BMW Magazine FR 2009 1

La nouvelle BMW Série 7 : un profil de leader

1 I 2009

Portrait : Edouard Vermeulen, l’homme derrière la maison de couture Natan BMW Motorrad : tous les nouveaux modèles EUR 7,-

De BMW 3 Reeks Nieuwe Generatie: de maatstaf voor alles Brandstofbesparend van nature. Met het programma BMW EfficientDynamics.

La nouvelle BMW Z4 Roadster : design moderne et art urbain

Le changement dans la continuité Après plus de sept ans à la direction de BMW Group Belux, Philippe Dehennin a été nommé par la direction de BMW Group à Munich à la tête de BMW Group France. J’ai le privilège de lui succéder et je tiens à le féliciter et le remercier pour l’excellent travail réalisé avec ses collègues et l’ensemble du réseau des concessionnaires BMW en Belgique et au Grand-Duché de Luxembourg. Mon objectif est de continuer à travailler dans la même politique de service aux clients et de faire en sorte que notre réseau soit plus que jamais à l’écoute des besoins de notre clientèle.

Depuis toujours, BMW associe sécurité, responsabilité et plaisir de conduire. Initiateur entre autres de l’ABS, tant sur quatre que sur deux roues, précurseur des formations à la conduite, concepteur du Dynamic Performance Control, BMW a toujours progressé grâce à une innovation constante. Aujourd’hui, avec le programme BMW EfficientDynamics, l’ensemble de la gamme automobile BMW est considérée comme la référence en matière de sobriété de consommation sans pour autant diminuer le plaisir de conduire propre à la marque.

L‘élargissement récent de la transmission 4 roues motrices BMW xDrive à la BMW Série 3 en version 2 litres diesel (BMW 320d xDrive) est un témoignage supplémentaire du souci de la sécurité manifesté par nos ingénieurs. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si BMW est le leader mondial pour les automobiles à transmission 4 roues motrices du segment « Premium ». De même, l’évolution du système Night Vision sur la nouvelle BMW Série 7 fait la part belle aux usagers les plus vulnérables en augmentant encore leur sécurité. L’adoption de l’Integral Active Steering sur cette même voiture est un atout supplémentaire pour l’agrément de conduite à bord du vaisseau amiral de la marque. Si les performances technologiques de nos voitures ne cessent de s’améliorer, il doit en aller de même de celles de leurs conducteurs. C’est pourquoi, depuis 30 ans, BMW Driver Training propose des cours de maîtrise automobile. Ces cours sont également dispensés en Belgique depuis maintenant 10 ans. Ils permettent aux utilisateurs de BMW de mieux cerner les possibilités offertes par leur voiture et de mieux réagir

en cas d’incident pouvant survenir sur la voie publique. Il ne s’agit donc pas de cours de pilotage mais bien de conduite afin de rendre celle-ci plus sûre encore.

Le programme 2009 est des plus alléchants avec notamment la nouvelle BMW Z4, premier roadster de notre gamme à être équipé d’un toit rigide rétractable pour répondre à une demande sans cesse croissante.

Les deux-roues ne sont pas négligés pour autant puisque pas moins de quatre nouvelles motos font leur apparition ce printemps.

Les BMW F 800 R, BMW K 1300 S, R et GT vont permettre aux amateurs de motos d’élargir leurs horizons. Et pour les passionnés de sports mécaniques, BMW renoue avec les compétitions sur pistes dans le championnat du monde de motos Superbike. Avec nos pilotes Troy Corser et Ruben Xaus, notre département course compte bien mettre en valeur la BMW S 1000 RR, la toute nouvelle et première super sportive de la gamme BMW Motorrad.

Au volant ou au guidon de votre BMW, permettez-moi de vous souhaiter beaucoup de plaisir de conduire et de vous assurer de mon entier dévouement.

Philipp von Sahr Administrateur délégué Directeur général BMW Group Belux

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1| 2009

En couverture 12

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Grâce à l’Integral Active Steering, la nouvelle BMW Série 7 n’a pas dû faire le moindre compromis entre confort et sportivité.

Une expression de joie Mise en scène inédite par l’artiste performeur Robin Rhode à l’occasion de la première mondiale de la nouvelle BMW Z4.

Rouler sur du velours

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Diesel versus essence : quel est le meilleur concept ?

Une analyse approfondie des avantages et désavantages des deux carburants et un regard sur l’avenir des technologies moteurs.

Reportages 10

La BMW Concept Série 5 Gran Turismo associe les caractéristiques d’une GT stylée au luxe d’une limousine et à la polyvalence d’un Sports Activity Vehicle moderne.

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A la veille de la nouvelle saison de F1, les ambitions de la BMW Sauber F1 Team sont affûtées à l’extrême.

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Singapour et le vert zen La ville-Etat de 4,6 millions d’habitants s’attache à insérer le quotidien dans la nature, au travers d’une architecture moderne et verte.

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Une assistance à votre service 24 h sur 24 BMW Mobile Care est prête en permanence à assister les conducteurs BMW, avec rapidité et efficacité.

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Exploiter les énergies marines Les ingénieurs du monde entier rivalisent de projets et de technologies pour exploiter le potentiel énergétique des océans.

L’exaltation du plaisir Grâce à une quantité inédite de systèmes intelligents, la nouvelle BMW Série 7 garantit une sécurité accrue au conducteur, à ses passagers et aux autres usagers de la route.

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Heidfeld et Kubica pour le titre

Un univers de bonheur L’intérieur de la nouvelle BMW Série 7 respire le raffinement et l’élégance et offre un degré de confort sans égal.

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Un profil de leader La nouvelle BMW Série 7 demeure plus que jamais la référence en matière de style, de luxe et d’expérience de conduite.

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Un nouveau style de vie alliant santé et durabilité Les adeptes du LOHAS veulent sauver le monde en consommant non pas moins mais mieux.

L’élégance de l’optimisme Edouard Vermeulen, l’homme derrière la maison de couture Natan croit à une nouvelle ère qui s’ouvrira après la crise, où le savoir-faire sera à nouveau valorisé.

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Elégant, confortable, spacieux

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Une classique prestigieuse Un compte-rendu de la 9e édition du National Classic Tour et un avantgoût de l’édition anniversaire qui se déroulera cette année.

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BMW Motorrad : une belle moisson BMW Motorrad lance cinq nouveaux modèles : la BMW F 800 R, les nouvelles BMW K 1300 S, R et GT et la phénoménale BMW S 1000 RR.

Rubriques 6

Infos Tour d’horizon dans l’univers BMW belgo-luxembourgeois et international.

BMWMagazine Tous les conducteurs d’un véhicule BMW – automobiliste et motard – neuf ou de seconde main dont la durée

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I love my BMW La sympathique petite BMW Isetta 300 des années 50 part à l’assaut du prestigieux rallye des voitures anciennes Mille Miglia.

de vie est inférieure à 7 ans reçoivent gratuitement le BMW Magazine. BMW Magazine est une publication semestrielle et le maillon entre les propriétaires BMW et BMW Belux. Son but est d’informer les propriétaires BMW sur les activités de la marque et la gamme des produits BMW. Indien u de Nederlandse editie van BMW Magazine

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Editeur responsable, régie publicitaire:

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La protection ultime pour votre BMW BMW Tracking est le système de sécurité et de surveillance BMW Original, pour vous permettre de profiter en toute tranquillité de votre BMW.

Inge Vervliet, BMW Belux, Lodderstraat 16 - Industriepark “De Vliet” - 2880 Bornem Rédaction, réalisation, correspondance: Thierry Van Beers, BMW Belux, Lodderstraat 16 - Industriepark “De Vliet” - 2880 Bornem Rédaction internationale: Hoffman und Campe Verlag GmbH, München Rédaction belge: Roularta Publishing, Meiboomlaan 33, 8800 Roeselare

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La façon la plus exclusive de rouler en BMW

tél. + 32 51 26 61 46

BMW Individual donne vie à vos aspirations les plus profondes en matière de conduite.

Rédacteur en chef: Kurt Focquaert (kurt.focquaert@roularta.be) Graphiste: Kaat Kerkhove Rédacteurs: Kurt Focquaert, Stéphanie Labis, Dominique Van Nieuwenhove Collaborateurs: Jean Cech, Joost Custers, Alex Van den Berghe, Emmanuelle Vanden Wyngaerdt,

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2009 : nouvelle formule

Karen Van der Sype, Christophe Weerts, Veerle Windels

Un résumé de la 20e édition de la BMW Golf Cup et tout ce que vous devez savoir sur la nouvelle formule, baptisée BMW Golfsport.

Imprimerie: Roularta Printing, Meiboomlaan 33, 8800 Roeselare, tél. + 32 51 26 61 11

Protection de la vie privée - Changement d’adresse

Photos : Kai-Uwe Gundlach; Thomas De Boever

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La nouvelle collection F1 : made for winners La nouvelle ligne de vêtements F1 s’inspire de la recherche constante d’innovation et de perfection propre à l’équipe BMW Sauber F1.

Vos données sont reprises dans le fichier d'adresses de BMW Belux, Customer Services, Lodderstraat 16 à 2880 Bornem (tél. +32 (3) 890 97 55 - Customer.Services@bmw.be), en sa qualité de responsable de traitement. Ces données pourront être utilisées afin de vous informer de l'évolution de nos services ainsi que des nouveaux produits. Elles pourront être communiquées à des sociétés liées à BMW Belux pour les mêmes finalités. Vous disposez à tout moment d'un droit d'accès et de rectification de vos données et du droit de vous opposer, gratuitement, à leur traitement et à leur communication.

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Le plaisir d’une conduite anticipative Il est temps d’en finir avec l’image négative de la conduite anticipative.

Plus vous roulez vite, plus vous devez rouler de manière anticipative.

Vous trouverez de plus amples informations sur la consommation et les émissions de CO2 sur www.bmw.be et www.bmw.lu Consommation moyenne (l/100km)/émission CO2 (g/km) pour la gamme BMW : 14,7-4,4/352-118

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News 1/2009

BMW EfficientDynamics Moins de consommation = moins de pollution Un moteur qui consomme un litre d’essence aux 100 km émet 23,8 grammes de CO2 par kilomètre. Si la consommation passe à 5 l d’essence aux 100 km, les émissions de CO2 atteignent 119 g/km sur la même distance. Dans le cas des moteurs diesel, les chiffres sont un rien plus élevés. Un litre de diesel produit 26,5 grammes de CO2 au kilomètre. Le véhicule qui consomme 5 litres de diesel pour cent kilomètres émet donc 132 grammes de CO2 par kilomètre.

On sait que depuis longtemps, BMW joue un rôle de pionnier dans la mise au point des technologies qui protègent notre environnement. La philosophie de BMW EfficientDynamics est-elle double ? Un nouveau modèle fait-il meilleur usage de l’énergie que ses prédécesseurs tout en affichant en même temps des performances supérieures ?

Quelques exemples de valeurs intéressantes chez BMW ? Une BMW 118d avec boîte manuelle présente une consommation combinée de 4,5 litres aux 100 km et émet 119 g/km de CO2, tandis que la BMW 318d avec boîte manuelle brûle 4,7 litres aux 100 km et libère 123 g/km de CO2.

Ces chiffres comptent parmi les meilleurs dans chacune de ces deux catégories.

En bref La nouvelle BMW 116d est actuellement la BMW rejetant le moins de CO2. Son moteur quatre cylindres diesel fort de 115 ch (85 kW) ne consomme en moyenne que 4,4 l/100 km pour 118 g de CO2/km.

6,5secondes C’est le laps de temps pendant lequel les deux pilotes du BMW Sauber F1 Team, Robert Kubica et Nick Heidfeld, pourront, à chaque tour de circuit, disposer de quelque 80 chevaux supplémentaires pour faciliter leurs dépassements. Ce « boost » est rendu possible par le système de récupération de l’énergie cinétique KERS, autorisé pour la première fois en Formule 1 en 2009. BMW a opté pour une solution électrique.

En décélération, l’énergie cinétique est transformée en énergie électrique et stockée dans des batteries lithium-ion. Les pilotes sollicitent ce surcroît de puissance en appuyant sur un bouton au volant. Le système KERS conçu pour la BMW Sauber F1.09 est, dans son fonctionnement, semblable à la technologie ActiveHybrid développée www.bmw-sauber-f1.com pour les BMW de série.

bmw-web.tv Passing the Pumps with a Smile

Notre recommandation vidéo sur le canal « BMW EfficientDynamics » de bmw-web.tv : Passing the Pumps with a Smile.

Une BMW 318d, 54 litres de carburant, 1325 kilomètres non-stop de Copenhague à Londres à travers le Danemark, l’Allemagne, les Pays-Bas, la Belgique et la France.

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Les deux pilotes essayeurs ont « snobé » quelque 72 stations-service.

La consommation moyenne s’est établie à 4,1 l/100 km pour la respectable vitesse moyenne de 86 km/h. www.bmw-web.tv/pumps

BMW Motorrad Motorsport « Je veux être champion du monde avec la BMW Superbike. » L’Australien Troy Corser défendra, aux côtés de l’Espagnol Ruben Xaus, les couleurs de BMW Motorrad Motorsport au Championnat du Monde de Superbike. Double champion du monde de la spécialité, Corser est également arrivé deux fois deuxième et trois fois troisième.

M. Corser, vous êtes l’un des meilleurs pilotes de Superbike. BMW s’engage dans le Championnat du Monde de Superbike 2009 avec une moto entièrement repensée, propulsée par un moteur quatre cylindres en ligne. Qu’est-ce qui vous motive ?

C’est un challenge exceptionnel puisque j’ai la chance de pouvoir faire de la toute nouvelle BMW S 1000 RR une moto gagnante.

Que pensez-vous des performances de la nouvelle BMW Superbike ?

Il reste bien sûr des points à améliorer, mais nous partons sur une excellente base. Une place dans le top dix est à notre portée.

Photo: Peter J. Fox/2Snap

Quels sont vos objectifs pour votre première saison chez BMW ?

Par rapport aux autres équipes, nous avons le handicap de courir pour la première fois sur la plupart des circuits et de ne pas disposer de données existantes nous permettant d’optimiser le réglage de la moto. Nous allons emmagasiner des informations et de l’expérience qui nous seront fort utiles pour 2010. Mais nous ferons bien évidemment tout pour être les plus performants possible dès la première saison.

Je veux décrocher mon troisième titre mondial en superbike avec BMW Motorrad. www.bmw-motorrad.be - www.bmw-motorrad.lu www.worldsbk.com www.troycorser.com

BMW Motorrad Motards on tour pour l’action ‘Kom op tegen Kanker’ Le tout premier ‘Tandem’ (www.tandemtegenkanker.be) dans le cadre de l’action ‘Kom op tegen Kanker’ se déroulera le dimanche 26 avril.

A cette occasion, le BMW Motorclub Vlaanderen, Daddy’s On Tour et BMW Motorrad Belux organisent plusieurs parcours à moto dont le point d’arrivée sera la Place du Marché de Sint-Niklaas. Les frais de participation s’élèvent à 5 euros par personne et seront intégralement versés à ‘Kom op tegen Kanker’.

Comment participer ? Inscrivez-vous chez l’un des concessionnaires BMW Motorrad participants (uniquement en Flandre) entre 10 h et 12 h. Vous recevrez une tasse de café, ainsi que le roadbook. Chaque point de départ rejoint la charmante ville de Sint-Niklaas, après un parcours à moto d’environ deux heures sur de jolies routes.

A votre arrivée sur la Place du Marché, vous recevrez un petit cadeau de bienvenue dans une ambiance conviviale conforme aux rencontres entre motards.

De nombreuses célébrités seront également présentes pour recevoir les chèques des sociétés et des associations participantes. www.bmw-motorrad.be - http://charity.be.msn.com/daddysontour

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BOZAR Da Van Dyck a Bellotto: honneur aux maîtres flamands et italiens

© Galleria Sabauda

News 1/2009

Le Palais des Beaux-Arts met, ce printemps, l’Italie à En marge de l’exposition, le Palais accueillera d’autres l’honneur et, plus précisément, Turin, la trépidante et trésors d’Italie : une monumentale installation de l’artiste surprenante ville d’Italie du Nord. contemporain Maurizio Cattelan et l’exposition photoL’un des moments forts de ce ‘printemps italien-turinois’ graphique United Artists of Italy. Et pour ceux qui en est l’exposition ‘Da Van Dyck a Bellotto’, qui court jusvoudraient encore davantage, Bozar proposera égalequ’au 24 mai. Cette exposition est le fruit d’un partenament, pendant cette saison italienne, de la danse, du riat unique entre le Palais des Beaux-Arts, la Vlaamse théâtre, de la littérature, des films, de la gastronomie et Kunstcollectie et la Galleria Sabauda de Turin, hôte de la du jazz en provenance de Turin.

Van Dyck magnifique collection de peintures de la Cour de Savoie. Antoon Le prince Thomas de Savoie-Carigna Cette collaboration exceptionnelle permet d’admirer, Profitez d’une réduction de 25 % (*) sur le ticket chez nous, des chefs-d’œuvre des maîtres flamands Jan Bruegel de d’entrée de l’exposition ‘Da Van Dyck a Bellotto’. Pour le proVelours, Pierre Paul Rubens, Antoon van Dyck et des maîtres italiens de gramme complet de l’exposition – qui court jusqu’au 24 mai 2009 la même période, s’étalant du 15e au 18e siècle. L’exposition présentera – et du ‘printemps italien-turinois’, surfez sur www.bozar.be www.bozar.be notamment deux Rubens pour la première fois exposés en Belgique, une Info et tickets: 02 507 82 00. salle entièrement dédiée à la peinture d’inspiration caravagesque, deux (*) Sur présentation de votre carte BMW Mobility Card (ou BMW Service Card) au moment de l’achat superbes manuscrits enluminés provenant de la Bibliothèque Royale de des places. Cette réduction ne concerne que les événements mentionnés dans cet article. Elle n’est valable que sur le prix plein et n’est pas cumulable Belgique et un ensemble de tapisseries bruxelloises de grande valeur.

Colmar-Berg Apprendre à rouler mieux En collaboration avec la Concession Arnold Kontz, BMW Belux a mis une nouvelle BMW Série 1 à disposition du Centre de Formation pour Conducteurs de Colmar-Berg au Grand-Duché de Luxembourg. Le centre, qui a ouvert ses portes en 1996, organise jus-

qu’à 5 cours par jour et accueille 10 000 automobilistes par an. La BMW Série 1 est équipée d’ABS et du Dynamic Stability Control qui permettent de démontrer, sur circuit, toute l’utilité de ces systèmes d’aide à la conduite.

La technologie BMW EfficientDynamics est également expliquée en détails dans le cadre de la sensibilisation à une conduite plus économique et ecologique. pour plus d’informations: www.cfc.lu

P. Emontspool Un service exemplaire à Eupen comme à Malmédy Le nom d’Emontspool n’est pas inconnu chez BMW. En 1999, Patrick Emontspool ouvrait une concession BMW à Eupen, la capitale de la Communauté germanophone de notre pays. Pour mieux desservir le sud de la région, Patrick Emontspool a décidé d’ouvrir également une filiale à Malmédy.

Son inauguration officielle a eu lieu le 10 avril 2008, en présence de 500 invités, dont Monsieur Philippe Dehennin et la majorité de la direction de BMW Group Belux.

L’architecture du complexe est entièrement conforme aux normes de Leipzig.

