BOOK 2017 / -
Roman Bihr /
Book 2017
INDEX
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FORMATION :
PROFESSIONNEL :
CURRICULUM VITAE
p.4-5
PRESENTATION
p.6-7
STRUCTURE
p.8-9
BRASILIA
p.10-21
VILLA
p.22-37
ANGLES
p.38-53
MEMOIRE
p.54-55
MDW ARCHITECTURE
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Roman Bihr / roman.bihr@gmail.com +32 498.48.09.30
CURRICULUM VITAE
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Book 2017
FORMATION Université Libre de Bruxelles - La Cambre Horta localisation: Bruxelles, Belgique. Maîtrise en Architecture, Satis bene. septembre 2016. Istituto Universitario di Venezia localisation: Venise, Italie. Première année de Maitrise en architecture, Magna Cum Laude. juin 2015 UCL LOCI Tournai (Saint Luc Tournai) localisation: Tournai, Belgique. Bachelier en Architecture, ingénierie et urbanisme, Satis bene. septembre 2014. Collège Notre-Dame localisation: Tournai, Belgique Diplôme de secondaire section Math/Langue 2010. EXPERIENCES PROFESSIONNELLES Travail en bureau d’architecture : -MDW architecture, http://www.mdw-architecture.com/ durant six mois en 2017. -Baukunst, http://www.bau-kunst.eu/office.php durant cinq semaines en 2015 -Vers plus de bien-être, http://www.vplus.org/ durant quatre semaines en 2014
COMPETENCES NUMERIQUES Adobe CS6 : ### Illustrator Photoshop Indesign Autocad : ### 2D 3D Sketchup: ### pré-rendu THEA:# rendu 3DSMax: ## rendu Microsoft Office: ### Word Powerpoint Excell LANGUES Français langue maternelle Anglais courant Italien courant Néerlandais basique INTERÊTS Lire/ Ecrire/ Dessiner/ Peindre/ Photographier/ Voyager Cuisiner/ Bricoler/ ... Travailler!
Travail en entreprise paysagère: «Jardins Renaturés», http://www.jardinsrenatures.be/ durant trois semaines en 2013 Travail sur chantier de construction : Favier, http://www.favier.be/ durant trois semaines en 2011
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PRESENTATION
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Je m’appelle Roman Bihr, j’ai 25 ans, je viens de Belgique. Je suis né à Tournai, une ville de petite taille en province de Hainaut. Elle se situe à quelques kilomètres de notre frontière avec la France. La ville est traversée par un fleuve, l’Escaut, au fil du quel j’ai grandi au cours de mes vingt-deux premières années. J’ai débuté des études d’architecture avec l’envie d’enrichir et d’épanouir une créativité au service d’une discipline noble, chargée de sens, d’actes et de responsabilités envers l’environnement naturel, qu’il soit habité ou non par l’homme. Mes années d’étude m’auront fait découvrir énormément de choses. D’abords, la rigueur, durant quatre années passées à l’UCL LOCI Tournai. Ensuite, la distance, au cours d’une année d’étude passée à l’Istituto Universitario di Architettura di Venezia. Enfin, l’émancipation, lors d’une dernière année passée à l’ULB La Cambre Horta de Bruxelles. Je suis maintenant à la recherche d’une direction à prendre. C’est pourquoi je voudrais découvrir d’autres environnements propices à l’éveil de nouvelles inspirations. Le Québec m’est apparue comme une excellente destination. Je travaille depuis les six derniers mois dans un bureau d’architecture bruxellois ( MDW architecture), tout en préparant mon départ pour le Canada. Travailler ici, dans de bonnes conditions, ne m’a pas fait douter de mon choix. Au contraire, cela a ravivé mon envie d’apprendre en vivant d’autres expériences culturelles avant de me stabiliser quelque part. La pratique architecturale telle que je l’ai apprise et telle que je la conçois, concilie la conception mentale, numérique et « immatérielle », à la conception constructive, manuelle et « matérielle ». Je me projette au travers d’un lieu de travail qui accorde sa place à la multidisciplinarité. Un lieu où architecture, ingénierie, urbanisme, paysagisme, design et art coexistent pour une conception enrichie par l’ouverture que chacune de ces portes donnent à voir. Je parle ici en termes de valeurs qui définissent en quelques mots ma personnalité. Je ne suis pas dans l’attente d’un idéal. Je suis à la recherche d’un lieu de rencontre, de partage et de travail. Grâce à l’obtention d’un visa spécifique (Permis Voyage/Travail), je resterai au Canada pour au moins une année. Mon arrivée est prévue le 15 septembre 2017. Je recherche une acitivité à temps partielle comme à temps plein. Je suis aussi ouvert à tout type de contrat, que ce soit à durée indéterminée ou bien derterminée. J’aimerais aussi évoquer la possibilité pour moi de travailler sous le statut de stagiaire en architecture, au regard de l’orde des architectes belges. J’aimerais pouvoir avancer dans cette part d’objectif à remplir pour tout architecte junior, ayant terminé ses études.
