Bassens Actus n°58

8 numéro Oct - Nov - Déc 2019

Objectif égalité femme homme

ctus

DÉCRYPTAGE

Le bénévolat à Bassens

RENCONTRE

Une médiation qui a du chien !

SOMMAIRE BASSENS ACTUS 78 | Oct. - Nov. - Déc. 2019

SOMMAIRE

 LE MOT DU MAIRE

3

 ECHOS 5 & 6  FOCUS

7

Bienvenue à la médiathèque

 VILLE EN MOUVEMENT  DECRYPTAGE

Le bénévolat à Bassens

8 > 11 12 & 13

 RENCONTRE

14

 RENCONTRE

15

Les collégiens s'engagent pour la planète Une médiation qui a du chien !

 GRAND ANGLE

Objectif : égalité femme-homme

17 > 21

 RENCONTRE

22 > 23

 INSTANTANÉS

24 > 27

Dynamisme économique au féminin

 FOCUS

28

 CARTE BLANCHE

29

 EXPRESSIONS POLITIQUES

30

Attention arnaques !

Une autre façon de consommer

2

GRAND ANGLE Objectif : égalité femme-homme

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Retrouvez Bassens Actus et l’ensemble des publications de la ville de Bassens sur www.ville-bassens.fr Directeur de publication : Jean-Pierre Turon - Responsable de la rédaction : Benjamin Labro - Conception/Rédaction : service communication, Benjamin Labro, Hélène Dejeans, Marie Merle, Sandra Le Garrec, Sylvie Souleyreau, services municipaux Photographies : Mairie Régie publicitaire : AECP CONSEIL, 06 98 75 52 00 Création graphique : Service Communication, Sophie Villattes Impression : Laplante - Tirage 4200 exemplaires Dépôt légal : 4ème trimestre 2019 Contact : Mairie de Bassens 42, av. Jean Jaurès 33530 Bassens - Tél. 05 57 80 81 57 - Fax. 05 57 80 81 58 contact@ville-bassens.fr - www.ville-bassens.fr

LE MOT DU MAIRE Entre la fête champêtre dont la fréquentation a de nouveau augmenté et la troisième édition de CAP33 qui a franchi la barre des 4 000 personnes, la programmation estivale de la ville a su séduire les Bassenais en leur proposant des temps de festivités et d’activités divers et variés. Deux mois d’été qui ont rapidement laissé place à une rentrée malheureusement endeuillée. En effet, l’annonce du décès de Damien Lespiaux, le jeune Directeur de l’école élémentaire Rosa Bonheur, nous a collectivement marqués. Vous avez d’ailleurs été nombreux à témoigner des marques de soutien à sa famille. Sur un tout autre plan, le décès de Philippe Madrelle, l’ancien Président du Conseil Général de la Gironde, a donné lieu à des hommages unanimes de la classe politique locale et nationale, ainsi que de nombreux Girondins.

C’est dans ce contexte moralement difficile que les affaires communales ont repris, avec une actualité chargée.

Ce dernier trimestre place le Quartier de l’Avenir sous le feu des projecteurs. La manifestation de l’Avenir en fête a connu un vrai succès lors du week-end des 13 et 14 septembre, notamment grâce à l’investissement important des membres du Conseil Citoyen. Le mercredi 18 septembre, les locataires de Beauval étaient nombreux à participer à l’événement organisé autour de la réhabilitation, en présence notamment du Président de Bordeaux Métropole.

Enfin, la semaine se concluait par la marche du patrimoine reliant les parcs Séguinaud et Beauval via le cheminement vert du parc des Coteaux (Panoramis, Rozin, bassin Montsouris) ; l’occasion de faire un point sur le patrimoine végétal progressivement constitué ainsi que sur le patrimoine bâti passé et futur, avec un arrêt prévu notamment au quartier de l’Avenir pour évoquer les différentes étapes du processus de rénovation urbaine.

Parmi les sujets du moment, il y aussi celui de la mobilité. Sans mauvais jeu de mots, les choses avancent. Après des derniers ajustements liés à sa mise en œuvre, la ligne Bassens-Campus ouvre officiellement, offrant ainsi aux Bassenais la possibilité d’une nouvelle liaison vers le sud de la rive droite, Bordeaux-gare et le campus universitaire de Talence. Sur le plan ferroviaire, la mise en valeur de la gare continue, comme en atteste la démolition du mur d’enceinte situé dans le prolongement du pont, en contrebas de la rue Victor Meunier. Parallèlement, la Ville s’efforce d’obtenir plus de fréquences dans le passage des TER ainsi qu’un stationnement agrandi, dans la perspective du futur projet de Pôle d’Echanges Multimodal. Une étude portant sur le traitement des quais pour permettre la réalisation de circulations douces a également démarré tandis qu’une autre liée au franchissement du fleuve est en demande.

Bien à vous, Jean-Pierre Turon Maire de Bassens, Conseiller délégué Bordeaux Métropole

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LA MAIRIE VOUS INFORME

Quand je sors je me couvre suffisamment afin de garder mon corps à la bonne température.

Je suis prudent et je pense aux autres.

• Je couvre particulièrement

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coupe-vent imperméable.

Quand

je sors je me

• Je mets de bonnes couvre suffisamment chaussures pour éviter de garder mon les chutes sur un solafin glissant.

• J’évite de sortir le soir corps car il fait encore plus froid.

à la bonne température.

• Je me nourris convenablement, et je ne bois pas d’alcool car cela ne réchauffe pas.

comme courir.

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ventilation.

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17/30 ans : la Région œuvre en faveur de l’autonomie et de l’accès à l’emploi

Le projet de la restauration responsable est en cours depuis 2013. Élaboré par le service Education Enfance Jeunesse et mis en œuvre par l’équipe de la Cuisine municipale, il permet d’assurer aux élèves et aux personnels une alimentation saine et de qualité.

Plusieurs thématiques sont travaillées : diminution du gaspillage, proportion des légumes et fruits de saison, proportion de produits labellisés Bio, proportion de produits d’appellation, produits originaires de circuits de proximité sans oublier le compostage des déchets alimentaires dans les écoles.

La ville a obtenu le label « territoire bio engagé » en 2015 et celui-ci a été renouvelé en 2016, 2017 et 2018.

La ville de Bassens est ainsi passée de 20.46% de bio en 2015 à 28.14 % en 2018 au sein de sa restauration responsable (la réglementation impose l’atteinte des 20% de bio en 2020 dans la restauration collective).

Différents dispositifs (sous conditions de ressources) mis en place par la Région visent à accompagner les jeunes âgés de 17 à 25 ans dans la préparation de l’examen du permis de conduire B, ou, pour les 17/30 ans, à apporter une aide financière pouvant aller de 150€ à 400€ dans le cadre de la préparation de certains brevets (BAFA, BAFD, BNSSA).

L'AFSEP (L'association Française des Sclérosés en Plaques)

Le lundi de 20h30 à 21h45 au Gymnase Séguinaud

L'association Française des Sclérosés en Plaques, est la plus ancienne des associations de malades qui lutte depuis plus de 50 ans contre la sclérose en plaques (SEP).

Personnes atteintes, parents, amis, sympathisants, sont tous réunis dans un même élan de solidarité.

L’AFSEP rassemble toutes les personnes atteintes de SEP et leurs familles, les aide, les informe, les représente et les défend auprès des pouvoirs publics, des organismes publics ou privés. 3 raisons d’aider l’Association Française des Sclérosés En Plaques :  Faire un don ou un legs à l’AFSEP, c’est aider à vaincre la maladie et permettre aux personnes atteintes de sclérose en plaques de mieux vivre au quotidien.  L’AFSEP est reconnue d’utilité publique depuis 1967.  Vos dons vous donnent droit à une réduction d’impôt sur le revenu de 66% de leur montant dans la limite de 20% de votre revenu net imposable (au-delà, report sur les cinq années suivantes).

Venez nous rejoindre !

Plus d’infos sur les dispositifs et leurs règlements d’intervention sur internet : jeunes.nouvelle-aquitaine.fr

CMOB Sports Loisirs : et si on se mettait au volley-ball ?

Du Volley dans une ambiance amicale et des fous rires garantis, égale une vrai détente !

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Concours des décorations de Noël 2019

Les fêtes de fin d’année approchent à grands pas. La ville organise chaque DE NOËL 2019 année un concours de décorations de Noël visant à récompenser tout Bassenais qui participe ainsi à embellir la ville à cette période féerique de l’année. Mais attention, il ne s’agit pas non plus de la « foire aux ampoules » donc le concours est très axé sur les décorations « faites maison » si possible au moyen d’éléments naturels, ou très peu gourmandes en énergie. Autre exigence : la décoration doit être visible depuis la rue. Concours ouvert à tous avec 3 catégories : maison/jardin, balcon, ou commerce/espace public.

Inscription avant le mardi 10 décembre.

