En semaine de 8h à
Je contacte en priorité mon
médecin traitant
www.volontairebordeauxeuro2016.fr URPS Médecins Li b é r a u x
N E Q U I T A I
jours fériés
J’appelle Je ne me le déplace pas aux urgences
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Je suis dirigé vers un médecin de garde
Je suis dirigé vers la clinique ou l’hôpital
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20h et le samedi mat
En cas d’urgence seulement, j’appelle le
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Aquitaine
Mairie de Bassens, 42 avenue Jean Jaurès - 33530 Bassens
communication ARS
Finie l’adresse compliquée avec la boîte postale en « Carbon-Blanc Cedex », il est désormais plus simple d’envoyer un courrier à la mairie.
Recourir aux urgences de façon raisonnée en apprenant à faire un bon usage du 15
Réalisation : service
Une adresse postale simplifiée pour la mairie
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LA RÉFÉRENCE DU TRAITEMENT ET DE LA VALORISATION DES DÉCHETS SPÉCIAUX IMAGINER > CRÉER > DÉVELOPPER
Innover en respectant l'homme et son environnement, c'est le défi du monde industriel. C'est aussi notre objectif. SARP Industries traite, recycle et valorise depuis plus de 30 ans les déchets dangereux et les DASRI. Nous élaborons des réponses performantes et adaptées aux industriels et aux collectivités.
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30/12/2013 15:01:46
Depuis la mise en place du premier Projet Éducatif Local en 1999, les acteurs éducatifs du territoire organisent leur action autour d’objectifs partagés. Le P.E.L. vient d’être renouvelé collectivement pour la période 2015/2020 avec comme principe fort la réaffirmation des valeurs de la République.
Un réseau de bénévoles pour plus d’égalité grâce à la solidarité des citoyens Certains élèves, qui travaillent pourtant très bien dans les petites classes ou au collège, rencontrent plus de difficultés dans leur scolarité en grandissant. Différentes études montrent que c’est souvent le manque de réseau (stage, organisation) ou de possibilité d’aide dans l’entourage qui peut faire la différence et diminuer l’ambition de certains jeunes. Partant de ce constat, la ville a mis en place un réseau de bénévoles destiné à aider et conseiller les plus de 16 ans en collaboration avec les familles. Les premiers résultats sont encourageants. Retrouvez plus d’information sur : www.ville-bassens.fr, rubrique Projets municipaux / PEL.
Renouvelé tous les quatre ans, ce document est le lien entre tous les acteurs éducatifs du territoire. Chaque partenaire s’appuie sur les objectifs du Projet Éducatif Local pour développer ses actions dans des lieux d’accueil dédiés ou sur la commune. Monique Bois, adjointe au Maire, en précise la philosophie : « Parents, enseignants, animateurs, éducateurs, bénévoles d’associations, élus, c’est toute une communauté éducative qui est préoccupée par l’évolution des enfants bassenais, aussi bien dans leur apprentissage que dans leur évolution personnelle. Le Projet Éducatif Local est le cadre dans lequel s’inscrivent les objectifs qui sont partagés par les adultes de cette communauté ».
Citoyenneté, respect, solidarité, laïcité Dès 2014 et bien avant les tristes événements récents, les partenaires du P.E.L. bassenais ont choisi de souligner l’importance de ces valeurs et de les inscrire noir sur blanc dans leur nouvelle feuille de route. « Ce sont les valeurs qui portent la co-éducation : les valeurs de la république, mais aussi du vivre ensemble, le respect, l’égalité, la solidarité, la citoyenneté, la laïcité » souligne Monique Bois. Quelques exemples d’actions : • un atelier Citoyenneté mené par une enseignante dans le cadre des ateliers temps libéré, • une pratique sportive (associations, école multisports, sport à l’école…) basée sur le Respect des partenaires, des adversaires, des éducateurs, des règles et décisions de l’arbitre, des installations et de l’environnement…, • les principes de Laïcité affirmés par la restauration à l’école, à l’accueil de loisirs et à la Maison de la Petite Enfance avec chaque jour un plat de substitution sans viande (quelle que soit la viande proposée).
Nouveau ! Le P.E.L. 2015-2020 a désormais son logo. Vous pourrez le retrouver prochainement dans les publications ou dans les bâtiments municipaux. Il servira à repérer les actions et les lieux où se vit le « Projet Éducatif Local ».
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FOCUS
Un projet éducatif partagé autour de valeurs républicaines
ville en mouvement
Voirie Avenue des Griffons Après l’intervention d’une entreprise pour la remise à niveau du terrain en début d’année, les équipes municipales des villes de Bassens et Carbon-Blanc travaillent conjointement à l’aménagement paysager de l’avenue des Griffons, avec une palette végétale diversifiée qui emploie largement les plantes vivaces et les arbustes à feuillages décoratifs.
Rue de Beaumont La Métropole intervient actuellement et jusqu’à fin avril sur une partie des trottoirs de la rue de Beaumont. Sont également prévus le changement des bordures cassées et l’amélioration des espaces de stationnement.
Désamiantage de la rue Jean Mermoz Les collectivités territoriales doivent désormais intégrer le risque lié à l’amiante lorsqu’elles entreprennent des travaux sur leurs voiries (substance interdite en raison de son risque toxique en 1997). Cette nouvelle règlementation, nécessaire sur le plan de la santé, entraîne des mesures supplémentaires et peut se traduire concrètement par l’allongement de la durée d’un chantier et des modifications de la circulation. Heureusement, les voies concernées sont peu nombreuses. Après l’avenue de la Somme en fin d’année dernière, c’est aujourd’hui la rue Jean Mermoz qui est concernée. Les travaux seront réalisés courant avril.
Patrimoine L’éolienne est de retour !
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L’éolienne du domaine de Beauval avait quitté les lieux le 30 septembre dernier pour raisons de santé : une grue de 45 tonnes et deux nacelles de 20 mètres de hauteur avaient alors été nécessaires pour la démonter. Elle a depuis suivi une véritable cure de jouvence avant d’être repeinte (une couche primaire, une deuxième en époxy et la troisième en polyuréthane). Un traitement à la fois curatif et préventif qui devrait garantir sa pérennité et son fonctionnement pour de nombreuses années encore. Les travaux ont été effectués par la société CETIMSO, une entreprise locale de chaudronnerie et tuyauterie industrielle spécialisée dans la maintenance, la mise en conformité et la restauration d’ouvrages d’art.
ville en mouvement
équipements Structure polyvalente Séguinaud Dans le cadre de la restructuration de la plaine des sports Griffons-Séguinaud, l’actuel « préau » de l’Accueil de Loisirs Sans Hébergement Séguinaud va être remplacé par une nouvelle structure destinée à accueillir le service des espaces verts de la ville, un préau de motricité pour l’accueil de loisirs ainsi qu’un préau d’activités pour les associations. Les travaux ont débuté en mars pour une livraison prévue en fin d’année. S’en suivront la démolition du bâtiment espaces verts actuel et la réfection du parking aux abords.
