<< Dominique Cuypers Telecom Manager chez H.Essers, assure une collaboration plus efficace entre collègues
technology explained
Le cloud : quoi, comment, pourquoi ?
business magazine for top ict professionals Q2 / juin 2013 • www.onemagazine.be
Let me work the new way
La vision IT de Annemie Depuydt • Impression 3D • Un traitement de faveur pour vos données mobiles • Renmans opte pour le digital signage • Protection contre les attaques DDoS
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<< Dominique Cuypers Telecom Manager chez H.Essers, assure une collaboration plus efficace entre collègues
Le cloud : quoi, comment, pourquoi ?
business magazine for top ICT professionals Q2 / juin 2013 • www.onemagazine.be
Let me work the new way
La vision IT de Annemie Depuydt • Impression 3D • Un traitement de faveur pour vos données mobiles • Renmans opte pour le digital signage • Protection contre les attaques DDoS
Publication de Belgacom Année 7 / numéro 18 / Q2 2013 Éditeur responsable : Belgacom SA de droit public Bld du Roi Albert II 27, 1030 Bruxelles Concept et réalisation : Propaganda SA Imperiastraat 16, 1930 Zaventem www.propaganda.be
Coordination : Charline Briot, Markus Eggermont, Robbin Sacré, Jean-Marie Stas, Dirk Van Dijck Ont collaboré à ce numéro : Olivia Arend, Andrew Beavis, Klaar De Groote, Kristof De Spiegeleer, Davy Goris, Stef Gyssels, Peyo Lissarrague, Frederic Petitjean, Anneke Stoffels, Dries Van Damme, Marc Van de Velde, Filip Van Loock, Frank Van Massenhove Pour plus d’informations, contactez : Robbin Sacré robbin.sacre@belgacom.be ISO 9001 certified Mail naar robbin.sacre@belgacom.be om een exemplaar van dit magazine in het Nederlands te ontvangen.
Le nouveau monde du travail Le nouveau monde du travail est un thème des plus actuels. La formidable attention dont il fait aujourd’hui l’objet est bien sûr entièrement due à la technologie, qui a profondément changé notre façon de travailler. Pour autant que l’on dispose d’une tablette ou d’un smartphone, ainsi que d’une connexion rapide à l’internet mobile, on peut accéder aux applications et aux données de son environnement professionnel, partout et à tout moment. Ce n’est pourtant pas là l’aspect le plus fondamental du nouveau monde du travail. Si nous voulons préserver et améliorer notre place dans l’économie mondiale, nous devons augmenter notre productivité. Si nous voulons pouvoir continuer à financer notre système de retraite, nous devrons aussi travailler plus longtemps. Voilà l’essence du nouveau monde du travail, qui revient à chercher comment organiser le travail différemment. Pour l’employeur, le défi consiste à créer un contexte dans lequel le travailleur sera plus productif et motivé à travailler plus longtemps. Belgacom est le partenaire idéal de votre entreprise à cet égard : il vous offre l’infrastructure et les outils nécessaires pour organiser concrètement le nouveau monde du travail, sans se limiter à la dimension technologique, mais en proposant également le support requis pour répondre aux besoins RH.
Send an e-mail to robbin.sacre@belgacom.be if you want a copy of this magazine in English. Les spécifications techniques sont fournies uniquement à titre indicatif. Belgacom se réserve le droit de les modifier sans avis préalable.
Bart Van Den Meersche, Executive Vice-President Enterprise Business Unit Belgacom Lisez One magazine aussi sur tablette. Rendez-vous sur l’App Store ou sur Google Play et téléchargez gratuitement l’application ou visitez www.onemagazine.be.
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Annemie Depuydt : “Le nouveau monde du travail est une faveur, pas une obligation.”
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Becloud e-Commerce
Votre e-shop en quelques clics
news & views
solutions
06 column Kristof De Spiegeleer Bienvenue dans le nouveau monde du travail 07 cockpit Facts & Figures 30 people & vision Annemie Depuydt “ Le nouveau monde du travail est une faveur, pas une obligation.” 34 technology explained Le cloud: quoi, comment, pourquoi ? 39 book review ‘Fabricated: The New World of 3D Printing’ Impression 3D : un monde plein de promesses ? 42 column Frank Van Massenhove Ne parlez pas de temps mais de productivité
12 solutions Belgacom Explore La solution la plus fiable pour votre trafic data 16 products Desktops mobiles & Sélection apps Découvrez les derniers smartphones et apps pour le professionnel mobile 28 solutions Protection contre les attaques DDoS Vous aussi, pris pour cible par les zombies 29 solutions Becloud e-Commerce Votre e-shop en quelques clics 33 solutions Business Priority Demandez un traitement de faveur ! 38 solutions Belgacom Mobile Management Services Un expert s’en charge pour vous
dossier
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Le nouveau monde du travail
Nouvelle culture d’entreprise, nouvel écosystème
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corporate info
XperienceIT2.013 rétrospective
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H.Essers : “La plateforme Microsoft Lync assure une collaboration plus efficace entre collègues, peu importe l’endroit où ils se trouvent et l’appareil qu’ils utilisent.”
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cases
03 editorial Bart Van Den Meersche Le nouveau monde du travail 08 one on one Emakina et Bilfinger ROB 10 questions à 2 CIO. Un regard sur l’homme derrière la fonction 41 corporate info Belgacom remporte l’award Telecom Services Company of the Year, Telindus Luxembourg lance un service de cloud en libre-service, Belgacom à nouveau Top Employer en 2013 et l’événement XperienceIT2.013 rétrospective
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H .Essers “ N ous avons décidé de passer à la téléphonie IP et d’implémenter simultanément une solution qui assurerait une collaboration efficace entre les travailleurs.” Dominique Cuypers, Telecom Manager, et Wouter Schuurmans, Senior System Engineer chez H. Essers
14 Imtech ICT Belgique “ Via le modèle as a service, nos clients peuvent continuer à se concentrer sur leur cœur de métier. Nous leur enlevons une part importante de complexité, ils peuvent ainsi se concentrer sur la véritable valeur ajoutée de leur activité.” Dirk Devoghel, responsable Systems Engineering chez Imtech ICT Belgique
round table
26 Renmans “ Désormais, nos grands écrans informent notre clientèle au sujet de nos différents engagements qualité.” Thomas Bovy, responsable IT chez Renmans
36 Intercommunale Namuroise de Services Publics
“ A ujourd’hui, ce sont les sites d’épuration qui prennent l’initiative de nous indiquer chaque matin s’ils fonctionnent ou pas … et plus l’inverse !” Pol-Henry Lebrun, responsable de la Cellule Télégestion du service de Garde
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La culture d’entreprise détermine le nouveau travail (et inversement)
Équilibre entre travail et vie privée
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Bienvenue dans le nouveau Identikit monde du travail Actif dans le monde de l’ICT, Kristof De Spiegeleer est un ‘entrepreneur en série’ spécialisé dans l’optimisation des technologies liées aux centres de données. Dans son centre d’incubation Incubaid, De Spiegeleer fédère les nouvelles technologies et les connaissances en gestion qui ont été à l’origine de plusieurs start-up technologiques, notamment Amplidata, Awingu, Dacentec et Racktivity. De Spiegeleer est un pionnier de l’évolution vers le cloud computing en Europe.
“ Au lieu de résister au changement, les professionnels RH et les supérieurs hiérarchiques doivent adopter les nouvelles technologies et les utiliser comme outils d’amélioration de la productivité.”
La virtualisation du bureau a permis l’avènement d’une manière plus éclairée de travailler. Les organisations doivent aujourd’hui suivre le mouvement pour en tirer le meilleur parti tout en évitant les effets négatifs. La technologie a énormément évolué ces quatre dernières décennies. Les machines à écrire, photocopieurs bruyants et écrans verts des années 70 ont laissé la place aux tablettes et portables surpuissants. Les travailleurs sont désormais libres grâce aux réseaux wifi et 3G. Les organisations sont devenues flexibles. L’e-mail et les applications critiques, disponibles au bureau comme en dehors, se jouent des fuseaux horaires. Au niveau sociétal, l’avènement du télétravail a contribué à rétablir l’équilibre des sexes au sein de la population active. Le travail à temps partiel permet de mieux concilier travail et vie privée. Aujourd’hui, certains experts estiment que près de 10 % de la population active télétravaille. Une évolution rendue possible grâce à la technologie.
Main-d’œuvre virtuelle et mobile L’un des principaux moteurs de ce changement est l’extension de l’environnement IT traditionnel vers des appareils à distance. Bien que la technologie ait évolué par de nombreuses itérations telles que services de terminaux, clients légers (thin clients) ou plus récemment le bureau virtuel (VDI, virtual desktop infrastructure), la possibilité d’utiliser des bureaux gérés centralement, mais déployés à distance, depuis des appareils de tous formats et de toutes dimensions, favorise une nouvelle façon de travailler. Différents fabricants débattent actuellement des avantages du VDI par rapport à un déploiement classique en termes de coûts de développement directs. Lorsqu’on prend en considération toute une série de facteurs connexes – moins
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d’espace de bureau, de frais de déplacement, de complexité, de personnel de support IT –, la vraie valeur prend vite de l’ampleur. Certains experts suggèrent que les télétravailleurs qui utilisent le ‘cloud’ sont 2 à 4 fois moins chers que leurs collègues au bureau.
Un changement d’attitude La technologie n’est qu’un aspect des choses. Un changement culturel est également nécessaire. Au lieu de résister au changement, les professionnels RH et les supérieurs hiérarchiques doivent adopter les nouvelles technologies et les utiliser comme outils d’amélioration de la productivité. Ce changement doit être fondamental et s’inscrire dans l’ADN de l’organisation. Il ne doit pas être un mouvement souterrain susceptible de provoquer des dégâts involontaires. Des groupes télétravaillant sur un projet commun doivent pouvoir par exemple partager leurs ressources et collaborer de manière structurée. Si leur organisation ne met pas les bons outils à leur disposition, ils se rabattront sur des méthodes ad hoc de type Dropbox ou mots de passe partagés. Ces systèmes D peuvent entraîner des brèches de sécurité et de coûteuses infractions au règlement. Par ailleurs, les organisations doivent développer leur capacité de rétention de leurs investissements en personnel. Une entreprise qui rend la vie difficile à ses employés compétents va perdre des talents au profit de concurrents plus progressistes.La technologie, en particulier les plateformes basées sur le cloud, peuvent contribuer à la promotion d’un lieu de travail plus flexible. Les organisations qui reconnaissent et suivent cette évolution, récolteront les fruits d’une main-d’œuvre productive et engagée.
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IT
en chiffres
On passe en moyenne 66 heures par mois derrière son ordinateur. 160 milliards d'e-mails sont envoyés chaque jour. 97 % sont du spam.
Shopping en ligne Si 70 % des gens affirment faire du shopping en ligne toutes les semaines, seuls 35 % achètent directement sur le site de la marque. Ce serait pourtant moins cher selon 44 % des personnes interrogées. Parmi les inconvénients, relevons le service qui est souvent de moins bonne qualité ou les périodes de garantie plus courtes.
Et si Facebook était un pays ? Chine 1,3 milliard
Inde 1,2 milliard
Facebook 500 millions
Etats-unis 310 millions
Si Facebook était un pays, il serait le troisième plus grand pays au monde avec environ 500 millions d’habitants. Seules la Chine et l’Inde ont une population supérieure avec respectivement 1,3 et 1,2 milliard d’habitants.
Selon Verisign, Internet comptait 252 millions de noms de domaines fin 2012. Soit une augmentation de 26,6 millions en un an. 70 pages par minute. C’est la vitesse à laquelle travaille l'imprimante à jet d'encre la plus rapide au monde. L’Officejet Pro X a été conçue par HP.
22 vs. 7 Vous avez mal aux yeux quand vous travaillez longtemps sur un écran d’ordinateur ? C’est parce que vous clignez moins souvent des yeux que d’habitude. Normalement, la fréquence moyenne est de 22 clignements par minute. Quand on fixe un écran d’ordinateur, les yeux ne clignent que 7 fois par minute, ce qui provoque une sensation de sécheresse et d’irritation.