Le jury est encore une fois ouvert aux enfants à partir de 6 ans et accompagné d’un adulte.

Renseignements au 05 57 80 81 46

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ECHOS

Territoire Bio Engagé : le label renouvelé pour 2018 !

En novembre participez à "Mois sans tabac"

Le DMP, un vrai carnet de santé en poche !

DMP :

En novembre, vous pouvez vous inscrire pour participer à "Mois sans tabac" par téléphone ou sur internet.

Vous pouvez aussi participer sans vous inscrire.

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39 89 du lundi au samedi de 8h à 20h service gratuit + coût de l’appel. tabac-info-service.fr rubrique Mois sans tabac.

Plus d’infos : brochure et vidéos "pour comprendre : inpes.santépubliquefrance.fr/ accessible/tabac

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Vous n’avez pas encore ouvert votre DMP ?

N’attendez plus : munissez-vous de votre carte vitale et rendez-vous sur le site www.dmp.fr, en pharmacie, ou dans les accueils de votre caisse d’assurance maladie.

Jardins familiaux Si les jardins familiaux, rue Sybille, ont quelque peu souffert en raison du manque de pluie cet été, ils se rattrapent à l’automne. Visiblement 2019 est une année à citrouilles, de différentes variétés, tailles et couleurs.

La palme revenant à Boulem Boukoukra avec une magnifique citrouille d’environ 25kg.

Consultation publique jusqu'au 13 novembre 2019

Intéressé-e par une parcelle ?

Renseignements au 07 88 53 94 56

Dossier à consulter en mairie aux jours et heures habituels d'ouverture.

Documents également consultables sur le site internet des services de l’État en Gironde (www.gironde.gouv.fr/Publications/PublicationsLégales).

Société SNC DEVIAL en vue d’obtenir l’autorisation d’exploiter un entrepôt logistique, situé 5 quai Alfred Vial à Bassens (33530).

Pendant toute la durée de la consultation, des observations peuvent être formulées :  sur un registre ouvert à cet effet à la mairie de Cestas ;  par voie postale à la Direction Départementale des Territoires et de la Mer de la Gironde (Service des procédures environnementales – Cité administrative – BP 90 – 33090 BORDEAUX Cedex ;  par voie électronique à l’adresse suivante : ddtm-spe1@gironde.gouv.fr

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FOCUS

Bienvenue à la médiathèque !

Il est loin le temps de l’armoire à livres dans la salle du Conseil Municipal. Aujourd’hui, si les médiathèques restent des lieux propices à l’étude ou à la lecture, elles sont devenues beaucoup plus que ça. Celle de Bassens, rénovée et agrandie en 2013, qui propose plus de 37 000 documents et de nombreux services, est un bon exemple de ces lieux ouverts, colorés et accessibles à tous qu’on retrouve désormais dans les villes. On vous ouvre les portes.

Au rez-de chaussée baigné de lumière par de grandes baies vitrées, vous pouvez retrouver tout le fonds adultes et adolescents qui vient d’être retrié et reclassé pour plus de confort pour les lecteurs. Une section polar vient d’ailleurs d’être ajoutée pour le plus grand plaisir des nombreux fans de ce genre. Après avoir jeté un coup d’œil sur le petit jardin au mur végétalisé qui invite aux beaux jours à la lecture en plein air, direction les DVD pour une sélection très variée. Des films d’auteurs engagés aux grands succès français et internationaux, il y en a pour tous les goûts et pour tous les âges. Nous continuons notre visite pour arriver au rayon des revues. Que vous soyez plutôt actualités, sports, sciences ou géographie, vous trouverez forcément votre bonheur parmi les titres proposés gratuitement à la lecture. Vous êtes plutôt mélomane… Retour sur nos pas pour flâner dans les bacs à la recherche d’un CD : classique, variété, jazz avec là encore un choix éclectique et de qualité. Ce niveau dispose également d’une salle de 80 places qui accueille chaque année de nombreux spectacles destinés à tous les arts et tous les publics.

Un espace dédié au plus jeunes

Pour les plus courageux, on poursuit la visite en montant le grand escalier mais il est difficile de résister à l’appel de l’ascenseur, pour le plaisir d’admirer les vitraux, clin d’œil de Raymond Mirande qui a Prêts Sur présentation de la carte de lecteur en cours de validité : 12 documents pendant 4 semaines tous supports confondus dont 2 nouveautés (prêt de 2 semaines) par carte Réservation Les lecteurs ont la possibilité de réserver les documents déjà empruntés à l’accueil de la médiathèque ou en ligne.

réalisé également ceux de l’église St. Pierre de Bassens. A l’étage, c’est le royaume des enfants.

Dans la partie ouest, on retrouve les albums et les ouvrages dédiés aux tout-petits et dans la partie sud, les 1er romans et les livres pour les plus grands. A cet étage une salle est consacrée aux animations ou expositions destinées aux enfants.

Entre ces deux espaces, la visite s’achève par l’Espace Publique Numérique qui accueille les bassenais, de 7 à 77 ans. Pratique informatique libre ou ateliers d’initiation ou d’apprentissage sur réservation sont possibles dans cet espace qui dispose également d’un vidéoprojecteur, d’une console de jeux PlayStation 4 avec un casque de réalité virtuelle et de tablettes tactiles.

Des passionnés à votre service

La plus-value essentielle de cet équipement de qualité est bien-sûr son équipe dynamique et passionnée qui saura vous aider, vous guider dans vos choix et qui sera ravi de vous accueillir.

Une liste de coups de cœur du personnel mais aussi des bassenais est d’ailleurs disponible à la médiathèque et bientôt dans ce magazine.

Exposition du 21 au 25 avril 2020 ouverte aux artistes amateurs bassenais de toutes disciplines (peintre, sculpteur, photographe, écrivain, poète, etc….)

Pour participer, contactez le service Culture Médiathèque au 05 57 80 81 78 Les horaires d’ouverture au public De janvier à juin et de septembre à décembre Mardi 15h00 - 18h00 Mercredi 10h00 - 12h00 14h00 - 18h00 Jeudi 17h00 - 18h00 Vendredi 10h00 - 14h00 15h00 - 18h00 Samedi 9h30 - 12h00 13h30 - 16h30

7

VILLE EN MOUVEMENT

Voirie Enfouissement des réseaux rue d’Ambarès La ville poursuit ses campagnes d’enfouissement des réseaux et de favorisation de l’implantation de la fibre, quand c’est possible, notamment lors de travaux. La rue d’Ambarès va être traitée d’ici le premier trimestre 2020 en concomitance de travaux privés.

Rénovation de réseaux d’assainissement et mise en sens unique de la rue de la Liberté D’importants travaux de remplacement de la canalisation des eaux usées ont été mis en œuvre par Bordeaux Métropole cet été. Une réunion de concertation des habitants en juillet avait permis d’évoquer et d’ajuster ce chantier ainsi que la future mise en sens unique de la voie (sens Avenue Victor Hugo/Lafontaine) pour permettre notamment une réduction de la vitesse, l’ajout de places de stationnements et la modification du carrefour situé en face de la Résidence Autonomie La Madeleine.

L’achèvement des travaux est prévu pour le mois de novembre.

Amélioration de l’accessibilité l’ALSH et du gymnase Séguinaud

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Grâce à l’ajout des allées en béton à la place des allées actuelles en gravier, le château Séguinaud, qui accueille l’ALSH et le gymnase sont désormais pleinement accessibles aux personnes à mobilité réduite. Le jardin sera aménagé au printemps.

Avancement du P.A.V.E

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L’absence de continuité du cheminement d’accès vers l’arrêt de bus situé rue du Maréchal Foch à proximité de la résidence Barbusse avait été relevée par les habitants dans le cadre du travail sur le Plan de mise en Accessibilité de la Voirie et des aménagements des Espaces publics (P.A.V.E.). Pour permettre une meilleure accessibilité de cet arrêt de bus, Bordeaux Métropole réalise cet automne un nouveau trottoir permettant à tous une circulation confortable et sécurisée ; des travaux qui s'inscrivent dans un programme global de rénovation des trottoirs de la commune et dont le rythme dépend des financements accordés par Bordeaux Métropole.

Après une période de régularisation foncière avec les riverains, les travaux de la première tranche (entre la rue Mauriac et la rue du maréchal Joffre) du traitement en béton des trottoirs de la rue du maréchal de Lattre de Tassigny vont démarrer avant la fin de l’année.

Transports

Modernisation des équipements du marché

Ouverture de la ligne Bassens-Campus

Le resurfaçage du parking avait été effectué au printemps par la métropole. La ville procède, jusqu’à la fin de l’année, à d’importants travaux de mises aux normes des branchements électriques, d’amélioration de l’éclairage public, de mise en place d’une sonorisation et de réfection des allées dégradées. La ville poursuit régulièrement ses investissements permettant ainsi que le marché dominical (un des plus importants d’Aquitaine) conserve son attractivité.

