REPAR #2 • Présentation de la restitution

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UN PROGRAMME DE RECHERCHE & EXPERTISE AU SERVICE DE L’ÉCONOMIE CIRCULAIRE

Le réemploi

passerelle

entre architecture et industrie

COLLOQUE DE RESTITUTION

• Paris mercredi 4 avril 2018


#2

ADEME

Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie

Marc Cheverry

Dangereux 1,1 Non dangereux 9,7

Inertes 32,5

Directeur économie circulaire et déchets Déchets du bâtiment 42,3 millions de tonnes

• Enjeu économie circulaire dans le bâtiment / LTECV et PNPD • Lien avec la feuille de route sur l’économie circulaire / évolution diagnostic ressource • Accompagnement de l’ADEME

ADEME

Mobilier en pannes de réemploi Caserne Mellinet, Nantes. Nantes Métropole Aménagement, TGTFP, Atelier Georges, TUGEC, Bellastock.

2


#2

Bellastock

Architecture expérimentale Economie Circulaire & Urbanisme de la transition

Marie-Emmanuelle Pion Co-présidente

• Laboratoire de recherche et expertise • Diffusion des savoirs et savoir-faire • AMO & MOE

BELLASTOCK

Architecture de stock, béton et tuiles de terre cuite Actlab, L’Île-Saint-Denis. Bellastock

3


#2

CSTB

Centre Scientifique et Technique du Bâtiment

Jean-Christophe Visier

Directeur Energie Environnement

• Développer de nouveaux débouchés • Valoriser • Anticiper

CSTB

Déconstruction du pavillon d’entrée du Château Château de Versailles, Plaine Commune, Bellastock 4


#2

Les briques de REPAR

Appareillage de blocs de terre comprimée Festival Bellastock 2017 : La Ville des Terres Bellastock #2

• BELLASTOCK

ADEME • BELLASTOCK 5


00 RECHERCHE & EXPERTISE

POUR L’ARCHITECTURE ET L’ÉCONOMIE CIRCULAIRE

BAZED Conception Bâtiment Zéro Déchet • Chantier Zéro Déchet • Démontabilité du bâtiment • Evolutivité du bâtiment • Réutilisation des éléments • Entretien - Maintenance • Conservation de l’existant

Programme piloté par Nobatek, XB Architectes et Armines

#2

• ADEME

6


00 RECHERCHE & EXPERTISE

POUR L’ARCHITECTURE ET L’ÉCONOMIE CIRCULAIRE

DEMOCLES Les clés de la démolition durable • Pas besoin de trier ...

RECYCLAGE

• Juste de ne pas mélanger!

RECYCLAGE Programme piloté Recylum

#2

• ADEME

7


00 RECHERCHE & EXPERTISE

POUR L’ARCHITECTURE ET L’ÉCONOMIE CIRCULAIRE

REQUALIF - FENECOCIR Les clés de la démolition durable • Réutilisation des fenêtres en bois • Fabrication de produits détournés

Mobilier de jardinage

Mobilier d’intérieur

Revêtements de sol et muraux

Vrac

Programme piloté par les chantiers Peupin / Ateliers du bocage

#2

• ADEME

8


00 RECHERCHE & EXPERTISE

éemploi

POUR L’ARCHITECTURE ET L’ÉCONOMIE CIRCULAIRE

passerelle

entre architecture et industrie

ROGRAMME DE RECHERCHE & EXPERTISE RVICELeDE L’ÉCONOMIE entreCIRCULAIRE architecture et industrie réemploi passerelle

#2

• ADEME

9


00 RECHERCHE & EXPERTISE

Le réemploi entre architecture et industrie passerelle

POUR L’ARCHITECTURE ET L’ÉCONOMIE CIRCULAIRE L’ÎLE-SAINT-DENIS

Le réemploi

passerelle

Une filière pour laquelle nous disposons d’une expertise d’expérience est le béton. Largement majoritaire dans les réalisée avec les moyens du démolisseur, en phase de pr Les moyens liés à la préparation (morcellement, sciage, … termes de compétences pour le démolisseur, qui conserv Les domaines de réutilisation sont nombreux, et sont dép l’on aura dans le béton. Cela va du pavé pour revêtement plusieurs niveaux. Deux référentiels techniques sont dis

entre architecture et industrie

DÉMOLITION DES ENTREPÔTS PRINTEMPS – ZAC DE L'ECO Le béton

• Une méthode pour prescrire • Des indicateurs de succès

démolitions • Des références techniques

dans le cas de l’Éco-quartier fluvial de L’Île-Saint-Denis • 14 retours d’expérience

Éco-Quartier Fluvial de L’Île-Saint-Denis (93)

Sem Plaine Commune Développement

Solution de réemploi de béton en pavés >

2 Missions, AMO déconstruction et orientation réemploi, AMO espaces publics

Réemploi in situ, intra-ZAC, 2014 et 2016

Ouvrage Actlab,Entrée L’Île-Saint-Denis.

Gisement

Matériaux

• BELLASTOCK Entrepôts #2 Printemps

Démolition

Fermes et poteaux béton Figure 11 : le béton des démolitions Abattage sélectif

Bellastock

Collecte 10


(…) Depuis 2012 et le lancement du programme gie de l’entreprise missionnée, a fortiori s’il on REPAR, BELLASTOCK développe son expertise réemest dans un cas de démolition sélective ; RECHERCHE & EXPERTISE ploi POUR au rythme de ses projets et du processus de • Une ou des étapes de préparation au réemploi ; L’ARCHITECTURE ET L’ÉCONOMIE CIRCULAIRE construction en continu de son laboratoire Actlab, • Une étape de mise en œuvre ; manifeste du réemploi de matériaux en architec• A chaque étape, il peut être question de transture. Situé sur L’Île-Saint-Denis (93), au cœur du port et de stockage ; Domaine Domaine de Matière chantier de la ZAC de l’Éco-quartier Fluvial, Actlab • A chaque étape, des opérations d’expertise ou dʼemploi réemploi Première est un complexe d’ateliers, de stocks, de bureaux, et de contrôle peuvent être décrites. Secondaire - même site - déplacement de site d’espaces de démonstration du réemploi utile auxusage - même - détournement dʼusage entre architecture et industrie Le réemploi bâtispasserelle et aux espaces publics. Situés en majorité sur Figure 1 : Grandes étapes du réemploi

00

réemploi réutilisation recyclage

PRODUIT

DECHET

- garantie de site - garantie dʼusage

PRODUIT

DECHET

Figure 2 : La frontière produit-déchet

Comme le montre cette figure, la frontière entre produit et déchet est un curseu pouvoir évoluer entre le réemploi, la réutilisation et le recyclage.

#1 construction

#2 vie du bâtiment

#3 diagnostic ressource

collecte de l’élément cible #4 collecte

1.4. Éclairage complémentaire sur certains termes employés

#5 préparation préparationen produit de construction #2

24

• BELLASTOCK

• Un gisement se définit comme une unité de système constructif, de temps et d permet de considérer les ressources le constituant comme ayant des caractérist • Un produit de construction est ici un matériau, un élément ou un composant intégration du nouveau #8 vie du bâtiment #6 stockagetechniquement et expertise fiable. #7 construction composant d’ouvrage • Le réemploi de produits peut être employé ici comme terme générique, englob et la réutilisation de matériau comme deux actions de prévention à la création d qui est une proposition élargie de la définition donnée par les textes réglementa 11 • Ainsi, le domaine de réemploi d’un produit peut être identique (réemploi au se


#2

Paysage de stock béton Démolition à l’éco-quartier fluvial de L’Île-Saint-Denis SEM Plaine Commune Dvpt, Bellastock, Doyère

BELLASTOCK


01 LE RÉEMPLOI DANS

Le réemploi entre architecture et industrie passerelle

Le réemploi en construction : ancrage, méthode, exemples

LA FABRIQUE DE LA VILLE Quels débouchés locaux ? Avec quelle maîtrise des flux, stocks de matière, avec quelle plateforme de valorisation?

Approche urbaine • Repenser la culture du système + Hors la loi ? + Rentable ?

Maîtrise d’œuvre urbaine

Démolition Terrassement

Projet Construction

RÉEMPLOI FILIÈRE DE RÉEMPLOI

IDENTIFICATION DU PROJET RÉEMPLOI

+ Hors-norme ? + Dépassant les bornes

Permis de Construire Marchés Travaux SOGED Marchés Travaux

Cahier des Prescriptions Urbaines, Architecturales et Paysagères Recensement des acteurs économiques et de leurs savoir-faire

des missions MOA, MOE, Entreprises ?

• Des sujets largement imbriqués + La gouvernance

+ L’architecture

+ La technique

+ Le patrimoine

+ L’économie

+ La compétence

+ L’environnement

+ La construction

+ Le territoire

#2

• BELLASTOCK

MONTÉE EN COMPÉTENCE Vente - gestion par lot MOA + MOE désignés DES ACTEURS ÉCO DU TERROTOIRE Analyse et Diagnostics

EXPERTISE TECHNIQUE À PRIORI

Schéma directeur Faisabilité urbaine

CLAUSES RÉEMPLOI

Acte d’engagement avec engagement de réemploi Diagnostic Déchet Diagnostic Ressource Référentiel et charte durable Dossiers ZAC, ANRU, PLU

Quelle valeur ajoutée économique, sociale, culturelle, environnementale?

Figure 44 : Le réemploi dans la fabrique de la ville

13


01 LE RÉEMPLOI DANS

LA FABRIQUE DE LA VILLE

• Le laboratoire Actlab

Approche urbaine

• Ancrage dans un contexte + Les 3 dimensions du territoire : distance, administration, écosystème

• Réflexion sur la fabrication

+ Plateforme et équipement de chantier

Contrôle des sorties des commandes

2 1

Auto contrôle d’entrée :

STOCKAGE ÉLÉMENTS

STOCKAGE COMMANDES COMPOSANTS

état des matériaux et relevés précis

Contrôle des stocks

conteneur outils métal

METAL

3

conteneur outils bois

STOCKAGE VRAC

VERRE DIB

4 5

ATELIER

BASE VIE

conteneur outils béton

Point de contrôle Arrivée des collectes de matériaux de chantiers Ecoulement des composants d’ouvrages créés Mise en stock Cheminenement des opérations de préparation au réemploi Évacuation des chutes vers filières de recyclage adaptées

Figure 19 : Schéma de principe de flux de matière dans un équipement de chantier type Actlab

#2

• BELLASTOCK

14


01 LE RÉEMPLOI DANS

LA FABRIQUE DE LA VILLE

Approche urbaine • Puiser dans les propres ressources du territoire • Ne plus chercher à négocier l’accroissement urbain

• Une ÉCONOMIE de pr contextuel et en coût g

rt

<F

M

• A partir d'un PATRIMO matériel conservé

ANALYSE DE LA MINE URBAINE

i

ou

Ar

ch re f r ui t e c t u < gale li è re s -c e n c i rc u it

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ENTR > MOE > r

u ure d réemp t l Cu agem l n a M ons e p a es

> oi > nt ble

INTÉGRATION DU RÉEMPLOI

• Une plus forte utilisati COMPÉTENCES et de l

• Un CYCLE CONTINU l'exploitation de la MAT

• Et des bénéfices ENVIRONNEMENTAUX Figure 3 : Circularité du réemploi

#2

• BELLASTOCK

15


sont produits en réhabilitation et 7% en construction neuve. Il y a des ressources dans tous les secteurs, et nécessairement celles-ci sont différentes et collectables différemment. Gisement naturel

01

LE RÉEMPLOI DANS A titre d’exemple, on s’intéressera au béton dans les cas de démolition, grâce à des opérations LA FABRIQUE DE LA VILLE bio-sourcé d’abattage sélectif. Le métal, qui nécessite une déconstruction plus soignée, pourraGisement être collecté dans des cas de démolition partielle ou dans des temps de curage à la fin de l’amont. Les composants de façade, comme les ouvrants de fenêtres, sont des ressources tout à fait Muret privilégiées du secteur de la réhabilitation thermique. Elles sont déposées soigneusement, car nous sommes en milieu occupé ; la collecte •n’engendrera pas de surcoûts. Les erreurs de La mine urbaine commandes, fréquentes dans les lots d’aménagement et de finition en construction neuve, paysagère Maçonnerie • Dépasser l’imprévisible et lire l’homogénéité permettent de récupérer d’autres familles de produits, parfois encore emballés.

Approche urbaine

+ Les conditions techniques pour puiser dans les Revêtement de sol extérieur ressoucres matérielles non standard.

41,2 MILLIONS DE TONNES

pierre naturelle

bois de charpente

béton morcelé

brique

brique

Revêtement de sol extérieur

pavé béton

Revêtement de sol extérieur

pavé béton

C'est la part de déchets que nous ciblons pour le réemploi, il s'agit des déchets inertes et non-dangereux issus du bâtiment

28% 65% 18% B 82% TP

7%

3%

Mur Réhabilitation

voile béton recadré

Construction neuve Mur porteur Démolition

lamelle sciée de voile béton

Maçonnerie

brique

Couverture

tuile mécanique

Non-dangereux Déchets ménagers 37,7 MT

Déchets du BTP 227,5 MT

23%

Figure 5 : La répartition des déchets du BTP, à partir des chiffres SOeS 2014. #2 • BELLASTOCK

74%

Dangereux Façade légère

ouvrant bois de fenêtre

Inertes

Bardage

huisserie bois déligné

Vêture

porte bois

16


s

Diagnostic déchet

quantification et catégorisation

Audit déconstruction - Caserne Mellinet à Nantes - Dossier n° DI-2015.01.003

01 LE RÉEMPLOI DANS

Dans quel contexte ?

LA FABRIQUE DE LA VILLE

Quel est son contenu ?

Depuis le 1er mars 2012, les maîtres d’ouvrages ont pour obligation de réaliser un diagnostic portant sur les déchets issus des travaux de démolition.

Approche pratique • L’analyse de la mine urbaine

- des matériaux, produits de équipements constitutifs des - des déchets résiduels issus l’occupation des bâtiments.

Démolition

Il fournit également :

• Un outil actuel : Le diagnostic déchet

garine à Romainville (années 60)

+ Quantifie, qualifie, localise les matériaux.

Il fournit la nature, la quantité et la l’emprise de l’opération de démoli

>1000 m2

- les indications sur les possi site de l’opération ;

= diagnostic déchet

- l’estimation de la nature et d qui peuvent être réemployés s

+ Cible les exutoires.

Bien que les déchets dangereux soient

+ Obligatoire mais non contractuel.

- à défaut de réemploi sur le s filières de gestion des déche

Leur traitement en phase de curage peut s’avérer un atout pour le réemploi

- l’estimation de la nature et d issus de la démolition destiné éliminés. Etabli par C. PLACIER le 13/01/2015 - Rev 1

Diagnostic ressource - la ressource

Diagnostic ressource - la ressource existante comme donnée de projet.

#2

Etabli par C. PLACIER le 13/01/2015 - Rev 1 • BELLASTOCK

17


matériaux ; • Vérifier la faisabilité des propositions par une étude d’impact, qui peut être économique, logistique, environnementale.

01 LE RÉEMPLOI DANS

LA FABRIQUE DE LA VILLE GISEMENT

Approche pratique

reconnaissance in situ

Le diagnostic ressource

investigation documentaire

Essais en laboratoire selon domaine d’emploi visé

• L’analyse de la mine urbaine • Un outil volontaire :

Le diagnostic ressource NIVEAU DE CONFIANCE

ETAPE 1 • Caractériser le gisement, choisir les comaines d’emploi

CHOIX PARMI LES DOMAINES D'EMPLOI POSSIBLES La méthode de caractérisation des matériaux pour un domaine d’emploi.

+ Acquérir de l’information + Caractériser le gisement

Pensé comme un véritable outil de préparation au projet, le diagnostic ressource fiabilise en amont du projet le réemploi et se réfère à deux référentiels méthodologiques :

+ Décider des domaines d’emploi possibles

• Le diagnostic ressource fait écho à la méthode d’évaluation technique1 de produits innovants, sans entrer dans des procédures d’évaluations. • Le diagnostic ressource utilise la méthode du diagnostic patrimonial au travers d’enquêtes de terrain et d’expertises complémentaires.

40 #2

• BELLASTOCK

18


01 LE RÉEMPLOI DANS

LA FABRIQUE DE LA VILLE

Approche pratique Le diagnostic ressource

4.3.2. ÉTAPE 2 : FIABILISER LES FILIÈRES ET DÉBOUCHÉS L’étape 2 du diagnostic ressource, optionnelle, sert à fiabiliser les choix de filières de réemploi et de débouchés. La MOA pourra décider d’une fiabilisation à différents niveaux : • Logistique ; • Économique ; • Technique ; • Environnemental ; • Administratif.

• L’analyse de la mine urbaine

Pour fiabiliser, le maître mot est l’anticipation des étapes d’études et de travaux de la filière réemploi, jusqu’à l’intégration du produit dans un projet. Le rôle du diagnostiqueur est ici celui d’un réemploi entre industrieun choix de fournitures AMO qui va modéliser un choix de Le fournitures et pose dearchitecture réemploietversus passerelle et pose de neuf. Cette fiabilisation peut revêtir des aspects de faisabilité (logistique, technique) ; de cadrage d’expertise complémentaire (essais techniques) ; d’estimations d’impact (environnemental, socio-économique) ; enfin de production de documents pour un suivi administratif de la matière.

• Un outil volontaire :

Le diagnostic ressource

Le réemploi en construction : ancrage, méthode, exemples

RECENSEMENT / QUANTIFICATION / CARACTÉRISATION

1

1 5

ETAPE 2 • Fiabiliser les solutions 1. Voile béton porteur formation Archicirculaire 2015/16 Le réemploi en architecture - Bellastock ressource - la ressource existante comme donnée de projet. ENSA Paris Belleville, 25 octobre 2017 selon les besoins du MOADiagnostic : 1

B : 2467 m2 H : 796 m2 JK : 3634 m2 CDEFL : 8993 m2 TOT : 15890 m2

+ Réaliser la faisabilité logistique de la filière à déployer

3

4

2

2. Concassé de béton B : 136 m3 H : 62 m3 JK : 248 m3 CDEFL : 631 m3 TOT :1077m3

+ Estimer et fiabiliser le modèle technico-économique du produit à développer

DOMAINE D’EMPLOI

3. Dalle granito

DÉBOUCHÉS

B : 111 m2 + Vérifier les impacts à travers une H : 47 m2 Revêtement de sol 1. Pavage béton JK : 167 m2 en opus incertum formation Archicirculaire 2015/16 Le réemploi -25 Bellastock analyse environnemental simple CDEFL :en 411 m2architecture Revêtement de sol : Diagnostic ressource - la ressource existante comme donnée de projet. ENSA Paris Belleville, octobre 2017 1 2 3 4

TOT : 736 m2 B : 2145 m2 H: 692 m2 JK: 3160 m2 CDEFL: 7820 m24. Main courante TOT : 13817 m2 B : 109 ml H : 47 ml JK : 164 ml Gabion CDEFL :404 ml TOT : 724 ml B : 136 ml

H: 62 ml JK: 248 ml CDEFL: 631 ml TOT : 1077 ml

3350 m2

2. Noue paysagère Gabion : 130 ml fond de noue concassé: 178 ml

Figure 58 : Représentation du cheminement d’un matériau à un débouché. Projet Gagarine, Romainville.

#2

• BELLASTOCK

112

Revêtement de sol

3. Îlot Mobilier

B : 80 m2 H: 34 m2 JK: 120 m2

revêtement : 334 m2

19

6


partie du rapport.

01 LE RÉEMPLOI DANS

LA FABRIQUE DE LA VILLE

Approche pratique Le diagnostic ressource

• L’analyse de la mine urbaine • Un outil volontaire :

Le diagnostic ressource

FABRICATION

ÉVALUATION

ASSURANCE

INDUSTRIEL

FILIÈRE PROFESSIONNELLE ou CSTB

C2P

Collecte Recycle Fournit MPS Fabrique

Évalue techniquement

Encadre l'assurance

CLASSEMENT DU PRODUIT

CLASSEMENT DU PRODUIT

LE PRODUIT de construction

Traditionnel

DOMAINE

NON Traditionnel

FABRICATION

ÉVALUATION

MOA

AMO - MOE ou CENTRE TECHNIQUE

commande MOE prescrit

Courante NON Courante

ASSURANCE BC ASSUREUR

Évalue techniquement

Valide & encadre

OUTIL DU DOMAINE NON TRAD.