13,4 milliards Selon Canalys, au cours des trois premiers mois de 2013, 13,4 milliards d’applis ont déjà été téléchargées dans les quatre principaux magasins d’applis : l’App Store d’Apple, Google Play, Windows Phone Store et BlackBerry World.
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10 questions à 2 CIO 1
Quelle a été votre principale réalisation professionnelle ? La création d’Ex Machina en 1991, un bureau de communication spécialisé dans les nouvelles technologies. Il fait désormais partie du groupe Emakina et possède des agences à Bruxelles, Paris, Limoges, Rotterdam, Londres et Genève.
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À côté de qui aimeriez-vous un jour vous retrouver dans un avion ? Quelle question lui poseriez-vous ? Ce n’est hélas plus possible, mais j’aurais aimé que ce soit Steve Jobs. Je lui aurais demandé quand il comptait m’engager.
“ Si vous devez inspirer vos collègues, mieux vaut être dans la même pièce.”
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À Apple. Le décès de Steve Jobs n’a rien changé à cela. Depuis le début, Apple sait qu’il faut jouer la carte de l’expérience totale et continue de le faire. Côté voitures, je suis fidèle à Jaguar… pour la même raison. 4
Brice Le Blévennec
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Qu’est-ce que vos collaborateurs ignorent à votre sujet ? Que je suis aussi écrivain. J’ai commencé à écrire quelques romans, mais je n’ai malheureusement pas le temps de continuer pour le moment. Certaines personnes ne savent pas non plus que je fais régulièrement de la batterie pour me défouler. La musique est très importante dans ma vie.
General Manager Emakina
Personnalité : Brice Le Blévennec est un ‘visionnaire’ au sens propre du terme. Ce manager a horreur des structures d’entreprise obsolètes et des processus inefficaces. Mais il est contre le télétravail. “Si vous devez inspirer vos collègues, mieux vaut être dans la même pièce.” Carrière : En 1991, il fonde le bureau de communication Ex Machina. En 1998, il crée l’agence digitale Ex Machina Interactive Architects, qui fusionne en 2001 avec Emalaya. En 1999, il lance, en collaboration avec quelques partenaires, ContactOffice Group (actif en Belgique, en France, aux Pays-Bas et aux états-Unis). Brice Le Blévennec est actuellement à la tête du groupe Emakina. Entreprise : Emakina se compose des agences Emakina (Bruxelles, Paris, Limoges, Rotterdam, Londres et Genève), Emakina.EU et Emakina/Media (Bruxelles), Design is Dead (Anvers), The Reference (Gand) et YourAgency (Waterloo). Ses activités principales sont la gestion stratégique des marques, l’activation des marques, la création de sites web et le développement d’applications. Collaborateurs : Emakina emploie un total de 450 collaborateurs, et les départements ICT comptent 250 développeurs.
À quelle marque êtes-vous fidèle depuis toujours ?
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Quel autre métier auriez-vous aimé exercer ? Écrivain et créateur de jeux vidéo. J’aimerais aussi consacrer plus de temps à mon “club privé”.
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Quelle est, pour vous, la principale invention des 20 dernières années ? L’Internet, sans hésiter ! Cette invention a radicalement changé notre monde.
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Qu’aimeriez-vous inventer pour vous faciliter la vie ? Un système électronique qui remplacerait les clés. Nous continuons de les transporter partout où nous allons. C’est ridicule. Ce système est moyenâgeux.
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Quelle sera la prochaine tendance dans le monde de l’IT et de la technologie ? Les ordinateurs de poche qui nous accompagneront partout. Et les smart objects. Nous pourrons tout contrôler à distance à l’aide des smartphones et du wifi.
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Comment voyez-vous votre rôle de CIO évoluer au cours des 20 prochaines années ? Quelles seront les compétences de leadership essentielles pour un CIO ? Le CIO devra influencer davantage la gestion de l’entreprise et plus communiquer avec le monde extérieur. Il est grand temps que les entreprises s’adaptent au ‘nouveau monde’. Les structures verticales sont dépassées et les processus inefficaces doivent évoluer.
10 Vous
avez le choix : vos collaborateurs peuvent travailler chez eux ou au bureau ? Que préférez-vous ? Je préfère que tout le monde soit au bureau. Pour collaborer entre spécialistes, il est préférable d’être physiquement rassemblés. Autrement, ça ne marche pas efficacement. L’inspiration mutuelle doit se faire de manière permanente. Le télétravail convient pour les tâches longues ou répétitives, et solitaires.
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Dans chaque numéro, One révèle les personnes qui se cachent derrière les fonctions et les titres. Découvrez leurs réponses surprenantes et souvent sources d’inspiration. Qui sait ? La prochaine fois, ce sera peut-être votre tour ... 1
Quelle a été votre principale réalisation professionnelle ? Depuis 2002, tous les sites sont reliés au siège principal via haut débit. Les îlots individuels font désormais partie d’un seul grand réseau. Tous les logiciels et données se trouvent au siège principal et chacun peut les utiliser.
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À côté de qui aimeriez-vous prendre l’avion et que lui demanderiez-vous ? Barack Obama. Je ne lui poserais pas de question, je le remercierais. J’ai beaucoup de respect pour cet homme et surtout, je me réjouis que des Américains ‘normaux’ se soucient aussi de notre monde.
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À quelle marque serez-vous éternellement fidèle ? Je suis allergique à la fidélité aux marques. Si quelque chose me plaît, je l’achète. Par contre, en ce qui concerne l’IT, je suis fidèle à une seule marque : HP.
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Qu’est-ce que vos collaborateurs ignorent de vous ? J’ai eu une activité complémentaire de DJ pendant 20 ans. Quand je quitte l’entreprise, je profite vraiment de la vie. Je suis également président d’un club de billard.
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Quel autre métier auriez-vous aimé exercer ? J’aurais probablement bâti toute ma carrière dans le monde du divertissement. J’aurais peut-être postulé à la VRT ou travaillé pour un artiste célèbre. J’adore divertir les gens.
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Quelle est la principale invention des 20 dernières années ? La possibilité d’injecter des cellules et matières synthétiques pour accélérer le développement des organes. Cette technique permet d’éviter certaines opérations. L’anesthésie me fait peur, cette invention me paraît donc fantastique.
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Qu’aimeriez-vous inventer pour vous faciliter la vie ? Un filtre anti-spam intelligent pour le téléphone. Il distinguerait les appels des personnes pour qui vous devez être disponible des appels auxquels vous ne voulez pas répondre, ou à certains moments seulement.
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Quelle sera la prochaine tendance dans le monde des technologies et de l’IT ? Nous allons évoluer vers des logiciels libres. Je pense qu’on pourra passer d’un logiciel à l’autre et payer pour les minutes pendant lesquelles on a effectivement utilisé le programme. Les logiciels seront proposés comme c’est le cas actuellement pour les chaînes de télévision.
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Comment voyez-vous votre rôle de CIO évoluer au cours des 20 prochaines années ? Quelles seront les compétences de leadership essentielles pour un CIO ? L’IT a gagné en importance. De consultatif, il est devenu impératif. L’IT est une composante importante des services parce qu’il répond aux souhaits du client. Mais pour des entreprises comme Bilfinger ROB, l’IT n’est pas une nécessité absolue.
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Si vous avez le choix en tant que manager, préférez-vous que vos collaborateurs travaillent à domicile ou au bureau à vos côtés ? Je préfère que mes deux collaborateurs helpdesk soient au bureau. Nos utilisateurs doivent pouvoir s’adresser à quelqu’un personnellement, voir que quelqu’un traite leur problème.
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“ Je suppose que les logiciels seront proposés comme des chaînes de télévision.” Paul Van Horen Manager ICT chez Bilfinger ROB
Personnalité : Paul Van Horen est un Manager IT diplomate pour qui la communication est très importante. Au bureau, il est très strict en ce qui concerne l’organisation et les budgets, mais dans sa vie privée, Paul est un véritable épicurien qui adore divertir. Carrière : Paul a entamé sa carrière il y a quarante ans dans une entreprise de construction navale. Quinze ans plus tard, il s’est inscrit à un graduat en informatique, parce qu’il sentait qu’en Belgique, le secteur de la réparation de navires s’essoufflait rapidement. Engagé par son employeur actuel juste après l’obtention de son diplôme, Paul est responsable du département IT depuis 25 ans. Entreprise : Bilfinger ROB appartient à Bilfinger Industrial Services GmbH (BIS), un fournisseur de services industriels faisant lui-même partie du groupe allemand coté en bourse Multi Service Group Bilfinger SE. L’entreprise est spécialisée dans la fabrication et le montage de systèmes de canalisations et de fours, le montage et l’alignement d’appareils, dispositifs et machines. Collaborateurs : Les 560 membres du personnel proposent des solutions intégrales aux clients. Trois collaborateurs travaillent au service IT interne. Parmi les clients figurent des raffineries, des entreprises du secteur (pétro)chimique, des centrales nucléaires, la sidérurgie …
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H.Essers choisit Microsoft Lync
Une collaboration qui roule
Company profile “ La plateforme Microsoft Lync assure une collaboration plus efficace entre collègues, peu importe l’endroit où ils se trouvent et l’appareil qu’ils utilisent.” Dominique Cuypers, Telecom Manager, et Wouter Schuurmans, Senior System Engineer chez H.Essers
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H.Essers gère 850.000 m2 d’entrepôts, un parc de 1.200 tracteurs et 2.300 remorques. L’entreprise emploie un peu plus de 3.700 collaborateurs, répartis entre 32 sites dans 11 pays d’Europe occidentale et orientale. H.Essers a réalisé un chiffre d’affaires de 393 millions d’euros en 2012.
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H.Essers
Chez H.Essers, la plateforme Microsoft Lync assure une collaboration efficace entre collègues. Après un projet pilote concluant, Belgacom va déployer la solution dans tous les sites belges de l’entreprise. Lync offre en outre une plateforme solide pour l’intégration des acquisitions. Fondée en 1928 par Henri Essers, l’entreprise compte parmi les plus en vue du secteur du transport et de la logistique en Europe, entre autres pour l’industrie chimique et pharmaceutique. Depuis dix ans, H.Essers enregistre une croissance rapide grâce, notamment, à quelques rachats stratégiques. En plus du siège central de Genk, H.Essers possède une deuxième base en Roumanie. L’entreprise mène une stratégie basée sur les actifs et est propriétaire du parc, des entrepôts et des systèmes IT. Elle peut ainsi garder un contrôle optimal sur tous les processus stratégiques et s’adapter rapidement aux nouvelles exigences des clients, ou encore aux changements observés sur le marché international. H.Essers se démarque, entre autres, par l’informatisation remarquable de ses activités : son département IT compte 80 collaborateurs, qui développent des systèmes sur mesure pour la gestion des entrepôts et du transport. L’environnement IT de H.Essers – qui inclut deux data centers, dont elle est aussi propriétaire – repose sur Windows, Citrix et HypverV.
Une intégration poussée Au fil des ans, le développement de H.Essers a entraîné une situation très hétérogène sur le plan de la téléphonie : environ 1.200 lignes fixes et plus ou moins autant de numéros de GSM, des centraux téléphoniques de tous types et de toutes marques, répartis entre pratiquement tous les sites de l’entreprise et tous les pays. “Nous avons décidé de passer à la téléphonie IP et d’implémenter simultanément une solution qui assurerait une collaboration efficace entre les travailleurs”, explique Dominique Cuypers, Telecom Manager chez H.Essers. Après une étude de marché, c’est la plateforme Microsoft Lync qui a été retenue. Lync est la solution de communications unifiées de Microsoft. Belgacom propose Microsoft Lync via un paquet global, y compris la connectivité et les fonctionnalités concernant notamment la vidéo et le centre de contact. “La gestion centrale et l’intégration poussée avec d’autres applications Microsoft - Office, SharePoint, Outlook, CRM et System Center – ont été décisives”,
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poursuit Wouter Schuurmans, Senior System Engineer chez H.Essers. À l’automne 2012, un essai pilote a eu lieu au sein du département IT. Pour garantir une bonne collaboration entre Citrix et Lync, H.Essers a décidé de déployer de nouveaux thin clients lorsque cela s’avérait nécessaire. Cela lui a permis d’opter intégralement pour Lync 2013, en combinaison avec un trajet de SIP trunking d’environ 1.000 lignes téléphoniques. “C’est entre autres ce dernier point qui nous a amenés à choisir Belgacom comme partenaire”, explique Dominique Cuypers. “Belgacom est expert en téléphonie, ainsi qu’en intégration fixe/mobile. De plus, nous utilisons le réseau Explore et étions tout à fait disposés à renforcer la collaboration avec Belgacom.”