Outre la vente de voitures neuves, la concession BMW Emontspool de Malmédy vous propose un vaste choix de voitures d’occasion de 8

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qualité BMW Premium Selection, l’entretien et la réparation de votre BMW et un atelier de carrosserie. Naturellement, l’équipe de Malmédy affiche la motivation et le professionnalisme propres aux équipes BMW, en ne visant rien moins que l’excellence.

P. Emontspool s.a.

Route de Waimes 117 4960 Malmédy Tél. 080 67 02 50 info@emontspool.net.bmw.be www.emontspool.bmw.be

BMW, tant sur le plan des matériaux que des couleurs et de l’aménagement. Tous les espaces sont inondés de lumière, grâce à une agréable transparence de la façade.

On y trouve notamment un vaste show-room, une réception Drive-in, un business lounge, un car-wash, une boutique d’articles lifestyle, etc.

Grâce à cette nouvelle et élégante infrastructure, la concession BMW Depotter pourra répondre encore mieux à l’évolution et au développement permanent des automobiles BMW pour mieux vous servir.

Concession Depotter

Depotter et son équipe ont récemment fait construire un tout nouveau bâtiment afin de servir mieux encore leurs clients. Le complexe est situé à Meslin-l’Evêque, près de Ath. L’édifice a été dessiné par l’architecte Thierry Martin, avec lequel BMW collabore depuis plusieurs années. L’ensemble du bâtiment répond parfaitement aux normes strictes de

Efficacité et transparence Depuis plus de quatre décennies, la concession BMW Depotter est synonyme de compétence technique et de sérieux, des qualités prisées par la marque bavaroise. Anne-Sophie

BMW Hydrogen 7 ‘Testée et approuvée’ par Alain Hubert Christian Lambert, Directeur des Ventes de BMW Belux, a récemment remis les clés d’une BMW Hydrogen 7 à Alain Hubert, directeur de l’International Polar Foundation. L’explorateur et scientifique Alain Hubert dirige, depuis novembre 2008, la station polaire belge Princess Elisabeth Antarctica. Avant son départ, il a donc pu essayer et évaluer la BMW Hydrogen 7 et se déplacer sans émettre de CO2.

Plusieurs personnalités belges, notamment Thomas Leysen et Patricia

G&A Racing

En Coupe d’Europe GT4, Guino Kenis, le gérant de la concession G&A Motors, a terminé le championnat à une très belle troisième place, avec deux victoires au volant de sa BMW Z4 Coupé. G&A Motors avait, par ailleurs, aligné plusieurs BMW Z4 en championnat d’Europe.

Johnny Loix

La concession BMW G&A Motors possède également un département course, G&A Racing, spécialisé dans les BMW de compétition. La saison dernière, G&A Racing a pris part à la Coupe d’Europe GT4 ainsi qu’à la Coupe d’Europe de Rallycross, avec de brillants résultats à la clé.

La plus belle victoire est venue en Rallycross où G&A Racing a décroché le titre européen.

Au volant de sa BMW 120i, notre jeune compatriote Michaël De Keersmaecker a connu son deuxième sacre consécutif. Au cours

www.depotter.bmw.be

Ceysens, ont déjà testé pendant plusieurs mois la BMW 7 Hydrogen. Les voitures peuvent refaire le plein d’hydrogène liquide à la station Total de la E19, à Ruisbroek.

De tous les grands constructeurs automobiles, BMW Group est un de ceux qui s’investissent le plus dans la mobilité durable. La marque prend ses responsabilités par le biais de la technologie BMW EfficientDynamics, disponible sur tous les modèles actuels. En 2008, BMW a vendu environ un million de voitures dotées de la technologie EfficientDynamics.

En comparaison avec 2006, cela représente une économie de 150 millions de litres de carburant, soit 373 000 tonnes de CO2 en moins.

d’une saison très disputée, le pilote BMW a engrangé une série de victoires. Le titre lui était acquis bien avant la dernière épreuve. La BMW 120i repose notamment sur la technologie qui a déjà propulsé BMW à maintes reprises en tête du championnat WTCC.

Champion d’Europe de Rallycross au volant d’une BMW 120i

Depotter s.a.

Chaussée de Bruxelles 375 7822 Meslin-l’Evêque Tel. 068 65 71 48 info@depotter.net.bmw.be

Michaël De Keersmaecker au volant de sa BMW 120i.

Guino Kenis de G&A Racing et sa BMW Z4.

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Des matériaux nobles et un design élégant créent une atmosphère haut de gamme.

La sensation d’espace et de luxe est très nette, tout comme le profil de la voiture, particulièrement reconnaissable avec sa ligne de toit coupé pleine de dynamisme.

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BMW Concept Série 5 Gran Turismo

Elégant, confortable, spacieux Au Salon de l’automobile de Genève, BMW a dévoilé son BMW Concept Série 5 Gran Turismo.

Ce concept, en passe d’être produit, a la ligne de toit d’un Coupé. La voiture associe les caractéristiques d’une GT stylée à l’ambiance luxueuse d’une limousine et à la polyvalence d’un Sports Activity Vehicle moderne.

Le conducteur et les passagers jouissent d’un vaste espace, baigné de lumière, grâce au toit panoramique.

L’intérieur offre à tous le plaisir du luxe et, même à l’arrière, les passagers voyagent dans le plus grand confort.

Les deux places assises arrière sont réglables et l’espace pour les jambes égale celui d’une grande limousine.

Un détail plein de raffinement : le hayon arrière s’ouvre en deux parties. Ce qui permet de n’ouvrir, par exemple, que la partie inférieure afin de garder les passagers à l’abri des variations de température, des nuiwww.bmw.be/5GranTurismo - www.bmw.lu/5GranTurismo sances sonores ou de l’air entrant.

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Texte Steffan Heuer Photos Simon Puschmann

La nouvelle BMW Z4

Un artiste, cinq couleurs et la nouvelle BMW Z4 Pour la première mondiale de la nouvelle BMW Z4, Robin Rhode, artiste performeur sud-africain, a imaginé une mise en scène inédite. Entre ses mains, le roadster devient un pinceau de 300 chevaux.

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Robin Rhode devant son carnet de croquis. Installé sur une plateforme élévatrice, l’artiste urbain surveille les figures qu’un cascadeur au volant de la BMW Z4 trace, en suivant ses instructions,

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sur une toile de 2000 mètres carrés.

En bas à gauche : concertation entre l’artiste et le réalisateur Jake Scott qui tourne un spot publicitaire sur la naissance de l’œuvre.

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Il fait sombre dans le hall 1 des studios Downey, dans le sud de Los Angeles. Un projecteur suspendu au plafond projette des dessins abstraits sur le sol de l’ancien hangar d’aviation. Courbes, circonférences et droites s’entrecroisent en un labyrinthe qui change sans cesse. Au lieu de musique, le public perçoit le grondement d’un moteur. Dans la pénombre, une BMW Z4 Roadster décrit des cercles invisibles autour de la projection avant de surgir brusquement en pleine lumière. Fin de l’ouverture.

Peu après, trente ballons éclairants s’allument révélant un spectacle unique : équipé au niveau des roues de buses de pulvérisation pilotées par ordinateur, le roadster roule sur un grand panneau de fibres blanc de 2000 mètres carrés. Une automobile en guise de pinceau, l’outil est original pour un peintre. La BMW Z4 est conduite par un cascadeur, mais l’impulsion créatrice vient du performeur Robin Rhode (32 ans).

Le Sud-Africain domine l’espace, installé sur une plateforme élévatrice. Il tient entre ses mains une banale télécommande pour petits avions téléguidés. Trace après trace, tour de roue après tour de roue, Rhode étale du bleu

vif sur la gigantesque toile. Avec le levier gauche, il règle le débit de la peinture et, avec le droit, il active les buses sur les roues avant ou arrière. Au bout de 20 minutes, le réservoir de six litres de peinture, placé dans le coffre de la voiture, est vide. Le réalisateur Jake Scott, qui se trouve aux côtés de Rhode, décide d’un arrêt au stand pour faire le plein. Ils ne disposent que de cette unique chance, l’un pour créer cette œuvre peu ordinaire, l’autre pour en filmer la réalisation, il leur faut donc en gérer le déroulement avec soin. Cette performance spontanée a nécessité plus d’un an de préparation. Aujourd’hui, l’immense fresque prend forme, en une seule journée,

avec l’aide d’une centaine de professionnels d’Hollywood. « Nous allons tenter l’impossible, a expliqué Scott à l’équipe, la veille, créer une œuvre d’art tout en tournant un film publicitaire pour une nouvelle voiture. » Fils du célèbre réalisateur Ridley Scott, l’homme (43 ans) s’est fait un nom avec des vidéos musicales pour U2, R.E.M. et Radiohead, et il vient d’achever le tournage de son film, Welcome to the Rileys, à la Nouvelle-Orléans. Il discute à présent avec Rhode pour déterminer dans quel ordre les couleurs bleu, jaune, vert, gris ou rouge doivent être pulvérisées sur la toile. Penchés sur une planche à dessins, ils testent avec des

marqueurs de couleur la chorégraphie que vont suivre la voiture, le conducteur et les caméras. « La précision mécanique de la conduite doit ne faire qu’un avec l’acte organique de la peinture, déclare Scott. Pour y parvenir, le mieux est de nous concentrer sur la voiture, de suivre ses évolutions tout en puissance et en souplesse. La machine est l’orchestre et Robin, le chef d’orchestre. » Scott a mis en place un dispositif de caméras comme on n’en voit d’habitude que sur les stades. 39 caméras couvrent la totalité de la gigantesque toile. S’y ajoutent des caméras spéciales pour les accélérés, des caméras à bord de la BMW Z4, et des micros à l’intérieur et à l’extérieur de la voiture. Chaque ligne droite bleue, chaque demi-tour vert et chaque sprint rouge est filmé sous différents angles.

Le montage permettra d’ajouter à la peinture des dimensions multimédia. « La couleur, le mouvement, les bruits du moteur et la musique, du classique au hiphop, je vois cette œuvre comme une rue plei-

ne de vie », déclare le réalisateur. La performance sera diffusée dans le monde entier sous forme de spots publicitaires pour la nouvelle BMW Z4, avec comme slogan « Expression of Joy ». Des films plus longs seront projetés dans les salons automobiles et sur Internet. Des morceaux de la toile et les deux voitures ayant servi à réaliser l’œuvre seront exposés sur différents sites BMW, de l’Australie à Berlin. Mais avant d’en arriver là, il y a encore quelque 160 litres de peinture à étaler.

Au bord de la toile blanche, l’art sent l’essence et l’acrylique. Les buses sifflent dès que Rhode actionne un levier – un brouillard de pigments enveloppe les pneus lorsqu’ils laissent leurs empreintes sur le panneau de fibres. Le projet serait impensable sans le couple et la maniabilité de la BMW Z4 et sans le savoir-faire de Sean Graham, le cascadeur assis au volant.

Celui-ci se livre habituellement à des coursespoursuites dans des films tels que Braquage à l‘Italienne (The Italian Job) ou Spiderman.

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La réalisation d’un chef-d’œuvre hors du commun.

Avec, dans le rôle principal, la nouvelle BMW Z4, sous la réalisation de Jake Scott: « La couleur, le mouvement, les bruits du moteur et la musique, du classique au hip-hop, je vois cette œuvre comme une rue pleine de vie. »

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Aujourd’hui, il lui faut suivre l’inspiration de l’artiste par le biais d’un talkie-walkie et décrire des trajectoires précises.

Robin Rhode était l’artiste idéal pour réaliser ce projet. Né en 1976 au Cap, il n’a pas tardé à se faire remarquer sur le plan international par des œuvres inspirées du street art et du graffiti.

L’environnement urbain, un trottoir, un mur ou un terrain de basket, tout lui sert de toile pour créer un univers imaginaire dans lequel il aime à se fondre.

Ses travaux évoquent souvent l’automobile en tant que symbole de la société moderne. Même pour un artiste de la trempe de Rhode qui a exposé en solo de New York à Tokyo en passant par Londres, utiliser un roadster comme pinceau télécommandé est une expérience radicalement nouvelle : « Nous avons d’un côté la voiture et le dynamisme qui s’exprime à travers ses formes et sa ligne. De l’autre, il y a son mouvement sur la toile. L’impression esthétique laissée par la Z4 devient une composante naturelle de ma peinture. » La performance de Rhode à Los Angeles suscite un vif intérêt. Tandis qu’il orchestre sa gigantesque fresque, Dennis Hopper, légende d’Hollywood, suit l’artiste au téléobjectif. Il réalise un portrait de Rhode pour une revue américaine. Ce dernier est tantôt sur la plateforme élévatrice, tantôt sur la toile même, où il saute en chaussettes entre les traces de pneus pour aller déverser des litres de peinture aux endroits critiques. Durant une pause du tournage, Hopper montre à l’artiste et au réalisateur ses photos numériques sur un grand écran. La synergie entre les protagonistes, dont les visages reflètent la cogitation créative, le savoirfaire artistique et le plaisir à l’état pur, et le brouillard de couleurs qui entoure le roadster envoûtent l’artiste et le réalisateur. « Bon sang ! Ça a vraiment de l’allure ! », lâche Rhode. Il reprend en main la télécommande. Pour achever la plus grande œuvre qu’il ait réalisée jusqu’à présent, il lui faut encore de toute urgence vider un réservoir de gris. www.bmw.be/z4 - www.bmw.lu/z4

bmw-web.tv/z4joy La naissance d’une œuvre d’exception.

Le film de Jake Scott. Mot-clé pour la recherche : « Expression of Joy ».

Jouez à l’artiste sur votre portable Configurez votre Z4 et créez votre œuvre personnelle en laissant des traces de pneus multicolores.

Ce jeu gratuit est disponible sur www.bmw.com/z4 ou sur iTunes d’Apple.

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La nouvelle BMW Z4 transformée en outil de peintre. Des buses télécommandées projettent de la peinture sur les pneus qui l’étalent sur la toile comme autant de coups de pinceau.

Le craie-a(c)teur Les œuvres de Robin Rhode, artiste performeur, tiennent tout à la fois du dessin, de la photographie, de la vidéo et du happening.

Entretien Steffan Heuer

Monsieur Rhode, vous êtes connu pour faire de l’art urbain avec de la craie, des graffiti et toutes sortes de matériaux du quotidien. A quel point le fait de se servir d’une automobile en guise de pinceau a-t-elle été une expérience inhabituelle pour vous ?

Pas tant que ça. J’ai toujours travaillé avec des véhicules et en faisant allusion à l’automobile, à son importance sociale, à sa valeur dans la hiérarchie humaine et dans l’économie, à ses formes.

Pouvez-vous nous expliquer en quoi consiste le défi de réaliser une chorégraphie au volant d’une BMW sur une toile gigantesque ?

Ce projet présente plusieurs aspects très intéressants. Nous avons d’un côté la voiture et le dynamisme qui s’exprime à travers sa forme et ses lignes. De l’autre, il y a la toile et le mouvement en soi. Le style de la voiture et son effet esthétique participent, eux, à l’animation de mon tableau. Tout est donc en parfait accord.

Robin Rhode est né en 1976 au Cap, Afrique du Sud, et a grandi à Johannesburg. Il a suivi des études d’arts plastiques au Witwatersrand Technikon, puis de cinéma à la South African School of Film, Television and Dramatic Arts. La rue reste jusqu’à ce jour sa source d’inspiration et le lieu où il réalise ses performances artistiques. Qu’il s’agisse d’un mur à Berlin ou de l’asphalte à Johannesburg, Rhode s’approprie temporairement des surfaces de l’espace public, y dessine à la craie des objets avec lesquels il entre ensuite en interaction.

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Comment ressentez-vous l’opposition qu’il y a entre la machine envisagée en tant qu’outil, d’un côté, et vous-même qui développez une vision humaine, de l’autre ?

J’aime la dichotomie entre la mécanique de l’automobile et le processus organique de la peinture. J’ai l’opportunité de placer la voiture, une mécanique synonyme de haute précision et d’un grand attrait esthétique, dans différents environnements. La toile dans le hangar évoque des images faisant penser à des paysages autonomes, aussi bien de nature urbaine que rurale.

En fin de compte, précision, mouvement et émotion se fondent en un tout – rien d’étonnant à ce que BMW parle de « plaisir de conduire ».

Pouvez-vous nous expliquer comment vous vous êtes préparé à ce projet ?

Contrairement à ce que l’on pourrait penser de prime abord, ce ne sont pas Jackson Pollock et l’expressionnisme abstrait américain qui m’ont inspiré, mais principalement l’histoire de BMW. Non seulement l’histoire de l’entreprise en soi, mais aussi son engagement pour l’art. Là, je suis

tombé sur les tableaux BMW de Gerhard Richter, des peintures abstraites qu’il avait réalisées au début des années 70 pour le siège de BMW à Munich. La série de Richter intitulée Rot – Gelb – Blau m’a servi d’inspiration, sur un mode presque nostalgique. Dans ses œuvres, Richter marie l’organique et le mécanique, et ses travaux influencent le caractère du présent projet. Nous ne pouvons maîtriser la mécanique que jusqu’à un certain point. C’est pourquoi nous devons accepter une perte volontaire de contrôle lorsque nous peignons. Cela aboutit à un certain compromis et c’est justement ce compromis que le projet essaie de mettre en évidence.

Le travail sur une toile gigantesque et la nature semi-permanente de votre œuvre sont également inhabituels. Etes-vous séduit par le fait que vous ne puissiez plus rien changer à l’œuvre une fois celle-ci achevée ?

Cette manière de procéder est un vrai travail d’artiste performeur. Il n’y a pas de tour d’essai.

Sur mon tableau, je ne peux apporter aucun correctif ni retirer la moindre ligne. Ce n’est pas un chef-d’œuvre et cela n’en a pas non plus l’ambition. C’est pourquoi je ne souhaite pas non plus surévaluer cette œuvre. Elle a malgré tout aussi un aspect permanent : la toile sera filmée et photographiée dans son intégralité à Los Angeles, les supports servant à leur tour de modèles à des miniatures abstraites agrandies. Gerhard Richter a d’ailleurs fait de même avec ses tableaux BMW. Les macro-agrandissements donnent naissance à un tout nouveau langage esthétique.

Vous venez d’Afrique du Sud, mais vivez depuis quelques années déjà à Berlin, ville réputée pour la vitalité de sa scène artistique. Etes-vous heureux de vivre dans la capitale allemande ?

La vie ici est fantastique et très dynamique. En fait, je suis tombé amoureux d’une belle Allemande. Entre-temps nous nous sommes fiancés et j’ai un fils de six ans. J’aime beaucoup travailler à Berlin. Cette ville possède une atmosphère propice à la création et une abondance de perspectives historiques : les débuts de l’expressionnisme, l’art d’avant-garde, ou encore le cinéma d’abstraction. J’ai été particulièrement conquis par Kandinsky et les autres artistes du mouvement « Der Blauer Reiter ». www.perryrubenstein.com/artists/robin-rhode

6 cylindres, 2 sièges, 1 toit (rétractable) Capot moteur allongé, position assise basse et très reculée, porte-à-faux courts : voilà comment doit se présenter le roadster idéal. Impossible de deviner que l’arrière de la nouvelle BMW Z4 découverte dissimule un toit rigide complet. Cette deux places sport est sans doute la première à présenter des proportions aussi authentiquement roadster malgré un toit rigide en aluminium. En deux parties, ce dernier s’ouvre et se ferme automatiquement en à peine 20 secondes sur pression d’un bouton. La capacité du coffre varie entre 180 litres avec toit ouvert et 310 litres avec toit fermé.

