GUIDEMAITRISE MOBILISATION HABITANTE GUIDE D’OUVRAGE
MERCI
Les documents que vous avez entre les mains sont le fruit d’une aventure passionante et profondément collaborative. C’est aussi la réunion d’une incubation de 8 mois en 2016 par le LabCDC (Architecture de la transformation) et du programme de recherche sur le réemploi REPAR (pilote Bellastock, partenaire ici sollicité : CSTB, lauréat des Appel à Projets 2012 et 2014 Déchets BTP de l’Ademe). Lucas Colombies, chef de projet du NPNRU du Clos Saint Lazare à l’Oph 93, a piloté ce projet avec, l’équipe Bellastock : Julie Benoit, Mathilde Billet et Antoine Aubinais - qui ont apporté leur expertise réemploi et leur savoir faire d’architectes de terrain. Ils saluent ensemble l’investissement personnel et professionel de toutes ces personnes qui ont contribuées à la réussite du projet : Sabine Parnigi-Delefosse et Daniel Jasmin du LabCDC, qui n’ont eu de cesse de nous motiver et nous appuyer dans nos démarches. Pierre Guillard, directeur de la maitrise d’ouvrage de l’Oph 93, convaincu de la première heure du projet. Sylvain Laurenceau du CSTB pour sa précieuse double casquette d’économiste partenaire de REPAR et du LabCDC. Laurent Chateau de l’Ademe et Rym Mtibaa de la Région IDF pour leur indéfectible soutien depuis 2012. Notre expertise réemploi vous doit beaucoup! Monsieur le Maire de Stains Azzédine Taïbi, pour son support au projet et sa bienveillance.
Violette Arnoulet, Odile Rosset et Virginie Kouadio de l’UTRU Stains de Plaine Commune. Des heures de travail technique et de relais auprès des habitants sans lesquelles notre démarche n’aurait pas pu s’ancrer dans le quartier. Mathilde Lagrange, Doudou Mbaye et Catherine Carmin de la Régie de Quartier de Stains. Votre conviction dans l’expérimentation et vos contributions n’ont eu de cesse de nous tirer vers le haut! Franck Kandot et Clémentine Nabwenge Lobota de la Closerie du Lézard. Quel beau programme culturel pour la Fabrique du Clos l’été 2016, et quelle aide précieuse sur nos chantiers! Rayan, Ali, Bouchera, Axel, et tous les habitants du Clos pour leur si belle énergie créative. L’équipe Bellastock élargie, avec tous ses talents : Léo Nguyen, Liina Metsaots, Margaux Servans-Lessieu, Frédéric Keiff, Sébastien Dumas, Grégoire-Diagito Saurel, Louise Mallard, Alexis Leclercq, Baptiste Furic, Cyrille Cost, Paul Chantereau, Simon Jacquemin, les stagiaires chantiers ! Anna Larrègle - l’équipe ESS de Plaine Commune, pour votre bel esprit de synthèse, profitable à tous. Nawal El Hasnaoui et l’équipe Contrat de Ville. L’équipe Forbéton, avec Pedro. L’équipe Brunel, avec Kaita. Pardon aux oubliés, en espérant qu’il n’y en ait pas...
Construction du Clos Saint Lazare, Stains, 1967-69
RĂŠhabilitation de 1985
SOMMAIRE GUIDE MAITRISE D’OUVRAGE
Projet Contexte urbain Objectifs
Réussite Acteurs Offre
Nouveau pilotage Nouveau programme Nouveau diagnostic
Nouvelle gouvernance Nouvelle logistique du site Ouvrage Opus icertum Pierres sèches Pavilllon local Résultats
Analyse économique - revêtement piéton en pierre de béton Analyse économique - pavillon local Analyse économique - éléments de prospective Mobilisation - compétences Technique
06 08 10 12 14 16 18 20 22 24 26 28 30 34 38 42 44 48 52 54 56
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PROJET REPAR EPP
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PROJET
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PROJET
Contexte urbain
Démolitions suivies Recyclerie ouverte La Fabrique du Clos
REPAR EP P REPAR EPP
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ANRU
EXPERIMENTATION
La rénovation urbaine du Clos SaintLazare - Convention signée en 2006 avec l’ANRU -Territoire NPNRU - Un projet partenarial avec un financement multipartite de 194 millions d’euros Principaux intervenants : - Ville pour la rénovation et la création d’équipements publics - Plaine Commune pour la requalification de l’espace public: voies, places et les aires de jeux - L’oph 93 pour la réhabilitation des logements, création de résidences, les démolitions et constructions neuves
Une recyclerie dédiée au réemploi Dans une filière de réemploi de matériaux, il y a plusieurs étapes opérationnelles qui se succèdent. La collecte de matière, son transport, son stockage et sa valorisation, puis la fabrication d’un produit et son écoulement.
Objectifs du Projet de Rénovation Urbaine - Ouvrir le quartier sur la ville - Améliorer le cadre de vie, les services, l’offre de logements et le confort des habitants Objectifs du Projet de filière réemploi en lien avec le NPNRU - Repérer les gisements de béton propice au réemploi dans les démolitions à venir - Repérer les futures constructions pouvant intégrer du réemploi - Déterminer les composants d’ouvrage à imaginer en réemploi et le protocole de prescriptions associé - Implanter au coeur du quartier un équipement de chantier dédié aux prépartions des matériaux à leur réemploi - Impulser une filière économique ancrée dans le quartier
Pour avoir un interêt économique, il faut bénéficier d’une expertise réemploi portée par les maitrises d’oeuvre de démolition et de construction, voir par un assistant à maîtrise d’ouvrage réemploi. Cela permet de garantir l’écoulement de la matière car le choix des collectes est fonction de la demande qu’il peut exister dans les futures constructions du quartier. Egalement, il faut limiter au maximum l’immobilisation des stocks de matière. Pour cela, nous développons une recyclerie mobile qui se déploie sur un foncier vacant du quartier le temps du renouvellement urbain, avant de se replier et partir sur d’autres chantiers. Cette expérimentation de recyclerie se fonde sur deux objectifs majeurs à long terme pour essaimer une culture du réemploi: la mise en place d’une filière de réemploi et la mise en place de chantiers ouverts qui expérimentent l’architecture du réemploi.
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PROJET
Objectifs
Quatre composants d’ouvrage réemploi créés in vivo, in situ
Façades en voiles et lamelles béton
Revêtetement de sol et murets en béton morcelé
REPAR EPP
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Architecte AMO Diagnostic Ressources Option : MOE Démol Architecte AMO Option : Architecte MOE Option : MOE Démol
Architecte MOE Architecte MOE
Option : Architecte MOE
Les marchés des opérateurs our un
P
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Les marchés des opérateurs
tion sélective
Démolition / collecte
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finition
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en oeuvre constructif
Préparation fineMarchés CConstruction Multi-sites
Marchés A 2 Multi-sites
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artisanale : du produit réemploi
Construction
Préparation fine
Marchés A Démolition / collecte Multi-sites
mécanique nt au réemploi
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Marchés C 6 Multi-sites
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5
> Coût global > 2Garantie produit > Traçabilité
un territoir
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Marché B 4 Inter-chantier
Une unité de production de chantier in situ avec une nouvelle gouvernance de la matière et une gestion en coût global
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P
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Maitre d’Oeu
vr e
e
> Méthode de projet adaptée > Prescription facilitée > Encadrement technique
> Sensibilisation Zéro Déchet > De nouveaux métiers > Un quartier mobilisé
Des outils d’analyse et de conception qui permettent la collecte de béton dans les démolitions et la prescription du réemploi dans les nouveaux ouvrages
Une culture du réemploi qui se met en place autour d’une filière locale, fabrique de nouveaux métiers et d’appropriations habitantes pour le quartier
PREPARATION AU REEMPLOI IOLPMEER UPREPARATION A NOITARAPERAU P REEMPLOI 11
prévue à cet effet, enfin des ateliers de réparation vélo sont assurés par la régie de quartier. Le container du site a été transformé en cuisine, de manière à offrir un lieu de préparation et de vente de cuisine du monde aux visiteurs.
Réussite
LE CONTEXTE
PROJET
Les guinguettes du Clos Saint-Lazare, sont organisées par la Closerie du Lézard, collectif habitant engagé dans le projet depuis 2015. Chaque été il propose de s’emparer de la friche du 11, allée Francis Carco pour que les habitants du quartier puissent participer à des activés sportives et de loisirs. Une convention tripartite a été signée entre OPH 93, propriétaire du site, Bellastock, pour expérimenter en réemploi, et enfin la Closerie du Lézard pour l’usage estival du site.
RESULTAT
Vuevéfifie depuisles la cuisine, La recyclerie est le lieu d’échange où l’on facteurstable de haute succès
La guinguette a été un franc succès, à l’unanimité : pour l’organisation « La Closerie du Lezard » l’occasion de travailler en équipe et tester leur structure nouvellement créée, pour les habitants un temps estival agréable quand les REPAR EPP finances ne permettent pas de partir en vacances, enfin pour Bellastock une très belle occasion de parler de nos travaux autour du réemploi avec les habitants du Clos.
La fabrique du Clos
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s ccè ! u S CH TE
4 procédés constructifs validés techniquement
s ccè u S V! EN
s ccè Su O! EC Coût procédé constuctif réemploi = classique
s ccè ès u c c S ! Su PLOI AB H Appropriation EM
Bilan carbonne Compétence matière + transport 1 filière d’insertion locale réemploi < classique
Des chantiers Des ouvrages De l’histoire
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PROJET
Acteurs
Les acteurs dâ&#x20AC;&#x2122;un projet circulaire Source : Hack-archi
REPAR EPP
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L’ÉQUIPE les pilotes Maîtrise d’ouvrage - Bailleur Assistant à maîtrise d’ouvrage - Expert Réemploi
Administrent la commande avec : • Service MOA • Service Technique • Service Marché • Service Juridique Pilotent les étapes de réalisation avec : • Entreprise Démolition • Entreprise Préparation au réemploi (ESS) • Entreprise Construction • Laboratoires Indépendants (Essais) Font la synthèse des études réemploi avec : • BE Démolition • MOE Construction • Bureau de Contrôle • Coordinateur Sécurité et Prévention Santé
Organisent les partenariats avec : • le Territoire : Ville, Agglomération, les Habitants • les financeurs : Etat Conseil Départemental, Conseil régional, bailleurs, opérateurs • les appuis technico-financiers : Ademe, CDC, ... pour le surcout à l’expérimentation / à la démonstration
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OFFRE REPAR EPP
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OFFRE
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OFFRE
Nouveau pilotage
Réemploi de béton en Renouvellement Urbain
Gouvernance Sans
Gouvernance Avec
REPAR EPP
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RÉEMPLOI DE BÉTON EN RENOUVELLEMENT URBAIN
UN NOUVEL OPÉRATEUR
Le rôle du bailleur change : il mandate des entreprises pour des services de démolition / construction, mais reste responsable de sa matière. Il complète également les missions de ses maîtres d’oeuvre (de démolition, de construction) d’une expertise réemploi.
Un nouvel opérateur entre en jeu, en charge de la préparation du matériau capté sur la démolition pour en faire un matériau de construction adapté à son nouvel usage. C’est la clef de la filière réemploi, en économie circulaire.
LES ÉTAPES Pour cette filière de réemploi de béton : - Trois techniques adaptées à la démolition pour la collecte de béton broyé, morcellé et intègre : le criblage, l’abattage sélectif, la démolition sélective. - Deux niveaux de préparation de la matière : un premier niveau mécanique avec les moyens du démolisseur, un second niveau artisanal avec une montée en compétence d’opérateurs locaux comme la Régie de Quartier - Un développement logistique adaptée avec le transport et le stockage de la matière au coeur de la recyclerie de quartier : la fourniture du matériau de construction est prise en charge par le couple bailleur / opérateur spécialisé. Il n’y a plus d’évacuation de déchets vers les filières de recyclage par le démolisseur, ni d’achat de matériaux neufs par le constructeur. - Une mise en oeuvre, finition comprise, qui reste globalement inchangée.