Une productivité accrue Selon H.Essers, la valeur ajoutée de Microsoft Lync est surtout liée aux fonctions de présence et de vidéoconférence. Les nombreux collaborateurs de l’entreprise travaillent aussi dans une multitude d’endroits différents : Lync leur permet de savoir immédiatement si leurs collègues sont disponibles et, si c’est le cas, via quels canaux de communication. “L’avantage clé, c’est le gain d’efficacité au niveau de la collaboration, grâce entre autres à l’intégration avec Active Directory et SharePoint. Nous avons aussi réduit nos coûts puisque les frais de déplacement sont moins élevés, et augmenté la productivité, car ce système fait gagner du temps à nos collaborateurs”, explique Wouter Schuurmans. Lync offre aussi une bonne plateforme pour le travail à domicile. Les collaborateurs de garde restent joignables chez eux et ne doivent pas toujours venir au bureau. Lync s’inscrit donc parfaitement dans la stratégie de H.Essers, qui mise sur l’IT pour se différencier de ses concurrents. Le projet a toutefois un impact sur le réseau et le matériel. H.Essers investit dès lors dans son infrastructure afin de déployer Lync dans tous ses sites belges, puis aux Pays-Bas et en Roumanie.
Business benefits •U ne plateforme unique pour toutes les communications : voix, e-mail, fax, instant messaging, présence, vidéoconférence •U ne communication plus efficace – les collaborateurs sont plus faciles à joindre •R éduction des déplacements et des coûts, gain de temps •L a plateforme simplifie l’intégration des acquisitions
Retrouvez d’autres témoignages sur www.onemagazine.be ou plus d’infos à propos de Lync sur www.belgacom.be/lync-fr.
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Plus d’infos ? www.belgacom.be/explore-fr.
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Imtech ICT Belgique compte sur le Belgacom Netcenter
Sécurité d’entreprise as a service Lorsque Imtech ICT Belgique imagine une solution pour un client, elle n’est pas forcément hébergée dans le datacenter de ce dernier. Bon nombre d’entreprises préfèrent une solution as a service dans laquelle Imtech ICT Belgique héberge l’application dans le Belgacom Netcenter de Machelen.
Imtech est un groupe néerlandais qui emploie près d’un millier de collaborateurs en Belgique. Fournisseur de services techniques, Imtech possède en Belgique un bureau d’ingénieurs, une organisation de projets et un département de maintenance. L’entreprise est notamment active dans les immeubles de bureaux, l’industrie, le secteur maritime et les infrastructures routières. L’ICT est une part essentielle de sa stratégie. La division internationale Imtech ICT, active dans 8 pays, constitue un élément différenciateur important dans les activités traditionnelles du groupe. Imtech a développé sa division ICT en Belgique via l’acquisition de Fit IT, Ebit et Thinking Solutions. L’entreprise propose divers services intégrés selon le modèle as a service, et notamment des services de Endpoint Management, Monitoring et Backup.
Se concentrer sur son cœur de métier Les solutions proposées par Imtech ICT à ses clients en Belgique sont en partie hébergées dans le Belgacom Netcenter de Machelen. “Près de la moitié des activités hébergées dans le Belgacom Netcenter sont des applications que nous avons développées pour des clients”, selon Dirk Devoghel, responsable Systems Engineering chez Imtech ICT Belgique. “Les entreprises optent souvent pour des applications hébergées par un tiers car elles sont peu expérimentées dans le déploiement de logiciels pour les utilisateurs finaux. Lorsque les exigences au niveau compliance et sécurité rendent une solution pure cloud impossible, notre approche est une bonne solution.” Outre l’hébergement des applications qu’elle développe, Imtech ICT Belgique propose
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également des solutions as a service basées sur des progiciels comme Cognos et Tivoli Endpoint Manager. Cette approche permet une implémentation rapide de la nouvelle technologie. “Les entreprises n’ont pas toujours la possibilité de renforcer, à court terme, leurs connaissances dans un domaine de niche spécifique”, explique Yves Vannieuwenhuyssen, responsable Sales et Marketing chez Imtech ICT Belgique. “Via le modèle as a service, nos clients peuvent continuer à se concentrer sur leur cœur de métier. Nous leur enlevons une part importante de complexité, ils peuvent ainsi se concentrer sur la véritable valeur ajoutée de leur activité.”
Service à distance Les collaborateurs d’Imtech ICT Belgique travaillent souvent chez les clients ou font la navette entre les différents sites. Pour optimaliser la collaboration entre collègues, ils utilisent des outils de communication tels que Microsoft Lync ou Confluence, la plateforme de collaboration entre équipes d’Atlassian. Dirk Devoghel : “Il est important que nos collaborateurs puissent garder le contact avec leurs collègues et avoir accès aux données et applications utiles de n’importe où et sur n’importe quel appareil mobile.” Dans le datacenter Belgacom, Imtech ICT Belgique a fait évoluer Confluence vers une solution multi-tenant. La plateforme peut donc être utilisée simultanément pour plusieurs clients. “Notre flotte d’appareils mobiles a en outre accès au réseau 3G de Proximus, l’accès aux solutions de nos clients est donc toujours garanti. Un problème surgit ? Nous commençons directement à élaborer une solution, avant même d’arriver chez le client.”
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“ Il est important que nos collaborateurs puissent garder le contact avec leurs collègues et avoir accès aux données et applications utiles de n’importe où et sur n’importe quel appareil mobile.” Dirk Devoghel, responsable Systems Engineering chez Imtech ICT Belgique
Business benefits • Pas d’implémentation ni de maintenance de logiciels • Solution complète en fonction de la sécurité et la compliance • Service rapide à distance
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Company profile Imtech ICT Belgique est une société active dans les domaines suivants : systems engineering, software development et business analytics. En tant que division internationale, Imtech ICT compte 2.750 collaborateurs et réalise un chiffre d’affaires de 630 millions d’euros. La branche belge d’Imtech ICT emploie 85 collaborateurs.
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Prêt au combat
Le Galaxy S4, un téléphone puissant qui a une fois de plus placé la barre très haut pour la concurrence.
Vous envoyez de longs e-mails ou travaillez sur des documents en déplacement ? Un clavier physique vous sera certainement très utile.
Les professionnels attendaient fébrilement la nouvelle génération de téléphones BlackBerry. Avec le Q10, BlackBerry montre que le smartphone moderne peut être doté d’un excellent clavier. Les grands utilisateurs de clavier apprécieront certainement : la sensation de vraies touches est tout simplement différente. Et comme l’écran est plus petit, la batterie dure très longtemps. Le Q10 est muni d’un tout nouveau système d’exploitation, d’un navigateur très rapide, d’une plateforme dotée de son app store, et du BlackBerry Hub, l’application qui centralise tous vos messages. La GUI (Graphical User Interface) offre en outre pas mal de raccourcis qui font gagner du temps.
Le nouvel étendard de Samsung est doté d’un hardware puissant et d’un grand écran lumineux que l’on peut utiliser avec des gants. Il est équipé du nouvel Android 4.2 et de la toute nouvelle interface utilisateur TouchWiz. Les capteurs de température et d’humidité offrent de nouvelles possibilités de logiciels comme les prévisions météorologiques. La nouvelle application S Health est munie d’un podomètre et d’un compteur de calories. Vous pouvez vous filmer ou photographier pendant que vous prenez les autres en photo. Le S4 fait intensivement usage de ses caméras pour vous faciliter la vie. Par exemple, les vidéos s’arrêtent automatiquement quand vous ne regardez plus l’écran, et vous pouvez prendre un appel d’un simple geste de la main.
BlackBerry Q10
Samsung Galaxy S4
Processeur : Dual Core 1.5 GHz Cortex-A9
Processeur : Quad Core Qualcomm Snapdragon 600
Système d’exploitation : BlackBerry 10 OS
Système d’exploitation : Android 4.2 (Jelly Bean)
Mémoire : 2 Go RAM, 16 Go Flash, microSD (jusqu’à 32 Go) + 25 GB pour Dropbox
Mémoire : 2 Go RAM, 16 Go flash, microSD (jusqu’à 64 Go)
Écran : Super AMOLED 3,1”
Écran : écran tactile capacitif Super AMOLED
Résolution : 720 x 720 pixel, 330 ppi
Résolution : 5.0” 1080 x 1920 pixels, 441 ppi
Temps de conversation : 13 heures
Temps de conversation : max. 17 heures
Autonomie en veille : 354 heures
Autonomie en veille : 370 heures
Dimensions : 120 x 67 x 10 mm
Dimensions : 137 x 70 x 8 mm
Poids : 139 g
Poids : 130 g
Compatibilité : 4G LTE, HSPA+, NFC, 802.11 a/b/g/n
Compatibilité : GSM, HSDPA, LTE, 802.11 a/b/g/n/ac, DLNA, NFC
Bluetooth : 4.0
Bluetooth : 4.0
SAR* : 1,16 W/kg
SAR* : 0.42 W/kg
Caméra : capteur photo 8 MP, autofocus
Caméra : capteur photo 13 MP, autofocus, flash LED, webcam 2 MP
Extra : Clavier Qwerty ou Azerty, sortie micro HDMI
Extra : Corning Gorilla Glass 3, microUSB v2.0, capteurs d’humidité et de température
* S AR – Specific Absorption Rate – désigne l’unité de mesure de la quantité d’énergie électromagnétique absorbée par le corps pendant l’utilisation du GSM. La valeur SAR maximale autorisée en Europe est de 2 watts/kg, conformément aux directives de l’ICNIRP.
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Sélection apps Pharmacie.be En cas d’urgence
Quand on a besoin d’une pharmacie le soir ou le week-end, c’est rarement pour le plaisir et c’est généralement urgent. L’installation de cette appli est donc vivement conseillée pour l’avoir à disposition le jour où vous en aurez besoin. Elle vous permet de trouver où que vous soyez en Belgique les pharmacies de garde les plus proches. Finie la frustration de se retrouver devant une porte close alors que quelqu’un vous attend, malade, à la maison. Pharmacie.be est compatible avec l’iPhone, l’iPod Touch et l’iPad et nécessite iOS 5.0 ou une version ultérieure. Elle existe aussi en version gratuite pour Windows Phone. Par contre, les utilisateurs Android devront encore s’en remettre aux Pages d’Or ou à d’autres sources (en ligne).
PME Cockpit
Smartphone au service de l’entrepreneur Le site http://www.pmecockpit.be fournit à l’entrepreneur des informations essentielles sur des questions juridiques et fiscales, et le dirige, si nécessaire, vers d’autres sources sur la comptabilité, les investissements, les placements, etc. L’app permet aussi de consulter l’actualité : elle n’est pas neuve, mais dans sa nouvelle version, on distingue clairement quelles informations ont été récemment actualisées. De plus, son nouveau lay-out convient mieux aux tablettes. Compatible iOS, l’App nécessite la version 4.0 ou une version ultérieure. Une application trilingue (français, néerlandais, anglais) qui permet d’accéder facilement et rapidement aux données de PME Cockpit. Avec un peu de chance, vous y trouverez même un nouveau client, fournisseur ou partenaire professionnel !
