BMW Magazine DRIVEN FR 2017 1 été by BMW Group Belux

BMW Magazine Printemps/été 2017 – 8 euros

La BMW Série 4 fait peau neuve. Toutes voiles dehors pour la régate ultime. CEO Meeting : le nouvel entraîneur de l’équipe nationale Roberto Martínez, l’espoir de la nation. Le designer Vincent Van Duysen voit la beauté dans l’imperfection. Philippe Graton : « Michel Vaillant a une valeur historique ».

Notre hôtel, avec sa vue panoramique sur les paysages magnifiques de la vallée de Ridnaun, vous accueille à 1 400 mètres d’altitude pour des vacances placées sous le signe des découvertes sensorielles. Les montagnes environnantes invitent au repos et à la détente. La famille Haller et toute l’équipe de l‘hôtel Taljörgele n’ont qu’une seule mission: vous permettre de profiter au maximum du meilleur moment de l’année. Les amis des chevaux se réjouiront de pouvoir profiter de notre écurie. Nous vous proposons de partir ensemble pour des excursions à cheval d’une demi-journée ou d’une journée dans les magnifiques paysages de la vallée de Ridnaun.

HOTEL TALJÖRGELE **** Famille Haller Obere Gasse 14, 39040 Ratschings, Südtirol, ITALIE T +39 0472 656225, Fax +39 0472 656440, info@taljoergele.it

www.taljoergele.it

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**** HÔTEL PANORAMIQUE TALJÖRGELE

Edito

« Si nous pensons à perfectionner la gamme de manière constante, nous réfléchissons aussi à l’avenir à long terme » Quel plaisir de vous retrouver après trois ans d’absence ! Depuis le 1er janvier 2017, j’ai pris la responsabilité de BMW Group Belux après y avoir déjà occupé la fonction de directeur marketing entre 2011 et 2014. C’est dire si j’apprécie l’enthousiasme et la fidélité de nos clients belges et luxembourgeois. Avant de revenir à Bornem, j’ai été responsable du segment compact de BMW à Munich, soit les BMW Séries 2 Active Tourer, Gran Tourer et BMW X1. Grâce à votre intérêt pour la marque, BMW a clôturé l’année passée sur les chapeaux de roue et le lancement en février dernier de la septième génération de la BMW Série 5 nous permet une fois de plus de séduire un large public. Celle-ci bénéficie des investissements dans les nouvelles technologies pour rendre nos produits et services encore plus performants, plus agréables et plus durables. L’arrivée de la version Plug-in Hybride de la Série 5 conforte encore plus notre position de leader dans le segment des véhicules électriques. Outre la BMW i3 entièrement électrique, nous proposons pas moins de six modèles Plug-in Hybride, de la BMW Série 2 Active Tourer à la BMW i8 en passant par les Séries 3, 5 et 7 sans oublier la BMW X5 xDrive40e iPerformance. Ces modèles bénéficient par ailleurs de la technologie BMW ConnectedDrive qui ne cesse de se développer pour vous offrir toujours plus de services. Que ce soit la visualisation de votre voiture à distance, le parking via télécommande, les services de conciergerie, nous avons la volonté de précéder vos besoins en matière de connectivité. La nouvelle BMW Série 5 Touring qui complète la gamme bénéficie de toutes ces facilités et son poids allégé de 100kg augmente encore votre plaisir de conduire tout en augmentant le volume embarqué.

Si nous pensons à perfectionner la gamme de manière constante, nous réfléchissons aussi à l’avenir à long terme comme nous l’avons démontré avec la BMW Vision NEXT 100 présentée à l’occasion de notre centenaire. La conduite autonome que l’on peut déjà partiellement expérimenter via le parking à distance des BMW Série 7 et Série 5 fera véritablement son apparition en 2021 avec la BMW i NEXT qui, non seulement roulera avec un moteur électrique mais pourra se diriger seule. D’ici-là, nous continuerons d’implémenter de nouvelles technologies qui vous permettront de profiter plus encore du plaisir de conduire quelles que soient les contraintes notamment dans les villes classées à faibles émissions. Que ce soit avec les voitures (ou maxi-scooters) électriques ou Plug-in Hybrides ou alors en profitant du partage des voitures gérées par DriveNow, BMW veut vous garantir une mobilité individuelle durable dans les conditions que vous attendez de la marque. Nous continuons par ailleurs notre série d’entretiens avec des personnalités qui nous apportent leur vision du futur et de l’économie, du sport ou de l’art. De neuvième art, il est également question dans ce numéro avec une rencontre avec Philippe Graton, le fils du créateur de Michel Vaillant et scénariste des nouvelles aventures du célèbre pilote qui a fait partie du jury du concours BMW Colorsystem. Vous le constatez, plus que jamais, BMW innove avec toujours à l’esprit de précéder vos besoins et de renforcer votre plaisir de conduire. Quant à moi, je me réjouis de vous rencontrer prochainement lors de nos événements et lancements produits.

Autres nouveautés printanières, celles apportées aux BMW Série 4 qui bénéficient d’une mise à jour avec entre autres de nouvelles optiques, un niveau supérieur de connectivité, un nouvel écran de navigation... Que ce soit en version Coupé, Cabrio, également Gran Coupé ou M4, la Série 4 est plus dynamique que jamais.

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D r. P e t e r H e n r i c h Administrateur délégué Directeur général BMW Group Belux

Printemps/été 2017 Émotion

Sommaire

La nouvelle BMW Série 5 Touring : un allrounder athlétique

La toute nouvelle Série 5 Touring allie une silhouette de rêve à un confort d’utilisation exceptionnel et innove avec des systèmes intelligents d’aide à la conduite et une connectivité numérique de pointe. 10

La BMW Série 4 fait peau neuve Dotée de nouveaux phares à LED, de boucliers redessinés, de quelques subtiles retouches dans l’habitacle et d’une suspension encore plus sportive, la nouvelle Série 4 apparaît plus prestigieuse et dynamique que jamais.

24 À l’aventure avec la BMW Sail Racing Academy Chaque année, quelques heureux chanceux mettent le cap sur le Real Club Náutico de Palma de Majorque pour y apprendre à manier la voile lors de séances de coaching données par des instructeurs internationaux de haut vol. 28 Roberto Martínez, l’espoir de la nation Peter Henrich, le nouveau CEO de BMW Belux, s’est entretenu avec le nouvel entraîneur de l’équipe nationale au sujet des Diables Rouges, de ses ambitions, de son style de coaching, de son approche et, bien sûr... de la passion qu’il voue aux voitures.

IQ 14

Les métropoles européennes œuvrent pour une flotte plus verte De plus en plus de villes introduisent des mesures qui visent à lutter contre la pollution automobile. BMW soutient ces initiatives et propose une série d’alternatives.

22 Deux nouveaux ateliers aménagés pour les étudiants en technique automobile À la mi-février, BMW Group Belux a inauguré ses nouveaux locaux de cours à Bornem. Les étudiants de KTA Mobi Gent furent les premiers à utiliser ces nouvelles installations. 41

Votre équipier idéal pour des performances hors du commun Que vous profitiez d’un rallye de motos, que vous escaladiez une montagne, que vous vous livriez à une régate ou que vous fouliez les greens, par un beau dimanche. La polyvalence est assurément un atout majeur des BMW Sport Collections.

Un concours haut en couleur pour le BMW ColorSystem BMW a son propre système de peinture laquée depuis trente ans: le BMW ColorSystem. Pour célébrer cet anniversaire, BMW Belux a organisé un véritable concours de peinture pour les peintres des partenaires BMW.

Héros 18

Sécurité routière glamour En marge de son rôle de présentatrice de deux programmes sur RTL- TVI, Sophie Pendeville est également ambassadrice de la BMW i3. Son éternel sourire respire la passion et l'attitude positive.

32 La beauté dans l’imperfection L’architecte belge et « Designer de l’Année » Vincent Van Duysen a endossé en 2016 le rôle de directeur créatif de l’entreprise italienne d’ameublement design Molteni&C. Une interview exclusive. 42

Mission DTM Sa victoire aux 24 heures de Spa-Francorchamps, l’an dernier, semble avoir dopé sa confiance en lui. Outre le DTM, Maxime Martin ambitionne également de remporter les 24 heures du Nürburgring et fait aussi figure de grand favori sur le double tour d’horloge des Ardennes.

« Michel Vaillant a une valeur historique » Le nouvel épisode de la série Michel Vaillant signe le retour du héros de course automobile aux 24 heures du Mans. L’auteur, Philippe Graton, explique son choix de faire à nouveau rouler les Vaillantes sur le circuit de la Sarthe.

Inside 12

Boosters d’adrénaline Les accessoires BWM M Performance éveillent, plus que jamais les gènes sportifs de votre BMW Série 5, bien au-delà des limites du circuit. Ouvrez la voie à encore plus de caractère, pour encore plus d’adrénaline.

23 Voitures uniques, expérience unique Fort d’un succès remarquable en 2016, les BMW Luxury Drives auront à nouveau lieu

cette année. Deux nouvelles destinations de charme viennent en outre enrichir le programme : Honfleur et Amsterdam. 38 Le summum de la sécurité L’édition 2017 ajoute une nouvelle dimension à la routière BMW K 1600 GT grâce à un équipement encore plus complet, des fonctionnalités de sécurité supplémentaires et la marche arrière.

Retrouvez toutes les consommations et les émissions de CO2 des BMW présentées dans ce magazine à la page 50.

44 38

Swing Time en Thaïlande La BMW Golf Cup Special Edition sera organisée à l’automne 2018 dans un lieu exceptionnel. Il s’agira de la troisième édition de cette initiative particulière qui a eu lieu à Abu Dhabi en 2013 et en Thaïlande, à la fin de l’année passée.

driven BMW Magazine

* Enquête auprès des diplômés du CAD depuis la promotion 2000. Image 3D réalisée par l’étudiante Sybille de Meeus. Professeurs : Anthony Beth, Cécile Stevens et Samule Biondo.

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Le CAD est une école internationale de design située à Bruxelles. Les cours sont donnés en anglais et en français uniquement par des grands professionnels. L’enseignement est pratique (méthode anglo-saxonne). Les étudiants doivent faire de nombreux stages en Belgique et dans le monde entier. Le CAD organise des workshops à Shanghai, Milan, Londres et de nombreux voyages d’étude et visites d’expositions. Résultat : 97% des diplômés ont trouvé leur job en moins de 3 mois*.

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Émotion

La nouvelle BMW S é r i e 5 To u r i n g : un multitalent athlétique

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Après l’introduction de la version berline de la nouvelle BMW Série 5 au début de l’année, BMW lance maintenant

sa toute nouvelle v a r i a n t e To u r i n g . C e break lifestyle allie une silhouette de rêve à un confort d’utilisation exceptionnel et innove avec des systèmes intelligents d’aide à la conduite et une connectivité numérique de pointe. Texte Kurt Focquaert Photos BMW Belux

BMW a lancé la version break de la Série 5 il y a tout juste

25 ans. Cette voiture, qui conjugue l’allure sportive de la marque à un confort d’utilisation particulièrement élevé, s’est depuis élevée au rang des véhicules les mieux vendus, notamment sur le marché européen. La BMW Série 5 Touring en est aujourd’hui à sa 5e génération. Son principal atout ? Le compartiment à bagages spacieux et modulable. Dans la mesure où les conducteurs de la BMW Série 5 Touring utilisent souvent le compartiment à bagages de manière intensive, BMW monte sur ce modèle une suspension pneumatique à l’arrière avec réglage automatique de la hauteur. De quoi garantir les propriétés routières à tout moment et garantir un plaisir de conduire optimal en toutes circonstances lors du transport de charges lourdes. Moyennant un supplément, la Touring peut aussi être équipée d’une suspension électronique variable. Le coffre offre un volume de chargement de 570 litres qui peut aller jusqu’à pas moins de 1.700 litres. Ce multitalent est équipé de la banquette arrière rabattable fractionnable en trois parties (40/20/40). Le dossier peut désormais se déverrouiller grâce à un bouton logé dans le coffre. Pratique ! BMW prévoit aussi de série un hayon automatique et une ouverture distincte de la lunette arrière. Une option qui tombe à pic lorsqu’il faut déposer rapidement de petits objets dans une voiture stationnée près d’un mur ou d’un autre véhicule.

Émotion

Le tableau de bord incliné vers le conducteur contribue à l’atmosphère haut de gamme dans la nouvelle BMW Série 5 Touring.

L’ouverture distincte de la lunette arrière et la commande automatique du hayon rendent le coffre particulièrement accessible.

Un espace supplémentaire et un confort accru caractérisent l’intérieur de ce nouveau Touring. Le look et l’âme d’un athlète de haut niveau

Même si la nouvelle BMW Série 5 Touring se profile déjà comme une véritable championne du transport, le confort de conduite reste la priorité. BMW a développé un nouveau châssis et met ainsi le plaisir de conduire sportif à l’avantplan, comme vous vous y attendez. Grâce à l’utilisation de l’aluminium ultraléger (notamment pour le hayon), le nouveau Touring pèse jusqu’à 100 kg de moins que le modèle précédent. Combinée à un meilleur coefficient de traînée, cette cure d’amaigrissement conduit à de meilleures performances ainsi qu’à une consommation et des émissions plus faibles. Pour son lancement, la nouvelle BMW Série 5 Touring sera disponible en quatre motorisations : la BMW 520d Touring (163 ou 190 ch, 400 Nm, émissions de CO2 entre 114 et 124 g/km), la BMW 530d Touring (265 ch, 620 Nm, émissions de CO2 entre 124 et 144 g/km), la BMW 530i Touring (252 ch, 350 Nm, émissions de CO2 entre 133 et 139 g/km) et la BMW 540i xDrive Touring (340 ch, 450 Nm, émissions de CO2 entre 167 et 172 g/km).

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Inutile de tergiverser sur le look de la nouvelle venue : il respire la sportivité et se profile comme un athlète de haut niveau. Les designers ont joué avec les surfaces musclées et les lignes aussi droites que puissantes, un profil aux proportions harmonieuses à la clé. La ligne de toit allongée et les montants arrière fortement inclinés accentuent davantage l’aura sportive du nouveau Touring. L’acoustique du silence

L’habitacle de ce tout nouveau Touring se caractérise par un espace supplémentaire et un confort accru. Le tableau de bord, incliné vers le conducteur, est plus bas que celui du précédent modèle et renforce l’impression d’espace. Les occupants apprécieront grandement la garde au toit, la largeur aux épaules et l’espace accru pour les jambes sur toutes les places. Même les passagers à l’arrière bénéficient d’une remarquable liberté de mouvement, ce qui rend le Touring

La nouvelle BMW Série 5 Touring

contrôles, il est de plus en plus important de respecter les limitations de vitesse. Grâce au système Active Cruise Control combiné à la fonction Stop&Go, le conducteur de la nouvelle BMW Série 5 Touring peut demander au système de tenir compte des limitations. Les nouveaux systèmes d’aide au stationnement assurent un confort sans précédent. Les technologies Park Assist et Remote Control Parking (stationnement du véhicule sans conducteur à bord, via la BMW Display Key) simplifient sensiblement le stationnement. Des gadgets utiles et sympas

parfaitement adapté aux longs trajets. Non sans importance en ces temps agités : grâce à une meilleure insonorisation à hauteur du pare-brise, du ciel de pavillon et du coffre ainsi qu’à une capsule antibruit autour du moteur et de la transmission, le silence règne en maître dans ce Touring. BMW a, du reste, tout mis en œuvre pour accroître le confort du conducteur : le plus grand écran de commande en HD du Système de Navigation optionnel, avec une nouvelle commande plus intuitive, des fonctions vocales améliorées, la commande gestuelle ou un Head-Up Display optionnel avec une surface de projection 70 % plus vaste permettent au conducteur de se concentrer au maximum sur la route et d’éviter toute distraction.