OUTIL D'UNE TECHNIQUE N.C.

Diagnostic ressource ou Référentiel Technique

LE PRODUIT RÉEMPLOI de construction

CONTRATS

MOA Entreprise

Figure 30 : L’assurabilité d’un produit de construction, démarche classique (industriel)

BILAN

et proposition de démarche adaptée au réemploi (MOA). ORIGINE DE L’ÉLÉMENT

+ Construire le cadre d’évaluation technique et de suivi administratif du matériau collecté jusqu’à son retravail en produit de construction + Proposer une méthode de traçabilité des éléments de réemploi, à partir d’une étiquette produit

Gisement Niveau de la collecte

panneaux bois RDC au R+6

• BELLASTOCK

PERFORMANCES DE L’ÉLÉMENT Dimmensions 209cm x 82cm x 3cm BOIS

2.3.4. SÉCURISER LE PRODUIT, PRINCIPE D’ASSURABILITÉ 34 cages d’escaliers

Essence

chêne

d’origine très porteriche palière mortaise UnUtilisation temps d’échange à la C2P a permis d’encadrer les freins etassemblage leviers du tenon réemploi, du 3 Densité environ 690 kg/m intérieur 10 point de vue de l’assureur . Nombre cédé

Classe

M3 épaisseur >14mm

Les principes deCONTRÔLES REPAR suivants ont été jugés moteurs pour lever les verrous assurantiels : ASSOCIÉS QUINCAILLERIE Diagnostic ressources dernière version Bellastock 09/06/17

destinée à être supprimée

+ Aboutir documents qui sont des bases de dialogue commun pour commander, Expertise comp.à1des sans objet PEINTURE prescrire en œuvre des composants d’ouvrage en réemploi dans le bâtiment. Expertise comp.et2mettre sans objet sans substance polluante • Une méthodologie pour commander et prescrire le réemploi, dans une logique Expertise comp. 3 sans objet destinée à être sablée opérationnelle et projet par projet, et qui commence par le diagnostic des ressources d’un gisement ; ÉTAPES CLÉFS • Des référentiels techniques simples qui permettent de mettre en œuvre 10 Réunion C2P du 17-11-17, avec dates propriétaire Mariangel Sanchez : AQC, Bertrand des matériaux-produits de réemploi, peu importe le projet, peu importe le Fabrication vers 1930 RIVP Hannedouche : FFB, Céline Vinot : gisement. CERIB, Denis Marillier : EURISK, Collecte

#2

TECHNIQUE

RIVP

Christele Wojewodka : AIMCC, Albert Bacqueville : FFA, Philippe Réception post stockage DPA ville de Paris + Fonctionner sur une analyse en couple matériau – emploi : un matériau Lemeule : FFA, Stéphane Orsetti : SOCABAT, Valérie Flis-Plisson : est éligible au réemploi (et devient un produit de réemploi adapté à la CAPEB, Antoine Desbarrières : 20 Figure 71 : L’étiquette technique pour la traçabilité de portes palières en chêne nécessaires au projet d’une crèche. construction) pour un domaine de réemploi précis. CERQUAL, Antoine Demarque :


aîtriser le corps d’état dans lequel elle intervient, ce quipeut être posé pour former un nouvel ouvrage. Les mesures un matériau réemployé spécificités de chaque opération. Surplus fournisseurs n des matériaux de réemploi valables pour son ouvrage. Gisement naturelIl y a là, pour l’acteurpierre naturellefaire du normes de références sont alors précisées. souhaitant

réemploi, un travail important d’adaptation ou de vérification du produit aux géométries et 01 LE RÉEMPLOI DANS t d’ouvrage », de chaque fiche indique dans quelles de matériaux réemploi ne fait pas partie du domaine caractéristiques attendues par la norme. L’entreprise de construction qui aborde la démarche Erreurs de commande

Dépose en amont de LA FABRIQUE DEtout LAchantier VILLE

Gisement bio-sourcé

Contexte normatif

bois de charpente

S.O. Gisement naturel

S.O. Gisement bio-sourcé

t être pour former unréemploi nouvel ouvrage. Les ur uneposé évaluation favorable de l’organisme du doit doncagréé pleinement maîtriser le corps d’étatetdans lequel elle intervient, ce qui Tableau 6 : principe d’une fiche technique réemploi Dépose suite à malfaçon ou désordre Conception solidité isées. Il yde a là, l’acteur souhaitant faireune du mise montant lapour garantie. ce contexte, en luiDans facilitera d’autant plus la sélection des matériaux de réemploi valables pour son ouvrage. t d’ouvrageDépose », chaque fiche indique dans quelles en phase curage Durabilité Muret béton morcelé mur Muret de pierres de béton maçonné tation technique ou de vérification dufiches produit aux géométries et rentiel de ces 12 pourra être évaluée t être posé pour former un nouvel ouvrage.: Les TITRE MATÉRIAU(X) TITRE MATÉRIAU(X) : me. L’entreprise de construction qui aborde la démarche Déconstruction Étanchéité cadre d’une analyse de risque liée à la situation et aux Dans le cadre d’une garantie, l’usage de matériaux deÉLÉMENT réemploi/ ne fait pas partie du domaine ÉLÉMENT /COMPOSANT D’ORIGINE COMPOSANT D’OUVRAGE technique duD’OUVRAGE diagnostic ressource isées.La Il y fiche a là, pour l’acteur souhaitant faire du aîtriser le corps d’état dans lequel elle intervient, ce Maçonnerie qui sur une courant et les assureurs s’appuient évaluation favorable de l’organisme agréé Abattage sélectif Comportement au brique feu paysagère mur Maçonnerie de briques paysagère maçonnées Définition du composant d’ouvrage : Accès au gisement: tation ou de vérification du produit aux géométries et n des matériaux de réemploi valables pour son ouvrage. contrôlant l’opération pour ajuster le montant de la garantie. Dans ce contexte, une mise en Démolition Isolement acoustique me. L’entreprise de construction qui aborde la démarche • La Surplus fiche fournisseurs technique réemploi, du contextuel au œuvre telle que supportée par le référentiel technique de ces 12 fiches pourra être évaluée aîtriser le corps d’état dans lequel elle intervient, ce Revêtement qui de sol extérieur brique sol Revêtement de briquede ensol pose extérieur sèche Opérations post abattage Préconisations d’usage (ex :UPEC) générique de matériaux de réemploi ne fait pas partie favorablement au casdu pardomaine cas dans le cadre d’une analyse de risque liée à la situation et aux Erreurs de commande photos d’un n des matériaux de réemploi valables pour son ouvrage. Spécificités pour l’intégration au ur une+évaluation favorable de l’organisme agréé spécificités de chaque opération. Créer une banque dededonnée «peu importephotos le projet, Contexte normatif composant d’unpeu importe le Dépose en amont chantier Données matériaux: état tout d’admissibilité projet. Niveau de préparation attendu gisement» d’ouvrage montant de la garantie. Dans ce contexte, une matériau miseRevêtement entype de sol extérieur du produit pour pavé :béton sol Revêtement pavé en pose de sol sèche extérieur de matériaux de réemploi ne fait pas partie du domaine Dépose suite à malfaçon ou désordre Conception et solidité + + rentiel+technique cesTITRE 12 fiches pourrad’un être évaluée Utiliser les de méthodes d’évaluation produit innovant, avec MATÉRIAU(X) : géométraux géométraux du ur une évaluation favorable de Localisation sur le l’organisme bâti élémentagréé Dépose en phase curage Durabilité l’étude systématique du couple / domaine d’emploi cadre d’une analyse de risque liée à la situation et aux ÉLÉMENT / COMPOSANT D’OUVRAGE La fourniture du produit à produit à obtenir (accessibilité de l’aire de collecte) Revêtement de sol extérieur pavé béton sol Revêtement pavé en pose de sol scellée extérieur montant de la garantie. Dans ce contexte, une mise en obtenir AVANT TRANSTableau 6 : principe d’une fiche technique réemploi Déconstruction Étanchéité Définition du composant d’ouvrage : APRES TRANSFORMATION entiel technique de ces 12 fiches pourra être évaluée Sollicitations environnementale La pose FORMATION Abattage sélectif Comportement au feu acceptées cadre d’une analyse de risque liée à la situation et aux Mur voile béton recadré voile Mur béton

u r

Approche pratique

TITRE MATÉRIAU(X) : Démolition Sollicitations d’usage acceptées ÉLÉMENT /COMPOSANT D’OUVRAGE D’ORIGINE

Exigences géométriques attendues Opérations post abattage Accès au gisement: Contexte normatif

Mur porteur

Surplus fournisseurs Exigences mécaniques attendues photos d’un Conception et solidité Données matériaux: état d’admissibilité (masse volumnique, nature surfacique…) matériau type TITRE MATÉRIAU(X) : Erreurs de commande Maçonnerie Durabilité ÉLÉMENT / COMPOSANT D’OUVRAGE + Expertises à associer : géométraux du Dépose en amont sur de tout chantier Localisation le bâti Étanchéité Définition du composant d’ouvrage : produit à obtenir (accessibilité de l’aire de collecte) Auto-contrôle amont par le TITRE MATÉRIAU(X) : AVANTCouverture TRANS Dépose suite à malfaçon ou désordre diagnostiqueur Comportement feu ÉLÉMENTau / COMPOSANT D’OUVRAGE FORMATION Sollicitations environnementale Dépose en phase curage Auto-contrôle aval par l’entreprise acceptées Isolement acoustique Définition du composant d’ouvrage : Déconstruction Contrôle in situ par laboratoire portatif Sollicitations d’usage acceptées Préconisations d’usage (ex :UPEC) Contexte normatif Contrôlesélectif par BE ou laboratoire Abattage Exigences géométriques attendues Spécificités pour l’intégration au Conception et solidité indépendant projet. Niveau de préparation attendu Démolition Exigences mécaniques attendues du produit pour : Contexte normatif Durabilité (masse volumnique, nature surfacique…) Opérations post abattage #2 • BELLASTOCK Conception et solidité Étanchéité La fourniture Expertises à associer :

Façade légère

photos d’un composant Bardage d’ouvrage + géométraux Vêture du produit à

TITRE MATÉRIAU(X) : Isolement acoustique L'assemblage ÉLÉMENT / COMPOSANT D’OUVRAGE

Préconisations d’usage (ex :UPEC) Définition du composant d’ouvrage :

lamelle sciée de voile béton

Spécificités pour l’intégration au projet. Niveau de préparation attendu du produit pour : brique Contexte normatif La fourniture tuile mécanique Conception et solidité Durabilité La pose

assemblage Mur porteur en lamelles béton

photos d’un composant d’ouvrage mur Maçonnerie en remplissage brique + géométraux du produit à obtenir couverture Couverturede tuile APRES TRANSFORMATION

ouvrant bois de fenêtre Étanchéité L'assemblage

façade Façadelégère légèrebois et verre

Comportement au feu huisserie bois déligné

bardage Bardage horizontal et vertical

Isolement acoustique

Préconisations d’usage (ex :UPEC) porte bois

Spécificités pour l’intégration au

photos d’un

vêture Vêtureen assemblage de21pannea


sse Source dicobat généralisés pouvant présager d'une certaine faiblesse posant d'Ouvrage : Brique pour maçonnerie paysagère Aucune

1

passerelle

2

Contexte normatif

DTU de référence

Le réemploi entre architecture et industrie passerelle Conception et solidité

Expertises attendues

Pose

Fiche 12

n matériau type ueur Echantillonnage : CTION ET PRÉPARATION

Spécificités pour

Sur palette 3 Sur palette, Pose sur ter

la montée en généralité du diag

Fourniture (préconisations stocks)

DTU 20.1 Pose Catalogue technique : la montée en généralité du diagnostic Capacité de résistance aux charges d’exploitation. Par adaptation de la norme NF EN 771-1 Août 2011 soins diagnostiqueur Démolition / abattage sélectif / déconstruction Durabilité Propre à l'extérieur : Matériau : état d'admissibilité FAÇADE – FAÇADE LÉGÈRE BOIS ET VERRE Par adaptation de le norme NF EN 12371 dépend de la zone de gel Tout élément en maçonnerie liant chaux et non ciment (24 à 96 cycles) sur la Gélivité ales vécues Gel / dégel, vent, milieu marin, intérieur / extérieur Assemblage Par adaptation de la norme NF EN 14231 sur la Glissance selon en COUVERTURE – TUILE MÉCANIQUE ndues Couverture - Tuiles mécaniques Brique entière ou demi-brique. milieu humide > 35

Accès au gisement Sans objet

charge

Entre lamelle horizontale et sol : exploitation et géotextile optionnel Fourniture (préconisations stocks) prévoir dans réservations dans la dalle (10/10 ou 15/15) pour le Pose sur dalle extérieure : Ajouter étanchéité sur dalle à la pose sur terre-plein positionnement de la barre ou tube métallique Pose Sur lit de sable dito pavés béton Tête de lamelle horizontale : Pose sur terre-plein : Ceinturage métallique

la montée enpasserelle généralité du diagnostic

Petit mur bas (plus bas qu'un mur de parapet) maçonné

Sur mortier Dito maçonn Pose sur da

Sur couche de fondation calculée selon les charges appliquées en exploitation et géotextile optionnel photos d'un composant d'ouvrage à obtenir Pose sur dalle extérieure : APRÈS PRÉPARATION Ajouter étanchéité sur dalle à la pose sur terre-plein Assemblage FAÇADE – VÊTURE BOIS entre architecture et industrie Le réemploi Sans création de ligne droite de joint continue passerelle

Assemblage Façade légère - Bois et verreFiche 14

Ajouter éta Liaison par m Sans créatio

Façade - Vêture bois

Fiche 11 Les tuiles ne s’effritent pas lorsque l'on passe la main dessus. photos d'un compo photos d'un composant d'ouvrage à obtenir Composant d'Ouvrage : Panneau de façade légère verre et bois Dimension variable selon les types de briques Étanchéité à l'eau APRÈS PRÉPARATION Non étanche à l'eau APRÈS P Les tuiles ne cassent pas lors du nettoyage dues (masse volumique, 1800Kg/m3 < r < 2100kg/m3 Comportement en situation incendie Composant d'Ouvrage : Tuile de couverture Incombustible Composant d'Ouvrage : Panneau de vêture en bois Les tuiles ne sont pas tachées (tâches rédhibitoires sur les tuiles à Définition du composant d'ouvrage Affaiblissement acoustique Sans objet Fiche 13 FAÇADE – FAÇADE LÉGÈRE BOIS ET VERRE Façade - Bardage bois Amiante, plomb Définition du composant d'ouvrage Source dicobat Façade constituée de matériaux de faible masse, tels que les tôles Préconisations d'usage (ex : UPEC) Gélivité selon NF EN 1344 dépend de la zone de gel (24 à 96 cycles) types micro-organismes : bactéries, algues, champignons, lichens et Ensemble des ouvrages et matériaux de revêtement en tuiles Définition du composant d'ouvrage Expertises attenduesSource dicobat Façade - Vêture bois Glissance selon NF EN 1344 en milieu humide > 35 métalliques, verre, panneaux de bois, de fibres, etc. Fiche 14 FAÇADE – VÊTURE BOIS Photos Bellastock Composant d'Ouvrage : Bardage horizontal ou vertical mécaniques qui assurent le "couvert" d'un édifice iagnostiqueur Photo Bellastock mousses. Ces éléments ont des actions chimiques et corrosives sur Spécificités pour l'intégration au projetContexte normatif Source dicobat Revêtement de façade mis en place par fixation m Façade - Bardage bois Contexte normatif Fiche 13 FAÇADE – BARDAGE BOIS Fourniture (préconisations stocks) prise Sur palette, tri par dimensions et couleur Dito autocontrôle amont sur chaque brique DTU de référence DTU n° 40.21 Couverture en tuiles de terre cuite à emboîtement ou DTU 33.1 et 33.2 - façades légères DTU de référence Définition du composant d'ouvrage le support Contexte normatif Pose dito maçonnerie neuve re portatif Non 228 Source dicobat Revêtement de façade mis en place par f à glissement à relief DTU 41.2 (NF P 65-210) - Revêtement extérieur en bois DTU de référence Matériau pour Composant d'Ouvrage : Huisserie de porte pour bardage bois Assemblage Liaison par mortier à la chaux ou à joints vifs Matériau pour Composant d'Ouvrage : Porte palière pour vêture bois DTU 33.1 et 33.2 - façades légères re indépendant Contexte normatif Dito auto-contrôle amont sur chaque élément VISA / visuel Conception et solidité Par adaptation de la norme NF EN 1304 Conception et solidité Performances de préservation des bois et attestation de traitement

4

Catalogue tec la montée en général

photos d'un composant APRÈS PRÉPA

5

6

7

DTU de référence photos d'un composant d'ouvrage à obtenir DTU 33.1 et 33.2 - façades légères DTU 41.2 (NF P 65-210) - Revêtement extérieur e Par adaptation de la norme NF EN 539-2 Accès au gisement conforme à la norme NFB 50-105-3 Fiche 5 VRD – REVÊTEMENT DE SOL BRIQUES – POSE SÈCHE DTU 41.2 (NF P 65-210) - Revêtement ex Captation du matériau Démolition / abattage sélectif / déconstruction / concassage / APRÈS PRÉPARATION Par adaptation de la norme NF EN 539-1 Durabilité Classe d'emploi selon FD P 20-651 Durabilité des éléments et dépose / surplus fournisseur / erreurs de commandes Conception et solidité Performances de préservation des bois et attesta Conception et solidité Performances de préservation des bois e Comportement en situation incendie Par adaptation de la norme NF EN 1304 Matériau : état d'admissibilité photos d'un composant d'ouvrage à obtenir traitement conforme à la norme NFB 50endant ouvrages en bois Non traitement conforme à la norme NFB 50-105-3 Accès au gisement Localisation sur le bâti Huisserie de porte APRÈS PRÉPARATION Affaiblissement acoustique Justification par évaluation acoustique du système Durabilité Classe d'emploi selon FD P 20-651 Durab 227 Étanchéité à l'eau Classement E de AEV selon la norme NF EN 1027 - Fenêtres et portes Sollicitations environnementales vécues Gel / dégel, vent, milieu marin, intérieur / extérieur ouvrages en bois Captation du matériau démolition / abattage sélectif / déconstruction / mise aux normes Durabilité Classe d'emploi selon FD P 20-651 Durabilité des Préconisations d'usage (ex : UPEC) Sans objet Exigences géométriques attendues Selon projet de bardage Étanchéité à l'eau Perméabilité à l'eau - Méthode d'essai par joint périphérique souple Sans objet / rénovation Spécificités pour l'intégration au projet Exigences mécaniques attendues (masse ouvrages en bois Comportement en situation incendie Combustible 0,5 T/m3 < r < 1,2 T/m3 conforme à la Norme NF-P 85.301 volumique, nature surfacique) Façade légère - Bois et verre Stockage sur palettes et hors d'eau he 12 FAÇADE – FAÇADE LÉGÈRE BOIS ET VERRE Fourniture (préconisations stocks) A prendre en compte dans le calcul du C Étanchéité à l'eau Matériau : état d'admissibilité Diagnostics autres sans objet (voir préconisation d'usage) Parasitaire (termites, champignons lignivores…), amiante, plomb Comportement en situation incendie Combustible non pare-flamme (à prendre en compte dans le calcul Affaiblissement acoustique Sans objet Pose Dito tuiles neuves Expertises attendues Localisation sur le bâti Porte palière en chêne massif Préconisations d'usage (ex : UPEC) du C+D) Comportement en situation incendie Sans objet Combustible. À prendre en compte dans le calcu Assemblage Autocontrôle amont par le diagnostiqueur Rectitude des éléments, état apparent du bois par grattage, Dito tuiles neuves Dessin sans échelle et Photo Bellastock pour Composant d'Ouvrage : Ouvrant de fenêtre pour façade légère vérification de l'essence du bois Spécificités pour l'intégration au projet Affaiblissement acoustique Justification par évaluation acoustique du système Sollicitations environnementales vécues Intérieur photos d'un composant d'ouvrage à obtenir Affaiblissement acoustique

if

Durabilité Photos d'un matériau type Non Étanchéité à l'eau AVANT DÉCONSTRUCTION ET PRÉPARATION