Dans l’habitacle élégant, l’œil est flatté par les surfaces décoratives généreuses, les matériaux haut de gamme et la finition parfaite. Le design de la console centrale et du tableau de bord délivre un message clair : le plus important, ici, c’est le conducteur. Les nombreux vide-poches et espaces de rangement de la BMW Z4 sont inédits sur un roadster.

La commande Dynamic Driving Control offre trois modes de fonctionnement – Normal, Sport et Sport+ – faisant varier en conséquence la courbe de réponse de l’accélérateur, la gestion moteur et les réglages du DSC. La BMW Z4 est proposée dans un premier temps avec trois moteurs six cylindres en ligne de 204 ch sur la BMW Z4 sDrive23i, 258 ch sur la BMW sDrive30i et 306 ch sur la BMW sDrive35i. La version la plus puissante peut être commandée avec une boîte de vitesses sport 7 rapports à double embrayage permettant des passages de rapport sans interruption sensible du couple. En plus d’améliorer considérablement les accélérations, cela permet à la BMW Z4 sDrive35i d’être quasiment imbattable en termes de consommation : difficile de trouver une autre automobile de 300 ch qui ne consomme que 9 litres aux 100 en moyenne. www.bmw.be/Z4 - www.bmw.lu/z4

La nouvelle BMW Série 7

Postproduction : Andreas Doria

bmw-web.tv/z4 Désigners, ingénieurs et chef de produit présentent la nouvelle BMW Z4.

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BMW Z4

sDrive23i

sDrive30i

sDrive35i

Caractéristiques techniques Nombre de cylindres Cylindrée cm3 Puissance ch (kW)

6

6

6

2497

2996

2979 306/225

204/150

258/190

Couple maxi Nm

250

310

400

Vitesse maxi km/h

242

250*

250*

Accélération 0 à 100 km/h s

6,6(7,3)

Consommation l/100 km/h (cycle mixte) 8,5(8,2) Emissions de CO2 g/km () Avec boite automatique

199(192) *Autolimitée électroniquement

5,8(6,1)

5,2(5,1**)

8,5(8,3)

9,4(9,0**)

199(195)

219(210**)

**Boite automatique Sport 7 rapports

Toit rigide rétractable

Boite Sport 7 rapports

Dynamic Driving Control

BMW Belux Portrait Concept Event Motorrad Passion Sécurité Golf Active Life Techno Talk

Edouard Vermeulen

L’élégance de l’optimisme Edouard Vermeulen, l’homme derrière Natan, est avare de ses mots. Ses vêtements parlent pour lui.

Sobres et intemporels, mais plus actuels que jamais. Pour nombre de Belges, il est le couturier de la Famille royale. Son talent s’exprime toutefois de bien d’autres manières. Portrait d’un cinquantenaire qui n’hésite pas à se remettre en question.

Texte

Photos

Veerle Windels

Thomas De Boever

Edouard Vermeulen : « Chaque pièce de vêtement doit porter un peu de lumière en elle. La fantaisie doit avoir sa place, même s’il ne faut jamais perdre de vue les femmes qui porteront nos vêtements. »

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Au mur, quelques jolis nuanciers, présentant les coloris de l’été à venir.

Au sol, devant son bureau, divers modèles de chaussures et des échantillons de somptueuses étoffes. A nouveau, beaucoup de couleurs, du vert anis au jaune vif, en passant par l’orange et le rose. Cette profusion de couleurs surprend d’ailleurs dès le rez-de-chaussée, dans la boutique, et est la bienvenue au milieu des jours ternes, précédant l’arrivée du printemps. « La couleur a un impact inimaginable », confie Edouard Vermeulen. « Dès que les clientes pénètrent dans la boutique, elles se remettent à respirer. Cette parade de couleurs leur donne de l’énergie. Et notre rôle est de continuer à les surprendre, même si le vêtement acheté en fin de compte est noir ou gris. » Son diplôme d’architecte d’intérieur en poche, Edouard Vermeulen ouvrit son premier bureau avenue Louise à Bruxelles. Dans un bâtiment qui appartenait auparavant à la maison de couture Natan. L’architecture et la mode ayant de nombreux points communs, la reconversion était presque immanquable : Edouard Vermeulen créa rapidement Natan Couture.

Aujourd’hui, un quart de siècle plus tard, la marque Natan est connue en Belgique et aux Pays-Bas. Même les anti-royalistes la connaissent pour les somptueuses robes qu’il a dessinées pour les princesses des Familles royales belge et hollandaise. Les vrais fans associeront Natan à un style propre et net, sans fioritures. Un look intemporel et sobre. Il en ira de même pour l’été 2009. De beaux tailleurs coupés dans des tissus de première qualité, des robes droites, sans manches, dans un imprimé pétillant, des combinaisons festives mais aussi des tenues de

tous les jours. De préférence dans des couleurs osées. Fuchsia et vert vif, une palette du bleu au mauve, et jaune citron. Impossible de trouver coloris plus explosifs. « Chaque pièce de vêtement doit porter un peu de lumière en elle », explique Edouard Vermeulen. « La fantaisie doit avoir sa place, même s’il ne faut jamais perdre de vue les femmes qui porteront nos vêtements. Je ne suis jamais allé jusqu’à l’extrême. Je n’ai jamais pensé seulement et exclusivement aux tailles mannequins. Ma clientèle le sait et m’apprécie précisément pour cela. Je me pose toujours la même question. Qui va porter ce vêtement ? Quand, où et comment ? Il n’y a pas d’autres manières de travailler. »

Rendre la femme belle Edouard Vermeulen ne se considère pas comme styliste. « Je suis un couturier qui essaie de répondre aux attentes de sa clientèle en créant une garde-robe portable tous les jours », dit-il. Il ne tient pas non plus à être en phase avec la fine fleur de la mode anversoise, même s’il côtoie nombre de grands noms de ce monde-là. Ses collections ne sont diffusées à l’étranger qu’au compte-gouttes – une seule boutique à Paris – et, la plupart du temps, Edouard Vermeulen préfère s’en tenir à ses fidèles clients belges. Il n’a jamais défilé à Paris.

Pas même en Belgique. « Je veux rendre les femmes encore plus belles. Les habiller, pas les travestir », a-t-il coutume d’affirmer.

Il est depuis longtemps bien plus que le couturier attitré de la Princesse Mathilde et de la Princesse Maxima des Pays-Bas. Certes, il dessine plus souvent une robe de mariée originale, y compris pour de jeunes roturières, mais

Edouard Vermeulen : ÂŤ Je veux rendre les femmes encore plus belles. Les habiller, pas les travestir. Âť

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BMW Belux Portrait Concept Event Motorrad Passion Sécurité Golf Active Life Techno Talk

La maison Natan n’a jamais été aussi florissante et Edouard Vermeulen regarde donc l’avenir avec optimisme : « Dans mes boutiques, je veux garder un très haut niveau. C’est notre carte de visite. »

il travaille aussi depuis de nombreuses années sur plusieurs autres collections dans lesquelles il imprime à chaque fois son style. Ainsi, les pièces en tricot de Natan Maille sont extrêmement recherchées dans le secteur et largement diffusées dans diverses boutiques multi-marques très cotées. En outre, on dénombre aussi les lignes Edouard Vermeulen (la ligne couture qui n’est proposée qu’à la boutique avenue Louise), Natan Collection (le prêt-à-porter), Natan+ (la ligne grandes tailles) et Natan Edition 5 (la ligne la plus trendy). Peut-être un peu trop compliquée pour les fidèles clientes ? « C’est la raison pour laquelle nous allons rapprocher ces collections », explique Edouard Vermeulen. «Natan+ vole désormais de ses propres ailes et se développe bien. Je souhaite également conserver une distinction entre la ligne couture et la ligne de prêt-à-porter. Mais, il n’en faut pas plus.

Sinon, les arbres cachent la forêt. Nous sommes d’ailleurs arrivés dans une période où il vaut mieux clarifier son message. » 30

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Revoir ses priorités Ce segment du marché est-il, lui aussi, touché par la crise ? « Le consommateur lambda va certainement ressentir durement la crise », constate Edouard Vermeulen. « S’en sortir avec un petit salaire n’est pas évident. Mais la crise offre à tous l’opportunité de revoir ses priorités de fond en comble. Nous aussi, nous allons peut-être nous remettre en question et faire le grand nettoyage. La période actuelle est passionnante parce que nous devons nous préparer dès aujourd’hui à un nouveau départ. Je crois à une sorte de New Age, de nouvelle ère, qui s’ouvrira après la crise. J’aurais aimé, à ce titre, être dix ans plus jeune, pour pouvoir en profiter plus pleinement. » Edouard Vermeulen regarde donc l’avenir avec optimisme. Rien de surprenant. L’homme s’attelle à la tâche depuis des années. Travailler dur et surmonter les obstacles. La maison Natan n’a jamais été aussi florissante – grâce à ses propres boutiques disséminées dans toute la

Belgique et qui rencontrent un vif succès. Une nouvelle boutique devrait d’ailleurs s’ouvrir prochainement à Roulers et à Courtrai. « J’aimerais optimiser notre propre réseau de distribution et le renforcer », explique Vermeulen. « Dans mes boutiques, je veux garder un très haut niveau.

C’est notre carte de visite. Je suis donc partisan d’un intérieur chaleureux avec, ici et là, un accent couture. De jolis rideaux, des fauteuils capitonnés, exactement comme dans une maison de couture. Et pourquoi à Roulers et à Courtrai ?

C’est une région qui déborde d’énergie. Moimême, je suis originaire d’Ypres, où je me rends encore régulièrement pour saluer ma famille.

Maintenant, je vis et je travaille à Bruxelles. » Et d’ajouter en souriant : « Il règne, en Flandre, un dynamisme à nul autre pareil. »

De jeunes seniors Edouard Vermeulen sait qu’en 25 ans, beaucoup de choses ont changé. Certaines maisons ont vu le jour, d’autres ont disparu.

« Je suis convaincu qu’un jour prochain, le savoir-faire sera à nouveau valorisé, le fait main aura à nouveau la cote et nous reviendrons aux vraies et nobles valeurs. »

D’autres encore n’ont duré qu’une saison. La mode évolue désormais à la vitesse de l’éclair.

La femme a également changé sa vision de la mode et ses comportements d’achat.

Edouard Vermeulen : « Aujourd’hui, quel que soit leur âge, les femmes s’habillent partout.

Elles assortissent mes vêtements avec des pièces bon marché achetées dans de grandes chaînes de distribution. C’est un constat, avec lequel nous devons apprendre à vivre. Mais, je suis convaincu qu’un jour prochain, le savoir-faire sera à nouveau valorisé, le fait main aura à nouveau la cote et nous reviendrons aux vraies et nobles valeurs. Ces dernières années, il y a eu dans la mode une fascination extrême pour la jeunesse. A tort.

Une mère ne doit pas essayer de rivaliser avec sa fille. Mais elle ne doit pas pour autant renoncer à être belle. Elle doit pouvoir trouver des vêtements qui la mettent encore en valeur. En tant que maisons de mode, nous devons respecter toutes les tranches d’âge.

Les femmes de septante ans sont, aujourd’hui, plus jeunes que jamais. » Edouard Vermeulen a, lui-même, fêté ses cinquante ans il y a peu. Un cap qu’il a eu du mal à passer mais qu’il accepte pleinement aujourd’hui. L’âge, c’est dans la tête, affirmet-il. C’est la raison pour laquelle il consacre davantage de temps, dernièrement, aux choses importantes dans la vie : les amis, la santé, la famille. Il fait plus de sport, mange sainement et a même un coach personnel, avec lequel il a entrepris un travail sur luimême. Une belle découverte. « Beaucoup de choses dépendent de la faculté que l’on a de lâcher prise », explique Vermeulen. « Se libérer, pour faire de la place à des choses nettement plus passionnantes. Il ne m’est pas nécessaire d’être présent à chaque fête. Je n’ai pas absolument besoin d’une ambiance jet-set dans ma vie. Cette prise de conscience m’a permis d’ouvrir d’autres portes. Vers mon âme, vers le futur. » BMWMagazine

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Texte Julia Grosse Photos Kai-Uwe Gundlach

La nouvelle BMW Série 7

Un profil de leader Le nouveau vaisseau amiral de la marque allemande, la nouvelle BMW Série 7, demeure la référence en matière de style, de luxe et d’expérience de conduite.

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La BMW 750Li en robe « Kaschmirsilber » dans les rues de Londres.

Aucun autre modèle du segment ne combine avec une telle harmonie les exigences de confort (maximal) et de sportivité (quasi illimitée).

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La construction allégée intelligente permet une réduction du poids et de la consommation et un plaisir de conduire accru.

Les composants stratégiques de la carrosserie – toit, capot moteur, portes et côtés de caisse – ont été fabriqués en aluminium.

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L e t ra i n r o u l a n t d e l a n o u v e l l e B M W S é r i e 7 a é t é e n t i è r e m e n t r e p e n s é .

Il est désormais en alliage léger et doté d’amortisseurs réglables en continu. Autre nouveauté : l’interaction de roues arrière directrices avec la direction active à l’avant. Cette option garantit une meilleure stabilité directionnelle en conduite rapide.

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La technique La nouvelle BMW Série 7 redéfinit la berline de prestige. L’alliance d’innovations technologiques et de moteurs dernière génération débouche sur une expérience de conduite inédite. Aucun autre modèle du segment ne combine avec une telle harmonie les exigences de confort (maximal) et de sportivité (quasi illimitée).

Les motorisations proposées – les plus puissantes et les plus sobres de leur catégorie – illustrent magistralement l’efficacité du programme BMW EfficientDynamics pour réduire les émissions tout en accentuant encore le plaisir de conduire. Le moteur V8 essence avec Twin Turbo de la BMW 750i développe 407 ch, soit un niveau de puissance propre à un

BMW Série 7

730d/730Ld

740i/740Li

750i/750Li

6/diesel

6/essence

8/essence

2993

2979

4395

245 (180)*

326 (240)

407 (300)

Caractéristiques techniques Nbre de cylindres/carburant Cylindrée cm3 Puissance ch (kW) en t/min Couple Nm en t/min

540

450

600

Vitesse maximale sur circuit km/h

245

250

250

Accélération 0 à 100 km/h ( en s)

7,2/7,3

5,9/6,0

5,2/5,3

Consommation l/100 km/h (cycle mixte) 7,2/7,3

9,9/10,0

11,4/11,4

Emissions de CO2 g/km

232/235

266/266

192/194

Options : Lane Change Warning, Lane Departure Warning, BMW Night Vision, Speed Limit Information, disque dur pour systèmes audio et de navigation et un système BMW de divertissement à l’arrière. *disponible avec version 211 ch (155 kW) pour la BMW 730d.

douze cylindres mais avec une consommation nettement moindre. Idem pour le six cylindres en ligne essence de la BMW 740i qui, en puissance, se montre l’égal de bien des huit cylindres alors qu’il consomme évidemment moins de carburant. La même force se dégage du six cylindres en ligne diesel de la BMW 730d qui, malgré ses 245 ch et un couple de 540 Nm, ne consomme en moyenne que 7,2 litres aux 100 kilomètres.

Tous les carters moteur sont en aluminium, d’où une réduction du poids et de la consommation et un plaisir de conduire accru.

Le même principe de construction allégée intelligente s’applique aux composants stratégiques de la carrosserie : toit, capot moteur, portes et côtés de caisse en aluminium.

Les ingénieurs ont repensé de même le train roulant de la nouvelle BMW Série 7, désormais en alliage léger et doté d’amortisseurs réglables en continu. Autre nouveauté : l’interaction entre les roues arrière directrices et le train avant moteur. De quoi garantir une meilleure stabilité directionnelle en conduite rapide et, à petite et moyenne vitesses, une plus grande maniabilité. Ainsi, le diamètre de braquage est réduit de 70 centimètres, ce qui facilite les manœuvres en environnement urbain.

Terminons par quelques innovations stupéfiantes contribuant à renforcer la sécurité active : un système d’avertissement paneuropéen captant les panneaux de signalisation afin d’informer le conducteur de la vitesse maximale en vigueur : l’indicateur de limitation de vitesse ; un système de vision nocturne, le BMW Night Vision, qui détecte les piétons ou les animaux ; le système Lane Change Warning qui signale la présence d’objets dans l’angle mort et le Lane Departure Warning qui avertit le conducteur lorsque la voiture mord sur les lignes de marquage de la route. www.bmw.be - www.bmw.lu

Le design intérieur

Agréable à l’œil et au toucher Planche de bord habillée de fin cuir Nappa, « Controller » iDrive et sélecteur de boîte automatique. Pour les amateurs de musique, la BMW Série 7 se transforme en salle de concert sur roues avec le système Hi-Fi Professional en option.

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Seize haut-parleurs hautes performances offrent un rendu stéréophonique de premier ordre. Le vitrage Confort en verre feuilleté optimise le confort acoustique en isolant parfaitement de l’agitation et des bruits extérieurs.

Affichage en éveil Les affichages du tableau de bord après actionnement du bouton de démarrage

Affichage dormant A l’arrêt, l’affichage innovant à technologie « Black Panel » du tableau de bord présente une surface homogène d’un beau noir profond.

Un univers de bonheur Bienvenue à bord ou mieux encore : bienvenue chez vous ! La première impression ressentie à bord de la nouvelle BMW Série 7 est une impression de bien-être qui s’explique par la présence de matériaux haut de gamme, la finition remarquable et l’ergonomie parfaite. Tout respire ici le raffinement et l’élégance. Le souci du détail est perceptible jusqu’au bout des doigts.

Avant même de mettre le moteur en marche, la nouvelle BMW Série 7 séduit déjà par l’affichage innovant à technologie Black Panel du tableau de bord. A l’arrêt, il présente une surface homogène d’un beau noir profond. Seuls les cerclages, les graduations et les aiguilles des instruments sont visibles. Le système combine les avantages d’un affichage mécanique et électronique.

Ou le meilleur des deux mondes.

Tout dans l’aménagement intérieur de la nouvelle BMW Série 7 vous invite à profiter du plaisir de conduire et d’être conduit.

L’expérience se révèle fascinante pour tous les sens. Qu’il s’agisse de la fonction massage des sièges en cuir, de la régulation individuelle de la température et de la répartition d’air ou de l’habitabilité luxueuse dont jouissent le conducteur et les passagers.

Atmosphère, confort et équipement sont sans égal.

Une ambiance engageante Eclairage tamisé, sièges ventilés et massants, « Controller » iDrive pour la commande séparée des deux écrans : jamais l’arrière d’une automobile de luxe n’avait présenté un tel niveau de confort.

Cela vaut particulièrement pour les BMW 730 Ld, BMW 740Li et BMW 750Li. Ces limousines offrent 14 centimètres de plus en longueur qui bénéficient entièrement aux places arrière. Avec quelque 20 centimètres au niveau des genoux et 1 mètre de garde au toit, les BMW Série 7 version Limousine sont championnes du monde en matière d’habitabilité à l’arrière.

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Les systèmes d’aide à la conduite

Rappel à l’ordre L’affichage sur le tableau de bord aide le conducteur à rester dans sa voie.

Mise en garde Le Lane Change Warning signale, en faisant apparaître un triangle lumineux sur le rétroviseur extérieur, la présence d’un objet dans l’angle mort, évitant toute prise de risque lors d’un changement de voie.

