Big data
<< Filip De Ville IT Infrastructure & Production Manager chez Crelan, nous explique comment 600 agences ont été intégrées en 3 jours
Répondre à la vraie question
business magazine for top ICT professionals Q4 / novembre 2013 • www.onemagazine.be
Vos informations valent de l’or Ada Sekirin nous parle des dinosaures et des nouvelles espèces • Services TV en gestion propre • Kinepolis stimule online ticketing • Tous vos canaux de communication via Cisco Jabber
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Big data
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Publication de Belgacom Année 7 / numéro 19 / Q4 2013 Éditeur responsable : Bart Van Den Meersche Bld du Roi Albert II 27, 1030 Bruxelles Concept et réalisation : Propaganda SA Imperiastraat 16, 1930 Zaventem www.propaganda.be
Coordination : Charline Briot, Markus Eggermont, Robbin Sacré, Jean-Marie Stas, Dirk Van Dijck Ont collaboré à ce numéro : Andrew Beavis, Klaar De Groote, Kristof De Spiegeleer, Robert Doran, Véronique Gilon, Davy Goris, Stef Gyssels, Frederic Petitjean, Anneke Stoffels, Dries Van Damme, Frank Van den Branden, Filip Van Loock Pour plus d’informations, contactez : Robbin Sacré robbin.sacre@belgacom.be ISO 9001 certified Mail naar robbin.sacre@belgacom.be om een exemplaar van dit magazine in het Nederlands te ontvangen.
Des données qui valent de l’or Depuis les années 90, Internet et la numérisation entraînent une forte augmentation des volumes de données. Un phénomène qui n’a fait que s’accélérer depuis l’arrivée du big data. Le cloud et les différentes applications mobiles et sociales apparues avec cette technologie n’y sont d’ailleurs pas étrangers. Le volume de données de votre société est potentiellement énorme. Ces informations concernent vos activités, mais aussi vos produits, vos collaborateurs, vos clients, vos partenaires, vos fournisseurs, etc. Mais les exploitez-vous efficacement ? Elles peuvent en effet vous aider à développer votre société, à mieux répondre aux besoins de vos clients et à proposer de nouveaux produits et services. L’enjeu du big data ne s’arrête pas là : votre infrastructure doit pouvoir stocker et traiter d’importants volumes en toute sécurité. Sans cela, vous ne pourrez pas réellement bénéficier des avantages du big data. En tant que partenaire de votre entreprise, Belgacom vous fournit une infrastructure, mais recherche aussi avec vous la meilleure solution afin de vous permettre d’exploiter pleinement le big data. Pour en savoir plus, ne manquez pas de parcourir ce magazine.
Send an e-mail to robbin.sacre@belgacom.be if you want a copy of this magazine in English. Les spécifications techniques sont fournies uniquement à titre indicatif. Belgacom se réserve le droit de les modifier sans avis préalable.
Bart Van Den Meersche, Executive Vice-President Enterprise Business Unit Belgacom
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rubriek column Le succès de big data
L’innovation en technologies de stockage indispensable “ Exploiter le big data nécessite une puissance de calcul et des outils permettant de comparer et d’analyser les différentes sources.”
Identikit Actif dans le monde de l’ICT, Kristof De Spiegeleer est un ‘entrepreneur en série’ spécialisé dans l’optimisation des technologies liées aux centres de données. Dans son centre d’incubation Incubaid, De Spiegeleer fédère les nouvelles technologies et les connaissances en gestion qui ont été à l’origine de plusieurs start-up technologiques, notamment Amplidata, Awingu, Dacentec et Racktivity. De Spiegeleer est un pionnier de l’évolution vers le cloud computing en Europe.
Le terme ‘big data’ est apparu au début des années 2000. C’est la firme d’analystes Gartner qui fut la première à l’utiliser pour désigner les données au travers de trois dimensions. Ces paramètres sont le volume, la rapidité et la variété. Un autre aspect entre ici aussi en ligne de compte : la possibilité de traiter ces données dans le but d’améliorer la connaissance et les décisions dans des délais raisonnables. Cependant, disposer d’immenses quantités de données ne suffit pas. Il faut pouvoir les analyser afin d’en extraire les informations ou les connaissances utiles. Le but premier de ce processus, appelé Big Data Analytics, est d’aider les entreprises à prendre de meilleures décisions en permettant aux data scientists et autres utilisateurs d’analyser d’importants volumes de données de transactions ou d’autres sources potentiellement inexploitées par les programmes conventionnels d’informatique décisionnelle. Ces autres sources peuvent être les logs des serveurs web et les données de flux de clics internet, les journaux d’activités des médias sociaux, les journaux d’appels des téléphones portables et les informations enregistrées par les capteurs. Outre ce type de données non structurées, les systèmes de traitement de transactions de masse et d’autres informations hautement structurées sont autant de formes de big data qui méritent analyse. Exploiter le big data nécessite une puissance de calcul et des outils permettant de comparer et d’analyser les différentes sources tout en tenant compte des contraintes de volume, de rapidité et de variété. Face à ce défi, des technologies telles que la virtualisation et Hadoop ont aidé les organisations à construire des clusters de
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calcul suffisamment évolutifs pour respecter ces prescriptions, mais le problème du stockage des données reste entier. Alors qu’il devient habituel pour une organisation de stocker plus de 500 To de données, le coût que cela représente en termes d’espace dans son data center et de consommation d’énergie commence à devenir réellement inquiétant. Même la fiabilité devient préoccupante étant donné qu’un pool de stockage de plusieurs pétaoctets composé d’un millier de disques durs de plusieurs téraoctets connaîtra quasi certainement une panne par semaine, nécessitant l’une ou l’autre forme de récupération de données. Les nouvelles technologies de stockage ayant recours au codage d’effacement (erasure coding) contribuent à résoudre partiellement ces problèmes de fiabilité. Elles permettent également la création de modèles de stockage hybride qui, à leur tour, simplifient la décharge de données vers les clouds publics tels qu’Amazon S3 ou Microsoft Azure. Le codage d’effacement est une technologie de correction d’erreur directe intelligente qui remplace le RAID en scindant et codant les conteneurs en plusieurs blocs de contrôle qui codent directement la redondance. Ces blocs de contrôle sont dispersés dans le backend de stockage, ce qui signifie que plusieurs appareils peuvent dysfonctionner simultanément sans perte de données ni impact sur la disponibilité des données. Étant donné que, selon IBM, nous créons chaque jour près de 2.200 pétaoctets de données, il est indispensable que des technologies de stockage innovantes soient développées si l’on veut exploiter pleinement le potentiel du big data.
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Ada Sekirin : “Le secteur souffre encore d’une image assez geek, alors que l’ICT repose aussi sur la communication et la collaboration.”
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Big data : Répondre à la vraie question
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column Kristof De Spiegeleer L’innovation en technologies de stockage 07 cockpit Facts & Figures 26 people & vision Ada Sekirin “Les dinosaures font place à d’autres espèces” 30 book review ‘The Internet Police: How Crime Went Online, and the Cops Followed’ Des méthodes parfois discutables
solutions 06 12 13 22
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solutions Belgacom m2m factory Atout efficacité solutions Belgacom Business TV Services TV en gestion propre solutions Datacenters Belgacom products Desktops mobiles Découvrez les dernières phablets pour les applications professionnelles mobiles solutions Belgacom Privilège Un service VIP exclusif et personnalisé solutions Belgacom Flashlight Des données techniques aux informations d’entreprise solutions Cisco Jabber Tous vos canaux de communication à portée de main
ditorial Bart Van Den Meersche e Des données qui valent de l’or 08 one on one KBC et OZ Dix questions posées à 2 CIO 34 corporate news TV Partout désormais en HD, Belgacom passe à l’IPv6, les chiffres de Proximus pour la saison des festivals 2013
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Crelan 600 agences pleinement opérationnelles en 3 jours Filip De Ville, IT Infrastructure & Production Manager 14 a.s.b.l. La résidence De Buurt A mélioration des soins et du confort grâce au réseau Belgacom Johan Herrebosch, directeur, et Kristof Janssens, secrétaire 24 Kinepolis Programmez vos soirées cinéma via mobile Stephane Jans, CIO, et Jo De Pelsmaeker, ICT Infrastructure Manager 28 Zone de police des Hauts-Pays Les images ne mentent pas Eric Thiébaut, bourgmestre d’Hensies, et Frédéric Carton, commissaire
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Recherche de valeur ajoutée : à la découverte de nouvelles idées grâce au big data
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Belgacom m2m factory: nouvelle plate-forme as-a-service pour un service m2m end-to-end
Atout efficacité La communication machine-to-machine est une manière fantastique d’automatiser les processus d’entreprise. Mais beaucoup d’entreprises ne tirent pas un profit maximal du m2m parce qu’elles assurent encore en partie manuellement le suivi de leurs appareils ou parce que leurs logiciels d’entreprise ne sont pas compatibles les uns avec les autres. C’est pourquoi Belgacom lance m2m factory, une plateforme cloud qui permet aux entreprises de gérer leurs appareils m2m à distance. Belgacom m2m factory est le premier service platform-asa-service de Belgacom pour les applications m2m. Avec m2m factory, les entreprises peuvent gérer leurs appareils m2m à distance via le cloud, par exemple pour effectuer des mises à jour ou pour les allumer et les éteindre. M2m factory permet aussi de collecter les données d’entreprise issues des machines, d’intégrer des données et de les lier aux logiciels d’entreprise comme SAP, Microsoft CRM et Oracle. Cette intégration intervient avec l’aide d’API et de connecteurs certifiés. Enfin, les utilisateurs de m2m factory peuvent élaborer de nouvelles applications m2m sans travail sur mesure de programmation complexe. Avec ce nouveau service, Belgacom répond aux besoins de secteurs d’entreprise très divers, dont l’automatisation industrielle, asset tracking & telematics, remote monitoring & diagnostics, smart energy & demand response.