Photos d'un matériau type ANT DÉCONSTRUCTION ET PRÉPARATION 243 242

Photos Bellastock - Clément Guillaume

Démolition / déconstruction/ dépose / réhabilitation thermique / surplus fournisseur / erreurs de commande / mise aux normes / rénovation

Matériau : état d'admissibilité

sur le bâti

environnementales vécues

ométriques attendues

écaniques attendues (masse ature surfacique) autres

Ouvrant de fenêtre bois Gel / dégel, vent, milieu marin, intérieur / extérieur Fourniture (préconisations stocks) Évaluation du classement AEV selon la zone géographique Sans objet Pose Bois : 0,5 T/m3 < r < 1,2 T/m3 Assemblage État du bois satisfaisant Parasitaire (termites, champignons lignivores…), amiante, plomb Photo Bellastock

11

Expertises attendues

e amont par le diagnostiqueur

e aval par l'entreprise

itu par laboratoire portatif

BE ou laboratoire indépendant

9

APRÈS PRÉPARATION Préconisations d'usage (ex : UPEC)

Accès au gisement

matériau

8

Rectitude des éléments, état général du bois par grattage et étude des systèmes d'assemblage, vérification de l'essence du bois État apparent du bois et du vitrage

Autocontrôle aval par l'entreprise

Sans objet

Fourniture (préconisations stocks)

Stockage en tas sur palettes et hors d'ea

Diagnostics autres

Parasitaire (termites, champignons lignivores…), amiante, plomb

Spécificités pour l'intégration au projet Spécificités pour l'intégration au projet Sur chevalet dito menuiseries neuves Fourniture (préconisations stocks)Expertises attendues Stockage en tas sur palettes et hors d'eau Autocontrôle amont par le diagnostiqueur Selon projet d'architecte par application du DTU applicable Pose Selon projet d'architecte par application du DTU applicable

Assemblage Photos Bellastock Autocontrôle aval par l'entreprise photos d'un composant d'ouvrage à obtenir 231 Contrôle in situ par laboratoire portatif APRÈS PRÉPARATION

Contrôle par BE ou laboratoire indépendant

12

245 237 Photos Bellastock Alexis Leclercq Rectitude des éléments, état général du bois par grattage et étude Selon projet d'architecte par application du DTU des systèmes d'assemblage, vérification de l'essence du bois Selon projet d'architecte par application du DTU État apparent du bois photo Wienerberger, disponible sur http://wienerberger.fr/produits/terre-de-rose-antique-pavage

photos d'un composant d'ouvrage à obtenir Non APRÈS PRÉPARATION Classe d'emploi selon FD P 20-651 Durabilité des éléments et ouvrages en bois

Photos d'un matériau type AVANT DÉCONSTRUCTION ET PRÉPARATION

13

Photo Bellastock

Photo Bellastock - Clément Guillaume source https://www.systemed.fr/conseils-bricolage/quelles-dimensions-pour-porte-d-interieur,2373.html

252 Photo Bellastock - Clément Guillaume

Etat apparent du bois

Classement A de AEV selon la norme NF EN 1026 - Fenêtres et portes Contrôle in situ par laboratoire portatif Non Exigences géométriques attendues Pose Épaisseur minimale 15 mm Selon projet d'architecte par application Préconisations d'usage (ex : UPEC) traitement selon la réglementation en vigueur co Contrôle par BE ou laboratoire indépendant Classe d'emploi selon FD P 20-651 Durabilité des éléments et - Perméabilité à l'air - Méthode d'essai Assemblage Selon projet d'architecte par application Exigences mécaniques attendues (masse ouvrages en bois 0,5 T/m3 < r < 1,2 T/m3 éléments bois chêne en extérieur selon classe d'e photos d'un composant d'ouvrage à obtenir Classement V de AEV selon la norme NF EN 12210 - Fenêtres et Photos d'un matériau type volumique, nature surfacique) masse combustible < 130 MJ/m3 APRÈS PRÉPARATION (attestation demandée par le bureau de contrôle portes - Résistance au vent - Méthode d'essai AVANT DÉCONSTRUCTION ET PRÉPARATION

Non Classe d'emploi selon FD P 20-651 Durabilité des éléments et ouvrages en bois

Photos d'un matériau type AVANT DÉCONSTRUCTION ET PRÉPARATION

10

14

234

249

Photos Bellastock #2

• BELLASTOCK

22


01 LE RÉEMPLOI DANS

LA FABRIQUE DE LA VILLE

Approche pratique La fiche technique

Fiche 11

Couverture - Tuiles mécaniques COUVERTURE – TUILE MÉCANIQUE

Matériau pour Composant d'Ouvrage :

Tuile de couverture pour tuile de couverture Le réemploi entre architecture et industrie passerelle

• La fiche technique, une traduction du diagnostic ressource : + Accès au gisement : où collecte-t-on l’élément de façon la plus efficace ? + Matériau / Admissibilité : Quels critères qualifient l’état d’un matériau comme compatible avec son réemploi ? + Expertises à associer : quels sont les essais complémentaires à faire réaliser ?

Catalogue technique : la montée en généralité du diagnostic

Accès au gisement Captation du matériau

Dépose / surplus fournisseur / erreurs de commandes

Matériau : état d'admissibilité Localisation sur le bâti

Couverture

Sollicitations environnementales vécues

Gel / dégel, vent, milieu marin

Exigences géométriques attendues

Tuiles entières non fissurées

Exigences mécaniques attendues (masse volumique, nature surfacique) Diagnostics autres

Aucune

Autocontrôle aval par l'entreprise Contrôle in situ par laboratoire portatif Contrôle par BE ou laboratoire indépendant

COUVERTURE – TUILE MÉCANIQUE

Couverture - Tuiles mécaniques

Composant d'Ouvrage :

Tuile de couverture Définition du composant d'ouvrage

Sans objet

Expertises attendues Autocontrôle amont par le diagnostiqueur

Fiche 11

Source dicobat

Echantillonnage : Les tuiles ne s’effritent pas lorsque l'on passe la main dessus. Les tuiles ne cassent pas lors du nettoyage DTU de référence Les tuiles ne sont pas tachées (tâches rédhibitoires sur les tuiles à types micro-organismes : bactéries, algues, champignons, lichens et Conception et solidité mousses. Ces éléments ont des actions chimiques et corrosives sur Durabilité le support Étanchéité à l'eau Dito auto-contrôle amont sur chaque élément Comportement en situation incendie Non Affaiblissement acoustique Non Préconisations d'usage (ex : UPEC)

Photos d'un matériau type AVANT DÉCONSTRUCTION ET PRÉPARATION

Ensemble des ouvrages et matériaux de revêtement en tuiles mécaniques qui assurent le "couvert" d'un édifice

Contexte normatif DTU n° 40.21 Couverture en tuiles de terre cuite à emboîtement ou à glissement à relief Par adaptation de la norme NF EN 1304 Par adaptation de la norme NF EN 539-2 Par adaptation de la norme NF EN 539-1 Par adaptation de la norme NF EN 1304 Justification par évaluation acoustique du système Sans objet

Spécificités pour l'intégration au projet Fourniture (préconisations stocks)

Stockage sur palettes et hors d'eau

Pose

Dito tuiles neuves

Assemblage

Dito tuiles neuves

photos d'un composant d'ouvrage à obtenir APRÈS PRÉPARATION

+ Définition du nouveau produit de réemploi : son nom, son domaine de réemploi , son lot dans la construction ? + Contexte normatif : à quelle norme actuelle de la construction se réfère-t-on ? + Spécificités pour l’intégration du produit: quelles préconnisations techniques de fabrication et de mise en oeuvre pour les opérateurs ?

248

Photo Bellastock

Photo Bellastock - Clément Guillaume

#2

• BELLASTOCK

249

23


Attendus 3 : Proposer un cadre reproductible :

Exigences liées à la collecte et à la préparation du produit

01 LE RÉEMPLOI DANS • Relever les textes réglementaires et normatifs de référence à l’époque de la fabrication LA FABRIQUE DE LA VILLE

du produit et aujourd’hui ; • Limiter les tests en laboratoire indépendant ; • Identifier à chaque étape les autocontrôles nécessaires ; • Proposer des méthodes de traitement de Exigences la matière qui la stabilisent etles la fiabilisent géométriques technique • Le référentiel technique, un + Attendu 1 : limiter surcoût d’expertise et techniques du produit dans le temps ; guide de bonne pratiquePréconisation pour de posedu gisement Cadre normatif • Associer un contrôleur technique du cahier Attendu la 2 : validation aider aux arbitrages sur le changer d’échelle.à la démarche pour +faciliter domaine d’emploitechnique ; des charges et apporter les interrogations pragmatiques du contrôle + Attendu : proposer un cadre • Proposer une répartition claire des rôles et responsabilités des3parties prenantes.

Approche pratique Le référentiel

reproductible

Fiche synthèse de l’étape 1 du diagnostic ressource, dans le cas d’une mission qui intègre des préconisations architecturales. Diagnostic BETON Le réemploi entre architecture et industrie passerelle

/ Guide méthodologique et technique pour le réemploi de béton en murs

Catalogue technique : la montée en généralité du diagnostic

Guide méthodologique et technique

/ Guide méthodologique et technique pour le réemploi de béton en murs

Reconnaissances in situ et essais en laboratoire SOMMAIRE

Il est préférable de réaliser les lamelles à partir de panneaux collectés et de limiter les phases de

1.

2.

GENERALITES ........................................................................................................................................... 5 1.1.

CONTEXTE ............................................................................................................................................. 5

1.2.

MURS .................................................................................................................................................... 6

1.3.

LAMELLES .............................................................................................................................................. 6

1.4.

VOCABULAIRE ........................................................................................................................................ 7

1.5.

PRINCIPAUX DOCUMENTS CONSULTES ..................................................................................................... 7 INVESTIGATIONS DOCUMENTAIRES........................................................................................................... 8

2.2.

RECONNAISSANCES IN SITU ET ESSAIS EN LABORATOIRE........................................................................... 8

2.2.1.

Relevé de la structure et inspection visuelle ................................................................................ 9

2.2.2.

Béton............................................................................................................................................. 9

2.2.3.

Acier ............................................................................................................................................ 14

EXPLOITATION DES ESSAIS POUR LA CARACTERISATION DES MATERIAUX ................................................. 15 Relevé de la structure et inspection visuelle .............................................................................. 15

2.3.2.

Caractéristiques du béton ........................................................................................................... 15

2.3.3.

Caractéristiques de l’acier .......................................................................................................... 17

Résistance en Profondeur de compression du 3.1. MURS NON PORTEURS .......................................................................................................................... 19 Investigations carbonatation béton 3.1.1. Diagnostic ................................................................................................................................... 19 documentation OUTILS DE CAPITALISATION DES RESULTATS .......................................................................................... 17

3.1.2.

Collecte ....................................................................................................................................... 19

3.1.3.

Intégration au nouvel ouvrage .................................................................................................... 20

3.1.4.

Préparation des éléments ........................................................................................................... 26

3.1.5.

Phase mise en œuvre ................................................................................................................. 26

3.1.6.

Transport, manutention et stockage ........................................................................................... 26

3.1.7.

Traçabilité des éléments ............................................................................................................. 28

Enrobage des Diagnostic ................................................................................................................................... 28 armatures Collecte ....................................................................................................................................... 29

3.2.3.

Intégration au nouvel ouvrage .................................................................................................... 29

3.2.4.

Préparation des éléments ........................................................................................................... 32

3.2.5.

Phase de mise en œuvre ............................................................................................................ 32

3.2.6.

Transport, manutention et stockage ........................................................................................... 32

3.2.7.

Traçabilité des éléments ............................................................................................................. 32

3.3.

Lamelles horizontales assemblages de panneaux. Les lamelles seront empilées les unes sur les autres et posées sur un lit de mortier. Les chaînages seront réalisés après la pose des lamelles et la constitution de la paroi. Si lespilier lamelles non porteur Conception et solidité

Dans le cas des murs porteurs, le fonctionnement relèvera du §3.2.3.1 relatifs aux murs porteurs réalisés par

ont une longueur inférieure à l’espace entre chaînages, elles seront posées en quinconce. Les faces glacées par le sciage et laissant apparaitre des armatures seront posées ne seront pas visibles et seront posées face au lit de mortier.

en partie libre car leur constitution ne leur permet pas de travailler en flexion.

Densités d’armatures Lamelles

Essais de traction des armatures

Lamelles hori zontales - type maçonnerie

Chaînages

Mur porteur - type béton

Figure 13 - Exemple de mur porteur par lamelles de longueur égale à l'espace entre chaînages

Opus incertum

MURS PORTEURS – FONCTIONNEMENT DE TYPE MUR EN BETON ARME ..................................................... 32

_________________________________________________________________________________________________ OPHLM 93 - CSTB-DSSF/SMP/26065266 37/54 23/09/2016

55

Exemple d’arbre de décision pour le réemploi de béton. Aide à la cible des couples matériaux / • BELLASTOCK

Mur porteur - type maçonnerie

Les séparateurs seront conçus de façon similaire aux murs non porteurs. La longueur libre entre deux appuis sera au plus égale à la moitié de la longueur de la lamelle. Aucune charge ne sera reportée sur les lamelles

Epaisseur des voiles

_________________________________________________________________________________________________ OPHLM 93 - CSTB-DSSF/SMP/26065266 3/54 23/09/2016

55

#2

Contrôle visuel de l’état des armature

MURS PORTEURS – FONCTIONNEMENT DE TYPE MUR MAÇONNE .............................................................. 28

3.2.2.

21/10/2016

qu’elles soient dimensionnées pour.

MURS ........................................................................................................................................................ 19

3.2.1.

Rédacteur : Étienne Prat Vérificateur : Phillipe Leblod

Béton armé

2.3.1.

3.2.

Demandeurs de l'étude : OPHLM de Seine Saint-Denis et Bellastock

Béton non armé

2.1.

2.4.

3.

Contrôle visuel général

DIAGNOSTIC DES PERFORMANCES D’UN ELEMENT EN BETON ...................................................... 8

2.3.

ÉTUDE POUR LE RÉEMPLOI D'ÉLÉMENTS EN BÉTON

Mur porteurs Essais de convenances pour anLamelles 4.1.3.Intégration au nouvel ouvrage crage et scellement Les exigences essentielles portent sur la solidité d’armatures et la durabilité de l’ouvrage et il conviendrahorizontales d’examiner selon l’étanchéité à l’eau et à l’air de la paroi et l’isolement acoustique pour un réemploi pour la construction de - séparateur ajouré projet locaux chauffés et habités dans le cas de murs porteurs. manutentions des lamelles. Les lamelles seront sollicitées en flexion lors de phases de manutention sans

2.1

pour le réemploi de béton en murs

Utilisations visées

domaines sur lesquels se concentrer. Extrait du référentiel technique pour le réemploi de bétond’emploi en mur. CSTB/Bellastock. Disponible dans le rapport complet.

Muret paysager

24


01 LE RÉEMPLOI DANS

RÉEMPLOI

LA FABRIQUE DE LA VILLE

DÉBOUCHE Réemploi

VAL O

DÉVE VAL LO O

TRI

DUÉVE ÉT D LO

Écoulement

COLLECTE

ÉVAL U

opérationnelle & Analyses Performances · Technique socio-éco · Env, Reglementaire · Sanitaire EN

DÉCONSTRUCTION

ou Filières MOA PROJET MOE Filières RECYCLEURS ou FOURNISSEURS

Référentiel Composant d’ouvrage réemploi

RI EMENT P Préparation PP

Écoulement

COLLECTE

ION DIAGN AT

EM T PP P P OP ORT ’ U ED

TÉ DUIIT RO N

B

Préparation opérationnelle & Performances TION PR Env, SAsocio-éco

DÉCONSTRUCTION

Filières MOA PROJET MOE

ION P Intégration R SAT RI Produit

Analyses · Technique Faisabilité · Reglementaire · Economique · Sanitaire · Technique

Évacuation

ÉTU D

A

Caractérisation matériaux Choix du domaine d’emploi Cible du débouché

Référentiel Composant d’ouvrage réemploi

UIT DUIT OD RO

A

DIAGNOSTIC RESSOURCE

UIT OD

Approche pratique

Intégration Produit

TIC OS

DÉBOUCHE Réemploi Orientation Gisement

ÉVAL U

Caractérisation matériaux Choix du domaine d’emploi Cible du débouché

TIC OS

Avis ON DIAG I N Favorable AT

DIAGNOSTIC RESSOURCE

Orientation Gisement

Bilan

Avis Favorable

’OPPORT U ED

TÉ NI

Filières RECYCLEURS Évacuation Faisabilité TRI FOURNISSEURS · Economique Figure 77 : Les actions d’expertise impulsées par le prescripteur du projet réemploi (aujourd'hui). B

· Technique

Figure 77 : Les actions d’expertise impulsées par le prescripteur du projet réemploi (aujourd'hui).

Déconstructibilité

Tri Déchets Déconstructibilité

DÉBOUCHES Faible Valorisation Gisement

DÉBOUCHES Haute Valorisation

Réferentiels Ouvrage

autres secteurs

Orientation Gisement Nouveau DÉBOUCHE

Gisement autres secteurs

Nouveau DÉBOUCHE

Performance Environnementale & Socio-économique

EM E

ALUATION ÉV

ORISATIO AL

ORISATIO AL

N

LO VE

V

Avis technique Atex etc.

Fiabilisation Composition & Domaine d’emploi PP

NT

ÉTU D

ALUATION ÉV

N

Faisabilité Economique & Technique

’OPPORT U ED

LOPPEME VE

NT

’OPPORT U ED

V

Réferentiels Ouvrage

ÉTU D

DÉBOUCHES Haute Valorisation

TÉ NI

• BELLASTOCK

Orientation Tri Déchets Gisement

TÉ NI

#2

DÉBOUCHES Faible Valorisation

Performance Fiabilisation Avis technique Faisabilité Environnementale & Composition & Atex Figure 78 : Le cycle de valorisation des éléments de construction de réemploi à destination du secteur de la Economique & Socio-économique Domaine etc. Technique d’emploi

construction (demain) — (source : Bellastock – CSTB)

25


Ouvrages démonstrateurs du béton de réemploi Fabrique du Clos, Stains. Seine-Saint-Denis Habitat, Bellastock


#2

Pavillon Béton à la Fabrique du Clos Seine-Saint-Denis Habitat, Bellastock

Une recherche et expertise au service de l’architecture et l’économie circulaire BTP BELLASTOCK CONSULTANTS • LERM


02 ÉCLAIRAGE

TECHNIQUE

Retour sur les fiches techniques réemploi Méthodologie et objectifs Le réemploi entre architecture et industrie passerelle

Catalogue technique : la montée en généralité du diagnostic

Avis technique sur les fiches

1.1

par Bellastock du réemploi • VérifierProduites la cohérence vis-à-vis des textes

Le réemploi entre architecture et industrie passerelle

Catalogue technique : la montée en généralité du diagnostic

Avis technique sur les fiches

BTP Consultant / Avis technique sur les fiches

1 Objet de la mission

1.1

L’objet de la mission est de réaliser une vérification de 12 fiches de réemploi émises par Bellastock Architecture Experimentale afin d’en apprécier la cohérence globale.

BTP Consultant / Avis technique sur les fiches

BTP Consultant / Avis technique sur les fiches

Notre analyse a porté sur la possibilité des éléments décrits de pourvoir être mis en œuvre avec une cohérence vis-à-vis des réglementations applicables aux ouvrages neufs sans pour se limiter aux matériaux de construction neufs. Nous avons notamment vérifié la 2.12 COUVERTURE – Tautant UILES MECANIQUES cohérence globale des procédés décrits dans les fiches.

Produites par Bellastock

1 Objet de la mission

L’objet de la mission est de réaliser une vérification de 12 fiches de réemploi émises par Bellastock Architecture Experimentale afin d’en apprécier la cohérence globale. Notre analyse a porté sur la possibilité des éléments décrits de pourvoir être mis en œuvre avec une cohérence vis-à-vis des réglementations applicables aux ouvrages neufs sans pour autant se limiter aux matériaux de construction neufs. Nous avons notamment vérifié la cohérence globale des procédés décrits dans les fiches. Dans une première partie « Matériau pour composant d’ouvrage », chaque fiche défini la provenance des matériaux d’apport et les critères de référence souhaités pour pouvoir entrer dans la démarche de réemploi. Cette partie a pour objet d’outiller les acteurs du chantier pour avoir un critère de choix sur l’utilisation des matériaux en réemploi.