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Dans le champ de vision Le Head-Up Display affiche la limitation de vitesse en vigueur, la vitesse en cours, celle du régulateur de vitesse, le Lane Departure Warning et les flèches directionnelles du système de navigation.

L’exaltation du plaisir

Po u r q u e r i e n n e vous échappe Une caméra logée dans le pare-chocs avant montre au conducteur ce qui se cache à droite et à gauche de l’intersection.

Grâce à une quantité inédite de systèmes intelligents, la nouvelle BMW Série 7 seconde la vigilance du conducteur sans lui ôter le plaisir de conduire. La sécurité de ce dernier, comme celle des passagers et des autres usagers, s’en trouve accrue.

La nouvelle BMW Série 7 démontre, si besoin en était encore, que la sécurité et le confort ont toujours été des chevaux de bataille de BMW. Armé de toute une série d’assistants inédits, le conducteur de la nouvelle BMW Série 7 bénéficie, en effet, d’une meilleure visibilité et roule de façon plus détendue. En cas de danger, les divers systèmes l’aident à rester maître de la situation.

Outre le Dynamic Stability Control (DSC), la suspension active ou la direction active (Integral Active Steering), la nouvelle BMW Série 7 offre de nombreuses nouveautés inédites.

L’une d’elles est le Lane Departure Warning qui avertit le conducteur de la nécessité d’une correction de trajectoire lorsque celui-ci quitte involontairement sa voie de circulation. La caméra du Lane Departure Warning repère également les limitations de vitesse – figurant sur les panneaux placés sur le bord ou au-dessus de la route. Le conducteur garde ainsi une bonne vision de la route et respecte les limitations de vitesse. La limitation prescrite sur la portion de

route considérée est affichée au tableau de bord ainsi que dans l’Head-Up Display si souhaité.

BMW est le premier et le seul constructeur à offrir l’affichage de la limitation de vitesse sur le pare-brise.

Side View est une caméra d’intersection qui permet de mieux voir les environs aux sorties et intersections à mauvaise visibilité. Deux caméras logées dans le pare-chocs avant balaient la gauche et la droite de la chaussée. Les cyclistes, par exemple, apparaissent sur le Control Display avant même de pouvoir être vus depuis la place du conducteur. La caméra de recul facilite, quant à elle, les manœuvres de stationnement.

Le Lane Change Warning signale, en faisant apparaître un triangle lumineux sur le boîtier du rétroviseur extérieur, la présence d’un véhicule dans l’angle mort ou d’un véhicule se rapprochant à grande vitesse. Si, malgré cette mise en garde, le conducteur enclenche son clignotant pour changer de bande, le triangle se met à clignoter et le volant à vibrer.

La nouvelle BMW Série 7 est également équipée du régulateur de vitesse Active Cruise Control avec fonction Stop and Go. Outre les fonctions d’un régulateur de vitesse classique, le système calcule en permanence la distance entre la voiture et les véhicules qui la précèdent et règle automatiquement la vitesse (éventuellement jusqu’à l’arrêt) afin de respecter une distance de sécurité préalablement choisie. Le conducteur peut interrompre à tout moment la fonction pour reprendre lui-même la pleine maîtrise de la voiture.

La nuit, les Adaptive Headlights avec distribution variable du faisceau éclairent également les virages mais le nec plus ultra est le système BMW Night Vision, en option. A l’aide d’une caméra infrarouge, ce système balaie une zone allant jusqu’à 300 mètres devant la voiture et restitue l’image sur le Control Display. Grâce à un marquage jaune sur le Control Display, les piétons et les cyclistes sont instantanément reconnus.

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L’Integral Active Steering

Avantage : changement de voie à partir de 80 km/h environ

Avantage : demi-tour dans une rue étroite

Avec Integral Active Steering Sans Integral Active Steering

3°

3°

Le train roulant de la nouvelle BMW Série 7 « pense » et garantit ainsi davantage de dynamisme et de confort. Malgré l’empattement long, la berline de luxe se conduit comme une voiture de sport, grâce notamment à l’Integral Active Steering.

4 roues directrices Dans une rue étroite et dans les demi-tours, la nouvelle BMW Série 7 avec Integral Active Steering est aussi maniable qu’une automobile nettement plus petite.

Dynamisme et confort « En Asie, en Russie, aux Etats-Unis et même en Europe, la nouvelle BMW Série 7 est souvent conduite par un chauffeur », déclare Heinz Krusche, responsable Dynamique de conduite – Evaluation de la conduite chez BMW Group. « Mais de nombreuses personnes ayant ainsi recours à un chauffeur en semaine se plaisent à prendre elles-mêmes le volant le week-end. Nous avons donc tenu à ce que la nouvelle BMW Série 7 puisse changer de caractère (d’extrêmement confortable à agile) sur simple actionnement d’un bouton. » Le Dynamic Driving Control permet, d’un doigt, de passer du mode CONFORT au mode SPORT en passant par le mode NORMAL et change ainsi radicalement le caractère du moteur, de la direction, du train roulant et du Dynamic Stability Control.

La nouvelle BMW Série 7 est en mesure de détecter et de corriger les instabilités de conduite en quelques millièmes de seconde.

Pour la première fois au monde, une automobile de série est équipée de 16 unités de commande qui communiquent entre elles en temps réel et de manière autonome. Le débit du système Flex-Ray est vingt fois supérieur à celui d’un système de bus conventionnel. Les amortisseurs envoient quelque 400 fois par seconde les données saisies à l’unité de commande du contrôle dynamique des amortisseurs (de série). La détente et la compression des amor-

tisseurs sont réglées en continu indépendamment l’une de l’autre. Résultat : quelles que soient les irrégularités de la chaussée, la nouvelle BMW Série 7 glisse sur l’asphalte en toute sérénité.

La nouvelle BMW Série 7 peut également recevoir l’Integral Active Steering. A faible vitesse, elle se conduit alors comme une voiture sportive plus petite. Ses roues arrière pouvant braquer de 3 degrés dans le sens inverse des roues avant, le diamètre de braquage est réduit de 70 centimètres. Un avantage indéniable dans les parkings comme sur les routes en lacets ou dans les ruelles étroites des vieilles villes – pour éviter de toucher le bord des trottoirs.

A des vitesses plus soutenues, l’Integral Active Steering dévoile également des atouts d’exception. L’Integral Active Steering avec roues arrière directrices procure davantage de sécurité, une stabilité maximale et un confort particulièrement perceptible à l’arrière. Les changements rapides de voie sur autoroute n’altèrent en rien l’impression de rouler sur du velours.

Heinz Krusche : « Grâce à l’électronique la plus pointue, nous avons pu éviter les compromis entre confort et sportivité. » La tenue de route impeccable de la nouvelle BMW Série 7 en fait la nouvelle référence des berlines de luxe.

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BMW EfficientDynamics

Diesel > < Essence

Quel est le meilleur concept ?

Les moteurs BMW sont sobres et puissants. Mais quels sont les avantages respectifs des moteurs à essence et des diesels ? Fritz Steinparzer et Wolfgang Hall, tous deux Responsables Développement, sont tout désignés pour répondre à cette question.

La nouvelle BMW Série 7

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Michael Seitz

Markus Gaab

BMW Magazine : Les diesels sont-ils en train de devancer les moteurs à essence ?

Fritz Steinparzer : Les deux procédés de combustion ont leur justification et leur intérêt. Certains conducteurs, par exemple, aiment qu’un moteur soit parfaitement silencieux à l’arrêt, mais fasse preuve de vigueur et d’une belle musicalité dès qu’ils le taquinent du pied droit.

C’est le cas du moteur à essence qui se révèle la motorisation idéale pour les voitures petites et légères. Les grands modèles sont souvent mieux servis par un diesel : en Europe, 90 % des BMW X5 en sont équipées. Du reste, dans les raffineries, le pétrole est inévitablement transformé en diesel et en essence. Un emploi équilibré des deux carburants est donc judicieux pour une utilisation efficace des ressources.

Actuellement, BMW lance une offensive diesel aux Etats-Unis avec la BMW 335d et la BMW X5.

Wolfgang Hall : Le diesel convient parfaitement aux Etats-Unis. Son couple élevé dans les bas régimes est idéal pour la conduite décontractée chère aux Américains. S’ajoute à cela une plus grande autonomie due à une consommation moindre. Avec une BMW 330i, impossible de faire Bruxelles-Bordeaux sans un arrêt à la pompe. Avec ma BMW 330d, c’est possible. Et je ne roule pas plus lentement. En Autriche, la limitation de vitesse à 130 km/h offre des conditions de fonctionnement idéales pour un diesel.

La consommation devient un argument de vente de poids. Cela incite de nombreux clients à choisir un diesel.

Hall : Avec les mesures BMW EfficientDynamics, nos moteurs essence et diesel font quasiment tous mieux que leurs concurrents en termes de consommation. Autre avantage du diesel : le procédé de combustion par autoallumage convient parfaitement à une forte suralimentation à faible régime permettant l’obtention rapide d’un couple élevé. Cela permet à nos clients de rouler presque toujours à moins de 2500 tours et donc d’économiser du carburant. Ajoutons que, dans le diesel, il y a 11 % d’énergie en plus.

Les moteurs à essence vont-ils bientôt suivre ?

Steinparzer : Notre six cylindres en ligne Twin Turbo à injection directe de 3 l va dans le même sens. Il offre un couple élevé dans les bas régimes tout en conservant la linéarité et la capacité à monter haut dans les tours typiques d’un moteur à essence. L’association de la suralimentation et de l’injection directe fonctionne donc ici aussi. Nous continuons à travailler dans cette direction…

BMW a été le premier constructeur de grandes séries à proposer la technologie Twin Turbo sur des moteurs à essence et diesel distingués d’emblée par le titre de « Engine of the Year ». Qu’apporte cette technologie ?

Steinparzer : Au terme de « downsizing » employé par certains, nous préférons celui de « upgrading ». Loin de devoir renoncer à quoi que ce BMWMagazine

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soit, le client bénéficie en effet d’avantages supplémentaires. Nous combinons la puissance d’un huit cylindres à la consommation et au dynamisme d’un six cylindres en ligne. Même chose pour le huit cylindres Twin Turbo qui anime la BMW X6 et la nouvelle BMW 750i. Les avantages sont évidents et nos clients applaudissent.

Cela vaut-il aussi pour les diesels Twin Turbo ?

Hall : Oui. On remarque les deux cylindres en moins à chaque virage.

L’économie de poids que cela représente offre aux collègues en charge des trains roulants de nouvelles possibilités. En privilégiant passages de rapports précoces et bas régimes, le conducteur peut limiter sa consommation – notre diesel 3 litres tourne parfaitement à 1100 t/min.

Et sur autoroute, il ne s’en laisse pas conter.

Comment réduire à l’avenir la consommation ?

Steinparzer : Je pense que, dans les prochaines années, nous pourrons gagner environ 10 % rien qu’avec le moteur. Grâce à de meilleurs systèmes d’injection, à des niveaux de suralimentation plus élevés ou à l’électrification d’autres organes auxiliaires, judicieuse partout où les besoins varient fortement en cours de fonctionnement. Particulièrement sur les modèles hybrides, où les décélérations permettent de récupérer de l’énergie.

Et de quelles mesures vont bénéficier les diesels ?

Hall : Grâce à la construction allégée, à la réduction des frottements et, surtout, à une nouvelle augmentation de la pression d’injection, nous tablons sur une nouvelle économie de 3 % pour notre prochaine génération de moteurs. Des systèmes de dépollution comme le catalyseur d’oxydes d’azote vont permettre de gagner encore 3 à 4 %. Par ailleurs, grâce à l’encapsulage du moteur, nous allons réduire la phase de mise en température et maintenir la chaleur plus longtemps.

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Diesel « Le diesel s’avère idéal pour obtenir une suralimentation maximale à faible régime. Cela permet de rouler la plupart du temps à moins de 2500 tours et d’économiser ainsi du carburant. »

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Essence « A l’arrêt, le conducteur d’un cabriolet ne veut pas entendre le moteur. Sur route, il apprécie un moteur linéaire, ayant du souffle jusque haut dans les tours. Seul un moteur à essence peut répondre à ces attentes. »

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BMW a annoncé les premiers hybrides à essence pour cette année.

Qu’est-ce que cela implique au niveau du développement ?

Steinparzer : Tout d’abord, nous avons besoin de place pour le moteur électrique. Ensuite, en mode électrique, le moteur à explosion doit se mettre en route en douceur, ce qui nécessite un démarreur spécial. Enfin, la gestion moteur doit disposer d’interfaces supplémentaires, notamment pour l’état de charge de la batterie et le moteur électrique.

Un hybride diesel serait encore plus économique.

Hall : Techniquement, tout est réalisable. La question est de savoir si le rapport coût-efficacité est intéressant. Notre BMW 118d, élue « Green Car of the World 2008 », consomme 4,5 l. Le client sera-t-il prêt à assumer l’important surcoût de la technique hybride pour une économie de 0,4 l ? Et pas moyen de faire mieux car nous exploitons déjà de nombreux potentiels avec BMW EfficientDynamics. Par exemple avec la fonction d’arrêt et de redémarrage automatique.

On parle aussi beaucoup des véhicules électriques, très attendus par de nombreux acheteurs.

Steinparzer : La technique des batteries est ici le plus grand facteur d’incertitude. Cela vaut aussi pour les hybrides. Dans les cinq ans à venir, le développement de véhicules strictement électriques devrait rester limité. Actuellement, l’autonomie varie entre 100 et 200 km, et est même ramenée à 80 km à allure soutenue. Qui va accepter cela ? Pour la plupart des clients, le moteur à explosion est donc la meilleure solution aujourd’hui, mais aussi dans les prochaines années. www.bmw.be/efficientdynamics - www.bmw.lu/efficientdynamics

Ecologie

Saine attitude Les LOHAS – les adeptes d’un mode de vie alliant santé et durabilité – veulent sauver le monde en consommant non pas moins mais mieux. Une idée qui peut sembler naïve mais qui recèle un énorme Texte potentiel économique.

Petra Thorbrietz

Célibataire le plus convoité de Grande-Bretagne, David de Rothschild croit à l’utopie d’un monde meilleur. Ce fringant trentenaire est fondateur et tête pensante de l’organisation écologique Adventure Ecology. Pour attirer l’attention sur les menaces qui pèsent sur notre planète, il n’hésite pas à aller jusqu’au bout du monde. Ainsi, pendant sa traversée de l’Arctique, les internautes ont pu lire en temps réel ses commentaires et son cri d’alarme devant la fonte des glaciers.

Le tout documenté sur fond de beats énergiques dans de petits clips montrant les traîneaux s’enfonçant dans la banquise. « Mon frère pense que je ferais mieux de balancer des œufs sur le Premier ministre », plaisante-t-il. Mais pour sa génération, ce sont là des formes de protestation révolues. Tout comme sont dépassés les appels à la raison et à la conscience morale. Les résultats obtenus de cette manière sont insuffisants, les problèmes trop complexes.

Comme David de Rothschild, les activistes nouvelle manière préfèrent miser sur l’aventure et le plaisir sans pour autant perdre de vue leur

Créatrice de mode, Stella McCartney conçoit des vêtements en coton bio et équitable : « Pour moi, la nature est une source d’inspiration majeure.

J’essaie de créer en harmonie avec elle.

Notre entreprise s’efforce, ce faisant, de tenir compte de l’environnement, un domaine que nous intégrons de plus en plus à l’ensemble de nos activités. Le seul fait d’épargner les autres êtres vivants, quels qu’ils soient, c’est déjà une façon de se rendre utile. »

objectif. LOHAS, acronyme de Lifestyle of Health and Sustainability, est leur style de vie en forme d’engagement pour la santé et le développement durable. Ses adeptes veulent protéger la planète à contre-pied des philosophies dominantes et des programmes politiques, en préférant une consommation ciblée au sacrifice de l’autolimitation. En choisissant des produits respectant l’homme et l’environnement, du concombre biologique à la maison passive. Des stars donnent l’exemple, relayées par la presse : Leonardo di Caprio plaide pour une sylviculture durable et dénonce les emballages plastiques. Brad Pitt recommande une architecture écologique, Stella McCartney conçoit des vêtements en coton bio et équitable. George Clooney et Steven Spielberg utilisent des voitures très efficaces sur le plan énergétique, à l’instar de la moitié du microcosme hollywoodien.

Nouvelles pratiques d’achat « La consommation ne dépend pas seulement de ce que les gens peuvent se payer ou de ce dont ils ont besoin », déclare Paul Ray. Ce sociologue américain a été l’un des premiers, en l’an 2000, à repérer le potentiel économique des « créatifs culturels ». Selon lui, au moins 50 millions de consommateurs, dont deux tiers de femmes, s’efforcent d’acheter avant tout des produits qui sont bons pour eux et pour l’environnement. En Italie, en Allemagne, en France, aux Pays-Bas et même en Hongrie, la part des « créatifs culturels » est déjà évaluée à un tiers de la population. Il en va de même au Japon où la propagation du virus ne date pas d’hier.

Le mouvement LOHAS a largement tourné le dos au peu d’ambition technologique et à l’esthétique ringarde des premiers produits « verts ».

Aujourd’hui, des designers de renom se voient confier la réalisation de bars branchés comme le GustOrganic de New York qui sert des cocktails 100 % bio. La chaîne d’hôtel de luxe LOHAS « 1 » a été développée pour le tourisme international. Des créateurs de mode excentriques, tel l’Espagnol Miguel Adrover, font souffler un vent nouveau sur des marques écologiques traditionnelles, telles que Hess Natur. Levi’s met en avant des vêtements « durables ». Produisant devant sa porte à L.A. plutôt que d’exploiter la main-d’œuvre des sweatshops asiatiques, American Apparel compte pourtant parmi les entreprises à plus forte croissance des Etats-Unis.

Un individualisme écologique Comme c’est souvent le cas, ce sont les petits qui ont ouvert la voie.

Que l’on songe, par exemple, à la remarquable réussite de la boisson Bionade. Ou encore au chocolatier Ritter qui a été le premier producteur allemand à commander un écobilan de ses activités et qui a investi de grosses sommes dans une coopérative du Nicaragua qui lui fournit sa 50

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Noblesse oblige: David de Rothschild, aventurier écolo issu de la célèbre dynastie britannique. En avril 2009, il prendra la mer pour une traversée du Pacifique à bord d’un voilier de fortune confectionné à partir de bouteilles en plastique recyclées.