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STRUCTURE
/ Second quadrimestre de l’année académique 2013/2014. / Sous la direction de Bernard Wittevrongel / Travail en groupe de trois étudiants. / Rôle personnel: conception et réalisation du projet, élaboration du modèle et des documents graphiques. Dans la trame du plan Cerda une surface de plus de 12 000m² dédiée à l’exposition de l’arte povera et à la détente. L’arte povera est une attitude socialement engagée, qui privilégie le processus de création, le geste, à l’objet en lui-même. Littéralement traduit par «art pauvre», elle souligne l’utilisation de matériaux réputés «pauvres». L’effet du temps agit sur la matière, l’oeuvre devient éphémère, insaisissable. Elle ne trouve pas sa place dans un musée. Dès lors, le projet suit une logique dans laquelle l’homme fait face à son environnement. Un lieu public ouvert dédié à l’arte povera, dans la trame claire et radicale du plan Cerda Structure composée de pannes encastrées les unes aux autres et contraintes à la verticale poncutellement. L’encastrement et la liaison entre les pannes en font une dalle. L’épaisseur de la «dalle» varie de l’exterieur vers l’intérieur, permettant de limiter le nombre de poteaux soutenant la dalle. En effet, plus elle est épaisse plus l’inertie est grande et plus le nombre de points d’appuis se réduit. L’atmosphère est aussi influencée par la structure. En effet, la lumière va , à l’inverse de la toiture, être importante au centre et diminuer vers l’extérieur. L’édifice invite l’usager à le traverser de part en part.
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Roman Bihr / roman.bihr@gmail.com
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BRASILIA Atelier: Città e paesaggio
/ Second quadrimestre de l’année académique 2014/2015. / Sous la direction de Aldo Aymonino / Travail en groupe de cinq étudiants. / Rôle personnel: conception de projet, représentation graphique. L’exercice commence par l’annonce du site et d’un programme à y aménager. Ici Brasilia, pour la construction de logements étudiants, de logements familiaux et d’infrastructures sportives tout en apportant une réflexion à la dimension urbaine et un parcours paysager. Le plan de la ville conçu par Lucio Costa et Oscar Niemeyer, appelé plan pilote, nous a posé une autre condition: les quartiers résidentiels sont concentrés en ilôts carrés déservis par de majestueuses avenues ramifiant la capitale. Les étudiants doivent choisir une cellule et y opérer une étude... L’ordre établi nous impose d’abord respect puis étonnement quant à la crédibilité de ce système au quotidien. Nous ne sommes pas allés et n’irons pas à Brasilia lors de l’exercice. Il est convenu que nous devons nous fier aux informations découvertes à distance pour fonder le projet. Notre regard critique nous amènera à nous implanter en marge du tracé originel. La situation et les dimensions d’un «super quadra», ne nous inspire que très peu de choses. L’aile Nord de «l’oiseau» qu’est Brasilia, trouve une zone peu dense. On observe sur le plans de plage de droite le bâti en noir. De gauche à droite, des logements et des commerces entre plusieurs axes routiers, puis une grande étendue laisée pour friche, enfin, quelques infrastructures privées et le lac. Notre idée de départ sera d’établir par notre intervention un lien entre
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les deux entités que sont d’une part, à l’ouest, l’espace public, et d’autre part, le lac dont l’accès est privatisé. Un tracé clair prend forme. Le projet comme «tout» traverse différents types de zones. A chaque zone son identité. Le projet se divise en séquences, chacune propre à son lieu d’implantation. De gauche à droite : .1 un arrêt de bus, premier point d’accroche sur une des voies principales de circulation / .2 Une esplanade minérale et une tour. La tour est un parking pour contenir les voitures des usagers ciblés par le projet. L’esplanade est le point de rendez-vous et de rencontre. Laisser la voiture pour se diriger à pied ou en vélo (etc..) vers le Lac / .3 En hauteur un parcours public, des cafés, des logements pour étudiants et privés. Au sol, un parc se confirme au Nord, un terrain de football et un terrain dédié à de potentielles festivités au Sud/ 4. Un parcours vers le lac se termine sur l’eau. Un panorama et un piscine publique complètent l’infrastructure.