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OFFRE
Nouveau programme
LE PLAN D’EXPERIMENTATION 1-DIAGNOSTIC 3-OCCUPATION EPHEMERE D'UNE FRICHE 4-PROTOTYPES EN REEMPLOI
Mai - Octobre
Expérimentation réemploi
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Mars - Avril
t Sep #3
bre -
O
processus itératif
2
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c
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r
t ou tobre
#1 Mai - J u rint Sp int #2 Jeumillet - A in
Sp
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5-VALIDATION
Novembre
Déconstruction sélective
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Reproduction
6-PRODUCTION EN SERIE 2-DECONSTRUCTION SELECTIVE
Exemple de plan d’expérimentation, pour la Fabrique du Clos Source : Hack’archi
REPAR EPP
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FICHE PROGRAMME La fiche programme est une nouvelle composante du programme utile à la consultation d’AMO expert réemploi, de maitrise d’oeuvre démolition, urbaine ou encore architecturale d’un projet. Elle cadre la commande d’un diagnostic réemploi et s’illustre par le plan d’expérimentation prévisionnel qui s’accorde au planning projet et travaux. Grâce à la fiche programme le maître d’ouvrage pourra répondre aux questions suivantes : - Quel gisement ? - Quel domaine d’emploi ? - Quelle faisabilité volumes/formes ? La fiche programme est la feuille de missions pour établir un diagnostic ressource, qui définit les bétons ciblés et leur réemploi admis. C’est en quelque sorte la nomenclature du diagnostic ressource, réalisé à partir d’un guide technique CSTB (en annexe).
Le diagnostic permettra à chaque notification de maîtres d’oeuvre de savoir se situer dans l’enchainement des maillons de la filière : - Il s’agit d’assurer la collecte du béton dans les démolitions, avec une méthode adaptée au exigences géométriques du matériau à obtenir. - Ensuite il convient de piloter la préparation du matériau obtenu en un produit de construction. - En parallèle, il faut accompagner la maîtrise d’oeuvre urbaine à la prescription de produit de réemploi dans ses fiches de lots architecturales et paysagères. - Enfin, il faut faciliter le dialogue entre la maîtrise d’oeuvre notifiée pour un lot à bâtir / paysager et son contrôleur technique, pour assurer l’intégration de réemploi dans la conception et la réalisation de son ouvrage.
Le diagnostic est l’étape clef où l’on vérifie la faisabilité d’une filière et l’on fixe les niveaux d’exigences pour chaque indicateur de succès.
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OFFRE
Nouveau diagnostic
Un diagnostic réalisé par des architectes de terrain REPAR EPP
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DIAGNOSTIC RESSOURCES Le diagnostic ressource est complémentaire au diagnostic déchet, règlementaire pour tout bâtiment à déconstruire de plus de 1000m². C’est un dossier qui se rédige en trois parties, à partir d’un guide technique du CSTB. Le diagnostic ressources est ce que commande le MOA à son MOE / AMO réemploi au travers de sa fiche programme. C’est l’outil de dialogue entre le Maître d’ouvrage et l’ensemble de ses Maîtres d’oeuvres. Tous les documents ici listés sont intégrés au guide Maîtrise d’œuvre du réemploi. 1. En préalable : Le guide pratique du réemploi de béton, du CSTB : il présente l’ensemble des points d’attention techniques préalables à l’impulsion d’une filière réemploi. Il permet par un ensemble de contrôles et d’autocontrôles simples de vérifier l’état des bétons ciblés, tant du point de vue de leur résistance mécanique que du point de vue de leur durabilité. 2. Le diagnostic ressource, à la charge d’un maitre d’œuvre ou expert réemploi AMO. Organisé en 3 parties distinctes, ce diagnostic se rédige en suivant le guide pratique du CSTB. :
- Partie 1 : Diagnostic des performances d’un élément béton. Objectif : établissement d’un niveau de confiance qui flèche un domaine d’emploi (muret, voile, lamelle, opus) > Investigation documentaire : consultation des plans DOE et archives > Reconnaissance in situ : relevé visuel et sondage > Essais en laboratoire : essais et exploitation des essais - Partie 2 : domaine d’emploi visé / utilisation visée. Objectif : définir les étapes nécessaires à l’intégration de réemploi dans un ouvrage, sur la base de 4 documents illustrés : > Organigramme pour déterminer les possibilités de réemploi > actions techniques à prévoir > Fiches techniques gisement /composant d’ouvrage/ mise en œuvre du produit - Partie 3 : Faisabilité technique et logistique. Objectif : s’assurer que les contraintes de sites et de méthodes n’empêcheront pas le réemploi : > Préconisation pour la collecte : fiche méthodologique de déconstruction > Préconisation pour le marquage : étiquetage du matériau pour garantir sa traçabilité > Préconisation pour le stockage : plan d’impact sur foncier disponible > Tableau des quantités de collectes à atteindre > Préconisation pour l’intégration : contacter un Bureau de contrôle > Préconisation pour la mise en œuvre: contacter un CSPS
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Gouvernance Sans
Nouvelle gouvernance
OFFRE
SANS REEMPLOI
MOA espace public
Gouvernance Avec AVEC REEMPLOI
REPAR EPP
MOA espace public
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DECHET, MATIERE ? Un matériau sélectionné au réemploi ne sera pas un déchet à la démolition de l’ouvrage qui l’intègre. Le code de l’environnement précise qu’il n’y a pas de notion de propriété des déchets, mais une responsabilité partagée entre un producteur et un détenteur. Donc si l’on souhaite être propriétaire d’un matériau ou d’un produit, il faut s’assurer que celuici ne deviendra pas un déchet. Pour cela il convient de se mettre dans une position où il n’y a pas de doute quant à la gouvernance de la matière. La clef est l’anticipation par des études préalables : le diagnostic ressource est l’outil principale de décision du maitre d’ouvrage pour se saisir / ou se désaisir d’un matériau, à la condition qu’il apporte les réponses aux craintes liées à sa gouvernance. Dans ce sens, l’étude freins et leviers réemploi de l’Ademe (2015) établit des recommandations et un plan d’actions pour lever les principales inquiétudes en terme de traçabilité et d’assurabilité des produits de réemploi. Voilà notre lecture des 4 points d’attention à retenir, qu’il convient de faire figurer dans le diagnostic : - L’intention de se défaire de la matière en vue d’un réemploi doit être justifiée (le diagnostic doit donc sécuriser la collecte d’un matériau pour un ou des domaines d’emploi précis). C’est la solution pour quitter la responsabilité déchet vers une garantie produit.
- Le choix de l’usage (même usage / usage détourné) doit être justifiable techniquement (rôle du guide de bonne pratique du CSTB) - Les traitements ou contrôles ou leur absence pour préparer les matériaux en nouveau produit de construction doivent être annoncé. Lorsqu’il est convenu qu’un matériau peut intégrer une filière de réemploi, c’est à dire lorsqu’un maitre d’ouvrage a convenu de l’intention de s’en défaire au profit d’un autre maitre d’ouvrage (ou d’un autre de ses services / projets), il faut acter la cession du matériau par contrat. Ce contrat peut prendre la forme d’une convention de cession, de don ou de vente. Le maitre d’ouvrage d’entrée intègre cette pièce à un CCAG démolition, qui aujourd’hui ne connait pas les notions de déchets ou de produits. L’enjeu de cette nouvelle gouvernance : transformé le point de rupture à l’articulation démolition / construction en un nouveau marché de service. Les frais de mise en décharges puis de fourniture de nouveaux produits laissent place à des emplois dédiés à la valorisation in situ et in vivo de matériaux de seconde vie. En plus du bénéfice socio-économique, notons le gain environnemental non négligeable grâce à l’absence de transport et de dépense énergétique lié à son traitement.
- Le matériau doit pouvoir être traçable avant son réemploi, donc il faut justifier les choix de localisation du réemploi (sur site / pas sur site)
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OFFRE
Nouvelle logistique de site Recyclerie Mobile
ORGANISATION DE TOUTES LES NOUVELLES ETAPES OPERATIONNELLES. Au coeur du dispositif, la Recyclerie de quartier, sur un foncier vacant.
ance Avec REPAR EPP
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LA FILIERE REEMPLOI - La collecte du matériau dans un gisement - La préparation du matériau en produit de construction - L’intégration du produit dans un ouvrage
Coordonner
LA GESTION DE FRICHES - Un usage aux fonciers vacants dans le temps long d’un PRU - Une activité économique et culturelle sur un délaissé urbain
IDENTIFIER LES ACTEURS La recyclerie est un lieu de vie de quartier. Il ne fonctionne qu’avec la reconnaissance d’acteurs relais (Régie, Amicale locataires... )qui doivent participer à sa programmation opérationnelle et culturelle.
TESTER LES PRODUITS La recyclerie sert à construire des composants d’ouvrages en réemploi autant qu’à ouvrir culturellement le quartier. C’est une vitrine où l’on teste à l’usage les nouveaux prototypes, et où l’on propose des animations festives tout au long de l’année.
Préfigurer 27
OUVRAGE REPAR EPP
28
OUVRAGE
29
4%
VOLUME DE BETON
Gisement : Cloisons préfa tridemensionées armées de 8cm d’ép.