« La tendance est à la moralisation des marchés. » matière première. Aujourd’hui, les grandes marques suivent le mouvement. Et le nouveau pouvoir des consommateurs oblige même les poids lourds à se remettre en question. Habituées à pratiquer le dumping pour courtiser les consommateurs et éliminer les concurrents, certaines multinationales réalisent brusquement qu’un comportement éthique, un engagement social et une gestion raisonnée des matières premières peuvent être des facteurs de compétitivité essentiels. « La tendance est à la moralisation des marchés », constate Nico Stehr, sociologue à l’université Zeppelin de Friedrichshafen. Au début des années 70, seule une minorité de consommateurs se souciait de développement durable, de santé et d’altruisme. « Aujourd’hui, ce comportement est devenu normal ! »

De plus en plus de secteurs La chaîne britannique Marks & Spencer a investi 200 millions de livres pour se restructurer selon des critères écologiques. Barclays reverse 5 % du volume des transactions effectuées avec sa nouvelle carte de crédit Breathe à des projets de protection du climat et offre aux détenteurs de la carte des réductions spéciales sur des produits « verts ». La propagation de l’effet LOHAS au secteur des transports ne devrait plus

être qu’une question de temps. Les automobiles ne sont plus de simples objets utilitaires mais des cartes de visite reflétant style de vie et goûts, révélant attitudes et convictions, ce qui en fait une cible idéale pour les idées de LOHAS. Mais peut-on vraiment sauver le monde en consommant bien? Selon une récente étude allemande, le mouvement LOHAS aurait fait sortir l’écologie de la sphère sociopolitique pour la transformer en une vision égocentrique du monde enrichie d’un « facteur bien-être ». Malgré cela, le rapport atteste que LOHAS a fait davantage pour la généralisation des comportements écologiques que des décennies de mesures de sensibilisation. Même si seule une fraction des 6,7 milliards de terriens dispose des connaissances et des moyens financiers pour participer à ce mouvement, son influence est inestimable. Les « créatifs culturels » influencent en effet, pour une part non négligeable, la demande sur des marchés internationaux en proie à une pénurie croissante de matières premières et soumis, de ce fait, à la nécessité de restructurations massives. A l’heure où les idées neuves ont plus que jamais le vent en poupe, le mouvement LOHAS est bien plus qu’une simple mode. Peut-être la plus intelligente des stratégies de survie de l’humanité...

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La nouvelle BMW Sauber F1.09 : l’aileron avant, plus grand, et l’aileron arrière, plus petit, sautent tout de suite aux yeux.

Nick Heidfeld, le seul pilote de Formule 1 à porter une barbe.

BMW Sauber F1 Team

Heidfeld et Kubica pour le titre La BMW Sauber F1 Team nourrit de très hautes ambitions pour la nouvelle saison de Formule 1, qui débutera le dernier week-end de mars. L’équipe, toujours en livrée bleu et blanc, vise rien moins que le titre mondial. Photos Tibor Bozi

L’aileron avant est plus grand, l’aileron arrière plus petit, le museau de la nouvelle BMW Sauber F1.09 est bien plus haut et plus large que sur sa glorieuse devancière. Les déflecteurs d’air et autres lamelles de refroidissement sont désormais de l’histoire ancienne puisque le règlement les a interdits afin de faciliter les dépassements.

Les quatre rainures des pneus disparaissent pour la même raison.

La F1.09 est équipée de pneus Slicks et peut mettre en œuvre le système de récupération de l’énergie cinétique KERS qui stocke dans des batteries l’énergie libérée en décélération. Une commande au volant permet au pilote de disposer pendant 6,7 secondes de 82 ch supplémentaires par tour pour accélérer. Dépasser sur simple pression d’un bouton. Fascinant, non?

Les deux pilotes BMW Sauber F1, Robert Kubica et Nick Heidfeld, sont impatients de s’asseoir au volant de leur nouvelle voiture de fonction. « J’espère que les efforts vont payer », déclare Robert Kubica, 24 ans, qui a remporté en 2008 la première victoire de l’écurie au GP du Canada. « Avec une voiture à ce point modifiée, le challenge est d’autant plus excitant », affirme Nick Heidfeld, 31 ans. « Quick Nick » est le meilleur pilote allemand en exercice (sixième au classement des pilotes en 2008) mais talonné de près par Sebastian Vettel, de dix ans son cadet (devenu 52

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l’an dernier à Monza le plus jeune vainqueur de Grand Prix de l’histoire).

Mais Heidfeld, qui habite en Suisse et est encore loin de penser à la retraite, ne se laisse pas impressionner. « Peut-être qu’à la prochaine course, c’est moi qui gagnerai », dit-il en toute décontraction.

Et qu’en pense Mario Theissen, le directeur de BMW Motorsport? « On peut prévoir sa propre compétitivité, pas les résultats. » Mais si la F1.09 fonctionne comme prévu, ceux-ci ne devraient pas se faire attendre. www.bmw-web.tv - La F1.09 en action lors du premier roulage à Valence.

Formule 1: calendrier 2009 29/03

Melbourne/Australie

26/07

05/04

Sepang/Malaisie

23/08

Budapest/Hongrie Valence/Europe

19/04

Shanghai/Chine

30/08

Spa-Francorchamps/Belgique

26/04

Sakhir/Bahreïn

13/09

Monza/Italie

10/05

Barcelone/Espagne

27/09

Singapour/Singapour

24/05

Monte-Carlo/Monaco

04/10

Suzuka/Japon

07/06

Istanbul/Turquie

18/10

São Paulo/Brésil

21/06

Silverstone/Grande-Bretagne

01/11

Abu Dhabi/Emirats Arabes Unis

12/07

Nürburgring/Allemagne

Voyage

La vague verte La ville-Etat de Singapour voit transiter par son port les containers de marchandises du monde entier. A terre, la circulation de la métropole est de mieux en mieux encadrée. L’avenir de ses 4,6 millions d’habitants semble tout tracé: un avenir « en vert toute ».

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Roland Hagenberg

Christian Grund

« Où vous êtes-vous rencontrés? » « Ici, à Dempsey Hill, dans ma boutique », répond en riant Chin Chelia. « Pendant des semaines, Oli[viero Bottinelli] n’a pas arrêté de rappliquer sous prétexte d’acheter bouddha, table, fauteuil, cadre, que sais-je! » Il y a trois ans, l’antiquaire épouse finalement son client helvète, passé un petit temps d’adaptation pour la famille qui, d’ailleurs, n’en était pas à sa première rupture de tabous puisque le père, indien, et la mère, chinoise, de Chin avaient eux-mêmes en leur temps passé outre aux différences de religion et de couleur de peau. Choix courageux dans le contexte explosif des années 60 : indépendantistes réclamant la sécession d’avec la Fédération de Malaisie, rues théâtre d’affrontements interethniques, cours d’eau pollués, forêts ponctionnées par les habitants des bidonvilles en mal de bois de chauffage...

Aujourd’hui, la ville-Etat de 4,6 millions d’habitants vante sa propreté et sa verdure. Le revenu moyen par habitant, dépassant celui des EtatsUnis, arrive au huitième rang mondial. Naguère utopique, l’intégration s’est bel et bien réalisée comme en témoigne la coexistence pacifique entre les populations d’origines chinoise, arabe, indienne, malaise, indonésienne et européenne. On conçoit dès lors ce que ce « nain » peut susciter d’admiration mais aussi de circonspection, voire de jalousie, chez ses voisins asiatiques. Lesquels n’hésitent pas à copier des pans entiers de son modèle social, de l’urbanisme à la politique du logement ou à la préservation du patrimoine. « Ici, tout fonctionne comme un mécanisme d’horlogerie. » Compliment qui prend toute sa valeur dans la bouche d’un Suisse, notre monsieur Bottinelli, qui plus est directeur de la succursale locale d’Audemars Piguet. Pour ce manager, la réussite la plus admirable

Le week-end, l’île de Sentosa et son parc d’attractions sont une destination privilégiée pour les sorties en famille.

Ophir Road sous la voûte des arbres.

A Singapour, on roule souvent à l’ombre.

BMW Série 1 à Dampsey Hill.

La salle de concert réalisée par DP Architects imite la coque épineuse du durian, un fruit exotique local.

a trait à l’urbanisme. « Au lieu de promettre tant et tant de parcs en plus dans dix ans, le gouvernement nous dit que d’ici là, nous vivrons tous dans un immense espace vert à l’échelle de l’ensemble du territoire. »

Balade à hauteur de cimes Alexandra Link nous en donne un premier avant-goût: cette passerelle de deux mètres de large perchée à dix-huit mètres au-dessus du sol arpente la forêt tropicale des collines du sud, frôlant les cimes, coupant les avenues à huit voies, longeant les coteaux reboisés. Si tout se passe comme prévu, les 1,6 kilomètre de ce tronçon initial devraient bientôt se raccorder à un vaste entrelacs de passages piétons recouvrant l’ensemble de l’île sur un total de 150 kilomètres, reliant plages et salles de concert, forêts et gratte-ciel, prairies et quartiers résidentiels. L’urbanisme local privilégie l’architecture moderne et s’attache à insérer le quotidien dans la nature.

Alexandra Link a été conçue par un cabinet de design du cru, LOOK Architects. Pour la structure allégée en métal de la construction sur échasses, on s’est inspiré des feuilles triangulaires du polygonum perfoliatum, une plante qui pousse aussi vite que le lierre. L’éclairage, avec alternance de couleur toutes les vingt minutes, se fait par des luminaires intégrés au sol de la passerelle. On est frappé par l’absence totale de moustiques malgré une végétation équatoriale luxuriante. Entre autres mesures pour éradiquer la dengue, la municipalité pulvérise en effet les espaces verts d’insecticides et tente de modifier génétiquement les bourdonnements d’ailes des mâles pour que les signaux qu’ils émettent indisposent les femelles au lieu de les attirer. Une bonne partie de la flore actuelle de 56

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Singapour est importée, une évolution initialement liée à des considérations d’ordre pragmatique, puis à des phénomènes de mode. C’est ainsi que furent introduits du Brésil les arbres de pluie, Samanea saman, qui bordent les grands axes transversaux. Cette essence ne perd presque pas ses feuilles et tend ses longues branches vers le côté opposé du boulevard pour donner de l’ombre aux automobilistes. A Singapour, on roule le plus souvent au frais.

Tendance vert zen « Les plantes se sont à ce point imposées à notre sens esthétique qu’aujourd’hui, ce sont elles qui nous contrôlent! », constate le très coté architecte paysagiste Chang Huaiyan qui répartit ses concitoyens en deux groupes selon leur préférence pour le « tropical à la Bali » ou le « vert zen ». Jusqu’au début des années 90, les insulaires branchés privilégiaient la luxuriance tropicale avec force banians et bananiers selon une représentation chère aux ouvrages consacrés à l’architecture de Bali.

Advint ensuite une période plus minimaliste avec la montée en vogue de plantes « zen » comme le bambou, la bucida des Bahamas ou encore la Caesalpinia mexicana, un arbuste qui rappelle vaguement notre sapin de Noël. Toujours en quête d’espèces lucratives, les horticulteurs de Singapour envoient leurs « espions » en repérage aux quatre coins du globe. Actuellement, les plus demandées sont les plantes faciles d’entretien qui poussent vite et dru et sont capables de s’adapter, même au béton s’il le faut. Par exemple le long des bretelles d’accès d’autoroute ou dans les bassins de retenue d’eau de pluie servant à prévenir les inondations. Sont également prisés, les jardins verticaux dont les végétaux

qu’ici, à la différence de Kuala Lumpur ou Dubaï, Singapour a su éviter le gigantisme d’investissements certes spectaculaires mais de peu d’intérêt pour la collectivité. « Ici, l’architecture est à dimension humaine et, en même temps, plus efficace. Elle doit profiter à tout le monde », note l’observateur de tendances.

Sur la carte, Singapour a un peu la forme d’une raie sans queue avec, en son centre, le parc naturel MacRitchie que nous longeons en voiture.

Celui-ci abrite le plus ancien des quinze réservoirs de captation d’eau de pluie de l’île. Le plus récent, Marina Barrage, a été mis en service en octobre dernier à l’ombre des gratte-ciel. Les réservoirs couvrent environ la moitié des besoins en eau, le reste étant acheminé de Malaisie par trois pipelines. Pour atténuer cette dépendance, Singapour s’est attelée à la

Un réseau de passerelles ultramodernes reliera à terme tous les îlots verts de Singapour.

Piétons sur Fraser Street. En arrière-plan, la tour Gateway de l’architecte sino-américain I.M. Pei.

poussent sans humus sur un feutre en polyamide. « Les murs végétalisés font un tabac. Il leur faut moins de place, ils ont un effet apaisant et ils améliorent la qualité de l’air », résume Chang qui en a un dans son cabinet.

construction de stations de dessalement d’eau de mer et à un recyclage innovant des eaux usées lui-même associé à la distribution gratuite, sous l’égide des autorités, de millions de bouteilles d’eau potable sous l’étiquette NEWATER pour habituer la population aux nouvelles méthodes de récupération. Bien que provenant des égouts, l’eau NEWATER est plus propre que l’eau de pluie grâce au recours à l’irradiation UV et à l’osmose inverse, un filtrage ne laissant passer que les seules molécules d’eau.

L’entrée en service en 2010 d’une cinquième installation de recyclage permettra de renoncer aux livraisons de deux des trois aqueducs.

Dernière halte devant le jardin botanique et sa Symphony Stage qui accueille des concerts en plein air. Un parfum exotique flotte dans l’air. Kay Ngee Tan vient nous rejoindre. L’architecte quinquagénaire, qui a vécu 20 ans à Londres, a dessiné les plans de la chaîne de librairies Kinokunya et de la SMU, l’université de management de Singapour. « Lors d’une visite du palmarium de Londres, j’ai eu comme une révélation à la vue de ces formidables arbres exotiques enfermés dans une serre. J’ai pensé : n’est-il pas absurde de payer pour les voir alors qu’à Singapour, il en pousse à chaque coin de rue ? Depuis, je porte un autre regard sur mon pays. »

Une architecture à dimension humaine L’Allemand Nikolaus von Saurma est directeur de la succursale singapourienne de DesignworksUSA qui éclaire notamment BMW Group sur les tendances actuelles en Asie. Devant sa tour passe le funiculaire pour l’île de Sentosa qui accueille le chantier d’un vaste complexe – hôtels, aquariums, attractions diverses – de l’architecte américain Michael Graves. « Les années 90 ont vu l’avènement à Singapour d’un style de vie de plus en plus prospère à l’origine d’un intérêt accru pour l’architecture moderne et pour la qualité de l’habitat. » Pour von Saurma, cette évolution explique aussi la tendance « vert Zen ». « Du fait de la fraîcheur et de l’élégance qu’ils dégagent, le bambou ou le tokusa, une prèle du Japon à grosse tige droite, s’adaptent parfaitement à la géométrie des bâtiments postmodernes. » Michael Graves n’est que l’un des dizaines d’architectes vedettes qui ont marqué de leur empreinte le visage de la ville: le Britannique Norman Foster avec le look OVNI de la gare du centre des congrès et des expositions; le Japonais Fumihiko Maki avec l’Université Polytechnique; ou encore le Canadien Moshe Safdie avec le complexe de Marina Bay Sands (achèvement prévu fin 2009) comprenant, entre autres, des hôtels, un théâtre et un casino. Trois tours de 55 étages aux toits plantés d’espaces verts et reliées entre elles par des passerelles s’intégreront au réseau de chemins piétonniers destiné à desservir l’ensemble du territoire. Mais jus-

Vue panoramique depuis le bar City Space au 70e étage du Swissotel The Stamford.

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BMW 118i

5 portes

Caractéristiques techniques Nombre de cylindres

4

Cylindrée cm3

1995

Puissance ch/kW

143/105

Couple maxi Nm

190

Vitesse maxi km/h

210

Accélération de 0 à 100 km/h s

8,8

Concommation en cycle mixte 1/100 km Emissions de CO2 g/km

5,9 140

Bonnes adresses Hôtels

Everest Kitchen (4) 518 Macpherson Road

New Majestic Hotel (1)

Little India

Hôtel-boutique

Tél.: +65 68444170

31–37 Bukit Pasoh Road

www.everestkitchen.com.sg

Aéré, clair, postmoderne.

30 chambres ont été aménagées par des personnalités des mondes de l’art, du cinéma et du design. Patrick Chia a placé la baignoire devant le lit. A l’aplomb de la salle de restaurant, le fond d’un bassin percé de hublots livre les évolutions des nageurs aux regards des convives.

The Scarlet (2) Hôtel-boutique 33 Erskine Road Tél.: +65 65113333 www.thescarlethotel.com

Rendez-vous des personnalités du petit comme du grand écran. Jack Chan, le gérant, y rencontre Jackie Chan (pas de parenté). Brocards d’or et art déco côtoient des éléments de design seventies. A deux pas de Chinatown, en face de Maxwell Court avec ses nombreux restaurants.

Restaurants Senso (3) 21 Club Street

Architecture et décoration quelconques, mais la cuisine fusionnelle indo-népalaise à base de curry est très prisée.

Si toutes les tables sont prises, recommandons le Gurkha Palace (51 Chander Rd.) comme solution de repli.

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Marché couvert. Influences chinoises, indiennes, mongoles, coréennes, etc.

Musique le soir. La gastronomie comme style de vie.

Restaurant et Bar

Mustafa (9)

55 Fairways Drive

Little India,

Tél.: +65 64677748

145 Syed Alwi Road

www.mimolette.com.sg

www.mustafa.com.sg

Le vert des tropiques enserre ce rendez-vous incontournable des branchés de la planète médias, à deux pas des écuries du Turf Club. Brunch américain et cuisine « fusionnelle » française.

Achetez ou regardez, 24 heures sur 24. On trouve littéralement de tout au plus célèbre « bazar » de Singapour: montres, rouge à lèvres, tondeuses, voitures...

Tree Top Walk (10) Venus Drive (rue trans. de Upper

The White Rabbit (6) 39C Harding Road Tél.: +65 64739965 www.thewhiterabbit.com.sg

Allez voir le site pour vous mettre en bouche! Cette ancienne église allie minimalisme et modernisme. Cuisine européenne plutôt traditionnelle mais cocktails originaux.

Broth (7) Bar Restaurant

Cuisine italienne de terroir pour la jeunesse bigarrée du cru. Cour intérieure néoclassique en plein air, espaces consacrés à l’art abstrait, bar convivial aux motifs pop.

Bonne cave.

et Robinson Road

Découverte Mimolette (5)

Tél.: +65 62243534 www.senso.sg

Lau Pa Sat Food Market (8) A l’intersection de Cross Street

Tél.: +65 65114700 www.newmajestichotel.com

lienne » avec beaucoup d’emprunts à la Californie (salades, dinde, poissons).

On The Hill 21 Duxton Hill Tél.: +65 63233353 www.broth.com.sg

Terrasse à l’ombre des arbres tropicaux. Atmosphère coloniale. Cuisine « austra-

Thomson Road)

25 mètres de haut, 250 de long: la traversée, à hauteur de cimes, de ce pont suspendu est le point d’orgue de toute randonnée au MacRitchie Reservoir Park.

Randonnée pédestre, pont Henderson Wave Bridge (11) Henderson Rd., Mount Faber Park

Vivez un coucher de soleil de rêve à 36 mètres de hauteur sur ce pont tout en « ondulations » faisant partie du réseau de passerelles ultramodernes qui reliera un jour tous les îlots verts de Singapour pour le plus grand bonheur des joggeurs et des autres.

Botanic Gardens (12)

Dolphin Lagoon (14)

www.sbg.org.sg

Sentosa Island Réservations au: +65 62750030

Nec plus ultra : un concert en plein air dans la fraîcheur d’une cuvette verdoyante bordée de plantes tropicales.

45 minutes pour apprivoiser un dauphin qui vous « remorquera » ensuite dans la baie.

Kadir’s Boxing School (13)

Night Safari (15)

110 Geylang Drive

Tél.: +65 62693411

Tél.: +65 98433009

www.nightsafari.com.sg

www.singaporeboxing.com

Les portes de l’école sont ouvertes à tous, boxeurs ou simples spectateurs, et la passion commune dissout dans la sueur un condensé de la diversité ethnicoculturelle de Singapour.

Découvrez la faune nocturne aux mille visages en parcourant, à hauteur de cime, les itinéraires des passerelles sur échasses pour joggeurs ou randonneurs ou, si vous préférez, en empruntant le petit train pour les touristes.

