Plaquette Entre mots entre nous 2011-2012

Page 1

, s t o m e r t n E « » s u o n e r t en iathè d é M

erran t t i M s i o nç uq e Fra

d

2011-2012


Conception - Rédaction : Médiathèque municipale

Note : Pour chaque livre :

Création et réalisation graphique : Service Communication

- un résumé

Imprimerie : Sud-Ouest Service’s Imprimerie, Saint Geours de Maremne Tirage : 1300 exemplaires Imprimé sur papier PEFC avec des encres végétales

2

- les commentaires des enfants - les commentaires des parents


«Entre mots, entre nous » Le projet « Entre mots, entre nous », qui en est à sa huitième édition, est devenu incontournable à Bassens. D’année en année, les objectifs initiaux restent les mêmes, à savoir développer le plaisir de lire dès le plus jeune âge et favoriser les moments d’échanges autour de la lecture dans les temps scolaires et périscolaires mais aussi au sein des familles et entre générations. Cependant, la réussite de cette aventure partenariale a conduit à élargir toujours un peu plus les champs d’investigations possibles. Ainsi, cette année, les petits et jeunes lecteurs auront été tour à tour philosophes, critiques d’art ou simples rêveurs mais, entre autres exemples, ils auront aussi été sensibilisés au handicap, à la nature ou aux voyages... L’ouverture au monde et l’enthousiasme des enfants sont deux conditions majeures de la pérennité de cette manifestation. Je les remercie, ainsi que leurs parents, de la qualité du travail accompli. Je souhaite également saluer l’implication et la compétence de l’ensemble des partenaires qui, chaque année, s’appliquent à transmettre leur passion au fil des pages. Bonne lecture à tous, Jean-Pierre TURON

Maire de Bassens, Vice-président de la CUB

«J’ai aimé cette histoire car elle parle d’amour et de poésie », écrit un enfant. « On se prend au jeu de cette quête ingénue dans le monde de l’art » ajoute un parent. C’est un plaisir de lire, dans cette brochure, les réflexions des enfants sur les lectures nombreuses et variées qu’ils ont abordées. Les parents sont toujours prêts à accompagner les enfants dans leur découverte à travers les mots, les dessins, les images. Leurs témoignages sont enthousiastes. Ces livres d’auteurs pour la jeunesse favorisent les échanges enfants adultes et permettent d’aborder des sujets importants autour de la philosophie, de l’art, de la famille, des relations intergénérationnelles... Mais toujours on retrouve ce plaisir d ‘entrer en contact avec le livre et souvent avec les auteurs venus nombreux pour échanger avec leurs jeunes lecteurs. C’est une invitation à la réflexion, mais aussi au rêve, au voyage, à la poésie. Et cela incite l’enfant à aller au-delà de l’histoire et à devenir, à son tour, créateur de dessins, de textes, de poésies. Les objectifs pédagogiques que se sont fixés les bibliothécaires de la médiathèque sont amplement atteints notamment leur désir de procurer le bonheur de lire tout en favorisant le développement de l’esprit critique dès le plus jeune âge. Pour tous ceux qui accompagnent ce projet depuis huit ans, c’est, de nouveau, une belle réussite. Je tiens à les remercier tous, bibliothécaires, professeurs des quatre écoles et du collège, animateurs, équipes responsables des structures municipales ainsi que les parents et les enfants. En 2012-2013, la belle aventure « Entre mots, entre nous » se poursuivra pour le plus grand bonheur de tous. Michel HIBON Adjoint à la culture

3


Poussez pas

Martine Perrin.- Milan jeunesse, 2010 Une course effrénée aux couleurs de l’Afrique, un jeu de découpages et de silhouettes, à vous de découvrir qui court derrière… jusqu’au final impromptu !

C’est un livre apprécié en lecture collective, l’histoire est en mouvement avec les illustrations animées, les enfants les regardent comme un film qui défile. Les enfants ont vraiment aimé. Le format cartonné est agréable et solide car ils peuvent le manipuler sans crainte. Maintenant, quand nous sommes dans la voiture, les enfants, voyant passer le feu au vert, s’écrient en chœur « C’est vert ! » comme dans les illustrations du livre. Les plus grands se sont amusés à répéter les noms des animaux mais certains étaient difficiles à reconnaître pour les plus petits. Cet album permet d’apprendre aux enfants à respecter les autres. Le découpage des animaux permet de jouer à deviner qui suit. La lecture en accélérant le rythme plait beaucoup aux enfants. Les illustrations gaies et colorées plaisent beaucoup aux enfants. Les plus grands lisent cet album en répétant la phrase « qui court après ».

Au même instant sur la terre

Clotilde Perrin.- Rue du monde, 2011 Un voyage autour du monde, aux multiples destinations à travers 24 fuseaux horaires. C’est coloré, vivant, humain, et relie avec ingéniosité le jeune lecteur à la planète entière.

Cet album est très ludique car les enfants se sont amusés à chercher des petites choses dans les illustrations. C’est un livre intimiste qui invite à une lecture individuelle, ou en petit groupe. Cet ouvrage est un peu fragile mais il a beaucoup plu aux plus grands. Ils voulaient tous toucher les pages et chercher les éléments disséminés dans les pages. Lors des lectures, j’ai invité les enfants à rentrer dans le cercle et je les ai entourés des pages accordéon et cela a plu aux tout-petits, une autre dimension est donnée au livre, il faut être par terre et autour pour apprécier la lecture. Les couleurs des illustrations sont très attractives et très ludiques. C’est un ouvrage fragile et il est difficile de le laisser à disposition des enfants. Il demande un accompagnement. Il est très intéressant pour les plus grands, avec ses illustrations qui se chevauchent d’une page à une autre, on peut jouer avec eux à chercher l’enfant nommé et décrire ce qui se passe.

Dis papa, pourquoi ?

Christian Voltz.- Bayard Editions, 2010 (coll. Les belles histoires des tout-petits) Un jeune garçon se balade à vélo avec son père. Une touchante relation entre un père et son fils, le plaisir de la transmission et l’évocation de la disparition d’un être cher, laissant pour souvenir un beau pommier, symbole de l’arbre de vie.

Ce livre a beaucoup plu, il a parlé aux enfants. Histoire de répétition, de transmission sur la vie. Cette histoire traite avec merveille de la vie de l’enfant dans le cercle familial. C’est un bric à brac sur une vie, le papier glacé est très agréable au toucher et met en valeur les illustrations. Cette histoire permet de discuter avec les enfants sur les questions de la vie qu’ils se posent en grandissant. J’adore l’humour et les illustrations, c’est une histoire accessible aux plus grands. Les thèmes du jardinage, du temps qui passe et des générations sont traités de façon adaptée pour les moins de trois ans.

4


Sortez de mon livre !

Marypop ; ill. Coralie Saudo.- Scarabéa, 2010 (coll. Histoires comme ci comme ça) Quand des petites souris s’immiscent dans les pages d’un livre, c’est la pagaille et la colère dans l’esprit de la lectrice... les jeunes lecteurs comprendront qu’il faut partager pour s’enrichir !

Pour nous, c’est un coup de souris, coup de cœur collectif ! Cette histoire est à lire avec le ton pour faire rire les enfants. Les petits s’identifient aux souris et ils chantent la comptine de la souris verte. Les souris roses s’incrustent dans les pages et elles amusent beaucoup les toutpetits. Elles ressemblent à des bonbons, un livre à grignoter ! Le format allongé et cartonné est apprécié, notamment pour la prise en main. On peut laisser les enfants avec ce livre entre les mains sans risque ! On a passé de bons moments avec la lecture de cette histoire. Cet album m’a souvent été demandé par les enfants, ils aiment trouver la souris verte. La répétition fonctionne bien chez les plus petits.

© Coralie Saudo

Pour grandir, il faut...

Catherine Grive ; Jean-François Spricigo.- Le Rouergue, 2010 (coll. Yapasphoto) Cet imagier surprenant aux magnifiques photographies noires et blanches invite le tout-petit à pénétrer dans le quotidien de la vie et les différentes étapes qu’il devra gravir pour devenir grand à son tour.