Du nouveau sur le parvis de l’espace Garonne L’espace Garonne, qui marque l’entrée de Bassens au sud de la ville, a désormais son emblème. Il s’agit d’une ancre marine récupérée sur un navire déconstruit à Bassens, dans la forme de radoub.
Maternelle du Bousquet Les travaux de rénovation de toiture sont terminés à la maternelle du Bousquet. Ils ont notamment permis de reprendre entièrement son étanchéité.
Deux fleurs pour Bassens ! La ville a conservé ses deux fleurs suite à la visite du jury du concours des villes et villages fleuris. Ce label récompense les actions menées par la ville en faveur de la préservation d’un environnement durable, de la valorisation du patrimoine paysager et végétal et de l’amélioration du cadre de vie.
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focus FOCUS
Une démarche expérimentale pour les riverains soumis aux risques industriels
Le PARI de la ville de Bassens est animé par Soliha (ex PACT Habitat et Développement de la Gironde) qui s’est chargé notamment auprès des habitants des visites techniques des logements, de l’accompagnement dans la constitution des dossiers administratifs, de financement et de la réception des travaux.
Bassens fait partie des sept villes pilotes qui expérimentent le Programme d’Accompagnement des Risques Industriels (PARI). Ce dispositif permet, avec le ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie, d’accompagner les riverains de sites industriels « à risques » dans la réalisation des diagnostics de protection des logements, la définition des travaux de renforcement nécessaires, la demande de devis aux artisans et le suivi du chantier. Après une phase administrative d’accompagnement et de diagnostic (2013 à 2015), les travaux ont concrètement commencé chez les habitants en novembre dernier.
Un renforcement de la résistance des menuiseries Pour l’essentiel des logements, cela consiste à remplacer les menuiseries pour s’assurer de leur résistance en cas d’accident entraînant une surpression. Les entreprises sélectionnées pour les travaux doivent répondre à un cahier des charges très précis édicté par l’Etat. « Il faut dire aux riverains concernés de ne pas avoir d’appréhension. Les entreprises qui interviennent sont très pros. » confie M. Torcoletti, un habitant chez qui les travaux battent leur plein. « Elles nous expliquent point par point et trouvent des solutions spécifiques pour chacun en assurant les finitions et en respectant les murs et les sols. Ils ont même réussi à colmater une fuite sur une fenêtre de toit que nous subissions depuis des années sans trouver de solution ». Pour les entreprises qui interviennent, ces chantiers sont exemplaires à plus d’un titre. Les fournisseurs au niveau des produits, et les poseurs dans la mise en œuvre, ont dû développer de nouveaux procédés permettant de répondre aux contraintes très spécifiques imposées par le Plan de Protection des Risques Technologiques (voir ci-contre). Pour M. et Mme Fort (en photo), les travaux sont achevés et révèlent d’autres aspects positifs : « Le bruit de l’usine Michelin voisine est très atténué. L’isolation est sans conteste bien meilleure ; en plus de l’amélioration de la sécurité, nous devrions faire des économies d’énergie ». Pour le Maire, Jean-Pierre Turon, la satisfaction vient également du financement. « Les élus se sont engagés tout au long du processus pour que les industriels, à l’origine du risque, l’Etat et les collectivités territoriales prennent en charge à 100 % les travaux ». Sur ce point également, le « PARI » aura été tenu.
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Les Plans de Prévention des Risques Technologiques Les PPRT ont été institués suite à la catastrophe de l’usine AZF de Toulouse en 2001. Ils ont pour objectifs, en matière d’urbanisme, de résoudre les situations héritées du passé et de mieux encadrer l’urbanisation future. 2 PPRT à Bassens • une zone regroupant les établissements Docks des Pétroles d’Ambes, Foresa et S.I.M.O.R.E.P. / Michelin et leurs riverains proches (58 logements) • une zone regroupant l’établissement CEREXAGRI et ses riverains (14 logements)
SERVICE DE DIFFUSION AUTOMATIQUE D’APPELS EN CAS D’URGENCE
Afin d’informer au mieux ses habitants, en cas de besoin (crue, tempête, accident...), la commune s’est équipée en 2008 d’un système automatique d’appels permettant de joindre rapidement les personnes concernées par une alerte. Le système prévient par un message vocal ou un SMS les numéros de téléphones fixes ou portables recensés par catégorie de risque (exemple : en cas d’incident industriel, les habitations incluses dans le périmètre de sécurité de l’entreprise concernée).
Le fichier est constitué par nos soins. Vous avez un droit de modification ou de retrait de vos coordonnées à tout moment. Aucune exploitation commerciale ne sera faite de cette liste. La décision du déclenchement d’une alerte sera systématiquement prise par le Maire en personne ou son représentant officiel. Aucun abus ou usage intempestif de vos coordonnées n’est donc à craindre.
Chaque message sera bien identifié comme étant émis par la Mairie de Bassens. Il est important de communiquer des numéros de portables pour pouvoir vous joindre le week-end ou en soirée en cas de risques avérés. Nous vous remercions de nous prévenir de tout changement.
Renseignements complémentaires : service communication - 05 57 80 81 57
HABITANTS - COMMERÇANTS - ENTREPRISES transmettez nous vos coordonnées !
Nom : ................................................................................................................................... Prénom : .............................................................................................................................. Adresse complète : ............................................................................................................. Déclare demander à la mairie de Bassens d’intégrer dans sa base de données de diffusion automatique d’appels en cas d’urgence mes numéros de téléphones indiqués ci-après : téléphone mobile 1 :.................................................................................................. téléphone mobile 2 :.................................................................................................. téléphone fixe 1 : ...................................................................................................... téléphone fixe 2 : ...................................................................................................... En cas de déménagement, changement d’opérateur, etc. postérieur à cette demande et non signalé, la ville ne sera pas tenue responsable de la non-réception d’un message d’alerte.