Les possibilités de BMW Connected (le système qui connecte la voiture au smartphone du conducteur) s’étendent elles aussi. Le conducteur peut désormais envoyer des destinations de son smartphone à son véhicule et déterminer l’heure de départ idéale en fonction des informations de trafic en temps réel. Dans un pays sujet aux embouteillages comme le nôtre, ce type d’application constitue une réelle valeur ajoutée. Remote 3D View est une fonctionnalité intéressante elle aussi, car elle permet au conducteur d’afficher des images des alentours de sa voiture sur son smartphone.

Le conducteur bénéficie non seulement du Park Assist, mais aussi de la fonction Remote Control Parking.

Cap sur une conduite autonome La BMW Série 5 Berline est équipée d’un large éventail d’innovations technologiques qui la propulsent au rang de voiture la plus innovante de son segment. La nouvelle Série 5 Touring se distingue également par un nombre presque incalculable de systèmes actifs de sécurité et d’alerte automatiques. La BMW Série 5 Touring fait un pas franc en direction de la conduite autonome. Nous brossons pour vous le paysage des innovations les plus marquantes. La fonctionnalité Priority Warning signale la présence de véhicules prêts à croiser la trajectoire de la BMW et avertit le conducteur (de manière visuelle et sonore) lorsqu’il doit céder la priorité. L’assistant de déportement permet d’éviter les obstacles soudains. La fonction Steering & Lane Control Assistant aide à rester sur sa bande à l’aide de petites corrections de trajectoire. Comme vous le savez, au vu du nombre croissant de

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Émotion

La BMW Série 4 fait peau neuve Quatre ans après son lancement à succès, la BMW Série 4 nous revient en une version modernisée. Dotée de nouveaux phares à LED, de boucliers redessinés, de quelques subtiles retouches dans l’habitacle et d’une suspension encore plus sportive, elle apparaît plus prestigieuse et dynamique que jamais. Texte Kurt Focquaert

Photos BMW Belux

La BMW Série 4 a vu le jour en 2013. Dès son lancement, ses courbes somptueuses et sa silhouette racée lui ont valu tous les éloges. À l’origine, cette sportive fut commercialisée en version Coupé, avant que deux modèles supplémentaires viennent rejoindre la famille : la BMW Série 4 Cabrio et la Série 4 Gran Coupé. Au total, les ventes mondiales de cette série s’élevaient à 400.000 voitures, à la fin décembre 2016. Le Life Cycle Impulse que s’est offert la BMW Série 4 cette année a été élargi à tous les modèles de la gamme. Coup d’œil en détail sur cette cure de jouvence... Les phares sautent d’emblée aux yeux

À l’extérieur, les phares au xénon cèdent la place à des phares à LED modernes. La technologie LED fait également son apparition sur les feux arrière, ce qui confère encore plus de caractère au véhicule. Tous les modèles sont, en outre, équipés de série de phares antibrouillard à LED. Avec les boucliers avant et arrière redessinés, les prises d’air modifiées et la nouvelle jupe arrière, la Série 4 modernisée accentue encore davantage son apparence sportive. Pour les amateurs d’originalité, BMW ajoute deux coloris à la gamme : Snapper Rocks Blue et Sunset Orange, des teintes surprenantes exclusivement destinées à la BMW Série 4. Les adeptes de jantes élégantes ne sont pas non plus en reste

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Richard La BMWBranson Série 4

avec l’apparition d’un nouveau design spécifiquement conçu pour chaque finition (Sport, Luxury et M Sport). Nouveaux accents dans l’habitacle

À bord, la BMW Série 4 est dotée de nouvelles garnitures et d’éléments chromés. Le tableau de bord à double surpiqûre s’articule autour de la console centrale en vernis noir brillant. Ces retouches renforcent l’apparence exclusive et l’impression de qualité de la BMW Série 4. Les trois nouveaux coloris de garniture et les trois nouveaux inserts décoratifs

offrent de multiples opportunités de personnaliser la BMW Série 4. Autre nouveauté intéressante : le système de navigation Professional (en option) présente désormais une interface renouvelée et plus intuitive munie de larges zones de commande à adapter à votre gré. Châssis plus dynamique BMW a également relifté la suspension de la nouvelle Série 4. Résultat ? Une suspension plus sportive et aux spécificités encore plus dynamiques, sans compromis sur le confort typique qu’offre BMW. Cette suspension évoluée améliore, par ailleurs, l’accélération transversale et longitudinale. La suspension M Sport et la suspension adaptative bénéficient elles aussi de ces trois améliorations. Sans compter la meilleure stabilité directionnelle et le pilotage encore plus agile.

Découvrez-en plus sur www.bmw.be/4

L A B M W M 4 E N C O R E P L U S DY N A M I Q U E

Les versions ultra-sportives de la BMW Série 4, la M4 Coupé et la M4 Cabrio, sont également concernées par ce changement de look. Ces modèles disposent eux aussi désormais de nouveaux phares à LED, de feux arrière redessinés ainsi que de quelques nouvelles finitions intérieures. À la clé : un résultat à couper le souffle. Avec ses larges prises d’air à l’avant, ses nouvelles jantes en alliage et sa poupe musculeuse, la BMW M4 n’attend qu’une chose : s’élancer sur la route. Le M Competition Pack est une option particulièrement intéressante. Il augmente la puissance jusqu’à 450 ch (19 ch de plus que la BMW M4 «de série»), sans modifier le couple moteur (550 Nm). À l’extérieur, la M4 avec Competition Pack se caractérise par la finition noire brillante autour des vitres, de la calandre et du logo du hayon arrière. À l’interieur, les sièges baquet, avec le logo M retro-éclairé dans l’appuie-tête, ainsi que le maintien latéral intégrés offrent un support parfait.

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Inside

Boosters d’adrénaline Vo u s s o u h a i t e z m e t t r e d a v a n t a g e e n v a l e u r l e caractère sportif de votre nouvelle BMW Série 5 ? Ave c l e s a c c e s s o i re s a d é q u a t s , vo u s d é m a r rere z toujours en pole position. Les accessoires BMW M Performance éveillent, en ef fet, plus que jamais les gènes sportifs de votre véhicule, bien au-delà des limites du circuit. Ouvrez la voie à encore plus de caractère, pour encore plus d’adrénaline. Personnalisez votre BMW Série 5 et rendez-la aussi unique que votre propre style de conduite. Texte Lien De Ruyck Photos BMW Belux

Avis aux amateurs de sport automobile et aux conducteurs de la BMW Série 5 sportive. Pour les mordus des performances de l’équipe de course BMW, les accessoires M Performance transposent directement le savoir-faire et les innovations du sport automobile du circuit à la route. Avec des accessoires liés à l’aérodynamique, à l’échappement, aux grilles de calandres et aux roues, mettez le cap sur une sportivité sans compromis avec votre BMW Série 5. Et si nous profitions de ce bref arrêt au stand pour vous expliquer comment cela se passe précisément ?

Braver les forces Vous ne pouvez pas vous empêcher de lutter contre la résistance au vent ? Les composantes aérodynamiques M Performance présentent une aérodynamique optimale, améliorent l’adhérence et renforcent la conduite sportive de votre BMW. Tous les accessoires ont été spécialement conçus pour la BMW Série 5 équipée du kit M sport ou du kit aérodynamique M.

En avant… toutes ! Vous pensez que la sportivité réside dans les détails ? Grâce aux grilles de calandres noires et brillantes de BMW M Performance, vous personnalisez votre BMW Série 5 en un clin d’œil. Associées aux barres et aux anneaux décoratifs noirs, ces grilles confèrent un look « all black » irrésistible à votre BMW.

Le nouveau design de la lame avant renforce son caractère athlétique et lui donne de plus grands yeux. À la clé ? Une vraie allure racing ! Ajouter une touche subtile avec les embouts carbone avant à gauche ou à droite ou en combinaison avec les embouts carbone au milieu pour attirer l’attention ? À vous de voir !

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Techno Talk Des performances inégalées, 24/7 En bref... Pour une harmonie parfaite entre design et fonctionnalité, mieux vaut opter pour des accessoires BMW d’origine. Garants d’une qualité et d’une autonomie de rêve, ils sont aussi très précisément adaptés à votre propre BMW Série 5. Ces accessoires sont, en outre, soumis à des procédures de développement et de production innovantes et à des tests de qualité approfondis. Tout cela grâce au sport automobile. BMW Motorsport et BMW M Performance partagent ainsi la recette du succès pour des performances inégalées et des accessoires de la plus haute qualité.

Jantes en alliage léger et pneus Et que dire de la beauté remarquable des jantes M Performance en alliage léger coulées ? Elles sont fraisées progressivement à partir d’un morceau de fer forgeable non traité. Leur poids optimisé – tout de même 1,5 kg de moins qu’une jante au style et aux dimensions similaires – vous offre une maniabilité saisissante au volant de votre BMW Série 5.

Le bruit de… l’asphalte chaud Vous aimeriez doter votre BMW Série 5 d’un bruit plus sportif ? Le silencieux d’échappement de BMW M Performance donnera le ton à tous les niveaux. Il ne sacrifie pas l’émotion, même lors de longs trajets.

Affichez vos couleurs, y compris au niveau des pneus ! Le design 669M est en effet disponible en deux coloris exclusifs : noir mat avec jantes fraisées ou Orbitgrey laqué avec superbe finition brillante. De quoi attirer tous les regards ! Sécurité garantie et pneus runflat inclus.

Mais le plaisir des yeux compte aussi ! Avec leur design high-tech exclusif, les embouts d’échappement haut de gamme de M Performance en imposent. Ils sont disponibles en chromé ou en carbone. L’entonnoir interne massif confère un look puissant à l’échappement. Un atout charme à l’arrière de votre BMW Série 5.

Pour un aperçu complet de l’offre M Performance de BMW, surfez sur notre site web http:// bmw.be/toutessaisons ou bmw.lu/toutessaisons

Le sentiment racing ultime Pour conclure : grâce aux accessoires M Performance de BMW, votre nouvelle BMW Série 5 est bien plus athlétique et dynamique. Soulignez son caractère sportif avec les accessoires exclusifs M Performance de BMW, parfaitement adaptés à son design. Les accents optiques, les matériaux exclusifs et les accessoires dynamiques haut de gamme sont synonymes d’excellence. De quoi découvrir le côté sportif de votre BMW. Après tout, vous méritez le meilleur.

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Les métropoles européennes œuvrent pour une flotte plus verte De plus en plus de villes instaurent des mesures qui visent à lutter contre la pollution automobile. BMW soutient ces initiatives et propose une série d’alternatives. Texte Kurt Focquaert Photos BMW Belux

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Voitures Richardélectriques Branson

Le nombre de villes désireuses de restreindre la circulation, voire de la bannir dans le centre-ville, grimpe en flèche. Gand a lancé son fameux “ Plan de mobilité ” début avril sur ses propres terres et Anvers a instauré une “ zone à faibles émissions ” plus tôt dans l’année. De ce fait, des milliers de voitures polluantes ne sont plus autorisées dans le centreville. La Région de Bruxelles-Capitale, Malines et Gand mettront, elles aussi, des “ zones à faibles émissions ” en place dans les années à venir. Nous observons une tendance similaire ailleurs en Europe. En janvier, Oslo a interdit temporairement aux véhicules diesel d’accéder au centre-ville en raison d’une alerte au smog. Bien que la mesure ait rapidement été levée lorsque la météo s’est améliorée, cette interdiction immédiate s’inscrit dans une série de mesures proposées par l’administration communale l’an dernier en vue de réduire la pollution de l’air dans la capitale norvégienne. Les propriétaires d’une voiture au diesel devraient ainsi payer des péages plus élevés en cas de mauvaise qualité de l’air. Mais d’autres limitations sont à venir : Paris, Mexico, Madrid et Athènes entendent déjà bannir les véhicules polluants dès 2025. Ces villes préparent, en parallèle, des mesures pour mettre leur mobilité au vert.

L’autonomie des voitures électriques augmentera de manière spectaculaire, ces prochaines années.

Un nouveau réseau vert

La nouvelle batterie de la BMW i3 porte son autonomie à 300 km.

Différents pays européens examinent les propositions qui visent à freiner la commercialisation de véhicules à combustibles fossiles. Dans l’attente, plusieurs villes européennes implémentent déjà des mesures pour inciter positivement les habitants à choisir plus souvent des alternatives à la voiture. Hambourg entend investir, ces 10 ou 15 prochaines années, dans un nouveau réseau vert qui relierait tous les parcs de la ville. La métropole allemande souhaite encourager les automobilistes à renoncer à leur voiture et à emprunter ce nouveau réseau à vélo ou à pied pour effectuer leurs déplacements. Helsinki désire, quant à elle, transformer de grandes zones de la ville en zones piétonnes reliées au centre-ville par les transports en commun. La capitale finlandaise investit dans de nouveaux services susceptibles d’améliorer la mobilité

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comme une application qui promeut l’utilisation des voitures partagées. Milan teste actuellement une nouvelle méthode dont l’objectif est d’inciter les navetteurs à laisser leurs voitures au garage. Ceux qui se prêtent au jeu reçoivent des tickets gratuits pour les transports en commun. Il ne s’agit là que d’un aperçu des multiples initiatives qu’expérimentent les villes en Europe et partout dans le monde. À terme, il ne fait aucun doute que ces mesures seront bénéfiques, comme l’illustre l’exemple de Copenhague. Les Danois avaient déjà instauré les zones piétonnes en centreville dans les années 1960. Dans les décennies qui suivirent, la capitale a créé de plus en plus de zones à circulation restreinte. Résultat ? Copenhague compte aujourd’hui plus de 300 kilomètres de pistes cyclables. D’autres routes cyclables en direction des banlieues sont en construction. Moins de 30% des habitants de Copenhague devraient, par conséquent, posséder leur propre voiture. La mobilité du futur

L’évolution décrite ci-dessus met l’industrie automobile face à un défi de taille : comment les constructeurs peuventils concilier les aspirations environnementales à la nécessité d’une liberté de déplacement individuel et la densité croissante du trafic ? Malgré tous les efforts consentis par les villes, l’être humain ressent encore et toujours le besoin de pouvoir se déplacer librement à tout moment de la journée. Les constructeurs automobiles en ont conscience et planchent donc depuis des années sur le développement de la voiture électrique. BMW joue pleinement son rôle d’avant-garde avec le lancement de sa gamme i. En 2008, une réunion à laquelle ont assisté 24 ingénieurs et scientifiques a eu lieu au siège social de BMW à Munich. Objectif : esquisser la mobilité du futur. Cette réflexion conjointe a finalement conduit au lancement, en 2013, de la BMW i3 révolutionnaire et purement électrique, une voiture de ville compacte et légère dotée d’un moteur électrique vigoureux. Ce dernier garantit une conduite agréable sans émission. L’an dernier, la BMW i3 a reçu une nouvelle batterie, qui porte désormais l’autonomie à 300 km sans Range Extender (REX) et 410 km avec REX . Une distance largement suffisante quand on sait qu’un Belge moyen parcourt à peine 42 km par jour.