Captation : Abattage sélectif avec engins du démolisseur
PE RT
E
:1
OUVRAGE
Opus Incertum
PE
RT
E
:0
%
BETON PREPARATION
- Morcellement au Brise Roche Hydraulique - Préparation fine par pince Coupe Boulon => Les morceaux conservervent 2 faces plates - Taille et Pose par paveur / artisan pierre sèche
BETON MIS EN OEUVRE
Pose scellée
Pose sèche encimentée REPAR EPP
Pose sèche engazonée
30
开 䐀椀愀最渀漀猀琀椀挀 愀氀椀猀攀 瀀愀爀琀椀爀 搀攀 洀漀爀挀攀愀甀砀 搀攀 戀琀漀渀 椀猀猀甀猀 搀攀猀 䰀攀 搀愀氀氀愀最攀 愀 琀 爀愀氀椀猀攀 瀀愀爀琀椀爀 搀攀 洀漀爀挀攀愀甀砀 搀攀 戀琀漀渀 椀猀猀甀猀 搀攀猀 攀渀琀猀 搀攀 氀愀 琀漀甀爀 吀⸀ 䰀愀 琀爀愀渀猀昀漀爀洀愀琀椀漀渀 搀攀猀 洀甀爀猀 攀渀 洀甀爀猀 搀ᤠ愀瀀瀀愀爀琀攀洀攀渀琀猀 搀攀 氀愀 琀漀甀爀 吀⸀ 䰀愀 琀爀愀渀猀昀漀爀洀愀琀椀漀渀 搀攀猀 洀甀爀猀 攀渀 渀挀攀猀猀椀琀攀 瀀氀甀猀椀攀甀爀猀 琀愀瀀攀猀⸀ 搀愀氀氀愀最攀 搀攀 戀琀漀渀 渀挀攀猀猀椀琀攀 瀀氀甀猀椀攀甀爀猀 琀愀瀀攀猀⸀
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31
OUVRAGE
Opus Incertum
REPAR EPP
32
Descriptif technique dans le guide Maitrise d’oeuvre
OPUS INCERTUM DEMOLITION CONSTRUCTION
18/10/2016 Réemploi de matériaux pour la démolition du bâtiment T6 «Clos Saint Lazare» à Sains rue A. Lamartine
DPGF FICHES MATÉRIAUX CCTP REEMPLOI
DPGF FICHES MATÉRIAUX CCTP REEMPLOI
Lot : CLOISONS BETONS 8cm Famille : Béton Descriptif technique DPGF FICHES MATÉRIAUX CCTP REEMPLOI Lot : : Opus incertum CLOISONS BETONS 8cm Destination Famille : en Béton Provenance et lieu de stockage Collecte : phase abattage Destination : Opus incertum MATERIAU : BETON
Unité Poid / densité Quantité unitaire demandée aucune photo associée
Lot : CLOISONS BETONS 8cm VIE 1 cloisons béton de 8cm construction de 1968 à STAINS DETAIL DE MISE EN OEUVRE Famille : Béton Méthodologie ETAT bon Destination : Opus incertum NATURE - : BETON MATERIAU DENSITE Tonnes MASSE SURFACIQUE 2,3 T par m3 1 METHODOLOGIE COLLECTE CLOISONS BETON 8cm/ TRANSPORT /VIE STOCKAGE 4x (6,4+11,6) = 72m2 aucune photo associée => Après curage , début des travaux de démolition sélective, abattage, écrétage. ETAT soit 19,76 tonnes
cloisons béton de 8cm construction de 1968 à STAINS
DETAIL DE MISE EN OEUVRE
Quantité totale demandée
72m2/étage soit 19,76 tonnes/étage
Quantité totale restant après morcelage des voiles
environ 40% de perte soit 43,2m2 /étage ou 11,9tonnes/étage
bon
NATURESO Quantité m3/m2/Q fin de prépa 1 DENSITE MASSE SURFACIQUE Quantité m3/m2/Q fin de prépa EXIGENCES géométriques
QuantitéGENERALITES SO m3/m2/QMoins de 25kg si manutention manuelle Epaisseurs : fin de prépa 1 2cm < épaisseur < 6cm piéton Quantitéépaisseur > 6cm voierie léger et plus à fournir m3/m2/Qdifférence entre 2 mesurages de l'épaisseur sur une même bon état 11,6m2 fin de prépa dalle < 3mm. gabaritsE entre 20 et 40cm. A EXIGENCES 6,4m2 Murs tridimentionnels situés sur chaque étage, ils séparent salon et couloir, de 8cm Les GENERALITES Planéité etdépaisseur. courbure géométriques cloisons entre chambres en béton Moins de 25kg si manutention manuelle ENTREEdeT68cm Epaisseurs : EXIGENCES -Porosité selon NF EN<1936 2cm épaisseur < 6cm piéton mécaniques 3_ Préconisations de déconstruction en vue du -Abrasion NF EN 14157 Localisation des cloisons béton et soin mursparticulier. tridimentionnels épaisseur > 6cm voierie léger et plus C collecte: Dito méthode entreprise, sans Godet + BRH pour piquetage ou par tout moyen Bselon réemploi Usage individuel ≤ 42 mmentre 2 mesurages de l'épaisseur sur une même mise en œuvre dans le cadre de la phase d'abattage. Nous préconisonsoune collecte de grands différence Usage modéré ≤un32 mm fragments afin de limiter les mélanges avec d'autres matériaux. Ils serontomisen tascollectif bien distinct dans dalle < 3mm. o Usage collectif intense 22 mm premier temps. gabarits≤entre 20 et 40cm. Et en plus pour l’extérieur : courbure Planéité et 4_ Adaptation proposée par l'entreprise -Gélivité selon NF EN 12371 dépend de la zone de gel (24 à 96 cycles) (mémoire technique) EXIGENCES -Porosité selon NF EN 1936 -Glissance selon NF EN 14231 en milieu humide > 35 mécaniques -Abrasion selon NF EN 14157 (à remplir entreprise) Repérage des par cloisons ciblés sur les o Usage individuel ≤ 42 mm Repérage des cloisons ciblés (marquage AUTOCONTROLE o Usage collectif modéré ≤ 32 mm étages visés sur site), dito plan de repérage ci-dessus 5_Préparation au réemploi préparation : Les fragments obtenus à l'abattage doivent être fragmentés de manière à obtenir des collectif intense ≤ 22 mm o Usage Démolition ditograve. méthode entreprise, sans l’extérieur : morceaux calibrés, manipulables à la main tout en limitant la production de fine Ces matériaux Et en plus pour Démolition sélective doivent faire au minimum 200 mm dans leur diagonale la plus soin courte et 400mm maximum. particulier. Godet / BRH / pinceselon NF EN 12371 dépend de la zone de gel (24 à -Gélivité (récupération de la ferraille et évacuation des la grave et des hors gabarits par l'entreprise.) d’abattage ou par tout moyen mise en 96 cycles) Une autre option peut être de les secouer à la pince d'abattage, le secouage delales morceler. œuvre dans lepermettra cadre de phase d'abat-Glissance selon NF EN 14231 en milieu humide > 35 COMPOSANT D'OUVRAGE : OPUS INCERTUM JOINT SEC
Association Bellastock Siège : 60 Boulevard de la Villette - 75019 Paris Détail de la prestation Atelier : 9 Quai du Chatelier - 93450 L’Île-Saint1_ Etat actuel Denis 01.53.38.50.76 - contact@bellastock.com 2_ 934 Localisation SIRET : 522 806 00025 du gisement
Un mixe des deux méthodes peut être envisager.
tage. L’entreprise s’efforcera de collecter
SOLLICITATIONS résistance à afin lale rupture par fendage (MPa) conditionnement : Tous les fagments seront transportés par tombereau et fragments déposés sur site laen traction de grands dede limiter les fragment de voile AUTOCONTROLE d'environnement après abattage résistance enpar flexion Fabrique du Clos en tas allongé le long d'une voie décrite par mélanges le plan deet stockage BellastockCes avec lesdélivré autres matériaux. d'usage prendraélément rsistence charges Afin d'optimiser au mieux l'emprise sur siteetl'entreprise soin d'agencer tasaux dans un serontledéposés surpérimètre un d'exploitation tas du composant bien maîtrisé, en long, sur une faible épaisseur afin de garantirdistinct. un stockage ultérieur aux plus agressions aisé. résistance climatiques,
6_réception
d'ouvrage COMPOSANT D'OUVRAGE : OPUS INCERTUM JOINT SCELLE résistance à la glissance,
PLAN
Après collecte desconditionnement éléments en béton au Morcellement éventuel et ramassage Etat et tolérance : L’entreprise reste garant de la qualité des matériaux et de leur en SOLLICITATIONS résistance à la rupture en traction par fendage (MPa) moment dedul’abattage au godet état pendant toutes la durée du chantier de démolition et jusqu’à réception chantier. (cloisons) un d'environnement DTU 43.1 Travaux de bâtiment Étanchéité des et résistance en flexion DTU morcellement doit— être réalisé pour et après morcellement et d'usage toitures-terrassesrsistence et toituresaux inclinées avec éléments porteurs obtenirledes de gabarits entre 20 charges d'exploitation Transport logistique : transport par tombereau dépose en tas du allongé longpièces d'une voie déterminée composant en maçonnerie enrésistance climatpar de aux plaine agressions climatiques, A PLAN Ble siteC D du Clos. Tout matériaux E oud'ouvrage F enpas etrésidu 40 cm diamètre éliminant toute Bellastock sur de la Fabrique nede correspondant au gabarit pente NF P1,5% 98-335 Chaussées urbaines Mise en oeuvre des pavés résistance à la glissance, décrit ci-dessus ne devra pas se trouver dans ce stock de matériaux. zone trop ferraillée. Ce morcellement et dalles en béton, des pavés en terre cuite et des pavés et peut êtredalles réaliséenavec une pince d’abatPlan d'acheminement au lieu de stockage pierre naturelle DTU 43.1 — Travaux de bâtiment Étanchéité des DTU tage ou tout moyen déjà présent sur le aux pavés Distance démolition - lieu de stockage : norme NF EN 1338 spécifique de voirie en béton toitures-terrasses et toitures inclinées avec :éléments porteurs SO 300m chantier.ces normes définissent notamment résistance en maçonnerie en la climat de plaine
7_Transport logistique
8_ OPTION
Tri
caractéristique à NF la rupture par P1-1Travaux fendage minimale, la DTU 52.1 de bâtiments Revêtements de sol
A
B
C
D
pente 1,5% Association Bellastock 60 boulevard de la Villette 75019 Paris Siret : 52280693400025
Rédacteur : M.B. Contact : mathilde.billet@bellastock.com
COUPE
Rédacteur : M.B. Contact : mathilde.billet@bellastock.com
Association Bellastock 60 boulevard de la Villette 75019 Paris
E
résistance agressions scellés climatiques, résistance à la OPTIONNEL Tri par aux criblage
E Chaussées glissance, la différence maximale d'épaisseur sur unMise même NF P 98-335 urbaines en oeuvre des pavés
pavé à 3 mm), et lesdalles dimensions de joints entreen pavés à et des pavés et en béton, des pavés terre(2cuite Transport par(2 tombereau vers site de si plus épais, étude à prévoir sur la nature dalles enspécifique pierre naturelle stockage4mm; : la Fabrique du Clos. Décharmatériau de épaisseur jointement). a pas de prescription sur la se fait avec des Le jointement entre éléments de revêtement gement du étallé de faible surIl n'y BÂTIMENT T6 - CCTP RÉEMPLOI dimension des pavés. mortiers tels que défini dans le NF DTU 52.1 P1-2 20/10/2016 voie dédiée.
Siret : 52280693400025 REGLES de CALCUL Mise en oeuvre pavé béton sur lit de sable joints sec ou dalle
NF EN 13 242 (sable de lit de pose) (CGM). prescriptions d’emploi norme NF B10-601 BÂTIMENT T6 - CCTP RÉEMPLOI 20/10/2016 norme EN 1338 spécifique aux pavés de voirie en béton : pas de spécificités liées NF à l'ouvrage ces normes définissent notamment la résistance caractéristique à la rupture par fendage minimale, la résistance aux agressions climatiques, résistance à la glissance, la différence maximale d'épaisseur sur un même BÂTIMENT T6 - CCTP RÉEMPLOI pavé (2 à 3 mm), les dimensions de joints entre pavés (2 à 20/10/2016 4mm; si plus épais, étude spécifique à prévoir sur la nature du matériau de jointement.). Il n'y a pas de prescription sur la dimension des pavés.