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eau v u o n e L v a r a t il u d e d n mo
Nouvelle culture d’entreprise, nouvel écosystème
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Les nouvelles technologies ont profondément modifié notre façon de travailler, mais le travail mobile et le télétravail ne représentent qu’une facette de ce que nous appelons aujourd’hui le ‘nouveau monde du travail’. Ce qui compte avant tout, c’est qu’employeurs et travailleurs œuvrent ensemble à une culture d’entreprise productive, efficace et agréable. La technologie offre un support important mais n’est bien sûr pas une fin en soi.
Bien que la thématique du nouveau monde du travail soit très en vogue actuellement, elle n’est pas si neuve. Les consultants, les managers et les chefs d’entreprise travaillent à distance depuis des années déjà, en déplacement ou chez eux. La nouveauté réside plutôt dans les raisons qui incitent à adopter cette nouvelle façon de travailler. Le message des autorités publiques est très clair : tout le monde devra travailler plus longtemps si l’on veut, à terme, garantir le paiement des pensions. Il faut dès lors revoir la gestion même des carrières, instaurer une culture d’entreprise où le travailleur pourra être actif plus longtemps et avec autant d’enthousiasme. Il serait simpliste de présenter le travail à domicile comme l’unique solution, même s’il constitue effectivement une réponse positive aux besoins de nombreux travailleurs. Il est en effet beaucoup plus important de créer un environnement axé sur le bien-être du travailleur : le travail mobile et à domicile peuvent bien sûr y avoir leur place.
Au fil des différentes phases de la vie L’employeur doit d’abord connaître ses travailleurs pour répondre correctement à leurs besoins. Or ces besoins évoluent en fonction des différentes phases de la vie. Les jeunes travailleurs (25-35 ans) ont, en général, une vie extrêmement bien remplie. Ils sont prêts à travailler dur et à faire des efforts, mais veulent aussi être libres de consacrer du temps à leurs loisirs, de voyager, etc., pour ‘compenser’ ces périodes très chargées. À la phase suivante (35-45 ans), ils ont des enfants et des adolescents. Leur besoin fondamental, à ce moment, est de trouver un bon équilibre entre le travail et les exigences de leur vie privée. Des horaires flexibles, le travail à domicile et l’octroi d’une grande autonomie leur offrent souvent l’indispensable marge de manœuvre. Les plus de 50 ans enfin connaissent une période plus calme : leurs enfants font des études ou ont quitté la maison, la majeure partie de leur carrière est déjà derrière eux.
Executive summary Le nouveau monde du travail n’est pas une question de technologie, mais une nouvelle conception de la relation employeur-travailleur. Il permet à l’employeur et au travailleur de satisfaire au mieux leurs besoins spécifiques. La technologie sert de support et complète le tout.
Dans le nouveau monde du travail, il est crucial de développer une culture d’entreprise axée sur le bien-être du travailleur – le travail mobile et à domicile peuvent bien sûr y avoir leur place.
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Forts de leurs connaissances et de leur expérience, ils sont les mieux placés pour coacher les jeunes collaborateurs.
Vers une nouvelle culture d’entreprise Vu l’impossibilité de généraliser – ‘le travailleur standard’ n’existe pas –, l’employeur ne peut définir une politique unique applicable au nouveau monde du travail. Si ‘l’employeur’ n’existe pas davantage, ‘les employeurs’ ont l’un ou l’autre point commun. L’environnement économique par exemple : après cinq ans de crise, la Belgique recule de plus en plus dans le classement de la compétitivité internationale. Soumis à de fortes pressions, les employeurs sont tenus d’augmenter leur productivité et leur efficacité, ce qui engendre une nouvelle zone de tension. D’un côté, les employeurs veulent de meilleures performances, de l’autre, les travailleurs ont besoin de plus de flexibilité et d’équilibre entre leur vie privée et professionnelle. Les besoins des uns et des autres peuvent sembler antagonistes mais ce n’est pas obligatoirement le cas. L’enjeu est de développer une culture d’entreprise plus profitable, aussi bien pour l’employeur que pour le travailleur.
Le nouveau monde du travail n’est pas un système autarcique, il a une influence sur tout ‘l’écosystème’ d’une entreprise : travailleurs, clients, fournisseurs et autres partenaires.
La nouvelle collaboration Le travail mobile ou à domicile ne sont pas les seules clés de la solution : la possibilité de partager des informations à tout moment est aussi un facteur déterminant. C’est ce qui explique le succès des réseaux sociaux au sein des entreprises, véritables creusets de créativité où les travailleurs échangent des idées. Ces derniers se sentent estimés et tirent une plus grande satisfaction de leur travail. Cette nouvelle culture d’entreprise exige aussi une nouvelle forme de leadership : il incombe à l’employeur de découvrir le talent du travailleur et de lui offrir les moyens de le développer. Dans ce nouveau contexte, l’employeur et le travailleur vont travailler autrement, au bureau, en déplacement et à la maison. Il s’agit donc aussi et surtout d’instaurer un nouveau mode de collaboration. Ensuite seulement, l’entreprise peut se pencher sur la dimension technologique et chercher les solutions qui sous-tendront cette nouvelle stratégie. Il n’y a d’ailleurs plus guère d’obstacles à l’heure actuelle : techniquement parlant, il est possible d’accéder de façon sécurisée aux applications et aux données d’une entreprise à tout moment, partout et avec n’importe quel appareil.
Une solution à trois branches Au printemps, Belgacom a lancé FLEX, un projet axé sur le nouveau monde du travail : quelques centaines de travailleurs ont la possibilité de travailler à distance pour effectuer certaines tâches. Belgacom a imaginé ici une solution
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dossier Le nouveau monde du travail implique une utilisation beaucoup plus intense des outils collaboratifs tels que la vidéoconférence et le partage de documents.
à trois branches : l’infrastructure nécessaire pour travailler à distance, un modèle qui permet la collaboration entre les travailleurs à domicile et leurs collègues au bureau (basé sur les outils adéquats) et l’environnement RH requis pour assurer la gestion et le suivi des collaborateurs. Belgacom souligne ainsi l’importance de définir un cadre de référence solide pour le nouveau monde du travail. Il faut, d’une part, des accords précis avec les travailleurs – en ce qui concerne les moments pendant lesquels leurs collègues doivent pouvoir les joindre par exemple – et, d’autre part, des formations spécifiques pour les managers, dont le rôle évolue également. Ils doivent e.a. développer des compétences en matière de gestion orientée résultats et de direction d’équipes virtuelles. Il s’agit d’un changement majeur pour les managers, ne fût-ce que parce que tous les collaborateurs ne se trouvent pas au bureau en même temps. Concrètement, le nouveau monde du travail implique une utilisation beaucoup plus intense des outils collaboratifs tels que la vidéoconférence et le partage de documents. Des services commerciaux seront également proposés sur la base de cette expérience.
de marque. De nos jours en effet, il n’est pas toujours facile de recruter des travailleurs talentueux : un employeur qui propose un environnement de travail attractif – e.a. une politique claire en ce qui concerne le nouveau monde du travail – dispose donc d’un avantage sur ses concurrents. Belgacom répond aux besoins de ses clients en leur offrant à la fois l’infrastructure et les outils indispensables pour faire du nouveau monde du travail une réalité au sein de leur entreprise. Belgacom fait appel à des partenaires spécialisés pour gérer les besoins liés aux RH, comme l’acquisition d’un nouveau style de leadership et la gestion des talents.
Positif pour l’image de marque de l’employeur Dans le cadre du nouveau monde du travail, l’entreprise doit absolument ‘garder la porte ouverte’ pour ses collaborateurs. Le travail à domicile doit toujours être volontaire et se limite généralement à deux jours par semaine. Des études ont en effet démontré que les contacts directs avec les collègues au bureau restent essentiels. L’entreprise doit aussi répondre à 100 % aux éventuels besoins des travailleurs. L’employeur peut ainsi jouer la carte du nouveau monde du travail comme atout pour renforcer son image
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Erik Hendrix, Business Development Manager chez Belgacom
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La culture d’entreprise détermine le nouveau travail (et inversement)
Équilibre entre travail et vie privée
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round table
Le nouveau travail n’est pas une vraie nouveauté. Au fil du temps, la façon dont les gens et les entreprises travaillent évolue. Cette évolution équivaut parfois à un véritable bond en avant. Bien que les technologies semblent aujourd’hui jouer un rôle important en la matière, elles doivent seulement être considérées comme un ‘outil’. Dans le nouveau travail, le facteur humain reste en effet primordial.
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Trop souvent, le nouveau travail est encore exclusivement associé au travail indépendant du temps et du lieu. Dans ce cas, la dénomination n’est pas très bien choisie car le travail mobile et le travail à domicile sont loin d’être de nouveaux concepts. “Le concept du nouveau travail implique plus de choses”, explique Erik Hendrix, Business Development Manager chez Belgacom. “Il s’agit d’une évolution dans laquelle le collaborateur a un rôle moteur, s’efforce de redéfinir le concept de l’équilibre travail-vie privée, cherche une nouvelle place dans l’organisation d’une équipe ou d’une entreprise, et un nouveau mode de collaboration avec ses collègues, clients, fournisseurs et autres partenaires.” La gestion des collaborateurs et des équipes est un des plus grands défis du nouveau monde du travail. Pour le manager traditionnel, gérer la production et l’efficacité d’équipes virtuelles est très complexe. Cette nouvelle approche n’est qu’un des éléments du nouveau travail.
Ni un droit ni une obligation Pour beaucoup d’organisations, le travail à domicile constitue toutefois une première étape dans le nouveau monde du travail. “Nous considérons cette étape comme un moyen, et non comme un but”, affirme Dominik Geeraerts, Managing Director chez Record Bank. “Quand un collaborateur habite loin du bureau, le travail à domicile peut probablement lui permettre de gagner en produc-
“ Le travail à domicile est un moyen, et non un but. Ce n’est pas non plus un droit, et encore moins un devoir.”
Dominik Geeraerts, Managing Director chez Record Bank
tivité. Mais nous ne considérons pas le travail à domicile comme une obligation. Ni même comme un droit. Le manager décide en fonction du profil et de la situation personnelle du collaborateur.” Pour que le travail à domicile soit une réussite, il ne faut pas trop de règles. “Nous avons défini un cadre global”, lance Koen Terrie, HR-Manager chez Record Bank. “Un collaborateur peut travailler maximum deux jours par semaine à la maison. Selon sa fonction, il doit bien entendu être joignable pour ses collègues ou clients.” Bon nombre d’entreprises explorent aujourd’hui les possibilités du travail à domicile. Dans la pratique, ce n’est pas toujours aussi simple. “Nous venons d’une culture qui valorise clairement le temps passé au bureau”, déclare Wim Van den Bossche, CIO chez PwC. “La différence avec la vision du ‘travail’ de la nouvelle génération est énorme. De plus, les gens aiment venir au bureau, parce que la collaboration est plus facile, ou simplement pour le contact social.”
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‘Le travail autrement’ Le nouveau travail ne s’arrête pas au travail à domicile, loin de là. Il s’agit d’une véritable innovation sur différents plans. Chez Belgacom, nous voyons trois dimensions dans le nouveau travail : de nouvelles technologies de support (1) permettent de travailler avec plus de flexibilité (2), ce qui exige et encourage la création d’une culture d’entreprise adaptée (3). “Dans le cadre du nouveau travail, nous quittons l’ancien modèle de management basé principalement sur le ‘command & control’”, nous dit Sandra Vandorpe, VP Engagement & Operational Efficiency chez Belgacom. “Le nouveau travail veut stimuler et mobiliser les collaborateurs afin de les garder au sein de l’entreprise (plus longtemps), avec une motivation intacte. C’est finalement là toute la question : faire en sorte que les collaborateurs veuillent et puissent travailler plus longtemps.” On pourrait dès lors parler du ‘travail autrement’ plutôt que du ‘nouveau travail’. Sandra Vandorpe : “Les gens sont souvent d’accord pour travailler plus longtemps, mais avec plus d’autonomie et de responsabilisation, et moins de stress. Et pas seulement parce qu’ils ont besoin d’argent.” Ce regard différent sur la conception et l’encadrement du travail exige un changement culturel profond. Entre autres au niveau du contrôle. L’ancien système contrôle le collaborateur sur la base de sa contribution : le temps qu’il ou elle passe
“ Dans le cadre du nouveau travail, le travail à domicile est intéressant car il permet à l’employeur de témoigner sa confiance au collaborateur.”