Réclamée depuis de nombreuses années par les élus de la Presqu’île, la ligne Bassens-Campus va devenir enfin une réalité. Elle devait être lancée en septembre pour la rentrée scolaire mais l’incendie du parking des Salinières en mai dernier a contraint Bordeaux Métropole à redéployer des bus de substitution et donc à revoir son calendrier.

La très attendue Ligne Bassens-Campus, Corol 31, devrait voir circuler ses premiers bus à partir du 4 novembre. L’ensemble du projet qui comprendra de nombreux couloirs de bus permettant de réduire le trajet et un parc-relais au départ de la ligne à Bassens sera définitivement achevé en 2023. En attendant, le départ de la ligne se fera avenue Puy Pelat, en lien avec la ligne 92 où la métropole aménage un stationnement provisoire. Point info sur cette nouvelle desserte en mairie le mercredi 13 novembre de 8h30 à 12h et de 13h à 17h.

Début des travaux de construction du PALS Les travaux préalables du futur Pôle d’Accueil et de Lien Social situé à proximité de l’école Rosa Bonheur vont démarrer au mois d’octobre avec le désamiantage des bâtiments existants.

L’ouverture de cette nouvelle structure municipale située dans le quartier de l’Avenir, qui accueillera notamment une ludothèque et qui sera bordé de nombreux espaces ludiques extérieurs (city stade, skate park, jeux pour enfants…) est prévue pour la fin de l’année 2020.

Des travaux de voirie seront effectués rue Yves Montand en parallèle des travaux du bâtiment.

Réfection de la Salle Jean Jaurès

Après des travaux importants, l’ancien réfectoire de l’école Jean Jaurès, situé avenue de la République, sera remis à disposition des associations en novembre avant d’être de nouveau disponible à la location pour les Bassenais en 2020.

Mise à disposition d’un nouveau local complémentaire pour l’association Ombres et lumières

A la suite de travaux de rénovation, un nouveau local complémentaire situé rue Paul Bert à côté de la salle Mendes-France a été mis à disposition de l’association photographique Ombres et lumières.

VILLE EN MOUVEMENT

Équipements

Poursuite des aménagements de la gare de Bassens Suite à un accord entre la SCNF et la ville, le vieux mur de séparation entre le parvis de la gare et l’avenue du Général Leclerc a été démoli, permettant ainsi une bien meilleure visibilité et un cadre plus agréable. La SNCF doit de son coté poursuivre les travaux de réfection du bâtiment.

L’éclairage du parking a été amélioré à la suite des remarques des habitants dans le cadre du Plan d’Accessibilité de la Voirie et des Espaces publics.

La réfection du parking par Bordeaux Métropole est liée au projet d’élargissement du pont cadre qui n’est malheureusement pas encore planifié par la SNCF, en attendant l'assurance d'un financement Métropole - Région.

Fermetures intempestives du guichet Bassens a la chance de conserver un guichet au sein de sa gare, ouvert les lundis, mercredis et vendredis de 13h à 18h. Malheureusement, durant l’été et en septembre, les usagers ont subi plusieurs fermetures intempestives sans qu’aucune information ne soit faite ni sur place, ni à la mairie. La ville déplore cette situation et a saisi la SNCF pour qu’elle mette en œuvre des solutions garantissant la continuité du service public.

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VILLE EN MOUVEMENT

Renouvellement urbain du Quartier de l’Avenir Résidence Yves Montand : les entretiens en vue des relogements débutent.

Les enquêtes sociales se poursuivront cet automne pour les habitants de la résidence Yves Montand. Celles-ci permettent de connaître les besoins et les souhaits des familles pour permettre d’adapter au mieux les solutions de relogement. Un certain nombre de locataires pourront s'installer dans les résidences en cours de construction.

Résidence Laffue : les habitants ont visité le chantier de leur future résidence Deux résidences intergénérationnelles sont actuellement en construction. L’achèvement du « jardins des Légendes » est prévu à la fin du 1 er trimestre 2020 et celui d’ « Héraclès » est prévu à l’été 2020. Les habitants de la résidence Laffue ont visité le chantier le 3 juillet dernier. Leur ré-emménagement est prévu dans le courant de l’année 2020 (1 er semestre).

La réhabilitation de la résidence Beauval se poursuit.

La "pose de la 1ère pierre" s’est déroulée le 18 septembre.

Au bâtiment A, la cage d’ascenseur est réalisée ainsi que le remaniement de l’escalier, les nouveaux celliers et balcons. Les attiques (maisons de toit) en structure bois sont en voie de réalisation. Le 1er bâtiment sera achevé en décembre prochain tandis que le bâtiment B suivra avec un décalage de 2 mois. Léa Landa, chargée de relations locataires, est disponible pour coordonner les travaux, et pour faire le lien entre les locataires et les entreprises. Clairsienne offre des hébergements temporaires à l’hôtel aux personnes qui en font la demande (personnes travaillant de nuit et devant se reposer en journée, notamment…). Après les bâtiments A et B, les travaux ont débuté en septembre pour le bâtiment C et en octobre pour le bâtiment D.

Transformation des espaces extérieurs du lotissement « Le hameau des sources » Après la réfection des peintures en 2016, c’est un projet ambitieux de transformation des espaces extérieurs qui sera réalisé en 2020. Il permettra à terme d’ouvrir la résidence sur le bassin Montsouris, l’école Rosa Bonheur et la résidence Beauval, de pacifier la circulation et le stationnement, de retraiter les entrées (végétalisation, sols, stationnement privatif, traitements des ordures ménagères) et de réaménager la placette en un espace commun attractif.

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VILLE EN MOUVEMENT

Espaces verts Chemin de randonnée métropolitain En partenariat avec la Fédération Française de Randonnée Pédestre, la Boucle verte - circuit de découverte de l’agglomération bordelaise - devient le premier GR® métropolitain de France en juin 2019. Cet itinéraire de grande randonnée balisé de 160 km sur 17 communes relie les principaux espaces naturels et parcs urbains, offrant aux promeneurs des points de vue uniques sur les paysages de l’agglomération. Les plus aventuriers pourront faire halte, le temps d’une nuit insolite, dans l’un des refuges périurbains qui jalonnent l’itinéraire.

Le GR métropolitain traverse la commune de Séguinaud au Domaine de Beauval en passant par l’Eglise St. Pierre et le centre-bourg. Les promeneurs peuvent être accueillis pour une nuit au refuge « La nuit Américaine » réservable à partir du 1er jour du mois précédent sur le site : https://lesrefuges.bordeaux-metropole.fr/ Un nouveau panneau explicatif des arbres à remarquer a été posé à proximité du bassin Fantaisie. Il fait suite à l’édition du 2ème guide des arbres à remarquer réalisé avec les habitants du groupe citoyen 21 et décrit la faune et la flore remarquables des abords du bassin d’orage et du tertre de Panoramis.

Lutte contre les espèces nuisibles A compter du 1er janvier 2020, la lutte contre le moustique tigre sera assurée par l’Agence Régionale de Santé.

Etant actif en journée, les services de l'État lui prêtent une attention particulière puisque ce spécimen est vecteur de certaines maladies, telles que la dengue.

En ce qui concerne le moustique classique, plutôt présent en soirée et la nuit, son traitement relèvera de Bordeaux Métropole à partir de l’année prochaine et non plus de l'Établissement Interdépartemental de Démoustication-EID. La Ville de Bassens ainsi que celles de la presqu’île et de la rive droite sont activement mobilisées pour que des solutions soient envisagées et déployées de façon anticipée, afin que l’été 2020 se passe dans de meilleures conditions que celui de 2019. Une période estivale qui a vu la commune inégalement touchée avec des points durs qui nous amènent à réitérer la nécessité d’évacuer toutes les eaux stagnantes : les particuliers ayant un jardin ont un rôle important à jouer en les éliminant.

La question de la dératisation qui est l’une des missions importantes de la SABOM, structure en délégation de service public relevant de Bordeaux Métropole, fait également partie des sujets auxquels nous accordons une attention toute particulière. Des passages ont d’ailleurs eu lieu sur les rues Saint-Exupéry, Rome, Chênaie. Suite à des relevés d’encrassement et à l’installation de caméras, des pièges mécaniques sont déployés sur tous les réseaux aux diamètres 200 et/ou 300. Pour les collecteurs plus grands, une dératisation chimique a lieu avec la pose d'appâts raticides.

Cet été, un regain de présence des rats a été constaté. Comme a pu s’en faire l’écho la presse locale et nationale, ce phénomène n’est pas spécifique à Bassens. Une vigilance citoyenne est donc de mise afin de ne pas favoriser la prolifération de ces nuisibles.

Concernant le frelon asiatique, la ville fait appel à deux entreprises prestataires pour procéder à l’élimination des nids. Elaquitaine intervient sur les arbres tandis que Cap Aquitaine réalise des actions spécifiquement ciblées sur les bâtiments. Au total, ce sont plus de 10 interventions qui ont eu lieu cet été.