Sûre et flexible La nouvelle plate-forme m2m est une solution sûre et évolutive pour toutes les organisations qui exploitent le m2m ou qui veulent s’y mettre. La sécurité y est cruciale car les données critiques de l’entreprise doivent aussi être disponibles sur le cloud, notamment via des connexions fixes et mobiles. La gestion centralisée à distance est synonyme de travail efficace et rentable, et de réaction plus rapide aux problèmes éventuels. Créer et gérer votre communication m2m via une plate-forme cloud vous permet en outre d’innover et de réagir beaucoup plus vite aux opportunités chez vos clients fidèles ou nouveaux.
Belgacom m2m factory Connected assets, accelerated business
Business benefits • Flexibilité •R apport coût-efficacité • Sécurité •T ime-to-market plus court • I nnovation plus rapide
Prêt pour l’Internet des objets M2m factory permet une gestion efficace de vos actifs, une création ultra-rapide d’applications m2m, l’utilisation d’applications m2m et de l’Internet des objets. Comme la plate-forme est parfaitement compatible avec les autres produits et services Belgacom, vous pouvez gérer vos solutions m2m end-to-end Belgacom: la connectivité, vos cartes mobiles (via ‘Belgacom m2m Cockpit’), les appareils ou capteurs m2m, ainsi que la création et la gestion des applications m2m. Nous pouvons aussi vous conseiller sur le matériel le plus approprié.
Plus d’infos ? Pour plus d’informations sur Belgacom m2m factory, envoyez un mail à info.m2m@belgacom.be ou contactez votre Account Manager.
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des organisations européennes se sont déjà orientées vers le big data ou en ont l’intention. Ce pourcentage est légèrement inférieur dans le Benelux où 68 % des entreprises étudient les possibilités du big data, ou en ont l’intention.
des entreprises en Belgique voient le big data comme une priorité dans l’année à venir.
meilleure satisfaction client
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meilleure prise de décision
47 %
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Big data réticence à réaliser les dépenses d’investissement nécessaires
plus de cross-selling
innovation
Avantages concurrentiels du big data selon les répondants (européens) Inconvénients du big data selon les répondants (européens)
33 %
manque d’expertise interne
45 %
32 %
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problèmes plus urgents pour l’IT
manque de capacité de stockage
Au niveau des technologies exigées pour le big data, rien d’étonnant à ce que les principaux problèmes concernent l’analytique (55 %) et le stockage (53 %)
77 %
des sociétés US Fortune 500 ont un compte Twitter actif.
8.629.741 5.965.743 3.813.472 3.381.926 1.757.871
Top 5 des entreprises ayant le plus d’affiliés
(Center for Marketing Research, University of Massachusetts Darthmouth, 2013)
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(Big Data – Beyond the Hype, Vanson Bourne & Interxion Holding NV)
mise sur le marché plus rapide de nouveaux produits et services
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des utilisateurs de technologie portable, comme les Google Glass, ont le sentiment que ces appareils les rendent plus intelligents. (Rackspace/Center for Creative and Social Technology)
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10 questions à 2 CIO 1
Quelle a été votre principale réalisation professionnelle ? La première véritable application bancaire belge via Internet pour la banque CERA, en 1997. Sans connaissance préalable ni expérience des technologies internet, firewalls ou encore RSA, nous avons réussi à lancer les premiers services bancaires en ligne du pays.
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À côté de qui aimeriez-vous un jour vous retrouver dans un avion ? Quelle question lui poseriez-vous ? Mon père, aujourd’hui décédé. Je lui demanderais s’il est fier de ce que j’ai réalisé.
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“ Le stoemp de ma mère est tout simplement incomparable !”
Je ne peux citer aucune marque à laquelle j’ai toujours été fidèle. Mais je sais que le stoemp de ma mère est tout simplement incomparable. Nous avons déjà essayé d’en faire à la maison, sans succès. 4
CIO - Senior General Manager ICT chez KBC
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Qu’est-ce que vos collaborateurs ignorent à votre sujet ? Seuls quelques collègues savent que j’ai guidé beaucoup de groupes en tant que biologiste. La plupart ne savent probablement pas non plus que depuis l’an dernier, je pratique régulièrement le VTT et que j’aime le squash.
Rudi Peeters Personnalité : “Le bonheur ne vous tombe pas dessus par hasard. Il faut pouvoir le saisir”, affirme Rudi Peeters. Ce CIO, curieux d’apprendre, se dit créatif, authentique et optimiste. Il combine sa passion pour l’IT à une bonne dose de sens commercial. Carrière : Rudi commence sa carrière en 1984 à la faculté de botanique de la KU Leuven. Il découvre le monde bancaire en tant que collaborateur IT dans le centre d’information de la banque CERA. En 1997, il lance le premier système bancaire en ligne belge pour lequel il est élu IT-Manager de l’année. Après la fusion avec KBC, il est nommé General Manager IT puis Program Officer Strategic Programs. Par la suite, il occupe le poste de General Manager Marketing Belgique, pour devenir enfin CIO - Senior General Manager ICT pour KBC. Entreprise : KBC Groupe offre des services de bancassurance à sa clientèle retail, private banking, PME et midcap. 1.648 agences bancaires et 481 bureaux d’assurances sont à la disposition des neuf millions de clients du groupe. Collaborateurs : Le groupe emploie près de 37.000 collaborateurs, dont 3.000 pour l’ICT (2.000 développeurs et 1.000 collaborateurs techniques). 1.600 informaticiens sont actifs en Belgique.
À quelle marque êtes-vous fidèle depuis toujours ?
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Quel autre métier auriez-vous aimé exercer ? Probablement une fonction dans une organisation à but non lucratif : Greenpeace, le WWF, une réserve naturelle, Oxfam - Magasins du Monde, Amnesty International … À l’époque, j’ai accompli mon service civil. Au départ, je ne comptais rester qu’un an dans le secteur bancaire.
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Quelle est votre application préférée du moment ? WhatsApp pour communiquer tous les jours avec ma fille qui étudie à Milan. Sur mon iPhone, j’ai une app qui propose des itinéraires VTT. Les apps KBC sont évidemment les meilleures mais il ne me semble pas approprié d’en parler.
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Quel ouvrage (IT) recommanderiez-vous ? ‘Steve Jobs, la biographie’. Et ‘La pensée économique du Che’, un livre découvert cet été à Cuba.
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Quelle est pour vous la principale invention des 20 dernières années ? L’évolution des moyens de transport. Et Internet, mais c’est une réponse cliché. En réalité, je pense surtout aux progrès de la médecine qui nous permettent de vivre plus longtemps avec une meilleure qualité de vie.
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Qu’aimeriez-vous inventer pour vous faciliter la vie ? Une manière d’allonger les journées et d’échapper à la frénésie du quotidien. La vie serait plus facile si l’on trouvait une méthode efficace pour réduire notre consommation.
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vous aviez le choix en tant que manager, préféreriez-vous que vos collaborateurs travaillent à domicile ou au bureau à vos côtés ? Mes collaborateurs ont le choix, mais la moitié d’entre eux préfèrent venir au bureau. Le télétravail à 100 % ne me semble pas idéal. Échanger des idées et débattre est toujours plus facile en face à face. L’interaction me paraît essentielle.
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Dans chaque numéro, One révèle les personnes qui se cachent derrière les fonctions et les titres. Découvrez leurs réponses surprenantes et souvent sources d’inspiration. Qui sait ? La prochaine fois, ce sera peut-être votre tour ... 1
Quelle a été votre principale réalisation professionnelle ? Le projet sur lequel je travaille actuellement. Pour les applications ICT des mutualités libres, nous travaillons avec 90 millions de lignes de codes. Ce n’est plus tenable. C’est pourquoi, l’année passée, nous avons lancé un projet visant à moderniser notre informatique complète sur base d’un logiciel ERP pour l’industrie de l’assurance. Pour ce projet, nous fournissons un budget d’environ 50 millions.
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À côté de qui aimeriez-vous un jour vous retrouver dans un avion ? Quelle question lui poseriez-vous ? À côté de moi à 65 ans. J’en ai actuellement 43. Je pourrais regarder en arrière et ajuster mes projets d’avenir en fonction de mes expériences.
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À quelle marque êtes-vous fidèle depuis toujours ? Aux outils Makita. En vrai bricoleur, j’utilise les appareils professionnels de cette marque depuis plus de vingt ans.
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Qu’est-ce que vos collaborateurs ignorent à votre sujet ? Que j’ai commencé ma carrière professionnelle en 1989 dans le secteur agricole. Je n’oublierai jamais ce temps avec mes camarades. Je devais régulièrement me salir les mains et travailler dans le froid. Je ne peux que recommander à tous les employés de se représenter dans la boue quelques mois …
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Quel autre métier auriez-vous aimé exercer ? Probablement ingénieur système ou analyste-programmeur.
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Quelle est votre application préférée du moment ? Facebook dans la vie privée. J’utilise Twitter et LinkedIn à des fins professionnelles.
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Quel ouvrage (IT) recommanderiez-vous ? ‘Econochoc : comment six chocs économiques majeurs vont influencer votre vie’, de Geert Noels. Je l’ai découvert l’année passée et j’ai été très impressionné par la limpidité des explications sur nos problèmes actuels et futurs.
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Quelle est pour vous la principale invention des 20 dernières années ? Toutes les technologies sans fil, la téléphonie mais aussi les réseaux … Cela nous permet de communiquer avec presque n’importe qui n’importe où dans le monde entier. Notre vie a changé radicalement depuis que nous avons accès à Internet presque partout.
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“ Xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx xxxxxxxxx.”
Qu’aimeriez-vous inventer pour vous faciliter la vie ? Ce serait formidable de pouvoir prévenir les personnes qui nous envoient un e-mail lorsque nous ne sommes pas disponibles au moment même pour leur répondre, comme la tonalité d’occupation d’un téléphone. Beaucoup prendraient alors des mesures immédiatement et résoudraient elles-mêmes le problème pour lequel elles ont envoyé un e-mail.