• Outiller les acteurs de la construction avec des repères réglementaires

Dans une seconde partie « composant d’ouvrage », chaque fiche indique dans quelles mesures un matériau réemployé peut être posé pour former un nouvel ouvrage. Les normes de références sont alors précisées. Il y a là, pour l’acteur souhaitant faire de réemploi, un travail important d’adaptation ou de vérification du produit aux géométries et caractéristiques attendues par la norme.

+ S’appuyer le plus possible sur les référentiels existants + Choisir les référentiels les plus proches

Dans le cadre d’une garantie, l’usage de matériaux de réemploi ne fait pas partie du domaine courant et les assureurs s’appuient sur une évaluation favorable de l’organisme agréé contrôlant l’opération pour ajuster le montant de la garantie. Dans ce contexte, une mise en œuvre telle que supportée par le référentiel technique de ces 12 fiches pourra être évaluée favorablement au cas par cas dans le cadre d’une analyse de risque liée à la situation et aux spécificités de chaque opération.

L’entreprise de construction qui aborde la démarche du réemploi doit donc pleinement maîtriser le corps d’état dans lequel elle intervient, ce qui lui facilitera d’autant plus la sélection des matériaux de réemploi valables pour son ouvrage.

2.12.1 Accès au gisement Dans une première partie « Matériau pour composant d’ouvrage », chaque fiche défini la Correct. provenance des matériaux d’apport et les critères de référence souhaités pour pouvoir entrer dans la démarche de réemploi. 2.12.2 Matériau : état Cette d’admissibilité partie a pour objet d’outiller les acteurs du chantier pour avoir un critère de choix sur l’utilisation en réemploi. Etendre la cause possibledes desmatériaux tâches rédhibitoires sur les tuiles à tous les micro-organismes : bactéries, algues, champignons, lichens et mousses. L’ensemble de ces éléments ont des Dans une seconde « composant d’ouvrage », chaque fiche indique dans quelles actions chimiques et corrosives sur partie le support. mesures un matériau réemployé peut être posé pour former un nouvel ouvrage. Les normes de références sont alors précisées. Il y a là, pour l’acteur souhaitant faire de réemploi, un 2.12.3 Expertises attendues : travail important d’adaptation ou de vérification du produit aux géométries et caractéristiques Correct. attendues par la norme. 2.12.4 Définition du composant de de l’ouvrage L’entreprise construction qui aborde la démarche du réemploi doit donc pleinement maîtriser le corps d’état dans lequel elle intervient, ce qui lui facilitera d’autant plus la sélection Correct. des matériaux de réemploi valables pour son ouvrage. 2.12.5 Contexte normatif Dans le cadre d’une garantie, l’usage de matériaux de réemploi ne fait pas partie du domaine L’appellation « courant tuiles mécaniques » vise 2s’appuient types de tuiles : et les assureurs sur une évaluation favorable de l’organisme agréé  Les « tuiles de terre cuite àpour emboîtement ou à glissement à relief » visées par le une mise en contrôlant l’opération ajuster le montant de la garantie. Dans ce contexte, DTU 40.21 (P31-202) œuvre telle que supportée par le référentiel technique de ces 12 fiches pourra être évaluée  Les « favorablement tuiles de terre cuite à emboîtement à pureau plat » visées par au cas par cas dans le cadre d’une analyse de risque liée à la le situation et aux DTU 40.211 (P31-203) spécificités de chaque opération. Préciser si la fiche de réemploi vise également le second type de tuiles. 2.12.6 Spécificités pour l’intégration au projet Correct

RAPPORT D'ÉTUDE AFFAIRE N° D/18200006 VÉRIFICATION TECHNIQUE EXAMEN DE FICHES DE RÉEMPLOI

• Caractériser de façon qualitative et géométrique les éléments réemployés RAPPORT D'ÉTUDE

Maître d'Ouvrage : Bellastock Architecture Expérimentale Diffusion : Bellastock Architecture Expérimentale Auteur du rapport : Nicolas GRIMALDI

AFFAIRE N° D/18200006

Établie le 9 février 2018

VÉRIFICATION TECHNIQUE EXAMEN DE FICHES DE RÉEMPLOI

Affaire n° D/18200006

Page 3/15

52

Maître d'Ouvrage : Bellastock Architecture Expérimentale Diffusion : Bellastock Architecture Expérimentale Auteur du rapport : Nicolas GRIMALDI

+ État d’admissibilité / pathologies + Expertises attendues du diagnostiqueur et de Évaluation des fiches techniques 52 par BTP Consultants, Bureau de Contrôle. 52 l’entreprise + Contexte normatif Évaluation des fiches techniques par BTP Consultants, Bureau de Contrôle. Établie le 9 février 2018

Affaire n° D/18200006

#2

• BTP CONSULTANTS

Page 3/15

Fiche 11

Couverture - Tuiles mécaniques COUVERTURE – TUILE MÉCANIQUE

Affaire n° D/18200006

Page 15/15

28

Fiche 11

COU


02 ÉCLAIRAGE

TECHNIQUE

Retour sur les fiches techniques réemploi Fiche « Revêtement de sol pavé béton - pose scellée » • Points corrects + Sélection des éléments admissibles à 2 niveaux: - diagnostiqueur - entreprise + Contexte normatif très précis pour la réalisation des ouvrages + Contexte normatif sur les résistances attendues des pavés

FICHE TECHNIQUE - VDR - Revêtement de sol pavé béton - pose scellée. Fiche 7 VRD – REVÊTEMENT DE SOL PAVÉ BÉTON – POSE SCELLÉE Matériau pour Composant d'Ouvrage :

Pavé béton pose scellée Le réemploi

Accès au gisement Captation du matériau

entre architecture et industrie passerelle

Démolition / abattage sélectif / déconstruction

Matériau : état d'admissibilité Dalle de compression / façade, mur, cloison béton Privilégier le béton non armé Sollicitations environnementales vécues VRD – REVÊTEMENT DE SOL PAVÉ BÉTON – POSE SCELLÉE Région de vent 1 à 4 selon NF EN 1991 Eurocode Autres sollicitations (risques de carbonatation, gel/dégel, sels de déverglaçage, FICHE TECHNIQUE - VDR - Revêtement de sol pavé béton - pose scellée. attaques chimiques) déterminées selon NF EN 206-1 - Béton - Partie 1 : spécification, performances, production et conformité Pavé béton de forme irrégulière pose scellée Composant d'Ouvrage : Exigences géométriques attendues Moins de 25kg (pour manutention) Pièces de gabarits entre 20 et 40 cm de diamètre en éliminant toute zone trop Définition du composant d'ouvrage ferraillée Source dicobat Composé d'éléments de maçonnerie ou de dallage aux contours irréguliers, au Epaisseur : 2cm ≤ pour piéton gré de leurs formes et sans recherche d'alignement de leurs joints Epaisseur : 6cm ≤ pour voierie carrossable Contexte normatif Différence entre 2 mesurages de l'épaisseur sur une même dalle ≤ 3mm DTU de référence NF P 98-335 Chaussées urbaines. Mise en oeuvre des pavés et dalles en Planéité de 2 faces parallèles béton, des pavés en terre cuite et des pavés et dalles en pierre naturelle Exigences mécaniques attendues (masse volumique, 2,2 T/m3 < r <2,5 T/m3 norme NF EN 1338 spécifique aux pavés de voirie en béton : ces normes nature surfacique) Diagnostics autres définissent notamment la résistance caractéristique à la rupture par Amiante, plomb fendage minimal, la résistance aux agressions climatiques, résistance à  Expertises attendues la glissance, la différence maximale d'épaisseur sur un même pavé ( 2 à 3 Autocontrôle amont par le diagnostiqueur Ferroscan ou état visuel à l'abattage mm), les dimensions de joints entre pavés (2 à 4mm; si plus épais, étude Autocontrôle aval par l'entreprise Non fissuré, état visuel spécifique à prévoir sur la nature du matériau de jointoiement). Il n'y a pas de Contrôle in situ par laboratoire portatif Non prescription sur la dimension des pavés. Contrôle par BE ou laboratoire indépendant Non Conception et solidité DTU 43.1 — Travaux de bâtiment Étanchéité des toitures-terrasses et toitures Photos d'un matériau type inclinées avec éléments porteurs en maçonnerie en climat de plaine AVANT DÉCONSTRUCTION ET PRÉPARATION Résistance à la rupture en traction par fendage (MPa) et résistance en flexion Résistance aux charges d'exploitation selon NF EN 13 242 Localisation sur le bâti

Fiche 7

Étanchéité à l'eau

Abrasion selon NF EN 14157: - Usage individuel ≤ 42 mm - Usage collectif modéré ≤ 32 mm - Usage collectif intense ≤ 22 mm Porosité selon NF EN 1936

Comportement en situation incendie

sans objet

Affaiblissement acoustique

sans objet

Préconisations d'usage (ex : UPEC)

Gélivité selon NF EN 12371 dépend de la zone de gel (24 à 96 cycles) Glissance selon NF EN 14231 en milieu humide > 35

Durabilité

Spécificités pour l'intégration au projet Fourniture (préconisations stocks) Pose

• Points d’attention + Estimer l’état d’admissibilité du matériaux + Résistance à la rupture + Agressions climatiques + Glissance

Catalogue technique : la montée en généralité du diagnostic

Assemblage

Sur palette ou en tas d'égales épaisseurs Pose sur terre-plein : Sur mortier de scellement et couche de désolidarisation drainante Pose sur dalle extérieure : Ajouter étanchéité sur dalle à la pose sur terre-plein Sans création de ligne droite de joint continue

photos d'un composant d'ouvrage à obtenir APRÈS PRÉPARATION

Photos Bellastock

238

Dessin sans échelle et Photo Bellastock

#2

• BTP CONSULTANTS

29


02 ÉCLAIRAGE

TECHNIQUE

Retour sur les fiches techniques réemploi Fiche « Façade - bardage bois » • Points corrects + Exigences sur le bois - densité - caractéristiques géométriques - classes d’emploi / durabilité

Fiche 13

Façade - Bardage bois

FAÇADE – BARDAGE BOIS

Matériau pour Composant d'Ouvrage :

Huisserie de porte pour bardage bois

Catalogue technique : la montée en généralité du diagnostic

Accès au gisement Captation du matériau

Démolition / abattage sélectif / déconstruction / concassage / dépose / surplus fournisseur / erreurs de commandes

Fiche 13

Matériau : état d'admissibilité Localisation sur le bâti

Huisserie de porte

Sollicitations environnementales vécues

Gel / dégel, vent, milieu marin, intérieur / extérieur

Exigences géométriques attendues

Selon projet de bardage

Exigences mécaniques attendues (masse volumique, nature surfacique) Diagnostics autres

FAÇADE – FAÇADE LÉGÈRE BOIS ET VERRE

Façade - Bardage bois

Composant d'Ouvrage :

Bardage horizontal ou vertical

0,5 T/m3 < r < 1,2 T/m3

Définition du composant d'ouvrage

Source dicobat Parasitaire (termites, champignons lignivores…), amiante, plomb

Revêtement de façade mis en place par fixation mécanique

Contexte normatif

Expertises attendues Autocontrôle amont par le diagnostiqueur Autocontrôle aval par l'entreprise Contrôle in situ par laboratoire portatif

DTU de référence Rectitude des éléments, état apparent du bois par grattage, vérification de l'essence du bois Etat apparent du bois Conception et solidité

DTU 33.1 et 33.2 - façades légères DTU 41.2 (NF P 65-210) - Revêtement extérieur en bois Performances de préservation des bois et attestation de traitement conforme à la norme NFB 50-105-3 Classe d'emploi selon FD P 20-651 Durabilité des éléments et ouvrages en bois

Non Durabilité Contrôle par BE ou laboratoire indépendant Classe d'emploi selon FD P 20-651 Durabilité des éléments et ouvrages en bois Étanchéité à l'eau Photos d'un matériau type

AVANT DÉCONSTRUCTION ET PRÉPARATION

Comportement en situation incendie Affaiblissement acoustique Préconisations d'usage (ex : UPEC)

Sans objet Combustible A prendre en compte dans le calcul du C+D Sans objet Sans objet

Spécificités pour l'intégration au projet

+ Exigences de mise en œuvre - DTU 41.2 - Guides du CSTB

Fourniture (préconisations stocks)

Stockage en tas sur palettes et hors d'eau

Pose

Selon projet d'architecte par application du DTU applicable

Assemblage

Selon projet d'architecte par application du DTU applicable

photos d'un composant d'ouvrage à obtenir APRÈS PRÉPARATION

• Points d’attention + Attention aux zones de stagnation d’eau.

Le réemploi entre architecture et industrie passerelle

Photo Bellastock source https://www.systemed.fr/conseils-bricolage/quelles-dimensions-pour-porte-d-interieur,2373.html

252 Photo Bellastock - Clément Guillaume

253

#2

• BTP CONSULTANTS

30


02 ÉCLAIRAGE

TECHNIQUE

Retour sur les fiches techniques réemploi Fiche « Mur béton »

Fiche 8

GROS ŒUVRE – MUR VOILE BÉTON

Gros œuvre - Mur béton

Matériau pour Composant d'Ouvrage : Voile béton pour mur porteur Accès au gisement démolition / abattage sélectif / déconstruction

Captation du matériau

Matériau : état d'admissibilité Voile béton intérieur ou extérieur armé Plancher béton armé

Sollicitations environnementales vécues

Région de vent 1 à 4 selon NF EN 1991 Eurocode Autres sollicitations (risques de carbonatation, gel/dégel, sels de Fourniture (préconisations stocks) déverglaçage, attaques chimiques) déterminées selon NF EN 206-1 - Béton - Partie 1 : spécification, performances, production et conformité

Exigences géométriques attendues

Longueur : 30 cm < l < 200 cm Largeur : 30 cm < h < 50 cm Épaisseur : 16 cm < e < 40 cm Rectitude Parallélisme des bords opposés

• Points corrects + Usage structurel + Expertise exigée dans le choix des panneaux récupérés - Armé (ferroscan) - Intégrité - Résistance à la compression

Fiche 8

Localisation sur le bâti

GROS ŒUVRE – MUR VOILE BÉTON

Pose

Assemblage

Exigences mécaniques attendues (masse volumique, 2,4 T/m3 < r < 2,5 T/m3 nature surfacique)

Amiante, plomb

Diagnostics autres

Expertises attendues

Autocontrôle amont par le diagnostiqueur

Ferroscan Armé Non fissuré Sans épaufrure Élément intègre et sans fissurations traversantes ou réseaux de fissures généralisées pouvant présager d'une certaine faiblesse

Autocontrôle aval par l'entreprise

Non

Contrôle in situ par laboratoire portatif

Mise en charge

Contrôle par BE ou laboratoire indépendant

Selon besoins diagnostiqueur

Spécificités pour l'intégration au projet Etiquette type comportant l'ensemble des caractéristiques du voile Stockage à plat et hors d'eau Pose type droite ou sur chant Pose type « désorientée » proscrite Sur mur à fixer: carotter les murs en amont diamètre < 26mm. Selon une distance des bords ne fragilisant pas le béton Barre ou tube métallique 1/3 de la hauteur du mur de + béton coulé Sur dalle : prévoir dans réservations dans la dalle (10/10 ou 15/15) pour le positionnement de la barre ou tube métallique Entre mur et sol : Tiges filetées basses (nombre variable selon longueur du mur, enfoncées de minimum 20 cm dans dalle et dans mur avec scellement chimique) Cornière métallique optionnelle Tête de mur horizontale : Ceinturage métallique

photos d'un composant d'ouvrage à obtenir APRÈS PRÉPARATION

Photos d'un matériau type AVANT DÉCONSTRUCTION ET PRÉPARATION

Points d’attention : + Complexité à obtenir un clos + Assemblage d’éléments s’apparentant à de la préfabrication + Réalisation des scellements

Photos Bellastock

240

242

#2

• BTP CONSULTANTS

Photos Bellastock - Clément Guillaume

31


02 ÉCLAIRAGE

TECHNIQUE

Retour sur le référentiel réemploi sol en pavé béton Méthodologie de validation des performances du béton pour un usage en revêtement de sol

ETAPE 1 Détermination des domaines d’emploi envisageables + Différents domaines d’emploi + Référentiel normatif et exigences associés + Aptitude du béton à être réemployé en revêtement de sol - A moindre coût - Selon quels critères de sélection ?

ETAPE 2 Diagnostic gisement + Quelles sont les performances du gisement ? + Aptitude du gisement à être réemployé comme revêtement de sol ?

ETAPE 3 Exécution des ouvrages + Préparation des éléments modulaires + Mise en œuvre + Entretien

#2

• LERM

32


02 ÉCLAIRAGE

TECHNIQUE

Retour sur le référentiel réemploi sol en pavé béton Domaine d’emploi et critères de sélection

Type de caractéris.que Caractéris)ques géométriques Caractéris)ques physiques Caractéris)ques mécaniques Critères portant sur les aciers #2

• LERM

3 domaines d’emploi envisageables + Pavés béton pour jardin (NF P 98-306) + Dalles béton pour voirie et espace public (NF EN 1339 / NF P 98-335) + Pavés béton pour voirie et espace public (NF EN 1338 / NF P 98-335) - Caractéristiques - Visuelles - Géométriques - Physiques - Mécanique

Exigences normatives - Réduction des coûts - Conditions d’usage propre au réemploi

Critères de sélec.on

Critères de sélection des bétons de réemploi

Commentaire

-­‐  Ecarts admissibles rela)f à l’épaisseur des pavés -­‐  Dimensions homogènes

-­‐  Esthé)que -­‐  Usage (planéité du revêtement) -­‐  Mise en œuvre (largeur de joints, ajustement des pavés, etc.)

Résistance à la glissance

Si la surface du pavé a été polie ou meulée

Résistance au gel / dégel

À évaluer si pavé soumis à condi)ons spécifiques (contact avec sels de déverglaçage)

Charge de rupture par unité de longueur

-­‐  Résistance en compression à Charge à la rupture par unité de longueur -­‐  Couple (Rc/e) important

Corrosion des armatures à éviter

Exigences : -­‐  Lors de la prépara)on -­‐  Lors de la mise en œuvre 33


02 ÉCLAIRAGE

TECHNIQUE

Retour sur le référentiel réemploi sol en pavé béton

#2

• LERM

Diagnostic gisement et caractérisation des matériaux

34


02 ÉCLAIRAGE

TECHNIQUE

Retour sur le référentiel réemploi sol en pavé béton Préparation / Mise en oeuvre / Entretien

ETAPE 1 : Collecte et préparation des éléments modulaires

+ Mode de découpage - Eviter disquage ou sciage + Gestion des armatures MINUTE - RetraitFICHE des fers au maximum VRD - Revêtement de sol pavé béton - Pose sèche - Si armatures, disposées Clos Saint-Lazare - Stains horizontalement Prototypes réalisés - Avant/Après + Homogénéité des dimensions

La collecte a été réalisée au moment de la démolition de la tour T11, l’entreprise a laissé à notre disposition les gravats. Un tri a été réalisé par Bellastock encadrant tantôt les écoles, tantôt la Régie de Quartier. Une partie des pierres a été destinée à la maçonnerie paysagère, l’autre partie à des dalles de sol. La mise en oeuvre a pu se faire grâce à un artisan de Bellastock, tailleur de pierre, formant des ouvriers de la Régie. Il s’agit de dallage de sol sur lit de sable avec les joints enherbés, en opus incertum. La voie réalisée est carrossable. Bonus/Matière brute en faveur de l’argumentaire pour la solution technique : La solution technique s’avère rentable et peu techniciste. Elle l’est d’autant plus que la matière est réutilisée in situ, facilement montable et démontable.

AN

ETAPE 2 : Mise en œuvre

+ Mode de pose – contexte normatif - Pose sèche à privilégier (+ armatures) - Epaisseur du lit de pose / Largeur de joint : exigences normes VS épaisseur (REX ?) + Traitement des éléments modulaires - Application d’un produit passivant si armatures - Sablage ou grenaillage de la surface - Résistance à la glissance +Esthétique - Préparation de la surface (si revêtement ou résidus de plâtre) 428

Photos Bellastock Photos Bellastock

428

ETAPE 3 : Entretien Expérience à Stains > Seine-Saint-Denis Habitat, Bellastock #2

• LERM

CERIB « Voirie et aménagements publics – Guide de conception des ouvrages réalisés à partir de pavés, dalles, bordures et caniveaux préfabriqués en béton » 35


02 ÉCLAIRAGE

TECHNIQUE

Tour Marne

Zone de prélèvement Zone de préparation

Figure 92 : Localisation des zones de collecte et de préparation des dalles. Plan de principe, sans é

Retour sur le référentiel réemploi sol en pavé béton

Méthodologie de validation des performances du béton de réemploi pour un usage comme revêtement de sol

Figure 92 : Localisation des zones de collecte et de préparation des dalles. Plan de principe, sans échelle.