A : pavé béton épaisseur > 6cm Association Bellastock 60 boulevard de la Villette B : lit de sable 6cm mini COUPE Rédacteur : M.B. 75019 Paris C : étanchéité Contact : mathilde.billet@bellastock.com Siret : 52280693400025 D : terrain Mise en oeuvre pavé bétonEVOLUTIONS sur lit de sable joints sec ou dalle E : joint sec sable 0,5mm passé au balai (avec incrustation de graines) POSSIBLES F : bordure bois cornière métal A :ou pente de 1,5 % minimumVERS UNE REGLE usage nécessaire d'une plaque vibrante B : béton PROFESSIONELLE pas de contrainte de largeur de joint si opus incertum C : mortier de scellement D : couche de désolidariation drainante REGLES de CALCUL 0 10cmE : terrain naturel 50cm F : bordure bois ou cornière métal
pas de spécificités liées à l'ouvrage
EVOLUTIONS surface en sol scellé 20m² maximum puis joints de fractionnement (5m max de côté) POSSIBLES pas de contrainte de largeur de joint si opus incertum VERS UNE REGLE 0 10cm 50cm PROFESSIONELLE
33
Gisement : Eléments béton variés peu ferraillés
VOLUME DE BETON
P + ERT R C E E M HU CU : 0 O TE P % RC S E EL DU RAT E I O BE ON PU T D S ON ES
OUVRAGE
Pierres Sèches
Captation : Abattage sélectif avec engins du démolisseur
Morcellement à la pince d’abattage Préparation fine Pince Coupe Boulon
PE
RT
E
:0
%
BETON PREPARATION
BETON MIS EN OEUVRE
Pose sèche
Pose sèche puis scellée à l’arrière par béton autoplaçant
REPAR EPP
Pose sèche puis scellée par béton autoplaçant et piquetage
34
开 䐀椀愀最渀漀猀琀椀挀Ⰰ 挀漀氀氀攀挀琀攀 甀渀攀 昀漀椀猀 氀攀 戀琀椀洀攀渀琀 琀攀爀爀攀
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35
OUVRAGE
Pierres Sèches
REPAR EPP
36
Descriptif technique dans le guide Maitrise d’oeuvre
MACONNERIE PAYSAGERE DEMOLITION CONSTRUCTION
18/10/2016 Réemploi de matériaux pour la démolition du bâtiment T6 «Clos Saint Lazare» à Sains rue A. Lamartine
DPGF FICHES MATÉRIAUX CCTP REEMPLOI
DPGF FICHES MATÉRIAUX CCTP REEMPLOI
Lot : BETON GRAVAS Famille : Béton technique MATÉRIAUX CCTPDescriptif REEMPLOI Lot : DPGF FICHESBETON GRAVAS Destination : Maçonnerie paysagère Famille : Béton Provenance et lieu de stockage Collecte : en phase abattage MATERIAU : BETON Destination : Maçonnerie paysagère Famille : Béton Méthodologie VIE 1 plancher/mur construction de 1968 à STAINS Destination : Maçonnerie paysagère DETAIL DE MISE EN OEUVRE ETAT
Unité Poid / densité Quantité unitaire demandée Quantité totale demandée
aucune aucune photo photo associée associée
SO 20m3
Association Bellastock Quantité totale Siège : 60 Boulevard de la Villette - 75019 Paris restant après 20m3 morcelage des Atelier : 9 Quai du Chatelier - 93450 L’Île-SaintDenis voiles 01.53.38.50.76 - contact@bellastock.com SIRET : 522 806 934 00025
Détail de la prestation à fournir
Quantité m3/m2/Q fin de prépa 1
SO
Quantité m3/m2/Q fin de prépa
environ 15m3
EXIGENCES géométriques
Tri des pierres de béton manipulables à la main. Gabarits : elles peuvent avoir des faces plates (issues de façades ou de planchers) et des faces irrégulières ou être irrégulières sur l'ensemble de leur enveloppe.
1_ Etat actuel
bon état
2_ Localisation du gisement
Planchers, façades, voiles, etc.
3_ Préconisations de déconstruction en vue du réemploi
collecte: Dito méthode entreprise, sans soin particulier. Il s’agit de récupérer une partie desdegravas béton réemploi EXIGENCES et ce quelque soit leur origine : façades, plancher, mur. ? déjà mis en
Gravas tout venant
Pierre de béton
mécaniques
4_ Adaptation proposée par l'entreprise
oeuvre sur site
AUTOCONTROLE
(mémoire technique)
(à remplir par entreprise)
Supprimer au maximum les pierres de béton possédant du ferraillage afin d'éviter sa corrosion et donc à terme leur l'éclatement.
5_Préparation au réemploi
préparation : Les fragments obtenus à l'abattage doivent être fragmentés de manière à obtenir des morceaux calibrés, manipulables à la main tout en limitant la production de fine grave. Ces matériaux doivent faire au minimum 200 mm dans leur diagonale la plus courte et 400mm maximum. (récupération de la ferraille et évacuation des la grave et des hors gabarits par l'entreprise.) Une autre option peut être de les secouer à la pince d'abattage, le secouage permettra de les morceler. Un mixe des deux méthodes peut être envisager. Béton
6_réception
conditionnement : Tous les fagments seront transportés par tombereau et déposés sur le site de la arrière d'environnement pression des terres, Fabrique du Clos en tas allongé le long d'uneet voie décrite par le plan de stockage délivré par pourBellastock d'usage glissement, solidification du Afin d'optimiser au mieux l'emprise sur site l'entreprise prendra soin d'agencer périmètre du composant butéele tas dans un muret bien maîtrisé, en long, sur une faible épaisseur afin de garantir un stockage ultérieur plus aisé. d'ouvrage
COMPOSANT D'OUVRAGE : MACONNERIE PAYSAGERE SOLLICITATIONS
résistance aux actions transmises par le sol : autoplaçant sur
DTU
NF DTU 20.1 P1-1 (octobre 2008) : Travaux de bâtiment -
4
aucune photo associée
4
Etat et tolérance : L’entreprise reste garant de la qualité des matériaux etOuvrages de leur conditionnement en de petits éléments - Parois et murs en maçonnerie état pendant toutes la durée du chantier de démolition et jusqu’à réception- du chantier. Partie 1-1 : Cahier des clauses techniques types +
Amendement A1 (juillet 2012) (Indice de classement :
7_Transport logistique
Transport logistique : transport par tombereau dépose en tas allongé le long d'une voie déterminée par P10-202-1-1) Plan au lieududeClos. stockage Bellastock surd'acheminement le site de la Fabrique Tout matériaux ou résidu ne NF correspondant au gabarit DTU 20.1pas P1-2 (octobre 2008) : Travaux de bâtiment Distance lieutrouver de stockage : stock de matériaux. décrit ci-dessus nedémolition devra pas- se dans ce Ouvrages en maçonnerie de petits éléments - Parois et murs 300m - Partie 1-2 : Critères généraux de choix des matériaux +
8_ OPTION
Lot :
Amendement A1 (juillet 2012) (Indice de classement : P10-202-1-2) NF DTU 20.1 P2 (octobre 2008) : Travaux de bâtiment Ouvrages en maçonnerie de petits éléments - Parois et murs Enduit - Partie 2 : Cahier des clauses administratives spéciales chaux-terre fibré types (Indice de classement : P10-202-2) HORS LOT NF DTU 20.1 P3 (octobre 2008) : Travaux de bâtiment Ouvrages en maçonnerie de petits éléments - Parois et murs - Partie 3 : Guide pour le choix des types de murs de façades en fonction du site + Amendement A1 (juillet 2012) (Indice de classement : P10-202-3) NF DTU 20.1 P4 (octobre 2008) : Travaux de bâtiment T6 - CCTP RÉEMPLOI BÂTIMENT - CCTP RÉEMPLOI Ouvrages BÂTIMENT en maçonnerie deT6petits éléments - Parois et murs 20/10/2016 20/10/2016 - Partie 4 : Règles de calcul et dispositions constructives minimales + Amendement A1 (juillet 2012) (Indice de classement : P10-202-4)
SO
BETON GRAVAS Association Bellastock Association Bellastock 60 boulevard de la60 Villette boulevard de la Villette 75019 Paris 75019 Paris Siret : 52280693400025 Siret : 52280693400025
Rédacteur : M.B. Rédacteur : M.B. Contact : mathilde.billet@bellastock.com Contact : mathilde.billet@bellastock.com
REGLES de CALCUL 0,55 pas de spécificités liées à l'ouvrage
Rédacteur : M.B. Contact : mathilde.billet@bellastock.com
0,45
ELEVATION côté pierres
0
10cm
Association Bellastock EVOLUTIONS 60 boulevard de la Villette 75019 Paris POSSIBLES Siret : 52280693400025
PLAN
0,45
BÂTIMENT T6 - CCTP RÉEMPLOI 20/10/2016
VERS UNE REGLE PROFESSIONELLE
0,45
bon
NATURE blanches / rouges dimensions +/- 80/150mm DENSITE Masse volumique de la brique est entre 1 MASSE SURFACIQUE 800 et 2100 Kg/m3 ou 1800 et 2100 Dan/m3 Brique pleine de 6.5*11*22 cm d'épaisseur : 200 Dan/m²
Tonnes 2,3 T par m3
ELEVATION côté béton autoplaçant
50cm COUPE
37
Gisement : Murs de refend banchés 14cm ep. VOLUME DE BETON
%
Captation : Déconstruction par sciage en oeuvre Collecte par pince d’abattage
PE RT
E
:0
OUVRAGE
Pavillon local
Découpe par scie diamant
PE
RT E
:2
1
%
BETON PREPARATION
BETON MIS EN OEUVRE
REPAR EPP
Produit A Voile redécoupée pour remplissage
Mise en oeuvre par entreprise de gros oeuvre
Produit B Lamelles pour pose verticale et horizontale
38
开 䐀椀愀最渀漀猀琀椀挀 攀琀 挀漀氀氀攀挀琀攀 攀渀 搀洀漀氀椀琀椀漀渀 猀氀攀挀琀椀瘀攀 䄀瘀愀渀琀 氀ᤠ愀戀愀琀琀愀最攀 搀攀 氀愀 琀漀甀爀Ⰰ 氀攀 搀洀漀氀椀猀猀攀甀爀 椀渀琀攀爀瘀椀攀渀琀 瀀漀甀爀 爀愀氀椀猀攀爀 甀渀攀 ᰠ搀洀漀氀椀琀椀漀渀 猀氀攀挀琀椀瘀攀ᴠ⸀ 䄀瘀攀挀 猀攀猀 瀀爀漀瀀爀攀猀 洀漀礀攀渀猀 琀攀挀栀渀椀焀甀攀猀 氀最攀爀猀 ⠀洀愀爀琀攀愀甀 瀀椀焀甀攀甀爀Ⰰ 猀挀椀攀 栀礀搀爀漀氀椀焀甀攀⤀ 攀琀 氀漀甀爀搀猀 ⠀瀀攀氀氀攀猀 搀攀 搀洀漀氀椀琀椀漀渀 洀甀渀椀攀猀 搀攀 瀀椀渀挀攀 攀琀 搀攀 最爀愀瀀瀀椀渀⤀Ⰰ 椀氀 爀挀甀瀀爀攀 氀攀猀 瘀漀椀氀攀猀 戀琀漀渀 搀愀渀猀 甀渀 琀愀琀 最渀爀愀氀 挀漀爀爀攀挀琀攀⸀ 唀渀攀 唀渀攀 昀漀椀猀 氀攀猀 瘀漀椀氀攀猀 挀漀氀氀攀挀琀猀Ⰰ 氀攀 搀椀愀最渀漀猀琀椀挀 搀攀 氀愀 搀洀漀氀椀琀椀漀渀 渀漀甀猀 瀀攀爀洀攀琀 搀攀 搀挀椀搀攀爀 搀甀 昀甀琀甀爀 搀漀洀愀椀渀攀 搀ᤠ攀洀瀀氀漀椀 搀攀猀 洀愀琀爀椀愀甀砀⸀ 匀漀椀琀 搀挀漀甀瀀猀 攀渀 氀愀洀攀氀氀攀猀Ⰰ 猀漀椀琀 挀漀渀猀攀爀瘀猀 攀渀 氀ᤠ琀愀琀Ⰰ 氀攀猀 洀愀琀爀椀愀甀砀 猀攀爀漀渀琀 洀椀猀 攀渀 漀攀甀瘀爀攀 搀攀 搀椀瘀攀爀猀攀猀 昀愀漀渀猀 瀀漀甀爀 爀愀氀椀猀攀爀 氀攀猀 昀愀愀搀攀猀 搀ᤠ甀渀 瀀愀瘀椀氀氀漀渀 瘀氀漀 攀琀⼀漀甀 瀀漀甀戀攀氀氀攀⸀
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39
OUVRAGE
Pavillon local
REPAR EPP
40
Descriptif technique dans le guide Maitrise d’oeuvre
MUR VOILE MUR LAMELLES DEMOLITION CONSTRUCTION
18/10/2016 Réemploi de matériaux pour la démolition du bâtiment T6 «Clos Saint Lazare» à Sains rue A. Lamartine DPGF FICHES MATÉRIAUX CCTP REEMPLOI DPGF FICHES MATÉRIAUX CCTP REEMPLOI
Lot : VOILES PREFABRIQUES DE REFEND PORTEUR DPGF FICHES MATÉRIAUX CCTP REEMPLOI Famille Béton Descriptif techniquePORTEUR Lot : : VOILES PREFABRIQUES DE REFEND DPGF FICHES MATÉRIAUX CCTP REEMPLOI Destination Famille : : Voiles Bétonou lamelles Provenance et lieu de stockage Collecte : en phase abattage Destination : Voiles ou lamelles Lot : VOILES PREFABRIQUES DE REFEND PORTEUR MATERIAU : BETON DETAIL DE MISE EN OEUVRE FamilleLot : : Béton VOILES PREFABRIQUES Méthodologie DE REFEND PORTEUR 4,45mX2,5m Unité Tonnes Immeuble de logements années 60, à Stains le Clos VIE 1 Destination : Voiles ou lamelles EN OEUVRE Famille : Béton Méthodologie DETAIL DE MISE Saint-Lazare. Entreprise GTE Poid / densité