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DECRYPTAGE

Vous avez du temps libre, même seulement un peu ? Vous avez envie de vous investir et envie d’aider ? Vous hésitez…

Sur la commune, il existe de nombreuses possibilités pour vous engager de manière volontaire, en adhérant ou non à une association en fonction de vos souhaits, de vos compétences et du temps dont vous disposez. Bénévoles pour aider des enfants, des adolescents ou des séniors, vous serez forcément le ou la bienvenue pour partager un peu de temps, recréer du lien et redonner le sourire...

PARTAGER son savoir-faire, son expérience

COMMENT ÇA SE PASSE ?

Pour devenir bénévole à Bassens,

IL N’EST PAS NÉCESSAIRE D’AVOIR UN PROJET DÉFINI, mais d’avoir seulement la VOLONTÉ D’AIDER

AIDER ceux qui en ont besoin

Pourquoi devenir bénévole ?

SE SENTIR utile

et du temps libre Il s’agit d’un acte de

VO Lspontané O N TAR I AT où seul existe

UN

contrat

MORAL e n tre

bénévole(s)

ville ou association

bénéficiaire(s)

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DONNER de son temps pour RECEVOIR des autres

ACCROÎTRE son réseau social

LA RÉFÉRENTE CITOYENNETÉ Que vous ayez une idée précise de votre engagement, de vos savoir-faire ou non, la référente citoyenneté vous reçoit sans rendez-vous pendant ses permanences afin de faire le point et de vous orienter au mieux vers une association ou un des dispositifs pilotés par la ville (voir page suivante) :

SALLE LAFFUE - rue Laffue  Lundi : 14h - 17h KIOSQUE CITOYEN - rue Fénelon Sur le parvis de l'école Rosa Bonheur  Mardi : 8h30 - 12h  Mercredi : 13h - 17h30  Jeudi : 13h - 18h  Vendredi : 13h - 18h  1er samedi matin de chaque mois : 9h - 12h

Fadila Taleb - 07 84 18 75 20 - fadila.taleb@ville-bassens.fr

LES ASSOCIATIONS DE LA VILLE

10

100 associations dont

+

associations

DE SOLIDARITÉ

Près de

inscrites au journal officiel

3

de

Guide d'activités 2019-20 DECRYPTAGE

S’engager dans une association, c’est mettre en commun connaissances ou activités pour réaliser un projet collectif. Cela implique donc de participer aux instances de la structure et aussi parfois de donner un coup de main. Mais les bénévoles sont unanimes : la contrepartie vaut largement l’implication ! Vecteurs de lien social, de bien-vivre et de cohésion essentiel, les associations animent au quotidien le territoire bassenais par les activités qu’elles proposent mais également par l’organisation d’un très grand nombre de manifestations, chaque week-end dans de nombreux dispositifs partenariaux.

70

manifestations organisées chaque année

associations

PATRIMOINE ET ENVIRONNEMENT Plus il y a de bénévoles impliqués dans une association, plus les tâches peuvent être réparties et l’association fonctionner convenablement. Le jour où il n’y a plus de bénévole, l’association s’éteint.

LES DISPOSITIFS DE LA VILLE

LE RÉSEAU MONA LISA

où les bénévoles sont primordiaux LE PROGRAMME DE RÉUSSITE ÉDUCATIVE QU’EST-CE QUE C’EST ? Un dispositif national apportant des réponses personnalisées aux enfants et aux jeunes de 6 à 16 ans présentant des signes de fragilité sur le plan scolaire, social et/ou éducatif.

QUELLES ACTIONS ? Activités périscolaires (avant la classe, pendant la pause déjeuner et après la classe), extrascolaires (durant les vacances scolaires), temps spécifiques pour la famille (ateliers parents-enfants, sorties, visites...).

LES RELAIS CITOYENS QU’EST-CE QUE C’EST ? Des espaces de parole entre élus et habitants, ouverts à tous pour aborder la vie dans son quartier, les problématiques, les solutions, les projets dans l’intérêt collectif.

QUELLES ACTIONS ?

Réunions publiques trimestrielles, participation à l’organisation de la fête locale, fête des voisins, actions concrètes citoyennnes (journée de ramassage des déchets, lutte contre les incivilités routières...

Consultable sur le site internet de la ville (www.ville-bassens.fr) et disponible gratuitement à l'accueil de la mairie, il contient l’annuaire des associations de la ville et tous les numéros utiles associés.

PRE RELAIS CITOYENS

QU’EST-CE QUE C’EST ? Une mobilisation nationale engagée contre l’isolement social et la solitude des personnes âgées.

QUELLES ACTIONS ? Visites à domicile, activités ou rencontres collectives, projets portés par les personnes âgées elles-mêmes, liens intergénérationnels, transmission de la mémoire, d’histoires de vie…

LES BÉNÉVOLES BRICOLAGE

MONA LISA BRICOLAGE

VEILLE ÉDUC.

QU’EST-CE QUE C’EST ? Un dispositif municipal où des bénévoles doués en bricolage ou ayant une expérience professionnelle se rendent au domicile de personnes en demande.

QUELLES ACTIONS ? Petites interventions du quotidien : tondre une pelouse, changer une ampoule, fixer une étagère...

LA VEILLE ÉDUCATIVE QU’EST-CE QUE C’EST ? Une action locale accompagnant des jeunes en besoin de soutien temporaire mais aussi des adultes voulant reprendre des études ou passer des concours.

QUELLES ACTIONS ? Analyse des situations individuelles pour trouver une réponse adaptée à chacun, aide aux devoirs ciblée selon les matières, programmes de révision de concours...

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RENCONTRE

Les collégiens s’engagent pour la planète Le 21 septembre, se déroulait la seconde édition de la plus grande action citoyenne mondiale pour nettoyer la planète au monde : le World CleanUp Day 2019* avec notamment plus de 4 000 initiatives en France. En partenariat avec la ville, une classe du collège Manon Cormier, leurs enseignants, Rachida Delerue et Denis Lasne… ont participé à cette action exemplaire.

A l’issue d’un travail sur les déchets, le recyclage, l’environnement et la protection de la planète, les élèves de deux classes de 3ème ont enfilé des gants et des gilets, puis munis de pinces, ils ont parcouru les abords du collège afin de ramasser les détritus. En une heure et demie, ce sont 12 sacs poubelles qui ont été récoltés par des adolescents qui ne semblaient plus vouloir s’arrêter.

Avant l’action, pas mal d’élèves semblaient cependant réticents : la tenue peu seyante du gilet fluorescent, la saleté des détritus, le regard des autres… Tout cela n’est pas forcément enthousiasmant quand on a 13 ou 14 ans.

Pourtant, très vite la dynamique se crée. Les professeurs montrent l’exemple et dispensent quelques conseils pour l’utilisation des pinces. Le groupe prend possession des lieux ; les élèves se dispersent et collectent avec application mégots, papiers, canettes et bouteilles. « Quand on ramasse, on se rend vraiment compte du manque de respect », s’indigne une élève. Après le parvis du collège, le terrain de sport et les trottoirs, les collégiens s’attaquent à un véritable « spot » à proximité du supermarché. Les sacs poubelles se remplissent parfois avec des regards de dégoût mais aussi avec beaucoup de sourires et d’entraide. Le Maire, Jean-Pierre Turon, vient saluer les élèves et les professeurs, les félicite de leur initiative et évoque les difficultés à conserver la ville propre mais aussi les actions exemplaires de certains adultes qui organisent également des campagnes de ramassage.

De retour dans la classe, les élèves ont fait l’inventaire et le tri de leur cueillette : papier, carton, plastique, verre, aluminium… L’occasion de travailler sur le recyclage et son utilité.

Les élèves et leurs professeurs, ravis, espèrent que de nombreuses autres classes et peutêtre aussi des habitants participeront à la prochaine édition du CleanUp Day en 2020.

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Associations mobilisées

Plusieurs associations de la ville, les habitants des relais citoyens, les salariés de plusieurs entreprises et plusieurs habitants anonymes œuvrent également chacun à leur niveau, aux côtés de Bordeaux Métropole et des services municipaux pour que la ville soit plus belle. La propreté, c’est l’affaire de tous !

1 déchet par jour

Une autre initiative intéressante et facile à portée de chacun : L’opération "1 déchet par jour" invite chaque habitant à ramasser chaque jour un déchet dans l’espace public.

A retrouver sur internet : www.1dechetparjour.com

Les sanctions :  Déposer, abandonner, jeter ou déverser tout type de déchets sur la voie publique = 68 € à 180 € d’amende  Si vous utilisez un véhicule = Jusqu'à 1 500 € et la confiscation de celui-ci

Que serions-nous sans nos animaux de compagnie ? Il faut le reconnaître, ils occupent une place importante dans notre vie que ce soit au niveau social, affectif, voire même thérapeutique. Ces nombreux bienfaits sont mis à profit par une certaine méthode d’accompagnement : la médiation animale. A Bassens, une famille en a pour la première fois bénéficiée grâce au Projet de Réussite Educative de la ville.