Conclusions et perspectives

+Domaines d’emploi et critères de sélection des bétons + Programme de diagnostic du gisement + Exécution des ouvrages

Limitation des coûts / Adaptation au contexte du réemploi

Expérience à Montrouge Doyère démolition, Bellastock

#2

• LERM

Perspectives + REX chantiers passés ou futurs - Exigences relatives aux tolérances géométriques - Exigences relative aux conditions de mise en œuvre (largeur de joints, épaisseur lit de pose...) + Etude expérimentale : propriétés mécaniques - Validation des hypothèses

+ Simplification des critères de sélection des bétons + Simplification du programme de diagnostic

36 Figure 93 : Les étapes de la fabrication des pavés de type « opus », lors de l’expérimentation.


#2

Centre de recyclage du Havre Codah, ER Architectes, Bellastock

BELLASTOCK • CREIDD


03 LA VALEUR

DU RÉEMPLOI VILLEPINTE

Architecture

Une autre expérience intéressante dans le domaine du réemploi de bois concerne la collecte du bois sur pied. Loin de prime abord d’un schéma de réemploi, la ZAC de la Pépinière à Villepinte s’installe sur une pépinière qui devait être entièrement abattue pour une valorisation (BRF – bois de chauffe). Sont en cause ici l’absence d’expert conseil dans l’ensemblier des AMO et le fait que le bois ne pouvait être classé en bois de construction. Pourtant il peut occuper de nombreux autres domaines d’emploi (mobilier extérieur, aménagement, installations temporaires…). L’expertise a donc ici consisté à faire intervenir une scierie mobile pour un débitage en plots et un séchage qui profite des temps longs d’étude d’une ZAC. DÉFRICHEMENT DE LA ZAC DE LA PÉPINIÈRE – VILLEPINTE Le bois sur pied

Débitage en plot, stockage et séchage de bois sur pied Zac de la Pépinière, Villepinte Grand Paris Aménagement, Bellastock

#2

• BELLASTOCK

Figure 10 : Le bois sur pied Tableau 2 : Le réemploi dans le cadre de la Zac Pépinière

38


Déroul. de l’op.

EXTRAIT DIAg.

03 LA VALEUR x

LOT DE LA CONSTRUCTION

x

x

Architecture

mobiliers extérieurs, revêtement de sol

VRD, ESPACE PUBLIC

dépose en curage, béton, métal, verre, 1.2 ZAC Montjoie déconstruction, plastique, pierre abattage sélectif

éléments de structure, Saint Denis charpente, x (93) couverture, menuiserie, parement

revêtement de sol, petit équipement

FAÇADE, ÉTANCHÉITÉ

1.3 Maison Morland aluminium, verredu projet dépose en curage

Paris (75) ouvrant de fenêtre

x menuiserie extérieur

ESPACE PUBLIC

bois de construction déconstruction ZAC Reconversion de la caserne 2.1 pierre deMellinet taille abattage sélectif

bois de charpente

x revêtement de sol, aménagement extérieur

défrichement sélectif et 2.2 surZAC arbre piedde la Pépinière débardage mécanique

Villepintebois (93) planche

x

mobiliers extérieurs

béton de voile

déconstruction

voile béton recadré

voile béton

béton de voile

déconstruction

lamelle sciée de voile béton

assemblage en lamelles béton x

3.1 morcelé NPNRU Clos Saint-Lazare béton abattage sélectif

Stainsbéton (93) pavé

revêtement de sol carx rossable

VRD

béton morcelé

abattage sélectif

pavé béton

revêtement de sol piéton

AMÉNAGEMENT EXT

béton morcelé

abattage sélectif

pierre de béton

mur pierre sèche

VRD

béton

abattage sélectif Démolition reconstruction de 3.2 bureaux aluminium, métal dépose en curage

pierre de béton

x revêtement de sol

Montrougealuminium, (92) x panneaux éléments de serrurerie

faux plafond extérieur, x aménagement intérieur

FAÇADE & STRUCTURE

Déconstruction du pavillon 4.1 métal bois, déconstruction temporaire

bardage douglas, portique Versailles (78) x HEA

structure en portique et bardage x de façade d’un local technique

STRUCTURE, VRD

Étude patrimoine : un hangar dépose, décon-de 4.2 pierre bois, stockage struction

charpente bois de section Alfortville (94) x ronde, pavé de granit

réemploi identique charpente, revêtement de sol

GROS ŒUVRE

brique Construction d’un déconstruction centre de 5.1 recyclage béton concassé filière recyclage

brique intègre Le Havre (76) x granulat béton gros calibre

FAÇADE

5.2 bois

AMÉNAGEMENT EXT

5.3 Projet Ferme des Possibles brique tri post abattage

FAÇADE

5.4 bois

DÉCORATION ART

Réalisation d’une œuvre au 5.5 bois verre, déchetterie Passage Miroir

GROS ŒUVRE

• La montée en compétence du territoire VRD

GROS-SECOND ŒUVRE

x

GROS ŒUVRE

x x x

Laboratoire Actlab Bellastock

x

#2

x

• BELLASTOCK

mobiliers extérieurs x

• La fabrication locale des GROS ŒUVRE produits

x

x

Nantes (44) pierre naturelle

VRD

• La matérialité de l’architecture

• Le modèle économique de x l’oeuvre x

Diag Impact COMPOSANT D’OUVRAGE Ressource territoire

éléments de structure, Bobigny (93) x couverture, serrurerie

• La performance écologique de ESPACE PUBLIC l’ouvrage

Le processus de projet co-construit

PROJET MATÉRIAU VILLE / ÉLÉMENT

1.1 en4majorité ZAC Plaine deabattage l’Ourcq sélectif métal

• La dimension patrimoniale x des ressources

x•

FLUXRETOUR D’EXPÉRIENCE SOURCING

VRD, ESPACE PUBLIC

DU RÉEMPLOI x

Construction du Pavillon dépose en curage Circulaire

Construction d’une Crèche rue dépose en curage Justice

x

maçonnerie de remplisx sage gabionx

Paris (75) porte palière en chêne x

x de façade x bardage

Stains (93) brique intègre, 3/4, 1/2x

gradins en maçonnerie x x paysagère

panneau chêne issu de porte Paris (75) x vêturex palière Paris (75) miroir, bois

x

39

x assemblage de miroirs


déconseillé, l’expérimentation a montré que les surcoûts liés à la préparation des briques (tri et nettoyage principalement) ont été absorbés et que les compétences mobilisées ont pu l’être à tous les niveaux de valorisation.

17 Cas étudié en analyse économique, partie 02. Fiche retour d’expérience, partie 04.

03 LA VALEUR

DU RÉEMPLOI

Architecture

A

PREPARATION

Collecte à l’abattage

Préparation 1 fragmentation et tri

pince de broyage

pince de broyage

Flux brique

1 1

DIAGNOTIC RESSOURCE

AÄn d’optimiser la collecte des briques et de garantir la qualité du matériau un ensemble d’action sont réalisées. AÄn d’optimiser la collecte des briques et de garantir la qualité Les du étapes de triun doivent êtred’action réaliséessont au maximum matériau ensemble réalisées. sur le gisement. Les étapes de tri doivent être réalisées au maximum sur le Un premier tri mécanique s’est fait sur le chantier de démolition gisement. des Un usines Babcock. premier tri mécanique s’est fait sur le chantier de démolition des usines Babcock.

Pince de tri

6

er école avec Halage à Stains, ntier école avec Halage à Stains, me des possibles. erme des possibles.

Pince de tri

X

Concasseur à mâchoires Concasseur à cône

Tas de matériaux exploitablent 6. 5. Acheminement au chargeur des tas vers la pelle (1) 6. Acheminement au chargeur des tas vers la pelle (1)

3

les deux après criblage. premier les deux tas tas après criblage. AuAu premier les petits morceaux, la poussière... planplan les petits morceaux, la poussière... auau second plan les briques entières cassées second plan les briques entières et et cassées retenue pour le réemploi. retenue pour le réemploi.

#2

• BELLASTOCK

11

11

22

pavage

entières * briques 37%

4 66

3 après après abattage abattage des Chantier Chantier école écoleavec avec Halage Halage ààdes Stains, Stains, batiments batiments 3 2 avec 5 Main Main avec cribleur / lalaFerme Fermedes despossibles. possibles. 2 5 outils outils sclapeur / de démolition

de démolition

1 1 godet rétro

1 1

surfassage benne

découpe

66 gabion

Plan Planschématique schématiquededel’installation l’installationsur surchantier chantier godet/godet de curage

3

2 2

crible-scalpeur

5. 5. TasTas dede matériaux matériaux exploitablent exploitablent 6. 6. Acheminement Acheminement auau chargeur chargeur des des tastas vers vers la la pelle pelle (1) (1)

nettoyage brosse violon acier plat

3

ununtas tasdedebrique brique 5 après aprèsabattage abattagedes des5 batiments batiments godet rétro

dans l’architecture l’architecture dans

4

4 Figure 31 : Déploiement minute d’une filière brique

6 6

lesles deux deux tastas après après criblage. criblage. AuAu premier premier plan plan lesles petits petits morceaux, morceaux, la la poussière... poussière... auau second second plan plan lesles briques briques entières entières et et cassées cassées retenue retenue pour pour le le réemploi. réemploi.

1.1.Tas Tasdedebriques briquesconservées conservéesaprès après abattage abattage 2.2.Pelle Pellemécanique mécaniqueéquipée équipéed’un d’un godet godet 3.3.Cribleur Cribleur 4.4.Tas Tasdedematériaux matériauxrebut rebutaprès après criblage criblage 5.5.Tas Tasdedematériaux matériauxexploitablent exploitablent 6.6.Acheminement Acheminementau auchargeur chargeurdes des tas tas vers vers la pelle (1)

1. 1. Tas Tas dede briques briques conservées conservées après après abattage abattage 2. 2. Pelle Pelle mécanique mécanique équipée équipée d’un d’un godet godet big-bag 3. 3. Cribleur Cribleur 4. 4. Tas Tas dede matériaux matériaux rebut rebut après après criblage criblage 5. 5. Tas Tas dede matériaux matériaux exploitablent exploitablent 6. 6. Acheminement Acheminement auau chargeur chargeur des des tastas vers vers la la pelle pelle (1)(1)

Vue Vue d’ensemble d’ensemble dudu dispositif, dispositif, la la pelle pelle mécanique mécanique charge charge le le cribleur cribleur quiqui par par vibration vibration dede grig matériaux matériaux

Plan Planschématique schématiquede del’installation l’installation sur sur chantier chantier

un tas de brique un tas de brique après abattage desdes après abattage batiments batiments

A

maçonnerie mur simple

convoyeur

3/4 AÄAÄ n nd’optimiser d’optimiserlalacollecte collectedes desbriques briquesetetdedegarantir garantir lalaqualité qualité * briques dudumatériau matériauununensemble ensembled’action d’actionsont sontréalisées. réalisées. 26% Plan Plan schématique schématique dede l’installation l’installation sursur chantier chantier 22 11 11 Les Lesétapes étapesdedetritridoivent doiventêtre êtreréalisées réaliséesauaumaximum maximumsur surlele robot de démolition robot de démolition maçonnerie gisement. 1. 1. TasTas dede briques briques conservées conservées après après abattage abattage briques 1/2 leS leSgisement. filiereS filiereS : lA : lA BriQue BriQues’estfaitfaitsur *de 2. 2. Pelle Pelle mécanique mécanique équipée équipée d’un d’un godet godetpaysagère Xsurlelechantier 1 Un Unpremier premiertritrimécanique mécaniques’est chantierde démolition démolition briques 1/4 palette 3. 3. Cribleur Cribleur 37% ici, ici,réemploi réemploi de de briques briquesissues issuesd’une d’unedémolition démolition enenmaçonnerie maçonnerie paysagère. des desusines usines Babcock. Babcock. REPAR REPAR –criblage –Le Leréemploi réemploidans dansl’arch l’arch 4. 4. TasTas depaysagère. de matériaux matériaux rebut rebut après après criblage

4 4 godet/godet de curage

6 d’optimiser laCourneuve collecte des briques et de garantir la qualité La Stains AÄ n d’optimiser la collecte des briques et de garantir la qualité matériau un ensemble d’action sont réalisées. Plan schématique de l’installation sur chantier du matériau ensemble sont réalisées. Plan schématique de l’installation sur chantier MOAs : Banque de - le 1 étapes de triundoivent êtred’action réalisées au France maximum sur 1 Les étapes de tri doivent être réalisées au maximum sur le ement. 1. Tas de briques conservées après abattage de l’emploi de Plaine Commune liereS lA: lA BriQue gisement.:Maison Tas mécanique de briques conservées après abattage 2. 1. Pelle équipée d’un godet premier tri mécanique s’est fait sur le chantier de démolition filiereS BriQue Pelle mécanique équipée d’un godet Cribleur Un premier tri mécanique s’est fait sur le chantier de démolition 3. 2. Cribleur pour la Ferme des Possibles mploi briques issues d’une usines de Babcock. REPAR –– Le 4. 3. Tas depaysagère. matériaux rebut après criblage un tas de brique réemploi briques issues d’unedémolition démolitionenenmaçonnerie maçonnerie paysagère. des usines de Babcock. REPAR Le réemploi réemploi Tas matériaux rebut après criblage 5. 4. Tas dedematériaux exploitablent un tas de brique après abattage des après abattage des batiments batiments

A

unun tas tas dede brique brique

1 1

Mise en oeuvre

Préparation 2 restauration et stockage

AÄAÄ nn d’optimiser d’optimiser la la collecte collecte des des briques briques etet dede garantir garantir la la qualité qualité * briques: dudu matériau matériau unun ensemble ensemble d’action d’action sont sont réalisées. réalisées. rouges/blanches pince d’abattage Les Les étapes étapes dede tritri doivent doivent être être réalisées réalisées auau maximum maximum sur sur le le gisement. gisement. * anciennement assemblées UnUn premier premier tritri mécanique mécanique s’est s’est fait fait sur sur le le chantier chantier dede démolition démolition chaux des des usines usines Babcock. Babcock.

pince d’abattage

Démolition classsique

CONSTRUCTION

ENTRETIEN

DECONSTRUCTION

LeLeréemploi réemploienenarchitecture architecture- Bellastock - Bellastock11

leslesdeux deuxtas tasaprès aprèscriblage. criblage.AuAupremier premier plan planleslespetits petitsmorceaux, morceaux,la lapoussière... poussière...auau second secondplan planleslesbriques briquesentières entièresetetcassées cassées retenue retenuepour pourle leréemploi. réemploi. Vue d’ensembledu dudispositif, dispositif,lalapelle pellemécanique mécanique charge charge le cribleur Vue d’ensemble cribleur qui qui par par vibration vibrationde degrille grillesépare sépareles les matériaux matériaux

Le réemploi réemploi en en architecture architecture -- Bellastock Le Bellastock- -04 04février février2016 2016

Vue Vued’ensemble d’ensembledududispositif, dispositif,la lapelle pellemécanique mécaniquecharge chargele lecribleur cribleurqui quipar p matériaux matériaux

40 Le Leréemploi réemploien enarchitecture architecture -

Le Leréemploi réemploien enarchitecture architecture- -Bellastock Bellastoc


03 LA VALEUR

DU RÉEMPLOI

Architecture

Maçonnerie paysagère à Stains Ferme des Possibles, Bellastock, Halage #2

• BELLASTOCK

41


Chantier mixte et d’une d’apprentissage la Rége ici, réemploi detraditionnel béton issues démolition (avec en NPNRU Chantier mixte traditionnel et d’apprentissage (avec la Rég

03 LA VALEUR

DU RÉEMPLOI

Architecture

Flux béton rearchitecture architecture entreStains architecture et industrie et industrie Le Leréemploi réemploi Le réemploi en enconstruction : construction : en construction : architecture etetindustrie industrie Le réemploi en construction : elle ancrage, ancrage, ancrage, méthode, méthode, méthode, exemples exemples exemples ancrage, méthode, exemples MOA : Sein-Saint-Denis Habitat MOE : Bellastock Entreprises : Démolisseur, Colas, Régie de Quartier

Diagnostic Diagnostic Diagnostic Diagnostic Déchets Déchets Déchets Ressources Ressources - Ressources Déchets ---Ressources Curage CurageCurage Curage

3 33

3

RUPTURE RUPTURE RUPTURE RUPTURE

Déchets Déchets+ +C02+Euros C02+Euros + C02+Euros Déchets +Déchets C02+Euros

4

Traitement Traitement Traitement Traitement 6 66

5

6

Usage UsageUsage Usage

#2

• BELLASTOCK

C - Mandataire C C Mandataire Mandataire lot constru lot lotconstru constru

Pose ose : Mise Poseen en : Mise oeuvre oeuvre en oeuvre 5 ose :: Mise Mise en oeuvre 55 du u procédé du procédé constructif constructif constructif u procédé procédé constructif

Mandataire d’un lot constru

Mandataire Mandataire Mandataire d’un lot constru d’un d’unlot lotconstru constru

Achat Achat:: Achat Fourniture : Fourniture : Fourniture Achat Fourniture 4 44 de deproduit produit de produit neuf neuf neuf de produit neuf

Dépose Dépose Dépose Dépose 1 11 1111 Déconstruction Déconstruction Déconstruction Déconstruction Démolition Démolition Démolition sélective sélective sélective Démolition sélective

2 22

Préparation Préparation mécanique mécanique mécanique Préparation mécanique 2Préparation du dugisement gisement du gisement au auréemploi réemploi au réemploi du gisement au réemploi

3 33

Stockage Stockage Stockage sur surfoncier foncier sur foncier Stockage sur foncier 3 disponible disponible disponible disponible

4 44

Préparation Préparation Préparation artisanale artisanale artisanale :: : 4Préparation artisanale : Fourniture Fourniture Fourniture du duproduit produit du produit réemploi réemploi réemploi Fourniture du produit réemploi

5 55

Pose:: Mise : Mise Poseen en : Mise oeuvre oeuvre en oeuvre Pose Mise en oeuvre 5 Pose du duprocédé procédé du procédé constructif constructif constructif du procédé constructif

B - Entreprise ESS spécialisée

2

C - Mandataire BB---Entreprise Entreprise ESS spécialisée A - Démolisseur B EntrepriseESS ESSspécialisée spécialisée lot constru

Tri Triet préparation Tri et préparation Tri etetpréparation préparation 22 au aurecyclage recyclage au recyclage sur sursite sitesur 2 site au recyclage sur site

AA---Démolisseur Démolisseur A Démolisseur

Démolisseur Démolisseur Démolisseur

1

Démolisseur

Démolition Démolition Démolition 1 Démolition 11

6 66

Traitement Traitement Traitement Traitement 6 Usage UsageUsage Usage

42


03 LA VALEUR

DU RÉEMPLOI

Architecture

Pavillon béton La Fabrique du Clos, Stains

#2

• BELLASTOCK

43


Indicateur ressource

FU

Fabrication de produits intermĂŠdiaires (ciment, ferraillage)

DU RÉEMPLOI

RE

03 LA VALEUR

SE

GZGORNG NĹŠ#%8 RTGPF GP EQORVG NĹŠGPUGODNG FGU Č˜VCRGU FČ˜ETKVGU RCT NC Ć“IWTG EK FGUUQWU

Construction

Extraction des matières premières

CYCLE DE VIE DES PRODUITS BÉTON

Qu’est ce qu’un indicateur ressource ?