Quantité unitaire demandée par étage Quantité totale demandée par étage
HYPOTHESES DE JONCTION SOL/LAMELLE Matériaux mur de refend banché MATERIAU : BETON béton de sable et gravillon pas d'image associée armature acier doux, TOR, et treillis soudés, polystyrène, ou Hypothèse de principe 2 HYPOTHESES DE JONCTION LAMELLE / LAMELLE Hypothèse de principe 1 METHODOLOGIE COLLECTE VOILES DE REFEND PREFABRIQUES/ TRANSPORT / STOCKAGE Immeuble deétanchéité logements années VIE 1 assemblée polyurethane expansé, matériaux pour des joints :60, à Stains le Clos mécaniquement posée => Après curage , début des travaux de démolition sélective. Saint-Lazare. Entreprise mousse de PVC ou de polyuréthane Elastomène 77.GTE 2 types de voiles : Hypothèse de principe 2 Hypothèse Matériaux mur de refend banché DETAIL DE assemblées MISE EN OEUVRE METHODOLOGIE COLLECTE VOILESde DEprincipe REFEND1PREFABRIQUES/ TRANSPORT / STOCKAGE MATERIAU : BETON 1/ 445cmX250cmX15cm (3,8T) lamelles mécaniquement barre ronde remplie 20 mm dia béton de sable et gravillon Murs de refends non ferraillés => Après travaux de démolition sélective. 2/ 400cmX250cmX15cm ( 3,4T) curage , début des par platine type barrette verticale + joint compribande acier doux, TOR, etde treillis soudés,années polystyrène, ou béton de 14cm d'épaisseur Immeuble 60, à Stains le Clos 1 armature + VIEjoint compribande éventuel DETAIL DE MISE ENlogements OEUVRE polyurethane expansé, matériaux pour étanchéité forte granulométrie 4mX2,5m 4mX2,5m Saint-Lazare. Entreprise GTE des joints : HYPOTHESES DE JONCTION SOL/LAMELLE 12 voiles par niveau béton de qualité moyennemousse de PVC ou de polyuréthane 77. Matériaux mur deElastomène refend banché 6 de type 1 MATERIAU : BETON béton de sable et gravillon 6 de type 2 porteurs HYPOTHESES DE JONCTION VOILE/DALLE Murs de refends armature acier doux, TOR, etde treillis soudés Hypothèse de principe 1 Hypothèse de principe 1 Immeuble logements VIE 1d'épaisseur COMPLETER RécupérationA des voiles préfabriqués au14cm béton de armées d'un treillis EN soudé et des années 60, à Stains le Clos DETAIL DE MISE OEUVRE Collecte par couchage/arrachageencuvement polystyrène, ou polyurethane expansé encuvement Saint-Lazare. Entreprise GTE fiches ? armatures Hypothèse de principe 1 2Protection Hypothèse demousse principede4 PVC ou de panier de tri. du grappin avec complémentaires matériaux nécessaires. pour étanchéité desmur joints Association Bellastock Matériaux de: refend banché Ferraillé plane : Elastomène encuvementun caoutchouc polyuréthane 77sable et gravillon si nécessaire. sur tranche de formes Lamelles bétonàde Lamelles non ferraillé ? aciers de liaison et tige de bouton scellée 8cm du haut du Siège : 60 Boulevard de la Villette - 75019 Paris
Destination : Voiles ou lamelles
2,3 T par m3
ou
voile béton Atelier : 9 Quai du Chatelier - 93450 L’Île-SaintPosé Denis ETAT avecNATURE ou sans joint
4,45mX2,5m
Détail de la prestation à fournir 1_ Etat actuel
ENTREE T6 bon état
DENSITE
HYPOTHESES DE JONCTION VOILE/DALLEou mur. voile béton
A COMPLETER
Lamelles mur. selon calculs ancrage par tige (barre ronde semelle ou remplie 20mm) emboitée dans SO Sur la tranche voile béton
Lamelles ce sont des dalles de béton de 14cm d'épaisseur armées d'un ou
à l'autre extrémité : treillis soudé et des armatures complémentaires nécessaires. A COMPLETER des éléments unsupérieure appareil d'appui constitué d'une sur tranche de formes plane : cornière dint une aile est échancrée est grâce à des aciers soudés. aciers descellé liaison et tige de bouton scellée à 8cm du haut du A COMPLETER mur.
fin de prépa 1 L’entreprise s’efforcera de collecter la plus ETAT bon grande longeur de voile possible. Quantité m3/m2/Q pieds de poteaux fixessans et tiges d'encrage fin de prépa L’objectifNATURE est d’obtenir un voile fisure lamelle verticale
Ferraillage calculs EXIGENCES courantselon
armature acier doux, TOR, et treillis soudés
Murs de refends porteurs polystyrène, ou polyurethane expansé Le voile collecté est déposé sur site detranche supérieure Sur la l'autre extrémité des éléments : Hypothèse bon ce sontetàdes de béton de 14cm d'épaisseur armées d'un de4 PVC ou de Hypothèse de principe 1 de principe Cornière tige dalles matériaux pour étanchéité des joints : mousse démolition sur bastaing (à prévoir par un appareil d'appui constitué d'une cornière dont une aile d'encrage treillis soudé et des armatures complémentaires encuvement polyuréthane Elastomène 77 nécessaires. échancrée grâce desformes aciers soudés. l’entreprise) dans une zone dédiée avant est scellée Semelle de à de sur tranche plane : béton coulé d’être chargé sur le camion plateau. aciers de liaison etMurs tige de scellée à 8cm du haut du debouton refends porteurs dimensions
Semelle de MASSE SURFACIQUE béton coulé dimensions Quantité m3/m2/Q selon calculs
mise en oeuvre DENSITE et rectangulaire tant que faire se peut.
voile béton
Cornière et tige d'encrage Semelle de
lamelle verticale mise en oeuvre
Ferraillage Lamelles selon calculs ou voiles voilebanchés béton
Lamelles ou
Sur la tranche supérieure l'autre extrémité : coulé Localisation des voiles , sur un étage béton à partirtechnique de lamelle de béton issues de verticale verticaleà scellée voile béton voiles de cloisonnement sur un étage courant, élément préfabriqué. Voir dossier MASSE SURFACIQUE Semelle de géométriques dimensions des éléments un appareil d'appui constitué d'une cornière dint épaisseur du mur 14cm Semelle de : de l'épaisseur ETAT béton bon coulé Cornière et tige calculs soudés. pieds de poteaux Une attention toute particulière doit être une aile est échancrée est scellé grâce à selon des aciers béton coulé sciage enm3/m2/Q forme de pavédimensions droit Cornière et tige Quantité d'encrage SO fixes et tiges d'encrage dimensions NATURE d'encrage selonqui calculs 3_ Préconisations de déconstruction en vue du largeur 15cm< >35cm porté à la manutention voiles fin de prépa 1 L des Semelle de collecte: Dito méthode entreprise, avec soin particulier selon calculs Semelle de DENSITE béton coulé longueur suivant collecte 20cm< L >200cm si ferraillées réemploi Quantité m3/m2/Q s’avère délicate moment dépose OBJECTIF : obtenir des morceaux de voiles de grandes dimensions au moyen misau en oeuvreMASSE parde laSURFACIQUE béton coulé dimensions longueur suivant collecte 20cm< L >100cm si non ferraillées Semelle de dimensions fin dechargement prépa selon calculs l'entreprise de démolition. sur bastaing, sur camion Ferraillage Ferraillage ETAT béton coulé bon Manipulation mécanique selon calculs selon calculs selon calculs Quantité m3/m2/Q Hypothèse : piquetage (optionnel) au pieds des éléments préfabriqués. Collecte par couchage/arrachage dimensions Ferraillage plateau, déchargement sur bastaing. SO EXIGENCES àsous partir de NATURE lamelle de calculs béton issues selon selon calculs mécanique fin de prépa 1 au grappin de tri protégé par des caoutchouc EXIGENCES - la stabilité sollicitations normales dont de- voiles banchés HYPOTHESES géométriques épaisseur :DENSITE de l'épaisseur du mur 14cm Numérotation des voiles ciblés DE sur FINITION un étage MUR LAMELLESNumérotation mécaniques écrasement Quantité m3/m2/Q des voiles pour faciliter le; Ferraillage MASSE SURFACIQUE sciage en forme pavé droit; et piquetage à leur pieds - la satisfaction aux thermiques etde acoustique finexigences de prépa selon calculs repérage et leur gestion ultérieurs. Ferraillage Ferraillage Hypothèse de principe 1 Dans la mise en oeuvre prendre en considération : largeur 40cm la tenue au feu de la paroi selon usage ; selon calculs selon calculs Une en attention Quantité m3/m2/Q SO plan particulière sera portée sur la qualité et l'état du morceau les dimensions de la lamelle longueur suivant collecte (environ EXIGENCES - assemblage facile, dimensions etfin poids un 200cm) àpermettant partir banché voile extrait. Les voiles fragilisés ne seront pas réemployés. de prépa 1 de béton sonen ferraillage Piquetages ponctuels pieds de aisé. mur Manipulation mécanique géométriques travail épaisseur : 10cm<e<35cm ici 14cm 4_ Adaptation proposée par l'entreprise m3/m2/Q sa portéesur Qualité produits pour durabilité et l’absence pour facilité le dégagement ducamion murdes deplateau Dépose avecgarantir bras leurQuantité largeur et largeur selon machine et découpe choisie (mémoire technique) fin de prépa EXIGENCES hauteur du mur construit la stabilité mécanique sous sollicitations normales dont d’entretien durant le vie de- l’ouvrage. refend préfabriqué.la de grue mécaniques sur bastaing. manipulation mécanique (à remplir par entreprise) On privilégiera les lamellesécrasement ferraillées ; EXIGENCES 5_Transport logistique à partir béton banché - la satisfaction aux exigences thermiques etde acoustique ; Transport logistique : dépose sur camion plateau avec bras de grue, empilés sur bastaings. géométriques épaisseur : 10cm<e<35cm ici 14cm AUTOCONTROLE - la tenue au feu de la paroi - selon usage ; Dépose sous forme de tas sur bataings sur site chantier expérimenta. 2_ Localisation du gisement
A COMPLETER A COMPLETER A COMPLETER A COMPLETER A COMPLETER A COMPLETER
UPN
Transport de la collecte vers site- chanlargeur et largeurunselon machine et découpe choisie assemblage facile, dimensions et poids permettant travail Deux voiles en angle