Nous savons avec certitude que l’autonomie des voitures électriques augmentera de manière spectaculaire, ces prochaines années. De quoi satisfaire l’une des deux principales conditions à la mobilité électrique : des véhicules qui offrent une autonomie suffisante pour pratiquement tous les conducteurs. L’autre condition est l’accès à suffisamment d’infrastructures de recharge. Il s’agit actuellement du talon d’Achille de la voiture électrique par rapport à la variante classique. Cet inconvénient s’estompe toutefois peu à peu. D’autant plus que de plus en plus d’initiatives privées et publiques accélèrent le déploiement d’un réseau de bornes de recharge. Oslo, qui se surnomme à juste titre “ la capitale mondiale de la voiture électrique ”, en est l’exemple le plus frappant. La rue Koningsgate compte, par exemple, 48 bornes de recharge et les véhicules électriques ont le droit de stationner gratuitement dans la capitale norvégienne. En janvier 2017, 51% des nouvelles voitures vendues en Norvège étaient électriques (mélange de voitures purement électriques et plug-in hybrides). Un réseau de rechargement

DriveNow car sharing Bruxelles vous permet de louer une voiture juste au moment où vous en avez besoin. Choisissez votre voiture préférée parmi les cinq modèles de BMW et de MINI et c’est parti !

ultra-puissant UNE RÉPONSE JUDICIEUSE AUX EMBOUTEILLAGES

On observe également une révolution chez nous et dans le reste de l’Europe, non seulement dans les villes, mais aussi le long des autoroutes. Le projet Fast-E de recharge rapide, une initiative publique et privée d’envergure qui vise à mettre sur pied une infrastructure de base pour les véhicules électriques, entend installer plus de 300 bornes de recharge le long des autoroutes en Belgique, en Allemagne, en République tchèque et en Slovaquie d’ici à la fin de cette année. BMW est l’une des forces motrices de ce projet, notamment en collaboration avec Total et l’exploitant de points de recharge Allego. BMW fait, par ailleurs, partie d’un autre joint-venture avec d’autres constructeurs automobiles éminents. L’objectif ? Déployer un réseau de rechargement ultra-puissant pour les véhicules électriques en Europe. Ce réseau doit permettre aux propriétaires de voitures électriques de parcourir de longues distances. Dans un premier temps, 400 stations de recharge rapide seront mises en service. Ce chiffre grimpera à des milliers d’ici à 2020. « Ce réseau de recharge puissant offre aux conducteurs automobiles un nouvel argument de poids en faveur de la conduite électrique », souligne le PDG de BMW Harald Krüger, qui qualifie ce développement de révolution.

Les voitures électriques constituent la réponse de l’industrie automobile à la problématique environnementale. Mais le problème de la congestion du trafic ne laisse pas non plus le secteur indifférent. Le partage de voitures est une alternative judicieuse à notre mobilité urbaine. À cet égard, BMW a lancé, l’année dernière, sa propre plateforme de mobilité partagée, DriveNow, à Bruxelles. Elle réunit le meilleur des deux mondes. Même les clients qui ne souhaitent plus posséder leur propre voiture peuvent à tout moment disposer d’un véhicule haut de gamme (BMW et MINI) pour effectuer leurs déplacements, en marge des alternatives comme les transports en commun et le vélo. Le service repose sur le principe de free floating : l’utilisateur réserve, via une application, une voiture à proximité, au moment où il en a besoin. Il en prend le volant jusqu’à sa destination et la laisse ensuite simplement dans un parking. Maintenant que DriveNow est désormais aussi disponible jusqu’à l’aéroport de Bruxelles, les Bruxellois partent en voyage l’esprit léger, sans devoir laisser leur propre voiture à l’aéroport. DriveNow, active depuis six ans, opère dans 11 villes européennes. La plateforme compte aujourd’hui 11.000 utilisateurs enregistrés à Bruxelles, soit un peu plus d’environ 500 trajets par jour. De nouvelles initiatives devraient booster encore la popularité du service : depuis mars, 10 BMW i3 électriques se sont ajoutés à la flotte initiale (qui se compose de 300 véhicules parmi les modèles suivants : BMW Série 1, BMW Série 2 Active Tourer, MINI 3 portes et MINI Clubman) à Bruxelles. En vue de procurer une conduite confortable en été, DriveNow a récemment ajouté 20 MINI Cabrio dans notre capitale. Le service est le plus populaire à Berlin, où les utilisateurs peuvent faire appel à pas moins de 1.400 voitures. Avec l’ajout d’Helsinki et de Lisbonne plus tard cette année, DriveNow poursuit son expansion européenne. Découvrez DriveNow sur www.drive-now.com/fr/

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Miele ArtLine

La perfection se fait minimaliste.

La nouvelle Miele ArtLine est la première ligne de design d’appareils de cuisine encastrables, qui permet une intégration pure sans poignée. La porte s’ouvre en douceur grâce à la technologie Miele innovante Touch2Open et SoftOpen.

Héros

Sécurité routière glamour Ave c S o p h i e Pe n d ev i l l e , l a s é c u r i té routière est devenue fun et moderne sur RTL-TVi. L’animatrice de la chaîne, aux commandes de deux émissions, est aussi ambassadrice de la BMW i3. Passionnée et souriante, e l l e r e s p i r e l a b o n n e h u m e u r. Texte Morgane Levenez Photos Toon Coussement

Elle en a fait du chemin en 12 ans. La jeune fille, débordante d’énergie, se révèle aussi à l’aise quand il s’agit de jouer la comédie afin de mettre en garde contre les dangers de la route que de mener une émission de chroniques comme De quoi je me mêle. « Une série comme Go For Zero est tout à fait inattendue. Au début, j’ai eu un peu peur. J’ai été choisie par l’IBSR afin de rajeunir le concept de sécurité routière et je ne me voyais pas en donneuse de leçons. Mais l’idée que ce soit une mini-série m’a séduite. J’ai un côté très didactique en plateau, ce qui me permet d’être totalement délurée dans les scènes de voiture avec Antoine Guillaume, mon comparse comédien qui m’apporte énormément. La série existe depuis quatre ans, avec des personnages dont on suit les péripéties, pas toujours glorieuses d’ailleurs ! J’avais déjà fait un peu de théâtre, je suis rentrée à la Ligue d’improvisation amateur pour ensuite devenir maîtresse de cérémonie à la Ligue d’Impro professionnelle. Je continue donc à me perfectionner en côtoyant des comédiens passionnants. » Il y a chez Sophie Pendeville, Miss Hainaut 2005, une façon de bouger, d’être à l’aise avec son corps, une facilité d’élocution, un sens de la répartie… « En devenant speakerine, la TV

m’a appris à avoir confiance en moi. Au fur et à mesure, on arrive à laisser de côté la technique pour mieux laisser place au naturel. J’ai toujours été une bosseuse et je veux vivre un maximum d’expériences, d’autant que RTL-TVi me donne la possibilité de le faire. Le public doit se rendre compte qu’il s’agit d’un vrai boulot. Personne n’est fait au départ pour s’exposer de la sorte. On est scruté, critiqué… Mais ce revers de la médaille est vite oublié vu l’aventure extraordinaire que je vis. »

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Sophie RichardPendeville Branson

« Je suis une incorrigible optimiste. » Des envies et des idées

En vraie hyperactive avide de découvertes, la jeune femme sait saisir toutes les opportunités. « J’ai toujours rêvé de travailler dans le domaine de la création. Mon premier métier a été de créer des événements pour des sociétés. La TV m’a appris à canaliser mon énergie car j’ai tendance à vouloir faire plein de choses et à avoir mille idées en même temps. Aujourd’hui, mon expérience me permet de plus m’impliquer dans les projets, de participer à l’édition d’une émission comme De quoi je me mêle. Je suis d’une nature positive. On apprend continuellement et je ne vis pas les choses en termes de succès. Chaque émission représente un nouveau

challenge. Je pense que pour durer, il vaut mieux avoir un maximum de cartes dans son jeu. » Mais quel genre de conductrice est donc Sophie Pendeville ? « J’ai un grand sens civique en voiture. Je trouve grossier quelqu’un qui ne met pas son clignotant pour tourner ou qui ne freine pas pour laisser passer un piéton ! J’en connais plus grâce à l’émission, notamment en ce qui concerne les cyclistes. Dans la vie, c’est tout le temps moi qui conduis, même quand je pars en vacances. Je trouve le monde de l’automobile, que j’ai bien connu pendant les années où je m’occupais d’événementiel, passionnant. Mais j’avoue avoir découvert le réel plaisir de conduire avec BMW, tout d’abord la Série 1, et encore plus avec la BMW i3. Elle est tellement agréable et plus spacieuse qu’on ne croit. C’est important car on passe beaucoup de temps dans sa voiture. Du coup, je n’hésite jamais à y rouler longuement, passer un coup de fil, réfléchir… Avec une voiture électrique comme celle-ci, la notion de silence prend tout son sens, quel plaisir. Je suis une conductrice très prudente et je n’ai jamais eu d’amende pour excès de vitesse. Vive le Cruise Control ! Ma BMW i3 me propose cette option et j’en profite dès que je suis sur l’autoroute. »

Sophie Pendeville détendue, mais concentrée pendant les tournages de Go For Zero.

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Héros

Un rêve éveillé

Sophie Pendeville vit à Bruxelles, une ville qu’elle apprécie mais dont elle épingle les défauts. Dès lors, quelle serait sa ville idéale ? « Une ville où il n’y ait que des véhicules électriques comme ma BMW i3 en surface et un métro plus performant en sous-sol. On veut voir moins de voitures ? Qu’on développe les transports en commun. Les bus et les trams sont coincés dans les embouteillages. Bruxelles doit vraiment se ressaisir concernant les problèmes de mobilité. » Quant à l’émission de télévision parfaite, la jeune femme se déclare ravie de son sort. « Je rêvais d’animer un talk-show et me voilà à la présentation de De quoi je me mêle. Je m’amuse avec toute l’équipe et je m’épanouis chaque jour davantage. Et de plus, je joue dans Go For Zero. La suite sera sûrement passionnante. Je suis une incorrigible optimiste et je vois toujours le verre à moitié plein plutôt qu’à moitié vide. » Très sportive, elle ose l’aventure pour décompresser mais aime tout autant des soirées passées à la maison. « J’adore faire du snowboard, du kitesurf, j’ai repris des cours de boxe…

Sophie rêve d’une ville où il n’y aurait que des véhicules électriques, comme la BMW i3 qu’elle conduit.

Je suis aussi une partisane de films et séries TV. Mais pardessus tout, j’aime passer du temps avec mes amis. J’ai vraiment besoin des autres et d’être entourée. Ma vie n’a pas vraiment changé depuis que je passe à la TV. Et si on me reconnaît, ça se passe de façon sympathique… et j’en suis encore surprise. »

Entre deux séquences, Sophie prend le temps de téléphoner ou de réfléchir tranquillement.

GO FOR ZÉRO ÉMISSION

La présence d’une BMW i3 dans l’émission Go For Zero s’est imposée comme une évidence. « Cela apporte vraiment un plus à la série ! Elle est devenue une actrice à part entière. Et j’ai la grande chance de pouvoir la conduire également en dehors des tournages des épisodes, dans ma vie de tous les jours, la grande classe ! J’avais auparavant une BMW Série 1, une voiture géniale. Mais avec celle-ci, j’ai vraiment l’impression de conduire un jouet pour adultes, de renouer avec les voitures électriques qu’on louait enfant à la mer du Nord. Il suffit d’appuyer sur la pédale et l’i3 démarre immédiatement, c’est d’une fluidité incroyable. Les grosses motorisées peuvent toujours vrombir à côté de moi au feu rouge, je démarre à la seconde. » Autre grande qualité appréciée par Sophie : le silence, qui induit une conduite beaucoup plus calme. « On se doit de rester très attentif car les piétons ne nous entendent pas arriver. De toute façon, j’ai toujours eu une conduite prudente. » Enfin, conduire une voiture propre procure fierté et bonheur à l’idée d’œuvrer pour l’environnement. «La mienne possède un Range-Extender qui permet de rouler une centaine de km supplémentaires. »

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Deux nouveaux ateliers pour étudiants en mécanique automobile BMW Group Belux inaugurait à la mi-février ses

nouveaux locaux de cours à Bornem. Ces ateliers ont été spécialement aménagés pour renforcer la collaboration avec les écoles en Belgique qui souhaitent professionnaliser leur formation de technicien automobile. L’agrandissement du BMW Tr a i n i n g C e n t r e s e d o u b l e d ’ u n i n v e s t i s s e m e n t d e 4 5 0 . 0 0 0 e u r o s . L e s é t u d i a n t s d e K TA M o b i G e n t s e r o n t les premiers à utiliser les nouvelles installations. Le métier de mécanicien automobile est promis à un bel avenir. Il est néanmoins répertorié parmi les métiers en pénurie par le VDAB (équivalent en Flandre du Forem en Wallonie), avec plus de 2.500 postes non pourvus chaque année. De nombreuses concessions BMW et MINI de notre pays sont, elles aussi, confrontées à la difficulté de recruter des mécaniciens bien formés. BMW Group Belux a décidé de s’attaquer au problème à la source en rendant la formation pour les jeunes plus attrayante. Les étudiants de KTA MoBi Gent ont suivi leur premier cours dans les nouvelles installations de formation du BMW Group Belux Center for Development.

Se familiariser avec les technologies de pointe

En trois ans, quelque 100 jeunes issus de 7 écoles bruxelloises et flamandes ont suivi la formation. En 2017, 69 autres en bénéficieront. Pour leur permettre d’acquérir l’expérience high-tech nécessaire, BMW Group Belux a décidé d’aménager deux nouveaux ateliers. Les étudiants peuvent y travailler avec les plus récents matériaux didactiques et s’exercer aux techniques de l’équilibrage des roues, aux schémas électriques et à l’air conditionné. Ils ont ensuite l’occasion de mettre directement en pratique leurs acquis en effectuant un stage dans l’une des 130 concessions BMW, MINI ou BMW Motorrad de leur région. « Le métier de technicien automobile s’est profondément transformé au cours des dernières années. Aujourd’hui, il passe autant de temps devant son ordinateur que sur un filtre à huile. Nos nouveaux locaux offrent l’encadrement idéal pour permettre aux jeunes de se familiariser avec les technologies les plus innovantes, que l’on trouve aujourd’hui à bord de nos voitures et motos. Notre projet porte déjà ses fruits puisque les écoles avec lesquelles nous avons collaboré ces dernières années ont constaté que, grâce à ce partenariat, le nombre d’inscriptions dans leur section technique automobile est reparti à la hausse », confie Pierre De Cannière, responsable du centre de formation de BMW Group Belux. Être mieux préparé à la pratique

« Grâce à la formation dispensée par BMW Group Belux, nos élèves se familiarisent avec les outils de diagnostic les plus avancés ainsi qu’avec les toutes dernières technologies embarquées dans les BMW et les MINI. Ils augmentent ainsi leurs chances sur le marché du travail et sont parfaitement préparés à un futur emploi dans un atelier », explique Kiliaan Antheunis, professeur au KTA Mobi Gand.