Utilisation et entretien

Nouveau composant d’ouvrage

Les retours d’expÊrience

DĂŠmolition MatĂŠriaux de • Un indicateur pour comparer les performances RÉEMPLOI seconde main DIAGNOSTIC RESSOURCES RMANCE D’UN GISEMENT DÉROULEMENT DE L’OPÉRATION environnementales Ć´ Pavillon provisoire - Versailles (78) - La Courneuve (93) urneuve (93) FICHE PROJET : DIAGNOSTIC PERFORMANCE D’ RECYCLAGE • Qui prend en compte l’ensemble des ĂŠtapes des filières Pavillon provisoire - Versailles (78) - La Courneuve (93) 0. Introduction Ć´ • FondĂŠ sur les ĂŠmissions de CO2Bilan et lesdu consommations chantier de dĂŠconstruction Enfouissement MISE 3. Domaine d’emploi visĂŠ AU REBUS d’Ênergies et bardage bois du pavillon provisoire de Versailles ppe Les ĂŠtapes prises en compte dans l’ACV d’un produit en bĂŠton • Compatible et complĂŠmentaire Ă l’ACV *ÇŁÇĽÇ—ÇšȨ : Les ĂŠtapes prises en compte dans l’ACV d’un produit en bĂŠton selon la sĂŠrie de normes ISO 1 60 Boulevard de la Villette – 75019 Paris 01.53.38.50.76 – contact@bellastock.com SIRET : 522 806 934 00025

Le Château de Versailles a commandĂŠ la dĂŠconstruction de son pavillon d’accueil. Ce bâtiment a ĂŠtĂŠ conçu et dessinĂŠ par l’agence d’architecture Exploration Architecture. Son mode constructif prĂŠvoit un dĂŠmontage facilitĂŠ ĂŠtant donnĂŠ son caractère provisoire. Le service de direction du patrimoine de Versailles a passĂŠ un accord avec la direction des bâtiments et de la logistique du dĂŠpartement des services techniques de Plaine Commune pour l’organisation commune d’un transfert des matĂŠriaux qui composent ce bâtiment et cela en vue de leur rĂŠemploi. Plaine Commune a missionnĂŠ Bellastock pour penser la dĂŠconstruction et organiser les stocks de matĂŠriaux. L’entreprise mandatĂŠe pour le dĂŠmantèlement et le transport des matĂŠriaux est l’entreprise Chapelle & Cie.

u Château de Versailles

Emploi visĂŠ

Inventaire des matÊriaux stockÊs à Pierrefitte-sur-Seine et description inspirÊ de : Estevez et al., 2003) (SchÊma de l’organisation des stocks

selon la sÊrie de normes ISO 14040 Structure et enveloppe d’un Êdifice,

51

DĂŠconstruction du pavillon d’entrĂŠe du Château Château de Versailles, Plaine Commune, Bellastock. #2

• CREIDD

44


2.2 Les gabions notamment le volume souhaité et le calibrage des pierres sans distinction de nature de pierre.

03 LA VALEUR

Collecte des pierres de gabion Les pierres de gabion proviennent d’un centre de traitement des déchets inertes à Rouen. Bellastock a estimé le besoin au travers d’un cahier des charges, lequel a été communiqué au centre. Il définit notamment le volume souhaité et le calibrage des pierres sans distinction de nature de pierre.

8ȳȲǠȨȳǗ 1ʣXLSHI HI GEPGYP HI PƅMRHMGEXIYV VIWWSYVGI ƼPMʢVI VʣIQTPSM

• Calcul de l’indicateur ressource selon la filière réemploi

DU RÉEMPLOI

strie

ATION

(76)

qui présente notamment les calculs à effectuer pour chaque sous-étape, ainsi que les tableaux RQWT NGU ƓNKȗTGU /25 CPPGZG GV OCVȘTKCW PGWH CPPGZG

Les retours d’expérience

Indicateur ressource

ÉTAPE

SOUS-ÉTAPES

MOYENS MIS EN ŒUVRE

Collecte (exemples)

Dépose des éléments structurels et non structurels

Transport, manutention et amortissement des outils QʣGERMUYIW PSYVHW IX PʣKIVW Transport, manutention et amortissement des outils QʣGERMUYIW PSYVHW IX PʣKIVW

ation - Stockage

Tri

res de gabion Tas dedegranulats centre deinertes traitement desBellastock déchets de Rouen iennent d’un centre traitementdu des déchets à Rouen. ers d’un cahier des charges, lequel a été communiqué au centre. Il définit re de traitement des déchets de Rouen haité et le calibrage des pierres sans distinction de nature de pierre.

Tri

Méthodes de calcul

Évacuation des déchets

Préparation des pierres de gabion de granulats dude centre de traitement des déchets de Rouen Le criblage au calibre 80/150 peut être considéré,Tas comme un étape préparation. volume défini a été transporté sur le site de préparation d’où l’entreprise SETP a préparé les paniers s pierres deLegabion de gabion. /150 peut être considéré, comme un étape de préparation.

Préparation pierres de gabion ansporté sur le site de préparation d’où l’entreprise SETP a préparé les des paniers

Manutention pour l’installation du site de stockage

Le criblage au calibre 80/150 peut être considéré, comme un étape de préparation. Le volume défini a été transporté sur le site de préparation d’où l’entreprise SETP a préparé les paniers Conditionnement de gabion.

et stockage

Echantillons des pierres composant le gabion

composant le gabion

Echantillons des pierres composant le gabion

de traitement des déchets de Rouen

Préparation en vue du réemploi

pierres de gabion 50 peut être considéré, comme un étape de préparation. sporté sur le site de préparation d’où l’entreprise SETP a préparé les paniers

Réalisation des gabions

Projet de construction / rénovation

mposant le gabion

Réalisation des gabions

461 Centre de recyclage du Havre Codah, ER Architectes, Bellastock #2

• CREIDD

12

Transport des matériaux de réemploi

HSRX GSRWSQQEFPIW

Installation du site de conditionnement et stockage

HSRX GSRWSQQEFPIW Transport, manutention et amortissement des outils QʣGERMUYIW PSYVHW IX PʣKIVW

Manutention des matériaux de réemploi

Transport, manutention et amortissement des outils QʣGERMUYIW PSYVHW IX PʣKIVW

Transport vers le site de stockage

8VERWTSVX HIW QEXʣVMEY\ HI VʣIQTPSM HSRX GSRWSQQEFPIW

Manutention des matériaux / composants d’ouvrage

Transport, manutention et amortissement des outils QʣGERMUYIW PSYVHW IX PʣKIVW

Standardisation des matériaux / composants d’ouvrage

Transport, manutention et amortissement des outils QʣGERMUYIW PSYVHW IX PʣKIVW

Transport vers le site de construction / rénovation

Transport des matériaux de réemploi

HSRX GSRWSQQEFPIW

Mise en œuvre des matériaux de réemploi

Évacuation des déchets

1EXʣVMEY\ RIYJW GSRRI\IW RʣGIWWEMVIW ʚ PE QMWI IR œuvre Transport, manutention et amortissement des outils QʣGERMUYIW PSYVHW IX PʣKIVW

%JCSWG OQ[GP OKU GP WXTG GV EJCSWG ȘVCRG FG UC OKUG GP WXTG GUV TGNKȘ ȏ WP ECNEWN ȏ 461 effectuer. Ainsi, le remplissage d’un tel tableau implique une collecte de données tout au long du chantier, de la collecte au projet de construction. Les données à collecter sont : 45 • Distance entre les sites de stockage et les sites de chantier, de tri, de stockage, de


03 LA VALEUR

DU RÉEMPLOI

8ČłČ˛Ç Č¨ČłÇ— : Calcul de l’indicateur ressource pour l’Êtape ÂŤ projet de construction Âť - cas d’Êtude.

HMWXERGI OQ *) HY XVERWTSVX kg CO2e YXMPMWʣ MOYENS MIS EN Mise en œuvre SOUS-ÉTAPES CALCUL UNITÉ ŒUVRE des matÊriaux de TYMWWERGI O; L YXMPMWEXMSR MJ Le rÊemploi rÊemploi entre architecture et industrie FMJ Outils de manutention passerelle - manutention

HMWXERGI OQ GEVFYVERX IR P TYMWWERGI O; L YXMPMWEXMSR kgMJ CO2e OQ HY XVERWTSVX YXMPMWĘŁ *1. FE Outils de manutention - transport sur le site

DÉROULEMENT DE L’OPÉRATION 2 Clos Saint-Lazare - Stains

Indicateur ressource Cas d’Êtude

ntre architecture et industrie chitecture et industrie

• Le pavillon bÊton NT L’OPÉRATION DE L’OPÉRATION DE 2 2 du clos Saint-Lazare e - Stains tains

+ Calcul de l’indicateur ressource pour l’Êtape  projet de construction  Mise en oeuvre en oeuvre

Mise en+oeuvre du produit RÊsultats du calcul de l’indicateur n oeuvre du produit

ressource

Outils de manutention - amortissement

2. Mise en oeuvre

Mise en Ĺ“uvre des matĂŠriaux de rĂŠemploi

4SMHW IRKMR *) LIYVIW

HMWXERGI OQ *) HY XVERWTSVX YXMPMWEXMSR HYVĘŁI HI ZMI XSXEPI YXMPMWĘŁ

TYMWWERGI O; L YXMPMWEXMSR TOTAL Indicateur ressource FMJ kg CO2e 2.1 MiseOutils en oeuvre du produit de manutention 34,78 - manutention TYMWWERGI O; L YXMPMWEXMSR FE

ENSEMBLE DES ÉTAPES Outils de manutention Les retours d’expÊrience Les retours d’expÊrience - amortissement

4SMHW IRKMR *) LIYVIW YXMPMWEXMSR HYVĘŁI HI ZMI XSXEPI

RÉSULTAT

Les retours d’expÊrien

34,78

kg CO2e kg CO2e

MJ MJ

388,80

kg CO2e

34,78

kg CO2e

Au total, en intĂŠgrant les calculs pour l’ensemble des ĂŠtapes, le calcul de l’indicateur ressource TOTAL Indicateur suivants ressource : MJ 388,80 pour le cas d’Êtude donne les rĂŠsultats kg CO2e 34,78 8ČłČ˛Ç Č¨ČłÇ— : RĂŠsultats du calcul de l’indicateur ressource – cas d’Êtude.

ENSEMBLE DES ÉTAPES TOTAL TOUTES ÉTAPES

'SRWSQQEXMSR ĘŁRIVKĘŁXMUYI

MJ

ĘˆQMWWMSRW EXQSWTLĘŁVMUYIW

kg CO2e

'SRWSQQEXMSR ĘŁRIVKĘŁXMUYI TEV Qs Au total, en intĂŠgrant les calculs pour l’ensemble des ĂŠtapes, le calcul de MJ/m² l’indicateur ressource pour le cas d’Êtude donne les rĂŠsultats suivants : ĘˆQMWWMSRW EXQSWTLĘŁVMUYIW TEV Qs kg CO2e/m²

8ČłČ˛Ç Č¨ČłÇ— : RĂŠsultats du calcul de l’indicateur ressource – cas d’Êtude.

Le tableau complet pour le calcul de l’indicateur ressource pour ce cas d’Êtude se trouve en 'SRWSQQEXMSR ĘŁRIVKĘŁXMUYI MJ annexe 9. Pour mieux expliquer l’ensemble des calculs, il inclut l’ensemble des sous-ĂŠtapes, y kg CO2e compris celles qui sont nulles pour leĘˆQMWWMSRW EXQSWTLĘŁVMUYIW cas d’Êtude. TOTAL TOUTES ÉTAPES

'SRWSQQEXMSR ĘŁRIVKĘŁXMUYI TEV Qs

MJ/m²

.C EQORCTCKUQP GPVTG EGU TČ˜UWNVCVU RCT Oq GV EGWZ FĹŠWP OCVČ˜TKCW PGWH RCT Oq RGWV UG HCKTG EQOOG ĘˆQMWWMSRW EXQSWTLĘŁVMUYIW TEV Qs kg CO2e/m² nous l’avons expliquĂŠ supra, mais l’intĂŠrĂŞt est de comparer Ă composant d’ouvrage ĂŠquivalent, et non RCU Č? Oq FG OCVČ˜TKCW Č˜SWKXCNGPV Ç´ VKVTG KPHQTOCVKH PQWU CXQPU PČ˜CPOQKPU EQORCTČ˜ EGU TČ˜UWNVCVU CXGE ceux d’un mur extĂŠrieur de 18 cm d’Êpaisseur (d’après sacas FDES dans la INIES) Le tableau complet pouren lebĂŠton calcularmĂŠ de l’indicateur ressource pour ce d’Êtude sebase trouve en :

#2

annexe 9. Pour mieux expliquer l’ensemble des calculs, il inclut l’ensemble des sous-ĂŠtapes, y 8ČłČ˛Ç Č¨ČłÇ— : Comparaison 1m² de voile bĂŠton de rĂŠemploi et 1m² de bĂŠton neuf – cas d’Êtude compris celles qui sont entre nulles pour le cas d’Êtude. • CREIDD

MATÉRIAU (1M²)

MJ

CO2e

46


1. Reconnaissance in situ

03 LA VALEUR

DU RÉEMPLOI

Indicateur ressource

Composant

Mur de refend en bĂŠton

Emploi d’origine

Mur de refend en bĂŠton

Bâtiment ÊtudiÊ

Serpentin C4 tête de bâtiment (dÊmolition partielle)

Le rĂŠemploi entre architecture et industrie passerelle

0I VĘŁIQTPSM IR GSR ancrage, mĂŠthode,

Cas thĂŠorique

• Le pavillon bÊton du clos Saint-Lazare

Ç´ VKVTG FG EQORCTCKUQP GP VGTOGU FG Oq FG OCVČ˜TKCWZ PQWU QDVGPQPU CXG rĂŠsultats suivants :

+ 1 000 m² de voiles bĂŠton – 372 Tonnes, avec 10 % de perte

8ČłČ˛Ç Č¨ČłÇ— : Comparaison entre 1m² de voile bĂŠton de rĂŠemploi et 1m² de bĂŠton neuf –

+ Utilisation des engins de chantiers disponibles sur les sites de dĂŠconstruction / construction

QuantitĂŠ

+ Optimisation des ĂŠtapes de manutention et de sciage pour la prĂŠparation en vue du rĂŠemploi et la mise en Ĺ“uvre

MatĂŠriaux Etat

• CREIDD

Selon collecte sur 2 Ă 3 ĂŠtages Voiles de refend ferraillĂŠs ou mur pignon ferraillĂŠ

MATÉRIAU (1M²)

Bon ĂŠtat ferraillĂŠ, sans ĂŠpaufrure

DensitĂŠ 2,4 Ă 2,5 T/m3 pour un bĂŠton armĂŠ :SMPI FĘŁXSR VĘŁIQTPSM GQ HĆ…ĘŁTEMWWIYV GEW HĆ…ĘŁXYHI GĂŠomĂŠtrie

Epaisseur 14cm variable Ă 15cm

:SMPI FĘŁXSR VĘŁIQTPSM GQ HĆ…ĘŁTEMWWIYV GEW XLĘŁSVMUYI CoulĂŠs sur place

Mode d’assemblage Exposition

Murs pignons (intÊrieur extÊrieur) Mur extÊrieur bÊton armÊ 18 cm d’Êpaisseur Localisation Etages courants sur 2 Êtages uniquement

HSRRʣI HMWTSRMFPI WYV PE FEWI -RMʢW Date de pose

#2

Source :

Diagnostic Ressource au Clos Saint Lazare GEW XLĘŁSVMUYI IX GEW HĆ…ĘŁXYHI SSDH, Bellastock DĂŠsignation Descriptif

MJ

kg CO2e

1965

Comparaison entre 1m2 de bĂŠton de rĂŠemploi et 1m2 de bĂŠton Informations Etat admissible ArmĂŠ, non fissurĂŠ, sans ĂŠpaufrure SupplĂŠmentaires ÉlĂŠment intègre et sans fissuration traversante ou rĂŠseau neuf - cas thĂŠorique et cas d’Êtude de fissures gĂŠnĂŠralisĂŠ pouvant prĂŠsager d’une certaine faiblesse 47 Eviter la collecte par arrachement (plastification des

On constate que l’hypothèse d’une montĂŠe en puissance du rĂŠemploi pe


engins de prĂŠparation / standardisation sur chantier ?

OUI

03 LA VALEUR

Indic. MJ et CO2e raisonnable / m² de matÊriaux de rÊemplois collectÊs?

ÉTAPE COLLECTE 5.5.2. ARBRE DE DÉCISION

Indicateur ressource

%HĘŁUYEXMSR ZSMVMI et voisinage pour transport des matĂŠriaux ?

NON PrĂŠsence des engins de collecte sĂŠlectif sur chantier ?

Aide Ă la dĂŠcision et perspectives

Impacts env. raisonnable pour le transport des engins?

OUI

OUI Indic. MJ et CO2e raisonnable / m² de matÊriaux de rÊemplois collectÊs?

ÉTAPE COLLECTE

NON

PrĂŠsence des engins de tri sur NON chantier ?

• Arbre de dÊcision d’un rÊemploi

NON

NON

OUI

Impacts env. raisonnable pour le transport des engins ?

NON PrĂŠsence des engins de collecte sĂŠlectif sur chantier ?

#2

Impacts env. raisonnable pour le transport des engins? OUI

OUI

Augmentation raisonnable du temps de collecte ?

ÉTAPE OUI TRI

Indic. MJ et CO2e raisonnable / m² de matÊriaux de rÊemplois collectÊs?

ÉTAPE COLLECTE

OUI %HĘŁUYEXMSR ZSMVMI et voisinage pour transport des matĂŠriaux ? OUI Mise en Ĺ“uvre de la collecte sĂŠlectif

NON PrĂŠsence des engins de tri sur chantier ?

ÉTAPE #2 • CREIDD TRI

Impacts env. raisonnable pour le transport des engins ?

ÉTAPE OUI STOCKAGE Augmentation ET OUI raisonnable du temps CONDITIONNEMENT

NON

NON

#3

Impacts env. raisonnable pour le transport des engins ?

PrÊsence des engins de tri sur OUI chantierChoix ? d’une autre Augmentation solution (MPS / mise OUI NON raisonnable du temps en dÊcharge) de chantier du au tri ?

OUI ÉTAPE STOCKAGE PossibilitÊ de tri sur chantier ET de collecte ou construction ? CONDITIONNEMENT

TPEGI

NON

NON

NON PossibilitĂŠ de tri sur NON PossibilitĂŠ de tri chantier de collecte sur autre site ? PossibilitĂŠ autre ou construction ? WSPYXMSR XIGLRMUYI

TPEGI entre architecture et industrie OUI d’ÊvacuationLe? rÊemploi passerelle OUI Impacts env. raisonnables pour OUI transport sur autre Mise en œuvre du tri site ?

+ Label E+C-

+ RĂŠfĂŠrentiel NF HabitatOUI

Mise en Ĺ“uvre du tri sur autre site

Impacts env. NON #4 #5 Choix d’une autre solution (MPS / mise en dÊcharge)pour raisonnable le

NON

Impacts env. des d’une autre Choix consommables solution (MPS / raisonnable? mise en dÊcharge) OUI NON

PossibilitĂŠ de stockage et conditionnement sur site construction / dĂŠconstruction?

NON

transport des engins ? PrĂŠsence des engins de OUI prĂŠparation / PossibilitĂŠ de standardisation Augmentation NON sur chantier ?stockage OUIet raisonnable NON du temps conditionnement HI GLERXMIV HY Ęš PE sur autre site ? prĂŠparation ?

OUI

OUI

Choix d’une autre solution (MPS / mise en dÊcharge)

NON PrÊsence r des engins tra WTʣGMƟUYIW pour mise en Choix d’une a (MPS / mise œuvre des matÊriaux de OUI NON rÊemploi sur chantier ? m

OUI

PossibilitĂŠ de tri sur autre site ?

OUI

OUI

Impacts env. raisonnables pour transport sur autre site ?

NON

OUI

NON NON

PossibilitĂŠ de tri

PrĂŠsence engins pour tri?