Deux voiles alignés EXIGENCES -la stabilité mécanique sous mécanique sollicitations normales dont manipulation tier :Bellastock et LAMELLES stockage des aisé. préparation : de finition COMPOSANT D'OUVRAGE MUR de écrasement ; Dans zone prévue pour scillage : découpe de propreté périphérique sur l"ensemble des voiles. matériaux sur bastaing (àmécaniques prévoir par des produits Qualité pour garantir leur durabilité et l’absence -l’étanchéité à la pluie pour les parois extérieures ; SOLLICITATIONS Découpe en lamelles pour certains. HYPOTHESES DE JONCTION résistanceVOILE/VOILE à la charge de rupture d’entretien durant le vie de l’ouvrage. l’entreprise) -la satisfaction aux exigences thermiques et acoustique ; d'environnement au sol matériaux à reconditionner par empilement propre sur bastaings (à prévoirrésistance par l’entreprise) -la tenue au feu de-la la paroi ; et d'usageHypothèse derésistance principe en pour des murs ferraillés à laplan compression EXIGENCES stabilité mécanique sous sollicitations normales dont assemblage facile,écrasement dimensions; et poids permettant un travail du composant résistance à la traction par flexion mécaniques AUTOCONTROLE d'ouvrage aisé. résistance au cisaillement Etat et tolérance : les voiles devront être intègresDeux sansvoiles fissure HYPOTHESES DE JONCTION VOILE/VOILE NON FERRAILLE -l’étanchéité à la pluie pour les parois extérieures ; alignés résistance aux forces verticales (charges permanentes Qualité des et produits garantiraux leurexigences durabilitéthermiques et l’absence -la pour satisfaction et acoustique ; COMPOSANT D'OUVRAGE : MUR de LAMELLES horizontales (vent),étanchéité à la pluie VERTICALES pour les parois d’entretien durant le de l’ouvrage. -lavie tenue au feu de la paroi ; de principe 1 en plan le chiffrage est demandé par niveau de sorte que l'on puisse ajouter facilementHypothèse un ou plusieurs niveaux en extérieures assemblage facile, dimensions et poids permettant un travail SOLLICITATIONS AUTOCONTROLE option résistance à la charge de rupture Plan d'acheminement au lieu de stockage
6_Préparation au réemploi
7_réception 8_ OPTION
Deux voiles alignés aisé. d'environnement Dégagement des refends préfabriqués résistance au sol Abattage des facades préfabriqués au DTUIPN 20.1 180Ouvrages en maçonnerie de petits éléments DTU Distance démolition - lieu de stockage : Qualité des produits pour garantir leur durabilité et l’absence et d'usage résistance à la compression ciblés droit des refends préfabriqués cibles et (mortier, en D'OUVRAGE angle ciment, unisDeux parvoiles liant plâtre, etc.) COMPOSANT : MUR de LAMELLES du composant résistance à la traction par flexion d’entretien durant le vie de l’ouvrage. 300 m DTU 43 Etanchéité de façade abattage mécanique par grignotage du d'ouvrage résistance au cisaillement EUROCODE résistance à la charge de rupture Fin de lamelle renforcé parpour découvrir plancher haut les murs 6 SOLLICITATIONS AUTOCONTROLE résistance aux en forces d'environnement Deux voiles angle verticales résistance au sol(charges permanentes et cornière 100*100*10 mm concernés. horizontales (vent),étanchéité à la pluie pour les parois profilé creux 200x200x10
REGLES de CALCUL Rédacteur : M.B. Contact : mathilde.billet@bellastock.com Rédacteur : M.B. Contact : mathilde.billet@bellastock.com
Association Bellastock 60 boulevard de la Villette 75019 Paris SiretAssociation : 52280693400025 Bellastock 60 boulevard de la Villette EVOLUTIONS 75019 Paris Siret : 52280693400025 Association Bellastock POSSIBLES 60 boulevard de la VilletteVERS UNE REGLE 75019 Paris PROFESSIONELLE Siret : 52280693400025 Association Bellastock 60 boulevard de la Villette 75019 Paris Siret : 52280693400025
et d'usage résistance à la compression COMPOSANT D'OUVRAGE : MUR de LAMELLES extérieures du composant
résistance à la traction par flexion conditions de calcul : d'ouvrage résistance au cisaillement SOLLICITATIONS alternance lamelles ferraillées/non ferraillées ? résistance à la charge de rupture
DTU 20.1 d'environnement Ouvrages en maçonnerie de petits éléments résistance au sol
DTU
unis par liant plâtre, etc.) et (mortier, d'usage ciment, A COMPLETER à la compression 23.1 Ouvragerésistance en béton banché DTU DTU 43 EtanchéitéDTU de façade BÂTIMENT T6 - CCTP RÉEMPLOI 20/10/2016
du composant à laen traction DTU 21 Exécution résistance des ouvrages bétonpar flexion d'ouvrage DTU 43 Etanchéitérésistance de façadeau cisaillement EUROCODE 2
EUROCODE 6 A COMPLETER PAR PLANS EXE ENTREPRISE A COMPLETER PAR A COMPLETER PAR PLANS ENTREPRISE A EXE COMPLETER conditions de calcul REGLES de CALCUL PLANS EXE Joint de dilatation Leur espacement est dicté par les règles du DTU 20.1. Il ne peut être supérieur à : A COMPLETER ENTREPRISE – 20 Joint m dans régions sèches; de les dilatation
Rédacteur : M.B. Contact : mathilde.billet@bellastock.com
Rédacteur : M.B. Contact : mathilde.billet@bellastock.com
–
BÂTIMENT T6 - CCTP RÉEMPLOI 20/10/2016
BÂTIMENT T6 - CCTP RÉEMPLOI DTU 20/10/2016
DTU 23.1 Ouvrage en béton banché DTU 21 Exécution des ouvrages en béton DTU 43 Etanchéité de façade EUROCODE 2 conditions de calcul
BÂTIMENT T6 - CCTP RÉEMPLOI 20/10/2016
REGLES de CALCUL
35 Leur m dans les régions espacement esthumides dicté par les règles du DTU 20.1. Il ne peut être supérieur à : 0 10cm 50cm EVOLUTIONS – 20 m dans les régions sèches; POSSIBLES – 35 m dans les régions humides 0 10cm de CALCUL VERS UNE REGLE conditions50cm de calcul REGLES Joint de dilatation PROFESSIONELLE Leur espacement est dicté par les règles du DTU 20.1. Il neEVOLUTIONS peut être supérieur à : – 20 m dans les régions sèches; POSSIBLES – 35 m dans les régions humides VERS UNE REGLE 0 10cm PROFESSIONELLE
A COMPLETER PAR A COMPLETER PLANS EXE A COMPLETER A COMPLETER PAR ENTREPRISE PLANS EXE A COMPLETER ENTREPRISE Fin de voile UPN 200
EVOLUTIONS POSSIBLES VERS UNE REGLE PROFESSIONELLE
0
50cm
10cm
50cm
0
10cm
50cm
41
RESULTATS REPAR EPP
42
RESULTATS
43
RESULTATS
Analyse économique
Revêtement piéton en pierre de béton DESCRIPTION DE L’ETUDE Les principes méthodologiques qui sont présentés ici sont en grande partie issus du rapport « Méthodologie d’analyse économique de l’utilisation de matériaux réemployés dans la construction » produit par le CSTB dans le cadre des projets de recherche REPAR 2 et Requalif. Le principal objet la méthodologie décrite ci-dessous est de réaliser une analyse en coût global de la déconstruction à la reconstruction, en effectuant une comparaison entre un procédé constructif basé sur le réemploi et un procédé constructif basé sur un cycle plus traditionnel intégrant l’évacuation des matériaux déconstruits et le rachat de matériaux neufs.
METHODOLOGIE
REPAR EPP
Il s’agit d’identifier précisément les étapes impactées par le réemploi de matériaux et de quantifier chacun de ces impacts (en temps, en mobilisation de moyens techniques complémentaires, en moindre achat de matières premières,…), afin d’en tirer deux types d’indicateurs : • des indicateurs financiers reflétant l’impact sur le coût de déconstruction/reconstruction afin d’attester ou non de la rentabilité du procédé constructif basé sur le réemploi ; • des indicateurs sur la création d’emploi local afin de mieux identifier les impacts sociaux sur la valorisation des moyens humains du territoire ;
44
SYSTEME ETUDIE Ce cas d’étude concerne la réalisation de 60 m² de pavages en béton de réemploi issus de la déconstruction d’un immeuble de logements sociaux construit en 1959, avec une structure en béton. Les dalles réemployées dans le présent chantier, proviennent des murs de cloisonnement du bâtiment ayant une épaisseur de 8cm. Le procédé constructif auquel est comparé la solution technique en réemploi est composé d’une évacuation par camion et d’un enfouissement des matériaux, suivi de la mise en œuvre de pavés béton neufs de 8cm d’épaisseur posés sur un lit de sable.
SPECIFICITES DU PROCEDE EN REEMPLOI - DONNEES D’ENTREE Afin d’optimiser les postes de dépense, le protocole mis en œuvre dans ce projet se base essentiellement sur des moyens techniques déjà présents sur le chantier. Pour les études en amont de l’opération, l’unique spécificité est le recours à un AMO (Bellastock), mandaté pour réaliser le diagnostic ressources et caractériser les gisements potentiels de matière. En phase d’abattage, le morcellement des murs en pavés de béton est réalisé par l’entreprise de déconstruction. La seule différence par rapport à une démolition traditionnelle a été l’utilisation complémentaire d’un brise roche hydraulique pendant une demijournée, pour traiter les 70 m² de pavage nécessaires à la réalisation du projet.
Les éléments sont ensuite conditionnés et stockés sur le site de réemploi (distant de 400m du site de déconstruction), contre plus de 20 km pour l’évacuation des matériaux dans le cas de référence. Par ailleurs, la zone de stockage étant située dans un espace en transition propriété de l’Oph93, l’occupation temporaire du terrain n’a pas nécessité de contrepartie financière. Durant l’étape de transformation des matériaux, seule l’utilisation d’un broyeurconcasseur pendant une durée limitée a été nécessaire à la préparation des éléments en vue de leur réemploi. Enfin, la pose de pavage en réemploi d’éléments béton ne requiert pas de moyens techniques spécifiques pour la mise en œuvre. Nous avons cependant tenu compte du temps supplémentaire nécessaire au calepinage plus fin lors de la réalisation de ce type de pavage dans l’analyse. Chaque spécificité liée au réemploi a été mesurée et chiffrée dans le cadre de l’incubation, principalement via une analyse des devis réalisés par les entreprises impactées. La construction du scénario de référence est basée principalement sur les marchés à bon de commandes de l’OPH 93.