Date :
Signature :
Coupon à retourner >> Service communication : Mairie de Bassens - 42, Avenue Jean Jaurès 33530 BASSENS
Inscrivez-vous en ligne sur www.ville-bassens.fr
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decryptage
2016
en quelques mots Entre 2013 et 2016, l’Etat a divisé par trois les financements pour Bassens. Entre 2012 et 2016, la contribution de la ville au Fonds de Péréquation des Ressources Intercommunales au profit de la Métropole est passée de 11 000 à 86 000 €. Les dépenses, même contenues, augmentent naturellement, les recettes diminuent fortement... et si la situation perdure, les courbes se croiseront (les dépenses deviendront supérieures aux recettes) : c’est « l’effet ciseau ». Afin d’éviter ce risque budgétaire, la commune et les associations de Bassens ont fait des efforts importants depuis plusieurs années. Aujourd’hui, malgré ces efforts, la baisse des recettes est trop rapide. Ce constat sans appel a conduit le Conseil municipal à envisager une hausse minime de la fiscalité, afin de pouvoir garantir à tous les Bassenais la même qualité de services publics qu’auparavant et ne pas compromettre l’avenir.
t € g d u B le
les contraintes budgétaires ts des financemen en baisse
-46.85%
913 000€ 555 000€
dotations de l’état 2015-2016
295 000€ 2013
2015
2016
2018
Cette baisse s’accompagne de celle de la participation des partenaires institutionnels, qui, soumis aux mêmes contraintes financières, se désengagent chaque année un peu plus.
ns des contributio en hausse
+41,09%
mecanismes de redistribution 2015-2016
86505€ 57775
23505€ 2013
2015
2016
2018
des efforts de gestion
-3,72% Charges générales fonctionnement des services municipaux (énergie, fournitures....)
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de -0,48% charges personnels grâce à une réduction des effectifs et malgré l’évolution automatique des carrières (+2,7% à effectif constant)
-4,50% autres charges dont subventions aux associations (-3%)
une exigence : maintenir la qualité de services social, santé, logement
des dépenses de fonctionnement stabilisées
13M€
4€
remboursement de la dette
4,5€
Bassens
17
gestion des services
m€
32,5€ où va l’argent ?
100€
des investissements réduits mais de bon niveau à l’échelle de la ville
4M€
Priorités en 2016 : achèvement des programmes lancés et réfection du patrimoine exist ant Fin de l’aménagement de la plaine des sports Griffons/Séguinaud
enseignement, périscolaire, enfance
Suite de l’aménagement paysager à Beaumont Réfection de la toiture de l’école François Villon
18€
aménagements, services urbains, environnement
Travaux de voirie avenue de la République
culture, sport, loisirs
Subventions d’équipements au titre des 2 PPRT (voir page 10)
23€
Lancement de la mise en accesibilité des équipements publics
18€
Lancement des études pour la restructuration de l’ensemble scolaire Rosa Bonheur / Frédéric Chopin
un budget global en légère baisse
le levier fiscal : un choix de raison
+1,5%
?
Afin de maintenir le niveau de service actuel tout en poursuivant les investissements nécessaires au développement de la commune, l’ensemble du Conseil Municipal a voté une revalorisation des taux, inchangés depuis 2005.
+11,73%
en moyenne d’augmentation des taux pour les ménages en France entre 2006 et 2015
taxe d’habitation tous les habitants
ce qui change 20,64 %
20,95 % en 2016
23,71 %
24,07 % en 2016
31,89%
32,37 % en 2016
en 2015
foncier bâti propriétaires habitants / entreprises
en 2015
foncier non bâti les propriétaires habitants / entreprises
en 2015
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focus
Les chiffres clés
Le défi des familles à énergie positive Le concours « Familles à énergie positive » propose à chacun de participer à un nécessaire changement de comportement, de façon concrète et conviviale. Les foyers volontaires sont appelés à former une équipe de plusieurs familles, pour représenter leur quartier ou leur commune, avec l’objectif d’économiser le plus d’énergie possible à la maison (chauffage, eau chaude, équipements domestiques…). Chaque équipe désigne son capitaine, échange astuces et conseils pratiques, s’entraide et se motive…
L’énergie la moins chère est celle qu’on ne dépense pas Les ménages participants ont fait le pari d’atteindre au minimum 8 % d’économies d’énergie, du 1er décembre 2015 au 30 avril 2016. Cela représente une économie de 130 € sur les factures acquittées par chacun, par rapport à l’année précédente. Tous les foyers engagés ont reçu un kit d’économie d’énergie et d’eau, ils sont également accompagnés par des conseillers info énergie pour changer leurs habitudes au quotidien, sans que cela affecte le confort de leur maison. Des formations et des ateliers thématiques (chauffage, équipements électriques, isolation, eau…) sont également proposés aux participants. Un site web dédié est mis à disposition des familles. C’est à souligner : ni investissements lourds, ni travaux particuliers, ne sont nécessaires. Au total, ce sont 18 équipes et 170 familles de communes volontaires de l’agglomération bordelaise qui sont inscrites dans le dispositif. Bassens compte une équipe de 16 familles, la plus grande de l’agglomération. Les « Bass’ Tension » (c’est le nom que les habitants se sont choisi) sont encadrés par deux capitaines, Odile Roy et Michel Hibon, qui les encouragent et leur donnent des conseils.
Des rendez-vous périodiques Tous les candidats ont été réunis à la veille de la COP 21, le samedi 28 novembre 2015, à l’hôtel de Bordeaux Métropole. Présentation du défi et des techniciens qui accompagnent les foyers, remise des kits d’économie d’énergie, finalisation des équipes et désignation des capitaines… ce moment a véritablement lancé le défi. Après une restitution des résultats des équipes à mi-parcours, en mars 2016, un événement de clôture est prévu en juin, pour présenter les résultats définitifs et récompenser les foyers participants.
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70 000 personnes engagées dans le défi depuis son lancement en 2008 De fortes économies sur la période 2014/2015 :
200 € sur les factures d’eau et d’énergie
151 MWh (l’équivalent de la consommation annuelle d’électricité de 43 foyers) 806 m³ de d’eau (l’équivalent de 13 piscines) 23 tonnes de CO²
(soit six fois le tour de la terre en voiture)
Les permanences
Conseils pratiques, informations objectives et impartiales, projets de construction et de rénovation des particuliers, isolation, chauffage, lecture de devis, aides financières... Une permanence du conseiller info énergie (Ademe) a lieu en mairie le second vendredi de chaque mois.
