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Les caractéristiques du centre de la racine
Le centre du plexus solaire ouvert peut reconnaître ceux qui lui conviennent émotionnellement. Il sait choisir le moment approprié à la confrontation, comme il sait s’éloigner, lorsque c’est préférable. Il ne prend pas de décision sur le coup d’une émotion. Le centre du plexus solaire non défini prend conscience que les émotions qu'il ressent ne sont pas les siennes et il ne s'y attache pas. Il excelle dans l'art d'être un observateur objectif du climat émotionnel.
Le centre du plexus solaire ouvert a tendance à sauter de haut en bas sur la vague émotionnelle des autres. Il se croit anormal, car il se sent incapable de contrôler ses émotions. Le centre du plexus solaire non défini a tendance à prendre spontanément des décisions émotionnelles. Il évite la confrontation et la vérité, car il ne veut pas bouleverser les autres. Pour ce faire, il se construit une façade de gentillesse.
Les questions pour le centre du plexus solaire non défini :
Est-ce que j’évite la vérité et la confrontation? Est-ce que j'ai peur de heurter quelqu’un? Est-ce que j’ai peur des conséquences de la confrontation ?
Le non-soi du centre du plexus solaire ouvert.
Il évite la confrontation de peur des conséquences. Le désir d’expériences nouvelles le rend nerveux, car il anticipe ce qui pourrait se produire. Il ne se permet pas de rêver de peur que ses rêves ne se réalisent pas et parce que la déception lui fait mal.
Il a tendance à manquer d’entrain et d’optimisme, car il se dit, « à quoi bon, cela n'aurait pas fonctionné de toute façon. » Il craint de ne pas pouvoir faire l’expérience de la passion et d’en souffrir. Il a peur de ne rien trouver de passionnant dans la vie. Il a peur de ne trouver personne à aimer.
Il a peur du rejet, de l'imprévu et des conséquences. Il évite de faire quelque chose de peur de l’imprévu. « Je ne veux pas être amoureux, car j'ai peur de l’abandon et du sentiment de vide que cela créerait. » « Je ne veux pas discuter de ces principes, car je sais qu'ils ne les accepteront pas. » Ce discours intérieur provient du mental. C’est lui qui dit : « cela n'aurait jamais fonctionné, alors à quoi bon. Il ne m'aurait pas aimé de toute façon ».
Il a peur de l'intimité, car il s’agit de la forme ultime de confrontation. Il craint d’être découvert et que l’on voit au-delà de la surface. Personne ne le connaît vraiment bien. Les autres entretiennent des illusions à son sujet. Avec les autres,