ICT Solutions • Octobre 2013

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Numéro 8 I Octobre 2013

ICT Solutions Conseils ICT pour les dirigeants d’entreprise

Communications Unifiées Toujours joignable, comme vous voulez

Video Conferencing Services

Des mots et des images pour communiquer

Le Nouveau Monde du Travail

Quelle est votre fonction mobile ?

L’avenir de la voix


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L’avenir de la voix L’univers du multimédia change. La télévision évolue par exemple d’une infrastructure bien précise vers celle des ordinateurs, tablettes et smartphones. La téléphonie a, de ce fait, elle aussi évolué vers le multimédia. Il ne s’agit plus seulement de la voix, mais aussi de l’image et de la communication directe (avec plusieurs intervenants). Il ne s’agit plus seulement d’un téléphone traditionnel, mais aussi - en effet - d’ordinateurs, de tablettes et de smartphones. Visitez notre nouvelle plateforme d’informations TIC. www. ictnews.be informe toutes les personnes qui s’intéressent à l’ICT et aux évolutions technologiques et jette un pont entre le monde des entreprises et l’ICT.

Vos collaborateurs ont aujourd’hui d’autres attentes en termes de travail et de technologies. Ils veulent pouvoir communiquer avec leurs collègues n’importe quand, n’importe où et avec n’importe quel appareil. La messagerie instantanée (chat) et la vidéoconférence en font également partie, de même que la possibilité de modifier ensemble des documents lors d’une réunion en ligne. L’avenir de la voix ne réside plus dans une plateforme séparée, spécialement conçue à cet effet, mais bien dans une intégration complète avec les appareils dont nous nous servons aujourd’hui, ainsi qu’avec les applications de bureau populaires. La voix sera à l’avenir enrichie de l’image du correspondant. Téléphoner deviendra une vaste expérience multimédia. Aujourd’hui, plusieurs technologies, produits et services existent d’ores et déjà pour concrétiser l’avenir. Les applications ont gagné en simplicité et en stabilité – cela fonctionne toujours – et sont encore mieux intégrées. Belgacom participe à cette évolution et propose dès lors différentes solutions possibles, parmi lesquelles nous n’en approfondissons que deux dans ce numéro d’ICT Solutions Magazine. L’avenir s’annonce captivant, et nous tentons ici de partager notre passion avec vous. Nous vous souhaitons une agréable lecture. Kris Verheye Vice President Corporate Market, Enterprise Business Unit, Belgacom

Dans ce numéro 3 Édito 4 Dossier : L’avenir de la voix Choisir le bon outil selon de la situation. 7 Dossier : Communications tout-en-un Avec les communications unifiées, tout est possible, au départ d’une solution. 10 Dossier : L’avenir de la téléphonie La frontière de plus en plus mince entre

fixe et mobile, la technologie vocale et les traductions en temps réel propulsent la voix dans le 21e siècle. 12 Infographique : 4 dimensions de la communication 14 Solution : Enterprise UC pour les PME Comme les CU influencent énormément les processus d’entreprise il est primordial de choisir une solution fiable et évolutive.

15 Solution : Belgacom Video Conferencing Services Servez-vous de la vidéoconférence pour réduire les coûts dans votre entreprise. 16 Digitrucs : Gestion de documents pour travailleurs mobiles 17 Digitrucs : Nouvelles fonctions au sein du Nouveau Monde du Travail 18 Digitrucs : En temps de cyberguerre

Pour les questions portant sur des solutions IT spécifiques, n’hésitez pas à vous adresser à nos account managers ou à notre réseau d’ICT Experts (www.belgacom-ict-expert.be).

19 Livre : iDisorder

Une édition de Belgacom Group | Numéro 8, Octobre 2013 | Éditeur responsable : Belgacom SA de droit public, Boulevard du Roi Albert II, 27 — 1030 Bruxelles Concept et réalisation : Minoc Business Press nv, Parklaan 22 b10, 2300 Turnhout | www.minoc.com

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On n’a pas fini d’en parler

L’avenir de Avec la percée de l’e-mail, du chat et de la vidéoconférence, la ‘voix’, ou ‘le bon vieil appel téléphonique’, semble complètement reléguée à l’arrière-plan. Pourtant communiquer est plus que jamais une question de choisir le bon outil en fonction de la situation. Et la voix en fait bien sûr partie.

C

omparez un bureau actuel à un bureau d’il y a trente ans et vous noterez pas mal de différences. L’absence de PC, de places assises fixes saute probablement directement aux yeux. Une différence que vous ne remarquerez peut-être pas de suite concerne le niveau sonore. Alors qu’en 1980, on entendait continuellement la sonnerie du téléphone, on entend aujourd’hui surtout le doux pianotage sur les claviers et les notifications sonores de toutes sortes de programmes de

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communication. On téléphone bien sûr encore, mais peut-être plus toujours à partir du poste fixe sur le bureau. La communication verbale est plus riche et moins sujette à l’ambiguïté que le texte dans les mails et les messages de chat, et reste de ce fait un outil de travail crucial. La communication ne porte en effet pas seulement sur ce que vous dites, mais aussi sur la manière dont vous le dites. Avec les mails, vous perdez la subtilité du langage corporel, comme l’intonation ou le débit de parole. Or, dans le cas de la

communication verbale, ce langage est très révélateur de ce qu’un interlocuteur tente de dire.

Tout IP Voilà pourquoi chaque entreprise mise encore à fond sur la voix. La manière de téléphoner a profondément changé, ce qui est une bonne chose. Les nouvelles technologies ouvrent un monde de nouvelles possibilités, si bien que la voix reste aussi pertinente que jadis et peut être étroitement intégrée au bouquet


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la voix Quand adopter la VoIP ? • Vos coûts de communication sont-ils excessifs ? • Avez-vous besoin d’une structure tarifaire transparente ? • Souhaitez-vous mieux intégrer la voix dans un plus large éventail d’outils de communication (comme le chat, la gestion des présences et la vidéo) ? • Vos employés téléphonent-ils souvent à l’étranger ? • Avez-vous des collaborateurs travaillant souvent à la maison ? • Y a-t-il beaucoup d’appels téléphoniques au sein de l’entreprise, par exemple entre deux implantations ou plus ? • Téléphone-t-on beaucoup avec des smartphones dans votre entreprise ? • Certains de vos employés se déplacent-ils sur le site de l’entreprise, par exemple dans un entrepôt ? • Votre entreprise va-t-elle déménager ? • Votre central téléphonique doit-il être remplacé ?