ADEME - Maison de la Promotion Sociale 05 56 77 33 23 / 05 56 77 33 80 eie@mps-aquitaine.org Mairie de Bassens - Mission Agenda 21 - 05 57 80 81 57
rencontre
Une famille bassenaise à énergie positive Carine, Nicolas Pellerin et leurs deux enfants se sont installés à Bassens il y a quatre ans et demi. Ils habitent une maison chaleureuse dans le quartier des Datz : « Bassens est une ville où il fait bon vivre. Nous avons été étonnés par le nombre d’activités proposées. Nous sommes très bien ici. » C’est Alexandre Rubio, conseiller municipal délégué qu’ils connaissent par ailleurs, qui a parlé au couple de cette démarche. « Il nous a expliqué le principe et nous avons rapidement accepté de participer. »
Ne pas renoncer au confort
que nous sommes entrés dans le dispositif, j’ai aussi changé progressivement les ampoules et nous faisons plus attention aux appareils en veille. Nous avons aussi équipé les toilettes d’un système à double chasse d’eau. » Lors de la rencontre de lancement, la famille a reçu un kit avec un dispositif de réduction d’eau, une multiprise avec interrupteur, des réducteurs de débit pour les robinets, un sablier pour la douche… Pour la famille Pellerin, le défi des familles à énergie positive est une belle initiative qui permet de se rendre compte des enjeux et d’apprendre de nombreux trucs et astuces utiles au quotidien et qui permettent de faire de réelles économies. Chaque mois, Nicolas vérifie simplement les consommations d’eau et d’électricité et les reporte sur un site Internet dédié. C’est très simple.
Faire des économies oui, mais d’énergie, tout de suite cela peut paraître moins attractif. On peut imaginer une maison sans chauffage ou presque avec une petite famille grelottante Accompagnés au quotidien regroupée sous une couverture devant un Les familles ne sont pas isolées puisqu’elles se retrouvent poêle poussif, satisfaite d’aider la planète régulièrement lors de rassemblements ou d’ateliers. Les deux mais gelée… Carine amusée, nous rassure : capitaines, Odile Roy et Michel Hibon, sont aussi là pour encourager « Mon père est un vrai écolo, et à la maison, et aider les 16 familles bassenaises. c’était particulier quand j’étais « Les enfants Et les enfants dans tout ça, comment participent-ils ? petite. Pour autant, aujourd’hui, « On les incite à éteindre les lumières quand ils quittent si je suis tout à fait d’accord pour sont les une pièce, à fermer la porte quand ils courent jouer faire attention, il est important éco-citoyens dehors… C’est important aussi de les sensibiliser, ce sont pour nous de conserver un les écocitoyens de demain » rappelle Carine. de demain » certain confort. Je crois que c’est Prochaine étape, le rendez-vous du mois de juin avec tout l’objet de la démarche. » le regroupement des familles et les résultats pour connaître les vainqueurs 2016 « du défi ». Même si tous les participants ont déjà Faire des économies gagné avec de belles économies et la satisfaction d’avoir agi pour la Pas de grands travaux, on ne baisse pas le planète et les générations futures. thermostat à 15°. L’objectif est réellement de faire des économies substantielles grâce Smartphone : 2h pour charger... 8h branchés ! à des astuces et de petites évolutions du comportement, mais sans se priver du Évitez de brancher votre chargeur la nuit. Pour 8 h de charge, confort moderne. Nicolas explique : « Nous il consommera l’équivalent de quatre chargements ! Selon étions déjà attentifs à beaucoup de choses l’Ademe, en France, deux réacteurs nucléaires tournent à plein auparavant, notamment à ne pas gaspiller régime, uniquement pour produire de l’énergie inutilement l’eau, à éteindre les lumières. Mais depuis perdue dans les veilles. www.ademe.fr
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Donnez votre avis !
Le questionnaire est à découper, à compléter et à retourner à la Mairie de Bassens, 42 avenue Jean Jaurès, 33530 Bassens, à déposer à l’accueil ou à compléter sur internet : www.ville-bassens.fr
les horaires d’ouverture des services municipaux Dans un objectif d’amélioration constante de la qualité de services au public, nous sollicitons votre avis sur les horaires d’ouverture des services municipaux. Horaires Médiathèque Horaires Mairie lundi-mercredi-vendredi : 9h-12h et 13h30-17h mardi et jeudi : 9h-12h et 13h30-18h Permanence Etat-civil le samedi matin de 9h à 12h
Mardi : 15h-18h Mercredi : 10h-12h et 14h-18h Jeudi : 17h -18h Vendredi : 10h-14h et 15h-18h Samedi : 9h30-12h et 13h30-16h30
1. Fréquentez-vous régulièrement les services municipaux ? oui
non
2. Quel(s) service(s) venez-vous consultez ? État civil, élections et formalités administrative
Service logement
Éducation, Enfance, Jeunesse
Médiathèque / Culture
Vie associative et sportive
Police municipale
Maison de la Petite Enfance
Services techniques, urbanisme, environnement
CCAS
Communication, jumelage, démocratie participative
Seniors
Autre : .............................................................
3. Les horaires d'ouverture vous semblent-ils... pratiques
moyennement pratiques
pas pratiques
4. Quelles sont vos suggestions pour nous permettre d’améliorer les horaires de la Mairie ?
la fête locale Les élus de la ville de Bassens réfléchissent actuellement à l’opportunité pour 2017 d’une refonte de la fête locale « Bassens en fête » qui se déroule chaque année, le troisième week-end de juillet, au parc Beaumont ? 1. Pensez-vous qu’il soit utile de modifier : le lieu La date La programmation
2. Avez-vous des suggestions ?
grand angle
DĂŠmocratie participative, tous acteurs ! 17
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La démocratie participative : l’affaire de tous ! Conseils de quartier, conseils de jeunes, d’anciens, concertation sur des projets… On entend de plus en plus parler de « démocratie participative » et de nouvelles formes de « participation citoyenne ».
!?
En quelques mots, la « démocratie participative » désigne l’ensemble des dispositifs et des procédures qui permettent de faciliter l’implication des citoyens dans la vie politique et d’accroître leur rôle dans les prises de décisions. Tout ceci peut sembler un peu compliqué, et pourtant, il s’agit simplement de donner la parole et la possibilité de s’impliquer davantage aux « individus ordinaires », aux citoyens, usagers, riverains… À nous tous en fait.