Très bel imagier. C’est un bon support à la discussion, en relation plus individuelle. Certains enfants ont rejeté cet imagier parce qu’ils attendaient une histoire. Une des photographies leur a fait peur et a capté leur attention au détriment de toutes les autres. Ils me demandaient tout le temps de regarder cette photographie avec le visage d’un jeune garçon de la mousse de bain plein le visage. Les photos accrochent les enfants. Les plus petits n’ont pu s’identifier, un ouvrage qui s’adresse davantage aux plus grands. Les photos en noir et blanc restent touchantes et les plus grands ont pu nommer ce qu’ils voyaient.

5


C’est un livre

Lane Smith.- Gallimard jeunesse, 2011 Un petit âne à l’allure très geek joue sur son ordinateur et commence à entamer une conversation avec un grand singe, plongé dans sa lecture. Un hymne plein d’humour au livre papier à l’heure du numérique !

J’ai trouvé le livre rigolo et j’ai aimé les couleurs. J’ai trouvé les personnages beaux. Il est trop bien ce livre mais mes parents ont dû m’expliquer ce qu’est Internet. Le petit âne sait ce qu’est un ordinateur mais il ne connaît pas les livres. C’est rigolo, les personnages sont toujours en train de se disputer. C’était génial, les images étaient belles. L’histoire m’a fait rire. Livre criant de vérité où la culture et la simple évasion grâce aux mots deviennent de plus en plus inaccessibles. J’ai trouvé ce livre sympa du point de vue du rapport entre le multimédia et le livre indémodable. J’ai pu expliquer à mon fils les mots nouveaux du « WEB » qui nous entourent au quotidien maintenant. Cependant, il a aussi compris que pour être malin comme un singe, il faut lire des livres. Parallèle sympathique entre deux manières de lire aujourd’hui. Une réussite à lire même aux plus « vieux » ! Le livre est bien plus intéressant que la modernité et la technologie de maintenant. Il suffit d’un livre et de notre imagination pour s’évader de la réalité.

Le petit bonhomme de Rêves

Karine Quesada ; ill. Cocci-Lune.- Editions MiC_MaC, 2010 Au pays des histoires, il fait bon s’endormir… les contes défilent au rythme des couleurs et des odeurs. Cet album invite à sentir et savourer chaque rêve, alors suivez le lutin, frottez la page et sentez... vous serez envoûtés.

J’ai aimé le petit bonhomme qui était courageux et surtout j’ai aimé quand j’ai gratté l ’odeur de la framboise et de la cerise. J’aime cette histoire : le petit bonhomme fait comme moi, il mange des bonbons et il saute sur les dragons. Il est rigolo, gentil et il donne de jolis rêves. Ce livre, il sent bon sous les doigts. Cette histoire est magique. Je voudrais toujours faire des rêves comme ça ! Les pages de ce livre sentent bon et le petit bonhomme des rêves est très gentil. Toutes les couleurs sentent bon. Mes jours préférés sont le mardi pour les histoires rouges et le samedi pour le chocolat. Il est trop bien ce livre ! J’adore, en plus il sent bon ! C’est un bel album parfumé, les illustrations sont superbes et l’histoire est très plaisante car avec ce lutin, il n’y a plus de cauchemar. Voici un beau livre. Le thème est apprécié surtout à cet âge où ma fille rêve beaucoup de monstres et n’aime pas les dessins animés avec des sorcières qui lui font peur. Ce livre aide aussi à apprendre de façon amusante les jours de la semaine, les couleurs et les parfums. Ce livre est intéressant, à lire avant de dormir car il apaise les esprits. Jolie histoire, même pour moi, j’aimerais que le petit lutin vienne me raconter des histoires mais en y pensant très fort, je pense que cette nuit, il sera là avec ses parfums agréables… C’est un livre plein d’odeurs et c’est très marrant pour les enfants car ils s’amusent à gratter. 6


A quoi tu joues ?

Marie-Sabine Roger ; Anne Sol.- Sarbacane, 2009 Jeu de fille ou jeu de garçon ? A chaque page, la réponse attendue n’est souvent pas la bonne. Et si les garçons et les filles jouaient aux mêmes jeux…

Je comprends que les filles ne jouent pas au foot mais si elles y jouent, cela n’est pas grave parce que les garçons ont aussi le droit de pleurer. J’aime jouer aux voitures et préparer à manger avec maman ! Je trouve normal que les filles et les garçons puissent avoir les mêmes loisirs. Il n’y a pas que les garçons qui jouent aux voitures. J’y joue très souvent avec ma cousine. On est tous pareils c’est vrai et moi je joue à tout, même avec des filles. C’est très original d’avoir mis des photos de « vrais » gens. Ma sœur joue aux voitures et moi, je joue à la poussette. Une bonne idée contre les jeux stéréotypés. Je me rends compte que mon fils est assez ouvert à tous les types de jeux puisqu’il a une poupée et joue à la dînette. De plus, il adore danser dès qu’il entend de la musique. J’ai trouvé ce livre très bien imagé, j’ai aimé la « surprise » derrière chaque volet. Je suis totalement pour la littérature non sexiste. Ce livre est intelligent car il aborde le thème de la discrimination et du sexisme d’une façon simple et amusante. Comme l’explique le résumé, il y en a marre des stéréotypes. Pour moi tout est possible que nous soyons garçon ou fille et c’est comme cela que je l’explique à mes enfants.

Le parapluie de madame HÔ

Agnès de Lestrade ; ill. Martine Perrin.- Milan, 2007 Madame Hô laisse s’envoler le parapluie de son défunt mari. Une bourrasque de vent et une course folle commence… la poésie prend forme avec des illustrations géométriques aux multiples motifs évocateurs.

J’ai aimé quand le parapluie s’envole et quand les deux parapluies se croisent en formant un cœur. J’aurais aimé voir le visage de Madame Hô. J’ai aimé voir les parapluies amoureux. Madame Hô a une très belle robe. Je trouve la couverture très amusante. J’ai aimé les illustrations et les pages découpées. Les phrases suivent un mouvement par exemple le vent. J’ai bien aimé que le vieux monsieur invite la vieille dame parce que c’est gentil. Lire ce livre fut un moment agréable de partage. Histoire poétique, illustrations fraîches et épurées. Ce livre laisse une place prépondérante à l’imagination de ce qui n’est pas représenté tels que les personnages. Beaucoup de douceur et de finesse, de l’humour et de la délicatesse, soutenus par des découpes originales, une vraie perle du Japon ! Les illustrations sont magnifiques, simples et originales. C’est une belle histoire qui montre que le bonheur est toujours possible. Très belles illustrations, très épurées. Magnifique mise en page pleine de chaussetrappes et de double sens. Texte étrange...où nous amène t-il ? Peut-être chacun peut-il y lire ce qu’il veut ? Le fait de ne jamais voir le visage et le corps de madame Hô attise la curiosité de l’enfant. Cette histoire fait passer des messages, tout est suggéré et laisse place à l’imagination… 7


Les Oiseaux

Germano Zullo ; ill. Albertine.- La Joie de lire, 2010 Une belle leçon d’amitié, d’entraide et de générosité entre un homme à l’allure débonnaire et un frêle oiseau. Tous deux vont-ils réussir leur quête ?… celle du partage et de l’entraide… à philosopher...

J’aime ce livre car il nous raconte l ’histoire en regardant les images et en réfléchissant. J’ai aimé ce livre parce que je trouve qu’il est coloré. Comme il n’y a pas beaucoup d’écriture, on peut imaginer nous-mêmes l ’histoire. Et j’ai aimé l ’amitié entre le plus petit des oiseaux et le monsieur. J’aime cette histoire parce qu’elle n’est pas triste, ils sont heureux à la fin ! J’ai aimé les couleurs des images. La morale de l’histoire : profitez du moindre détail pour rendre votre vie heureuse ! Ne regardez la vie qu’en positivant. Ce livre traduit une bonne illustration sur le savoir-vivre, savoir se satisfaire des petites choses de la vie. Les adultes voient plutôt dans ce livre la liberté et la générosité, tandis que l’enfant y voit une belle histoire d’amitié. Très beau livre sur le thème du respect, de la liberté et de l’entraide. Cette histoire donne du courage à mon enfant. J’ai trouvé ce livre très plaisant, il emmène à beaucoup de discussion, de réflexion et d’imagination avec nos enfants. Les couleurs vives du désert et les oiseaux font travailler l’imagination. Et la fin fait rêver !

Le voyage merveilleux

Maurice Carême, ill. Lauranne Quentric.- Mouck, 2011 (coll. Juvenilia) Une promenade poétique au fil de l’eau et du temps... Devenez à votre tour le « Roi des poètes » grâce au merveilleux jeu de l’oie !