De quoi avez-vous besoin ? La Voix sur IP repose en fait sur quatre éléments : le central IP, les switches réseau, les téléphones IP et la passerelle vers le réseau téléphonique. Un central IP (en fait un serveur) n’est qu’un des éléments de la migration et pas le plus onéreux. Il peut du reste aussi ne

global des outils de communication. Nous reviendrons un peu plus loin sur les communications unifiées, car il nous semble d’abord pertinent d’examiner les technologies sous-jacentes. Dans le domaine de la voix, on dénombre deux technologies majeures qui ont réduit l’usage de la téléphonie via le réseau analogique classique (PSTN ou POTS) ou le réseau ISDN : la VoIP et le PBX IP. La VoIP, ou Voix-sur-IP, est l’une des technologies qui a complètement mis le marché des télécoms sens dessus dessous au cours de la dernière décennie. Mais de quoi s’agit-il exactement ? Pour commencer, la VoIP est de la ‘téléphonie’ habituelle, avec un téléphone, comme vous l’avez toujours connue. La différence réside dans la manière dont vos paroles arrivent à votre interlocuteur et dans la manière dont sa réponse vous parvient. Dans le cas d’un téléphone classique, la voix était transposée

en signaux analogiques ou numériques, qui passaient par des centraux sur un réseau téléphonique dédié pour être à leur tour délivrés à votre correspondant. Dans le cas de la VoIP, un réseau téléphonique séparé n’est plus nécessaire : toutes les conversations sont converties en paquets de données, qui sont envoyés sur un réseau IP. Dans la plupart des cas, on utilise simplement le réseau sur lequel l’Internet est distribué au sein de l’entreprise. Plusieurs concepts et technologies sous-jacents, comme la Quality of Service (QoS) et la compression, veillent à ce que les conversations se déroulent sans saccades et avec un son cristallin. La qualité sonore est même souvent meilleure qu’avec un téléphone classique ou un GSM.

Transition facile Un changement important est que la voix n’équivaut plus à des signaux ana-

consister qu’en un logiciel. Vous devez en outre disposer de téléphones IP, ou applications softphones, sur le PC si vous voulez utiliser des applications plus sophistiquées telles que les annuaires téléphoniques en ligne ou d’autres fonctions de consultation. Si votre central téléphonique n’a que quelques années, vous pourrez très certainement y ajouter une carte IP. Elle permet de connecter plusieurs téléphones IP et d’effectuer ainsi une transition progressive ; c’est ce que l’on appelle une solution hybride. Les switches réseau, vous les avez déjà : ils font partie de votre réseau IP standard. La passerelle vers le réseau téléphonique est intégrée au serveur ou peut être fournie séparément.

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Lexique Voix-sur-IP : téléphonie sous la forme

par mail un appel manqué.

de paquets de données qui sont en-

IVR : l’Interactive Voice Response est

voyés sur un réseau IP normal.

une technologie grâce à laquelle vous

QoS : la VoIP partage le réseau avec

pouvez vous adresser à une application

de nombreuses autres sortes de trafic

PC à l’aide d’un téléphone ordinaire,

data. Grâce au Quality of Service, les

comme un menu vocal.

paquets voix ont la priorité, sans qu’il n’y

UC : les Unified Communications réfè-

ait de saccades.

rent à l’intégration de plus en plus pous-

Bande passante : comptez qu’un

sée de la téléphonie, de l’e-mail, de la

appel VoIP a en pratique généralement

messagerie instantanée et des appareils

besoin de 32 à 80 kilobits par seconde.

mobiles. Via le matériel et les logiciels

CTI : la Computer Telephony Integration

ad hoc, on est accessible de manière

réfère à l’interaction et à l’intégration

uniforme et ce aussi bien au bureau qu’à

des ordinateurs avec le réseau télé-

partir de différents appareils mobiles ou

phonique, par exemple pour signaler

même avec un navigateur Web.

logiques ou numériques qui sont envoyés via un câble, mais qu’elle est conditionnée sous forme de paquets de données. Cela permet de la traiter avec des logiciels. La communication vocale ne s’effectue donc plus avec un appareil, mais est devenue une application. Le fait que la VoIP soit une application ouvre la porte à une foule de possibilités nouvelles. Vous avez subitement accès à des solutions IT qui collaborent beaucoup mieux avec la téléphonie. Vous pouvez ainsi lancer une conversation téléphonique depuis votre ordinateur en cliquant dans un carnet d’adresses ou voir si votre interlocuteur est bien présent au bureau. Il existe différents protocoles pour la communication VoIP parmi lesquels le SIP (Session Initiation Protocol) et le H.323 sont les plus connus. Si la VoIP comporte un volet technologique intéressant, il est toutefois plus important de savoir que cela ne change rien pour l’utilisateur final. Tout reste comme avant dans l’utilisation quotidienne. Tout au plus voit-on apparaître de nouveaux téléphones sur le bureau. Un appel téléphonique se déroule exactement comme avant, ce qui rend la VoIP encore plus attrayante étant donné que la courbe d’apprentissage est quasiment inexistante.

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La téléphonie en entreprise repose sur le Private Branch Exchange (PBX) ou tout bonnement le central téléphonique, un terme issu de la téléphonie classique et toujours utilisé. Dans sa forme la plus récente, IP PBX, il s’agit en schématisant d’un central téléphonique capable de gérer la téléphonie sur le réseau IP. Un central PBX n’est donc plus une armoire pleine de circuits, mais un logiciel qui s’exécute sur un serveur. On rencontre également des centraux hybrides capables de prendre en charge à la fois les téléphones classiques, numériques et les appareils VoIP.

Nombreux avantages Comme nous l’avons déjà dit, la téléphonie IP comporte de nombreux avantages. Le plus évident concerne les coûts. Comme la VoIP envoie des paquets de données sur un réseau data, beaucoup de choses faisant jadis grimper les coûts disparaissent. Les appels entre les différentes implantations de votre entreprise sont en principe gratuits sur le territoire national. Si vous appelez votre succursale à l’étranger avec la même infrastructure VoIP, le coût peut donc être très faible, voire inexistant.

“Comme la VoIP utilise des paquets de données qui sont envoyés sur le vaste réseau qu’est l’Internet, beaucoup de choses faisant jadis grimper les coûts disparaissent.” La tarification de la VoIP est de toute façon plus transparente et plus prévisible. On peut ainsi travailler avec un montant fixe par mois (flat-fee) au lieu de payer sur base des minutes d’appel. On peut également grouper la VoIP à d’autres outils de communication. Il est par ailleurs possible de réduire fortement les coûts liés à la gestion. Lorsque vous embauchez un nouvel employé ou que l’un de vos collaborateurs change de département, la VoIP vous permet d’adapter aisément l’infrastructure télécoms. Le département IT peut facilement effectuer lui-même les adaptations à l’aide d’une interface web sur l’ordinateur. L’époque où un technicien devait d’abord s’y retrouver parmi les centaines de fils de couleurs présents depuis des lustres dans le central téléphonique est révolue depuis longtemps. Et ce n’est pas tout. La téléphonie VoIP est particulièrement flexible. Si votre entreprise dispose d’un bureau sans postes de travail fixes, l’employé qui arrive peut disposer d’un téléphone en entrant un code sur un appareil téléphonique. Son numéro de téléphone est automatiquement couplé à cet appareil et tous les appels y sont renvoyés. Si l’on utilise une solution de communications unifiées, la présence de cette personne est immédiatement signalée dans le système. La VoIP ne doit pas nécessairement être une aventure technologique risquée. L’important est de collaborer avec un partenaire qui peut offrir de bons SLA (service level agreements), vous garantissant de bénéficier d’un soutien en cas de problèmes ou de défauts.


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Solutions globales

Communications tout-en-un Téléphoner, envoyer un mail, discuter ou encore organiser une vidéoconférence ? Jusqu’il y a peu, personne n’aurait naïvement posé cette question, mais cela se résume à présent à appuyer sur une touche. Les communications unifiées rendent tout cela possible en une seule solution.