Pour quoi faire ? On dit parfois que la démocratie participative trouve son fondement dans les lacunes de la démocratie représentative. Pourquoi ? Le système démocratique français tel qu’il existe aujourd’hui est un système de démocratie représentative : il nous permet d’élire régulièrement nos représentants (maires, conseillers départementaux, président de la république…), de l’échelle locale à l’échelle nationale. Si notre vote est incontestablement un acte citoyen, pour la plupart d’entre nous, il est également la seule occasion de participer au débat démocratique.
Comment ça marche ? Les démarches d’implication des habitants dans les évolutions et les projets des villes se multiplient et peuvent prendre plusieurs formes. Analyser ensemble, échanger, questionner, discuter… toutes ces démarches n’ont pas pour ambition de transférer le pouvoir de décision aux habitants, mais bien de faire entendre leurs voix, de renforcer la démocratie et d’accroître le rôle des citoyens dans la vie publique. Participer, c’est devenir acteur ! Au final, les citoyens peuvent participer à plusieurs niveaux : être informés plus facilement et plus directement, consultés, associés… • L’information est indissociable des processus de participation : magazine municipal, agenda mensuel, site Internet, articles de presse, réunions publiques... bien informés, vous pouvez mieux participer ! • La consultation permet aux décideurs de demander l’avis de la population. Ceci n’implique pas que les remarques ou contributions soient totalement prises en compte, mais bien qu’elles soient intégrées aux réflexions et aux débats avant la prise de décision du Conseil Municipal. • La concertation permet un dialogue sur une ou plusieurs phases définies d’un projet. Les avis sont partagés, soumis à débat et argumentés jusqu’à la décision finale des décideurs (élus, bailleurs…). • La co-construction est la forme la plus poussée de participation : élus, techniciens et habitants travaillent ensemble sur un projet et le mènent à bien de A à Z en fonction des contraintes et objectifs de chacun… toujours dans l’intérêt de tous !
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La démocratie participative a donc pour objectifs de : • réduire les décalages entre les citoyens et leurs représentants (institutions, élus, décideurs…), • recréer du lien entre les habitants eux-mêmes, • renforcer la participation de chacun dans l’intérêt de tous.
La démocratie participative à Bassens… on continue !
Le groupe citoyen 21 et le développement durable
Le comité de veille pour la sécurité de tous Le comité de veille de Bassens réunit des élus, des représentants d’associations bassenaises et des habitants intéressés par les questions de sécurité et d’environnement dans la zone industrialo-portuaire. Il visite régulièrement les entreprises pour échanger sur leurs pratiques et conserve une vigilance continue.
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En tant que Bassenais, vous avez tout au long de l’année la possibilité de rencontrer vos élus, assister aux Conseils Municipaux, consulter les délibérations, poser vos questions… Mais vous pouvez aussi aller plus loin, vous investir dans la vie de la ville et rejoindre des instances citoyennes. Plusieurs instances existent déjà.
Un doute ? Un incident ? Un formulaire de contact est à votre disposition sur www.ville-bassens.fr rubrique développement durable
Composé aujourd’hui d’une dizaine de membres volontaires, le Groupe citoyen 21 émet des avis, des analyses, des préconisations et des propositions d’actions sur les questions en lien avec le projet territorial de développement durable de la ville et la qualité de vie de tous. Depuis 2013, le groupe citoyen 21 repère, recense et étudie les arbres à remarquer présents sur le territoire bassenais. Retrouvez le projet sur www.mediaculture. ville-bassens.fr – rubrique Patrimione végétal
Vous souhaitez les rejoindre ? Contactez la mairie au 05 57 80 81 57
Vous voulez les rejoindre ? Contactez Elodie Boudé au 05 57 80 81 57
Le conseil citoyen du quartier de l’avenir Depuis plus d’un an, le conseil citoyen du quartier de l’avenir regroupe des habitants de la résidence Beauval, du hameau des Sources, du quartier Prévert/le Moura et de la résidence Laffue. Il a avec pour objectifs de rassembler, mobiliser et donner la parole aux habitants sur des projets qui les concernent. Ils ont déjà travaillé ensemble sur différents projets au bénéfice des habitants : éclairage, aménagement du chemin vers l’arrêt de bus de la rue Georges Clémenceau, fête de l’Avenir, qui a réuni les habitants lors d’un après-midi convivial… Vous habitez ce quartier ? Vous souhaitez les rejoindre ? Contactez la mairie au 05 57 80 81 57
et aussi...
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Habitantes, habitants, vous avez la parole ! Pour compléter les instances existantes, l’année 2016 voit le lancement des relais citoyens. Ce sont des espaces de parole ouverts à tous, pour aborder la vie dans son quartier, les problématiques, les solutions, les projets, les idées. Et, pourquoi pas, tout simplement se rencontrer entre Bassenais. Les premières réunions des 3 relais se sont tenues aux mois de janvier et février. Elles ont donné lieu à des échanges déjà très fructueux entre habitants, et entre les habitants et la ville. Un élu référent est nommé pour chaque relais, mais les « pilotes » en sont avant tout les habitants. Familles, couples, célibataires, jeunes et moins jeunes, toutes les tranches d’âges sont représentées. Vous appartenez forcément à un relais citoyen. Toutes les idées sont bonnes à étudier et à partager alors, n’hésitez pas à vous en rapprocher et à vous impliquer dans la vie de votre quartier.
La naissance des relais A l’occasion de la Fête des quartiers en septembre 2015, il a été proposé aux habitants, en marge de la soirée festive, de se prononcer sur la démocratie participative : ce que cela représentait pour eux, ce qu’ils en attendaient, comment lui donner corps ? L’idée étant de mettre en place des instances participatives gérées par et pour les habitants. La ville impulsant et accompagnant la démarche, avec comme objectif de donner la parole, de créer ou de renforcer le lien avec les habitants, mais aussi entre eux. Un découpage de la ville en 3 zones a été proposé : nord, centre-bourg et sud, découpage basé sur le nombre de foyers, environ 1000 pour chaque zone (voir ci-contre). Le relais des Vignes (nord), le relais Château d’Ô (centre-bourg), et le relais de l’Escale (sud) sont lancés !
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Comment ça marche ? Chaque relais est indépendant : pour chacun, habitants et élus doivent définir une charte commune, des modalités de fonctionnement (fréquence des réunions, gouvernance, organisation, etc.). Mais les premières réunions ont montré l’enthousiasme des participants : des pistes de travail, des idées, des projets et des solutions ont déjà émergé.