ZONA NORTE ZONA UNIVERSITARIA Trasporti publici Linee urbane Linea di metro futura
Incolto urbano
Bosque
Residenze studentesche
Costa privatizzata
PARCO OLHOS D’AGUA
LAGO PARANOA
plan d’implantation 1.1000e / dessin Mathias Bouet
1:10 000
séquences d’intervention, là où le projet passe. 11
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Premier point d’accroche : l’arrêt de bus sur l’une des voies principale de circulation. / 13
SOPRA LA PIAZZALE, IL PARCHEGGIO nodo e segnale
A
A
B
B
C
C
Sezione AA 1.200 62 posti per 12 piani Terazza multi fonzionale di 1800m2 al tredicesimo piano Pianta del inquadramento con strada d’accesso, piazzale e passeggiatta 1.50
A
A
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A
A
Pianta BB, livello 1 1.200
Pianta CC, livello -1 1.200
6% di pendenza tra mezzi-livelli
Accesso tecnico allo spazio espositivo
Parcheggio: un signalo urbano
Second point d’accroche et d’arrêt sur le parcours : un parking et une esplanade minérale. C’est un signal urbain mais aussi l’entrée de la structure suspendue plongeant vers le lac. /
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Abitazioni : camera per studenti e mercato edilizia convenzionata
/ Intervention paysagère au nord et au sud de l’infrastructure principale.
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1:1000
Aqcuedotto, tra foresta urbana e parco universitario : verso il lago
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ercato edilizia convenzionata
+19
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+19
+19
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+7
+19
pianta tetto
SEZIONE 1.20
145cm
65cm
45cm
pianta R+3 320cm
pianta R+2 40cm
50cm
20cm
30cm
40cm
pianta R+1 Plans de la sĂŠquence de logements et leur coupe transversale. / 19
1:500
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Le parcours se termine dans le lac avec une piscine publique et un belvÊdère. 21
Roman Bihr / roman.bihr@gmail.com
VILLA
Unité de production
/ Premier quadrimestre de l’année académique 2015/2016. / Sous la direction de Thierry De Cuypere / Travail individuel puis en groupe de trois étudiants. / Rôle personnel: conception de projet, représentation graphique, conception et fabrication des maquettes. Pour tout démarrage une image. Un moment du film «La femme des sables» ou sous son nom d’origine Suna no Onna, réalisé par Hiroshi Teshigahara. L’exercice demande à l’étudiant, à partir d’une image qu’il choisi au sein d’une séléction faite par les enseignants, de concevoir une villa. Ici que voit-on ? En noir et blanc, du sable, du bois, des ombres. La photo prise en aplomb de la toiture d’une maison de bois ensevelie par le sable. Le départ d’une recherche, la production d’un atlas. L’architecture et le thème de la villa sont le fil conducteur qui dirige le développement de l’atlas. L’image première est un prétexte. Une série de concepts sont amenés sur la table au cours du développement de l’exercice, mais l’idée qui s’impose est tout simplement la plus évidente, une «villa toiture». Une couverture sur un sol, quoi dessous? Un univers déterminé d’une part par les références avancées par l’atlas, puis d’autre part par le terrain d’implantation. Il s’agissait au départ d’un projet détaché de tout contexte physique. C’est le scénario qui construisait entièrement le sens de la recherche. L’intérêt découvert dans l’exercice est vraiment de raconter une histoire. C’est ce que nous avons fait...
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#1
- Tanikawa house - Kazuo Shinohara
#2
- Maison Namibi - ...
#3
- Maison Namibi - ...