Nous sommes donc allés à la rencontre de Nathalie et Djillali, et de leurs enfants, ainsi que de Laurie Lescaudron, psychologue et médiatrice animale, sans oublier son chien, Onyx, un jeune Bouvier Bernois. Ils nous racontent leur expérience…

RENCONTRE

Une médiation qui a du chien !

Chacun a ses activités préférées avec le chien, et si Sliman adore le promener, Naïla préfère lui donner à manger, Kenza aime le brosser, tous ont adoré l’activité de fin d’année scolaire en juin dernier : aller en famille au temps convivial organisé par les familles et les intervenants du PRE à la salle Laffue accompagnés par Onyx, évidemment. Très fiers, ils ont pu transmettre ce qu’ils ont appris à leurs copains et copines : caresser, tenir en laisse, parler calmement au chien. Aâya dit d’elle-même qu’elle a « tout géré » et a « fait en sorte que tout le monde s’approche pour le découvrir ».

« C’est la rentrée de l’école du chien ! », annonce fièrement Aâya, pleine d’énergie. En effet, les vacances d’été sont terminées, les séances avec la petite famille, Onyx et Laurie reprennent dans un cadre précis que cette dernière ne manque pas de rappeler : « Quelles sont les règles à respecter avec Onyx ? ». Les enfants, qui les connaissent par cœur, énumèrent « Ne pas crier, ne pas sauter, ne pas courir et « S’ENCOURAGER, Nathalie est heureuse des progrès de tous et de cette cohésion familiale qui trouve sa place naturellement. être calme avec Onyx ! ». Et aussi, « Ne pas S’ENTRAIDER, A long terme, les effets sont probants. « Naïla a pris faire les fous, mais on peut rigoler quand même ! », précise Kenza. Car les enfants ÊTRE POSITIF » confiance, elle a mûri. Avant, elle restait en retrait, car timide. Et maintenant, je vois qu’elle est là, elle parle, l’ont bien compris : le chien n’obéit que elle est à l’aise. Et c’est comme ça à la maison, mais aussi à l’école. » si l’on est correct avec lui et c’est précisément cette attitude qui leur permet d'être plus réceptif pour Resserrer les liens familiaux, apporter de la tolérance, l'apprentissage. « L'animal est souvent révélateur responsabiliser chaque membre de la famille sont des aspects du de potentiel chez les enfants ; il aide simplement travail de Laurie. Par sa spontanéité, le chien fait sauter beaucoup à valoriser ce qui existe déjà en chacun », explique de verrous même s’il convient de rappeler qu’il n’est pas le Laurie. centre de l’intervention mais plutôt un fil conducteur permettant de porter un projet d’accompagnement. Les enfants concluent Au départ, il a fallu un petit temps pour s’accoutumer chaque séance pour un mot qui représente ce qu’ils ont pensé de à ce grand chien de 45 kg et de près de 70 cm de haut, l’heure passée ensemble : « Génial ! », « Super ! »… Et toi, Onyx ? une taille qui peut paraître impressionnante surtout « C’était trop wouf » ! pour Naïla et Kenza, 6 et 5 ans. Heureusement, Sliman a pris les devants en montrant qu’Onyx n’avait rien de dangereux et en amenant ses petites sœurs à prendre Plus d’infos : confiance en elles, mais aussi en lui. Car comme le Réussite éducative - Mairie de Bassens rappelle Laurie, « Ici, on s’encourage, on s’entraide, on 05 57 80 81 39 - julie.verdier@ville-bassens.fr est positif. Cela fait aussi partie des règles des séances ».

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Objectif : égalité femme-homme 17

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Egalité Filles Garçons, un engagement fort Cela fait quelques années déjà que les élus de Bassens se sont saisis du sujet majeur de la lutte contre les stéréotypes, de l’égalité entre les femmes et les hommes, impulsant une dynamique d’actions et de projets sur cette thématique.

A commencer par la formation et la sensibilisation des agents, en particulier travaillant en lien avec les enfants (Maison de la petite Enfance, Accueil de Loisirs Sans Hébergement, Accueil de Loisirs Associé à l’Ecole, Espace Jeunes, Ecole multisports, Educateurs Sportifs, ATSEM…), qui ont pu s’emparer du sujet dans le cadre des projets réalisés chaque année. Pour 20192020, on peut citer par exemple un projet des deux écoles primaires en lien avec le collège sur l’égalité filles-garçons, ainsi que de nouvelles formations dédiées aux animateurs périscolaires.

Au-delà des projets, le positionnement au quotidien des équipes éducatives est déterminant. Et si l’éducation reste un levier majeur, de nombreux acteurs de la ville agissent également sur ce sujet...

La plate-forme de services publics propose depuis plusieurs années des permanences juridiques sur les droits des femmes et des familles avec le Centre d’Information sur les Droits des Femmes et des Familles (CIDFF). Les agents de la plate-forme ont par ailleurs été sensibilisés au repérage des violences intra-familiales. C’est également avec le CIDFF que l’Espace Emploi Entreprise de la ville travaille régulièrement afin de favoriser l’insertion, l’emploi, la formation et la création d’entreprise à destination des femmes. Ces actions passent notamment par la déconstruction des filières ou des métiers dit d’hommes ou de femmes (lire aussi page 20) avec une permanence gratuite chaque mois au kiosque citoyen.

Ce message d’égalité peut se faire entendre sur un ton sérieux mais aussi parfois artistique et même humoristique ou décalé, à l’occasion de spectacles ou d’expositions programmés chaque année dans le cadre de la saison culturelle.

La médiathèque dispose d’un fonds documentaire dédié constitué d’ouvrages à destination des plus jeunes jusqu’aux adultes.

Sur le plan sportif, et en lien avec le Projet Educatif Local, de nombreuses actions sont proposées par les sections du CMOB (lire aussi en page 21). Les valeurs d’égalité sont véhiculées quotidiennement par les éducateurs sportifs diplômés de la ville dans le cadre de leurs activités (école multisports, Pass Sport Adultes, CAP33, stages sportifs), ainsi que pendant leurs interventions dans le cadre scolaire lors des séances d’éducation physique et sportive.

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Une action qui marche !

Saviez-vous qu’il existe depuis deux ans une action d’initiation à la marche nordique exclusivement destinée à un public féminin dans le quartier de l’Avenir ? Chaque semaine, elles sont une vingtaine à partager ce moment de sport et de partage.

Les Objectifs  Projet Educatif Local

GRAND ANGLE

 Encourager les démarches et les comportements propices à la vie en société  Lutter contre toutes les formes de préjugés et de discriminations

 Contrat de ville Bordeaux Métropole concernant le quartier de l’Avenir  Améliorer l’accès et diversifier l’offre en matière de sport, loisirs, culture, pour les habitants des quartiers, en particulier les jeunes et les femmes  Renforcer l’accès aux droits, lutter contre les discriminations et contre les inégalités Femmes/Hommes, pour redonner confiance dans la valeur « égalité » et promouvoir « l’art de vivre ensemble »

 Agenda 21 (développement durable)  Agir sur l’insertion sociale et professionnelle  Lutter contre les formes d’exclusion et les discriminations, renforcer la cohésion sociale

Chiffres clefs (en France)

 Formation 10% de femmes de plus que les hommes ont le bac 10%

de plus de femmes diplômées de l’enseignement supérieur

 Et pourtant -9% de salaire Dans la recherche 62% des assistants sont des femmes alors que les chercheuses ne sont que 39% A poste équivalent

 Violence 181 femmes décédées par an de violence intra-familiales  A la maison 72% des tâches ménagères

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GRAND ANGLE

Témoignages Il y aurait donc des métiers d’homme et des métiers de femme ? Au-delà des inégalités salariales et des à priori qui ont encore et toujours la « dent dure », Bassens Actus a rencontré deux jeunes professionnels. Alexandre Bourdareau avec son physique de rugbyman travaille avec les enfants dans une école maternelle et Inès Brun avec son allure pimpante, se passionne pour les machines et leur fiabilité.

Alexandre Bourdareau,

27 ans Agent Territorial Spécialisé des Ecoles Maternelles B.A. Pouvez-vous nous parler de votre parcours ? « Je pensais me destiner à la menuiserie mais l’animation me plaisait bien aussi. J’ai débuté à Bassens à l’ALSH en tant qu’animateur et comme c’est un métier que j’aime j’ai souhaité continuer. Des opportunités de remplacements ponctuels dans les écoles se sont présentées et j’ai découvert le métier d’atsem. J’ai décidé de me former car c’est un métier dans la continuité de ce que j’aimais faire. »

B.A. Un petit rappel des missions d’un atsem ? « Je m’occupe des enfants dans et pendant la classe, en fonction des besoins, aux côtés de l’enseignante.