Le rôle de l’élu référent Les relais sont avant tout pilotés par les habitants. L’élu représente la ville au sein de l’instance, il est là pour faire le lien entre le relais et la municipalité et pourra, par exemple, partager des informations sur les projets et leurs avancées. À l’inverse, il fera remonter les préoccupations des habitants et veillera à la prise en compte de leurs observations dans le cadre de temps de concertation.
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Relais citoyen « des vignes »
Adjointe de secteur : Josyane Maestro Élu Suppléant : Alexandre Rubio
Relais citoyen « Château d’Ô »
Adjointe de secteur : Dominique Priol Élue suppléante : Marie-Claude Peret
Relais citoyen « de l’escale »
Adjoint de secteur : Nicolas Perré Élue Suppléante : Marie-Claude Noël
« Nous nous engageons dans les relais citoyens car nous croyons à la diversité populaire. Nous souhaitons que les quartiers trouvent un nouvel élan. Nous avons envie de connaître nos voisins et de voir autour de nous quelles sont les préoccupations de chacun en matière de sécurité ou de confort de vie, et d’accomplir des choses ensemble. » Famille Pas / Lassalle
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Paroles d’habitants...
« Sans oublier les personnes âgées, notre quartier a vu un changement ces derniers temps, se remplissant d’une nouvelle génération de toutes origines. Bassenaise heureuse de m’impliquer dans la vie de mon quartier et de ma commune, j’ai envie d’apporter mon soutien. Comme par exemple à mes chers voisins de la résidence Laffue, William et Bernard, pour lesquels j’ai une pensée, je partage leur douleur car la perte de leurs chiens leur a laissé un grand vide, je suis là pour eux, on est là ensemble, on peut dépasser notre souffrance et avancer main dans la main.» Badia Jerjini
que l’Etat ne payait plus les livres aux familles. Avec plusieurs parents, nous créons une association chargée de réparer les ouvrages et de créer une bourse aux livres… Depuis ce jour, je n’ai plus quitté les associations bassenaises. »
rencontre
A la même époque, vous rejoignez la Fédération Nationale des Anciens Combattants d’Algérie…
« La section Bassenaise de la FNACA recherchait des membres ; on m’a sollicité et j’ai retrouvé à cette occasion de nombreux copains d’école, dont certains perdus de vue. Je suis aujourd’hui responsable de secteur et Vice-Président de la FNACA Gironde en charge des thématiques sociales. Nous avons innové en étant les premiers à intégrer officiellement les veuves au sein de la section, une révolution pour l’époque ! » En 1995, vous devenez tuteur au sein d’une autre association…
Christian Dubois, une vie d’engagement La poignée de main est franche, le sourire chaleureux. C’est avec beaucoup d’humilité que l’actuel Président des Restos du cœur de Bassens nous a accordé un peu de son temps pour nous décrire son parcours associatif ; un parcours fait de rencontres, d’échanges et de générosité. Une ode à l’altérité qui, malgré la pluie battante et la grisaille, a ajouté un peu de couleurs et de chaleur à notre journée !
« C’était pour le chantier école de l’éolienne Bollée à Beauval. J’ai suivi une formation pour cela, c’était très intéressant. On a travaillé avec des jeunes compagnons chargés de remettre en état l’éolienne. 17 ans après, je suis encore là, tous les jeudis, à travailler pour la valorisation du domaine de Beauval. » Les Bassenais vous connaissent surtout en tant que Président des Restos du Coeur ?
« C’est André Videau, élu de Bassens, qui m’a appelé. La ville avait été dans les premières à ouvrir une section en 1986. Il faut dire qu’ici, il existait déjà une soupe populaire. Bassens Actu - On vous a senti très ému lorsque vous avez reçu la médaille de la ville des mains du Maire… « Être bénévole, Et depuis 1996, j’en suis le Président. Vous savez, personne c’est donner ne vient ici de gaieté de cœur. J’ai Christian Dubois - « Honnêtement, je ne m’y attendais pas. C’est pour moi un moment inoubliable et la première un tout petit vu des gens qui pleuraient lors de fois que j’obtiens une telle distinction. » peu et recevoir leur inscription. Ils nous confient part importante d’intimité énormément » une Bassens est votre ville de cœur, que pensez-vous et nous développons un grand de son évolution ? respect réciproque. » « Je suis né ici et j’y ai vécu une grande partie de ma vie… il y a eu tellement d’évolution... l’urbanisation dans les années 60, les transformations de Les habitants hésitent parfois à ces dernières années… La ville a racheté dans le passé de nombreux s’investir dans les associations, avezdomaines et cela avait même été critiqué par certains à l’époque. On vous un message pour eux ? se rend compte de l’importance de ce choix quand on se promène « Être bénévole, c’est donner un tout petit peu aujourd’hui à Séguinaud, à Panoramis ou à Beauval. » et recevoir énormément. Dans une société de plus en plus individualiste, les associations Comment a commencé votre engagement dans la vie restent des lieux exceptionnels d’entraide et associative Bassenaise ? de fraternité, pour les bénéficiaires bien sûr, « Par hasard ! J’assiste à une réunion publique en 1973 où j’apprends mais aussi pour nous, les bénévoles. »
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Kleinostheim est une charmante bourgade située en Allemagne, en Bavière précisément, à 50 Km de Francfort. Et encore plus précisément : à 1300 km de Bassens.
Le programme (sous réserve de modification)
Samedi 14 mai 2016 18h : Cérémonie officielle de jumelage à l’Espace Garonne et animation musicale, gratuit, tout public Dimanche 15 mai 2016 19h : Concert de Steel Drum à l’Espace Garonne, gratuit, tout public
rendez-vous
Venez fêter 35 ans d’amitié avec Kleinostheim !