Les images sont belles car il y a des couleurs qui ressemblent à des tissus. Il y a des mots qui vont

ensemble (rimes). C’était très poétique, les artistes qui l ’ont fait ont beaucoup de talent. Mon personnage préféré est la souris chasseuse d’insectes. J’ai aimé car il y a des papillons et d’autres animaux. J’ai bien aimé et mon moment préféré c’est quand l ’oiseau chante avec la rose comme si c’était un micro. Ce livre est rigolo surtout quand le chat attrape la mouche et quand il baille.

Une jolie façon de redécouvrir Maurice Carême, qu’on a tous récité au moins une fois dans nos vies d’écoliers. Les illustrations vont bien à son univers tendre et enfantin. Elles ajoutent une dose de poésie supplémentaire en réussissant à ne jamais « coller au texte », mais en l’interprétant finement. Les graphismes sont intéressants nous faisant ressentir à chaque page le mélange entre vie réelle et vie fantastique. Un voyage plein de poésie. Il se dégage une atmosphère très douce de ce livre. Les poésies ont une sonorité qui berce l’auditeur. Cependant le vocabulaire et le sens sont un peu complexes pour un jeune enfant et nécessitent une explication. Très poétique, ce livre laisse une grande place à l’imagination et au rêve. L’histoire du livre est magique, elle nous ramène dans différents endroits, belles illustrations, style patchwork.

8


Diapason

Laëtitia Devernay.- La Joie de lire, 2010 Véritable ode à la musique ! Une envolée lyrique au son d’une mélodie ailée… Tout autour de nous se déroulent les pages accordéon... Une pure merveille !

Ce chef d’orchestre a réussi le plus beau concert du monde et pour s’en souvenir toujours, il plante une graine d’arbre d’oiseau musicien qui va pousser pour donner un arbre à musique… J’ai aimé déplier ce livre et raconter l ’histoire. Regarder ce livre m’a procuré beaucoup de plaisir. J’ai bien aimé les illustrations parce qu’on a l ’impression que c’est à la fois vrai et à la fois dessiné. C’était très bien, on dirait de la réalité, beaucoup de plaisir ! C’est bien que les feuilles des arbres se transforment en oiseaux. J’ai trouvé amusant de déplier ce livre. J’ai trouvé ce livre très agréable, belle manière de parler de poésie, d’amour, de sentiments. Il y a beaucoup de détails et de choses à découvrir dedans. J’aime beaucoup l’illustration qui montre la tristesse d’un enfant amoureux qui parvient à dire et non à écrire ce qu’il ressent. Dans ce livre les dessins sont des mots. Livre très original de par sa mise en page et l’histoire. On a l’impression d’entendre la musique. Beau graphisme très parlant. Ce livre est graphiquement et esthétiquement réussi. Il nécessite un accompagnement soutenu de l’enfant à travers des questions et un dialogue pour l’aider à trouver un sens, ça le rassure alors. Livre très original, les troncs des arbres font penser à des partitions musicales.

9


Comment j’ai appris la géographie Uri Shulevitz.- Kaléidoscope, 2008 A travers ce poignant récit, témoignant des souvenirs d’enfance de l’auteur, se tisse une histoire porteuse d’espoir qui dénonce les tragédies de la guerre et rend hommage à la figure paternelle. Une belle leçon de vie qui porte à réfléchir !

Cette histoire vraie m’a beaucoup touché. Je n’aimerais pas que cela se reproduise. C’est une bonne idée d’avoir raconté sa vie parce que je pense que maintenant, l ’auteur en souffre moins. J’étais triste lorsque la maison de l ’auteur a brûlé, mais j’ai aimé lorsque le petit garçon rêvait d’être à côté de la mer et allongé à l ’ombre des palmiers. Ce livre montre que l ’on a pas toujours besoin de maîtresse ou de maître pour apprendre la géographie et qu’une seule carte suffit. J’ai beaucoup aimé l ’histoire parce que c’est l ’histoire vraie de l ’auteur. C’est une histoire triste car il a souvent faim, mais grâce à cette carte, il est heureux de voyager dans sa tête. C’est une très belle histoire qui trouve ses racines dans l’Histoire, et devient universelle : comment le « génie » du père ouvre au fils les portes de l’imaginaire ; comment à défaut de lui acheter du pain, il lui offre du rêve. J’ai trouvé ce livre très riche et porteur d’espoir. C’est dur pour un enfant de lire qu’un autre enfant est affamé... même s’il rêve de pays lointains ! C’est très intéressant de faire connaître aux enfants que l’on peut s’évader à partir de presque rien et se créer un monde différent. J’ai apprécié cette leçon de vie romancée à partager avec mon fils. Il permet d’aborder le pouvoir de l’imaginaire mais également la guerre. Un graphisme qui renforce les émotions contenues dans les mots, qu’il s’agisse de la tristesse ou de l’enthousiasme. Et derrière l’histoire, celle d’un petit garçon devenu adulte qui rend hommage à son père. Emouvant et profond.

Un piano sur son dos

Claude Clément ; ill. Sylvie Serprix.- Grasset jeunesse, 2010 (coll. Lecteurs en herbe) Quelques notes mélodieuses pour ce beau voyage musical empreint de douceur et de tendresse… Avis aux mélomanes et aux doux rêveurs musiciens de tous horizons, laissez vibrer votre cœur !

J’ai compris que pour réussir quelque chose, il faut persévérer et après, on est content. Les illustrations sont belles parce que, quand le piano chante, il y a de jolis dessins qui en sortent. J’ai bien aimé l ’histoire parce qu’au début l ’enfant savait peu de choses et à la fin, il savait jouer du piano. Le piano vecteur d’émotions est un joli thème. C’est un conte qui parle de passion, de persévérance et d’amour. La musique est l’élément moteur qui touche et rassemble les gens. Les touches de couleurs légères donnent de la douceur à ce conte. Le style du texte est poétique et enveloppant comme une mélodie. Il permet de faire comprendre à un enfant le sens de la persévérance. Un beau livre à l’écriture et aux illustrations sobres. Elles offrent un support poétique à la rêverie et aux souvenirs. La lecture de ce livre s’est faite en écho à l’interview d’un pianiste de jazz qui disait avoir été bercé sous un piano. Hasard et métaphore pour une coïncidence. Ce livre ouvre des « portes » sur plusieurs thèmes de réflexion : la maturité, les sentiments etc... 10


Contes nomades : Sur les chemins des peuples nomades du monde entier

Catherine Gendrin ; ill. Martine Bourre, Frédéric Clément, Laurent Corvaisier et al.- Rue du monde, 2011 Un beau voyage au sein d’hommes et de femmes issus du peuple nomade servi avec talent par de magnifiques illustrations. A lire en famille et à méditer… on en ressort grandi !

Ce livre raconte des contes des autres pays. J’ai adoré ces contes, beaucoup d’émotions, d’amour et de tristesse. J’ai trouvé ce livre génial car il rend hommage aux peuples nomades. Il y a de belles illustrations avec des couleurs vives. Tous les contes m’ont plu et j’ai aimé les histoires car elles se finissaient toujours bien. De beaux contes qui rendent hommage à Catherine Gendrin. Idées malignes « il ne faut pas se fier aux apparences » pourraient résumer certains contes. Sagesse, réflexion et bon sens nourrissent ces contes. A méditer au quotidien ! Très jolis contes qui font voyager et nous apprennent les légendes d’autres peuples. Ces contes sont très réalistes, ils prouvent que l’amitié est sacrée. Il est préférable de discuter avec son enfant de l’histoire, cela permet le partage. C’est un joli mélange de cultures qui nous permet de voyager au fil des histoires. C’est un bien joli voyage au pays des contes et des différentes cultures. Les contes sont très agréables à raconter. Ce livre invite aux voyages par sa succession de contes exotiques.

Fleur de géant

Nicolas Poupon.- Scutella, 2011 Une histoire tendre entre deux êtres différents et pourtant si proches par leur besoin d’être aimé. L’amour des histoires lues va les rapprocher. La différence, l’acceptation de soi, l’entraide sont évoquées avec justesse et émotion. Un bel hymne à la lecture et au pouvoir des mots !