Ecoles participant au programme • • • • • •

Technica Halle (depuis 2013) Technische Scholen Mechelen (depuis 2014) Institut Saint-Joseph Etterbeek (depuis 2014) Technisch Instituut Sint-Paulus (TISP) Mol (depuis 2015) Scheppersinstituut Wetteren (depuis 2015) Koninklijk Technisch Atheneum (KTA MoBi) Gent (depuis 2015)

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BMW Luxury Drives

Vo i t u r e s u n i q u e s , expérience unique Fort d’un succès remarquable en 2016, les BMW Luxury Drives auront à nouveau lieu cette année. Deux nouvelles destinations de charme viennent en outre enrichir le programme : Honfleur et Amsterdam. Texte Kurt Focquaert

Photos BMW Belux

BMW Belux, a lancé le concept des

trouverait son public », se réjouit Guy Le

BMW Luxury Drives l’an dernier. Le

Compte, « Les participants se sont

concept offre à toute personne inté-

montrés très satisfaits de leur expé-

ressée par la BMW Série 7 l’opportu-

rience et, bien sûr, des voitures ! »

nité de vivre, au volant, un voyage de deux jours entrecoupé par une

Deux nouvelles

nuitée dans un hôtel en Belgique, en

destinations

France, aux Pays-Bas ou en Alle-

La liste des destinations existantes (Knokke-Heist, Cologne, Paris, Lille, les Vosges) se voit agrémentée de deux nou-

magne. La BMW Série 7 est une voiture unique. Un simple test de conduite ne suffit pas à pleinement en apprécier les

veaux points de chute séduisants : La Ferme

qualités. Nous avons donc lancé les BMW Luxury Drives pour permettre à nos clients d’essayer les voi-

Saint Siméon à Honfleur et le ‘Pulitzer’ à Amsterdam.

tures en profondeur et de découvrir l’ensemble de leurs pos-

Tous les hôtels proposés ont été soigneusement sélection-

sibilités, tout en profitant d’un voyage de détente ponctué

nés. Ils se démarquent sans exception sur le plan de la

par une expérience gastronomique inouïe et une nuitée de

gastronomie, du luxe ou du design.

rêve. Cette initiative remporte un vif succès, comme en

Vous souhaitez vous-même explorer les BMW Luxury

témoignent les plus de 150 candidats qui ont déjà participé

Drives ? N’hésitez pas à vous inscrire dans votre concession

au BMW Luxury Drives. « Nous savions que le concept

BMW qui vous fournira toutes les informations utiles.

Plus d’infos sur www.bmwluxurydrives.be ou www.bmwluxurydrives.lu

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Émotion

To u t e s v o i l e s d e h o r s pour la régate ultime Sortir la grand-voile pendant trois jours et fendre les vagues bleues au large de Palma de Majorque ? Chaque année, quelques heureux chanceux mettent le cap sur le Real Club Náutico de Palma de Majorque pour y app rendre à manier la voile lors de séances de coaching données par des instructeurs internationaux de haut vol. Les meilleurs d’entre eux peuvent ensuite p a r t i c i p e r à l a c é l è b r e C o p a d e l R e y. É l é g a n c e i n t e m p o r e l l e e t e x c e l l e n c e e s t h é t i q u e ? To u t c e à q u o i v o u s p o u v e z v o u s a t t e n d r e d e B M W ! Texte Aart De Zitter Photos BMW AG

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BMW Sail Racing Academy

Le BMW Sail Racing Academy est dirigé par le professionnel italien Roberto Ferrarese.

De gauche à droite: Koen Lenie, un autre participant de Sail Racing Academy, Bieke Bekaert, Joke de Prest, Karl Brack et Werner Renders.

L’été dernier, en juin 2016, BMW Yachtsport a organisé la 11e édition de sa Sail Racing Academy. Cet événement de trois jours permet à une vingtaine de plaisanciers de suivre une formation approfondie sur les techniques de voile et les stratégies de compétition. Les meilleurs d’entre eux sont ensuite invités à prendre le départ de la Copa del Rey, l’une des plus prestigieuses régates organisées en Méditerranée. Apprenez à briller Un couple belge a participé à la dernière édition : l’entrepreneur Koen Lenie et la project manager Bieke Bekaert. Une expérience unique pour ces deux adeptes de la voile. Bieke Bekaert : « Je suis toujours partante pour de nouvelles expériences. Apprendre les finesses de la voile à deux pas de la cathédrale de Palma est inoubliable. Sans oublier le fantastique séjour, les délicieux repas et les nouvelles rencontres. » Koen Lenie est tout aussi séduit : « Le cadre est unique en son genre. Participer à un événement de cet acabit me semblait être un véritable défi. Seuls trois couples belges pouvaient participer. Nous avons eu la chance d’en faire partie et n’avons pas une fois regretté d’avoir saisi cette opportunité. » Les participants étaient accompagnés d’un groupe de barreurs d’élite internationaux emmené par le skipper italien mondialement célèbre Roberto Ferrarese, vainqueur de la Coupe de l’Amiral avec son équipe. Il s’exprime sur l’objectif de la BMW Sail Racing Academy : « Tout tourne essentiellement autour de la théorie et de la tactique. Mais nous souhaitons surtout que les participants tirent le meilleur de chaque seconde passée sur l’eau. De quoi faire corps avec le bateau et apprendre à se démarquer. »

Sur son navire vers une destination pleine d’aventures : un rêve pour de nombreux skippers.

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Les participants au BMW Sail Racing Academy se déplacent évidemment à l’électricité.

Gagnants belges L’entraînement et la course vont de pair. L’événement visait à améliorer les aptitudes techniques et tactiques des participants selon le principe « briefing – action – briefing ». Une approche vivement appréciée. Koen Lenie témoigne : « La voile est un véritable sport d’équipe. Elle vous enseigne l’importance de la coordination et de la confiance que vous témoignez aux autres. Il s’agit, par ailleurs, d’une excellente initiative de BMW pour familiariser les skippers novices tels que moi avec ce sport. » Koen et Bieke établissent des parallèles clairs entre BMW et la voile. Bieke : « L’exclusivité et la sportivité sont des piliers de la pratique de la voile et de BMW. » Koen est également un pilote BMW convaincu : « Je roule actuellement au volant d’une BMW 640d Gran Coupé. »

Les gagnants Bieke Bekaert et Koen Lenie, à droite sur la photo.

Les courses auxquelles se sont alignés les participants faisaient office de sélection pour la participation à la Copa del Rey, une régate prestigieuse organisée peu après l’Academy. Bekaert et Lenie ont tous deux rejoint l’équipe de Ferranese, l’an dernier. Un fait remarquable parce qu’aucun d’eux n’était expert en voile auparavant. Bieke Bekaert : « Même un skipper inexpérimenté apporte une valeur ajoutée à l’équipe. J’ai d’ailleurs beaucoup apprécié cet aspect. Durant l’Academy, nous avons poussé la chansonnette italienne. Et nous avons franchi la ligne d’arrivée en tête, sans même nous en rendre compte. » Un bon point pour la participation à la Copa del Rey ! Tr o i s i è m e d i m e n s i o n Une BMW Sail Racing Academy sera également organisée cet été autour de la thématique du foiling. Concrètement ? Il s’agit d’une manière de pratiquer la voile où la portance est telle que votre bateau survole littéralement l’eau. Les participants de l’édition de 2017 expérimenteront eux-mêmes cette « troisième dimension de la voile ». Nous proposons trois sessions : du 24 au 26 mai, du 26 au 28 mai et du 30 mai au 1er juin. Les yachtmans participants qui se qualifieront pour la Copa del Rey participeront à la régate du 29 juillet au 5 août. Koen Lenie et Bieke Bekaert ne seront pas de la partie. Bieke Bekaert : « Cela reste une expérience once-in-a-lifetime. Mais je ne l’oublierai jamais. L’amour de la voile continue de brûler en moi », ajoute-t-elle, le sourire aux lèvres. Plus d’informations : www.bmw-yachtsport.com

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La voile est un véritable sport d’équipe où chacun doit pouvoir compter sur les autres.

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Votre refuge au cœur d’un jardin dans le sublime décor du Tyrol du Sud à Merano en Italie Un lieu… où se détendre… profiter… se ressourcer

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Émotion

Roberto Martínez, l’espoir de la nation

Le courant est passé entre Roberto Martínez et Peter Henrich dès leur première rencontre.

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CEO Meeting

Qualif ier les Diables Rouges pour la

rents systèmes et doit s’adapter à la tactique des différents adversaires. C’est notre défi principal. »

Coupe du monde 2018 en Russie ? C’est l’objectif principal du nouvel

Quand considérerez-vous que la mission est réussie ?

entraîneur Roberto Martínez Montoliú (43), qui a repris le flambeau de Marc Wilmots après l’Euro 2016.

Texte Kurt Focquaert Photos Jerry De Brie

« De nombreuses personnes mesurent le succès à l’obtention ou non d’un titre. Pour moi, cela va plus loin : la réussite correspond à la pleine exploitation du potentiel disponible. Plus tard, lorsque je repenserai à ma période avec les Diables Rouges, je ne serai fier que si j’ai réussi à tirer le meilleur parti de ce groupe. Car dans le football, il faut parfois aussi avoir un peu de chance pour pouvoir remporter des titres. Je pense notamment au parcours à suivre, à certaines phases de jeu, etc. Il serait erroné et dangereux de présupposer des résultats mesurables dès maintenant. Nous devons encore nous développer et franchir certaines étapes. La qualification pour la Coupe du monde est pour l’instant le seul objectif tangible. » Comment assurez-vous la cohésion de cette équipe, où règne une certaine individualité ?

Le nouvel entraîneur de l’équipe nationale de football montre ses innovations préférées dans la BMW Série 7 au nouveau CEO du Groupe BMW Belux.

« Comme dans tous les sports d’équipe, deux conditions sont nécessaires à la cohésion d’un groupe. La première est l’engagement. Chaque membre du groupe doit se sentir impliqué et être prêt à donner le maximum pour les autres. La seconde est la clarté. Cette condition implique que mon staff technique et moi-même fassions passer un message clair et univoque. Lorsque ces deux conditions sont remplies, la cohésion va de soi. » Les Diables Rouges ont-ils des lacunes à certains

Au cours des neuf années précédentes, le Catalan était manager en Premier League, notamment à Everton et Wigan Athletic. Il a également évolué comme milieu de terrain pour Wigan Athletic pendant de nombreuses années et a gagné la FA Cup en 2013 en tant qu’entraîneur. La majorité de sa carrière de joueur s’est déroulée sur les terrains britanniques. Il s’est entretenu avec Peter Henrich, le nouveau CEO de BMW Belux, au sujet des Diables Rouges, de ses ambitions, de son style de coaching, de son approche et, bien sûr... de la passion qu’il voue aux voitures.

niveaux ?

« Nous faisons constamment face à des blessures en défense, ce qui entraîne toujours des tracas, mais je dispose à la fois d’une grande poule de joueurs dans laquelle je peux aller puiser. Je suis actuellement 55 joueurs aux possibilités et aux qualités exceptionnelles. Un coach cherche les profils qui peuvent s’intégrer dans le système qu’il veut mettre en place. Mais en football, il est aussi très important d’utiliser ceux dont on dispose. »

En tant qu’entraîneur des Diables Rouges, vous avez

Voyez-vous également un potentiel sur le long terme ?

une énorme responsabilité. Quelle est votre ambition

« Tout à fait. En Belgique, la Pro League et les meilleures écoles de sport sont organisées de manière très professionnelle. Je remarque aussi que les jeunes joueurs ont la bonne mentalité. L’Union belge de football doit veiller à garantir la circulation des talents au cours des dix, quinze à vingt prochaines années. Je souhaite également me battre personnellement à ces fins. Nous sommes un petit pays, mais lorsqu’on regarde la structure et le professionnalisme du travail en club et en amateurs, l’avenir de notre football promet d’être brillant. »

avec l’équipe ?

Roberto Martínez : « Mon ambition est très claire : nous qualifier pour la Coupe du monde 2018, en Russie. Nous n’y sommes pas encore, mais je souhaite apprendre à connaître tous les joueurs au mieux, afin de constituer l’équipe la plus solide possible. Ce groupe possède un talent indéniable. Il m’incombe de “prendre le taureau par les cornes” et de constituer une équipe capable de s’adapter aux règles du football moderne. L’équipe doit pouvoir jouer dans diffé-

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Émotion

Quelle est la grande différence entre le statut d’entraîneur de club et celui d’entraîneur de l’équipe nationale ?

« La principale différence réside dans le nombre de rencontres. Les équipes nationales jouent un nombre très limité de matchs par an, ce qui implique que l’entraîneur passe peu de temps avec ses joueurs. Le défi consiste à suivre très attentivement ses joueurs, sans pour autant pouvoir être en contact régulier avec eux. Personnellement, je souhaite être au courant des émotions que tous mes joueurs vivent en club, car je peux alors mieux les comprendre, à la fois en tant que footballeur et en tant que personne. Mais l’entraîneur national n’est évidemment pas présent dans ces clubs. Les entraîneurs de club voient leurs joueurs tous les jours et apprennent à les connaître au quotidien, ce qui n’est pas possible au niveau international. J’apprécie cependant les deux statuts. Avec mon nouveau statut, j’essaie tout de même de suivre au maximum mes joueurs à distance. C’est nouveau pour moi. » Comme vous le dites vous-même, le nombre de matchs est limité et plusieurs mois s’écoulent parfois entre ceux-ci. Que faites-vous pendant ce temps ?

« J’analyse énormément. Puisque je passe peu de temps avec mes joueurs, il est essentiel que je m’informe au mieux entre deux matchs. J’y consacre beaucoup de temps. Une autre activité importante est le suivi de mes joueurs dans leur club respectif. Je souhaite également me familiariser avec la culture belge du football. Je veux savoir d’où viennent les joueurs, apprendre à mieux connaître les supporters et découvrir comment ils vivent les rencontres. Nos supporters constituent une partie essentielle de notre réussite. » L’entraîneur des Diables a reçu un petit cadeau original de la part de BMW à la fin de l’interview.

Quand avez-vous réalisé que vous vouliez devenir entraîneur ? Était-ce pendant votre carrière de joueur ou seulement après ?

« Ce n’est pas facile à dire. Mon père a d’abord été joueur avant d’entraîner un club local à Balaguer, où j’ai grandi. Quand j’étais encore un enfant, il m’expliquait comment il pouvait organiser son équipe de manière optimale et comment il pouvait tirer le meilleur parti de ses joueurs. À la maison, nous ne parlions que de football. Cela m’a marqué et… cela m’a probablement influencé. Mais lorsque je chaussais moi-même les crampons, je

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« Je ne conçois pas qu’un match de football ne puisse procurer aucun amusement. » ne pensais pas à devenir entraîneur plus tard. En tant que joueur, je réfléchissais constamment au jeu : je connaissais la position des joueurs autour de moi, je savais comment mes actions pourraient les influencer, comment je pouvais les aider, etc. Cette mentalité a vraisemblablement contribué au fait que je sois devenu entraîneur aujourd’hui. Je n’ai toutefois jamais envoyé de CV. En fait, tout s’est passé en un week-end. Un vendredi, je jouais encore avec Chester City, mon équipe de l’époque, quand Swansea, mon ancien club, m’a approché pour me demander si je voulais y être entraîneur. Le lundi suivant, j’entraînais cette équipe. Il n’y avait donc aucun plan de carrière derrière tout cela. » Quel est votre style de leadership ?

« Dans le monde du sport et dans le monde des affaires, le leadership peut se présenter de différentes manières : leadership autoritaire, leadership directif, leadership inspirant, etc. Pour ma part, il est très clair que je veux inspirer. Je souhaite que le groupe soit conscient que nous voulons matérialiser une ambition. Je souhaite aussi que chacun se rende compte de l’importance de son rôle dans le groupe et du fait qu’il ne peut pas y renoncer. Je ne pense pas que je puisse forcer les joueurs à effectuer certaines tâches. Les joueurs sont, en revanche, prêts à s’investir pleinement s’ils sont convaincus que cela peut faire la différence. »

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Quelles sont les similitudes et les différences entre le

Comment le football a-t-il évolué au cours des

sport et le monde des affaires ?

dernières années ?