En journée, au quotidien, il s’agit d’accompagner et de veiller sur les enfants pendant le temps de la restauration scolaire, de la sieste.

Il y a également l’animation du temps d’accueil périscolaire après la classe, sans oublier le ménage. »

B.A. Et donc vous faites « un métier de femme »... « Je ne crois pas qu’on m’ait jamais vraiment fait la réflexion ou alors juste à la rigolade dans le cadre privé. Ça ne m’inspire pas grand-chose. J’ai bien ressenti une légère inquiétude la première fois que j’ai encadré une classe de petite section, avec des enfants qui font la sieste.

J’ai eu peur de préjugés de la part des parents, mais ça n’a pas duré, et personne n’a jamais manifesté quoi que ce soit. Et entre collègues ou avec les enseignantes, si les relations sont peut-être différentes avec un atsem masculin, ça c’est toujours très bien passé. »

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Inès Brun, 22 ans Technicienne de maintenance

B.A. Pouvez-vous nous parler de votre parcours ? « Après une année de 1ère SSVT au lycée Gustave Eiffel, je me suis orientée vers la filière Sciences et Technologies de l’Industrie et du Développement Durable.

Après le BAC, j’ai poursuivi vers un BTS en alternance dans la maintenance des systèmes de production, par manque de choix de filière, et surtout motivée par ma soif d’apprendre, ma curiosité. J’ai été accueillie dans des entreprises prestigieuses telles que le groupe Ariane, Dassault ou Airbus où pour valider mon BTS, j’ai présenté mon projet sur la mise en place de nouvelles technologies dans la maintenance préventive. Je suis sortie major de ma promo en 2018. Après quelques expériences professionnelles, je vais poursuivre mes études et m’orienter vers une licence en alternance, j’ai déjà des propositions d’entreprises. »

B.A. Cela consiste en quoi exactement ? « Il s’agit au moyen de différentes techniques de s’assurer que les systèmes de production que l’on trouve dans toutes les industries fonctionnent correctement. Il y a différents niveaux de maintenance : du premier niveau (réglages simples), à la maintenance prédictive qui est celle qui me passionne le plus : des analyses pointues (à ultrasons, vibratoires ou de données) permettent à certains systèmes de production de fonctionner 24h/24h. En ce qui me concerne, après mon passage chez Michelin ici à Bassens, une entreprise mythique avec ses pompes à vapeur uniques, je sais que je souhaite m’orienter davantage vers l’analyse que vers la mécanique. J’y ai également découvert l’aspect très intéressant des risques technologiques. »

B.A. Et donc vous faites « un métier d’homme »... « On ne m’a jamais fait la remarque. Mais malheureusement récemment à l’occasion d’un poste dans une entreprise locale, je n’ai pas ressenti beaucoup de bienveillance de la part de certains collègues masculins de ma génération. J’ai entendu « tu vas pas y arriver, c’est lourd, t’es une fille ». Par contre des plus anciens, oui : ils étaient ravis de voir enfin une femme à ce type de poste au XXIIème siècle. »

La coupe du monde en France a permis un coup de projecteur sur la pratique féminine du foot.

Existant depuis la fin du 19ème, elle se développe notamment durant la première guerre mondiale avant d’être rapidement interdite par les instances du football qui la jugeaient indécente. Le foot féminin renaît dans les années 60-70 avec un développement constant qui s’est accéléré ces dernières années (140 000 pratiquantes en France aujourd’hui).

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Les filles, "fer de lance" du CMOB Football

(Régionale 1) au 5 ème tour et le tournoi en Algérie où les joueuses ont pu se confronter à des équipes du top niveau français (Paris, Lille) et algérien.

Cette année, en plus de ses joueuses désormais expérimentées et pour certaines formées à Bassens, le club a effectué un recrutement ambitieux. Les familles et les amis suivent l’engouement autour de l’équipe et les rencontres attirent maintenant un public de plus en plus nombreux qui apprécie la technique et l’engagement physique des joueuses.

Le Club Municipal Omnisport de Bassens a déjà compté une équipe féminine dans les années « Il faut arrêter de penser que c’est un sport de garçon » 80. L’équipe fut relancée dans les années 2000 confie Lucie Gisselbrecht, une des joueuses de l’équipe. « De autour d’un petit noyau. Progressivement, nombreuses filles de tout temps ont joué au foot avec leurs le club s’est étoffé. Les joueuses historiques frères dans le jardin ou dans les city-stades. C’est juste que pour ont progressé et chaque année, beaucoup, elles ne pensaient pas, et leurs parents non de nouvelles sportives sont venues plus, que c’était possible pour une fille de jouer en « ARRÊTER DE renforcer l’équipe. L’encadrement club. Heureusement, les mentalités changent. » se structure également. Ibrahim PENSER QUE C’EST Pour s’en convaincre, il suffit d’assister à l'entraînement Adjou, accompagné de son frère UN SPORT DE des plus jeunes, les moins de 17 ans qui sont désormais Samir prennent en charge l’équipe ; nombreuses et motivées pour marcher ensuite dans les GARÇON » Mohammed Belhadj vient compléter pas de leurs aînées. Le coach jette un œil ému à ses jeunes le staff. Ibrahim poursuit en parallèle pousses : « C’est même une fierté pour nous quand elles sa formation d’entraineur en obtenant la sont recrutées dans des grands clubs, on leur demande juste de ne certification CFF3, gage de qualité. pas oublier leur club formateur ! » Le club remporte le championnat à 8 de division d’honneur du district de Bordeaux avant de passer au championnat à 11 plus relevé.

L’équipe connaît trois montées consécutives et se retrouve aujourd’hui au plus haut niveau régional : Régionale 1, à deux marches des championnes de la ligue 1.

Au rang des belles aventures de l’année dernière, on peut citer le parcours en coupe de France jusqu’à la défaite contre Guéret

Les principales recrues :  Océane Blanché (Albi - Ligue 2)  Imane Ben Kacem (Portet sur Garonne-Ligue 2)  Sabrina Barbe ( Albi en ligue 1) internationale française jeune  Léa Manon (Girondins et en Ligue 1) internationale française jeune Les matchs se déroulent un dimanche sur deux à 15h à la plaine des sports Griffons-Séguinaud.

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RENCONTRE

Dynamisme économique au féminin Si le dossier de ce magazine met en avant l’égalité femmes/hommes, de parité ici il ne sera pas question, désolé messieurs ! C'est une entreprise bassenaise (Georges) dirigée par une femme (Karine Da Silva) qui s'occupe de l'entretien des vêtements de travail des ouvriers de Notre-Dame de Paris. Un dynamisme économique qui se conjuge aussi au feminin pour les commerces de la ville.

Sadia, Saïda et Laura, trois femmes déterminées ont fait le pari de lancer leur propre activité...

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Le Snack & Cook

Le Snack & Cook a soufflé sa première bougie en septembre 2019.

Quand Sadia, Bassenaise de longue date (elle est arrivée sur la commune en 1971) repense aux péripéties administratives liées à l’ouverture, elle se dit que, finalement, elle a bien fait de ne pas baisser les bras. La réputation au bout d’un an est déjà solide grâce au bouche à oreille et aux clients qui viennent et qui reviennent. Forcément, on y mange bien, des produits frais, des plats du jour renouvelés quotidiennement « fait maison » tout comme les desserts. On y mange vite aussi si besoin : un coup de fil le matin, les plats sont réservés et n’attendent que vous. Coup de fil recommandé d’ailleurs car les quantités ne sont pas extensibles : Sadia est seule derrière les fourneaux (avec l’aide ponctuelle de son fils ou de sa sœur). L’endroit à la déco soignée (avec son grand mur/menu ardoise) n’est pas gigantesque, mais ce n’est pas grave, vous pouvez aussi emporter !

Enfin et surtout, on y mange pour un prix tout à fait raisonnable (formule à partir de 8,5 €), c’est l’avantage de cuisiner les produits disponibles, frais, de saison : « Peu de chance que je propose un dessert à la cerise en décembre ! » explique Sadia. Un autre avantage : les clients qui laissent leur email reçoivent chaque lundi les prévisions des plats du jour de la semaine.

Ouvert du lundi au vendredi de 11h à 14h, le soir c’est ouvert les mercredi, jeudi, vendredi et dimanche de 18h à 21h30.

Des ouvertures seront peut-être programmées le samedi avec pourquoi pas des soirées à thème. Snack & Cook, 4 rue Lamartine 05 35 31 53 59

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Liya Couture

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RENCONTRE

L’atelier de Saïda est niché au cœur du quartier des coteaux, 23 rue Simone Signoret précisément.

Il n’est nullement difficile de le trouver, l’enseigne n’est pas trompeuse et on peut facilement se garer devant. Passionnée de couture, elle a obtenu son diplôme de couturière/modéliste en 2000 et a ouvert son propre atelier à Bassens en janvier 2018. Entre-temps d’autres métiers l’ont appelé car elle a été atsem pendant 10 ans, sans pour autant s’arrêter de coudre pour la famille ou les amis.