L

a Voix-sur-IP a eu un énorme impact sur la communication vocale, mais tout le secteur des communications est également en pleine évolution. Cette mutation s’appelle communications unifiées (CU), un terme générique désignant les solutions qui regroupent tous les outils de communication. Finis les nombreux systèmes différents, chacun avec leur propre logique, leurs propres coûts et leur propre gestion. Les CU simplifient tout le volet communications d’une entreprise et génèrent de substantielles économies. L’intégration plus poussée de la voix, de l’e-mail et du chat crée des possibilités très intéressantes.

qui sont souvent en déplacement ou qui travaillent une grande partie de leur temps à la maison. Le travail mobile est en effet devenu la nouvelle réalité pour beaucoup d’entreprises et il convient donc de trouver de nouvelles façons de communiquer. Les solutions qui partent du principe qu’un collaborateur est assis à son bureau de 9 h à 17 h ne sont plus de notre temps. Il doit y avoir suffisamment de flexibilité que pour pouvoir suivre des

scénarios très différents, du collaborateur classique devant l’habituel ordinateur de bureau fixe au vendeur qui communique surtout le smartphone à la main. Ne sous-estimons pas non plus l’internalisation croissante, qui voit même les petites entreprises obligées de se concerter de manière efficace et économique avec un fournisseur en Chine ou au Brésil, par exemple.

Pourquoi les CU ? Comme nous l’avons déjà dit, la voix est devenue une application et peut donc s’exécuter sur un ordinateur sous la forme d’un logiciel. Il est de ce fait beaucoup plus facile d’établir un lien avec d’autres applications, comme la messagerie instantanée ou le carnet d’adresses et le calendrier d’une entreprise. L’émergence des communications unifiées concerne davantage les grands changements dans la manière dont nous travaillons que le progrès technologique. C’est un refrain que vous connaissez probablement déjà en tant qu’entrepreneur : les entreprises deviennent de plus en plus ‘virtuelles’, avec des collaborateurs

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LES CINQ PILIERS

des communications unifiées • Trafic téléphonie et voix : englobe la téléphonie fixe et mobile. Beaucoup de solutions de CU autorisent une intégration si poussée que vous n’utilisez qu’un seul numéro pour les deux appareils.

• Mail : la plupart des solutions de CU comportent un back-end complet pour la communication par mail, parfois étendu au fax et à la messagerie vocale.

• Messagerie instantanée : l’envoi rapide de messages par la messagerie instantanée est très pratique, en particulier pour la communication interne. Cela ressemble plus à une conversation qu’à un tas de messages électroniques. Il est souvent possible de chatter à l’aide d’une application sur l’ordinateur, mais aussi par le biais d’applis dans le programme de messagerie électronique.

• Présence : les collaborateurs peuvent signaler leur présence, ce qui peut par exemple apparaître dans le programme de messagerie. Signaler un statut fait également partie des options. Vous pouvez ainsi indiquer que vous êtes en réunion et que vous n’acceptez que les messages et pas les appels téléphoniques.

• Conférence : les conversations vidéo entre deux ou plusieurs interlocuteurs figurent parmi les possibilités. Les conférences téléphoniques et les vidéoconférences rentrent également dans cette catégorie.

Types de vidéoconférence Avec plus de 17 ans d’expérience, Bel-

charge de la gestion et du support,

gacom possède dans sa gamme des

et offre une assistance en direct aux

produits pour chaque groupe cible.

utilisateurs de la vidéoconférence.

Toutes les solutions sont compatibles avec les normes ISDN (H.320), IP (H.323)

• Videoconference-as-a-Service : convient pour les entreprises qui

et H.264 ITU pour la vidéoconférence.

ne veulent pas investir dans l’infrastruc-

• Desktop and Tablet Videoconferencing : une solution très

ture. Celle-ci est entièrement fournie par

accessible où le matériel sur les ordi-

et le support. Il s’agit d’un bouquet de

nateurs et les tablettes est utilisé pour

services proposé à un tarif fixe.

la vidéoconférence. Le back-end est

• Telepresence ou Immersive Video Conferencing : le nec plus

ici un service comme Cisco WebEx.

Belgacom, de même que la connectivité

• Managed Video Conference Services : certaines entreprises dis-

ultra en matière de vidéoconférence,

posent déjà d’une certaine infrastruc-

système sonore dans un local séparé.

ture pour la vidéoconférence, mais

La solution idéale pour des discussions

tout le monde est loin d’être familiarisé

importantes, pour lesquelles on crée

à son utilisation. Avec Managed Video

l’impression de se trouver dans une

Conference Services, Belgacom se

seule et même pièce.

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avec plusieurs grands écrans et un bon

Pour tout le monde Tout comme la communication vocale convient parfois mieux qu’un texte écrit, un contact est plus approprié dans certain cas. Lorsqu’un sujet complexe doit être discuté ou expliqué, par exemple, il est plus important de pouvoir se voir que de pouvoir s’entendre. Les expressions corporelles et du visage fournissent en effet beaucoup d’informations supplémentaires. Votre interlocuteur est-il vraiment en train d’écouter ? Est-il d’accord avec ce que vous dites ? Ce sont des informations que vous pouvez souvent lire sur un visage, mais que vous ne pouvez pas déduire d’un texte ou d’une réponse orale. Les rencontres en face à face ont un inconvénient majeur, surtout si plus de deux personnes doivent se concerter : vous devez réunir tout le monde dans le même bâtiment et dans le même local. Ce n’est pas toujours évident. La solution – une vidéoconférence – a encore la réputation d’être réservée aux grandes multinationales. L’époque où vous pouviez uniquement organiser une réunion vidéo dans un local dédié avec un maximum d’appareils et de support est en fait révolue. Si vous le souhaitez, vous pouvez bien sûr toujours opter pour un local spécialement prévu pour la vidéoconférence. Cela peut être pertinent pour une entreprise qui possède d’importantes implantations à l’étranger. La vidéoconférence est cependant devenue très accessible pour les PME grâce aux CU. Plus besoin d’un local et/ou d’une infrastructure ad hoc et, moyennant un investissement minimal, chaque collaborateur peut y prendre part depuis son ordinateur ou même depuis un appareil mobile. Mais pourquoi une petite entreprise serait-elle intéressée par la vidéocommunication ? L’argument classique est connu : la vidéoconférence supprime les déplacements et fait donc gagner du temps et de l’argent. Deux éléments sur lesquels tout entrepreneur épargne volontier. Voyager comporte également un certain risque, nuit à l’environnement et au collaborateur qui se retrouve sur la touche pendant son absence. Si plusieurs personnes doivent se déplacer, ces inconvénients ne font qu’augmenter. Les entreprises qui ont un ancrage plus local et dont les collaborateurs voyagent peu pour affaires trouvent cet argument moins convaincant.