NON

Impact env. raisonnable pour

NON

OUI Mise en Ĺ“uvre du tri sur autre site

0I VĘŁIQTPSM IR GSRWXV ancrage, mĂŠthode, ex

NON

PossibilitÊ de Impacts env. NON prÊparation / OUI raisonnables pour NON transport sur autre standardisation sur NON OUI Mise en site construction site ? ÉTAPEœuvre OUI PossibilitÊ du tri Impacts env. / dÊconstruction Mise en PROJET opÊrations info / raisonnables pour

TPEGI #sur autre site PrĂŠsence engins OUI NON Ĺ“uvre du tri Impact env. communication ? transport sur autre DE pour tri? Mise en Ĺ“uvre du tri sur autre site raisonnable pour NON OUI site ? ÉTAPE CONSTRUCTION NON OUI transport des PossibilitĂŠ autre PRÉPARATION engins? WSPYXMSR XIGLRMUYI 7SPYXMSR XIGLRMUYI Mise Ĺ“uvre du tri ENenVUE d’Êvacuation ? de prĂŠparation / OUI NON RÉEMPLOI standardisation Choix d’une autre solution (MPS / mise enDU dĂŠcharge) OUI adaptĂŠe au NON Impacts env. des ZSMWMREKI RYMWERGIW consommables bruit, temps PossibilitĂŠ de *ÇŁÇĽÇ—ÇšȨ %VFVI HI HĘŁGMWMSR HĆ…YR VĘŁIQTPSM IR JSRGXMSR HI PĆ…MQTEGX IRZMVSRRIQIRXEP IX HIW RYMWERGIW IX FĘŁRĘŁĆźGIW VIWWIRXMW raisonnable? PossibilitĂŠ de supplĂŠmentaire, stockage et NON stockage et VSXEXMSR GEQMSRW # OUI conditionnement sur NON conditionnement NON site construction / sur autre site ? OUI dĂŠconstruction?

de chantier du au tri ?

PossibilitĂŠ de tri sur

ZS

Choix d’une autre solution (MPS / mise en dÊcharge)

OUILabel BBCA +

PossibilitĂŠ opĂŠrations info / communication ?

NON

NON

NON

ÉTAPE PRÉPARATION EN VUE DU RÉEMPLOI

• IntÊgration dans les labels

Augmentation raisonnable du temps de chantier du au tri ?

+ En fonction de l’impact environnemental et des nuisances et ressentis MisebÊnÊfices en œuvre de la 5.5.2. ARBRE DE DÉCISION collecte sÊlectif

s

PossibilitÊ autre WSPYXMSR XIGLRMUYI d’Êvacuation ? OUI

OUI

OUI

ÉTAPE OUI TRI

%HĘŁUYEXMSR ZSMVMI et voisinage pour transport des matĂŠriaux ?

Choix d’une autre solution (MPS / mise en dÊcharge) NON

ra

PossibilitĂŠ opĂŠrations info / communication ?

Mise en Ĺ“uvre de la collecte sĂŠlectif

OUI Augmentation raisonnable du temps de collecte ?

NON

OUI

NON

OUI

NON

OUI

DU RÉEMPLOI

#1

NON

Impact env. de la WSPYXMSR XIGLRMUYI de standardisation / prĂŠparation VEMWSRREFPI# 1. '3 I IX HĘŁGLIXW Mise en Ĺ“uvre de la prĂŠparation /

OUI

NON

PossibilitĂŠ de prĂŠparation / standardisation sur autre site ?

NO ra

OUI Impacts env. raisonnables pour transport sur autre site ?

NO

PossibilitĂŠ mise en Ĺ“uvre autre WSPYXMSR XIGLRMUYI#

NO ZS

OUI PossibilitĂŠ mise en Ĺ“uvre opĂŠration information / communication? PossibilitĂŠ mise en Ĺ“uvre autre WSPYXMSR XIGLRMUYI#

48

OUI

NO


#2

Flux brique La Courneuve / Stains MOAs Banque de France - Plaine Commune

CSTB


ORDONNANCEMENT DES TRAVAUX

04 UNE PLUS JUSTE

démolition / déconstruction ou rénovation Programmation de l’opération

RÉPARTITION DE LA VALEUR

Adaptation des pièces contractuelles (DCE,...) Diagnostic

La démarche d’analyse économique • Intérêts + Objectiver les impacts socio-économiques du réemploi : coûts des projets, économie de ressources, création d’emplois… + Identifier les pistes d’amélioration les plus impactantes + Complémentaire d’une analyse environnementale.

• Une méthodologie développée dans un contexte d’analyse ex-post sur la base d’entretiens avec des experts + Des travaux de démolition + De l’ingénierie de projet en vue du réemploi + Du diagnostic ressource #2

• CSTB

ÉTAPES ET ACTEURS

Études amont de l’opération Maîtrise d’ouvrage A, maîtrise d’œuvre A

Déchets

Ressources Purge

ÉTAPE 2

Désamiantage éventuel Dépose manuelle et/ou mécanique légère des éléments non structurels

Dépose et curage

Abattage

ÉTAPE 1

Dont dépose sélective en vue du réemploi Démolition (moyens mécaniques lourds) Dont démolition sélective

ÉTAPE 2 BIS (si besoin)

Déconstruction / démolition / réhabilitation / rénovation

Intégration du réemploi dans le projet de construction

Maîtrise d’ouvrage A, maîtrise d’œuvre A, entreprise de démolition, acteur de la déconstruction sélective

Maîtrise d’ouvrage B, maîtrise d’œuvre B, bureau de contrôle B, assureur B

Tri des matériaux Dont tri spécifique au réemploi

Évacuation des matériaux Autres matériaux déchets Évacuation

Matériaux réemployables Évacuation (si nécessaire) vers site de stockage

Site d’enfouissement

stockage des matériaux

Plateforme de recyclage / centre de valorisation

Transport

Vérification des performances

ÉTAPE 3 Préparation de la ressource en vue de son réemploi Maitrise d’ouvrage A ou B, maitrise d’œuvre A, entreprise de démolition, gestionnaire de déchets, acteur du reconditionnement des produits, acteur validant la mise en conformité et la performance des produits et matériaux

Standardisation des matériaux Transport vers le lieu d’utilisation Intégration des matériaux dans le projet architectural

Mise en œuvre des matériaux Dont spécificités liées à la mise en œuvre du réemploi

ÉTAPE 4 Intégration dans le nouveau projet de construction Maîtrise d’ouvrage B, maîtrise d’œuvre B, entreprises de construction B

50


04 UNE PLUS JUSTE

RÉPARTITION DE LA VALEUR

Principe méthodologique

• Exemple d’étapes spécifiques au réemploi + Diagnostic réemploi + Criblage des briques sur site démolition

• Périmètre + De la déconstruction à la remise en œuvre

• Principes + Impact économique + Création d’emploi + Pour chacune des étapes liées au réemploi

+ Transport vers site de construction + Tri et nettoyage sur site de construction

• Exemple d’étapes évitées + Transport vers site d’enfouissement + Enfouissement + Achat de produits + Transport des matériaux neufs

#2

• CSTB

51


Tableau 28 : Impact sur l’emploi local des postes de dépense suppléme

04 UNE PLUS JUSTE

TOTAL JOURS SUPPLÉMENTAIRES TRAVAILLÉS POUR 100 M² DE PAVAGE

RÉPARTITION DE LA VALEUR

Études amont

0,1

Etude d’un cas de Le réemploi béton entre architecture et industrie pavage passerelle de réemploi

Abattage

0,8

Le Clos Saint Lazare

Intégration dans le projet neuf

1,3

TOTAL

3,9

Transport Transformation

Tableau 27 : Analyse financière du pavage béton en réemploi Coût des étapes supplémentaires par m2 Diagnostique réemploi Abattage sélectif Transport vers site d’utilisation Transformation / préparation de la matière Intégration dans le projet architectural

Analyse économique du réemploi de matériaux

0,8 0,9

L’impact sur l’emploi de l’utilisation d’un procédé constructif Prix Coût des étapes évitées par m2 Prix 3,9 jours supplémentaires avec le procédé constructif retenu 0,7€

Traitement des matériaux (évacuation de la matière après démolition)

15,2€

En effet, le recours à l’insertion professionnelle locale qui av Achat de matériaux neufs 8,8€ 20,0€ et mettre en(yc œuvre la matière principalement), n’a pas pu êtr transport) au vu des délais de celle-ci. 0,4€

A14,2€ l’inverse, un recours important à des moyens mécaniques constructif a été constaté, ce qui a un impact financier impo 1,2€

Dès lors, tousTOTAL les actes qui seraient mis en œuvre par des ou procédé constructif TOTAL procédé constructif en « réemploi » 25,2€ 35,2€ pourraient venir valoriser le bilan financier du réemploi prés en classique journalier moyen de la main d’œuvre en insertion est en 2 RÉSULTATS - Économie générée par le réemploi ( en € / mcoût ) -10€ journalier pris en compte ici. #2

• CSTB

52


Des axes d’amélioration du process méthodologique ont été identifiés : En tenant compte de ces éléments dans un Enscénario tenant compte optimisé, depour une ces diminution éléments de 30% unest scénario le coût de optimis L’impact sur l’emploi 100 m²dans posé présenté d l’ouvrage en réemploi est possible enpertes réemploi : UNE PLUS JUSTE • Modification du procédé de collecte de la matière, permettant del’ouvrage limiter les lors est de possible : RÉPARTITION DE LA VALEUR la dépose des éléments d’une part et de supprimer les coûts de pré-sciage des voiles (par utilisation d’un BRH tel que présenté dans le cas d’étude n°1) ;

04

TOTAL JOURS SUPPLÉMENTAIRES TRAVAILLÉS Tableau 29 : Analyse financière du pavillon béton en réemploi – scénar POUR 100 DE MUR • Diminution des tempsTableau 29 : Analyse financière du pavillon béton en réemploi – scénario optimisé passés à la modification des pièces architectes, dans uneM² logique de EN RÉEMPLOI

Etude d’un cas de mur maîtrise du process et de replicabilité ; Études amont Diminution temps passé l’utilisation de moyens spécifiques béton de du réemploi Prix Coûtlié desàétapes supplémentaires par techniques m Coût des étapesàsupplémentaires par m 2

2

0,2

Prix

l’expérimentation (grue hydraulique en phase de reconstruction) ; Abattage

5,1 1,9€

Abattage sélectif Transport • Diminution des coûts fixes liés sélectif à la passivation des fers mis à nu,Abattage par8,8€ emploi d’un mortier en cas de non carbonatation des aciers. Transport vers site d’utilisation Transport 0,9€ vers site d’utilisation

1,5 8,8€

Diagnostique réemploi

Diagnostique 1,9€ réemploi

Le Clos Saint Lazare

Transformation

Transformation / préparation de la matière

7,1

Transformation 160,2€ / préparation de la matière

En tenant compte de ces éléments dans un scénario optimisé, uneIntégration diminutiondans de 30% le coûtneuf de le projet Intégration Intégration 57,6€ dans le projet architectural l’ouvrage en réemploi est possible : dans le projet architectural TOTAL procédé constructif en « réemploi »

TOTAL TOTAL 255,6€ procédé constructif en « réemploi »

0,9€

160,2€

17,4

57,6€

31,3 255,6€

Figure 81 : impact sur l’emploi local des postes de dépense su

Tableau 29 : Analyse financière du pavillon béton en réemploi – scénario optimisé HYPOTHÈSE BRIQUES PLEINES HYPOTHÈSE BRIQUES HYPOTHÈSE PLEINES PARPAINGS 2 des étapes supplémentaires par mPrix Coût des étapesCoût supplémentaires par m2

Traitements des matériaux (évacuation Diagnostique réemploi 1,9€ de la matière après démolition) Abattage sélectif 8,8€ Achat de matériaux neufs (yc transpor) Transport vers site d’utilisation 0,9€ Mise en œuvre Transformation / préparation de la matière 160,2€ TOTAL procédé constructif classique Intégration dans le projet architectural 57,6€ RÉSULTATS - Économie générée TOTAL procédépar constructif en «( réemploi 255,6€ le réemploi en € / m2 ») #2

• CSTB

Prixdes étapes supplémentaires Coût des étapespar évitées Coût m2 par m2

Brique pleine

Parpaing

Prix

Coût Prix des étapes év

HYPOTHÈSE PARP

A noter 1 : (évacuation contrairement au cas Traitements des Traitements matériaux des matériaux (évacuation de la 28,5€ 28,5€ de la matière après matière démolition) après démolition)

d’étude n°1, l’estim Traitements des ma 28,5€ après démo pour l’intégration du projet neuf tientmatière compte de l Achat 225,0€ de matériaux Achat neufs de matériaux (yc transpor) (yc transport) 225,0€ Achat 95,0€ de uniquement du neufs surtemps lors de la mise enmatériaux œuvr Mise 80,0€ en œuvre Misede en main œuvre d’œuvre pour 80,0€ 40,0€ en œuvre jours 100m² deMise murs en briq TOTAL 333,5€ procédé constructif TOTAL procédé classique constructif classique 333,5€ TOTAL 163,5€ procédé co parpaings (source : batiprix). noter 2générée : comme pour le cas d’étude92,1€ n°1, l’impact RÉSULTATS -AÉconomie -77,9€ -77,9€ 2 par le réemploi ( en € / m ) des matériaux (transport + gestion du site d’enfou 53


les tableaux suivants.

04 UNE PLUS JUSTE

Tableau 31 : Impact sur l’emploi

RÉPARTITION DE LA VALEUR

BRIQUES RÉEMPLOYÉES

Etude d’un cas de réemploi de briques La Ferme des possibles

BRIQUE BRIQUEEN ENRÉEMPLOI RÉEMPLOI: : 1,41€ 1,41€HT/brique HT/brique

0% 0%

0% 0% 8% 8%

Jours / 10 000 briques Études amont

<1

Tri mécanique

<1

Transformation des matériaux

210

TOTAL

211

BRIQUE BRIQUENEUVE NEUVE: : 0,90€ 0,90€HT/brique HT/brique transformation des matériaux

La a généré plus de 200 jou réemployées. Cet impact très marqué sur la création d’em 1% 1% école en insertion, qui a une forte intensité de main d’œu 5% 5% quantifié à cette étape l’impact sur l’emploi lié à la produc Transport Transport suppression de l’enfouissement. supplémentaire supplémentaire 18% 18%

92% 92%

Études Étudesamont amont

vers verslelesite site d’évacuation d’évacuation

Tri Trimécanique mécanique (préparation (préparation 5.2.4.1)1)OPTIMISATION

Traitementsdes des Traitements matériaux matériaux

Stockage Stockage

POSSIBLE 75% 75%

Achatmatériaux matériaux Achat neufs neufs

Transformation Transformation Sur la base des résultats du cas d’étude présenté Transport dans la p Transport des desmatériaux matériaux matériauxneufs neufs matériaux (préparation 2) (préparation 2) de briques est examinée sur la base réemploi d’une optim #2

• CSTB

54


chantier sont donc particulièrement important dans ce cas d’étude, com suivante, qui présente le détail des dépenses liées à la phase de transfor (92% du coût de la brique de réemploi – cf. figure 4).

04 UNE PLUS JUSTE

• Estimer les impacts

RÉPARTITION DE LA VALEUR

Optimisation du cas de réemploi de briques

17%

La Ferme des possibles

51% • Division par 2 de l’encadrement sur chantier de 32% encadrement dans le cadre de ce chantier école

• Analyser les étapes les plus coûteuses

Tri, nettoyage, contrôle qualité

Formation (Halage et Bellastock)

+ Transformation des matériaux

Les résultats associés sont présentés dans le tableau su Moyens technique

+ 92% du coût unitaire de chaque brique

Figure 83 : Décomposition des coûtsdes de l’étape deet transformation matériaux Tableau 32 : Comparaison coûts de l’impactdes sur l’emploi

• Identifier les pistes d’amélioration par • Division par 2 de l’encadrement sur chantier de tri/nettoyage/qualité (double retour d’expérience RÉEMPLOI 198 encadrement dans le cadre de ce chantier école). Coût unitaire d’une brique + Réduction de 30% du temps pour le tri sur chantier de tri/nettoyage/qualité (optimisation de Les résultats associés sont présentés dans le tableau suivant : Emploi (jours) pour 10 000 briques l’utilisation des moyens techniques)

0,79€ HT

-

C

132

Tableau 32 : Comparaison des coûts et de l’impact sur l’emploi - scénario extrapolé

+ Réduction de 30% du temps d’utilisation des moyens techniques (transformation des matériaux optimisée donc moins longue) RÉEMPLOI

Coût unitaire d’une brique

+ Division par 2 de l’encadrement sur chantier de Emploi (jours) pour 10 000 briques tri/nettoyage/qualité (double encadrement dans le cadre de ce chantier école #2

• CSTB

Une première optimisation très simple du process perm (rappel) plan économique NEUF et d’avoir un impact marqué sur l’emp 0,79€ HT 132

Coût unitaire d’une brique

0,90€ HT

Si cette démarche avait été étendue à l’ensemble du bâ

• en estimant en première approche à 600 000 le 55 (Bellastock) et


04 UNE PLUS JUSTE

RÉPARTITION DE LA VALEUR

Perspectives • Application ex ante + A l’échelle d’un territoire + Afin de caractériser les conditions d’émergence de nouvelles filières

• Extension aux autres modes de valorisation de la matière + Constitutive des bâtiments existants

• Développement des connaissances + Sur les flux de matière dans le bâtiment

• Favoriser le réemploi et la valorisation matière + Par la prise en compte des enjeux dès la conception #2

• CSTB

56


#2

Chantier ouvert Ecoquartier Fluvial de L’Île-Saint-Denis Sem Plaine Commune, Bellastock

SSDH ENCORE HEUREUX BELLASTOCK DOYERE DEMOLITION AQC


228 220 226 222 203 211 231 190

Cité-Jardins Paul Vaillant Couturier Ind Cité-Jardins Paul Vaillant Couturier Coll. Cité-Jardins Pierre Pierron Ind Cité-Jardins Stalingrad Coll. Claudel-Nerval-Carco Charles Péguy Jean Ferrat Durand-Vignes

05 TRIBUNES

30 254 102 251 64 312 33 17

• • • • • • • •

195 207 208 202 205 210 206 232 201

Marcel Andréas Max Jacob Paul Verlaine Sasaki Square Béranger Square Molière Square Paul Valéry Nelson Mandela Les Terrasses

Seine-Saint-Denis Habitat PIERREFITTE-SUR-SEINE 307 Logements

73 190 245 64 264 292 188 40 53

• • • • • • • • •

SAINT-OUEN-SUR-SEINE 656 Logements

Lucas Colombies, ••maître d’ouvrage• 5 68 167 176 197 198

Alcide d'Orbigny Boris Vian Claude Nougaro Rue de Paris Pasteur Europe Briais

62 108 32 42 55 8

138 27 52 44 51

• • • •

Adrien Lesesne Charles Schmidt Louis Pasteur Péri - Vaillant Robespierre

78 113 158 137 170

• • • •

608 609 610 612 613 614 615 616 617 618 619 620 621 622

Gaston Montmousseau Guy Môquet Jean Bouin La Fontaine Les 15 Arpents Les 4 Tours 1 Les 4 Tours 2 Les 4 Tours 3 Pasteur 1 Pasteur 2 Rosa Parks Surcouf Victor Hugo 2 Danielle Mitterrand

Îlot Gendarmerie Orgemont

227 402

• •

655 701 702 L’ÎLE SAINT-DENIS 703 53 Logements 704 55 Jean Jaurès 53 • 705 707 LA COURNEUVE 708 2 200 Logements 709 710 183 Renoir 97 • 711 414 Alfred de Musset 119 • 712 440 Beaufils 197 • 715 451 56, Convention 9 • 716 420 Curie 113 • 717 175 15, Debussy 102 • 720 428 François Villon 124 • 721 178 Général Leclerc 14 • 722 188 Genève-Leclerc 77 • 723 419 Georges Braque 109 • 724 185 Joliot-Curie 47 • 725 448 Le Moulin Neuf 70 • 726 187 Les Jardins de Présov 134 • 727 171 L’Orme seul 133 • 728 412 Mail de Fontenay 301 • 729 438 Progrès, Philippe Roux 152 • 732 450 Saint-Just 98 • 735 411 Tour Leclerc 276 • 736 196 François Villon 2 28 • 737 VILLETANEUSE 738 692 Logements 739 36 Maurice Grandcoing 223 • 740 #2 • SEINE-SAINT-DENIS HABITAT 12 Salvador Allende 278 • 741 32 Victor Hugo 181 • 743

Docteur Calmette Résidence Paul Langevin Résidence Jean Jaurès Résidence Marcel Cachin Résidence Oradour Résidence Maurice Thorez Résidence Amitié Résidence Parat Résidence Gagarine Résidence De Gaulle Résidence Duclos Résidence Triolet Rés. Pavillons République Résidence République Résidence Les Oseraies Résidence Rue des Mares Résidence 29 République Résidence 162 République Résidence Saint-Germain Résidence Villa Respiro Résidence Villa Solea Gabriel Husson André Malraux Résidence Bellevue Résidence Des Saisons Résidence 36 Houel Résidence Atout Cœur Résidence Brazza Henriette Pizzoli 68 Carnot Place des Commerces 91 Husson Sente de la Ferme 19 Rue Benfleet

1 291 99 570 124 158 60 170 781 182 307 38 4 50 40 16 7 13 82 20 40 3 68 20 15 3 22 7 19 17 15 5 5 72

• • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • •

La gestion et le développement de l’offre locative sont assurés par 730 collaborateurs.