J’ai aimé cette histoire, pour moi ça veut dire qu’on soit petit ou grand, on reste toujours une personne comme les autres et c’est ce qui est important. J’ai aimé ce livre, il donne beaucoup d’émotions. J’ai aimé cette histoire, elle finit bien. L’histoire est vraiment amusante et touchante. On se dit que la taille ne fait pas la différence, ne fait pas la personne. J’aime bien quand Fleur était entourée de livres. L’histoire est rigolote, très romantique à la fin, elle montre que dans chaque différence on peut vivre ensemble. Une belle histoire sur les différences qui raconte finalement que le bonheur est proche pour chacun de nous. L’histoire est belle et fait apparaître la différence qui peut exister chez les êtres. L’enfant comprend avec cette histoire qu’on n’est pas tous égaux. L’histoire est belle et sensibilise les enfants à accepter les différences, être tolérants au regard des autres. Nous avons partagé la lecture de ce livre en famille et nous avons beaucoup aimé. J’ai aimé cette histoire car elle parle de la différence, de l’amitié et de l’amour, où chacun grand et petit trouve sa place. Histoire fabuleuse. Livre original et poétique. Très jolie histoire avec des illustrations actuelles, c’est attractif. 11


C’est bien

Philippe Delerm.- Milan, 2001 (coll. Milan poche junior) Qu’il est bon de replonger en enfance. Voici une multitude de souvenirs partagés avec ses parents, ses grandsparents, ses amis d’école… Un roman qui invite au partage et au dialogue.

Cela m’a rappelé des petits moments de ma vie. J’ai aimé et ça fait référence à la BD de Tintin, L’étoile mystérieuse, que j’ai déjà lue pendant les vacances. Ce livre c’est parfois ce qui se passe chez moi. Ce livre m’a fait penser à la vie de tous les jours. On a l ’impression d’être dans l ’histoire ! J’ai trouvé ce livre vivant et créatif ! Ce livre est bien écrit, on ressent vraiment les humeurs des personnages et l ’histoire m’inspire beaucoup. J’ai beaucoup aimé ce livre car il y a plein de petites histoires courtes et rigolotes sur la vie quotidienne de tous les enfants. J’ai retrouvé plein de choses que j’aime faire ou ressentir. C’est bien aussi de partager avec ses parents. J’ai bien aimé l ’histoire. Les questions ça m’a fait réfléchir. Il y a des chapitres où je me suis senti à la place du personnage car j’ai déjà ressenti ces émotions. Ce livre m’a plu et m’a donné envie d’essayer ce qui est écrit comme « travailler sur la table de la cuisine, se lever le premier à la maison… ». Ma mère l ’a trouvé aussi passionnant car il lui a rappelé des souvenirs d’enfance. Ce roman est agréable et drôle à lire parce que l ’on se croirait dans l ’histoire. Le but de l ’auteur est de faire apprécier les bons et mauvais moments. Il faut toujours prendre la vie du bon côté ! Dans la vie, il y a tant de choses à apprécier. Tous ces instants de la vie sont importants. Croquez ce livre à pleines dents ! Ce livre m’a fait repenser à des choses d’avant, et mon moment préféré est « C’est bien d’aller à l ’étranger » il m’a fait penser à mes voyages en Espagne avec mes parents, on découvre de nouvelles choses comme la langue, les traditions,… Ces histoires nous évoquent des souvenirs, des émotions, des moments inoubliables. Dans ce recueil, les petites histoires sont passionnantes car elles sont courtes, sympathiques, simples à lire et très marrantes. Cela m’a fait penser aux histoires de Nasreddine. Je l ’ai dévoré ! Il contient des histoires qui peuvent nous arriver. Ce livre est rempli de vie et de vérité. J’ai apprécié « C’est bien l ’autoroute la nuit » car cela m’arrive souvent. J’ai bien aimé car il y a des histoires dans lesquelles je me suis reconnue dans ma vie. J’aime bien l ’idée de dire c’est bien d’aller là, de faire ci et d’expliquer pourquoi. J’ai apprécié que ce soit des souvenirs d’enfance qui ressemblent à ce que l ’on a déjà vécu. Ce livre m’a plu car il y a des histoires curieuses, mystérieuses et des histoires surprenantes. J’ai énormément aimé ce livre car j’ai trouvé que l ’on vivait l ’histoire. Ce recueil de textes très vivants reflète la réalité. On trouve le bonheur dans chacune des histoires. Mon préféré reste « C’est bien de faire ses devoirs sur la table de la cuisine » car ça m’a fait penser à des souvenirs d’enfance. Ce livre est drôle, il raconte des moments de la vie, des petits plaisirs du quotidien. Dans une des histoires, je croyais que j’étais dedans ! J’ai aimé ce livre car ce sont des histoires émouvantes de la vie quotidienne qui me rappellent beaucoup de souvenirs. Moments figés et fugaces, des souvenirs vécus par tous ! Ce livre nous a fait revivre des moments passés en famille.

12


Lettres d’amour de 0 à 10 ans

Susie Morgenstern.- L’école des loisirs, 1998 (coll. Neuf) Deux jeunes enfants de 10 ans, à la condition sociale très différente et que tout semble opposer, vont chacun ouvrir la porte de leur cœur... leur vie va en être bouleversée… Une histoire émouvante et pleine de vie sur l’amour, l’enfance et les chemins familiaux.

J’ai aimé le personnage de Victoire car elle a mis du piment dans la vie tranquille d’Ernest. Je me suis retrouvée dans certains chapitres car ma grand-mère est comme celle d’Ernest, je mangeais moi aussi toujours pareil. Et un jour, elle rencontra un homme et il a bouleversé nos vies. Ce que j’ai préféré, c’est l ’histoire d’amour que les personnages ont vécue. C’était attendrissant. Cette histoire m’a fait penser à un ami dont le père a disparu et qu’il n’a pas vu depuis cinq ans. Cet ami vit aussi chez sa grand-mère, il est sans nouvelle et il est désespéré, très triste. Quand les enfants n’ont pas de parents, ils ont quand même des amis. J’ai lu des chapitres tristes et amusants, cela me donnait encore plus envie de lire la suite. Ce livre est un récit plutôt vivant et l ’atmosphère est active. Cette histoire montre qu’il ne faut pas vivre sur le même rythme et que dès qu’on a une occasion, il ne faut pas la rater et il faut la saisir. Si j’étais un objet de ce livre, je serais du papier car c’est comme ça qu’Ernest recevait des déclarations d’amour des filles. Si j’étais un bruit, je serais le son du cœur car le livre est basé sur l ’amour. Ce livre est fascinant car le personnage de Victoire redonne vie à l ’histoire et à Ernest. A un moment, j’étais dans le personnage de Victoire parce qu’elle réagit comme moi. Victoire et Ernest ont une complicité formidable. Ce roman est passionnant. Ce roman est une des plus belles histoires d’amour que j’ai lues. Ce livre d’amour m’a emportée dans l ’univers exceptionnel d’Ernest. Dès la première page, je me suis mise dans la peau du personnage. Ce roman m’a rendue triste et j’ai apprécié la fin émouvante. Le moment que j’ai préféré est quand Victoire part en voyage avec Ernest à la fin. Ce livre est excellent mais aussi drôle, étonnant, on ne s’ennuie jamais grâce aux personnages. C’est intrigant car on a l ’impression que le livre ne va jamais se finir, j’ai adoré la complicité entre Ernest et Victoire. J’ai beaucoup aimé les personnages de l ’histoire en particulier Victoire parce qu’elle est extravertie et vient mettre de la joie, de la gaité et du nouveau à la famille Morlaise. Il y a une atmosphère changeante qui passe de la tension à la joie. Ce roman ne m’a pas accroché au début mais, au fur et à mesure, on apprend plus de choses sur les personnages et on a plus envie de lire. Victoire est gentille, belle et attentionnée. J’ai aimé ce livre car il parle d’amour et Ernest me fait penser à quelqu’un, de plus ce livre m’inspire. J’ai adoré ce livre car il y avait le personnage de Victoire, elle est dynamique et originale. Depuis qu’elle est arrivée dans la vie d’Ernest, elle change tout son quotidien. J’ai aussi aimé le mystère des lettres que son père envoie à Ernest. Ce que j’ai apprécié c’est que la vie d’Ernest a changé très vite. Ce livre est étonnant car je ne pourrai jamais vivre la vie d’Ernest.