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Très accessibles Il y a pourtant suffisamment de raisons de se tourner vers la vidéoconférence en tant que PME, et elles ne sont bien souvent pas purement d’ordre économique. La vidéoconférence offre de nouvelles possibilités, a fortiori si on peut y recourir aisément. Une concertation entre collègues n’exige par exemple plus que tous les participants viennent au bureau. Les briefings peuvent être brefs et directs. C’est pratique pour les collaborateurs qui travaillent chez eux ou qui veulent encore se rendre en clientèle le reste de la journée. Une conversation vidéo se prête beaucoup mieux aux formations qu’un téléphone ou un mail, et est nettement plus pratique que l’organisation de rencontres physiques lorsque plusieurs collaborateurs doivent être formés. Le contrôle qualité devient lui aussi plus simple, parce que vous pouvez beaucoup mieux vous concerter avec les fournisseurs de pièces détachées. Vous pouvez même jeter un œil au produit qui sera livré. Autre avantage majeur : la vidéoconférence est un outil de communication beaucoup plus efficace en cas de problèmes et de calamités permettant ainsi de réduire le temps d’arrêt. Voilà de solides atouts. De nombreux obstacles ont en outre été supprimés sur le plan technologique. Ainsi, la bande passante nécessaire à la vidéoconférence ne représente plus un obstacle majeur pour les entreprises. Une connexion d’entreprise classique suffit. Au niveau matériel, l’avance était telle que rares sont les problèmes en termes de puissance du processeur. Une vidéoconférence en vidéo Full HD est dans la plupart des cas possible avec un ordinateur portable classique ou même avec un smartphone. Vu la forte évolution que connaissent les appareils mobiles, la vidéocommunication devient encore plus accessible. Seuls les téléphones très bon marché ne disposent pas d’une caméra pour une conversation vidéo. Un autre point très positif est que les systèmes de vidéoconférence ne sont plus exclusifs. Des solutions de marques différentes peuvent collaborer. Au moyen de ce que l’on appelle une passerelle, quelqu’un qui possède un système de vidéoconférence Cisco peut discuter avec quelqu’un qui a un système Polycom ou Sony, pour ne citer qu’un exemple au hasard.

H. Essers opte pour Lync En tant qu’entreprise en pleine croissance spécialisée dans la logistique et le transport, H. Essers a besoin d’une solution pour communiquer rapidement et efficacement entre les 32 établissements en Belgique et à l’étranger. H. Essers est active dans 11 pays européens et emploie plus de 3 700 personnes, ce qui se traduit par une forte demande en solutions IT et de téléphonie. C’est surtout sur ce dernier point que l’entreprise a été confrontée à une situation très complexe, avec environ 24 000 numéros fixes et mobiles et un mélange de centraux téléphoniques multimarques. Il était temps de passer à une solution de CU homogène. Ce fut Lync de Microsoft, déployé par Belgacom en collaboration avec le département IT interne. “La gestion centrale et l’intégration poussée avec d’autres applications Microsoft – comme Office, SharePoint, Outlook, CRM et System Center – ont été décisives”, explique Wouter Schuurmans, Senior System Engineer. Après un projet pilote dans le département IT, Lync a été installé dans toutes les branches belges. Pour H. Essers, la valeur ajoutée de Microsoft Lync réside surtout dans l’utilisation des fonctionnalités gestion de présence et vidéoconférence. L’entreprise compte beaucoup de collaborateurs en beaucoup d’endroits différents. Grâce à Lync, ils savent désormais si leurs collègues sont disponibles et si oui, par quels canaux de communication. Un avantage supplémentaire est que H. Essers peut réagir rapidement lors de nouvelles acquisitions : une expansion soudaine ne pose pas de problème parce que la plateforme Lync est très évolutive.

Agentschap Ondernemen, le Gouvernement flamand opte pour la vidéoconférence Comme de nombreuses organisations gouvernementales, l’agence privatisée Agentschap Ondernemen veut réduire les navettes vers les bureaux à Bruxelles et favoriser le travail à domicile ou dans un bureau satellite. Huit implantations sont réparties en Flandre, chacune avec leur propre expertise. Cela génère beaucoup d’appels téléphoniques entre les bureaux pour échanger des connaissances. Par le passé, de nombreuses réunions étaient aussi organisées à Bruxelles, avec beaucoup de déplacements à la clé. L’Agentschap Ondernemen, qui prépare concrètement la politique économique et conseille les entrepreneurs, a dès lors opté pour une nouvelle manière de communiquer, plus efficace. Elle a pour ce faire choisi un central du type Forum 750 et des téléphones 450 IP, avec Belgacom à la réalisation du projet. Le passage à la VoIP a d’emblée débouché sur de solides économies. “Les coûts de connectivité ont baissé de moitié. Nous avons en outre pu supprimer non seulement toutes les lignes analogiques, mais aussi la moitié des connexions ISDN”, dit Luc Boone du service du personnel ICT. L’Agentschap Ondernemen est également directement passée à la vidéoconférence afin de supprimer les navettes vers Bruxelles. La capacité était de toute façon présente grâce au passage à la VoIP. L’Agentschap Ondernemen a opté pour une configuration de vidéoconférence mobile et non pour des locaux aménagés séparément. “Quand nous déménagerons à terme dans d’autres bureaux, nous pourrons ainsi très facilement emmener nos appareils.”

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La prochaine étape

L’avenir de la De nouveaux développements obligent la téléphonie à abandonner son image classique. La frontière de plus en plus mince entre fixe et mobile, la technologie vocale et les traductions en temps réel propulsent la voix dans le 21e siècle.

P

as de terminus en vue pour la ligne téléphonique, que du contraire. La voix est encore en pleine évolution et différentes tendances modifient et modifieront radicalement la façon de téléphoner. Le changement majeur est probablement la convergence entre le téléphone mobile et le téléphone fixe, qui abolit la différence entre les deux. De très nombreuses fonctions jadis gérées par le central téléphonique migrent maintenant vers le cloud. Une foule d’avantages en découlent. Le principal étant la réduction des coûts, parce que votre organisation a la certitude de toujours disposer de la meilleure prestation de services dernier cri. Les grandes

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améliorations dans le domaine de la reconnaissance vocale ouvrent en outre la porte à toutes sortes de nouvelles applications, permettant de travailler avec des commandes vocales. Que diriez-vous d’une fonction traduction automatique qui traduit ce que vous dites pour que votre interlocuteur chinois vous comprenne ?

Convergence La convergence fixe et mobile est d’ores et déjà une réalité, gommant la différence habituelle entre les deux. C’est avant tout pratique. Vous connaissez le topo : vous voulez joindre quelqu’un, et vous essayez d’abord le numéro fixe puis le mobile. Dans le scénario de la convergence, il n’y a qu’un seul numéro. Lorsque vous le

“De très nombreuses fonctions jadis gérées par le central téléphonique migrent maintenant vers le cloud.” composez, le smartphone et le téléphone fixe sonnent en même temps. La personne que vous appelez peut choisir elle-même avec quel appareil elle décroche. Les avantages concernent aussi l’utilisation. Il est ainsi très facile de passer du fixe au mobile et les téléphones mobiles sont joignables avec des numéros abrégés. Si nécessaire, vous pouvez même impliquer des appareils à la maison. A l’avenir, on pourra en effet intégrer n’importe quel appareil avec la voix. Une TV, par exemple, ou les montres intelligentes qui commencent à fleurir. Et tous ces appareils deviendront encore plus intelligents, si bien qu’ils s’organiseront automatiquement entre eux. Vous appellerez quelqu’un et si son appareil supporte aussi la vidéo (et a été paramétré pour utiliser la vidéo), cette vidéo sera automatiquement activée. Comme la voix est envoyée sous la forme de données, on assiste également à une convergence des réseaux. Dans un lointain avenir, nous n’aurons dans l’ensemble plus besoin d’un réseau téléphonique distinct. Cette convergence se déroule déjà dans les entreprises, par la mise en œuvre d’une plateforme complète de communications unifiées.