20h30 : Repas festif du jumelage, avec la participation musicale de la Banda, du MuzikVerein de Kleinostheim et du groupe « Musique seventies » Exposition d’Ombres et lumières et du photo-club de Kleinostheim. réservé aux participants du jumelage Kleinostheim c’est vert, c’est paisible, la ville est située entre une forêt et un fleuve (le Main), et c’est peuplé par les « Kleinostheimer » qui, nous avons beaucoup de chance, sont nos amis depuis l’officialisation du jumelage en 1981. Bassens est jumelée avec Kleinostheim depuis 1981. Les années écoulées ont été riches en échanges : scolaires, sportifs ou de loisirs. Ils ont permis à de nombreux Bassenais de découvrir la culture allemande grâce à l’accueil, toujours très chaleureux, au sein de familles de Kleinostheim. En retour, les Bassenais ont toujours accueilli à bras ouverts nos amis allemands dans le cadre d’événements, de séjours, de visites. Les témoignages de ce lien entre Bassens et Kleinostheim sont nombreux dans la ville : de la stèle du parc Rozin (inaugurée en 1996), en passant par la bitte d’amarrage du square de la République (offerte en 2001 et installée près de la salle des fêtes lors de son inauguration en 2011) à la fontaine du parc de l’Europe (inaugurée en 2011). Devant le succès des échanges scolaires annuels, des ateliers thématiques sur les villes jumelles sont proposés depuis 2014 dans le cadre des ateliers temps libérés. Avec Kleinostheim, il faut souligner le lien « sportif » : dès le début du jumelage, les échanges ont rapidement pris des allures de compétitions ou de défis. Tournoi de foot entre les équipes allemandes et françaises, rallye pédestre, cycliste et, tout récemment, les cyclotouristes bassenais ont rallié Kleinostheim à vélo afin d’aller y célébrer les festivités du 35ème anniversaire de jumelage. C’est au tour de Bassens d’accueillir ces festivités au mois de mai 2016 (programme ci-contre). Tous les Bassenais qui sont tentés peuvent rejoindre l’organisation de ce temps fort et participer à ce week-end de fête !
Vous souhaitez participer à l’accueil d’un couple ou d’une famille allemande, contactez nous !
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Projet doudou : ils sortent de l’ombre ! A partir de mars et jusqu’à sa traditionnelle fête de fin d’année (le 2 juin), l’équipe de la Maison de la Petite Enfance lève le voile sur ces partenaires du quotidien, les bichonne et les place sous les projecteurs : c’est le projet doudou ! Peluches, mouchoirs, jouets, couvertures… les souvenirs de nos doudous nous amusent, nous rassurent ou nous consolent. Pour nos enfants aussi, les doudous sont des alliés très importants et les professionnels de la Maison de la Petite Enfance l’ont bien compris. Le « doudou », sous toutes ses formes, est avant tout un objet « transitionnel », c’est-à-dire un objet connu et rassurant qui permet à l’enfant de passer de la maison à la nounou ou à la crèche sans trop d’inquiétudes et de s’endormir calmement. Tous les enfants n’en possèdent pas forcément un unique et identifié : ils peuvent en avoir plusieurs, des discrets, ou entretenir des petits rites rassurants, comme sucer son pouce, chanter une chanson ou lire une histoire.
Pourquoi ? Comment ? Jusqu’à quel âge ? Parler « doudou », c’est surtout l’occasion de parler de l’enfant, de son bienêtre, d’échanger avec les parents et de créer du lien entre tous. Tous les visiteurs réguliers du lieu (conteuses, musiciens…) ont d’ailleurs été informés : cette année, les doudous sont à l’honneur, alors on les fait participer aux activités et chacun joue le jeu. Deux intervenants plus spécifiques ont rythmé ce projet. Jeanne (la comédienne Cécile Maurice) est une véritable bienfaitrice. Elle accueille dans sa petite tente les enfants, leurs parents et leurs doudous qu’elle soigne, écoute, console et requinque. Car oui, il faut être en bien bonne forme pour être doudou à temps complet ! Jeanne recueille aussi les doudous abandonnés, perdus ou un peu amochés et s’applique à leur refaire une santé en attendant qu’une famille bien intentionnée se décide à les adopter et à leur donner toute la tendresse dont ils ont besoin. Elle compte bien sur la fête de la Maison de la Petite Enfance pour ça ! Les familles aussi ont joué le jeu. Chacune a ainsi renseigné le CV de son doudou : ses passions, son caractère… contribution qui permettra au photographe Michaël Tirat de mettre en scène ces stars de l’année. Ces portraits uniques et atypiques seront ensuite exposés lors de la fête de fin d’année. Chaque enfant pourra bien sûr repartir avec le portrait de son doudou.
Le 12 mai - 19h15 à la MPE Conférence « C’est quoi un doudou ? » Le 2 juin Retrouvez tout ce petit monde à l’occasion de Festiv’doudous à Séguinaud
Faites découvrir Bassens, vous avez carte blanche ! Vous pouvez nous proposer des sujets d’articles pour cette rubrique : personnalités, informations insolites, lieux méconnus... communication@ville-bassens.fr
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carte blanche
« Bonjour, je m’appelle Saucisse. Je m’étais perdu et on m’a recueilli à la Maison de la Petite Enfance. Mademoiselle Jeanne s’est bien occupée de moi et maintenant que je suis en pleine forme, je passe mon temps à jouer avec les enfants. Mais il me tarde d’avoir ma famille à moi. Il paraît qu’à la fin de l’année, on pourra m’adopter… vivement ! »
instantanes
17 fév. / Jeu, Joue ! / médiathèque
janv. / Carnet de voyage médiathèque
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12 fév. / Histoire(s) d’amour médiathèque
4 mars / Antoine Guilloppé médiathèque
30 janv. / Baby Basket Gymnase du Bousquet
15 janv. / Concours de décorations de Noël / médiathèque
19 mars / Carnaval de la ville
27 fév. Les coteaux de Bassens
11 fév. / Rêves en corps médiathèque
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instantanes
Inauguration de l’usine Lesieur le 15 janvier Le maire de Bassens, Jean-Pierre Turon, assistait aux côtés de nombreuses personnalités politiques à l’inauguration de l’usine Lesieur. Cet investissement industriel du groupe Avril s’accompagne par ailleurs d’un engagement fort en faveur de l’accès à l’emploi des jeunes et des personnes les plus fragiles dans les filières agro-industrielles, dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville et en milieu rural. Manuel Valls, Premier ministre, Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt, et Patrick Kanner, ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports, ont signé avec le groupe Avril une convention de partenariat dans le cadre de la charte « Entreprises & Territoires ». Ainsi, l’usine Lesieur et le groupe Avril s’engagent notamment à recruter en alternance 400 jeunes d’ici à 2018.