13


Passeuse de rêves

Lois Lowry ; Trad. Frédérique Pressmann.- L’école des loisirs, 2010 (coll. Médium) Comment transmettre, à partir de fragments d’histoires, parsemées de souvenirs, un doux rêve à un humain quand celui-ci est perturbé ? Une histoire fantastique, pleine d’humanité, suspens garanti !

J’aime cette histoire car elle passe du rire aux larmes, de la colère à la joie. Je rêve moi aussi de pouvoir être plus petite qu’un chien pour voir mes pieds de haut en me soulevant comme une poussière, être le bouton pour pouvoir vivre toutes les choses agréables qu’il a vécues. Ce livre m’a plu car il y a du suspens, il y a les saboteurs qui rôdent et il y a aussi un peu d’amour. Ce livre est divertissant, et les rêves montrent ce que l ’on est à l ’intérieur. J’ai aimé le personnage Petite car elle a réussi à sauver John des maîtres des cauchemars et elle a eu beaucoup de courage pour les battre. Je pense que le but de l ’auteur dans ce livre est de nous faire comprendre que même si on traverse une période difficile, il y a une part de bonheur qui ne demande qu’à sortir de nous. Cette histoire nous emporte dans un monde de rêves, d’angoisse et de fantaisie. Ce qui m’a plu c’est qu’il y a des novices qui doivent s’améliorer à donner des rêves et que l ’amitié calme les cauchemars. J’aime Petite, j’adore son caractère malicieux, coquin, malin et cette façon de pétiller, de rendre les gens heureux. Ce texte m’a beaucoup plu car on attend toujours ce qui va se passer, si Petite va réussir ou pas. L’auteur a plein d’imagination, j’ai particulièrement aimé la première de couverture qui fait penser aux rêves. Ce livre nous plonge dans l ’imaginaire et le réel. Petite, le personnage principal, nous fait rêver. Les prénoms des passeurs de rêves m’ont beaucoup plu. J’ai beaucoup aimé ce livre car l ’histoire est captivante, on a très envie de lire la suite.

14


15


Grand-père raconte-moi la vigne : Histoires d’un petit garçon

et de son grand-père vigneron

Pascale Bounet ; ill. Françoise Etourneaud.- Féret et fils, 2010 Au cœur de notre région, le grand-père de Paul va lui présenter son métier de vigneron : transmission des valeurs familiales, d’un savoir-faire, du respect de l’homme envers la nature. Pour redécouvrir en famille la richesse de notre région viticole.

J’ai aimé ce livre car j’ai découvert des mots que je ne connaissais pas. J’ai imaginé que j’étais à la place du petit garçon et que mon grand-père était à la place du grand-père de Paul. J’ai appris beaucoup de choses sur la vigne, j’ai aimé cette histoire. J’ai aimé quand le grand-père raconte l ’histoire de l ’âne. J’ai aimé car mon arrière grand-père du côté de mon papa avait des vignes, lui aussi faisait du vin dont le nom est le « vieux robin ». J’aime que le garçon demande toujours pourquoi. L’histoire parle de la vigne et ça explique beaucoup de choses, les dessins m’ont beaucoup plu. Ce livre offre un aperçu complet et accessible aux enfants, avec une entrée en matière (le conte de l’âne) particulièrement adaptée pour séduire tout public, petits et grands ! Ouvrage un peu long, deux temps de lecture ont été nécessaires pour obtenir l’attention maximale de mon fils. Le livre est agréable à lire avec ses enfants. Il nous apprend tout le travail de la vigne, au fil des saisons. J’ai pensé que ce livre est assez intéressant et vivant, quoiqu’un peu trop détaillé à mon goût. Le ton est naïf du côté de l’enfant et l’explication est approfondie du côté de l’adulte. Il est aussi appréciable, à la fin, de préciser à l’enfant que boire du vin n’est pas bon pour lui ! Ce livre est très instructif, très riche en explications.

16


Coups de cœur des enfants du CLAS de Jean Jaurès… C’est autant d’amour que je t’envoie Coline Irwin.- MeMo, 2010

J’ai aimé les photographies et l ’écriture poétique. C’est un père qui parle à son fils avec amour et dans cette histoire, je m’y suis retrouvé.

Dis-moi si tu aimes...

Gérard Greveraud.- Nathan jeunesse, 2000

J’ai aimé le concept du livre et je me suis laissé emporter par l ’histoire. J’ai aimé les images car elles étaient rigolotes. J’aime la deuxième page parce que j’aime les animaux et les coccinelles surtout quand elles montent sur ma main, ça chatouille ! Je trouve ce livre rigolo, les images me font rire. Moi aussi j’aime rester des heures sous la douche ! J’aime les cerises qu’on peut mettre en boucles d’oreilles. J’aime manger des steaks avec de la purée faite par maman.

Cinq, six bonheurs

Mathis.- Thierry Magnier, 2004 (coll. Petite Poche)

La couverture m’a attirée et j’ai adoré aussi me souvenir. Ce livre est bien car le garçon questionne toute sa famille à propos du bonheur. Les réponses sont différentes. Pour nous, le bonheur c’est : d’être en vacances, manger des frites à la cantine, lire un livre le soir avant de s’endormir, jouer au foot toute la journée, quand mon père joue avec moi à la console, travailler à l ’école, voir ses copains, cuisiner un plat turque avec ma mère.

Menu fille ou menu garçon ? Thierry Lenain.- Nathan jeunesse, 1996 (coll. Première lune)

J’ai aimé ce livre. J’aime quand la serveuse et le papa se bagarrent. Le papa a raison, on a le droit d’avoir les jouets qu’on veut et de se partager les jeux entre filles et garçons. On a le droit de jouer ensemble. J’ai aimé l ’histoire, elle m’a fait rire et je me suis retrouvée dans la petite fille. Pour moi, il n’y a pas des jeux pour les filles et les garçons, on peut choisir selon nos envies. 17


Coups de cœur de l’année 2011-2012 des jeunes lecteurs et des familles…

Coups de cœur des bébés lecteurs : •Dis papa, pourquoi ? (p. 4) •Sortez de mon livre ! (p. 5) Coup de cœur des élèves du collège : •C’est bien (p. 12)

Coups de cœur des bébés lecteurs et des élèves des écoles maternelles : •La petite casserole d’Anatole (p. 19) •De quelle couleur est le vent ? (p. 20) Coups de cœur des élèves des écoles élémentaires : •Dis-moi si tu aimes… (p. 21) •Papa et maman m’ont dit (p. 22) •L’ange disparu (p. 23) Coup de cœur particulier pour l’album : •Paradiso (p. 24)

18


La petite casserole d’Anatole

Isabelle Carrier.- Bilboquet, 2009 Une leçon d’optimisme surtout pour ceux qui « trainent une casserole ». Anatole ne va plus s’isoler le jour où il rencontre des personnes qui lui expliquent comment tirer avantage de ses défauts.

J’ai aimé qu’Anatole se fâche. Je trouve que les personnages sont gentils. Le petit garçon est rigolo et il est content à la fin d’avoir une petite casserole. J’ai beaucoup aimé lire ce livre et j’ai créé ma propre histoire. J’ai compris que son ami l ’avait aidé et qu’il était très content après. Le livre est joli, je pense que l ’histoire est bien. Dans l ’histoire, au début, Anatole traîne une casserole, il est différent, sa casserole lui fait mal et l ’empêche de faire des choses. Donc il dit des gros mots et il tape. J’ai bien aimé le thème de cette histoire qui parle de la différence avec subtilité et surtout de la tolérance envers chacun. Cette histoire permet de discuter avec l’enfant de toutes les sortes de différences (race, handicap, langue). C’est un livre émouvant, jolie métaphore pour traiter du handicap ou de la différence. C’est un livre qui donne de l’espoir car il y a toujours des personnes merveilleuses qui sont là pour aider à avancer. Une bien jolie histoire pour montrer que l’on peut surmonter son handicap et que les gens ne changent pas, seul le regard des autres change. L’histoire prouve qu’on peut toujours avoir besoin de quelqu’un. L’enfant peut s’imaginer être à la place d’Anatole, s’il pense lui aussi être différent. Dans les illustrations nous avons aimé le code couleur : les gens qui ne comprennent pas et Anatole sont en noir et blanc et ceux qui l’aident sont en couleur. Finalement, tout le monde est en couleur dès le moment où Anatole apprend à vivre avec « sa petite casserole ». Les plus grands ont beaucoup aimé. Les bruitages de l’histoire permettent d’exploiter l’album. Ce livre est un peu difficile pour les petits mais ils apprennent quand même des choses, des passages de l’histoire les interpellent. Il y a moyen de faire vivre le livre et de donner un rythme à l’histoire grâce aux nombreuses onomatopées. Cette histoire est intéressante pour faire accepter aux enfants toutes les différences. Le sujet de la différence est abordé comme jamais pour les plus jeunes. Les illustrations sont simples, épurées, très jolies… Cependant, en groupe, la lecture reste un peu longue et les enfants décrochent mais réagissent aux onomatopées.