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vous aviez le choix en tant que manager, préféreriez-vous que vos collaborateurs travaillent à domicile ou au bureau à vos côtés ? Je suis partisan du travail à domicile si la fonction le permet. Mais chez nous, ce n’est pas encore possible. Pour que le télétravail soit acceptable à plus grande échelle, les syndicats doivent comprendre qu’il est dans l’intérêt des employeurs et des travailleurs de travailler dans un contexte de ‘confiance axée sur les résultats’. Ils sont encore beaucoup trop attachés à la pointeuse.
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“ Pour mon premier job, je devais régulièrement me salir les mains.” Steven Slabbinck ICT- Manager OZ
Personnalité : Steven Slabbinck se définit comme un anarchiste orienté résultat. Il encourage ses collaborateurs à prendre des initiatives car c’est de cette façon que les solutions les plus enrichissantes sont trouvées. Carrière : Après ses études en informatique industrielle (A2), il commence à travailler en 1989 en tant que travailleur agricole. Au début de 1990, il travaille comme technicien de maintenance. Deux ans plus tard, il intègre le département IT de Siemens, où des projets d’outsourcing de plus en plus importants lui sont confiés. Il est ensuite nommé COO du groupe Easypay et se retrouve enfin chez OZ. Il y occupe la fonction d’ICT Manager depuis 2011. Entreprise : OZ501 a été créée par la fusion de deux mutualités en 2001. OZ501 appartient au groupe OZ. Les différentes entités sont classées en quatre groupes: la santé, les vacances, la vitalité et le confort. Collaborateurs : Le groupe OZ emploie ca. 1.450 personnes, dont 20 au département IT. OZ fait partie de l’Union nationale des Mutualités Libres (MLOZ). Pour les tâches ICT, OZ et les mutualités neutres et libres font partie de l’équipe M.
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Crelan migre son environnement ICT vers le réseau Explore
600 agences pleinement opérationnelles en 3 jours
Company profile Crelan est le fruit de la fusion des banques Crédit Agricole et Centea. La nouvelle société emploie 3.340 collaborateurs – dont 150 pour le département ICT – et compte 850 agences.
En trois fois douze heures à peine, Crelan a intégré quelque 600 ex-agences Centea dans son environnement ICT. Belgacom a veillé à ce que la migration se passe sans heurt.
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Les fusions et les acquisitions ont un impact important sur l’ICT des entreprises concernées. La fusion du Crédit Agricole et de Centea n’échappait pas à la règle. Le Crédit Agricole a acquis Centea en 2011. Centea, qui appartenait au groupe KBC, devait donc se désengager de l’infrastructure ICT de KBC. Parallèlement, le Crédit Agricole et Centea devaient former une nouvelle entité. “Cette opération représentait une grande économie d’échelle”, explique Filip De Ville, IT Infrastructure & Production Manager chez Crelan. “La fusion nous a permis de passer de 250 à 850 bureaux et de 1.200 à 3.340 collaborateurs. L’activité de Crelan a triplé par rapport à celle de l’ex-Crédit Agricole.”
Tous les bureaux sur une même longueur d’onde Le défi majeur consistait à doter, à court terme, toutes ces agences et tous ces collaborateurs d’une nouvelle plate forme informatique : réseau, matériel informatique et migration des données, le tout simultanément. Une tâche menée à bien en trois fois douze heures seulement. “Cette opération a exigé dix-huit mois de préparation”, souligne Filip De Ville. “L’ampleur et la rapidité d’exécution du projet étaient, selon moi, une première sur le marché belge. Le choix du partenaire s’avérait aussi crucial.” Le choix s’est porté sur Belgacom pour la migration des ex-agences Centea vers le réseau Explore. Pour la mise en œuvre, Belgacom a fait appel à une entreprise sous-traitante, Es@s, qui jouit d’une grande expertise dans le déploiement du matériel informatique.
“ Le timing du projet était déterminant. La migration des agences intervenait en même temps que l’introduction du nouveau nom, du nouveau logo et du nouveau look des agences.” Filip De Ville, IT Infrastructure & Production Manager chez Crelan
Disponibilité centralisée des données et applications Le timing du projet était déterminant. La migration intervenait en même temps que la refonte de l’image de marque de la nouvelle organisation : introduction de Crelan en tant que nouveau nom, avec nouveau logo et relooking des agences. “Il était indispensable que le support ICT s’intègre dans cette démarche pour permettre à toutes nos agences, ex-Crédit Agricole ou ex-Centea, d’offrir un service identique à tous nos clients.” La migration était aussi un passage obligé pour tirer un profit maximal des économies d’échelle liées à la nouvelle organisation. L’ex-Crédit Agricole a adapté ses systèmes pendant deux ans pour pouvoir assumer le support complet
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de Crelan après la fusion avec Centea. Dans la nouvelle configuration, les collaborateurs des agences Crelan utilisent des thin clients. Ils ont accès aux données et aux applications stockées de manière centralisée via le réseau Explore de Belgacom.
Puzzle logistique “Nous disposions de trois dimanches, de huit heures du matin à huit heures du soir, pour boucler le projet”, poursuit Filip De Ville. “Chaque phase du processus avait été préparée en détail, chronométrée et testée dans dix agences. Ces tests incluaient la migration vers le nouvel environnement et le scénario inverse – au cas où nous aurions été confrontés à un problème au cours d’un de ces trois jours.” La préparation impliquait aussi la configuration de l’équipement informatique. L’ancien siège de Centea à Anvers s’est ainsi fait livrer 1.726 thin clients avec écran, clavier et souris, 971 imprimantes et 301 scanners. Après avoir été configurés, les appareils ont été soigneusement réemballés et dispatchés par agence, dans l’ordre fixé par le planning des techniciens pour la migration. Un défi donc sur le plan logistique également !
Un apprentissage utile Pendant trois dimanches consécutifs, 56 techniciens ont pris la route à six heures du matin, avec leur camionnette, pour procéder aux installations. Chaque technicien équipait quatre à cinq agences par dimanche. Dix collaborateurs chargés de l’accompagnement du processus étaient présents au siège central. “Tout s’est passé sans réel problème”, souligne Filip De Ville. “Grâce à l’approche et à la diligence de Belgacom, tout s’est strictement déroulé selon le planning. Mieux encore : je suis convaincu que les leçons que nous avons tirées de ce projet nous permettront, une prochaine fois, d’accomplir un exercice similaire en un seul jour.”
Business benefits • Migration rapide de l’ensemble du réseau d’agences • Interruption ou impact minimal(e) sur l’activité •G estion et maintenance ICT plus efficace grâce à l’uniformisation • Communication performante
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Belgacom Business TV présent dans les hôtels, hôpitaux et maisons de repos
Services TV en gestion propre Si vous travaillez dans le secteur de l’hôtellerie ou de la santé, vous savez certainement que le service et la communication ont une importance capitale aux yeux des clients. La télévision peut vous aider à leur offrir un service de qualité. Pour une gestion simple et efficace, nous vous conseillons d’investir dans un système central.
Dans les hôpitaux comme dans les maisons de repos, patients et résidents n’ont souvent d’autre choix que de passer de longues heures devant la télévision. L’absence du petit écran dans les chambres d’hôtel est également inconcevable. L’offre se doit par conséquent d’être variée. Mais la télé permet aussi de communiquer plus efficacement. Résultat : votre personnel pourra se concentrer sur d’autres tâches – et passer plus de temps à s’occuper de vos clients, patients ou résidents.
emplacement). Enfin, vous pouvez créer votre propre chaîne de télévision interne pour communiquer avec vos clients.
Fibre optique pour un nombre illimité d’appareils Les chaînes TV et radio sont diffusées au moyen d’un câble en fibre de verre et d’un routeur. Cette technologie vous permet de gérer facilement un nombre illimité d’appareils. Le système évolutif peut alors suivre le développement de votre société. Par ailleurs, le réseau répond à d’autres besoins ICT (Internet,
VoIP). Vous exploitez ainsi au maximum le potentiel de votre infrastructure.
Analyse de l’infrastructure Un service TV optimal passe par un réseau local de qualité. Si vous le souhaitez, Belgacom peut réaliser une analyse approfondie de votre infrastructure avant l’installation. Nous vous expliquons ensuite quelles modifications effectuer afin de pouvoir lancer vos services TV. Vous avez par ailleurs la possibilité de sous-traiter l’ensemble de la gestion LAN.
Logiciel de gestion centralisée Vous cherchez une solution centralisée pour gérer les chaînes que vous proposez à vos clients ? Découvrez Belgacom Business TV, une offre dédiée aux acteurs de la santé et aux hôtels possédant au minimum 50 téléviseurs. Cette formule inclut plus de 65 chaînes de télévision – dont un grand nombre en HD – et pas moins de 20 stations de radio. Vos clients ne manqueront pas d’apprécier les chaînes régionales. La simplicité du système est un autre avantage non négligeable : menus simplifiés et télécommande unique pour le décodeur et la télé. Le logiciel vous permet de gérer vos appareils de manière centralisée et de les configurer à distance (individuellement, par groupe ou en fonction de leur
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Business benefits • End-to-end servicing : livraison, y compris installation, configuration et service help desk • Plus de 65 chaînes de télévision et 20 chaînes de radio • Son et images numériques de qualité supérieure • Diffusion d’infos statiques et dynamiques via une chaîne personnalisée • Respect des règles en matière de redevance • Exploitation maximale des avantages du réseau en fibre optique
Plus d’infos ? Pour plus d’informations sur Belgacom Business TV, n’hésitez pas à prendre contact avec votre Account Manager par mail à l’adresse bedigital@belgacom.be ou à vous rendre sur www.belgacom.be/businessTV.
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Datacenters Belgacom
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Power : 25.000 KVA
de la consommation en Belgique
Plus d’infos ? Surfez sur www.becloud.be.
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Parce que ses datacenters sont fiables, Belgacom les utilise aussi pour ses propres besoins: de nombreux espaces de stockage et serveurs, une foule d’activités en ligne et en temps réel, et des données qui restent toutes en Belgique. Profitez vous aussi de ce service !
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La résidence De Buurt pense aux générations futures
Amélioration des soins et du confort grâce au réseau
Company profile La résidence (Woonzorgcentrum) De Buurt compte 72 appartements, 10 places pour un court séjour et un centre pour soins de jour. Le centre emploie 78 collaborateurs.