Koen Terrie, HR-Manager chez Record Bank
“ Le nouveau travail vise à stimuler et à mobiliser les collaborateurs, il fait en sorte que les collaborateurs puissent travailler plus longtemps en étant motivés, polyvalents et indispensables.” Sandra Vandorpe, VP Engagement & Operational Efficiency chez Belgacom
au bureau. L’approche du nouveau travail est différente. “La nouvelle génération préfère être appréciée pour ce qu’elle fait plutôt que pour le temps qu’elle met à la disposition de l’employeur”, affirme Guy Lucq, CIO chez Deloitte. “C’est cette appréciation qui contribue à la motivation du collaborateur.” “Dans ce contexte, le travail à domicile est important, pense Koen Terrie, justement parce qu’en tant qu’employeur, vous témoignez votre confiance au collaborateur.”
Structure hiérarchique vs structure en réseau Autrefois organisées de façon très hiérarchique, les entreprises adoptaient une approche strictement descendante et une séparation claire entre le développement des projets et leur exécution opérationnelle. Une nouvelle culture, basée sur une structure en réseau, a ensuite vu le jour. “L’idéal se situe
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round table probablement quelque part entre les deux”, précise Isabel De Clercq, Learning Solutions Consultant chez Kluwer Formations. “La hiérarchie apporte la stabilité et l’excellence opérationnelle. C’est une nécessité pour de nombreuses activités. Mais souvent, elle n’est pas nécessaire. La structure en réseau a également sa place.” Tout dépend cependant de l’entreprise concernée et du type d’activité. Guy Lucq : “Dans la salle d’opération d’un hôpital, par exemple, une hiérarchie stricte est indispensable.” “Finalement, dans chaque structure, on a besoin de personnes qui prennent des décisions et qui assument la responsabilité”, ajoute Wim Van den Bossche. Dominik Geeraerts : “La relation de travail est toujours basée sur un contrat entre un employeur et un collaborateur. Le collaborateur a besoin d’un certain cadre, dans lequel l’employeur offre certaines possibilités, via des outils, le travail à domicile, etc.”
Mentalité et culture Et sans nul doute, l’arrivée des générations Y et Z sur le marché du travail va encore entraîner de nombreux changements. “Il s’agit d’un grand défi pour les RH”, affirme Guy Lucq. “Les nouvelles générations sont généralement très directes, orientées résultats et confiantes. Ce sont des col-
“ Le nouveau travail doit s’adresser aux jeunes et aux moins jeunes. Le bureau doit devenir un lieu de rencontre inspirant et stimulant où les collaborateurs viennent expressément pour travailler ensemble.” Guy Lucq, CIO chez Deloitte
“ N ous venons d’une culture qui valorise largement le temps passé par un collaborateur au bureau. La nouvelle génération a une tout autre vision.”
Wim Van den Bossche, CIO chez PwC
laborateurs qui savent non seulement ce qu’ils veulent, mais aussi ce qu’ils ne veulent pas. Mais le nouveau travail doit aussi tenir compte des générations précédentes, qui sont toujours là. Le bureau doit être un lieu de rencontre inspirant et stimulant où les collaborateurs viennent expressément pour travailler ensemble.” Généralement, les collaborateurs des générations Y et Z sont aussi très attachés à l’équilibre entre travail et vie privée. Ils en parlent d’ailleurs très franchement avec leur employeur. Le travail indépendant du temps et du lieu offre à cet égard bien des possibilités, mais il implique aussi des dangers. “La tablette et le smartphone peuvent être un cadeau empoisonné, selon Wim Van den Bossche. Avec ces appareils, le collaborateur est constamment en lien avec son travail, notamment via l’e-mail. Les appareils qui promettent d’apporter un meilleur équilibre
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entre travail et vie privée peuvent tout aussi bien perturber davantage cet équilibre.” Autrement dit, le constat est une fois de plus le suivant : un nouveau mode de travail exige une culture d’entreprise adaptée. Car il ne s’agit pas seulement des collaborateurs qui reçoivent un mail le soir ou le weekend, mais aussi des managers qui envoient ces messages. “Les collaborateurs doivent néanmoins poser leurs limites, déclare Isabel De Clercq. Avec le travail à distance et le travail à domicile, le risque de ne jamais s’arrêter existe.”
Pas un but en soi La dimension technologique du nouveau travail pose moins de soucis que l’impact sur la culture d’entreprise. La vidéoconférence, les systèmes de partage en ligne de documents ou encore les outils de présence web sont déjà plutôt bien intégrés. Mais un certain accompagnement est souhaitable, ne serait-ce que pour que les collaborateurs sachent clairement qu’en cas d’urgence, le téléphone reste plus pratique que l’e-mail. Dominik Geeraerts : “Souvent, il s’agit tout simplement d’une question d’efficacité. Parler avec le collègue assis à côté de soi au bureau va plus vite que lui écrire un long mail.” Cet exemple souligne que la technologie ne peut à elle seule répondre aux défis du nouveau travail. Finalement, tout
“ La hiérarchie reste essentielle pour la stabilité et l’excellence opérationnelle. Mais parallèlement, une entreprise a besoin d’une structure en réseau qui offre la flexibilité nécessaire.”
“Il n’y a pas de méthode absolue pour offrir, dans le cadre du nouveau travail, une solution idéale pour chaque collaborateur ou employeur.”
Isabel De Clercq, Learning Solutions Consultant chez Kluwer Formations
Erik Hendrix, Business Development Manager chez Belgacom
est question de mentalité et de culture. “Et puis, il n’y a pas de méthode absolue pour élaborer une solution idéale pour chaque collaborateur ou employeur”, conclut Erik Hendrix. “Alors que les modèles d’entreprise et les circonstances économiques évoluent, les actionnaires veulent que l’organisation continue à enregistrer des résultats. Dans ce contexte, le nouveau travail offre un moyen intéressant d’atteindre cet objectif. Car nous ne pouvons évidemment pas perdre de vue que le nouveau travail n’est pas un but en soi.”
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Le boucher affiche son engagement sur des écrans LED
Renmans opte pour le digital signage via le cloud Renmans est le gardien de la qualité. Un engagement que l’entreprise, qui transforme de la viande fraîche d’origine belge suivant des normes très strictes, aime afficher sur écran dans ses magasins. Pour ce ‘digital signage’, elle a récemment opté pour le cloud. Renmans est une entreprise familiale belge. Fin des années 70, Henri et Nicole Renmans ouvrent plusieurs boucheries, dont une à côté d’un magasin Aldi. En 1984, lorsque la collaboration avec Aldi se concrétise, Henri Renmans s’associe avec Richard Bovy, qui prend en charge l’administration, la gestion du personnel, les finances, le marketing… tout en étant commercial. Leur succès se prolonge en France, sous le nom Henri Boucher. En 1993, les fils Renmans, Rik et Nico, entrent dans l’entreprise. Ils sont rejoints en 2006 par Jeoffrey, le fils de Richard Bovy. Aujourd’hui, Renmans emploie plus de 3.000 collaborateurs dans 376 boucheries, dont 295 en Belgique, 72 en France et 9 au Luxembourg. L’entreprise a suivi l’approche du boucher traditionnel. Elle livre de la viande fraîche d’origine belge dans tous les points de vente, où des bouchers assurent la découpe et les préparations.
“ Les écrans informent nos clients sur les différents engagements que nous prenons à leur égard. Le digital signage est là pour soutenir notre image de qualité.” Thomas Bovy, responsable IT chez Renmans
Direction centrale Le helpdesk IT central se trouve au centre de distribution de Renmans à Londerzeel. Tous les magasins sont connectés via le réseau Explore de Belgacom et équipés d’un PC pour les commandes de viandes et de légumes, et pour l’accès à l’intranet, où le personnel peut se procurer toutes sortes de formulaires, des informations internes, des listes d’adresses, etc. Les caisses aussi sont reliées à Explore. Cela permet à Renmans d’actualiser les prix (push) et de suivre les ventes en direct (pull). Le système de monitoring des installations de réfrigération est également connecté au réseau. Renmans gère toutes ces applications sur son propre parc de serveurs virtualisé.
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Company profile Renmans est une entreprise familiale belge qui emploie 3.000 travailleurs dans ses 376 points de vente en Belgique, en France et au Luxembourg. Les boucheries se trouvent presque toujours à côté d’un supermarché Aldi.
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Renmans
Business benefits •U ne solution simple pour des informations à jour en permanence •P as d’investissement dans un parc de serveurs •D es écrans LED et des lecteurs à refroidissement passif basse consommation
Engagement vis-à-vis du client Lorsqu’il a fallu remplacer les écrans de ‘digital signage’ (écrans affichant des messages d’entreprise) des points de vente, Renmans a opté pour une solution dans le cloud. “L’ancien système était dépassé”, explique le responsable IT Thomas Bovy. “Les écrans affichaient des informations sur nos promotions. Le contenu était mis à jour une seule fois par semaine.” Renmans décide alors de déplacer les promos sur les balances, également munies d’un écran côté client. “Désormais, nos grands écrans informent notre clientèle au sujet de nos différents engagements qualité : pas de viande surgelée, un haché vendu dans les 24 heures, port obligatoire de gants et de masques dans l’atelier, etc.” Renmans complète ces infos par des bulletins météo et les titres de l’actualité. Thomas Bovy : “Nous pouvons également diffuser des petits films sur un produit en particulier, comme la viande pour pita ou barbecue, avec un renvoi vers le site web, où le client peut regarder des vidéos d’instructions plus complètes.”
Rapidité d’intervention Les serveurs de digital signage tournent dans le cloud chez Belgacom, ce qui a permis à Renmans d’économiser les frais d’investissement en infrastructure. Cette dernière se compose d’écrans LED et de lecteurs à refroidissement passif basse consommation. Le déploiement des nouveaux écrans se déroule parallèlement à la migration vers Explore et au rafraîchissement des points de vente. Digitopia livre les écrans, les lecteurs et le contenu, tandis que Belgacom supervise l’ensemble du projet. Thomas Bovy : “Les équipes de Belgacom et Digitopia se montrent particulièrement flexibles. La fermeture d’un magasin pour ‘lifting’ ne peut durer que maximum trois jours. Tout doit se faire dans ce délai : la rénovation, mais aussi l’installation des écrans.” Des interventions ponctuelles sont parfois nécessaires pendant, comme en dehors des heures d’ouverture. Là aussi, nous pouvons compter sur la souplesse de Digitopia. “En cas de panne, Digitopia est sur place dans les quatre heures.”
Retrouvez d’autres témoignages sur www.onemagazine.be.
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Attaques DDoS
200 %
Vous aussi, pris pour cible par les zombies
En 2012, les attaques DDoS ont augmenté de 200 %.
En Europe, la plupart des attaques provenaient de Roumanie, avec 2,8 %. Les États-Unis arrivent en 2ème position avec 10 %.
41 % des attaques provenaient de Chine.
2,8 % 10 % 41 %
Dans un rapport récent, le cabinet d’études de marché IDC met en garde contre les attaques DDoS et conseille aux organisations de sécuriser leur infrastructure IT contre les menaces les plus récentes. Les attaques externes sont de plus en plus fréquentes, de plus en plus sophistiquées et de plus en plus rapides à mettre en œuvre. En 2012, les sites de Visa, MasterCard, Amazon et PayPal ont été bloqués par des attaques DDoS (Distributed Denial of Service). Depuis, cette forme de cybercriminalité a encore évolué. Dans la fréquence et la nature des attaques, mais aussi dans le type d’organisations touchées. Autrefois, seul les secteurs financier et public étaient touchés ; désormais plus personne n’est à l’abri.