19


De quelle couleur est le vent ?

Anne Herbauts.- Casterman, 2011 Un jeune enfant aveugle aimerait connaître la couleur du vent. Un album plein de promesses qui nous invite à contempler et à se laisser bercer par la douceur des pages du livre.

J’aime bien toucher les images. J’ai senti la pluie sous mes doigts. J’ai aimé le voyage du petit géant et ses multiples rencontres. J’ai bien aimé sentir le vent entre mes doigts à chaque fois que je tournais les pages, une petite brise venait me caresser le visage, un vent léger et rose comme la tapisserie de ma chambre. Je me suis même surpris à poser ma main sur la trace de la main du géant. J’ai aimé sentir les couleurs du vent. C’est petit Jean qui demande la couleur du vent mais le vent, il est de toutes les couleurs ! C’est un livre aussi agréable à écouter, à regarder qu’à toucher. Je l’ai trouvé très reposant, on passe un joli moment poétique dans le monde de l’invisible. L’illustration pleine de couleurs est au service d’une grande imagination. Un coup de cœur ! Ce livre est magnifique et intéressant car il a permis à mon fils de connaître la lecture avec les mains, de découvrir le braille et lui faire savoir que des enfants peuvent lire sans voir. Nous avons eu l’impression de lire un livre unique. Le thème est très intéressant et bien traité, cela laisse à l’enfant une certaine liberté car on n’apporte pas de réponse claire. Les illustrations avec du relief donnent un côté très original au livre. Les matières utilisées peuvent se découvrir aussi bien par la vue que par le toucher. L’écriture est très poétique. Les enfants ont aimé toucher les pages de cet album, les couleurs, ils se sont investis dans la lecture. Livre à lire en tête à tête car le sujet est intimiste, il faut prendre le temps de rêver. Il faut lire cette histoire avec les doigts, toucher les pages, le relief, sentir, le caresser… Il faut jouer avec les sons, certains enfants ne parvenaient pas à réaliser et ne comprenaient pas ce qu’était la couleur du vent, ça les énervait à la fin de ne pas voir le vent ! C’est un ouvrage un peu abstrait mais très beau. Je me suis amusée à tourner les pages du livre devant leur visage pour qu’ils sentent le vent des pages. C’est le livre le plus poétique, doux, tendre de la sélection. Il donne envie de s’allonger au soleil avec une brise et les odeurs du printemps pour « sentir » le vent…

20


Dis-moi si tu aimes...

Gérard Greveraud.- Nathan jeunesse, 2000 Des souvenirs parsemés d’émotions et de sensations, l’enfance est évoquée et tous les sens sont en éveil… Un magnifique kaléidoscope de couleurs s’ouvre à nous pour partager ensemble ces petits moments et grands plaisirs.

J’ai aimé l ’histoire, les questions m’ont fait réfléchir. J’ai aimé aussi les illustrations avec la peinture. J’ai aimé car ça parle de tout ce qu’on a dans la vie (vacances, école…). J’ai trouvé ce livre très rigolo. On parle même des choses que maman ne veut pas que je fasse et dans le livre c’est très amusant. Les dessins sont très imaginatifs. J’ai aimé le livre car j’ai trouvé que l ’auteur avait beaucoup d’imagination. J’ai retrouvé dans ce livre plein de choses que j’aime faire ou ressentir. J’aime bien ce livre parce qu’il parle bien de ce qu’on aime et de ce qu’on n’aime pas. J’ai adoré me souvenir, au détour de ces pages, de ce que j’ai aimé faire enfant... la plus grande surprise est de se rendre compte qu’on aime toujours faire ces choses adulte. Sans doute parce qu’elles marquent profondément qui nous sommes. Ce livre m’a rappelé mon enfance, c’est à la fois nostalgique et « rigolo » de repenser à ce qu’on aimait faire ou pas. C’est un livre très agréable à lire, avec des mots d’enfants simples, qui traite des petites choses de la vie des enfants. Les illustrations sont attirantes. Ce livre parle de choses que font les enfants sans y réfléchir et même des choses interdites par les parents. Le plaisir, les interdits, les règles.... permettent d’en parler aux enfants en toute simplicité. Un petit moment de plaisir. Tant de petits riens que nous avons parfois oubliés. Un ouvrage assez drôle et qui tombe juste : parents et enfants se retrouvent, tantôt l’un, tantôt l’autre, dans les propositions. Le graphisme accentue l’incongruité de certaines questions. Ce livre permet de passer un moment agréable entre adulte et enfant qui se retrouvent dans beaucoup de moments déjà vécus. C’est écrit simplement et avec humour.

21


Papa et maman m’ont dit

Alain Le Saux.- Payot & Rivages, 2008 Un dessin humoristique qui illustre avec talent toutes les ambiguïtés des expressions et des métaphores, un régal pour les amoureux de la langue française. A vous donner l’envie d’en créer d’autres !

Ce livre m’a beaucoup fait rire. J’ai aimé apprendre des nouvelles expressions avec ce livre. J’ai adoré ce livre, il m’a fait rire et fait réfléchir. J’ai trouvé les expressions sympathiques et rigolotes ! J’ai adoré lire ce livre plusieurs fois. J’ai préféré la partie sur la famille, ça m’a fait rire. J’ai aimé car les illustrations montrent qu’un mot peut avoir plusieurs sens. Les images sont rigolotes et bizarres, on n’a pas l ’habitude de dire certaines expressions. J’ai beaucoup aimé les épisodes avec la maîtresse. Ce livre permet par le biais de métaphores d’apprendre de nombreuses expressions. Toute la famille a aimé cette histoire. Livre très agréable à partager avec ses enfants, il permet d’échanger sur le sens des mots. Nous avons bien rigolé « à se tordre de rire ». Ce livre est ludique, joliment illustré avec des métaphores bien amusantes à lire en famille. Nous ne faisons pas suffisamment attention aux expressions que l’on utilise, surtout auprès des enfants : qu’en comprennent-ils ? Mon fils a beaucoup ri en regardant les illustrations. Bon moment de détente. C’est là qu’on se rend compte que les enfants comprennent parfois les choses complètement différemment des adultes à cause de la complexité et de l’ambiguïté des expressions de la langue française. C’est drôle et on sourit à toutes les pages du décalage entre ces expressions imagées de tous les jours et leur illustration littérale, forcément décalée... J’ai aimé le ton dérisoire véhiculé par les dessins, beaucoup d’originalité ! Livre très ludique, malgré le volume les enfants lisent toutes les pages. Livre marrant, coloré, enfin des vieilles expressions ! C’est un très bon livre, nous avons bien ri ensemble ! Bonne approche par l’image des expressions usuelles. J’ai eu un réel plaisir à parcourir ce livre et à découvrir les illustrations, la langue française est tellement pleine de surprises. L’auteur a oublié : « maman m’a dit que j’avais un poil dans la main ou un cheveu sur la langue… » Le texte est interprété dans un sens et les illustrations dans un autre ce qui rend ce livre intéressant. Les expressions de notre langage quotidien sont imagées avec beaucoup d’humour. Ce livre nous montre qu’on parle au sens figuré souvent mais sans s’en rendre compte. Ce livre est très amusant, il m’a permis de percevoir encore mieux la frontière entre ce langage imagé et ce que peuvent en comprendre les enfants. Un bon moyen pédagogique et ludique de faire découvrir aux enfants les expressions d’adultes. On a passé un bon moment ensemble à lire ce livre, très amusant. Les jeux de mots sont bien trouvés et bien illustrés. C’est marrant de voir comment le discours des adultes peut être interprété par des enfants. Cela permet aux enfants de mieux comprendre les nombreuses expressions utilisées dans la langue française ainsi que les jeux de mots. 22


L’Ange disparu

Max Ducos.- Sarbacane, 2008 Une plongée fantastique dans le monde des œuvres d’art ! Nous suivons avec passion Eloi dans un musée à la recherche du petit ange de la Vénus... Une quête portée par des illustrations somptueuses, un régal pour les yeux !

