![](https://assets.isu.pub/document-structure/210630163222-314bce3af7ef71042c2ffb69a20e116c/v1/6ee1574c39d22a1ef0fd20e37481c0aa.jpeg?width=720&quality=85%2C50)
1 minute read
Le mental comme autorité extérieure
L’autorité intérieure du cœur/ego.
Lorsque le centre du cœur/ego est défini grâce au lien établi avec le centre de la gorge ou avec le centre G et que les centres du plexus solaire, du sacral et splénique ne sont pas définis, la prise de décision se fait en fonction de la volonté personnelle. Lorsque le centre du cœur/ego est l’autorité intérieure, la personne doit être égoïste et se demander, « qu’est-ce que je veux? Est-ce que j’y trouve mon compte? » Les décisions correctes émanent de la force de volonté de ce centre moteur. Elles dépendent, de la présence ou non, de la détermination et de la force de volonté pour le faire.
L’autorité intérieure du centre G
Lorsque le centre G est défini et que les centres du plexus solaire, du sacral, le centre splénique et celui du coeur/ego ne le sont pas, le centre G (le soi) devient l’autorité intérieure. Dans ce cas, c’est la satisfaction personnelle qui guide la prise de décision. Les décisions de l’autorité intérieure du centre G sont basées sur ce qui rend la personne heureuse. Elle a besoin de se demander, « est-ce que cela me rend heureux? Est-ce que cela m’apporte de la satisfaction? » La personne doit également discuter de ces intentions avec les autres, car en agissant ainsi, elle peut s’entendre parler « naturellement » de son niveau de satisfaction. C’est grâce à l’échange avec les autres que l’autorité intérieure du centre G identifie la décision correcte. Dans cette variété d'autorité intérieure, le centre G est toujours relié au centre de la gorge. La personne dont l’autorité intérieure est le centre G peut regarder à l’intérieur d’ellemême, afin de trouver la clarté nécessaire au processus de la prise de décision et elle utilise sa propre voix, pour entendre ce qu’elle a à dire. La décision ne doit pas être prise par le mental. La personne ayant le centre G comme autorité intérieure doit porter attention à ce qu'elle dit spontanément, car ce qu’elle exprime verbalement correspond à sa propre identité. C’est lorsqu’elle s’entend donner une direction que la personne sait, que celle-ci est correcte pour elle.
![](https://assets.isu.pub/document-structure/210630163222-314bce3af7ef71042c2ffb69a20e116c/v1/2f08003706c7213324dd359e6da30159.jpeg?width=720&quality=85%2C50)