45
RESULTATS
Analyse économique
Revêtement piéton en pierre de béton
Oph93 / Bellastock Modelisation financière 1 : pavage de sol en pierre de béton
4. ANALYSE CHIFFREE MODELISATION ECONOMIQUE
NB : avec ce procédé, 86% des murs de cloisonnement auraient pu être réemployés
Coût des étapes supplémentaires par m²
prix
Coût des étapes évitées par m²
prix
Diagnostic réemploi
0,7 €
Traitement des matériaux (évacuation de la matière après démolition)
15,2 €
Abattage sélectif
8,8 €
Achat de matériaux neufs (yc transport) 20,0 €
Transport vers site d'utilistion Transformation / préparation de la matière intégration dans le projet architectural
0,4 € 14,2 € 1,2 €
TOTAL, procédé constructif en "réemploi"
25,2 €
TOTAL, procédé constructif classique
Résultats --> Economie générée par le réemploi (en € /m²)
35,2 €
- 10 €
REPAR EPP
46
IMPACT SUR L’EMPLOI Pour chacun des postes de dépense lié aux spécificités du réemploi, nous avons quantifié le nombre de jours de travail supplémentaire afin d’estimer l’impact sur la création d’emploi local. Ces résultats sont présentés dans le tableau ci-dessous. total jours supplémentaires travaillés pour 100m2 de pavage études amont 0,1 abattage 0,8 transport 0,8 transformation 0,9 intégration dans le projet neuf 1,3 TOTAL 3,9
CONCLUSION - Le réemploi d’éléments béton dans une structure de cheminement piéton génère sur ce projet une économie de l’ordre de 10 € HT/m² pour le maître d’ouvrage, avec un niveau de finition équivalent, soit près de 30% d’économie sur ce poste ; - Les gains économiques sont principalement de deux natures : traitement des matériaux et achat de matériaux neufs - La méthodologie mise en œuvre est expérimentale (notamment pour l’abattage et la préparation de la matière), De nombreuses pistes d’amélioration ont été identifiées en cours de projet et pourraient amener à une amélioration complémentaire du bilan financier (cf. GUIDE ANALYSE ECONOMIQUE DU REEMPLOI).
L’impact sur l’emploi de l’utilisation d’un procédé constructif en réemploi est positif mais peu élevé: 3,9 jours supplémentaires pour 100 m² de pavage avec le procédé constructif retenu. Il s’explique par un important recours à des moyens techniques supplémentaires et à la faible mobilisation des structures d’insertion professionnelle locale durant l’expérimentation. Néanmoins, les principales retombées en termes d’emplois se situent ici sur le territoire de projet. En effet, ce sont principalement les actes de transformation et d’intégration de la matière dans le programme neuf, qui créent des activités supplémentaires dans ce modèle. Ces actes ne peuvent se faire que sur le territoire de projet, car ils sont inhérents à la logistique de site et de matière liée au réemploi. Ils pourraient ainsi avoir un impact direct sur le développement de l’emploi local, avec la structuration d’une filière d’insertion professionnelle autour des actes de préparation de la matière avant réemploi à une échelle pertinente de projet : un programme de renouvellement urbain d’un quartier ou d’un morceau de ville par exemple. Par ailleurs, la mobilisation d’une main d’œuvre en insertion professionnelle locale pourrait augmenter sensiblement la rentabilité économique et la création d’emploi pour l’ouvrage en réemploi présentée ici. Le temps contraint de l’expérimentation ne nous a pas permis de mettre en place cette filière, qui présente un fort potentiel.
47
RESULTATS
Analyse économique
Pavillon local
DESCRIPTION DE L’ETUDE / METHODOLOGIE La méthodologie utilisé ici est la même que pour le cas d’étude n°1 : revêtement de sol en pierre de béton. Seules les données d’entrée ont évolué dans le cas d’étude n°2, car elles sont spécifiques à l’ouvrage concerné.
SYSTEME ETUDIE Ce cas d’étude porte sur le réemploi de murs de refend d’un immeuble de logements sociaux en béton des années 1960 en murs non porteurs, afin de créer un local extérieur de 18m² de surface utile, ventilé mais non chauffé (de type locaux vélos ou ordures ménagères). Pour cette opération, 45 m² de murs de refend ont été réemployés. Le procédé constructif auquel est comparée la solution technique en réemploi, est composé d’une évacuation par camion et d’un enfouissement des matériaux suivi de la mise en œuvre de briques pleines ou de parpaings en remplissage de l’ossature du local non chauffé.
REPAR EPP
48
SPECIFICITES DU PROCEDE EN REEMPLOI - DONNEES D’ENTREE En phase amont, un diagnostic ressources complémentaire a été réalisé par l’AMO (ici Bellastock). En phase d’abattage, la préparation plus sélective des matériaux a nécessité l’utilisation d’une scie permettant de délimiter précisément les matériaux à réemployer et les désolidariser de la structure porteuse du bâtiment. La dépose de ces éléments s’est faite à l’aide d’une pince hydraulique. Comme pour le cas d’étude du pavage, les éléments sont ensuite conditionnés et stockés sur le site de réemploi (distant de 400m du site de déconstruction), contre plus de 20 km pour l’évacuation des matériaux dans le cas de référence. La phase de transformation des matériaux a elle aussi nécessité l’utilisation d’une scie, afin d’adapter la matière collectée au besoin du projet architectural. Dans ce but, un chariot télescopique a servi à la manutention des éléments et un groupe électrogène a été utilisé pour produire l’énergie nécessaire au fonctionnement des moyens mécaniques.
Enfin, l’intégration des matériaux dans le projet neuf a nécessité du temps de maitrise d’œuvre afin d’adapter le DCE aux spécificités des matériaux réemployés. La mise en œuvre des éléments a nécessité l’utilisation d’une grue automotrice sur chenille et d’un traitement complémentaire permettant de passiver les fers à béton mis à nu. NB : contrairement au cas d’étude précédent, la mise en œuvre dans le projet neuf est différente entre la solution constructive en réemploi (basée sur l’utilisation de moyens techniques spécifiques) et la solution constructive de référence. Ici, nous n’avons donc pas uniquement pris en compte le surtemps lié à la mise en œuvre, mais pris en compte l’ensemble du temps et des moyens techniques nécessaires à la reconstruction (dont la pose) dans le cas du réemploi et dans le cas de référence.
49
RESULTATS
Analyse économique
Pavillon local
IFFREE
MODELISATION ECONOMIQUE
- Modification du procédé de collecte de la Après 1ere analyse liée à matière, permettant de limiter les pertes lors l’expérimentation, le coût économique de la dépose des éléments d’une part et de de la solution constructive basée sur supprimer les coûts de pré-sciage des voiles le réemploi était environ 7% plus élevé (par utilisation d’un BRH tel que présenté qu’avec une solution constructive dans le cas d’étude n°1) ; basée sur l’utilisation de briques - Diminution des temps passés à la pleines. modification des pièces architectes, dans Ces premiers résultats sont une logique de maîtrise du process et de principalement liés aux actes de replicabilité ; sciage réalisés dans le cadre de - Diminution du temps passé lié à l’utilisation cette expérimentation. Ces coûts Oph93 / Bellastock de moyens techniques spécifiques à liés à l’expérimentation, pourraient Modelisation financière 1 : pavage de sol en pierre de béton fortement diminuer dans une logique de l’expérimentation (grue hydraulique en phase de reconstruction) ; replicabilité. - Diminution des coûts fixes liés à la Nous avons donc identifié les axes passivation des fers mis à nu, par emploi suivants d’amélioration du process 4. ANALYSE CHIFFREE d’un mortier en cas de non carbonatation des méthodologique pouvant être mis en aciers (cf. livrable technique). place très simplement : NB : avec ce procédé, 79% des murs de cloisonnement auraient pu être réemployés En tenant compte de ces éléments on Hypothèse briques pleines Hyp pourrait diminuer de 30% le coût de Oph93 / Bellastock Coût des étapes supplémentaires par m² prix Coût des étapes évitées par m² prix Modelisation financière 1 : pavage de sol en pierre de béton l’ouvrage en réemploi : Traitement des matériaux (évacuation de la Trai Diagnostic réemploi
1,9 €
Abattage sélectif Transport vers site d'utilisation Transformation / préparation de la matière intégration dans le projet architectural et mise en œuvre
35,0 € 0,9 € 160,2 €
TOTAL, procédé constructif en "réemploi" cloisonnement auraient pu être réemployés
par m²
ière et mise en
ploi"
prix 1,9 € 35,0 € 0,9 € 160,2 €
28,5 €
matière après démolition) Achat de matériaux neufs (yc transport) Mise en œuvre
225,0 € 80,0 €
mat Ach Mis
TOTAL, procédé constructif classique
333,5 €
TOT
57,6 € 255,6 €
Résultats --> Impact du réemploi (en € - 77,9 € Hypothèse parpaings /m²)
Hypothèse briques pleines Coût des étapes évitées par m² Traitement des matériaux (évacuation de la matière après démolition) Achat de matériaux neufs (yc transport) Mise en œuvre
225,0 € 80,0 €
Coût des étapes évitées par m² Traitement des matériaux (évacuation de la matière après démolition) Achat de matériaux neufs (yc transport) Mise en œuvre
TOTAL, procédé constructif classique
333,5 €
TOTAL, procédé constructif classique
prix 28,5 €
prix 28,5 € 95,0 € 40,0 €
57,6 €
REPAR EPP
255,6 €
Résultats --> Impact du réemploi (en € - 77,9 € /m²)
163,5 €
92,1 €
50
IMPACT SUR L’EMPLOI L’impact sur l’emploi pour 100 m² posé est présenté dans le tableau ci-dessous : total jours supplémentaires travaillés pour 100m2 de parement études amont 0,2 abattage 5,1 transport 1,5 transformation 7,1 intégration dans le projet neuf 17,4 TOTAL 31,3
CONCLUSION - Avec l’optimisation du process envisagé ici, la construction en réemploi devient rentable pour le maître d’ouvrage en comparaison d’une structure similaire en brique (-23%). Les surcoûts liés au réemploi en comparaison d’une structure en parpaing seraient fortement diminués. - Ce scénario optimisé peut être encore amélioré par la définition d’un procédé technique qui diminuerait les coûts relatifs aux actes de transformation / préparation de la matière.
Comme pour le cas d’étude n°1, l’impact sur l’emploi local est positif mais peu marqué, avec l’absence de recours à une main d’œuvre locale en insertion professionnelle dans ce projet. Néanmoins, les actes de préparation de la matière et d’intégration dans le projet neuf rassemblent 75% des coûts liés à la construction en réemploi. Leur réalisation via la structuration d’une filière en insertion professionnelle locale, pourrait ainsi permettre : - une retombée directe des chantiers pour le territoire de projet et ses habitants, par la création d’emplois ciblés ; - la diminution du bilan économique de l’opération en réemploi, qui doit être supporté par le maître d’ouvrage
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RESULTATS
Analyse économique
Eléments de prospective
DES PREMIERS RESULTATS ENCOURAGEANTS Comme évoqué tout au long de ce rapport, les résultats présentés ici sont issus d’une expérimentation menée en huit mois, dans le cas précis de la construction de composants d’ouvrages en réemploi de béton issu de la déconstruction de logements sociaux des années 1960 ayant une structure béton. - Toute la méthodologie – du diagnostic ressource préalable à la reconstruction en réemploi peut ainsi être développée / améliorée dans le cadre d’une replicabilité à large échelle. Cette expérimentation a toutefois fait ressortir les éléments suivants : - Même avec une méthodologie qui présente un large potentiel d’optimisation, le réemploi de matériaux s’avère directement rentable et générateur d’activité économique pour certains domaines d’emplois ; - Le taux de valorisation de la matière issue de la déconstruction est très élevé (>80%) ;
REPAR EPP
- Les spécificités liées au réemploi sont aisément maitrisables : l’impact sur les délais est marginal et les étapes de dépose sélective ou de transformation de la matière peuvent être réalisées sans formation complémentaire par les acteurs en place;
52
UN TRAVAIL A POURSUIVRE A ce stade, les partenaires de la présente étude ont identifié quatre sources principales d’optimisation des bilans financiers présentés ici : - Le déploiement du réemploi à « large échelle » : dans une logique de replicabilité, l’impact des coûts fixes sur liés à l’acheminement et la mise en place des moyens techniques spécifiques sur ces bilans, sera inversement proportionnel à la taille du chantier et au volume de matière à traiter. - L’optimisation de la méthodologie de déconstruction et de préparation de la matière : certains des postes de dépense sont spécifiques à l’expérimentation et pourraient diminuer dans une logique de replicabilité de la démarche de réemploi. Il s’agit notamment : - Des surcoûts liés à une déconstruction sélective de l’immeuble en comparaison d’une méthodologie classique de démolition (grignotage) ; - des temps d’adaptation des pièces au projet architectural ; - et de la durée des actes de préparation au réemploi ; La replicabilité du process doit permettre de diminuer leur impact financier dans le bilan, par application d’une méthodologie standardisée et maitrisée par tous les acteurs. A l’inverse, la phase diagnostic de ces projets expérimentaux, devra être complétée par des essais en laboratoire dans le cadre d’une replicabilité à large échelle (cf. étude réemploi de béton – CSTB). Ces coûts ne sont pas pris en compte dans ce bilan financier.