J’aimerais vivre cette histoire ! Ce livre donne envie de visiter des musées. J’ai trouvé ce livre fantastique. J’ai aimé car il y avait de l ’action. Ce serait bien de pouvoir aller dans les tableaux. J’ai adoré cette histoire car elle parle des beaux arts. J’ai trouvé les tableaux beaux. J’ai adoré et j’ai préféré le tableau bleu. Ce que j’aime c’est qu’on voit des tableaux qui existent vraiment. Les tableaux font tellement vrais que je me croyais dans un musée. J’ai bien aimé les choses imaginaires comme le grand ascenseur de verre, le gardien endormi et les statues parlantes. Ce livre est très intéressant car on découvre de beaux tableaux. J’ai aimé car la recherche d’Eloi se transforme en aventure, avec la rencontre de plusieurs personnages surprenants. Je me suis laissé emporter dans cette aventure, je suis rentrée dans l ’histoire. Une histoire magique qui nous transporte dans les différents styles de l’art. Dans cet univers pictural varié, l’art est abordé de façon ludique. J’ai adoré et adhéré à l’histoire, quel génie et quel talent ! C’était très agréable d’être plongé dans ce curieux labyrinthe. C’est un livre passionnant qui permet de découvrir l’art de la sculpture et de la peinture. Les illustrations sont magnifiques et l’écriture très rythmée rend le livre très vivant. Ce livre est passionnant, il reflète de grandes œuvres. Ce livre peut apporter beaucoup à un enfant qui n’est pas attiré ou peu par l’instruction et l’école. Une jolie histoire qui donne envie de lire et qui laisse rêver. Peut-être que cela pourrait donner envie à l’enfant d’aller dans un musée, il pourrait s’y passer quelque chose d’extraordinaire… Très belles images, beaucoup de couleurs, une vraie visite de musée ! On se prend au jeu de cette quête ingénue dans le monde de l’art. Eloi n’hésite pas à plonger dans les tableaux pour finalement prendre sa revanche sur l’école. L’art peut-il sauver l’homme ? L’histoire nous plonge dans un rêve de monde parallèle. Belle histoire émouvante. Livre amusant qui montre bien le réel de l’irréel. Cet album fait penser à un conte moderne. Histoire très plaisante qui développe une approche et un intérêt pour les beaux arts. Belle curiosité de l’enfant pour les tableaux représentés et dessinés.

23


Paradiso

Franck Prévot ; ill. Carole Chaix.- Editions l’Edune, 2010 Hommage au cinéma, à la poésie et aux premiers émois amoureux... chaque détail illustré cache de grandes références artistiques, à vous de les trouver !

Il n’y a rien de plus beau que deux êtres qui s’aiment. Quand je serai grand, ce sera à mon tour d’aimer et de savoir dire « Je t’aime » à l ’élue de mon cœur. J’ai aimé quand Maurice fabrique une machine pour montrer un poème à Mona. Les personnages nous inspirent ce qu’on doit faire quand on aime quelqu’un. Cette histoire est passionnante. J’ai aimé ce livre car il y a beaucoup de poésie. J’ai aimé surtout la fin, au cinéma, c’était romantique. Le plus émouvant pour moi c’est quand le garçon dit un poème à Mona. J’ai aimé quand Maurice disait des poèmes de bouche à oreille. Cette histoire est passionnante, le personnage principal est attachant. Le but du personnage est de conquérir le cœur de Mona. L’effet que ce livre m’a fait est réconfortant : de charmer une fille en écrivant un poème, en écrivant un texto, en lui envoyant par avion et en face avec la parole. Ouvrez ce magnifique album rempli de poésies et d’amour pour connaître cette histoire. L’histoire de Maurice et de Mona m’a beaucoup touché. J’étais un peu triste au début quand Mona l ’a envoyé sur les roses mais à la fin, j’ai senti une lueur d’espoir quand elle lui a pris la main. J’ai aimé cet album car c’est un livre très coloré et rempli de détails. Il y a beaucoup de texte un peu partout à lire. C’est une histoire d’amour et Maurice arrive à déclarer son amour à Mona par un poème. J’ai aimé cette histoire car elle parle d’amour et de poésie. J’ai aimé ce livre car c’était une histoire d’amour pas comme les autres, qui était plutôt originale, ce livre n’est fait que de poésie. J’aime quand Maurice et Mona sont ensemble car on a l ’impression qu’ils sont dans un monde parallèle, fantaisiste. Maurice choisit une poésie pour son amoureuse Mona pour qu’elle tombe amoureuse de lui. Avec l ’amour, on peut décrocher la lune ! Maurice pourra peut-être convaincre Mona de devenir son amoureuse… Ce livre évoque pour moi un fauteuil de cinéma car on se laisse emporter par l ’histoire comme un film, et les personnages tombent amoureux sur un fauteuil de cinéma. Lorsque j’ai lu ce livre, j’entendais les effets sonores car le petit garçon réussit à embrasser Mona car il l ’a invitée au cinéma. J’ai beaucoup aimé les illustrations qui reflètent bien l ’histoire. La poésie est bien illustrée, cela donne du sens à des mots de tous les jours et exprime ce qu’on ressent. Les poèmes inspirés de l’amour m’ont beaucoup plu ! Les thèmes de l’amour et de la poésie combinés permettent de nous faire rêver. J’ai passé un très bon moment en lisant ce livre. Nous avons beaucoup aimé, jolie histoire d’amour. Les illustrations sont belles et vivantes. J’ai aimé comment l’ado se réfugie dans différents moyens de communication pour déclarer son amour. Les illustrations sont belles avec la couleur des yeux de Mona en fil conducteur au rythme des pages jusqu’à la poésie avec toujours comme vedettes les yeux de Mona.

24


La Médiathèque François Mitterrand remercie chaleureusement tous ceux qui ont participé à

« Entre mots, entre nous » : 

les élèves, les enseignants et les parents des écoles maternelles et élémentaires : Bousquet, Frédéric Chopin, Rosa Bonheur et François Villon

les élèves de 6ème C, 6ème E et 6ème F du collège Manon Cormier, les enseignantes de français Mme Marie-Agnès Bazas, Mme Mélanie Renaudin et Mme Agnès Taillard ainsi que la documentaliste Mme Laure Delibie

les bébés lecteurs et l’équipe de la Maison de la Petite Enfance

 les

enfants et les animateurs de l’A.L.S.H., des périscolaires des écoles maternelles du Bousquet, de Frédéric Chopin, des écoles élémentaires de Rosa Bonheur et de François Villon

 les enfants et les animateurs du CLAS de Jean Jaurès et de

la salle Laffue (dans le cadre des « goûters philo »)  les conteurs, comédiens, musiciens, plasticiens, photographes,

auteurs et illustrateurs venus dans le cadre de « Presqu’île en Pages » (Sivoc), « Souffles nomades : Sur la route », « Festival Bulles en Hauts de Garonne » et les Samedis Contés :

Association abcd’Art Valentine Adenis Compagnie Aurore Bagad Ker Vourdel Carole Chaix Claude Clément Pierre Deschamps Laetitia Devernay Ladji Diallo Agnès Doherty Max Ducos Elizabeth Gavalda, du Théâtre de la Palabre Kamel Guennoun Isciane Labatut Valérie Luque Compagnie Opéra Light Virginie Perret Compagnie du Si Florence Vanoli