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téléphonie Cloud Tout comme dans beaucoup d’autres domaines, le cloud a un grand impact sur la communication vocale et les CU. Le cloud est un terme qui a peut-être une consonance abstraite, mais l’idée sous-jacente est en fait simple : remplacer un serveur qu’une organisation gère elle-même sur son propre réseau local par un serveur dans un centre de données centralisé. Il s’agit d’un choix rationnel, parce qu’il s’avère moins cher à long terme et décharge le département IT interne. En effet, toutes les infrastructures sont en permanence maintenues par le prestataire de services. Outre la maintenance, celui-ci se charge également de l’application des patches. Vous avez en général aussi beaucoup plus rapidement accès aux versions les plus récentes. L’installation ne pose pas de réels problèmes. Le cloud est de plus habituellement meilleur pour l’environnement. Les fournisseurs cloud utilisent en effet plus efficacement les serveurs que lorsque chaque entreprise fait tourner son propre serveur sous-utilisé. En matière de CU, la tendance qui domine est d’opter d’emblée pour le cloud. Avec Office 365, Microsoft est notamment un grand défenseur de cette approche. Cela rend en tout cas le passage à une plateforme de CU beaucoup plus facile, puisqu’il n’y a pas de serveur à configurer. La gestion est aussi plus simple, notamment parce que les solutions cloud privilégient souvent le modèle self-service, assorti de puissants modules de gestion.

Encore un avantage : l’UC-as-a-Service est très évolutif. Une soudaine expansion de l’entreprise peut ainsi être facilement résolue. Mais on peut également adopter une approche cloud pour la voix. Il est parfaitement possible de remplacer un central PBX IP par un exemplaire dans le cloud ou d’utiliser des services VoIP qui fonctionnent complètement hors site. L’argument qui prévaut ici est encore une fois d’ordre économique.

Siri L’avenir nous apportera des possibilités encore plus poussées. Les progrès constants dans le domaine de la reconnaissance et du traitement de la voix génèrent des nouveautés inattendues.

Siri – connu pour être la fonction vocale intelligente sur l’iPhone – montre le chemin, mais cela ne veut pas dire qu’il s’agit uniquement de technologies sur les appareils mobiles. Comme le traitement de la voix se déroule dans le cloud, qui abrite énormément de puissance de calcul, il est par exemple possible de prévoir des services de reconnaissance vocale en temps réel – intéressants pour les applications de sécurité – et des services vocaux. Par l’intermédiaire de Belgacom, vous pouvez créer une solution de call center qui ne fonctionne pas avec des menus vocaux, mais qui prévoit aussi la fonctionnalité Text To Speech (TTS) et même l’Automatic Voice Recognition (ACD). Encore un peu de patience et la prochaine étape sera peut-être des fonctions de traduction automatique qui transposeront la voix d’une langue à l’autre. Cela ressemble à de la science-fiction, mais de nombreuses recherches en ce sens sont effectuées au niveau européen et des applications utilisables sont attendues pour bientôt.

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infographique

4 dimensions de la communication Sociale

Mobile

Les réseaux sociaux d’entreprise, pour le contact avec les collègues et les partenaires, croissent

Les applications mobiles d’entreprise, servant au support des applications et des plateformes mobiles, croissent de

de

45%

par an.

37%

par an.

Communications unifiées

En Belgique,

40% 30%

des (grandes) entreprises utilisent déjà les communications unifiées (CU) et

Vidéo En Belgique,

46%

des entreprises utilisent déjà “l’Immersive video-conferencing”.

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envisagent de le faire.

Avantages de la vidéoconférence • Economiser sur les frais de voyage • Améliorer l’efficacité des réunions • Améliorer l’équilibre travail/vie privée des voyageurs d’affaires et des travailleurs à domicile • Réduire l’empreinte écologique • Améliorer la coopération par-delà les frontières


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solution

Cisco Business Edition 6000

Enterprise UC pour les PME Les communications unifiées (CU) figurent en tête des priorités de toute entreprise désireuse de remplacer les coûts par la flexibilité. Comme les CU influencent énormément les processus d’entreprise les plus critiques, il est primordial de choisir une solution fiable et évolutive.

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etite piqûre de rappel : communications unifiées (CU) est le terme générique référant aux technologies et services qui regroupent et optimisent les outils de communication et les processus d’affaires. Compte tenu de cette définition au sens large, les CU affectent tous les niveaux de la gestion d’entreprise. Cela va de simples paramètres, comme le comportement de l’utilisateur, à l’intégration des canaux de communication comme la téléphonie, la messagerie électronique, la messagerie instantanée au sein d’environnements existants tels qu’Outlook. L’objectif est toujours d’améliorer l’interaction entre les employés et les clients, et d’optimiser la gestion et le partage des connaissances. À une époque où les petites et moyennes entreprises sont dépendantes de la rapidité et de la fiabilité à laquelle elles traitent les informations, les communications unifiées sont un must pour rester compétitif. Les communications unifiées évoluent désormais à toute vitesse, si bien que l’accessibilité et la polyvalence évoluent à pas de géant. C’est du reste nécessaire étant donné que le nombre de canaux de communication (pensez à Facebook et Twitter) et d’appareils (tablettes et smartphones) à gérer ne cesse d’augmenter.

Services de collaboration flexibles La valeur fondamentale d’une solution de CU intelligente réside dans la fiabilité et

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l’évolutivité. Quiconque veut doter sa PME d’une solide plateforme de CU ne devrait pas s’aventurer dans des solutions ou des produits temporaires et inadéquats. On ne peut donc que se réjouir à l’idée que Cisco, leader mondial en solutions réseau et communication, et Belgacom proposent aujourd’hui l’une des meilleures solutions Enterprise dans une offre taillée pour la PME.

Passer aux CU Cisco Business Edition 6000 offre toutes les possibilités CU (messagerie vocale, présence, chat, conférence web, communication...) et s’avère être une solution abordable, simple et évolutive pour les entreprises moyennes. La mission de Cisco Business Edition 6000 est simple : permettre aux moyennes entreprises de convertir leur infrastructure de téléphonie existante et désuète en un système de communications unifiées, et ce en tenant compte du rapport coût-efficacité. Cette plateforme assure des flux de commu-

Cisco Business Edition 6000 permet aux moyennes entreprises de convertir leur infrastructure de téléphonie existante et désuète en un système de communications unifiées, et ce en tenant compte du rapport coût-efficacité.

nication sans failles, de sorte que le bon message, quelle que soit sa forme et son emplacement, est délivré au bon utilisateur.

Solution ultra évolutive En s’appuyant sur son expérience dans le segment des entreprises, Cisco propose aujourd’hui une solution pour les PME. La solution peut héberger jusqu’à huit machines virtuelles, qui peuvent être utilisées pour des applications de CU (vidéo, messagerie instantanée/chat, messagerie vocale, redondance...), mais aussi pour les applications de tiers, et s’étendre jusqu’à mille utilisateurs. Cisco Business Edition 6000 associe une série de services collaboratifs flexibles et très évolutifs à une inter-opérabilité et une disponibilité optimales afin d’augmenter votre productivité tout en réduisant la complexité et les coûts. Plus d’informations sur www.belgacom.be/cisco


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Belgacom Video Conferencing Services

Toujours joignable La vidéoconférence est l’une des armes les plus intelligentes pour réduire les coûts dans votre entreprise. Elle vous permet non seulement d’économiser sur les frais de voyage et d’hébergement, mais est aussi en 2013 la manière de se réunir et de communiquer en termes d’optimisation de l’environnement, des risques et du temps.