(ce qui n’a pas été le cas dans cette expérimentation) et dans le cadre d’une mise en concurrence des offres des entreprises, nous pourrions envisager une forte diminution, voir un impact quasi nul du réemploi dans les coûts de démolition / collecte de la matière (chiffrés ici après négociation ou suivant application de marchés à bon de commande). - Adapter ce scénario au développement d’une filière d’insertion locale faisant diminuer l’impact des coûts des moyens techniques sur le bilan et accentuant l’impact sur l’emploi local. Du fait du temps contraint lié à cette expérimentation, il n’a pas été possible de mettre en place cette méthodologie pour notre projet. Enfin, pour des questions d’ampleur et de durée du projet, l’expérimentation s’est focalisée sur deux techniques constructives : pavage de sol et murs non porteurs de locaux non chauffés. Si une large part du gisement de matière peut être valorisée dans notre projet (ensemble des murs de refend et des murs de cloisonnement des logements déconstruits), le débouché expérimenté représente une faible part du poids d’une opération de requalification d’un quartier. Cependant, l’expérimentation a notamment permis d’identifier des procédés de qualification et de remise en œuvre de la matière qui peuvent faciliter l’assurabilité pour d’autres domaines d’emploi (ex : murs porteurs), et qui pourraient être encore étendus par la suite. Ainsi, de nombreux autres débouchés que ceux expérimentés sont possibles et le réemploi pourrait à terme représenter une portion importante de la matière pour des opérations de reconstruction.
- L’intégration du réemploi dans la commande initiale du maître d’ouvrage : Dans le cas où le réemploi ferait partie de la commande initiale du maître d’ouvrage
53
le
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RESULTATS
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ManDat MoaManDat Moa PPsPs PPsPs réemploi equiPeMent sPécialisé réemploi Projets incluant composants d’ouvrage incluant les Projetsd’ouvrage ouvertsles composants s de chantiers equiPeMent sPécialisé projet le dans lot par Travail projet le dans lot par Travail rdisation du -gisement 1 3 2 ?? 4 ?? d’ouvrage par composant - Carnet de détails de détails par composant - Carnet d’ouvrage ouvrage d’ouvrage ypage de composants
rganisation du réemploi tion du réemploi dans ledans projetle pro
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9 13 5/ 10
démolition selective
criblage
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abattage sélectif
préparation
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par les opérateurs de la filière béton restent des compétences traditionnelles des DCE DCE de la logistique, la pierre sèche et de la maçonnerie valiDation bmétiers uReau De contRôle valiDation buReaude De contRôle technique Diagnostic etuDe uRbaineetuDe uRbaine
PRo RessouRce EtudePRojet a vant Etude a vant P Rojet EXE EXPE. DCE EXE EXPE. DCE PAVP ièc URBA URBA P ièces M aRché D éMol Pièces RchéREPAR D Pièces MaRché entR.MtaRché ieRs entR. tieR EPP éMol collecte de béton pour réemploi Mise en oeuvre
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n d’un cadre de garantie
d’un cadre de garantie ation du gisement
39
106/1
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Mise en oeuvre
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PRO Préparation mécanique au Préparation mécanique au réemploi suivant besoin du gisemen suivant besoin du gisement
9 13 6/
10
9 13 6/
10
DCE caRact . giseMent technique Du giseMent echnique Du mploi en architecture - Bellastock - 04 février 2016 - 04 février 2016 Le réemploi en architecture - Bellastock exPeRtise techniqueva exPeRtise technique conf noRMative Du DoMaine D’eMPloi Mative Du .DoMaine D’eMPloi bil ecePtion Des Maté Pv RecePtionPv DesRMatéRiaux 54 iMPact logistique gistique
sentation ntexte partition des tâches sans Bellastock ariés Régie de quartier giaires chantier bitants évoles
SENSIBILISATION artisans Bellastock salariés Régie de quartier stagiaires chantier LE GUIDE DEhabitants MOBILISATION HABITANTE bénévoles enfants
Le guide regroupe les actions à mener et les FESTIFS préconisations TEMPS nécessaires à l’intégration membres Bellastock des habitants ethabitants futurs usagers au ORGANISATION renouvellement/développement d’un territoire.
Ateliers enfants Bricolage Jardinage 2 encadrants Bellastock 5 enfants
GUIDE MOBILISATION HABITANTE
Acceuil public Chantier ouvert Explications Sensibilisation
ONNEL
MAR
Inauguration chantier Les actions de mobilisation habitante sont les 14 membres de Bellastock suivantes : 30 habitants
MER
JEU
Chantier Construction Amélioration Entretien Artisans Bellastock Salariés Régie de quartier Stagiaires chantier Habitants Bénévoles
SAM
DIM
CHANTIERS 8 artisans Bellastock 10 salariés Régie de quartier 16 stagiaires chantier 8 habitants 21bénévoles
JOURNEES SENSIBILISATION 2 encadrants Bellastock 118 enfants
Visite d’un chantier
Coût global (humain et matériel) pour réemploi l’ensemble de ces actions : 10 habitants 37 700€ / an
Bénéfices économiques indirects : Ateliers enfants Pr - pas d’arrêt de chantier lié à l’opéraBricolage Co tion PRU Jardinage Co - animation de quartier 2 encadrants Bellastoc Co - zéro dégradation 5 enfants Et - respect des ouvrages créés 5 enfants - valeur globale positive pour tous 9
TEMPS FESTIFS 44 membres Bellastock 700 habitants NOV
MAR
Le guide dresse aussi les résultats de ces actions ainsi que leurs acteurs.
RELATION HABITANT 60 habitants 20 enfants
uration de quartier bitants
nts 5 enfants 15 enfants
VEN
LUN - Les chantiers -> les chantiers sont des temps de formations habitantes et aussi de sensibilisation à la construction de composants d’ouvrages en matériaux de réemploi, au jardinage, à la création d’un espace de convivialité à partir de matériaux de réemploi (mobilier, aménagement, etc.) - Les relations habitants -> visite de chantier, ouverture du chantier lors d’inauguration du quartier, rencontres, communication. - Les journées de sensibilisation -> ateliers avec les enfants des écoles du quartier. - Les temps festifs -> inauguration de chantier, fêtes organisées par les associations locales.
DEC
JAN
FEV
MAR
AVR
20 enfantsch Préparation Etablir les mis 8 enfa Lister les tâch 10 e Chef de projet
MAI
2015 55
Op us i
nc er tu m
RESULTATS
Technique
x x x x -
x x x x -
Descriptif par lot Fiches matéiaux Méthodologie de démolition Tableau des quantitatifs/transports/stockages Plan de stockage sur site de stockage
x x x x x
x x x x
Note explicative/quantitatif de chiffrage
x
x
Plans associés
x
x
Pièces écrites
x
x
Pièces graphiques
x
x
Carnet de détails
x
x
PRODUCTION DIAGNOSTIC RESSOURCE
Reconnaissance in situ DIAGNOSTIC PERFORMANCE D'UN GISEMENT Investigations documentaires (archives) Essais en laboratoire Organigramme : choix du domaine d'emploi DOMAINE D'EMPLOI VISE Actions à prévoir Fiches techniques (gisement/composant d’ouvrage/mise en œuvre) Préconisation collecte FAISABILITE TECHNIQUE ET LOGISTIQUE Préconisation marquage Préconisation stockage
2 PRODUCTION COLLECTE
CCTP démolition
1
3
PRODUCTION PREPARATION
DCE PREPARATION
4
PRODUCTION MISE EN ŒUVRE
DCE CONSTRUCTION
REPAR EPP
56
GUIDE MAITRISE D’OEUVRE
ATTRIBUTION DES MARCHES / DOCUMENTS ADMINISTRATIFS 1. Il convient d’adapter l’ensemble des Pièces Administratives (PA) permettant la contractualisation des marchés existants: - Acte d’Engagement - Règlement de consultation - Cahier des Clauses Administratives Particulières - Cahier des Clauses Techniques Particulières PA AMO renouvellement urbain - un groupement à composer avec un expert réemploi - un positionnement demandé sur l’élaboration d’un plan guide urbain phasé en fonction des contraintes réemploi PA Maitrises d’oeuvre (démol - projet) - compétences réemploi : Règlement De Consultation -adaptation programme : CCTP/Fiche programme PA chantier démolition - précisions sur la pondération des critères d’évaluation réemploi - précisions sur les modes d’enclenchement des options et variantes requises - méthodologie entreprise adaptée PA chantier construction - Modification de la commande : pose sans fourniture de matière neuve -> adaptation
du CCTP 2. Il faut mettre en place un contrat de cession de délégation entre maitrise d’ouvrage pour fiabiliser l’écoulement de la matière du gisement au projet Ce contrat inter maitrises d’ouvrage - entre la maitrise d’ouvrage «reconstruction» et le bailleur détenteur du gisement - peut prendre la forme de convension, don ou autre. 3. Enfin il faut mettre en place un nouveau lien contractuel entre le fournisseur de produit de réemploi et les opérateurs Les conventions et marchés de l’opérateur de la ressourcerie - convention de mise à disposition d’un foncier vacant
57
A propos : Bellastock est un acteur incontournable de l'architecture expérimentale, qui oeuvre pour la valorisation des lieux à partir de leurs propres ressources. Bellastock place l'architecture et l'ouverture culturelle au coeur des problématiques liées à l’urbanisme transitoire, à la fabrique collective de la ville, aux cycles de la matière et au réemploi. L'association initie et facilite ainsi des projets innovants, écologiques et solidaires, elle propose des alternatives à l’acte traditionnel de construire : elle organise la matière, préfigure les transformations territoriales. Notre pratique se conçoit et se construit en immersion complète dans nos territoires d'actions, toujours en lien avec nos programmes de recherches et expertises. Notre méthodologie permet le développement et la transmission de savoirs et savoir-faire nouveaux ou encore rendus obsolètes par les normes, au moyen de publications, de temps de formation et de sensibilisation. Ainsi, notre programme REPAR, le Réemploi comme Passerelle entre Architecture et industrie (Ademe, Déchets BTP 2012 et 2014), est partie intégrante de la Fabrique du Clos et apporte tout l'appui scientifique nécessaire au projet de développement d'une filière de béton de réemploi.
L’Oph 93 est un office public de l’habitat qui a pour principales activités la construction et la gestion de logements sociaux. Avec un patrimoine de près de 23 500 logements locatifs, il est présent dans 26 communes de Seine-Saint-Denis. La gestion et le développement de l’offre locative sont assurés par 600 collaborateurs.
Bellastock Association d’architecture expérimentale 60 boulevard de la Villette 75019 Paris Tél : 01.53.38.50.76 E-mail : julie.benoit@bellastock.com
OPH 93 Lucas Colombies OPH 93 - Direction de la Maitrise d'Ouvrage Tél : 01.48.96.99.08 Port : 06.60.87.06.14 E-mail : lucas.colombies@oph93.fr