« En ce qui concerne les similitudes, je dirais : tout. Collaborer, constituer un groupe de personnes qui viseront un objectif commun. Vous êtes confrontés à des opposants, face à qui vous devez réagir en tant que groupe. La différence principale est que, dans le football, les résultats ne sont pas toujours la conséquence d’un travail acharné, mais dépendent parfois d’un peu de chance : entre un ballon qui frappe la latte et un ballon qui fait trembler les filets, il y a un monde de différence. Dans le sport, il arrive que les résultats engendrent de vives émotions, qui entravent la continuité du travail et des efforts. Une défaite causée par de la malchance pure peut compromettre des mois de travail et un planning de plusieurs années. »

« Le football ne stagne pas. Les progrès technologiques ont été impressionnants ces dernières années. Grâce à de nouvelles applications, nous disposons de toutes les données possibles pour analyser chaque facette dans le moindre détail. Cela nous permet, par conséquent, de rendre nos joueurs meilleurs. Si on constate qu’un milieu de terrain reçoit vingt passes par match et que ses coéquipiers tournent autour d’une centaine, on peut alors encourager le premier à travailler sur ce point. Il est ainsi possible d’améliorer chaque partie du jeu. Le football a également beaucoup évolué du point de vue physique. Les footballeurs d’aujourd’hui sont de vrais athlètes. Avant, certains joueurs étaient sensibles, moins forts physiquement, mais étaient tout de même au plus haut niveau. Ces joueurs éprouveraient bien plus de difficultés aujourd’hui. »

Qu’est-ce que le monde des affaires peut apprendre du football et inversement ?

« Comme je viens de le dire, je trouve que ces deux univers ne sont pas si différents. Dans le monde du football comme dans le monde des affaires, il est nécessaire de repousser ses limites pour réussir. Le football peut notamment s’inspirer du secteur des affaires pour apprendre à anticiper, planifier et structurer, des domaines qui sont fortement implantés dans l’univers business. À l’inverse, je remarque que les plus grands dirigeants souhaitent appliquer dans leur organisation le lien solide qui unit les joueurs dans le vestiaire. Une telle cohésion est en effet un atout supplémentaire dans l’environnement ultra-compétitif qu’est finalement le monde des affaires. Donc effectivement, ces deux univers peuvent s’inspirer mutuellement. »

L’odeur d’une nouvelle voiture Le football est sa première passion, mais Roberto Martínez a également un faible pour les belles voitures.

Le développement tactique du football le rend peut-être aussi plus ennuyeux pour le spectateur. Êtes-vous d’accord ?

« J’aime les duels tactiques. Je comprends bien qu’un match sans buts marqués plaise moins au public. Toute personne qui vient voir un match de football, préfère évidemment voir le ballon au fond des filets. Cependant, un duel tactique bien étudié entre deux équipes bien organisées fournit également un plaisir inouï. Je ne conçois pas qu’un match de football ne puisse procurer aucun amusement. Je suis une personne curieuse de nature. C’est grâce à cela que tout ce qui se passe sur un terrain de football m’intrigue. » Lisez l’interview intégrale sur www.bmwlife.be

Êtes-vous un amateur de voitures, Monsieur Martínez ? « Bien sûr. J’aime énormément les voitures… et surtout, les belles voitures. J’apprécie tout particulièrement l’odeur d’une nouvelle voiture. Cela me rend joyeux. Pour moi, une voiture incarne la liberté. On peut évidemment prendre l’avion ou d’autres transports en commun, mais dans une voiture, c’est le conducteur qui a le contrôle. Cela permet de repousser les limites de sa propre liberté. Cette attirance pour les voitures, je la ressens depuis mon enfance. J’ai immédiatement obtenu mon permis de conduire le jour même de mes dix-huit ans. » Que pensez-vous de la marque BMW ?

« Pour moi, les BMW sont des voitures extrêmement fiables et élégantes, dotées de finitions de

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qualité supérieure. Je roule moi-même en BMW Série 7 depuis l’été dernier. Un pur plaisir ! » Quelles sont, selon vous, les principales qualités de la BMW Série 7 ?

« Tout bien considéré, la Série 7 présente des dimensions et des proportions parfaites. La mienne est équipée d’un moteur diesel et j’ai été positivement surpris par sa puissance phénoménale. Ce doit tout bonnement être l’un des meilleurs moteurs en ce moment. L’intérieur dégage tellement de classe… Sans parler des différents modes de conduite : une fonctionnalité très plaisante qui permet de configurer le moteur en fonction de votre propre humeur. Quand je suis seul dans ma voiture, il n’est pas rare que j’active le mode sport (rire). »

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La beauté dans l’imperfection Il gère son propre studio depuis 1990, a décroché le “ Prix flamand de la Culture pour le Design ”en 2016 et a reçu le titre de “ Designer de l’Année ” l’an dernier aussi. Et comme si cela ne lui suffisait pas, il a accepté d’endosser le rôle de directeur créatif pour l’entreprise italienne d’ameublement design Molteni&C il y a un an. Un beau p a l m a r è s p o u r V i n c e n t Va n D u y s e n , a r c h i t e c t e e t d e s i g n e r. « J e n e r e f u s e r a i s p a s d e r e j o i n d r e , à l ’ a v e n i r, u n e m a i s o n d e m o d e q u i p a r t a g e ma vision de la beauté. »

Vincent Van Duysen, plus qu’un architecte

Vincent Richard Van Branson Duysen

Texte Steven Graauwmans Photo de portrait Fred Debrock

Certains trouvent leur vocation dès l’enfance. Pas Vincent Van Duysen. Les constructions en Lego ne l’intéressaient pas. Il a fait des études de latin-grec, s’est inscrit dans une académie de dessin, a rejoint la troupe locale de théâtre, aimait dévorer des livres et passer du temps avec ses parents et ses amis, à qui la culture tenait beaucoup à cœur. « Je n’ai jamais eu la “ bosse des maths ”, mais je désirais créer, confectionner des choses. Mes études d’architecture m’ont permis de ne pas me limiter au processus de conception, mais d’appréhender l’art, la création et le design. »

Un sketch mental

Cascade Swarovski, une cascade de lumière et de cristal

Comment commencer à dessiner une maison, l’intérieur d’un bateau ou une nouvelle lampe ? Vincent Van Duysen a parcouru un long chemin avant de tracer ses premiers traits de crayon. « C’est une question de contact humain, d’alchimie. Avant de m’engager dans un projet, je suis un cheminement dans ma tête, une sorte de mental sketching, un processus de conception continu – selon le contexte, la nature du projet et la demande du client. Il faut dépasser le rationnel et ne pas se cantonner aux consignes ou au budget. Lorsque j’ai une idée, je l’esquisse sommairement et mon équipe termine ensuite le dessin en détail. Je m’entretiens plusieurs fois par semaine avec les architectes de projet afin que le projet soit réalisé comme je me l’étais imaginé. Je suis un perfectionniste. Je veux voir le projet que j’ai en tête sur papier ou sur plan. Et ce, indépendamment des aspects techniques ou administratifs, que je confie à des personnes plus qualifiées que moi. Je peux ainsi me concentrer pleinement sur le volet créatif. » « J’adopte un mode de pensées très concret. Bien que les projets puissent subir des modifications, à la demande du client ou pour des raisons d’ingénierie, nous en saisissons rapidement l’essence. Je ne suis pas un penseur conceptuel. Mais cela ne m’empêche pas de faire transparaître mes émotions dans mes projets. Je ne complexifie pas les choses par principe. La communication avec mes clients est essentielle pour comprendre ce qu’ils veulent

précisément. Je ne suis pas un individualiste ni un architecte désireux d’imposer à tout prix ses propres idées. Tous les projets résultent d’une collaboration très interactive avec mes maîtres d’ouvrage et mon équipe. » Minimalisme Van Duysen est parfois décrit comme un architecte adepte du minimalisme. Mais de quoi s’agit-il exactement ? Van Duysen : « Depuis les années 1990, le minimalisme n’est plus un simple courant artistique. Ce terme a, en effet, trouvé sa place dans l’architecture (d’intérieur), en réponse au postmodernisme. Tout le ‘maniérisme’ de ce courant a disparu. Selon moi, c’est plutôt une question d’essence, sans pour autant que cela devienne obsessionnel. J’aime les formes contemplatives. Je désire créer des pièces épurées et laisser de l’espace aux objets et aux occupants. Obtenir une telle simplicité est néanmoins très complexe. De nombreux détails se cachent derrière cette pureté. Non pas des détails ostensibles, mais une élégance sobre et discrète. “ Le lâcher-prise ”, “ la tranquillité ” et “ l’essence ” sont des termes qui jouent un rôle clé dans mon univers architectural. » La palette de coloris qu’utilise Van Duysen dans ses projets est sobre et sans prétention. « J’aime les couleurs modérées. Mes espaces de base sont ponctués de tons naturels – des nuances de blanc et de beige, des teintes boisées aux couleurs classiques, plus sombres comme l’anthracite, le brun chocolat ou le vert mousse. Il revient ensuite aux occupants d’apporter de la «couleur» dans leur intérieur à l’aide de livres, d’œuvres d’art et d’autres objets du quotidien. Je n’utiliserai jamais de couleurs criardes. Ici, en Belgique, nous n’avons pas non plus beaucoup de «couleurs». Je pense que c’est inscrit dans nos gènes, d’une manière ou d’une autre. Cette palette de coloris sans prétention est très appréciée en Italie. Les Italiens parlent de ‘i colori delle Fiandre’. Comme si ces couleurs étaient les nôtres. »

Paul, «i colori delle Fiandre» pour Molteni&C

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Héros

Italie L’Italie : le grand mot est lâché. Après avoir terminé ses études d’architecture, Van Duysen s’est envolé vers l’Italie pour réaliser un stage, à l’instar des jeunes peintres de la Renaissance. « Mon voyage en Italie fut un véritable tournant dans ma vie. Non seulement pour son architecture, mais aussi pour sa mode, sa nourriture et sa riche histoire. Cette culture et ce pays sont une véritable ode à la beauté. » Sa famille maternelle lui a, par ailleurs, conféré des origines méditerranéennes, ce qui lui permet parfois de sortir de sa coquille et d’exploser. Pensez à la Cascade qu’il a conçue pour Swarovski. Imaginé en 2003, ce lustre est construit telle une cascade de cristal et de lumière qui surplombe la table ou le sol. « La beauté est subjective. Je ne vais pas définir les règles de ce qui est beau et laid. Je sais que la beauté m’est indispensable pour me sentir bien et m’épanouir en tant qu’être humain. La beauté plaît aux yeux, mais elle insuffle aussi de l’énergie et donne satisfaction. Je suis un épicurien et mon travail en Italie n’a fait que renforcer ce trait de personnalité. »

“Le lâcher-prise”, “la tranquillité” et “l’essence” sont des termes qui jouent un rôle clé.

Il y a un an, Van Duysen a accepté d’endosser le rôle de directeur créatif de Molteni&C, en marge de la direction de son bureau d’architectes à Anvers. « Molteni&C est une entreprise familiale créée il y a 80 ans déjà. Son fondateur est l’un des instigateurs du salon du meuble de Milan. Je suis entré en contact avec lui via un projet de bureaux mené en Arabie Saoudite. Il a d’emblée compris que j’étais un architecte qui maîtrisait également le design d’intérieur. Une particularité rare sous ces latitudes nordiques. En Italie, la tendance est inversée : la tradition veut que les architectes dessinent aussi des meubles. C’est un réel honneur de travailler pour cette entreprise. »

DES PROJETS PHARES

S’il devait choisir le meilleur projet de sa carrière de plus de 30 ans ? Van Duysen répond : « Je n’aime pas le mot ‘meilleur’. Il s’agit plutôt de projets phares. Certains projets sont bel et bien devenus emblématiques, mais j’accorde une attention particulière à chacun d’entre eux. Je suis perfectionniste. Ce trait de caractère fait partie de moi. Tout doit être impeccable. Mais je ne crois toutefois pas en la perfection absolue. Il y a parfois des ratés et ce sont précisément ces petites imperfections qui font la beauté d’un projet. Je veux étonner les gens avec des projets qui inspirent. Parmi eux, l’immeuble de bureaux Concordia, à Waregem. Ce fut le premier projet d’envergure qui a rencontré un franc succès en Belgique. Pour prendre de la distance avec ces projets phares, Van Duysen aime se rendre à Anvers, une ville chère à son cœur, au bureau avec son équipe. « Ou simplement chez moi, là où je peux me détacher de tous les voyages et les déplacements qu’ils impliquent. Ma maison est mon royaume du silence. »

©Alberto Piovano

Concordia, un monument, un projet phare

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Parce que votre cuisine raconte qui vous êtes. La cuisine est devenue le cœur de la maison. C’est l’endroit où vous vivez, passez de bons moments, recevez des amis. La cuisine d’aujourd’hui devrait aussi refléter votre personnalité. C’est pourquoi Smeg apporte à sa large de gamme d’appareils de cuisine un éventail de styles inspirants correspondant à tous les types d’hommes ou de femmes, quels que soient leurs goûts, âge ou budget Découvrez tous les styles sur itssome.be ou l’entièreté de la gamme sur smeg.be

Inside

©Frabrice Castermans Photography

News

Un bijou artistique

Paré pour la nouvelle génération Depuis janvier de l’année passée, la concession BMW Ottevaere à Boortmeerbeek a travaillé d’arrache-pied pour sa rénovation et son agrandissement, avec, en apothéose, une ouverture festive le 9 février 2017. « Nous sommes désormais parés pour l’avenir, avec toutes les facilités possibles, dont un département de carrosserie agréé, une offre BMW i, un car-wash et un service de gardiennage de pneus », explique Davy Joos, directeur opérationnel. BMW Ottevaere se dote désormais d’un plus grand show-room, avec une façade extérieure de pas moins de 94 mètres. « Les clients s’informent particulièrement bien sur Internet avant de venir chez nous. Ils ne se rendent plus qu’une fois en concession pour admirer la voiture de leurs rêves. Nos conseillers commerciaux expérimentés les informent des nombreuses configurations des différentes Séries BMW. C’est pourquoi nous présentons un maximum de modèles dans le show-room : le client peut ainsi comparer sur place et faire le bon choix. » Outre l’infrastructure, l’équipe de la concession est également prête pour le futur. L’atelier s’est vu agrandi de sept postes de travail et cinq collaborateurs supplémentaires ont été embauchés. Ottevaere a aussi lancé un département Premium Selection en mars. Et avec l’arrivée de Matthias Ottevaere, la troisième génération rejoint désormais l’entreprise familiale !