Des plans de mise en sureté pour les écoles Les risques (industriels, inondations, incendies...) nécessitent une préparation et une anticipation afin d’assurer la sécurité des personnes et des biens. La sécurité des élèves est prise très au sérieux et chaque école de la ville doit mettre en œuvre les procédures et actions nécessaires selon la nature du risque. L’ensemble de ces procédures, et les outils adéquats, sont regroupés dans le Plan Particulier de Mise en Sûreté (PPMS), élaboré et mis à jour annuellement sous la conduite de chaque responsable d’établissement. En marge des consignes (procédures, recommandations, information des familles, répartition des missions, bons réflexes, etc.), des mallettes ont été constituées et délivrées (packs d’eau, talkie-walkie, couvertures isothermiques, pansements, matériel médical de première urgence...). Des exercices de confinement ont eu lieu dans les écoles aux mois de décembre 2015 et janvier 2016.
Voté en conseil ! le 22 mars
• Le budget 2016 • La demande de subvention pour la création de vestiaire et de tribune pour la plaine des sports Griffons / Séguinaud • Le schéma directeur du Projet numérique de Territoire (2016-2020) Retrouvez l’ensemble des délibérations et compte-rendus de conseils sur : www.ville-bassens.fr
Christian Dubois, médaillé de la ville 19 janvier Lors de la cérémonie des voeux aux associations, aux entreprises et aux corps constitués du 19 janvier dernier, Christian Dubois a reçu la médaille de la ville. Cette distinction récompense un engagement associatif permanent depuis 1973.
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EXPRESSIONS POLITIQUES
Parole de la Majorité : « Continuons ensemble pour Bassens » Groupe P.S et apparenté Une voie raisonnable et ambitieuse.
des seniors n’en sont que quelques exemples. Sur le plan économique la ville poursuit sa marche en avant et l’activité de la zone industrielle, malgré les contraintes qu’elle nous impose, est gage de dynamisme pour la commune ; un dynamisme que nous devons également à tous les Bassenais. Fidèles à nos engagements de campagne, les relais citoyens permettent aujourd’hui à chacun de pouvoir participer et développer des initiatives collectives. Ces instances de démocratie participative, dont nous favorisons le déploiement, sont des outils concrets de notre volonté de renforcer le lien social et la citoyenneté. Afin de poursuivre nos engagements et maintenir un service public de qualité, nous
avons la volonté d’agir sur tous les leviers disponibles pour trouver un juste équilibre. À contrecœur et après dix années de nonaugmentation des impôts locaux, nous sommes aujourd’hui dans l’obligation d’actionner le levier de la fiscalité. Néanmoins, nous avons voulu limiter au maximum cette hausse, de sorte qu’elle n’excède pas 12€ par an et par famille. Augmenter ce taux n’est jamais une décision de gaîté de cœur, mais une impérieuse nécessité dictée par cette volonté de servir, par l’action de la ville, ses habitant(e)s. À gestion rigoureuse, service public rigoureux !
En ces périodes difficiles et perturbées, c’est sur l’avenir que nous devons nous concentrer. De Nelson MANDELA, inspirons-nous de cette vérité : « aucun de nous agissant seul, ne peut atteindre le succès. Oeuvrons ensemble pour le mieux vivre de nos familles et de nos quartiers, pour que notre quotidien soit emprunt de courage et de solidarité.
d’investissements, les services rendus à toute la population, seront encore très attractifs, au travers de toutes les activités qui se déroulent dans les nombreuses structures municipales : de la lecture (médiathèque) au sport (terrains de jeux et gymnases), de l’agenda 21 à l’accueil des enfants, des tout-petits aux plus grands (Maison de la Petite Enfance, Écoles, Centre des Loisirs, Espace Jeunes), de la Communication à l’Environnement, de la Solidarité et à l’Intergénérationnel.
Qu’il fait bon s’y promener, y flâner. Soulignons aussi que tout ceci ne saurait exister sans la ferveur de tous les personnels municipaux. Le lien social n’est pas en reste, grâce aux performances des associations qui participent à faire vivre Bassens dans un esprit d’écoute et de fraternité : tournois, kermesses, lotos, spectacles, vide-greniers... au cours desquels il fait bon s’y retrouver.
Sur le plan communal, même avec un budget 2016 encore contraint (en raison de la baisse des dotations de l’État) entraînant une baisse des dépenses de fonctionnement et un lissage des dépenses
Oui les séniors ne sont pas oubliés ; de multiples rencontres sont organisées : cuisine, gymnastique, voyages, fêtes, repas traditionnels... Les espaces de verdure sont aménagés et entretenus.
Le vote du budget constitue l’acte politique majeur de la vie d’une collectivité. À Bassens, il s’adapte aux circonstances, à l’évolution du contexte local mais aussi aux décisions nationales que nous regrettons, notamment en ce qui concerne la baisse des dotations. Nous poursuivons la feuille de route que vous nous avez confiée et cela conformément à notre idéal socialiste. Bassens est une commune attractive en plein développement. Elle offre des services de qualité dans tous les domaines. La culture, le sport, le numérique, la jeunesse, l’agenda 21, le secteur social et l’accompagnement
Pour le Groupe P.S et apparenté Jean-Louis BOUC
Groupe P.C.F-Front de Gauche Vivre ensemble !
Le conseil citoyen, les relais citoyens viennent renforcer ces rencontres et ceci n’a d’égal pour donner un sens aux valeurs de la République. Pour le Groupe P.C.F - Front de gauche Josyane MAESTRO
Parole de l’Opposition : « Bassens l’Alternative » Valls inaugure la nouvelle usine Lesieur à Bassens,… et alors ? L’occasion était pourtant belle d’évoquer auprès du cortège ministériel les problématiques importantes de la commune… La délinquance et les cambriolages, l’incivilité grandissante, l’absence de politique locale de sécurité, l’augmentation insupportable des impôts locaux… Tels étaient les sujets que nous aurions nousmêmes évoqués avec M. Valls plutôt que de
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participer à une opération de communication pré-présidentielle. Le choix des élus socialistes étaient tout autre. D’autant qu’ils ont fait le jeu de celui dont ils « disent » combattre les orientations… L’occasion était aussi ratée d’aborder les vrais sujets comme la création d’emploi sur Bassens. A priori, aucune pour les bassenais. Le développement économique – pas une annonce sur le sujet. Ou encore la baisse des dotations de l’Etat – la seule intervention consistant alors à renvoyer M. le Maire dans ses cordes.
La journée n’aura, au final, rien apporté pour notre ville puisque qu’aucun débat de fond n’aura finalement était tranché. Pire encore, les français n’auront gardé en mémoire qu’un seul thème de son passage à Bassens. « Après 70 ans, peut-on encore faire de la politique ? ». Chacun aura alors sa propre réponse… Pour le groupe Bassens l’Alternative Jérôme Oscislawski
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