Lourdes conséquences Il est donc grand temps de réagir car une attaque DDoS peut avoir de lourdes conséquences : service clients en ligne menacé, données clients volées, pertes financières très élevées et chute libre de votre productivité. À plus long terme, une attaque DDoS a un impact très négatif sur l’image de l’entreprise et de la marque, et sur la confiance des clients dans vos services. L’infrastructure IT peut aussi en pâtir.
Hôtes zombies Une attaque DDoS se propage à partir de centaines, voire de milliers ‘d’hôtes zombies’ (des pc contaminés d’utilisateurs finaux ne se méfiant pas) dirigés de l’extérieur vers une même cible. Il existe deux types d’attaques DDoS. D’abord les ‘attaques par surcharge’, dans lesquelles des botnets très puissants envoient simultanément des fichiers à la cible, ce qui provoque un crash serveur. Ces attaques sont rapidement détectables en contrôlant votre trafic internet. Il y a ensuite les attaques basées sur des applications ou ‘exhausted’. Ce sont les infrastructures elles-mêmes qui sont surchargées (le firewall, l’IPS ou les serveurs) par le lancement d’une série de sessions parallèles. Ce type d’attaques est beaucoup plus difficile à éviter car les volumes ne sont pas extrêmement importants. La protection contre ce type d’attaques exige une analyse automatisée des paquets de données envoyés.
Une protection hybride est nécessaire Deux types d’attaques nécessitent deux types de protections. Et seul un Internet Service Provider peut offrir une protection hybride complète contre les différents types d’attaques DDoS.
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Un ISP peut en effet garantir la protection dans le cloud, combinée à une protection locale installée sur votre infrastructure IT. C’est aussi le cas chez Belgacom. Le Belgacom DDoS Wall sur la plateforme de services Explore contrôle le trafic IP pour identifier d’éventuelles attaques et protéger la connectivité internet. En cas d’attaque, le système bloque le trafic malveillant. Équiper votre entreprise d’une technologie de sécurisation vous protège donc contre les attaques ‘exhausted’ ou basées sur les applications, qui peuvent menacer votre centre de données. L’association de deux solutions coordonnées vous permettra justement de bénéficier d’une sécurisation complète. De plus, les deux services de sécurité sont basés sur la technologie de Arbor Networks. Cette technologie est utilisée par la plupart des fournisseurs d’accès à Internet, leur permettant de contrôler environ 70 % du trafic Internet mondial. L’Atlas Intelligence Flux de Arbor Networks est la meilleure solution pour détecter des nouvelles attaques DDoS.
Business benefits •S écurisation complète et intégrée • Meilleure disponibilité de vos services • L’IT peut se concentrer sur son cœur de métier • Protection fiable par des équipes spécialisées •M onitoring continue via Belgacom Security Operations Center (SOC)
Plus d’infos ? Pour de plus amples informations sur la protection contre les attaques DDoS, contactez votre Account Manager.
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solutions
Solution complète pour webshop unique
Votre e-shop en quelques clics
Votre organisation veut développer ses activités commerciales en ligne et vous avez la responsabilité de concevoir un e-shop ? Vous savez qu’il y a de nombreux paramètres à prendre en compte. Il existe heureusement des formules tout-en-un qui permettent la création d’un webshop en un minimum de temps.
Créer un e-shop de qualité n’est pas simple. Il faut être attentif à la présentation des produits, à la gestion du stock, à la livraison, à la facturation, aux paiements nationaux et, souvent, internationaux, ce qui exige de collaborer avec toute une série de partenaires différents. Beaucoup d’organisations frissonnent à l’idée de liens de collaboration aussi complexes. Un partenaire se décommande, et commencent alors la valse des problèmes et les plaintes des clients. Pour offrir un service optimal à votre clientèle, votre boutique en ligne se doit d’être toujours disponible et de bien fonctionner.
Services intégrés pour le paiement et la livraison Avec la solution complète Becloud e-Commerce, la création d’un e-shop devient un jeu d’enfant. Une interface claire et transparente vous permet de concevoir votre e-shop, mettre à jour la gamme de produits, suivre les commandes, livraisons et paiements, et gérer le stock. Et même pour élaborer des actions marketing en ligne, quelques clics suffisent. L’offre comprend également un service de réservation en ligne, idéal pour celui qui travaille sur rendez-vous ou sur réservation. Les négociations avec la poste et les partenaires de paiement sont déjà réglées également. Différents modules complémentaires de paiement et de livraison sont proposés et peuvent être intégrés à votre formule.
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Annemie Depuydt, directrice ICTS à la KU Leuven
“ Le nouveau monde du travail est une faveur, pas une obligation” Dans le contexte universitaire, l’ICT est, comme les finances ou les ressources humaines, un pilier incontournable. Et son importance ne fait qu’augmenter. “Le développement de l’Association KU Leuven est une évolution importante”, nous confie Annemie Depuydt. Elle représente un lien de collaboration entre douze établissements flamands de l’enseignement supérieur. Progressivement, ces établissements renforcent leurs liens, y compris au niveau administratif, ce qui se ressent aussi sur le plan de l’ICT. “La plupart des membres de l’association utilisent déjà le même système de suivi des étudiants. Les derniers s’y mettront à la prochaine rentrée académique”, explique Annemie Depuydt. Le terrain d’action de l’ICT est toutefois loin de se limiter à l’administration. “Nous soutenons aussi l’enseignement, la recherche et la communication. Je pense notamment à notre infrastructure de high-performance computing dans le cadre de la recherche scientifique, à la plateforme d’apprentissage Toledo à l’échelle de l’association ou à toute une série d’outils de support, comme le déploiement de logiciels de détection du plagiat. Mais il s’agit également d’offrir un accès internet ou un groupware à la Microsoft Lync et SharePoint.” ICTS soutient les membres de l’association via les applications à l’échelle du groupe et un catalogue de services. “L’association réunit de nombreuses organisations. Elles peuvent accéder à un catalogue de services de support, par exemple en matière de stockage ou de desktop support.”
Un seul système IAM pour toutes les applications Dix ans après la création de l’Association KU Leuven, l’intégration de l’ICT est en passe d’être terminée. C‘est aujourd’hui la priorité d’ICTS. En septembre, le volet ICT du projet doit être clôturé. “L’impact est énorme”, souligne Annemie Depuydt. “D’un seul coup, mille nouveaux collaborateurs s’ajouteront au payroll. Tous les collaborateurs de l’association auront accès aux données et applications via un système IAM (Identity & Access Management). Un seul intranet sera également mis en service pour toute l’association.” Il existe de nombreux systèmes collectifs (pour certains nouveaux), notamment pour la gestion des horaires. Nous
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opterons pour la solution la plus adaptée en concertation avec tous les partenaires. Annemie Depuydt : “Dans ce nouvel environnement intégré, l’importance du réseau augmente. Nous développons un seul intranet en collaboration avec les hautes écoles. Pour 2015, nous passerons probablement de 10 à 100 Gbps, pour pouvoir répondre aux besoins des étudiants, qui sont des utilisateurs de réseau particulièrement intensifs.”
Investir dans les contacts L’étudiant est demandeur d’un support ICT qui lui permet d’accéder aux outils et informations où qu’il soit (auditoire, kot, maison). À court terme, nous devons nous concentrer davantage sur leurs priorités. Annemie Depuydt : “C’est une arme à double tranchant. L’étudiant compte sur l’université pour lui offrir l’hyperconnectivité, mais il a aussi besoin de rencontrer ses collègues. Tout ne se fait pas à distance, sur PC ou tablette.” L’université a dès lors décidé d’investir dans le renforcement de la connectivité mobile dans tous les espaces et bâtiments publics, ainsi que dans la construction d’un ‘agora’ : un espace de rencontre pour les étudiants d’une capacité de cinq cents places assises. La demande d’hyperconnectivité est largement liée à la consumérisation de l’ICT, particulièrement tangible dans la population étudiante. Dans le contexte universitaire, le ‘Bring Your Own Device’ est une réalité. Les étudiants comptent sur nous pour les soutenir dans cette direction, ce que nous faisons, mais ils comprennent aussi qu’un fonctionnement impeccable de toutes les applications sur tous les systèmes d’exploitation et tous les appareils relève de l’impossible.”
Le nouveau monde du travail (NMT) L’université dispose aussi d’une grande expérience dans le travail à distance et le travail à domicile. Les chercheurs de l’université forment une grande concentration de travailleurs du savoir, ils ont toujours travaillé de manière très autonome, sans hiérarchie stricte. Annemie Depuydt : “Ce n’est pas un hasard si internet, l’e-mail, les wikis, les blogs et autres moyens de communication sont nés dans le contexte de —>
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À la prochaine rentrée académique, bon nombre de nouvelles formations seront intégrées à la KU Leuven. Le département ICTS joue à cet égard un rôle qu’il ne faut pas sous-estimer pour assurer toute une série de services ICT. “Les étudiants et les collaborateurs de l’université et des hautes écoles comptent sur la connectivité, les applications et notre support”, nous explique la directrice ICTS, Annemie Depuydt.
Identikit Annemie Depuydt est titulaire d’un master en géographie et informatique à la KU Leuven. Professeur pendant un an à la Katholieke Hogeschool Leuven, elle est ensuite revenue à l’université en tant que chef de projet ICT. Depuis 2008, elle est responsable de la direction ICTS (ICT Systems) de la KU Leuven. ICTS est le département ICT unifié de l’université. Il rassemble les deux pôles ICT historiques, le centre informatique et l’ICT opérationnel. À l’origine, ICTS a été créé pour les besoins de l’université. Depuis, le département fournit également ses services aux hautes écoles de l’Association KU Leuven. Annemie Depuydt dirige une équipe de 220 collaborateurs.
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la recherche scientifique. Les scientifiques sont souvent les premiers à utiliser les nouveaux outils, justement parce qu’ils ont besoin du meilleur support pour leur collaboration réciproque.” Pour les chercheurs universitaires, le NMT n’est donc pas totalement neuf. Ils ont toujours été mobiles et travaillé un peu partout : au labo, à la maison, en congrès, etc. Pour d’autres départements, le NMT est un phénomène assez récent, y compris chez ICTS. Annemie Depuydt : “Les collaborateurs et étudiants comptent sur notre support ICT jour et nuit. Grâce aux nouvelles technologies, un service de garde au bureau n’est plus une nécessité. On peut parfaitement l’organiser à distance.”
Conseils au CIO Pas d’obligation “La mode du nouveau travail en fait parfois une notion fourre-tout”, affirme Annemie Depuydt. “L’essentiel est que les entreprises n’intègrent pas le Nouveau Travail comme une obligation. Une approche crispée du sujet n’a aucun sens. Le NMT a pour but d’offrir plus de flexibilité et de liberté à l’individu. Tout le monde n’en a pas besoin. C’est pourquoi chez ICTS, nous le considérons expressément comme quelque chose de formellement occasionnel. C ’est une liberté que nous proposons.”
Pas seulement l’ICT Le NMT offre notamment à l’entreprise la possibilité de s’adresser aux nouvelles générations et de s’impliquer plus étroitement dans leurs activités. “Les nouvelles générations ne pensent plus en termes de tâches et d’exécution, de patron et de subalterne. Le NMT contribue à trouver un équilibre entre travail et vie privée. Entendons-nous bien : il ne s’agit pas d’une excuse pour ne pas travailler.
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Au contraire, pour que cela fonctionne, il faut que cette plus grande liberté dans l’organisation et dans la façon d’obtenir des résultats, tout comme la plus grande participation via différents canaux, soient rentables et montrent la voie à suivre.”
Essai et évaluation L’an dernier, ICTS a lancé un projet pilote de travail à domicile. “Les collaborateurs disposent de 24 jours de travail à domicile par an”, explique Annemie Depuydt. “Ils sont libres de choisir et peuvent donc travailler chez eux deux jours par mois en moyenne. Cette option est une faveur que nous leur accordons.” L’évaluation du projet a montré qu’en pratique, la moitié des collaborateurs tout au plus ont opté pour quelques jours de travail à domicile. “Mais les réactions étaient très positives chez tout le monde. C ’est-à-dire que l’initiative a également un effet psychologique certain : même si les collaborateurs n’ont pas tous opté pour le travail à domicile, ils savent que c’est possible, à leur initiative,
sans obstacle majeur, mais dans le respect des bonnes habitudes.”