/ Succesions de recherches d’assemblage. Les références tirées de l’atlas comme des fragments d’architecture. 24
B
A
A’
100e rez-de-chaussez
B’
100e
coupe AA’
Suna no Onna
100e
Suna no Onna
100e plan r+1
coupe BB’
Suna no Onna
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Plan d’implantation ech : 1/500
C
A
A’
B
B’
Plan Villa ech : 1/100
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Coupes aa’ & bb’ ech : 1/100
Coupe longitudinale cc’
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ANGLES Unité de production
/ Second quadrimestre de l’année académique 2015/2016. / Sous la direction de Thierry De Cuypere / Travail en groupe de trois étudiant durant la première phase puis individuel pour la seconde. / Rôle personnel: conception de projet, représentation graphique, conception et fabrication des maquettes. ra pas dévoiler si facillement... Les angles sont-ils matière à réflexion? Quel(s) développement(s) pourrait-on apporter à telle ques- Je m’arrête sur un parc public, le Parc de La tion? Comment, à partir de celui-ci (ceux-ci), raconter Rosée. Une aire de jeux pour enfant plus qu’un parc en le scénario d’une architecture à part entière? On nous réalité. Je choisis le site pour sa large surface, le peu demande de dégager des pistes, de créer nos propres d’infrastructure qu’il contient et sa forme complexe. Le enjeux. terrain est complètement intégré à un ilôt. Il est limité sur les trois-quart de son perimètre par les murs ar Certains, comme moi, restent pentois face à rière de maisons mitoyennes. Les limites construisent l’annonce du thème. Comme au premier semestre il faut des angles où aucune activité ne trouve sa place. Je d’abord mettre en scène un propos architectonique à décide d’en faire quelque chose. J’ai alors essayé par partir de la conception d’un Atlas. Nous prenons le par- le projet de réactivé l’usage de certains lieu de ce parc. tie d’une recherche sur l’emprise de l’angle dans le mi- Dans l’ensemble, il vit déjà très bien. Il ne s’agit pas lieu urbain. Que peut-on dire des tensions, des espaces d’un contre-projet mais d’un essais. définis par l’angle dans l’espace public?... L’angle est partout. Je conçois quatre éléments qui viennent enrichir le parc: 1. Un café à l’entrée Est du parc/ 2. Une architecture devient notre référence: The Une maison de quartier au Sud Est/ 3. Une scène Economist Building, à Londres, conçu par le couple polyvalente au centre du parc/ 4. Une esplanade et d’architectes Alison et Peter Smithson. Les tours une aire de jeux pour une crèche en devenir aux construites sur la parcelle se laissent contourner par pieds de l’immeuble implanté dans le parc. les usagers. Une forme de liberté claire aux pieds des édifices. L’espace résiduel défini par les édifices implantés dans les angles du terrain fait, malgrès son apparente neutralité, partie intégrante de «l’idée» conçue par les architectes. Le «vide» est à prendre autant au sérieux que le «plein». L’espace vide devient l’objet de la recherche. La parcelle libre dont l’usage est encore une énigme mais où l’homme trouvera sa place. Liberté d’expression pour tous! Lorsque vient le moment de trouver un lieu d’implantation à Bruxelles même, il semble difficile de contextualiser la démarche. Je nage toujours dans le vague. Le vide garde bien des mystères qu’il ne dégne-
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(...) Plus tard, le client a décidé qu’il n’utiliserait pas le pavillon en tant que cabinet dentaire, neutralisant l’espace intérieur public à l’état d’objet privée. Maintenant, l’étrange surface de ce large truc devient un nouveau défi quotidien de la famille, un retour au test de Rorschach: une forme de vide sur laquelle se projeter. 51N4E
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Le parc de la Rosée se situe dans un quartier défavorisé de la capitale. C’est un espace de jeux, de rencontres et de promenades, dont les différents espaces ont été aménagés à la demande de la population. Il offre aux habitants l’espace public qui leur manquait et tend à favoriser l’intégration sociale de la population locale.