L'Île Saint-Denis

• 1954 démolitions • 1807 constructions • 8964 bâtiments réhabilités, résidentialisés + 15 projets NPNRU en cours de définition

Volume d’investissement pressenti : entre 400 et 600 • millions d’euros

• • • • • • • •

• • • • • • • •

La Fontaine Mallet Le Parc Bellevue La Pensée Verte Robert Ballanger

119 33 43 31

Qui ?

AULNAY-SOUS-BOIS 51 Logements 37

La Prairie

51

Villepinte Aulnay-sous-Bois

Dugny

Le Blanc-Mesnil Sevran

Le Bourget

Saint-Denis

Vaujours

La Courneuve Drancy

L’Office construit la Seine-Saint-Denis de demain + 15 PRU dans l’ANRU 1 / 616 millions d’euros d’investissement :

93 103 656 657

Tremblayen-France

+ Seine-Saint-Denis habitat est un office public de l’habitat AUBERVILLIERS 72 Logements qui a pour principales activités la construction et la gestion 4 Francis de Pressensé 72 • de logements sociaux. Avec un patrimoine de 31 891 ÉPINAY-SUR-SEINE PierrefitteROMAINVILLE sur-Seine logements727 locatifs, il est présent dans 30 communes de Logements Villetaneuse 3 330 Logements Stains Épinay-sur-Seine 79 Îlot du Marché 98 • Seine-Saint-Denis. 654 Rue de Paris 6 • 40 660

226 Logements

• •

38 149 30 13 250 260 270 237 198 87 17 17 236 45

Aubervilliers

Saint-Ouensur-Seine

Les Pavillonssous-Bois

Bobigny

Clichysous-Bois

Le Raincy

Montfermeil

Noisy-le-Sec

LE PRÉ SAINT-GERVAIS 1 249 Logements Anatole France Danton - Louis Blanc Francisco Ferrer Gabriel Péri Henri Sellier Le Belvédère Danton Henri Martin

Coubron

Bondy

Pantin

63 135 28 50 133 145 632 634

Livry-Gargan

Le Pré Saint- Les Romainville Gervais Lilas

75 55 115 180 685 134 3 2

Bagnolet Montreuil

Villemomble

NeuillyPlaisance

• • • •

Gagny

Rosnysous-Bois Neuillysur-Marne

Gournaysur-Marne

Noisy-le-Grand

PANTIN 920 Logements 43 134 150 129

Jacques Duclos Les Auteurs Les Pommiers Pont de Pierre

82 228 323 287

LES LILAS 1 154 Logements 116 134 115

Les Sentes Les Auteurs Les Sablons

993 54 107

Les agences de l’Office 31 891 log Bobigny

4 104 logements

58

Dugny


PROJ PR

05 TRIBUNES

Seine-Saint-Denis Habitat

Quatre composants Quatre composants d’ouvrage réemploi créés d’ouvrage réemploi créés in vivo, in situ

Le projet

in vivo, in situ

La Fabrique du Clos Stains, 2015-2019 + Structurer une filière de réemploi de matériaux dans la mise en oeuvre de la rénovation urbaine d’un quartier. + Expérimenter l’extraction et la valorisation des morceaux de béton démolis en créant quatre prototypes d’ouvrage en réemploi avec l’appui des habitants et des associations locales.

Quatre composants d’ouvrage réemploi, créés in vivo, in situ.

+ Façades en voile et lamelles béton de réemploi Façades en voiles et

Façades lamelles bétonen voiles et lamelles béton

+ Revêtement de sol et murêts en béton morcelé de sol Revêtetement de sol et murets Revêtetement en béton morcelé et murets en béton morcelé

REPAR EPP

REPAR EPP

10 Du sourcing des bétons jusqu’à la mise en oeuvre Fabrique du Clos

10 #2

• SEINE-SAINT-DENIS HABITAT

59


05 TRIBUNES

Le projet

Seine-Saint-Denis Habitat La Fabrique du Clos Stains, 2014-2019 + Opus Incertum

VOLUME DE BETON

Volume de béton

Captation : Abattage sélectif avec engins du démolisseur

PE

RT

E

:1

4%

Perte 14 %

Gisement : Cloisons préfa tridemensionées armées de 8cm d’ép.

Béton préparation

Perte à la marge

Béton mis en oeuvre

PE R

TE

:0

%

BETON PREPARATION

- Morcellement au Brise Roche Hydraulique Boulon => Les morceaux conservervent 2 faces plates - Taille et Pose par paveur / artisan pierre sèche

BETON MIS EN OEUVRE

Pose scellée

Pose sèche encimentée REPAR EPP

#2

• SEINE-SAINT-DENIS HABITAT

Pose sèche engazonée

60


05 TRIBUNES

Le projet

Seine-Saint-Denis Habitat La Fabrique du Clos Stains, 2014-2019 Gisement : Eléments béton variés peu ferraillés

+ Pierre sèche Volume de béton Perte : marge + récupération des chutes de béton morcelé opus

Captation : Abattage sélectif avec engins du démolisseur

Béton préparation Perte à la marge

Béton mis en oeuvre

Morcellement à la pince d’abattage Pince Coupe Boulon

Pose sèche

Pose sèche puis scellée à l’arrière par béton autoplaçant

REPAR EPP

#2

• SEINE-SAINT-DENIS HABITAT

Pose sèche puis scellée par béton autoplaçant et piquetage

61


Le réemploi

05 TRIBUNES

entre architecture et industrie passerelle

DIAGNOSTIC RESSOURCES FICHE PROJET : DIAGNOSTIC PERFORMANCE D’U

Le projet

Clos Saint-Lazare - Stains

Seine-Saint-Denis Habitat

3. Domaine d’emploi visé

La Fabrique du Clos Stains, 2014-2019

Emploi visé Gisement : Murs de refend banchés 14cm ep.

+ Le pavillon local Le réemploi

Mur en lamelle

VOLUME DE BETON

entre architecture et industrie passerelle

Les retours d’expérience

Volume de béton

DIAGNOSTIC RESSOURCES FICHE PROJET : DIAGNOSTIC PERFORMANCE D’UN GISEMENT %

Perte 20 %

RT

E

:0

Clos Saint-Lazare - Stains

Captation : Déconstruction par sciage en oeuvre Collecte par pince d’abattage

PE

Béton préparation

Perte 20 %

3. Domaine d’emploi visé Découpe par scie diamant

Béton mis en oeuvre

1 :2 TE PE R

Emploi visé

%

BETON PREPARATION

BETON MIS EN OEUVRE

Produit A Voile redécoupée pour remplissage

#2

• SEINE-SAINT-DENIS HABITAT

Mur en lamelle Mise en oeuvre par entreprise de gros oeuvre

Produit B Lamelles pour pose verticale et horizontale

Performances attendues

Description

Quantité réalisable

Selon les besoins, prévoir une perte de

Description

Murs en lamelles de béton sciée, mis e

Exposition

Extérieur

Exigences mécaniques

Armé, non fissuré, sans épaufrure, élé fissures généralisé pouvant présager d

Exigences géométriques

Longueur : Largeur : 62 30cm<L<200cm 30cm<l<50cm

Ep 16


05 TRIBUNES

Pour aller où ?

Seine-Saint-Denis Habitat Des résultats ! + L’expérimentation menée en 2016 a prouvé la viabilité d’un procédé constructif en réemploi de béton issu de démolition de logements collectifs des années 1960 ayant une structure en béton, pour les domaines d’emploi suivants :

.50 % d’économie sur le revêtement de sol Coût procédé RÉEMPLOI = CLASSIQUE

Bilan carbone RÉEMPLOI < CLASSIQUE

résultats

résultats

.23 % d’économie sur le pavillon (en comparaison remplissage/brique) Contribution de l’ouvrage au changement climatique : 19 % plus performant selon la base d’un ACV (CSTB)

- Revêtement de sol piéton extérieur; - Maçonnerie paysagère;

6 métiers découverts : Emploi 1 FILIÈRE D’INSERTION LOCALE

32 adultes du quartier mobilisés (salariés de la régie de quartier / stagiaires chantier ou bénévoles )

résultats

- Construction de locaux extérieurs non chauffés; + L’ensemble des attendus économiques, environnementaux et sociaux attendus ont été atteints, avec une plus-value directe pour la maîtrise d’ouvrage, le quartier concerné et ses habitants. + Enjeux 2018 : un développement et une réplicabilité de la démarche à large échelle ! #2

• SEINE-SAINT-DENIS HABITAT

1 quartier mobilisé : Chantier SANS nuisances

3 PROCÉDÉS CONSTRUCTIFS validés techinquement

résultats

.3 chantiers ouverts .24 évènements sur site .1 programme estival .700 participants 4 composants d’ouvrages réemploi créés :

résultats

.Façades en voiles et lamelles béton .Revêtement de sol .Murêts en béton morcelé 204

63


05 TRIBUNES Encore Heureux

Qui ?

Julien Choppin, architecte associé

#2

• ENCORE HEUREUX

64


05 TRIBUNES Encore Heureux

Le projet

Le Pavillon Circulaire, pour le Pavillon de l’Arsenal, Paris 2015

#2

• ENCORE HEUREUX

65


05 TRIBUNES Encore Heureux

Le projet

Le Pavillon Circulaire, pour le Pavillon de l’Arsenal, Paris 2015

#2

• ENCORE HEUREUX

66


05 TRIBUNES Encore Heureux

Le projet

Le Pavillon Circulaire, pour le Pavillon de l’Arsenal, Paris 2015

#2

• ENCORE HEUREUX

67


05 TRIBUNES Encore Heureux

Le projet

Le Pavillon Circulaire, pour le Pavillon de l’Arsenal, Paris 2015

#2

• ENCORE HEUREUX

68


05 TRIBUNES Encore Heureux

Le projet

Le Pavillon Circulaire, pour le Pavillon de l’Arsenal, Paris 2015

#2

• ENCORE HEUREUX

69


05 TRIBUNES Encore Heureux

Pour aller où ?

Lieux infinis, pour le Pavillon Français 2018, Biennale Internationale d’Architecture

#2

• ENCORE HEUREUX

70


05 TRIBUNES Encore Heureux

Pour aller où ?

Lieux infinis, pour le Pavillon Français 2018, Biennale Internationale d’Architecture

#2

• ENCORE HEUREUX

71


05 TRIBUNES Encore Heureux

Pour aller où ?

Lieux infinis, pour le Pavillon Français 2018, Biennale Internationale d’Architecture

#2

• ENCORE HEUREUX

72


05 TRIBUNES Bellastock

Qui ?

Mathilde Billet, experte réemploi + Bellastock est un centre d’architecture expérimentale + Bellastock est aussi un laboratoire de recherche qui accompagne la Transition dans le bâtiment et l’espace urbain + Bellastock est pionnier et expert du réemploi en construction en France depuis 2012.

#2

• BELLASTOCK

73


05 TRIBUNES Bellastock

Le projet

La ZAC Mellinet Reconversion de la Caserne Mellinet, Nantes, 2018 Nantes Métropole Aménagement TGTFP, Atelier Georges, TUGEC, Bellastock + Accompagnement de la démolition des bâtiments de la Caserne pour la collecte, le stockage et la mise en valeur de matériaux à réemployer + Bellastock assure aujourd’hui l’interface entre les matériaux conservés (pierres naturelles) et l’équipe de conception.

#2

• BELLASTOCK

74


ut aussi intéressants, comme ceux qui ont une forte valeur age par exemple. Mais ils n’ont pas fait l’objet d’une cible asse critique à atteindre.

05 TRIBUNES

Le projet

ces phares du réemploi et de la réutilisation, au cœur de la austivité.

Bellastock

LE BÂTIMENT VU COMME UN GISEMENT

molitions peu contraintes par l’espace, ont des propriétés nature même de ces matériaux minéraux ou bio-sourcés expert leur état sanitaire, géométrique et mécanique. La Caserne Mellinet, Nantes, 2018 nelle est forte.

LES MATÉRIAUX ISSUS DE LA DÉMOLITION

La ZAC Mellinet

LES PISTES DE RÉEMPLOI

REVÊTEMENT DE SOL

MURS ET MURETS

MOBILIERS

ardoise

ne militaire à Nantes, les expériences de collecte et de ntes et des moellons de soubassement montrent que ces t au réemploi. + L’aménagement provisoire,

pannes

muret en pierre banchée

l’architecture de stock, la préfiguration,

te (arrachage des pannes de charpente par une pince l’existant en mouvement est source ier est intervenu par des autocontrôles et une étude d’imagination le projet etun lasimple nfirmé la capacité du bois àpour être réutilisé, après ires sans flèches. La pierre naturelle de soubassement, concertation. t, étant suffisamment noble pour résister aux sollicitations ctée lors d’un abattage sélectif du mur, avec les moyens du

brique

banc

enrochement

mœllons (schiste et gneiss)

MELLINET – NANTES

banc

appuit chemin de pluie

mur de soutènement lisse ou à bossage

voutin

soubassement

pavage

bordure

pavé

Fragment de façade d’un bâtiment de casernement

#2

Matériaux ciblés pour le réemploi

• BELLASTOCK

ellons. Expérimentation sur chantier.

Figure 9 : la pierre naturelle et le bois de charpente

cheminement

Composants d’ouvrage

75


05 TRIBUNES Bellastock

Pour aller où ?

Le démolisseur est un bâtisseur comme les autres

Dolmen pour la démolition des Entrepôts Printemps Simon Boudvin, Doyère, Bellastock

+ Intégrer l’action de démolition dans le processus de projet. + Le chantier est une opportunité de temps, d’espace pour l’innovation architecurale et les nouveaux paysages urbains

Création du jardin d’Actlab pour la démolition des Entrepôts Printemps AD, Doyère, Bellastock

LIEU DE VIE

#2

• BELLASTOCK

76


05 TRIBUNES Doyère Démolition

Qui ?

Alexandre Doyère, démolisseur + Entreprise patrimoniale de 40 Personnes + Activité de déconstruction principalement en région Parisienne

#2

• DOYERE

+ Type d’opérations ciblées: Déconstruction en sites urbains complexes + Chantiers réalisés: La Samaritaine (Paris), Parc des expositions (Hall 1, 2, 3, 7), Moulins de Pantins (Pantin), Musée du Louvres (Paris), Gares d’Austerlitz (Paris), Gare St Lazare (Paris), Tour OPUS 12 (Paris), Tour Incity (Lyon), Tours Altaïs (Montreuil), Les entrepôts du Printemps (L’Ile-Saint-Denis) …

77


05 TRIBUNES

Le projet

Doyère Démolition

Fabrication de pavés de béton in vivo, in situ sur un chantier de Montrouge Le réemploi entre architecture et industrie passerelle

Catalogue technique : la montée en généralité du diagnostic

• Différence entre 2 mesurages de l’épaisseur sur une même dalle ≤ 3 mm • Gabarit entre 20 et 40 cm de diamètre en éliminant toute zone trop ferraillée • Éléments de béton avec chants droits (avec une tolérance de +/- 1 cm) • Surface sans épaufrure

25 kg MAX

6 cm minimum

Planéité de deux surfaces parallèles

D D1

D2

différence entre D1 et D2 < 3mm

20 cm<D<40cm

chants droits

Figure 84 : Géométrie décidée avec l’entreprise pour la fourniture des bétons morcelés pour un revêtement de sol.

Les méthodologies retenues doivent cibler : • DOYERE • La collecte : Optimisation des méthodes connues. Test de nouvelles méthodes ; • La préparation : Optimisation des méthodes connues. Test de nouvelles méthodes ;

#2

78


05 TRIBUNES Doyère Démolition

Pour aller où ?

La démolition et le réemploi : Une pratique historique des entreprises de démolition

#2

• DOYERE

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05 TRIBUNES Doyère Démolition

Pour aller où ?

Démolisseur = Gisement matière du réemploi Dépose d’ouvrages intègres ou déconstruction sélective Dépose d’ouvrages préfabriqués Dépose de façades porteuses

#2

• DOYERE

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05 TRIBUNES Agence Qualité Construction

Qui ?

Mariangel Sanchez, Ingénieure suivi des innovations + Risques et maîtrise de l’innovation +Observer, prévenir, accompagner

(C) Photo 2017 – Eric Nicolas – AQC #2

• AQC

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05 TRIBUNES Agence Qualité Construction

Le projet

Observer le passé pour anticiper les risques du futur + Prévenir les désordres, améliorer la qualité de la construction

(C) Photo Socabat #2

• AQC

82


05 TRIBUNES Agence Qualité Construction

Pour aller où ?

Encadrer l’innovation + Continuer à observer et à accompagner l’innovation dans un cadre maitrisé et sécurisé

(c) Photo AQC #2

• AQC

(c) Photo AQC 83


05 TRIBUNES

#2

#2

ADEME BELLASTOCK CSTB BTP Consutlants LERM CREIDD SSDH ENCORE HEUREUX DOYERE DEMOLITION AQC • BELLASTOCK

84


#2

BELLASTOCK CSTB ADEME


06

1 déchet = 1 ressource

Lien de confiance sur le chantier Lien de confiance avec la filière

OUVERTURES

L’heure du changement d’échelle

Vision socio-économique au bénéfice du territoire Ne plus chercher l’accroissement urbain

Nouvelle gouvernance & culture du système

Une gestion en cout global pour la MOA La valeur du projet au delà de la donnée économique

3

Logistique urbaine refondée

Un modèle économique qui favorise la valorisation matière Plateforme locale et dématerialisée

Le chantier, une chance pour le territoire Le démolisseur, un batisseur Lieux infinis

Diagnostic ressource

Des outils d’architecte actualisés et libres Repenser la technique et administratif du projet

Créer une banque de données techniques «universelle»

S’ouvrir à des référentiels techniques co-construits Une évolution logique des standards de la construction

Se lier aux indicateurs actuels

Comptabiliser la performance environnementale Coupler indicateur emploi #2

• BELLASTOCK

86


06

1 déchet = 1 ressource

Lien de confiance sur le chantier Lien de confiance avec la filière

OUVERTURES

L’heure du changement d’échelle

Vision socio-économique au bénéfice du territoire Ne plus chercher l’accroissement urbain

Nouvelle gouvernance & culture du système

Une gestion en cout global pour la MOA La valeur du projet au delà de la donnée économique

2

Logistique urbaine refondée

Un modèle économique qui favorise la valorisation matière Plateforme locale et dématerialisée

Le chantier, une chance pour le territoire Le démolisseur, un batisseur Lieux infinis

Diagnostic ressource

Des outils d’architecte actualisés et libres Repenser la technique et administratif du projet

Créer une banque de données techniques «universelle»

S’ouvrir à des référentiels techniques co-construits Une évolution logique des standards de la construction

Se lier aux indicateurs actuels

Comptabiliser la performance environnementale Coupler indicateur emploi #2

• CSTB

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06

1 déchet = 1 ressource

Lien de confiance sur le chantier Lien de confiance avec la filière

OUVERTURES

L’heure du changement d’échelle

Vision socio-économique au bénéfice du territoire Ne plus chercher l’accroissement urbain

Nouvelle gouvernance & culture du système

Une gestion en cout global pour la MOA La valeur du projet au delà de la donnée économique

1

Logistique urbaine refondée

Un modèle économique qui favorise la valorisation matière Plateforme locale et dématerialisée

Le chantier, une chance pour le territoire Le démolisseur, un batisseur Lieux infinis

Diagnostic ressource

Des outils d’architecte actualisés et libres Repenser la technique et administratif du projet

Créer une banque de données techniques «universelle»

S’ouvrir à des référentiels techniques co-construits Une évolution logique des standards de la construction

Se lier aux indicateurs actuels

Comptabiliser la performance environnementale Coupler indicateur emploi #2

• ADEME

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#2

Merci.

julie.benoit@bellastock.com sylvain.bordebeure@ademe.fr sylvain.laurenceau@cstb.fr


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