Soutien technique et organisationnel À travers le déploiement de Microsoft Lync, la KU Leuven offre à tous ses collaborateurs un environnement qui facilite la collaboration réciproque au bureau, en déplacement ou à la maison. Ce système permet d’intégrer le NMT au sein du service et la mobilité en général. Annemie Depuydt : “Chez ICTS, nous misons également sur le NMT via l’organisation d’équipes. Nous optons pour de petites équipes, avec un chef qui agit en tant que primus inter pares plutôt qu’en tant que big boss. Les besoins et la motivation de nos collaborateurs sont étroitement suivis par le biais d’entretiens de fonctionnement. Nous encourageons leur mobilité interne. Nous réalisons également d’importantes transformations pour avoir plus d’espaces de rencontre de meilleure qualité. Tout cela contribue à un environnement de travail inspirant.”
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solutions
Priorité à vos données sur le réseau mobile
Demandez un traitement de faveur ! L’augmentation continue du nombre d’utilisateurs et du trafic de données a un impact sur la bande passante, mais vous pouvez demander un traitement prioritaire pour vos données mobiles et disposer à tout moment des informations cruciales. Une première en Belgique !
Mobilité et flexibilité deviennent la norme dans le Nouveau Monde du Travail. Vos collaborateurs se déplacent plus souvent, ils peuvent en partie choisir leur lieu et leurs horaires de travail, mais doivent aussi disposer à tout moment des informations nécessaires pour accomplir leurs tâches. Les données clés doivent donc être accessibles en permanence, même via un appareil mobile. Toute indisponibilité a un impact négatif sur la productivité et l’efficacité des travailleurs, mais aussi sur la qualité du service. En visite chez un client, un vendeur qui ne peut consulter certaines informations ne fait jamais bonne impression.
Une première belge Vous avez cependant la possibilité de donner une extra priorité à vos données par rapport aux données mobiles standards transférées via le réseau mobile, en bénéficiant d’une bande passante supérieure à la moyenne. Résultat : des utilisateurs plus satisfaits et des services mobiles plus performants. Vos collaborateurs et vos clients profitent d’une solution plus conviviale et d’une vitesse moyenne plus élevée en téléchargement et en streaming, lors de vidéoconférences par exemple. Une différence qui compte dans le monde mobile !
Téléchargement et streaming plus rapides Cette solution s’avère d’une importance cruciale pour la police, l’OTAN, la protection civile, les ambulanciers et les pompiers,
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les VIP ou encore les applications de vidéosurveillance. Elle garantit une satisfaction inégalée des utilisateurs et des performances imbattables, quel que soit l’état du réseau. Les entreprises peuvent aussi décider d’offrir ce niveau de service à leurs principaux utilisateurs. La vitesse de téléchargement et de streaming est alors de 20 à 50 % plus rapide.
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Le cloud: quoi, comment, Pourquoi continuer à investir dans vos propres systèmes IT, quand tout ce dont vous avez besoin se trouve dans le cloud ? C’est peut-être vrai, mais comment cela fonctionne-t-il au juste ? Et quels avantages doivent vous attirer vers le cloud ?
PaaS & Iaas Sa
aS
Le terme ‘cloud’ fait référence à l’utilisation de l’IT dans un modèle de service. Le principe de base est simple : vous n’investissez plus dans l’achat de matériel et/ou de logiciels, mais vous achetez un service IT offert par un fournisseur, comme vous le faites pour le gaz, l’eau ou l’électricité. Dans le passé, les entreprises disposaient souvent de leur propre centrale électrique. Plus tard, quand elles ont pu acheter leur électricité chez un fournisseur, cet investissement n’a plus été nécessaire. Avec le cloud et l’informatique, c’est pareil. Au lieu d’investir dans un datacenter, du matériel et des logiciels, vous achetez les services IT dont vous avez besoin, et vous payez en fonction de votre utilisation. Les investissements fixes disparaissent et les dépenses en IT deviennent des frais d’utilisation purs.
Le pionnier : SaaS L’idée du cloud computing est-elle nouvelle ? Pas du tout. La percée du modèle est étroitement liée à la disponibilité d’une connexion réseau fiable. De très nombreux utilisateurs IT sont déjà familiers avec l’utilisation du cloud depuis plus
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de quinze ans. Ainsi, une application telle que le webmail, est un exemple classique de Software as a Service (SaaS). Vous ne devez pas investir dans un serveur de messagerie et vous n’avez ni frais de maintenance, ni frais de mise à jour. Une connexion internet, et vous avez accès à votre boîte e-mail dans le cloud. L’avènement des smartphones, tablettes et autres appareils mobiles ces dernières années a entraîné une explosion de ce type de services cloud, notamment dans le domaine du CRM et des RH.
Virtualisation = flexibilité Le cloud a pourtant plus à offrir que des services au niveau logiciel. Pour preuve, toute une série de termes tels que Platform as a Service (PaaS) et Infrastructure as a Service (IaaS) font leur apparition en provenance directe du ‘nuage’. Dans ce cas-ci, le concept de cloud utilisé va plus loin que la couche logicielle. Avec le PaaS, par exemple, il s’agit de la couche IT sur laquelle tournent les logiciels. Pensons par exemple à un portail ou à une solution de contrôle d’accès aux logiciels d’une entreprise. Au lieu de construire et de
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pourquoi ?
technology explained
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Avec le cloud, vos dépenses IT ne sont plus capex mais opex : au lieu d'investir dans votre propre datacenter, votre matériel et vos logiciels, vous achetez les services IT dont vous avez besoin. Le cloud en cinq mots 1. Core business :
L’IT devient un service que vous vous procurez via le cloud. Vous ne devez plus vous soucier de la gestion de l’IT et pouvez vous concentrer sur votre core business.
2. Frais transparents : gérer cette couche en interne, vous pouvez là aussi vous tourner vers le cloud. Une étape plus loin, et l’on arrive au niveau de l’infrastructure (IaaS) : les serveurs, le stockage et le réseau. Ici, la virtualisation joue un rôle essentiel. Les progrès réalisés dans ce domaine permettent aujourd’hui aux entreprises de gérer de manière très flexible leur infrastructure dans le cloud.
Cloud public, cloud privé Outre SaaS, PaaS et IaaS, il convient aussi d’opérer une distinction entre cloud public, privé ou mixte. Des applications telles que Dropbox ou Gmail sont des exemples typiques du cloud public. La fonctionnalité du logiciel est générique, tandis que les données sont stockées dans le datacenter du fournisseur du service. À l’opposé du spectre se trouve le cloud purement privé. Là, la fonctionnalité est spécifique, uniquement accessible aux collaborateurs et hébergée sur des serveurs dédiés – c’est-à-dire qui ne servent qu’à cette application – dans le datacenter de l’entreprise ou ailleurs.
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Vous payez en fonction de l’utilisation que vous faites de l’infrastructure et des applications. Résultat : des dépenses IT transparentes et la fin des gros investissements.
3. Disponibilité :
Les applications et les données dans le cloud sont toujours disponibles. Tout ce dont l’utilisateur a besoin, c’est une connexion internet.
4. Évolutivité :
En fonction de vos besoins, vous ajoutez des utilisateurs ou vous augmentez la puissance de calcul ou la capacité de stockage.
5. Toujours à jour :
Le fournisseur du service vous garantit de disposer des dernières versions des solutions achetées. Vous ne devez plus vous préoccuper de la mise à jour des fonctionnalités ni de l’antivirus.
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L’épuration des eaux des 39 communes de la province de Namur relève de la responsabilité de l’INASEP, qui surveille à distance 275 sites via sa solution intégrée maison. Depuis 2011, une cinquantaine de sites est connectée grâce au ‘M2M’ pour la gestion quotidienne, comme l’envoi d’alarmes.
Intercommunale Namuroise de Services Publics et machine-to-machine
De l’eau pure et une communication fluide Un des objectifs principaux de l’INASEP pour les années à venir est que l’ensemble de son parc soit connecté en mode ‘en ligne’. Si, à l’origine, tous les sites étaient connectés via une ligne commutée, le DSL a progressivement remplacé cette technologie historique amenée à disparaître. Depuis 2011, le M2M a rejoint le DSL parmi les supports de communication utilisés.
Vers un suivi plus efficace Avant d’opter pour le M2M via GPRS/3G, l’INASEP utilisait déjà plusieurs moyens de télécommunication afin de pouvoir visionner l’état de ses sites (stations, sites de pompage…). Le Web est utilisé comme principal média de supervision. “Les technologies en ligne permettent en effet un visionnage en direct. Alors que la téléphonie commutée est synonyme d’attente plus ou moins longue d’une connexion qui, encore trop souvent, se solde par un message d’erreur”, pointe Pol-Henry Lebrun, responsable de la cellule Télégestion et du service de garde.
Coûts limités et qualité de service Pol-Henry Lebrun revient sur la genèse de cette introduction du M2M : “Sur chacun de nos sites est installé un automate avec modem embarqué qui nous communique, via une ligne DSL, les données relatives à l’activité du site. Une migration générale
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vers le DSL était financièrement impensable. Sur les automates de 50 sites, nous avons donc préféré le mobile au filaire. Des cartes M2M communiquent avec nos bureaux par GPRS/3G.” La sélection du M2M est soumise à une première condition : le débit nécessaire sur le site. “Le M2M concerne les petits sites qui peuvent se contenter d’un débit moins important que celui d’une ligne DSL. En effet, s’ils requièrent une communication rapide et directe, donc en ligne, ils n’ont pas de besoins bureautiques vu qu’aucun agent n’y travaille.” Autre condition au M2M, cette fois au niveau du fournisseur : la disponibilité du réseau mobile, dont dépend la qualité du dialogue. “La couverture GPRS de Proximus a été décisive dans notre choix. Sa qualité étant à l’image de celle de la voix, j’ai utilisé un principe basique, à savoir le nombre de barres qu’il y avait sur mon GSM lorsque j’étais dans les sites potentiellement concernés par le M2M. Des endroits profonds, étant donné que l’on se trouve toujours près des cours d’eau !”
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Intercommunale de Namur
“ Aujourd’hui, ce sont les sites d’épuration qui prennent l’initiative de nous indiquer chaque matin s’ils fonctionnent ou pas… et plus l’inverse !” Pol-Henry Lebrun, responsable de la cellule Télégestion et du service de garde
Sécurité des communicants La qualité relevait aussi de la conception même de la solution. “Belgacom a accepté de faire un test grandeur nature, à un coût acceptable, d’une solution qui correspondait à notre volonté de séparer les communicants. Ainsi, nous avons installé sur le site de notre maison-mère un APN, réseau privé totalement indépendant. Son antenne privative et son routeur GSM communiquent en direct avec nos automates.” En marge de la supervision et du reporting web, l’envoi fiable d’alertes, qui reste la priorité n° 1 de l’INASEP, impliquait que deux manières de communiquer soient disponibles. Chaque alerte est envoyée par e-mail. Pol-Henry Lebrun tenait cependant à ce que son fournisseur soit capable de proposer une redondance SMS active sur tous les sites (et en cas d’arrêt d’urgence, que les deux supports soient simultanément utilisés). “Le SMS, fonctionnant de GSM à GSM, sans intermédiaire, est le système le plus sécuritaire, nous explique-t-il : Belgacom a également répondu à cette demande particulière.
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Company profile L’INASEP regroupe les compétences en matière d’épuration des eaux de la province de Namur (39 communes), un secteur de distribution d’eau, un bureau d’études et un laboratoire d’analyses.
Je ne peux d’ailleurs qu’encenser la réactivité de nos personnes de contact, promptes à nous mettre en relation avec les interlocuteurs internes adéquats.”