BMW Mobile Care

Texte

L’équipe BMW Servicemobil est à votre disposition 7 jours sur 7, avec 14 voitures en Belgique et 1 au Grand-Duché de Luxembourg.

Thierry Van Beers

Une assistance à votre service 24 h sur 24 Une soirée fraîche de décembre sur un parking en plein air dans les Ardennes, près de Durbuy. Rentrés fatigués mais heureux d’une journée de marche, un homme et une femme grelottent à côté de leur BMW 320d.

Vingt minutes plus tôt, ils ont alerté par téléphone le BMW Servicemobil.

« Montez d’abord vous réchauffer », leur propose le technicien, qui a mis à fond le chauffage de son véhicule de dépannage.

Reconnaissant, le jeune couple monte dans la BMW X3 xDrive30d, tandis que le dépanneur identifie une batterie récalcitrante. Quelques minutes plus tard, la batterie est rechargée et, soulagé, notre couple peut retourner à la maison.

Les causes principales d’immobilisation en 2008 ont été la batterie (25,4 % des cas) et les pneus (13,4 %). Dans 80 % des cas, l’intervention aboutit à la mise en marche du véhicule. Créé en Belgique en juin 1991 et au Luxembourg en 1988, le réseau BMW Servicemobil compte 770 voitures à l’échelle mondiale dont 14 en Belgique et 1 au grandduché de Luxembourg, disponibles de 7 h à 22 h. Après 22 h, nos partenaires prennent le relais.

La coordination du service d’assistance se fait, pour les clients BMW résidant en Belgique et au Luxembourg, par la Centrale BMW Mobile Care en partenariat avec Touring, à Bruxelles. Quatorze opérateurs y travaillent 7 jours sur 7. Ils y organisent aussi bien l’assistance technique et le dispatching des techniciens Servicemobil que les autres services tels que les remorquages, les commandes de taxis, les voitures de remplacement ou, le cas échéant, les réservations d’hôtel. Dans bien des situations, les explications fournies au téléphone suffisent à résoudre le pro60

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blème, par exemple en cas de déclenchement injustifié de l’indicateur de perte de pression pour cause de non-réinitialisation du système après un changement de pneumatique(s).

Télédiagnostic et téléassistance Il est aujourd’hui de plus en plus fréquent d’avoir recours aux prestations uniques de BMW TéléServices, disponibles depuis mars 2008 sur un nombre croissant de nos modèles. Les anomalies enregistrées par les mémoires des unités de commande de la voiture sont analysées à distance par nos techniciens grâce à une connexion par liaison radio.

Les appels du système TéléServices signalent aussi sans délai l’emplacement précis du véhicule, le numéro de châssis, la tension batterie, le contenu du réservoir ou encore la température ambiante et celle du moteur. Tout le monde est gagnant : l’automobiliste immobilisé est pris en charge rapidement grâce aux prestations TéléServices et BMW peut optimiser le service client. Et si une intervention sur le terrain s’avère néanmoins indispensable, grâce au diagnostic de la centrale d’assistance, les dépanneurs savent se préparer pour aider au mieux.

La technologie BMW en matière de service et d’assistance est unique dans l’industrie automobile et permet d’offrir aux clients la meilleure aide, le principal pour nous.

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Exploiter les énergies marines Les océans sont d’immenses réservoirs d’énergies renouvelables. Partout dans le monde, les ingénieurs rivalisent de projets et de technologies pour exploiter ce potentiel considérable : vagues, courants, marées, énergie thermique... Longtemps confidentielles, les énergies marines sont aujourd’hui en passe d’aboutir.

Texte Jean Cech

Depuis plusieurs années, différentes technologies s’affrontent pour exploiter les énergies renouvelables extraites du milieu marin. En réalité, une cinquantaine de projets sont en lice, explorant le potentiel des vagues, des courants, des marées, l’énergie osmotique (la différence de salinité entre eau douce et eau de mer) et même l’écart de température entre eaux profondes et eaux de surface. Les techniques utilisées sont, elles aussi, multiples et incluent des béliers hydrauliques, des pompes à houle, des turbines hydroélectriques, des turbines à air, des générateurs électriques linéaires, etc. Chaque système est d’abord minutieusement étudié sur ordinateur puis en laboratoire, grâce à des maquettes à échelle réduite, afin de faire valoir ses avantages et ses performances (potentielles). Mais, pour ces engins du futur, un seul test est véritablement décisif : l’expérimentation en milieu réel. Il s’agit généralement d’appareils imposants, conçus pour affronter des conditions extrêmes, parfois dans des mers démontées et dans un milieu physico-chimique qui n’a pas pour réputation d’être tendre avec les matériaux. Le risque financier est, lui aussi, conséquent.

La plupart des laboratoires sont actuellement à la recherche de centres d’essai bien situés pour pouvoir évaluer, comparer et, finalement, départager les différents concepts technologiques en présence. A tel point que le centre d’essai European Marine Energy Center (Emec), créé en 2002 dans les eaux écossaises, n’arrive plus à répondre à la demande.

Du coup, le Portugal, l’Espagne et la France ont décidé de créer leur propre site d’essai. Chacun avance déjà ses arguments en termes d’orientation des flux et de puissance des vagues, de météo, de raccor62

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dement électrique, etc. Autant de signes que les recherches avancent à grands pas et que les ingénieurs touchent au but.

Pelamis : la première ferme houlomotrice Installé au large des côtes portugaises, Pelamis est la première application commerciale d’un projet d’énergie houlomotrice. Il s’agit d’un monstrueux boudin articulé, composé de quatre cylindres s’agitant entre deux eaux. Le projet fut ainsi dénommé en référence au monstre marin de la mythologie grecque. Par sa taille et son gabarit, il fait penser à un convoi de chemin de fer qu’on aurait jeté à la mer. Près de deux cents mètres de long et pas loin de mille tonnes livrées aux vagues. A chaque articulation, un vérin hydraulique animé par le mouvement des eaux envoie un fluide haute pression vers une turbine qui produit de l’électricité. La technologie a été mise au point en Ecosse par l’entreprise Pelamis Wave Power. La première phase du projet – qui comprend trois de ces monstres – a été financée pour un montant de neuf millions d’euros par le consortium Ondas. Ce dernier espère dégager bientôt une puissance de 2,25 mégawatts (MW), soit l’équivalent d’une turbine éolienne de taille moyenne. Si cette première expérience portugaise s’avère concluante, le consortium y ajoutera 25 machines supplémentaires, pour atteindre une puissance de 18,75 MW, de quoi alimenter 20 000 foyers en électricité verte générée à partir de la houle marine. Certes, au regard des quelque 1 350 MW d’énergie éolienne installés par le Portugal, cela semble dérisoire mais les spécialistes évaluent le potentiel d’énergie houlomotrice à 33 à 46 kW par mètre de côtes. Or, l’Europe en compte pas moins de

temps réel à l’excitation des vagues) la production pourrait être bien supérieure. L’objectif serait de constituer une ferme houlomotrice où seraient ancrés, en formation serrée – par 30 à 50 mètres de fond et à 5 ou 10 kilomètres des côtes – plusieurs dizaines de modules Searev soigneusement balisés pour ne pas gêner la navigation. Audacieux et prometteur.

L’énergie marémotrice

Au large des côtes portugaises, Pelamis est la première application commerciale d’un projet d’énergie verte générée à partir de la houle marine.

Un autre domaine sur lequel les ingénieurs planchent sans relâche est celui de l’énergie marémotrice. Rien que pour les marées, les spécialistes évoquent un potentiel électrique équivalent à un cinquième de la consommation mondiale ! Mais le nombre de sites propices est limité et les obstacles (notamment écologiques) sont considérables. On a pu le constater avec le récent projet d’implantation dans l’estuaire de la Severn, au sud du Pays de Galles, d’une unité marémotrice. Le barrage de 16 kilomètres de long était destiné à valoriser l’imposant flux d’une marée record de 15 mètres d’amplitude et aurait dû produire quelque 8,6 gigawatts (4,4 % de la consommation britannique !). Ce projet a provoqué une véritable levée de bouclier des écologistes. L’estuaire étant classé zone protégée, la construction du barrage risquait, en effet, d’affecter profondément l’écosystème. L’expérience française de 1966 d’usine marémotrice sur la Rance (240 MW), la plus grosse installation mondiale de ce type (le barrage est long de 750 mètres et constitue la principale source d’électricité de la Bretagne), n’est donc pas près d’être surpassée.

L’énergie des courants marins

Le projet OpenHydro dans les eaux tumultueuses de Paimpol-Bréhat : les hydroliennes sous-marines sont acheminées sur le lieu d’exploitation par catamaran.

32 000 kilomètres... Un gigantesque potentiel ! Il est vrai aussi que le Portugal dispose, avec la Grande-Bretagne notamment, des meilleurs sites européens en la matière.

D’autres projets de ce type sont également en préparation dans le monde. Une version en caoutchouc rempli d’eau, baptisée Anaconda et développée par l’anglais Checkmate Seaenergy, est actuellement en phase de test. Dans la même veine, le projet français baptisé Searev – pour Système Autonome Electrique de Récupération de l’Energie des Vagues – est un énorme flotteur de 1 000 tonnes et de 24 mètres de long pour 14 mètres de large, amarré au fond de la mer. Ce prototype est équipé d’un balancier dont le mouvement, animé par les vagues, est récupéré par deux vérins hydrauliques alimentant un générateur d’électricité.

L’expérimentation devrait débuter en 2010 au large du Croisic ou de l’île d’Yeu. Un rendement modeste d’à peine 500 kilowatts est attendu mais, grâce à un système de pilotage informatisé du balancier (pour l’adapter en

Pour exploiter l’énergie des courants marins, les hydroliennes sousmarines (à axe vertical ou horizontal), inspirées des éoliennes, représentent le concept le plus souvent retenu. Tel le projet français Marénergie d’immersion à 19 mètres de profondeur, au fond de l’estuaire de la rivière Odet (dans le Finistère), d’une première hydrolienne. A l’essai pendant quatre mois, celle-ci préfigure l’installation future au large d’Ouessant d’hydroliennes de 15 à 20 mètres de diamètre. Ou encore, le projet OpenHydro qui a choisi d’implanter 4 à 10 hydroliennes sous les eaux tumultueuses de Paimpol-Bréhat (Côtes d’Armor). Des machines d’une dizaine de mètres de diamètre qui ne nécessitent, contrairement aux éoliennes off shore classiques, aucun travail sous-marin de forage ou d’ancrage. Elles sont simplement acheminées sur le lieu de leur exploitation par un catamaran spécialement conçu à cet effet. Fixées sur un tripode métallique et complètement immergées, elles peuvent être facilement ramenées à la surface pour l’entretien. L’énergie des courants marins présente un gros avantage sur l’énergie houlomotrice : la prévisibilité (essentiellement pour les courants liés aux marées). Et un avantage non négligeable par rapport à l’éolien : là où il faut des puissances de vent de 6 à 10 mètres par seconde, un courant de 2 mètres par seconde suffit, ici, à faire tourner la turbine.

Les côtes européennes : un potentiel énorme Dans leur livre vert, publié en juin 2006 et intitulé « Vers une politique maritime de l’Union : une vision européenne des océans et des mers», les experts européens ont estimé que les eaux côtières européennes pouvaient accueillir un large éventail d’installations de production d’énergie renouvelable en mer. Si la mer Baltique, peu profonde, se prête bien à la production d’énergie éolienne au large des côtes, l’Atlantique, immense et agité, offre plutôt un potentiel d’énergie houlomotrice. Selon l’Association européenne des énergies marines, des technologies abouties auraient un potentiel exploitable de 140 à 750 térawatts-heure par an.

Des chiffres qui stimulent, si besoin en était encore, l’ingéniosité des chercheurs... Le département américain de l’énergie vient d’ailleurs de lancer tout récemment une banque de données recensant les projets de production d’énergie marine et hydrocinétique aux Etats-Unis et dans le monde. Un signe qui ne trompe pas.

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Luca et Giorgia Ferrari Italie BMW Isetta 300 Année de construction : 1956 Kilomètres : 45.000

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Une sympathique petite voiture à l’assaut des célèbres Mille Miglia Trois jours. C’est la durée des Mille Miglia, ce prestigieux rallye de voitures de collection reliant Brescia, dans le nord de l’Italie, à Rome, et retour. Un rêve pour tout automobiliste. Et une véritable épreuve. La course passe en effet par des lacets de montagne et des routes de campagne sans fin. Les moteurs de ces nobles voitures d’époque (seules participent des automobiles des années 20 aux années 50) sont souvent poussés jusqu’à leurs limites. Dans leur habitacle non climatisé, les participants sont parfois eux aussi mis à rude épreuve : en Italie, le soleil peut être impitoyable au début de l’été.

Les spectateurs agglutinés sur le bord de la route apprécient la vue de ces belles d’antan : des italiennes sportives, d’imposantes anglaises, des allemandes éblouissantes – dont de nombreuses BMW. « Il fallait voir leur étonnement lorsqu’ils nous ont aperçus ! », s’amuse Luca Ferrari, qui a participé à une édition du célèbre rallye avec son épouse. C’était en 2005, à bord d’une automobile que l’on n’imagine pas capable d’une telle prouesse : une BMW Isetta des années 50. « Nous étions sans cesse accueillis par une pluie d’applaudissements », raconte Ferrari. Un tel joujou éveille les sympathies. « Lorsque nous sommes arrivés à Rome, le cortège s’est immobilisé. Nous avons dû faire une pause et, avec ma femme, nous sommes sortis de la voiture. » Les spectateurs trépignaient d’enthousiasme lorsque les 64

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Ferrari sont descendus de voiture par la portière s’ouvrant vers l’avant.

Une épreuve ? « La voiture n’est pas aussi petite qu’elle en a l’air, déclare Ferrari. Nous avions plus de place que certains couples voyageant dans une voiture de sport. » Normalement arrimés sur le dos de la BMW Isetta, les bagages ont dû céder leur place à des bidons d’essence : « Le réservoir de l’Isetta ne contient que dix litres, il fallait s’arrêter tous les 75 kilomètres pour faire le plein. » Les bidons d’essence étaient particulièrement utiles pour les passages en montagne, où les stations-service se font rares.

Tournevis La BMW Isetta n’a quasiment pas rencontré de difficultés lors des Mille Miglia. « Ce n’est que 15 kilomètres avant l’arrivée que le moteur a soudain calé et ne voulait plus redémarrer, raconte Ferrari. J’ai résolu le problème avec un tournevis. » Pas de quoi s’inquiéter pour un professionnel des bateaux de course. « Et le mieux dans tout cela, c’est qu’une Isetta coûte aujourd’hui en général dans les 15 000 euros. C’est donc nous qui avons passé la ligne d’arrivée avec la voiture la moins chère. » Et sans doute aussi avec le plus grand sourire aux lèvres. « Nous serions prêts à tout moment à reprendre le départ des Mille Miglia, mais seulement à bord www.bmw-classic.com d’une Isetta. »

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Une classique prestigieuse La neuvième édition du National Classic Tour a emmené les concurrents de Knokke à Evian-les-Bains, en passant par Reims, Baden-Baden, Dijon et Aix-les-Bains. Comme les années précédentes, un rôle de premier plan était réservé à BMW. La marque a d’ailleurs emporté la victoire finale grâce à Alexia et Stephan Schrauwen, au volant de leur belle BMW 328 de 1937. Reportage d’une réussite.

Didier de Radiguès et son copilote Bart Lenaerts se sont vus confier une BMW 328 par BMW Belux.

Une classique placée sous le signe de l’innovation L’organisation présentait cette année deux nouveautés. D’abord, nous avons assisté, pour la première fois au monde, à un rallye entièrement neutre en CO2, grâce au soutien offert à un projet Kyoto dans un pays émergent. Autre première mondiale, l’introduction d’un système de chronométrage par GPS, mis au point par une entreprise de Gosselies.

Résultat : un timing d’une extrême précision.

Plaisir des yeux...

Un plaisir dont les participants et le public ne se sont pas privés. Sur la ligne de départ, on pouvait admirer des bijoux de la période de 1932 à 1969 : une Ferrari 250 GT Testa Rossa, des Jaguar XK 120 et 150, des Porsche, des Mercedes mais aussi des représentantes d’un lointain passé comme Invicta, Delage ou AC Cobra. Rien ne manquait à l’appel de cette neuvième B MWMagazine

Photos

Joost Custers

Event Attitude

Des modèles de collection de la période 1932-1969 : du pur bonheur pour les yeux !

En septembre 2008, The National Classic Tour en était à sa neuvième édition. Ce rallye de régularité peut donc être désormais qualifié de ’classique’. Pour cette neuvième édition, l’organisateur, Master Switch, avait balisé un parcours passant par les pays limitrophes. La ville choisie cette année comme destination finale, Evian-les-Bains, est d’ailleurs connue pour sa contribution au sport automobile. En effet, de nombreux rallyes alpins mythiques sont partis ou arrivés à Evian-les-Bains.

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Texte

édition du National Classic Tour. Et que dire de BMW ? La marque bavaroise avait répondu présente, alignant pas moins de trois BMW 328, une BMW 327 et une BMW 1600 Coupé. Cela dit, la petite Renault 4CV aux couleurs de Touring a également attiré l’attention des foules.

Gentlemen, start your engines...

Mais rien ne vaut un parcours routier pour mettre en valeur la beauté de ces ancêtres. Après le contrôle administratif et technique, les concurrents partent de Knokke pour gagner Ligny, le Cambrésis et Reims, capitale mondiale du champagne, dans le nord de la France. Ils empruntent des routes campagnardes à travers les polders flamands puis les environs de Tournai, avant d’arriver au domaine de Pommery, près de Reims. En chemin, la lutte fait rage, dans le groupe 1 comme dans le groupe 2. Si ces sportives affichent plusieurs décennies d’âge, elles n’ont rien perdu de leur combativité naturelle. Au terme de la première journée, Filip et David Bourgoo occupent la tête du classement dans leur Bentley MK IV, devant les deux BMW 328 de la paire de Radiguès-Lenaerts et du couple Schrauwen. Dans le groupe 2, Eric et Anne-Sophie Mestdagh sont en tête avec leur AC Bristol.

C’est dès la deuxième étape, de Reims à Baden-Baden, que Alexia et Stephan Schrauwen prennent la tête de la course. Ce duo chevronné, qui a déjà emporté plusieurs titres dans des rallyes similaires, ne lais-

Les vainqueurs, le couple Alexia et Stephan Schrauwen, au volant d’une BMW 328.

La superbe BMW 327 sur le terrain.

sera plus échapper la victoire, ni dans le groupe 1, ni au général. BadenBaden, Dijon, Aix-les-Bains, Evian-les-Bains : partout, leur nom domine le classement. C’est d’ailleurs le cinquième trophée du couple Schrauwen dans le National Classic Tour. Sur le podium, on verra aussi Filip et David Bourgoo sur Bentley MK VI, ainsi que Nicolas D’Ieteren et Laurent Germeaux au volant d’une Delage 6-70.

Dans le groupe 2, au terme d’une lutte sévère, la victoire va à Joost van Cauwenberge et Marc Devos, sur Austin Healey MK III, devant deux Porsche.

BMW, une présence remarquée Le nom de BMW se doit évidemment de figurer sur la liste des participants à un rallye de voitures anciennes aussi prestigieux. « Mais nous allons plus loin », précise Christophe Weerts, responsable RP de BMW Belux. « Depuis 2006, nous sommes le premier sponsor de la manifestation et nous serons encore au rendez-vous pour l’édition anniversaire de 2009.