25


Aaron, Abdelkader, Abigaël, Adam, Adel, Adèle, Adham, Adnan, Adrien, Ahlil, Ahmed, Aimric, Aimy, Alec, Alexandra, Alexandre, Alexandrine, Alexia, Alexis, Alexian, Ali, Ali Samed, Alice, Alicia, Aliciane, Alison, Alixe, Alonson, Alyssa, Alyssia, Amal, Amandine, Ambre, Ambrine, Amel, Amelle, Amélie, Amir, Amira, Amin, Amina, Aminata, Amon, Ana, Anaëlle, Anis, Anaïs, Anastasia, Andréas, Andrew, Angel, Angéla, Angelo, Anis, Anouk, Anys, Anna Julia, Anna Rose, Anne, Annabelle, Anouk, Ansilia, Anthony, Anton, Antoine, Antoni, Antonio, Apolline, Arda, Armony, Arnaud, Arthur, Assia, Audrey, Aurel, Aurélia, Auréline, Ava, Axel, Aymane, Ayoub, Ayse, Azédine, Azilis Baptiste, Barzani, Basilio, Bastien, Bayram, Bénédicte, Benjamain, Benjamin, Benoit, Bixente, Boualem, Britany, Bryan, Byron, Calisto, Callista, Camille, Camylle, Candice, Carla, Cécilia, Célia, Céline, Chakir, Charef, Charlotte, Charly, Chaïma, Chamsdine, Cheik Saad-bouh, Chiara, Chihaz, Chloé, Chirine, Christian, Christelly, Claire, Clara, Clara Lou, Clarence, Cléa, Clémence, Clément, Clémentine, Clothilde, Colas, Coline, Coralie, Corentin, Corry, Curtis, Cyril, Daariyas, Dame, Damien, Dario, Débora, Demir, Deny’s, Deyan, Dilara, Dior, Djahid, Djibril, Dorian, Doumia, Driss, Dylan, Eda, Eddy, Eden, Efe, Eileen, Elena, Elias, Elio, Elijah, Elisa, Elise, Eloïse, Elouan, Elyne, Emilie, Emily, Emma, Enes, Enzo, Eréfane, Erin, Erwan, Esteban, Estelle, Esteva, Esther, Ethan, Ethann, Eva, Evalyna, Evan, Evy, Fabio, Falek, Fayrouz, Feïza, Firdaws, Faustine, Flavie, Flavio, Florian, Florynda, François, Freddy, Fyona, Gabriel, Gaël, Gaëtan, Gamze, Gauthier, Gianni, Gönül, Grégory, Guewen, Guillaume, Gwendolyne, Gwenaëlle, Gyno, Habel, Habib, Habiba, Haissam, Halil, Hamid, Hamza, Hana, Hanaé, Hasan, Hassan, Hayet, Hélène, Hugo, Ichem, Idir, Idriss, Ikram, Ilan, Ilyes, Ilona, Illiass, Ilyana, Imane, Imène, Inaya, Inès, Inès Hélène, Iness, Ioha, Ihsan, Irin Issam, Jade, James, Jawad, Jean, Jean-Baptiste, Jeanne, Jeff, Jennyfer, Jérémy, Jessica, Jessy, Jimmy, Johan, Johanna, Jonathan, Johnson, Jolan, Joanny, Jordan, Joris, Jules, Julia, Juliana, Julie, Julien, Juliette, Julio, Justine, Kadir, Kanitha, Karim, Karima, Karl, Kavalin, Kaylia, Kelian, Kelly, Kenni, Kenza, Kévin, Kila, Killian, Klara, Kylian, Laïla, Lalia, Laly, Lana, Lara, Laura, Laurent, Lauriane, Laurine, Lauryna, Léa, Léana, Léane, Leïla, Léna, Lenny, Lény, Léo, Léon, Léonard, Léony, Léya Liam, Lila, Lilian, Lili, Liloo, Lilou, Lilt, Lilya, Lina, Linda, Linsey, Lionel, Lisa, Lisa-Souamae, Livio, Lily, Lizy, Loan, Loane, Loana, Logan, Loha, Lola, Lolita, Loreleï, Lorenzo, Lotfi, Lou, Lou Anjali, Louane, Lou Anjali, Lou Ann, Loubna, Louis, Louise, Louisa, Louiza, Louna, Lounis, Loup, Luca, Lucas, Lucia, Lucie, Lucile, Lucy, Ludmila, lukas, Luléa, Luna, Luong, Lyam, Lylou, Lyna, Madani, Maël, Maëlie, Maëliss, Maëlisse, Maélys, Maëlle, Maelwenn, Maéva, Maëva, Mahé Mahëlle, Mahjoub, Maïa, Maïla, Maïlie, Maïlys, Maissa, Maiwenn, Majid, Malak, Manel, Manelle, Manon, Manuel, Marc, Marc Antoine, Marcus, Maria, Mario, Marika, Mareva, Margaux, Margot, Marie, Marin, Marina, Marine, Martha, Martin, Marwin, Matéo, Mateusz, Mathéo, Mathéo-Marcelin, Mattéo, Mathias, Mathieu, Mathilde, Mathis, Mathys, Matt, Mattéo, Mattin, Maude, Maurane, Marwane Maxence, Maxime, Maylis, Medhi, Mélanie, Mélike, Méliko, Mélina, Melinda, Melynda, Méline, Mélissa, Melvyn Mendy, Meryam, Mhéline, Meredith, Messaoud, Mia, Mialy, Michaela, Mike, Mila, Milha Milano, Milo, Miloud, Mina, Mohcine, Mohamed, Mohamed Amine, Mohand, Monica, Morgan, Morgane, Morgann, Moslem, Mostafa, Murat-Can, Mustapha, Mylène, Najib, Naïa, Naïm, Naofel, Naomi, Napharssorn Angel, Nasseha, Nassim, Natacha, Nathan, Nathanaël, Nazlican, Nawel, Nawfel, Nejma, Nejmedine, Néo, Nessim, Nicole, Nicolas, Nihel, Nilen, Nina, Nino, Nyssma, 26


Nissrine, Noa, Noah, Noé, Noélie, Noémie, Noha, Noham, Nohann, Nolan, Nolann, Norma, Nouhaïla, Nouhaïla-Lorenzo, Nurcan, Océane, Oihana, Olivier, Ophélie, Oumaïma, Pablo, Paige, Paloma, Paolo, Pascal, Paul, Pauline, Philippe, Prescillia, Pierre, Pierre-Hugo, Priscilia, Priscilla, Quentin, Rachel, Rafaël, Rafika, Rahmouna, Ramatoulaye, Ramazan, Rania, Raphaël, Rasit, Raumuald, Rayan, Rémi, Rémy, Remzi, Rény, Renzo, Reyan, Ricardo, Rihana, Roberto, Romain, Romane, Romaric, Roxane, Rubis, Ryad, Ryan, Sabri, Sabry, Sacha, Salomé, Salma, Samad, Samantha, Sami, Samuel, Samy, Saoussan, Sara, Sarah, Sarah Fouzia, Sarra, Sasha, Seda, Séléna, Selim, Selinay, Séréna, Shaïma, Shaïmae, Shakir, Shany, Sidy, Sibellia, Simon, Sirine, Sitthichai, Sofia, Sofian, Sofiane, Soraya, Sören, Sorya, Soumia, Steven, Sulyvan, Sunny, Sybellia, Syrine, Taïs, Talia, Thanh Ton, Théo, Thésée, Thibault, Thibaut, Thifaine, Thiphaine, Thomas, Tiago, Tiffany, Titouan, Tom, Tony, Tristan, Tyler, Valentin, Valentine, Valérian, Vanina, Victor, Victoria, Violaine, Violette, Walid, Wassim, Xabi, Xavier, Yacine, Ylan Yaël, Yann, Yanis, Yannis, Yasmine, Yasin, Ynessaf, Yoann, Yohann, Yoni, Younes, Youssef, Yuna, Yusuf, Zakaria, Zia, Ziad, Zoé.

27


«Entre mots, entre nous » Horaires de la Médiathèque : Mardi Mercredi 10h00 - 12h00 Jeudi Vendredi 10h00 - 12h00 Samedi 09h30 - 12h00

15h00 - 18h00 14h00 - 18h00 17h00 - 18h00 15h00 - 18h00 13h30 - 16h30

Horaires d’été : du 3 juillet au 31 août 2012

Mardi 15h00 - 18h00 Mercredi 10h00 - 12h00 14h00 - 18h00 Vendredi 10h00 - 12h00 15h00 - 18h00 Samedi 09h00 - 12h00 Les jeunes Bassenais peuvent s’inscrire et emprunter gratuitement les livres, revues, CD et DVD, sous réserve d’une première inscription faite obligatoirement en présence d’un parent muni d’un justificatif de domicile.

Projet E

ducatif Local

En raison de travaux d’extension, la Médiathèque accueillera le public, au rez-de-chaussée de l’ancienne école Jean Jaurès du 17 juillet 2012 à fin août 2013.

Tél. : 05 57 80 81 78

mediatheque@ville-bassens.fr www.ville-bassens.fr


Turn static files into dynamic content formats.

Create a flipbook
Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.