Business benefits •D isponibilité des données synchronisées et rapidité de chargement •R edondance SMS des alarmes e-mail •S écurité et fiabilité de la communication mobile •F acilité, rapidité et souplesse de déploiement •C artes M2M inactives de réserve, abonnement payé après la mise en service
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Gestion des appareils mobiles
Un expert s’en charge pour vous Le smartphone de votre vendeur refuse de fonctionner parce qu’il n’a pas été mis à jour ? Un nouveau collaborateur ne peut pas se mettre immédiatement au travail parce que son appareil mobile n’est pas encore configuré ? La bonne gestion des GSM de vos collaborateurs a un impact essentiel sur leur productivité et sur les services offerts à vos clients.
Vos collaborateurs comptent sur des appareils mobiles toujours disponibles. Cela pourra être important pour attirer et garder des collaborateurs précieux. Les problèmes de flotte mobile risquent en outre de faire baisser votre productivité et ils ne favorisent pas la confiance des clients et prospects. Suffisamment de raisons, donc, pour externaliser la gestion opérationnelle de votre flotte GSM. Belgacom est le seul opérateur mobile à qui s’adresser pour de tels services. Grâce à nos 10 partenaires, vous pouvez toujours compter sur le soutien d’un prestataire de services dans votre région.
Démarrage rapide et optimal Vous souhaitez démarrer un grand projet dans le cadre duquel vos collaborateurs doivent rapidement être équipés d’un GSM bien configuré ? Faites appel à un partenaire de services mobiles Belgacom et choisissez une solution adaptée à vos besoins. Une configuration de base est effectuée sur les appareils. Vos collaborateurs ont donc accès rapidement et de manière optimale à l’internet mobile, au voicemail, aux SMS et à leurs e-mails professionnels.
Services privilégiés
Business benefits • A ppareils mobiles et services toujours disponibles • Partenaire local fiable et facilement accessible • Conseils professionnels
Vous pouvez par ailleurs opter pour des services plus complets à plus long terme. Un partenaire de services mobiles local peut vous fournir des conseils professionnels et vous aider dans la gestion opérationnelle des appareils mobiles de votre organisation. Toutes vos questions opérationnelles reçoivent toujours une réponse immédiate et vos nouveaux appareils sont livrés rapidement. Votre partenaire de services mobiles peut aussi vous aider à gérer vos cartes SIM et GSM. Enfin, il peut assurer pour vous le suivi des réparations et du reporting.
Externalisez la gestion de votre flotte mobile Grâce à Belgacom, vous pouvez aussi opter pour la gestion dans le cloud d’un managed-model. Un outil en ligne vous permet de gérer vos appareils mobiles à distance. Cette gestion peut être externalisée. Dans ce cas, vous permettez au partenaire externe d’utiliser l’outil de gestion en ligne. Si vous optez pour le modèle self-managed, vous suivez une formation dispensée par un partenaire externe spécialisé et, à l’issue de celle-ci, vous êtes capable d’utiliser l’outil de gestion très facilement.
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book review
Une ouverture pour l’industrie traditionnelle
Impression 3D : un monde plein de promesses ? Nombre d’initiés voient dans l’impression 3D le catalyseur potentiel d’une nouvelle révolution industrielle. Hod Lipson et Melba Kurman examinent les possibilités de cette technologie fascinante dans leur ouvrage ‘Fabricated: The New World of 3D Printing’.
Il y a vingt ans, un vendeur de Cubital, l’un des pionniers de l’impression 3D, fait une démonstration à Hod Lipson, chercheur et ingénieur américain en robotique. Ce dernier est très impressionné. “D’un coup, les processus de production traditionnels semblaient dépassés”, déclare-t-il dans ‘Fabricated: The New World of 3D Printing’, un livre écrit avec la consultante en technologie Melba Kurman. “L’enthousiasme de ce vendeur m’a convaincu que cette machine allait effectivement révolutionner notre façon de concevoir et de fabriquer des objets.” Cubital fait malheureusement faillite quelques années plus tard : trop lentes, trop compliquées et trop chères, les imprimantes 3D n’ont pas séduit les acheteurs. L’exemple type d’une technologie arrivée trop tôt.
Prototypes Deux décennies plus tard, l’impression 3D a sensiblement évolué. Aujourd’hui, vous concevez un objet sur ordinateur à l’aide d’un programme CAD tout simple et vous le tenez entre vos mains quelques minutes plus tard. L’impression 3D est déjà pleinement exploitée pour les prototypes. Il ne faut donc pas sous-estimer son influence potentielle sur notre économie, estiment Lipson et Kurman. Pendant un an, ils ont effectué des recherches et interrogé des entrepreneurs, des analystes et des utilisateurs d’imprimantes 3D, et ont ainsi identifié plusieurs éléments susceptibles de bouleverser le secteur manufacturier. Le prix d’un objet imprimé en 3D n’augmente pas en fonction de sa complexité – ce qui est le cas avec des processus de fabrication traditionnels. Les imprimantes 3D sont beaucoup plus polyvalentes que des machines ordinaires, lesquelles ne produisent souvent qu’une seule forme : fabriquer mille pièces uniques coûte autant que produire mille pièces identiques. Les objets imprimés en 3D ne doivent pas être constitués de plusieurs éléments : on pourrait ainsi fabriquer une porte à laquelle les charnières seraient déjà fixées. Bref, la chaîne logistique est raccourcie, les coûts de main-d’œuvre et de transport diminuent, et la pollution est moins importante.
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Quid des abus ? Les auteurs s’interrogent également sur les questions éthiques inhérentes à cette évolution. Quel sera l’impact de l’impression 3D sur l’emploi ? Et sur les objets brevetés – les blocs Lego par exemple ? L’imprimante 3D deviendra-t-elle l’instrument rêvé des faussaires ? Autre question : comment empêcher un criminel de fabriquer une mitrailleuse ? On peut néanmoins comparer le marché des imprimantes 3D à celui des ordinateurs dans les années 70. Des indices augurent d’une expansion planétaire et si l’on ne peut encore parler de percée spectaculaire, elle ne saurait tarder. Ce livre est en quelque sorte une boule de cristal pour qui veut s’y préparer.
Un regard sur l’avenir du secteur manufacturier
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Belgacom récompensé aux Data News Awards Le magazine ICT Data News a élu Belgacom ‘Telecom Services Company of the Year’ lors de la quatorzième édition des Data News Awards for Excellence, le 26 avril 2013. Traditionnellement organisé à Tour & Taxis, ce prestigieux événement a rassemblé le gratin de l’ICT belge. Le jury a expliqué que
la victoire de Belgacom était largement due à la bonne intégration de l’offre Proximus au sein de Belgacom. Bart Van Den Meersche, Executive Vice President Enterprise Business Unit, a reçu au nom de Belgacom l’award ‘Telecom Services Company of the Year’ des mains de Luc Verbist, CIO de De Persgroep.
XperienceIT2.013
Devenir un service numérique
Il fait bon travailler chez Belgacom ! Cette année encore, Belgacom a reçu le certificat ‘Top Employer’ de Belgique, décerné par le CRF Institute à 54 entreprises qui se distinguent par les excellentes conditions de travail offertes à leurs collaborateurs. L’évaluation repose sur divers critères : salaire et conditions de travail secondaires, formation, possibilités de promotion interne et culture de management.
Le jeudi 25 avril, Belgacom a organisé la quatrième édition de XperienceIT2.013 à l’Event Lounge à Evere. “Aujourd’hui, nous voyons que la plupart des organisations commencent à offrir des services dans le monde digital. Elles deviennent des fournisseurs de services numériques. Le début d’un tout nouveau modèle d’entreprise”, dit Kris Verheye, VicePrésident Corporate Market Belgacom, qui a ouvert cette nouvelle édition de XperienceIT2.013. Il a souligné les quatres dimensions dans lequelles les fournisseurs de services numériques peuvent agir: business to business, business to consumers, business to employees, business to machine. “La transformation d’une organisation en un fournisseur de services numériques engendre
de nouveaux besoins, en particulier dans le domaine de l’ICT. Je suis convaincu que nos services et solutions peuvent assurer la confiance de vos clients dans votre business et que vous pouvez élaborer un nouvel écosystème numérique durable”, a déclaré Kris Verheye. Belgacom a offert pour chacune des quatre dimensions des ateliers présentant des solutions pour augmenter la réussite commerciale, la visibilité, la crédibilité et l’engagement des employés. En outre, il y avait la zone Xperience de Belgacom et ses partenaires - un endroit idéal pour nouer des contacts, se restaurer ou boire un verre !
Telindus Luxembourg lance un service de cloud en libre-service Telindus Luxembourg a récemment lancé U-cloud, un data center virtuel en libreservice, afin de répondre à la demande grandissante
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de services IT dans le cloud. L’opération s’est déroulée sous la ‘marque’ Telindus Telecom, qui est désormais le fournisseur de services
cloud le plus connu au Luxembourg. L’organisation a été primée pour son offre à quatre reprises ces dernières années. Les clients de U-cloud
peuvent composer leur data center virtuel à la carte, via une connexion internet, et le modifier facilement au besoin.
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Ne parlez pas de temps mais de productivité “ Une seule chose compte et doit être contrôlée : le résultat. Peu importe quand et comment vous y arrivez.”
Demandez à une centaine de cadres ce que signifie pour eux le ‘Nouveau Monde du Travail’… Le constat est navrant, mais une majorité énoncera une série de lieux communs sur le ‘télétravail’, le ‘travail à domicile’ et les ‘bureaux satellites’. Dommage car le télétravail n’est qu’un aspect du Nouveau Monde du Travail. À l’heure actuelle, la situation est généralement la suivante : le travailleur ‘autorisé’ à télétravailler doit se connecter au VPN à 9 h au plus tard. Pendant une journée de travail ordinaire, il enverra certainement deuxtrois mails pour expliquer ce qu’il est en train de faire et recevra probablement quelques appels en guise de contrôle. Le lendemain, il est censé aller au bureau et fournir un rapport détaillé sur ce qu’il a fait la veille. Pour ma part, ce ‘nouveau travailleur’ me fait plutôt penser à un prisonnier assigné à résidence avec bracelet électronique. Or le Nouveau Monde du Travail n’a absolument rien à voir avec le tableau brossé ci-dessus. Il permet de travailler où et quand vous le voulez, en toute liberté et dans une confiance totale. Une seule chose compte et doit être contrôlée : le résultat. Peu importe quand et comment vous y arrivez. Les deux seuls points sur lesquels le supérieur doit être clair et précis sont ses attentes et le délai. Point final. Bref, un changement de mentalité radical s’impose. Dans la plupart des sociétés et des services publics, la culture d’entreprise est toujours définie en fonction du petit pourcentage de travailleurs qui doivent impérativement se trouver sur place. Et qui conditionnent tout le reste de l’organisation. Absurde, n’est-il pas ? Dans le Nouveau Monde du Travail, le supérieur reçoit aussi un autre rôle : il n’est plus celui qui contrôle, mais celui qui oriente, aide à évoluer et à donner le meilleur de soi. Ne croyez pas pour autant que le Nouveau Monde du Travail est la panacée. Quelqu’un qui exerce un travail essentiellement intellectuel, basé sur le savoir et la réflexion, sera parfois cent fois plus productif s’il peut travailler dans une parfaite concentration, sans être dérangé comme au bureau. C’est moins vrai pour les travailleurs qui accomplissent surtout des tâches manuelles et pour qui le ‘temps’ reste le facteur déterminant de la productivité.
Identikit Frank Van Massenhove (Zerkegem, 1954) ) a étudié le droit à l’Université de Gand. Après avoir travaillé dans plusieurs cabinets, il a pris la tête du SPF Sécurité sociale en 2002 et en a fait un service public moderne et performant. Il a été élu Manager public de l’année en 2007.
Souvent encore, les syndicats comme les managers se laissent difficilement convaincre des avantages du Nouveau Monde du Travail. Ils devront pourtant y croire un jour. Car s’ils ne se font pas rattraper par la concurrence, ce sera par l’ère du temps. J’en ai la ferme conviction.
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