En septembre 2016, BMW i a lancé la BMW i3 CrossFade et la BMW i8 CrossFade, deux versions particulièrement racées de la BMW i3 et de la BMW i8. Ces modèles spéciaux sont le fruit d’une collaboration entre BMW et Garage Italia Customs, le célèbre studio de design fondé par l’héritier de l’empire Fiat, Lapo Elkann. Les modèles se distinguent par leur gamme unique de teintes. Le dégradé de couleurs s’inspire du pointillisme, une technique picturale très populaire à la fin du XIXe siècle et qui consiste à déposer de petites touches de couleurs primaires sur la toile. Les deux voitures donnent un nouveau souffle à ce procédé grâce à une technique de pulvérisation spéciale avec deux coloris distincts : Protonic Blue et Protonic Dark Silver. Le jeu de couleurs est non seulement splendide, mais accentue aussi le dynamisme des lignes et des formes des véhicules. L’habitacle des deux modèles s’inscrit lui aussi dans le style expressif de la carrosserie et a été réalisé dans une palette de couleurs similaires. Vous vous intéressez à ces modèles exclusifs BMW i3 ou BMW i8 CrossFade, ou vous désirez ‘relooker’ votre propre BMW i ? Contactez votre partenaire BMW i pour plus d’informations.

www.ottevaere.bmw.be

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Univers BMW

B M W Ta l k s s ’ i n v i t e a u B r a n d S t o r e Le BMW Brand Store Brussels se distingue une fois encore par des initiatives captivantes. La première édition de BMW TALKS, une plateforme où des conférenciers spécialisés partagent leur avis sur divers sujets actuels, y a ainsi eu lieu l’an dernier. Les invités ont ainsi l’opportunité d’en apprendre plus sur un sujet qui les intéresse et ensuite de réseauter dans un environnement premium. Le premier conférencier de premier plan n’était autre que Peter Hinssen, un expert européen sur le plan des innovations disruptives. Pendant quinze ans, Hinssen a dirigé avec brio cinq entreprises, dont la plus connue est nexxworks. Peter Hinssen est board advisor au « Center for Digital Transformation » de l’Université de Californie et fait partie des « Digital Minds for Belgium » en tant qu’expert. Il a donné une présentation enthousiasmante sur « L’évolution du business numérique ». De nouveaux grands conférenciers et des thèmes majeurs suivront bientôt. Le BMW Brand Store abrite aussi désormais un tout nouveau BMW Closed Room « NEXT 5 ». Une présentation temporaire de la nouvelle BMW Série 5 Touring s’y tient jusqu’à la fin juin en avantpremière et sur rendez-vous. Vous pouvez retrouver tous les prochains événements du BMW Brand Store sur le site web www.bmwbrandstore.be

Rénovation et service en phase avec la marque La concession BMW Vandeperre à Sint-Pieters-Leeuw a fait peau neuve depuis septembre dernier. La marque BMW est réputée pour ses produits de qualité supérieure. Toute l’équipe de Vandeperre vise, en ce sens, à offrir un service irréprochable du même acabit. Grâce aux rénovations, le show-room spacieux et l’environnement de travail sont désormais adaptés aux normes BMW Future Retail. Vandeperre dispose, en outre, d’un département BMW Premium Selection avec des occasions certifiées. Les installations sont entièrement à la page et les cinquante collaborateurs suivent de près les innovations techniques. L’idéal pour satisfaire les clients les plus exigeants qui ont notamment pu découvrir la nouvelle BMW Série 5 Berline dans le show-room complètement rénové, début février 2017. Une opération particulièrement réussie pour le modèle BMW et pour la concession ! www.vandeperre.bmw.be

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Inside

Le summum de la sécurité Au sein de la gamme BMW Motorrad de plus en plus hétérogène, la K 1600 GT est depuis 2011 le compagnon de voyage idéal pour tous ceux qui souhaitent allier sans compromis le confort, le luxe et la sécurité à une conduite dynamique. L’édition 2017 ajoute une nouvelle dimension à l’incomparable routière grâce à un équipement encore plus complet, des fonctionnalités de sécurité supplémentaires et la marche arrière. Texte Sven Rammeloo Photos BMW Motorrad

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Richard Motorrad Branson

Le compteur de vitesse et le comptetours ont chacun leur forme ronde traditionnelle, mais un écran full-color de 5,7 pouces TFT fait le lien entre les deux.

L’assistance à la marche arrière peut facilement être activée via le bouton sur le côté gauche du guidon.

Les six cylindres comptent depuis plus de 80 ans parmi la gamme de voitures BMW, mais ce n’est qu’en 2009 que ce moteur viendra propulser les deux-roues de BMW avec une puissance et une souplesse inégalées. Délibérément doté d’une puissance non exubérante de 160 ch, au profit d’un couple particulièrement appréciable, le moteur en ligne est disponible sur quatre modèles et contribue à maximiser la puissance d’une routière. Et le séduisant bloc moteur six cylindres satisfait aux normes environnementales Euro 4 les plus strictes, bien que la puissance et le couple – à l’instar du bruit vrombissant produit par le pot d’échappement 6-en-2 — restent inchangés par rapport au modèle précédent. Équilibre et amortissement parfaits

Parfaitement équilibré de nature et extrêmement fiable, le bloc 1.649 cc réagit toujours aussi promptement à chaque mouvement de poignet. Un déploiement de puissance plus que suffisant pour un week-end sur la route, un long voyage

Le dynamisme et le confort. Des spécificités chères à BMW que reflète le design de la K 1600 GT. BMW Magazine

ou un trajet quotidien. Et la K 1600 GT souligne, en outre, sa raison d’être avec une foule de spécificités auxquelles vous pouvez vous attendre avec ce type de moteur BMW 2017. La suspension avant de type Duolever, le phare Xénon et le Multi-Controller, par exemple, mais aussi l’ABS Pro (qui garantit même un freinage sûr en pente) et la protection presque parfaite contre les conditions météorologiques appartiennent toujours au pack standard. L’intégration, en série, de la technologie Dynamic ESA constitue la nouveauté de ce millésime. Ce système de suspension sophistiqué doté de deux modes (Road et Dynamic) garantit une expérience de conduite fluide, quelles que soient les conditions : l’amortissement est automatiquement ajusté à la nature de la route identifiée par les capteurs, et ce, en quelques millisecondes. Également en pointe de vitesse, même lors de virages serrés. La stabilité reste un atout. Qui plus est, le Dynamic Traction Control (DTC) assure une sécurité maximale à l’accélération, comme c’était déjà le cas sur cette routière, et ce, peu importe le mode de conduite sélectionné (Rain, Road ou Dynamic), qui s’harmonise parfaitement sans exception avec le DTC. Malgré son équipement très complet, la BMW K 1600 GT arbore depuis ses débuts des courbes athlétiques qui attirent l’attention partout et à tout moment. Les panneaux latéraux redessinés et les déflecteurs aérodynamiques agrandis ne portent pas atteinte à son look dynamique, mais maximisent la protection contre le vent. Renouvelé et embelli du logo K 1600 GT, le compteur de vitesse rappelle celui qui se trouve sur la selle.

Inside Grâce à son bloc moteur de six cylindres, chaque trajet est un pur plaisir avec la BMW K 1600 GT.

Grâce à l’aide à la marche arrière, manœuvrer et sortir de stationnement devient un jeu d’enfant. D E U X- E N - U N U N I Q U E : L E S Y S T È M E 7 C A R B O N E

Pour souligner encore davantage l’allure dynamique de la K 1600 GT – ou d’une autre moto BMW – aucun autre casque n’est plus adapté que le tout nouveau BMW Système 7 Carbone. Bien plus léger que son prédécesseur (le très célèbre casque 6 EVO), ce joyau contemporain est équipé d’une protection de menton astucieuse, unique et amovible, qui vous permet de métamorphoser sans outil le casque intégral en un casque jet. L’idéal pour sillonner la ville ou prendre le volant en été, avec ou sans visière pare-soleil réglable. Qui plus est, l’angle de vision désormais plus large offre une meilleure vision ainsi qu’une aérodynamique et une aéroacoustique sans précédent. Vous souhaitez rester en contact ? Le système de communication Bluetooth disponible en option vous permet de téléphoner, d’écouter de la musique et de naviguer sans difficulté. Le tout avec une qualité de voix améliorée du système intercom.

Équipement optionnel et laques exclusives

Ceux qui désirent personnaliser davantage la BMW K 1600 GT n’auront que l’embarras du choix. Le démarrage sans clé, le verrouillage central et le Shift Assistant Pro – le système qui permet des montées et descentes de rapports sans débrayer – ne sont qu’un aperçu des nombreuses options disponibles. Le volume de bagages déjà généreux peut encore être étendu avec un top case et une sacoche de réservoir assortie. Autre nouveauté : vous pouvez désormais équiper votre routière d’une aide à la marche arrière, aisément contrôlable avec un bouton sur le volant. Stationner et manœuvrer à faible allure devient un jeu d’enfant (même en terrain pentu). L’eCall, un extra qui augmente sensiblement le sentiment de sécurité, est une autre nouveauté intéressante qui figure sur la liste des options d’usine. BMW Motorrad est le premier fabricant de motos à proposer cet « intelligent emergency call », qui permet au conducteur d’envoyer un signal automatique ou manuel à un BMW Call Center en cas d’accident ou de situation d’urgence. La localisation exacte est trans-

mise à l’aide des coordonnées GPS, après quoi la procédure d’urgence est lancée. Grâce à un microphone et à un hautparleur intégrés, le conducteur peut directement communiquer avec le call center. Lors de la commercialisation de la K 1600 GT, l’eCall était uniquement disponible en Allemagne, mais les autres pays ont suivi. La toute nouvelle BMW K 1600 GT est disponible dans les nouveaux coloris Mars Red metallic ou Blackstorm metallic particulièrement chics et élégants. La K 1600 GT Sport, équipée d’une plus petite protection contre le vent, d’une motorisation toute de noire vêtue et d’étriers de frein teintés or est disponible dans une livrée Lupine Blue metallic plus prononcée et dynamique, avec une bande GT hyper sportive sur le carénage.

BMW K 1600 GT

Type Puissance en kW (ch) Couple Nm Vitesse max. Consommation de carburant Capacité du réservoir Hauteur d’assise Poids en ordre de marche

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Moteur en ligne quatre soupapes, refroidi par eau avec six cylindres, 1.649cc 118 kW (160 ch) à 7.750 tr/min 175 Nm à 5.250 tr/min plus de 200 km/h 5,7 l/100 km 26,5 l

810-830 mm 334 kg

Active Life

Vo t r e é q u i p i e r i d é a l pour des performances hors du commun Énergie, puissance, dynamisme. Les meilleures prestations sportives ont toujours joué un rôle décisif dans l’histoire de BMW. Non seulement dans le s p o r t m o t e u r, m a i s a u s s i s u r t o u s l e s t e r r a i n s o ù c e u x qui repoussent les limites sont récompensés. Que vous profitiez d’un rallye de motos, que vous escaladiez une montagne, que vous vous livriez à une régate ou que vous fouliez les greens, par un beau dimanche. La polyvalence est assurément un atout majeur des BMW Sport Collections. Texte Lien De Ruyck Photos BMW Belux

Les collections se déclinent en de multiples variantes : Golfsport, Yachtsport, Motorsport, Motorsport Heritage et BMW Active. Mais, quel que soit le sport au menu, une chose est sûre : la qualité sans compromis de BMW est votre équipier idéal pour toutes vos performances sportives. Chaque collection garantit, en effet, des matériaux de haute qualité, une fonctionnalité optimale et une élégance parfaite. Sous le charme de la course La collection BMW Motorsport synthétise à merveille l’odeur du pneu échauffé, l’asphalte brûlant et les motos chauffées à bloc dans un look sportif inégalé. Les bandes emblématiques, le motif typique qu’arbore le tissu et les célèbres écussons « Powered by M » soulignent l’esprit du sport moteur sur le circuit et au-delà. Cette gamme sportive est une authentique cure de puissance pour les vrais fans, qu’elle se décline en polos, en vestes, en sweats, en blousons et en sacs de sport ou en une multitude d’autres articles comme le modèle en miniature de la BMW M6 GT3. Tous ceux qui aiment les performances de rêve des équipes de course BMW se sentiront plus que jamais membres à part entière de l’équipe ! Vous aimez une pointe de nostalgie ? Remontez le temps en un instant. Retrouvez le charme des années 70 avec la BMW Motorsport Heritage Collection. Cultissime, la veste en cuir BMW Motorsport s’inspire pleinement de la veste de moto originale. L’écusson BMW Motorsport tiré tout droit des années 70 fait office de fil rouge récurrent dans toute la collection. L’attitude « hole-in-one » Vous foulez volontiers les greens ou affrontez d’autres golfeurs à l’occasion du BMW Championship ? Vous avez, vous aussi, l’embarras du choix. Le design sans concession de la nouvelle BMW Golfsport Collection donne la pêche à votre look, sur les greens ou au club-house, avec son design à bandes épuré, rehaussé par des coloris Fire et Navy Blue très tendance. L’alliance de l’élégance sportive et de l’exclusivité fonctionnelle atteint son paroxysme avec le BMW Golfsport Cartbag, le fer de lance de la collection. La collection BMW Active joue la carte des temps libres et habille à merveille tout amateur d’exclusivité pour qui la fonctionnalité et l’expressivité sont aussi importantes. Les collections BMW vous assurent de toujours vous présenter sous votre meilleur jour, même après le sport. Découvrez les BMW Sport Collections chez votre BMW Partner ou sur bmw.be/toutessaisons

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Héros

Mission DTM « Cette année, je veux gagner le championnat DTM » Notre compatriote Maxime Martin, pilote BMW depuis 2013, nourrit de grandes ambitions. Sa victoire aux 24 heures de Spa-Francorchamps, l’an d e r n i e r, s e m b l e a v o i r d o p é s a c o n f i a n c e e n l u i . O u t r e l e D T M , i l a m b i t i o n n e également de remporter les 24 heures du Nürburgring, fin mai, et fait aussi figure de grand favori sur le double tour d’horloge des Ardennes cet été. Texte Kurt Focquaert Photos BMW Belux

À la fin de ce mois, vous vous alignerez à nouveau aux 24 heures du Nürburgring avec une BMW M6 GT3. Une course particulière ?

Maxime Martin : « Absolument. Il s’agit d’une compétition relevée. La concurrence est rude et les participants sont très nombreux. On dénombrera donc énormément de véhicules sur la piste. Le circuit de 25 kilomètres de long est, en outre, un défi en soi. » Cette course vous rappelle-t-elle de bons souvenirs ?

« Bien sûr. Je suis déjà monté deux fois sur la deuxième marche du podium. Je n’ai encore jamais remporté cette compétition, mais je souhaite renverser la vapeur cette année. L’objectif est clair : gagner. Nous avons un véhicule puissant pour le Nürburgring, une voiture qui a déjà fait ses preuves l’année passée. Une compétition n’est évidemment pas l’autre. Une course de 24 heures nécessite un peu de chance malgré tout : toutes les pièces du puzzle doivent s’emboîter parfaitement. Mais je suis très confiant et nous allons tout donner pour la victoire. » Avec trois équipes talentueuses et 20 pilotes, BMW a déployé les grands moyens. Quelle est l’importance de cette course pour la marque ?

« C’est une compétition mythique en Allemagne. Elle attire entre 250.000 et 300.000 spectateurs. Il est important d’être présents et de franchir la ligne d’arrivée en tête pour l’image des constructeurs. Toutes les grandes marques sont donc fortement représentées sur la ligne de départ. Il s’agit de fortemen course GT la plus importante au monde, avec les la cou 24 h heures de Spa-Francorchamps. »

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Maxime Martin

L’an dernier, vous avez gagné les 24 heures de SpaFrancorchamps et vous suivez ainsi les traces de votre père et de votre oncle. Qu’avez-vous ressenti ?