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a vidéoconférence va bien au-delà d’une conversation de groupe à l’aide d’une caméra. Les solutions actuellement disponibles offrent un vaste éventail de fonctions pour les conversations individuelles, les conversations de groupe, la communication de site à site et les services téléphoniques mobiles. Mais vous pouvez tout aussi bien utiliser votre infrastructure de vidéoconférence pour mettre sur pied des formations ou des présentations que vous donnerez ensuite dans et en dehors de l’entreprise. Et pourquoi n’utiliseriez-vous pas une telle installation vidéo pour surveiller à distance le stock de matières premières et ainsi pouvoir intervenir rapidement et efficacement en cas de problèmes ? Pour être une alternative intéressante aux conversations en face à face, la vidéoconférence doit répondre à plusieurs conditions. La plus importante est peut-être bien que l’espace de rencontre virtuel que vous créez doit être aisément et partout disponible pour tous les participants. Le spectre d’une mise en service problématique planait auparavant sur les réunions virtuelles ; il y avait toujours un participant qui ne disposait pas du bon logiciel ou du bon matériel et qui ne pouvait donc pas répondre présent au moment opportun. Et ce n’est que l’un des problèmes que Belgacom élimine grâce à le Video Conferencing-as-a-Service. La gestion, les technologies et l’équipement n’interviennent en effet plus dans l’organisation d’une réunion (virtuelle). En vous appuyant sur un modèle cloud flexible, vous n’avez plus qu’à vous soucier du timing, du contenu et des participants.

Atout simplicité Le Video Conferencing-as-a-Service (VCaaS) place la simplicité en tête des priorités. Le processus est également très linéaire. Vous confiez vos end-points (tous, de votre smartphone à un local de téléprésence) à Belgacom VCaaS, après quoi l’équipe de Belgacom veille à ce que votre infrastructure soit paramétrée de manière optimal sur la plateforme Belgacom et ce tant par le biais de l’Internet et de l’ISDN que de Belgacom Explore. Et le tour est joué : il ne vous reste maintenant plus qu’à planifier vos réunions virtuelles. La plateforme Belgacom VCaaS démarre automatiquement la vidéoconférence à l’heure convenue et les participants ont juste à être présents. Et si vous avez besoin d’une infrastructure supplémentaire – lorsque vous utilisez par exemple plus de deux end-points ou à la fois les lignes ISDN et IP – il vous suffit juste de la réserver à l’avance. Belgacom VCaaS résout ces problèmes à votre place. Cette flexibilité ne se limite d’ailleurs pas

à l’offre de services : Belgacom VCaaS s’adapte complètement aux besoins de votre entreprise en termes de tarification et de services complémentaires. Vous avez ainsi le choix entre un modèle ‘fixed fee’ et ‘pay as you use’. Dans les deux cas, vous avez la garantie que les services sont surveillés 24 h/24, 7 j/7 par des experts de Belgacom qui peuvent – en option – intervenir pour vous offrir un support direct. VCaaS offre de base jusqu’à huit end-points par conférence, mais ce nombre peut être étendu selon vos besoins. Il n’y a d’ailleurs pas de limite au nombre de conférences que vous pouvez effectuer par Internet. La vidéoconférence est un outil indispensable pour les entreprises qui veulent rester compétitives dans le climat économique actuel. Mais uniquement si le fonctionnement de cet outil est suffisamment flexible, efficace et fiable. En combinant les atouts de la vidéoconférence avec un modèle cloud, Belgacom VCaaS vous aide à tous les niveaux. Vous pouvez bien sûr également vous adresser à Belgacom pour des solutions de vidéoconférence standard sur site, gérées par vos soins ou par Belgacom. Et un service de ‘live assistance’ lors de la mise en place de réunions complexes par vidéoconférence est également prévu. Plus d’infos sur www.belgacom.be/vcaas

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Gestion de documents pour travailleurs mobiles

Le travail mobile s’intensifie Une entreprise compte de plus en plus de travailleurs mobiles, ce dont on ne tient pas toujours compte lors du déploiement d’un projet de gestion de documents.

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l arrive fréquemment que les grandes entreprises ne tiennent délibérément pas compte des appareils mobiles dans leur approche de gestion de documents, ce qu’elles finissent souvent par regretter parce qu’elles s’aperçoivent que c’était nécessaire”, a appris Tom Vanderbauwhede, Managing Director de l’agence de communication Lemento. Selon lui, la principale raison est la peur d’avoir un objectif trop vaste : “Un projet de gestion de documents est déjà suffisamment long en soi, car il s’agit souvent de processus sophistiqués. Si on y ajoute encore un volet mobile, on doit attendre beaucoup trop longtemps avant de pouvoir vraiment se mettre au travail, raisonne-t-on souvent.”

Plus complexe Travailler avec des documents est pourtant l’une des frustrations majeures du travailleur mobile, indique une récente

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étude d’IDC. D’après celle-ci, sur près de mille travailleurs de l’information (travailleurs dont le métier est essentiellement lié à l’information) près de 50 % utilisent un smartphone à des fins professionnelles, et ce pourcentage augmentera certainement encore cette année pour atteindre près des deux tiers. Environ un sixième des répondants utilise une tablette, et ce chiffre devrait presque doubler en un an. “L’environnement de travail devient de plus en plus complexe pour tout le monde”, conclut Melissa Webster, Program Vice President chez IDC, “avec l’explosion du nombre d’appareils mobiles et des nouveaux services cloud, les travailleurs de l’information doivent avoir la possibilité de travailler plus efficacement avec des documents, quel que soit l’appareil qu’ils utilisent.”

Risques Les utilisateurs finaux doivent souvent se débrouiller seuls : surgissent alors des solutions cloud comme Dropbox ou FileShare. Mais elles ne sont pas sans risques, dit Didier Van Speybroeck, CEO du prestataire de services ICT Silicon : “Si vous mettez vos documents dans le cloud avec votre propre compte, il est fort probable que vous ne disposiez pas de la dernière version. Il s’agit d’un argument incitant de nombreuses entreprises à prévoir malgré tout la disponibilité des documents sur les appareils mobiles : l’accès à la dernière version d’un document peut représenter une valeur ajoutée suffisante que pour y investir. Les éditeurs de logiciels de gestion de documents concentrent à présent tous leurs efforts sur de telles extensions mobiles car ils s’aperçoivent qu’elles peuvent éloigner leurs clients de solu-

tions comme Dropbox.” Les acteurs sur le marché de la gestion de documents issus du monde des copieurs et des imprimantes, comme Xerox, s’intéressent de près à la numérisation et à l’impression de documents. Xerox a récemment lancé ConnectKey, un module de gestion de documents intégré à plusieurs multifonctions. “Avec l’imprimante multifonction comme hub sécurisé, ConnectKey peut numériser et importer des documents dans le cloud et les imprimer en toute sécurité au départ de n’importe quel appareil mobile”, précise Pierre Collette, Marketing and Communications Manager chez Xerox BelgiqueLuxembourg, “mais le logiciel peut aussi injecter directement des informations commerciales dans le workflow.” Un environnement intégré pour vos documents, donc, avec le multifonction comme point de départ de votre flux de documents.