La nouvelle résidence-services de Zoersel, récemment construite, fait la part belle à la connectivité. Non seulement les collaborateurs, résidents et visiteurs peuvent accéder au réseau (câblé et sans fil), mais ce dernier offre aussi une solution intéressante en matière de TV numérique et de téléphonie IP.
La nouvelle résidence-services De Buurt a commencé à prodiguer des soins de jour peu avant le début de l’été. Le centre, dont l’ouverture a nécessité environ 10 ans de préparation, a été créé à l’initiative de l’a.s.b.l. La résidence De Buurt, qui réunit la commune et le CPAS de Zoersel, ainsi que la c ommunauté Emmaüs. “Le centre de soins s’adresse aux p ersonnes âgées”, déclare Katrien Schryvers, présidente de l’a.s.b.l. La résidence De Buurt. “Il est spécialement dédié aux personnes dont l’état nécessite des soins lourds.” Nous ne s ouhaitions pas que le centre grandisse. Il se compose de quatre sections qui comptent chacune vingt chambres et des parties communes. De grandes baies vitrées donnent au bâtiment un aspect lumineux et aéré. “Nous voulions créer une atmosphère familiale”, indique Johan Herrebosch, directeur du centre. “Nous encourageons les habitants à sortir de leur chambre. Les repas se prennent dans une salle à manger commune et conviviale. Cet espace joue un rôle important dans la vie quotidienne du centre.”
Aspect technologique
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L’aspect technologique a fait l’objet d’une attention toute particulière lors de l’élaboration du projet. “Nous n’avons pas seulement réfléchi en termes de téléphonie”, explique Kristof Janssens, secrétaire de l’a.s.b.l. La résidence De Buurt. “Nous avons aussi tenu compte des besoins ICT du personnel et des résidents. D’ici peu, nous accueillerons des personnes âgées qui avaient chez elles un ordinateur ou une tablette. Ces résidents voudront naturellement retrouver les mêmes installations.”
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La résidence De Buurt
“ Le réseau fait partie intégrante du nouveau bâtiment. Il peut servir de support à presque toutes les applications actuelles et futures.” Kristof Janssens, secrétaire, et Johan Herrebosch, directeur de l’a.s.b.l. La résidence De Buurt
Les responsables du projet ont également cherché une solution pour installer la TV numérique dans les chambres et les espaces communs, sans devoir placer de câble coaxial dans tout le bâtiment. Enfin, il était nécessaire d’installer un système permettant aux résidents de demander de l’aide et de communiquer avec le personnel soignant depuis leur chambre en appuyant sur un bouton.
Point de contact unique La résidence De Buurt a publié un cahier des charges pour l’installation d’un réseau (câble et wifi) et de la TV numérique. Trois sociétés y ont répondu. C’est Belgacom qui a remporté le marché. “Belgacom proposait d’être notre seul intermédiaire, même lorsque d’autres partenaires étaient impliqués”, explique Kristof Janssens. “Cet argument a pesé lourd dans la balance.” Belgacom a finalement installé le réseau câblé et sans fil ainsi que la TV numérique. L’entreprise Geronika, basée à Malle, a livré 87 TV à écran plat. “Le réseau de données est un élément essentiel du projet”, poursuit Johan Herrebosch. “Les plans prévoyaient à l’origine l’installation d’un câble coaxial dans tout le bâtiment. Nous avons pu éviter cela et réaliser ainsi d’importantes économies.” Belgacom a notamment mis en place une solution de téléphonie IP sur le réseau. Les résidents peuvent ainsi conserver leur ancien numéro.
La télévision de demain Le système de TV numérique centralisé occupe également une place importante. Un mini-décodeur fixé au dos du
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téléviseur permet de recevoir le signal dans les espaces communs et dans les chambres. Kristof Janssens nous explique : “Grâce à ce système, les décodeurs ne sont pas visibles pour les résidents. Il évite aussi aux résidents de prendre un abonnement individuel à la TV numérique. Fini les formalités administratives.” Les images passent par le réseau, ce qui permet aussi de créer une chaîne interne. “Les résidents auraient la possibilité d’y consulter le menu du jour. Nous pourrions également utiliser ce système pour créer un affichage dynamique, par exemple dans la cafétéria”, déclare Johan Herrebosch. Le réseau sans fil de Belgacom offre aussi une solution pour les appels infirmiers : le centre a privilégié un système qui envoie les appels sur le smartphone des infirmiers via wifi. Le réseau permet en outre aux résidents et aux visiteurs de se connecter à Internet.
Business benefits •S ystème central pour TV numérique : mini-décodeur dans chaque chambre, pas d’abonnement individuel •T éléphonie IP : les résidents peuvent conserver leur numéro de téléphone •C ontrôle de l’accès au réseau •R éseau câblé séparé •S ystème d’appel infirmier
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Recherche de valeur ajoutée
De nouvelles idées grâce au big data
Executive summary Le défi du big data ne se situe pas au niveau des technologies. Le cloud offre des solutions pour capter et analyser les données. La grande question est de savoir comment et dans quels domaines les entreprises peuvent trouver une valeur ajoutée dans le big data. Bien exploiter le big data exige non seulement une compréhension scientifique, mais aussi une bonne dose de créativité.
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dossier
Le big data aide à résoudre d’anciens problèmes et à développer de nouveaux modèles d’entreprise. Vous êtes-vous déjà demandé comment le big data pouvait être source de valeur ajoutée pour votre organisation ? Quand parle-t-on de ‘big data’ plutôt que de ‘data’ ? Pour faire simple, on parle de big data lorsque les outils classiques de gestion des données ne suffisent plus. L’expression est née en raison de la croissance des volumes de données, mais aussi de la multitude de formats et de la vitesse à laquelle elles apparaissent et disparaissent. Par exemple, il est totalement impossible de rechercher des messages ou vidéos publiés sur les réseaux sociaux dans une base de données classique. Cependant, si l’expression ‘big data’ est à la mode en ce moment, cette évolution n’est pas vraiment inattendue. En soi, la naissance du big data remonte au début d’Internet et de la numérisation des documents, photos, musiques, vidéos, etc. L’arrivée du Web 2.0, du cloud et de l’Internet mobile a largement accéléré le processus. Pour ne citer qu’un exemple : cent heures de vidéos sont publiées chaque minute sur YouTube.
Idées neuves Capter et stocker de gros volumes de données n’est pas un problème. Les outils et la puissance de calcul, disponibles dans le cloud, ne manquent pas non plus. Le grand défi concerne plutôt l’analyse du contenu du big data. Les entreprises prennent peu à peu conscience des données dont elles disposent. Il s’agit maintenant de répondre aux vraies questions à partir de ces données. L’analyse du big data peut permettre à votre organisation d’améliorer les performances de ses processus. Le big data est encore plus intéressant lorsqu’il conduit à une idée totalement neuve. C’est le Saint-Graal actuel : développer de nouvelles activités grâce à des données disponibles mais restées inexploitées jusqu’à présent, et dont on n’avait pas encore découvert la valeur intrinsèque.
La vraie question L’enjeu central du big data reste évidemment de savoir comment et dans quels domaines les entreprises peuvent trouver une valeur ajoutée. En gros, il existe trois grands domaines d’application. Une organisation peut exploiter le big data pour accélérer et améliorer la précision de son informatique décisionnelle. Plus l’exercice comprend de paramètres, plus la qualité du résultat obtenu augmente. Un second domaine concerne tout ce qui touche au design industriel. Le big data peut conduire à des solutions neuves ou améliorées. Le troisième grand champ d’application du big data concerne le marketing et l’interaction avec le consommateur. On parle ici de solutions en matière de shopping en ligne, publicité mobile, paiements mobiles, etc. Belgacom est actif dans ce domaine, notamment via le Mobile Wallet, une solution imaginée en collaboration avec BNP Paribas Fortis. Comparable à un portefeuille mobile intégrant dans des applications les paiements mobiles, tickets virtuels, e-coupons et programmes de fidélité, Mobile Wallet est la première solution ‘in-app commerce’. Mobile Wallet garantit une grande facilité d’utilisation et un haut niveau de sécurité. Belgacom remarque d’ailleurs que l’intérêt pour le big data croît rapidement sur le marché professionnel. Le cloud est un élément essentiel de cette évolution, parce qu’il repousse les limites en matière de stockage et de puissance de calcul. À terme, Belgacom devrait dès lors offrir des outils de big data via le cloud. Belgacom veut aujourd’hui dialoguer avec un maximum de clients afin de mesurer le plus précisément possible la valeur ajoutée du big data pour les deux parties.
Approche et créativité L’exploitation du big data exige une nouvelle approche des données qui va au-delà du stockage des données et de l’informatique décisionnelle. Les ‘data scientists’ ont un rôle primordial à jouer dans ce contexte. Le profil de ces spécialistes des données est bien spécifique : mathématiciens, statisticiens ou autres scientifiques, ils combinent leur expertise à des connaissances très particulières, par exemple en matière de gaming ou de mobilité urbaine. Leur méthode d’analyse des données est totalement inédite et ils sont capables de combiner des données qui n’ont à première vue aucun lien, comme des données sociodémographiques et de réseau. Ils doivent aussi faire preuve de créativité, car leur approche peut conduire à des modèles d’entreprises complètement nouveaux.
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Jan Sonck, Director Solutions Business Development chez Belgacom
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round table
Big data Répondre à la vraie question Le ‘big data’ est un des termes ICT les plus en vogue du moment. Et à raison. Les organisations prennent conscience que leurs données peuvent être des informations précieuses ou, encore mieux, qu’elles peuvent servir de base à de nouveaux modèles d’entreprises. One a interrogé quelques entreprises à ce sujet. Qu’en font-elles? Comment procèdentelles ? Quelles sont leurs attentes pour l’avenir ? Découvrez leurs réponses. Rendez-vous est donné au NetCenter Belgacom d’Evere. Ce n’est évidemment pas un hasard. “Nous analysons depuis très longtemps les gros volumes de données”, explique Jan Sonck, Director Solutions Business Development chez Belgacom. “Il y a d’une part les données sur l’utilisation de nos réseaux et plates-formes, et d’autre part les données de profil de nos clients. Les informations obtenues en croisant ces deux banques de données nous permettent d’améliorer considérablement nos services.” Le big data présente un double intérêt. Le premier concerne l’analyse des données en vue d’améliorer les processus actuels. Le second va beaucoup plus loin : il s’agit du croisement entre des ensembles de données moins évidents et du développement de nouveaux modèles.