Quand elle a emménagé à Bassens il y a 6 ans, elle a trouvé le local « idéal » à plusieurs points de vue, ce qui lui a permis de concrétiser son idée. Malgré quelques inquiétudes au moment de se lancer, renseignements et formations pris auprès de la chambre de commerce, elle se lance avec le statut de micro-entrepreneur.

En marge des travaux de couture (toutes les matières et les accessoires aussi), l’atelier donne des cours de couture (à partir de 6 ans).

Liya Couture, 23 rue Simone Signoret 06 45 83 93 15 - liyacouture@gmail.com Facebook : Liya Couture

Secrets de Coquettes Du haut de ses 28 ans, c’est « tout sourire » que Laura Blanchon vous accueille dans son charmant salon d’esthétique « Secrets de Coquettes », ouvert il y a un peu plus d’un an avenue Victor Hugo.

Lumineux et accueillant, dans ce petit salon « cocon » parfaitement agencé, chaque chose est à sa place. Il est l’aboutissement d’une envie de se mettre à son compte après quelques années passées à travailler pour de grandes enseignes et à domicile.

Esthéticienne depuis 11 ans, si elle propose les prestations classiques (épilations, soins, massages, etc.), sa spécialité c’est le regard, les cils et leur extension en particulier. Des prestations techniques auxquelles elle doit consacrer beaucoup de temps et comme sa clientèle (fidèle) ne lui en laisse pas tant que ça, elle vient de recruter une personne pour la seconder et pouvoir faire évoluer son offre (l’idée de « passerelles » avec les clientes du salon de coiffure d’à côté faisant son chemin.) La commune, elle la connaissait bien pour y avoir vécu et quand l’opportunité du local s’est présentée via une amie, elle n’a pas hésité. Un sourcil rebel, un cil trop court, ou une simple envie de vous faire chouchouter, maintenant vous savez...

Secrets de Coquettes, 44 avenue Victor Hugo 05 57 14 97 96 Prise de rendez-vous sur Planity.com

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INSTANTANÉS

Juin / Concert de Dioba

Juillet / festival des Hauts-de-Garonne

Août / Cérémonie commémorative

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Sept. / Rentrée scolaire

Sept. / L'Avenir en fête

Sept. / Rallye de l'emploi

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INSTANTANÉS

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3ème édition du Rallye de l'emploi Pour sa troisième édition, le rallye de l'emploi qui s'est déroulé du 23 au 27 septembre dans une nouvelle formule sur plusieurs jours avait pour objectifs l’orientation, la formation et la découverte des métiers ; la sensibilisation des publics sur les secteurs qui recrutent et les métiers de demain ; et la construction d'un projet professionnel. Une journée dédiée aux élèves du collège a permis à environ 150 élèves de participer à différents ateliers et tables-rondes sur ces thématiques et de les préparer à leur stage de découverte en milieu professionnel. Au programme du jour 2 : une visite de la zone industrialo-portuaire, au potentiel d'embauche non négligeable, et des entreprises Michelin et Envie2E avec des temps de "job dating" qui ont vu la candidature d'un participant retenue. Des visites entreprises ont également été co-organisées en partenariat avec le PLIE des Hauts de Garonne et IFRIA (Ricard, les Grands Moulins de Paris...).

Une quinzaine de partenaires était présents à la salle des fêtes le 25 septembre pour la journée autour de l'emploi, de la création d'entreprises et du handicap. L'égalité fille/garçon étant une de leurs préoccupations, les professeurs du collège ont assisté nombreux au temps (réservé aux professionnels) de sensibilisation sur la problématique de la mixité et de l'égalité professionnelle au château des Griffons. Enfin, pour la matinée de clôture dédiée à l'information et à l'animation autour des métiers du numérique, le public a pu investir la médiathèque et, en marge de la présentation, participer à des ateliers avec mise en situation de travail sur le métier de community manager et designer web, grâce à l'équipement de l'Espace Public Numérique (photo page 24).

Voté en conseil !

le 8 octobre

 Lors du conseil municipal qui s’est déroulé le mardi 8 septembre, une minute de silence a été observée, en hommage à Jacques Chirac, président de la République de 1995 à 2007, Philippe Madrelle, figure emblématique de la vie politique girondine, ainsi qu’à Damien Lespiaux, le directeur de l’école Rosa Bonheur, décédés récemment. (discours du Maire à lire sur www.bassens.fr)  L’intégralité des points présentés en séance ont été votés à l’unanimité, exception faite de celui dédié à la modification du plan prévisionnel de financement du PALS pour lequel le groupe d’opposition s’est abstenu.  En fin de conseil, le Maire a évoqué l’accident de Rouen. Dans la continuité de l’interview donnée à France Bleu Gironde le 3 octobre, il a fait le tour des différents dispositifs communaux mis en place pour prévenir, les risques et sensibiliser les habitants aux bons réflexes. A ce titre, n’hésitez pas à vous procurer le DICRIM, si ce n’est pas déjà le cas, en mairie ou sur www.bassens.fr.

Retrouvez l’ensemble des délibérations et compte-rendus de conseils sur : www.ville-bassens.fr

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FOCUS

LES RÈGLES D’OR

Attention arnaques !

Un faux agent muni d’un badge frappe à la porte de particuliers (le plus souvent des retraités ou des personnes isolées) pour « relever leur compteur d’électricité. » Cette démarche trompeuse n’a qu’un but : s’introduire au domicile de la victime pour lui subtiliser de l’argent ou tout autre objet de valeur. D’autres faux “techniciens EDF” récupèrent les numéros de compteurs des particuliers pour résilier leur contrat à leur insu et en ouvrir un nouveau chez un autre fournisseur. Des entreprises de fourniture de gaz naturel se font passer pour Gaz de Bordeaux afin de vous faire souscrire un nouveau contrat en cachant leur véritable identité. Les techniques sont diverses mais l’objectif est le même : abuser de votre confiance.

Porte-à-porte : prudence Face aux individus démarchant en porte-à-porte, il faut être particulièrement prudent.

Tout d’abord, n’ouvrez la porte qu’aux personnes que vous connaissez. Ensuite, les techniciens assermentés ne se présentent jamais chez vous à l’improviste mais uniquement après un courrier ou un avis de passage. Vérifiez les cartes professionnelles qui doivent avoir un nom, une adresse, un logo et contrôler l’identité du démarcheur en appelant le siège de l’entreprise. Enfin, pensez à relever la plaque d’immatriculation des véhicules suspects et à appeler la police municipale au plus vite.

Le cas des démarcheurs à domicile Artisans, agents d’assurances, entreprises de traitement contre les termites, marchands en tous genres, méfiez-vous des professionnels de la vente à domicile qui veulent à tout prix vous vendre un produit ou vous faire signer un contrat. Si leur offre ne vous intéresse pas, déclinez-la fermement. En cas d’insistance malgré vos refus, contactez la police municipale. Surtout, ne payez jamais le visiteur le jour de sa venue chez vous : la loi impose un délai de 7 jours avant le règlement du produit ou de la prestation proposée. Enfin, sachez que vous disposez d’un délai de rétractation de 14 jours après la signature du contrat. Il suffit d’envoyer au vendeur une lettre de rétractation en courrier recommandé avec accusé de réception.

Au guichet automatique bancaire La technique principale pour les escrocs consiste à vous distraire lors du retrait pour vous faire oublier votre carte et vous la subtiliser. Lors d’un retrait d’argent, cachez votre code, veillez à bien récupérer votre carte, ne vous laissez pas distraire et criez si on vous importune.

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(à rappeler régulièrement à nos proches les plus fragiles) :  Faîtes installer sur la porte un œil de bœuf (ou judas) ou un interphone vidéo pour voir sans être vu Ne jamais laisser entrer un étranger chez soi et surtout ne jamais le laisser seul à l’intérieur Se faire accompagner d’un membre de sa famille ou d’un ami si on est seul, âgé ou vulnérable Contrôlez la carte professionnelle, vérifiez en contactant le siège, notez la plaque des véhicules Rappelez-vous que la mairie n’envoie jamais personne au domicile de particuliers sans courrier Prenez votre temps et ne payer jamais lors du 1er rendez-vous, parlez-en à votre entourage Méfiez-vous alarmants

des

discours

Ne transmettez jamais de document personnel (avis d’imposition, numéro de sécurité sociale, coordonnées…) Interrompez votre transaction et récupérez votre carte si vous êtes importunés au guichet automatique En cas de doute, appelez la police municipale : 06 82 67 14 36 Pour ne plus être démarché par téléphone : www.bloctel.gouv.fr

Le samedi, à la caisse d’un des immenses hypermarchés de la périphérie bordelaise, si on lève un peu la tête, on peut apercevoir les caddys qui débordent et la mine renfrognée des gens qui, à la queue leu-leu attendent de s’échapper de ce qui peut sembler un enfer. Le regard vague, fixé sur le smartphone ou surveillant distraitement leurs enfants, ils regrettent d’être encore tombés sur la caisse la moins rapide. Il y a un monde fou mais chacun est finalement très seul dans l’anonymat assez triste des très grandes surfaces. Dans les chariots s’entassent des gadgets qui ne figuraient pas sur la liste de courses et qui trônaient quelques instants auparavant en tête de gondole sous les sunlight des promos exceptionnelles. Une façon de lutter contre la morosité ambiante ?