Priorité à la sécurité “Outre les exigences techniques liées à la possibilité d’intégration avec des applications comme QuickOffice pour éditer des documents ou avec SlideShark pour effectuer votre présentation dans le cloud avec votre tablette, la sécurité est l’aspect dont on se préoccupe le plus dans le cadre de la gestion de documents mobile”, déclare Margo Vrolix, Document Management Expert chez EMC. “Il est important que les utilisateurs aient accès aux informations quand ils en ont besoin et que l’accès leur soit refusé lorsque ce n’est plus le cas. C’est pourquoi la gestion mobile des documents est souvent rapidement suivie par ‘l’Information Rights Management’. Ce n’est qu’en incorporant la technologie de sécurité au document lui-même que l’on peut éviter qu’un document partagé avec un tiers ne tombe entre de mauvaises mains. Bref, avec l’IRM, un document sait si un utilisateur peut ou non avoir accès à l’information.”


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Nouvelles fonctions au sein du Nouveau Monde du Travail

Quelle est votre fonction mobile ? La mobilité, c’est pouvoir travailler n’importe où et n’importe quand sur n’importe quel appareil, avec toutes les applications et tous les fichiers nécessaires quel que soit le réseau disponible.

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a mobilité est protéiforme. Nous travaillons en dehors du bureau, en déplacement ou à la maison. Pratiquer le travail mobile dépend fortement de vos propres ambitions, des possibilités organisationnelles qu’offre l’entreprise qui vous emploie et de votre fonction ou de votre rôle au sein de celle-ci.

Je peux, mais c’est impossible Il existe des organisations qui autorise le travail mobile pour tout le personnel, mais cela ne veut pas dire que tout le monde puisse réllement le faire. Les collaborateurs effectuant des tâches spécifiques sont ainsi souvent liés au lieu de travail. Pensez aux réceptionnistes, aux secrétaires, aux acheteurs, aux préposés aux commandes, aux commis de bureau, aux magasiniers, à toutes les fonctions administratives, etc. Ces collaborateurs utilisent peu d’applications d’entreprise, voire parfois une seule. Approche : Traiter les e-mails professionnels ou lire les messages internes à la maison en dehors des heures de travail peut s’avérer utile pour ces profils.

Je peux, mais je ne veux pas Ce n’est pas parce que votre organisation autorise la mobilité que chaque employé veut en profiter. Il y a certainement des collaborateurs qui n’ont pas besoin de lire leurs mails à la maison ni d’être connectés à l’entreprise. Approche : Tout le monde ne veut pas ou ne doit pas être joignable à tout moment. Différentes tâches sont réservées à ceux qui préfèrent travailler chez eux sans ordinateur, ni smartphone ni connexion Internet.

Je peux et je le fais Certains travailleurs, que l’on qualifie de nomades, sont peu au bureau et n’y viennent même jamais dans certains cas, mais travaillent beaucoup chez les clients, dans d’autres implantations ou à la maison. Pensez aux consultants ou aux gestionnaires de projets. Plus ils passent de temps en dehors de leur bureau, plus ils ont besoin de collaborer à distance et de réseauter. Approche : Ces travailleurs ont un ’emploi de bureau’ très proche de celui d’un travailleur du savoir, si ce n’est qu’ils ne sont pas physiquement présents dans l’entreprise. Par rapport à une fonction interne, la plupart exercent leur travail de manière beaucoup plus flexible. Pour ces fonctions, de bons équipements, comme un ordinateur portable ou une tablette, un smartphone et une connexion Internet mobile adéquate, sont cruciaux.

J’aimerais, mais je ne peux pas Il existe des entreprises où il est formellement interdit de travailler extra-muros même si de plus en plus d’employés le demandent. De nos jours, il est en effet primordial de trouver le bon équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Approche : Examinez votre politique à la loupe. Les organisations qui ne permettent pas à leurs employés de travailler à domicile – même si ce n’est pas une nécessité mais que cela peut s’avérer utile – rencontrent de plus en plus de difficultés à engager de jeunes collaborateurs et à les garder.

Je dois le faire Pour certaines fonctions ou professions, il est impératif de faire preuve de flexibilité quant aux horaires et aux lieux de travail. Des fonctions pour lesquelles vous pouvez

facilement être rétribué pour vos prestations se prêtent bien au modèle flexible de l’informatique mobile, tout comme celles où vous devez vous rendre chez des clients ou des patients. Ce travail s’effectue souvent en solo et ne nécessite pas beaucoup de réunions ni de travail d’équipe. Pensez aux recruteurs, aux professionnels de la santé, aux inspecteurs, aux monteurs, au personnel de terrain et aux agents de sécurité. Ces fonctions ne sont en général pas tributaires du lieu, mais le travail se déroule toutefois souvent durant les heures de bureau. Approche : Pour ces profils, un équipement approprié est nécessaire, en plus des applications et des processus spéciaux. Le travail mobile fait partie de la tâche principale. Auparavant, on travaillait beaucoup hors ligne et il fallait passer par le bureau en début de journée ou encore effectuer les tâches administratives de retour à la maison, répondre aux e-mails, etc. Maintenant, on le fait souvent sur place.

L’informatique mobile n’est pas encore du travail flexible Si travailler ailleurs ou autrement se justifie pour toutes ces situations, il ne peut cependant pas être directement question de travail flexible. Dans ce cas, les employés sont en effet libres d’organiser leur horaire et leur lieu de travail. Les organisations qui encouragent le travail flexible prévoient souvent des espaces internes flexibles. Les employés choisissent l’environnement le plus approprié selon de leurs activités (lounge, bureau privé ou partagé, hall, cantine ou bar). L’informatique mobile et le travail flexible utilisent quasiment la même infrastructure technique.

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En temps de cyberguerre Qu’ont en commun ABN Amro, KLM et même le CD&V ? Ils ont tous été victimes de cybercriminalité à grande échelle. Leur site Web est tombé en panne après ce que l’on appelle une attaque ‘Distributed Denial of Service’. Si les attaques de ce type ne sont pas nouvelles, leur ampleur est sans précédent. “Les cyberattaques représentent la principale menace directe pour la société actuelle.”

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ous sommes en bonne compagnie. La CIA et plusieurs banques ont déjà été victimes d’attaques similaires», a réagi le porte-parole du CD&V. Par le biais de ce Distributed Denial of Service (DDoS), des ordinateurs (craqués) inondent un certain site web de requêtes. Effectuer un DDos n’a souvent rien de très sorcier d’un point de vue technique. Qui plus est, on développe constamment de nouvelles ‘munitions’, que l’on canarde sur différentes failles d’un site. Certaines attaques visent à perturber votre infrastructure IT, d’autres tentent d’affecter vos applications professionnelles. Beaucoup d’attaques n’ont du reste pas besoin de la force brute d’un DDoS, parce que beaucoup de sites présentent des faiblesses dont on peut profiter à l’aide de quelques ‘tirs de précision’.