1997 : la commune d’Anderlecht demande à Bruxelles
Environnement d’imaginer les plans d’un espace récréatif, à aménager en lieu et place d’un chancre d’environ 7000m2. L’aménagement du parc est organisé selon une démarche participative, impliquant les habitants et les acteurs clés du quartier (écoles, commerçants, maisons de quartier, associations…). Les pouvoirs publics souhaitaient ainsi répondre aux besoins de la population et lui permettre de s’approprier durablement un espace public convivial. Automne 1998 : les travaux commencent et sont menés en collaboration avec des sociétés coopératives à finalité sociale, qui ont engagé une main-d’œuvre locale au chômage. Les enfants du quartier ont également participé à l’élaboration du parc en réalisant un segment de la fresque et en imaginant des jeux. 2000 : inauguration du parc. Sa création a renforcé la cohésion sociale du quartier. 1
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http://www.brussels-gardens.be/place.php?id=31
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La Rosee axonomĂŠtrie /avant
La crèche
Le café La scène La Maison de quartier
La Rosee axonométrie /après
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Roman Bihr / roman.bihr@gmail.com
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MEMOIRE TRAVAIL DE FIN D’ETUDE
/ Second quadrimestre de l’année académique 2015/2016. / Sous la direction de Eric Van Essche / Travail individuel
Prenant au mot l’intitulé de l’exercice, c’est en revenant sur des souvenirs que j’ai effectué mon travail de fin d’étude. Le 27, Quai Taille-pierres, c’est le titre que j’ai donné à mon mémoire, c’est aussi l’adresse de la maison familiale où j’ai grandi. Pour terminer mes études d’architecture, je reviens vers le lieu qui a nourri l’enfant, l’adolescent puis le jeune adulte que je suis devenu. Je voulais produire un essai pour partager des regards, des émotions. Je voulais faire de ces sensations immatérielles et subjectives, le point de départ d’une recherche constructible. Une vue par la fenêtre de ma cuisine, un paysage, une présence, un être... Un récit pour communiquer le caractère d’un lieu habité.
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Extrait: «Un titre qui prend la forme d’une adresse. Pourquoi? Ouvrir le lieu d’un scénario. Une situation géographique. Est-elle réelle ou non? Déjà, des questions se posent. C’est bien parce qu’il s’y passe quelque chose que l’adresse prend le titre de mon mémoire. Le site et ce qu’il contient deviennent l’occasion d’écrire un récit. Que s’y passe-t-il, avant, après, ou maintenant? Quel est ce lieu? Comment le voir? Comment et pourquoi le comprendre? L’architecture, comme les lignes d’un roman, déplace le lecteur. Les murs contiennent, à l’instar des pages, une histoire dans laquelle l’être conscient s’immerge. Qu’il y soit sensible ou non, l’esprit est actif. Il découvre les termes d’un langage pour lequel l’interprétation faite par une chimie interne permet la compréhension. Que l’on soit érudit ou non, ce n’est pas dans le savoir théorique que réside la connaissance du lieu mais dans sa pratique.»
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Roman Bihr / roman.bihr@gmail.com
MDW
ARCHITECTURE
Les pages suivantes donnent un aperçu du travail que j’ai eu le plaisir d’effectuer au sein du bureau MDW architecture. Durant six mois, j’ai eu l’occasion d’aborder une dixaine de projets à différents stade de leur élaboration. J’ai eu l’occasion de construire des maquettes, de mettre en page des dossiers de remises pour quelques concours, de dessiner les premières esquisses d’un projet, d’en faire les premiers montages numériques. J’ai participé à la future refonte du site internet en proposant divers solutions de mise en page mais aussi en retravaillant les images de nombreux projets. L’essentiel de mon temps de travail fut consacré à des phases de recherches sur des projets en début de conception. J’ai, tout au long de ces six mois de travail, eu l’occasion d’améliorer mes connaissances avec quelquesuns des outils informatiques que nous utilisons dans la profession. Notamment les programmes photoshop, illustrator, autocad, sketchup et Thea Render. L’ouverture du bureau vers le marché public comme privé à des échelles d’intervention variées, m’a permise d’enrichir mon expérience professionnelle de manière rapide et condensée.
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/ Photomontage du hall d’entrée de la Tour Bastion à Bruxelles Refonte graphique partant d’un photomontage existant. L’image d’origine ne satisfaisait plus aux nouvelles exigences graphiques du bureau. Je suis donc reparti de zéro pour simplifier l’image exprimée du projet par le photomontage. 57
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/ Usine et paniserie des «Maîtres de mon Moulin» à Bruxelles. Sur la gauche, plan programatique et conceptuel. Sur la droite, photomontage conceptuel du projet.
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Console de façade béton Espace rail rideau Colonne de façade béton
Chassis Aluminium
Main courante
Garde-corps Métal tissé 60cm libre
Finition intérieure & extérieure au même niveau = continuité
Caniveau de récupération d'eau de pluie Acier - finition dallage minéral
Dalle de structure prédalle ou coulé sur place
Protection solaire (façade S - O) Option mobile - manuelle
Sous-face finie par le gros-oeuvre (400.000 € économie)
Colonne béton
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/ Six immeubles de logements sociaux dans la commune de Evere. Sur la page de gauche, une coupe détail intérieur/extérieur, d’un appartement, en phase de recherche Sur la page de droite, une visualistaion de trois tours en phase de recherche.
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