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“ Nous combinons des ensembles de données pour améliorer visiblement nos services. Le big data est exploité dans l’intérêt du client.” Jan Sonck, Director Solutions Business Development chez Belgacom
“Tout le monde n’est pas conscient des possibilités du big data. Or il faut les connaître pour se poser la bonne question et y répondre via le big data.” Lea Winkeler, cadre chez Toerisme Vlaanderen
Analyser le profil de nos visiteurs
La vraie question
“Nous recherchons actuellement une méthode qui nous permettrait d’exploiter le big data dans le cadre du reporting”, poursuit Lea Winkeler, cadre chez Toerisme Vlaanderen. “Nous programmons toute une série d’événements à l’occasion de la commémoration de la Première Guerre mondiale. Nous voulons savoir d’où viennent les visiteurs, ce qu’ils font, comment ils voyagent, ce qu’ils dépensent, etc. Y compris pour les événements de masse pour lesquels il n’y a pas de tickets d’entrée à compter.” Le big data – en collaboration avec une société comme Belgacom – est probablement la solution. “Une piste éventuelle consisterait à exploiter les données de localisation et de roaming, et à identifier ainsi les diverses tendances.” Cela permettrait à l’avenir à Toerisme Vlaanderen de mieux encadrer ce genre d’événements.
“Dans le contexte du big data, la vitesse est également essentielle”, souligne Philippe Haenebalcke, Director Innovation & Strategic Partnerships chez Bisnode. “Nous soutenons le data driven marketing des annonceurs, notamment en combinant les données de marketing direct et les données de référence. Nous y ajoutons de l’intelligence et élaborons des campagnes multicanaux qui mènent au cross-selling et à l’upselling.” L’analyse des big data nous permet de réagir beaucoup plus vite. Cependant, la clé de la réussite pour une entreprise est de trouver la réponse à la vraie question. Que veut-elle précisément savoir ? “À l’heure actuelle, cette question constitue probablement un obstacle pour de nombreuses entreprises”, ajoute Lea Winkeler. “Tout le monde ne connaît pas les possibilités du big data. Or, pour pouvoir poser la bonne question, il faut aussi les connaître.”
Meilleurs services “Cette constatation est importante”, pense Filip Jennen, directeur chez Tele’Train Belgique. “Nous aidons les organisations à créer une interaction optimale avec leurs clients. Ce n’est pas une question de données ou de produit, mais plutôt de se demander comment une entreprise peut améliorer l’expérience client.” L’analyse du big data ouvre de nouvelles perspectives dans ce contexte. “C’est vrai”, renchérit Wout Dockx, General Manager Audience Measurement & Insights chez GfK Belgium. “Nous analysons les indices d’écoute à l’aide d’appareils que nous installons chez les gens. Mais imaginez si les fournisseurs de TV numérique nous donnaient accès à l’ensemble des données qui concernent les habitudes des téléspectateurs. On se retrouverait dans un monde du big data qui nous offrirait une foule de possibilités nouvelles.”
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Un large champ d’application Si les avis sur le potentiel du big data sont unanimes, les exemples d’applications pratiques restent peu nombreux. Philippe Haenebalcke n’est pas de cet avis. “Dans notre cas, la question est très claire. Quel est le but de la stratégie marketing de l’annonceur ? Mais aussi : quelles sont les attentes du consommateur vis-à-vis de ce dernier ? Le big data pourrait permettre à l’annonceur de transmettre son message au consommateur de manière très ciblée, par exemple en combinant les données sur les habitudes télévisuelles aux données issues de systèmes CRM et aux données sociodémographiques.” Le champ d’application du big data ne se limite bien sûr pas au marketing. Filip Jennen : “On peut exploiter le big data dans de multiples domaines. Le big data pourrait ainsi contribuer à une meilleure estimation du rendement
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round table “ Les données servaient autrefois à améliorer les processus. Aujourd’hui, elles sont un moteur important pour l’entreprise.” Philippe Haenebalcke, Director Innovation & Strategic Partnerships chez Bisnode
“ Il ne s’agit jamais d’une question de données, mais bien de toujours se demander: comment une organisation peut-elle améliorer l’expérience client?”
“ Une des principales opportunités du big data : croiser les indices d’écoute avec d’autres ensembles de données.” Wout Dockx, General Manager Audience Measurement & Insights chez GfK Belgium
Filip Jennen, directeur chez Tele’Train Belgique
d’un investissement.” Un thème qui se révèle important pour Toerisme Vlaanderen. Lea Winkeler : “Si le big data nous permettait de comprendre l’impact d’un événement sur l’économie locale, nous pourrions ensuite appliquer ce modèle ailleurs. Cela constituerait aussi une forme de service pour les administrations.”
Données à portée de main En fin de compte, le service reste le maître mot. Mais comment améliorer un service grâce à un ensemble de données ? Et de quelles données doit-il s’agir ? “La question est tout à fait pertinente”, affirme Jan Sonck. “La comptabilité d’une organisation dispose d’énormément de données. Mais quelle en est la valeur ? Peut-on les combiner à d’autres données ?” Et le cas échéant, qui dispose de ces autres données ? Wout Dockx : “Un bureau d’études peut certainement jouer un rôle déterminant. Car dans la pratique, il ne sera pas possible de combiner n’importe quels ensembles de données. Quand le croisement est possible, il est impératif d’utiliser des échantillons de haut niveau qualitatif.” Parfois, des données précieuses se trouvent aussi à portée de main. Dans le cas des apps de running de Nike et d’Adidas par exemple, ce sont les utilisateurs eux-mêmes qui fournissent volontairement des données. Ces applications permettent aux coureurs de partager des infos sur leurs parcours et performances, mais elles aident aussi les fabricants à créer de nouvelles chaussures et à multiplier les ventes.
elles constituent un moteur important pour l’entreprise. Nous entrons dans une époque où les entreprises communiqueront de façon très ciblée avec leurs clients, en fonction du moment et de l’endroit où ils se trouvent.” Autrefois, les annonceurs ciblaient uniquement le profil moyen du ‘client’. Via le big data, ils peuvent cibler chaque profil individuellement. Wout Dockx : “Cette réalité offre de nouvelles possibilités. Quand tout est numérique, l’entreprise peut aussi contrôler le succès de sa campagne en temps réel.” La transparence du processus a toute son importance. Il faut laisser au consommateur le choix de participer à ce système.
Cadre éthique Les autorités se penchent dès lors sur la définition d’un nouveau cadre légal autour du big data et de la vie privée. Car il est évident que peu à peu, elles deviendront un utilisateur important des applications basées sur le big data. Elles disposent d’ailleurs déjà de nombreuses données : sur tous les citoyens, toutes les entreprises, le trafic, la santé publique, etc. La vie privée est bien entendu un aspect qu’il faut garder à l’œil. Le cadre éthique du big data ne devrait absolument pas constituer un obstacle, bien au contraire. Filip Jennen : “Reste évidemment à savoir dans quel but vous voulez exploiter le big data. Cette source d’informations peut notamment améliorer le fonctionnement des services publics. Mais en ce qui concerne l’exploitation commerciale des données, nous avons clairement besoin d’un bon cadre légal.”
Du client moyen au profil individuel L’exemple montre combien le big data modifie les modèles d’entreprises traditionnels. Philippe Haenebalcke : “Autrefois, les données servaient à optimiser les processus en place. Aujourd’hui,
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products
Desktops mobiles Samsung Galaxy Note 3
Acer Liquid S1
Doté d’un grand écran et du fameux S-Pen de Samsung, ce concentré de technologie est l’outil idéal pour consulter vos fichiers, éditer vos documents et prendre des notes, partout, tout le temps.
Acer Liquid S1 : un système d’exploitation moderne et un grand écran à prix raisonnable.
Une phablette pour voir et concevoir
Un écran maxi à prix mini
La sortie du Galaxy Note 3 n’est pas passée inaperçue sur le marché en pleine expansion des phablettes. Téléphones géants pour les uns, mini-tablettes pour les autres, ces smartphones dont l’écran dépasse 5 pouces (13 cm) combinent les avantages des deux appareils. Son grand écran AMOLED, plus lumineux, procure un confort d’utilisation accru. Où que vous soyez, plus rien ne vous empêche de consulter vos documents de travail des heures durant. Le S-Pen amovible, accessoire par excellence de la gamme Note, est idéal pour les utilisateurs qui veulent aussi créer du contenu. Samsung n’a pas lésiné sur la connectivité : 4G, NFC et le tout nouveau wifi. Le Galaxy Note 3 est aussi compatible avec la nouvelle smartwatch du géant coréen : vous pouvez ainsi consulter vos rendez-vous et lire vos messages en un clin d’œil, sans devoir sortir votre smartphone ou votre phablette.
Le nouveau Acer Liquid S1 est une phablette abordable. Même si sa résolution est inférieure, niveau taille, son écran HD de 5,7” (720p) n’a rien à envier au Galaxy Note 3 et autres modèles haut de gamme. Acer a de toute évidence joué la carte de la simplicité et du prix, en témoigne la mémoire 8 GB (dont 1 GB de RAM). Le lecteur de carte SD (max. 64 GB) et l’accès gratuit à AcerCloud offrent toutefois des possibilités de stockage supplémentaire. Le S1 tourne sous Android 4.2.2 et embarque une caméra 1080p ainsi qu’un appareil photo doté d’un détecteur de sourire et d’un grand objectif F2.0. Par ailleurs, Acer a ajouté sa touche personnelle à l’interface Android avec l’option Float, qui permet à des apps comme la calculatrice ou l’appareil photo de se superposer aux autres. Idéal pour le multitâche.