« Ce moment fut magique. En tant que Belge, décrocher la victoire des 24 heures de Spa est déjà fantastique, mais cette expérience a eu une saveur particulière pour moi parce que mon père et mon oncle l’ont déjà emporté six fois. Cette histoire de famille rend évidemment ma victoire deux fois plus belle. Je rêvais déjà des 24 heures de Spa lorsque j’étais jeune et que mon père y participait. Gravir la plus haute marche du podium 24 ans après sa dernière victoire était un rêve qui se réalisait. »

Alexander Sims (GB), Maxime Martin (BEL), Philipp Eng (AUT) aux 24 heures de Spa-Francorchamps.

heures du Nürburgring. Sans oublier les 24 heures de Spa. Ces courses sont les trois piliers clés de ma saison. » Durant les deux premières saisons du DTM, vous avez

Qu’a dit votre père après votre victoire ?

roulé pour la BMW Team RMG. L’an dernier, vous avez

« Il avait la tête dans les étoiles et s’est montré particulièrement fier d’avoir vu son fils gagner les 24 heures de Spa. Ce fut un événement important pour la famille, pour lui et pour moi, mais aussi pour tous ceux qui m’ont soutenu et aidé à concrétiser ce rêve. »

rejoint la BMW Team RBM. Le changement fut-il im-

La course des 24 heures de Spa-Francorchamps est-elle la plus belle au monde, selon vous ?

« Je ne sais pas si c’est la plus belle compétition au monde, mais, avec le plus grand nombre de participants GT de la saison, elle fait certainement partie des plus prestigieuses. Pas moins de 65 voitures prennent le départ dans la même catégorie. C’est unique. En matière de GT, la course des 24 heures de Spa est la course de référence, mais il y a évidemment d’autres très belles compétitions automobiles. » Quelles sont vos chances pour cette édition ?

« Cette année, je prendrai à nouveau le départ au volant d’une BMW M6 GT3 de Rowe Racing, l’équipe avec laquelle j’ai triomphé l’an dernier. Il y a de grandes chances qu’Alexander Sims et Philipp Eng, mes coéquipiers de la dernière fois, soient également à mes côtés cette fois-ci. Nous visons à nouveau la victoire, cela ne fait aucun doute. » Et qu’en est-il des 24 heures du Mans ?

« Non, j’y ai déjà participé trois fois, mais BMW ne sera pas de la partie cette année. BMW sera de retour au Mans en 2018 parce que la marque participera la saison prochaine au Championnat du monde d’endurance, le FIA World Endurance Championship. Et qui sait, cela m’ouvrira peut-être de nouvelles perspectives pour un retour au Mans. » DTM reste votre objectif principal cette année encore ?

« Bien sûr, DTM reste ma priorité. C’est à cette course que je consacre le plus de temps et d’énergie. DTM reste aussi le championnat le plus important pour BMW, mais la marque consent également de lourds investissements dans les 24

portant ?

« Évidemment. Il est toujours difficile de changer d’équipe. Nous avons enregistré quelques bons résultats, mais avons aussi vécu quelques moins bons moments. Nous avons eu besoin d’un temps d’adaptation, mais nous nous connaissons aujourd’hui bien mieux et avons appris à collaborer de manière optimale. Je suis ravi de poursuivre cette collaboration. » DTM a modifié le règlement pour 2017 et les voitures

ont subi une profonde métamorphose : un kit aéro réduit, un moteur plus puissant et d’autres pneus. Est-ce une bonne chose ?

« Oui, bien sûr. C’est pourquoi je suis heureux de rouler avec la même équipe que l’an dernier. Nous pouvons nous appuyer sur la continuité que nous instaurons depuis 2016. Je pense que les nouvelles règles sont une bonne chose pour DTM et pour le spectacle. » Quelle est votre ambition pour le DTM 2017 ?

« Après trois saisons du DTM, mon ambition de cette année est claire : j’entends devenir champion avec ma nouvelle BMW M4 DTM. Cela dépendra naturellement de nombreux paramètres. Compte tenu des nouveaux règlements, il est difficile de prévoir comment la nouvelle voiture se comportera sur la piste, mais remporter le titre reste mon objectif ultime. » Enfin, une question d’ordre privé : vous êtes devenu papa d’un petit Félix, l’an dernier. Cet événement a-t-il bouleversé votre vie ?

« Une naissance est un changement énorme. Celle de Félix est la plus belle chose qui me soit arrivée et je m’efforce d’en profiter au maximum, malgré mon programme professionnel chargé et toutes les obligations qui en résultent. Un enfant aide à relativiser énormément. Il m’a fait réaliser que certaines choses sont bien plus importantes dans la vie que la course. »

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Swing Time en Thaïlande La BMW Golf Cup est le plus grand tournoi de golf pour amateurs depuis 29 ans déjà.

La BMW Golf Cup célébrera son 30e anniversaire

Cécile Weyden et son époux Roberto Lecis sont de fervents

l’année prochaine. À cette occasion, BMW organisera

golfeurs depuis près de 10 ans. Ils assistent donc chaque

à nouveau la BMW Golf Cup Special Edition à

année à la BMW Golf Cup lorsqu’elle est organisée dans leur

l’automne 2018. Il s’agira de la troisième édition de

club local, Spiegelven Golf Club à Genk. Quand ils ont eu la

cette initiative particulière qui a eu lieu à Abu Dhabi en 2013 et en Thaïlande, à la fin de l’année passée. Texte Kurt Focquaert

Photos BMW AG

chance de s’inscrire à la BMW Golf Cup Special Edition en Thaïlande, ils n’ont pas dû réfléchir longtemps. « La Thaïlande est un pays unique et le programme bien chargé et assorti de nombreuses possibilités était particulièrement attrayant. Les deux compétitions de golf organisées sur les terrains de Bangkok et Phuket furent évidemment déterminantes », précise Cécile.

À l’image d’un gala « L’enthousiasme des participants nous a permis de réaliser que la BMW Golf Cup Special Edition est une expérience

Voyager avec un groupe de fans de golf aux intérêts com-

unique pour nos clients », souligne l’Events Marketing Ma-

muns constituait aussi une plus-value pour Cécile. « Prendre

nager Guy Le Compte qui a mis au point les voyages. « C’est

part seul à un tel voyage serait bien moins amusant »,

pourquoi nous entendons poursuivre sur notre lancée et

estime-t-elle. « Les points forts de l’épopée ? Tout : les acti-

nous prévoyons une nouvelle édition l’an prochain qui en-

vités culturelles, les plaisirs culinaires, les magnifiques

flammera une nouvelle fois l’imagination. » En attendant,

hôtels, les compétitions en elles-mêmes, l’exceptionnelle

deux heureux golfeurs reviennent sur leur expérience en

remise des prix semblable à un gala, etc. », ajoute-t-elle avec

Thaïlande.

enthousiasme. Elle a notamment grandement apprécié la

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BMW Golf Cup

La Thaïlande offre des terrains de golf de premier choix, des cadres magnifiques et des caddies très conviviaux. visite du Palais royal de Bangkok, la croisière avec un lunch

sportives, outre le programme de golf, vous pouviez compo-

sur une île paradisiaque, les massages ainsi que l’encadre-

ser votre propre parcours selon vos préférences et vos inté-

ment et l’accompagnement d’exception dont elle a bénéficié

rêts. » Hubert a jeté son dévolu sur une balade à vélo dans la

durant les tournois de golf. Bien que Cécile ait pleinement

Thaïlande rurale avec la visite intéressante d’une plantation

profité des compétitions, elle se montre moins enjouée

de cocotiers. Comme Cécile, il qualifie également de point

quant à ses résultats. « Je n’oserais même pas en parler »,

fort le lunch sur une plage de sable blanc au bord d’une des

dit-elle en riant. « É-pou-van-tables ! Je me faisais une telle

îles. « La plage nous était entièrement réservée, le buffet

joie de participer à ces tournois et j’espérais tellement briller,

était délicieux et nous avons même profité d’un mas-

mais cela n’a pas été suffisant. » Mais la sympathique dame

sage. Nous avons ressenti à chaque moment que tout était

avait une bonne excuse. « L’an dernier, j’ai souffert d’une

mis en place pour faire vivre une expérience inoubliable aux

blessure au dos, ce qui m’a empêché de m’entraîner

participants. Ce fut un voyage très luxueux, mais aussi par-

correctement et a certainement joué en ma défaveur lors des compétitions en Thaïlande. » « Une expérience formidable », estime Hubert Pirenne de Liège, qui a participé avec son épouse Brigitte. « De l’accueil

Pour Hubert Pirenne, l’organisation de la BMW Golf Cup fut une véritable réussite à tous les égards.

ticulièrement relaxant. J’ai beaucoup apprécié cet aspect. Un véritable art de vivre. » Hubert a également tenu à illustrer le sens du détail avec cette anecdote : « Lors de notre excursion dans la capitale, nous étions escortés par les

à l’aéroport de Zaventem au retour à

services de police… Non pas pour des raisons de sécurité

Bruxelles, l’accompagnement fut parfait en

parce que Bangkok semble être une ville sûre, mais pour

tous points. L’organisation fut une véri-

perdre un minimum de temps dans la circulation. Incroyable,

table réussite et les compétitions de golf à

non ? » Hubert ne devra pas réfléchir longtemps avant de

Bangkok et à Phuket furent exception-

participer à la prochaine édition. « Je m’inscrirai les yeux

nelles. Tout était prévu, même les para-

fermés », conclut-il en riant.

pluies. » Sur les terrains depuis 25 ans déjà, Hubert Cécile Weyden, tout à l’avant du bateau, profite d’une excursion à couper le souffle.

est aujourd’hui un golfeur affirmé avec un handicap de 9. Avec un tel palmarès, impossible pour ce Liégeois de décevoir. Et il a bel et bien montré ce dont il était capable. « J’étais en tête à la deuxième journée de compétition à Phuket et j’ai finalement terminé deuxième au classement général. Une réelle satisfaction. J’ai même reçu une surprise à mon retour : un magnifique sac de golf signé BMW. Ce cadeau m’a fait extrêmement plaisir. »

Un art de vivre Hubert a beaucoup apprécié le fait que le voyage offre à chaque participant de multiples possibilités de détente. « Que vous aimiez les activités culturelles, culinaires ou

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Un concours haut en couleur pour le BMW ColorSystem BMW a son propre système de peinture laquée depuis trente ans :

le BMW ColorSystem. Pour célébrer cet anniversaire, BMW Belux a organisé un véritable concours de peinture pour les partenaires BMW. Résultat ? Les collaborateurs participants ont transformé des rétroviseurs BMW et MINI en magnifiques œuvres d’art. Texte Kurt Focquaert Photos Sputnik Media

Mettons fin à un malentendu très répandu : la peinture, c’est bien plus que de la peinture. C’est pourquoi les partenaires BWM utilisent le BMW ColorSystem, la laque BMW originale pour les réparations de peinture. Ce système innovant existe depuis trente ans déjà et offre un large éventail d’avantages au client, explique Marc Van Exe, Body & Paint Expert chez BMW Belux : « La laque écologique de BMW ColorSystem est spécialement adaptée à la gamme BMW et provient de la même usine, en Allemagne, qui produit la peinture originale pour les nouvelles BMW. » Elle offre des avantages évidents par rapport à la laque universelle, disponible pour toutes les marques. Par une

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BMW Color system

Les trois membres du jury : Xavier Siméon, Philippe Graton et Henri Delforge (dgàd.)

d’origine à la perfection. Tous les aspects sont pris en compte : protection contre la corrosion, choisir la bonne couleur, les techniques de peinture, les techniques de polissage, etc. « BMW est une des rares marques qui a aussi inclus les réparations de laques dans ses propres procédures de réparations officielles », ajoute Marc Van Exe. BMW accorde une grande importance aux compétences de ses collaborateurs. Marc Van Exe explique : « Nous organisons en ce sens des formations continues spécifiquement destinées à la réparation de peinture BMW. » Un concours en trois catégories

sélection spécifique des pigments et des minéraux naturels, nous pouvons réparer toutes les teintes et toutes les nuances BMW de manière extrêmement précise. Un aspect très important non seulement pour les couleurs de la gamme BMW, mais aussi pour la couche de vernis où la différence réside dans les détails. Préserver la brillance et la structure de la laque originale est en effet crucial lors d’une réparation de la couche de vernis. Nous pouvons, en outre, parfaitement restaurer les couleurs Frozen Metallic avec une finition matte et un degré de matité identique à la laque originale appliquée dans l’usine. Le BMW ColorSystem offre également la garantie de préserver toutes les qualités de la laque BMW originale.

À l’occasion des 30 ans de BMW ColorSystem, BMW Belux a organisé un concours de peinture pour les collaborateurs des concessions BMW. « Nous voulions permettre aux peintres professionnels de montrer ce qu’ils avaient sous le capot », précise Marc Van Exe. Le défi consistait à peindre un ensemble de rétroviseurs de manière originale selon les trois catégories proposées : BMW Design, MINI Design et « Technicality & Complexity ». Cette dernière catégorie exigeait des techniques plus complexes et des créations plus artistiques. Ce sont au total 36 collaborateurs de carrosserie du réseau BMW qui ont ainsi envoyé leur conception. Trois membres du jury indépendants se sont penchés sur les travaux soumis. Celui-ci était composé de noms illustres comme le pilote Moto2 belge Xavier Siméon, l’auteur de BD Philippe Graton et Henri Delforge, le président du BMW Bavaria Club Belgium. « Notre réseau se compose de véritables artistes », ajoute Marc Van Exe. « Nous sommes restés perplexes face aux travaux soumis. Certains étaient dignes d’œuvres d’art ! » Le gagnant de la catégorie BMW Design est Yves Himschoot de la concession BMW De Mey, qui a tiré son inspiration du centième anniversaire de BMW. Peter Henrich, le directeur général de BMW Belux, félicite le gagnant Yves Himschoot.

Mode d’emploi pour les peintres au pistolet BMW a également élaboré le “ BMW ColorSystem Paint Manual ”, un mode d’emploi détaillé pour les peintres qui explique la manière de restaurer la laque BMW dans son état

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Héros

« M i c h e l Va i l l a n t a u n e valeur historique »

Pourquoi Michel Vaillant revient-il aux 24 Heures du Mans dans ce nouvel album ?

Rébellion, le nouvel épisode de la série Michel Va i l l a n t , s i g n e l e r e t o u r d u h é r o s d e c o u r s e a u t o m o b i l e a u x 2 4 H e u r e s d u M a n s . L ’ a u t e u r, Philippe Graton, fils de Jean Graton, créateur des légendaires bandes dessinées, explique son choix d’utiliser à nouveau le circuit de la Sarthe pour le soixantième anniversaire de la saga automobile des Va i l l a n t e .

Texte Kurt Focquaert Photos © S. Alvarez/ Share & Dare/ Fondation Graton

BMW Magazine

Philippe Graton : « Le Mans est important dans la saga de Michel Vaillant : c’est là où elle a vu le jour. Mon père, Jean Graton, avait 13 ans lorsqu’il a vu une course automobile pour la première fois de sa vie : les 24 heures du Mans. Mon grand-père l’avait emmené sur sa moto le week-end de la course. Ils étaient partis de leur maison à Nantes pour assister ensemble à la course. De là est née la passion de mon père pour le sport automobile. Plus tard, lorsqu’il a commencé à créer des bandes dessinées, il a choisi un pilote automobile pour personnage principal : Michel Vaillant s’est vite retrouvé au départ des 24 Heures du Mans. Le Mans constitue, en outre, le décor des BD les plus connues de Michel Vaillant, comme “Le 13 sera au départ” et “Le fantôme des 24 Heures”. Aucun album n’a pourtant eu Le Mans pour décor, ces dix dernières années. Pour son 60e anniversaire cette année, je voulais marquer le retour de Michel Vaillant au Mans après dix ans d’absence. L’album, dont le titre est Rébellion, paraît juste avant le début des 24 Heures du Mans 2017. Deux Vaillante prendront véritablement part à la course, en hommage à l’œuvre de Jean Graton et grâce à

Richard PhilippeBranson Graton

Une exposition « Michel Vaillant Art Strips » s’est tenue l’an dernier dans le Brand Store BMW George V à Paris, notamment avec cette magnifique BMW Z4 GT3 des 24 h de Spa.

la collaboration de l’équipe suisse Rebellion Racing. Bruno Senna, Nicolas Prost et Nelson Piquet Jr figurent parmi les grands noms qui les piloteront. »

En 2012, après une absence de cinq ans, Michel Vaillant revenait avec une nouvelle série d’aventures sous le nom « Nouvelle saison ». Pourquoi cette rupture de style ?