Observons donc en parallèle les visiteurs du marché du dimanche à Bassens.

Certes il y a quelques pressés, efficaces, qui savent exactement ce dont ils ont besoin et sont capables en 10 minutes chrono de faire leurs emplettes.

Et puis, il y a les autres visiteurs. Pour eux, le marché, c’est aussi une balade et un lieu où l’on peut rencontrer des gens. On s’arrête un instant devant un marchand en verve, qui clame que la saison des melons se termine et qu’il faut absolument en profiter ! Il donne de nombreux détails sur la façon dont il les cultive localement et avec soin. Soudain, on aperçoit son voisin : « Comment allez-vous, je ne vous ai pas vu cette semaine ? » On s’arrête un moment, on prend des nouvelles, on discute, de la pluie, du beau temps, des informations, de la politique, des derniers matchs de l’Union Bordeaux Bègles ou des Girondins.

Puis, entre deux discussions, on repart faire ses emplettes, car quand même, le temps passe et l’heure du déjeuner approche. Ici, pas d’éclairage qui réhausse le teint des fruits et légumes. Chez les producteurs, certains ne sont pas toujours très beaux à regarder mais les prix sont alors très raisonnables et la saveur toujours au rendez-vous. Et puis, Il y a des poulets « Label rouge » de Dordogne, du miel naturel de Gironde, des huitres du bassin d’Arcachon, des crevettes de l’estuaire ; de nombreux commerces sont labellisés « produits ici en Aquitaine ». Il y a aussi des habitants « cordon bleu » du coin qui proposent un tour du monde des saveurs avec leurs produits cuisinés (Bretagne, Afrique, Caraïbes, Amérique du Sud, Asie…). Il y a des éclats de voix, des rires, de la couleur, de bonnes odeurs… Le temps, le vent et les platanes, avec ou sans leur feuillage impriment ici le rythme immuable des saisons.

Marché dominical de 8h à 13h Place de la Commune de Paris

Aujourd’hui, on cherche des prix abordables certes mais aussi des bons produits, plus sains, locaux, avec une meilleure traçabilité et moins « transformés ». On cherche aussi un juste prix qui permette de rémunérer les agriculteurs et soutenir l’économie des campagnes. Par ailleurs, il n’a jamais été aussi nécessaire de s’entraider entre habitants et de recréer du lien social pour rompre l’isolement et lutter contre la précarité. C’est aussi ça le marché !

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CARTE BLANCHE

Une autre façon de consommer

EXPRESSIONS POLITIQUES

Parole de la Majorité : « Continuons ensemble pour Bassens » Groupe P.S et apparenté Alors que nous avons repris le cours normal de notre activité municipale, Bassens résonne encore des festivités qui ont fait vibrer la ville tout au long de l'été.

La fête champêtre a connu une nouvelle fois un grand succès grâce à l’engagement des relais citoyens, des nombreux bénévoles associatifs et du travail de nos services.

Succès aussi pour Cap 33 qui a réuni cette année plus de 4000 participants autour d’activités proposées aux quatre coins de la commune.

Le mois de septembre a été marqué par plusieurs temps forts : la manifestation de l’Avenir en Fête où le conseil citoyen s'est associé aux bailleurs pour proposer aux familles des temps ludiques et de détente ou la marche du patrimoine qui a été l’occasion de partir à la découverte de l’histoire communale.

Par ailleurs, le rallye de l’emploi a également connu un succès non démenti, passant d’une journée en 2017 à trois jours en 2018, pour arriver à une programmation sur une semaine entière lors de cette édition 2019.

Concernant la rentrée, celle-ci a été marquée par le décès brutal du directeur de l’école Rosa Bonheur. Nous avons été nombreux à témoigner notre soutien à sa famille lors de ce moment difficile pour nous tous.

Sur un tout autre plan, la reprise des cours a été l’occasion de rappeler notre désaccord concernant la fermeture d’une classe de 6ème au collège Manon Cormier. Cette décision incompréhensible participe à la dégradation des conditions d’enseignement des professeurs et d’apprentissage de nos enfants.

Ce désengagement de l’Etat est malheureusement général, en atteste le projet de privatisation d’Aéroports de Paris.

Comme si l’erreur de la vente de notre réseau autoroutier avait été oubliée. Par conséquent, nous vous invitons à participer au référendum pour dire « non » à la privatisation des aérodromes de Paris. Pour vous aider dans cette démarche, un poste informatique est à votre disposition dans les locaux du service Affaires Générales, au rezde-chaussée de la mairie.

Dans un contexte national et international de lutte contre le terrorisme, il sera plus compliqué de garantir la sécurité via, notamment, la gestion des frontières, en confiant ces missions à une entreprise privée.

EXIGEONS UN REFERENDUM Pour cela, apportez votre soutien sur le site suivant, (en vous munissant de votre carte électorale et de votre Carte Nationale d'Identité ou passeport)

La privatisation des autoroutes, ainsi que celle plus récente de l'aéroport de Toulouse, s'avèrent être un gouffre financier pour la Nation, pour ne pas dire une erreur stratégique, tant les appétits financiers sont à l'opposé d'une logique de service public répondant à l'intérêt général. De plus, compte tenu du nombre d'emplois générés (570 860 en 2016) par ces aéroports, une privatisation aurait des répercussions négatives sur la nature-même des emplois et les conditions de travail des salariés.

https///www.referendum.interieur.gouv.fr/ soutien/etape-1 (ordinateur fixe ou portable, tablette, smartphone)

Bonne fin d’année à toutes et à tous.

Pour le Groupe P.S et apparenté Jean-Louis BOUC

Groupe P.C.F-Front de Gauche CONTRE LA PRIVATISATION DU GROUPE AEROPORTS DE PARIS (Orly, Roissy Charles de Gaulle, le Bourget et 10 aérodromes civils) En mai 2019, le Conseil constitutionnel a validé l'initiative de 248 parlementaires. En juin s'est ouvert le recueil des signatures des citoyens français. 4,7 millions de signatures doivent être enregistrées d'ici le 13 mars prochain, afin de pouvoir obtenir qu'un référendum soit organisé.

Aujourd'hui, l'Etat est le principal actionnaire, avec 50,6% des parts. Un rachat par une société privée pourrait fortement augmenter les prix (pour les 101 millions de voyageurs) et réduire la qualité des services.

Il faut mettre un coup d'arrêt à la politique du Président de la République.

Si vous rencontrez des difficultés, vous pouvez vous rendre en Mairie de Bassens (munis des mêmes pièces) des formulaires « papier » sont à votre disposition, ainsi qu'un ordinateur.

Pour le Groupe P.C.F - Front de gauche Josyane MAESTRO

Parole de l’Opposition : « Bassens l’Alternative » Risques technologiques - après Rouen quelles leçons pour Bassens ?

Jeudi 26 septembre dernier, un incendie détruisait l'usine Lubrizol de Rouen.

Entreprise classée Seveso seuil haut, elle était spécialisée dans la production de composants chimiques. Éléments qui, avec l'incident, se sont propagés à proximité du périmètre de l'incendie.

A Bassens, un risque toujours présent Au regard de l'émoi suscité dans le pays, cette affaire nous rappelle la présence du risque sur Bassens de 4 entreprises classées Seveso (dont 3 seuil haut). Un risque

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toujours présent qui - combiné à une politique de construction à proximité de ces sites - renforce l'inquiétude de la population sur l'ensemble de la zone. L'incident de CD Trans en 2016 sur la commune, est resté dans toutes les mémoires.

Que faire demain sur notre zone industrielle ?

Entre ses défenseurs et ceux qui estiment qu'elle n'apporte que des nuisances, la commune est aujourd'hui fracturée. Dans un contexte où peu, voir aucun dispositif de dialogue n'est mis en place pour travailler de concert avec les industriels. Une refonte de ce partenariat s'impose et la mise en place

de réelles instances de concertation pour la population, autonome de la municipalité, nous semble être la meilleure solution.

Facilitant ainsi les échanges et la prise en compte des intérêts de chacun. La population a besoin de ce poumon économique et les industriels doivent prendre en compte ces problématiques environnementales que nous défendons depuis 6 ans.

Nous vous souhaitons à tous d'excellentes fêtes de fin d'année, Pour le Groupe Bassens l'Alternative Alex Jeanneteau

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Document d’Information Communal sur les Risques Majeurs

LES BONS RÉFLEXES

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