Samsung Galaxy Note 3
Acer Liquid S1
Processeur : Quad Core 2.3 GHz
Processeur : Quad Core 1.5 GHz Cortex-A7
Système d’exploitation : Android 4.3
Système d’exploitation : Android 4.2.2
Mémoire : 32 ou 64 GB (3 GB RAM)
Mémoire : 8 GB (1 GB RAM) et lecteur de carte microSD
Écran : Super AMOLED 5.7” touchscreen
Écran : 5.7” TFT touchscreen capacitif
Résolution : 1920 x 1080 pixels
Résolution : 720 x 1280 pixels
Batterie : 3.200 mAh
Batterie : 2.400 mAh
Dimensions : 151 x 79 x 8.3 mm
Dimensions : 162 x 83 x 8 mm
Poids : 168 g
Poids : 195 g
Compatibilité : GPRS, 2G, 3G, 4G, NFC, 802.11ac
Compatibilité : 2G, 3G, HSPA+, wifi 802.11n
Bluetooth : 4.0
Bluetooth : 3.0
Caméra : capteur photo 13 MP, Smart Stabilization
Caméra : capteur photo 8 MP, autofocus, flash LED
Autres : S-Pen, Swipe, Dropbox 50 GB
Autres : DTS sound enhancement, Dual SIM (option)
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solutions
Belgacom Privilège
Un service VIP exclusif et personnalisé Bénéficier d’un service VIP lors de cocktails ou de concerts, c’est bien. Retrouver ce service quand votre tablette ou votre smartphone tombe en panne, ou lorsque vous avez rapidement besoin d’une nouvelle connexion internet, c’est encore mieux.
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Suivi continu En tant que membre Privilège, vous êtes certain que vos questions et vos problèmes sont traités rapidement. Votre personne de contact assure un suivi rigoureux de vos demandes, du début à la fin. Lorsqu’un dossier est clôturé, nous procédons à des contrôles de qualité pour garantir un résultat optimal. Mais ce n’est pas tout : votre personne de contact effectue régulièrement un check-up proactif de votre infrastructure, de vos abonnements et de vos plans tarifaires. Vous êtes donc sûr de bénéficier des produits Belgacom les mieux adaptés, en Belgique comme à l’étranger.
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événements sportifs ou culturels sponsorisés ou organisés par Belgacom, qui correspondent bien entendu à vos centres d’intérêt. C’est notre manière de vous remercier de votre confiance.
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Kinepolis choisit l’évolutivité avec vContainer
Programmez vos soirées cinéma via mobile
Réserver vos places avec un smartphone ou une tablette alors que vous êtes encore au restaurant, prêt à passer au dessert ?
Met smartphone of tablet tickets bestellen, C’est possible chez Kinepolis. Pour garantir terwijl u op restaurant nog aan het dessert zit? la disponibilité et les performances du Bij Kinepolis kan dat. Om de beschikbaarheid système de réservation, Kinepolis mise sur en performantie van het bestelsysteemvContainer, te la solution pour centres de garanderen, rekent Kinepolis op de virtuele données virtuels de Belgacom. datacenteroplossing vContainer van Belgacom.
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Kinepolis Créé en 1997, le Groupe Kinepolis était loin d’être un novice dans le monde du cinéma, qu’il fréquentait depuis les années 1960. Kinepolis a toujours cherché à innover ; rien d’étonnant donc à ce que le groupe comprenne très vite le potentiel des ventes de billets en ligne. En 2007, Kinepolis a été le premier à proposer le choix des places lors de la réservation des tickets en ligne. “La vente de billets en ligne présente deux avantages”, explique Stephane Jans, CIO de Kinepolis. “Tout d’abord, elle offre plus de confort à nos visiteurs, qui peuvent acheter tranquillement leurs tickets et réserver les places de leur choix depuis leur domicile. Les clients peuvent ainsi profiter pleinement de ce moment de détente. Ensuite, nous vendons moins de billets sur place, ce qui permet à nos collaborateurs de se consacrer aux activités à plus grande valeur ajoutée.”
De Pelsmaeker. “La possibilité d’intégrer facilement Explore et vContainer présentait pour nous un avantage non négligeable.” Grâce à vContainer, Kinepolis n’a pas à s’inquiéter d’une augmentation rapide des ventes via mobile. “Nous croyons en ce concept : la technologie actuelle des appareils mobiles nous permet de le mettre en place, et il améliore le confort de notre public”, conclut Stephane Jans.
Réserver via mobile Kinepolis vend aujourd’hui près de 30 % de ses places en ligne, un pourcentage appelé à progresser. “Les appareils mobiles jouent un rôle important dans cette évolution”, souligne Stephane Jans. “Nous avons développé une application qui permet à nos clients d’acheter leurs places via leur smartphone ou leur tablette. Cette app devrait accroître le nombre d’utilisateurs de nos systèmes, mais aussi allonger le pic de réservation.” Ce pic se situe actuellement vers 18 heures, au moment où les clients décident généralement de programmer une soirée cinéma. L’accès aux systèmes de réservation via mobile pourrait intensifier ce pic, mais aussi le déplacer dans le temps. “Les spectateurs pourraient être plus nombreux à réserver leurs places via mobile juste avant le début du film, voire en étant déjà sur place, pour éviter les files d’attente aux caisses”, poursuit Stephane Jans.
Capacité flexible garantie La vente de billets en ligne suit une courbe ascendante. Kinepolis veut pouvoir garantir la même qualité de service à ses clients, peu importe quand et comment les ventes en ligne progresseront. “Pour gérer un pic de réservations imprévu et difficile à estimer, nous avons besoin d’une capacité élastique”, commente Jo De Pelsmaeker, ICT Infrastructure Manager chez Kinepolis. Un constat qui a obligé Kinepolis à se poser la traditionnelle question IT : comment investir dans une infrastructure sans connaître au préalable la capacité requise ? Si la solution est trop limitée, des problèmes de qualité se poseront inévitablement en période de pointe. Si elle est suffisante pour absorber les pics, ses capacités seront largement sous-exploitées le reste du temps.
Gérer les pics grâce à vContainer Kinepolis a trouvé la solution grâce à vContainer de Belgacom : un service cloud grâce auquel le groupe cinématographique dispose d’un centre de données virtuel, personnel et flexible chez Belgacom. “C’est nous qui déterminons l’évolutivité de la solution”, précise Jo De Pelsmaeker. “vContainer nous permet de gérer très facilement les pics de réservations. Et quand le trafic en ligne diminue, il nous suffit de déconnecter temporairement vContainer.” La solution n’exige aucun investissement de départ dans une capacité surdimensionnée. Kinepolis paie le service en fonction de l’utilisation qu’il en fait. Autre avantage : la solution était facile à intégrer dans l’environnement IT global de Kinepolis. “Nos complexes sont reliés via Belgacom Explore”, explique Jo
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“ Avec vContainer, nous pouvons gérer les pics de réservations du système de vente en ligne, sans investissement préalable dans une infrastructure spécifique.” Jo De Pelsmaeker, ICT Infrastructure Manager, et Stephane Jans, CIO chez Kinepolis
Company profile Le Groupe Kinepolis propose un concept de pointe particulièrement novateur dans 23 cinémas p artout en Europe. Le groupe est également actif dans la distribution cinématographique, l’organisation d’événements, les écrans publicitaires et la gestion immobilière, ainsi que dans la vente et l’installation de matériel pour salles de cinéma. Kinepolis emploie 1.800 collaborateurs et accueille chaque année 20 millions de visiteurs.
Business benefits •P as d’investissement préalable dans une infrastructure spécifique pour gérer les pics de réservations • Évolutivité •S ystème disponible et performant
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Les entreprises savent que le big data constitue une mine précieuse d’informations. Mais elles ne maîtrisent pas toujours bien le concept. “Ce n’est pas une question de technologie”, commente Ada Sekirin, de Business & Decision. “Le big data est directement lié à la stratégie : c’est à qui survivra ou disparaîtra.”
“ Les dinosaures font place à d’autres espèces” Ada Sekirin, vice-présidente de Business & Decision
Identikit Ada Sekirin est née en Russie. Elle est arrivée en Belgique à dixsept ans, fin des années septante. Elle a étudié l’informatique à l’ULB. Une fois son diplôme en poche, Ada Sekirin travaille quelque temps comme consultante dans le secteur financier. En 1994, elle lance sa propre entreprise, Flux Consultancy, essentiellement axée sur la Business
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Intelligence. Fin 2001, la société est reprise par Business & Decision. Ada Sekirin reste aux commandes et est aujourd’hui responsable des activités de Business & Decision au Benelux et en Europe de l’Est. Ada Sekirin est mariée et a quatre filles. Début 2013, la revue ICT Data News lui a décerné le titre d’ ‘ICT Woman of the Year’.
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people & vision Business & Decision est le secret le mieux gardé du secteur ICT belge. Depuis 1994, la branche belge de l’entreprise a é volué pour devenir un acteur essentiel du marché. En Belgique, 350 collaborateurs travaillent pour Business & Decision Consult et Business & Decision Life Science. Les activités de l’entreprise se concentrent sur la consultance en Business Intelligence, CRM et e-business, notamment pour les organismes financiers, les détaillants, les pouvoirs publics … “L’ICT va être confronté à un véritable Armageddon”, souligne Ada Sekirin. “En fait, il y est déjà plongé. Certains dinosaures seront appelés à disparaître. C’est inévitable.” La mutation s’explique par une évolution radicale dans le monde de l’ICT : l’avènement du cloud. Toutes les grandes tendances du secteur y sont liées. “Je pense aux ‘digital natives’ qui débarquent aujourd’hui dans les entreprises ; des gens qui abordent l’ICT autrement, qui ont d’autres attentes.”