Que signifie le personnage Michel Vaillant pour vous ?

« J’ai grandi avec lui. Il fait en quelque sorte partie de notre famille. Nous ne devons pas sous-estimer l’importance de Michel Vaillant. La bande dessinée a fait rêver de nombreux lecteurs et a tissé un lien avec le sport automobile, surtout dans les années 50 et 60 car le sport automobile n’était pas retransmis à la télévision à l’époque. Mais quantité de personnes ont découvert les courses à travers les aventures de Michel Vaillant. Il a également inspiré la vocation de nombreuses personnes : designers, pilotes et bien d’autres professionnels du secteur de l’automobile ont nourri leur passion pour le sport automobile en lisant Michel Vaillant. Des pilotes de courses comme Alain Prost, Thierry Boutsen, Tom Kristensen et le célèbre designer automobile Luc Donckerwolke en sont quelques exemples. Il est rare qu’une bande dessinée ait un tel impact sur le monde réel. L’œuvre est également importante, car elle met en images l’histoire du sport automobile des 60 dernières années et apporte une documentation journalistique. Elle possède aussi une valeur historique. Le 20e siècle fut celui de l’automobile et les aventures de Michel Vaillant donnent la part belle aux aspects sportifs, humains, technologiques et industriels de ce siècle. »

H I S T O I R E D E FA M I L L E Philippe Graton (56) est le fils de Jean Graton, le père spirituel de Michel Vaillant. Cette bande dessinée légendaire constitue une longue saga sur le sport automobile avec le pilote français Michel Vaillant et son équipe de course Vaillante dans les rôles principaux. La première aventure de Michel Vaillant remonte à 1957 et parut d’abord sous la forme d’une brève dans le journal Tintin. Peu de temps après, Michel Vaillant s’est imposé comme album à part entière sur le marché. De nationalité française, Jean Graton déménagea à Bruxelles après la Seconde Guerre mondiale, où il vit toujours. Son plus jeune fils, Philippe, a attrapé la fièvre du sport automobile et a grandi avec la BD. Ce dernier commence à travailler comme photojournaliste, puis pour la BD en tant que scénariste dans les années 90. Après le départ à la retraite de son père, il reprend seul le flambeau et donne, en 2012, un nouveau départ à Michel Vaillant sous le nom « Nouvelle Saison ». Le contenu et le style de dessin de la nouvelle série marquent une rupture stylistique considérable avec les 70 premiers épisodes de la saga. Le dernier album, Rébellion, 6e épisode de la Nouvelle Saison, paraîtra en juin, à l’occasion du soixantième anniversaire de la bande dessinée et à l’approche des 24 heures du Mans.

« Je n’étais pas satisfait des derniers albums en 2007. Ni de mes scénarios ni même des dessins. Michel Vaillant devait être bien meilleur que ça. Je me suis donc arrêté pour prendre le temps de réfléchir. Il était temps de changer radicalement de cap. Je voulais en finir avec l’ancienne méthode de travail et je ne voulais plus continuer avec le Studio Graton, où les anciens assistants de mon père étaient encore actifs. Il s’agissait certes de dessinateurs talentueux, mais il n’y avait plus de véritable « auteur ». Atteindre un résultat cohérent était difficile puisque différents dessinateurs participaient au même album. Et le scénario n’était plus adapté aux exigences modernes d’une bande dessinée. Michel Vaillant datait des années 50, où la BD était tout d’abord destinée aux enfants. La BD d’aujourd’hui touche un public bien plus large et doit aussi s’adresser aux adultes. Je voulais également refléter le rôle extrêmement changeant de la voiture dans les histoires de Michel Vaillant. La place de l’auto dans notre société sur le plan économique, écologique, technologique et même politique pose avec tous les enjeux que cela soulève. J’y vois une opportunité pour un scénariste. Michel Vaillant devait à nouveau prendre place dans l’actualité. Et je n’aurais jamais pu y parvenir en créant un 71e album. Une rupture de style était nécessaire. J’ai donc pris tout mon temps non seulement pour écrire de nouveaux scénarios, mais aussi pour trouver un nouveau dessinateur et un coscénariste brillant, Denis Lapière, car je ne voulais plus rédiger les histoires seul. » BMW est particulièrement présente dans Michel

Vaillant. Entretenez-vous un lien particulier avec la marque ?

« La silhouette en colère » est l’histoire d’une passion qui prend un virage dramatique sur la piste de course.

BMW Magazine

« BMW apparaît souvent dans les aventures de Michel Vaillant, parce que la BD raconte la véritable histoire du sport automobile. BMW est une marque incontournable dans ce domaine. Le constructeur a été présent partout au fil des années : tourisme, GT, rallye, Formule 1, sport moto, etc. Je suis parfois critiqué sur l’équipe Vaillante qui fait de tout dans le sport auto et moto. On affirme que j’exagère en disant : “C’est impossible”. Mais je réponds “Eh bien, regardez BMW”. Au cours de son histoire, la marque a remporté de grandes victoires dans pratiquement toutes les disciplines. Je n’ai pourtant pas voulu mettre BMW particulièrement en avant, mais elle occupe une place importante dans mon œuvre en raison du rôle qu’elle a joué dans le sport automobile. »

Caractéristiques techniques Caractéristiques techniques des modèles BMW présentés dans ce magazine

Cylindres/ carburant

Cylindrée cm3

Puissance* kW/ch

Consommation l/100km M1

Consommation

Émissions de

l/100km

CO2 g/km

Émissions de

CO2 g/km

BMW Série 4 Coupé

420i

4L / essence

1998

135/184 - 120/163*

5,8 - 6,1

5,5 - 5,8

134 - 141

127 - 134

420i xDrive

4L / essence

1998

135/184 - 120/163*

6,6 - 6,9

5,9 - 6,2

154 - 161

137 - 144 129 - 136

430i

4L / essence

1998

185/252

430i xDrive

4L / essence

1998

185/252

6,1 - 6,5

440i

6L / essence

2998

240/326

440i xDrive

6L / essence

2998

240/326

6L / essence

2979

317/431

8,8

8,3

204

418d

4L / diesel

1995

110/150 - 100/136*

4,2 - 4,5

4,1 - 4,4

110 - 118

109 - 117

420d

4L / diesel

1995

140/190 - 120/163*

4,2 - 4,5

4 - 4,3

111 - 119

106 - 114

420d xDrive

4L / diesel

1995

140/190 - 120/163*

4,4 - 4,7

117 - 125

425d

4L / diesel

1995

165/224 - 155/211*

4,6 - 4,9

4,4 - 4,7

121 - 129

116 - 124

430d

6L / diesel

2993

190/258

4,9 - 5,1

129 - 134

430d xDrive

6L / diesel

2993

190/258

5,2 - 5,4

137 - 142

435d xDrive

6L / diesel

2993

230/313

5,4 - 5,6

143 - 147

420i

4L / essence

1998

135/184 - 120/163*

6,2 - 6,6

5,8 - 6,2

145 - 153

136 - 144

430i

4L / essence

1998

185/252

6,6 - 7

5,9 - 6,3

154 - 162

138 - 146

430i xDrive

4L / essence

1998

185/252

6,4 - 6,7

149 - 156

440i

6L / essence

2998

240/326

6,8 - 7,2

159 - 167

440i xDrive

6L / essence

2998

240/326

7,3 - 7,6

169 - 177

7,4 - 7,7 -

5,5 - 5,8

143 - 151

5,9 - 6,2

138 - 144

6,6 - 6,8

172 - 179

154 - 159

7 - 7,3

162 - 169 194

BMW Série 4 Cabrio

6L / essence

2979

317/431

9,1

8,7

213

203

420d

4L / diesel

1995

140/190 - 120/163*

4,8 - 5,1

4,4 - 4,7

127 - 134

116 - 124

425d

4L / diesel

1995

165/224 - 155/211*

5,1 - 5,4

4,8 - 5,1

133 - 141

127 - 135

430d

6L / diesel

2993

190/258

5,3 - 5,5

139 - 144

435d xDrive

6L / diesel

2993

230/313

5,7 - 5,9

151 - 155

BMW Série 4 Gran Coupé

420i

4L / essence

1998

135/184 - 120/163*

5,8 - 6,1

5,5 - 5,8

134 - 141

127 - 134

420i xDrive

4L / essence

1998

135/184 - 120/163*

6,6 - 6,9

5,9 - 6,2

154 - 161

137 - 144

430i

4L / essence

1998

185/252

5,5 - 5,8

143 - 151

129 - 136

430i xDrive

4L / essence

1998

185/252

6,1 - 6,5

5,9 - 6,2

138 - 144

440i

6L / essence

2998

240/326

6,6 - 6,8

154 - 159

440i xDrive

6L / essence

2998

240/326

7,1 - 7,4

165 - 172

418d

4L / diesel

1995

110/150 - 100/136*

4,1 - 4,5

4,1 - 4,4

109 - 118

107 - 116

420d

4L / diesel

1995

140/190 - 120/163*

4,2 - 4,5

4 - 4,3

111 - 119

106 - 114

420d xDrive

4L / diesel

1995

140/190 - 120/163*

4,6 - 4,9

4,5 - 4,8

121 - 129

118 - 126

425d

4L / diesel

1995

165/224 - 155/211*

4,7 - 5,1

4,6 - 4,8

125 - 133

120 - 127

430d

6L / diesel

2993

190/258

5,1 - 5,3

134 - 139

430d xDrive

6L / diesel

2993

190/258

5,3 - 5,5

140 - 145

435d xDrive

6L / diesel

2993

230/313

5,6 - 5,7

146 - 150

530i

4L / essence

1998

185/252

5,8 - 6,3

133 - 139

540i xDrive

6L / essence

2998

250/340

7,3 - 7,5

167 - 172

520d

4L / diesel

1995

140/190 - 120/163*

119 - 124

520dA

4L / diesel

1995

140/190 - 120/163*

4,3 - 4,5

114 - 119

530d

6L / diesel

2993

195/265

4,7 - 5

124 - 131

530d xDrive

6L / diesel

2993

195/265

5,3 - 5,5

139 - 144 159 - 164

BMW Série 5 Touring

4,5 - 4,7

BMW Série 7 Berline

740i

6L / essence

2998

240/326

6,8 - 7

750i

V8 / essence

4395

330/450

7,9 - 8,1

184 - 189

750i xDrive

6L / essence

4395

330/450

8,1 - 8,3

189 - 194

740e iPerformance

4L / essence

1998

240/326³

2 - 2,2

45 - 50

730d

6L / diesel

2993

195/265 - 155/211*

4,5 - 4,9

119 - 129

730d xDrive

6L / diesel

2993

195/265 - 155/211*

4,8 - 5,2

127 - 137

740d xDrive

6L / diesel

2993

235/320

4,9 - 5,3

134 - 139

750d xDrive

6L / diesel

2993

294/400

5,7 - 5,9

149 - 154

(1)

BMW i3

Autonomie **

i3 (94Ah)

≤ 300 km

eDrive

125/170

i3 (94Ah) avec Range Extender

≤ 410 km

4L / essence

1598

125/170 (1)

0,6

12 - 13

4L / essence

1598

266/362 (2)

2,1

Moteur six cylindres en ligne à quatre temps, refroidissement par eau/huile, deux arbres à cames en tête, quatre soupapes par cylindre

1649

118/160 à 7.750 t/min

nsap.

133

nsap.

BMW i8

i8 Motorrad K 1600 GT

5,7

M1: Boîte manuelle - A2: Boîte automatique- 3: Puissance totale du système. * Un nombre de motorisations sont également disponibles avec puissance réduite, permettant de bénéficier d'une taxe de mise en circulation plus basse en Belgique. ** L’autonomie dépend de différents facteurs comme le style de conduite, le type de route emprunté, la température extérieure, le chauffage/la climatisation, le préchauffage de la batterie. (1) Puissance maximale. Puissance nominale = 75 kW / 102 ch. (2) Puissance combinée. Puissance maximale E-Motor = 96 kW / 131 ch (puissance nominale = 75 kW / 102 ch), moteur à essence 3 cylindres = 170 kW /231 ch. Sous réserve d'erreurs et de modifications.

Po u r u n a p e r ç u c o m p l e t d e l a g a m m e , r e n d e z -vo u s s u r l e s i t e w w w. b m w. b e o u w w w. b m w. l u ou contactez votre Concessionnaire BMW. Tous les conducteurs d’un véhicule BMW – automobile et motard – dont la durée de vie est inférieure à 5 ans reçoivent gratuitement le BMW Magazine. BMW Magazine est une publication semestrielle. Indien u de Nederlandse editie van het BMW Magazine wenst te ontvangen, gelieve dan het adreslabel terug te zenden. Éditeur responsable, régie publicitaire : Wim Verbeurgt, BMW Belux, Lodderstraat 16 - Industriepark “De Vliet” – 2880 Bornem. Rédaction, réalisation, correspondance : Isabelle Regnard, BMW Belux, Lodderstraat 16 - Industriepark “De Vliet” – 2880 Bornem. Rédaction belge : Roularta Custom Media, Meiboomlaan 33 - 8800 Roeselare, tel. +32 51 26 68 54. Rédacteur en chef : Dirk Rasschaert (dirk.rasschaert@roularta.be). Mise en pages : Birgit Van Brabander. Collaborateurs : Kurt Focquaert (senior editor), Stéphanie Labis, Morgane Levenez, Steven Graauwmans, Lien De Ruyck, Sven Rammeloo, Aart De Zitter, Christophe Weerts et Toon Coussement, Jerry De Brie (photographes). Impression : Roularta Printing, Meiboomlaan 33 - 8800 Roeselare, tel. +32 51 26 61 11. N° de TVA BMW Group Belux : BE 0413.533.863. Dispositions relatives au respect de la vie privée : BMW Group Belux assure la confidentialité des données à caractère personnel conforme à la loi du 8 décembre 1992 relative à la protection de la vie privée à l’égard des traitements de données à caractère personnel. Ces données seront traitées par BMW Group Belux pour la gestion de sa relation commerciale avec vous, et pour faire la promotion de produits et services offerts par lui ou d’autres membres du BMW Group Belux ou de ses partenaires préférentiels. Sauf opposition de votre part, vos données peuvent également être transmises à des sociétés liées à BMW Group Belux ainsi qu’à des entreprises tierces, avec lesquelles BMW Group Belux entretient des liens contractuels étroits (son réseau de distributeurs). Vous disposez à tout moment du droit d’accès et de rectification à ces données ainsi que du droit d’opposition. Le responsable du traitement est BMW Group Belux, Customer Relations, Lodderstraat 16, 2880 Bornem (contact.be@bmw.be).

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