Cette année ce tient, en effet, la 10e édition du National Classic Tour, un événement qui sera célébré également par BMW. Cette 10e édition empruntera le parcours initial de Luxembourg à Knokke, en passant par le fabuleux circuit de Spa-Francorchamps. » En 2008, pour la quatrième fois, BMW Belux a aligné au départ du rallye de superbes modèles historiques. Après Hugues de Fierlant et John

Goossens sur une BMW 507 (2002), des journalistes sur une BMW 327 la même année, une BMW 507 en 2006 et enfin une BMW 507 pilotée par Fabienne Vastapane et Patricia Braun (2007), nous avons vu cette fois une BMW 328, confiée par BMW Belux à Didier de Radiguès.

Après ses victoires en GP moto, Didier de Radiguès a fait une belle carrière dans le sport automobile. Devenu pilote officiel BMW, il a notamment gagné les 24 Heures de Spa en 1997 au volant d’une BMW 320i. A l’occasion de ce National Classic Tour, il partageait sa BMW 328 avec deux journalistes belges, un néerlandophone et un francophone, qui se sont succédés à la place du copilote pour relater www.nationalclassic.be l’expérience à leurs lecteurs.

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Texte Christophe Weerts

BMW Motorrad en pleine évolution Après avoir présenté les BMW F 800 GS et BMW F 650 GS ainsi que les modèles sports BMW G 450 X et BMW HP2 Sport en 2008, BMW Motorrad lance pas moins de quatre nouveautés. Cinq même avec l’entrée en compétition dans le championnat du monde de Superbike de la BMW S 1000 RR.

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La BMW F 800 R en pleine action.

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Et de cinq pour la famille des BMW F 800 !

Des BMW K 1300 optimisées

Reprenons par le commencement. En 2006, BMW Motorrad créait la surprise en lançant une toute nouvelle gamme de bicylindres, dont les BMW F 800 S et BMW F 800 ST constituaient la base. Un an plus tard, deux nouveaux modèles faisaient leur apparition dans les showrooms de la marque allemande : la BMW F 800 GS et la BMW F 650 GS, cette dernière étant particulièrement adaptée aux néo-motards.

Lors du Salon EICMA du deux-roues à Milan en novembre 2008, une cinquième version de la série BMW F 800, roadster cette fois, a été présentée. La BMW F 800 R jette un pont entre la BMW F 800 et les autres roadsters de la gamme (la BMW R 1200 R et la BMW K 1300 R).

Son look sportif annonce d’emblée les ambitions de la nouvelle venue.

Animée par un bicylindre de 798 cm3 à quatre soupapes par cylindre, la BMW F 800 R est une vraie sportive résolument axée sur le plaisir de conduire et le dynamisme de roulage. Son bicylindre en ligne, qui a déjà séduit dans les autres versions de la BMW F 800 par ses reprises impressionnantes et sa consommation réduite, présente aujourd’hui des réactions et une réponse à l’accélération encore optimisées grâce à des papillons offrant une nouvelle cinématique. La BMW F 800 R allie ainsi des performances routières particulièrement sportives à une grande agilité, ce qui en fait un excellent compagnon de voyage.

Son poids peu élevé de 204 kg (tous pleins faits) et sa partie cycle avec double bras oscillant participent grandement au dynamisme de roulage de la nouvelle venue. Les petites routes sinueuses de nos Ardennes constitueront un excellent terrain de jeu.

Quant à la sécurité, elle fait partie des principales préoccupations du constructeur. C’est ainsi que la BMW F 800 R peut être équipée (en option) d’un ABS comportant un capteur de pression de conception nouvelle qui permet une régulation encore plus fine du système.

Si la BMW F 800 R complète sa gamme, il en va tout autrement pour la série des quatre cylindres en ligne. Les célèbres BMW K 1200 font place à trois modèles entièrement nouveaux : BMW K 1300 S, BMW K 1300 R et BMW K 1300 GT. En 1983, BMW Motorrad innovait une nouvelle fois en lançant un nouveau quatre cylindres refroidi par liquide, garantissant une stabilité thermique et une isolation acoustique maximales. Deux autres innovations s’y sont ajoutées, plus tard : une injection essence électronique et un concept intégrant le moteur dans le cadre tubulaire acier.

Cette architecture a servi d’exemples à toutes les BMW de la nouvelle Série K. Sportive, grand tourisme ou basique – les motos BMW de la Série K se caractérisent par leur technique très innovante. Ainsi, la BMW K 1200 S était la première représentante de la Série K à recevoir un quatre cylindres disposé transversalement.

Pas moins de 65 000 exemplaires des modèles à quatre cylindres ont été livrés au cours des quatre dernières années. Il était donc temps de donner une nouvelle impulsion à ces modèles. L’ensemble de la gamme a été profondément renouvelé sur tous les plans.

En augmentant la cylindrée à 1300 cc, les ingénieurs de BMW Motorrad ont non seulement élevé la puissance mais aussi le couple et donc le dynamisme.

BMW F 800 R : une vraie sportive

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La BMW K 1300 S : la plus puissante de toutes La BMW K 1300 S est la plus puissante et la plus rapide BMW de tous les temps. Avec 175 ch pour un poids de 254 kg (tous pleins faits), la BMW K 1300 S répond aux exigences les plus élevées en matière de dynamisme, de performances routières et de plaisir de conduire. Ce nouveau modèle séduit tout autant par sa fiabilité, sa facilité d’entretien et son écocompatibilité. La BMW K 1300 S est, en effet, équipée d’un

BMW K 1300 S : la plus rapide de tous les temps

BMW K 1300 R : encore plus musclée

pot catalytique trifonctionnel réglé par sonde lambda et le réglage de la gestion moteur numérique lui permet de respecter les normes antipollution les plus sévères. La BMW K 1300 S s’offre même une première mondiale. Grâce au « shifter » HP disponible en option, son pilote a en effet la possibilité de monter les rapports sans actionner l’embrayage et, donc, quasiment sans rupture de charge.

La BMW K 1300 R : un roadster plus dynamique D’un aspect encore plus musclé, la nouvelle BMW K 1300 R révèle sa force au premier coup d’œil. Le carénage restylé du support de roue avant et le recouvrement de la roue au dessin compact soulignent davantage la partie avant et lui donnent un air plus élancé et dynamique.

D’un look agressif, les caches de radiateur font montre d’une puissance accrue. Toute une série d’autres détails soulignent l’ambition de cette machine. Le confort du pilote a également été amélioré à tous égards.

Tout en puissance avec ses 173 ch, le roadster BMW K 1300 R est une machine à piloter hautes performances, très proche de la BMW K 1300 S sur le plan des composants techniques comme des performances routières et de la sécurité de conduite. Par rapport à sa devancière, le guidage de la roue avant – BMW Duolever – est maintenant un peu plus incliné alors que l’empattement a été allongé. Sur le moteur, la canalisation d’air a été adaptée, c’est pourquoi la puissance maximale est à peine inférieure à celle de la BMW K 1300 S. Les accélérations et les reprises sont également d’un très haut niveau.

La BMW K 1300 GT : du rêve à la route En lançant la nouvelle BMW K 1300 GT, BMW Motorrad ouvre à l’Univers BMW Grand Tourisme de nouvelles dimensions de dynamisme et d’aptitude aux longues distances. Forte d’un ensemble mécanique encore plus souverain, d’une qualité encore supérieure,

BMW K 1300 GT : le « Grand Tourisme » au plus haut niveau

d’un carénage perfectionné et de nombreuses options, la nouvelle BMW K 1300 GT incarne le « Grand Tourisme » au plus haut niveau.

Délivrant une puissance de 160 ch et un couple maximal de 135 Nm, la BMW K 1300 GT bénéficie, elle aussi, de l’augmentation de la cylindrée et se démarque comme l’une des motos les puissantes de son segment. La nouvelle BMW K 1300 GT redéfinit la donne sur le plan du confort, de la sécurité de conduite et de l’équipement. C’est le résultat d’une excellente partie cycle pouvant recevoir en option le système de tarage électronique de la suspension ESA II (comme les autres modèles BMW K 1300). Ce système innovant permet de régler, par simple actionnement d’un bouton au guidon, non seulement les ressorts et les amortisseurs mais également la raideur du ressort. La nouvelle venue est également équipée, entre autres, d’un régulateur de vitesse électronique ou encore d’une selle chauffante que le pilote et le passager peuvent régler séparément. Enfin, en termes de sécurité la BMW K 1300 GT dispose de manière standard du système BMW Motorrad Integral ABS, tout comme la BMW K 1300 S.

La BMW S 1000 RR : objectif Superbike Et pourquoi ne pas vous rendre, avec la version sportive, le roadster ou la GT, sur l’un des circuits accueillant le championnat du monde de Superbike ? Vous pourrez y découvrir la nouvelle moto de course développée par BMW Motorrad Motorsport, la BMW S 1000 RR, confiée aux pilotes chevronnés Troy Corser et Ruben Xaus. Nous y reviendrons prochainement. Les passionnés peuvent déjà s’informer www.bmw-motorrad.be - www.bmw-motorrad.lu sur www.S1000RR.com.

Suivez, en direct et en exclusivité, la BMW S 1000 RR lors du Championnat du monde Superbike sur le circuit allemand du Nürburgring. Surfez sur www.bmw-motorrad.be, répondez aux questions et gagnez des tickets VIP !

BMW S 1000 RR : Superbike

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BMW Tracking : la protection ultime pour votre BMW

Texte Joost Custers

Imaginez qu’un jour votre BMW, à laquelle vous tenez tant, disparaisse. Même si cette probabilité est de plus en plus faible, le risque n’a pas totalement disparu. Le cas échéant, comment la retrouver rapidement? BMW Tracking est la solution par excellence.

A l’aide d’un système de localisation intégré, une centrale d’alarme repère immédiatement votre voiture et prend sans attendre les mesures nécessaires pour la récupérer.

BMW Tracking est un système de sécurité et de surveillance BMW Original, qui répond aux normes belges et européennes les plus strictes. Même si les BMW ne figurent pas parmi les voitures les plus souvent volées, l’adage ‘mieux vaut prévenir que guérir’ conserve toute sa pertinence. D’autant qu’à partir d’une certaine valeur, en règle générale € 50 000 hors TVA, les compagnies d’assurance sont de plus en plus nombreuses à exiger des systèmes de sécurité complémentaires.

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Afin de répondre à ce besoin croissant, BMW a développé récemment, en collaboration avec un spécialiste extérieur, son propre système de suivi et de localisation, BMW Tracking. Il existait déjà sur le marché des dispositifs de ce genre mais qui n’étaient pas liés à une marque spécifique. BMW a donc préféré mettre au point son propre système.

Vu la complexité de ces appareils télématiques, une plate-forme spécialement développée pour une marque est toujours plus fiable que des systèmes génériques utilisables par plusieurs constructeurs automobiles.

La base technologique du système est l’œuvre de MetaSystem Group, un important acteur sur le marché des systèmes de suivi et localisation. BMW et MetaSystem Group ont mis leur savoir-faire en commun pour développer une solution sur mesure pour les différents modèles BMW. Le résultat s’appelle BMW Tracking. BMW Tracking garantit une intégration optimale du système dans la plate-forme informatique de votre BMW. Tandis que les antivols classiques mettent tout en œuvre pour éviter le vol ‘normal’ (les systèmes BMW sont aujourd’hui quasiment inviolables), BMW Tracking est un dispositif de protection qui permet de retrouver votre BMW. Le cas échéant, BMW Tracking fait appel aux tech-

En cas de vol, le signal d’alarme avertit la centrale, qui localise votre BMW et prend immédiatement contact avec vous.

nologies GPS et GSM pour suivre les déplacements de la voiture.

En cas de vol, le signal d’alarme avertit la centrale, qui localise votre BMW et prend immédiatement contact avec vous. Si l’alarme s’est déclenchée, c’est que l’on a tenté d’utiliser la voiture sans ID Tag (votre clé à code personnel), de la déplacer sans mettre le moteur en route, ou que l’on a sectionné les câbles de connexion du système. Mais vous aussi, à l’aide d’un code personnel, vous pouvez signaler un vol à la centrale. Celle-ci active alors la procédure pour retrouver votre BMW : la voiture est suivie grâce aux signaux satellite (GPS) et GSM. Que la voiture se déplace ou reste immobile, le suivi reste actif. Si nécessaire, il est possible d’interrompre toutes les fonctions vitales de la voiture. On peut empêcher le redémarrage du moteur après un arrêt.

Pour éviter les accidents, cette mesure n’est prise qu’après un arrêt complet d’au moins 30 secondes. La centrale peut aussi prendre contact avec les autorités locales afin de restituer l’automobile à son propriétaire légitime.

Actif en permanence BMW Tracking étant un produit BMW Original, l’installation doit être réalisée suivant les normes et conditions de la marque. Cela signifie concrètement que tout le monde n’est pas habilité à installer BMW Tracking dans votre voiture. En outre, au terme de l’opération, l’installateur agréé vous remettra les documents et attestations d’Assuralia, la fédération professionnelle des assureurs. Ces pièces, vous les remettrez à votre tour à votre courtier.

BMW Tracking est naturellement reconnu et agréé par Assuralia. Le système est entièrement conforme aux normes CJ0 et CJ2 de la fédération. L’installation de BMW Tracking donne aussi droit à une ristourne sur les primes d’assurance auprès de certaines compagnies. Votre BMW Partner est l’interlocuteur idéal pour vous renseigner dans ce domaine.

Le matériel du système se limite à un boîtier de dimensions modestes, très discret. Pour des raisons évidentes d’ailleurs, le boîtier n’est pas toujours installé au même endroit.

Après l’installation dans votre BMW, le système est activé. Via un abonnement à la centrale d’alarme, votre BMW est protégée partout et à tout moment car le système est actif en permanence, y compris durant vos déplacements à l’étranger. Actuellement, BMW propose deux formules, Stand Alone ou Integrated.

Avec l’option Integrated, le propriétaire de la voiture dispose d’un à huit ID Tags. Un ID Tag est une clé à code qui doit toujours être en votre possession lorsque vous conduisez. Cela permet à la voiture de vous identifier comme le propriétaire/conducteur légitime. Si vous conduisez sans ID Tag, le système considère l’utilisation de la voiture comme un vol et avertit immédiatement la centrale d’alarme. Celle-ci prend contact avec vous afin de savoir s’il s’agit effectivement d’un vol.

BMW Tracking fait appel aux technologies GPS et GSM pour suivre les déplacements de la voiture. Le système est actif en permanence, y compris à l’étranger, et peut, si nécessaire, empêcher le redémarrage du moteur.

Dans la formule Stand Alone, en cas de vol du véhicule, c’est à vous qu’il appartient d’avertir la centrale d’alarme afin qu’elle lance la procédure de localisation.

Enfin, BMW Tracking est entièrement personnalisé. Pour contacter la centrale d’alarme, vous avez toujours besoin de votre code personnel.

La centrale sait ainsi que vous êtes bien le propriétaire de la voiture.

Moyennant votre autorisation, d’autres personnes peuvent utiliser votre mot de passe.

Grâce à BMW Tracking, vous profitez de votre BMW en toute sérénité, avec un plaisir de conduire intact. Votre concessionnaire BMW vous communiquera tous les renseignements utiles ainsi que les conditions de BMW Tracking.

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Texte Joost Custers

BMW Individual : la façon la plus exclusive de rouler en BMW Rouler dans une BMW, personnalisée en fonction de vos goûts et de vos exigences, est votre plus grand souhait ? BMW Individual donne vie à vos aspirations les plus profondes et vous offre une nouvelle dimension de l’individualité.

Depuis toujours, chaque BMW répond au départ aux normes les plus exigeantes en matière de qualité et d’esthétique, permettant à son conducteur de partager pleinement la philosophie de la marque. BMW Individual va plus loin encore, en permettant aux amoureux du raffinement suprême de personnaliser leur BMW d’une manière exceptionnelle et exclusive.

Appartenant à BMW M GmbH, BMW Individual est une filiale à part entière de BMW, entièrement consacrée à la création d’œuvres magistrales et parfois uniques à partir de la gamme BMW. BMW Individual est synonyme d’individualité et d’exclusivité sous leur expression la plus noble.

Karl Lagerfeld Les origines de BMW Individual remontent à 1991. Le couturier allemand Karl Otto Lagerfeld, une des personnalités les plus influentes de la mode, souhaite apporter sa touche personnelle et inimitable à sa BMW 750iL. Il contacte nos concepteurs spécialisés qui, connaissant son immense savoir-faire en matière de design, l’invitent à collaborer au projet.

Le résultat est époustouflant. La BMW de Karl Lagerfeld respecte non seulement les exigences de la marque mais affiche aussi un caractère incontestablement unique et exclusif. BMW Individual est née. Par la suite, BMW personnalisera encore différentes voitures pour le roi de la mode. De nombreuses célébrités emboîteront le pas à Karl Lagerfeld, comme l’artiste anglais David Hockney ou encore la créatrice de mode japonaise Hanae Mori.

Plusieurs sociétés font également appel aux services de BMW Individual. Un bel exemple est l’hôtel Four Seasons à Berlin, qui possède une flotte prestigieuse de BMW Série 7 configurées par BMW Individual à l’image de l’hôtel, sous les conseils de Karl Lagerfeld.

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Celui-ci a d’ailleurs décoré l’intérieur du palace berlinois et y occupe une suite en permanence.

De même, la luxueuse maison d’horlogerie suisse Girard-Perregaux a fait appel en 2006 à la dextérité de BMW Individual pour configurer une BMW Série 7 reflétant les valeurs de l’entreprise. Elle n’a pas hésité à qualifier le prodigieux résultat final de ‘haute voiture’, faisant référence à la haute horlogerie qui fait la renommée de la maison. Une expres-

La BMW commandée en 1991 par Karl Lagerfeld respecte non seulement les exigences de la marque mais affiche aussi un caractère incontestablement unique et exclusif.

sion qui reflète parfaitement l’action de BMW Individual. Non content de répondre aux desiderata du conducteur, BMW Individual crée de véritables chefs-d’œuvre exclusifs.

Chaque requête individuelle est exécutée avec une compétence rigoureuse.

Personnalisation exclusive Pour recourir à BMW Individual, vous pouvez vous adresser à votre concessionnaire, qui détaillera les possibilités et répondra à toutes vos questions.

Parmi les diverses possibilités offertes pour pratiquement chaque modèle de la gamme, BMW Individual se concentre particulièrement sur l’esthétique, permettant de concevoir une voiture sur mesure. Mais elle exauce aussi des vœux spécifiques en termes d’équipement technologique. On songera, par exemple, au réfrigérateur BMW Individual, au système audio High-End BMW Individual ou au système DVD BMW Individual à l’arrière, conçus exclusivement par BMW Individual et adaptés au modèle considéré.

BMW Individual offre un grand choix d’équipements soigneusement sélectionnés allant des laques haut de gamme mettant en valeur la profondeur et l’aspect métallisé de la couleur jusqu’aux jantes BMW Individual, en passant par différentes gammes de cuirs raffinés, des inserts décoratifs en bois noble caractéristique, des volants avec marqueterie ou encore des ciels de toit spécifiques. Certaines options pouvant être harmonieusement combinées et intégrées, si le conducteur le souhaite, dans un pack d’équipements BMW Individual.