“ Le big data pose un nouveau défi. La priorité n’est plus aux processus internes, mais à l’expérience du client : la customer experience.” Ada Sekirin, vice-présidente de Business & Decision
Plus proche du business Le cloud a généré des écosystèmes qui simplifient fortement les enjeux de l’ICT. “Dans un cloud, il suffit de quelques clics pour installer un nouveau serveur. Avant, il fallait attendre pendant des semaines la livraison d’une machine physique. Les entreprises n’ont pas encore bien intégré que pour la nouvelle génération, la vitesse et la simplicité des solutions cloud sont désormais la norme.” Certaines ne leur font pas encore totalement confiance. Selon Ada Sekirin, ces entreprises sont face à un choix très simple : s’adapter ou disparaître. “L’ICT doit être plus proche du business et doit donc lui apporter une valeur ajoutée concrète ; je constate que l’idée progresse. L’ICT doit réellement être axé sur l’amélioration du business.”
Évolution de la standardisation Actuellement, deux facteurs freinent encore l’ICT. “La capacité des réseaux et la vitesse de transfert de gros volumes de données restent un problème. À terme, il est certain que nous trouverons une solution. Il en va de même pour la standardisation des échanges de données.” L’utilisation de la norme XBRL par le monde financier marque un pas dans la bonne direction. “Sauf que chaque secteur ne doit pas mettre en place ses propres normes. Nous avons besoin d’une norme unique qui domine toutes les autres.” Pour Ada Sekirin, les risques liés à la sécurisation, qui freinent le passage des entreprises au cloud, sont un mauvais prétexte. “Avec de la volonté et de la conviction, la sécurisation n’est pas un obstacle significatif. Nous le constatons clairement auprès des banques qui ont choisi le cloud.”
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Une nouvelle expérience Les défis actuels du cloud s’appliquent également au big data. “Nous manquons aussi de normes standard dans ce domaine”, signale Ada Sekirin. “La plus grosse difficulté consiste cependant à trouver un bon business case.” Les entreprises prennent peu à peu conscience du type de données dont elles disposent, mais elles ne savent pas encore très bien comment les valoriser. “Bien sûr, il existe déjà de nombreux concepts intéressants pour les projets de big data, mais la pratique actuelle reste limitée aux ‘use cases’ de petite envergure. L’idée selon laquelle le big data peut représenter une valeur ajoutée fait toutefois son chemin.” La difficulté, estime Ada Sekirin, est due au fait que le big data exige une approche différente. “Les entreprises ont toujours eu recours aux informations pour améliorer leurs processus internes. Elles disposent aussi d’informations externes – par exemple en provenance d’Internet –, qu’elles utilisent dans le même but. Mais pour le big data, le défi est ailleurs. La priorité n’est plus aux processus internes, mais à l’expérience du client : la customer experience. En matière de big data, c’est sur ce terrain que se déroule la lutte.”
Lutte stratégique La question que doit se poser une entreprise est claire : où se trouve la différenciation ? Le big data peut jouer un rôle décisif à cet égard. “Ce n’est pas la technologie qui prime. La lutte se passe sur le plan stratégique. Quand une entreprise sait où elle veut aller, la technique suit quasi spontanément. Par contre, le big data remet en question le modèle d’entreprise et suppose un changement. Et c’est là le défi majeur car, par nature, les gens ne sont pas toujours enclins au changement.”
Conseils à l’intention des CIO Posez-vous la bonne question Que faire de notre big data ? Cette question que se posent aujourd’hui les entreprises n’est toutefois pas la bonne. “C’est la pensée à l’ancienne, comme lorsqu’une entreprise décidait de prendre un entrepôt pour le stockage de ses données. Les choses fonctionnent différemment aujourd’hui ; c’est l’activité qui doit servir de point de départ. Quel but poursuivez-vous ? Une fois ce but défini, vous pourrez commencer à élaborer une solution ICT adaptée.”
Oser et vouloir le changement “Une crise n’est pas nécessairement négative. Elle peut offrir des opportunités et ouvrir des portes qui seraient autrement restées fermées. Et oui, certains dinosaures disparaîtront, mais en laissant la place à de nouvelles espèces.”
Des compétences très féminines Quel n’a pas été l’étonnement – et le plaisir – d’Ada Sekirin en apprenant qu’elle avait été élue ‘ICT Woman of the Year’. “C’est une belle initiative qui encourage les femmes à entreprendre une carrière dans l’ICT. Le secteur souffre encore d’une image assez geek, alors que l’ICT repose aussi sur la communication et la collaboration : deux domaines dans lesquels les femmes excellent.”
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La télésurveillance, nouvelle alliée de la zone de police des Hauts-Pays
Les images ne mentent pas La télésurveillance permet de démasquer les cambrioleurs, agresseurs et autres contrevenants. Grâce à 36 caméras fixes et 6 appareils mobiles, la zone de police des Hauts-Pays a des yeux partout.
“ La technologie moderne au service de la lutte contre le crime.” Le commissaire, Frédéric Carton de la zone de police des Hauts-Pays et le bourgmestre d’Hensies, Eric Thiébaut
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Police des Hauts-Pays
La plupart des gens associent les caméras de surveillance aux grandes villes, aux endroits très fréquentés et aux événements qui attirent les foules. Des cas de figure qui, à première vue, ne correspondent en rien au calme de la zone de police des Hauts-Pays. Mais les apparences peuvent être trompeuses. “La zone de police borde la frontière française sur une distance de 55 km”, explique le commissaire Frédéric Carton. “Nous sommes confrontés à de la criminalité frontalière. Nous constatons également que les criminels utilisent de plus en plus la technologie moderne. La police et les pouvoirs communaux doivent donc garder une longueur d’avance.” Les communes de Dour, Hensies, Honnelles et Quiévrain ont, en collaboration avec le territoire de la zone de police, débloqué un budget destiné au financement d’un système de vidéosurveillance. Parmi les différentes solutions proposées, c’est celle de Belgacom qui a été retenue.
La police veille au grain La zone de police des Hauts-Pays dispose de 6 caméras mobiles qui circulent entre une quarantaine d’endroits au sein de la zone. “Ces appareils sont équipés d’une batterie de 72 heures”, continue Frédéric Carton. “Nous récupérons les images, rechargeons la batterie, puis installons ailleurs la caméra.” Le centre de télésurveillance est situé dans le bâtiment de la police de Dour. La police a recruté trois nouveaux collaborateurs. “Ils passent vite en revue les enregistrements des caméras mobiles”, explique Eric Thiébaut, bourgmestre d’Hensies. “Ils recherchent aussi des images sur demande de la police. Celles-ci sont d’ailleurs conservées pendant un mois. Nous les gardons bien sûr plus longtemps lorsque le Parquet demande certains enregistrements.” Un réseau de 36 caméras fixes permet
Company profile Les Hauts-Pays sont l’une des 195 zones de police de notre pays et englobent les communes hainuyères de Dour, Hensies, Honnelles et Quiévrain.
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par ailleurs à la police de veiller au grain en temps réel. Après s’être chargé de l’installation complète des caméras et des écrans, Belgacom gère aujourd’hui aussi les connexions. Les caméras fixes sont reliées via le réseau Explore, tandis que les appareils mobiles exploitent la technologie sans fil.
Des malfaiteurs démasqués Comme en témoignent les statistiques, ce système contribue à la sécurité de la zone de police. “Il s’agit parfois de petites infractions, comme des dépôts de déchets sauvages ou des cas de stationnement illicite”, explique Frédéric Carton. “Il suffit alors d’envoyer sur place un agent et de constater le délit. Mais les faits peuvent parfois aussi être plus graves. Le cas échéant, les caméras sont susceptibles de fournir des preuves décisives. “C’était le cas lors d’une grosse bagarre, dans laquelle l’auteur des faits niait être impliqué”, explique Eric Thiébaut. “La vidéo permettait toutefois de l’identifier clairement.” Les enregistrements vidéo ont également aidé la police à retrouver des cambrioleurs ainsi que l’auteur d’un accident avec délit de fuite. “Ce système nous aide à lutter contre le crime”, estime le commissaire Carton. “Les caméras mobiles nous offrent la flexibilité dont nous avons par exemple besoin lors de grands événements comme le festival de Dour.” L’usage des caméras au sein de la zone de police n’est par ailleurs pas un secret. “Nous communiquons au sujet des affaires que nous avons résolues grâce aux caméras”, conclut Eric Thiébaut. “Les habitants de la commune savent parfaitement ce pour quoi nous les utilisons. De plus les habitants viennent proactivement demander de placer les cameras mobiles à certains endroits. Il y a donc une réelle collaboration entre la commune, la zone de police et les riverains.”
Business benefits • Flexibilité •C améras avec connexion sans fil •C ontrôle en temps réel
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book review
Police et cybercriminels
Des méthodes parfois discutables L’époque où un braqueur devait rentrer dans une banque pour commettre son méfait est révolue. Aujourd’hui, le voleur est armé d’un PC et opère parfois à des milliers de kilomètres. Les malfrats ont découvert l’Internet. Aucun doute à ce sujet. La police aussi. Hélas, la lutte qu’elle mène contre le crime laisse parfois à désirer.
L’Internet a radicalement changé notre vie : consommation, médias, interactions … Nous avons été les témoins d’une révolution majeure que nul n’aurait pu prédire il y a 15 à 20 ans. Mais la manière dont les criminels agissent et la nature de leurs méfaits ont elles aussi profondément changé. C’est précisément cette évolution et ses conséquences qu’aborde Nate Anderson dans ‘The Internet Police: How Crime Went Online, and the Cops Followed’. Ce journaliste est également rédacteur en chef adjoint d’Ars Technica, un célèbre blog consacré à la technologie, sur lequel il publie principalement des articles sur l’Internet et des questions juridiques et légales. Il a également rédigé des articles pour Wired, The Economist et Foreign Policy.
Far West virtuel Jadis, l’Internet était perçu comme une sorte de no man’s land juridique, u ne version virtuelle du Far West où tout était permis. D’après Anderson, cette époque est révolue. Le Web n’est plus l’apanage des hackers et autres cybercriminels. La police y est bien présente et veille … Une présence massive qui n’est d’ailleurs pas si étonnante. Depuis l’avènement du Web dans le milieu des années ‘90, les activités malveillantes ont connu une progression évidente, qui n’est pas sans effet sur le monde ‘réel’. Pensez par exemple à l’usurpation d’identité, aux vols d’argent virtuels, au cyberharcèlement … Autant de délits qui ont inévitablement poussé le législateur à s’intéresser à la question.