Éviter les temps d’arrêt L’attention croissante portée aux DDoS amène les entreprises à se demander comment elles doivent aborder le risque Internet. Les experts soulignent que si vous voulez éviter le risque de downtime provoqué par une attaque DDoS, vous devez prendre des mesures à chaque niveau (application, serveur, réseau…) aussi bien dans votre propre centre de données (on premises) que dans le cloud. Mais ce n’est pas tout. Là où la traditionnelle gestion des risques IT se concentre principalement sur la prévention, les cyberattaques comme les DDoS requièrent une approche plus réactive, que l’on a

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coutume d’appeler ‘Active Threat Management’. “Si vous êtes touché par une attaque, le mieux à faire est de prendre rapidement contact avec votre fournisseur d’accès, de préférence pendant l’attaque. “Il peut en effet bloquer une grande partie du trafic”, conseille Dave Piscitello, Senior Security Technologist de l’Icann. “Vous devez pour ce faire lui fournir des informations aussi détaillées que possible, comme le type de trafic ou la source.”

Guerre Le motif reste en outre souvent un point d’interrogation. Beaucoup d’attaques sont menées par pur vandalisme. Mais dans son récent ouvrage Cyberoorlog, Albert Benschop, professeur à l’université d’Amsterdam, les considère comme une guerre ayant pour enjeu les systèmes informatiques et les réseaux sur lesquels reposent les processus économiques et les processus de production. Les belligérants ne sont ni des radicaux revanchards ni de sombres pirates informa-

tiques, mais des instances nationales avec des cybersoldats en service spécialement formés pour ce genre d’action. Rien de nouveau sous le soleil. D’après A. Benschop, les premières escarmouches de la cyberguerre datent déjà de la fin des années 90. En 2010, le virus américano-israélien Stuxnet s’est avéré être une cyberarme très sophistiquée, un ver qui a endommagé des centaines de centrifugeuses nucléaires et qui est parvenu à faire prendre des années de retard au programme d’armement nucléaire iranien. Selon le professeur, ce nouveau style de guerre est assez facile à financer et peut être lancée de façon assez anonyme. “Une cyberattaque est difficile à défendre en tant qu’État, puisque ses conséquences ne peuvent être que désastreuses pour les citoyens, les entreprises et les autorités”, pense-t-il. Dans Cyberoorlog, il propose également un scénario cyberapocalytique dans lequel une nation comme les Pays-Bas ou la Belgique se retrouve dans le viseur d’un État hostile. Le déroulement étape par étape, qui ne fait qu’empirer jusqu’au véritable cauchemar, rappelle les films de science-fiction. Mais A. Benschop estime sincèrement qu’une cyberattaque représente la principale menace directe pour la société actuelle. Il décrit ainsi une nouvelle réalité qui ne nous ravit pas vraiment.

Comment protéger votre site web ? 1. Mettez le sujet à l’ordre du jour. Protéger un site web n’a par exemple rien à voir avec la protection de vos PC. 2. Adressez-vous à un expert, tel qu’un hébergeur ou un prestataire de services. La sécurité des sites web est leur spécialité. 3. Réagissez vite. Si vous constatez des irrégularités, contactez dès que possible votre hébergeur, de préférence pendant l’attaque. 4. Recueillez des informations pendant une attaque, comme le type de trafic ou la source, ou demandez à un tiers de s’en charger pour vous.


livre

Une semaine sans smartphone sur prescription médicale La pléthore d’informations à laquelle nous sommes confrontés est néfaste pour notre bien-être spirituel. Le cyberespace est devenu une véritable addiction.

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ux alentours de 2015, environ 80% de la population mondiale disposera d’un smartphone, d’une tablette ou d’un ordinateur portable. Plus de la moitié des Occidentaux s’en servent déjà aujourd’hui. Autrement dit, nous sommes connectés 24 h / 24. Dans le livre iDisorder, Larry Rosen, un professeur de psychologie à la California State University, tire la sonnette d’alarme. L’auteur veut démontrer qu’un excès de confiance dans les gadgets IT et les sites Web a pris l’humanité au piège d’une toile d’araignée technologique. Les ados publient leurs faits et gestes sur Facebook. Les quadras écument l’Internet à la recherche d’explications sur les imperfections cutanées, même si leur médecin leur a dit qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter. Larry Rosen, qui est d’ailleurs le premier à admettre qu’il était lui aussi un accro aux gadgets de la première heure, cite des exemples on ne peut plus explicites. Ignorer un SMS entrant lors d’un repas ou d’un trajet en voiture? Impossible! Aller dormir sans vérifier une dernière fois ses mails? Impensable! Il semblerait que certaines personnes commencent même à montrer des signes de sevrage après quelques jours sans Facebook.

Troubles Pour le reste, l’ouvrage se lit assez rapidement étant donné les nombreuses

notes de bas de page et une pléthore de remerciements typiquement américaine. Avec ce livre, l’auteur tente de prouver que beaucoup d’entre nous utilisent les nouvelles technologies et les médias d’une manière qui provoque des symptômes comparables à des troubles psychologiques. Un phénomène qui se fait de plus en plus persistant. Les conséquences vont par ailleurs assez loin. L’auteur voit dans l’utilisation fréquente d’Internet et des réseaux sociaux l’origine de maux comme les troubles alimentaires et une image corporelle déformée. Avec des effets secondaires tels que l’isolement social, la paranoïa et le voyeurisme. Mais, et c’est là le second objectif du livre, cette tendance n’est heureusement pas irréversible. Rosen nous donne des stratégies et des listes de contrôle faciles à suivre. Celles-ci doivent d’abord déboucher sur une prise de conscience du problème, puis sur une solution et une pause technologique. Avec pour objectif que le tech junkie en nous puisse retrouver un sain équilibre entre l’utilisation des médias numériques et un comportement humain. Ou comme il l’écrit lui-même: pour réinitialiser votre cerveau. Larry Rosen, iDisorder – Understanding Our Obsession with Technology and Overcoming its Hold on Us, Macmillan, ISBN 9781137000361, 256 pages.

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Nous concrétisons ensemble votre vision de l’ICT Collaboration

De Persgroep opte pour les communications unifiées sur plus de 20 sites

Datacenters

Pietercil accroît sa sécurité d’entreprise et son efficacité grâce à Belgacom Matrix Cube

Luc Verbist, CIO, De Persgroep

Jan Christiaens, CFO, Pietercil

Networks

L’Office National des Pensions maîtrise son informatique avec le monitoring de bout en bout

Digital media

Renmans pilote les écrans promotionnels de 376 boucheries à partir du cloud Thomas Bovy, IT Manager, Quality Meat Renmans

Luc Coppens, Adviseur-Général, RVP

Security

ATS Groep opte pour un plan de reprise d’activité avec solutions de sécurité intégrées Korstiaan Schipper, ICT Manager, ATS Groep

Grâce à Belgacom Explore, vous connectez tous vos sites et êtes prêt à travailler dans le cloud. Mais votre stratégie ICT ne se limite pas à cela : sécurité, big data, nouveau mode de travail, communications unifiées, focus sur votre métier… Ensemble, nous élaborons des solutions innovantes et fiables pour relever les défis ICT les plus variés. Lisez les témoignages clients à propos de nos réalisations et découvrez comment Belgacom peut concrétiser votre vision de l’ICT.

Plus d’info ? Surfez sur www.belgacom.be/ict

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Chaque jour plus de possibilités

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