BMW Individual répond aussi aux demandes spéciales et personnelles du conducteur, appelées Special Requests ou Sonderwunsch (moyennant supplément). Chaque requête individuelle est étudiée avec attention par BMW Individual. Lorsqu’elle s’avère techniquement réalisable dans le strict respect des critères de qualité et de développement BMW, elle est exécutée avec une compétence rigoureuse.

Il faudra naturellement toujours inscrire cette démarche en ligne avec la philosophie de BMW et respecter les éventuelles contraintes légales.

Un coup d’œil dans les coulisses de BMW Individual est riche d’enseignement. ‘You never get a second chance to make a first impression’ (Vous n’aurez jamais une seconde chance de faire bonne impression).

Pour cette raison, chaque équipement disponible dans le programme est le fruit de recherches qui peuvent être effectuées en partenariat avec des sociétés renommées actives dans d’autres secteurs. BMW Individual entreprend ainsi d’importantes recherches dans le domaine des peintures extérieures. Les laques utilisées dans la ligne BMW Individual charment l’œil grâce à une pigmentation exclusive, qui les distingue techniquement

Voici un autre exemple remarquable d’une BMW Série 7 exécutée en 2006 par BMW Individual pour la maison d’horlogerie Girard-Perregaux.

et esthétiquement. Si la laque se compose généralement de cinq couches minimum, les trois premières forment le substrat. Bien qu’invisibles, elles jouent un rôle primordial dans le résultat final. La quatrième couche contient les pigments qui génèrent la couleur distinctive, et la dernière application produit un brillant irréprochable et protecteur. Allant encore plus loin, BMW Individual applique pour certaines couleurs jusqu’à sept couches.

C’est le cas de la nouvelle peinture Brillantweiss (blanc) métallisée.

La principale source d’inspiration de BMW Individual reste toujours le conducteur BMW, avec le désir constant de transformer ses souhaits en réalité.

Cuir exceptionnel Dans l’habitacle, le cuir utilisé par BMW Individual répond, lui aussi, à des normes très sévères. Il s’agit du cuir Merino, un produit d’une qualité hors du commun. Pour être sélectionnée, la peau ne devra présenter aucune cicatrice de fil barbelé ou de piqûre d’insecte et être uniforme, souple et naturelle.

Une des techniques de traitement du cuir est la BMW SunReflective Technology, qui réfléchit la lumière du soleil grâce à un pigment spécial incorporé dans la matière. Cette technologie est présente dans les cuirs – dont le Merino – équipant les cabriolets BMW, permettant à la peau de moins chauffer et de garder un contact plus frais.

Pour parfaire l’intérieur en accord avec la couleur du cuir retenu, BMW Individual propose des finitions en bois nobles sélectionnés à la main, cultivés et acheminés dans des conditions respectueuses de l’environnement.

Les possibilités proposées par BMW Individual sont pratiquement illimitées. La principale source d’inspiration reste toujours le conducteur BMW, avec le désir constant de transformer ses souhaits en réalité. C’est à cette mission quotidienne que s’attellent en permanence les artisans de BMW Individual.

La nouvelle BMW Individual Série 7 dégage une atmosphère exclusive grâce à son intérieur cuir Merino Champagne, ses finitions en bois noble, son frigo et ses lampes de lecture.

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2009 : nouvelle formule !

Pour cette 21e édition, le célèbre tournoi de golf organisé par BMW change de formule. Un choix stratégique qui permettra à un plus grand nombre de golfeurs de découvrir l’univers BMW et de participer à une compétition d’exception.

Texte

Photos

Dominique Van Nieuwenhove

Michel Mertens

Au fil des ans, le tournoi golfique organisé par BMW a vu sa notoriété croître et le nombre de participants n’a cessé d’augmenter. De 11 tournois en 2004, nous sommes passés à 21 en 2008, tandis que le nombre de joueurs atteignait le chiffre record de 2600 lors de la dernière édition belge. Au niveau mondial, la BMW Golf Cup International est la plus importante compétition de golf destinée aux amateurs avec quelque 100.000 participants dans plus de 50 pays.

Une position de leader que BMW entend bien conserver tout en continuant à transmettre des valeurs en phase avec celles de la marque!

Une formule élargie Soucieux de se différencier des organisateurs concurrents mais aussi de confirmer sa place de chef de file dans le monde du golf, BMW a décidé de revoir la formule de son tournoi tout en tenant compte des 78

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remarques et des desideratas des concessionnaires et des joueurs.

Auparavant la compétition n’était ouverte qu’aux seuls clients et prospects des concessionnaires. Ces derniers avaient le choix d’organiser leur tournoi exclusif ou de participer aux tournois ‘Open’. Dorénavant, la BMW Golf Cup, devenue cette année BMW Golfsport, est ouverte à tous les membres des clubs de golf participants, même s’ils ne sont pas clients chez BMW. De plus, les concessionnaires ont la possibilité d’organiser leur tournoi dans le club de leur région. Ce changement de formule permettra de faire connaître la BMW Golfsport à un plus grand nombre de joueurs tout en augmentant le taux de participation et donc le nombre de tournois. Cette année, 17 BMW Golfsport Club Tournaments seront organisés, ainsi que 12 BMW Golfsport Private Tournaments. Les qualifiés seront invités à jouer l’un des quatre ‘qualification tournaments’ organisés en septembre dans quatre des plus grands clubs de golf du pays. La finale nationale se déroulera à la fin du

Paulo Madureira, en plein swing, a réalisé une belle performance lors de la World Final 2008.

A Buenos Aires, les représentants belges ont été remarqués : Paulo Madureira (g.), Inge Gyselinck et Alban Schickele.

La finale mondiale de la 20e édition

mois de septembre. Quant à la finale mondiale, elle aura lieu en Asie, en février 2010.

Pour la bonne cause La 21e édition débutera le 19 avril et les tournois de qualification se clôtureront au début du mois de septembre. Les participants doivent toujours présenter un handicap inférieur à 28.5 et les tournois de club répondent aux règles en vigueur dans le club qui sélectionnera lui-même ses gagnants. La grande finale est exclusivement réservée aux clients BMW. La compétition se joue en ‘Single Stableford’, en partenariat avec Sony et Laurent Perrier. Cette année, le don de 30 euros demandé lors de l’inscription sera versé à deux œuvres caritatives : l’Accueil, un centre de protection de l’enfant qui accueille les enfants dont les parents sont en difficulté et The Belgian Kids Fund, l’Association Scientifique de l’Hôpital Universitaire des Enfants Reine Fabiola.

La 20e édition de la BMW Golf Cup s’est terminée en beauté sous le soleil argentin. Du 1er au 6 décembre 2008, le Jockey Golf Club de Buenos Aires a accueilli quelque 140 participants venus des quatre coins du monde. Ceux-ci ont disputé la finale mondiale dans un cadre idyllique, sur un terrain boisé et entouré d’eau.

Un parcours difficile qui s’est soldé par la victoire de Florence Luron (île Maurice, Dames), Eduardo Izbaile (Mexique, Hommes catégorie 1) et Alain Desmurger (France, Hommes catégorie 2).

Dans la catégorie National Team, la victoire est revenue à l’équipe mexicaine suivie par celles de Taïwan et du Paraguay. Quant aux représentants belges, ils n’ont pas démérité. Inge Gyselinck, Paulo Madureira et Alban Schickele ont réalisé une belle performance en se classant respectivement 28e (catégorie Dames), 15e (catégorie Hommes 2) et 5e (catégorie Hommes 1). Sans oublier la National Team belge qui a terminé à la 9e place.

A l’issue de la finale, les participants ont eu l’immense privilège de suivre un cours de golf en compagnie de deux joueurs professionnels argentins, Eduardo et Andrés Romero. Classés parmi les meilleurs joueurs du monde, ils ont été surpris par le niveau de cette compétition réservée à des amateurs et se sont félicités qu’un tournoi de cette envergure soit organisé dans leur pays. www.bmw.be/golfsport - www.bmw.lu/golfsport

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Collection BMW F1 Team : made for winners Texte Karen Van der Sype

Les hurlements de moteurs, les odeurs de gomme, les décharges d’adrénaline... vont bientôt revenir hanter tous les passionnés de F1. La nouvelle saison s’annonce particulièrement captivante.

Tout comme la nouvelle ligne de vêtements F1 de la BMW Sauber F1 Team.

Le bolide de la BMW Sauber F1 Team pour la saison 2009, entièrement revu, est une vraie révélation, testée et approuvée par Christian Klien. Si perfection technique et performances ultimes sont au rendez-vous, ce n’est pas par hasard. Mario Theissen, directeur de BMW Motorsport, et Willy Kampf, directeur technique, se sont fixé un objectif ambitieux : « Nous visons le titre mondial. » Après une très belle saison l’an dernier, les pilotes Nick Heidfeld et Robert Kubica, fin prêts, fourbissent leurs armes.

Ce souci d’innovation et de perfection se retrouve dans la toute nouvelle ligne de vêtements F1. Les stylistes présentent une collection élégante, sportive et bien pensée, appelée à créer la tendance.

Chaque fibre, chaque détail respire l’atmosphère typique des circuits automobiles. Si la collection est un avant-goût de ce qui nous attend, BMW Sauber peut voir l’avenir avec optimisme ! Découvrez dès à présent la nouvelle collection F1 chez votre concessionnaire BMW. 80

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Tee-shirt logo homme

Un tee-shirt très mode, sportif et dynamique, comme on n’en trouve que sur les circuits. Le motif de l’épaule représente une trace de pneu stylisée. Le petit logo à l’avant et le grand logo du dos ne laissent planer aucun doute : ce tee-shirt est réservé aux fans du Team.

Tailles S à XXL Prix: 23 euros.

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Tee-shirt longues manches homme

Ce tee-shirt longues manches tendance reflète parfaitement l’esprit de votre Team F1 favorite.

Le logo est subtilement mis en valeur par le bleu et le rouge traditionnels.

Tailles S à XXL Prix: 51 euros.

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Coupe-vent femme

Un beau coupe-vent pour femme, en polyester léger. La ligne sportive s’inscrit dans les dernières tendances de la mode. Protection efficace contre le vent et la pluie.

Pour une allure resplendissante !

Tailles XS à XL Prix: 91 euros.

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Chemise business homme

Dynamique, sportive et en même temps très élégante. Cette belle chemise homme en coton, avec coutures de dos surpiquées, reflète toute la modernité de BMW Sauber.

Tailles S à XXL Prix: 68 euros.

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Veste sweat homme

Le liseré blanc de la veste et du capuchon donne une touche moderne à cette confortable tenue de sport en coton de qualité. Discret, le logo de la manche rappelle ses origines : pure F1 !

Tailles S à XXL Prix: 85 euros.

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Veste longue homme

Veste homme protégeant du vent et de la pluie. Les notes de couleur et le liseré rouge allient classe et dynamisme sportif.

Le logo figure sur la manche, derrière le col relevé et sur la tirette.

Tailles S à XXL Prix: 170 euros.

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Top femme

Un top fashion, avec bretelles croisées dans le dos. A la fois féminin et sportif. Les surpiqûres de couleur et le bas arrondi lui donnent une touche décontractée.

Tailles XS à XL Prix: 34 euros.

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Polo homme Pit Crew

Votre place sera sur la grille de départ si vous portez cet irrésistible polo orné du logo de tous les sponsors du BMW Sauber F1 Team. Ready, set, go !

Tailles S à XXL Prix: 80 euros.

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Veste en jeans homme Pit Crew

Pour créer cette jolie veste en denim, les stylistes se sont inspirés de la combinaison de course officielle des deux pilotes, Nick Heidfeld et Robert Kubica.

Tailles S à XXL Prix: 136 euros.

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Robe Fashion

Robe bleue très tendance.

Coupe séduisante, boutons fantaisie, logo discret sur la

manche : du pur ’sporty spice’.

Une fine ceinture pour encore plus de féminité.

Tailles XS à XL Prix: 158 euros.

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Sac à main

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Le damier rappelle les circuits.

Un sac à main en synthétique, à la coupe très mode. Se porte à la main ou à l’épaule.

Prix: 85 euros.

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Sac à dos

Un joli sac à dos qui deviendra vite indispensable grâce à son grand espace de rangement.

Poche séparée pour laptop, rangements latéraux, dos ventilé et sangles confortables.

Prix: 80 euros.

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Pins

Les pins sont de retour. A collectionner ou à échanger. Motifs variés. Par trois pièces.

Prix: 4 euros.

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Stift Set

Notez les temps de passage avec ce tout nouvel ensemble de feutres aux couleurs officielles du BMW Sauber F1 Team. Un bleu, un rouge et un cordon tour de cou en métal.

Prix: 14 euros.

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Urban Racer F1

Mode et sport convergent dans cette chaussure Puma. Dessus en cuir de qualité. Pour arpenter les circuits avec style.

Tailles de 35,5 à 48 Prix: 112 euros.

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En Pointe F1

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Chaussure Puma pour femme en cuir laqué blanc. Une alliance de beauté et de sportivité.

Très légères, fermetures velcro, extrêmement confortables.

Entièrement synthétiques.

Tailles de 35,5 à 42,5 Prix: 81 euros.

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Drift Cat II Crib F1

Les plus jeunes amateurs de F1 ne sont pas oubliés. Mignonnes baskets Puma tout cuir. Confort garanti pour les petits pieds.

Il n’est jamais trop tôt...

Tailles de 16 à 20 Prix: 29 euros.

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09 Prix sous réserve de modifications et incluant 21 % de TVA belge. Au grand-duché de Luxembourg, suivant la TVA en vigueur.

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Danny Janssens est l’instructeur principal du BMW Driver Training. Depuis 1985, il forme la Police fédérale à des techniques de conduite spécifiques (cours de dérapage, conduite sur circuit, conduite de protection, techniques de fuite). Dans les années 1990, suite à sa certification en tant qu’instructeur BMW Driver Training, il a mis au point les stages de conduite de sécurité proposés par BMW. Ces cours entrent dans le cadre de l’offre que BMW fournit dans plus de vingt pays, dont l’Allemagne depuis déjà 30 ans. Le client qui veut améliorer sa conduite automobile peut envoyer un mail à BMW Driver Training. L’offre prévoit quatre niveaux de stages.

Information: www.bmw.be/driver-training - www.bmw.lu/driver-training Contact: BMW.Drivertraining@bmw.be - BMW.Drivertraining@bmw.lu

Le plaisir d’une conduite anticipative, dite ‘défensive’ Une conduite anticipative est souvent associée à une conduite molle et lente, explique Danny Janssens.

Les jeunes conducteurs l’associent même parfois à un manque de caractère et revendiquent une ‘conduite offensive’. Il est temps d’en finir avec cette image négative de la conduite défensive. Plus vous roulez vite, plus vous devez rouler de manière anticipative. Tel doit être le fondement de votre raisonnement.

Texte Alex Van den Berghe

Les automobilistes devraient prendre exemple sur Les autres usagers de la route peuvent créer des situations dangeles motards. Ces derniers sont, pour ainsi dire, les usagers de la route les reuses. Il est important que vous sachiez comment réagir dans de telles plus rapides et sont contraints, pour leur propre sécurité, de rouler en situations. Si vous immobilisez votre véhicule sur la rue, maintenez votre grande partie de manière défensive. Les motards doivent anticiper les pied sur la pédale du frein, même si votre voiture est déjà à l’arrêt. Les feux manœuvres qui vont avoir lieu. Ils doivent se faire remarquer, signaler leur stop sont un signal supplémentaire à l’adresse du conducteur venant à arrivée, évaluer les intentions des autres usagers. l’arrière. De même, si vous êtes à l’arrêt sur la voie de droite parce que vous De quelles qualités doit être pourvu le conducteur idéal ? On attendez que la voie inverse soit libre pour tourner à gauche, maintenez considère trop vite qu’éviter les accidents est une question de chance. votre pied sur la pédale du frein mais gardez également vos roues droites.

Je crois plutôt que la sécurité est affaire de compétences objectives.

Si un conducteur devait vous emboutir par l’arrière, au moins serez-vous Un conducteur ayant une excellente maîtrise de son véhicule ainsi projeté vers l’avant sur votre propre bande de circulation. qu’une bonne perception de la circulation roule de manière beaucoup Si vous vous arrêtez derrière une autre voiture, ne la collez pas trop. Si vous plus sûre que celui qui en est dépourvu. Certes, il faut une certaine dose êtes embouti, vous vous retrouveriez coincé à l’avant comme à l’arrière. Au de chance. Lorsque, sur l’autoroute, une voivolant, vous devez pouvoir voir les roues arrière de Une bonne perception de ture franchit la berne centrale et vous heurte la voiture qui vous précède. de plein fouet, il n’est pas question de maîtrise la circulation exige une saine Anticiper le danger est le mot d’ordre. Roulez de véhicule ou de perception de la circulation comme si vous étiez dans un jeu d’échecs. En dose de méfiance. mais de malchance. essayant d’avoir toujours quelques coups Rester maître de son véhicule s’apprend. d’avance pour éviter d’être pris au dépourvu.

Il ne suffit pas de décrocher son permis pour disposer d’une excellente Un trafic dense exige une conduite plus lente. Plus il y a d’usagers maîtrise de son véhicule. On ne peut parler de bonne maîtrise que si le de la route, plus il est difficile d’avoir une bonne perception de la circuconducteur a pris conscience des possibilités et des limites de sa voiture. lation. Et plus cela prend du temps. Il est donc nécessaire de ralentir.

Celles-ci ne peuvent s’apprendre qu’en situation d’urgence. Mais il serait Derniers conseils pour une conduite anticipative. Respectez les trop dangereux de le faire en plein milieu de la circulation. Des cours de distances de sécurité (votre vitesse divisée par deux donne la distance à conduite spécifiques sont la manière la plus sûre d’appréhender ces laisser entre votre voiture et le véhicule qui vous précède). A ce titre, limites sous l’encadrement d’experts. Le but est, bien sûr, de se tenir l’Active Cruise Control est très utile : ce système veille, à votre place, aux aussi éloigné que possible des situations critiques dans la circulation distances de sécurité. quotidienne.

Si une voiture débouche d’une rue latérale, ne regardez pas seulement Une bonne perception de la circulation exige une saine dose de ses clignotants mais également la direction de ses roues avant ; une méfiance. Une saine dose de méfiance à l’égard des autres usagers vous voiture roule toujours dans la direction de ses roues, pas forcément dans sera plus bénéfique qu’une confiance aveugle. Les deux extrêmes sont à la direction indiquée par son clignotant. éviter : certains conducteurs sont trop sur leurs gardes, à tel point qu’ils ne Si vous prenez une sortie d’autoroute en pleine nuit, regardez la ligne de roulent plus normalement ; d’autres pensent imprudemment ne croiser lumière que font les réverbères allumés dans le virage. Celle-ci vous que de conducteurs respectueux du code de la route. Restez vigilant. donne une bonne estimation de la courbure du virage.

Soyez exempt de tout reproche. Veillez à être un usager de la route Utilisez souvent vos rétroviseurs. Sur autoroute, le danger vient en granirréprochable. Soignez la manière dont vous êtes assis sur votre siège. de partie de l’arrière.

Respectez le code de la route. Et n’enfreignez pas les codes de civilité Evitez de rester entre deux camions avec une voiture particulière. en vigueur dans la circulation. ‘S’insérer à tour de rôle’, par exemple, n’est Gardez vos distances avec les usagers faibles de la route. Un cycliste pas une règle du code de la route mais une forme de courtoisie, favopeut être amené à dévier soudain sa trajectoire pour différentes raisons. rable à la sécurité.

A ce moment-là, son problème devient le vôtre.

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