Nate Anderson
Fini l'époque où Internet était un Far West virtuel où tout était permis.
Vie privée Pourtant, l’auteur n’est pas toujours convaincu de l’efficacité des méthodes utilisées par les services de police afin de tenter d’attraper les criminels. Si de nombreux projets sont correctement menés (comme le démantèlement d’un réseau international de pédopornographie, un effort auquel a notamment participé la police belge), les autorités ont beaucoup moins d’emprise sur de multiples autres formes de cybercriminalité (spams, piraterie des œuvres musicales). Pire encore : la manière dont sont combattus bon nombre de ce type de méfaits est souvent plus condamnable que le crime en lui-même, affirme Anderson. L’auteur s’inquiète surtout de l’utilisation démesurée de techniques permettant d’espionner numériquement le citoyen, et de l’impact de cette manière de procéder sur notre vie privée. “Nous avons besoin de la police de l’Internet”, écrit Anderson. “Mais nous devons la tenir à l’œil et surveiller ses méthodes.” Un avertissement sur lequel l’auteur insiste au travers des neuf chapitres de son ouvrage.
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solutions
Sécurité : analyse continue des données
Des données techniques aux informations d’entreprise
Vous vous noyez dans l’énorme volume de données générées par vos systèmes de sécurité ? L’analyse de ces données par des experts se révèle utile pour cibler les investissements requis.
Vos systèmes de sécurité (firewalls, serveurs proxy, intrusion prevention systems (IPS), etc.) fournissent une foule d’informations. Ce flux continu de données (logs) peut vous donner les informations nécessaires pour les reportings légalement obligatoires. Mais ce n’est pas tout. Disposer des bons outils vous permet de détecter les menaces à temps et de réaliser les analyses qui s’imposent.
Services de sécurité : locaux ou via le cloud Belgacom offre une vaste gamme de services de sécurité baptisée ‘Flashlight’. Ces Managed Security Services comprennent notamment un service desk ainsi que des services diagnostics & repair, monitoring, reporting, analyse de la sécurité et gestion de la configuration. La solution SIEM (Security Information & Events Management) et le Log Management font partie intégrante de la gamme Flashlight. Le système est installé localement ou via le cloud.
Fixer des priorités La plate-forme SIEM analyse rapidement tous les événements qui se produisent au niveau de la sécurité ICT de votre entreprise. Ensuite, elle les met en lien pour établir des priorités en cas d’attaque et de risques pour la sécurité. Votre organisation peut ainsi mieux cibler les investissements nécessaires au niveau de la protection informatique.
Monitoring 24/7 SIEM et Log Management servent à gérer les logs et events : stockage, interprétation, corrélations, rapports. Votre entreprise peut ainsi filtrer précisément l’information cruciale pour vos activités parmi une masse de données. La console SIEM filtre uniquement les incidents réels de sécurité et leur donne la priorité selon leur gravité. Les incidents et logs sont par a illeurs analysés et suivis constamment par une équipe d’analystes de la sécurité au sein du ROC (Remote Operations Center) de Belgacom. Vous avez donc la certitude de placer la surveillance de vos systèmes de sécurité entre de bonnes mains.
Business benefits •C oûts opérationnels fixes (OPEX) plutôt que gros investissements (CAPEX) •M eilleur contrôle de la sécurité de votre infrastructure ICT •T ransformation de vos nombreuses données techniques en données d’entreprise •M onitoring et gestion externe 24/7
Plus d’infos ? Pour plus d’infos sur Flashlight de Belgacom, contactez votre Account Manager ou visitez www.belgacom.be/security.
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Nous concrétisons ensemble votre vision de l’ICT Collaboration
De Persgroep opte pour les communications unifiées sur plus de 20 sites
Datacenters
Pietercil accroît sa sécurité d’entreprise et son efficacité grâce à Belgacom Matrix Cube
Luc Verbist, CIO, De Persgroep
Jan Christiaens, CFO, Pietercil
Networks
L’Office National des Pensions maîtrise son informatique avec le monitoring de bout en bout
Digital media
Renmans pilote les écrans promotionnels de 376 boucheries à partir du cloud Thomas Bovy, IT Manager, Quality Meat Renmans
Luc Coppens, Adviseur-Général, RVP
Security
ATS Groep opte pour un plan de reprise d’activité avec solutions de sécurité intégrées Korstiaan Schipper, ICT Manager, ATS Groep
Grâce à Belgacom Explore, vous connectez tous vos sites et êtes prêt à travailler dans le cloud. Mais votre stratégie ICT ne se limite pas à cela : sécurité, big data, nouveau mode de travail, communications unifiées, focus sur votre métier… Ensemble, nous élaborons des solutions innovantes et fiables pour relever les défis ICT les plus variés. Lisez les témoignages clients à propos de nos réalisations et découvrez comment Belgacom peut concrétiser votre vision de l’ICT.
Plus d’info ? Surfez sur www.belgacom.be/ict © Belgacom 2013. Tous droits réservés. Belgacom S.A. de droit public, Bd du Roi Albert II, 27, B-1030 Bruxelles.
Chaque jour plus de possibilités
solutions
Cisco Jabber
Tous vos canaux de communication à portée de main Qu’ils travaillent chez eux ou ailleurs, vos collaborateurs doivent pouvoir être aussi efficaces qu’au bureau. Ils amélioreront ainsi leur productivité et répondront de manière plus flexible aux demandes des clients.
Malgré la multitude des moyens de communication, collaborer efficacement n’est pas toujours simple. Nous perdons en effet un temps précieux à chercher des mails, à téléphoner et à laisser des messages. Les Unified Communications résolvent ces problèmes en coordonnant tous ces canaux de communication. Belgacom propose de les synchroniser via une seule application : Cisco Jabber. Quel que soit votre outil de travail (PC, MAC, tablette, smartphone), Cisco Jabber centralise la gestion de tous les moyens de communication : téléphonie, information de présence, messagerie instantanée, partage de bureau, télé-conférence et vidéo-conférence. De plus, vous avez la garantie que les appareils mobiles – et souvent personnels – de vos collaborateurs sont reliés de manière sécurisée au réseau de votre entreprise.
Des clients satisfaits Jabber offre aux collaborateurs une manière simple et rapide de trouver les bonnes personnes, de voir de quelle manière elles sont éventuellement joignables (téléphone, gsm, mail, chat) et donc de permettre une collaboration plus efficace. Ils obtiennent ainsi une réponse à leurs questions dans les plus brefs délais et prennent des décisions plus rapidement. Dans la mesure où toutes les fonctions sont intégrées, passer d’un moyen de communication à l’autre est un jeu d’enfant. L’utilisateur pose par exemple une question à l’un de ses collègues par instant messaging, ils échangent quelques messages, continuent au téléphone et invitent ensuite un 3e collègue à se joindre à eux pour examiner un document via vidéo-conférence. Grâce à cet excellent travail d’équipe, les clients bénéficient d’un service plus efficace. Résultat : des clients satisfaits, et donc fidèles.
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Business benefits •C ommunication et collaboration plus efficaces •P roductivité accrue •M eilleur service clientèle •É quilibre vie privée – vie professionnelle •S écurisation de chaque appareil mobile
Tout en un Au-delà des Communications Unifiées, Belgacom propose autour de Cisco un service complet : connectivité, LAN, sécurisation, téléphonie IP et managed services, pour un flux de communications optimal et convergent à tout moment. Pour une évolution progressive vers les Communications Unifiées, il est possible d’associer à votre installation de téléphonie IP classique l’application ‘Jabber For Everyone’, vous offrant les fonctionnalités de présence et d’instant messaging sur chaque appareil, sans frais de licence supplémentaires. Une vidéo-conférence sur tablette, PC portable ou ordinateur de bureau ne suffit pas ? Direction la salle de réunion équipée d’un grand écran et du système Cisco TelePresence. Envie de découvrir comment fonctionne cette technologie ? Demandez à Belgacom d’organiser une démonstration.
Plus d’infos ? Pour plus d’informations sur Cisco Jabber, contactez votre Account Manager, envoyez un mail à videoconferencing@belgacom.be ou rendez-vous sur www.belgacom.be/cisco.
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Saison des festivals 2013 :
soleil, musique et SMS Comme le prouvent les chiffres enregistrés lors des festivals de l’été, les amateurs de musique sont aussi les rois du téléphone, des SMS et du surf mobile.
Lors des quelque 40 festivals organisés en Belgique, près de 81.000 heures d’appel et 18 millions de SMS ont transité via le réseau Proximus. L’utilisation des données mobiles est elle aussi clairement à la hausse. C’est Tomorrowland qui détient le record de consommation : ensemble, les 30.000 clients Proximus ont téléchargé et envoyé 696 Go de données (ou 7,74 Mo par utilisateur), soit près de deux fois plus que l’année passée. Viennent ensuite Pukkelpop et Rock Werchter, avec 5,75 Mo et 4,3 Mo par jour et par personne. Pour absorber ce flux énorme, Proximus déploie chaque année des équipes spécialisées qui renforcent le réseau en installant des antennes supplémentaires.
Belgacom passe à l’IPv6 Belgacom introduit depuis novembre le protocole internet IPv6 pour tous les clients résidentiels et les PME possédant un modem B-box 3 et un abonnement Internet Partout ou Internet Office & Go. Déjà 12.000 clients bénéficient aujourd’hui de cette technologie. Pour les gros clients professionnels, le déploiement a commencé début 2013. L’adresse IP est un numéro d’identification attribué à un appareil connecté à Internet. Les adresses IPv6 succèdent aux adresses l’IPv4, pour ainsi dire épuisées, et offrent une réserve d’adresses IP quasi inépuisable.
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TV Partout désormais en HD TV Partout vous permettra désormais de regarder 13 chaînes en HD, dont La Une, La Deux, RTL-TVI, Club RTL et France 2. TV Partout est une app pour PC, tablette et smartphone grâce à laquelle vous pouvez regarder la télé via wifi ou sur le réseau 3G/4G de Proximus.
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